/ 45
1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
üilles bien estonnées, s’imposerent silence, et se mirent à saluër ce nouveau Prince, à luy faire honneur, et à s’approcher peu
uvons extrêmes les moindres defauts des Princes, et en souhaittons de nouveaux , sans considerer que tout changement ne fait que
esme il seroit de bien en mieux, principalement si l’on introduict de nouvelles Loix. De toutes ces choses on peut inferer, que c
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 47 » p. 245
s il les reprit et se remit en marche. Mais les corbeaux croassant de nouveau , il s’arrêta, et à la fin il leur dit : « Libre à
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — X. Le Chameau, et les Bastons flotans. » p. 195177
astons flotans. Le premier qui vid un Chameau S’enfuit à cet objet nouveau  ; Le second approcha ; le troisiéme osa faire Un
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
Maistre de s’en aller en sa Mestairie, pour y voir le travail de son nouveau serviteur, il arriva qu’un certain Laboureur luy
rt à son Maistre, qui bien estonné du bon sens, et de l’esprit de son nouveau serviteur, voulut que les deux autres beussent co
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
z si bien tondu ;
 J’ai plus gagné que perdu :
 Car d’Hymen, point de nouvelles . 
Celle que je prendrois voudroit qu’à sa façon

6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VII. L’Yvrogne et sa femme. » p. 246
,
 Sa femme l’enferma dans un certain tombeau.
 Là les vapeurs du vin nouveau 
Cuverent à loisir. A son réveil il treuve
 L’att
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
ement reüssit pour l’ordinaire à neant, pour ce qui est d’acquerir de nouveau , mais encore nous couste bien souvent la perte de
queste d’une belle Maistresse, ils se jettent inconsiderément dans de nouvelles amours, où la cognoissance qu’on a de leur legere
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 120 » p. 107
il avait aussi changé ses habitudes de convoitise ; et, tandis que le nouveau roi passait en litière, il lâcha un escarbot sous
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
sinage,
 Crut qu’il faloit s’aider de la peau du Renard,
 Et faire un nouveau personnage.
 Il s’habille en Berger, endosse un h
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
out tresor par droit de Royauté Appartient, Sire, à vôtre Majesté. Le nouveau Roy baaille aprés la Finance, Lui-même y court po
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 167 » pp. 323-323
er de l’encens ; mais sauvé du danger, il oublia sa promesse. Pris de nouveau , à un autre piège, il laissa Apollon pour s’adres
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
Ce n’est pas ma profession. Moy Souris ! des méchans vous ont dit ces nouvelles . Grace à l’Auteur de l’Univers, Je suis Oyseau ;
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
ong-temps regarder au visage
 Celuy qu’elles croyoient estre un geant nouveau  ;
 Or c’estoit un soliveau,
 De qui la gravité fi
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
ennuyeux au Lecteur, quand mesme j’alleguerois des choses tout à fait nouvelles et inouyes. Car non seulement les paroles et les
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
quelques Souris qui rongeoient de la natte Troublerent le plaisir des nouveaux mariez. Aussi-tost la femme est sur pieds : Elle
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
tre a fait donner le tiltre de raisonnable, invente tous les jours de nouveaux appas, pour tromper ses ennemis, caressant plusto
inesses extraordinaires, et qui font gloire entr’eux d’en inventer de nouvelles . Pour moy, je n’ay pas trouvé Cardan judicieux en
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
s Dieux ; la perfide s’en moque. Il resiste ; elle tire. En ce combat nouveau , Un Milan qui dans l’air planoit, faisoit la rond
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
tost les pauvres gens tomberent en langueur : 
Il ne se forma plus de nouveau sang au cœur :
 Chaque membre en souffrit, les fo
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 356 » pp. 244-244
tu oses, bête effrontée entre toutes, reprit la chatte, tu oses, tout nouveau venu, pousser de pareils cris, tandis qu’à moi, n
