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1 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique.
genres qui ont quelque rapport au Spectacle moderne, voyons combien d’ Actes il est à propos de prescrire à ses Poèmes. Cette
de-là la perte entière du nouveau Spectacle. Ce qu’on entend par Acte & entre-Acte. Avant d’entrer en matière,
. Avant d’entrer en matière, éxaminons ce que signifie le terme d’ Acte & celui d’entre-Acte considéré dans un Drame.
’Acte & celui d’entre-Acte considéré dans un Drame. On entend par Acte un certain nombre de Scènes jointes ensemble ; da
entend par Acte un certain nombre de Scènes jointes ensemble ; dans l’ Acte les Acteurs parlent & agissent aux yeux des S
toujours tendue. Notez bien, qu’il faut autant d’art pour terminer un Acte , que pour faire sortir les Acteurs à la fin d’une
stant de repos. Les Poètes grecs ne se servaient point du terme d’ Acte  ; ils divisaient leurs Comédies & leurs Tragé
et usage, nous ne pouvions nous dispenser de le suivre aussi. Des Actes chez les Latins. Les Latins se sont d’abord s
s Actes chez les Latins. Les Latins se sont d’abord servis du mot Acte pour signifier tout un Drame. Ce ne fut qu’après
aient des remarques. Le Vers d’Horace dans lequel il est question des Actes ,16 fait pourtant croire avec raison que ce terme
s Latins connaissant peu, ou ne connaissant point du tout, le terme d’ Acte , devaient ignorer aussi celui d’entre-Acte. Je ne
qu’ils n’avaient aucun terme pour èxprimer ce que nous entendons par Acte & entre-Acte. Pour moi je pense qu’ils mettai
uire des règles du Drame. On n’est point d’accord sur le nombre d’ Actes nécessaires au Poème dramatique. On ne paraît
au Poème dramatique. On ne paraît guères d’accord sur le nombre d’ Actes nécessaires au Drame. Les Italiens réduisent la p
u Drame. Les Italiens réduisent la plus-part de leurs Poèmes en trois Actes . Les Espagnols s’opiniâtrent à les imiter ; les A
n les règles de réduire les Drames en général au nombre fixe de trois Actes . Il prétendait que l’èxposition, l’intrigue &
rigue & le dénouement seraient alors mieux rendus, puisque chaque Acte du Poème leur serait entièrement consacré. Mais j
soit recevable : l’intrigue peut aussi-bien contenir deux & trois Actes qu’un seul. D’ailleurs, il n’est pas toujours vra
tes qu’un seul. D’ailleurs, il n’est pas toujours vrai que le prémier Acte soit nécessaire à l’èxposition ; il suffit quelqu
Français ne sont point éxempts de bisarreries au sujet du nombre des Actes . Je ne sçais par quelle singularité nous prétendo
ingularité nous prétendons qu’une Tragédie n’ait jamais moins de cinq Actes . La règle sévère à laquelle nous l’assujettissons
viennent les dénouemens qui traînent en longueur, & ces cinquième Actes qui ne disent rien d’essentiel, tel que celui des
a hardiesse d’une façon nouvelle, en composant une Tragédie en quatre Actes . La longueur de l’action devrait prescrire ce
une action tragique, on fût libre d’en composer des Drames en quatre Actes , & même en un. On me dira, que les passions q
t jettées les unes sur les autres. Qu’on pourrait faire un sixème Acte . S’il arrivait qu’on ne pût dénouer l’intrigu
S’il arrivait qu’on ne pût dénouer l’intrigue à la fin du cinquième Acte , ou même qu’il fût nécessaire d’instruire le Spec
ensables, je souhaiterais qu’il fût alors permis d’ajouter un sixième Acte . Si Corneille eût pris cette liberté dans le Cid,
x yeux des Spectateurs, qui n’auraient plus rien à désirer. Ce nouvel Acte serait d’ailleurs susceptible de grandes beautés.
