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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 335 » p. 241
vé. Un renard qui voulait la dévorer imagina la ruse que voici. Il se plaça en face d’elle, il admira sa belle voix et il l’i
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 264 » p. 237
âne, le prit à l’essai, et l’ayant amené parmi ses ânes à lui, il le plaça devant le râtelier. Or l’âne, délaissant tous les
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 304 » pp. 266-266
renferme les défauts d’autrui, l’autre, leurs propres défauts, et il plaça par devant le sac des défauts d’autrui, tandis qu
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 261 » pp. 178-178
s, prenant les coquilles des amandes et les noyaux des dattes, il les plaça sur un autel en disant : « Je suis quitte, ô Herm
5 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
intelligence. En les traduisant, je remarquai que les divers textes, placés sous mes yeux, différaient beaucoup les uns des a
alère et Ménandre35, Socrate36, Myron et Praxitèle37 ? Quel autre eût placé à Athènes38, à Clazomène39, dans l’île de Céos40,
plutôt dans celle que le Père Brotier55 emprunte à Bianchini, et qui, placée sur la tombe d’affranchis et d’esclaves d’Auguste
ue de la fausse modestie ; il ne tarde pas dans le même prologue à se placer au-dessus d’Ésope, et il conclut en déclarant d’u
s sa mort, les apologistes ne lui ont pas manqué. À leur tête il faut placer de Thou, qui a fait de lui le plus brillant éloge
ligraphe, qui paraît n’avoir pas compris ce qu’il écrivait, les ayant placés comme au hasard. Quelques-uns servent aussi de ce
στολή. « L’allitération n’y est pas observée dans les mots où nous la plaçons . On la trouve très rarement et justement dans les
le, et la lettre qui l’accompagnait, avaient été par M. de Foncemagne placés en tête d’un exemplaire du Phèdre, in-4º, de Riga
l’écriture du manuscrit du Querolus, qui a péri comme le Phèdre. J’ai placé cet échantillon à la tête de mon exemplaire du Qu
par M. de Foncemagne, l’auteur de la notice en reproduit une seconde, placée probablement par M. Dacier au-dessous de la premi
dois faire connaître ce qu’il était. Dans une note manuscrite par lui placée au bas de la troisième page de l’exemplaire de la
cite comme exemple Gerbert, qui, Français de naissance, fut en Italie placé à la tête de l’abbaye de Bobio. M. Fleutelot n’a
trente-trois ans, et la traduction à laquelle elle fait allusion est placée presque à la fin de son recueil, auquel il n’a ai
aite conformité avec la description donnée par Burmann, aux variantes placées par celui-ci à la fin de sa préface, et qui se tr
, comme il y en a beaucoup, qu’on peut, faute de repères historiques, placer à n’importe quelle époque ; ce n’est pas une trou
oisième groupe et qu’on l’attribue à Perotti, on verra qu’après avoir placé sous ses yeux deux rythmes différents, il aurait
sa que dix ans plus tard. Ainsi, dans la dédicace à son ami Jacob275, placée en tête de son traité De Generibus metrorum, il s
s, et dans les éditions du fabuliste romain les fables nouvelles sont placées à la suite de celles de Gude, quelquefois sous le
cinq fables restituées par Gude avec la traduction en prose italienne placée en regard. 1818.     Tutte Le favole di F
langue grecque. Fol. v a. — Incipiunt Simphosii enigmata. L’opuscule placé sous ce titre a été publié dans le Jahrb. f. Phil
he de la note de P. Petau, le copiste, qui est certainement Adémar, a placé le portrait du vieil Ésope sous la forme d’un hom
Fol. cciii b à ccv b. — À la suite des fables, sans interruption, se placent des problèmes d’arithmétique. Voici le premier, q
tyrologium Bedae, et qu’il est, dans le manuscrit Vossianus in-8º 15, placé en tête de même, comme s’il en était le prologue.
