au contraire aux écarts variés de leur imagination ? Parmi toutes les
éditions
, quelle était la bonne ? En existait-il même une
e il s’intéresse à mon voyage. L. HERVIEUX. Préface de la deuxième
édition
Dans la préface de ma première édition de Phèd
. Préface de la deuxième édition Dans la préface de ma première
édition
de Phèdre et de ses dérivés directs et indirects,
vant de donner une suite à mon premier travail, en faire paraître une
édition
nouvelle à laquelle je pusse ensuite, sans regret
rent de me déterminer. D’une part, depuis l’apparition de ma première
édition
, j’avais découvert de nouveaux documents qui la r
ditions et des retranchements. À ce point de vue encore, une deuxième
édition
me parut nécessaire. En retardant la poursuite de
ant analyser la savante dissertation, par laquelle Jannelli, dans son
édition
des nouvelles fables de Phèdre24, a essayé à son
u savant Pierre Burmann, qui, par une note insérée dans sa magnifique
édition
in-4, de 172728, avait eu soin de la signaler et
tre parvenu tout entier. Par suite de divisions arbitraires, dans les
éditions
imprimées il se compose de dix fables ; mais en r
du manuscrit. Lorsqu’au mois de septembre 1596, parut la première
édition
des fables de Phèdre, elles étaient entièrement i
sson, pour le faire imprimer à Troyes sous ses yeux71. » La première
édition
des fables de Phèdre est excessivement rare : peu
par Julien, surnommé Antecessor, et il avait dédié à son frère cette
édition
imprimée à Bâle. C’est à quoi ce dernier fait all
nq cens quatre-vingt-seize. « Ainsi signé : P. Pithou. » Telle est l’
édition
publiée par Pierre Pithou. Je n’en connais que 14
i de la Bibliothèque Sainte-Geneviève. Daunou, dans son article sur l’
édition
diplomatique de M. Berger de Xivrey73, publié dan
i collationné les notes manuscrites de cet exemplaire avec celles des
éditions
de Rigault, et j’ai vu qu’elles étaient presque i
bibliothèque Sainte-Geneviève, mais qu’encore c’est pour sa première
édition
qu’il s’est livré à ce travail préparatoire. Au-d
littéraire, 1787, t. VIII, page 228. » Cet exemplaire de la première
édition
de Pithou est passé, en 1765, dans la Bibliothèqu
subir. La Bibliothèque de Troyes possède aussi deux exemplaires de l’
édition
de Pithou, qui, dans le fonds appelé Cabinet loca
ussi a-t-il été d’un grand secours au philologue suisse Orelli pour l’
édition
qu’en 1831, à Zurich, il a donnée des anciennes f
ant bibliothécaire voulut bien aussi me communiquer l’exemplaire de l’
édition
de Pithou ; il portait sur le catalogue le nº 252
ers italiens, contenu dans six pages.) Les notes, mises en marge de l’
édition
de Phèdre, sont d’une écriture très nette et très
et très lisible. Malheureusement, si petit que fût le format de cette
édition
, il était encore plus grand que celui des autres
et al. » J’aurais maintenant à m’occuper des trois exemplaires de l’
édition
de Pithou, conservés à Londres et à Oxford ; je m
des imprimés. Parmi les imprimés de ce fonds figure l’exemplaire de l’
édition
originale de Phèdre qui y porte la cote 384 E. 3.
e conservation. Tels sont les seuls exemplaires que je connaisse de l’
édition
publiée par Pierre Pithou. Je reviens maintenant
erre Pithou. Je reviens maintenant à l’éditeur lui-même. « Dès que l’
Édition
de Phèdre fut terminée, dit Grosley, M. Pithou, q
enrichit la République des Lettres ; il ne survécut que deux mois à l’
Édition
de ces Fables77. » Il mourut âgé de cinquante-se
s par son biographe80. Après ce que j’ai dit de Pierre Pithou et de l’
édition
qu’il a donnée des fables de Phèdre, il serait na
bibliothèque fut saccagée, et c’est seulement en 1596 que la première
édition
de Phèdre fut publiée. Celui qui sut, dès 1564, e
lambeau, il eût possédé les cinq livres de fables. Au surplus, dans l’
édition
originale de Pierre Pithou, on trouve la preuve m
l’ayant ensuite reçu de son frère, en aurait ainsi publié la première
édition
. On comprend, sans que j’aie besoin d’insister, t
j’aie besoin d’insister, tout ce qu’il y a d’erroné dans ce récit. L’
édition
de Pithou parut en 1596. Or, à cette époque, le P
emps, et il ne revint en France que douze ans après. Dans la mauvaise
édition
de Phèdre qu’il publia en 1809, Boinvilliers aggr
ès une étude consciencieuse du manuscrit qu’il en publia une nouvelle
édition
. Ceux qui douteraient qu’il y eut réellement reco
r à la bibliothèque Sainte-Geneviève l’exemplaire déjà mentionné de l’
édition
de Pithou, pourraient mettre facilement un terme
i expliqué, en transporta les variantes en marge d’un exemplaire de l’
édition
de Pithou. Mais, après ces deux savants, aucun de
tion une notice justement élogieuse, qui se terminait ainsi : « Cette
édition
préparée, disposée, exécutée avec un grand soin,
laires. Ce nombre devra paraître insuffisant et rendre nécessaire une
édition
nouvelle. » Le succès n’a pas répondu au mérite,
Avant de charger la librairie Firmin-Didot d’imprimer cette seconde
édition
, j’ai fait de nombreuses démarches pour être admi
à raison on soupçonne M. Berger de Xivrey d’avoir commises. Sinon, l’
édition
que je publierai sera une simple reproduction de
our le prote. Ainsi cette seule copie renferme tout le travail de son
édition
. Une aussi brillante facilité explique les immens
plusieurs idées que l’on s’était formées sur le manuscrit, d’après l’
édition
de Pithou, qui est la reproduction fidèle, non pa
manuscrit, mais de cette copie. « M. Adry, jugeant du manuscrit par l’
édition
, a établi une comparaison très fautive entre le m
entait quelques variantes. Il les copia en marge d’un exemplaire de l’
édition
de Pithou, et les communiqua à Rigault, qui s’en
dition de Pithou, et les communiqua à Rigault, qui s’en servit pour l’
édition
in-4º, imprimée par Robert Étienne, qu’il publia
liberti fabularum Æsopiarum libri V, nova editio. » Dans sa troisième
édition
, publiée en 1630, chez Sébastien Cramoisy, éditio
Dans sa troisième édition, publiée en 1630, chez Sébastien Cramoisy,
édition
in-12 qui n’a été qu’une réimpression de la secon
ta les mêmes variantes. Ceux qui n’auront dans les mains que ces deux
éditions
, pourront être portés à croire que Rigault se ser
se servit des variantes du manuscrit de Reims, même pour sa première
édition
in-12, publiée à Paris chez Drouart à la fin de 1
n in-12, publiée à Paris chez Drouart à la fin de 1599. En effet, les
éditions
de 1617 et de 1630 sont précédées d’une lettre au
ouvert par le Père Sirmond et utilisé pour la publication de ces deux
éditions
: « Phædri libellos, a me nuper ad fidem Pithœani
me. Pour trouver le mot de l’énigme, il faut se référer à la première
édition
de Rigault. Imprimée dans le format in-12 chez Am
fort embarrassé Schwabe, et l’a porté à croire à l’existence de deux
éditions
distinctes, qu’il suppose l’une in-8º, et l’autre
nctes, qu’il suppose l’une in-8º, et l’autre in-12101. Cette première
édition
, comme celles de 1617 et de 1630, portait en tête
datio. » Quant aux notes que Rigault avait insérées dans sa première
édition
, elles relevaient bien les variantes du manuscrit
crit était encore ignoré, et que plus tard, conservant en tête de ses
éditions
de 1617 et de 1630 sa lettre au président de Thou
nte, et, comme l’abbé Pluche, il n’avait nullement songé à donner une
édition
de Phèdre. En définitive, Gude et les bibliothéca
marge avec un soin méticuleux les variantes du manuscrit de Reims. L’
édition
Brocas, étant une édition de classe, ne contenait
leux les variantes du manuscrit de Reims. L’édition Brocas, étant une
édition
de classe, ne contenait pas les fables considérée
onnaître les variantes du manuscrit relatives aux fables bannies de l’
édition
Brocas, il n’avait pas été sans doute jusqu’à tra
indiqué les variantes, par lesquelles elles différaient du texte de l’
édition
bien connue de Pierre Danet, publiée en 1675 dans
promit à l’un des gardes de la Bibliothèque du Roi l’exemplaire de l’
édition
de la veuve Brocas, et, rentré à Saint-Remi, il s
, a eu le mérite de recourir aux sources, s’en servir pour composer l’
édition
qu’il publia en 1783. Adry l’étudia à son tour, e
ment des imprimés à la même bibliothèque, le précieux exemplaire de l’
édition
classique de la veuve Brocas, et il en publia, av
ru devoir reproduire en même temps dans son intégralité le texte de l’
édition
Brocas. Il s’est borné à indiquer les mots du tex
er de Xivrey montre bien en quoi le manuscrit de Reims différait de l’
édition
Brocas, mais ne laisse pas apparaître ce qui, dan
des leçons du manuscrit de Pithou. Quel était le texte exact de cette
édition
? Voilà ce qu’il était important de savoir. Dans
ir. Dans ce but j’ai longtemps essayé de découvrir un exemplaire de l’
édition
de 1743. Mais la veuve Brocas était le libraire c
t le libraire classique de son temps ; elle ne publiait guère que des
éditions
à l’usage des élèves des collèges ; celle de 1743
publiques, ni chez les marchands de livres anciens. En l’absence de l’
édition
de la veuve Brocas, ceux qui voudront reconstitue
upart des endroits où le manuscrit de Reims était en désaccord avec l’
édition
Brocas, il était conforme au manuscrit de Pithou,
rd, ainsi que je l’ai dit, Dom Vincent avait oublié de reporter sur l’
édition
imprimée les variantes des trente-quatre premiers
as attaché d’importance, soit enfin qu’il y eût eu conformité entre l’
édition
Brocas et le manuscrit de Reims dans des endroits
s vers, au fac-simile, dont j’ai parlé, et qui a été reproduit dans l’
édition
Panckoucke105, ensuite, pour le surplus, aux vari
otes écrites de la main du Père Sirmond en marge d’un exemplaire de l’
édition
de Pithou, et il ne s’est même pas préoccupé de r
inion d’Orelli. « Il faut tenir pour bien constant, écrit-il dans son
édition
de 1831, que toute variante tirée par Gude de MS,
puiser les variantes du manuscrit de Pithou que dans l’appendice de l’
édition
originale et dans les notes des diverses éditions
ans l’appendice de l’édition originale et dans les notes des diverses
éditions
de Rigault. Or, pour prendre quelques exemples au
imples lettres MS. Ne lui ayant été signalées ni par l’appendice de l’
édition
originale ni par les notes de Rigault comme appar
deux manuscrits, il a soin de le mentionner ; ainsi l’appendice de l’
édition
originale lui montrant que, dans le vers 12 de la
rtait ses notes manuscrites a disparu, et il est possible que, dans l’
édition
de M. Berger de Xivrey qui nous les a conservées,
ti Liber quintus explicit feliciter. » Comme, dans l’exemplaire de l’
édition
de 1743, le cinquième livre était suivi des fable
bre considérable des variantes relevées par Dom Vincent en marge de l’
édition
classique de 1743, on est tenté de croire que les
uve Brocas, adoptant les altérations ou améliorations successives des
éditions
antérieures, s’était écartée du manuscrit de Pith
u manuscrit de Pithou. Il existe donc beaucoup de différences entre l’
édition
de 1743 et le manuscrit de Reims ; mais les mêmes
. Ils les ont écrits comme de la prose. Dom Vincent, en voyant dans l’
édition
de Pithou une ligne consacrée à chaque vers, avai
eu de face ; une variante surtout lui semble significative : dans les
éditions
imprimées, conformes en cela au texte de Perotti,
re Daniel, sur un autre manuscrit sans doute, avait, en 1564, donné l’
édition
originale. Il n’entre pas dans mon plan de parler
it pas de Plaute, ceux qui désireront la lire, la trouveront dans les
éditions
de ses œuvres et notamment dans la collection des
olution de 1789 avait été le point de départ. Aussi Schwabe, dans son
édition
de 1806, était-il moins fixé sur le sort du manus
lection et qui n’est avec quelques additions que la réimpression de l’
édition
de Schwabe, et j’y trouvai une note du bibliophil
re à rester dans une pareille ignorance, et j’étais convaincu que les
éditions
de Phèdre plus récentes me fourniraient le rensei
ents précis soit dans le supplément ajouté par Orelli, en 1832, à son
édition
de Phèdre publiée à Zurich l’année précédente, so
cepter l’opinion du savant cardinal130, et moi-même, dans la première
édition
de cet ouvrage, j’avais exprimé le même avis. J’i
rchaient pas dans ce manuscrit, en signalent seulement sept dans leur
édition
de la chanson de geste, intitulée Otinel 133. Leu
reurs relatives au nombre même des fables. Depuis la publication de l’
édition
de Pithou jusqu’à la mort d’Alexandre Petau, c’es
vants français. Mais, sauf Rigault, nul ne s’en était servi. Dans son
édition
de 1599, il en avait signalé les variantes qui lu
s après les autres, les erreurs les plus étranges. Si l’on consulte l’
édition
de Phèdre due au Père Desbillons, on l’entend aff
e inclusivement. » Adry avait remarqué que jusqu’à la xxie fable les
éditions
savantes révélaient des variantes tirées du manus
ne pouvaient qu’être purement imaginaires. Depuis la publication de l’
édition
de Pithou jusqu’à la mort d’Alexandre Petau, c’es
nts français ; mais, sauf Rigault, nul ne s’en était servi. Dans son
édition
de 1599, ce dernier, qui en avait d’ailleurs asse
Puis, s’étant aperçu de son erreur, il avait, dans ses deux dernières
éditions
publiées en 1617 et en 1630, supprimé l’indicatio
uppression. Il en est résulté que Meursius, sur la foi de la première
édition
de Rigault, a, dans ses notes sur Phèdre, en l’at
dont je dois dire ici quelques mots. Lorsque j’ai publié la première
édition
de cet ouvrage, je ne l’avais pas encore rencontr
été copiés avec une exactitude mathématique, et si, dans la première
édition
de cet ouvrage, je n’avais pas déjà, par la publi
des extraits plus étendus du manuscrit. Burmann achevait sa dernière
édition
des fables de Phèdre, et il allait livrer son tra
qu’offraient les anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa dernière
édition
put ainsi paraître en 1727. Quant à d’Orville, il
: « Valart et Philippe la consultèrent avec fruit pour leur élégante
édition
de Phèdre, chez Barbou, 1748. Après l’abolition d
esseur de cet extrait de d’Orville, et s’en servit utilement dans son
édition
de Phèdre, donnée à Paris en 1783. Après sa mort
couvert le manuscrit de l’Epitome de Perotti 161. » Dans la première
édition
de mon ouvrage sur les Fabulistes latins, je n’av
sée la croyance à l’existence de cette copie ? Sur ce que, dans leurs
éditions
de Phèdre, Étienne André Philippe et le Père Gabr
e Perotti. Il est vrai que Philippe avait relevé ces variantes dans l’
édition
qu’il publia, non pas, comme le dit le Père Desbi
mon, en 1748164. Dans le Delectus variarum lectionum que contient son
édition
, Philippe, lorsqu’il signale les variantes du man
riantes ? La réponse est facile : il lui a suffi de les puiser dans l’
édition
, dans laquelle, en 1727, Burmann avait pris la pe
es trente-deux fables nouvelles que contenait le manuscrit. C’est une
édition
in-8º de 23 pages, sans l’épître et sans l’index.
