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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
VII. La Lice et sa Compagne. Une Lice estant sur son terme , Et ne sçachant où mettre un fardeau si pressant,
disoit-elle, qu’à peine. Pour faire court, elle l’obtient. Ce second terme échû, l’autre luy redemande Sa maison, sa chambre
2 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm primvm] — Abstemius 93. De leone porcvm sibi socivm eligente » p. 
do auxilio non referunt pedem. f. Le texte de 1495 présente ici le terme « scriptis ». Nous corrigeons.
3 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — Abstemius 175. De pvero discere nolente » p. 
scere a nemine posse compelli. j. Le texte de 1495 présente ici le terme « litterium ». Nous corrigeons.
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 93. Le loup et le bouc » p. 680
i dist, quant il l’oï : « Tu n’averas ja de mei merci, kar ne te puis terme doner que jeo te veie vif aler. » — « Jeo ne quer
ar ne te puis terme doner que jeo te veie vif aler. » — « Jeo ne quer terme  », dist li bucs, « fors tant que jeo die pur vus
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 263 » p. 185
, envoyèrent des messagers auprès de Zeus, pour demander qu’il mît un terme à leurs travaux. Zeus, voulant leur démonter que
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — III. Phœbus et Borée. » p. 46
ut beau faire agir le colet et les plis. Si tost qu’il fut au bout du terme Qu’à la gageure on avoit mis ; Le Soleil dissipe
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 301 » pp. 265-265
pris à la chasse une perdrix, allait la tuer. Elle le supplia en ces termes  : « Laisse-moi vivre ; à ma place je te ferai pre
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
sme il en auroit la volonté, qu’il n’avoit pas neantmoins. A tous ces termes de compliment, le Renard ne fit point d’autre res
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
Xanthus aussi empesché qu’eux de leur en rendre raison, leur demanda terme pour y respondre. Il s’en alla donc en sa maison,
ré affranchy par un cry public qu’un trompette de la ville fit en ces termes . « Le Philosophe Xanthus donne aux Samiens la lib
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
est un frein à leur ressentiment. Que s’ils leur respondent, c’est en termes pleins de froideur, sans se laisser emporter à la
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
y demanda la cause de sa plaincte, qu’Esope luy fit cognoistre en ces termes . « Une femme », dit-il, « ayant depuis peu enseve
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
traicts de visage, et des proportions de corps, ce seroit rendre ces termes ridicules, puis que Dieu est incapable de matiere
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
les seuls, ô dénaturez, qui permettrez à vos Enfans de prononcer des termes dissolus, et de se rendre méchants plustost qu’il
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
ris d’enseigner à un animal de son espece la dance Pyrrhyque, dans le terme de dix ans, et qu’à dessein il s’estoit obligé en
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
e, l’experience nous faisant voir qu’un ennemy que nous avons mis aux termes de se vanger, est un Demon que l’on ne peut assez
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
i je puis, que la seule force de nostre sang, ou, pour m’expliquer en termes plus exprés, le seul instinct, est capable de ces
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
e ne croirois pas mentir, si je t’appellois le Roy des Oyseaux ». Ces termes de flatterie allecherent si bien le Corbeau, qu’i
18 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
itude. Il a soin, dans le prologue du livre III, de l’indiquer en ces termes  : Ego, quem Pierio mater enixa est jugo. C’est
le prologue de son livre III, eu le soin d’expliquer sa pensée en ces termes  : Neque enim notare singulos mens est mihi, Veru
orts à faire pour la découvrir ; car Phèdre lui-même l’indique en ces termes  : In calamitatem deligens quædam meam. Il suffi
igner à la composition de ce troisième livre ? Si l’on s’en tient aux termes du prologue, l’incertitude n’est pas possible : T
e c’est une exception à la règle qu’il a adoptée ; il s’excuse en ces termes à la fin de la fable x du livre III : Hæc exsecu
èrent pas une si belle occasion d’enrichir leur librairie (c’était le terme ), que celle que leur offrait la dispersion des li
e édition de Phèdre qu’il publia en 1809, Boinvilliers aggrava en ces termes l’erreur de Brotier : « Les fables de Phèdre deme
