VII. La Lice et sa Compagne. Une Lice estant sur son
terme
, Et ne sçachant où mettre un fardeau si pressant,
disoit-elle, qu’à peine. Pour faire court, elle l’obtient. Ce second
terme
échû, l’autre luy redemande Sa maison, sa chambre
do auxilio non referunt pedem. f. Le texte de 1495 présente ici le
terme
« scriptis ». Nous corrigeons.
scere a nemine posse compelli. j. Le texte de 1495 présente ici le
terme
« litterium ». Nous corrigeons.
i dist, quant il l’oï : « Tu n’averas ja de mei merci, kar ne te puis
terme
doner que jeo te veie vif aler. » — « Jeo ne quer
ar ne te puis terme doner que jeo te veie vif aler. » — « Jeo ne quer
terme
», dist li bucs, « fors tant que jeo die pur vus
, envoyèrent des messagers auprès de Zeus, pour demander qu’il mît un
terme
à leurs travaux. Zeus, voulant leur démonter que
ut beau faire agir le colet et les plis. Si tost qu’il fut au bout du
terme
Qu’à la gageure on avoit mis ; Le Soleil dissipe
pris à la chasse une perdrix, allait la tuer. Elle le supplia en ces
termes
: « Laisse-moi vivre ; à ma place je te ferai pre
sme il en auroit la volonté, qu’il n’avoit pas neantmoins. A tous ces
termes
de compliment, le Renard ne fit point d’autre res
Xanthus aussi empesché qu’eux de leur en rendre raison, leur demanda
terme
pour y respondre. Il s’en alla donc en sa maison,
ré affranchy par un cry public qu’un trompette de la ville fit en ces
termes
. « Le Philosophe Xanthus donne aux Samiens la lib
est un frein à leur ressentiment. Que s’ils leur respondent, c’est en
termes
pleins de froideur, sans se laisser emporter à la
y demanda la cause de sa plaincte, qu’Esope luy fit cognoistre en ces
termes
. « Une femme », dit-il, « ayant depuis peu enseve
traicts de visage, et des proportions de corps, ce seroit rendre ces
termes
ridicules, puis que Dieu est incapable de matiere
les seuls, ô dénaturez, qui permettrez à vos Enfans de prononcer des
termes
dissolus, et de se rendre méchants plustost qu’il
ris d’enseigner à un animal de son espece la dance Pyrrhyque, dans le
terme
de dix ans, et qu’à dessein il s’estoit obligé en
e, l’experience nous faisant voir qu’un ennemy que nous avons mis aux
termes
de se vanger, est un Demon que l’on ne peut assez
i je puis, que la seule force de nostre sang, ou, pour m’expliquer en
termes
plus exprés, le seul instinct, est capable de ces
e ne croirois pas mentir, si je t’appellois le Roy des Oyseaux ». Ces
termes
de flatterie allecherent si bien le Corbeau, qu’i
itude. Il a soin, dans le prologue du livre III, de l’indiquer en ces
termes
: Ego, quem Pierio mater enixa est jugo. C’est
le prologue de son livre III, eu le soin d’expliquer sa pensée en ces
termes
: Neque enim notare singulos mens est mihi, Veru
orts à faire pour la découvrir ; car Phèdre lui-même l’indique en ces
termes
: In calamitatem deligens quædam meam. Il suffi
igner à la composition de ce troisième livre ? Si l’on s’en tient aux
termes
du prologue, l’incertitude n’est pas possible : T
e c’est une exception à la règle qu’il a adoptée ; il s’excuse en ces
termes
à la fin de la fable x du livre III : Hæc exsecu
èrent pas une si belle occasion d’enrichir leur librairie (c’était le
terme
), que celle que leur offrait la dispersion des li
e édition de Phèdre qu’il publia en 1809, Boinvilliers aggrava en ces
termes
l’erreur de Brotier : « Les fables de Phèdre deme
éjà mentionné de l’édition de Pithou, pourraient mettre facilement un
terme
à leur incertitude. Il porte écrites de la main d
em terminum operi statuere, et, comme ce prologue est conçu dans des
termes
qui ne permettent pas de le mettre en tête du liv
dans la première phrase de cette lettre Rigault fait allusion en ces
termes
au manuscrit de Reims, découvert par le Père Sirm
ult, pour la mettre en harmonie avec son nouveau travail, modifia les
termes
de la première phrase, mais laissa subsister la d
u xviie siècle et le commencement du ixe , et, pour prendre un moyen
terme
