contenu du chariot, et ne laissèrent pas le dieu aller chez d’autres
peuples
. Plus que tout autre peuple les Arabes sont mente
issèrent pas le dieu aller chez d’autres peuples. Plus que tout autre
peuple
les Arabes sont menteurs et trompeurs ; leur lang
pour te verser à boire l’eau de la Mer. Alors quand tu verras tout le
peuple
assemblé à ce spectacle, apres que tu seras assis
emeuré d’accord de boire toute l’eau de la Mer, t’addressant alors au
Peuple
; “Hommes Samiens”, diras-tu, “il n’est pas que v
que par ce moyen la convention seroit rompuë. Apres donc que tout le
Peuple
se fût assemblé au rivage de la Mer, pour voir l’
dit et executé de poinct en poinct ce qu’Esope luy avoit enseigné, le
Peuple
s’en estonna, et le loüa grandement. Ainsi l’esco
nulle : ce que Xanthus luy accorda tres-volontiers, à la requeste du
Peuple
.
la premiere fin de l’establissement des Roys a esté pour contenir les
Peuples
en l’observation de ce qui est honneste et vertue
e des inconvenients qui s’y rencontrent, et du zele devotieux que les
Peuples
ont à certaines familles ; comme l’eurent jadis l
oins, en matiere d’eslection, n’a pas laissé d’estre commune à divers
Peuples
du monde, comme aux Agrigentins, lors qu’ils mire
utez inoüyes. Par où l’on peut voir, qu’il arrive assez souvent à des
Peuples
Electifs, d’eslever à la domination des Roys dépr
d’eslever à la domination des Roys dépravez, qui vivants avecque leur
Peuple
, comme s’il les devoit tousjours chasser, mettent
t, disoit-il, que l’Attique Auroit de reproches de luy ! Comment ! ce
peuple
qui se pique D’estre le plus subtil des peuples d
de luy ! Comment ! ce peuple qui se pique D’estre le plus subtil des
peuples
d’aujourd’huy, A si mal entendu la volonté suprêm
eroient plus les effets de leur Pere ; Ce que disoit le Testament. Le
peuple
s’étonna comme il se pouvoit faire Qu’un homme se
t la pluspart du temps la servitude à la liberté ; comme fit jadis le
Peuple
Hebrieu. La Nature l’ayant donnée à ceux du premi
es moderateurs ne furent eslevez au commencement, que pour retenir le
peuple
dans l’observation des Loix. Mais ayant pris gous
es choses on peut inferer, que c’est une pernicieuse avanture pour un
Peuple
, de changer non seulement de forme, mais encore d
XII. Le Soleil et les Grenoüilles. Aux noces d’un Tyran tout le
peuple
en liesse Noyoit son soucy dans les pots. Esope s
Grenoüille en soûpiroit. Qu’avez-vous, se mit à luy dire Quelqu’un du
peuple
croassant. Et ne voyez-vous pas, dit-elle, Que la
ité des Dieux que par feinte, affin de s’accommoder à la brutalité du
Peuple
. Car s’ils eussent veritablement tenu leurs Jupit
randeur ? Combien y a-t’il de Partisans qui se nourrissent du sang du
Peuple
? Combien de Corsaires qui appellent de bonne pri
t qu’à ce besoin ils se servissent des biens qui frappent l’esprit du
Peuple
d’un certain respect accompagné de docilité ; tan
aux malicieuses finesses du Renard, qui le fait le joüet de tout son
Peuple
. Je me souviens à ce propos d’avoir leu, qu’au co
fût question d’establir en châque lieu une forme de Gouvernement, les
Peuples
jetterent d’abord leurs yeux sur les belles perso
vec esclat, l’imagination de ceux qui les considerent. Quand donc les
Peuples
estoient encores grossiers, et mal policez, ils d
peut connoistre au discours que j’avance :
Chacun des trois fait un
peuple
fort grand ;
Le Createur en a beny l’engeance.
Pb 63 Pc 30 Pg 40 Ma 44 Ca 54. L’orateur Démade parlait un jour au
peuple
d’Athènes. Comme on ne prêtait pas beaucoup d’att
s coy.
