üilles bien estonnées, s’imposerent silence, et se mirent à saluër ce
nouveau
Prince, à luy faire honneur, et à s’approcher peu
uvons extrêmes les moindres defauts des Princes, et en souhaittons de
nouveaux
, sans considerer que tout changement ne fait que
esme il seroit de bien en mieux, principalement si l’on introduict de
nouvelles
Loix. De toutes ces choses on peut inferer, que c
s il les reprit et se remit en marche. Mais les corbeaux croassant de
nouveau
, il s’arrêta, et à la fin il leur dit : « Libre à
astons flotans. Le premier qui vid un Chameau S’enfuit à cet objet
nouveau
; Le second approcha ; le troisiéme osa faire Un
Maistre de s’en aller en sa Mestairie, pour y voir le travail de son
nouveau
serviteur, il arriva qu’un certain Laboureur luy
rt à son Maistre, qui bien estonné du bon sens, et de l’esprit de son
nouveau
serviteur, voulut que les deux autres beussent co
z si bien tondu ;
J’ai plus gagné que perdu :
Car d’Hymen, point de
nouvelles
.
Celle que je prendrois voudroit qu’à sa façon
,
Sa femme l’enferma dans un certain tombeau.
Là les vapeurs du vin
nouveau
Cuverent à loisir. A son réveil il treuve
L’att
ement reüssit pour l’ordinaire à neant, pour ce qui est d’acquerir de
nouveau
, mais encore nous couste bien souvent la perte de
queste d’une belle Maistresse, ils se jettent inconsiderément dans de
nouvelles
amours, où la cognoissance qu’on a de leur legere
il avait aussi changé ses habitudes de convoitise ; et, tandis que le
nouveau
roi passait en litière, il lâcha un escarbot sous
sinage,
Crut qu’il faloit s’aider de la peau du Renard,
Et faire un
nouveau
personnage.
Il s’habille en Berger, endosse un h
out tresor par droit de Royauté Appartient, Sire, à vôtre Majesté. Le
nouveau
Roy baaille aprés la Finance, Lui-même y court po
er de l’encens ; mais sauvé du danger, il oublia sa promesse. Pris de
nouveau
, à un autre piège, il laissa Apollon pour s’adres
Ce n’est pas ma profession. Moy Souris ! des méchans vous ont dit ces
nouvelles
. Grace à l’Auteur de l’Univers, Je suis Oyseau ;
ong-temps regarder au visage
Celuy qu’elles croyoient estre un geant
nouveau
;
Or c’estoit un soliveau,
De qui la gravité fi
ennuyeux au Lecteur, quand mesme j’alleguerois des choses tout à fait
nouvelles
et inouyes. Car non seulement les paroles et les
quelques Souris qui rongeoient de la natte Troublerent le plaisir des
nouveaux
mariez. Aussi-tost la femme est sur pieds : Elle
tre a fait donner le tiltre de raisonnable, invente tous les jours de
nouveaux
appas, pour tromper ses ennemis, caressant plusto
inesses extraordinaires, et qui font gloire entr’eux d’en inventer de
nouvelles
. Pour moy, je n’ay pas trouvé Cardan judicieux en
s Dieux ; la perfide s’en moque. Il resiste ; elle tire. En ce combat
nouveau
, Un Milan qui dans l’air planoit, faisoit la rond
tost les pauvres gens tomberent en langueur :
Il ne se forma plus de
nouveau
sang au cœur :
Chaque membre en souffrit, les fo
tu oses, bête effrontée entre toutes, reprit la chatte, tu oses, tout
nouveau
venu, pousser de pareils cris, tandis qu’à moi, n
e, « Car il se doit marier demain ». Le valet ayant appris ces belles
nouvelles
, laissa là Esope, et monté qu’il fût en la chambr
l’essaye, un plus sçavant le fasse. Cependant jusqu’icy d’un langage
nouveau
J’ay fait parler le Loup, et répondre l’Agneau. J
iteur. Cependant la femme de Xanthus ayant commandé qu’on appellât ce