éjà mentionné de l’édition de Pithou, pourraient mettre facilement un terme à leur incertitude. Il porte écrites de la main d
em terminum operi statuere, et, comme ce prologue est conçu dans des termes qui ne permettent pas de le mettre en tête du liv
dans la première phrase de cette lettre Rigault fait allusion en ces termes au manuscrit de Reims, découvert par le Père Sirm
ult, pour la mettre en harmonie avec son nouveau travail, modifia les termes de la première phrase, mais laissa subsister la d
u xviie  siècle et le commencement du ixe , et, pour prendre un moyen terme , lui assigne le viiie  siècle. Au contraire le Pè
nts barbarismes, puisqu’il écrit en latin, et qu’il s’exprime en bons termes .” En accordant ces derniers mots à nos diplomatic
aniel dut être envoyé en Suède. Mais il ne trouva pas dans ce pays le terme de ses vicissitudes. La reine Christine, que l’am
Index codicum manuscriptorum Phædri il manifestait ses doutes en ces termes  : « Qui an hodie exstet in bibliotheca Vaticana a
ssus du titre se trouve la désignation générale de l’ouvrage dans les termes suivants : Phedi Aug. Liber. L. Œsophiarum Incip
rimé à Oxford en 1806, cette copie à la page 84 est mentionnée en ces termes  : N. Perotti Epitome Fabularum Æsopi, Avieni, et
ngt-trois à vingt-six, et dont le vingt-sixième était énoncé dans les termes suivants : Epitome fabularum Æsopi, Avieni et Ph
es, à la page 86, Cassitto, calomniant son rival, lui imputait en ces termes  : « Vitiatis quoque a Jannellio, ut fama est, hac
’est ce que, dans la fable ii du livre IV, il déclare lui-même en ces termes  :                              Rara mens intelli
t qu’il avait dû également composer toutes les autres. Voici en quels termes tranchants il s’exprimait sous l’influence d’une
vere, qu’il torture à plaisir, signifie étendre, augmenter, écrire en termes plus prolixes, tandis qu’en réalité il n’implique
struire. Ces procédés avaient été recommandés par Quintilien dans les termes suivants : « Igitur Æsopi fabellas, quæ fabulis n
utres auxquelles je ne veux pas m’attarder, faut-il admettre le moyen terme , la théorie éclectique hardiment jetée par M. du 
que Phèdre fut un auteur latin ; c’est lui-même qui le déclare en ces termes dans l’épilogue du livre II : Quod si labori fav
a cessant, et Porphyrius sous Sévère développe la même pensée en ces termes  : Ablata est Pythii vox haud revocabilis ulli Te
sa petite édition classique, n’hésite pas en 1847 à proclamer en ces termes l’authenticité des fables nouvelles : « Je n’ai j
e mal. Comme dans l’examen des Fables antiques, je prends encore pour terme de comparaison la fable intitulée le Geai vaniteu
assez logique, et lorsque, laissant voir qu’il en préférait le second terme , Nilant le formulait, il mettait instinctivement
onner pour les thèses les plus excentriques, Christ adopta le premier terme du dilemme. Il en fut de même de Hauptmann304. Es
j’ai publié dans ma première édition, le prologue est annoncé en ces termes  : Incipit Prologus in tres libros fabularum Æsopi
t oublier Phèdre et que le nom de Romulus finit par être une sorte de terme usuel employé à exprimer non pas un nom d’auteur,
mulus primitif, et, si c’est un de ses dérivés en prose, d’ajouter au terme générique une dénomination spéciale. Le Romulus p
le qui m’a déjà, pour les collections précédemment étudiées, servi de terme de comparaison. La voici d’abord telle qu’elle es
ces observations, ajouter à l’exemple que j’ai choisi quelques autres termes de comparaison toujours empruntés au manuscrit Bu
ue ce dernier avait dû avoir son anonyme pour origine. Voici en quels termes , dans sa préface, il exprime cette opinion : « Je
La fin du livre I et le commencement du livre II sont indiqués en ces termes  : Explicit liber primus. Incipit liber secundus.
fin du livre II et le commencement du livre III sont annoncés en ces termes  : Explicit liber secundus : incipit liber terciu
.iª). Fin du livre III, suivi de la table du livre IV annoncée en ces termes  : Incipit registrum capitulorum quarti libri Eso
Fin de la table et commencement des fables d’Avianus annoncées en ces termes  : Sequuntur fabule auiani quarum reegistrum (sic
a (p. ii a). — Fin des 27 fables d’Avianus, et table annoncée en ces termes  : Fabularum Auiani antedictarum Registrum sequit
vitæ. La première, dans le petit format in-fº, est mentionnée en ces termes par Panzer334 et par Hain335 : Exemplario contra
ant à Panzer, l’a-t-il, à son tour, sous le nº 338, mentionnée en ces termes  : … per Gerardum Leeu in opido Goudensi 1482. 4.