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
e, « Car il se doit marier demain ». Le valet ayant appris ces belles nouvelles , laissa là Esope, et monté qu’il fût en la chambr
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
l’essaye, un plus sçavant le fasse. Cependant jusqu’icy d’un langage nouveau J’ay fait parler le Loup, et répondre l’Agneau. J
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
iteur. Cependant la femme de Xanthus ayant commandé qu’on appellât ce nouveau valet, pour le faire entrer, il y en eust une qui
 ne vous fâchez point, je vous prie, et cessez de vous mocquer de mon nouveau serviteur ». « Comment », reprit-elle, « que je n
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
hameau. Tous quatre en chemin ils se mirent Avec le Singe Ambassadeur nouveau . La Caravanne enfin rencontre en un passage Monse
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
ienne de long-temps pour si Vertueux, ou qu’on ayt esprouvé si peu de nouveaux desseins en la nation dont il est Chef, que l’on
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 274 » pp. 179-179
re maître. Zeus l’exauça et le fit vendre à un potier. Mais il fut de nouveau mécontent, parce qu’on le chargeait davantage et
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
e a amenez, mais marastre à ceux qu’elle a trouvé en la maison de son nouveau Mary : Elle monstre donc avoir une inclination bi
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
de leur vie. Or toutes ces trois raisons s’accommodent à la ruyne des nouveaux Eslevez. Premierement, ils y peuvent contribuër p
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
et en Vertu, qu’ils ne sont effectivement. C’est ainsi que parmy les nouveaux Docteurs il s’en trouve plusieurs qui se targuent
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
u’on s’expose aujourd’huy à des havres incognus, on queste des terres nouvelles  ; l’on fend les glaces du Nort et du Sud : l’on v
fidies que l’Avarice nous cause. Mais nostre siecle est trop plein de nouveaux exemples, sans qu’il soit besoin de mandier la me
omicides que l’on a veu commettre à milliers. Tesmoins les Peuples du nouveau monde, qui n’ont que trop éprouvé à leur dommage
Ce n’estoit rien à ces courages ambitieux, apres avoir découvert ces nouvelles terres, de rendre esclaves tous les Mexicains, et
ntmoins des siecles entiers ; Et nous qui inventons tous les jours de nouveaux aprests pour déguiser nos viandes, et qui chercho
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 17 » pp. 6-6
re amitié aura pris de l’âge, s’ils se lient avec d’autres, c’est ces nouveaux amis qui auront leurs préférences. Chambry 17
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 224 » pp. 158-158
’arrêta et attendit longtemps. Quand le soir fut venu, il entendit de nouveau la vieille qui choyait le petit enfant et lui dis
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
gneurs. Laissons donc le reste à la prudence du Lecteur, et voyons un nouveau sujet de moraliser.  
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
s’estoit fourré bien avant dans le pied une grosse espine, et pria ce nouveau Medecin de la luy arracher. Le Lion en demeura d’
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 60 » pp. 35-35
approchait de sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui demanda de nouveau pourquoi il agissait ainsi. Il répondit qu’il ref
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
us belles parties de l’Europe, sans mettre en compte la domination du nouveau monde. Ce qui procede, à ne point flatter, des em
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
ux, à cause de la gentillesse de ses gambades : puis il assujettit ce nouveau Roy aux malicieuses finesses du Renard, qui le fa
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
et se mirent à crier. Ce que voyant Esope ; « Et bien », dit-il à son nouveau Maistre, « ne voila-t’il pas un effect de ma prom
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 254 » pp. 173-173
L’homme lui ayant répondu que ce n’était pas celle-là, il plongea de nouveau et en rapporta une d’argent. L’homme ayant déclar
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
