grossieres, au son de la flute, sine carmine ullo. Les Jeunes Gens de
Rome
les voulant imiter, y ajouterent des Vers pleins
guerre Punique, Andronicus fit jouer, pour la premiere fois, l’an de
Rome
514, une Piéce divisée en Actes, & osa abando
ions eurent été abandonnées à des Personnes viles, les Jeunes Gens de
Rome
n’ayant plus la même considération pour les Acteu
eut un Rival dans Nævius dont la premiere Piéce fut jouée l’an 519 de
Rome
. Ses railleries ayant offensé une famille puissan
s leurs vains amusemens Græcam luxuriam, & ne pas donner entrée à
Rome
à cette iniquité étrangere, peregrinæ nequitiæ. N
nes Solon gémir des Spectacles introduits par Thespis : nous voyons à
Rome
, les graves Personnages gémir du même mal, &
un Senateur Romain, & ensuite affranchi, sur plaire aux Grands de
Rome
, & si particuliérement au Fils de l’Ancien Læ
Genres aussi opposés que le Terrible, & le Plaisant. Il falloit à
Rome
des Théâtres dignes d’une Ville devenue la maître
plan de celui qu’il avoit vu à Mitylene, & en fit construire un à
Rome
dans la même forme, mais beaucoup plus vaste ; il
t les Piéces, avant que de les représenter sur le Théâtre, il y eut à
Rome
quatre Odeons. Auguste acheva le Théâtre, dont Ce
ce à imiter les Actions les plus infames. Un Baladin avoit une cour à
Rome
, y formoit des Partis qui causoient des séditions
s, la douleur & la gloire du Théâtre Romain, & les délices de
Rome
. Quiquis Flaminiam teris viator, Noli nobile
le même des Armées, circo & theatris corruptus miles, dit Tacite.
Rome
alloit toujours s’avilissant. Il y eut des Poëtes
ains pour les Jeux devint si grande, que dans une famine qui affligea
Rome
sous Gratien, tandis que pour conserver les Citoy
fureur des Spectacles qui perdit les Grecs, perdit aussi les Romains.
Rome
devint la proie du Barbare vainqueur, & la ma
ronicus jusqu’à Quintilien, les Piéces de Théâtre ne manquerent pas à
Rome
; & de tant de Piéces, le seul Thyeste de Var
re des Tragédies Grecques. Il loue les Poëtes Tragiques de l’ancienne
Rome
, Accius & Pacuvius, plus que ceux qui les sui
. 7.) ne souffre pas qu’un homme libre s’avilisse jusqu’à le faire. A
Rome
, les Comédiens et les Gladiateurs étaient des tro
uent les exclut du mandarinat, c’est-à-dire de toute charge publique.
Rome
avait des lois pareilles. Parmi nous, aucun corps
âtre. Il est bien plus étonnant que de pareilles idées n’aient inondé
Rome
et tout l’empire ; mais le Romain, naturellement
Caligula rappela les Comédiens, que son prédécesseur avait chassés de
Rome
, et se livra aux spectacles. Héliogabale n’en sor
mais il fixa les gages annuels des Acteurs à cinq pièces d’or, car à
Rome
personne ne payait à l’entrée, comme en France, o
n en porta plainte à Trajan, l’un des plus grands Empereurs qu’ait eu
Rome
. La cause fut plaidée en leur faveur par Pline lu
négyrique de ce Prince, Pline le loue d’avoir chassé les Comédiens de
Rome
, et inspiré au peuple le dégoût du théâtre, l’ave
ur quoi cet Auteur remarque qu’au milieu des désordres qui inondaient
Rome
, il fallait souvent forcer ou engager pour de l’a
râce dans sa naïveté. On sait que Marc-Aurèle chassa les Comédiens de
Rome
, et les relégua dans quelque île de l’Hellespont
ie trois barques chargés de fols. Je ne t’envoie pas tous les fols de
Rome
, car s’il fallait les bannir tous, nous faudrait
tenir en trois mille caraques. Toutes choses aujourd’hui à la triste
Rome
défaillent, fors seulement les Truands, Farceurs,
ls elle a assez. O quel service tu ferais aux Dieux, et quel profit à
Rome
, que pour trois batelées de fols, nous en envoyas
batelées de fols, nous en envoyasses une de sages ! quelle infamie !
Rome
, jamais vaincue des vaillants et vertueux, se vit
ppée du pied des fols, et les places armées de Truands et Comédiens !
Rome
, qui triomphait de tous les royaumes, d’elle trio
d’elle triomphent les Bateleurs et Jongleurs ! Je les bannis tous de
Rome
pour toujours, non tant pour le sang qu’ils ont r
e. Ne me déplaît chose de nos anciens pères, sinon d’avoir souffert à
Rome
ces méchants bélitres. L’an 226 d’une horrible pe
sordre qu’il défaille des soldats aux garnisons et frontières, et que
Rome
soit remplie de Comédiens ! quelle vergogne que l
més Capitaines avec leurs triomphes ! Quand ces misérables allaient à
Rome
de maison en maison, témoignant leur légèreté, et
ui donnèrent plus que tous ses amis. Quand Auguste édifia les murs de
Rome
, il tira plus des Truands qui furent noyés dans l
e de Marc-Aurèle, C. 19.) prétend que les Comédiens furent chassés de
Rome
à l’occasion de quelque tumulte qu’ils y avaient
son frère, elle fait cette horrible imprécation contre sa patrie : «
Rome
l'unique objet de mon ressentiment, Rome à qui vi
cation contre sa patrie : « Rome l'unique objet de mon ressentiment,
Rome
à qui vient ton bras d'immoler mon amant, Rome qu
t de mon ressentiment, Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant,
Rome
qui t'a vu naître, et que ton cœur adore, Rome en
s d'immoler mon amant, Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore,
Rome
enfin que je hais, parce qu'elle t'honore. Puisse
son frère, elle fait cette horrible imprécation contre sa patrie : «
Rome
l'unique objet de mon ressentiment, Rome à qui vi
cation contre sa patrie : « Rome l'unique objet de mon ressentiment,
Rome
à qui vient ton bras d'immoler mon amant, Rome qu
t de mon ressentiment, Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant,
Rome
qui t'a vu naître, et que ton cœur adore, Rome en
s d'immoler mon amant, Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore,
Rome
enfin que je hais, parce qu'elle t'honore. Puisse
vos législateurs mitrés ? Le chef de votre Eglise ne permet-il pas à
Rome
, ce que vous défendez à Paris ? M. le vicaire de
ée au spectacle, quand M. son curé la lui donne ? A Milan, à Turin, à
Rome
, a Naples un prêtre ne peut-il pas sans encourir
car, ce n’est pas, je pense, parce que le spectacle est plus décent à
Rome
et à Turin qu’à Paris, qu’il est permis dans ces
Mais, ce que notre clergé francico-romain ne peut ignorer, c’est qu’à
Rome
où les devoirs religieux doivent être plus scrupu
nnocent XI a organisé lui-même des théâtres ; nous en comptons huit à
Rome
où l’on rencontre journellement des ecclésiastiqu
t encore vous montrer pourquoi il est proscrit en France, et permis à
Rome
. Sous le spécieux prétexte de zèle pour la religi
1568-1591), étudiant jésuite italien mort au service des pestiférés à
Rome
en 1591 et reconnu saint par l'Église catholique.
heologica, III, 8, 4, 12 o. [NDE] Il s’agit du théâtre de Tordione à
Rome
, bâti par Benoit XIII. Voir Description historiqu
en forme de dictionnaire (…) par M. de L.M. de l’Académie de S. Luc à
Rome
, rééd. Avignon, Chambeau, 1790, vol. 2, p. 320.
it que le Sacré Collége ne fût pas à l’abri des attentats du théatre.
Rome
fut toujours pleine de pasquinades : ce nom même
nal de N. homme d’esprit & de mérite, fort aimé en France & à
Rome
, y joue un des principaux rôles : Il est si dévot
y a apparence que cette comédie a été faite en France & envoyée à
Rome
, Le Sacré Collége, qui, tout occupé de la grande
rce pour le satisfaire. En effet, deux jours après on fit courir dans
Rome
le premier acte d’une nouvelle piece pire que la
à la tête. Le décret par leur ordre fut exécuté par le gouverneur de
Rome
& ses Sbires, sur des soupçons donnés à leurs
mieux de dire leur Bréviaire, que de composer des comédies. Il y a à
Rome
une Congrégation appellée de l’Immunité. Ce tribu
& non pas aux trois cardinaux chefs d’ordres, ni au gouverneur de
Rome
. Le cardinal Fantuzzi, préfet de cette congrégati
a que les trois cardinaux qui avoit porté le décret, le gouverneur de
Rome
& ses officiers qui l’avoient exécuté, avoien
place ordinaire, mais dans la place Colonne, l’une des plus belles de
Rome
, où on n’en avoit jamais fait ; comme si à Paris,
t exciter de violentes tempêtes sur la mer des foiblesses humaines, à
Rome
sur-tout où tous les princes catholiques semblent
rapporté dans sa vie. Le P. Lupus, fameux & saint prédicateur de
Rome
, apprenant qu’on préparoit de grandes fêtes de ca
u insensés ces prédicateurs singuliers, on les eût traités de fous. A
Rome
on les écouta, on les respecta, chacun s’en retou
ans le désert par le souvenir des femmes qu’il avoit vues autrefois à
Rome
. La ville de Paris, non plus que les autres du
un pot-de-vin de six cens mille livres. Les Ediles, dit-on, avoient à
Rome
la direction du spectacle. Mais les Ediles chréti
acré Collége empressé à lui plaire, qui vaut bien celui de la Cour de
Rome
, & que Pasquin traiteroit de mascarade. Il se
e & la Peinture, prouve fort au long que, sur l’ancien théatre de
Rome
, chaque rôle sur le théatre avoit deux acteurs, l
& avoit seule le droit d’y jouer. Le Théatre étoit donc regardé à
Rome
comme indigne des gens de condition. On a vu des
foiblesse de ses admirateurs, que pour éterniser sa mémoire, reçut de
Rome
des applaudissemens, quelques bienfaits, & mo
ens pourvu qu’ils plûssent ? Quels étoient donc alors les Comédiens ?