devinssent à la fin d’une longueur énorme, il faudrait que le sixième Acte fût l’étendue la plus considérable, & qu’on n
ts couverts. Voici comme il s’èxprime : « Les Grecs distinguaient les Actes par le chant du chœur ; & comme je trouve lie
Drames. On a vu un tems que nous n’ôsions faire des Comédies que d’un Acte & de cinq. La Mothe est le prémier qui se soi
cinq. La Mothe est le prémier qui se soit avisé d’en composer en deux Actes . N’arrêtons jamais les progrès d’un art par des r
t nécessaire que les Acteurs mettent un court intervalle entre chaque Acte  ; qu’ils soient seulement assez de tems pour donn
de la représentation, le Poète aura soin aussi que l’intervalle d’un Acte à l’autre n’éxige pas un tems trop long, qui soit
t empêcher les Spectateurs de trop se distraire dans l’intervalle des Actes  : « n’entendant jamais sortir de l’Orchestre que
nt récités. Les Pièces du nouveau Théâtre n’ont point un nombre d’ Actes fixe. Les Auteurs du nouveau Théâtre jouissen
oderne ont fait paraître tout-à-la-fois sur la Scène des Pièces en un Acte , en deux, en trois ; depuis peu ils ont poussé ju
jusqu’à quatre : il ne leur manque plus que d’atteindre jusqu’à cinq Actes , pour se vanter d’avoir donné une mesure de plais
ent bien s’élever d’une aîle rapide jusqu’à la hauteur infinie de six Actes , où jamais n’atteignit l’esprit humain. Cependant
ndant il est de la dernière importance de savoir au juste à combien d’ Actes l’Opéra-Bouffon & la Comédie-mêlée-d’Ariettes
ue ; à peine en serait-ce assez de leur laisser le champ vaste de six Actes . Mais de profondes réfléxions m’ont conduites à p
sauraient rire qu’un instant. Les parodies sont presque toutes en un Acte  ; pourquoi ? la raison en est simple ; leurs Aute
ne faut donner aux Pièces de notre Théâtre favori que l’étendue d’un Acte . Quand le sujet que vous traitez s’agrandit sous
es différentes parties demandent un champ vaste, alors composez trois Actes . Voilà, selon moi, la longueur la plus considérab
une Pièce qu’on applaudit tous les jours, quoiqu’elle soit en quatre Actes  ? son succès si bien mérité prouve que vous êtes
héâtre n’ont-ils pas de peine à prendre, lorsqu’ils contiennent trois Actes  ? Une Nation peut aimer de jolis riens ; mais ell
se me demander maintenant, si l’on ferait bien de donner jusqu’à cinq Actes aux Opéras-Bouffons, ou à la Comédie-mêlée-d’Arie
Spectateurs, malgré l’éxcellence de leur musique : retranchez-en deux Actes , vous en ferez des Ouvrages charmans. 16. Nev
2 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre V. De la Musique ancienne & moderne, & des chœurs. De la Musique récitative & à plusieurs parties. » pp. 80-93
es sens, & dispose l’ame aux charmes de la Poésie. Dans les entre actes , elle cause une variété nécessaire aux bons espri
sée. C’est pour cela que les Anciens avoient partagés leurs Poëmes en actes & en chœurs. Ces derniers soutenoient l’atten
eur en le délassant. Corneille trouve cette maniere de distinguer les actes moins commode que la nôtre. « Car, dit-il, ou l’o
n étoit trop dissipée par la longueur du chant, & lorsqu’un autre acte commençoit, il avoit besoin d’un effort de mémoir
ême tension d’esprit. Ainsi l’auditeur pouvoit sans peine passer de l’ acte au chœur, & de celui-ci à celui-là. Dans la s
eur du chant ; on a besoin d’un effort de mémoire pour se mettre ou l’ acte précédent a laissé. 1°. Si le chant étoit trop lo
