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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
αι τῆς ἀληθείας. Cod. Ba 98. Un voyageur qui passait dans un désert rencontra une femme solitaire qui tenait ses yeux baissés.
lle répondit : « Parce que, dans les temps anciens, le mensonge ne se rencontrait que chez un petit nombre d’hommes ; maintenant il
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIII. Les Voleurs et l’Asne. » p. 147
me le Transsilvain, le Turc, et le Hongrois.
 Au lieu de deux j’en ay rencontré trois.
 Il est assez de cette marchandise,
 De nu
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
mauvais voisinage) Entra dans sa boutique, et cherchant à manger N’y rencontra pour tout potage Qu’une Lime d’acier qu’il se mit
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 237 » p. 164
des tambourins, et ils s’en servirent. D’autres ménagyrtes les ayant rencontrés leur demandèrent où était leur âne. « Il est mort
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 256 » p. 236
212 Pf 120 Me 155. Des gens, qui voyageaient pour certaine affaire, rencontrèrent un corbeau qui avait perdu un œil. Ils tournèrent
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
menait à l’abreuvoir. Or un loup affamé, qui cherchait pâture, ayant rencontré la charrue, se mit tout d’abord à lécher les côté
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 226 » p. 154
mais ne pouvant en faire sa nourriture, il la laissa et s’en alla. Il rencontra un cheval et l’amena dans le champ ; il avait, di
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
fust debonnaire et doux :
 De celuy-cy contentez-vous,
 De peur d’en rencontrer un pire.
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
ne les Arts ; bref, qu’elle est le plus desirable, bien qui se puisse rencontrer parmy les mortels.  
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32
rsuivi par les parents de sa victime. Etant arrivé au bord du Nil, il rencontra un loup ; il eut peur et monta sur un arbre de la
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
n leur die, Tout en mesme categorie. Adieu mes nourriçons si vous les rencontrez . Peignez-les moy, dit l’Aigle, ou bien me les mon
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
e perfidie soient ordinaires en cette occasion, si est ce qu’il s’est rencontré des personnes assez genereuses pour garder leur f
le combat, et se lança teste baissée dans la premiere porte qu’il pût rencontrer , où après avoir monté le degré, et passé par deux
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 42 » pp. 10-10
mière fois, il eut une telle frayeur qu’il faillit en mourir. L’ayant rencontré une deuxième fois, il eut peur encore, mais pas a
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
il en alla. Un Lion de haut parentage En passant par un certain pré, Rencontra Bergere à son gré. Il la demande en mariage. Le p
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
seroit à propos de se priver de la compagnie des hommes, de peur d’y rencontrer de la Perfidie, car il est presque necessaire que
un excellent ; de façon qu’il faut estre extrémement heureux pour le rencontrer . Or pour revenir à nostre moralité, il y a quelqu
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
’y qu’elle s’y fust retirée. Or estant advenu de bonne fortune, qu’il rencontra un des valets du logis, il luy demanda s’il n’y a
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 68 » pp. 43-43
’ayant desséché, elles le quittèrent pour en chercher un autre. Elles rencontrèrent alors un puits profond. En le voyant, l’une dit à
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 134 » pp. 317-317
lade se leva et sortit, pâle et marchant avec peine. Notre médecin le rencontra  : « Bonjour, dit-il, comment vont les habitants d
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 211 » p. 259
voulut en finir avec la vie. Il était dans ces dispositions, quand il rencontra l’éléphant ; il le salua et s’arrêta pour causer.
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 59 » pp. 284-284
homme. Ils se vantaient à qui mieux mieux, lorsque sur le chemin ils rencontrèrent une stèle de pierre qui représentait un homme étr
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
que Xanthus se vouloit baigner. Mais comme il passoit son chemin, il rencontra fortuitement le Preteur, qui le cognoissant pour
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 150 » pp. 84-84
n abondance, il lui en apporterait. Or, arrivé sur le continent, il y rencontra des bouses nombreuses et fraîches ; il s’y établi
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 225 » pp. 156-156
un os, allait partout cherchant qui le débarrasserait de son mal. Il rencontra un héron, et lui demanda moyennant salaire d’enle
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
mes voluptueux, qui se plongent si avant dans leurs delices, qu’ils y rencontrent leur fin avec celle de leurs insatiables desirs.