nouveau
valet, pour le faire entrer, il y en eust une qui
ne vous fâchez point, je vous prie, et cessez de vous mocquer de mon
nouveau
serviteur ». « Comment », reprit-elle, « que je n
hameau. Tous quatre en chemin ils se mirent Avec le Singe Ambassadeur
nouveau
. La Caravanne enfin rencontre en un passage Monse
ienne de long-temps pour si Vertueux, ou qu’on ayt esprouvé si peu de
nouveaux
desseins en la nation dont il est Chef, que l’on
re maître. Zeus l’exauça et le fit vendre à un potier. Mais il fut de
nouveau
mécontent, parce qu’on le chargeait davantage et
e a amenez, mais marastre à ceux qu’elle a trouvé en la maison de son
nouveau
Mary : Elle monstre donc avoir une inclination bi
de leur vie. Or toutes ces trois raisons s’accommodent à la ruyne des
nouveaux
Eslevez. Premierement, ils y peuvent contribuër p
et en Vertu, qu’ils ne sont effectivement. C’est ainsi que parmy les
nouveaux
Docteurs il s’en trouve plusieurs qui se targuent
u’on s’expose aujourd’huy à des havres incognus, on queste des terres
nouvelles
; l’on fend les glaces du Nort et du Sud : l’on v
fidies que l’Avarice nous cause. Mais nostre siecle est trop plein de
nouveaux
exemples, sans qu’il soit besoin de mandier la me
omicides que l’on a veu commettre à milliers. Tesmoins les Peuples du
nouveau
monde, qui n’ont que trop éprouvé à leur dommage
Ce n’estoit rien à ces courages ambitieux, apres avoir découvert ces
nouvelles
terres, de rendre esclaves tous les Mexicains, et
ntmoins des siecles entiers ; Et nous qui inventons tous les jours de
nouveaux
aprests pour déguiser nos viandes, et qui chercho
re amitié aura pris de l’âge, s’ils se lient avec d’autres, c’est ces
nouveaux
amis qui auront leurs préférences. Chambry 17
’arrêta et attendit longtemps. Quand le soir fut venu, il entendit de
nouveau
la vieille qui choyait le petit enfant et lui dis
gneurs. Laissons donc le reste à la prudence du Lecteur, et voyons un
nouveau
sujet de moraliser.
s’estoit fourré bien avant dans le pied une grosse espine, et pria ce
nouveau
Medecin de la luy arracher. Le Lion en demeura d’
approchait de sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui demanda de
nouveau
pourquoi il agissait ainsi. Il répondit qu’il ref
us belles parties de l’Europe, sans mettre en compte la domination du
nouveau
monde. Ce qui procede, à ne point flatter, des em
ux, à cause de la gentillesse de ses gambades : puis il assujettit ce
nouveau
Roy aux malicieuses finesses du Renard, qui le fa
et se mirent à crier. Ce que voyant Esope ; « Et bien », dit-il à son
nouveau
Maistre, « ne voila-t’il pas un effect de ma prom
L’homme lui ayant répondu que ce n’était pas celle-là, il plongea de
nouveau
et en rapporta une d’argent. L’homme ayant déclar
Xanthus, qui s’estans mis à rire : « Certainement », dirent-ils, « ce
nouveau
serviteur est tout plein d’esprit ». En suitte de
ar en mesme temps ceste peste que nous couvons dans l’ame, cherche de
nouveaux
objects pour se nourrir, et s’addresse aux prospe
qui en peut revenir, et en profiter vous-mesmes. Je vous les donne de
nouveau
traduittes, et augmentées de discours Moraux, Phi
s honorables, ainsi qu’en vne Lyce, où vous gaignez tous les jours de
nouvelles
Palmes. Mais je me trompe bien fort, Monseigneur
r de nombreux manuscrits. Ce n’est qu’après, que je me conformerai de
nouveau
au rang d’ancienneté. En un mot, après avoir étud