bbé d’Aubignac, que les dramatiques se sont servis des intervales des Actes . Car aiant reconnus que le Poëme renfermoit beauc
 ; ils se sont avisés d’employer à cela cet espace, qui distingue les Actes . Si on étoit obligé de faire une Tragédie de quin
uisse arriver au spectateur, c’est que les premieres Scènes de chaque Acte , ne l’affectent que très-foiblement. Il lui faut
s, comme elle l’étoit chez les Anciens, propre aux incidens de chaque Acte  ; & qu’en diminuant notre attention, elle sou
3 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
is l’an 1541. Il s’est contenté de marquer que c’est un Volume où les Actes des Apôtres & l’Apocalypse de Saint Jean ont
nt la I. est intitulée Le prémier volume des Catholiques œuvres & Actes des Apostres redigez en escript par Sainct Luc Ev
esidens. Ce prémier Volume contient en 210. feuillets cinq livres des Actes des Apôtres. Voions le Titre de la II. Partie : l
Titre de la II. Partie : le second volume du Magnificque Mystere des Actes des Apostres continuant la narration de leurs fai
ond Volume contient 165. feuillets, & finit au neuvieme livre des Actes des Apôtres. La III. Partie est l’Apocalypse Sain
s & vrays Chrestiens. Il feroit voulentiers Imprimer le livre des Actes des apostres en cinq ou plusieurs volumes qu’il a
t, & Leonard Chollet, Maistres & Entrepreneurs du mystere des Actes des Apostres à Paris cette année là. La Cour ordo
atre Entrepreneurs ne pourroient faire imprimer le mystere des dicts Actes des Apostres par autres que par ceulx qui ont eu
nsi que je puis qualifier l’expédient qu’on raconte Premier Livre des Actes des Apôtres, folio 3.  : Baillez les festus prep
ice » De ces coquins donne bien la notice, &c. Prémier Livre des Actes des Apôtres, folio 5. . » Satan répond. » De to
toit magicien » Le plus grand qui fust jusqua Romme Prémier Livre des Actes des Apostres, folio 8. verso. .” L’Interrogation
. Il faloit mettre dans ses Ragguagli di Parnasso. Premier Livre des Actes des Apôtres, folio 3. Là même. Là même, folio 3.
à même. Là même, folio 3. verso. Là même, folio 4. Prémier Livre des Actes des Apôtres, folio 5. Là même, folio 5. verso.
e des deux Apôtres Pierre & Jean emprisonnez. Prémier Livre des Actes des Apostres, folio 8. verso. Là même, folio 8.
4 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
e procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-1
rd Choblet, Jean Louvetd, maîtres entrepreneurs du Jeu et mystère des Actes des Apôtres naguère exécuté en cette ville de Par
t à verge, un tapissierv et autres semblables, qui ont fait jouer les Actes des Apôtres, en iceux commis plusieurs fautes tan
ajouter plusieurs choses apocryphes, quoi que soient non contenues ès Actes des Apôtres, et fait durer trois ou quatre journé
les se font par théologiens gens doctes et de savoir, que ne sont les actes ou représentations qu’on appelle jeux, que font g
’ils n’entendent ce qu’ils font ni ce qu’ils disent, représentant des actes des apôtres du vieil testament et autres semblabl
furent instruits ni exercés en théâtres et lieux publics à faire tels actes , et davantage n’ont langue diserte, ni langage pr
ettre et délivrer, de leur gain et deniers procédant desdits jeux des Actes des Apôtres, la somme de huit cents livres parisi
énéral du Roi pour le regard des maîtres entrepreneurs du Mystère des Actes des Apôtres, mais seulement à charge pour les nou
, et pour le rapport qui lui a été fait de l’exécution du Mystère des Actes des Apôtres, et averti qu’il ferait bon voir la r
