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1 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. » pp. 145-175
grossieres, au son de la flute, sine carmine ullo. Les Jeunes Gens de Rome les voulant imiter, y ajouterent des Vers pleins
guerre Punique, Andronicus fit jouer, pour la premiere fois, l’an de Rome 514, une Piéce divisée en Actes, & osa abando
ions eurent été abandonnées à des Personnes viles, les Jeunes Gens de Rome n’ayant plus la même considération pour les Acteu
eut un Rival dans Nævius dont la premiere Piéce fut jouée l’an 519 de Rome . Ses railleries ayant offensé une famille puissan
s leurs vains amusemens Græcam luxuriam, & ne pas donner entrée à Rome à cette iniquité étrangere, peregrinæ nequitiæ. N
nes Solon gémir des Spectacles introduits par Thespis : nous voyons à Rome , les graves Personnages gémir du même mal, &
un Senateur Romain, & ensuite affranchi, sur plaire aux Grands de Rome , & si particuliérement au Fils de l’Ancien Læ
Genres aussi opposés que le Terrible, & le Plaisant. Il falloit à Rome des Théâtres dignes d’une Ville devenue la maître
plan de celui qu’il avoit vu à Mitylene, & en fit construire un à Rome dans la même forme, mais beaucoup plus vaste ; il
t les Piéces, avant que de les représenter sur le Théâtre, il y eut à Rome quatre Odeons. Auguste acheva le Théâtre, dont Ce
ce à imiter les Actions les plus infames. Un Baladin avoit une cour à Rome , y formoit des Partis qui causoient des séditions
s, la douleur & la gloire du Théâtre Romain, & les délices de Rome . Quiquis Flaminiam teris viator, Noli nobile
le même des Armées, circo & theatris corruptus miles, dit Tacite. Rome alloit toujours s’avilissant. Il y eut des Poëtes
ains pour les Jeux devint si grande, que dans une famine qui affligea Rome sous Gratien, tandis que pour conserver les Citoy
fureur des Spectacles qui perdit les Grecs, perdit aussi les Romains. Rome devint la proie du Barbare vainqueur, & la ma
ronicus jusqu’à Quintilien, les Piéces de Théâtre ne manquerent pas à Rome  ; & de tant de Piéces, le seul Thyeste de Var
re des Tragédies Grecques. Il loue les Poëtes Tragiques de l’ancienne Rome , Accius & Pacuvius, plus que ceux qui les sui
2 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
. 7.) ne souffre pas qu’un homme libre s’avilisse jusqu’à le faire. A Rome , les Comédiens et les Gladiateurs étaient des tro
uent les exclut du mandarinat, c’est-à-dire de toute charge publique. Rome avait des lois pareilles. Parmi nous, aucun corps
âtre. Il est bien plus étonnant que de pareilles idées n’aient inondé Rome et tout l’empire ; mais le Romain, naturellement
Caligula rappela les Comédiens, que son prédécesseur avait chassés de Rome , et se livra aux spectacles. Héliogabale n’en sor
mais il fixa les gages annuels des Acteurs à cinq pièces d’or, car à Rome personne ne payait à l’entrée, comme en France, o
n en porta plainte à Trajan, l’un des plus grands Empereurs qu’ait eu Rome . La cause fut plaidée en leur faveur par Pline lu
négyrique de ce Prince, Pline le loue d’avoir chassé les Comédiens de Rome , et inspiré au peuple le dégoût du théâtre, l’ave
ur quoi cet Auteur remarque qu’au milieu des désordres qui inondaient Rome , il fallait souvent forcer ou engager pour de l’a
râce dans sa naïveté. On sait que Marc-Aurèle chassa les Comédiens de Rome , et les relégua dans quelque île de l’Hellespont 
ie trois barques chargés de fols. Je ne t’envoie pas tous les fols de Rome , car s’il fallait les bannir tous, nous faudrait
tenir en trois mille caraques. Toutes choses aujourd’hui à la triste Rome défaillent, fors seulement les Truands, Farceurs,
ls elle a assez. O quel service tu ferais aux Dieux, et quel profit à Rome , que pour trois batelées de fols, nous en envoyas
batelées de fols, nous en envoyasses une de sages ! quelle infamie ! Rome , jamais vaincue des vaillants et vertueux, se vit
ppée du pied des fols, et les places armées de Truands et Comédiens ! Rome , qui triomphait de tous les royaumes, d’elle trio
d’elle triomphent les Bateleurs et Jongleurs ! Je les bannis tous de Rome pour toujours, non tant pour le sang qu’ils ont r
e. Ne me déplaît chose de nos anciens pères, sinon d’avoir souffert à Rome ces méchants bélitres. L’an 226 d’une horrible pe
sordre qu’il défaille des soldats aux garnisons et frontières, et que Rome soit remplie de Comédiens ! quelle vergogne que l
més Capitaines avec leurs triomphes ! Quand ces misérables allaient à Rome de maison en maison, témoignant leur légèreté, et
ui donnèrent plus que tous ses amis. Quand Auguste édifia les murs de Rome , il tira plus des Truands qui furent noyés dans l
e de Marc-Aurèle, C. 19.) prétend que les Comédiens furent chassés de Rome à l’occasion de quelque tumulte qu’ils y avaient
3 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
son frère, elle fait cette horrible imprécation contre sa patrie : «  Rome l'unique objet de mon ressentiment, Rome à qui vi
cation contre sa patrie : « Rome l'unique objet de mon ressentiment, Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant, Rome qu
t de mon ressentiment, Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant, Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore, Rome en
s d'immoler mon amant, Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore, Rome enfin que je hais, parce qu'elle t'honore. Puisse
4 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
son frère, elle fait cette horrible imprécation contre sa patrie : «  Rome l'unique objet de mon ressentiment, Rome à qui vi
cation contre sa patrie : « Rome l'unique objet de mon ressentiment, Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant, Rome qu
t de mon ressentiment, Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant, Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore, Rome en
s d'immoler mon amant, Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore, Rome enfin que je hais, parce qu'elle t'honore. Puisse
5 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
vos législateurs mitrés ? Le chef de votre Eglise ne permet-il pas à Rome , ce que vous défendez à Paris ? M. le vicaire de
ée au spectacle, quand M. son curé la lui donne ? A Milan, à Turin, à Rome , a Naples un prêtre ne peut-il pas sans encourir
car, ce n’est pas, je pense, parce que le spectacle est plus décent à Rome et à Turin qu’à Paris, qu’il est permis dans ces
Mais, ce que notre clergé francico-romain ne peut ignorer, c’est qu’à Rome où les devoirs religieux doivent être plus scrupu
nnocent XI a organisé lui-même des théâtres ; nous en comptons huit à Rome où l’on rencontre journellement des ecclésiastiqu
t encore vous montrer pourquoi il est proscrit en France, et permis à Rome . Sous le spécieux prétexte de zèle pour la religi
1568-1591), étudiant jésuite italien mort au service des pestiférés à Rome en 1591 et reconnu saint par l'Église catholique.
heologica, III, 8, 4, 12 o. [NDE] Il s’agit du théâtre de Tordione à Rome , bâti par Benoit XIII. Voir Description historiqu
en forme de dictionnaire (…) par M. de L.M. de l’Académie de S. Luc à Rome , rééd. Avignon, Chambeau, 1790, vol. 2, p. 320.
6 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132
it que le Sacré Collége ne fût pas à l’abri des attentats du théatre. Rome fut toujours pleine de pasquinades : ce nom même
nal de N. homme d’esprit & de mérite, fort aimé en France & à Rome , y joue un des principaux rôles : Il est si dévot
y a apparence que cette comédie a été faite en France & envoyée à Rome , Le Sacré Collége, qui, tout occupé de la grande
rce pour le satisfaire. En effet, deux jours après on fit courir dans Rome le premier acte d’une nouvelle piece pire que la
à la tête. Le décret par leur ordre fut exécuté par le gouverneur de Rome & ses Sbires, sur des soupçons donnés à leurs
mieux de dire leur Bréviaire, que de composer des comédies. Il y a à Rome une Congrégation appellée de l’Immunité. Ce tribu
& non pas aux trois cardinaux chefs d’ordres, ni au gouverneur de Rome . Le cardinal Fantuzzi, préfet de cette congrégati
a que les trois cardinaux qui avoit porté le décret, le gouverneur de Rome & ses officiers qui l’avoient exécuté, avoien
place ordinaire, mais dans la place Colonne, l’une des plus belles de Rome , où on n’en avoit jamais fait ; comme si à Paris,
t exciter de violentes tempêtes sur la mer des foiblesses humaines, à Rome sur-tout où tous les princes catholiques semblent
rapporté dans sa vie. Le P. Lupus, fameux & saint prédicateur de Rome , apprenant qu’on préparoit de grandes fêtes de ca
u insensés ces prédicateurs singuliers, on les eût traités de fous. A Rome on les écouta, on les respecta, chacun s’en retou
ans le désert par le souvenir des femmes qu’il avoit vues autrefois à Rome . La ville de Paris, non plus que les autres du
un pot-de-vin de six cens mille livres. Les Ediles, dit-on, avoient à Rome la direction du spectacle. Mais les Ediles chréti
acré Collége empressé à lui plaire, qui vaut bien celui de la Cour de Rome , & que Pasquin traiteroit de mascarade. Il se
e & la Peinture, prouve fort au long que, sur l’ancien théatre de Rome , chaque rôle sur le théatre avoit deux acteurs, l
7 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
& avoit seule le droit d’y jouer. Le Théatre étoit donc regardé à Rome comme indigne des gens de condition. On a vu des
foiblesse de ses admirateurs, que pour éterniser sa mémoire, reçut de Rome des applaudissemens, quelques bienfaits, & mo
ens pourvu qu’ils plûssent ? Quels étoient donc alors les Comédiens ? Rome devoit-elle accorder tant d’estime à des gens qui
flottoient entre l’incertitude & l’ignorance des chemins. Comment Rome auroit-elle pu croire que couvrir les Comédiens d
s combats sanglans étoient donc un remède contre eux-mêmes. Autrement Rome auroit-elle pu les justifier à ses propres yeux ?