Jupin en a bien-tost la cervelle rompuë.
Donnez-nous, dit ce
peuple
, un Roy qui se remuë.
Le Monarque des Dieux leur
e. Mais la perte la plus grande Tomba presque en tous endroits Sur le
peuple
Souriquois. Sa déroute fut entière : Quoy que pus
, que s’il eût apporté la meilleure nouvelle du monde. Dequoy le menu
peuple
irrité sur la croyance qu’il eût que ce n’estoit
destourna par mesme moyen et ses bourreaux et ses spectateurs. Car le
peuple
interessé pour sa perte particuliere, et generale
de leur côté ;
Les tributs, les imposts, les fatigues de guerre.
Le
peuple
hors des murs estoit déja posté.
La pluspart s’e
La beste scelerate
A de certains cordons se tenoit par la pate.
Le
peuple
des Souris croit que c’est châtiment ;
Qu’il a f
estoit proposé par un Meschant, ils s’adviserent de le faire dire au
peuple
par un homme de bien, comme ne voulant pas que la
Medecin, luy fust presenté à combattre, pour donner du passe-temps au
Peuple
. Mais il n’y eust celuy de l’Assemblée qui ne fût
applaudissant de la queuë. Comme cét effect estoit extraordinaire, le
Peuple
en voulut apprendre la cause, de la bouche mesme
. Aussi est-ce de là que viennent les revoltes des Paysans et du menu
peuple
, à qui la Fureur met les armes à la main, et les
e pour la satisfaction des affligez ? N’est-ce pas luy qui a tiré son
peuple
de la servitude des Babiloniens, et du joug de Ph
qu’ils soient oysifs aux operations manuelles, et qu’ils employent le
Peuple
aux labeurs mécaniques, soient pour cela moins ne
ue les petits qui se treuvent coûpables servent d’exemple au reste du
peuple
, afin de le détourner des meschantes actions, pou
sser de libre sous les Cieux, Commandoit que sans plus attendre, Tout
peuple
à ses pieds s’allast rendre ; Quadrupedes, Humain
ment bannis, voire quelquesfois mis à mort par l’ingratitude de leurs
Peuples
. Les hommes ne peuvent doncques mieux faire que d
e mesme ou de pire nature qu’elle. Les Medes ne vengerent-ils pas les
peuples
d’Orient de la tyrannie Assirienne, et les Perses
encontrez devers l’Aquilon, affin d’aller conquerir les Estats de ces
Peuples
esloignez de nous, pour en avoir esté destournez
public, pour conclure la mort des Innocents avec la satisfaction des
Peuples
.
ntage. Vous avez une accortise merveilleuse à gagner les volontez des
peuples
, un profond jugement à penetrer dans les secrets
ation ; et qui sçavent parfaitement comme vous l’Art de gouverner les
Peuples
; Ce qu’asseurement ils ont appris, ou de l’Exper
mesme, ils sont, ou amis, ou ennemis, ou indifferents aux Roys et aux
Peuples
, dont ils font mention. Estant amis, ils nous ser
ans ses escrits. Que s’il trouve une occasion de faire comparaison du
Peuple
Romain avec un autre, il luy cede à l’instant la
ceux qui ont appauvry les autres, et qui se sont maintenus du sang du
Peuple
, ne laissent pas de se treuver au dernier periode
s me fassiez donner ma liberté, et la permission de parler ». Tout le
peuple
s’escria pour lors d’un commun accord : « ô Xanth
ant le Preteur, « Asseurément », luy dit-il, « si tu ne veux obeyr au
peuple
, j’affranchiray Esope tout maintenant, et il sera
ent librement de la despense pour en avoir, et qu’il n’y ait point de
peuples
qui les prisent plus que font les François, les p
tre la plus suspecte ? Ce fut dequoy se treuverent mal jadis tous ces
peuples
, qui se jetterent imprudemment, ou en la protecti
es. En effect, la pluspart de ceux qui ont entrepris d’affranchir les
Peuples
de la tyrannie, l’ont fait par le moyen des Lettr
ment beau. Si l’un le peut rendre ridicule et desagreable aux yeux du
peuple
; l’autre en recompense luy peut acquerir la bien
tre legitime possession. Tellement que le droict de la nature, et des
peuples
, nous permet de le demander, et mesme il nous y c
acquerir de l’esclat en leur compagnie, et de jetter dans l’esprit du
peuple
autant de respect qu’il en a pour les plus qualif
nuées de Sauterelles, que le Soleil mesme en est obscurcy, et tout le
peuple
contrainct d’abandonner le pays. Quant à la Venge
s mon goust, je sçaurois où buter ;
Mais j’ay les miens, la Cour, le
peuple
à contenter.
