/ 28
1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
e bien estonné, il maudist tout haut sa nonchalance, et la trop bonne opinion qu’il avoit euë de soy-mesme. Mais le Renard s’en
ns s’arrester à la vaine monstre des Presomptueux, ny à la trop bonne opinion qu’ils ont ordinairement de leur Vertu pretenduë.
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
se prouve par toutes les inductions des choses crées ; par la commune opinion des hommes, par les proverbes, et par les raisons
pource que la jouyssance en est materielle, et partant, selon nostre opinion , l’excez en peut estre vicieux. C’est icy la prem
rien ne la peut subvertir que le Peché, ce qui est non seulement une opinion du Christianisme, mais encore de la Philosophie M
l’Ethique au plus haut poinct où puisse arriver ceste Science dans l’ opinion des hommes. Estant donc vray, et par nos maximes
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
perseverance doit-on attendre d’un faux Amy, qui change à tout coup d’ opinions , et comment nous sera fidele celuy qui ne le fût
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
urce qu’ils se fient les uns aux autres, et qu’ils n’ont pas mauvaise opinion de ceux avec qui ils entrent en societe ; autreme
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
relevez de condition, pour imprimer en l’ame des Peuples une pareille opinion de leur credit et de leur puissance. Ainsi voyons
ut que la vaine gloire, et une infinité d’autres Esprits que la bonne opinion d’eux-mesmes met quelquesfois aussi bas, qu’ils s
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
conseiller celles qui luy sont proffitables, il adhere lâchement aux opinions de son Malade, et crainct plustost de le mettre e
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
rent aux branches d’un arbre, et ce fut alors, que se dédisant de son opinion , il se mit à loüer ses jambes, et à blasmer ses c
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
soit que nous soyons coûpables, ou qu’ils ayent conçeu quelque fausse opinion de nous, tant y a qu’ils se plaisent quelquesfois
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
pour publier sa condemnation, et des-abuser luy-mesme les hommes de l’ opinion qu’ils avoient de sa saincteté.  
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
e. Encore que la pluspart des choses nous devienne precieuse par l’ opinion , et que nous desirions ardamment la possession d’
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
que c’estoit à cause de luy qu’il fuyoit, et persuadé par ceste bonne opinion de soy mesme, il se mit à courir apres ; et comme
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
les rend querelleux en compagnie, pource qu’ils veulent imprimer une opinion de leur fierté, et prevenir les esprits des homme
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
y l’effect de nostre bien-veillance. Ce qui estant hors de doute en l’ opinion de tout le monde, ce seroit destruire la nature d
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
ont pris la moindre part à leur intelligence ; Et comme en matiere d’ opinions , il ne faut pas se laisser charmer aux specieuses
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
’un corps à l’autre jusques à la fin des siecles, donna sujet à ceste opinion , et fist croire à beaucoup de gents, que les espr
t qu’elle semble inarticulée. On dit que nostre Esope estoit de ceste opinion , et qu’il étoit l’homme de son temps qui sçavoit
s Cieux racontent la gloire de leur Createur, peut contribuër à ceste opinion , avec une infinité d’autres preuves tirées de l’E
ulté de discourir. Mais c’est trop nous arrester à la preuve de ceste opinion . Venons maintenant à la refutation des exemples.
eable question. D’ailleurs, il estoit à propos d’aller au devant de l’ opinion de ceux, qui pouvoient dire qu’Esope n’eust jamai
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
ray, que les vrayes amitiez, comme dit Aristote, estant fondées sur l’ opinion de la Vertu, l’on n’en sçauroit faire de veritabl
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
r la septante-quatriesme Fable. Ceste Fable me met en l’esprit une opinion que j’ay presque tous-jours euë touchant les Anci
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
les premiers Instituteurs de la Noblesse Françoise estoient bien de l’ opinion d’Aristote et des Romains, quand ils mettoient la
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
d’une autre espece de douleur, à sçavoir de celle qui se fonde sur l’ opinion  : car il faudroit vivre en un siecle plus modeste
grande jeunesse opposée aux vieilles années de son Mary, entretient l’ opinion de tout le monde, qui n’en peut avoir que de sini
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
car à force d’estre enyvrez par leurs complaisances, ils prennent une opinion si excessive de leurs propres merites, qu’il leur
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
qui semblent faire gloire de mespriser autruy, enchantez par la bonne opinion qu’ils ont d’eux-mesme, ne sont dans le monde que
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
qu’il soit hors de toute proportion ; encore est-il necessaire, à mon opinion , qu’il se rapporte à la gloire de Dieu, ou à l’ut
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
respondre, ny à objecter. Premierement elle s’advoüe moins noble à l’ opinion du monde, que n’est la Mouche. Mais elle n’est pa
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
il faut necessairement qu’en une question de faict, de deux diverses opinions il y en ait tous-jours une de fausse, et que bien
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
ne contre moy ». Ces paroles du Roy leur firent à l’instant changer d’ opinion , et dire les uns aux autres, nous n’en sçavons ri
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
, principalement de la divine et admirable patience ? Les voix et les opinions des hommes sont-elles quelque chose au prix des j
27 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
rendant justice à tous ceux dont il avait à exposer ou à discuter les opinions . Son ouvrage sera désormais la base de tout ce qu
qui a dû coûter si cher à préparer et à publier ; c’est évidemment l’ opinion du public compétent à laquelle il attache du prix
roles pour qu’elles soient regardées comme une manifestation de cette opinion , nous serons heureux, en exprimant à M. Hervieux
monie. Sur la vie de l’auteur, comme sur ses œuvres, ils ont émis les opinions les plus divergentes. 1º Véritable nom de Phèdre.