avec ardeur, & tous les Romains auroient voulu être Gladiateurs. Rome étoit animée du même esprit à l’égard des Acteurs
ens, en leur mettant devant les yeux l’intempérance de leur esclaves. Rome entretenoit dans les siens l’idée de la vraie glo
composer des Mimes & y excella ; ce n’étoit point un deshonneur à Rome de composer pour le Théatre, mais on ne pouvoit y
8 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24
auvais effets qu’elles avoient produits contre leurs propres Auteurs. Rome eut de grands Poétes, de grands Orateurs, mais le
d. Le Latin habille son héros en homme, celui du Grec paroît un Dieu. Rome connoissoit à fond les ouvrages des Grecs ; elle
ragédie ne fit partie que longtems après leur institution. Regardée à Rome comme une chose presqu’étrangère au fond des dive
objets, qu’il ne manque pas de regarder comme fort au-dessous de soi. Rome qui a emprunté des Grecs, tant de Loix sages, tan
t dans son éclat littéraire. Dans son plus beau siècle, sous Auguste, Rome connoissoit à peine la Tragédie. Sénéque le tragi
ls n’eurent n’y Sophocle, n’y Euripide. On m’objectera sans doute que Rome , jusqu’à Auguste, n’avoit point connu l’Epopée, &
irent dans cet art. Le goût pour les ouvrages dramatiques, n’éclata à Rome , qu’après les guerres de Carthage, au milieu des
9 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158
uteurs. La loi des douze tables, par piété ou par politique, rendit à Rome tous les spectacles des exercices religieux. Cett
lus impudent, de plus bouffon. Le plus célèbre, qui vint de Toscane à Rome , s’appelait Hister, Histro, ou Histrio, peu impor
mœurs, et n’alarma les Magistrats que par la licence de la satire. A Rome il fut d’abord plus réservé ; la gravité Romaine,
toujours ; ce ne fut que dans les premiers siècles, où l’on n’avait à Rome que des théâtres mobiles, qu’on dressait à l’occa
pargner quelque temple, on en a fait des Eglises, comme le Panthéon à Rome , la Maison quarrée à Nîmes, etc. S’il subsiste qu
l’application ordinaire de cette vision de l’Apocalypse à la ville de Rome , le théâtre n’y perdrait rien. Il est certain que
à chaque aventure. Le théâtre fit connaître et répandit le luxe dans Rome , occasionna les profusions insensées qui ruinaien
la prudence donnait des lois à l’univers. On aurait vainement cherché Rome dans Rome comédienne. Auguste, qui la connaissait
e donnait des lois à l’univers. On aurait vainement cherché Rome dans Rome comédienne. Auguste, qui la connaissait bien, s’e
10 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
fin nos desseins généreux. Le ciel entre nos mains a mis le sort de Rome . » Cinna aime éperdument la fille d’Auguste, e
« La recevoir de lui me serait une gêne. Mais quand j’aurai vengé Rome des maux soufferts, Je saurai le braver jusques
e les compte-t-on pas pour les derniers Romains ? Leur mémoire dans Rome est encor précieuse Autant que de César la vie
s la fortune ennemie, A moi qui tiens le trône égal à l’infamie ? Rome qui du même œil le donne et le dédaigne, Qui ne
alors également trempée Et du sang de César et du sang de Pompée… Rome , sans leur donner des titres différents, Se cro
 ; règne, Catilina. En vain fondant sur vous toute son espérance, Rome vous élevait à la toute-puissance. Non, non, Ro
son espérance, Rome vous élevait à la toute-puissance. Non, non, Rome n’est plus sans le secours d’un maître, Et qui
s César citoyen serait un Dieu pour moi. Je te préfère au monde, et Rome seule à toi. » Cette pièce est pire que celle
tre : Je périrai, Romains, ou vous serez sans maître. Je vois que Rome encore a des cœurs vertueux. On demande du sang
Je vois que Rome encore a des cœurs vertueux. On demande du sang, Rome sera contente. César était au Temple, et cette
eût perdu la vie. Faisant tout pour la gloire, il ne fit rien pour Rome , Et c’est la seule faute où tomba ce grand homm
es. Scellons notre union du sang de nos Tyrans. Je dois sa mort à Rome , à vous, à nos neveux. L’honneur du premier cou
ropre fils, eût-il été un héros ? Voilà toute la pièce. La révolte de Rome contre son Roi est la plus juste et la plus belle
s rend nos serments lorsqu’il trahit le sien. Et dès qu’aux lois de Rome il ose être infidelle, Rome n’est plus sujette,
trahit le sien. Et dès qu’aux lois de Rome il ose être infidelle, Rome n’est plus sujette, et lui seul est rebelle. »
Sur ton autel sacré, Mars, reçois nos serments. Si dans le sein de Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les Roi
Qu’aux Tyrans désormais rien ne reste en ces lieux Que la haine de Rome et le courroux des Dieux. Sous le joug des Tarq
s à la perte d’un homme, Je veux avec vos fers rompre encor ceux de Rome . Vous les verrez poussés d’une ardeur magnanime
implacable. Je vais prendre sa place, et bravant le danger, Tirer Rome des fers, me perdre ou la venger. Et l’on peut
ais laver la honte. Si le cœur de Brutus a trahi son devoir. Non, Rome , moi vivant, tu n’auras point de maître. Déguis
son maître, Et son libérateur passera pour un traître ! Je verrai Rome en proie aux plus cruels malheurs, D’une trembl
z. [NDE] Le texte donne "Nous" par erreur. aa. [NDE] Chancellerie à Rome où l’on date les expéditions des bénéfices, les r
11 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
délices et des voluptés d'Italie, et d'où elles furent transportées à Rome  ; Elles étaient comme des Satires agréables, sans
ds idiots, qui n'étaient pas plus sages, à mon avis, dans la Ville de Rome , que dans celle de Paris ; et qui sans doute les
tie en leurs représentations. Ces Fables néanmoins furent jouées dans Rome assez longtemps avant les Poèmes Dramatiques dont
12 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
en voyant la liberté qui s’introduisoit au Théâtre.**. Les Censeurs à Rome pour conserver les mœurs avoient demandé les Spec
la République la rétablit toujours dans son premier état de pureté. A Rome , Cicéron & Pline le jeune nous assurent en pa
dans leur origine. Tite-Live le dit expressement**. « La Jeunesse de Rome ne souffrit point que ce genre de Comédie fût sou
ics. » Juventus ab histrionibus pollui non Passa est. L’Historien de Rome parlant encore un peu plus bas de l’origine de ce
ur ****. Cependant comme la corruption infecta bientôt le Théâtre de Rome , nous n’offrirons point les Romains comme des mod
13 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
mp; c’estoit le lieu où joüoient les Comediens & les Mimes. Car à Rome , ces derniers n’avoient point de Theatre particul
T. Liv. II. 7. Anno. abv. ; c. 394.car en l’année 389. aprés celle de Rome , vne cruelle peste ravageant les champs & la
. l. 5. c. 5. que L. Mummius apres avoir détruit Corinthe, remporta à Rome les Vases d’un celebre Theatre, qu’il avoit trouv
u’il ait esté le premier Autheur des Theatres de bois, qu’on a veus à Rome . Cependant toutes ces choses augmentant de iour e
soif des Spectateurs. Il y a bien eu à la verité d’autres Theatres à Rome enrichis de plusieurs elles choses ; mais soit qu
lus digne. C’est que du temps de Empereurs, il y avoit à la fois dans Rome , trois Theatres & un Amphitheatre, dont ie cr
es là que l’Eunuque de Terence luy a valu huit mil écus de monnoye de Rome . Ie n’ay point icy parlé des Chœurs, parce que c’
14 (1783) La vraie philosophie « La vraie philosophie » pp. 229-251
Tite-Live, liv. 39, ayant été appellés dans les premieres sociétés de Rome , perdirent les mœurs. Plutarque avoue que le théa
nombre des honnêtes gens. Quelqu’efforts que fissent les libertins de Rome , comme ils font parmi nous, pour accréditer les s
t Caton, sont plus à craindre par la corruption qu’ils répandent dans Rome , que toutes les femmes des Carthaginois. Il parlo
ns, ils nous surpassent malgré cet avantage qu’ils ont sur nous ; que Rome est à plaindre de renfermer dans son sein des hom
ne l’ont jamais condamnée, & que le Chef de l’Eglise la tolere à Rome . A cette objection, je réponds qu’il y avoit à Ro
glise la tolere à Rome. A cette objection, je réponds qu’il y avoit à Rome des spectacles avant que la Souveraineté temporel
lir tous les spectacles. Il en diminua, autant qu’il put, le nombre à Rome  ; il combattit les partisans dans plusieurs de se
, à composer un Traité latin contre les spectacles, qui fut imprimé à Rome en 1752. C’est avec le même zele que Clément XIII
pauvres, répondit un barbare, à qui l’on vantoit les jeux publics de Rome  ? Mais que dire des spectacles, en les regardant
15 (1675) Traité de la comédie « XIV.  » pp. 294-295
re dans la bouche des discours plus propres à ces héros de l'ancienne Rome , qu'à des Saints et à des Martyrs. Il faut aussi
ertus rendue, L'égale presque aux rois dont je suis descendue ; Et si Rome et le temps m'en ont ôté le rang, Il m'en demeure
16 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
vons déjà dit, en contradiction manifeste avec le souverain pontife à Rome , qui protège les comédiens sans les excommunier,
es qui font l’amusement de la capitale du monde chrétien. On compte à Rome au moins huit théâtres, où l’on rencontre journel
sont point excommuniés. Quant à la défense qui empêche les actrices à Rome de monter sur le théâtre, et veut qu’elles soient
17 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81
us attentif, il les corrigeoit quelquefois lui-même. C’est ainsi qu’à Rome , à Naples, à Florence, &c. on a fait des règl
grands, des nobles) en font la plus grande partie. Ils suppléèrent à Rome à ceux que le Prince avoit retranché, ils n’y sup
ces du théatre sur les mœurs des Romains, puisque son établissement à Rome fut l’époque funeste de leur décadence, comme le
orcé d’y monter une fois. Les Comédiens ont été vingt fois chassés de Rome par les Empereurs. V. L. 2. L. 3. 3. Les Romains