e la date du seizième jour avant les calendes de décembre 1808. Cette
édition
n’a été tirée qu’à 50 exemplaires. Elle est, on l
e déjà une copie en avait été prise. Il s’était mis à l’œuvre, et son
édition
, en vertu d’un décret qu’il avait sollicité et ob
s longues dissertations, qu’il comptait faire imprimer en tête de son
édition
. La première intitulée : Dissertatio I. qua de Pe
au public, telle que deux ans auparavant elle avait été imprimée, son
édition
du fameux manuscrit. Le temps n’avait pas calmé s
ers facilement lisibles dans le manuscrit manquent entièrement dans l’
édition
de Cassitto. Puis d’innombrables fragments de ver
bien avérée, et que tout le monde eut reporté son attention sur notre
édition
, la brochure de Cassitto fut presque entièrement
jointe, ainsi que je l’ai dit, aux retards si prolongés subis par mon
édition
, m’ont fait penser que, pour te détourner de port
s cela n’était rien encore, comparé à ce qui suivit. Dans sa première
édition
, sauf treize petites poésies épigrammatiques qu’i
des notes courantes. Quelques semaines après, il publia une nouvelle
édition
qui ne contenait que les fables de Phèdre ancienn
près en même temps que le Codex Perottinus de Jannelli, et, comme son
édition
spéciale des fables de Phèdre tirées du manuscrit
issertationes | tres. | Neapoli 1811. | Ex regia typographia. Cette
édition
était précédée d’un avis au lecteur en cinq pages
l’exaspération. Il avait appris que Cassitto préparait une troisième
édition
d’une vingtaine de pages de petit format, dans la
tableau qui permet de comparer ensemble : 1º Le texte de la première
édition
de Cassitto publiée en 23 pages à la fin de l’ann
to publiée en 23 pages à la fin de l’année 1808 ; 2º Le texte de son
édition
imprimée en 1809 et publiée en 287 pages aux ides
ée en 287 pages aux ides de février 1811 ; 3º Le texte de la deuxième
édition
de Cassitto, publiée en 4 pages aux nones de févr
ius et duæ mulieres et figurant dans le tableau comparatif : Première
édition
de Cassitto, fable iv, vers 13 et s. : Ideo quum
m nasi longitudinem, Et alium ridens, ipsa ridenda extitit. Deuxième
édition
de Cassitto, fable iv, vers 13 et s. : Ideo quum
i, avant même qu’elle n’eût été livrée au public, contre la troisième
édition
de Cassitto, n’avaient pas empêché ce dernier d’e
Neapoli, 1811, ex officina monitoris vtr. Siciliae. Cette troisième
édition
forme un volume in-8º de 274 pages, qui sont chif
lques heures étaient absolument insuffisantes ; Que, dans la première
édition
de Cassitto, les nouvelles fables sont en désacco
obscurs, mais encore dans ceux qu’il était aisé de déchiffrer ; Que l’
édition
de Jannelli s’est au contraire trouvée conforme a
r la comparaison on pourra s’en convaincre, les deuxième et troisième
éditions
de Cassitto s’écartent profondément de la premièr
ofondément de la première et se confondent presque entièrement avec l’
édition
de Jannelli ; Que, dans les endroits où des diffé
lli ; Que, dans les endroits où des différences existent, ce sont les
éditions
de Cassitto qui sont contraires au texte du manus
avant Heyne, à qui Cassitto avait envoyé un exemplaire de sa première
édition
, manifestait des doutes, que les fautes dont elle
et partout, dès l’année 1812, on s’empressa d’en publier de nouvelles
éditions
. Adry en cite trois, publiées à Paris au cours de
II. En tête du volume que je possède, une main inconnue a écrit : «
Édition
donnée par les soins de M. Chambry. » La troisiè
écrit : « Édition donnée par les soins de M. Chambry. » La troisième
édition
, en 228 pages sans compter la dédicace à M. le ba
et en prose française | par M. Bagioli | avec les notes latines de l’
édition
originale | et précédée[s] d’une préface français
t l’ébranler. En tête de l’exemplaire, que j’ai entre les mains, de l’
édition
Petronj, se trouve, sur la page blanche en regard
e ici ne serait pas à sa vraie place. Je continue la nomenclature des
éditions
publiées en 1812. En Italie, où sans doute on éta
doute on était fier de la découverte et des travaux de Jannelli, une
édition
de luxe, dans le format in-folio, fut immédiateme
um notis. | Mediolani | Typis F. Fusii et socior. | M.DCCC.XII. Une
édition
plus modeste fut en même temps publiée dans le fo
le commencement de la même année, il fut, comme en Italie, publié une
édition
in-folio, assez mal imprimée d’ailleurs et compos
ficina Caroli Schlotteri 178. Puis, comme en Italie, fut publiée une
édition
courante, in-8º, de 46 pages, qui ne contenait qu
, | apud J. G. Cottam, 1812 179. Les années suivantes, de nouvelles
éditions
continuèrent à être publiées. Mais je m’abstiens
sse du libraire Giuseppe Dura, chez qui je trouvai un exemplaire de l’
édition
du manuscrit publiée en 1809 par Jannelli. Il me
s classiques du Vatican, le philologue Orelli, à Zurich, publiait une
édition
de Phèdre, dans laquelle il avait fait figurer, d
s d’un manuscrit fort ancien, et Rigault, qui avait ensuite, dans ses
éditions
, donné les variantes de ce manuscrit et de ceux d
ans cette circonstance, garder son sang-froid. Dans la préface de son
édition
in-4º de 1727, il commence par supposer que Perot
on ne sçavoit pas le Latin. « Lorsqu’on annonça en Europe la première
édition
de Phedre, cette découverte d’un Manuscrit qui av
mps, parut d’abord suspecte à tous les Sçavans. Mais après avoir lû l’
Edition
que venoit de donner M. Pithou, il ne resta aucun
équence qui se présentait naturellement. » Le Père Brotier, dans son
édition
des fables de Phèdre publiée à Paris en 1783, ado
t qualifié de méchant homme226. Le judicieux Père Desbillons dans son
édition
des fables de Phèdre, publiée à Mannheim en 1786,
e jeter un coup d’œil rapide sur les arguments par lesquels, dans son
édition
des fables de Phèdre, publiée en 1806, il a reven
t j’ai donné l’analyse. Publiée à Brunswick, en 1806, dans sa seconde
édition
des fables de Phèdre, elle atténua les doutes, ma
tantes du procès fussent perdues. » Elles furent enfin retrouvées. L’
édition
que Schwabe avait publiée en 1806, fut rééditée p
cette tâche, la confia à M. Berger de Xivrey. J’ai assez parlé de son
édition
diplomatique pour n’avoir pas besoin de redire ce
r procurer. Le savant Daunou, dans l’article qu’il a consacré à cette
édition
et qui a paru dans le Journal des savants au mois
E. Panckoucke, malgré toutes les erreurs que j’ai signalées dans son
édition
, a eu le mérite d’y joindre un second document, d
es mains, et je puis affirmer qu’il a été exactement reproduit dans l’
édition
Panckoucke. Lorsque parut la publication de M. Be
ute ainsi que Babrius servi de l’ïambe grec. » Ici, s’appuyant sur l’
édition
diplomatique de M. Berger de Xivrey, M. du Méril
it la faute de Cassitto, qui, ayant rempli à la hâte dans sa première
édition
les lacunes du manuscrit, avait soumis à Heyne un
ésulte que, si, au lieu de lire les fables nouvelles dans la première
édition
de Cassitto, Heyne les avait examinées dans celle
nt quinze ans, l’opinion d’Adry s’imposa aux érudits. En 1826, dans l’
édition
des fables de Phèdre, publiée par Gail sous la di
cette réaction commençait déjà à se faire sentir ; car, dans la même
édition
de Phèdre, Gail, faisant précéder d’une préface l
teurs qui l’ont suivi. Dübner notamment, dans la préface de sa petite
édition
classique, n’hésite pas en 1847 à proclamer en ce
Si Perotti avait adopté un classement tel que celui auquel, dans son
édition
du manuscrit de Naples270, Jannelli a eu recours,
l a mis en tête de la fable ancienne : Muli et Latrones, qui dans les
éditions
de Phèdre est la viie du livre II, quinze vers é
ité ; nous prouvons même qu’on ne le doit pas. En effet, comme dans l’
édition
de Dressler276, elles formeraient un sixième livr
urs ont cru devoir former le livre II. Dans le second volume de cette
édition
je m’expliquerai plus complètement sur ce point.
mpare, et l’on remarquera que les huit fables nouvelles, qui dans les
éditions
sont intitulées : De Scrofa et Lupo, De Junone, V
’ils n’étaient pas fondés, que non seulement dans la plupart de leurs
éditions
de Phèdre ils n’ont pas cessé de publier les fabl
anciennes, mais qu’ils ont encore continué à faire des nouvelles des
éditions
spéciales, qui sont en quelque sorte le désaveu i
aujourd’hui les doutes sont presque entièrement dissipés, et dans les
éditions
du fabuliste romain les fables nouvelles sont pla
i semble contenir l’aveu de leur triomphe définitif. Chapitre IV.
Éditions
des fables de Phèdre. Dans ce dernier chapitre
dernier chapitre sur Phèdre je devrais peut-être énumérer toutes les
éditions
et toutes les traductions de ses fables. Mais le
ables. Mais le nombre en est infini. De plus, Schwabe dans sa seconde
édition
et Gail dans celle de la collection Lemaire ont e
ée 1806 et poussée par l’autre jusqu’à l’année 1822. Comme leurs deux
éditions
sont dans toutes les mains, je crois pouvoir m’ab
is diviser ce chapitre en deux sections, consacrées ; la première aux
éditions
qui ne contiendront que le texte latin, la second
quelles le texte latin sera accompagné d’une traduction. Section I.
Éditions
du texte latin. 1713. Phædri Fabulæ, q
Fabulæ Græcæ et latinæ, ex variis Authoribus, cura T. Dyche. Seconde
édition
. In-12. 1721. Phædri Augusti Liberti et
P. Syri sententiis, parallelisque fabulis J. de La Fontaine. Nouvelle
édition
suivie de notes grammaticales, etc. Par une socié
ta et emendata. Paris, Renouard. In-8º de 21 feuilles un quart. Cette
édition
contient aussi les fables de Phèdre. Phædri Aug.
466 pages, qui, n’étant que la réimpression partielle de la deuxième
édition
de Schwabe, comprend seulement : La vie de Phèdre
ia. In-8º maj. 1840. Fabularum A. L. Phædri libri V. Nouvelle
édition
par A. de Savary. Paris, Maire-Nyon. In-12 de 12
de 12 feuilles et demie. Phædri Aug. lib. fabular, libri V. Nouvelle
édition
d’après les meilleurs textes avec sommaire et not
1851. Phædri fabularum libri V cum fabellis novis. Nouvelle
édition
publiée avec des notes en français et suivie des
ntitulées : Indice. 1855. Phædri fabularum libri V. Nouvelle
édition
d’après les meilleurs textes, renfermant des note
feuilles 1 sixième. Phædri Augusti lib. fabularum libri V. Nouvelle
édition
d’après les meilleurs textes, avec une vie de Phè
In-18 de 6 feuilles. 1858. Phædri Aug. lib. fabularum libri.
Édition
classique précédée d’une notice littéraire par D.
96 pages. 1861. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle
édition
avec des notes, un dictionnaire et les fables de
xv-144 p. 1873. Phædri Aug. lib. fabularum libri V. Nouvelle
édition
, publiée avec des notes en français et un choix d
In-18 de x-117 p. Phædri Augusti liberti fabularum libri V. Nouvelle
édition
, publiée avec des notes en français et des fables
-18 de x-117 p. 1877. Phædri Aug. liberti fabularum libri V.
Édition
classique, à l’usage des élèves de sixième avec d
6 de 93 p. 1879. Phædri Aug. lib. fabular. libri V. Nouvelle
édition
, d’après les meilleurs textes, précédée d’une not
). In-12 de xii-200 p. 1880. Phædri fabul. libri V. Nouvelle
édition
classique avec les fables de La Fontaine en regar
et vingt-deux des nouvelles. 1882. Fables de Phèdre. Nouvelle
édition
publiée par M. l’abbé Frette. Paris, impr. Lahure
xii-87 pages. 1883. Phædri Augusti liberti Fabularum libri.
Édition
classique précédée d’une notice littéraire par M.
18 de xvi-76 pages. 1884. Fables choisies de Phèdre. Nouvelle
édition
classique abrégée, graduée et annotée, contenant
ent une partie des fables anciennes (pages 97 à 138). Section II.
Éditions
des traductions. § 1. — Traductions français
n entendre la langue Latine, et à bien traduire en François. Septième
édition
reveüe et corrigée. A Paris, chez Claude Thiboust
entendre la Langue Latine, et à bien traduire en François. Cinquième
édition
. A Lyon, chez F. Larchier, proche l’hôpital. Avec
hy d’Avgvste traduites en François avec le Latin à côté, etc. Sixième
édition
. A Lyon, chez Antoine Molin, vis-à-vis le grand C
ies de 6 pages de table non numérotées. Réimpression de la précédente
édition
. 1705. Les Fables de Phèdre affranchy
et les sentences non traduites de A. Sénèque et de Syrus Mimus. Cette
édition
, quoique citée par Schwabe, est mentionnée ici, p
uites en françois, augmentées de huit fables qui ne sont pas dans les
Éditions
précédentes, expliquées d’une manière très facile
égaux, enrichies de notes et traduites en français, conformément à l’
édition
latine donnée en faveur des étudiants, avec les s
Fables de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites en français. Dernière
édition
, revue et augmentée. Avignon, J.-A. Joly. In-18 d
traduites en français avec le texte en regard revu sur les meilleures
éditions
. Par M. G. Duplessis, inspecteur de l’Académie ro
Fables de Phèdre, latin-français, traduction de l’abbé Paul. Nouvelle
édition
adaptée à celle de Brotier, augmentée de la tradu
vers français avec le texte en regard. Par M. Bouriaud aîné… Seconde
édition
… Paris, L. Hachette, et Limoges, Ardant (1re édit
ud aîné… Seconde édition… Paris, L. Hachette, et Limoges, Ardant (1re
édition
, 1819). In-12 de 11 feuilles. Nouvelles Fables at
latin et en français, avec version interlinéaire en regard. Nouvelle
édition
conforme à celle de Brotier, augmentée : 1º d’un
Fables classiques de Phèdre, vers pour vers, principalement suivant l’
édition
petit in-18 de Jules Delalain, par Domeck, chef d
ripurgate in volgar prosa Toscana recate a riscontro del testo latino
ed
illustrate con note di varie maniere per Sebastia
sto Libri cinque con Appendice di XXXIV favole Riportate dal Burmanno
ed
altra di XXXII publicate in Napoli nel MDCCCXI. T
scrit a été également adoptée par M. Oesterley dans la préface de son
édition
du Romulus Burnéien, et m’a été à moi-même exprim
hrb. f. Philol. 1866, pages 266 et s., par M. L. Müller, qui pour son
édition
a eu recours au texte de ce manuscrit. Fol. v b à
s : In quattuor versus omnis , etc. C’est celui qui est à la fin des
éditions
de l’auteur. Après viennent des annotations diver
feuillets 138ª à 144ª et le recto du feuillet 187.) Dans ma première
édition
, je terminais cette analyse en exprimant le regre
catalogué sous la cote 763, c. xiii, est un exemplaire de la deuxième
édition
de Phèdre, publiée par Rigaut et imprimée par Rob
r une place dans cette étude sur les Fabulæ antiquæ. Section III.
Éditions
des Fabulæ antiquæ. Malgré son importance, la
ue illisible, il parvint à la déchiffrer et à donner du manuscrit une
édition
, qui parut à Leyde chez Théodore Haak en 1709293
hez Théodore Haak en 1709293 et que j’ai déjà mentionnée. C’est cette
édition
, publiée dans le format in-12, qui a fait souvent
rinus, enfin, pour les compléter, quinze autres fables empruntées à l’
édition
d’Ulm et précédées de cet avis : Sequentes fabul
i phrases diserte exhibent, eas in postremo agmine collocavi. Cette
édition
de Nilant est assez rare ; j’ai pu néanmoins m’en
du manuscrit et analyse des études antérieures. Schwabe, dans son
édition
de Phèdre publiée en 1806, nous apprend bien que
gnorance était peu excusable. Lorsqu’en 1837 Dressler travaillait à l’
édition
qu’il a donnée de Phèdre, il voulut éclaircir ce
vidit, deinde sic cœpit loqui. Enfin, pour achever le désaccord, l’
édition
sur laquelle Gude travaillait formulait ainsi le
Corvus : cur dolosis Fuisset deceptus fraudibus ut ignavus. Enfin l’
édition
dont Gude se servait présentait ainsi les deux de
puleuse fidélité. C’est ainsi que j’ai pu le publier dans ma première
édition
. Mais, comme, malgré toute ma vigilance, je n’éta
ttel. Quant au volume lui-même, depuis la publication de ma première
édition
ayant été à Wolfenbüttel en prendre connaissance,
qui semble tout naturel, quand, grâce au fac-similé qui existe dans l’
édition
de M. Berger de Xivrey, comparant les deux écritu
ait une copie que j’ai retrouvée depuis la publication de ma première
édition
et qui m’a paru remonter, sinon à la fin du xvie
au moyen âge ; car il fut imprimé souvent au xve siècle en tête des
éditions
scolaires des fables de l’Anonyme de Névelet, qui
gnements dans le Supplementum supplementi Chronicarum, ouvert une des
éditions
anciennes de la traduction latine de la vie d’Éso
onnement une base plus sûre et plus précise. En effet, en tête de ces
éditions
se trouvent généralement deux épîtres dédicatoire
pour les savants le principal élément de discussion. Dans la vieille
édition
d’Ulm, imprimée par Zeiner, elle commence par ces
ion d’Athénien, que c’était par une transposition de mots que, dans l’
édition
d’Ulm, elle avait été donnée à Romulus et qu’en d
it latin Dïgbey 172 du xiiie siècle que j’ai publié dans ma première
édition
, le prologue est annoncé en ces termes : Incipit
, etc. Enfin le manuscrit de Munich, d’après lequel, dans ma première
édition
, j’ai publié le Romulus primitif, présente une pa
opus quidam homo grecus, etc., et cette leçon a été accueillie dans l’
édition
originaire de Jean Zeiner dans laquelle on lit :
f, soit de la collection presque identique qui figure dans la vieille
édition
d’Ulm, ni les collections qui ont bien l’une de c
core à la relater dans l’analyse que je ferai plus loin de la vieille
édition
d’Ulm, et devant enfin la publier dans cet ouvrag
roit m’étonne, c’est que, pouvant aisément avoir sous les yeux, par l’
édition
de Nilant, le texte des Fabulæ antiquæ, et, par c
ssi bien dans les plus anciens manuscrits que dans les plus anciennes
éditions
, c’est le Romulus ordinaire qu’on devait être dès
, contenir le vrai texte du Romulus primitif. Aussi, dans ma première
édition
, tout en constatant l’absence des deux fables, n’
confiance, c’est son texte que je reproduirai. Comme dans ma première
édition
j’avais opté pour la copie de Pierre Crinitus, mo
teur E. Grosse de Kœnigsberg, occupé de la publication d’une nouvelle
édition
des fables ésopiques chez le libraire Teubner à L
ne sorte de post-scriptum ajouté par M. Oesterley à la préface de son
édition
du Codex Burnéien. Voici ce que j’y ai lu : « Grâ
er le manuscrit de Munich. Il avait donné du plus vieux manuscrit une
édition
diplomatique qui avait établi l’ancienneté de l’œ
établi l’ancienneté de l’œuvre. Schwabe avait déjà fait paraître une
édition
, qui était le résultat de la combinaison de l’apo
qui était le résultat de la combinaison de l’apographe de Gude avec l’
édition
originale de Stainhövel et avec les extraits insé
it de Munich, et la raison, c’est que je l’ai publié dans ma première
édition
. § 4. — Manuscrit du Mans. La bibliothè
e de modifications intentionnelles. Je rappelle que, dans ma première
édition
, je les ai notées au bas du texte du Romulus ordi
celles de ce fabuliste, je ne lui maintiendrai pas dans cette seconde
édition
la place qu’elle occupait dans la première. §
— Manuscrit de Phillips. Depuis la publication de ma première
édition
, j’ai découvert un sixième manuscrit du Romulus o
Esopi gentilis qui scilicet ultimus esse dicitur. Section III.
Éditions
du Romulus ordinaire. De tous les dérivés dire
relativement nombreuses, qui ont été longtemps reproduites. § 1. —
Édition
de Steinhöwel sans date. L’édition la plus
temps reproduites. § 1. — Édition de Steinhöwel sans date. L’
édition
la plus célèbre et vraisemblablement la plus anci
ente-quatre, mais ne s’élève point au-dessus de ce dernier chiffre. L’
édition
est ornée de nombreuses gravures sur bois toujour
s trois premiers livres. On voit par l’exposé qui précède que, dans l’
édition
d’Ulm, l’œuvre de Romulus comprend quatre-vingts
re IV, d’une part, offre trois fables qui ne se trouvent pas dans les
éditions
imprimées, savoir : la xiiie , De cornice sitient
possède pas la fable De abiete et arundine, qui est la xxe dans les
éditions
primitives. En somme, les manuscrits, non compris
de trois pièces de plus que les imprimés. La division adoptée dans l’
édition
d’Ulm est une fantaisie d’éditeur, à laquelle Ste
47 b à 187 a). En effet, elles sont annoncées par cette phrase dans l’
édition
d’Ulm : Extrauagantes Esopi antique sequuntur.