Rome
devoit-elle accorder tant d’estime à des gens qui
flottoient entre l’incertitude & l’ignorance des chemins. Comment
Rome
auroit-elle pu croire que couvrir les Comédiens d
s combats sanglans étoient donc un remède contre eux-mêmes. Autrement
Rome
auroit-elle pu les justifier à ses propres yeux ?
avec ardeur, & tous les Romains auroient voulu être Gladiateurs.
Rome
étoit animée du même esprit à l’égard des Acteurs
ens, en leur mettant devant les yeux l’intempérance de leur esclaves.
Rome
entretenoit dans les siens l’idée de la vraie glo
composer des Mimes & y excella ; ce n’étoit point un deshonneur à
Rome
de composer pour le Théatre, mais on ne pouvoit y
auvais effets qu’elles avoient produits contre leurs propres Auteurs.
Rome
eut de grands Poétes, de grands Orateurs, mais le
d. Le Latin habille son héros en homme, celui du Grec paroît un Dieu.
Rome
connoissoit à fond les ouvrages des Grecs ; elle
ragédie ne fit partie que longtems après leur institution. Regardée à
Rome
comme une chose presqu’étrangère au fond des dive
objets, qu’il ne manque pas de regarder comme fort au-dessous de soi.
Rome
qui a emprunté des Grecs, tant de Loix sages, tan
t dans son éclat littéraire. Dans son plus beau siècle, sous Auguste,
Rome
connoissoit à peine la Tragédie. Sénéque le tragi
ls n’eurent n’y Sophocle, n’y Euripide. On m’objectera sans doute que
Rome
, jusqu’à Auguste, n’avoit point connu l’Epopée, &
irent dans cet art. Le goût pour les ouvrages dramatiques, n’éclata à
Rome
, qu’après les guerres de Carthage, au milieu des
uteurs. La loi des douze tables, par piété ou par politique, rendit à
Rome
tous les spectacles des exercices religieux. Cett
lus impudent, de plus bouffon. Le plus célèbre, qui vint de Toscane à
Rome
, s’appelait Hister, Histro, ou Histrio, peu impor
mœurs, et n’alarma les Magistrats que par la licence de la satire. A
Rome
il fut d’abord plus réservé ; la gravité Romaine,
toujours ; ce ne fut que dans les premiers siècles, où l’on n’avait à
Rome
que des théâtres mobiles, qu’on dressait à l’occa
pargner quelque temple, on en a fait des Eglises, comme le Panthéon à
Rome
, la Maison quarrée à Nîmes, etc. S’il subsiste qu
l’application ordinaire de cette vision de l’Apocalypse à la ville de
Rome
, le théâtre n’y perdrait rien. Il est certain que
à chaque aventure. Le théâtre fit connaître et répandit le luxe dans
Rome
, occasionna les profusions insensées qui ruinaien
la prudence donnait des lois à l’univers. On aurait vainement cherché
Rome
dans Rome comédienne. Auguste, qui la connaissait
e donnait des lois à l’univers. On aurait vainement cherché Rome dans
Rome
comédienne. Auguste, qui la connaissait bien, s’e
fin nos desseins généreux. Le ciel entre nos mains a mis le sort de
Rome
. » Cinna aime éperdument la fille d’Auguste, e
« La recevoir de lui me serait une gêne. Mais quand j’aurai vengé
Rome
des maux soufferts, Je saurai le braver jusques
e les compte-t-on pas pour les derniers Romains ? Leur mémoire dans
Rome
est encor précieuse Autant que de César la vie
s la fortune ennemie, A moi qui tiens le trône égal à l’infamie ?
Rome
qui du même œil le donne et le dédaigne, Qui ne
alors également trempée Et du sang de César et du sang de Pompée…
Rome
, sans leur donner des titres différents, Se cro
; règne, Catilina. En vain fondant sur vous toute son espérance,
Rome
vous élevait à la toute-puissance. Non, non, Ro
son espérance, Rome vous élevait à la toute-puissance. Non, non,
Rome
n’est plus sans le secours d’un maître, Et qui
s César citoyen serait un Dieu pour moi. Je te préfère au monde, et
Rome
seule à toi. » Cette pièce est pire que celle
tre : Je périrai, Romains, ou vous serez sans maître. Je vois que
Rome
encore a des cœurs vertueux. On demande du sang
Je vois que Rome encore a des cœurs vertueux. On demande du sang,
Rome
sera contente. César était au Temple, et cette
eût perdu la vie. Faisant tout pour la gloire, il ne fit rien pour
Rome
, Et c’est la seule faute où tomba ce grand homm
es. Scellons notre union du sang de nos Tyrans. Je dois sa mort à
Rome
, à vous, à nos neveux. L’honneur du premier cou
ropre fils, eût-il été un héros ? Voilà toute la pièce. La révolte de
Rome
contre son Roi est la plus juste et la plus belle
s rend nos serments lorsqu’il trahit le sien. Et dès qu’aux lois de
Rome
il ose être infidelle, Rome n’est plus sujette,
trahit le sien. Et dès qu’aux lois de Rome il ose être infidelle,
Rome
n’est plus sujette, et lui seul est rebelle. »
Sur ton autel sacré, Mars, reçois nos serments. Si dans le sein de
Rome
il se trouvait un traître Qui regrettât les Roi
Qu’aux Tyrans désormais rien ne reste en ces lieux Que la haine de
Rome
et le courroux des Dieux. Sous le joug des Tarq
s à la perte d’un homme, Je veux avec vos fers rompre encor ceux de
Rome
. Vous les verrez poussés d’une ardeur magnanime
implacable. Je vais prendre sa place, et bravant le danger, Tirer
Rome
des fers, me perdre ou la venger. Et l’on peut
ais laver la honte. Si le cœur de Brutus a trahi son devoir. Non,
Rome
, moi vivant, tu n’auras point de maître. Déguis
son maître, Et son libérateur passera pour un traître ! Je verrai
Rome
en proie aux plus cruels malheurs, D’une trembl
z. [NDE] Le texte donne "Nous" par erreur. aa. [NDE] Chancellerie à
Rome
où l’on date les expéditions des bénéfices, les r
délices et des voluptés d'Italie, et d'où elles furent transportées à
Rome
; Elles étaient comme des Satires agréables, sans
ds idiots, qui n'étaient pas plus sages, à mon avis, dans la Ville de
Rome
, que dans celle de Paris ; et qui sans doute les
tie en leurs représentations. Ces Fables néanmoins furent jouées dans
Rome
assez longtemps avant les Poèmes Dramatiques dont
en voyant la liberté qui s’introduisoit au Théâtre.**. Les Censeurs à
Rome
pour conserver les mœurs avoient demandé les Spec
la République la rétablit toujours dans son premier état de pureté. A
Rome
, Cicéron & Pline le jeune nous assurent en pa
dans leur origine. Tite-Live le dit expressement**. « La Jeunesse de
Rome
ne souffrit point que ce genre de Comédie fût sou
ics. » Juventus ab histrionibus pollui non Passa est. L’Historien de
Rome
parlant encore un peu plus bas de l’origine de ce
ur ****. Cependant comme la corruption infecta bientôt le Théâtre de
Rome
, nous n’offrirons point les Romains comme des mod
mp; c’estoit le lieu où joüoient les Comediens & les Mimes. Car à
Rome
, ces derniers n’avoient point de Theatre particul
T. Liv. II. 7. Anno. abv. ; c. 394.car en l’année 389. aprés celle de
Rome
, vne cruelle peste ravageant les champs & la
. l. 5. c. 5. que L. Mummius apres avoir détruit Corinthe, remporta à
Rome
les Vases d’un celebre Theatre, qu’il avoit trouv
u’il ait esté le premier Autheur des Theatres de bois, qu’on a veus à
Rome
. Cependant toutes ces choses augmentant de iour e
soif des Spectateurs. Il y a bien eu à la verité d’autres Theatres à
Rome
enrichis de plusieurs elles choses ; mais soit qu
lus digne. C’est que du temps de Empereurs, il y avoit à la fois dans
Rome
, trois Theatres & un Amphitheatre, dont ie cr
es là que l’Eunuque de Terence luy a valu huit mil écus de monnoye de
Rome
. Ie n’ay point icy parlé des Chœurs, parce que c’
Tite-Live, liv. 39, ayant été appellés dans les premieres sociétés de
Rome
, perdirent les mœurs. Plutarque avoue que le théa
nombre des honnêtes gens. Quelqu’efforts que fissent les libertins de
Rome
, comme ils font parmi nous, pour accréditer les s
t Caton, sont plus à craindre par la corruption qu’ils répandent dans
Rome
, que toutes les femmes des Carthaginois. Il parlo
ns, ils nous surpassent malgré cet avantage qu’ils ont sur nous ; que
Rome
est à plaindre de renfermer dans son sein des hom
ne l’ont jamais condamnée, & que le Chef de l’Eglise la tolere à
Rome
. A cette objection, je réponds qu’il y avoit à Ro
glise la tolere à Rome. A cette objection, je réponds qu’il y avoit à
Rome
des spectacles avant que la Souveraineté temporel
lir tous les spectacles. Il en diminua, autant qu’il put, le nombre à
Rome
; il combattit les partisans dans plusieurs de se
, à composer un Traité latin contre les spectacles, qui fut imprimé à
Rome
en 1752. C’est avec le même zele que Clément XIII
pauvres, répondit un barbare, à qui l’on vantoit les jeux publics de
Rome
? Mais que dire des spectacles, en les regardant
re dans la bouche des discours plus propres à ces héros de l'ancienne
Rome
, qu'à des Saints et à des Martyrs. Il faut aussi
ertus rendue, L'égale presque aux rois dont je suis descendue ; Et si
Rome
et le temps m'en ont ôté le rang, Il m'en demeure
vons déjà dit, en contradiction manifeste avec le souverain pontife à
Rome
, qui protège les comédiens sans les excommunier,
es qui font l’amusement de la capitale du monde chrétien. On compte à
Rome
au moins huit théâtres, où l’on rencontre journel
sont point excommuniés. Quant à la défense qui empêche les actrices à
Rome
de monter sur le théâtre, et veut qu’elles soient
us attentif, il les corrigeoit quelquefois lui-même. C’est ainsi qu’à
Rome
, à Naples, à Florence, &c. on a fait des règl
grands, des nobles) en font la plus grande partie. Ils suppléèrent à
Rome
à ceux que le Prince avoit retranché, ils n’y sup
ces du théatre sur les mœurs des Romains, puisque son établissement à
Rome
fut l’époque funeste de leur décadence, comme le
orcé d’y monter une fois. Les Comédiens ont été vingt fois chassés de
Rome
par les Empereurs. V. L. 2. L. 3. 3. Les Romains
aux Courtisannes, sans estimer l’un plus que l’autre. Les Censeurs à
Rome
, pour conserver les mœurs, avoient demandé les sp
des spectacles honnêtes & décens. S’ils étoient tels à Athènes, à
Rome
, à Constantinople, à Antioche, à Alexandrie, à Ca
s sert d’admirer sur le théatre les fameux Héros de la Grèce & de
Rome
, si l’élévation de vos sentimens n’a aucun pouvoi