aux Courtisannes, sans estimer l’un plus que l’autre. Les Censeurs à Rome , pour conserver les mœurs, avoient demandé les sp
des spectacles honnêtes & décens. S’ils étoient tels à Athènes, à Rome , à Constantinople, à Antioche, à Alexandrie, à Ca
s sert d’admirer sur le théatre les fameux Héros de la Grèce & de Rome , si l’élévation de vos sentimens n’a aucun pouvoi
dés théatres, qu’ils soient parmi nous ce que les Censeurs étaient à Rome . Des Comédiens exerçant la censure ! Tertius à Ca
bles ni les bourgeois ne montent pas plus sur le théatre à Paris qu’à Rome , & se déshonoreroient, s’ils y jouoient. Les
u’à Rome, & se déshonoreroient, s’ils y jouoient. Les Comédiens à Rome , comme à Paris, étoient fêtés dans les plus belle
amp; les Nobles, & n’est pas grand chose. Mais il en résulte qu’à Rome le théatre étoit si infame que les Grands & l
18 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Triomphe. » pp. 112-160
inqueur le Titre d’Empereur, avec ordre de revenir & de ramener à Rome ses Troupes victorieuses pour y Triompher. Immedi
ut des presens & des applaudissements. Quand ils estoient pres de Rome , le General ou l’Empereur avec un certain nombre
les avantages, ni dissimulé les pertes. Ce serment se faisoit hors de Rome , parce que le nouvel Empereur perdoit son authori
considerable. C’est que les Triomphes ne se sont pas tous celebrez à Rome . Papyr. Masso n’ayant pû obtenir du Senat ces hon
s Animaux extraordinaires venus des Païs sauvages, & aprivoisez à Rome . Pompée attela à son char deux Elephans, quand il
autant de Païs ou de Villes qu’il avoit reduites sous l’obeïssance de Rome . Claud. l. 3. de Laud. Stilic.L’imagination des P
ant de Mithridate y fit porter des arbres entiers d’Ebene, inconnus à Rome jusqu’alors. Vespasian y apporta du baûme. Ainsi
à cette heure cõserver & augmẽter par mes mains les interests de Rome . Ie vous supplie instamment de leur estre tousiou
amys du Triomphateur, ou zelez pour la gloire & pour le succez de Rome  : On voyoit des Tables servies & des muis de
xcez ; au lieu que s’il eust esté generalement pour tout le Peuple de Rome , il s’en seroit beaucoup falu qu’il y en eust eu
ont refusé. Selon le mesme Lipse, il y a eu depuis le commencement de Rome trois cent douze Triomphes. Le NeapolitainAlex. l
19 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
Confrères ne doivent pas entrer en comparaison avec les Pantomimes de Rome  : mais, le Théâtre de Londres, ne possède-t-il pa
cles ; mais cet expédient devenu nécessaire, était de faire sortir de Rome tous les Pantomimes. Cependant les Ecoles de Pyla
nduites par leurs élèves, dont la succession ne fut point intérompue. Rome était pleine de Professeurs, qui enseignaient cet
ait conçue pour lui. Il est vrai que les Pantomimes furent chassés de Rome sous Tibère, sous Néron, & sous quelques autr
20 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIV.  » p. 469
re dans la bouche des discours plus propres à ces héros de l'ancienne Rome , qu'à des Saints et à des Martyrs. Il faut que la
ertus rendue, L'égale presque aux rois dont je suis descendue ; Et si Rome et le temps m'en ont ôté le rang, Il m'en demeure
21 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Amphitheatres. » pp. 44-72
nt dire que prouver. Il ne nous reste de tous ces pompeux Edifices de Rome , que quelques ruïnes de celuy de Vespasian, on le
& du Cirque. Or il est certain que de son temps il n’y avoit dans Rome * que trois Theatres & un Amphitheatre. Il n’e
esté l’Autheur du premier Amphitheatre de pierre qui ait esté fait à Rome , & qui a duré seul de cette matiere, jusques
rs. Ce secours en augmentoit beaucoup la magnificence, & attira à Rome tout ce que la nature produisoit de rare & d’
’il donna un Cheval Marin, & le premier Rhinoceros qui ait paru à Rome . Il y montra aussi un Tigre aprivoisé. Plin. l. 
marqué parmy tous ces grands hommes, qui se sont picquez d’en remplir Rome , & d’en divertir le public. L. 12. c. 22.M. S
nombre, encore que SymmachusLib. 6. Ep. 44. croye qu’estant arrivez à Rome ils eussent perdu la vigueur & l’avidité qu’i
22 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
es bonnes mœurs, qu’on ne l’est sous les yeux du Souverain Pontife, à Rome même, « de qui nous avons appris notre Catéchisme
et les conséquences qu’ils en tirent sont les mêmes. On nous objecte Rome et ses usages. Ils ne différent point des nôtres.
omédiens. Certains dialogues récités sur des planches, passent donc à Rome , comme ailleurs, pour des infamies diaboliques. M
sérée ; qu’on nous oppose, dis-je, l’exemple de quelques Religieux de Rome chez qui la coutume, y est-il dit, semble avoir p
endit de monter jamais sur aucun Théâtre ; c’est nous dire assez qu’à Rome on est sur cet article plus sévère qu’en France.
ue je veux discuter. J’ai appris dans ce Catéchisme qui nous vient de Rome , au rapport de M. de Voltaire, comme dans celui d
ns à Innocent XII. Il y est dit que la Congrégation du Concile tenu à Rome renvoya les Comédiens ; que dans le grand Jubilé
23 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
n d’une Pièce sérieuse, vous croyez, dites-vous, aller à Athènes ou à Rome  : vous ne trouvez en votre chemin que Grecs et Ro
n qui surprenne. On a vu par mes soins en Vers doux et pompeux Ce que Rome et la Grèce ont eu de plus fameux : Et j’ai même
’est-il point de Grand homme Si tu ne le choisis dans Athènes ou dans Rome  ? Et depuis si longtemps que la France a des Rois
ille, Rouen, Auxerre, Dijon et Grenoble n’ont rien de si héroïque que Rome , Albe, Carthage, Numante, Athènes et Corinthe. Pa
24 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98
s la corruption des mœurs n’y règne pas moins que sur les Théâtres de Rome et d’Athènes. La plus grande partie de tout ce qu
iquer. En effet, quelle peut être l’origine des courses de Chevaux à Rome , à Florence, dans les deux Siciles et dans la Lom
, dont le son n’était jamais naturel sur les Théâtres d’Athènes et de Rome  ; car il fallait la proportionner à la figure agr
25 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
’ITALIEET DE HOLLANDE Par M. l’Abbé COYER, des Académies de Nancy, de Rome et de Londres TOME DEUXIEME A PARISChez la Veuve
s dont la plus peuplée est bien au-dessous de la population de Paris. Rome a cinq à six théâtres ; Naples, Milan, Venise, au
26 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
vaient des appuis dans tous les Etats de la chrétienté, où la cour de Rome compte des milliers d’ecclésiastiques qu’on peut
ement de l’ancien clergé de France, qui va suivre, combien la cour de Rome avait de zélés serviteurs dans le royaume, avant
27 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VI. Des Comédiens français rétablis dans leurs droits civils et religieux, à raison de leur profession, et entièrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise. » pp. 130-133
nt en conformité avec la conduite des papes à l’égard des comédiens à Rome et en Italie. Il résulta de ce nouvel ordre des c
lement une profession dans l’Etat. Il en résulte que, non seulement à Rome et en Italie, mais encore dans tous les autres Et
28 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
t-à-fait opposée à l’équité & à la sagesse du Sénat, on faisoit à Rome une procédure très-longue & très-minutieuse,
amp; le seul coupable du crime de sa fille. On faisoit à même temps à Rome le procès au séducteur de la Vestale, les mêmes p
-opulentes, & de leur propre bien, étant des premieres maisons de Rome , & des dons immenses qu’on leur faisoit, &
at, composé de cinq cents Sénateurs dispersés dans l’immense ville de Rome , pendant la nuit, dans l’espace d’une heure ? Le
s les histoires nous apprennent que la punition d’une Vestale étoit à Rome un des plus grands événemens. Toute la ville étoi
mpus sceleratus. Ce convoi attiroit dans les places & les rues de Rome un peuple innombrable, comme les enterremens sole
de Prêtresses, établi depuis long-temps à Albe avant la fondation de Rome , y fut introduit par Numa Pompilius, qui lui donn
l’état de Vestale étoit l’état le plus doux & le plus brillant de Rome . Quelle idée cependant donne-t-on du mariage, pou
29 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
aux Ordinations des Evêques. On en peut juger par ce qui se faisait à Rome , selon ce qu’on en apprend d’un Livre du VIII. Si
l’Election pour être mis et conservé dans les Archives de l’Eglise de Rome . On y parle à la vérité de consolation et de joie
30 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
tacles, ch. 1. 1re objection, ou 1re excuse. Le théâtre toléré à Rome . Si les spectacles sont si pernicieux, nous d
disent les partisans du théâtre, pourquoi le Pape les souffre-t-il à Rome  ? Nous répondrons que si les théâtres sont toléré
ffre-t-il à Rome ? Nous répondrons que si les théâtres sont tolérés à Rome ils n’en sont pas pour cela justifiés. En 1696 le
e Pape Innocent XII fit démolir le premier théâtre stable et public à Rome . En 1748 Benoît XIV, grand Pontife, déclara authe
nous citent la tolérance du souverain Pontife à l’égard du théâtre de Rome , comme si le saint Père ne réprouvait pas les spe
uoi n’ajoutent-ils pas que le saint Père fait surveiller le théâtre à Rome  ; qu’il y existe une censure pour les pièces et p
e pour les pièces et pour le costumes. — Qu’on mette partout, comme à Rome , le théâtre sous la surveillance ecclésiastique e
La réponse a été faite dans une excellente dissertation, qui a paru à Rome du temps de Benoît XIV. La voici : les personnes
l’immoralité ; le fléau de la société et des familles. On le tolère à Rome comme un mal nécessaire, mais on le surveille afi