. xvi. De lupo et edo. xvii. Après les apologues d’Avianus, l’
édition
d’Ulm offre un dernier groupe de fables appelées
porte le nº xviii. Cette erreur typographique permet d’affirmer que l’
édition
d’Ulm, sans date, est la plus ancienne de toutes
ée par une correction maladroite. Les imprimeurs, qui dans les autres
éditions
suivaient le texte de l’édition d’Ulm, ont remarq
Les imprimeurs, qui dans les autres éditions suivaient le texte de l’
édition
d’Ulm, ont remarqué que la fable De Vulpe et Gall
à Ulm. » Tel est l’avis qui marque la fin de la première partie de l’
édition
; car on peut considérer comme formant une second
es amis des vieux livres. Je n’ai plus, pour en finir avec la fameuse
édition
d’Ulm, qu’à signaler les exemplaires qui en reste
avec la copie manuscrite de Gude, lui a servi à composer en 1806 son
édition
des fables de Romulus. Il a cru que cet exemplair
que les illustrations, les meilleures de toutes celles des premières
éditions
d’Ésope, ont été exécutées par Jean Schwitzer d’A
ii et xix et le commencement du texte latin de la fable xx. § 2. —
Éditions
latines des fables de Romulus. 1º Éditions d
a fable xx. § 2. — Éditions latines des fables de Romulus. 1º
Éditions
d’Augsbourg. Dans les dernières années du xve
º Éditions d’Augsbourg. Dans les dernières années du xve siècle l’
édition
de Steinhöwel a été souvent réimprimée. Les deux
ée. Les deux réimpressions les plus connues et les plus conformes à l’
édition
originale sont celles dues à Antoine Sorg, imprim
uis pas bien sûr d’avoir rencontré en Allemagne aucun exemplaire de l’
édition
de Sorg, que Hain signale sous le nº 325. C’est d
réimpression pure et simple, dans le même format, du texte latin de l’
édition
de Steinhöwel. Comme dans cette dernière, le vers
s, à la suite desquelles on lit : Finis diuersarum fabularum. Cette
édition
ne porte ni le lieu, ni le nom de l’imprimeur, ni
es. Enfin elle se compose de 129 feuillets, qui sont, comme ceux de l’
édition
de Steinhöwel, imprimés en caractères gothiques e
uillets ne sont munis d’aucun numéro. Il est probable que, dans cette
édition
comme dans la précédente, il y avait un dernier f
omme la première, elle n’est que la copie servile du texte latin de l’
édition
originale. Pour la plus facile intelligence de la
atures dont ils sont réellement pourvus. Fol. 1b (a.ib). Comme dans l’
édition
d’Ulm, le premier feuillet présente au verso le p
es différences très légères montrent qu’il n’a pas été, dans les deux
éditions
, imprimé avec le même bois. Fol. 2ª à 25b (a. iiª
pit fabularum liber primus. Ici l’ordre n’est pas le même que dans l’
édition
de Zeiner. Chaque fable de Romulus est précédée e
i, qui montre bien que l’imprimeur d’Augsbourg s’est borné à copier l’
édition
d’Ulm. Ce n’est pas seulement le fond que l’éditi
borné à copier l’édition d’Ulm. Ce n’est pas seulement le fond que l’
édition
d’Augsbourg a copié ; c’est aussi la forme. Ainsi
servi de ceux que Zeiner avait déjà employés ; mais, si dans les deux
éditions
ils ne sont pas les mêmes, ils se ressemblent. Il
elles diffèrent peu. Celles qui illustrent la vie d’Ésope sont dans l’
édition
d’Augsbourg en même nombre que dans l’édition ori
vie d’Ésope sont dans l’édition d’Augsbourg en même nombre que dans l’
édition
originale. Quant au dessin, voici les remarques q
mais elles se présentent en sens inverse ; la deuxième dans les deux
éditions
est identique ; tandis que, dans l’édition d’Ulm,
la deuxième dans les deux éditions est identique ; tandis que, dans l’
édition
d’Ulm, la dixième et la onzième sont la répétitio
zième sont la répétition l’une de l’autre, il en est autrement dans l’
édition
d’Augsbourg, où la onzième, différant de la dixiè
par la répétition de la troisième ; enfin la seizième, dans les deux
éditions
, se présente en sens inverse. Dans les fables d’A
. Dans les fables d’Avianus, il y a aussi entre les gravures des deux
éditions
des différences à signaler : ainsi la gravure qui
: ainsi la gravure qui devrait orner la fable xxv fait défaut dans l’
édition
d’Augsbourg, et en tête de la fable xxvii l’impri
assez pour montrer que, jusque dans les différences xylographiques, l’
édition
d’Augsbourg n’a guère été qu’une simple réimpress
onde, qui d’ailleurs n’est pas non plus le complément nécessaire de l’
édition
d’Ulm. C’est au British Museum que se trouve l’ex
ans un parfait état de conservation. Quoique les exemplaires de cette
édition
soient fort rares, j’en ai aperçu plusieurs dans
es bibliothèques de l’Allemagne, qui est la vraie terre classique des
éditions
incunables de Romulus imprimées en caractères got
les bibliothèques moins importantes. Pour ne parler que de la seconde
édition
de Sorg, je signale entre autres l’exemplaire que
liothèque publique de Stuttgard. Il porte cette mention manuscrite :
Édition
tout à fait inconnue jusqu’à présent ; peut-être
bsence des noms des imprimeurs, la similitude trompeuse des premières
éditions
. Sous la cote V. F. 36, la Bibliothèque impériale
incunables, dans le petit format in-fº, une réimpression latine de l’
édition
d’Ulm, que le Catalogue attribue à l’imprimerie d
a également paru avoir, sous la cote A. Gr. B. 15, un exemplaire de l’
édition
de Sorg, que j’ai cru reconnaître à la répétition
catalogue, en possède un aussi sous la cote D. iv. 9. 2º Première
édition
de 114 feuillets. Après les deux éditions de S
D. iv. 9. 2º Première édition de 114 feuillets. Après les deux
éditions
de Sorg, l’édition gothique qui paraît la plus an
mière édition de 114 feuillets. Après les deux éditions de Sorg, l’
édition
gothique qui paraît la plus ancienne est celle qu
us le nº 327 de son Repertorium bibliographicum. Comme il existe deux
éditions
gothiques de 114 feuillets imprimés qui se rappor
y suis arrivé. Il existe et j’ai rencontré plusieurs exemplaires de l’
édition
visée par Hain. Grâce à eux, je vais en faire con
mier des deux indices qui m’ont permis de voir quelle était, des deux
éditions
de 114 feuillets, celle véritablement décrite par
Ésope est ornée de 28 gravures, ce qui fait une de moins que dans les
éditions
de Sorg. Il y a dans la vie d’Ésope 42 lignes à l
la prima Tertii libri Esopi. Contrairement à la règle adoptée dans l’
édition
, la fable correspondante de Romulus qui suit immé
Hain a été pour moi un nouvel indice et m’a de nouveau démontré que l’
édition
de 114 feuillets par lui mentionnée sous le nº 32
diuersarum fabularum. À la dernière page (q. viii b), comme dans les
éditions
plus anciennes de Sorg, la fable De Vulpe et Gall
au lieu du nº xxiii. Les exemplaires de cette réédition gothique des
éditions
de Sorg sont relativement nombreux. Parmi ceux qu
eur faire croire à tort que ce ne sont pas des exemplaires de la même
édition
; ils diffèrent en effet l’un de l’autre : mais l
ainsi : Vigellus monachus Cantuariensis. Brunet, dans sa troisième
édition
(1821), tome III, p. 538, et dans sa cinquième éd
s sa troisième édition (1821), tome III, p. 538, et dans sa cinquième
édition
(1864), tome V, p. 1215, a cité cet ouvrage, mais
ome V, p. 1215, a cité cet ouvrage, mais n’a pas signalé la précieuse
édition
du xve siècle, dont la bibliothèque de Maëstrich
siècle, dont la bibliothèque de Maëstricht possède un exemplaire. L’
édition
imprimée en caractères quasi-gothiques ne porte n
um antiquorum sapientum 333. Puisque j’ai été amené à analyser ici l’
édition
, peut-être la plus vieille, de la traduction lati
ettra, avant de revenir au Romulus ordinaire, de signaler deux autres
éditions
d’une traduction espagnole qui a dû être faite su
acion. Mil.CCCC.XCVIII. Je n’ai rencontré aucun exemplaire de cette
édition
. Quant à la deuxième édition, la Bibliothèque nat
n’ai rencontré aucun exemplaire de cette édition. Quant à la deuxième
édition
, la Bibliothèque nationale en possédant un exempl
ai rencontré, à la Bibliothèque de l’Escurial, un exemplaire de cette
édition
sous la cote j v. N 3. 3º Deuxième édition de
un exemplaire de cette édition sous la cote j v. N 3. 3º Deuxième
édition
de 114 feuillets. Je passe à la seconde éditio
3. 3º Deuxième édition de 114 feuillets. Je passe à la seconde
édition
in-folio de 114 feuillets, imprimée, comme les pr
s trois derniers feuillets ne portent aucune signature. Cette seconde
édition
de 114 feuillets peut être facilement confondue a
bles, non seulement leur texte est identique, mais encore dans chaque
édition
la même commence et finit aux mêmes pages. Enfin
que édition la même commence et finit aux mêmes pages. Enfin les deux
éditions
présentent les mêmes particularités typographique
’ignorance ou l’incurie des imprimeurs, on ne peut confondre les deux
éditions
. Dans chacune d’elles les caractères des fables e
es révèlent aussi des différences sensibles ; ainsi, dans la première
édition
, le premier feuillet du cahier a n’est pas signé
t du dernier cahier est signé q. iiiij. Au contraire, dans la seconde
édition
, les signatures manquent aux deux premiers feuill
d’arabesque, d’un encadrement gravé qui n’existe pas dans la première
édition
de 114 feuillets ni dans aucune des éditions anté
iste pas dans la première édition de 114 feuillets ni dans aucune des
éditions
antérieures. Fol. 2 a à 21 a. — Vie d’Ésope. Elle
t la fin des lignes, fournissent un nouveau moyen de distinguer cette
édition
de la précédente. La vie d’Ésope elle-même offre
que 26 gravures sur bois au lieu de 28. À mesure qu’on s’éloigne de l’
édition
originale, on voit dans chaque édition nouvelle d
À mesure qu’on s’éloigne de l’édition originale, on voit dans chaque
édition
nouvelle diminuer le nombre de ces gravures. Fol.
t p. viii au recto portent Auiani au lieu de collecte. Comme dans les
éditions
antérieures la souscription finale est ainsi conç
abularum. Sans l’affirmer, je suis porté à croire que cette seconde
édition
a été exécutée en Angleterre. Tandis que sur le c
31 août 1482. J’avais été accidentellement entraîné, dans la première
édition
de cet ouvrage, à donner l’analyse détaillée de c
aintenir ma précédente analyse, je la supprime. J’en ai fini avec les
éditions
sans date. J’aborde maintenant la série des éditi
ai fini avec les éditions sans date. J’aborde maintenant la série des
éditions
datées. 4º Édition de Gérard Leeu de 1486.
ns sans date. J’aborde maintenant la série des éditions datées. 4º
Édition
de Gérard Leeu de 1486. Si l’on ouvre, à la pa
e Panzer, on y trouve sous le nº 27 l’indication ainsi formulée d’une
édition
datée de Romulus : Esopi Vita et fabulæ latine p
ibliographe a voulu affirmer qu’il avait rencontré un exemplaire de l’
édition
. Aussi Hain, s’en rapportant à Panzer, l’a-t-il,
fables en prose de Nicole de Pergame et il en avait fait une première
édition
in-folio, dont la souscription finale était ainsi
nt vraisemblablement réussi, Gérard Leeu en avait imprimé une seconde
édition
in-fol. qui avait été achevée le 6 juin 1481, et,
pas, il en avait, en 1482, fait paraître non seulement une troisième
édition
, mais encore deux traductions, l’une en langue fr
française, l’autre en langue flamande. Des exemplaires de toutes ces
éditions
existent à la Bibliothèque nationale ; malheureus
Bibliothèque nationale ; malheureusement, à l’exception de celui de l’
édition
de 1481, coté Y 6592, ils ne figurent pas au cata
eum, ainsi que je l’ai déjà expliqué336, il existe un exemplaire de l’
édition
de 1482 qui a été longtemps réuni au Romulus à ar
bit. D’autre part, les termes, dans lesquels Panzer avait mentionné l’
édition
de Romulus, ne permettaient pas de supposer que l
sur ce catalogue je ne retrouvai rien qui se rapportât à la prétendue
édition
de Romulus de 1482. C’est qu’en effet c’était dan
e 1482. C’est qu’en effet c’était dans le catalogue de 1738338, que l’
édition
était signalée et que Panzer avait puisé sa propr
le ne l’avait jamais possédé parce qu’il n’existait pas : la première
édition
publiée par Gérard Leeu est celle de 1486, et j’e
xemplaires qui me permettent de l’analyser. C’est, comme les vieilles
éditions
publiées en Allemagne à la même époque, une simpl
lemagne à la même époque, une simple réimpression du texte latin de l’
édition
d’Ulm. Le format en est à peu près pareil, c’est-
exte n’est accompagné d’aucun commentaire. C’est une simple copie des
éditions
précédentes, faite avec si peu d’attention, que l
to Mense septembri. die vero vicesima sexta. Un exemplaire de cette
édition
est conservé dans la bibliothèque impériale de Vi
yale de Bruxelles j’en ai aperçu un dernier portant le nº 2486. 5º
Édition
de Sébastien Brant de 1501. Toutes les édition
t le nº 2486. 5º Édition de Sébastien Brant de 1501. Toutes les
éditions
du xve siècle sont, ainsi qu’on a pu l’apercevoi
ies tantôt directes, tantôt indirectes, mais toujours littérales de l’
édition
d’Ulm. Il n’en est pas ainsi de celle qui fut pub
ateur de la Renaissance, le célèbre Sébastien Brant. L’imprimeur de l’
édition
de 1501, Jacob Phortzheim n’avait pas imité son e
: il avait adopté le même format et copié les gravures des premières
éditions
. L’ouvrage qui forme un petit in-folio de 203 feu
ts, est consacrée aux divers groupes de fables latines que comprend l’
édition
de Steinhöwel, et la seconde, qui remplit les 79
ni Brant. Fol. 1 b (a. i b). — Portrait d’Ésope copié sur celui des
éditions
précédentes. Fol. 2 a (a. ii a). — Dédicace de Sé
Elle est ornée de 29 gravures, qui, ayant été copiées sur celles des
éditions
antérieures, montrent qu’elle a été elle-même fai
itions antérieures, montrent qu’elle a été elle-même faite soit sur l’
édition
primitive, soit sur celles de Sorg, qui seules re
de l’anonyme de Névelet que surmonte une gravure pareille à celle des
éditions
antérieures. Le même ordre a été suivi pour les f
livres III et IV. En outre, à la suite des vingt fables, qui dans les
éditions
antérieures forment le livre III, Sébastien Brant
ii b). — À ce feuillet commencent sans titre les fabulæ collectas des
éditions
précédentes, réduites au nombre de dix-neuf par l
s des opuscules de Sébastien Brant qui forment la seconde partie de l’
édition
de Bâle. La fin en est, au feuillet 203, annoncée
t quindecim cen-|tesimum : feliciter finiunt. Il est probable que l’
édition
de Brant avait été tirée à un nombre d’exemplaire
10º À la bibliothèque publique de Grætz, un dernier exemplaire. 6º
Édition
de Sébastien Brant de 1521. L’édition de Bâle,
un dernier exemplaire. 6º Édition de Sébastien Brant de 1521. L’
édition
de Bâle, qui avait essayé de rajeunir les fables
arut bien encore quelques réimpressions. Ainsi, en 1521, à Leipzig, l’
édition
de Bâle fut encore une fois reproduite par Valent
à l’époque de la Renaissance leur avaient porté un coup fatal. 7º
Édition
de Schwabe de 1806. Pendant deux siècles entie
le publication. C’est seulement en 1806 que Schwabe, dans sa deuxième
édition
des fables de Phèdre, tira le Romulus ordinaire d
equel la découverte de Gude ne l’avait point empêché de rester. Cette
édition
, publiée à Brunswick par l’éditeur Vieweg, est tr
teur Vieweg, est trop connue pour que j’en donne ici l’analyse. 8º
Édition
de Lemaire de 1826. M. Gail, chargé par le sav
tion des classiques latins, prit pour base de son travail la deuxième
édition
de Schwabe, qu’il augmenta des trois dissertation
bles, et du texte de ces fables restauré par Jannelli. Cette deuxième
édition
de Schwabe possédant les fables de Romulus, Gail
n’avait voulu en faire et n’en fit qu’une simple réimpression. 9º
Édition
de M. Hermann Oesterley de 1870. Ainsi qu’on a
mportance, être fait qu’une publication purement littérale. Aussi son
édition
, publiée à Berlin par le libraire Weidmann en 187
870, se borne-t-elle à donner le texte exact du manuscrit. § 3. —
Éditions
allemandes. Comme de toutes celles qui ont
siècle, la traduction allemande a été publiée la première, c’est des
éditions
qui en ont été imprimées que je vais d’abord m’oc
éditions qui en ont été imprimées que je vais d’abord m’occuper. 1º
Édition
de Günther Zainer. De toutes les éditions pure
s d’abord m’occuper. 1º Édition de Günther Zainer. De toutes les
éditions
purement allemandes la plus ancienne paraît être
er lui avait vraisemblablement communiqué un exemplaire de sa fameuse
édition
du Romulus ordinaire ; il n’est donc pas étonnant
, date, ni nom d’imprimeur, et avec les mêmes gravures sur bois que l’
édition
originale. Les 167 feuillets se composent de 34 f
7 a. Pour ceux qui voudront faire plus ample connaissance avec cette
édition
, j’ajoute que j’en ai trouvé, sous la cote X. E.
n exemplaire conservé dans la bibliothèque impériale de Vienne. 2º
Éditions
de Sorg. Antoine Sorg, qui, presque aussitôt a
Sorg. Antoine Sorg, qui, presque aussitôt après l’apparition de l’
édition
d’Ulm, en avait réimprimé le texte latin, procéda
ard de la traduction allemande. En négociant judicieux, il dédoubla l’
édition
originale, dont les deux textes ne pouvaient conv
, être l’objet d’aucun doute. A. Édition sans date (Hain 332). L’
édition
, décrite par Hain sous le nº 332, forme un volume
fables imprimées avec les mêmes caractères que ceux de la précédente
édition
. Elles ne sont pas suivies de l’histoire de Sigis
de l’histoire de Sigismonde. B. Édition sans date (Hain 333). L’
édition
, décrite par Hain sous le nº 333, forme un volume
la matière du livre. » Cette table se termine au folio 170 a. C.
Édition
sans date (Hain 334). L’édition sans date, déc
e se termine au folio 170 a. C. Édition sans date (Hain 334). L’
édition
sans date, décrite par Hain sous le nº 334, forme
remplit ces feuillets n’est terminée par aucune mention finale. D.
