genium ? k. Petit traité de grammaire latine rédigé par Abstemius,
également
auteur des Libri duo de quibusdam locis obscuris
leur dit-il, vous pouvez vous vanter,
D’estre pour l’humaine lignée
Egalement
à redouter.
Or avisons aux lieux qu’il vous faut
n aurait pris à la chasse, il le mettrait en commun et le partagerait
également
entre tous : de la sorte on ne verrait plus les l
autre ; Comme par exemple, Milon le Crotonien, et Aristote, estoient
également
hommes, et également individus de leur espece. Il
emple, Milon le Crotonien, et Aristote, estoient également hommes, et
également
individus de leur espece. Ils estoient composez d
bien ? Certes, il s’en faut beaucoup que telles choses doivent estre
également
faites, et de la mesme methode. Car en la frequen
e, ou d’estre en reputation de vertueux. L’un et l’autre enflammoient
également
le courage du Souverain, et par la convoitise du
é en mesme Loy de combattre : l’on a voulu rendre toutes ces disputes
également
mortelles ; Et quiconque a plus fait de duels sur
raisonnable dispensatrice ; et pour le dire en un mot n’est-elle pas
également
Nature à tout le Monde ? Cela est tellement vray,
les uns contre les autres. L’experience et la raison nous confirment
également
ceste verité. L’experience, en ce qu’ordinairemen
ole et son édition des Vite dei Santi Padri de Domenico Cavalca. Il a
également
bien connu le jeune Torquato Tasso, qu’il a proba
Piérie, mère et séjour des Muses22, l’autre de Cellarius, qui en fait
également
une région de la Macédoine23. Je ne m’y arrête pa
c’est à peine si elle pourrait être approximativement fixée. Il a été
également
impossible de savoir s’il était né dans l’esclava
s avait-il rejeté l’hypothèse de Scheffer. Le Père Desbillons comprit
également
qu’elle était inadmissible. Pour la combattre plu
-ce encore à lui qu’il la consacre. J’arrive enfin au livre V ; c’est
également
sous l’égide d’un affranchi qu’il le place, et ce
e cinq. Il est certain qu’il en renfermait d’autres ; mais ce qui est
également
vraisemblable, c’est que Phèdre, ne l’ayant comme
issa à Pierre Pithou, son neveu, fils d’un troisième frère. Celui-ci,
également
neveu du fameux Pierre Pithou, prit le nom de Pit
aient dû subir une rectification, elle fait dans l’un et dans l’autre
également
défaut. Ainsi, par exemple, la fable v du livre I
manque, et les deux, qui devraient commencer la fable suivante, sont
également
absents. Cependant le tout est réuni, comme s’il
é De Monstris et Belluis, qui, dans le manuscrit de Pithou, se trouve
également
à la suite de ses Fables. Il est évident que Dom
n carton revêtu de vélin. Les 123 feuillets des trois manuscrits sont
également
en vélin. Le premier des trois, celui qui est au
ndre grosseur. Cette traduction commence par cette phrase qui diffère
également
des deux versions connues du même passage de la B
Puis vient la chanson de geste intitulée Otinel, dont l’écriture est
également
du xive siècle. Elle a, comme je l’ai déjà dit,
ère édition de Rigault, a, dans ses notes sur Phèdre, en l’attribuant
également
au manuscrit de Daniel, reproduit la même variant
a édité tricandum, et c’est ce mot que Gude et dom Vincent déclarent
également
avoir lu dans celui de Reims. Mais c’est au contr
xte et le détermina à ajouter à son ouvrage un supplément, qui parut,
également
à Zurich, en 1832, et qui lui permit de substitue
qui figurait dans les œuvres de Phèdre, il en conclut qu’il avait dû
également
composer toutes les autres. Voici en quels termes
pressions qui lui sont propres, on pourroit par cette méthode prouver
également
que Ciceron n’est pas de Ciceron. « Et cette entr
es apologues, portent la trace de leur origine indienne. Elle pénétra
également
dans la Grèce héroïque : Ésope, qui sans doute ne
ignifie traduire. Le passage de Quintilien, cité par M. du Méril, est
également
mal interprété par lui. Jannelli, qui, ainsi que
qu’il adjuge à un auteur anonyme. Salon de Parme252 enfin en composa
également
soixante. Toutes ces collections ne contiennent q
qui dans les éditions de Phèdre est la viie du livre II, quinze vers
également
composés dans le rythme ïambique ; mais, comme ce
remonte au xe siècle. Cette appréciation de l’âge du manuscrit a été
également
adoptée par M. Oesterley dans la préface de son é