31 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
omme la source de tous les désordres. L’an 400. après la Fondation de Rome , les Censeurs proposèrent au Sénat de faire const
ue Scipion ne s’était pas trompé, et l’établissement des spectacles à Rome fut l’époque du luxe et de la mollesse, qui corro
sciple d'abord, et ensuite ami de saint Augustin. Etudiant le Droit à Rome , quelques-uns de ses condisciples lui proposèrent
32 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100
la Nation pour qui elles ont été faites. Les Jeux scéniques eurent à Rome la même origine que chez les Grecs. L’impromptu &
y devinrent plus licencieux. Ce fut vers l’an 391 de la fondation de Rome , sous le Consulat de Sulpicius Pedicus & de C
uis affranchi par son maître, dont il avoit élevé les enfans, porta à Rome la connoissance du Poëme dramatique10. Ce fut l’a
onnoissance du Poëme dramatique10. Ce fut l’an 514 de la fondation de Rome , cent soixante ans après la mort de Sophocle, &am
er l’impromptu & l’ébauche de la nature. Néanmoins la jeunesse de Rome ne voulut pas abandonner les satyres ; elle se ré
nom de la Ville d’Atella dans la Campanie, d’où elles avoient passé à Rome . Les Atellanes & les Satyres étoient aussi ap
y avoit de beau dans Sophocle, Thespis & Æschyle 11. Il y avoit à Rome deux especes de Tragédies ; l’une dont les mœurs,
ains ; elle s’appelloit prætextata, du nom de l’habit que portoient à Rome les personnes de condition. La Tragédie ne fit pa
es personnes de condition. La Tragédie ne fit pas de grands progrès à Rome . Cependant Horace dit que les Romains avoient dan
nduites par leurs éleves, dont la succession n’a pas été interrompue. Rome est pleine de Professeurs qui enseignent cet art
s Jeux scéniques & autres Spectacles avoit toujours été redouté à Rome par les personnes sensées qui faisoient dépendre
comme à dessein de les renverser de fond en comble, & de réunir à Rome ce qui dans tout l’univers est capable de se corr
qui en feroient une nécessité ? Si l’on ose prostituer les Grands de Rome au Théatre, sous prétexte d’exercer l’Eloquence &
e à tout ce qui préparoit sa ruine. On lit dans Ammien Marcellin, que Rome ayant été menacée d’une famine, on en fit sortir
rsées y faisoient représenter les jeux qui étoient le plus en usage à Rome , c’est-à-dire, ceux du Cirque, ceux des Pantomime
s Milésiennes, les Amours de Daphnis & de Cloé, qui pénétrerent à Rome avec les dépouilles de la Grece, y inspirerent au
33 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14
urent toujours dans la comédie les rôles les plus intéressantsc. « A Rome , la comédie fut d’abord un spectacle très grossie
e la lie du peuple qui fréquentaient les cabarets. Il y avait aussi à Rome des mimes et des pantomimes qui jouaient toutes s
à l’amusement des grands ! » Tibère se vit même obligé de chasser de Rome et de toute l’Italie tous les comédiens et les pa
rsées y faisaient représenter les jeux qui étaient le plus en usage à Rome . Mais les attaques successives que l’empire eut à
34 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Naumachies. » pp. 100-111
s Baye jusqu’à Possole, si bien que ces deux Villes de la Campagne de Rome , separées par la Mer & par la Nature de trois
e Domitian en donna pareillement une ou deux qui firent grand bruit à Rome , & où coururent des curieux de tous les endro
elle de l’Empereur.Dion. in Dom. Cette inhumanité fut funeste à toute Rome  : & une grande partie de ceux qui s’étoient t
35 (1764) Comédie pp. 252-254
hâtiées, que c’est une coutume reçue dans les pays policés, et même à Rome , qui est le centre de la Religion. Leur Confesseu
excommuniés ceux qui montent sur le théâtre. Que si on les souffre à Rome et ailleurs, (quoiqu’ils y soient fort différents
36 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
tudo. » Cette ville si puissante, si riche, qui a longtemps disputé à Rome l’empire du monde, qui a mis Rome à deux doigts d
si riche, qui a longtemps disputé à Rome l’empire du monde, qui a mis Rome à deux doigts de sa perte, qu’à peine Rome a pu v
empire du monde, qui a mis Rome à deux doigts de sa perte, qu’à peine Rome a pu vaincre après trois grandes guerres, est auj
urs a laissé monter les Chevaliers et les Sénateurs sur le théâtre de Rome , ce désordre n’a jamais passé à l’armée. Une ordo
mpereur Caligula en était bien persuadé, et savait bien en convaincre Rome . On le voyait jusque sur le théâtre faire aux Act
37 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
lus galant ; on faisoit meilleure chere chez lui, qu’en aucun lieu de Rome . Mais ce qui attiroit le plus de gens chez le Car
lui des concerts, & sa maison devint le plus curieux spectacle de Rome . Le fameux Machiavel avoit singulierement le rale
Cardinal en fut si charmé, que depuis étant Pape il fit transporter à Rome la décoration du théatre & les habits, &
que, un homme tel que Machiavel, avoir fait transporter de Florence à Rome un théatre, & des Acteurs pour y donner la co
ablir Surintendant de la musique, & chef de tous les Musiciens de Rome  ; & au poëte Burabassi, jusqu’à le faire entr
e ; & au poëte Burabassi, jusqu’à le faire entre en triomphe dans Rome , monté sur un Elephannt ; & inviter tous les
Lettres prétend que cette piéce de Machiavel que Leon fit réprésenter Rome est licencieuse & impie, se mocquant des Sain
delà elle s’est repandue dans les Gaules & les Espagnes. C’est à Rome que les spectacles ont été portés à un plus grand
que l’usage des masques vient des anciens Attellanes qu’on jouoient à Rome , toujours en masques ; c’étoient des vraies farce
il est vrai que toutes les pieces de théatre se jouoient en masque à Rome , comme nous l’avons dit ailleurs, & que l’usa
’antiquité & celle de la Réligion ; toutes les deux sont fondées. Rome fut la maîtresse du monde, elle est aujourd’hui l
38 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
Duc de Saint-) Réfutation d’une anecdote relative à son Ambassade de Rome , b, 232 Agrippa (Corneille) Sa réflexion sur la
omment il a caractérisé Tite-Live, b, 25 Andronicus (Livius) porta à Rome la connoissance du Poëme dramatique, b, 26 Andre
age d’Italie, b, 234. Son indiscrétion à l’occasion des Spectacles de Rome , b, 236 Cratinus. Poëte de la vieille Comédie, b
ées aux Spectacles, b, 491 Diomedes. Sur les différentes Comédies de Rome , b, 31 Discours sur la Comédie, b, 148 Disserta
s Papes, 518. Sa réflexion judicieuse sur la tolérance des Théatres à Rome , b, 235, 232. Effets attribués à la lecture de Pl
1. Corruption de là Comédie chez les Romains, 23. Quand on commença à Rome à s’occuper de la Littérature des Grecs, 27. Son
n (le Cardinal de), b, 180 Médicis (Laurent de). Idée qu’il avoit de Rome , b, 233 Mercier. Idée de son Essai sur l’Art Dra
395 Néron. Sal passion pour les Spectacles corrompit la jeunesse de Rome , a, 491 Neufchâteau (François de). Son opinion s
Anecdote relative aux Spectacles, a, 451. Cité sur les Spectacles de Rome , b 228-230 Richard (le P.), Dominicain. Citation
rtu sur les méchans mêmes, 65. Sa critique de la fureur des Grands de Rome pour les jeux de Théatre, 491. Influences des Spe
fréquenter les Ecoles des Pantomimes ; b, 33. Opposition des Sages de Rome à l’établissement des Spectacles, b, ibid. Siecle
, 25. Sur les Acteurs Atellanes, 30. Idée des mœurs des Magistrats de Rome , sous le Consulat de Posthumius Albinus, 374 Tor
héatre, a, 433 Zucchino (Stephani). Ce qu’il pense des Spectacles de Rome , b, 227 Zurlauben (le Baron de). Citation d’un O
39 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
ux communs en faveur du mariage que personne ne conteste : La Cour de Rome , ajoute-t-il, n’a imaginé la loi du célibat ecclé
me d’avancer de pareilles absurdités. Il n’y avoit que six Vestales à Rome (il y en a eu jusqu’à quinze), & il y a des m
veulent s’engager souvent malgré les parens). Tout est consterné dans Rome , les Magistrats & le peuple prennent le deuil
t les Rois des Romains. P. 82. Je n’ai garde de confondre la Cour de Rome (Cardinaux, Prélats, &c.) avec le Saint Siège
u Pape, ait fait assassiner aucun Roi. Henri IV étoit réconcilié avec Rome quand on attenta à ses jours ; Henri III n’avoit
ivi les fausses idées de son siecle sur les prétentions de la Cour de Rome , il ne faut pas plus lui en faire un crime qu’aux
l temps tous les Papes furent François. La France gouverna la Cour de Rome . Est-ce bien payer le zèle du plus déclaré partis
it-il, qui s’introduisit en France par notre commerce avec la Cour de Rome sous Clément V, pullulla merveilleusement, &
ntérieurs à Clément V. Le grand commerce de la France avec la Cour de Rome a commencé avec la seconde race, par l’élévation
ois, de S. Louis, que du temps de Clément V. Bien loin que la Cour de Rome ait formé la chicane Françoise, c’est plutôt la F
40 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
ne comprenaient point les Comédies ni les Tragédies furent établis à Rome par l'ordre de leurs Oracles pour obtenir des Die
adjiceretur. »Tit. Liv. l. 6. cette grande sédition qui survint dans Rome entre le Sénat et le peuple, et qui fut pacifiée
re les Perses. Quand PosthumiusDionys. Halicar. l. 30. fit célébrer à Rome les Jeux du Cirque en l'honneur des grands Dieux,
r. de Spect. ayant écrit que pour remède à la famine dont la Ville de Rome se trouva autrefois affligée, on célébra les Jeux
41 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
le Théâtre soit plus utile que dangereux, c’est Paris, ou Londres, ou Rome , &c. il avertit les Citoyens que tel vice exi
manque du nécessaire n’en prive pas le Sauvage au milieu des forêts. Rome avait des fêtes spectaculeuses, dans un temps où