Édition
de 1483. L’édition de 1483 forme un volume in-
n’est terminée par aucune mention finale. D. Édition de 1483. L’
édition
de 1483 forme un volume in-folio composé de 169 f
ui occupent les 154 premiers feuillets, et ne se distingue des autres
éditions
de Sorg que par l’histoire de Sigismonde qui s’ét
e-Agathe, M.CCCC.LXXXIII de la naissance du Christ. » Hain signale l’
édition
de 1483342, mais n’en donne guère l’analyse, et j
ublique de Linz, sous la cote D. iv. 9, relié avec un exemplaire de l’
édition
latine du Romulus de Sorg décrite par Hain sous l
ion latine du Romulus de Sorg décrite par Hain sous le nº 326. 3º
Éditions
de Schobsser. Aux éditions d’Antoine Sorg ont
décrite par Hain sous le nº 326. 3º Éditions de Schobsser. Aux
éditions
d’Antoine Sorg ont succédé celles d’un autre impr
rbain, en l’an M.CCCC.LXXXVII après la naissance du Christ. » 4º
Éditions
de Schönsperger. Après les réimpressions d’Ant
é, en l’an du Christ M.CCCC.Lxxxxi. » B. Édition de 1496346. L’
édition
de 1496, qui forme, comme la précédente, un volum
urg, ainsi qu’il résulte de ces mots : Gedruckt zu Augspurg. C.
Édition
de 1498347. En 1498, Hannsen Schönsperger exéc
di après Saint-Barthélemy, en l’an du Christ M.CCCC.XCVIII. » 5º
Édition
de Jean Prüss de 1508. La traduction allemande
Il existe à la bibliothèque royale de La Haye un exemplaire de cette
édition
. 6º Édition de Jean Fahre. Si, au xvie siè
bibliothèque royale de La Haye un exemplaire de cette édition. 6º
Édition
de Jean Fahre. Si, au xvie siècle, le texte l
rties, l’une renfermant le texte allemand des fables contenues dans l’
édition
d’Ulm, l’autre, la traduction allemande de l’addi
r Jean Fabre de Jülich, en l’année 1531, au mois de février. » 7º
Éditions
de Graff. Graff, qui fut peut-être, à Fribourg
Bodléienne sous la cote A. III. art., des exemplaires de la première
édition
de Graff, imprimée dans le format in-4º en 1545.
r M.D.XLV. B. Édition de 1555. Je passe à la seconde des deux
éditions
sorties des presses de Graff. J’en ai trouvé à Lo
bois beaucoup moins grossières que celles du siècle précédent. 8º
Édition
de Francfort. Sous la même date de 1555, une a
8º Édition de Francfort. Sous la même date de 1555, une autre
édition
de la traduction allemande a été publiée à Francf
sh Museum en possède un exemplaire sous la cote 12305. aaa. 23. 9º
Éditions
de Nicolas Bassée. Nicolas Bassée, à Francfort
mprimé trois fois la traduction allemande des fables contenues dans l’
édition
de Steinhöwel et de celles ajoutées par Sébastien
es ajoutées par Sébastien Brant. A. Édition de 1572. La première
édition
de Bassée consiste dans un volume in-8º de 313 fe
e de Versailles possède, sous la cote E 717 d, un exemplaire de cette
édition
. B. Édition de 1586. J’ai trouvé à la bibli
bibliothèque publique de Nancy, sous la cote NN 1, un exemplaire de l’
édition
de 1586. C’est un volume in-12 de 400 pages, impr
rt am Mayn | durch Nicolaum Bassæum | im fahr | M. D. LXXXVI. C.
Édition
de 1589. L’édition de 1589, dont je ne connais
olaum Bassæum | im fahr | M. D. LXXXVI. C. Édition de 1589. L’
édition
de 1589, dont je ne connais aucun exemplaire, m’a
germanicorum, publiée en 1611 par Georges Brand in Freyhüt. 10º
Édition
de 1648. En 1648, les traductions allemandes d
t S. Brant furent éditées à Erfurt dans le format in-12. Comme dans l’
édition
de Bassée de 1586, les fables de Brant sont placé
. Il existe à la bibliothèque publique de Linz un exemplaire de cette
édition
sous la cote L. II. 155. 11º Édition sans lieu
e Linz un exemplaire de cette édition sous la cote L. II. 155. 11º
Édition
sans lieu ni date. Je dois citer ici une éditi
. II. 155. 11º Édition sans lieu ni date. Je dois citer ici une
édition
de la traduction allemande de Steinhöwel, sans li
dicht durch Rimitium, welche Esopo auch zugeschrieben Werden. 12º
Édition
de 1676. Les éditions allemandes d’Erfurt et d
lche Esopo auch zugeschrieben Werden. 12º Édition de 1676. Les
éditions
allemandes d’Erfurt et de Nuremberg ne furent pas
ces termes : Zu Basel, Anno 1676. Il existe un exemplaire de cette
édition
au British Museum sous la cote 12304. b. 14. 1
de cette édition au British Museum sous la cote 12304. b. 14. 13º
Éditions
plus récentes. Aux éditions qui précèdent il f
seum sous la cote 12304. b. 14. 13º Éditions plus récentes. Aux
éditions
qui précèdent il faut ajouter les suivantes qui f
5. b. 25 et celle de 1800 (Hambourg) sous la cote 12305. b 36. 14º
Édition
de 1838. La dernière édition allemande qui me
urg) sous la cote 12305. b 36. 14º Édition de 1838. La dernière
édition
allemande qui me reste à signaler est celle que j
ublique de Grætz. Elle a été imprimée à Stuttgart en 1838. § 4. —
Éditions
françaises. À peine avait paru la traducti
Elle est trop célèbre pour que j’omette d’en faire connaître ici les
éditions
successives. 1º Édition originale. Je mentio
que j’omette d’en faire connaître ici les éditions successives. 1º
Édition
originale. Je mentionne en premier lieu une éd
cessives. 1º Édition originale. Je mentionne en premier lieu une
édition
sans date, consistant dans un volume in-fol. de p
t de Lyon, il est à peu près certain que c’est dans cette ville que l’
édition
a paru. Quant à la date, si cette édition a été l
’est dans cette ville que l’édition a paru. Quant à la date, si cette
édition
a été la première, elle doit être antérieure à 14
gue imprimé de la Grenville library n’a pas hésité à considérer cette
édition
comme la plus ancienne. Aussi à la cote qu’il don
It may probably be considered as prior to any known edition. » 2º
Édition
de 1480. Cette édition consiste dans un volume
red as prior to any known edition. » 2º Édition de 1480. Cette
édition
consiste dans un volume in-folio de petit format
s gravures xylographiques qui ressemblent trop à celles des premières
éditions
allemandes pour n’avoir pas été copiées plus ou m
talogue de la Bibliothèque de Tours, où existe un exemplaire de cette
édition
sous le nº 3266, elle serait l’originale. Le réda
faudrait avoir simultanément entre les mains les exemplaires des deux
éditions
, je ne l’essaierai pas. Ce qui en somme est à peu
t sorties des mêmes presses. Quoi qu’il en soit, voici l’analyse de l’
édition
de 1480 : Fol. a. i. — Titre et portrait d’Ésope
sbourc lan mil | quatre cens et octante le. xxvi. iour daust. 3º
Édition
de 1484. La seconde édition datée de la traduc
octante le. xxvi. iour daust. 3º Édition de 1484. La seconde
édition
datée de la traduction du frère Julien, qui sans
abeller, à Lyon, en 1484. Je n’ai rencontré aucun exemplaire de cette
édition
, et je n’en parle que d’après Brunet348, qui la s
n, et je n’en parle que d’après Brunet348, qui la signale comme une «
édition
rare et fort précieuse imprimée en caractères d’u
Lan de | grâce mil CCCC. lxxxiiii, le quinzième iour de may. 4º
Édition
de 1486. L’édition de 1486 fut imprimée dans l
CC. lxxxiiii, le quinzième iour de may. 4º Édition de 1486. L’
édition
de 1486 fut imprimée dans le format in-4º, à Lyon
ut imprimée dans le format in-4º, à Lyon, par Mathis Huss seul. Cette
édition
, qui, comme les précédentes, est ornée de gravure
ho comprend, à la suite des fables de Romulus, les divers groupes des
éditions
antérieures. Il y manque cependant trois des fabu
acéties du Pogge ; ce qui réduit à vingt fables ce groupe qui, dans l’
édition
d’Ulm, en renferme vingt-trois. Le volume se term
trouvé, à la Bibliothèque impériale de Vienne, un exemplaire de cette
édition
sous la cote 10. G. 1. 5º Édition sans date de
e Vienne, un exemplaire de cette édition sous la cote 10. G. 1. 5º
Édition
sans date de P. Mareschal et B. Chaussard. Cet
1. 5º Édition sans date de P. Mareschal et B. Chaussard. Cette
édition
forme un volume in-4º imprimé en caractères gothi
lcunes ioyeuses de Poge florentin. Il existe un exemplaire de cette
édition
à la Bibliothèque du British Museum sous la cote
ion à la Bibliothèque du British Museum sous la cote 638. K. 2. 6º
Édition
de 1499. L’édition in-4º de 1499, qui paraît n
du British Museum sous la cote 638. K. 2. 6º Édition de 1499. L’
édition
in-4º de 1499, qui paraît n’être que la réimpress
ecto du deuxième feuillet et finit au bas du recto du dix-neuvième. L’
édition
porte le titre suivant : Les subtilles fables de
abbe Chaussard, lan Mil CCCC. xcix. le viij iour de nouembre. 7º
Édition
de 1502. L’édition de 1502, qui n’est que la r
l CCCC. xcix. le viij iour de nouembre. 7º Édition de 1502. L’
édition
de 1502, qui n’est que la réimpression de celle d
rier 1502. M. Delandine351 en donne la description suivante : « Cette
édition
est à longues lignes, sans titres, mais avec des
sont curieux, et pour la plupart de trois pouces de hauteur. » 8º
Édition
de 1520. L’édition de 1520, comme les précéden
la plupart de trois pouces de hauteur. » 8º Édition de 1520. L’
édition
de 1520, comme les précédentes, est une réimpress
irme qu’il indique seulement le nombre des cahiers, et il assigne à l’
édition
la date approximative de 1520, qui me paraît pouv
date approximative de 1520, qui me paraît pouvoir être adoptée353. L’
édition
forme un volume in-4º, qui débute par ce titre :
ant en rue neufue nostre dame a lenseigne de lescu de France. 9º
Édition
de 1526. Je me borne à citer, d’après Brunet35
9º Édition de 1526. Je me borne à citer, d’après Brunet354, l’
édition
de 1526, qui a été publiée à Lyon par Claude Nour
imprimé en caractères gothiques et orné de gravures sur bois. 10º
Édition
de 1531. Je n’accorde également qu’une mentio
ition de 1531. Je n’accorde également qu’une mention sommaire à l’
édition
de 1531, qui ne doit avoir été que la réimpressio
l’édition de 1531, qui ne doit avoir été que la réimpression des deux
éditions
de 1499 et de 1502. Elle forme un volume in-fol.,
fort. MDXXXI, le vij iour de Mars. Il existe un exemplaire de cette
édition
à la bibliothèque ducale de Wolfenbüttel. 11º
ire de cette édition à la bibliothèque ducale de Wolfenbüttel. 11º
Édition
sans date d’Alain Lotrian. Alain Lotrian s’est
Alain Lotrian s’est contenté de donner une simple réimpression des
éditions
antérieures. Graesse prétend qu’il a exercé de 15
e termine par ces mots : Imprime à Paris par Alain Lotrian. 12º
Édition
de 1532. La traduction en prose de J. Macho ne
n prose de J. Macho ne fut pas publiée seulement en France ; témoin l’
édition
peu connue de 1532, qui est signalée par Brunet35
goire Bont. Lan mil | ccccc. xxij. Le xxij. iour | Doctobre. 13º
Édition
de 1561. Plus rare encore peut-être est l’édit
ctobre. 13º Édition de 1561. Plus rare encore peut-être est l’
édition
de 1561, dont l’existence m’a été révélée par un
des fables d’És|ope. | De l’imprimerie d’A|mable Tauernier. 14º
Édition
de 1572. Pour terminer la nomenclature des édi
rnier. 14º Édition de 1572. Pour terminer la nomenclature des
éditions
françaises, je n’ai plus à citer qu’une édition i
la nomenclature des éditions françaises, je n’ai plus à citer qu’une
édition
imprimée à Orléans par Eloy Gibier en 1572. Elle
de Alphonse et de Poge, traduites en francoys. L’existence de cette
édition
m’a été révélée sous le nº 2019 par le catalogue
talogue de la librairie Techener, imprimé à Paris en 1869. § 5. —
Éditions
anglaises. 1º Édition originale. À peine
ener, imprimé à Paris en 1869. § 5. — Éditions anglaises. 1º
Édition
originale. À peine la version française de Ju
lio de petit format, orné de gravures sur bois analogues à celles des
éditions
antérieures. C’est un des premiers livres qui aie
chaque fable il y a une gravure sur bois semblable à celle des autres
éditions
contemporaines et peut-être encore plus grossière
t je renvoie ceux qui seront curieux de connaître plus complètement l’
édition
originale de Caxton aux deux exemplaires que j’en
versité de Cambridge sous la cote Oo. 3. 49. 2º Réimpressions de l’
édition
originale. La traduction de Caxton paraît avoi
n de R. Pynson de 1500. Un imprimeur nommé R. Pynson a réimprimé l’
édition
de Caxton à Londres vers 1500 dans le format in-f
chiffrés, mais signés de r vii à s iii et remplis par la table. Cette
édition
, dont un exemplaire existe à la Bibliothèque du B
ographe est seulement plus moderne, les mêmes observations que dans l’
édition
de 1550, auxquelles a été ajouté ce qui suit : w
ules Churchyeard. | 1634. J’ai rencontré trois exemplaires de cette
édition
, l’un à la bibliothèque du British Museum sous la
e Fables of Alphonse with the fables of Poge the Florentine. 3º
Édition
de 1692. Il me reste à faire mention d’une tra
, et le septième, celui en pied d’Ésope. Il existe un exemplaire de l’
édition
à la Bibliothèque Bodléienne sous la cote A. 5. 1
imprimée. A. Réimpression de 1694. La première réimpression de l’
édition
L’Estrange a été faite, comme la première, dans l
h | Morals and Reflexions. | By sir Roger l’Estrange Kt. | The second
Edition
Corrected and Amended. | London. Printed for R. S
réimpression sous la cote 85. l. 1. B. Réimpression de 1708. L’
édition
de sir Roger L’Estrange a fait, en 1708, l’objet
ts : with Morals et Reflexions, By sir Roger l’Estrange Kt. The fifth
Edition
Corrected. London : Printed for R. Sare, A. and J
éimpression de 1714. En 1714 parut une cinquième réimpression de l’
édition
Lestrange sous la forme d’un volume in-8º de 550
ion de 1738. En 1738, a été publiée une septième réimpression de l’
édition
de sir Roger L’Estrange, dont le frontispice, sem
, dont le frontispice, semblable dans sa partie supérieure à ceux des
éditions
précédentes se complète ainsi : The eighth Editi
ieure à ceux des éditions précédentes se complète ainsi : The eighth
Edition
corrected. | London : | Printed for A. Betteswort
plaires des deuxième, troisième et sixième réimpressions. § 6. —
Éditions
néerlandaises. 1º Éditions de Gérard Leeu.
et sixième réimpressions. § 6. — Éditions néerlandaises. 1º
Éditions
de Gérard Leeu. A. Édition in-4º de 1485.
èbre Gérard Leeu, qui, dès 1485, c’est-à-dire un an avant sa première
édition
latine, en publia à Gouda une édition néerlandais
-à-dire un an avant sa première édition latine, en publia à Gouda une
édition
néerlandaise en caractères gothiques dans le form
rouvé à la bibliothèque du South Kensington Museum un exemplaire de l’
édition
de Gouda, qui, quoique incomplet, me permet du mo
nsporté ses presses de Gouda à Anvers, Gérard Leeu publia une seconde
édition
en langue flamande des fables de Romulus. Elle fo
̄ lxxxv. den twalefstē dach in octobri. Fol. 112 b. — Vacat. 2º
Édition
de Henrich Eckert de Homberch de 1498. L’éditi
. — Vacat. 2º Édition de Henrich Eckert de Homberch de 1498. L’
édition
en langue néerlandaise de Henrich Eckert de Hombe
sur deux colonnes, orné de gravures sur bois inspirées par celles des
éditions
primitives, mais un peu moins grossièrement exécu
à 100 b. — Pages blanches. J’ai trouvé deux exemplaires de cette rare
édition
, l’un au British Museum sons la cote B. 20 e, l’a
à la Bibliothèque publique de Gand sous la cote Rés. 351. § 7. —
Éditions
espagnoles. Après leur première apparition
angue espagnole. Leur traduction fut, au xve siècle, l’objet de deux
éditions
que Panzer à tort a confondues en une seule359.
de deux éditions que Panzer à tort a confondues en une seule359. 1º
Édition
de 1489. Des éditions du xve siècle celle de
zer à tort a confondues en une seule359. 1º Édition de 1489. Des
éditions
du xve siècle celle de 1489 est la plus ancienne
trée de vingt-huit gravures sur bois pareilles à celles des premières
éditions
allemandes. Elle se termine par cette souscriptio
Alexander magnus. Fol. 120 (K 8). — Feuillet blanc. Gomme dans les
éditions
allemandes du même temps, toutes les fables sont
ême temps, toutes les fables sont ornées de gravures sur bois. Cette
édition
est citée par Hain, dans son Repertorium bibliogr
sous la cote I. Z. 13, existe à la Bibliothèque de l’Escurial. 2º
Édition
de 1496. La seconde édition espagnole a été ac
à la Bibliothèque de l’Escurial. 2º Édition de 1496. La seconde
édition
espagnole a été achevée d’imprimer à Burgos, le 2
e un volume in-fol. gothique, dont les feuillets sont chiffrés. 3º
Édition
de 1526. Cette édition forme un volume in-fol.
ue, dont les feuillets sont chiffrés. 3º Édition de 1526. Cette
édition
forme un volume in-fol. de petite dimension, comp
d. et. xxvj. a. x. dias de Abril. Il existe un exemplaire de cette
édition
à la Bibliothèque du British Museum sous la cote
ion à la Bibliothèque du British Museum sous la cote 637. K. 2. 4º
Édition
de 1546. J’ai de cette édition publiée à Anver
useum sous la cote 637. K. 2. 4º Édition de 1546. J’ai de cette
édition
publiée à Anvers rencontré deux exemplaires, l’un
la cote 524 et l’autre à la Bodléienne sous la cote 90. C. 31. Cette
édition
, qui est du format in-12 allongé, consiste dans u
ence au fol. 211 b occupe en outre les cinq feuillets suivants. 5º
Édition
de 1547. Cette édition forme un volume in-fol.
en outre les cinq feuillets suivants. 5º Édition de 1547. Cette
édition
forme un volume in-fol. de 71 feuillets chiffrés
e Marco, An̄o de mil | et quinietos y quarenta y siete an̄os. 6º
Édition
de 1553. L’édition de 1547 ne tarda pas à être
et quinietos y quarenta y siete an̄os. 6º Édition de 1553. L’
édition
de 1547 ne tarda pas à être réimprimée dans le mê
º) à 71 b (i 7 vº). — Las fabulas collectas. Tandis que la première
édition
espagnole ne renferme que 22 de ces fables dont l
Del patre y del hijo que yvā a vēder el asno , il en existe 26 dans l’
édition
de 1533 ; aux 22 premières en effet ont été ajout
c. Il existe, à la Bibliothèque de l’Escurial, un exemplaire de cette
édition
sous la cote jv. N. 3. 7º Édition de 1562.
