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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 113 » pp. 309-309
contenu du chariot, et ne laissèrent pas le dieu aller chez d’autres peuples . Plus que tout autre peuple les Arabes sont mente
issèrent pas le dieu aller chez d’autres peuples. Plus que tout autre peuple les Arabes sont menteurs et trompeurs ; leur lang
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
pour te verser à boire l’eau de la Mer. Alors quand tu verras tout le peuple assemblé à ce spectacle, apres que tu seras assis
emeuré d’accord de boire toute l’eau de la Mer, t’addressant alors au Peuple  ; “Hommes Samiens”, diras-tu, “il n’est pas que v
que par ce moyen la convention seroit rompuë. Apres donc que tout le Peuple se fût assemblé au rivage de la Mer, pour voir l’
dit et executé de poinct en poinct ce qu’Esope luy avoit enseigné, le Peuple s’en estonna, et le loüa grandement. Ainsi l’esco
nulle : ce que Xanthus luy accorda tres-volontiers, à la requeste du Peuple .
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
la premiere fin de l’establissement des Roys a esté pour contenir les Peuples en l’observation de ce qui est honneste et vertue
e des inconvenients qui s’y rencontrent, et du zele devotieux que les Peuples ont à certaines familles ; comme l’eurent jadis l
oins, en matiere d’eslection, n’a pas laissé d’estre commune à divers Peuples du monde, comme aux Agrigentins, lors qu’ils mire
utez inoüyes. Par où l’on peut voir, qu’il arrive assez souvent à des Peuples Electifs, d’eslever à la domination des Roys dépr
d’eslever à la domination des Roys dépravez, qui vivants avecque leur Peuple , comme s’il les devoit tousjours chasser, mettent
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
t, disoit-il, que l’Attique Auroit de reproches de luy ! Comment ! ce peuple qui se pique D’estre le plus subtil des peuples d
de luy ! Comment ! ce peuple qui se pique D’estre le plus subtil des peuples d’aujourd’huy, A si mal entendu la volonté suprêm
eroient plus les effets de leur Pere ; Ce que disoit le Testament. Le peuple s’étonna comme il se pouvoit faire Qu’un homme se
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
t la pluspart du temps la servitude à la liberté ; comme fit jadis le Peuple Hebrieu. La Nature l’ayant donnée à ceux du premi
es moderateurs ne furent eslevez au commencement, que pour retenir le peuple dans l’observation des Loix. Mais ayant pris gous
es choses on peut inferer, que c’est une pernicieuse avanture pour un Peuple , de changer non seulement de forme, mais encore d
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XII. Le Soleil et les Grenoüilles. » p. 314
XII. Le Soleil et les Grenoüilles. Aux noces d’un Tyran tout le peuple en liesse Noyoit son soucy dans les pots. Esope s
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IV. Les deux Taureaux et une Grenoüille. » p. 485
Grenoüille en soûpiroit. Qu’avez-vous, se mit à luy dire Quelqu’un du peuple croassant. Et ne voyez-vous pas, dit-elle, Que la
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
ité des Dieux que par feinte, affin de s’accommoder à la brutalité du Peuple . Car s’ils eussent veritablement tenu leurs Jupit
randeur ? Combien y a-t’il de Partisans qui se nourrissent du sang du Peuple  ? Combien de Corsaires qui appellent de bonne pri
t qu’à ce besoin ils se servissent des biens qui frappent l’esprit du Peuple d’un certain respect accompagné de docilité ; tan
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
aux malicieuses finesses du Renard, qui le fait le joüet de tout son Peuple . Je me souviens à ce propos d’avoir leu, qu’au co
fût question d’establir en châque lieu une forme de Gouvernement, les Peuples jetterent d’abord leurs yeux sur les belles perso
vec esclat, l’imagination de ceux qui les considerent. Quand donc les Peuples estoient encores grossiers, et mal policez, ils d
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
peut connoistre au discours que j’avance :
 Chacun des trois fait un peuple fort grand ;
 Le Createur en a beny l’engeance.

11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
Pb 63 Pc 30 Pg 40 Ma 44 Ca 54. L’orateur Démade parlait un jour au peuple d’Athènes. Comme on ne prêtait pas beaucoup d’att
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
s coy.