Malherbe là-dessus. Contenter tout
y-cy courant fortune d’estre pris, à cause de la soudaine esmotion du
Peuple
, se jetta dans une ruë auprés de celle où estoit
u que s’il avoit à se precipiter à une mort certaine, pour ne voir le
Peuple
Romain en subjection, il le pouvoit faire beaucou
âges, nous le pouvons encore dire des nations. Car ordinairement les
Peuples
brusques et determinez font de plus grandes perte
imitateurs, qu’en quelque âge que ce soit, il ne se trouvera point de
Peuple
bien policé, qui n’ait hazardeusement traversé le
s, et des homicides que l’on a veu commettre à milliers. Tesmoins les
Peuples
du nouveau monde, qui n’ont que trop éprouvé à le
aut pas mieux que nostre luxe. Puis j’allegueray l’exemple des autres
Peuples
qui ont esté beaucoup mieux policez, que nous ne
mépris des vanitez de la terre ; Elle les des-enchantera des abus du
Peuple
; Elle arrachera toutes les espines de leur vie,
qu’on fit courir autresfois, qu’une Montagne devoit enfanter, tout le
Peuple
y accourut et se mit à l’entour avecque frayeur,
me pour méprisable. Que s’il a le soing de la conservation de tout un
Peuple
, et si l’innocente multitude releve de ses consei
ffect, le vray repos de leur fortune devroit consister en l’amour des
Peuples
, et en la tranquilité de la conscience ; Car celu
ontre-faire les plus relevez de condition, pour imprimer en l’ame des
Peuples
une pareille opinion de leur credit et de leur pu
son bas âge, parmy les exercices de la chasse ? A t’on jamais veu des
peuples
plus vertueux, que ceux qui ont fuy les delicates
oint de plus detestable que celle de l’Envie. Cette Furie, fatale aux
peuples
et aux familles, arma Cain contre Abel, Etheocle
ement de Lycerus : Car si tu fais un parallelle de ton Regne avec ton
Peuple
, il reluira comme le Soleil ; mais si tu viens à
archies ont eu d’ordinaire plus de Vertu, et mieux merité l’amour des
Peuples
, joincte à l’estime des Sages. Que si maintenant
çay par quel déreiglement, et par quelle liberté dénaturée. Quant aux
peuples
qui ont fait une particuliere profession d’estre
qu’il était devenu esclave. Mais, ils ont oublié que, l’année où ces
peuples
furent vaincus, César était consul à Rome et Quin
us qu’il falloit corriger, le bien qu’il falloit faire et le soin des
Peuples
. » Après une dernière séance tenue à Saintes, la
abord surpris de la tardive publication du volume, et, comme c’est un
peuple
emunctæ
ue aisément : elle a été, à leur enfance, la première littérature des
peuples
, comme elle est aujourd’hui, à son enfance, la pr
ciens monuments de la langue sanscrite. Elle a passé ensuite chez les
peuples
sémitiques ; les contes arabes, qu’on peut consid
ble était un élément trop primitif pour convenir à la civilisation du
peuple
romain. Dans les premiers âges de son histoire el
toire elle avait été quelquefois employée : Ménénius avait raconté au
peuple
irrité contre le Sénat l’apologue des membres et
liaux me semblent, dans ces temps anciens, plus propres aux goûts des
peuples
du Nord, chez lesquels ce nom étoit fort connu416
ther. § 1. — Examen des fables. Tout se tient dans la vie des
peuples
. Cette maxime, vraie pour leur histoire, est égal
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