re. — Le lieu de sa naissance, quelles qu’aient été les divergences d’ opinion , ne peut pas être davantage l’objet de la moindre
ses. Schwabe, qui, en général, se contente de faire un choix dans les opinions de ses devanciers, accepte celle du Père Desbillo
savants ont voulu attribuer son affranchissement à Tibère. Mais leur opinion est en contradiction avec le texte même de ses fa
persécuteur le mal pour le mal. Je ne saurais partager entièrement l’ opinion de Scheffer. Phèdre, en se faisant fabuliste, n’a
avaient éveillé les susceptibilités de Séjan. Je ne partage pas cette opinion , et je crois qu’aucune des fables qui l’avaient i
ion de savoir à quelle époque il écrivit et publia ses cinq livres. L’ opinion la plus généralement admise par les critiques, c’
it le désigner47. Mais je ne m’arrête pas à cette petite divergence d’ opinion , et je reviens au Père Desbillons. Suivant lui, l
os et ne s’occupa pas de la publier. Après avoir analysé les diverses opinions des critiques, je vais maintenant formuler la mie
iste latin s’est assigné, ne l’a pas empêché d’avoir de sa personne l’ opinion la plus haute qu’un homme puisse concevoir de lui
r suivant. L’hiver se passa, et M. Le Peletier ne fit pas connaître l’ opinion du savant attendu. M. Berger de Xivrey, rendu plu
malgré ma déférence pour l’auteur, je suis obligé de m’écarter de son opinion . Sans doute rien dans le manuscrit ne révèle l’ex
unes du manuscrit, je leur ai un peu procuré les moyens de fixer leur opinion sur l’authenticité des fables nouvelles. Sect
elles l’indication expresse de leur origine. Mais telle n’était pas l’ opinion d’Orelli. « Il faut tenir pour bien constant, écr
ui présente l’écriture la plus ancienne. Pour parvenir à se créer une opinion raisonnable, il faut donc, tout en tenant compte
a tête de l’abbaye de Bobio. M. Fleutelot n’a pas hésité à accepter l’ opinion du savant cardinal130, et moi-même, dans la premi
re et la plus flatteuse. Il est cependant probable, contrairement à l’ opinion de Ginguené148, qu’il n’avait pas eu, en le comme
avoir signalé quelques erreurs de détail, j’avais nettement exprimé l’ opinion que la copie du collège Louis-le-Grand n’était pa
In constitutam Petronii aetatem obiecta dissolvuntur , à réfuter les opinions suivant lesquelles Pétrone aurait vécu à une autr
es « sont réellement de Phèdre et ne peuvent être que de lui ». Cette opinion s’était à peine formée qu’Adry vint l’ébranler. E
12. L’auteur, M. Adry, conteste l’authenticité de ces fables et cette opinion a prévalu. » Cette note n’est pas exacte ; mais j
respecté. Je ferai seulement observer que cette épigramme confirme l’ opinion que j’ai émise, lorsque j’ai dit que le recueil d
On le voit, Schryver ne produit qu’un seul argument à l’appui de son opinion  : il se base uniquement sur la déclaration de l’a
es plus lettrés de son temps. La conclusion de tout cela, c’est que l’ opinion de ceux qui attribuaient à Perotti les fables de
n des plus grands érudits de son temps, J. Christ reprit l’audacieuse opinion de Schryver. Dans une thèse où la science et l’im
ommentaire sur le Chariton d’Aphrodise publié en 1750221, combattit l’ opinion de Christ. En France, un jeune auteur que la mort
te224. Quant au Phèdre cité par Martial, Ziegler, en 1788, adoptant l’ opinion professée au siècle précédent par Farnaby et Schr
dans son langage une explication satisfaisante. Il suffit d’adopter l’ opinion fort rationnelle de Gellert, qui pense que, si Sé
e Martial et d’Avianus reprennent toute leur force. Contrairement à l’ opinion de Christ, partagée par Gesner et Marcheselli, Sc
istoire de la fable ésopique 241 qu’il a, en la motivant, indiqué son opinion . Il admet en partie ce que les discussions antéri
erme, la théorie éclectique hardiment jetée par M. du Méril entre les opinions les plus opposées ? C’est sans la moindre hésitat
u style de Phèdre, et, au lieu de le démontrer, il se borne à citer l’ opinion suivante, que Heyne formulait lui-même, au mois d
les doutes sur ce qu’elles en diffèrent. 4º C’est, suivant Adry, une opinion hasardée que de prétendre « que depuis Phèdre jus
s où le critique aperçoit cette contradiction. Le fabuliste donne son opinion sur la vertu des femmes ; bien des gens penseront
es autres. 7º En ce qui touche les éditeurs français qui ont adopté l’ opinion de Cassitto et de Jannelli, il les traite un peu
le même effet. Il n’en est pas moins vrai que, pendant quinze ans, l’ opinion d’Adry s’imposa aux érudits. En 1826, dans l’édit