dés théatres, qu’ils soient parmi nous ce que les Censeurs étaient à
Rome
. Des Comédiens exerçant la censure ! Tertius à Ca
bles ni les bourgeois ne montent pas plus sur le théatre à Paris qu’à
Rome
, & se déshonoreroient, s’ils y jouoient. Les
u’à Rome, & se déshonoreroient, s’ils y jouoient. Les Comédiens à
Rome
, comme à Paris, étoient fêtés dans les plus belle
amp; les Nobles, & n’est pas grand chose. Mais il en résulte qu’à
Rome
le théatre étoit si infame que les Grands & l
inqueur le Titre d’Empereur, avec ordre de revenir & de ramener à
Rome
ses Troupes victorieuses pour y Triompher. Immedi
ut des presens & des applaudissements. Quand ils estoient pres de
Rome
, le General ou l’Empereur avec un certain nombre
les avantages, ni dissimulé les pertes. Ce serment se faisoit hors de
Rome
, parce que le nouvel Empereur perdoit son authori
considerable. C’est que les Triomphes ne se sont pas tous celebrez à
Rome
. Papyr. Masso n’ayant pû obtenir du Senat ces hon
s Animaux extraordinaires venus des Païs sauvages, & aprivoisez à
Rome
. Pompée attela à son char deux Elephans, quand il
autant de Païs ou de Villes qu’il avoit reduites sous l’obeïssance de
Rome
. Claud. l. 3. de Laud. Stilic.L’imagination des P
ant de Mithridate y fit porter des arbres entiers d’Ebene, inconnus à
Rome
jusqu’alors. Vespasian y apporta du baûme. Ainsi
à cette heure cõserver & augmẽter par mes mains les interests de
Rome
. Ie vous supplie instamment de leur estre tousiou
amys du Triomphateur, ou zelez pour la gloire & pour le succez de
Rome
: On voyoit des Tables servies & des muis de
xcez ; au lieu que s’il eust esté generalement pour tout le Peuple de
Rome
, il s’en seroit beaucoup falu qu’il y en eust eu
ont refusé. Selon le mesme Lipse, il y a eu depuis le commencement de
Rome
trois cent douze Triomphes. Le NeapolitainAlex. l
Confrères ne doivent pas entrer en comparaison avec les Pantomimes de
Rome
: mais, le Théâtre de Londres, ne possède-t-il pa
cles ; mais cet expédient devenu nécessaire, était de faire sortir de
Rome
tous les Pantomimes. Cependant les Ecoles de Pyla
nduites par leurs élèves, dont la succession ne fut point intérompue.
Rome
était pleine de Professeurs, qui enseignaient cet
ait conçue pour lui. Il est vrai que les Pantomimes furent chassés de
Rome
sous Tibère, sous Néron, & sous quelques autr
re dans la bouche des discours plus propres à ces héros de l'ancienne
Rome
, qu'à des Saints et à des Martyrs. Il faut que la
ertus rendue, L'égale presque aux rois dont je suis descendue ; Et si
Rome
et le temps m'en ont ôté le rang, Il m'en demeure
nt dire que prouver. Il ne nous reste de tous ces pompeux Edifices de
Rome
, que quelques ruïnes de celuy de Vespasian, on le
& du Cirque. Or il est certain que de son temps il n’y avoit dans
Rome
* que trois Theatres & un Amphitheatre. Il n’e
esté l’Autheur du premier Amphitheatre de pierre qui ait esté fait à
Rome
, & qui a duré seul de cette matiere, jusques
rs. Ce secours en augmentoit beaucoup la magnificence, & attira à
Rome
tout ce que la nature produisoit de rare & d’
’il donna un Cheval Marin, & le premier Rhinoceros qui ait paru à
Rome
. Il y montra aussi un Tigre aprivoisé. Plin. l.
marqué parmy tous ces grands hommes, qui se sont picquez d’en remplir
Rome
, & d’en divertir le public. L. 12. c. 22.M. S
nombre, encore que SymmachusLib. 6. Ep. 44. croye qu’estant arrivez à
Rome
ils eussent perdu la vigueur & l’avidité qu’i
es bonnes mœurs, qu’on ne l’est sous les yeux du Souverain Pontife, à
Rome
même, « de qui nous avons appris notre Catéchisme
et les conséquences qu’ils en tirent sont les mêmes. On nous objecte
Rome
et ses usages. Ils ne différent point des nôtres.
omédiens. Certains dialogues récités sur des planches, passent donc à
Rome
, comme ailleurs, pour des infamies diaboliques. M
sérée ; qu’on nous oppose, dis-je, l’exemple de quelques Religieux de
Rome
chez qui la coutume, y est-il dit, semble avoir p
endit de monter jamais sur aucun Théâtre ; c’est nous dire assez qu’à
Rome
on est sur cet article plus sévère qu’en France.
ue je veux discuter. J’ai appris dans ce Catéchisme qui nous vient de
Rome
, au rapport de M. de Voltaire, comme dans celui d
ns à Innocent XII. Il y est dit que la Congrégation du Concile tenu à
Rome
renvoya les Comédiens ; que dans le grand Jubilé
n d’une Pièce sérieuse, vous croyez, dites-vous, aller à Athènes ou à
Rome
: vous ne trouvez en votre chemin que Grecs et Ro
n qui surprenne. On a vu par mes soins en Vers doux et pompeux Ce que
Rome
et la Grèce ont eu de plus fameux : Et j’ai même
’est-il point de Grand homme Si tu ne le choisis dans Athènes ou dans
Rome
? Et depuis si longtemps que la France a des Rois
ille, Rouen, Auxerre, Dijon et Grenoble n’ont rien de si héroïque que
Rome
, Albe, Carthage, Numante, Athènes et Corinthe. Pa
s la corruption des mœurs n’y règne pas moins que sur les Théâtres de
Rome
et d’Athènes. La plus grande partie de tout ce qu
iquer. En effet, quelle peut être l’origine des courses de Chevaux à
Rome
, à Florence, dans les deux Siciles et dans la Lom
, dont le son n’était jamais naturel sur les Théâtres d’Athènes et de
Rome
; car il fallait la proportionner à la figure agr
’ITALIEET DE HOLLANDE Par M. l’Abbé COYER, des Académies de Nancy, de
Rome
et de Londres TOME DEUXIEME A PARISChez la Veuve
s dont la plus peuplée est bien au-dessous de la population de Paris.
Rome
a cinq à six théâtres ; Naples, Milan, Venise, au
vaient des appuis dans tous les Etats de la chrétienté, où la cour de
Rome
compte des milliers d’ecclésiastiques qu’on peut
ement de l’ancien clergé de France, qui va suivre, combien la cour de
Rome
avait de zélés serviteurs dans le royaume, avant
nt en conformité avec la conduite des papes à l’égard des comédiens à
Rome
et en Italie. Il résulta de ce nouvel ordre des c
lement une profession dans l’Etat. Il en résulte que, non seulement à
Rome
et en Italie, mais encore dans tous les autres Et
t-à-fait opposée à l’équité & à la sagesse du Sénat, on faisoit à
Rome
une procédure très-longue & très-minutieuse,
amp; le seul coupable du crime de sa fille. On faisoit à même temps à
Rome
le procès au séducteur de la Vestale, les mêmes p
-opulentes, & de leur propre bien, étant des premieres maisons de
Rome
, & des dons immenses qu’on leur faisoit, &
at, composé de cinq cents Sénateurs dispersés dans l’immense ville de
Rome
, pendant la nuit, dans l’espace d’une heure ? Le
s les histoires nous apprennent que la punition d’une Vestale étoit à
Rome
un des plus grands événemens. Toute la ville étoi
mpus sceleratus. Ce convoi attiroit dans les places & les rues de
Rome
un peuple innombrable, comme les enterremens sole
de Prêtresses, établi depuis long-temps à Albe avant la fondation de
Rome
, y fut introduit par Numa Pompilius, qui lui donn
l’état de Vestale étoit l’état le plus doux & le plus brillant de
Rome
. Quelle idée cependant donne-t-on du mariage, pou
aux Ordinations des Evêques. On en peut juger par ce qui se faisait à
Rome
, selon ce qu’on en apprend d’un Livre du VIII. Si
l’Election pour être mis et conservé dans les Archives de l’Eglise de
Rome
. On y parle à la vérité de consolation et de joie
tacles, ch. 1. 1re objection, ou 1re excuse. Le théâtre toléré à
Rome
. Si les spectacles sont si pernicieux, nous d
disent les partisans du théâtre, pourquoi le Pape les souffre-t-il à
Rome
? Nous répondrons que si les théâtres sont toléré
ffre-t-il à Rome ? Nous répondrons que si les théâtres sont tolérés à
Rome
ils n’en sont pas pour cela justifiés. En 1696 le
e Pape Innocent XII fit démolir le premier théâtre stable et public à
Rome
. En 1748 Benoît XIV, grand Pontife, déclara authe
nous citent la tolérance du souverain Pontife à l’égard du théâtre de
Rome
, comme si le saint Père ne réprouvait pas les spe
uoi n’ajoutent-ils pas que le saint Père fait surveiller le théâtre à
Rome
; qu’il y existe une censure pour les pièces et p
e pour les pièces et pour le costumes. — Qu’on mette partout, comme à
Rome
, le théâtre sous la surveillance ecclésiastique e
La réponse a été faite dans une excellente dissertation, qui a paru à
Rome
du temps de Benoît XIV. La voici : les personnes
l’immoralité ; le fléau de la société et des familles. On le tolère à
Rome
comme un mal nécessaire, mais on le surveille afi
omme la source de tous les désordres. L’an 400. après la Fondation de
Rome
, les Censeurs proposèrent au Sénat de faire const
ue Scipion ne s’était pas trompé, et l’établissement des spectacles à
Rome
fut l’époque du luxe et de la mollesse, qui corro
sciple d'abord, et ensuite ami de saint Augustin. Etudiant le Droit à
Rome
, quelques-uns de ses condisciples lui proposèrent
la Nation pour qui elles ont été faites. Les Jeux scéniques eurent à
Rome
la même origine que chez les Grecs. L’impromptu &
y devinrent plus licencieux. Ce fut vers l’an 391 de la fondation de
Rome
, sous le Consulat de Sulpicius Pedicus & de C
uis affranchi par son maître, dont il avoit élevé les enfans, porta à
Rome
la connoissance du Poëme dramatique10. Ce fut l’a
onnoissance du Poëme dramatique10. Ce fut l’an 514 de la fondation de
Rome
, cent soixante ans après la mort de Sophocle, &am
er l’impromptu & l’ébauche de la nature. Néanmoins la jeunesse de
Rome
ne voulut pas abandonner les satyres ; elle se ré
nom de la Ville d’Atella dans la Campanie, d’où elles avoient passé à
Rome
. Les Atellanes & les Satyres étoient aussi ap
y avoit de beau dans Sophocle, Thespis & Æschyle 11. Il y avoit à
Rome
deux especes de Tragédies ; l’une dont les mœurs,
ains ; elle s’appelloit prætextata, du nom de l’habit que portoient à
Rome
les personnes de condition. La Tragédie ne fit pa
es personnes de condition. La Tragédie ne fit pas de grands progrès à
Rome
. Cependant Horace dit que les Romains avoient dan
nduites par leurs éleves, dont la succession n’a pas été interrompue.