il s’en était rapporté, en la copiant littéralement, à cette mention placée en tête du volume : « Æsopica ex Cod. Vet. Isaaci
s ancien était le texte du Romulus de Nilant, dans lequel la dédicace placée en tête des fables commence par ces mots : Romæ
ure ne peuvent laisser le moindre doute sur l’intention du copiste de placer les mots de civitate attica dans l’en-tête du pro
indices m’ont fait comprendre qu’il ne devait par son ancienneté être placé qu’au second rang. Je me suis d’abord aperçu qu’i
de Norfolk, il est, encore enfant, conduit à Londres. En 1768, il est placé à la Chartreuse (Charter House). Puis, à Cambridg
mme de 337 000 francs, se rendit acquéreur de sa collection. Elle fût placée au British Museum, et aujourd’hui elle y forme un
longtemps appelé l’Anonyme de Névelet. C’est après ce prologue que se placent les vingt fables du livre I (fol. 62 a lig. 24 à
tête du second qui, comme le premier, se compose de vingt fables, est placée une table des matières qui est intitulée : Incip
rès : Auiani fabule sequntur (fol. 202 b à 226 b). En effet, ici se placent vingt-sept fables d’Avianus, qui sont, comme les
immédiatement suivie de la fable en prose, au-dessous de laquelle est placée la gravure. Par exception, dans les fables x et x
auf dans la fable x, où l’imprimeur s’est trouvé dans la nécessité de placer la gravure au milieu du texte en prose. Fol. 60 a
fabule noue. Les 17 fabule noue sont ornées de 17 gravures sur bois, placées soit à la suite, soit au milieu du texte de chacu
uivants et se terminent au fol. 100, sont accompagnées de 27 gravures placées tantôt au milieu, tantôt à la fin du texte corres
a (g. ii a). —  Fabule tertii libri Esopi. Sous cette rubrique sont placées , comme dans le manuscrit 42 du Corpus Christi d’O
dans les éditions antérieures forment le livre III, Sébastien Brant a placé les deux dernières fables de l’Anonyme de Névelet
chacune des dix-sept fables traduites en latin par Ranutio d’Arezzo, placé une traduction en vers élégiaques. Fol. 94 a (o.
un̄ Exempeln Doctors S. Brant… mit schönen figuren , etc. Ce titre, placé au bas de la page, est surmonté d’une gravure sur
-12. Comme dans l’édition de Bassée de 1586, les fables de Brant sont placées dans celle d’Erfurt entre les dix-sept issues de
illets est de 142. Ils sont chiffrés. L’ouvrage commence par ce titre placé en tête du recto du premier feuillet : Here begy
hiques sur deux colonnes se rapportant à la vie d’Ésope avec ce titre placé au-dessous : Libro del Sabio y clarissimo fabula
emiers livres du Miroir historial se terminent par cette souscription placée sur la deuxième colonne : Cy finist le premier v
volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la première colonne : Cy finist le xve
volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la première colonne : Cy finist le vin
volume se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la deuxième colonne : A l’honneur et l
res, la première et la seconde, dans celles du Romulus mixte de Berne placées sous le nº xxiii, et la seconde seule, dans les f
tions plus ou moins extravagantes sur la fictive dédicace à Tiberinus placée en tête du Romulus ordinaire. Je vais en passer e
vention de Thadée dans l’affaire, c’est l’extrait de sa lettre latine placé dans l’édition en tête des fables elles-mêmes. On
, on en trouve d’autres que, dans le second volume de cet ouvrage, je placerai à la suite des soixante premières. Faut-il les at
. Ainsi ils ont remarqué que l’épimythion de la seconde, quoique bien placé à la fin, se composait de quatre vers contraireme
intus habet. Je reconnais avec eux qu’il ne peut être convenablement placé qu’à la fin de la dernière fable de la collection
reconnaître le style de l’archevêque de Palerme dans les trois fables placées à la suite des siennes dans une édition publiée à
Elles se terminent par ce vers que les moines du moyen âge aimaient à placer à la fin de leurs copies : Finito libro sit laus
ont été apportés en France par les rois Charles VIII et Louis XII et placés au château de Blois. En y regardant de près, on p
. En outre, au recto du premier des deux feuillets de garde en papier placés par le relieur en tête du volume, on peut aisémen
ion, en tête de laquelle le copiste, fort préoccupé de la symétrie, a placé un titre général ainsi conçu : Ci commence la co
a le nº 714. Il devait tout naturellement supprimer de la désignation placée sous ce numéro les mots varia carmina, qui ne s’a
les feuillets sur lesquels elles se trouvaient. Chaque miniature est placée entre la fable latine et la traduction auxquelles
s le nombre de soixante, elles sont pourvues de soixante-deux numéros placés au-dessous des titres. Cette fausse manière de co
it diminué les caractères au point de pouvoir sur le dernier feuillet placer une double colonne de vers. Ce feuillet ne conten
euillets, par la faute du relieur, sont en désordre. Le dernier a été placé le second. Comme pour rendre ce désordre plus ine
x feuillets blancs et neufs, également en parchemin, que le relieur a placés , l’un au commencement, l’autre à la fin. Les 60 f
ié portant un Lion rouge barré par une sorte de branche diagonalement placée . Au-dessous de l’écu, on lit, sous la forme d’un
général, les fables sont précédées de cette invocation pentamétrique, placée en tête de la première page :       Adsit princi
re à trois colonnes est du xiiie  siècle. D’après la table manuscrite placée en tête, il renferme onze ouvrages, dont les fabl
; les fables 1 à 6 et 8 à 17 sont également pourvues d’une paraphrase placée en tête de chacune d’elles. B. Manuscrit 639.