 Jupin en a bien-tost la cervelle rompuë.
 Donnez-nous, dit ce peuple , un Roy qui se remuë.
 Le Monarque des Dieux leur
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165
e. Mais la perte la plus grande Tomba presque en tous endroits Sur le peuple Souriquois. Sa déroute fut entière : Quoy que pus
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
, que s’il eût apporté la meilleure nouvelle du monde. Dequoy le menu peuple irrité sur la croyance qu’il eût que ce n’estoit
destourna par mesme moyen et ses bourreaux et ses spectateurs. Car le peuple interessé pour sa perte particuliere, et generale
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
de leur côté ;
 Les tributs, les imposts, les fatigues de guerre. 
Le peuple hors des murs estoit déja posté.
 La pluspart s’e
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
La beste scelerate
 A de certains cordons se tenoit par la pate.
 Le peuple des Souris croit que c’est châtiment ;
 Qu’il a f
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
estoit proposé par un Meschant, ils s’adviserent de le faire dire au peuple par un homme de bien, comme ne voulant pas que la
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
Medecin, luy fust presenté à combattre, pour donner du passe-temps au Peuple . Mais il n’y eust celuy de l’Assemblée qui ne fût
applaudissant de la queuë. Comme cét effect estoit extraordinaire, le Peuple en voulut apprendre la cause, de la bouche mesme
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
. Aussi est-ce de là que viennent les revoltes des Paysans et du menu peuple , à qui la Fureur met les armes à la main, et les
e pour la satisfaction des affligez ? N’est-ce pas luy qui a tiré son peuple de la servitude des Babiloniens, et du joug de Ph
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVI. Du Ventre, et des autres Membres. »
qu’ils soient oysifs aux operations manuelles, et qu’ils employent le Peuple aux labeurs mécaniques, soient pour cela moins ne
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
ue les petits qui se treuvent coûpables servent d’exemple au reste du peuple , afin de le détourner des meschantes actions, pou
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
sser de libre sous les Cieux, Commandoit que sans plus attendre, Tout peuple à ses pieds s’allast rendre ; Quadrupedes, Humain
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
ment bannis, voire quelquesfois mis à mort par l’ingratitude de leurs Peuples . Les hommes ne peuvent doncques mieux faire que d
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
e mesme ou de pire nature qu’elle. Les Medes ne vengerent-ils pas les peuples d’Orient de la tyrannie Assirienne, et les Perses
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
encontrez devers l’Aquilon, affin d’aller conquerir les Estats de ces Peuples esloignez de nous, pour en avoir esté destournez
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
public, pour conclure la mort des Innocents avec la satisfaction des Peuples .  
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
ntage. Vous avez une accortise merveilleuse à gagner les volontez des peuples , un profond jugement à penetrer dans les secrets
ation ; et qui sçavent parfaitement comme vous l’Art de gouverner les Peuples  ; Ce qu’asseurement ils ont appris, ou de l’Exper
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
mesme, ils sont, ou amis, ou ennemis, ou indifferents aux Roys et aux Peuples , dont ils font mention. Estant amis, ils nous ser
ans ses escrits. Que s’il trouve une occasion de faire comparaison du Peuple Romain avec un autre, il luy cede à l’instant la
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
ceux qui ont appauvry les autres, et qui se sont maintenus du sang du Peuple , ne laissent pas de se treuver au dernier periode
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
s me fassiez donner ma liberté, et la permission de parler ». Tout le peuple s’escria pour lors d’un commun accord : « ô Xanth
ant le Preteur, « Asseurément », luy dit-il, « si tu ne veux obeyr au peuple , j’affranchiray Esope tout maintenant, et il sera
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
ent librement de la despense pour en avoir, et qu’il n’y ait point de peuples qui les prisent plus que font les François, les p
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
tre la plus suspecte ? Ce fut dequoy se treuverent mal jadis tous ces peuples , qui se jetterent imprudemment, ou en la protecti
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
es. En effect, la pluspart de ceux qui ont entrepris d’affranchir les Peuples de la tyrannie, l’ont fait par le moyen des Lettr
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
ment beau. Si l’un le peut rendre ridicule et desagreable aux yeux du peuple  ; l’autre en recompense luy peut acquerir la bien
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
tre legitime possession. Tellement que le droict de la nature, et des peuples , nous permet de le demander, et mesme il nous y c
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
acquerir de l’esclat en leur compagnie, et de jetter dans l’esprit du peuple autant de respect qu’il en a pour les plus qualif
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
nuées de Sauterelles, que le Soleil mesme en est obscurcy, et tout le peuple contrainct d’abandonner le pays. Quant à la Venge
38 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
s mon goust, je sçaurois où buter ;
 Mais j’ay les miens, la Cour, le peuple à contenter. 
