vé. Un renard qui voulait la dévorer imagina la ruse que voici. Il se
plaça
en face d’elle, il admira sa belle voix et il l’i
âne, le prit à l’essai, et l’ayant amené parmi ses ânes à lui, il le
plaça
devant le râtelier. Or l’âne, délaissant tous les
renferme les défauts d’autrui, l’autre, leurs propres défauts, et il
plaça
par devant le sac des défauts d’autrui, tandis qu
s, prenant les coquilles des amandes et les noyaux des dattes, il les
plaça
sur un autel en disant : « Je suis quitte, ô Herm
intelligence. En les traduisant, je remarquai que les divers textes,
placés
sous mes yeux, différaient beaucoup les uns des a
alère et Ménandre35, Socrate36, Myron et Praxitèle37 ? Quel autre eût
placé
à Athènes38, à Clazomène39, dans l’île de Céos40,
plutôt dans celle que le Père Brotier55 emprunte à Bianchini, et qui,
placée
sur la tombe d’affranchis et d’esclaves d’Auguste
ue de la fausse modestie ; il ne tarde pas dans le même prologue à se
placer
au-dessus d’Ésope, et il conclut en déclarant d’u
s sa mort, les apologistes ne lui ont pas manqué. À leur tête il faut
placer
de Thou, qui a fait de lui le plus brillant éloge
ligraphe, qui paraît n’avoir pas compris ce qu’il écrivait, les ayant
placés
comme au hasard. Quelques-uns servent aussi de ce
στολή. « L’allitération n’y est pas observée dans les mots où nous la
plaçons
. On la trouve très rarement et justement dans les
le, et la lettre qui l’accompagnait, avaient été par M. de Foncemagne
placés
en tête d’un exemplaire du Phèdre, in-4º, de Riga
l’écriture du manuscrit du Querolus, qui a péri comme le Phèdre. J’ai
placé
cet échantillon à la tête de mon exemplaire du Qu
par M. de Foncemagne, l’auteur de la notice en reproduit une seconde,
placée
probablement par M. Dacier au-dessous de la premi
dois faire connaître ce qu’il était. Dans une note manuscrite par lui
placée
au bas de la troisième page de l’exemplaire de la
cite comme exemple Gerbert, qui, Français de naissance, fut en Italie
placé
à la tête de l’abbaye de Bobio. M. Fleutelot n’a
trente-trois ans, et la traduction à laquelle elle fait allusion est
placée
presque à la fin de son recueil, auquel il n’a ai
aite conformité avec la description donnée par Burmann, aux variantes
placées
par celui-ci à la fin de sa préface, et qui se tr
, comme il y en a beaucoup, qu’on peut, faute de repères historiques,
placer
à n’importe quelle époque ; ce n’est pas une trou
oisième groupe et qu’on l’attribue à Perotti, on verra qu’après avoir
placé
sous ses yeux deux rythmes différents, il aurait
sa que dix ans plus tard. Ainsi, dans la dédicace à son ami Jacob275,
placée
en tête de son traité De Generibus metrorum, il s
s, et dans les éditions du fabuliste romain les fables nouvelles sont
placées
à la suite de celles de Gude, quelquefois sous le
cinq fables restituées par Gude avec la traduction en prose italienne
placée
en regard. 1818. Tutte Le favole di F
langue grecque. Fol. v a. — Incipiunt Simphosii enigmata. L’opuscule
placé
sous ce titre a été publié dans le Jahrb. f. Phil
he de la note de P. Petau, le copiste, qui est certainement Adémar, a
placé
le portrait du vieil Ésope sous la forme d’un hom
Fol. cciii b à ccv b. — À la suite des fables, sans interruption, se
placent
des problèmes d’arithmétique. Voici le premier, q
tyrologium Bedae, et qu’il est, dans le manuscrit Vossianus in-8º 15,
placé
en tête de même, comme s’il en était le prologue.
il s’en était rapporté, en la copiant littéralement, à cette mention
placée
en tête du volume : « Æsopica ex Cod. Vet. Isaaci
s ancien était le texte du Romulus de Nilant, dans lequel la dédicace
placée
en tête des fables commence par ces mots : Romæ
ure ne peuvent laisser le moindre doute sur l’intention du copiste de
placer
les mots de civitate attica dans l’en-tête du pro
indices m’ont fait comprendre qu’il ne devait par son ancienneté être
placé
qu’au second rang. Je me suis d’abord aperçu qu’i
de Norfolk, il est, encore enfant, conduit à Londres. En 1768, il est
placé
à la Chartreuse (Charter House). Puis, à Cambridg
mme de 337 000 francs, se rendit acquéreur de sa collection. Elle fût
placée
au British Museum, et aujourd’hui elle y forme un
longtemps appelé l’Anonyme de Névelet. C’est après ce prologue que se
placent
les vingt fables du livre I (fol. 62 a lig. 24 à
tête du second qui, comme le premier, se compose de vingt fables, est
placée
une table des matières qui est intitulée : Incip
rès : Auiani fabule sequntur (fol. 202 b à 226 b). En effet, ici se
placent
vingt-sept fables d’Avianus, qui sont, comme les
immédiatement suivie de la fable en prose, au-dessous de laquelle est
placée
la gravure. Par exception, dans les fables x et x
auf dans la fable x, où l’imprimeur s’est trouvé dans la nécessité de
placer
la gravure au milieu du texte en prose. Fol. 60 a
fabule noue. Les 17 fabule noue sont ornées de 17 gravures sur bois,
placées
soit à la suite, soit au milieu du texte de chacu
uivants et se terminent au fol. 100, sont accompagnées de 27 gravures
placées
tantôt au milieu, tantôt à la fin du texte corres
a (g. ii a). — Fabule tertii libri Esopi. Sous cette rubrique sont
placées
, comme dans le manuscrit 42 du Corpus Christi d’O
dans les éditions antérieures forment le livre III, Sébastien Brant a
placé
les deux dernières fables de l’Anonyme de Névelet
chacune des dix-sept fables traduites en latin par Ranutio d’Arezzo,
placé
une traduction en vers élégiaques. Fol. 94 a (o.