art, depuis l’apparition de ma première édition, j’avais découvert de
nouveaux
documents qui la rendaient incomplète et que je d
r livré au public un premier ouvrage défectueux, et, convaincu que le
nouveau
donne seul à toutes les questions traitées leur e
Phèdre ont à leur tour été imités, et de ces imitations sont nées de
nouvelles
collections de fables, qui, à défaut de valeur ph
il parle de Linus et d’Orphée21. Pour fournir sur le premier point de
nouveaux
documents, il n’ajoute aux citations précédentes
la savante dissertation, par laquelle Jannelli, dans son édition des
nouvelles
fables de Phèdre24, a essayé à son tour de résoud
ugement qui en ordonnait la suppression, soit que, pour s’épargner de
nouveaux
ennuis, Phèdre ait trouvé bon de ne pas les maint
de nos jours, dans la presse quotidienne, figurent sous la rubrique :
Nouvelles
et faits divers. C’est là ce qu’on trouve dans le
les calmes loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’écrire de
nouveaux
ouvrages et notamment de publier la loi des Wisig
nne. » Il les refusa et retourna au barreau. Tout en profitant de ses
nouveaux
loisirs pour répandre sur l’antiquité de nouvelle
en profitant de ses nouveaux loisirs pour répandre sur l’antiquité de
nouvelles
lumières, il ne se désintéressa pas des événement
uriosité. L’été qui suivit la date de cette lettre, faisant un voyage
nouveau
en Suisse, je passai par Berne, et, m’étant rendu
en était pas ainsi ; car, en 1812, Adry lui-même, dans son Examen des
nouvelles
fables de Phèdre, indique qu’il est dans les main
e Poeta ad Particulonem devient, dans ce livre d’abord interrompu, un
nouveau
prologue, par lequel Phèdre, après avoir quelque
, ne permettent pas de la considérer comme le commencement d’un livre
nouveau
. Les éditeurs l’ont en général si bien compris qu
mination, et qu’il ne peut davantage résister au désir de composer de
nouvelles
fables. Il s’excuse de manquer à la parole donnée
rocuré les moyens de fixer leur opinion sur l’authenticité des fables
nouvelles
. Section II. Manuscrit de Reims. § 1er.
re au président de Thou, Rigault, pour la mettre en harmonie avec son
nouveau
travail, modifia les termes de la première phrase
a bibliothèque du roi, M. de Foncemagne103, pria de même Dom Vincent,
nouveau
bibliothécaire de Saint-Remi, de lui adresser un
ou, et il ne s’est même pas préoccupé de reproduire toutes les leçons
nouvelles
qui lui étaient révélées. Gude, au contraire, ver
ligne ne se terminait pas à la fin de chaque vers, et que chaque vers
nouveau
était sans interruption écrit à la suite du précé
tait appuyée sur l’autorité des Bénédictins eux-mêmes, qui, dans leur
Nouveau
Traité de diplomatique, s’exprimaient ainsi114 :
Le manuscrit de Phèdre passa dans les mains de la reine Christine. Ce
nouveau
changement de maître le fit appeler Schedæ regiæ.
artageant probablement la même incertitude, Adry, dans son Examen des
nouvelles
fables de Phèdre, écrit en 1812, disait : « Il a
plus de la deuxième moitié du premier livre ». Il y a là deux erreurs
nouvelles
: d’abord l’écriture du manuscrit démontre qu’il
uvre. Il se contenta d’allonger sa préface, et, négligeant les fables
nouvelles
, de signaler les variantes qu’offraient les ancie
il aurait peut-être songé à compléter le texte des trente-deux fables
nouvelles
; mais il ne put jouir des loisirs qu’il rêvait.