Malherbe là-dessus. Contenter tout
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
y-cy courant fortune d’estre pris, à cause de la soudaine esmotion du Peuple , se jetta dans une ruë auprés de celle où estoit
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
u que s’il avoit à se precipiter à une mort certaine, pour ne voir le Peuple Romain en subjection, il le pouvoit faire beaucou
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
âges, nous le pouvons encore dire des nations. Car ordinairement les Peuples brusques et determinez font de plus grandes perte
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
imitateurs, qu’en quelque âge que ce soit, il ne se trouvera point de Peuple bien policé, qui n’ait hazardeusement traversé le
s, et des homicides que l’on a veu commettre à milliers. Tesmoins les Peuples du nouveau monde, qui n’ont que trop éprouvé à le
aut pas mieux que nostre luxe. Puis j’allegueray l’exemple des autres Peuples qui ont esté beaucoup mieux policez, que nous ne
mépris des vanitez de la terre ; Elle les des-enchantera des abus du Peuple  ; Elle arrachera toutes les espines de leur vie,
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
qu’on fit courir autresfois, qu’une Montagne devoit enfanter, tout le Peuple y accourut et se mit à l’entour avecque frayeur,
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
me pour méprisable. Que s’il a le soing de la conservation de tout un Peuple , et si l’innocente multitude releve de ses consei
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
ffect, le vray repos de leur fortune devroit consister en l’amour des Peuples , et en la tranquilité de la conscience ; Car celu
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
ontre-faire les plus relevez de condition, pour imprimer en l’ame des Peuples une pareille opinion de leur credit et de leur pu
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
son bas âge, parmy les exercices de la chasse ? A t’on jamais veu des peuples plus vertueux, que ceux qui ont fuy les delicates
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
oint de plus detestable que celle de l’Envie. Cette Furie, fatale aux peuples et aux familles, arma Cain contre Abel, Etheocle
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
ement de Lycerus : Car si tu fais un parallelle de ton Regne avec ton Peuple , il reluira comme le Soleil ; mais si tu viens à
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
archies ont eu d’ordinaire plus de Vertu, et mieux merité l’amour des Peuples , joincte à l’estime des Sages. Que si maintenant
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
çay par quel déreiglement, et par quelle liberté dénaturée. Quant aux peuples qui ont fait une particuliere profession d’estre
52 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
qu’il était devenu esclave. Mais, ils ont oublié que, l’année où ces peuples furent vaincus, César était consul à Rome et Quin
us qu’il falloit corriger, le bien qu’il falloit faire et le soin des Peuples . » Après une dernière séance tenue à Saintes, la
abord surpris de la tardive publication du volume, et, comme c’est un peuple                                          emunctæ
ue aisément : elle a été, à leur enfance, la première littérature des peuples , comme elle est aujourd’hui, à son enfance, la pr
ciens monuments de la langue sanscrite. Elle a passé ensuite chez les peuples sémitiques ; les contes arabes, qu’on peut consid
ble était un élément trop primitif pour convenir à la civilisation du peuple romain. Dans les premiers âges de son histoire el
toire elle avait été quelquefois employée : Ménénius avait raconté au peuple irrité contre le Sénat l’apologue des membres et
liaux me semblent, dans ces temps anciens, plus propres aux goûts des peuples du Nord, chez lesquels ce nom étoit fort connu416
ther. § 1. — Examen des fables. Tout se tient dans la vie des peuples . Cette maxime, vraie pour leur histoire, est égal
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