, lui assigne le viiie siècle. Au contraire le Pè
nts barbarismes, puisqu’il écrit en latin, et qu’il s’exprime en bons
termes
.” En accordant ces derniers mots à nos diplomatic
aniel dut être envoyé en Suède. Mais il ne trouva pas dans ce pays le
terme
de ses vicissitudes. La reine Christine, que l’am
Index codicum manuscriptorum Phædri il manifestait ses doutes en ces
termes
: « Qui an hodie exstet in bibliotheca Vaticana a
ssus du titre se trouve la désignation générale de l’ouvrage dans les
termes
suivants : Phedi Aug. Liber. L. Œsophiarum Incip
rimé à Oxford en 1806, cette copie à la page 84 est mentionnée en ces
termes
: N. Perotti Epitome Fabularum Æsopi, Avieni, et
ngt-trois à vingt-six, et dont le vingt-sixième était énoncé dans les
termes
suivants : Epitome fabularum Æsopi, Avieni et Ph
es, à la page 86, Cassitto, calomniant son rival, lui imputait en ces
termes
: « Vitiatis quoque a Jannellio, ut fama est, hac
’est ce que, dans la fable ii du livre IV, il déclare lui-même en ces
termes
: Rara mens intelli
t qu’il avait dû également composer toutes les autres. Voici en quels
termes
tranchants il s’exprimait sous l’influence d’une
vere, qu’il torture à plaisir, signifie étendre, augmenter, écrire en
termes
plus prolixes, tandis qu’en réalité il n’implique
struire. Ces procédés avaient été recommandés par Quintilien dans les
termes
suivants : « Igitur Æsopi fabellas, quæ fabulis n
utres auxquelles je ne veux pas m’attarder, faut-il admettre le moyen
terme
, la théorie éclectique hardiment jetée par M. du
que Phèdre fut un auteur latin ; c’est lui-même qui le déclare en ces
termes
dans l’épilogue du livre II : Quod si labori fav
a cessant, et Porphyrius sous Sévère développe la même pensée en ces
termes
: Ablata est Pythii vox haud revocabilis ulli Te
sa petite édition classique, n’hésite pas en 1847 à proclamer en ces
termes
l’authenticité des fables nouvelles : « Je n’ai j
e mal. Comme dans l’examen des Fables antiques, je prends encore pour
terme
de comparaison la fable intitulée le Geai vaniteu
assez logique, et lorsque, laissant voir qu’il en préférait le second
terme
, Nilant le formulait, il mettait instinctivement
onner pour les thèses les plus excentriques, Christ adopta le premier
terme
du dilemme. Il en fut de même de Hauptmann304. Es
j’ai publié dans ma première édition, le prologue est annoncé en ces
termes
: Incipit Prologus in tres libros fabularum Æsopi
t oublier Phèdre et que le nom de Romulus finit par être une sorte de
terme
usuel employé à exprimer non pas un nom d’auteur,
mulus primitif, et, si c’est un de ses dérivés en prose, d’ajouter au
terme
générique une dénomination spéciale. Le Romulus p
le qui m’a déjà, pour les collections précédemment étudiées, servi de
terme
de comparaison. La voici d’abord telle qu’elle es
ces observations, ajouter à l’exemple que j’ai choisi quelques autres
termes
de comparaison toujours empruntés au manuscrit Bu
ue ce dernier avait dû avoir son anonyme pour origine. Voici en quels
termes
, dans sa préface, il exprime cette opinion : « Je
La fin du livre I et le commencement du livre II sont indiqués en ces
termes
: Explicit liber primus. Incipit liber secundus.
fin du livre II et le commencement du livre III sont annoncés en ces
termes
: Explicit liber secundus : incipit liber terciu
.iª). Fin du livre III, suivi de la table du livre IV annoncée en ces
termes
: Incipit registrum capitulorum quarti libri Eso
Fin de la table et commencement des fables d’Avianus annoncées en ces
termes
: Sequuntur fabule auiani quarum reegistrum (sic
a (p. ii a). — Fin des 27 fables d’Avianus, et table annoncée en ces
termes
: Fabularum Auiani antedictarum Registrum sequit
vitæ. La première, dans le petit format in-fº, est mentionnée en ces
termes
par Panzer334 et par Hain335 : Exemplario contra
ant à Panzer, l’a-t-il, à son tour, sous le nº 338, mentionnée en ces
termes
: … per Gerardum Leeu in opido Goudensi 1482. 4.