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
t seul en peut estre diverty facilement. Que si toutes ces veritez se rencontrent en la personne des Amis qui essayent à nous exhor
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
que l’on ne voit point de si mauvais garçon, qui ne puisse facilement rencontrer son Maistre. Dequoy m’est témoin Turne dans Virgi
s le combat du Tygre contre l’homme, à sçavoir que les plus meschants rencontrent bien souvent leurs Maistres, et que l’industrie e
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 231 » pp. 159-159
Alors la brebis commença par lui dire qu’elle aurait voulu ne pas le rencontrer  ; puis, qu’à défaut de cela, elle aurait voulu le
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
en un passage Monseigneur le Lion. Cela ne leur plût point. Nous nous rencontrons tout à point, Dit-il, et nous voicy compagnons de
29 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
Luy dit ce Dieu, la connoîtras-tu bien ? Je crois l’avoir prés d’icy rencontrée . Lors une d’or à l’homme estant montrée, Il répon
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
Icy la prevoyante Arondelle figure les fideles Conseillers, qui ne rencontrent point de foy parmy ceux qu’ils entretiennent enco
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
la douceur de nostre climat ; au lieu que jamais nous ne nous sommes rencontrez devers l’Aquilon, affin d’aller conquerir les Est
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
rce, comme les Grecs et les Romains, chez qui toute sagesse humaine a rencontré le point de sa perfection. Mais le tres juste et
atarreux, et l’esprit bizarre pour l’ordinaire. Que si d’avanture ils rencontrent , comme j’ay supposé, une femme qui leur soit fide
nos conditions, et de nos appetits. Que si ceste discordance se peut rencontrer dans les amitiez, du moins ne se peut-elle pas tr
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
Et en particulier, les Avares, les Amants, et les Ambitieux, peuvent rencontrer en ceste Fable les presages de leur avanture. Pou
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
en vont esclorre, ils se tiennent aux aguets pour en voir l’issuë, et rencontrent à la fin leur accommodement dans les fatigues des
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
vestu de la peau du Lion. L’Asne s’estant égaré dans une forest, y rencontra fortuitement la peau d’un Lion. Il s’en revêtit à
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
le à nostre inclination, ou, possible, plus rare, et plus difficile à rencontrer  : si est-ce qu’en chaque sujet il ne laisse pas d
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
e de morsures qu’ils luy firent. Depuis, comme il s’en retournoit, il rencontra fortuitement un sien Compagnon, qui luy demanda,
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
smoigner sa valeur aux Grenoüilles, et en engloutit autant qu’elle en rencontra en son chemin. Elles bien faschées, formerent une
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
é. Ce que fist fort adroitement le Cheval de nostre Autheur, quand il rencontra son salut dans la propre ruse de nostre Ennemy, q
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
ces Braves, qui battent tous leurs ennemis dans la Chambre, et ne les rencontrent jamais à la Campagne. Mais laissons là leurs foib
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
soucy, car il l’est en effect ; Voila pourquoy, pour l’avoir si bien rencontré , mesme pour m’avoir vaincu, tu reçevras la recomp
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
ment necessaire de n’en pas sortir, à cause des inconvenients qui s’y rencontrent , et du zele devotieux que les Peuples ont à certa
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
té les contrainct de ceder à leur ennemy, en tel cas ils ont moyen de rencontrer une espece de seureté en leur méfiance, et en leu
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