Xanthus, qui s’estans mis à rire : « Certainement », dirent-ils, « ce nouveau serviteur est tout plein d’esprit ». En suitte de
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
ar en mesme temps ceste peste que nous couvons dans l’ame, cherche de nouveaux objects pour se nourrir, et s’addresse aux prospe
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
qui en peut revenir, et en profiter vous-mesmes. Je vous les donne de nouveau traduittes, et augmentées de discours Moraux, Phi
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
s honorables, ainsi qu’en vne Lyce, où vous gaignez tous les jours de nouvelles Palmes. Mais je me trompe bien fort, Monseigneur
43 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
r de nombreux manuscrits. Ce n’est qu’après, que je me conformerai de nouveau au rang d’ancienneté. En un mot, après avoir étud
art, depuis l’apparition de ma première édition, j’avais découvert de nouveaux documents qui la rendaient incomplète et que je d
r livré au public un premier ouvrage défectueux, et, convaincu que le nouveau donne seul à toutes les questions traitées leur e
Phèdre ont à leur tour été imités, et de ces imitations sont nées de nouvelles collections de fables, qui, à défaut de valeur ph
il parle de Linus et d’Orphée21. Pour fournir sur le premier point de nouveaux documents, il n’ajoute aux citations précédentes
la savante dissertation, par laquelle Jannelli, dans son édition des nouvelles fables de Phèdre24, a essayé à son tour de résoud
ugement qui en ordonnait la suppression, soit que, pour s’épargner de nouveaux ennuis, Phèdre ait trouvé bon de ne pas les maint
de nos jours, dans la presse quotidienne, figurent sous la rubrique : Nouvelles et faits divers. C’est là ce qu’on trouve dans le
les calmes loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’écrire de nouveaux ouvrages et notamment de publier la loi des Wisig
nne. » Il les refusa et retourna au barreau. Tout en profitant de ses nouveaux loisirs pour répandre sur l’antiquité de nouvelle
en profitant de ses nouveaux loisirs pour répandre sur l’antiquité de nouvelles lumières, il ne se désintéressa pas des événement
uriosité. L’été qui suivit la date de cette lettre, faisant un voyage nouveau en Suisse, je passai par Berne, et, m’étant rendu
en était pas ainsi ; car, en 1812, Adry lui-même, dans son Examen des nouvelles fables de Phèdre, indique qu’il est dans les main
e Poeta ad Particulonem devient, dans ce livre d’abord interrompu, un nouveau prologue, par lequel Phèdre, après avoir quelque
, ne permettent pas de la considérer comme le commencement d’un livre nouveau . Les éditeurs l’ont en général si bien compris qu
mination, et qu’il ne peut davantage résister au désir de composer de nouvelles fables. Il s’excuse de manquer à la parole donnée
rocuré les moyens de fixer leur opinion sur l’authenticité des fables nouvelles . Section II. Manuscrit de Reims. § 1er.
re au président de Thou, Rigault, pour la mettre en harmonie avec son nouveau travail, modifia les termes de la première phrase
a bibliothèque du roi, M. de Foncemagne103, pria de même Dom Vincent, nouveau bibliothécaire de Saint-Remi, de lui adresser un
ou, et il ne s’est même pas préoccupé de reproduire toutes les leçons nouvelles qui lui étaient révélées. Gude, au contraire, ver
ligne ne se terminait pas à la fin de chaque vers, et que chaque vers nouveau était sans interruption écrit à la suite du précé
tait appuyée sur l’autorité des Bénédictins eux-mêmes, qui, dans leur Nouveau Traité de diplomatique, s’exprimaient ainsi114 :
Le manuscrit de Phèdre passa dans les mains de la reine Christine. Ce nouveau changement de maître le fit appeler Schedæ regiæ.
artageant probablement la même incertitude, Adry, dans son Examen des nouvelles fables de Phèdre, écrit en 1812, disait : « Il a
plus de la deuxième moitié du premier livre ». Il y a là deux erreurs nouvelles  : d’abord l’écriture du manuscrit démontre qu’il
uvre. Il se contenta d’allonger sa préface, et, négligeant les fables nouvelles , de signaler les variantes qu’offraient les ancie
il aurait peut-être songé à compléter le texte des trente-deux fables nouvelles  ; mais il ne put jouir des loisirs qu’il rêvait.
