αι τῆς ἀληθείας. Cod. Ba 98. Un voyageur qui passait dans un désert
rencontra
une femme solitaire qui tenait ses yeux baissés.
lle répondit : « Parce que, dans les temps anciens, le mensonge ne se
rencontrait
que chez un petit nombre d’hommes ; maintenant il
me le Transsilvain, le Turc, et le Hongrois.
Au lieu de deux j’en ay
rencontré
trois.
Il est assez de cette marchandise,
De nu
mauvais voisinage) Entra dans sa boutique, et cherchant à manger N’y
rencontra
pour tout potage Qu’une Lime d’acier qu’il se mit
des tambourins, et ils s’en servirent. D’autres ménagyrtes les ayant
rencontrés
leur demandèrent où était leur âne. « Il est mort
212 Pf 120 Me 155. Des gens, qui voyageaient pour certaine affaire,
rencontrèrent
un corbeau qui avait perdu un œil. Ils tournèrent
menait à l’abreuvoir. Or un loup affamé, qui cherchait pâture, ayant
rencontré
la charrue, se mit tout d’abord à lécher les côté
mais ne pouvant en faire sa nourriture, il la laissa et s’en alla. Il
rencontra
un cheval et l’amena dans le champ ; il avait, di
fust debonnaire et doux :
De celuy-cy contentez-vous,
De peur d’en
rencontrer
un pire.
ne les Arts ; bref, qu’elle est le plus desirable, bien qui se puisse
rencontrer
parmy les mortels.
rsuivi par les parents de sa victime. Etant arrivé au bord du Nil, il
rencontra
un loup ; il eut peur et monta sur un arbre de la
n leur die, Tout en mesme categorie. Adieu mes nourriçons si vous les
rencontrez
. Peignez-les moy, dit l’Aigle, ou bien me les mon
e perfidie soient ordinaires en cette occasion, si est ce qu’il s’est
rencontré
des personnes assez genereuses pour garder leur f
le combat, et se lança teste baissée dans la premiere porte qu’il pût
rencontrer
, où après avoir monté le degré, et passé par deux
mière fois, il eut une telle frayeur qu’il faillit en mourir. L’ayant
rencontré
une deuxième fois, il eut peur encore, mais pas a
il en alla. Un Lion de haut parentage En passant par un certain pré,
Rencontra
Bergere à son gré. Il la demande en mariage. Le p
seroit à propos de se priver de la compagnie des hommes, de peur d’y
rencontrer
de la Perfidie, car il est presque necessaire que
un excellent ; de façon qu’il faut estre extrémement heureux pour le
rencontrer
. Or pour revenir à nostre moralité, il y a quelqu
’y qu’elle s’y fust retirée. Or estant advenu de bonne fortune, qu’il
rencontra
un des valets du logis, il luy demanda s’il n’y a
’ayant desséché, elles le quittèrent pour en chercher un autre. Elles
rencontrèrent
alors un puits profond. En le voyant, l’une dit à
lade se leva et sortit, pâle et marchant avec peine. Notre médecin le
rencontra
: « Bonjour, dit-il, comment vont les habitants d
voulut en finir avec la vie. Il était dans ces dispositions, quand il
rencontra
l’éléphant ; il le salua et s’arrêta pour causer.
homme. Ils se vantaient à qui mieux mieux, lorsque sur le chemin ils
rencontrèrent
une stèle de pierre qui représentait un homme étr
que Xanthus se vouloit baigner. Mais comme il passoit son chemin, il
rencontra
fortuitement le Preteur, qui le cognoissant pour
n abondance, il lui en apporterait. Or, arrivé sur le continent, il y
rencontra
des bouses nombreuses et fraîches ; il s’y établi
un os, allait partout cherchant qui le débarrasserait de son mal. Il
rencontra
un héron, et lui demanda moyennant salaire d’enle
mes voluptueux, qui se plongent si avant dans leurs delices, qu’ils y
rencontrent
leur fin avec celle de leurs insatiables desirs.