ou une copie de cette dernière, y trouvant nécessairement les fables
nouvelles
, il y aurait fait quelque allusion. Or, il n’en d
roit Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’il contenait de
nouvelles
fables de Phèdre, et ce fut lui qui fit cette déc
ent découvert le trésor que renfermoit le manuscrit, je veux dire les
nouvelles
fables. Gargiulli avoit à peine copié les premièr
tions de Jannelli, que Cassitto ne prit pas lui-même copie des fables
nouvelles
, et que ce fut son frère qui, en venant travaille
it, Cassitto, à la fin de l’année 1808, publia les trente-deux fables
nouvelles
que contenait le manuscrit. C’est une édition in-
eur de curiosité bibliographique. Avant cette première apparition des
nouvelles
fables de Phèdre, l’abbé Andrès, ignorant à quell
et de démontrer que Phèdre était bien l’auteur des trente-deux fables
nouvelles
. « Elle est, dit Ginguené, divisée en deux chapit
n argument propre à établir que Phèdre était bien l’auteur des fables
nouvelles
. Dans un premier chapitre qui a pour titre ces mo
poque. Voici maintenant quel intérêt offrait, pour l’authenticité des
nouvelles
fables, la fixation de l’âge de Pétrone. Il avait
se souvient, rem sua memoria factam. Or, dans la quinzième des fables
nouvelles
, le même événement est présenté, suivant Jannelli
ontant à quelques années, per aliquot annos. Donc l’auteur des fables
nouvelles
est bien, d’après lui, contemporain de Pétrone, e
on bien positive. Aussi, quand j’examinerai l’authenticité des fables
nouvelles
, n’en tirerai-je aucun argument. Mais j’aime à re
uvelle édition qui ne contenait que les fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
. Mais elles n’offraient plus de lacunes, et ses c
u’il fût las des lenteurs de l’Imprimerie royale, il avait confié son
nouveau
travail à l’imprimeur même auquel, dix-huit mois
me lu, qu’avant lui d’Orville et Andrès y avaient remarqué les fables
nouvelles
, et que, quant à les avoir attribuées à Phèdre, q
en aurait été capable ; car il avait, dans la publication des fables
nouvelles
, pris pour des vers de Phèdre ce qui n’était que
lument insuffisantes ; Que, dans la première édition de Cassitto, les
nouvelles
fables sont en désaccord avec le manuscrit non se
n, après examen très attentif du manuscrit et spécialement des fables
nouvelles
, les lettres en ont été trouvées intactes dans le
à Naples, vers le mois d’avril 1812, sous forme de conversations, un
nouveau
volume intitulé : Cataldi Jannellii | regiae Ne
enticité, et partout, dès l’année 1812, on s’empressa d’en publier de
nouvelles
éditions. Adry en cite trois, publiées à Paris au
, en 42 pages sans la préface, ne porte que le texte latin des fables
nouvelles
. Elle a été imprimée chez Crapelet et porte pour
e divise en deux parties : la première, contenant le texte des fables
nouvelles
, et la seconde, celui des anciennes. Les unes et
nt 23, comprend la traduction en vers italiens des trente-deux fables
nouvelles
, leur texte latin en regard, la traduction frança
es à la suite de chacune d’elles. Le frontispice est ainsi formulé :
Nouvelles
Fables | de Phèdre | traduites en vers italiens
ars 1812, Ginguené n’hésite pas à affirmer que les trente-deux fables
nouvelles
« sont réellement de Phèdre et ne peuvent être qu
regard du titre, une note manuscrite ainsi conçue : « Voir Examen des
nouvelles
fables de Phèdre, Paris, Egron, 1812, in-12. L’au
et Tubingæ, | apud J. G. Cottam, 1812 179. Les années suivantes, de
nouvelles
éditions continuèrent à être publiées. Mais je m’
scrit. Pour se faire une idée exacte sur l’authenticité des fables
nouvelles
, il faut avoir vu les manuscrits qui les renferme
a : 1º Trente-deux fables anciennes, ci 32 2º Trente-deux fables
nouvelles
, ci 32 3º Trente-six fables d’Avianus, ci 36
a fait à l’égard des fables anciennes, il a dû le faire à l’égard des
nouvelles
, et que, si nous devons nous féliciter qu’il nous
à Pirrho Perotti. Ensuite viennent les fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
, celles d’Avianus et les poésies de l’archevêque
a l’épître à Veltrius, la dédicace au neveu de Perotti, les 32 fables
nouvelles
et les mots, qui, extraits du manuscrit Vatican,
dans laquelle il avait fait figurer, d’après Jannelli, les 32 fables
nouvelles
. La publication du conservateur de la bibliothèqu