Rome
est pleine de Professeurs qui enseignent cet art
s Jeux scéniques & autres Spectacles avoit toujours été redouté à
Rome
par les personnes sensées qui faisoient dépendre
comme à dessein de les renverser de fond en comble, & de réunir à
Rome
ce qui dans tout l’univers est capable de se corr
qui en feroient une nécessité ? Si l’on ose prostituer les Grands de
Rome
au Théatre, sous prétexte d’exercer l’Eloquence &
e à tout ce qui préparoit sa ruine. On lit dans Ammien Marcellin, que
Rome
ayant été menacée d’une famine, on en fit sortir
rsées y faisoient représenter les jeux qui étoient le plus en usage à
Rome
, c’est-à-dire, ceux du Cirque, ceux des Pantomime
s Milésiennes, les Amours de Daphnis & de Cloé, qui pénétrerent à
Rome
avec les dépouilles de la Grece, y inspirerent au
urent toujours dans la comédie les rôles les plus intéressantsc. « A
Rome
, la comédie fut d’abord un spectacle très grossie
e la lie du peuple qui fréquentaient les cabarets. Il y avait aussi à
Rome
des mimes et des pantomimes qui jouaient toutes s
à l’amusement des grands ! » Tibère se vit même obligé de chasser de
Rome
et de toute l’Italie tous les comédiens et les pa
rsées y faisaient représenter les jeux qui étaient le plus en usage à
Rome
. Mais les attaques successives que l’empire eut à
s Baye jusqu’à Possole, si bien que ces deux Villes de la Campagne de
Rome
, separées par la Mer & par la Nature de trois
e Domitian en donna pareillement une ou deux qui firent grand bruit à
Rome
, & où coururent des curieux de tous les endro
elle de l’Empereur.Dion. in Dom. Cette inhumanité fut funeste à toute
Rome
: & une grande partie de ceux qui s’étoient t
hâtiées, que c’est une coutume reçue dans les pays policés, et même à
Rome
, qui est le centre de la Religion. Leur Confesseu
excommuniés ceux qui montent sur le théâtre. Que si on les souffre à
Rome
et ailleurs, (quoiqu’ils y soient fort différents
tudo. » Cette ville si puissante, si riche, qui a longtemps disputé à
Rome
l’empire du monde, qui a mis Rome à deux doigts d
si riche, qui a longtemps disputé à Rome l’empire du monde, qui a mis
Rome
à deux doigts de sa perte, qu’à peine Rome a pu v
empire du monde, qui a mis Rome à deux doigts de sa perte, qu’à peine
Rome
a pu vaincre après trois grandes guerres, est auj
urs a laissé monter les Chevaliers et les Sénateurs sur le théâtre de
Rome
, ce désordre n’a jamais passé à l’armée. Une ordo
mpereur Caligula en était bien persuadé, et savait bien en convaincre
Rome
. On le voyait jusque sur le théâtre faire aux Act
lus galant ; on faisoit meilleure chere chez lui, qu’en aucun lieu de
Rome
. Mais ce qui attiroit le plus de gens chez le Car
lui des concerts, & sa maison devint le plus curieux spectacle de
Rome
. Le fameux Machiavel avoit singulierement le rale
Cardinal en fut si charmé, que depuis étant Pape il fit transporter à
Rome
la décoration du théatre & les habits, &
que, un homme tel que Machiavel, avoir fait transporter de Florence à
Rome
un théatre, & des Acteurs pour y donner la co
ablir Surintendant de la musique, & chef de tous les Musiciens de
Rome
; & au poëte Burabassi, jusqu’à le faire entr
e ; & au poëte Burabassi, jusqu’à le faire entre en triomphe dans
Rome
, monté sur un Elephannt ; & inviter tous les
Lettres prétend que cette piéce de Machiavel que Leon fit réprésenter
Rome
est licencieuse & impie, se mocquant des Sain
delà elle s’est repandue dans les Gaules & les Espagnes. C’est à
Rome
que les spectacles ont été portés à un plus grand
que l’usage des masques vient des anciens Attellanes qu’on jouoient à
Rome
, toujours en masques ; c’étoient des vraies farce
il est vrai que toutes les pieces de théatre se jouoient en masque à
Rome
, comme nous l’avons dit ailleurs, & que l’usa
’antiquité & celle de la Réligion ; toutes les deux sont fondées.
Rome
fut la maîtresse du monde, elle est aujourd’hui l
Duc de Saint-) Réfutation d’une anecdote relative à son Ambassade de
Rome
, b, 232 Agrippa (Corneille) Sa réflexion sur la
omment il a caractérisé Tite-Live, b, 25 Andronicus (Livius) porta à
Rome
la connoissance du Poëme dramatique, b, 26 Andre
age d’Italie, b, 234. Son indiscrétion à l’occasion des Spectacles de
Rome
, b, 236 Cratinus. Poëte de la vieille Comédie, b
ées aux Spectacles, b, 491 Diomedes. Sur les différentes Comédies de
Rome
, b, 31 Discours sur la Comédie, b, 148 Disserta
s Papes, 518. Sa réflexion judicieuse sur la tolérance des Théatres à
Rome
, b, 235, 232. Effets attribués à la lecture de Pl
1. Corruption de là Comédie chez les Romains, 23. Quand on commença à
Rome
à s’occuper de la Littérature des Grecs, 27. Son
n (le Cardinal de), b, 180 Médicis (Laurent de). Idée qu’il avoit de
Rome
, b, 233 Mercier. Idée de son Essai sur l’Art Dra
395 Néron. Sal passion pour les Spectacles corrompit la jeunesse de
Rome
, a, 491 Neufchâteau (François de). Son opinion s
Anecdote relative aux Spectacles, a, 451. Cité sur les Spectacles de
Rome
, b 228-230 Richard (le P.), Dominicain. Citation
rtu sur les méchans mêmes, 65. Sa critique de la fureur des Grands de
Rome
pour les jeux de Théatre, 491. Influences des Spe
fréquenter les Ecoles des Pantomimes ; b, 33. Opposition des Sages de
Rome
à l’établissement des Spectacles, b, ibid. Siecle
, 25. Sur les Acteurs Atellanes, 30. Idée des mœurs des Magistrats de
Rome
, sous le Consulat de Posthumius Albinus, 374 Tor
héatre, a, 433 Zucchino (Stephani). Ce qu’il pense des Spectacles de
Rome
, b, 227 Zurlauben (le Baron de). Citation d’un O
ux communs en faveur du mariage que personne ne conteste : La Cour de
Rome
, ajoute-t-il, n’a imaginé la loi du célibat ecclé
me d’avancer de pareilles absurdités. Il n’y avoit que six Vestales à
Rome
(il y en a eu jusqu’à quinze), & il y a des m
veulent s’engager souvent malgré les parens). Tout est consterné dans
Rome
, les Magistrats & le peuple prennent le deuil
t les Rois des Romains. P. 82. Je n’ai garde de confondre la Cour de
Rome
(Cardinaux, Prélats, &c.) avec le Saint Siège
u Pape, ait fait assassiner aucun Roi. Henri IV étoit réconcilié avec
Rome
quand on attenta à ses jours ; Henri III n’avoit
ivi les fausses idées de son siecle sur les prétentions de la Cour de
Rome
, il ne faut pas plus lui en faire un crime qu’aux
l temps tous les Papes furent François. La France gouverna la Cour de
Rome
. Est-ce bien payer le zèle du plus déclaré partis
it-il, qui s’introduisit en France par notre commerce avec la Cour de
Rome
sous Clément V, pullulla merveilleusement, &
ntérieurs à Clément V. Le grand commerce de la France avec la Cour de
Rome
a commencé avec la seconde race, par l’élévation
ois, de S. Louis, que du temps de Clément V. Bien loin que la Cour de
Rome
ait formé la chicane Françoise, c’est plutôt la F
ne comprenaient point les Comédies ni les Tragédies furent établis à
Rome
par l'ordre de leurs Oracles pour obtenir des Die
adjiceretur. »Tit. Liv. l. 6. cette grande sédition qui survint dans
Rome
entre le Sénat et le peuple, et qui fut pacifiée
re les Perses. Quand PosthumiusDionys. Halicar. l. 30. fit célébrer à
Rome
les Jeux du Cirque en l'honneur des grands Dieux,
r. de Spect. ayant écrit que pour remède à la famine dont la Ville de
Rome
se trouva autrefois affligée, on célébra les Jeux
le Théâtre soit plus utile que dangereux, c’est Paris, ou Londres, ou
Rome
, &c. il avertit les Citoyens que tel vice exi
manque du nécessaire n’en prive pas le Sauvage au milieu des forêts.