ou une copie de cette dernière, y trouvant nécessairement les fables nouvelles , il y aurait fait quelque allusion. Or, il n’en d
roit Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’il contenait de nouvelles fables de Phèdre, et ce fut lui qui fit cette déc
ent découvert le trésor que renfermoit le manuscrit, je veux dire les nouvelles fables. Gargiulli avoit à peine copié les premièr
tions de Jannelli, que Cassitto ne prit pas lui-même copie des fables nouvelles , et que ce fut son frère qui, en venant travaille
it, Cassitto, à la fin de l’année 1808, publia les trente-deux fables nouvelles que contenait le manuscrit. C’est une édition in-
eur de curiosité bibliographique. Avant cette première apparition des nouvelles fables de Phèdre, l’abbé Andrès, ignorant à quell
et de démontrer que Phèdre était bien l’auteur des trente-deux fables nouvelles . « Elle est, dit Ginguené, divisée en deux chapit
n argument propre à établir que Phèdre était bien l’auteur des fables nouvelles . Dans un premier chapitre qui a pour titre ces mo
poque. Voici maintenant quel intérêt offrait, pour l’authenticité des nouvelles fables, la fixation de l’âge de Pétrone. Il avait
se souvient, rem sua memoria factam. Or, dans la quinzième des fables nouvelles , le même événement est présenté, suivant Jannelli
ontant à quelques années, per aliquot annos. Donc l’auteur des fables nouvelles est bien, d’après lui, contemporain de Pétrone, e
on bien positive. Aussi, quand j’examinerai l’authenticité des fables nouvelles , n’en tirerai-je aucun argument. Mais j’aime à re
uvelle édition qui ne contenait que les fables de Phèdre anciennes et nouvelles . Mais elles n’offraient plus de lacunes, et ses c
u’il fût las des lenteurs de l’Imprimerie royale, il avait confié son nouveau travail à l’imprimeur même auquel, dix-huit mois
me lu, qu’avant lui d’Orville et Andrès y avaient remarqué les fables nouvelles , et que, quant à les avoir attribuées à Phèdre, q
en aurait été capable ; car il avait, dans la publication des fables nouvelles , pris pour des vers de Phèdre ce qui n’était que
lument insuffisantes ; Que, dans la première édition de Cassitto, les nouvelles fables sont en désaccord avec le manuscrit non se
n, après examen très attentif du manuscrit et spécialement des fables nouvelles , les lettres en ont été trouvées intactes dans le
à Naples, vers le mois d’avril 1812, sous forme de conversations, un nouveau volume intitulé : Cataldi Jannellii  | regiae Ne
enticité, et partout, dès l’année 1812, on s’empressa d’en publier de nouvelles éditions. Adry en cite trois, publiées à Paris au
, en 42 pages sans la préface, ne porte que le texte latin des fables nouvelles . Elle a été imprimée chez Crapelet et porte pour
e divise en deux parties : la première, contenant le texte des fables nouvelles , et la seconde, celui des anciennes. Les unes et
nt 23, comprend la traduction en vers italiens des trente-deux fables nouvelles , leur texte latin en regard, la traduction frança
es à la suite de chacune d’elles. Le frontispice est ainsi formulé : Nouvelles Fables | de Phèdre | traduites en vers italiens  
ars 1812, Ginguené n’hésite pas à affirmer que les trente-deux fables nouvelles « sont réellement de Phèdre et ne peuvent être qu
regard du titre, une note manuscrite ainsi conçue : « Voir Examen des nouvelles fables de Phèdre, Paris, Egron, 1812, in-12. L’au
et Tubingæ,  | apud J. G. Cottam, 1812 179. Les années suivantes, de nouvelles éditions continuèrent à être publiées. Mais je m’
scrit. Pour se faire une idée exacte sur l’authenticité des fables nouvelles , il faut avoir vu les manuscrits qui les renferme
a : 1º Trente-deux fables anciennes, ci 32 2º Trente-deux fables nouvelles , ci 32 3º Trente-six fables d’Avianus, ci 36
a fait à l’égard des fables anciennes, il a dû le faire à l’égard des nouvelles , et que, si nous devons nous féliciter qu’il nous
à Pirrho Perotti. Ensuite viennent les fables de Phèdre anciennes et nouvelles , celles d’Avianus et les poésies de l’archevêque
a l’épître à Veltrius, la dédicace au neveu de Perotti, les 32 fables nouvelles et les mots, qui, extraits du manuscrit Vatican,
dans laquelle il avait fait figurer, d’après Jannelli, les 32 fables nouvelles . La publication du conservateur de la bibliothèqu