t seul en peut estre diverty facilement. Que si toutes ces veritez se
rencontrent
en la personne des Amis qui essayent à nous exhor
que l’on ne voit point de si mauvais garçon, qui ne puisse facilement
rencontrer
son Maistre. Dequoy m’est témoin Turne dans Virgi
s le combat du Tygre contre l’homme, à sçavoir que les plus meschants
rencontrent
bien souvent leurs Maistres, et que l’industrie e
Alors la brebis commença par lui dire qu’elle aurait voulu ne pas le
rencontrer
; puis, qu’à défaut de cela, elle aurait voulu le
en un passage Monseigneur le Lion. Cela ne leur plût point. Nous nous
rencontrons
tout à point, Dit-il, et nous voicy compagnons de
Luy dit ce Dieu, la connoîtras-tu bien ? Je crois l’avoir prés d’icy
rencontrée
. Lors une d’or à l’homme estant montrée, Il répon
Icy la prevoyante Arondelle figure les fideles Conseillers, qui ne
rencontrent
point de foy parmy ceux qu’ils entretiennent enco
la douceur de nostre climat ; au lieu que jamais nous ne nous sommes
rencontrez
devers l’Aquilon, affin d’aller conquerir les Est
rce, comme les Grecs et les Romains, chez qui toute sagesse humaine a
rencontré
le point de sa perfection. Mais le tres juste et
atarreux, et l’esprit bizarre pour l’ordinaire. Que si d’avanture ils
rencontrent
, comme j’ay supposé, une femme qui leur soit fide
nos conditions, et de nos appetits. Que si ceste discordance se peut
rencontrer
dans les amitiez, du moins ne se peut-elle pas tr
Et en particulier, les Avares, les Amants, et les Ambitieux, peuvent
rencontrer
en ceste Fable les presages de leur avanture. Pou
en vont esclorre, ils se tiennent aux aguets pour en voir l’issuë, et
rencontrent
à la fin leur accommodement dans les fatigues des
vestu de la peau du Lion. L’Asne s’estant égaré dans une forest, y
rencontra
fortuitement la peau d’un Lion. Il s’en revêtit à
le à nostre inclination, ou, possible, plus rare, et plus difficile à
rencontrer
: si est-ce qu’en chaque sujet il ne laisse pas d
e de morsures qu’ils luy firent. Depuis, comme il s’en retournoit, il
rencontra
fortuitement un sien Compagnon, qui luy demanda,
smoigner sa valeur aux Grenoüilles, et en engloutit autant qu’elle en
rencontra
en son chemin. Elles bien faschées, formerent une
é. Ce que fist fort adroitement le Cheval de nostre Autheur, quand il
rencontra
son salut dans la propre ruse de nostre Ennemy, q
ces Braves, qui battent tous leurs ennemis dans la Chambre, et ne les
rencontrent
jamais à la Campagne. Mais laissons là leurs foib
soucy, car il l’est en effect ; Voila pourquoy, pour l’avoir si bien
rencontré
, mesme pour m’avoir vaincu, tu reçevras la recomp
ment necessaire de n’en pas sortir, à cause des inconvenients qui s’y
rencontrent
, et du zele devotieux que les Peuples ont à certa
té les contrainct de ceder à leur ennemy, en tel cas ils ont moyen de
rencontrer
une espece de seureté en leur méfiance, et en leu
de Ville s’estoit allé promener aux champs, le Rat de Village l’ayant
rencontré
fortuitement, s’avisa de le convier à un festin,
on riche harnois, et vendu à un chartier. Le lendemain l’Asne l’ayant
rencontré
comme il traisnoit la charrette ; Et quoy compagn
». « O Chien mon amy », reprit le Loup, « que tu és heureux, d’avoir
rencontré
un Maistre si doux, et si débonnaire ! Que je ser
Mer, et fier à un peu de bois l’esperance de son salut. Son exemple a
rencontré
depuis ce temps-là tant d’imitateurs, qu’en quelq
ervir, et toutesfois ils ne s’en servent que pour l’amasser. Nous les
rencontrons
tous-jours dans les ruës tous debiffez et mal pro
’Europe. Copiant moi-même ou faisant copier tous les manuscrits où je
rencontrais
des collections de fables latines, je me suis ain
s recherches qui ne sont pas restées sans résultat, et j’ai notamment
rencontré
deux inscriptions se rapportant à deux affranchis
ths. Pendant cette tranquille période de sa vie, il eut le bonheur de
rencontrer
une femme digne de lui, Catherine de Palluau, fil
y, et, à la vente des livres de ce dernier, le hasard me l’ayant fait
rencontrer
, je m’en suis rendu acquéreur. Il contenait et il
i publié la première édition de cet ouvrage, je ne l’avais pas encore
rencontré
. Si je l’avais connu, je ne l’aurais point passé
faire un mystère de sa découverte. En voyageant en Autriche, il avait
rencontré
à Vienne Apostolo Zeno, et la lui avait révélée.