Rome
avait des fêtes spectaculeuses, dans un temps où
serez-vous à l’exemple cité du Patricien Manilius, exclus du Sénat de
Rome
, pour une caresse honnête, mais faite à sa femme
ent connues chez les Peuples d’Italie longtemps avant la fondation de
Rome
*. Il s’ensuit de-là que les Latins ne tinrent pas
n ouvrant tous les livres, on voit que l’état de Comédien était vil à
Rome
*. Il n’y a qu’une voix pour cela : monsieur Rouss
, que sur l’état où l’on en fesait un métier ; puisque la Jeunesse de
Rome
représentait publiquement, à la fin des grandes P
, les Atellanes, sans deshonneur. Cependant l’on disait communément à
Rome
, au rapport de Tacite, qu’un honnête-homme ne dér
lui. Cependant, ainsi qu’en Grèce, & qu’à Sparte1 en particulier,
Rome
n’avait d’Acteurs que sa propre Jeunesse. C’était
replique, c’est que les Atellanes jouées dans toute l’Italie, puis a
Rome
par la Jeunesse, forment le premier genre de Comé
onnu dans cette contrée. Lorsqu’en 390, selon Tite-Live, on établit à
Rome
des Jeux scéniques en l’honneur des Dieux, pour o
d’abord par les Histers ou Histrions Osques & Tusques, attirés à
Rome
par le Sénat, furent dans la suite imités, sans d
anage. Remarquons bien que tant qu’on en put dire autant du Peuple de
Rome
, l’Italie regarda les Acteurs du même œil que la
opius vivait dans ce temps-la. Après que la Grèce eut subi le joug de
Rome
, de toutes les sciences qui florissaient à Athène
ce qu’ils n’avaient que des Acteurs-citoyens, sont avilis, méprisés à
Rome
, non comme Acteurs, non pas même comme Farceurs o
Philosophie, si cultivée dans la Grèce, ne le fut que médiocrement à
Rome
: après Cicéron, on voit les Sénèques, les Plines
était un art libre a Athènes : il y fut honoré : c’était un métier à
Rome
; il y fut avili : c’est une profession particuli
nouvelle. Distinguons donc : l’ancienne Comédie ne deshonorait pas à
Rome
; elle n’eut que des Acteurs-citoyens : la Comédi
moniens ; mais il s’en fallait bien qu’elles fussent dans le Stade de
Rome
corrompue, couvertes, comme à Sparte ; du voîle d
c’est que la bonne Comédie Grecque, ne fut pas long-temps en usage à
Rome
: dès le temps d’Auguste, on laissa les Pièces de
ssement ; on reconnaît un Peuple poli, léger, qui court se réjouir. A
Rome
, c’était une populace intraitable, qui s’occupait
ore un problème. Dans Athènes, le Citoyen-Acteur était chéri, fêté. A
Rome
, les Comédiens-esclaves étaient le jouet du Peupl
ovençale à Florence, où il avait été appelé : le séjour de la Cour de
Rome
dans le Comtat Vénaissin, acheva de communiquer a
selle. Je continue. Nous avons vu que les Comédiens furent avilis à
Rome
, dès qu’ils cessèrent d’être Citoyens ; nous voyo
e aux Pièces inventées par Thésée. *. L’état de Comédien était vil à
Rome
! Ecoutons des Auteurs Romains. « Histrion, disen
t ses Acteurs. 2. C’est de l’Etrurie que les Spectacles sont venus à
Rome
: quoique je ne cite jamais, dans ce qui est hist
se prouve par les Farces dans le goût de celle de Genest, communes à
Rome
sous Dioclétien. *. Les Anciens, qui écrivaient
nt l’office, ou de recevoir sa part des revenus de l’Eglise. Conc. de
Rome
, an 1059, can. 3 ; même ordonnance, C. de Londres
d’un prêtre que l’on sait certainement avoir une concubine. Conc. de
Rome
, an 1059, can. 3 ; « 9° Défense aux clercs et a
mmes, de porter des habits séculiers ou de grands cheveux. Concile de
Rome
, an 744 et 787 ; « 12° Le saint Concile, jaloux
Auteur Chrétien que dans un Auteur Païen, 21, et suiv. Le Théâtre de
Rome
et le Théâtre d’Athènes bien moins licencieux que
ctacles, 400 Le Théâtre blâmé par les Lois d’Athènes, de Sparte et de
Rome
, 410, et suiv. Par le Code Théodosien, 412 Par l
rai pas ce zéle du P. D. Feijoo pour la sienne, qui lui fait dire que
Rome
n’a produit qu’un Ciceron, au lieu que l’Espagne
s sont des chaînes, & ses regards des liens. Résolu de l’amener à
Rome
avec lui pour l’épouser, afin de tromper le Sénat
à Rome avec lui pour l’épouser, afin de tromper le Sénat, il écrit à
Rome
qu’il amenera Cleopatre pour la faire servir d’or
ervations de l’Abbé Desfontaines, dans celles de Lazarini imprimées à
Rome
en 1743, & dans une Lettre écrite à M. de Vol
digne de votre attention. L’ancien Caton regarda avec un sage mépris
Rome
apprenant les Arts de cette Grece qu’elle avoit v
s tous les pays. Ils sont transmis au général des jésuites résidant à
Rome
. Page 66 De l’influence et de la corruption exerc
e de religion. Page 70 Voyages de l’abbé de La Mennais en Suisse et à
Rome
. Page 71 L’abbé de La Mennais réclame avec humeu
L’abbé Perrin, directeur de l’Opéra, à Paris. Page 138 Des théâtres à
Rome
. Des prêtres et des prélats assistent aux représe
ns qui s’y donnent. Page 139 De la défense qui empêche les actrices à
Rome
de monter sur le théâtre, et veut qu’elles soient
e et qui ont joué eux-mêmes la comédie. Page 191 Théâtres institués à
Rome
, en Italie et en France par des papes et des card
ropres partisans revenus à eux-mêmes. L’an 400, après la fondation de
Rome
, les Censeurs ayant proposé au Sénat de faire con
ins, lorsqu’on alla chercher en Grece des Comédiens pour les amener à
Rome
. On va achever de ruiner , disoient-ils, ce qui
touchant les théâtres, que le traité latin des spectacles, imprimé à
Rome
en 1752, par le célebre Pere Concina, Dominicain.
renons d’ailleurs que le même Pape a diminué le nombre des théâtres à
Rome
. Il faut conclure de tout ce que nous avons dit,
en fait Tite-Live. « Les Jeux Scéniques apportèrent sur le Théâtre de
Rome
environ quatre cents ans après sa fondation des d
e d'aucun Poète Romain. Mais enfin Andronicus donna publiquement dans
Rome
des Fables qu'il jouait lui-même, et dont ces vie
it qu'Ælia Catula, l'une des plus nobles et des plus riches femmes de
Rome
, âgée de quatre-vingts ans monta sur le Théâtre ;
e Paganisme, qu’elle n’est à présent, 78. Tragédies Grecques jouées à
Rome
, 85. Plus honnêtes que ce qu’on voyait dans les T
ré ses pièces de Sophocle, 219 Gélase I. Pape, fait cesser les Jeux à
Rome
, 117 S. Gélasin Comédien, sa conversion et son ma
alons, 244. De Troyes, 245. D’Alet, ibid. de Reims, ibid. d’Auch, 251
Rome
désolée par Totila, 130 Rosimond Comédien, commen
les femmes voyaient les spectacles du troisième portique de même qu’à
Rome
. Outre cela il y avait des places de distinction
temps d’Auguste par lequel nous commençons cette Histoire, on voit à
Rome
trois Théâtres fixes ainsi que le rapportent Suét
e fit élever le premier Théâtre de pierre l’an 699 de la fondation de
Rome
« In hac civitate tribus eodem tempore Theatris v
cellus fit bâtir le second qui fut achevé l’an 743 de la fondation de
Rome
, et Balbus65 éleva en même temps le troisième qui
e temps le troisième qui fut dédié par des jeux solennels l’an 743 de
Rome
, comme le marque Dion au L. 54. Ces Théâtres étai
e désapprouvait pas qu’on sifflât les Acteurs. Car il en bannit un de
Rome
et de toute l’Italie pour avoir osé montrer au do
r d’Antioche nommé Sosibius étant à la suite d’Auguste, vint mourir à
Rome
, et laissa tout son bien à la Ville d Antioche, à
ces mêmes faits de Malela, et les rapporte à l’an 723 de la Ville de
Rome
. Nous nous servirons de ces deux Auteurs pour exp
ctacles, il y fit bâtir un Théâtre74. Il ne changea rien dans ceux de
Rome
, et se contenta de faire dresser des règlements p
voulait être adressé comme un Dieu, et qui avait fait créer Consul de
Rome
son cheval, si une prompte mort n’eût coupé le co
Il commença par Naples, qui était une Ville Grecque81 ; et revenant à
Rome
, il voulut se montrer au Théâtre. Le Sénat pour é
ui les abolit entièrement. Huit ans après la mort de Commode on vit à
Rome
les jeux séculaires l’an de J. C. 204. Les Comédi
u milieu du 3e siècle l’Empereur Philippe pour célébrer l’an mille de
Rome
, donna une infinité de jeux qui n’ont rien de par
à toutes les nations de la terre que cette solennité avait attirées à
Rome
. Il disait qu’il fallait que les jeux célébrés en
ient Maxime Licinien pour Empereur. Peu de temps après il partit pour
Rome
; mais avant que de quitter Antioche, il voulut v
murmurât. Lorsque les jeux se faisaient en mémoire de la fondation de
Rome
, ainsi qu’on en célébra l’an 800 sous Claude, et
nèque en gravité Tacit[e]. L. XI. Annal[es]. ; il avait été Consul de
Rome
l’an 784. Pline le Jeune et Quintilien l’ont loué
xaminons quelles pièces il se représentait depuis que les Chrétiens à
Rome
pouvaient parler contre les spectacles. Nous ne s
ite La Critique du Théâtre Anglais comparé au Théâtre de France et de
Rome
.. Il fallait bien que les Anciens exigeassent de
rum desultores. » On voit cependant que les spectacles continuaient à
Rome
, puisque Eusèbe nous apprend qu’à la mort de Cons
point aucune créance. Il dit que Théodose allant de Constantinople à
Rome
passa par Thessalonique ; que les Soldats ayant f
té, et il n’appelle ces Concerts de Musique, autrefois si fréquents à
Rome
, que le chœur du diable P. 317.. « Cantor pellatu
» Cette Loi qui fut donnée à Constantinople, était également gardée à
Rome
; car en 444, les Fêtes de la fondation de Rome,
it également gardée à Rome ; car en 444, les Fêtes de la fondation de
Rome
, qu’on appelait Palilia, et qui arrivaient le 20.