nde, c’est-à-dire des fables postérieurement découvertes dites Fables nouvelles . Section I. Fables anciennes. De tous les ou
n Angleterre et Schrevelius en Hollande, s’inclinèrent donc devant le nouveau dogme qui leur était, pour ainsi dire, imposé san
nne fable de Phèdre que Perotti a copiée deux fois, j’y chercherai un nouveau témoignage de sa bonne foi. Or savez-vous comment
il a entendu par-là que personne parmi les Latins n’en avoit fait de nouvelles dans le genre d’Ésope, ce qui est très-vrai, Phed
mposé ses fables dans la langue de son modèle. Importateur d’un genre nouveau , il avait dû, pour le vulgariser, se servir de la
dans les écoles, avait dû moins que les Romains eux-mêmes adopter les nouvelles formes de leur langage ; Martial, qui connaissait
idérés comme entièrement conformes à la vérité. Section II. Fables nouvelles . Les fables nouvelles ont eu le même sort que
conformes à la vérité. Section II. Fables nouvelles. Les fables nouvelles ont eu le même sort que les anciennes ; elles son
à démontrer qu’aucun auteur autre que Phèdre n’a pu écrire les fables nouvelles . Je me hâte de parcourir ceux par lesquels il pré
s, des institutions et de la religion, doivent en être le reflet. Les nouvelles fables qui parlent de Jupiter, de Mercure, de Jun
us longis, etenim jam cessit Apollo247. 4º On trouve dans les fables nouvelles l’élégance, la finesse, l’habileté, la pureté et
nciennes, fait l’éloge de la littérature grecque, il traite, dans les nouvelles , les Grecs de gens loquaces. Mais, comme il a ren
autions248. 5º Comme dans les fables anciennes, on rencontre dans les nouvelles des anecdotes, telles que celle de Pompée et de s
is en scène dans les anciennes, reparaît plus souvent encore dans les nouvelles , et, hormis Phèdre, aucun fabuliste n’a recouru à
anciennes fables : Gulæque credens colli longitudinem, et dans les nouvelles on lit : Traxitque ad terram nasi longitudinem.
licite à ce qui leur semblait trop concis. De là sortit un genre tout nouveau de fables composées en prose. L’ensemble en était
u transformées. Or, comme on y retrouve les sujets de huit des fables nouvelles , il est indubitable que Phèdre en est l’auteur ;
enir253. 9º La dédicace de Perotti lui attribue d’ailleurs les fables nouvelles  : Non sunt hi mei quos putas versiculi, Sed Æsop
nt sept ou huit, que cela suffirait pour qu’il eût contenu les fables nouvelles . Enfin, soit par l’injure du temps, soit par l’au
l’auteur. De tout cela il ressort que, pour lui attribuer les fables nouvelles , il n’est pas nécessaire de supposer qu’il écrivi
rguments par lesquels Jannelli avait établi l’authenticité des fables nouvelles . En les lançant dans le monde littéraire, il leur
ar la forme que par le fond259, exprima sur l’authenticité des fables nouvelles des doutes, qui jetèrent le trouble dans toutes l
ésigner Romulus. Il faudrait donc admettre que les trente-deux fables nouvelles seraient des fables de Romulus que Perotti aurait
très mal observée. Il en résulte que, si, au lieu de lire les fables nouvelles dans la première édition de Cassitto, Heyne les a
clusivement on ne trouve personne qui ait été capable de composer les nouvelles fables ». Mais, pour démontrer qu’avant Perotti d
é qu’il lui reproche ; 6º Après avoir ainsi passé en revue les fables nouvelles , Adry critique la réponse faite par Cassitto aux
et qu’ils n’ont pas pris la peine « de lire attentivement les fables nouvelles  ». Cette manière de voir toute hypothétique n’a p
a pas même besoin d’être réfutée. 8º En définitive, sur les 32 fables nouvelles il n’en voit que douze qui soient, à proprement p
de son opuscule, d’affirmer que Perotti « n’a dit nulle part que les nouvelles fables fussent de Phèdre ». Cette affirmation me
que M. Adry dans la lecture de Phèdre n’a pu se montrer favorable aux nouvelles fables publiées en Italie. Son opinion est partag
me édition de Phèdre, Gail, faisant précéder d’une préface les fables nouvelles , y déclarait qu’il n’osait ni les refuser ni les
u’Adry a pris le parti le plus sage, « en examinant toutes les fables nouvelles les unes après les autres et en prononçant sur ch
ngelo Maï. En 1831, en publiant, d’après le manuscrit du Vatican, les nouvelles fables de Phèdre, il n’a manifesté aucun doute su
fiés de fable vi, la preuve que Perotti n’est pas l’auteur des fables nouvelles . Il considère ces deux vers comme l’épimythion d’