en parchemin, ajouté après coup et non paginé. Le relieur a en outre placé trois feuillets blancs en papier au commencement
vée et les dernières, ont dû disparaître de bonne heure. Le relieur a placé deux feuillets blancs en tête du volume et trois
’en possédait qu’un seul ; c’est du moins ce qu’atteste ce sous-titre placé sur le frontispice de la Mythologia Æsopica : Ac
Capone et Accipitre et De Lupo et Pastore, qui par exception ont été placées immédiatement avant la soixantième. Le catalogue
i, sous la forme d’un pentamètre léonin, était souvent, au moyen âge, placée par les scribes en tête de leurs copies : Adsit
ns les termes suivants sur le premier des deux feuillets en parchemin placés par le relieur en tête du volume : Fol. 1 a à 6 
t : De Pastore et Lupo , et que suit le distique final ordinairement placé après la soixantième, enfin la fable De Viro et U
1499. Fabule Esopi cum || commento. Au-dessous de ce titre placé sur le recto du premier feuillet est une vignette
formée de deux cahiers de huit feuillets chacun. Au-dessous du titre placé en tête du recto du premier feuillet vient immédi
vure sur bois. Leur nombre total est de 65. Aux soixante authentiques placées sous 62 numéros ont été ajoutées cinq autres port
| vulgari : et figuris acri cura || emendatæ. Au-dessous de ce titre placé en tête du recto du premier feuillet est une grav
-dessous de ce titre est une grande gravure sur bois qu’interprètent, placés l’un à gauche, l’autre au-dessus et le dernier à
Walther précédées de leur prologue métrique, accompagnées d’une glose placée , partie en tête de chacune d’elles, partie en int
un bureau, assisté d’un scribe qui se tient devant une table plus bas placée , et entouré de quatre auditeurs assis. Le titre e
lets. Les fables de Walther sont au nombre de 66. Aux 60 authentiques placées sous 61 numéros, ont été, sous les numéros 62 à 6
3 à 70 sont remplies par les soixante fables authentiques de Walther, placées sous 61 numéros et augmentées des cinq suivantes 
troisième feuillet intitulé : Idem. Au verso de ce feuillet on lit, placés au centre d’une gravure représentant une sorte de
iège élevé, un scribe occupant un siège inférieur et quatre auditeurs placés à droite et à gauche. Le nom du savant est révélé
llets, à raison de 8 par cahier, sont au nombre total de 72. Le titre placé en tête du recto du premier feuillet est engagé d
ssous de lui un scribe également assis, et quatre auditeurs attentifs placés à droite et à gauche. Le tout est enfermé dans un
n. ― Le fabule de Ysopo vol||gare et latine histo||riade. Ce titre, placé en tête du recto du premier feuillet, surmonte un
o con la vita sua historiate || vulgare et latino. Ce titre, qui est placé en tête du recto du premier feuillet, surmonte un
. 1533. Fabule de Esopo hystoriate. Au-dessous de ce titre placé au haut du recto du premier feuillet est une grav
renant la dédicace, l’épître, la vie d’Ésope et deux feuillets blancs placés , l’un au commencement et l’autre à la fin de cett
défilent ensuite sont ornées de grandes gravures toujours encadrées, placées après le texte latin et suivies elles-mêmes de le
acune d’elles les distiques élégiaques dans lesquels ce dernier avait placé l’épimythion des siennes. En se référant dans le
de 1332. Le contenu du volume est résumé dans une table des matières placée en tête. Le dernier ouvrage est intitulé : De la
ns le travail d’autrui. Si je n’avais pas procédé ainsi, je me serais placé dans la nécessité d’éditer, comme œuvres distinct
ées d’un numéro d’ordre, qui pour chacune, sauf pour la première, est placé à la fin de la précédente. Les 51 fables, dont s
if, et qui ont été nécessairement puisées dans le Romulus anglo-latin placé entre eux et le texte de Nilant. On acquerra ains
l faudrait d’ailleurs, si l’opinion de l’éditeur avait quelque poids, placer Marie même dans la première moitié du xiie  siècl
en est, dans le manuscrit, nettement séparé par l’épilogue, qui a été placé immédiatement après la quatre-vingt-dix-huitième
Pratis legauit. An. M. D CC. XXXII. » Il semble résulter d’un numéro placé au bas du recto du premier feuillet qu’il avait d
été propriétaire du manuscrit et qui en tous cas l’a examiné, n’a pu placer l’existence de Marie au milieu du xiiie  siècle.
Satyro. Ces seize fables sont suivies de ces deux ineptes distiques placés au bas du feuillet 56 b : Quem semel horrendis
eur, les deux premières de celles qui sont dérivées d’Avianus ont été placées avant les trois dernières du Dérivé complet. Pour
  Sunt tibi multa parum, sunt mihi pauca satis.       Plus mihi grana placent quam tibi regis opes.       Cum nulli noceam, cui
es, il ne s’est pas conformé au classement usuel. C’est ainsi qu’il a placé le dernier le groupe tiré du Romulus primitif qui
é de produire feraient d’ailleurs double emploi ; car, dans les notes placées au bas du texte, ils trouveront relevées une à un
cote X. H. 47. Moi-même j’ai en ma possession, avec le même prologue placé en tête, les exemplaires de deux éditions incunab
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