Dyalogus, n’aurait pas manqué de nuire à son débit. D’autre part, les termes , dans lesquels Panzer avait mentionné l’édition d
de l’édition de Bâle. La fin en est, au feuillet 203, annoncée en ces termes  : Mythologi Esopi clarissimi fabulatoris : una c
1650, dans le format in-8º, avec gravures sur bois. Voici dans quels termes elle est signalée par ce catalogue : Erneuester
marché, et au bas de la page le lieu et la date sont indiqués en ces termes  : Zu Basel, Anno 1676. Il existe un exemplaire
premier liure. Fol. 19 a. — Commencement du livre I, annoncé en ces termes  : Cy commence la preface du premier liure de eso
eum sous la cote 12 304. aaa.32, est mentionnée au Catalogue dans les termes suivants : The Fables of Esope in English with a
table, non numérotés. Au frontispice on lit, formulées dans les mêmes termes dont l’orthographe est seulement plus moderne, le
la cote E. 1889, en possède un exemplaire, elle est mentionnée en ces termes  : The Fables of E. in English with all his life
 vº). — Commencement du livre IV des fables de Romulus indiqué en ces termes  : Aqui comiença el quarto libro del ysopo. Fol
Fol. 1 a. — Titre encadré d’ornements xylographiques et conçu en ces termes  : Libro del ysopo famoso fabulador historiado in
lusieurs opuscules, que le catalogue imprimé de 1871 énumère dans les termes suivants : « Historiettes pieuses, parmi lesquell
leurs, je dois ici transcrire celui du Miroir doctrinal. En voici les termes  : Tales sunt et morales Æsopi fabulæ, de quibus e
, qui forme un gros volume du grand format in-8º, est décrit dans les termes suivants : « Codex membranaceus, olim Colbertinus
ue imprimé des manuscrits des collèges d’Oxford366, été décrit en ces termes  : Codex membranaceus, in-folio, ff. 463, sec. xi
imé dans cette ville en 1777367, signale, sous la cote VIII, dans les termes suivants un manuscrit du Miroir historial contena
par une souscription imprimée en lettres capitales et conçue dans les termes suivants : Explicit. specvlvm. historiale. fra||
sairement qu’elle fût l’œuvre de Mentellin. Voici d’ailleurs en quels termes il la mentionne : Vincentii Bellovacensis ordini
i seule existait pour eux, en avait été la source. C’est réduit à ces termes simples que le problème se présenta à Lessing400,
avant traduisant en latin les fables grecques d’Ésope. Voici en quels termes tout cela est expliqué : « In principio hujus lib
ans son Histoire des poètes, cet illustre critique s’exprimait en ces termes  : « On pourrait aussi, au nombre de ces poètes, c
temps elle était vivement combattue. Il le déclarait lui-même en ces termes  : « Vous ne pouvez vous figurer à quel point cert
note que l’auteur véritable était Ugobard de Sulmona. Conçue dans des termes analogues à ceux des gloses des manuscrits de la
ogne, épouse du roi Philippe VI, à qui le traducteur les dédie en ces termes  : Ce livret que cy vous récite Plaist à oïr et s
ication des fables inédites du moyen âge, s’exprime à son tour en ces termes  : « De fréquentes antithèses, de continuels rappr
r y établir une discipline sévère. C’est ce qu’Abélard affirme en ces termes  : « Elapsis autem paucis annis, cum ex infirmitat
u volume, auquel il donna la cote 713, en indiqua le contenu dans les termes suivants : 1º Boecius de disciplina scholarum ;
e blancs, contiennent diverses pièces que le Catalogue analyse en ces termes  : « Les prières qui terminent le volume occupent
is de l’ouvrage lui-même, dont le premier chapitre est annoncé en ces termes  : Sequitur primum capitulum , et dont la fin, au
ti Mathie apostoli. Au-dessous une table des matières donne dans les termes suivants la nomenclature des ouvrages contenus da
ouvrages, dont l’énumération figure au-dessus de l’ex-libris dans les termes suivants : Vocabularius parvus usque p. Esopus m
Il comprend plusieurs ouvrages, dont la nomenclature a été, dans les termes suivants, établie sur la première page : Liber c
ns ancien. Sur ce feuillet le contenu du manuscrit est indiqué en ces termes  : In hoc libro continentur hi poetæ manuscripti 
inq premiers sont occupés par les fables de Walther, signalées en ces termes  : Æsopi fabulae versibus elegiacis expressae , e
interprétées par des gloses ; c’est ce que le catalogue révèle en ces termes  : Æsopi fabulae cum commento et glossis. L.