é interposés plusieurs autres poèmes263. » L’authenticité des fables nouvelles ne parut pas plus douteuse à Orelli ; il remarque
alie et en Suisse, malgré l’attaque d’Adry, l’authenticité des fables nouvelles avait été acceptée. Mais en Allemagne la chose av
pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité des fables anciennes, les nouvelles aient dû inspirer moins de confiance encore. Auss
838, on voit, à Bautzen, Dressler reconnaître si bien dans les fables nouvelles la main de Phèdre qu’il en fait un livre VI266. J
ésite pas en 1847 à proclamer en ces termes l’authenticité des fables nouvelles  : « Je n’ai jamais douté, quant à moi, dit-il, qu
critiques qui n’ont pas voulu reconnaître la main de Phèdre dans les nouvelles fables ont cité, comme preuves principales, les p
changements de Perotti. Cependant le dessein et l’exécution, dans ces nouvelles fables, ne peuvent appartenir qu’à Phèdre268. »
ection de l’Epitome de Perotti, l’authenticité des trente-deux fables nouvelles considérées en elles-mêmes ne peut pour les conna
gure aussi juste qu’expressive, employée par M. L. Müller, les fables nouvelles ressemblent aux fables anciennes, comme un œuf re
ns un groupement séparé, distingué celles qu’on est convenu d’appeler nouvelles , on comprendrait qu’à chaque groupe pût être attr
u’on rencontre est la fable Simius et Vulpis, qui est la première des nouvelles  ; puis vient le fragment qui porte pour titre :
té traitées par lui de la même manière. Ainsi aux anciennes comme aux nouvelles il a enlevé le titre, qui, n’exprimant par lui-mê
ue fable la moralité et la traduisant en prose, il en a fait un titre nouveau , destiné à remplacer celui qu’il avait supprimé.
ormes, se trouvent dans son manuscrit les fables soit anciennes, soit nouvelles , on demeure convaincu qu’elles ont une origine co
devraient contester à Phèdre les fables anciennes aussi bien que les nouvelles . Les unes et les autres auraient dû nécessairemen
ncontestablement à Phèdre et des fables d’Avianus, on fait des fables nouvelles un troisième groupe et qu’on l’attribue à Perotti
qu’on me dise si l’on croit encore que Perotti a pu écrire les fables nouvelles  ! Ce n’est pas tout ; le manuscrit de Perotti me
particulière de chacune d’elles. Il prend la même peine pour l’ïambe nouveau . Puis il conclut en observant que le vers ïambiqu
mis que je prévois. « De ce que Perotti n’est pas l’auteur des fables nouvelles , il ne s’ensuit pas, me dira-t-on, qu’on doive en
conclusion, c’est que, pour attribuer à Phèdre les trente-deux fables nouvelles , il n’est pas nécessaire de supposer que, contrai
tenant, en dehors des particularités qu’ils présentent, je cherche de nouveaux éléments de conviction, je n’ai encore que l’emba
modèle. Au contraire, si l’on regarde de quoi se composent les fables nouvelles , on voit que sur les trente (je dis sur les trent
nos jours, remplissent dans les journaux les colonnes consacrées aux nouvelles diverses ; c’est ainsi qu’il raconte le meurtre i
es de celles de Phèdre les laissent de côté. Au contraire, les fables nouvelles nous offrent des récits semblables : tels sont, p
u’il avait empruntées au poète romain. Lors même qu’aucune des fables nouvelles ne se rencontrerait dans la collection de Romulus
e compilateur a négligées ; si au contraire on voit que plusieurs des nouvelles ont indirectement servi de modèle au plagiaire, a
ossible. Or, que l’on compare, et l’on remarquera que les huit fables nouvelles , qui dans les éditions sont intitulées : De Scrof
de leurs éditions de Phèdre ils n’ont pas cessé de publier les fables nouvelles à la suite des anciennes, mais qu’ils ont encore
à la suite des anciennes, mais qu’ils ont encore continué à faire des nouvelles des éditions spéciales, qui sont en quelque sorte
èrement dissipés, et dans les éditions du fabuliste romain les fables nouvelles sont placées à la suite de celles de Gude, quelqu
a vie de Phèdre par Schwabe et le texte latin des fables anciennes et nouvelles . 1831. Phædri Aug. lib. fabulæ Æsopiæ. P
, typis Vaticanis. In-8º. Ce vol. contient, p. 278-314, les 32 fables nouvelles de Phèdre. 1832. Phædri fabula nova xxxi
e 144 pages, contenant les fables anciennes de Phèdre, une partie des nouvelles et les Publii Syri et aliorum veterum sententiæ.