un̄ Exempeln Doctors S. Brant… mit schönen figuren , etc. Ce titre,
placé
au bas de la page, est surmonté d’une gravure sur
-12. Comme dans l’édition de Bassée de 1586, les fables de Brant sont
placées
dans celle d’Erfurt entre les dix-sept issues de
illets est de 142. Ils sont chiffrés. L’ouvrage commence par ce titre
placé
en tête du recto du premier feuillet : Here begy
hiques sur deux colonnes se rapportant à la vie d’Ésope avec ce titre
placé
au-dessous : Libro del Sabio y clarissimo fabula
emiers livres du Miroir historial se terminent par cette souscription
placée
sur la deuxième colonne : Cy finist le premier v
volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription
placée
au bas de la première colonne : Cy finist le xve
volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription
placée
au bas de la première colonne : Cy finist le vin
volume se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription
placée
au bas de la deuxième colonne : A l’honneur et l
res, la première et la seconde, dans celles du Romulus mixte de Berne
placées
sous le nº xxiii, et la seconde seule, dans les f
tions plus ou moins extravagantes sur la fictive dédicace à Tiberinus
placée
en tête du Romulus ordinaire. Je vais en passer e
vention de Thadée dans l’affaire, c’est l’extrait de sa lettre latine
placé
dans l’édition en tête des fables elles-mêmes. On
, on en trouve d’autres que, dans le second volume de cet ouvrage, je
placerai
à la suite des soixante premières. Faut-il les at
. Ainsi ils ont remarqué que l’épimythion de la seconde, quoique bien
placé
à la fin, se composait de quatre vers contraireme
intus habet. Je reconnais avec eux qu’il ne peut être convenablement
placé
qu’à la fin de la dernière fable de la collection
reconnaître le style de l’archevêque de Palerme dans les trois fables
placées
à la suite des siennes dans une édition publiée à
Elles se terminent par ce vers que les moines du moyen âge aimaient à
placer
à la fin de leurs copies : Finito libro sit laus
ont été apportés en France par les rois Charles VIII et Louis XII et
placés
au château de Blois. En y regardant de près, on p
. En outre, au recto du premier des deux feuillets de garde en papier
placés
par le relieur en tête du volume, on peut aisémen
ion, en tête de laquelle le copiste, fort préoccupé de la symétrie, a
placé
un titre général ainsi conçu : Ci commence la co
a le nº 714. Il devait tout naturellement supprimer de la désignation
placée
sous ce numéro les mots varia carmina, qui ne s’a
les feuillets sur lesquels elles se trouvaient. Chaque miniature est
placée
entre la fable latine et la traduction auxquelles
s le nombre de soixante, elles sont pourvues de soixante-deux numéros
placés
au-dessous des titres. Cette fausse manière de co
it diminué les caractères au point de pouvoir sur le dernier feuillet
placer
une double colonne de vers. Ce feuillet ne conten
euillets, par la faute du relieur, sont en désordre. Le dernier a été
placé
le second. Comme pour rendre ce désordre plus ine
x feuillets blancs et neufs, également en parchemin, que le relieur a
placés
, l’un au commencement, l’autre à la fin. Les 60 f
ié portant un Lion rouge barré par une sorte de branche diagonalement
placée
. Au-dessous de l’écu, on lit, sous la forme d’un
général, les fables sont précédées de cette invocation pentamétrique,
placée
en tête de la première page : Adsit princi
re à trois colonnes est du xiiie siècle. D’après la table manuscrite
placée
en tête, il renferme onze ouvrages, dont les fabl
; les fables 1 à 6 et 8 à 17 sont également pourvues d’une paraphrase
placée
en tête de chacune d’elles. B. Manuscrit 639.