es d’un commentaire ; c’est ce que le catalogue fait connaître en ces termes  : Æsopi fabulæ cum commento. M. Manuscrit 1
de Walther commençant au feuillet 292 a. Elles sont signalées en ces termes  : Æsopi fabulae metrice cum commento. N. Ma
r, qui, au bas de la 2e colonne de la page 200, sont annoncées en ces termes  : Incipit liber hisopi. Les fables sont dépourv
us bas la date à laquelle la copie a été exécutée, est énoncée en ces termes  : Anno domini mo iiiio xxxii. D. Manuscrit 
chemin, sur le recto duquel le contenu du volume est indiqué dans les termes suivants : « In hoc libro continentur : Albertanu
uvrages, qui sont sur un premier feuillet en papier indiqués dans les termes suivants : 1º Poetica quædam incerta et antiqua
sur un feuillet ajouté en tête, plusieurs ouvrages énumérés dans les termes suivants : 1º Catonis commentum (fol. 1 a à 5 b)
s’étend du feuillet 1 a au milieu du feuillet 30 b, est visé dans les termes suivants sur un premier feuillet en papier : Pro
t du xive  siècle. Les ouvrages qu’il contient sont énumérés dans les termes suivants sur le premier des deux feuillets en par
, se lisent les mots yesus maria . Le titre général est conçu en ces termes usuels : Incipit liber esopi. Les fables ne son
ccupés par le poème d’Eva columba, en vers hexamètres, annoncé en ces termes  : Incipit liber eue columbe. Il est formé, aprè
d’octobre. 1487. Panzer, t. I, p. 8, nº 31, signale dans les termes suivants une édition in-4 qui a été imprimée à An
di Mago 1523. Le manuscrit renferme deux ouvrages mentionnés en ces termes par M. Palermo : 1º  Volgarizzamento, parte inter
ées d’un prologue, qui, au recto du premier feuillet, commence en ces termes  : Sforza si la presente scriptura , etc. Elles
sia Dio laudato et benedicto ! Amen. Cette mention finale existe en termes un peu différents dans l’édition Berti et manque
recto du troisième, vient la nomenclature des fables, annoncée en ces termes  : Qui commencia li capitoli de Eso-||po et prima
logue de cette bibliothèque (t. I, p. 14, 2e col.) la décrit dans les termes suivants : « Vita (et Favole). (Latine et Italice
tifier le pompeux éloge que le même bibliographe a fait de lui en ces termes  : Philosophus enim habebatur eruditus, theologus
cte, et je suppose plus exacte celle que Tanner477 a rapportée en ces termes  : Eclipsin patitur sapientia, sol sepelitur, Qui
faut comparer les textes ; c’est ce que je vais faire en prenant pour terme de comparaison le premier distique de la première
ulæ antiquæ, et que Neckam au contraire, s’en emparant, répète en ces termes  : Si datur illis turba Canum. Il y a mieux : l
Dans le catalogue ci-dessus indiqué, le contenu en est analysé en ces termes  : Fabulæ Æsopi. Integumenta elegiacis versibus s
l’abbé de la Rue n’hésita pas à la traiter de nouveau. Voici en quels termes il s’exprime : « Legrand d’Aussy, dans la préface
s deux manuscrits dans lesquels on les trouve formulés dans les mêmes termes , de sorte qu’ils ne sauraient être considérés com
ils ne sauraient être considérés comme l’œuvre de Marie ; ensuite les termes , dans lesquels ils sont formulés, sont souvent tr
feuillets ajoutés en tête porte une table des matières conçue en ces termes  : I. Sermones de Voragine, en Prose. II. Histoir
en papier, au verso duquel le contenu du volume est indiqué dans les termes suivants : 1º L’image du Monde par Gautier de Me
. Cette lacune, au bas du recto du feuillet 89, a été indiquée en ces termes par un bibliothécaire, qui, faute d’y avoir regar
hoses, je ne prends, dans chacun des trois textes, qu’une phrase pour terme de comparaison : Romulus primitif : Hii sunt co
doptant pour chacun d’eux la même formule, en a indiqué le contenu en termes trop laconiques pour le faire connaître. Voici en
e sur le texte latin ; car elle-même dans son épilogue déclare en ces termes que c’est de la traduction anglaise qu’elle a fai
apostoli. Sur la même page, le contenu du volume est indiqué en ces termes  : Liber fabularum Esopi cum moralisacionibus atq
ture est du xve  siècle. Le catalogue de la Bibliothèque donne en ces termes la nomenclature des ouvrages qu’il contient : 1º
uctions allemandes de Gérard et d’un autre poète, il s’exprime en ces termes  : « C’est à moi qu’il a réussi de découvrir un ty
re que la copie du Romulus primitif et dans le Romulus de Vienne, les termes de la réponse que la Grenouille fait à la demande
icelle qu’elle a en même temps attachée à sa patte, et voici en quels termes ces détails sont fournis : Rana illud circa collu
à une toutes les fautes qu’en ce moment je me contente d’indiquer en termes généraux. Au surplus, mes critiques, si quant à p
al, fait peu de cas du texte latin, n’en a pas moins maintenu, en ces termes , l’interprétation de Le Maître de Sacy :        
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