l il ne pourrait subvenir aux frais nécessaires pour la grandeur de l’ acte et magnificence qu’il y fallait garder, associe a
on pourrait faire, prennent avec eux un des maîtres entrepreneurs des Actes des Apôtres pour les instruire de ce qu’il leur c
eu de scandales ni mauvaises assemblées aux Mystères de la Passion et Actes des Apôtres. Et quant aux aumônes, elles se refro
vouloir. Interpellé Ryant s’il voulait rien dire pour les maîtres des Actes des Apôtres, a dit qu’il y en a un ou deux présen
e pas la situation officielle (seuls les entrepreneurs du Mystère des Actes des Apôtres comparaissent) mais la situation réel
ois Pourtrain (voir supra, n. 22), qui doit être cet entrepreneur des Actes des Apôtres que l’équipe du Viel Testament a recr
le spectacle et marqué son intérêt pour le mystère joué en 1541, les Actes des Apôtres. bd. [NDE] Chacun des maîtres est re
it., n. 62). Curieusement, il ne représente pas les entrepreneurs des Actes des Apôtres, convoqués par le Parlement, mais ceu
5 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
des Histoires Saintes, telles que sont, par exemple, la Passion, les Actes des Apôtres, et autres semblables : C’est pourquo
s sur ce même sujet. Ces Comédiens ayant entrepris de représenter les Actes des Apôtres en 1541. M. l’Avocat Général témoigna
Rien n’est si scandaleux, par exemple, que la cinquième Scène du II. Acte de l’Ecole des Femmes. Mais descendons au détail
rs, en entendant dire : « Ce qui me charme en vous, Femmes savantes Acte V. Scene I. Ce sont vos beaux attraits, vos yeux
, qui parle ici, « Hélas : très volontiers. Et puisqu’il est ainsi ; Acte II. Scene V Il peut tant qu’il voudra me venir v
tui. » Gen. 3. 16. « Ainsi c’est une chose infâme, Femmes Savantes. Acte II. Scen. IX. Qu’un mari soit soumis au pouvoir
lique établit. « Il faut que des maris soient toujours complaisants, Acte I. Scene II. Jusques à leur laisser et mouches e
x De se voir le mari de ces femmes de bien,Dans l’Ecole des Femmes. Acte II. Sc. VIII. « Dont la mauvaise humeur fait un
 » Pour peu que l’on s’oppose à ce que veut sa tête, Femmes Savantes. Acte . II. Scen. IX. « L’on en a pour huit jours d’eff
mie. » « Non, je ne pense pas que Satan en personne Ecole des Maris Acte V. Scen. IX. Puisse être si méchant qu’une telle
nde. » « Tout le monde connaît leur imperfection. Ecole des Femmes. Acte V. Scene IV. Ce n’est qu’extravagance et qu’indi
s soins défiants, les verrous et les grilles,Dans l’Ecole des Femmes. Acte III. Ne font point les vertus des femmes et des
Imaginaire. Act. 11. Sce. Atys p. 29. Ibidem p. 3. Femmes savantes Acte V. Scene I. Acte II. Scene V Femme Savantes. F
 11. Sce. Atys p. 29. Ibidem p. 3. Femmes savantes Acte V. Scene I. Acte II. Scene V Femme Savantes. Femmes Savantes. A
Acte V. Scene I. Acte II. Scene V Femme Savantes. Femmes Savantes. Acte II. Scen. IX. Acte I. Scene II. C’est Ariste qui
te II. Scene V Femme Savantes. Femmes Savantes. Acte II. Scen. IX. Acte I. Scene II. C’est Ariste qui parle. Dans l’Ecole
X. Acte I. Scene II. C’est Ariste qui parle. Dans l’Ecole des Femmes. Acte II. Sc. VIII. Femmes Savantes. Acte. II. Scen. I
parle. Dans l’Ecole des Femmes. Acte II. Sc. VIII. Femmes Savantes. Acte . II. Scen. IX. Arnolpha parle. Ecole des Maris A
Femmes Savantes. Acte. II. Scen. IX. Arnolpha parle. Ecole des Maris Acte V. Scen. IX. Sganarelle parle. Ecole des Femmes.