de Ville s’estoit allé promener aux champs, le Rat de Village l’ayant rencontré fortuitement, s’avisa de le convier à un festin,
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
on riche harnois, et vendu à un chartier. Le lendemain l’Asne l’ayant rencontré comme il traisnoit la charrette ; Et quoy compagn
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
 ». « O Chien mon amy », reprit le Loup, « que tu és heureux, d’avoir rencontré un Maistre si doux, et si débonnaire ! Que je ser
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
Mer, et fier à un peu de bois l’esperance de son salut. Son exemple a rencontré depuis ce temps-là tant d’imitateurs, qu’en quelq
ervir, et toutesfois ils ne s’en servent que pour l’amasser. Nous les rencontrons tous-jours dans les ruës tous debiffez et mal pro
48 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
’Europe. Copiant moi-même ou faisant copier tous les manuscrits où je rencontrais des collections de fables latines, je me suis ain
s recherches qui ne sont pas restées sans résultat, et j’ai notamment rencontré deux inscriptions se rapportant à deux affranchis
ths. Pendant cette tranquille période de sa vie, il eut le bonheur de rencontrer une femme digne de lui, Catherine de Palluau, fil
y, et, à la vente des livres de ce dernier, le hasard me l’ayant fait rencontrer , je m’en suis rendu acquéreur. Il contenait et il
i publié la première édition de cet ouvrage, je ne l’avais pas encore rencontré . Si je l’avais connu, je ne l’aurais point passé
faire un mystère de sa découverte. En voyageant en Autriche, il avait rencontré à Vienne Apostolo Zeno, et la lui avait révélée.
ers manuscrits et que c’est ainsi qu’il employa les lambeaux qui s’en rencontraient dans les œuvres de Romulus. Puis, comme il compre
re ressortir davantage la puissance des arguments victorieux. Il s’en rencontra un pourtant, qui essaya de faire revivre la quest
a pu imiter quelques-uns de ses vers ; enfin les imperfections qui se rencontrent dans les fables n’auraient pas existé dans des co
es expressions, des alliances de mots, des tours de phrase, qui ne se rencontrent pas dans les autres auteurs latins. Mais toutes l
ntées au poète romain. Lors même qu’aucune des fables nouvelles ne se rencontrerait dans la collection de Romulus, on n’en pourrait t
, qui, quoique grossières, sont cependant supérieures à celles qui se rencontrent plus loin dans le texte des fables. Cette différe
dans le manuscrit de Wissembourg des expressions de Phèdre qui ne se rencontrent pas dans le texte de Romulus et que ce dernier en
ichesses archéologiques qu’il avait amassées. Il avait, en voyageant, rencontré dans le couvent de Saint-Bénigne le fameux manusc
bibliothèques de l’Allemagne, de l’Angleterre et de l’Italie, j’en ai rencontré quatre autres, qui vraisemblablement ne sont pas
. A. Édition de Sorg (Hain 325). Je ne suis pas bien sûr d’avoir rencontré en Allemagne aucun exemplaire de l’édition de Sor
x qu’il avait voulu signaler. Mais j’y suis arrivé. Il existe et j’ai rencontré plusieurs exemplaires de l’édition visée par Hain
existé, ne se voient plus dans les exemplaires reliés que j’ai seuls rencontrés . Voici maintenant le contenu du volume : Fol. 1 b
des éditions de Sorg sont relativement nombreux. Parmi ceux que j’ai rencontrés , je signale les suivants : British Museum, 167. F
mes de febrero. Anno de nuestra saluacion. Mil.CCCC.XCVIII. Je n’ai rencontré aucun exemplaire de cette édition. Quant à la deu
sas de Jacome | Cromberger. Año de | mil y quiniētos | y xlvj. J’ai rencontré , à la Bibliothèque de l’Escurial, un exemplaire d
a été exécutée en Angleterre. Tandis que sur le continent je n’en ai rencontré que trois exemplaires, l’un dans la bibliothèque
n astérisque, par lequel le bibliographe a voulu affirmer qu’il avait rencontré un exemplaire de l’édition. Aussi Hain, s’en rapp
remière édition publiée par Gérard Leeu est celle de 1486, et j’en ai rencontré des exemplaires qui me permettent de l’analyser.