Escurial, un exemplaire de cette édition sous la cote jv. N. 3. 7º
Édition
de 1562. L’édition publiée en 1562 n’a été, po
e de cette édition sous la cote jv. N. 3. 7º Édition de 1562. L’
édition
publiée en 1562 n’a été, pour ainsi dire, qu’une
An̄o de | mil y quinientos y sessentay dos. Un exemplaire de cette
édition
se trouve sous la cote 637. K. 5, au catalogue de
e 637. K. 5, au catalogue de la bibliothèque du British Museum. 8º
Édition
de 1607. Le principal mérite de l’édition de 1
du British Museum. 8º Édition de 1607. Le principal mérite de l’
édition
de 1607 est d’avoir été imprimée par le fameux Pl
autores. Le nombre des fables est absolument identique à celui de l’
édition
d’Ulm. Page 384. Fin. Des exemplaires de l’éditio
tique à celui de l’édition d’Ulm. Page 384. Fin. Des exemplaires de l’
édition
de Plantin existent à la bibliothèque publique de
sous la cote 9907, et à la Bodléienne sous la cote Douce A. 52. 9º
Édition
de 1657. L’édition de 1657 forme un volume in-
à la Bodléienne sous la cote Douce A. 52. 9º Édition de 1657. L’
édition
de 1657 forme un volume in-16. de 176 feuillets,
Libros. Vendese en Palacio, y en su casa en la calle de Toledo. L’
édition
ne contient pas le texte latin des fables et n’en
omprend que 21. J’ai trouvé sous la cote 15915 un exemplaire de cette
édition
dans la bibliothèque publique de Bordeaux. 10º
re de cette édition dans la bibliothèque publique de Bordeaux. 10º
Édition
de 1683. L’édition de 1683 forme un volume in-
ns la bibliothèque publique de Bordeaux. 10º Édition de 1683. L’
édition
de 1683 forme un volume in-8, qui contient la tra
a a la fi de cada una dellas. — Barcelona, Joan Jolis, 1683. 11º
Édition
sans date. C’est ici le lieu de citer une édit
, 1683. 11º Édition sans date. C’est ici le lieu de citer une
édition
sans date, qui a été, comme celle de Plantin, imp
l. 274 b. — Fin. | Fue impresso en Anuers por | Juan Lacio. 12º
Édition
de 1728. Au haut du frontispice de l’édition d
Juan Lacio. 12º Édition de 1728. Au haut du frontispice de l’
édition
de 1728, on lit : Libro de la vida, y fabulas de
o Thomas, junto al Contraste. À la fin du volume : Laus deo. Cette
édition
, dont un exemplaire se trouve à la bibliothèque d
du British Museum, n’est qu’une réimpression des précédentes. 13º
Éditions
, sans date, du commencement du XIXe siècle. A.
ibre-|ros del Reyno. À la fin du volume on lit : Laus deo. Cette
édition
est dans le format in-8, et, en outre des feuille
és au frontispice, à la table et au prologue. La traduction que cette
édition
renferme a le mérite d’être complète. Rien de ce
on renferme a le mérite d’être complète. Rien de ce qui existe dans l’
édition
de Zeiner n’a été oublié, et l’on y trouve notamm
oublié, et l’on y trouve notamment la dédicace à Tiberinus qui dans l’
édition
de Plantin avait été omise. Il en existe un exemp
elona : Por Matheo Barceló Im-|presor, en la Puerta del Angel. Cette
édition
consiste dans un vol. in-8, de 373 pages numéroté
ada una dellas. | Barcelona : En casa Matheu Barceló Estamper. Cette
édition
consiste dans un volume in-8 de 343 pages numérot
exemplaire à la Bibliothèque Bodléienne sous la cote GP. 394. 14º
Éditions
de 1815. A. — Fabulas | de Esopo | filosofo m
, | plaza de S. Jayme. | año 1815. | Con licencias necesarias. Cette
édition
consiste dans un volume in-8 de 364 pages numérot
nes. Madrid, imp. de Lopez y herm. lib. de la Publicidad, 1815. Cette
édition
forme un volume in-8º illustré de gravures sur bo
dition forme un volume in-8º illustré de gravures sur bois361. 15º
Édition
de 1818. Fabulas de la vida del sabio y clar
ado con las anotaciones. Madrid, imp. de la V. de Barco Lopez. Cette
édition
forme un volume in-8º, composé de xxiv-352 pages
e dans le livre IV, où elles vont du chap. 114 au chap. 123. Dans son
édition
de 1806364, Schwabe semble dire que les fables de
que dans son Miroir doctrinal. Mais les notes dont il a, dans la même
édition
, pourvu le texte de Romulus, montrent qu’il a eu
a fin duquel on lit ces mots : Deo gratias. Amen. Section III.
Éditions
latines des ouvrages de Vincent de Beauvais.
lés suffisamment longue, et le moment me paraît venu de m’occuper des
éditions
imprimées. § 1er. — Éditions de Strasbourg.
moment me paraît venu de m’occuper des éditions imprimées. § 1er. —
Éditions
de Strasbourg. C’est à Strasbourg que fut pub
Beauvais. L’imprimeur en fut Jean Mentellin. Voici le signalement des
éditions
qui sortirent de ses presses. 1º Speculum natur
ābulet et elephas natet. Les caractères sont les mêmes que ceux de l’
édition
du Speculum naturale. Mentellin ne s’est pas tenu
e l’édition du Speculum naturale. Mentellin ne s’est pas tenu à cette
édition
. Avec les mêmes caractères il en a imprimé une au
mbulet & elephas natet 369. 3º Speculum morale. Première
édition
. Un volume in-folio de 474 feuillets à 2 colon
est occupé par un chapitre intitulé De virginitate 370. Deuxième
édition
. Mentellin a publié une seconde édition du Spe
ginitate 370. Deuxième édition. Mentellin a publié une seconde
édition
du Speculum Morale, ou plutôt il a fait de sa pre
econde édition du Speculum Morale, ou plutôt il a fait de sa première
édition
un second tirage, facile à distinguer du premier
371. 4º Speculum historiale. Première édition372. Cette
édition
, inconnue à Daunou, comprend 4 vol. in-fº à 2 col
souscription : Speculum Vincentij historiale explicit. Deuxième
édition
. Mentellin a publié une autre édition du Specu
iale explicit. Deuxième édition. Mentellin a publié une autre
édition
du Speculum historiale en quatre volumes grand in
septvagesimo tercio. qvarta. die. || decembris 373. Telles sont les
éditions
imprimées par Mentellin. Faut-il lui en attribue
morale, naturale, quinque voluminibus. Char. goth. fol. § 2. —
Édition
d’Augsbourg. Des œuvres de Vincent de Beauvais
. À Augsbourg, dans le monastère de Sainte-Afre, il en fut publié une
édition
formée de trois volumes, grand in-folio, à deux c
es de 52 lignes chacune, sans chiffres, réclames ni signatures. Cette
édition
a été exécutée soit avec des caractères gothiques
e se termine par cette souscription en 10 vers suivis de la date de l’
édition
: Codicis insignis quin periodus quoque finis
Predique cator. burgundia sed patria. M.cccc.lxxiiij375. § 3. —
Édition
de Paris. L’édition d’Augsbourg ne paraît pas
dia sed patria. M.cccc.lxxiiij375. § 3. — Édition de Paris. L’
édition
d’Augsbourg ne paraît pas avoir été la seule édit
de Paris. L’édition d’Augsbourg ne paraît pas avoir été la seule
édition
du Miroir historial publiée en 1474. Maittaire376
ment imprimé la même année à Paris dans le format in-folio. § 4. —
Édition
de Bâle. En 1481, une publication partielle de
o natali octuagesimo primo supra millesimum quaterque centesimum. L’
édition
de 1481 ne paraît pas avoir été le seul hommage r
’illustre Vincent de Beauvais. Panzer croit pouvoir lui attribuer une
édition
in-folio qu’il signale du Speculum naturale, sans
, et ne porte ni signatures, ni réclames, ni pagination378. § 5. —
Édition
de Cologne. Panzer attribue à Ulrich Zell de C
— Édition de Cologne. Panzer attribue à Ulrich Zell de Cologne une
édition
in-folio du Speculum morale, à deux colonnes de 5
oute hypothèse, je me borne à la mentionner d’après lui379. § 6. —
Éditions
de Nuremberg. De 1483 à 1486, le Speculum qua
. Speculum naturale. En 1483, Koburger fit paraître une première
édition
in-folio du Speculum naturale 380 et, s’il faut e
um historiale. L’année même où il publiait la première de ces deux
éditions
, Koburger faisait paraître, dans le format in-fol
is en 1485. Je ne connais et je ne puis décrire que la seconde de ces
éditions
, qui forme un volume de 270 feuillets, du plus gr
irituique quoque paraclito decus sit per euum. Amen. Comme dans les
éditions
antérieures, cette souscription est suivie d’un c
trinale que Koburger termina la publication du Speculum quadruplex. L’
édition
qu’il en donna, forme un volume de la plus grande
rum Amen 384. J’en ai maintenant fini avec Koburger, et je passe aux
éditions
Vénitiennes. § 7. — Édition de Venise de 1484
fini avec Koburger, et je passe aux éditions Vénitiennes. § 7. —
Édition
de Venise de 1484. En 1484, le quadruple Miroi
e Miroir de Vincent de Beauvais fit, à Venise, l’objet d’une première
édition
en quatre volumes. Ne la connaissant que par la c
mention qu’en fait Panzer, je m’abstiens de la décrire385. § 8. —
Éditions
de Venise de 1493 et 1494. Hermann Liechtenste
toriale sortit enfin des presses du même typographe, qui en donna une
édition
imprimée, comme la précédente, dans le format in-
avant qu’elle n’eût été terminée, la mort l’avait frappé. § 9. —
Édition
de Venise de 1591. À partir de la fin du xve
qu’à de longs intervalles. Dominique Nicolin en fit bien paraître une
édition
in-folio à Venise en 1591 ; mais elle n’offre qu’
o à Venise en 1591 ; mais elle n’offre qu’un texte altéré. § 10. —
Édition
de Douai. À Douai, une édition en 4 vol. in-fo
ffre qu’un texte altéré. § 10. — Édition de Douai. À Douai, une
édition
en 4 vol. in-folio, fut publiée avec ce frontispi
collegii Vedastini. Duaci, Balth. Bellerus, 1624. Daunou juge cette
édition
pire que la précédente. Il prétend que, pour pren
incent de Beauvais, il faut encore aujourd’hui recourir aux premières
éditions
, surtout à celle de Mentellin de 1473390. Sec
es éditions, surtout à celle de Mentellin de 1473390. Section IV.
Éditions
françaises. § 1. — Édition de Buyer. Des
entellin de 1473390. Section IV. Éditions françaises. § 1. —
Édition
de Buyer. Des œuvres de Vincent de Beauvais la
la première fois publiée à Lyon en 1479 par Bartholomieu Buyer, et l’
édition
in-4º qui la renferme se termine par cette souscr
n et fini le dernier de Juillet, mil quatre cen LXXIX 391. § 2. —
Édition
de Verard. L’édition française du Miroir histo
Juillet, mil quatre cen LXXIX 391. § 2. — Édition de Verard. L’
édition
française du Miroir historial, imprimée par Buyer
historial fut encore publié à Paris par Verard, de 1495 à 1496. Cette
édition
extrêmement rare forme cinq volumes du grand form
t belle gravure sur bois, qui occupe presque toute la page. § 3. —
Édition
de Nicolas Couteau. La traduction française de
Jean de Vignay fut réimprimée au xvie siècle par Nicolas Couteau. L’
édition
de cet imprimeur, comme celle de Verard, forme ci
ois Regnault, Galliot du Pré et Jean Petit. Voici la description de l’
édition
: Tome I, comprenant les huit premiers livres du
209 et G. 210, et celle d’Épinal possèdent chacune un exemplaire de l’
édition
. Section V. Éditions anglaises de Caxton.
d’Épinal possèdent chacune un exemplaire de l’édition. Section V.
Éditions
anglaises de Caxton. Toujours attentif aux
aduire et à les imprimer lui-même, Caxton fit paraître vers 1480 deux
éditions
anglaises du Miroir historial. L’une se compose d
the same year. Caxton me fieri fecit 392. Je ne connais pas d’autres
éditions
anglaises. Section VI. Éditions néerlandaises.
t 392. Je ne connais pas d’autres éditions anglaises. Section VI.