serez-vous à l’exemple cité du Patricien Manilius, exclus du Sénat de Rome , pour une caresse honnête, mais faite à sa femme
ent connues chez les Peuples d’Italie longtemps avant la fondation de Rome *. Il s’ensuit de-là que les Latins ne tinrent pas
n ouvrant tous les livres, on voit que l’état de Comédien était vil à Rome *. Il n’y a qu’une voix pour cela : monsieur Rouss
, que sur l’état où l’on en fesait un métier ; puisque la Jeunesse de Rome représentait publiquement, à la fin des grandes P
, les Atellanes, sans deshonneur. Cependant l’on disait communément à Rome , au rapport de Tacite, qu’un honnête-homme ne dér
lui. Cependant, ainsi qu’en Grèce, & qu’à Sparte1 en particulier, Rome n’avait d’Acteurs que sa propre Jeunesse. C’était
replique, c’est que les Atellanes jouées dans toute l’Italie, puis a Rome par la Jeunesse, forment le premier genre de Comé
onnu dans cette contrée. Lorsqu’en 390, selon Tite-Live, on établit à Rome des Jeux scéniques en l’honneur des Dieux, pour o
d’abord par les Histers ou Histrions Osques & Tusques, attirés à Rome par le Sénat, furent dans la suite imités, sans d
anage. Remarquons bien que tant qu’on en put dire autant du Peuple de Rome , l’Italie regarda les Acteurs du même œil que la
opius vivait dans ce temps-la. Après que la Grèce eut subi le joug de Rome , de toutes les sciences qui florissaient à Athène
ce qu’ils n’avaient que des Acteurs-citoyens, sont avilis, méprisés à Rome , non comme Acteurs, non pas même comme Farceurs o
Philosophie, si cultivée dans la Grèce, ne le fut que médiocrement à Rome  : après Cicéron, on voit les Sénèques, les Plines
était un art libre a Athènes : il y fut honoré : c’était un métier à Rome  ; il y fut avili : c’est une profession particuli
nouvelle. Distinguons donc : l’ancienne Comédie ne deshonorait pas à Rome  ; elle n’eut que des Acteurs-citoyens : la Comédi
moniens ; mais il s’en fallait bien qu’elles fussent dans le Stade de Rome corrompue, couvertes, comme à Sparte ; du voîle d
c’est que la bonne Comédie Grecque, ne fut pas long-temps en usage à Rome  : dès le temps d’Auguste, on laissa les Pièces de
ssement ; on reconnaît un Peuple poli, léger, qui court se réjouir. A Rome , c’était une populace intraitable, qui s’occupait
ore un problème. Dans Athènes, le Citoyen-Acteur était chéri, fêté. A Rome , les Comédiens-esclaves étaient le jouet du Peupl
ovençale à Florence, où il avait été appelé : le séjour de la Cour de Rome dans le Comtat Vénaissin, acheva de communiquer a
selle. Je continue. Nous avons vu que les Comédiens furent avilis à Rome , dès qu’ils cessèrent d’être Citoyens ; nous voyo
e aux Pièces inventées par Thésée. *. L’état de Comédien était vil à Rome  ! Ecoutons des Auteurs Romains. « Histrion, disen
t ses Acteurs. 2. C’est de l’Etrurie que les Spectacles sont venus à Rome  : quoique je ne cite jamais, dans ce qui est hist
se prouve par les Farces dans le goût de celle de Genest, communes à Rome sous Dioclétien. *. Les Anciens, qui écrivaient
42 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
nt l’office, ou de recevoir sa part des revenus de l’Eglise. Conc. de Rome , an 1059, can. 3 ; même ordonnance, C. de Londres
d’un prêtre que l’on sait certainement avoir une concubine. Conc. de Rome , an 1059, can. 3 ; « 9° Défense aux clercs et a
mmes, de porter des habits séculiers ou de grands cheveux. Concile de Rome , an 744 et 787 ; « 12° Le saint Concile, jaloux
43 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
Auteur Chrétien que dans un Auteur Païen, 21, et suiv. Le Théâtre de Rome et le Théâtre d’Athènes bien moins licencieux que
ctacles, 400 Le Théâtre blâmé par les Lois d’Athènes, de Sparte et de Rome , 410, et suiv. Par le Code Théodosien, 412 Par l
44 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
rai pas ce zéle du P. D. Feijoo pour la sienne, qui lui fait dire que Rome n’a produit qu’un Ciceron, au lieu que l’Espagne
s sont des chaînes, & ses regards des liens. Résolu de l’amener à Rome avec lui pour l’épouser, afin de tromper le Sénat
à Rome avec lui pour l’épouser, afin de tromper le Sénat, il écrit à Rome qu’il amenera Cleopatre pour la faire servir d’or
ervations de l’Abbé Desfontaines, dans celles de Lazarini imprimées à Rome en 1743, & dans une Lettre écrite à M. de Vol
digne de votre attention. L’ancien Caton regarda avec un sage mépris Rome apprenant les Arts de cette Grece qu’elle avoit v
45 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
s tous les pays. Ils sont transmis au général des jésuites résidant à Rome . Page 66 De l’influence et de la corruption exerc
e de religion. Page 70 Voyages de l’abbé de La Mennais en Suisse et à Rome . Page 71 L’abbé de La Mennais réclame avec humeu
L’abbé Perrin, directeur de l’Opéra, à Paris. Page 138 Des théâtres à Rome . Des prêtres et des prélats assistent aux représe
ns qui s’y donnent. Page 139 De la défense qui empêche les actrices à Rome de monter sur le théâtre, et veut qu’elles soient
e et qui ont joué eux-mêmes la comédie. Page 191 Théâtres institués à Rome , en Italie et en France par des papes et des card
46 (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153
ropres partisans revenus à eux-mêmes. L’an 400, après la fondation de Rome , les Censeurs ayant proposé au Sénat de faire con
ins, lorsqu’on alla chercher en Grece des Comédiens pour les amener à Rome . On va achever de ruiner , disoient-ils, ce qui
touchant les théâtres, que le traité latin des spectacles, imprimé à Rome en 1752, par le célebre Pere Concina, Dominicain.
renons d’ailleurs que le même Pape a diminué le nombre des théâtres à Rome . Il faut conclure de tout ce que nous avons dit,
47 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VIII. Erreurs des Modernes sur ce sujet. » pp. 165-186
en fait Tite-Live. « Les Jeux Scéniques apportèrent sur le Théâtre de Rome environ quatre cents ans après sa fondation des d
e d'aucun Poète Romain. Mais enfin Andronicus donna publiquement dans Rome des Fables qu'il jouait lui-même, et dont ces vie
it qu'Ælia Catula, l'une des plus nobles et des plus riches femmes de Rome , âgée de quatre-vingts ans monta sur le Théâtre ;
48 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
e Paganisme, qu’elle n’est à présent, 78. Tragédies Grecques jouées à Rome , 85. Plus honnêtes que ce qu’on voyait dans les T
ré ses pièces de Sophocle, 219 Gélase I. Pape, fait cesser les Jeux à Rome , 117 S. Gélasin Comédien, sa conversion et son ma
alons, 244. De Troyes, 245. D’Alet, ibid. de Reims, ibid. d’Auch, 251 Rome désolée par Totila, 130 Rosimond Comédien, commen
49 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
les femmes voyaient les spectacles du troisième portique de même qu’à Rome . Outre cela il y avait des places de distinction
temps d’Auguste par lequel nous commençons cette Histoire, on voit à Rome trois Théâtres fixes ainsi que le rapportent Suét
e fit élever le premier Théâtre de pierre l’an 699 de la fondation de Rome « In hac civitate tribus eodem tempore Theatris v
cellus fit bâtir le second qui fut achevé l’an 743 de la fondation de Rome , et Balbus65 éleva en même temps le troisième qui
e temps le troisième qui fut dédié par des jeux solennels l’an 743 de Rome , comme le marque Dion au L. 54. Ces Théâtres étai
e désapprouvait pas qu’on sifflât les Acteurs. Car il en bannit un de Rome et de toute l’Italie pour avoir osé montrer au do
r d’Antioche nommé Sosibius étant à la suite d’Auguste, vint mourir à Rome , et laissa tout son bien à la Ville d Antioche, à
ces mêmes faits de Malela, et les rapporte à l’an 723 de la Ville de Rome . Nous nous servirons de ces deux Auteurs pour exp
ctacles, il y fit bâtir un Théâtre74. Il ne changea rien dans ceux de Rome , et se contenta de faire dresser des règlements p
voulait être adressé comme un Dieu, et qui avait fait créer Consul de Rome son cheval, si une prompte mort n’eût coupé le co
Il commença par Naples, qui était une Ville Grecque81 ; et revenant à Rome , il voulut se montrer au Théâtre. Le Sénat pour é
ui les abolit entièrement. Huit ans après la mort de Commode on vit à Rome les jeux séculaires l’an de J. C. 204. Les Comédi
u milieu du 3e siècle l’Empereur Philippe pour célébrer l’an mille de Rome , donna une infinité de jeux qui n’ont rien de par
à toutes les nations de la terre que cette solennité avait attirées à Rome . Il disait qu’il fallait que les jeux célébrés en
ient Maxime Licinien pour Empereur. Peu de temps après il partit pour Rome  ; mais avant que de quitter Antioche, il voulut v
murmurât. Lorsque les jeux se faisaient en mémoire de la fondation de Rome , ainsi qu’on en célébra l’an 800 sous Claude, et
nèque en gravité Tacit[e]. L. XI. Annal[es]. ; il avait été Consul de Rome l’an 784. Pline le Jeune et Quintilien l’ont loué
xaminons quelles pièces il se représentait depuis que les Chrétiens à Rome pouvaient parler contre les spectacles. Nous ne s
ite La Critique du Théâtre Anglais comparé au Théâtre de France et de Rome .. Il fallait bien que les Anciens exigeassent de
rum desultores. » On voit cependant que les spectacles continuaient à Rome , puisque Eusèbe nous apprend qu’à la mort de Cons
point aucune créance. Il dit que Théodose allant de Constantinople à Rome passa par Thessalonique ; que les Soldats ayant f
té, et il n’appelle ces Concerts de Musique, autrefois si fréquents à Rome , que le chœur du diable P. 317.. « Cantor pellatu
» Cette Loi qui fut donnée à Constantinople, était également gardée à Rome  ; car en 444, les Fêtes de la fondation de Rome,
it également gardée à Rome ; car en 444, les Fêtes de la fondation de Rome , qu’on appelait Palilia, et qui arrivaient le 20.