od pvlchrvm est in Phædro, le texte des fables de Phèdre anciennes et nouvelles , les 34 fables restituées par Gude et par Burmann
euilles un sixième. 1847. Fables de Phèdre tant anciennes que nouvelles publiées par Angelo Maï et les fables corresponda
Teubneri. In-18. Ce recueil de poésies latines contient les 32 fables nouvelles . 1870. Phædri, etc. Mit einem Wörterbuch
e. In-8º de 96 pages contenant les fables anciennes et vingt-deux des nouvelles . 1882. Fables de Phèdre. Nouvelle édition
aris, 1º C. Joyant, 2º Tardieu-Denesle et Cie . In-8º de 18 feuilles. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
n en vers français des fables complètes de Phèdre, et des trente-deux nouvelles fables publiées d’après le manuscrit de Perotti ;
In-12 de 8 feuilles 5 sixièmes. 1827.     Fables anciennes et nouvelles de Phèdre, traduites en français avec le texte en
le édition adaptée à celle de Brotier, augmentée de la traduction des nouvelles fables attribuées à Phèdre, et suivie des fables
chette, et Limoges, Ardant (1re édition, 1819). In-12 de 11 feuilles. Nouvelles Fables attribuées à Phèdre, latin-français. Tradu
ii-112 pages. 1860.     Traduction en vers français des хххii nouvelles fables attribuées à Phèdre, d’après le manuscrit
In-18 de viii-184 p. 1881.     Fables de Phèdre anciennes et nouvelles , éditées d’après les manuscrits et accompagnées d
tin, la traduction en vers italiens des fables de Phèdre anciennes et nouvelles . Delle favole Esopiane di Fedro Liberto di August
es anciennes, des fables restituées par Gude et Burmann et des fables nouvelles . 1840.     Favole Esopiane exposte in var
ontenant (p. 87 à 116) la traduction en vers italiens des trente-deux nouvelles fables de Phèdre. 1841.     Le Favole di
a come nell’edizione Torinese, MDCCCXXXVIII, celle de huit des fables nouvelles . § 6. — Traductions illyriennes. 1813.
tive qui me fournit aujourd’hui les moyens d’éviter, en l’étudiant de nouveau , les inévitables erreurs de détail, que, faute de
15, 16, 17, 18, 19 et 20. La quatrième est la mise en prose d’une des nouvelles . Enfin le livre III et dernier embrasse 44 fables
, 26, 27, 31, 32 et 44. Il y en a, en outre, 7, auxquelles les fables nouvelles de l’affranchi d’Auguste ont servi de modèle ; ce
mitif, qui ne correspondent à aucune de celles de Phèdre anciennes ou nouvelles , sont au nombre de 32. Ce sont celles qui, dans l
issembourg : Hæc tibi Æsopus narrat qui me non intelligis. Les fables nouvelles , dont il y a cent ans personne ne soupçonnait l’e
s fables de l’Æsopus ad Rufum, puis-je, en la prolongeant, obtenir un nouveau résultat et parvenir à la reconstitution certaine
je l’ai fait assez ressortir pour qu’il soit superflu d’y ajouter de nouveaux arguments, et je m’en abstiens. Restent les appr
dernier, à celui du Romulus ordinaire que j’ai eu recours. Établir un nouveau parallèle entre les mêmes éléments serait refaire
que j’en ai déjà fait connaître, il me paraît superflu d’en parler de nouveau . La description que je viens de faire sommairemen
atione et signalée par Hain a été pour moi un nouvel indice et m’a de nouveau démontré que l’édition de 114 feuillets par lui m
achures, qui dans ce titre marquent la fin des lignes, fournissent un nouveau moyen de distinguer cette édition de la précédent
ans les titres courants des feuillets qu’elles occupent, je relève de nouvelles fautes : ainsi les feuillets p. vii et p. viii au
ssertations sur les quatre manuscrits de Phèdre, l’autre : Examen des nouvelles fables, et du texte de ces fables restauré par Ja
dent Esopo | mit irem Register. Autrement dit : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimicius, qui so