Éditions
néerlandaises. Le Miroir historial, qui av
quatrième par Van Lennep, en 1849. Telles sont dans leur ensemble les
éditions
des traductions du Miroir historial. Deuxième
llection du Romulus de Munich, ont été presque toutes publiées dans l’
édition
d’Ulm. Le Dr Steinhöwel en a introduit douze dans
es qui complètent ce groupe, je les publierai en les empruntant à son
édition
. Les Fabulæ extravagantes n’avaient pas échappé à
les avait pas trouvées indignes d’être publiées. Les huit qui dans l’
édition
d’Ulm portent les nos 1, 3, 5, 7, 9 (première par
toutes celles du manuscrit de Munich, mais encore les six qui, dans l’
édition
de Steinhöwel, en sont le complément et même cell
uniquement composé de fables d’Eude de Cherrington. Dans la première
édition
de cet ouvrage j’ai analysé et publié l’œuvre de
, ou d’un compilateur prosaïque nommé Romulus. Dans la préface de son
édition
des fables de La Fontaine, envisageant ainsi la q
outées. Il est vrai que, lorsque des manuscrits on passe aux vieilles
éditions
, on ne trouve plus l’Anonyme uni qu’au Romulus or
on droit trouvées sans doute fastidieuses. Je passe donc aux vieilles
éditions
de la seconde moitié du xve siècle. Établies sur
és, l’un par un éditeur, l’autre par un autre, et qu’ensuite les deux
éditions
originales furent suivies de réimpressions qui pr
t suivies de réimpressions qui prolongèrent leur divergence. Dans des
éditions
scolaires relativement nombreuses, le commencemen
res poétiques de huit auteurs latins. Il y avait parmi ces livres une
édition
originale, dont les autres n’étaient guère que la
réimpression. On trouvera plus loin la nomenclature analytique de ces
éditions
, dont les premières, imprimées en 1884, sortirent
ge, était encore, au temps même de Gyraldi, reproduite dans certaines
éditions
italiennes des fables élégiaques. La première de
rtaines éditions italiennes des fables élégiaques. La première de ces
éditions
avait été imprimée à Parme en 1507. J’en ai trouv
i item fabulæ, interprete Auiano. Je dois ajouter que cette première
édition
avait été imprimée par François Ulgoleto qui l’av
adée dans l’affaire, c’est l’extrait de sa lettre latine placé dans l’
édition
en tête des fables elles-mêmes. On me saura peut-
é le célèbre poème d’Alexandre le Grand. Mais, en s’appuyant sur une
édition
des fables, qui avait été publiée à Modène en 148
rimée par Morelli était basée sur la mention suivante qui terminait l’
édition
de 1481 : « Finit Esopus Mutine impressus impensa
18. M. Hermann Oesterley, dans la préface dont il a fait précéder son
édition
du manuscrit du British Museum, dit bien que M. R
c chercher ailleurs l’introuvable nom de l’Anonyme. En 1838, dans son
édition
des fables de Phèdre, M. Dressler, qui paraît n’a
s. Enfin l’incertitude cessa. En 1836, M. Endlicher, deux ans avant l’
édition
de Dressler, avait publié, ainsi que j’ai déjà eu
thèque de l’Université, et j’y trouvai, sous la cote L. R. 9. 44, une
édition
in-4º des fables élégiaques achevée d’imprimer à
is l’avouer, ce qui doubla ma satisfaction, ce fut de la devoir à une
édition
française. Depuis j’ai trouvé beaucoup d’autres é
devoir à une édition française. Depuis j’ai trouvé beaucoup d’autres
éditions
du même temps, qui, imprimées en France, contenai
ie des gloses reproduites, d’après les manuscrits, par la plupart des
éditions
étrangères. Je peux citer notamment : 1º Une édit
la plupart des éditions étrangères. Je peux citer notamment : 1º Une
édition
scolaire in-4º, sans date, ni lieu, ni nom d’impr
tte du premier, dépourvus de toute gravure (deux exemplaires de cette
édition
se trouvent, l’un dans la bibliothèque publique d
e O. 638, l’autre dans la Grenville library sous le nº 7724) ; 2º Une
édition
scolaire in-4º également sans date, ni lieu, ni n
: Fabularum liber cum glosa finit feliciter (un exemplaire de cette
édition
existe à la bibliothèque de Dijon sous le nº 1097
es autrefois sous le nº 1358 et actuellement sous le nº 74) ; 3º Une
édition
de 35 feuillets in-4º, sans lieu, ni année, ni no
iption suivante : Fabularum liber cū glosa finit feliciter ; 4º Une
édition
in-4º de 56 feuillets, non chiffrés, mais signés
e à la Bibliothèque cantonale de Berne sous la cote Inc. 153 ; 5º Une
édition
d’écolier imprimée dans le petit format in-4º à P
petit format in-4º à Paris, par Pierre Levet, en 1499 ; 6º Une petite
édition
scolaire in-4º, qui avait été imprimée en caractè
uree iuxta conventum augustinorum commorante (un exemplaire de cette
édition
se trouve à la bibliothèque publique de la ville
blique de la ville de Rouen sous la cote O. 2261 (a)) ; 7º Une petite
édition
in-4º, imprimée à Rouen par Jean Mauditier en 150
1508, et faite, comme celle de 1505, pour Jacob Le Forestier. 8º Une
édition
in-4º de 42 feuillets, imprimée en 1503, à Londre
sion dans le même format faite en 1516, par le même imprimeur, de son
édition
de 1503 ; 10º Enfin la plupart des éditions que j
le même imprimeur, de son édition de 1503 ; 10º Enfin la plupart des
éditions
que j’ai nommées éditions des Huit auteurs et qu’
édition de 1503 ; 10º Enfin la plupart des éditions que j’ai nommées
éditions
des Huit auteurs et qu’on trouvera plus loin dans
menclature analytique des imprimés contenant le texte de Walther. Ces
éditions
, en attribuant les Fables élégiaques à celui des
nt l’ordre le plus généralement suivi dans les manuscrits et dans les
éditions
du xve siècle et adopté en dernier lieu par M. D
exacte, elles sont toutes de Walther l’Anglais. Mais, dans certaines
éditions
du xve siècle, on en trouve d’autres que, dans l
la collection, et que, même dans les manuscrits et dans les anciennes
éditions
qui contiennent les deux fables complémentaires,
, qui figure dans plusieurs manuscrits du moyen âge et dans plusieurs
éditions
du xve siècle. Je ne me dissimule pas que la don
Palerme dans les trois fables placées à la suite des siennes dans une
édition
publiée à Brescia en 1522. Je les joindrai néanmo
verses fables que je viens d’examiner figurent dans quelques-unes des
éditions
des fables de Walther publiées au xve siècle. El
ésaccord soit avec celles des autres manuscrits, soit avec celles des
éditions
imprimées. Et qu’on ne croie pas que ce soit là u
nsi : Incipit liber Esopi , et non pas : Hisopi. Dans ma première
édition
j’ai exprimé l’idée que le manuscrit avait appart
blicité six fables élégiaques imprimées dans les notes de sa première
édition
de Phèdre. Voici, en effet, ce qu’on lit dans son
, on lit ce distique un peu différent de celui qui se trouve dans les
éditions
imprimées : Fine fruor : versu gemino quod cogit
eu du distique suivant qui se lit après la soixantième fable dans les
éditions
de la société Bipontine et de Dressler : Fine su
e du temps même de François Ier, à cause des manuscrits et des belles
éditions
que l’on y voyait ; elle fut dans la suite consid
es et Ecclésiastiques ; on y trouve un assez grand nombre d’anciennes
éditions
. Elle contient aussi plusieurs manuscrits très es
essler le répète de confiance, mais six qu’il inséra dans sa première
édition
de Phèdre. Était-ce dans l’un des deux manuscrits
u enfin dans un troisième aujourd’hui disparu, j’ai, dans ma première
édition
, extrait les variantes présentées par les deux qu
De Atheniensibus volentibus regem, n’en formant qu’une seule dans les
éditions
imprimées, il faut n’en compter que 63. L’édition
une seule dans les éditions imprimées, il faut n’en compter que 63. L’
édition
Dressler contenant 62 fables, on en devrait concl
st pas ainsi : ce manuscrit ne possède pas les fables qui, dans cette
édition
, portent les nos 48, 49, 50 et 60. En revanche, l
bles 47, 61, 62, 63 et 64 du manuscrit ne se rencontrent pas dans les
éditions
imprimées. Je ne sais de qui elles sont l’œuvre ;
ables latines d’Avianus ; mais, comme elle y fait suite, c’est dans l’
édition
que je donnerai de ces fables que j’en publierai
airer. Voici, en effet, comment, à cet égard, il s’exprimait dans son
édition
du catalogue des manuscrits de Douai : « Jusqu’à
la bibliothèque communale de Douai. Lorsque Dressler travaillait à l’
édition
qu’il a publiée en 1838, il s’est servi d’une cop
çons qui lui ont permis de faire d’heureuses corrections au texte des
éditions
précédemment publiées. Voici sur ce point les ren
er, professeur érudit de l’Université de Bautzen, voulant publier une
édition
aussi complète que possible des fables de Phèdre,
i envoyer une collation du texte que nous possédions, avec celui de l’
édition
des Deux-Ponts. M. Gratet-Duplessis voulut bien s
au professeur de Bautzen, fut mis par lui à profit dans une nouvelle
édition
des fables de Phèdre, la plus complète que l’on a
t Ancipitre (sic) et De Lupo et Pastore, qui ne figurent pas dans les
éditions
des Deux-Ponts, et qu’il en profita pour les publ
e, passa sa vie à former une bibliothèque distinguée par le choix des
éditions
, précieuse par ses manuscrits, ses estampes et le
ines de notre langue nationale. Dans le premier volume de ma première
édition
, à la page 508, je disais avoir appris par l’un d
ait paraître à Heilbronn, chez le libraire Herminger, une remarquable
édition
, non seulement de la traduction française, mais e
ses leçons s’accordent, il a aidé Dressler à remédier aux fautes des
éditions
antérieures. La description que cet auteur en a f
fables : après chacune d’elles viennent deux sonnets. Comme dans les
éditions
imprimées de la traduction d’Accio Zuccho, il y a
ées, il est vrai, de ces gloses naïves qui ont été imprimées dans les
éditions
du xve siècle. Dans l’espoir d’y découvrir quelq
éralement bonnes, j’en ai pris copie dans l’intention d’en donner une
édition
nouvelle. En sus des 190 feuillets du manuscrit,
’engagea à recourir aux manuscrits de la bibliothèque palatine et aux
éditions
les plus anciennes. C’est lui-même qui nous l’app
ssé au Vatican et qui s’y trouve encore aujourd’hui. Dans ma première
édition
, je me bornais à affirmer l’existence de ce manus
ulées : De Accipitre et Capone et : De Pastore dante Canes pro obs[
ed
]ibus Lupo. Ces 62 fables ne sont précédées d’au
que suivant, rarement conservé dans les autres manuscrits et dans les
éditions
incunables : Hec lacrimosa manet ; laniat sine f
ombreuses et même des développements qu’on retrouve rarement dans les
éditions
imprimées. Ainsi la fable xlviii De Milite et Fem
veuve brisant les dents de son défunt mari et puis ceux de la vieille
édition
d’Ulm qui la montrent lui arrachant les cheveux.
en vers hexamètres dont j’ai donné copie plus haut. Section VI.
Éditions
des fables de Walther. § 1. — Éditions du XV
s haut. Section VI. Éditions des fables de Walther. § 1. —
Éditions
du XVe siècle. Si le nombre considérable des m
ouïe dont ses fables ont joui au moyen âge, le nombre aussi grand des
éditions
qui en furent publiées à la fin du xve siècle mo
de la Renaissance. Pour simplifier ma tâche, je ne signalerai que les
éditions
datées. 1º Premières éditions. Si l’Allemagn
er ma tâche, je ne signalerai que les éditions datées. 1º Premières
éditions
. Si l’Allemagne peut revendiquer la première p
mulus ordinaire, c’est à l’Italie que revient l’honneur des premières
éditions
des fables de Walther. 1473. Phrigi Æsop
losophi moralitas e Græco in latinum traducta. Tel est le titre de l’
édition
la plus ancienne que je connaisse. Elle a été imp
. s. d. n. familiaris anno eius tertio sexto mensis Novembris. Cette
édition
est signalée par Hain452 et par Brunet453. 14
Hain452 et par Brunet453. 1475. Deux ans plus tard une autre
édition
était également imprimée à Rome. Elle forme un vo
surmontés de ce titre : Esopo Phrygio philosopho Pamphilius. Cette
édition
est signalée par Hain454 et par Brunet455. J’en a
xvi. Nouembris Mcccclxxvi. Je ne connais pas d’exemplaire de cette
édition
signalée par Panzer (Annales typogr., t. XI, p. 3
brielem Petri Tarvisinum Anno Mcccclxxviiij. Je ne connais pas cette
édition
in-4 qui est citée par Panzer (Annales typogr., t
ns ses Annales typogr., t. I, p. 22, nº 31, Panzer signale encore une
édition
d’écolier, publiée, comme toutes celles destinées
en civem Argentinensem, anno Mcccclxxviiij. 1481. Plusieurs
éditions
des fables élégiaques de Walther ont été imprimée
ccclxxxi. Elle est du format in-4º. — Je dois enfin une mention à une
édition
, dont j’ai déjà parlé et que Morelli a prise pour
mo quadringentesimo octuagesimo primo : die decima nona Maii. Cette
édition
, imprimée dans le format in-4º, a été signalée no
, t. I, p. 33, nº 294). 1486. Dans son Manuel du libraire, 5e
édition
, t. I, col. 89, Brunet, avec une précision qui ne
on qui ne peut laisser aucun doute sur son existence, cite une petite
édition
gothique in-4 de 18 feuillets, sous les signature
. Panzer, t. I, p. 8, nº 31, signale dans les termes suivants une
édition
in-4 qui a été imprimée à Anvers en 1487 : Aesop
par Bain, dans son Repert. bibliog., t. I, p. 34. nº 302. — Une autre
édition
in-4, publiée sans indication de lieu, est égalem
nº 1529 substitué au nº 997, possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
in-4 composée de 34 feuillets signés de A à E, or
vre entièrement et qui représente un édifice public. 2º Dernières
éditions
. Jusque-là les fables de Walther avaient en gé
tre seules, elles sont réunies à d’autres ouvrages poétiques dans des
éditions
qui, à raison de leur titre commençant généraleme
çant généralement par les mots Auctores octo , peuvent être appelées
Éditions
des huit auteurs. Dans ces éditions les fables de
ores octo , peuvent être appelées Éditions des huit auteurs. Dans ces
éditions
les fables de Walther sont accompagnées d’un comm
entaire très différent de celui qu’on rencontrait auparavant dans les
éditions
d’écolier. Dans ces dernières, les fables de Wal
ilios ejus quos voluit instrui per doctrinas hujus libri. » Dans les
éditions
des huit auteurs le commentaire qui se rencontre
xviij Die ultima Decembris. Je ne connais pas d’exemplaire de cette
édition
in-4º, citée par Panzer (Annales typographici, t.
ne me semble pas douteux qu’elle a été la réimpression d’une première
édition
sans date, dont Hain (Repertorium bibliographicum
Nuremberg sous la cote 139, possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
in-4º qui se compose de 42 feuillets. — Esopus m
inz sous la cote B. 131. b., possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
in-4º, qui se compose de 32 feuillets. — Édition
exemplaire de cette édition in-4º, qui se compose de 32 feuillets. —
Édition
classique in-4º des fables de Walther, imprimée e
iption : Lepidis-||simi Esopi || fabu-|lae. Un exemplaire de cette
édition
in-4, coté X. H. 66, se trouve à la bibliothèque
M.cccc.lxxxx. die xxiii Januarii. Il existe un exemplaire de cette
édition
à la Bibliothèque de l’Université de Würtzbourg s
rofesto Bartholomei finit. Le volume qui est dans le format in-4 des
éditions
classiques, se compose de 38 feuillets. La biblio
iothèque royale de Stuttgart possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. — Esopus cum commento optimo et morali. À la f
mo Nonagesimo || quarta die mensis Novembris. C’est la première des
éditions
imprimées à Deventer. Il en existe des exemplaire
ertorium bibliographicum, t. I, p. 241, nº 1917) que je signale cette
édition
imprimée dans le format in-4º. — Esopus moraliza
M. cccc. xci sexto ydus Octobris. Je possède un exemplaire de cette
édition
in-4º, que je n’ai trouvée dans aucune bibliothèq
ntionnée par Panzer (t. IV, p. 54, nº 445). — Indépendamment de cette
édition
, Panzer (t. I, p. II, nº 64) et Hain (t. I, p. 34
lions, portant une sphère sur laquelle sont les initiales A. L. Cette
édition
est du grand format in-4º. Il en existe, sous le
elles. — Esopus moralisatus || cum bono commento. Réimpression des
éditions
classiques antérieures, formant un volume in-4º d
ij. tercio kalendas Octobris. Le verso du feuillet est blanc. Cette
édition
avait sans doute été tirée à un nombre d’exemplai
ux se trouve sur fond noir une des quatre initiales P, L, I, B. Cette
édition
, qui forme un grand volume in-4º, est, comme la p
Esopi. Je n’entre pas dans plus de détails sur le contenu de cette
édition
; pour le faire connaître, il me suffit de dire q
ue, comme la précédente, elle n’est qu’une réimpression des premières
éditions
des huit auteurs publiées à Lyon. Je fais seuleme
rdinaire, démontre une fois de plus qu’elles en sont bien dérivées. L’
édition
se termine par cette souscription qui en précise
iij die xvi. Februari. Un exemplaire parfaitement conservé de cette
édition
figure, sous la cote 28, parmi les incunables de
rabolarum Alani || Fabularum Esopi || Floreti. Tel est le titre d’une
édition
copiée, comme les deux précédentes, sur les premi
e d’une édition copiée, comme les deux précédentes, sur les premières
éditions
lyonnaises. Les feuillets, non paginés, portent s
0973 la bibliothèque publique de Dijon possède un exemplaire de cette
édition
. — Esopus moralisatus || cum bono commento. Au-
Il n’y a pas d’indication de lieu ; ni de mois. Suivant Hain, cette
édition
, sans indication de lieu et sans nom d’imprimeur,
e de Linz, sous la cote B. 100. B, possèdent des exemplaires de cette
édition
classique in-4º, qui se compose de 36 feuillets,
qu’il s’agit d’une réédition ; en effet, c’est une réimpression de l’
édition
de Deventer. Au-dessous du titre est une gravure
eventer. Au-dessous du titre est une gravure différente de celle de l’
édition
précédente ; au centre elle porte en gros caractè
saint Mathieu, et le quatrième, un lion avec le nom de saint Marc. L’
édition
se termine par ces mots : Impressus Dauentrie pe
M. cccc. xciiii tercio kalendas Augusti. Deux exemplaires de cette
édition
qui forme un volume in-4º de 39 feuillets, existe
us de nouo emendatus. Mêmes gravures sur la première page que dans l’
édition
de Jacques de Breda de 1494. À la fin : Impressu
xcv. xvi mensis februarij. C’est encore une réimpression in-4º de l’
édition
de Deventer. Sous la cote Douce 58, il en existe
c. xcvi. mensis februari. C’est encore une réimpression in-4º de l’
édition
de Deventer : elle est signalée par Panzer, t. I,
existe au British Museum un exemplaire sous la cote I073.l.29./2*. —
Édition
d’écolier in-4º, imprimée en caractères gothiques
cahiers, l’un de 8 feuillets et l’autre de 10. Je ne connais de cette
édition
qu’un exemplaire qui existe à la bibliothèque du
bliothèque du palais Brera sous la cote AM. X. 7. S’il est complet, l’
édition
n’a pas de frontispice et ne porte pas de titre g
no domini mille-||simo cccc. xcvi. Die vero, xxiiij. Augusti. Cette
édition
, qui a été publiée dans le grand format in-4º, n’
qui a été publiée dans le grand format in-4º, n’est qu’une copie de l’
édition
lyonnaise de 1494. Il s’en trouve, sous la cote 1
Impressus Dauentrie per me Richardum Paffroed. M. cccc. xcvi. Cette
édition
in-4º, qui m’est inconnue, est citée par Panzer,
I, p. 35, nº 315. Si elle existe, il ne faut pas la confondre avec l’
édition
in-4º du même imprimeur, qui, sans indication d’a
réimpression, en caractères gothiques, faite par Henri Quentell, de l’
édition
, qui avait été publiée par Henri Gran en 1494. Co
-4º de 39 feuillets. — Esopus moralisatus cum bono commento. Cette
édition
, imprimée en caractères gothiques dans le format
édées de ce préambule en prose latine commun à la plupart des petites
éditions
classiques du même temps, et chargées en outre de
rie. Finis. Quoique cette souscription n’en fasse pas mention, cette
édition
a été imprimée à Brescia. Il en existe un exempla
rime appositis. Impressus anno salutis nostre M. cccc. xcvii. Cette
édition
, in-4º, signalée par Panzer, t. IV, p. 67, nº 601
e per Iacobum de Breda M. cccc. xcviii. C’est une réimpression de l’
édition
de Deventer, signalée par Panzer, t. IV, p. 288,
i : Thobiadis : parabolarum Alani : Fabularum Esopi : Floreti. Cette
édition
, qui forme un volume in-4º de grand format, est u
, qui forme un volume in-4º de grand format, est une réimpression des
éditions
lyonnaises de 1494 et 1496. Elle a été imprimée e
ij Aprilis. Je n’ai trouvé qu’un seul exemplaire de cette rarissime
édition
: il existe à la bibliothèque de l’Université de
bliothèque de l’Université de Bâle sous la cote C. E. VI. 49. « Cette
édition
lyonnaise de 1498, m’écrivait le 13 décembre 1881
— Esopus moralisatus cum bono commento. Un des exemplaires de cette
édition
, qui ne contient aucune indication de lieu, est c
mo qua||dringentesimo nonagesimo nono. die vero xxiij. Septembris. L’
édition
forme un volume in-4º non chiffré, mais signé, do
é avec d’autres ouvrages. Telle est la nomenclature chronologique des
éditions
latines des fables de Walther qui furent imprimée
chacune d’elles, j’ai cru devoir me dispenser de citer les nombreuses
éditions
qui ne portaient pas de date. § 2. — Édition
ter les nombreuses éditions qui ne portaient pas de date. § 2. —
Éditions
postérieures au XVe siècle. L’engouement pour
ns l’oubli qu’elles méritaient. Je vais passer en revue les dernières
éditions
qui marquèrent la fin de leur vogue. 1500.
. Le dernier feuillet est blanc. C’est encore une réimpression de l’
édition
publiée à Deventer, en 1490, par Jacques de Breda
Floretum || Alanum de parabolis || Fabulas Esopi || Thobiam. Cette
édition
est contenue dans un volume in-4º, composé de 92
la fin : Impressus Daventriae per me Iacobum de Breda, 1502. Cette
édition
forme un volume in-4º qui paraît être une réimpre
forme un volume in-4º qui paraît être une réimpression de la première
édition
de Deventer. Il en existe un exemplaire sous le n
e du recto du premier feuillet d’un volume du format in-4º commun aux
éditions
classiques du même temps. Non chiffré, il est sig
n et sont seulement pourvues du commentaire, qui, copié sur celui des
éditions
des huit auteurs, les attribue à Walther l’Anglai
. 1, il existe à la Bibliothèque du British Museum un exemplaire de l’
édition
de Wynkyn de Worde. 1504. Auctores octo
u mundi, Floretum, Alanum de Parabolis, Fabulas Æsopi, Tobiam. Cette
édition
a été imprimée dans le format in-4º en caractères
u feuillet a ii a et finissent au feuillet c iiii b. Ce qui donne à l’
édition
sa valeur particulière, c’est qu’elle est, je le
aviani Saladi. M. D. vii. Nono Kal. Aprilis. Un exemplaire de cette
édition
existe à la Bibliothèque palatine de Parme sous l
Esopus moralisatus || cum bono cōmēto : et || glosa interliniari.