s Pères. Ainsi ils subsistèrent en Provence, ils subsistèrent aussi à Rome sans aucun changement jusqu’au temps du Pape Géla
t quilibet credere quàm clamores. » Enfin sous Justinien, la Ville de Rome fut entièrement désolée par Totila, ainsi que Pro
ces ruinés, et depuis ce temps les spectacles cessèrent entièrement à Rome . Ils cessèrent de même en Provence dès que les Fr
avait simplement un joueur d’instrument, que Théodoric lui envoya de Rome  ; en cela semblable au plus saint de nos Rois, qu
nt sur les plantes odoriférantes ; il exhorte les jeunes débauchés de Rome à fréquenter le Théâtre, qu’il regarde comme l’éc
tués pour honorer les Dieux, et pour le plaisir des hommes ; mais que Rome jouissant au dehors d’une paix assurée, eut bient
orsqu’on alla chercher jusqu’en Grèce des Comédiens pour les amener à Rome . On va achever de ruiner, disaient-ils, ce qui no
bout de les lui faire abhorrer. Peu de temps après Alipe étant venu à Rome , il se laissa entraîner au Théâtre par quelques a
lèges du Roi318. On sait aussi que le saint Pape Pie V. bannissant de Rome les plus fameuses Courtisanes, en souffrit quelqu
e XIII. en 1579. Monsieur Bosquet Evêque de Montpellier en apporta de Rome une copie en France. On en fit une Traduction Fra
. Elzev. 89. [NDA] « Spartien dit cependant que Trajan ne chassa de Rome aucun Comédien, qu’il laissa représenter toute so
d. La Critique du Théâtre Anglais comparé au Théâtre de France et de Rome . Traduct[ion]. de M. Coste. Ezech[iel]. c. XVI.
50 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
lle l’est de nos jours, la loi de la bienséance étoit assez écoutée à Rome , pour ne pas les introduire sur la scène. Comme i
’anéantiroit. Plusieurs Empereurs Romains ont chassé les Comédiens de Rome & de l’Italie. Charlemagne, S. Louis les ont
espèce d’Index expurgatorius des pieces de théatre, comme on a fait à Rome des livres hérétiques. Sur plus de deux mille pie
un Payen revenoit au monde & alloit à l’opéra, il croiroit être à Rome . La licence, la corruption des mœurs y sont les m
énie des peuples : courses de taureaux en Espagne, & de chevaux à Rome , combats des bêtes en Angleterre, gladiateurs en
représentations incomparablement plus fréquentés qu’à Athènes & à Rome . Sans être soutenu par l’autorité publique, le th
51 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
nonobstant cette licence, qui a été sans doute arrachée de la Cour de Rome , et qui ne leur a été donnée que comme par contra
ille de Milan, par ses Lettres Apostoliques ; et à défendre même dans Rome , comme nous lisons dans la vie de saint Charles,
rien de plus juste, que de se conformer aux règlements de la ville de Rome  ; qui est la capitale de la Religion ; et que l’o
52 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
e l’autorité du souverain pontife. Il est en effet incontestable qu’à Rome , et dans tous les états d’Italie, l’art théâtral
nos parlements, et enfin par l’approbation des souverains pontifes à Rome , chefs de l’église chrétienne, catholique, aposto
53 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
n elles se précipitèrent avec rapidité dans la plus affreuse licence. Rome & toute l’Italie furent plongées dans la plus
es & pantomimes (les plus excellens Acteurs) portèrent la danse à Rome à la plus haute perfection (ce seroit parler plus
furent les principales causes de l’asservissement des Romains (& Rome les aimoit !). Les Rois ont toujours sous leur ma
eux plus habiles danseurs qui eussent jamais paru ; tout s’en occupa, Rome ne tourna plus ses regards sur le gouvernement qu
la joie, & à négocier tous les commerces galans des Seigneurs de Rome . Il ne pouvoit manquer de se faire un nombre infi
elque temps après ; mais le sage Trajan les chassa, & abolit dans Rome un spectacle que la licence rendoit intolérable.
’établirent si bien que sous le règne de Constance, où l’on chassa de Rome tous les Philosophes, sous prétexte d’une grande
54 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
areils amusemens parleroient plus haut que les Loix ; nous avons vu à Rome les Censeurs faire souvent abattre les Théâtres ;
ux Divinités des Théâtres. Les personnes graves qui à Athenes & à Rome murmurerent contre ces Plaisirs, passerent sans d
55 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
e, et que M. Cerci nouveau Vice-Légat reçut d’elle avant de partir de Rome les ordres nécessaires pour y remédier. L’on ne p
t lui-même : Et c’est apparemment ce qui l’a fait le plus connaître à Rome . Car on peut croire que l’estime que tous les gen
56 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
si l’on disoit qu’il fût un tems où cette profession fut respectée à Rome , parce que l’Empereur Néron monta sur le théâtre,
tems. De même en parlant des Spectacles des Romains, la jeunesse de Rome , dit-il représentoit publiquement à la fin des
ntrer, bien ou ou mal. Passons maintenant dans cette superbe ville de Rome , & voyons pourquoi les Comédiens y furent mep
ès que, vainqueurs des Perses & des Grecs, ils firent passer dans Rome toutes les richesses de l’Asie. La scène ne fut p
x Jeux de la grande Déesse, la Déesse Cybele, l’an de la fondation de Rome 587, par ordre des Ediles Fulvie & Gabion cha
ius de Preneste. On voit pourquoi ceux qui montoient sur le théâtre à Rome , étoient tenus pour infames ; c’étoient des troup
à Bisance, aujourd’hui Constantinople, & laissé le Pape seul dans Rome , cette ville fameuse ne se trouva plus composée a
ent les personnages mêmes de la nation : ils ont dû y être honorés. A Rome , au contraire, les Comédiens étoient des troupes
57 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LE LIBRAIRE AU LECTEUR. » p. 
eur l’Illustrissime Evêque de Montpellier, lequel durant son séjour à Rome l’avait fidèlement fait transcrire d’un cahier ma
58 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
itées. On ne peut exprimer jusqu’à quel point la licence fut portée à Rome , sous les derniers Empereurs. On n’accusera pas l
d on est sur des Terres Ennemies. Après la destruction de l’Empire de Rome , la Comédie, suivant l’expression de beaucoup d’A
eur ? S. Jérôme tenoit ce goût de Donat, dont il avoit été Disciple à Rome , & qui a fait des Commentaires sur Térence &a
omédie. Est-ce, enfin, un faux bruit, ou s’il est vrai que la Cour de Rome n’exerce plus contre cette profession la rigueur
l’idolâtrie, & des abominations des derniers tems de l’Empire de Rome . Au septieme Siecle, des jeux sacriléges des Icon
59 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
aux jeunes gens dans plusieurs collèges ? On a vu des religieuses, à Rome , exécuter elles-mêmes la pièce de George Dandin,
son état. La médecine en corps a été réputée infâme, & chassée de Rome . Qu’on sçache donc distinguer les temps & les
refusée, s’ils n’ont pas, avant la mort, renoncé à leur profession. A Rome , il n’en est pas de même. Alexandre, César, Brutu
l’on aime mieux, assez pervertis, pour pouvoir entendre Brutus & Rome sauvée, sans avoir à craindre d’en devenir pires.