Dyalogus, n’aurait pas manqué de nuire à son débit. D’autre part, les
termes
, dans lesquels Panzer avait mentionné l’édition d
de l’édition de Bâle. La fin en est, au feuillet 203, annoncée en ces
termes
: Mythologi Esopi clarissimi fabulatoris : una c
1650, dans le format in-8º, avec gravures sur bois. Voici dans quels
termes
elle est signalée par ce catalogue : Erneuester
marché, et au bas de la page le lieu et la date sont indiqués en ces
termes
: Zu Basel, Anno 1676. Il existe un exemplaire
premier liure. Fol. 19 a. — Commencement du livre I, annoncé en ces
termes
: Cy commence la preface du premier liure de eso
eum sous la cote 12 304. aaa.32, est mentionnée au Catalogue dans les
termes
suivants : The Fables of Esope in English with a
table, non numérotés. Au frontispice on lit, formulées dans les mêmes
termes
dont l’orthographe est seulement plus moderne, le
la cote E. 1889, en possède un exemplaire, elle est mentionnée en ces
termes
: The Fables of E. in English with all his life
vº). — Commencement du livre IV des fables de Romulus indiqué en ces
termes
: Aqui comiença el quarto libro del ysopo. Fol
Fol. 1 a. — Titre encadré d’ornements xylographiques et conçu en ces
termes
: Libro del ysopo famoso fabulador historiado in
lusieurs opuscules, que le catalogue imprimé de 1871 énumère dans les
termes
suivants : « Historiettes pieuses, parmi lesquell
leurs, je dois ici transcrire celui du Miroir doctrinal. En voici les
termes
: Tales sunt et morales Æsopi fabulæ, de quibus e
, qui forme un gros volume du grand format in-8º, est décrit dans les
termes
suivants : « Codex membranaceus, olim Colbertinus
ue imprimé des manuscrits des collèges d’Oxford366, été décrit en ces
termes
: Codex membranaceus, in-folio, ff. 463, sec. xi
imé dans cette ville en 1777367, signale, sous la cote VIII, dans les
termes
suivants un manuscrit du Miroir historial contena
par une souscription imprimée en lettres capitales et conçue dans les
termes
suivants : Explicit. specvlvm. historiale. fra||
sairement qu’elle fût l’œuvre de Mentellin. Voici d’ailleurs en quels
termes
il la mentionne : Vincentii Bellovacensis ordini
i seule existait pour eux, en avait été la source. C’est réduit à ces
termes
simples que le problème se présenta à Lessing400,
avant traduisant en latin les fables grecques d’Ésope. Voici en quels
termes
tout cela est expliqué : « In principio hujus lib
ans son Histoire des poètes, cet illustre critique s’exprimait en ces
termes
: « On pourrait aussi, au nombre de ces poètes, c
temps elle était vivement combattue. Il le déclarait lui-même en ces
termes
: « Vous ne pouvez vous figurer à quel point cert
note que l’auteur véritable était Ugobard de Sulmona. Conçue dans des
termes
analogues à ceux des gloses des manuscrits de la
ogne, épouse du roi Philippe VI, à qui le traducteur les dédie en ces
termes
: Ce livret que cy vous récite Plaist à oïr et s
ication des fables inédites du moyen âge, s’exprime à son tour en ces
termes
: « De fréquentes antithèses, de continuels rappr
r y établir une discipline sévère. C’est ce qu’Abélard affirme en ces
termes
: « Elapsis autem paucis annis, cum ex infirmitat
u volume, auquel il donna la cote 713, en indiqua le contenu dans les
termes
suivants : 1º Boecius de disciplina scholarum ;
e blancs, contiennent diverses pièces que le Catalogue analyse en ces
termes
: « Les prières qui terminent le volume occupent
is de l’ouvrage lui-même, dont le premier chapitre est annoncé en ces
termes
: Sequitur primum capitulum , et dont la fin, au
ti Mathie apostoli. Au-dessous une table des matières donne dans les
termes
suivants la nomenclature des ouvrages contenus da
ouvrages, dont l’énumération figure au-dessus de l’ex-libris dans les
termes
suivants : Vocabularius parvus usque p. Esopus m
Il comprend plusieurs ouvrages, dont la nomenclature a été, dans les
termes
suivants, établie sur la première page : Liber c
ns ancien. Sur ce feuillet le contenu du manuscrit est indiqué en ces
termes
: In hoc libro continentur hi poetæ manuscripti
inq premiers sont occupés par les fables de Walther, signalées en ces
termes
: Æsopi fabulae versibus elegiacis expressae , e
interprétées par des gloses ; c’est ce que le catalogue révèle en ces
termes
: Æsopi fabulae cum commento et glossis. L.