Édition
in-4º, imprimée en caractères italiens, non chiff
compagnées de la glose interlinéaire communs à la plupart des petites
éditions
classiques. Elles se terminent au bas du feuillet
M. D. VIII. Le verso de ce feuillet est blanc. Un exemplaire de cette
édition
est conservé, sous la cote A. Gr. B. 65, à la Bib
doue. — Fabule Esopi || cum commento ; tel est le titre d’une autre
édition
de la même année qui se compose de 30 feuillets,
spice est répété au verso du dernier feuillet. Un exemplaire de cette
édition
in-4º existe sous le nº 7740 à la Grenville libra
brary. — Esopi lepidissimi poete fabule incipiunt. C’est encore une
édition
classique in-4º, imprimée en caractères gothiques
s. Il existe à la bibliothèque du palais Brera un exemplaire de cette
édition
sous la cote AN. IX. 58. 1516. Fabule E
the Fletestrele cõmorantem in signo Solis. M. ccccc. xvi 459. Cette
édition
est la réimpression de celle que le même imprimeu
mie, Abacuc, Daniel, Jonas, Grégoire, Jérôme, Ambroise et Augustin. L’
édition
a été imprimée dans le format in-4º, non chiffrée
et accompagnées du commentaire qu’on rencontre spécialement dans les
éditions
classiques. Chacune des fables est illustrée d’un
nalium Anno dñi M. ccccc. xvij mensis Madij. Un exemplaire de cette
édition
in-4º se trouve, sous la cote 7747, à la Grenvill
ion 1519. La bibliothèque Bodléienne possède un exemplaire de cette
édition
classique coté x. x. 83. Th. subst. — Continent
oix et de la droite une banderole portant ces mots : Ecce agnus. L’
édition
forme un volume in-4º de petit format, dont les f
ini. Mdxix. Die. VI. Martii. || Leonardo Lauretano Principe. Cette
édition
, signalée par Panzer460, qui par erreur lui assig
rme les fables en vers élégiaques. Il existe des exemplaires de cette
édition
à la Grenville library sous la cote 7749, à l’Amb
et par conséquent de feuillets dont le nombre total est de 136. Cette
édition
, quoique d’un autre imprimeur, est la réimpressio
O P Q R. || Omnes sunt quaterni. Il existe des exemplaires de cette
édition
à la Bodléienne sous la cote C. P. 415, à la Marc
les fables sont précédées chacune du commentaire commun à toutes les
éditions
qui commencent par le même préambule. En outre, c
cum interpretatione vulgari. Ce sont ces mots qui, dans ma première
édition
m’induisant en erreur, m’avaient porté à supposer
mière édition m’induisant en erreur, m’avaient porté à supposer que l’
édition
contenait avec le texte une traduction en prose i
Le recto du dernier feuillet est consacré à la table des fables. L’
édition
forme un volume in-4º dont les feuillets non chif
bre total de quarante-six feuillets. Il existe un exemplaire de cette
édition
à la Grenville library sous la cote 7751. 153
. Nous sommes ici encore en présence d’une réimpression de la vieille
édition
lyonnaise, mais d’une réimpression augmentée ; ca
nato. M. ccccc. xxxviij. die. viij. Martii. Un exemplaire de cette
édition
est conservé à la bibliothèque Ambrosienne sous l
m.dxxxviii. Au-dessous de cette date se lisent les lettres I et M.
Édition
in-8º, non chiffrée, mais signée de a à m, compos
8 feuillets chacun, soit, en tout, de 96 feuillets. Comme toutes les
éditions
des huit auteurs, elle renferme les fables de Wal
|| apvd Seth de Viottis || m.d.xlvii. Tel est le frontispice d’une
édition
in-4º, très différente des éditions classiques pr
vii. Tel est le frontispice d’une édition in-4º, très différente des
éditions
classiques précédemment analysées, non chiffrée,
de Viottis. Anno m.d.xlvii. || Mense Maii. Un exemplaire de cette
édition
existe à la Bibliothèque Marcienne sous la cote C
44955. 1553. Aesopi || fabulae || feliciter incipiunt. L’
édition
qui porte ce titre consiste dans un volume in-4º
le, sous la cote 8. 98, possèdent chacune un exemplaire de cette rare
édition
. 1557. Esopus constructus mo-||ralizatu
et la gravure sont englobés dans un encadrement xylographique. Cette
édition
, imprimée dans le format in-4º en caractères goth
). Préambule en prose qui est, comme celui de la plupart des petites
éditions
d’écolier, la copie du prologue du dérivé complet
rsité, sous la cote 53. 329, possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. 1561. Æsopi fabule cum interpretatione
itre et la gravure sont enfermés dans un encadrement xylographique. L’
édition
forme un volume in-4º, imprimé en caractères goth
Il existe à la Bibliothèque palatine de Parme un exemplaire de cette
édition
, sous la cote DD.IX. 29175. 1586. Æsopi
ières. Il existe à la bibliothèque Ambrosienne un exemplaire de cette
édition
sous la cote Y̱. VII. 118. 1599 et 1600. L
édition sous la cote Y̱. VII. 118. 1599 et 1600. Les dernières
éditions
des fables de Walther que je viens d’analyser mon
ne vraie nouveauté, et c’est à ce titre qu’il publia dans sa première
édition
de Phèdre les six suivantes : 2. De Lupo et Agno,
servi. Mais le contraire paraît ressortir du frontispice de ses deux
éditions
qui ne visent que le manuscrit palatin. Celui de
; || Impensa Ionæ Rosæ. m.dc.x. Le volume que forme cette première
édition
se compose de 678 pages chiffrées précédées de se
et les notes qui les concernent, les pages 668 à 678. 1660. L’
édition
de 1660 n’étant que la réimpression de celle publ
ar Nevelet en 1610, le frontispice est presque identique à celui de l’
édition
primitive ; il n’en diffère guère que par ces pre
a, in qua Æsopi , etc. Le volume, du même format in-8º que celui de l’
édition
primitive, a été imprimé à Francfort chez Christ.
dicatæ. || Brixiæ. || Apud Iacobum Turlinum. || Superiorum permissu.
Édition
in-12, composée de 167 pages chiffrées. Les pages
nt aux collections en prose. Elles occupent les pages 71 à 149. Cette
édition
n’est que la reproduction d’une première dont je
dio… exacta. Brixiæ, 1681. || Apud Ricciardos, Superior. Permissu. L’
édition
forme un petit volume in-12 de 402 pages, dont 39
rme, sous la cote Sal. M* VIII. 40304, possède un exemplaire de cette
édition
. 1784 et 1810. Après l’édition de 1681, s’
possède un exemplaire de cette édition. 1784 et 1810. Après l’
édition
de 1681, s’écoule un siècle entier dans lequel je
on de 1681, s’écoule un siècle entier dans lequel je ne trouve aucune
édition
nouvelle du texte de Walther. Pour en rencontrer
rent sous le titre d’Anonymi fabulæ Æsopiæ. Voici le frontispice de l’
édition
de 1784 : Phædri || Augusti liberti || Fabulæ Æs
ata. || Biponti, || ex Typographia Societatis. || ciɔ iɔ cclxxxiv. L’
édition
de 1784 forme un volume in-8 de lii-232 pages, da
dans lequel les fables de Walther occupent les cinquante dernières. L’
édition
de 1784 a été, en 1810, réimprimée dans le même f
784 a été, en 1810, réimprimée dans le même format. 1813. Une
édition
tirée à la fois de celle de Névelet et de celle d
Le volume se compose de 296 pages. Il existe un exemplaire de cette
édition
dans la Bibliothèque de l’Université de Padoue so
ame. 1829. En 1829, les fables de Walther furent, d’après les
éditions
Bipontines, introduites dans le dix-septième volu
à celles de Phèdre et d’Avianus. 1838. M. Dressler, dans son
édition
publiée à Bautzen en 1838, les ajouta aussi aux f
tzen en 1838, les ajouta aussi aux fables de Phèdre. En tête de cette
édition
on lit : Accedunt Ugobardi Sulmonensis Fabulæ Phæ
si cum utriusque varietate accurate editæ. 1882. La dernière
édition
que je connaisse est celle qui a été publiée par
ue dans le manuscrit de Lyon. Le petit volume in-8 qui renferme cette
édition
est le cinquième d’une collection de vieux auteur
ossar), et, pages 165 à 166, de la table des matières. Cette dernière
édition
n’a pas eu, plus que les précédentes, le pouvoir
olumes in-8º édités à Bologne en 1866. C’est de ces manuscrits et des
éditions
qui en ont paru que je vais d’abord m’occuper. I
lles du manuscrit Mocenigo, sur lequel a été faite par l’abbé Berti l’
édition
de Padoue de 1811. Elles sont précédées d’une int
criptura acciochè de diletto faccia utilità , et qui, manquant dans l’
édition
Berti, se trouve au contraire avec des leçons dif
Amen. Cette mention finale existe en termes un peu différents dans l’
édition
Berti et manque complètement dans l’édition Manni
un peu différents dans l’édition Berti et manque complètement dans l’
édition
Manni. Les fables sont suivies du Libro di Cato,
lieu de passer en revue les imprimés. 1496. La plus ancienne
édition
des Favole di Esopo volgarizzate est celle qui a
DCCLXXVIII. || Nella stamp. di Giuseppe Vanni || con Lic. de’ Super.
Édition
in-8º de xliv-204 pages. Suivant M. Ghivizzani, l
s. Suivant M. Ghivizzani, le texte en dialecte toscan que porte cette
édition
a été tiré d’un manuscrit de la Bibliothèque Fars
rit de la Bibliothèque Farsetti passé ensuite dans la Marcienne, et l’
édition
elle-même a été préparée par l’abbé Domenico-Mari
la Bibliothèque de Bergame détiennent chacune un exemplaire de cette
édition
. 1782. Volgarizzamento delle Favole di
rīa di Lorenzo Vanni. Il ne faut pas voir ici une réimpression de l’
édition
de 1778 : on est en présence de cette édition ell
i une réimpression de l’édition de 1778 : on est en présence de cette
édition
elle-même, que, par un artifice de librairie, on
na || testo di lingua. || Padova || nel Seminario || MDCCCXI. Cette
édition
, qui forme un volume in-8º de grand format compos
|| testo di lingua. || Brescia || per Niccolò Bettoni || 1818. Cette
édition
forme un volume in-8º de iv-128 pages, qui est la
inedito || citato || dagli Accademici || della Crusca. Comme dans l’
édition
de 1778, le frontispice au-dessous de ce titre es
ia del Giglio || 1818. || A spese di Angiolo Garinei Librajo. Cette
édition
, qui forme un volume in-8º de 120 pages, est la p
Vérone, sous la cote 183. 1, possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. 1837. Favole || di Esopo Frigio || vol
ngua || Parma || Dai tipi di Pietro Fiaccadori || MDCCCXXXVII. Cette
édition
est contenue dans un petit volume in-32 de 156 pa
| testo di lingua. || Livorno. || Presso la libreria Gamba, || 1840.
Édition
in-18 de 136 pages, dont un exemplaire existe dan
o da Siena || testo di lingua || ridotto || all’uso della gioventu ||
ed
a migliore lezione. || Verona tip. Libanti MDCCCX
ioventu || ed a migliore lezione. || Verona tip. Libanti MDCCCXLVII.
Édition
in-12 de xxvi-91 pages, dont il existe des exempl
Testo di Lingua. || Udine. || Onofrio Turchetto Tip. Edit. || 1851.
Édition
en 1 volume in-16 de v-141 pages, dont la Bibliot
uno da Siena || testo di lingua || ridotto || al uso della gioventù
ed
a migliore lezione || vì si aggiungono || Le Favo
a, 1854. || Nel priv. stabilimento nazionale || di G. Antonelli ed.
Édition
en 1 volume qui est le vingt-sixième d’une collec
us général qui est ainsi conçu : Bibliotheca || dei || Giovani colti
ed
onesti || cioè || Raccolta di operette || in pros
| Giovani colti ed onesti || cioè || Raccolta di operette || in prosa
ed
in versi || atte a formare la mente ed il cuore
colta di operette || in prosa ed in versi || atte a formare la mente
ed
il cuore della gioventù || dilettando ed instruen
|| atte a formare la mente ed il cuore della gioventù || dilettando
ed
instruendo. || Volume XXVI. || Venezia, 1854. ||
e scelte dal Testo Riccardiano. Comme les quatre précédentes, cette
édition
paraît avoir été calquée sur celle que l’abbé Ber
Vérone, sous la cote 182.1, possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. 1856. Esopo volgarizzato per uno da Si
zzato per uno da Siena. Testo di lingua ridotto ad vso della Gioventù
ed
a miglior lezione. Verona tip. Bibante, 1856. Éd
vso della Gioventù ed a miglior lezione. Verona tip. Bibante, 1856.
Édition
en 1 volume in-8º préparée par le savant P. Sorio
aient erronés, à l’aide du manuscrit Farsetti publié par Manni. Cette
édition
a été mentionnée et appréciée par M. Ghivizzani d
utti i codici Florentini e col Senese. || Felice Le Monnier || 1864.
Édition
in-8º de iii-172 pages, dans laquelle est pour la
dito dal Codice Palatino già Guadagni. Lucca, Giuseppe Giusti, 1864.
Édition
in-8º en un volume de 166 pages. C’est la premièr
rizzamenti italici. || Bologna || presso Gaetano Romagnoli || 1866.
Édition
en deux volumes in-8º de petit format, composés,
ge 269 à la page 285, trois tables. Il existe un exemplaire de cette
édition
dans la Bibliothèque nationale à la réserve du dé
olgarizzato per uno da Siena. Testo di lingua. Milano, Guigoni, 1870.
Édition
in-16 qui a été réimprimée pour le même éditeur,
été réimprimée pour le même éditeur, en 1881, dans le format in-24. L’
édition
et la réimpression sont, au palais Brera, représe
fut imprimée pour la première fois à Vérone, en 1479. Cette première
édition
forme un volume in-4º de petit format, composé de
e et la soixante-quatrième, qu’ils ne renferment que très rarement. L’
édition
se compose même de 66 numéros ; mais cela tient à
e Library, sous la cote 7729 possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. 1483. Publiée d’abord dans le nord de l’
xième et dernier feuillet est blanc. Il existe un exemplaire de cette
édition
à la Bibliothèque nationale, où, longtemps réuni
possède un également, sous la cote 7732. 1487. Après les deux
éditions
qui viennent d’être analysées, la plus ancienne e
deux éditions qui viennent d’être analysées, la plus ancienne est une
édition
de 1487 imprimée en caractères gothiques. Le volu
a Bodléienne et la Colombine possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
: la première, sous la cote C. 20. b ; la deuxièm
Brescia, la traduction d’Accio Zuccho fut enfin imprimée à Venise. L’
édition
qui contient à la fois les distiques de Walther e
n, Repert. bibliog., t. I, p. 39, nº 346, ont à tort attribué à cette
édition
la date de 1481. J’en ai trouvé à la Bibliothèque
Le Favole d’Esopo ridotte in sonetti da Accio Zucco Somma campagna.
Édition
in-4º de petit format non chiffrée, mais signée d
s’ensuit que le volume se compose de 72 feuillets. Réimpression de l’
édition
de 1491, elle contient le texte de Walther et la
io Zuccho. Le recto du premier feuillet est, comme dans la précédente
édition
, occupé par une gravure sur bois représentant six
s sont ornées de gravures sur bois encadrées, pareilles à celles de l’
édition
précédente. Au bas du verso de l’avant-dernier fe
liothèque de Vérone, sous la cote 77.2 possède un exemplaire de cette
édition
. 1497. Esopo historiado. Réimpression,
7. Esopo historiado. Réimpression, in-4º de petit format, de l’
édition
de 1493, exécutée en caractères italiens, non chi
Zucharinum inscriptum || contexta fœliciter incipit. Comme dans les
éditions
antérieures du même imprimeur, les fables sont au
e Ferrare sous la cote O. 66 possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. — Esopo con la vita sua historiade vulgare et l
nzeler. Anno salutis domini M.CCCCXCVII. die XXIII Decembris. Cette
édition
in-4º, imprimée en caractères gothiques et ornée
1498. Le Fabule de Esopo vulgare || e Latine Historiade.
Édition
in-4º imprimée en caractères gothiques, non chiff
occupant que le bas, est rempli par une gravure qui, comme celle de l’
édition
de 1493, représente Ésope assis et professant, et
s servant de préambule, qui ont déjà été signalés dans l’analyse de l’
édition
originale. Le premier est intitulé Prohemio et le
feuillet est occupé par la table. Il existe des exemplaires de cette
édition
au British Museum sous la cote 1073.l.26, à la Bi
é de Padoue sous la cote SºXV.494. 1502. Esopo historiado.