n falblen (sic) von Rimicio , etc. En français : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimicius. » Fol
ieilles fables courantes que l’on attribue à Ésope, et commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimitius, que l’
me portrait. Fol. 2 a. — Le commencement de la page est occupé par un nouveau titre général ainsi formulé : Cy cōmence le liur
s sont issues, elles deviennent, pour ainsi dire, autant de créations nouvelles . Ensuite, dérivées en partie du Romulus de Munich
coup de mots déjà vieillis ont été remplacés par des expressions plus nouvelles . J’extrais des deux manuscrits, à titre d’exemple
licit explicite quidquid liber implicat iste. 5º Bibliothèque du nouveau collège à Oxford. Manuscrit CCLXIX. Le no
ibliothèque du nouveau collège à Oxford. Manuscrit CCLXIX. Le nouveau collège à Oxford possède un manuscrit de Walther
lus ne nous sont pas parvenus tous dans leur intégrité. Tandis que de nouvelles copies en étaient faites, les premières disparais
copies en étaient faites, les premières disparaissaient ; ces copies nouvelles étaient rarement irréprochables, et de transcript
ne solution définitive, l’abbé de la Rue n’hésita pas à la traiter de nouveau . Voici en quels termes il s’exprime : « Legrand d
250 feuillets anciens, auxquels le relieur a ajouté quatre feuillets nouveaux , en parchemin comme les anciens, savoir : deux au
angiacomo. Præsidum veniâ. In-8º. 25. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles , éditées d’après les manuscrits et accompagnées d
urs que j’en fis quelques-unes. 30. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles , éditées d’après les manuscrits et accompagnées d
ue, sixième année, tome II, les p. 441 et suivantes. 89. Examen des nouvelles fables de Phèdre, qui ont été trouvées dans le ma
de l’Académie des Inscriptions ; il mourut en 1779. 104. Examen des nouvelles Fables de Phèdre, qui ont été trouvées dans le ma
de son édition du Codex Perottinus, publiée à Naples en 1809.) 148. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
iones tres. Neapoli, 1811, in-8º. (Voyez Dissertatio I, p. v.) 160. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
yez la préface, p. xiv.) 161. Voyez, dans l’édition sus-indiquée des Nouvelles Fables de Phèdre, la page xiv de la préface. 162
igne letterato Ollandese. » (Voyez le volume précité, p. 274.) 170. Nouvelles Fables de Phèdre, traduites en vers italiens par
aîné, MDCCCXII, in-8º. (Voyez préface, p. xv.) 171. Adry, Examen des nouvelles fables de Phèdre. Paris, Egron, 1812, in-18. (Voy
, 1813, in-8º. (Voyez page 295.) 174. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles , accompagnées d’une traduction littérale en vers
2. Typis Dominici Sangiacomo. Publicâ Veniâ. 177. Voyez l’Examen des nouvelles fables de Phèdre, p. 44 à 46. 178. Bibliothèque
ac ætate scripta sint. » (Voyez p. 7 de l’édition in-8º des 32 fables nouvelles publiées d’après Angelo Maï par Orelli à Zurich e
xiii. 258. Voyez Dissertatio II, pages cxiv à cxv. 259. Examen des nouvelles fables de Phèdre. Doutes sur leur authenticité. P
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
ir que toi. » En abusant ainsi le malheureux, il le décida à venir de nouveau . Quant il eut pénétré dans l’antre, le lion eut d
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
esloignées il n’y a point de certitude, et mesme que les conteurs de nouvelles proches de nous, les accroissent et les amplifien
urprist les spectateurs avecque plus de merveille ; ce qui sembleroit nouveau , s’il ne se trouvoit encore aujourd’huy quantité
/ 45