pu se montrer favorable aux nouvelles fables publiées en Italie. Son opinion est partagée par tous les amis de la bonne littér
ppelle un autre des fables anciennes, il n’hésite pas à combattre son opinion . « Il me paraît, dit-il, en parlant de cette fabl
pas des vers entiers des Géorgiques transportés dans l’Énéide ? » L’ opinion d’Adry a encore moins touché le cardinal Angelo M
rendre la peine d’étudier la question ; cela est regrettable, car son opinion aurait été d’un grand poids. Heureusement son abs
intitulé : De Phædri et Aviani fabulis libellus 294, a exprimé cette opinion qu’aux premiers siècles du moyen âge, toutes les
de même de Hauptmann304. Eschenburg, plus clairvoyant, se rallia à l’ opinion de Gude. Enfin celle qui prévalut au xviiie  sièc
et imprimés, on voit qu’ils sont plutôt contraires que favorables à l’ opinion qui fait servir les mots de civitate Attica à la
oncordance. Il devient dès lors très facile d’apprécier la valeur des opinions qui ont été exprimées sur l’origine des trois col
our origine. Voici en quels termes, dans sa préface, il exprime cette opinion  : « Je ne puis passer sous silence, pendant que j
dans la Préface de sa publication du manuscrit Burnéien, exprimé son opinion sur les deux collections de Nilant et avoir bien
nt affirmé. Cette affirmation, qui n’était que l’expression d’une des opinions admises en Italie au moyen âge, était encore, au
qui sont d’un autre avis se complaisent plus tranquillement dans leur opinion , et continuent, s’il plaît au ciel, à croire que
s mœurs405. » De toutes les citations qui précèdent il ressort que l’ opinion de ceux qui reportaient à Salon de Parme l’honneu
nt les fables de l’Anonyme composées dans le même rythme. Mais cette opinion trouva peu de prosélytes, et le champ des hypothè
e Mosellanus et le précepteur de J. Pflugius en Italie412. Adoptant l’ opinion que, sans y croire, Gyraldi avait signalée, March
orme et le sens du mot Garritus me portent à penser, avec ceux dont l’ opinion est rappelée par le glossateur lui-même, que ce m
ur j’eus à me faire une idée, je ne partageai pas sa confiance ; ni l’ opinion générale qui s’était formée, ni les raisons que j
ins fantaisiste ; il ne sera plus possible, par exemple, d’accepter l’ opinion de Christ, qui voulait voir dans les fables élégi
t, et, comme toujours, ils ont trouvé des arguments à l’appui de leur opinion . Ainsi ils ont remarqué que l’épimythion de la se
le même sentiment429 ; enfin Schwabe, qui en général se conforme à l’ opinion définitivement admise, pense, comme eux, que ce q
que ce qu’il y a de plus sûr, c’est de se tenir à égale distance des opinions extrêmes. « Avouons, dit-il, que l’anonyme marche
t reproche430. » Cette appréciation moyenne, qui résume l’état de l’ opinion au commencement de ce siècle, est ensuite adoptée
és ensemble bien assises Et ansinc vraye conclusion. Yceste est vraye opinion . Mais aucunement verité Ne puet engondier fausset
en trois livres, qui trahit leur origine et qui montre que, suivant l’ opinion adoptée, elles sont bien dérivées du Romulus ordi
nsidérer le Romulus de Vienne comme en étant issu. Maintenant que mon opinion s’est amendée et que le texte qui me semblait êtr
s mal fondées et qui furent sans succès. Il faudrait d’ailleurs, si l’ opinion de l’éditeur avait quelque poids, placer Marie mê
servations de l’abbé de la Rue n’ont pas découragé les partisans de l’ opinion émise par Legrand d’Aussy : M. P. Chabaille n’a p
re fausse. Si l’on acceptait sur la personnalité du comte Guillaume l’ opinion émise par Legrand d’Aussy, il faudrait admettre q
« A. G. » Un second bibliothécaire, en 1862, a au-dessous exprimé une opinion différente dans deux notes en anglais, dont la pr
isistes de M. Oesterley, je ne dois pas passer sous silence une autre opinion que M. Gaston Paris a formulée sur l’origine du D
s troubler sa satisfaction et je me borne à examiner la valeur de son opinion sur la communauté d’origine des deux traductions
s Wright lui assigne le xiiie  siècle, et pour ma part je crois cette opinion très admissible. § 2. — Manuscrits des fables
fum, avait dû respecter davantage le texte du fabuliste romain. Cette opinion est corroborée par la leçon du manuscrit de Wisse
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
par la conqueste de la toison d’or où le Nautonnier Tiphis fût à leur opinion le premier de tous les hommes, qui osa se commett
/ 28