s Pères. Ainsi ils subsistèrent en Provence, ils subsistèrent aussi à
Rome
sans aucun changement jusqu’au temps du Pape Géla
t quilibet credere quàm clamores. » Enfin sous Justinien, la Ville de
Rome
fut entièrement désolée par Totila, ainsi que Pro
ces ruinés, et depuis ce temps les spectacles cessèrent entièrement à
Rome
. Ils cessèrent de même en Provence dès que les Fr
avait simplement un joueur d’instrument, que Théodoric lui envoya de
Rome
; en cela semblable au plus saint de nos Rois, qu
nt sur les plantes odoriférantes ; il exhorte les jeunes débauchés de
Rome
à fréquenter le Théâtre, qu’il regarde comme l’éc
tués pour honorer les Dieux, et pour le plaisir des hommes ; mais que
Rome
jouissant au dehors d’une paix assurée, eut bient
orsqu’on alla chercher jusqu’en Grèce des Comédiens pour les amener à
Rome
. On va achever de ruiner, disaient-ils, ce qui no
bout de les lui faire abhorrer. Peu de temps après Alipe étant venu à
Rome
, il se laissa entraîner au Théâtre par quelques a
lèges du Roi318. On sait aussi que le saint Pape Pie V. bannissant de
Rome
les plus fameuses Courtisanes, en souffrit quelqu
e XIII. en 1579. Monsieur Bosquet Evêque de Montpellier en apporta de
Rome
une copie en France. On en fit une Traduction Fra
. Elzev. 89. [NDA] « Spartien dit cependant que Trajan ne chassa de
Rome
aucun Comédien, qu’il laissa représenter toute so
d. La Critique du Théâtre Anglais comparé au Théâtre de France et de
Rome
. Traduct[ion]. de M. Coste. Ezech[iel]. c. XVI.
lle l’est de nos jours, la loi de la bienséance étoit assez écoutée à
Rome
, pour ne pas les introduire sur la scène. Comme i
’anéantiroit. Plusieurs Empereurs Romains ont chassé les Comédiens de
Rome
& de l’Italie. Charlemagne, S. Louis les ont
espèce d’Index expurgatorius des pieces de théatre, comme on a fait à
Rome
des livres hérétiques. Sur plus de deux mille pie
un Payen revenoit au monde & alloit à l’opéra, il croiroit être à
Rome
. La licence, la corruption des mœurs y sont les m
énie des peuples : courses de taureaux en Espagne, & de chevaux à
Rome
, combats des bêtes en Angleterre, gladiateurs en
représentations incomparablement plus fréquentés qu’à Athènes & à
Rome
. Sans être soutenu par l’autorité publique, le th
nonobstant cette licence, qui a été sans doute arrachée de la Cour de
Rome
, et qui ne leur a été donnée que comme par contra
ille de Milan, par ses Lettres Apostoliques ; et à défendre même dans
Rome
, comme nous lisons dans la vie de saint Charles,
rien de plus juste, que de se conformer aux règlements de la ville de
Rome
; qui est la capitale de la Religion ; et que l’o
e l’autorité du souverain pontife. Il est en effet incontestable qu’à
Rome
, et dans tous les états d’Italie, l’art théâtral
nos parlements, et enfin par l’approbation des souverains pontifes à
Rome
, chefs de l’église chrétienne, catholique, aposto
n elles se précipitèrent avec rapidité dans la plus affreuse licence.
Rome
& toute l’Italie furent plongées dans la plus
es & pantomimes (les plus excellens Acteurs) portèrent la danse à
Rome
à la plus haute perfection (ce seroit parler plus
furent les principales causes de l’asservissement des Romains (&
Rome
les aimoit !). Les Rois ont toujours sous leur ma
eux plus habiles danseurs qui eussent jamais paru ; tout s’en occupa,
Rome
ne tourna plus ses regards sur le gouvernement qu
la joie, & à négocier tous les commerces galans des Seigneurs de
Rome
. Il ne pouvoit manquer de se faire un nombre infi
elque temps après ; mais le sage Trajan les chassa, & abolit dans
Rome
un spectacle que la licence rendoit intolérable.
’établirent si bien que sous le règne de Constance, où l’on chassa de
Rome
tous les Philosophes, sous prétexte d’une grande
areils amusemens parleroient plus haut que les Loix ; nous avons vu à
Rome
les Censeurs faire souvent abattre les Théâtres ;
ux Divinités des Théâtres. Les personnes graves qui à Athenes & à
Rome
murmurerent contre ces Plaisirs, passerent sans d
e, et que M. Cerci nouveau Vice-Légat reçut d’elle avant de partir de
Rome
les ordres nécessaires pour y remédier. L’on ne p
t lui-même : Et c’est apparemment ce qui l’a fait le plus connaître à
Rome
. Car on peut croire que l’estime que tous les gen
si l’on disoit qu’il fût un tems où cette profession fut respectée à
Rome
, parce que l’Empereur Néron monta sur le théâtre,
tems. De même en parlant des Spectacles des Romains, la jeunesse de
Rome
, dit-il représentoit publiquement à la fin des
ntrer, bien ou ou mal. Passons maintenant dans cette superbe ville de
Rome
, & voyons pourquoi les Comédiens y furent mep
ès que, vainqueurs des Perses & des Grecs, ils firent passer dans
Rome
toutes les richesses de l’Asie. La scène ne fut p
x Jeux de la grande Déesse, la Déesse Cybele, l’an de la fondation de
Rome
587, par ordre des Ediles Fulvie & Gabion cha
ius de Preneste. On voit pourquoi ceux qui montoient sur le théâtre à
Rome
, étoient tenus pour infames ; c’étoient des troup
à Bisance, aujourd’hui Constantinople, & laissé le Pape seul dans
Rome
, cette ville fameuse ne se trouva plus composée a
ent les personnages mêmes de la nation : ils ont dû y être honorés. A
Rome
, au contraire, les Comédiens étoient des troupes
eur l’Illustrissime Evêque de Montpellier, lequel durant son séjour à
Rome
l’avait fidèlement fait transcrire d’un cahier ma
itées. On ne peut exprimer jusqu’à quel point la licence fut portée à
Rome
, sous les derniers Empereurs. On n’accusera pas l
d on est sur des Terres Ennemies. Après la destruction de l’Empire de
Rome
, la Comédie, suivant l’expression de beaucoup d’A
eur ? S. Jérôme tenoit ce goût de Donat, dont il avoit été Disciple à
Rome
, & qui a fait des Commentaires sur Térence &a
omédie. Est-ce, enfin, un faux bruit, ou s’il est vrai que la Cour de
Rome
n’exerce plus contre cette profession la rigueur
l’idolâtrie, & des abominations des derniers tems de l’Empire de
Rome
. Au septieme Siecle, des jeux sacriléges des Icon
aux jeunes gens dans plusieurs collèges ? On a vu des religieuses, à
Rome
, exécuter elles-mêmes la pièce de George Dandin,
son état. La médecine en corps a été réputée infâme, & chassée de
Rome
. Qu’on sçache donc distinguer les temps & les
refusée, s’ils n’ont pas, avant la mort, renoncé à leur profession. A
Rome
, il n’en est pas de même. Alexandre, César, Brutu
l’on aime mieux, assez pervertis, pour pouvoir entendre Brutus &
Rome
sauvée, sans avoir à craindre d’en devenir pires.