ers manuscrits et que c’est ainsi qu’il employa les lambeaux qui s’en
rencontraient
dans les œuvres de Romulus. Puis, comme il compre
re ressortir davantage la puissance des arguments victorieux. Il s’en
rencontra
un pourtant, qui essaya de faire revivre la quest
a pu imiter quelques-uns de ses vers ; enfin les imperfections qui se
rencontrent
dans les fables n’auraient pas existé dans des co
es expressions, des alliances de mots, des tours de phrase, qui ne se
rencontrent
pas dans les autres auteurs latins. Mais toutes l
ntées au poète romain. Lors même qu’aucune des fables nouvelles ne se
rencontrerait
dans la collection de Romulus, on n’en pourrait t
, qui, quoique grossières, sont cependant supérieures à celles qui se
rencontrent
plus loin dans le texte des fables. Cette différe
dans le manuscrit de Wissembourg des expressions de Phèdre qui ne se
rencontrent
pas dans le texte de Romulus et que ce dernier en
ichesses archéologiques qu’il avait amassées. Il avait, en voyageant,
rencontré
dans le couvent de Saint-Bénigne le fameux manusc
bibliothèques de l’Allemagne, de l’Angleterre et de l’Italie, j’en ai
rencontré
quatre autres, qui vraisemblablement ne sont pas
. A. Édition de Sorg (Hain 325). Je ne suis pas bien sûr d’avoir
rencontré
en Allemagne aucun exemplaire de l’édition de Sor
x qu’il avait voulu signaler. Mais j’y suis arrivé. Il existe et j’ai
rencontré
plusieurs exemplaires de l’édition visée par Hain
existé, ne se voient plus dans les exemplaires reliés que j’ai seuls
rencontrés
. Voici maintenant le contenu du volume : Fol. 1 b
des éditions de Sorg sont relativement nombreux. Parmi ceux que j’ai
rencontrés
, je signale les suivants : British Museum, 167. F
mes de febrero. Anno de nuestra saluacion. Mil.CCCC.XCVIII. Je n’ai
rencontré
aucun exemplaire de cette édition. Quant à la deu
sas de Jacome | Cromberger. Año de | mil y quiniētos | y xlvj. J’ai
rencontré
, à la Bibliothèque de l’Escurial, un exemplaire d
a été exécutée en Angleterre. Tandis que sur le continent je n’en ai
rencontré
que trois exemplaires, l’un dans la bibliothèque
n astérisque, par lequel le bibliographe a voulu affirmer qu’il avait
rencontré
un exemplaire de l’édition. Aussi Hain, s’en rapp
remière édition publiée par Gérard Leeu est celle de 1486, et j’en ai
rencontré
des exemplaires qui me permettent de l’analyser.