nde, c’est-à-dire des fables postérieurement découvertes dites Fables
nouvelles
. Section I. Fables anciennes. De tous les ou
n Angleterre et Schrevelius en Hollande, s’inclinèrent donc devant le
nouveau
dogme qui leur était, pour ainsi dire, imposé san
nne fable de Phèdre que Perotti a copiée deux fois, j’y chercherai un
nouveau
témoignage de sa bonne foi. Or savez-vous comment
il a entendu par-là que personne parmi les Latins n’en avoit fait de
nouvelles
dans le genre d’Ésope, ce qui est très-vrai, Phed
mposé ses fables dans la langue de son modèle. Importateur d’un genre
nouveau
, il avait dû, pour le vulgariser, se servir de la
dans les écoles, avait dû moins que les Romains eux-mêmes adopter les
nouvelles
formes de leur langage ; Martial, qui connaissait
idérés comme entièrement conformes à la vérité. Section II. Fables
nouvelles
. Les fables nouvelles ont eu le même sort que
conformes à la vérité. Section II. Fables nouvelles. Les fables
nouvelles
ont eu le même sort que les anciennes ; elles son
à démontrer qu’aucun auteur autre que Phèdre n’a pu écrire les fables
nouvelles
. Je me hâte de parcourir ceux par lesquels il pré
s, des institutions et de la religion, doivent en être le reflet. Les
nouvelles
fables qui parlent de Jupiter, de Mercure, de Jun
us longis, etenim jam cessit Apollo247. 4º On trouve dans les fables
nouvelles
l’élégance, la finesse, l’habileté, la pureté et
nciennes, fait l’éloge de la littérature grecque, il traite, dans les
nouvelles
, les Grecs de gens loquaces. Mais, comme il a ren
autions248. 5º Comme dans les fables anciennes, on rencontre dans les
nouvelles
des anecdotes, telles que celle de Pompée et de s
is en scène dans les anciennes, reparaît plus souvent encore dans les
nouvelles
, et, hormis Phèdre, aucun fabuliste n’a recouru à
anciennes fables : Gulæque credens colli longitudinem, et dans les
nouvelles
on lit : Traxitque ad terram nasi longitudinem.
licite à ce qui leur semblait trop concis. De là sortit un genre tout
nouveau
de fables composées en prose. L’ensemble en était
u transformées. Or, comme on y retrouve les sujets de huit des fables
nouvelles
, il est indubitable que Phèdre en est l’auteur ;
enir253. 9º La dédicace de Perotti lui attribue d’ailleurs les fables
nouvelles
: Non sunt hi mei quos putas versiculi, Sed Æsop
nt sept ou huit, que cela suffirait pour qu’il eût contenu les fables
nouvelles
. Enfin, soit par l’injure du temps, soit par l’au
l’auteur. De tout cela il ressort que, pour lui attribuer les fables
nouvelles
, il n’est pas nécessaire de supposer qu’il écrivi
rguments par lesquels Jannelli avait établi l’authenticité des fables
nouvelles
. En les lançant dans le monde littéraire, il leur
ar la forme que par le fond259, exprima sur l’authenticité des fables
nouvelles
des doutes, qui jetèrent le trouble dans toutes l
ésigner Romulus. Il faudrait donc admettre que les trente-deux fables
nouvelles
seraient des fables de Romulus que Perotti aurait
très mal observée. Il en résulte que, si, au lieu de lire les fables
nouvelles
dans la première édition de Cassitto, Heyne les a
clusivement on ne trouve personne qui ait été capable de composer les
nouvelles
fables ». Mais, pour démontrer qu’avant Perotti d
é qu’il lui reproche ; 6º Après avoir ainsi passé en revue les fables
nouvelles
, Adry critique la réponse faite par Cassitto aux
et qu’ils n’ont pas pris la peine « de lire attentivement les fables
nouvelles
». Cette manière de voir toute hypothétique n’a p
a pas même besoin d’être réfutée. 8º En définitive, sur les 32 fables
nouvelles
il n’en voit que douze qui soient, à proprement p
de son opuscule, d’affirmer que Perotti « n’a dit nulle part que les
nouvelles
fables fussent de Phèdre ». Cette affirmation me
que M. Adry dans la lecture de Phèdre n’a pu se montrer favorable aux
nouvelles
fables publiées en Italie. Son opinion est partag
me édition de Phèdre, Gail, faisant précéder d’une préface les fables
nouvelles
, y déclarait qu’il n’osait ni les refuser ni les
u’Adry a pris le parti le plus sage, « en examinant toutes les fables
nouvelles
les unes après les autres et en prononçant sur ch
ngelo Maï. En 1831, en publiant, d’après le manuscrit du Vatican, les
nouvelles
fables de Phèdre, il n’a manifesté aucun doute su
fiés de fable vi, la preuve que Perotti n’est pas l’auteur des fables
nouvelles