es d’un commentaire ; c’est ce que le catalogue fait connaître en ces
termes
: Æsopi fabulæ cum commento. M. Manuscrit 1
de Walther commençant au feuillet 292 a. Elles sont signalées en ces
termes
: Æsopi fabulae metrice cum commento. N. Ma
r, qui, au bas de la 2e colonne de la page 200, sont annoncées en ces
termes
: Incipit liber hisopi. Les fables sont dépourv
us bas la date à laquelle la copie a été exécutée, est énoncée en ces
termes
: Anno domini mo iiiio xxxii. D. Manuscrit
chemin, sur le recto duquel le contenu du volume est indiqué dans les
termes
suivants : « In hoc libro continentur : Albertanu
uvrages, qui sont sur un premier feuillet en papier indiqués dans les
termes
suivants : 1º Poetica quædam incerta et antiqua
sur un feuillet ajouté en tête, plusieurs ouvrages énumérés dans les
termes
suivants : 1º Catonis commentum (fol. 1 a à 5 b)
s’étend du feuillet 1 a au milieu du feuillet 30 b, est visé dans les
termes
suivants sur un premier feuillet en papier : Pro
t du xive siècle. Les ouvrages qu’il contient sont énumérés dans les
termes
suivants sur le premier des deux feuillets en par
, se lisent les mots yesus maria . Le titre général est conçu en ces
termes
usuels : Incipit liber esopi. Les fables ne son
ccupés par le poème d’Eva columba, en vers hexamètres, annoncé en ces
termes
: Incipit liber eue columbe. Il est formé, aprè
d’octobre. 1487. Panzer, t. I, p. 8, nº 31, signale dans les
termes
suivants une édition in-4 qui a été imprimée à An
di Mago 1523. Le manuscrit renferme deux ouvrages mentionnés en ces
termes
par M. Palermo : 1º Volgarizzamento, parte inter
ées d’un prologue, qui, au recto du premier feuillet, commence en ces
termes
: Sforza si la presente scriptura , etc. Elles
sia Dio laudato et benedicto ! Amen. Cette mention finale existe en
termes
un peu différents dans l’édition Berti et manque
recto du troisième, vient la nomenclature des fables, annoncée en ces
termes
: Qui commencia li capitoli de Eso-||po et prima
logue de cette bibliothèque (t. I, p. 14, 2e col.) la décrit dans les
termes
suivants : « Vita (et Favole). (Latine et Italice
tifier le pompeux éloge que le même bibliographe a fait de lui en ces
termes
: Philosophus enim habebatur eruditus, theologus
cte, et je suppose plus exacte celle que Tanner477 a rapportée en ces
termes
: Eclipsin patitur sapientia, sol sepelitur, Qui
faut comparer les textes ; c’est ce que je vais faire en prenant pour
terme
de comparaison le premier distique de la première
ulæ antiquæ, et que Neckam au contraire, s’en emparant, répète en ces
termes
: Si datur illis turba Canum. Il y a mieux : l
Dans le catalogue ci-dessus indiqué, le contenu en est analysé en ces
termes
: Fabulæ Æsopi. Integumenta elegiacis versibus s
l’abbé de la Rue n’hésita pas à la traiter de nouveau. Voici en quels
termes
il s’exprime : « Legrand d’Aussy, dans la préface
s deux manuscrits dans lesquels on les trouve formulés dans les mêmes
termes
, de sorte qu’ils ne sauraient être considérés com
ils ne sauraient être considérés comme l’œuvre de Marie ; ensuite les
termes
, dans lesquels ils sont formulés, sont souvent tr
feuillets ajoutés en tête porte une table des matières conçue en ces
termes
: I. Sermones de Voragine, en Prose. II. Histoir
en papier, au verso duquel le contenu du volume est indiqué dans les
termes
suivants : 1º L’image du Monde par Gautier de Me
. Cette lacune, au bas du recto du feuillet 89, a été indiquée en ces
termes
par un bibliothécaire, qui, faute d’y avoir regar
hoses, je ne prends, dans chacun des trois textes, qu’une phrase pour
terme
de comparaison : Romulus primitif : Hii sunt co
doptant pour chacun d’eux la même formule, en a indiqué le contenu en
termes
trop laconiques pour le faire connaître. Voici en
e sur le texte latin ; car elle-même dans son épilogue déclare en ces
termes
que c’est de la traduction anglaise qu’elle a fai
apostoli. Sur la même page, le contenu du volume est indiqué en ces
termes
: Liber fabularum Esopi cum moralisacionibus atq
ture est du xve siècle. Le catalogue de la Bibliothèque donne en ces
termes
la nomenclature des ouvrages qu’il contient : 1º
uctions allemandes de Gérard et d’un autre poète, il s’exprime en ces
termes
: « C’est à moi qu’il a réussi de découvrir un ty
re que la copie du Romulus primitif et dans le Romulus de Vienne, les
termes
de la réponse que la Grenouille fait à la demande
icelle qu’elle a en même temps attachée à sa patte, et voici en quels
termes
ces détails sont fournis : Rana illud circa collu
à une toutes les fautes qu’en ce moment je me contente d’indiquer en
termes
généraux. Au surplus, mes critiques, si quant à p
al, fait peu de cas du texte latin, n’en a pas moins maintenu, en ces
termes
, l’interprétation de Le Maître de Sacy :
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