en 300 ; d’Oxford, en 1222 ; de Pavie, en 850 ; de Reims, en 813 ; de
Rome
, en 744, 787 et 1059 ; de Salzbourg, en 1420 ; de
sous l’égide de l’autorité des rois et de l’autorité du pape, qui, à
Rome
, n’anathématise pas la profession de comédien. Il
ent, dans leur origine, les Comédies Atellanes qui s’introduisirent à
Rome
, elles y furent reçues avec un applaudissement gé
ominaient dans leur pays d’une manière trop favorable à la licence. A
Rome
, la jeunesse était plongée dans la débauche des C
urut à Florence voir sa maîtresse, d’où il il revint en Allemagne par
Rome
, Venise, &c. promenade fort inutile de quatre
fit un procès sur ses mariages, ils furent poursuivis à Paris & à
Rome
. Cependant il se ligua contre la France avec l’Es
procès d’un autre espece, & le condamna par contumace. Il fuit à
Rome
à la poursuite de son procès sur son mariage, &am
elle eût été reconnue par le Roi & la Reine, & par la Cour de
Rome
. Autre comédie. Une seconde tentative sur le Roya
ce, se montra dans une grande partie de l’Europe, avant de se fixer à
Rome
où elle finit ses jours. Elle vint en France. Lou
pour base les tarifs des évêchés et abbayes, selon la taxe en cour de
Rome
, et qu’il est notoire et avéré, que pour amoindri
plaignaient de leurs parents chrétiens chez Minutius Félix, avocat de
Rome
: Vous ressemblez à des gens de l’autre monde, to
les spectacles, qui leur donnent tant de plaisir. Aujourd’hui même, à
Rome
, on représente publiquement des comédies dans des
un grand mal. On a vu jusqu’à la piece de Georges Dandin, exécutée à
Rome
, par des religieuses, en présence d’une foule d’e
vien, Lactance, Cassiodore, &c. qui, à Constantinople, à Milan, à
Rome
, à Carthage, à Marseille, à Treves, &c. ne pa
, & cueillir les fruits dans leur maturité. Avant la naissance de
Rome
, Les Aborigénes aporterent en Italie les jeux Tro
ouhaiter qu’ils y eussent une place distinguée, comme ils l’avaient à
Rome
dans les premiers temps. Il est vrai que d’abord
plaudit, que l’incognito autorise. En les exposant, comme autrefois à
Rome
, aux yeux du public, dans des places honorables,
te des Sénateurs avec le peuple, c’est l’idée où l’on fut longtemps à
Rome
et où l’on est toujours parmi nous, que le théâtr
édie, la fréquentation du théâtre a tout changé. Il n’y eut d’abord à
Rome
que les captifs et les esclaves condamnés à être
les divisent et produisent les schismes ; nous y verrons l’Eglise de
Rome
déclarant schismatique l’Eglise de Constantinople
imec, cet orgueil comprimé s’est-il relevé dans toute sa hauteur ; et
Rome
a placé son trône à côté de celui d’un roi, un pe
titude ; tous les gouvernements, et aussi le gouvernement temporel de
Rome
, les favorisent ; ils consultent même les effets
flet des innombrables bûchers allumés pour la foi et la domination de
Rome
. A droite le ciel de l’Italie…. Italie ! que nous
alité, et surtout le néant de la prétendue souveraineté du pontife de
Rome
. Parce que les prêtres soumis à sonac souverain é
rands sacrifices. Parce qu’enfin, les scribes et les pharisiens de la
Rome
nouvelle se sont assis sur ce qu’ils appellent la
: c’est aux seules Républiques à qui cet honneur est réservé, c’est à
Rome
, à Athènes, à Lacédémone, à Lucques, à San Marin,
uis que la célèbre Maratti a été admise à l’Académie des Arcadiens de
Rome
, cette Académie n’a plus manqué de Dames qui ont
de sa Majesté le Roi de Prusse, prouve à Berlin comme elle l’a fait à
Rome
dans l’Arcadie, que les femmes peuvent réussir da
e de Bologne, celui de la Poésie, qui l’a fait recevoir dans celle de
Rome
, et qui lui a mérité les suffrages distingués du
strali delle sue vendette. » ed Si ce Sonnet dont le style a paru à
Rome
avoir quelque conformité avec le style de David ;
manquerait pas de vous être suspect. A son défaut, consultez Modène,
Rome
, Bologne, Venise, Vienne, Dresde et Berlin. Vous
ses predications, les croyans licites pour les auoir veuz pratiquer à
Rome
, aux Calendes de Ianuier en l’honneur de Ianus De
rre, de Roüen, de Nantes, & ceux de Constantinople 6. & 8. de
Rome
tenus soubs le Pape Zacarie, de Bragara & Mar
iq. lib.La Déesse des Comediens Polyhynnia se void esleuee en bosse à
Rome
tenãt vn masque à sa dextre, la Comedie de mesmes
ui se vestent en hommes : Le Concile de Braga & le penitentiel de
Rome
leur enioignent de faire penitence durant trois a
esque de Brescia In Catalog. hæresi c. 146. Rodulphus Tung. c. 16., à
Rome
on ieusnoit l’aduent, ie reserue d’en parler plus
es saincts peres ez Conciles de Carthage, d’Afrique, de Tholede 3. de
Rome
tenu soubs Eugene 2. que ie laisse à part pour ve
François : ceux d’Orleans 2. de Chaalon sur Saone 1. de Majence 1. de
Rome
tenu du temps de Clothaire & Louys, & les
auxquels selon Plutarque elle futSymp. l. 5. ajoutée. Et de là vint à
Rome
la coutume dePlut. in inst. puer. donner des Jeux
s la défaite d'AlbinusHerod. lib. 3. in Sever. donna dans la ville de
Rome
tous les Jeux, et nommément ceux du Théâtre. Quan
e les trois quarts parmi elles n’ont point d’honneur. La politesse de
Rome
était toute autre que n’est celle de Londres : le
pendant avec toute la tolérance des Divinités Païennes, le Théâtre de
Rome
et le Théâtre d’Athènes sont de beaucoup moins im
lles de Plaute ensemble. Et pour le trancher net : les prostituées de
Rome
seraient des Vestales à Londres. Secondement. Pou
nier ordre sont trop libres dans leurs paroles. Térence parut lorsque
Rome
était devenue plus polie ; et il se conforme à ce
son fonds personnel, et son goût particulier, il n’ignorait pas qu’à
Rome
on ne violait point impunément les lois de l’honn
et la naïveté de la représentation se terminent là pour l’ordinaire.
Rome
avait d’autres sentiments sur ce point, dont elle
joindre à ce que j’ai recueilli du Théâtre d’Athènes et du Théâtre de
Rome
, les témoignages d’Aristote et de Quintilien, ces
ue d’une autre pièce de Fletcher. Athènes on a banni du Théâtre, et à
Rome
on a hué ceux qui introduisaient sur la Scène des
mane, qui, couvert d’un habit de brocard d’or, dit à l’Ambassadeur de
Rome
: La nature marâtre, en ces affreux climats. Ne
ibenter mergebatur, et miserabili voluptate cæcabatur. » Etant allé à
Rome
étudier le droit, quelques-uns de ses condisciple
dance font naître. Aussi depuis la chute de cette puissante rivale de
Rome
, toute sorte de guerres et de calamités ont désol
ruption était si grande, l’aveuglement si profond, qu’après le sac de
Rome
les amateurs du théâtre, fugitifs, étant venus à
même doctrine. Le ch. 20. fait le portrait de la licence des mœurs de
Rome
, introduite avec le théâtre, inconnue pendant qua
e la comédie publique. On aura beau chercher dans les descriptions de
Rome
et d’Italie, les plus détaillées, même les plus m
parlent que du théâtre Romain, sur lequel le Pape, comme Souverain de
Rome
, pouvait donner des places d’honneur à l’Empereur
théâtre, il montrerait dès le douzième siècle un spectacle régulier à
Rome
et à Venise, tandis que toutes les histoires ne f
her, qui ravagea toute l’Allemagne, l’autre par le sac de la ville de
Rome
par le Connétable de Bourbon et les troupes de Ch
pure politique, comme d’autres maux y sont soufferts, aussi bien qu’à
Rome
même et ailleurs. Au reste on va voir dans les dé
uelques Empereurs, du nombre desquels est Domitien, qui chassèrent de
Rome
tous les Comédiens, comme autant de gens, dont il
outume reçue dans tous les pays les mieux policés, sans même excepter
Rome
, où est le premier Siège de la Religion. Le Confe
thage, d’avoir reçu les Comédiens, que le Roi Alaric avait chassés de
Rome
: et il appelle la Comédie, une peste encore plus
ndre les nations de l'Europe : « On parlait de guerre dans l'ancienne
Rome
, on parle de religion dans la nouvelle, de commer
ilitaires bien différents, Marius, l'un des plus grands Capitaines de
Rome
, Metellus, l'un des plus efféminés. Les amis de c
um fabricatas. » Marius au contraire se moquait des petits-maîtres de
Rome
, en disant : On me trouve crasseux et sauvage, pa
[F] Jeu découvert. Sur les Théâtres de
Rome
& d’Athènes, l’expression du visage était int
it un espèce de Théâtre séparé de l’Autel, tel qu’on le voit encore à
Rome
, dans les Eglises de Saint-Clément & de Saint
portèrent au plus haut degré de perfection. Il ne fut plus question à
Rome
, que des Spectacles de Pylade* & de Bathylle.
est principalement consacré au soleil. Il y avait plus d’un cirque à
Rome
. L’auteur parle ici du plus grand de tous ; leque
e ceux du cirque en particulier, il fait entendre qu’il n’était pas à
Rome
, et peut-être qu’il n’y avait jamais été. » J’ai
’une frénésie si coupable, et dont n’eut pas même à rougir l’ancienne
Rome
, encore asservie sous le joug du paganisme. Dans
rivolité. Que dis-je ? nous touchons peut-être au moment de surpasser
Rome
elle-même en frénésie, lorsque, déchue de sa gran
modernes. Mais il ne s’agit point ici d’examiner lequel du peuple de
Rome
ou de celui d’Athènes eut raison d’honorer ou de
Térence se sont appropriés les beautés pour en enrichir le théâtre de
Rome
, les Grecs avaient, il est vrai, une autre opinio
holiques que dans les siècles d’ignorance ou de faiblesse, la cour de
Rome
n’écoutant que sa politique ambitieuse, et non la
ngtemps à l’image de l’homme. De courageux esprits bravant Genève et
Rome
, Ont enfin démasqué le fanatisme affreux, Et qui
e vengeance, n’ont-ils pas plus d’une fois déployé dans les champs de
Rome
les enseignes de la République, et pour trois Déc
e, quelquefois pernicieuse : ce n’était plus le temps des Fabricius ;
Rome
entièrement corrompue ne pouvait plus se gouverne
? En peignant dans les Horace la grandeur et les vertus d’Albe et de
Rome
, Corneille était-il inquiet de l’autorité du Mona
voré de la soif d’asservir dans toute la Grèce la liberté publique. A
Rome
, du consentement tacite de tout le peuple, les dé
e le dit un auteur moderne49, on vit des Plébéiens dans le barreau de
Rome
, on vit aussi les Empereurs même l’honorer de leu
x, ces jurisconsultes profonds, qui nous retracent les beaux jours de
Rome
et d’Athènes, ces génies rares et sublimes, dont
e et mépris celui de l’éloquence, qui rendit si célèbre le barreau de
Rome
et celui d’Athènes, et fait encore aujourd’hui de
abli dans son ancienne et véritable splendeur, pourra, comme celui de
Rome
et d’Athènes, donner un nouvel éclat à celle même
législateurs du monde, ces lois sages et sublimes que l’orgueilleuse
Rome
, après sa défaite, impose encore à l’univers. Ain
er aux douceurs du repos ; et cette armée formidable, devant laquelle
Rome
, à la journée de Cannes, avait elle-même tremblé,
combien de raison et de justice, disait l’abbé Mauri, dont la cour de
Rome
a récompensé les talents précieux, en l’appelant
dans Ammien Marcellin, met le comble à l’étonnement ; il rapporte que
Rome
étant menacée de la famine, on prit la précaution
ns le Royaume ; elle s’en retourna à petit bruit mourir obscurément à
Rome
, où même le Pape qui l’avoit d’abord reçue en tri
u’elle professât le Luthéranisme à Stocholm, la Religion Catholique à
Rome
, elle n’étoit Luthérienne ni Catholique, elle n’a
, dans une Cour très-Catholique ; on n’en étoit pas moins mécontent à
Rome
qu’à Paris, Le Pape en fut choqué, & pensoit
aisser passer l’orage, & revint un peu plus circonspecte mourir à
Rome
. Elle fut très-peu reconnoissante pour ses Apôtre
qui les a effacés. Son goût pour les arts , dit Voltaire, la fixa à
Rome
au milieu d’eux, dans cette vue elle avoit quitté
ux que sa conduite ; elle proposa à Madame de Thianges de la suivre à
Rome
, & de quitter sa famille ; que c’étoit une s
d’une manière fort libertine contre le mariage & les dévotions de
Rome
, elle avoit entendu parler des amours du Roi pour
ques ; elle fut si bien reçue que le Pape Léon X la fit représenter à
Rome
, & honora la Pièce de sa présence ainsi qu’à
rt de chagrin de voir donner le nom d’Œcuménique aux seuls Evêques de
Rome
. Alexandre VI, dont la mémoire doit être en horre
e Arimano. Le Pape invita Adrien à une Fête dans une Vigne voisine de
Rome
; le poison fut préparé dans une bouteille de vin
ou de drap. Ces questions frivoles occupèrent un longtems la Cour de
Rome
; & les disputes furent portées si loin entre
e frappa du glaive de la mort ; son corps fut traîné dans les rues de
Rome
. Calvin, jaloux de Servet, le fait condamner à êt
roubles de Westphalie. Le Légat d’Avignon fréquente les Spectacles. A
Rome
ils sont autorisés, permis ainsi que dans toute l
s ames. 8. N’a-t-on pas vu un Charles-Quint, après le saccagement de
Rome
, exécuté par ses ordres, faire des processions, d
onnage de leurs Pièces ; & s’ils ont été quelquefois maltraités à
Rome
après la mort des tyrans sous lesquels ils avaien
mp;c. 40. Tite Live dit que les Jeux scéniques furent introduits à
Rome
l’an 390, à l’occasion d’une peste qu’il s’agissa
nsuls, Echevins. Personne n’ignore que les Médecins furent chassés de
Rome
comme infâmes : de nos jours leurs Enfans remplis
lise. Pour prouver comme tout change, jettons les yeux sur l’ancienne
Rome
, nous voyons le concubinage n’avoir rien de désho
e reprocher aux Protestans : persécuter est le systême de l’Eglise de
Rome
. » Mais s’il rejette réellement la persécution, &
nt envoyés porter leurs offrandes au Temple d’Apollon de Delphes, que
Rome
avait été prise & saccagée par les Gaulois, i
jours regardé les Acteurs. Dans le Paganisme, demandez aux Auteurs de
Rome
ce qu’on y pensoit d’eux. Vous trouverez une loi
e par l’usage ; mais remarquez que ce fut au temps de la décadence de
Rome
: Loi que Charlemagne depuis renouvella le plus s
si quelqu’un approuve le théâtre, ce ne sera pas ce fameux Orateur de
Rome
, homme d’une prudence si profonde & d’un disc
Bientôt la débauche de la Grece passa en proverbe dans les histoires.