que Schwabe, compris son rôle d’éditeur des fables de Romulus. Ayant rencontré au British Museum le manuscrit Burnéien, il a sen
qui voudront en prendre connaissance aux deux exemplaires que j’en ai rencontrés , l’un dans la bibliothèque privée du roi de Wurte
in-folio par Mathis Huss et Jean Schabeller, à Lyon, en 1484. Je n’ai rencontré aucun exemplaire de cette édition, et je n’en par
rew Hebb dwel-|ling at the Bell in Paules Churchyeard. | 1634. J’ai rencontré trois exemplaires de cette édition, l’un à la bib
. 2. 4º Édition de 1546. J’ai de cette édition publiée à Anvers rencontré deux exemplaires, l’un à la Bibliothèque publique
ers, 3º le livre De contemptu mundi, 4º l’églogue déjà plusieurs fois rencontrée de Théodule, 5º les fables de Walther, 6º le livr
t 60. En revanche, les fables 47, 61, 62, 63 et 64 du manuscrit ne se rencontrent pas dans les éditions imprimées. Je ne sais de qu
est attaché qu’à extraire des fables de Walther les maximes qu’il y a rencontrées . Il en résulte que le manuscrit n’offre qu’un trè
’Allemand Haenel, dans ses voyages en Italie, eut la bonne fortune de rencontrer un manuscrit des fables élégiaques et de pouvoir
ent par le distique connu, mais encore par ce vers déjà bien des fois rencontré dans les manuscrits précédemment analysés : Fini
ec celui du duc de Milan, le plus artistique qu’il m’ait été donné de rencontrer . C’est un in-fol. composé seulement de dix-sept f
 22. Pour en remplir le verso, le copiste l’a pourvu de la fable déjà rencontrée , De pueris ludentibus. Comme elle n’entrera pas d
ther sont accompagnées d’un commentaire très différent de celui qu’on rencontrait auparavant dans les éditions d’écolier. Dans ces
autre imprimée à Anvers par Gérard Leeu. Mais j’avoue ne pas l’avoir rencontrée . 1492. Auctores octo opusculorum || cum
gem petentibus, 25. De Terra tumente. 1610. Les ayant ensuite rencontrées dans un manuscrit de la bibliothèque Palatine, Né
uel je ne trouve aucune édition nouvelle du texte de Walther. Pour en rencontrer une, il faut attendre celle que, en publiant, en
s le moyen âge, traduites en vers français. J’en ai, comme on l’a vu, rencontré deux traductions dans les manuscrits des biblioth
, contenant les fables et les table et registre qui les suivent. J’ai rencontré des exemplaires de cette édition dans de nombreus
oir emprunté sa fable à l’autre collection. Mais alors où avait-il pu rencontrer les cinq fables dont le Romulus ordinaire ne lui
des groupes auxquels elles avaient appartenu, et que Neckam, en ayant rencontré plusieurs, les ait traduites en vers élégiaques e
ns, on trouve dans ce Romulus quinze fables et un épilogue, qui ne se rencontrent pas dans les Fabulæ antiquæ ; les voici : Nos
Les quatre fables que je viens de signaler sont les seules que j’aie rencontrées . Pour ne pas interrompre mon exposé, je ne veux p
ce Romulus. Si, dans le Dérivé complet et dans le Romulus Roberti se rencontrent des expressions et même des lambeaux de phrase se
pas moins considéré ce Romulus comme un fragment du texte qu’il avait rencontré à Göttingen. Cette inexplicable erreur n’est pas
llemagne ; ce qui le prouve, c’est que des six manuscrits que j’en ai rencontrés sur le continent, les villes de Güttingen et de T
sens est inintelligible, et de mots barbares qui non seulement ne se rencontrent pas dans les lexiques ordinaires, mais qu’on cher
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