. Il considère ces deux vers comme l’épimythion d’
é interposés plusieurs autres poèmes263. » L’authenticité des fables
nouvelles
ne parut pas plus douteuse à Orelli ; il remarque
alie et en Suisse, malgré l’attaque d’Adry, l’authenticité des fables
nouvelles
avait été acceptée. Mais en Allemagne la chose av
pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité des fables anciennes, les
nouvelles
aient dû inspirer moins de confiance encore. Auss
838, on voit, à Bautzen, Dressler reconnaître si bien dans les fables
nouvelles
la main de Phèdre qu’il en fait un livre VI266. J
ésite pas en 1847 à proclamer en ces termes l’authenticité des fables
nouvelles
: « Je n’ai jamais douté, quant à moi, dit-il, qu
critiques qui n’ont pas voulu reconnaître la main de Phèdre dans les
nouvelles
fables ont cité, comme preuves principales, les p
changements de Perotti. Cependant le dessein et l’exécution, dans ces
nouvelles
fables, ne peuvent appartenir qu’à Phèdre268. »
ection de l’Epitome de Perotti, l’authenticité des trente-deux fables
nouvelles
considérées en elles-mêmes ne peut pour les conna
gure aussi juste qu’expressive, employée par M. L. Müller, les fables
nouvelles
ressemblent aux fables anciennes, comme un œuf re
ns un groupement séparé, distingué celles qu’on est convenu d’appeler
nouvelles
, on comprendrait qu’à chaque groupe pût être attr
u’on rencontre est la fable Simius et Vulpis, qui est la première des
nouvelles
; puis vient le fragment qui porte pour titre :
té traitées par lui de la même manière. Ainsi aux anciennes comme aux
nouvelles
il a enlevé le titre, qui, n’exprimant par lui-mê
ue fable la moralité et la traduisant en prose, il en a fait un titre
nouveau
, destiné à remplacer celui qu’il avait supprimé.
ormes, se trouvent dans son manuscrit les fables soit anciennes, soit
nouvelles
, on demeure convaincu qu’elles ont une origine co
devraient contester à Phèdre les fables anciennes aussi bien que les
nouvelles
. Les unes et les autres auraient dû nécessairemen
ncontestablement à Phèdre et des fables d’Avianus, on fait des fables
nouvelles
un troisième groupe et qu’on l’attribue à Perotti
qu’on me dise si l’on croit encore que Perotti a pu écrire les fables
nouvelles
! Ce n’est pas tout ; le manuscrit de Perotti me
particulière de chacune d’elles. Il prend la même peine pour l’ïambe
nouveau
. Puis il conclut en observant que le vers ïambiqu
mis que je prévois. « De ce que Perotti n’est pas l’auteur des fables
nouvelles
, il ne s’ensuit pas, me dira-t-on, qu’on doive en
conclusion, c’est que, pour attribuer à Phèdre les trente-deux fables
nouvelles
, il n’est pas nécessaire de supposer que, contrai
tenant, en dehors des particularités qu’ils présentent, je cherche de
nouveaux
éléments de conviction, je n’ai encore que l’emba
modèle. Au contraire, si l’on regarde de quoi se composent les fables
nouvelles
, on voit que sur les trente (je dis sur les trent
nos jours, remplissent dans les journaux les colonnes consacrées aux
nouvelles
diverses ; c’est ainsi qu’il raconte le meurtre i
es de celles de Phèdre les laissent de côté. Au contraire, les fables
nouvelles
nous offrent des récits semblables : tels sont, p
u’il avait empruntées au poète romain. Lors même qu’aucune des fables
nouvelles
ne se rencontrerait dans la collection de Romulus
e compilateur a négligées ; si au contraire on voit que plusieurs des
nouvelles
ont indirectement servi de modèle au plagiaire, a
ossible. Or, que l’on compare, et l’on remarquera que les huit fables
nouvelles
, qui dans les éditions sont intitulées : De Scrof
de leurs éditions de Phèdre ils n’ont pas cessé de publier les fables
nouvelles
à la suite des anciennes, mais qu’ils ont encore
à la suite des anciennes, mais qu’ils ont encore continué à faire des
nouvelles
des éditions spéciales, qui sont en quelque sorte
èrement dissipés, et dans les éditions du fabuliste romain les fables
nouvelles
sont placées à la suite de celles de Gude, quelqu
a vie de Phèdre par Schwabe et le texte latin des fables anciennes et
nouvelles
. 1831. Phædri Aug. lib. fabulæ Æsopiæ. P
, typis Vaticanis. In-8º. Ce vol. contient, p. 278-314, les 32 fables
nouvelles
de Phèdre. 1832. Phædri fabula nova xxxi
e 144 pages, contenant les fables anciennes de Phèdre, une partie des
nouvelles
et les Publii Syri et aliorum veterum sententiæ.