Rome
fut long-temps vertueuse ; ce fut tant qu’elle ig
posé à l’établissement d’un théâtre fixe, assurant que ce seroit pour
Rome
une Cartage plus redoutable que celle qu’on venoi
a constitution. Quelle est l’époque de la décadence de la Grèce et de
Rome
, quelle est la date précise de leur humiliation e
ne craignoient que pour le poli de leur physionomie15, la liberté de
Rome
eût subsisté. Quel expédient employa Néron et les
me eût subsisté. Quel expédient employa Néron et les autres tyrans de
Rome
, pour affermir leur empire odieux ? Ces monstres
ènes, qui ont formé les vainqueurs de Pyrrhus et d’Annibal ; auxquels
Rome
attribuoit toute sa gloire, et auxquels elle la d
Moscou, 1 Mai 1780, p. 64 : de celui de Torredinona, le plus grand de
Rome
, 15 Mars 1781, p. 441. Querelle sanglante dans ce
magnificence que du goût dans cette prodigalité. Elle fut inconnue à
Rome
dans les tems vertueux de la République, & mê
ices du Monomotapa. L’état de Baigneur, Coëffeur étoit considérable à
Rome
, comme il l’est en France ; mais il ne le devint
être surpris, si l’on y trouve les plus grands Maîtres ? Il y avoit à
Rome
des pleureuses à gages, appellées Præficæ, qui da
que citoyen Romain, & de tous ces vils esclaves, qui exerçoient à
Rome
le métier de Friseur, de Calamistreur, que nous h
es de toutes couleurs & de toutes especes, ces folies inconnues à
Rome
pendant plusieurs siécles, ne viennent que du thé
rtie danseroit pendant que l’autre chanteroit. La même chose arriva à
Rome
. Andronicus dansoit & chantoit à la fois l’in
ongue, qui ne nous est pas connue, étoit si sensible à la populace de
Rome
, que quand un Comédien manquoit tant soit peu pau
t & fermé, pousser sa voix comme il la poussoit sur le Théâtre de
Rome
, nos oreilles seroient étourdies. C’est ce qui ar
’est ce qui arriva dans une petite Ville d’Espagne, où un Comédien de
Rome
s’avisa de vouloir donner le Spectacle d’une Trag
du Bos. Les Sujets qu’exécutoient les Pantomimes étant très-connus à
Rome
, ils n’avoient pas besoin, avant que de commencer
ert d’admirer sur nos Théâtres, les fameux héros de la Grece & de
Rome
, si l’élevation de leurs sentiments n’a aucun pou
ge des Théâtresa, qu’ils soient parmi nous, ce que la Censure étoit à
Rome
; qu’un Censeur aussi rigide que recommendable ve
gnac, la France possede toute l’ancienne Grece, & toute la vielle
Rome
; que les Theatres de ces deux vieilles Merveille
ins vieux exquis, & qui ont emporté l’honneur dans les Festins de
Rome
. Ie n’en ayme pas moins le vin nouveau. Si l’un m
ées, peuvent-ils les absoudre, sous prétexte qu’on la joue à Paris, à
Rome
, et ailleurs ? 4°. Un Evêque, un Vicaire Apostoli
e sont pas justifiés en disant que cette Comédie se joue à Paris et à
Rome
; comme si on ne savait pas que l’Eglise condamne
ris n’auroit-on pas eu pour elle, il lui falloit même une dispense de
Rome
pour épouser son beau-frère. Philippe promettoit
; en France animant contre lui la Cour, Henri IV, les Protestans ; à
Rome
se liguant avec Sixte V, malgré son aversion pour
e d’Elisabeth étoit sans exemple ; jamais aucune femme n’a triomphé à
Rome
, celle-ci n’étoit point guerrière, jamais elle ne
eux sexes, nous ne connumes jamais ce double Sacerdoce ; d’ailleurs à
Rome
tous les Prêtres & Prêtresses, jusqu’aux Vest
rai, c’est que la persécution commença dès son couronnement avant que
Rome
eut fait aucune démarche ; elle avoit si bien pré
r eux sa sévérité. C’est une histoire de son règne, ce n’est donc pas
Rome
qui a commencé, c’est Elisabeih qui a forcé Rome
e, ce n’est donc pas Rome qui a commencé, c’est Elisabeih qui a forcé
Rome
à lancer ses foudres, sans doute les Bulles aigri
oit de son père qui fit mourir des milliers des Catholiques, sans que
Rome
eut rien fait contre lui, & de sa nation dont
re dans la bouche des discours plus propres à des héros de l’ancienne
Rome
qu’à des saints et à des martyrs. Le vice s’embel
le caractère des habitants, ne pouvaient manquer de porter à l’excès.
Rome
le leur reproche, Julien l’Apostat dans la satire
omme le mot Histrion est dérivé d’un Hister, qui vint de la Toscane à
Rome
exercer le beau métier, l’utile talent de faire r
s dangereux de la population ! Les Païens faisaient la même remarque.
Rome
païenne ne connaissait pas les vœux monastiques,
rée. On lui épargnait autrefois ces dépenses. Les grands Seigneurs de
Rome
faisaient tous les frais, le peuple n’était pas o
gistrats quand ils entraient en charge. Les plus opulentes maisons de
Rome
s’y ruinaient pour gagner la faveur du peuple, av
34.) s’explique énergiquement là-dessus. « Trois cents Courtisanes à
Rome
, dit-il, sont moins pernicieuses à l’Etat que les
ques aux pierres mêmes, pour me servir de l’expression de l’Eglise de
Rome
, n’a pu arracher de vous une seule marque de doul
ulé, la Critique du Théâtre Anglais comparé au Théâtre d’Athènes ; de
Rome
et de France ; et l’Opinion des Auteurs tant prof
que le grand Mahomet, qui avoit été banni de France, s’étant rendu à
Rome
pour y gagner le Jubilé, a été absous par Notre S
son approbation. Puisse-t-il être excommunié par la premiere poste de
Rome
! Que les honnêtes gens ont peine à vivre ! Il n’
Lett. 102. Quel intérêt si grand peut on me faire prendre au salut de
Rome
sauvée, piece de Voltaire ? Une ville, une républ
composer, à moins qu’on ne fasse précéder les présens. Que faire ? A
Rome
les Auteurs faisoient vivre les Comédiens, en Fra
rtel il était fait dieu.4. Nous savons aussi que Romulus fondateur de
Rome
étant fort âgé,La mort de Romulus. fut mis en piè
t courir le bruit, qu’il était canonisé et mis au nombre des dieux de
Rome
, et qu’il voulait être appeléVois Fest[us] Pompei
t fils de la sœur du Poète Ennius, et qui gagna sa vie premièrement à
Rome
,13. exerçant l’art de peinture, et depuis devenu
s :Crinite au ch. du li. 1. des Poetes Latins. et Accius bourgeois de
Rome
, toutefois né de parents affranchis. Les œuvres d
à qui l’on vantait les magnificences du Cirque et des jeux établis à
Rome
. Les Romains, demanda ce bonhomme, n’ont-ils ni f
e Baronf n’a pas fait moins de plaisir à Paris que celle de Térence à
Rome
. Les scènes que Molière emprunta de Plaute étaien
senté à Auguste que le moyen le plus capable de réformer les mœurs de
Rome
était, non pas d’épurer les théâtres, mais de les
▲