que Schwabe, compris son rôle d’éditeur des fables de Romulus. Ayant
rencontré
au British Museum le manuscrit Burnéien, il a sen
qui voudront en prendre connaissance aux deux exemplaires que j’en ai
rencontrés
, l’un dans la bibliothèque privée du roi de Wurte
in-folio par Mathis Huss et Jean Schabeller, à Lyon, en 1484. Je n’ai
rencontré
aucun exemplaire de cette édition, et je n’en par
rew Hebb dwel-|ling at the Bell in Paules Churchyeard. | 1634. J’ai
rencontré
trois exemplaires de cette édition, l’un à la bib
. 2. 4º Édition de 1546. J’ai de cette édition publiée à Anvers
rencontré
deux exemplaires, l’un à la Bibliothèque publique
ers, 3º le livre De contemptu mundi, 4º l’églogue déjà plusieurs fois
rencontrée
de Théodule, 5º les fables de Walther, 6º le livr
t 60. En revanche, les fables 47, 61, 62, 63 et 64 du manuscrit ne se
rencontrent
pas dans les éditions imprimées. Je ne sais de qu
est attaché qu’à extraire des fables de Walther les maximes qu’il y a
rencontrées
. Il en résulte que le manuscrit n’offre qu’un trè
’Allemand Haenel, dans ses voyages en Italie, eut la bonne fortune de
rencontrer
un manuscrit des fables élégiaques et de pouvoir
ent par le distique connu, mais encore par ce vers déjà bien des fois
rencontré
dans les manuscrits précédemment analysés : Fini
ec celui du duc de Milan, le plus artistique qu’il m’ait été donné de
rencontrer
. C’est un in-fol. composé seulement de dix-sept f
22. Pour en remplir le verso, le copiste l’a pourvu de la fable déjà
rencontrée
, De pueris ludentibus. Comme elle n’entrera pas d
ther sont accompagnées d’un commentaire très différent de celui qu’on
rencontrait
auparavant dans les éditions d’écolier. Dans ces
autre imprimée à Anvers par Gérard Leeu. Mais j’avoue ne pas l’avoir
rencontrée
. 1492. Auctores octo opusculorum || cum
gem petentibus, 25. De Terra tumente. 1610. Les ayant ensuite
rencontrées
dans un manuscrit de la bibliothèque Palatine, Né
uel je ne trouve aucune édition nouvelle du texte de Walther. Pour en
rencontrer
une, il faut attendre celle que, en publiant, en
s le moyen âge, traduites en vers français. J’en ai, comme on l’a vu,
rencontré
deux traductions dans les manuscrits des biblioth
, contenant les fables et les table et registre qui les suivent. J’ai
rencontré
des exemplaires de cette édition dans de nombreus
oir emprunté sa fable à l’autre collection. Mais alors où avait-il pu
rencontrer
les cinq fables dont le Romulus ordinaire ne lui
des groupes auxquels elles avaient appartenu, et que Neckam, en ayant
rencontré
plusieurs, les ait traduites en vers élégiaques e
ns, on trouve dans ce Romulus quinze fables et un épilogue, qui ne se
rencontrent
pas dans les Fabulæ antiquæ ; les voici : Nos
Les quatre fables que je viens de signaler sont les seules que j’aie
rencontrées
. Pour ne pas interrompre mon exposé, je ne veux p
ce Romulus. Si, dans le Dérivé complet et dans le Romulus Roberti se
rencontrent
des expressions et même des lambeaux de phrase se
pas moins considéré ce Romulus comme un fragment du texte qu’il avait
rencontré
à Göttingen. Cette inexplicable erreur n’est pas
llemagne ; ce qui le prouve, c’est que des six manuscrits que j’en ai
rencontrés
sur le continent, les villes de Güttingen et de T
sens est inintelligible, et de mots barbares qui non seulement ne se
rencontrent
pas dans les lexiques ordinaires, mais qu’on cher
▲