od pvlchrvm est in Phædro, le texte des fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
, les 34 fables restituées par Gude et par Burmann
euilles un sixième. 1847. Fables de Phèdre tant anciennes que
nouvelles
publiées par Angelo Maï et les fables corresponda
Teubneri. In-18. Ce recueil de poésies latines contient les 32 fables
nouvelles
. 1870. Phædri, etc. Mit einem Wörterbuch
e. In-8º de 96 pages contenant les fables anciennes et vingt-deux des
nouvelles
. 1882. Fables de Phèdre. Nouvelle édition
aris, 1º C. Joyant, 2º Tardieu-Denesle et Cie . In-8º de 18 feuilles.
Nouvelles
Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
n en vers français des fables complètes de Phèdre, et des trente-deux
nouvelles
fables publiées d’après le manuscrit de Perotti ;
In-12 de 8 feuilles 5 sixièmes. 1827. Fables anciennes et
nouvelles
de Phèdre, traduites en français avec le texte en
le édition adaptée à celle de Brotier, augmentée de la traduction des
nouvelles
fables attribuées à Phèdre, et suivie des fables
chette, et Limoges, Ardant (1re édition, 1819). In-12 de 11 feuilles.
Nouvelles
Fables attribuées à Phèdre, latin-français. Tradu
ii-112 pages. 1860. Traduction en vers français des хххii
nouvelles
fables attribuées à Phèdre, d’après le manuscrit
In-18 de viii-184 p. 1881. Fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d
tin, la traduction en vers italiens des fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
. Delle favole Esopiane di Fedro Liberto di August
es anciennes, des fables restituées par Gude et Burmann et des fables
nouvelles
. 1840. Favole Esopiane exposte in var
ontenant (p. 87 à 116) la traduction en vers italiens des trente-deux
nouvelles
fables de Phèdre. 1841. Le Favole di
a come nell’edizione Torinese, MDCCCXXXVIII, celle de huit des fables
nouvelles
. § 6. — Traductions illyriennes. 1813.
tive qui me fournit aujourd’hui les moyens d’éviter, en l’étudiant de
nouveau
, les inévitables erreurs de détail, que, faute de
15, 16, 17, 18, 19 et 20. La quatrième est la mise en prose d’une des
nouvelles
. Enfin le livre III et dernier embrasse 44 fables
, 26, 27, 31, 32 et 44. Il y en a, en outre, 7, auxquelles les fables
nouvelles
de l’affranchi d’Auguste ont servi de modèle ; ce
mitif, qui ne correspondent à aucune de celles de Phèdre anciennes ou
nouvelles
, sont au nombre de 32. Ce sont celles qui, dans l
issembourg : Hæc tibi Æsopus narrat qui me non intelligis. Les fables
nouvelles
, dont il y a cent ans personne ne soupçonnait l’e
s fables de l’Æsopus ad Rufum, puis-je, en la prolongeant, obtenir un
nouveau
résultat et parvenir à la reconstitution certaine
je l’ai fait assez ressortir pour qu’il soit superflu d’y ajouter de
nouveaux
arguments, et je m’en abstiens. Restent les appr
dernier, à celui du Romulus ordinaire que j’ai eu recours. Établir un
nouveau
parallèle entre les mêmes éléments serait refaire
que j’en ai déjà fait connaître, il me paraît superflu d’en parler de
nouveau
. La description que je viens de faire sommairemen
atione et signalée par Hain a été pour moi un nouvel indice et m’a de
nouveau
démontré que l’édition de 114 feuillets par lui m
achures, qui dans ce titre marquent la fin des lignes, fournissent un
nouveau
moyen de distinguer cette édition de la précédent
ans les titres courants des feuillets qu’elles occupent, je relève de
nouvelles
fautes : ainsi les feuillets p. vii et p. viii au
ssertations sur les quatre manuscrits de Phèdre, l’autre : Examen des
nouvelles
fables, et du texte de ces fables restauré par Ja