rit est complet et en bon état ; mais l’écriture n’en est pas partout
également
lisible. D’après M. Pertz, dont l’appréciation es
certaine pour apprécier quelles sont les autres parties du manuscrit
également
écrites par lui. Il y a réuni des traités divers,
. Par les dessins à la plume dont il est illustré, il est intéressant
également
pour l’histoire de l’art. En tête de la première
relieur en a ajouté trois au commencement et trois à la fin, qui sont
également
dépourvus d’écriture. Les divers éléments dont le
copie des Fabulæ antiquæ, ne permet pas de la lui attribuer. Elle est
également
trop récente pour appartenir à Paul Petau dont l’
l Petau dont l’écriture, d’ailleurs encore plus dissemblable, m’a été
également
révélée par la mention par lui mise sur le manusc
me faisant croire que le manuscrit de Wissembourg contenait une œuvre
également
éloignée de celle des manuscrits de l’anonyme de
de Xivrey] dans le manuscrit de Pithou ; les échanges de lettres sont
également
semblables. Souvent inquit s’écrit inquid, et atq
ait sans doute soigneusement prise du vieux manuscrit de Dijon, porte
également
: Romulus Tyberino filio. De civitate Attica Æsop
ion de la nationalité d’Ésope. Si l’on va au fond des choses, on voit
également
qu’ils n’ont trait ni à celle de Romulus, ni à ce
e Wissembourg n’a pu évidemment se composer de fables existant toutes
également
dans celle de Romulus, qu’à la condition que cett
x deux collections un seul et même titre général ; un seul titre sert
également
aux deux prologues ; enfin chaque fable en vers e
alogue attribue à l’imprimerie de Sorg. La bibliothèque de Munich m’a
également
paru avoir, sous la cote A. Gr. B. 15, un exempla
d’après mes notes, chacune d’elles finit, est celui qui comme tel est
également
indiqué par des hachures dans le Répertoire de Ha
ctères gothiques, sans lieu ni date et sans nom d’imprimeur, et ornée
également
de nombreuses gravures sur bois. Le volume est fo
bablement lui avait inspiré confiance, il est probable qu’il m’aurait
également
rassuré. Mais, ne l’ayant pas remarqué, je conçus
des fables du Romulus ordinaire qu’une traduction française en était
également
publiée. Cette dernière était l’œuvre du frère Ju
t orné de gravures sur bois. 10º Édition de 1531. Je n’accorde
également
qu’une mention sommaire à l’édition de 1531, qui
ccompagnés d’une glose en anglais, 2º la Consolation de Boëce pourvue
également
d’une glose anglaise, 3º un roman anglais intitul
anzer377, d’après Maittaire, affirment que le Speculum historiale fut
également
imprimé la même année à Paris dans le format in-f
on : Incipit libellus fabularum esopi cati , sont pourvues de titres
également
à l’encre rouge, et se terminent par cette souscr
e Névelet ne parurent pas seulement avec ce commentaire. Elles furent
également
publiées avec un autre tant dans des petits livre
ise en vers élégiaques, il n’était pas déraisonnable de lui attribuer
également
les fables de l’Anonyme composées dans le même ry
la Grenville library sous le nº 7724) ; 2º Une édition scolaire in-4º
également
sans date, ni lieu, ni nom d’imprimeur, comprenan
ui lui paraissaient fautifs. Et puis il ne faut pas oublier qu’il eut
également
recours au manuscrit de Petau et qu’il y dut pren
nuscrits identiques, qui, quoique d’un format un peu plus petit, sont
également
remarquables par l’écriture et les dessins, et do
se que de 26 vers. Elles sont en outre suivies d’un épilogue, qui n’a
également
que 18 vers. Comme enfin le nombre des fables est
ovo foro. B. Manuscrit 416. Les 60 fables primitives figurent
également
dans le manuscrit 416. Ce manuscrit, qui, comme l
. Le prologue latin, qui commence au verso du premier feuillet, est
également
suivi de deux sonnets qui s’y rapportent. Il en e
belle écriture du xive siècle et de deux feuillets blancs et neufs,
également
en parchemin, que le relieur a placés, l’un au co
inent vers le haut du feuillet xxiii a. Immédiatement après viennent,
également
sans titres général ni spéciaux, les soixante fab
t ainsi accompagné d’un commentaire ; les fables 1 à 6 et 8 à 17 sont
également
pourvues d’une paraphrase placée en tête de chacu
ture est la gothique du xive siècle. Ils sont précédés d’un feuillet
également
en parchemin, ajouté après coup et non paginé. Le