60 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
en 300 ; d’Oxford, en 1222 ; de Pavie, en 850 ; de Reims, en 813 ; de Rome , en 744, 787 et 1059 ; de Salzbourg, en 1420 ; de
sous l’égide de l’autorité des rois et de l’autorité du pape, qui, à Rome , n’anathématise pas la profession de comédien. Il
61 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
ent, dans leur origine, les Comédies Atellanes qui s’introduisirent à Rome , elles y furent reçues avec un applaudissement gé
ominaient dans leur pays d’une manière trop favorable à la licence. A Rome , la jeunesse était plongée dans la débauche des C
62 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Charles IV & Charles V. » pp. 38-59
urut à Florence voir sa maîtresse, d’où il il revint en Allemagne par Rome , Venise, &c. promenade fort inutile de quatre
fit un procès sur ses mariages, ils furent poursuivis à Paris & à Rome . Cependant il se ligua contre la France avec l’Es
procès d’un autre espece, & le condamna par contumace. Il fuit à Rome à la poursuite de son procès sur son mariage, &am
elle eût été reconnue par le Roi & la Reine, & par la Cour de Rome . Autre comédie. Une seconde tentative sur le Roya
ce, se montra dans une grande partie de l’Europe, avant de se fixer à Rome où elle finit ses jours. Elle vint en France. Lou
63 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  résume général et comparatif du clergé de france.  » pp. 363-364
pour base les tarifs des évêchés et abbayes, selon la taxe en cour de Rome , et qu’il est notoire et avéré, que pour amoindri
64 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 9
plaignaient de leurs parents chrétiens chez Minutius Félix, avocat de Rome  : Vous ressemblez à des gens de l’autre monde, to
65 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
les spectacles, qui leur donnent tant de plaisir. Aujourd’hui même, à Rome , on représente publiquement des comédies dans des
un grand mal. On a vu jusqu’à la piece de Georges Dandin, exécutée à Rome , par des religieuses, en présence d’une foule d’e
vien, Lactance, Cassiodore, &c. qui, à Constantinople, à Milan, à Rome , à Carthage, à Marseille, à Treves, &c. ne pa
66 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Spectacles des Romains en general. » pp. 7-8
, & cueillir les fruits dans leur maturité. Avant la naissance de Rome , Les Aborigénes aporterent en Italie les jeux Tro
67 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
ouhaiter qu’ils y eussent une place distinguée, comme ils l’avaient à Rome dans les premiers temps. Il est vrai que d’abord
plaudit, que l’incognito autorise. En les exposant, comme autrefois à Rome , aux yeux du public, dans des places honorables,
te des Sénateurs avec le peuple, c’est l’idée où l’on fut longtemps à Rome et où l’on est toujours parmi nous, que le théâtr
édie, la fréquentation du théâtre a tout changé. Il n’y eut d’abord à Rome que les captifs et les esclaves condamnés à être
68 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
les divisent et produisent les schismes ; nous y verrons l’Eglise de Rome déclarant schismatique l’Eglise de Constantinople
imec, cet orgueil comprimé s’est-il relevé dans toute sa hauteur ; et Rome a placé son trône à côté de celui d’un roi, un pe
titude ; tous les gouvernements, et aussi le gouvernement temporel de Rome , les favorisent ; ils consultent même les effets
flet des innombrables bûchers allumés pour la foi et la domination de Rome . A droite le ciel de l’Italie…. Italie ! que nous
alité, et surtout le néant de la prétendue souveraineté du pontife de Rome . Parce que les prêtres soumis à sonac souverain é
rands sacrifices. Parce qu’enfin, les scribes et les pharisiens de la Rome nouvelle se sont assis sur ce qu’ils appellent la
69 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
: c’est aux seules Républiques à qui cet honneur est réservé, c’est à Rome , à Athènes, à Lacédémone, à Lucques, à San Marin,
uis que la célèbre Maratti a été admise à l’Académie des Arcadiens de Rome , cette Académie n’a plus manqué de Dames qui ont
de sa Majesté le Roi de Prusse, prouve à Berlin comme elle l’a fait à Rome dans l’Arcadie, que les femmes peuvent réussir da
e de Bologne, celui de la Poésie, qui l’a fait recevoir dans celle de Rome , et qui lui a mérité les suffrages distingués du
strali delle sue vendette. » ed Si ce Sonnet dont le style a paru à Rome avoir quelque conformité avec le style de David ;
manquerait pas de vous être suspect. A son défaut, consultez Modène, Rome , Bologne, Venise, Vienne, Dresde et Berlin. Vous
70 (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36
ses predications, les croyans licites pour les auoir veuz pratiquer à Rome , aux Calendes de Ianuier en l’honneur de Ianus De
rre, de Roüen, de Nantes, & ceux de Constantinople 6. & 8. de Rome tenus soubs le Pape Zacarie, de Bragara & Mar
iq. lib.La Déesse des Comediens Polyhynnia se void esleuee en bosse à Rome tenãt vn masque à sa dextre, la Comedie de mesmes
ui se vestent en hommes : Le Concile de Braga & le penitentiel de Rome leur enioignent de faire penitence durant trois a
esque de Brescia In Catalog. hæresi c. 146. Rodulphus Tung. c. 16., à Rome on ieusnoit l’aduent, ie reserue d’en parler plus
es saincts peres ez Conciles de Carthage, d’Afrique, de Tholede 3. de Rome tenu soubs Eugene 2. que ie laisse à part pour ve
François : ceux d’Orleans 2. de Chaalon sur Saone 1. de Majence 1. de Rome tenu du temps de Clothaire & Louys, & les
71 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56
auxquels selon Plutarque elle futSymp. l. 5. ajoutée. Et de là vint à Rome la coutume dePlut. in inst. puer. donner des Jeux
s la défaite d'AlbinusHerod. lib. 3. in Sever. donna dans la ville de Rome tous les Jeux, et nommément ceux du Théâtre. Quan
72 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
e les trois quarts parmi elles n’ont point d’honneur. La politesse de Rome était toute autre que n’est celle de Londres : le
pendant avec toute la tolérance des Divinités Païennes, le Théâtre de Rome et le Théâtre d’Athènes sont de beaucoup moins im
lles de Plaute ensemble. Et pour le trancher net : les prostituées de Rome seraient des Vestales à Londres. Secondement. Pou
nier ordre sont trop libres dans leurs paroles. Térence parut lorsque Rome était devenue plus polie ; et il se conforme à ce
son fonds personnel, et son goût particulier, il n’ignorait pas qu’à Rome on ne violait point impunément les lois de l’honn
et la naïveté de la représentation se terminent là pour l’ordinaire. Rome avait d’autres sentiments sur ce point, dont elle
joindre à ce que j’ai recueilli du Théâtre d’Athènes et du Théâtre de Rome , les témoignages d’Aristote et de Quintilien, ces
ue d’une autre pièce de Fletcher. Athènes on a banni du Théâtre, et à Rome on a hué ceux qui introduisaient sur la Scène des
73 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [L] » p. 425
mane, qui, couvert d’un habit de brocard d’or, dit à l’Ambassadeur de Rome  : La nature marâtre, en ces affreux climats. Ne
74 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198
ibenter mergebatur, et miserabili voluptate cæcabatur. » Etant allé à Rome étudier le droit, quelques-uns de ses condisciple
dance font naître. Aussi depuis la chute de cette puissante rivale de Rome , toute sorte de guerres et de calamités ont désol
ruption était si grande, l’aveuglement si profond, qu’après le sac de Rome les amateurs du théâtre, fugitifs, étant venus à
même doctrine. Le ch. 20. fait le portrait de la licence des mœurs de Rome , introduite avec le théâtre, inconnue pendant qua
75 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
e la comédie publique. On aura beau chercher dans les descriptions de Rome et d’Italie, les plus détaillées, même les plus m
parlent que du théâtre Romain, sur lequel le Pape, comme Souverain de Rome , pouvait donner des places d’honneur à l’Empereur
théâtre, il montrerait dès le douzième siècle un spectacle régulier à Rome et à Venise, tandis que toutes les histoires ne f
her, qui ravagea toute l’Allemagne, l’autre par le sac de la ville de Rome par le Connétable de Bourbon et les troupes de Ch
76 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
pure politique, comme d’autres maux y sont soufferts, aussi bien qu’à Rome même et ailleurs. Au reste on va voir dans les dé
uelques Empereurs, du nombre desquels est Domitien, qui chassèrent de Rome tous les Comédiens, comme autant de gens, dont il
outume reçue dans tous les pays les mieux policés, sans même excepter Rome , où est le premier Siège de la Religion. Le Confe
thage, d’avoir reçu les Comédiens, que le Roi Alaric avait chassés de Rome  : et il appelle la Comédie, une peste encore plus
77 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
ndre les nations de l'Europe : « On parlait de guerre dans l'ancienne Rome , on parle de religion dans la nouvelle, de commer
ilitaires bien différents, Marius, l'un des plus grands Capitaines de Rome , Metellus, l'un des plus efféminés. Les amis de c
um fabricatas. » Marius au contraire se moquait des petits-maîtres de Rome , en disant : On me trouve crasseux et sauvage, pa
78 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [F] »
[F] Jeu découvert. Sur les Théâtres de Rome & d’Athènes, l’expression du visage était int
79 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
it un espèce de Théâtre séparé de l’Autel, tel qu’on le voit encore à Rome , dans les Eglises de Saint-Clément & de Saint
portèrent au plus haut degré de perfection. Il ne fut plus question à Rome , que des Spectacles de Pylade* & de Bathylle.
80 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
est principalement consacré au soleil. Il y avait plus d’un cirque à Rome . L’auteur parle ici du plus grand de tous ; leque
e ceux du cirque en particulier, il fait entendre qu’il n’était pas à Rome , et peut-être qu’il n’y avait jamais été. » J’ai
81 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
’une frénésie si coupable, et dont n’eut pas même à rougir l’ancienne Rome , encore asservie sous le joug du paganisme. Dans
rivolité. Que dis-je ? nous touchons peut-être au moment de surpasser Rome elle-même en frénésie, lorsque, déchue de sa gran
modernes. Mais il ne s’agit point ici d’examiner lequel du peuple de Rome ou de celui d’Athènes eut raison d’honorer ou de
Térence se sont appropriés les beautés pour en enrichir le théâtre de Rome , les Grecs avaient, il est vrai, une autre opinio
holiques que dans les siècles d’ignorance ou de faiblesse, la cour de Rome n’écoutant que sa politique ambitieuse, et non la
ngtemps à l’image de l’homme. De courageux esprits bravant Genève et Rome , Ont enfin démasqué le fanatisme affreux, Et qui
e vengeance, n’ont-ils pas plus d’une fois déployé dans les champs de Rome les enseignes de la République, et pour trois Déc
e, quelquefois pernicieuse : ce n’était plus le temps des Fabricius ; Rome entièrement corrompue ne pouvait plus se gouverne
 ? En peignant dans les Horace la grandeur et les vertus d’Albe et de Rome , Corneille était-il inquiet de l’autorité du Mona
voré de la soif d’asservir dans toute la Grèce la liberté publique. A Rome , du consentement tacite de tout le peuple, les dé
e le dit un auteur moderne49, on vit des Plébéiens dans le barreau de Rome , on vit aussi les Empereurs même l’honorer de leu