dent Esopo | mit irem Register. Autrement dit : « Ici commencent les
nouvelles
fables mises en allemand d’après Rimicius, qui so
n falblen (sic) von Rimicio , etc. En français : « Ici commencent les
nouvelles
fables mises en allemand d’après Rimicius. » Fol
ieilles fables courantes que l’on attribue à Ésope, et commencent les
nouvelles
fables mises en allemand d’après Rimitius, que l’
me portrait. Fol. 2 a. — Le commencement de la page est occupé par un
nouveau
titre général ainsi formulé : Cy cōmence le liur
s sont issues, elles deviennent, pour ainsi dire, autant de créations
nouvelles
. Ensuite, dérivées en partie du Romulus de Munich
coup de mots déjà vieillis ont été remplacés par des expressions plus
nouvelles
. J’extrais des deux manuscrits, à titre d’exemple
licit explicite quidquid liber implicat iste. 5º Bibliothèque du
nouveau
collège à Oxford. Manuscrit CCLXIX. Le no
ibliothèque du nouveau collège à Oxford. Manuscrit CCLXIX. Le
nouveau
collège à Oxford possède un manuscrit de Walther
lus ne nous sont pas parvenus tous dans leur intégrité. Tandis que de
nouvelles
copies en étaient faites, les premières disparais
copies en étaient faites, les premières disparaissaient ; ces copies
nouvelles
étaient rarement irréprochables, et de transcript
ne solution définitive, l’abbé de la Rue n’hésita pas à la traiter de
nouveau
. Voici en quels termes il s’exprime : « Legrand d
250 feuillets anciens, auxquels le relieur a ajouté quatre feuillets
nouveaux
, en parchemin comme les anciens, savoir : deux au
angiacomo. Præsidum veniâ. In-8º. 25. Fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d
urs que j’en fis quelques-unes. 30. Fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d
ue, sixième année, tome II, les p. 441 et suivantes. 89. Examen des
nouvelles
fables de Phèdre, qui ont été trouvées dans le ma
de l’Académie des Inscriptions ; il mourut en 1779. 104. Examen des
nouvelles
Fables de Phèdre, qui ont été trouvées dans le ma
de son édition du Codex Perottinus, publiée à Naples en 1809.) 148.
Nouvelles
Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
iones tres. Neapoli, 1811, in-8º. (Voyez Dissertatio I, p. v.) 160.
Nouvelles
Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
yez la préface, p. xiv.) 161. Voyez, dans l’édition sus-indiquée des
Nouvelles
Fables de Phèdre, la page xiv de la préface. 162
igne letterato Ollandese. » (Voyez le volume précité, p. 274.) 170.
Nouvelles
Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
aîné, MDCCCXII, in-8º. (Voyez préface, p. xv.) 171. Adry, Examen des
nouvelles
fables de Phèdre. Paris, Egron, 1812, in-18. (Voy
, 1813, in-8º. (Voyez page 295.) 174. Fables de Phèdre anciennes et
nouvelles
, accompagnées d’une traduction littérale en vers
2. Typis Dominici Sangiacomo. Publicâ Veniâ. 177. Voyez l’Examen des
nouvelles
fables de Phèdre, p. 44 à 46. 178. Bibliothèque
ac ætate scripta sint. » (Voyez p. 7 de l’édition in-8º des 32 fables
nouvelles
publiées d’après Angelo Maï par Orelli à Zurich e
xiii. 258. Voyez Dissertatio II, pages cxiv à cxv. 259. Examen des
nouvelles
fables de Phèdre. Doutes sur leur authenticité. P
ir que toi. » En abusant ainsi le malheureux, il le décida à venir de
nouveau
. Quant il eut pénétré dans l’antre, le lion eut d
esloignées il n’y a point de certitude, et mesme que les conteurs de
nouvelles
proches de nous, les accroissent et les amplifien
urprist les spectateurs avecque plus de merveille ; ce qui sembleroit
nouveau
, s’il ne se trouvoit encore aujourd’huy quantité
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