Édition
in-4º non chiffrée, mais signée de a à i, et par
chacun, en donnent au volume un nombre total de soixante-douze. Cette
édition
, contenant le texte de Walther et la traduction d
r feuillet est rempli par une gravure analogue à celle de la première
édition
. Le titre et la gravure sont compris dans un enca
sont elles-mêmes ornées de gravures encadrées semblables à celles des
éditions
précédentes du même imprimeur. Au bas du verso de
de Vérone sous la cote 105.4 possèdent chacune un exemplaire de cette
édition
. ― Le fabule de Ysopo vol||gare et latine histo|
t, surmonte une grande gravure sur bois qui en occupe le reste. Cette
édition
forme un volume in-4º de 70 feuillets. Au verso d
e de l’imprimeur. La Grenville library possède un exemplaire de cette
édition
sous la cote 7744. 1520. Esopo con la v
n tête du recto du premier feuillet, surmonte une gravure sur bois. L’
édition
forme un volume in-12, orné de gravures sur bois,
. de Septembre. La Grenville library possède un exemplaire de cette
édition
sous la cote 7750. 1528. Fabule de Esop
mpressae Venetiis per Augustinum de Zannis. M. d. xxviii 468. Cette
édition
forme un volume in-8º orné de gravures sur bois.
remier feuillet est une gravure qui occupe le reste de la page. Cette
édition
in-12 se termine au verso du dernier feuillet par
xxvii. Octobr. La Grenville library possède un exemplaire de cette
édition
sous la cote 7754. 1544. Fabule di Esop
onis, anno Domini M. d. xxxxiiii. Il existe un exemplaire de cette
édition
dans la bibliothèque de Wolfenbüttel. 1566.
o. 1566. La bibliothèque Ambrosienne possède un exemplaire de cette
édition
sous la cote S. Q. O. II. 35. Là s’arrête la séri
cette édition sous la cote S. Q. O. II. 35. Là s’arrête la série des
éditions
de la traduction d’Accio Zuccho. On conçoit, en e
on en prose italienne des fables de Walther. 1485. La première
édition
de la traduction de Francisco del Tuppo a été imp
nouilles qui demandent un roi. Les 4 dernières fables, comme dans les
éditions
de la traduction d’Accio Zuccho, sont celles inti
et registre qui les suivent. J’ai rencontré des exemplaires de cette
édition
dans de nombreuses bibliothèques et notamment à l
nº 50) et par Hain (t. I, p. 40, nº 353). 1493. Une deuxième
édition
, qui, si j’en juge par les exemplaires que j’en a
’épître à « Honorato de Aragonia », avec le même préambule que dans l’
édition
originale. Fol. 3 a (a. iii a). — Prohemium , à
. Fabula I. Sous ce titre figure le prologue de Walther, qui dans l’
édition
est considéré comme la première fable. Puis vient
paraphrase italienne divisée en quatre ou cinq parties. Comme dans l’
édition
originale, dont celle de 1493 n’est en somme que
demment C. K. K. Tab. 196, N. 19) renferment des exemplaires de cette
édition
qui est citée par Panzer (t. I, p. 16, n. 4), par
t. I, col. 98). — Panzer (t. IV, p. 219, nº 4) mentionne une deuxième
édition
in-fol. qui, comme la précédente, aurait été impr
ue Giustiniani, p. 103, l’a déclarée purement imaginaire. — Une autre
édition
, devenue beaucoup plus rare que l’édition connue
ent imaginaire. — Une autre édition, devenue beaucoup plus rare que l’
édition
connue d’Aquilée, a été imprimée à la fin de la m
e son pays et à leur faciliter l’étude de la langue latine. La seule
édition
qui en soit connue consiste dans un petit volume
ans un manuscrit de la Bibliothèque nationale, et les publia dans son
édition
des Fables inédites des xiie , xiiie et xive si
nuscrit de la Bibliothèque nationale, en publia, en 1854, la première
édition
complète. Elle renferme quarante-deux fables ; en
e rectifie implicitement une erreur que j’ai commise dans ma première
édition
et qui m’a entraîné à affirmer que, si ce Romulus
de deux éléments distincts. Mais à peine avais-je publié ma première
édition
, qu’en relisant dans la collection de Neckam la f
Liber bestiarum. Il est probable que, comme le mot Mythologia dans l’
édition
bien connue de Névelet sert de titre général à di
ens qui ne l’ont pas conservée dans toute sa pureté. Dans ma première
édition
, en procédant au classement des nombreux matériau
obligé de m’y arrêter ; car j’ai à modifier ce que, dans ma première
édition
, j’avais exposé au sujet de son origine. Ayant al
si me paraît-il très suffisant de l’avoir déjà édité dans ma première
édition
, et ne lui ferai-je pas une seconde fois le même
s deux fables de l’Anonyme de Névelet, qui dans les manuscrits et les
éditions
de cet auteur portent les nos 59 et 60 et qui son
orence. Section I. Observation préliminaire. Dans la première
édition
de cet ouvrage, il n’a pas été question de la col
ue j’ai eu à étudier l’Anonyme de Nilant, j’ai dit qu’à la suite de l’
édition
des fables de cet Anonyme avaient été publiées 45
tion du texte des Fabulæ antiquæ. Dans l’introduction qui précède son
édition
diplomatique du Romulus Burnéien, M. Hermann Oest
de vue des services à en tirer pour publier du Romulus ordinaire une
édition
bien exacte, le traitèrent avec un dédain qu’il n
t, les fables de Romulus telles qu’elles avaient paru dans la vieille
édition
d’Ulm. Schwabe, tirant du même point de vue des d
fables de ce Romulus, laissa-t-il complètement de côté le texte de l’
édition
de Nilant. Il se fit communiquer par le conseille
manuscrit de Dijon et l’exemplaire qu’il croyait unique de la vieille
édition
d’Ulm et que pour cette fausse raison il appela l
, comme c’est le seul que Nilant ait connu, il s’ensuit que, dans son
édition
de 1709, il n’a fait qu’une publication forcément
tement venue la version poétique de Marie de France. Dans ma première
édition
, voulant attribuer à cette collection un nom qui
Texte du Romulus anglo-latin. Lorsque j’ai publié ma première
édition
, m’étant posé la question de savoir si le Romulus
texte latin. Si, lorsqu’il s’est agi pour moi de publier ma première
édition
, je m’étais fait ces réflexions qui, depuis, m’on
ouvée. Mais elle a d’autres points d’appui. On sait, par la première
édition
de cet ouvrage, que du Romulus sur lequel a été f
cile de faire à cette question une réponse certaine. Dans ma première
édition
, j’avais opté pour le chiffre de 104, et voici le
d’en savoir et à renvoyer ceux qui désireront la mieux connaître à l’
édition
de ses œuvres publiée par M. de Roquefort510, à l
it à sa disposition : en effet, pour quiconque jette les yeux sur son
édition
, il est visible qu’il s’est presque constamment b
e est uniquement dû à la division en deux fables de celle qui, dans l’
édition
de M. de Roquefort, est la quatre-vingt-deuxième
comprenant que cent fables, en possède deux qui n’existent pas dans l’
édition
de M. de Roquefort ; la première est intitulée :
du poème latin de Marbode, évêque de Rennes. Voyez cet ouvrage dans l’
édition
des ouvrages de ce prélat par le père Beaugendre.
x-sept derniers vers, est celle de l’Ermite et du Paysan, qui, dans l’
édition
de M. de Roquefort, fait immédiatement suite à la
des fables dans le manuscrit 24428 est exactement le même que dans l’
édition
de M. de Roquefort, il s’ensuit qu’on peut affirm
’est à ce titre que je les ai a mon tour introduites dans la première
édition
de cet ouvrage. Cette appréciation a été jugée in
ant, qu’on doit maintenant s’expliquer aisément que, dans ma première
édition
, j’aie pu confondre avec le Romulus anglo-latin c
supprimé les mots qu’il n’était pas capable de déchiffrer. § 3. —
Éditions
du Dérivé partiel. La première édition des
déchiffrer. § 3. — Éditions du Dérivé partiel. La première
édition
des vingt-deux fables du Dérivé du Romulus anglo-
qui existent entre le texte du manuscrit 347 C et celui de sa fautive
édition
. fable i. Manuscrit 347 c. Robert. c
bere aliquod aliquid On voit à quel point est défectueuse l’
édition
de M. Robert. Elle n’est pas la seule qui existe
, consacré au Romulus Burnéien538, on retrouve les fables qui, dans l’
édition
de M. Robert portent les nos 5 à 15 et 18 à 21. M
ey n’a pas recouru aux sources et il s’est borné à faire réimprimer l’
édition
de son devancier avec les fautes dont elle fourmi
à la fois dans certains manuscrits des fables de Walther et dans les
éditions
de la fin du xve siècle tirées de ces manuscrits
premier songé à les faire paraître. Seulement, au lieu d’en faire une
édition
complète, il crut devoir ne publier, à la suite d
à la deuxième du feuillet 28 b. Depuis la publication de ma première
édition
je me suis procuré une copie complète du texte co
iques disposés en quatrains qui, dans le second volume de la première
édition
de cet ouvrage, occupe les pages 436 à 479. Les q
s forme de notes, au texte du manuscrit du British Museum. § 3. —
Édition
unique. J’ai dit qu’à tort j’avais cru êtr
r des fables du Dérivé rythmique. Par son compte-rendu de ma première
édition
dans le Journal des savants, M. Gaston Paris m’a
no. Amstelædami, 1698. (Voyez la préface.) 43. Voyez la préface de l’
édition
de 1698 précitée. 44. Dissertatio de ætate et s
17.) 48. Flavii Josephi Antiquitatum Judaïcarum libri XX. (Voyez l’
édition
latine in-folio, imprimée à Bâle en 1540, p. 521.
onii, e Theatro Sheldoniano, 1687, in-4º. (Voyez p. 32.) 50. Voyez l’
édition
précitée, p. 487. 51. Phædri Aug. Liberti Fabul
-8º. (Voyez les notes de Gude sur Phèdre, p. 324.) 62. Voyez, dans l’
édition
de Burmann de 1698, les notes de Gude, p. 324. 6
tion lui fit perdre, et mourut le 20 mars 1818. Il a publié plusieurs
éditions
d’ouvrages anciens et modernes, et notamment, en
s éditions d’ouvrages anciens et modernes, et notamment, en 1807, une
édition
de Phèdre, avec les notes du Père Desbillons. 69
75.) 78. Dissertation sur les quatre manuscrits de Phèdre. (Voyez l’
édition
Lemaire, tome I, p. 189.) 79. Voyez la préface d
(Voyez l’édition Lemaire, tome I, p. 189.) 79. Voyez la préface de l’
édition
de Phèdre publiée par M. Berger de Xivrey, pp. 33
la page 42 de la préface mise par M. Berger de Xivrey en tête de son
édition
diplomatique de son manuscrit de Pithou. 88. Voy
té trouvées dans le manuscrit de Perotto, et dont il y a déjà eu huit
éditions
, cinq à Naples et trois à Paris. Doutes sur leur
XXVI, 2 vol. in-8º. (Voyez tome I, p. 34, note 3.) 92. Voyez, dans l’
édition
diplomatique du manuscrit de Pithou publiée par M
liée par M. Berger de Xivrey, la p. 46 de la préface. 93. Voyez même
édition
, p. 48 de la préface. 94. Voyez même édition, p.
réface. 93. Voyez même édition, p. 48 de la préface. 94. Voyez même
édition
, p. 53 de la préface. 95. Voyez les p. 54 et sui
Epistola. Hammone, typis Schulzianis, MDCCCXLIV, in-8º. 99. Voyez l’
édition
des Fables de Phèdre de 1806, tome I, p. 27. 100
p. 27. 100. Spectacle de la nature, 7e vol., p. 245. 101. Voyez l’
édition
des Fables de Phèdre de 1806, tome I, p. 43 et 44
té trouvées dans le manuscrit de Perotto, et dont il y a déjà eu huit
éditions
, cinq à Naples et trois à Paris. Doutes sur leur
sociorum, M.D.CCC.XXXI, in-8º. (Voyez p. 16.) 107. Voyez p. 89 de l’
édition
du manuscrit de Pithou, publiée par M. Berger de
Almanach de Reims, année 1774, cité par M. Berger de Xivrey dans son
édition
du manuscrit de Pithou, p. 81. 109. Voyez p. 109
ns son édition du manuscrit de Pithou, p. 81. 109. Voyez p. 109 de l’
édition
du manuscrit de Pithou publiée par M. Berger de X
iée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 110. Voyez p. 81 de l’
édition
précitée. 111. Voyez p. 81 de l’édition du manus
1830. 110. Voyez p. 81 de l’édition précitée. 111. Voyez p. 81 de l’
édition
du manuscrit de Pithou, publiée par M. Berger de
t de Pithou, publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830. 112.
Édition
diplomatique de M. Berger de Xivrey, p. 83. 113.
sa Disputatio II, p. xviii et xix. 119. Voyez p. 30 du tome I de son
édition
des Fables de Phèdre, publiée en 1806. 120. Le
io II, p. xix. 125. Voyez Notitia litteraria, p. 30 du tome I de son
édition
des Fables de Phèdre, publiée en 1806. 126. Cla
selle des musiciens et Bibliographie générale de la musique. Deuxième
édition
entièrement refondue et augmentée de plus de moit
es, directeur du Conservatoire royal de musique de Bruxelles, etc. 2e
édition
. Paris, librairie de Firmin-Didot frères, fils et
6. Voyez la préface, p. v. 137. Voyez p. xviii. 138. Voyez dans son
édition
de 1806 la Notitia litteraria de Phædro, p. 30.
, comme l’a lu Jannelli, Titus Marinus Veltrius. (Voyez p. 247 de son
édition
du Codex Perottinus, publiée à Naples en 1809.)
onj et en prose française par M. Bagioli, avec les notes latines de l’
édition
originale, et précédées d’une préface française p
, M.D.CCC.XII, in-8º. (Voyez la préface, p. xiv.) 161. Voyez, dans l’
édition
sus-indiquée des Nouvelles Fables de Phèdre, la p
a page xiv de la préface. 162. Voyez les Fabulistes latins. Première
édition
, t. I, p. 108. 163. Voyez Disputatio III, p. xli
édition, t. I, p. 108. 163. Voyez Disputatio III, p. xliii, dans son
édition
des Fables de Phèdre, publiée en 1786. 164. Le F
ronj et en prose française par M. Bagioli avec les notes latines de l’
édition
originale et précédées d’une préface française pa
bres par L. Hervieux. Paris, 1881, in-18. (Voyez p. 213.) 175. Cette
édition
de Cassitto est très rare. Je n’en connais qu’un
, sous la cote I. N. XI. 33. À la page 120 du tome Ier de ma première
édition
, j’avais, par le langage tenu par Jannelli lui-mê
re que Cassitto avait à tort considéré comme la troisième sa dernière
édition
et qu’en réalité elle était la quatrième. C’était
-8º. (Voyez p. 279 et 280.) 182. Voyez la préface non paginée de son
édition
in-4º des Fables de Phèdre, publiée en 1727. 183
ia typographia, in-8º. (Voyez Dissertatio I, p. xxi.) 184. Voyez les
éditions
de 1658, p. 205, et de 1722, p. 212. 185. M. Va
oyez livre XXXVI, chap. xxi, col. 1669 et 1670.) 195. Voyez dans les
éditions
in-8º du Phèdre de Burmann la première note sur l
1727, in-4º. (Voyez la préface non paginée.) 202. Voyez dans la même
édition
la préface non paginée. 203. « Sunt enim, ut ad
e præditis exciderint, quæ hac ætate scripta sint. » (Voyez p. 7 de l’
édition
in-8º des 32 fables nouvelles publiées d’après An
les publiées d’après Angelo Maï par Orelli à Zurich en 1832.) 204. L’
édition
la plus ancienne ou tout au moins la première des
2.) 204. L’édition la plus ancienne ou tout au moins la première des
éditions
connues du Cornu copiæ est celle imprimée en cara
is Æsopios logos intentatum Romanis ingeniis opus. » (Voyez p. 3 de l’
édition
originale de Phèdre publiée à Troyes en 1596.) 2
VII, in-12. (Voyez livre III, chap. xxix, p. 185 et s.) 217. Voyez l’
édition
de Cannegieter, p. 5 et s. 218. Voyez l’édition
et s.) 217. Voyez l’édition de Cannegieter, p. 5 et s. 218. Voyez l’
édition
de Cannegieter, p. x. 219. Joh. Nicolaï Funccii
MDCCCVI, in-8º. (Voyez tome I, p. 229 et suivantes.) 230. Voyez même
édition
aux tome et pages sus-indiqués. 231. Voyez, tome
rs, ont été presque entièrement tirées d’Ésope. 233. Voyez p. 9 de l’
édition
de Cannegieter. 234. Voyez tome VII, planche XXI
a Welleriana, MDCCCXXXVIII, in-8º. (Voyez p. 111.) 267. Voyez dans l’
édition
de 1839 de la collection Nisard la notice sur Phè
et 708, 1re col. 268. Voyez la notice mise par Dübner en tête de son
édition
scolaire des fables de Phèdre et des réimpression
e sur Ausone, et le dernier, publié en 1865, un an après sa mort, une
édition
de la Chronique de Saxe. Mais celui qui le recomm
g, 1870. 302. J’ai constaté l’existence de ce prologue dans diverses
éditions
du xve siècle et notamment dans celles dont il y
session, avec le même prologue placé en tête, les exemplaires de deux
éditions
incunables des fables de l’anonyme de Névelet, l’
la Notitia litteraria de Phædro, t. I, p. 165.) 305. Voyez, dans son
édition
de Phèdre publiée à Brunswick en 1806, la Notitia
06, la Notitia litteraria de Phædro, t. I, p. 165. 306. Voyez dans l’
édition
de Phèdre précitée la Notitia litteraria de Phædr
a Notitia litteraria de Phædro, t. I, p. 169. 307. Voyez notamment l’
édition
intitulée : Vita Esopi una cum suis Fabulis, a gr
tins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Première
édition
. Tome II. Paris, Firmin-Didot et Cie, 1884. (Voye
tins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Première
édition
, tome II, page 247. 316. Voyez, dans le nº du Jo
nts de décembre 1884, la note 2 de la page 678. 317. Voyez, dans son
édition
de Phèdre publiée en 1806, la Notitia litteraria
mplaire des fables de Romulus qui me paraît bien se rapporter à cette
édition
; mais je n’oserais l’affirmer. 332. Panzer, t.
raphicum, tome I, p. 39, nº 340. 348. Brunet, Manuel du libraire, 5e
édition
, tome I, col. 93. 349. Brunet, Manuel du librair
re, 5e édition, tome I, col. 93. 349. Brunet, Manuel du libraire, 5e
édition
, tome I, col. 93. 350. Bibliothèque de Lyon. Ca
aphici, tome X, p. 11, nº 820 b. 353. Brunet, Manuel du libraire, 5e
édition
, tome I, col. 94. 354. Brunet, Manuel du librair
re, 5e édition, tome I, col. 94. 354. Brunet, Manuel du libraire, 5e
édition
, tome I, col. 94. 355. Brunet, Manuel du librair
re, 5e édition, tome I, col. 94. 355. Brunet, Manuel du libraire, 5e
édition
, tome I, col. 94. 356. Brunet, Manuel du librair
re, 5e édition, tome I, col. 94. 356. Brunet, Manuel du libraire, 5e
édition
, tome I, col. 94. 357. Annales typographici, to
(Voyez t. I, 3e partie.) 395. C’est par erreur que, dans ma première
édition
, t. I, p. 686, je n’ai reconnu que 46 fables au s
nnu que 46 fables au second groupe. 396. Les Fabulistes latins, 1re
édition
, t. I, p. 661. 397. Journal des Savants, janvie
. col. 1369.) 420. Sébastien Brant a publié cette épigramme dans son
édition
de Romulus de 1501. (Voyez plus haut, p. 386.) 4
m bibliographicum, t. I, p. 33, nº 290. 453. Manuel du libraire, 5e
édition
, t. I, col. 88. 454. Repertor. bibliog., t. I,
epertor. bibliog., t. I, p. 33, nº 291. 455. Manuel du libraire, 5e
édition
, t. I, col. 88. 456. Repertorium bibliographicu
l’analyse de ce manuscrit : 1º dans les Manoscritti Palatini ordinati
ed
eposti da F. Palermo, T. I, p. 162 ; 2º à la page
468. Panzer, t. VIII, p. 510, nº 1464. 469. Manuel du Libraire, 5e
édition
, t. I, col. 92. 470. Inventaire des manuscrits
Londres, 1748, in-fol. (Voy. p. 540, note D.) 483. Voyez la première
édition
des Fabulistes latins, t. I, p. 707. 484. Voyez
z Journal des savants, janvier 1885, p. 41 et 42. 534. Voyez, dans l’
édition
de M. Roquefort, la fable 66 de Marie. 535. Voir