en parchemin, ajouté après coup et non paginé. Le relieur a en outre
placé
trois feuillets blancs en papier au commencement
vée et les dernières, ont dû disparaître de bonne heure. Le relieur a
placé
deux feuillets blancs en tête du volume et trois
’en possédait qu’un seul ; c’est du moins ce qu’atteste ce sous-titre
placé
sur le frontispice de la Mythologia Æsopica : Ac
Capone et Accipitre et De Lupo et Pastore, qui par exception ont été
placées
immédiatement avant la soixantième. Le catalogue
i, sous la forme d’un pentamètre léonin, était souvent, au moyen âge,
placée
par les scribes en tête de leurs copies : Adsit
ns les termes suivants sur le premier des deux feuillets en parchemin
placés
par le relieur en tête du volume : Fol. 1 a à 6
t : De Pastore et Lupo , et que suit le distique final ordinairement
placé
après la soixantième, enfin la fable De Viro et U
1499. Fabule Esopi cum || commento. Au-dessous de ce titre
placé
sur le recto du premier feuillet est une vignette
formée de deux cahiers de huit feuillets chacun. Au-dessous du titre
placé
en tête du recto du premier feuillet vient immédi
vure sur bois. Leur nombre total est de 65. Aux soixante authentiques
placées
sous 62 numéros ont été ajoutées cinq autres port
| vulgari : et figuris acri cura || emendatæ. Au-dessous de ce titre
placé
en tête du recto du premier feuillet est une grav
-dessous de ce titre est une grande gravure sur bois qu’interprètent,
placés
l’un à gauche, l’autre au-dessus et le dernier à
Walther précédées de leur prologue métrique, accompagnées d’une glose
placée
, partie en tête de chacune d’elles, partie en int
un bureau, assisté d’un scribe qui se tient devant une table plus bas
placée
, et entouré de quatre auditeurs assis. Le titre e
lets. Les fables de Walther sont au nombre de 66. Aux 60 authentiques
placées
sous 61 numéros, ont été, sous les numéros 62 à 6
3 à 70 sont remplies par les soixante fables authentiques de Walther,
placées
sous 61 numéros et augmentées des cinq suivantes
troisième feuillet intitulé : Idem. Au verso de ce feuillet on lit,
placés
au centre d’une gravure représentant une sorte de
iège élevé, un scribe occupant un siège inférieur et quatre auditeurs
placés
à droite et à gauche. Le nom du savant est révélé
llets, à raison de 8 par cahier, sont au nombre total de 72. Le titre
placé
en tête du recto du premier feuillet est engagé d
ssous de lui un scribe également assis, et quatre auditeurs attentifs
placés
à droite et à gauche. Le tout est enfermé dans un
n. ― Le fabule de Ysopo vol||gare et latine histo||riade. Ce titre,
placé
en tête du recto du premier feuillet, surmonte un
o con la vita sua historiate || vulgare et latino. Ce titre, qui est
placé
en tête du recto du premier feuillet, surmonte un
. 1533. Fabule de Esopo hystoriate. Au-dessous de ce titre
placé
au haut du recto du premier feuillet est une grav
renant la dédicace, l’épître, la vie d’Ésope et deux feuillets blancs
placés
, l’un au commencement et l’autre à la fin de cett
défilent ensuite sont ornées de grandes gravures toujours encadrées,
placées
après le texte latin et suivies elles-mêmes de le
acune d’elles les distiques élégiaques dans lesquels ce dernier avait
placé
l’épimythion des siennes. En se référant dans le
de 1332. Le contenu du volume est résumé dans une table des matières
placée
en tête. Le dernier ouvrage est intitulé : De la
ns le travail d’autrui. Si je n’avais pas procédé ainsi, je me serais
placé
dans la nécessité d’éditer, comme œuvres distinct
ées d’un numéro d’ordre, qui pour chacune, sauf pour la première, est
placé
à la fin de la précédente. Les 51 fables, dont s
if, et qui ont été nécessairement puisées dans le Romulus anglo-latin
placé
entre eux et le texte de Nilant. On acquerra ains
l faudrait d’ailleurs, si l’opinion de l’éditeur avait quelque poids,
placer
Marie même dans la première moitié du xiie siècl
en est, dans le manuscrit, nettement séparé par l’épilogue, qui a été
placé
immédiatement après la quatre-vingt-dix-huitième
Pratis legauit. An. M. D CC. XXXII. » Il semble résulter d’un numéro
placé
au bas du recto du premier feuillet qu’il avait d
été propriétaire du manuscrit et qui en tous cas l’a examiné, n’a pu
placer
l’existence de Marie au milieu du xiiie siècle.
Satyro. Ces seize fables sont suivies de ces deux ineptes distiques
placés
au bas du feuillet 56 b : Quem semel horrendis
eur, les deux premières de celles qui sont dérivées d’Avianus ont été
placées
avant les trois dernières du Dérivé complet. Pour
Sunt tibi multa parum, sunt mihi pauca satis. Plus mihi grana
placent
quam tibi regis opes. Cum nulli noceam, cui
es, il ne s’est pas conformé au classement usuel. C’est ainsi qu’il a
placé
le dernier le groupe tiré du Romulus primitif qui
é de produire feraient d’ailleurs double emploi ; car, dans les notes
placées
au bas du texte, ils trouveront relevées une à un
cote X. H. 47. Moi-même j’ai en ma possession, avec le même prologue
placé
en tête, les exemplaires de deux éditions incunab