x, ces jurisconsultes profonds, qui nous retracent les beaux jours de Rome et d’Athènes, ces génies rares et sublimes, dont
e et mépris celui de l’éloquence, qui rendit si célèbre le barreau de Rome et celui d’Athènes, et fait encore aujourd’hui de
abli dans son ancienne et véritable splendeur, pourra, comme celui de Rome et d’Athènes, donner un nouvel éclat à celle même
législateurs du monde, ces lois sages et sublimes que l’orgueilleuse Rome , après sa défaite, impose encore à l’univers. Ain
er aux douceurs du repos ; et cette armée formidable, devant laquelle Rome , à la journée de Cannes, avait elle-même tremblé,
combien de raison et de justice, disait l’abbé Mauri, dont la cour de Rome a récompensé les talents précieux, en l’appelant
dans Ammien Marcellin, met le comble à l’étonnement ; il rapporte que Rome étant menacée de la famine, on prit la précaution
82 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
ns le Royaume ; elle s’en retourna à petit bruit mourir obscurément à Rome , où même le Pape qui l’avoit d’abord reçue en tri
u’elle professât le Luthéranisme à Stocholm, la Religion Catholique à Rome , elle n’étoit Luthérienne ni Catholique, elle n’a
, dans une Cour très-Catholique ; on n’en étoit pas moins mécontent à Rome qu’à Paris, Le Pape en fut choqué, & pensoit
aisser passer l’orage, & revint un peu plus circonspecte mourir à Rome . Elle fut très-peu reconnoissante pour ses Apôtre
qui les a effacés. Son goût pour les arts , dit Voltaire, la fixa à Rome au milieu d’eux, dans cette vue elle avoit quitté
ux que sa conduite ; elle proposa à Madame de Thianges de la suivre à Rome , & de quitter sa famille ; que c’étoit une s
d’une manière fort libertine contre le mariage & les dévotions de Rome , elle avoit entendu parler des amours du Roi pour
83 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
ques ; elle fut si bien reçue que le Pape Léon X la fit représenter à Rome , & honora la Pièce de sa présence ainsi qu’à
rt de chagrin de voir donner le nom d’Œcuménique aux seuls Evêques de Rome . Alexandre VI, dont la mémoire doit être en horre
e Arimano. Le Pape invita Adrien à une Fête dans une Vigne voisine de Rome  ; le poison fut préparé dans une bouteille de vin
ou de drap. Ces questions frivoles occupèrent un longtems la Cour de Rome  ; & les disputes furent portées si loin entre
e frappa du glaive de la mort ; son corps fut traîné dans les rues de Rome . Calvin, jaloux de Servet, le fait condamner à êt
roubles de Westphalie. Le Légat d’Avignon fréquente les Spectacles. A Rome ils sont autorisés, permis ainsi que dans toute l
s ames. 8. N’a-t-on pas vu un Charles-Quint, après le saccagement de Rome , exécuté par ses ordres, faire des processions, d
onnage de leurs Pièces ; & s’ils ont été quelquefois maltraités à Rome après la mort des tyrans sous lesquels ils avaien
mp;c. 40. Tite Live dit que les Jeux scéniques furent introduits à Rome l’an 390, à l’occasion d’une peste qu’il s’agissa
nsuls, Echevins. Personne n’ignore que les Médecins furent chassés de Rome comme infâmes : de nos jours leurs Enfans remplis
lise. Pour prouver comme tout change, jettons les yeux sur l’ancienne Rome , nous voyons le concubinage n’avoir rien de désho
e reprocher aux Protestans : persécuter est le systême de l’Eglise de Rome . » Mais s’il rejette réellement la persécution, &
nt envoyés porter leurs offrandes au Temple d’Apollon de Delphes, que Rome avait été prise & saccagée par les Gaulois, i
84 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
jours regardé les Acteurs. Dans le Paganisme, demandez aux Auteurs de Rome ce qu’on y pensoit d’eux. Vous trouverez une loi
e par l’usage ; mais remarquez que ce fut au temps de la décadence de Rome  : Loi que Charlemagne depuis renouvella le plus s
si quelqu’un approuve le théâtre, ce ne sera pas ce fameux Orateur de Rome , homme d’une prudence si profonde & d’un disc
Bientôt la débauche de la Grece passa en proverbe dans les histoires. Rome fut long-temps vertueuse ; ce fut tant qu’elle ig
posé à l’établissement d’un théâtre fixe, assurant que ce seroit pour Rome une Cartage plus redoutable que celle qu’on venoi
85 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
a constitution. Quelle est l’époque de la décadence de la Grèce et de Rome , quelle est la date précise de leur humiliation e
ne craignoient que pour le poli de leur physionomie15, la liberté de Rome eût subsisté. Quel expédient employa Néron et les
me eût subsisté. Quel expédient employa Néron et les autres tyrans de Rome , pour affermir leur empire odieux ? Ces monstres
ènes, qui ont formé les vainqueurs de Pyrrhus et d’Annibal ; auxquels Rome attribuoit toute sa gloire, et auxquels elle la d
Moscou, 1 Mai 1780, p. 64 : de celui de Torredinona, le plus grand de Rome , 15 Mars 1781, p. 441. Querelle sanglante dans ce
86 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
magnificence que du goût dans cette prodigalité. Elle fut inconnue à Rome dans les tems vertueux de la République, & mê
ices du Monomotapa. L’état de Baigneur, Coëffeur étoit considérable à Rome , comme il l’est en France ; mais il ne le devint
être surpris, si l’on y trouve les plus grands Maîtres ? Il y avoit à Rome des pleureuses à gages, appellées Præficæ, qui da
que citoyen Romain, & de tous ces vils esclaves, qui exerçoient à Rome le métier de Friseur, de Calamistreur, que nous h
es de toutes couleurs & de toutes especes, ces folies inconnues à Rome pendant plusieurs siécles, ne viennent que du thé
87 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
rtie danseroit pendant que l’autre chanteroit. La même chose arriva à Rome . Andronicus dansoit & chantoit à la fois l’in
ongue, qui ne nous est pas connue, étoit si sensible à la populace de Rome , que quand un Comédien manquoit tant soit peu pau
t & fermé, pousser sa voix comme il la poussoit sur le Théâtre de Rome , nos oreilles seroient étourdies. C’est ce qui ar
’est ce qui arriva dans une petite Ville d’Espagne, où un Comédien de Rome s’avisa de vouloir donner le Spectacle d’une Trag
du Bos. Les Sujets qu’exécutoient les Pantomimes étant très-connus à Rome , ils n’avoient pas besoin, avant que de commencer
88 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
ert d’admirer sur nos Théâtres, les fameux héros de la Grece & de Rome , si l’élevation de leurs sentiments n’a aucun pou
ge des Théâtresa, qu’ils soient parmi nous, ce que la Censure étoit à Rome  ; qu’un Censeur aussi rigide que recommendable ve
89 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre II. De la Comedie. » pp. 163-177
gnac, la France possede toute l’ancienne Grece, & toute la vielle Rome  ; que les Theatres de ces deux vieilles Merveille
ins vieux exquis, & qui ont emporté l’honneur dans les Festins de Rome . Ie n’en ayme pas moins le vin nouveau. Si l’un m
90 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
ées, peuvent-ils les absoudre, sous prétexte qu’on la joue à Paris, à Rome , et ailleurs ? 4°. Un Evêque, un Vicaire Apostoli
e sont pas justifiés en disant que cette Comédie se joue à Paris et à Rome  ; comme si on ne savait pas que l’Eglise condamne
91 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
ris n’auroit-on pas eu pour elle, il lui falloit même une dispense de Rome pour épouser son beau-frère. Philippe promettoit
 ; en France animant contre lui la Cour, Henri IV, les Protestans ; à Rome se liguant avec Sixte V, malgré son aversion pour
e d’Elisabeth étoit sans exemple ; jamais aucune femme n’a triomphé à Rome , celle-ci n’étoit point guerrière, jamais elle ne
eux sexes, nous ne connumes jamais ce double Sacerdoce ; d’ailleurs à Rome tous les Prêtres & Prêtresses, jusqu’aux Vest
rai, c’est que la persécution commença dès son couronnement avant que Rome eut fait aucune démarche ; elle avoit si bien pré
r eux sa sévérité. C’est une histoire de son règne, ce n’est donc pas Rome qui a commencé, c’est Elisabeih qui a forcé Rome
e, ce n’est donc pas Rome qui a commencé, c’est Elisabeih qui a forcé Rome à lancer ses foudres, sans doute les Bulles aigri
oit de son père qui fit mourir des milliers des Catholiques, sans que Rome eut rien fait contre lui, & de sa nation dont
92 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VII. Les spectacles favorisent les suicides. » pp. 90-92
re dans la bouche des discours plus propres à des héros de l’ancienne Rome qu’à des saints et à des martyrs. Le vice s’embel
93 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
le caractère des habitants, ne pouvaient manquer de porter à l’excès. Rome le leur reproche, Julien l’Apostat dans la satire
omme le mot Histrion est dérivé d’un Hister, qui vint de la Toscane à Rome exercer le beau métier, l’utile talent de faire r
s dangereux de la population ! Les Païens faisaient la même remarque. Rome païenne ne connaissait pas les vœux monastiques,
94 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88
rée. On lui épargnait autrefois ces dépenses. Les grands Seigneurs de Rome faisaient tous les frais, le peuple n’était pas o
gistrats quand ils entraient en charge. Les plus opulentes maisons de Rome s’y ruinaient pour gagner la faveur du peuple, av
 34.) s’explique énergiquement là-dessus. « Trois cents Courtisanes à Rome , dit-il, sont moins pernicieuses à l’Etat que les
95 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
ques aux pierres mêmes, pour me servir de l’expression de l’Eglise de Rome , n’a pu arracher de vous une seule marque de doul
96 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
ulé, la Critique du Théâtre Anglais comparé au Théâtre d’Athènes ; de Rome et de France ; et l’Opinion des Auteurs tant prof
97 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
que le grand Mahomet, qui avoit été banni de France, s’étant rendu à Rome pour y gagner le Jubilé, a été absous par Notre S
son approbation. Puisse-t-il être excommunié par la premiere poste de Rome  ! Que les honnêtes gens ont peine à vivre ! Il n’
Lett. 102. Quel intérêt si grand peut on me faire prendre au salut de Rome sauvée, piece de Voltaire ? Une ville, une républ
composer, à moins qu’on ne fasse précéder les présens. Que faire ? A Rome les Auteurs faisoient vivre les Comédiens, en Fra
98 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
rtel il était fait dieu.4. Nous savons aussi que Romulus fondateur de Rome étant fort âgé,La mort de Romulus. fut mis en piè
t courir le bruit, qu’il était canonisé et mis au nombre des dieux de Rome , et qu’il voulait être appeléVois Fest[us] Pompei
t fils de la sœur du Poète Ennius, et qui gagna sa vie premièrement à Rome ,13. exerçant l’art de peinture, et depuis devenu
s :Crinite au ch. du li. 1. des Poetes Latins. et Accius bourgeois de Rome , toutefois né de parents affranchis. Les œuvres d
99 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
à qui l’on vantait les magnificences du Cirque et des jeux établis à Rome . Les Romains, demanda ce bonhomme, n’ont-ils ni f
e Baronf n’a pas fait moins de plaisir à Paris que celle de Térence à Rome . Les scènes que Molière emprunta de Plaute étaien
100 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXIII. Impossibilité de réformer entièrement les spectacles. » pp. 191-194
senté à Auguste que le moyen le plus capable de réformer les mœurs de Rome était, non pas d’épurer les théâtres, mais de les
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