ne faudrait pas en conclure que c’est de ces cinq manuscrits qu’il a
également
extrait les fables de Walther. La bibliothèque pa
l’encre rouge et ainsi conçu : Incipit liber Esopi. Les fables sont
également
pourvues de titres à l’encre rouge, et la soixant
’encre rouge : Incipit liber Esopi , pourvues de titres particuliers
également
à l’encre rouge et terminées par cette souscripti
Maria meo ! Les fables munies de titres spéciaux à chacune d’elles,
également
écrits à l’encre rouge, sont au nombre de soixant
feuillets blancs dont le premier a été coupé et un cahier de 12 ffos
également
dépourvus d’écriture, que suivent d’abord les qua
r Brunet453. 1475. Deux ans plus tard une autre édition était
également
imprimée à Rome. Elle forme un volume du grand fo
ers en 1487 : Aesopi Fabulae cum commento. Antverpiae 1487. Elle est
également
citée par Bain, dans son Repert. bibliog., t. I,
º 302. — Une autre édition in-4, publiée sans indication de lieu, est
également
indiquée par Panzer, t. IV, p. 43, nº 343, et par
fermoir. À Hanovre, la Bibliothèque du roi, sous la cote 201, possède
également
un exemplaire de cette réimpression. — [A]uctores
e d’une miniature dont le dessin et le coloris sont, l’un et l’autre,
également
défectueux. Le copiste ayant laissé au bas des pa
e terminent au verso du feuillet 81. Elles sont suivies d’un opuscule
également
en langue italienne vulgaire, dont la nature est
l a porté avec eux la cote 6534 Y. La Grenville library en possède un
également
, sous la cote 7732. 1487. Après les deux
représente Ésope assis et professant, et au-dessous de lui un scribe
également
assis, et quatre auditeurs attentifs placés à dro
dans la vie des peuples. Cette maxime, vraie pour leur histoire, est
également
applicable à leur littérature : les productions i
etits, les Brebis leur remettent leurs Chiens à titre d’otages. C’est
également
ainsi que les choses se passent dans la fable de
Neckam, j’ai remarqué, non sans surprise, que la même fable contenait
également
ce double distique, et j’en avais conclu qu’elles
e appartient au livre I. Or, dans le manuscrit de Florence, elle fait
également
partie de ce livre I, dont elle est la treizième.
du Parlement. » Le premier des deux feuillets ajoutés à la fin porte
également
une décision judiciaire. Le manuscrit renferme de
u recto du fol. 39, s’arrête aux mots iacentem in itinere , qui sont
également
suivis d’un grand espace laissé en blanc pour per
me de cet ouvrage, en tête des fables du Romulus de Nilant qui seront
également
tirées de ce manuscrit. § 3. — Manuscrit de Le
la cinquantième de ce Romulus, intitulée : La Statue d’Esope , a été
également
omise dans le Dérivé complet, cette fable n’en es
it 25405, qui a eu dans le fonds Notre-Dame la cote E. 6 et qui a été
également
connu de M. de Roquefort, forme un volume in-4º,
, sans titre général qui les annonce, commencent aussitôt, dépourvues
également
de titres particuliers, les vingt-deux fables du
anglaise, et, sans s’appuyer sur aucune raison probante, il lui a plu
également
de prétendre que c’était, non sur cette traductio
res en prose dérivées d’Avianus et de l’épimythion d’une dix-septième
également
en prose étrangère à ce fabuliste. Par erreur, le
gen, renferme le Dérivé complet du Romulus anglo-latin ; il se trouve
également
dans un autre manuscrit qui, dans la même classe,
bularum. Puis viennent les fables précédées elles-mêmes de ce titre
également
écrit à l’encre rouge : Incipit liber fabularum
des fables maintenant perdues, il est vraisemblable qu’elles étaient
également
tirées du Dérivé complet, et, comme, ainsi qu’on
omenclature qui précède il ressort que ces deux sujets de fables sont
également
traités dans le Dérivé hexamétrique. Il suffirait
. Il faut en outre observer que les sujets traités dans chacune sont
également
pareils, et à ce point de vue la parité n’est pas
pour l’une la source directe et pour l’autre la source indirecte, est
également
identique ; car, si la collection rythmique renfe
ette opinion est corroborée par la leçon du manuscrit de Wissembourg,
également
dérivé de l’Æsopus. La morale de la même fable y
us la cote B. 131 b., tous avec le millésime de 1489. J’en peux citer
également
deux autres que possède la Bibliothèque impériale