cole des Maris Acte V. Scen. IX. Sganarelle parle. Ecole des Femmes. Acte V. Scene IV. Dans l’Ecole des Femmes. Dans l’Eco
Acte V. Scene IV. Dans l’Ecole des Femmes. Dans l’Ecole des Femmes. Acte III. b. [NDE] Le texte est altéré : «Vous savez
6 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
ie proprement le lieu de l’action, & les différentes parties d’un Acte où l’on voit agir les Acteurs. C’est à tort qu’on
Sans doute quelques Sçavans l’auront mis en usage, ainsi que celui d’ Acte , en le plaçant dans les Drames qu’ils commentaien
ons différentes. On ne parle ici des Sçènes que comme divisions d’ Actes . Je n’entreprens de parler dans ce Chapitre q
ntreprens de parler dans ce Chapitre que des Scènes qui composent les Actes , & non du lieu de l’action. J’ai déja traité
Scènes a été dérangé, on s’en apperçoit particulièrement au quatrième Acte  ; car la Scène six où Démée revient des courses q
fourbe Syre, paraît devoir être plutôt la prémière Scène du cinquième Acte . Au reste, je ne propose mes doutes qu’avec modes
age admirable n’ont guères d’union entr’elles, témoin la Scène 4 de l’ Acte  3 : Chimène sort d’un côté, Rodrigue de l’autre ;
e ne les a pas moins faites. Qu’on a tort de ne pas même lier les Actes les uns-aux-autres. On pousse quelquefois la
arrangement des Scènes, ou des parties du Drame, jusqu’à composer des Actes qui n’ont aucun rapport les uns aux autres ; la P
amp; les Horaces de Corneille, m’en fourniront une preuve. Le dernier Acte de la Tragédie Grecque, ne roule que sur les honn
rs funèbres qu’on prétend refuse au corps d’Ajax ; & le cinquième Acte de la Pièce Française, ne renferme qu’un plaidoye
ique du Théâtre, par d’Aubignac. 30. P. Corneille. 31. Comédie en 5 Actes , par M. Cailhava d’Estandouz, jouée en 1766. 32.
7 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
désastres. Les princes doivent donc être toujours en garde contre les actes du clergé, qui seraient attentatoires au pouvoir
de confier au clergé la tenue des registres de l’état civil, pour les actes de mariage, de naissance et de mort. On sait comb
principalement pour faire précéder les cérémonies religieuses, à des actes qui sont purement civils, qui ne doivent avoir qu
ns-nous, si les prêtres devenant maîtres absolus, de l’expédition des actes importants de la vie et de la mort des citoyens,
r les mariages, et à tracasser les citoyens pour l’enregistrement des actes de naissance ; que de vexations inquisitoriales,
u point de commettre la faute politique, d’exiger des citoyens, que l’ acte religieux précède l’acte civil, pour le mariage,
aute politique, d’exiger des citoyens, que l’acte religieux précède l’ acte civil, pour le mariage, et que les actes de naiss
ue l’acte religieux précède l’acte civil, pour le mariage, et que les actes de naissance et de mort soient enregistrés par de
rmant une espèce de magistrature séculière, chargée d’enregistrer les actes de mariage, de naissance et de mort, et dans le m
mariage, de naissance et de mort, et dans le mariage, d’exiger que l’ acte religieux ou sacrement précède l’acte civil ; 3° 
dans le mariage, d’exiger que l’acte religieux ou sacrement précède l’ acte civil ; 3° d’adopter de nouvelles mesures, soit p
8 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre X. Des Incidens & des Episodes. » pp. 159-164
êmes assez de force pour conduire une action simple jusq’au cinquiéme Acte , la remplissent d’épisodes, & d’incidens mal
onne. Sur un faux avis, donné à dessein par Zaraès à la fin du second Acte , Amœnophis envoye en Arabie, une armée contre les
s pieds & s’enfuit. L’armée déjà bien éloignée à la fin du second Acte , est rappellée au commencement du troisieme, en c
ussi promptement que l’Armée étoit partie & revenue. Au quatriéme Acte , Zaraès, toujours sous le nom d’Iphis, craint d’i
9 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
les Italiens, qui, non seulement font changer la Scène à la fin d’un Acte , mais qui même au milieu d’une Scène, transporten
se trouve guères dans les Pièces du nouveau Théâtre. Ses Drames d’un Acte sont les seuls où nous la rencontrons ordinaireme
ent. On dirait qu’il lui soit impossible de s’étendre au delà de deux Actes sans contredire toutes les règles. La Scène du Ma
Maréchal-ferrant ne change point ; mais éxaminez ses Drames en trois Actes , & vous la verrez varier plusieurs fois. Le D
é. La suite n’est pas marquée avec moins de clarté, puisqu’au dernier Acte , il est dit que la pluspart des Acteurs viennent
e défie qu’on puisse me citer une seule de ses Pièces, sur-tout en un Acte , ou elle aille jusqu’aux limites prescrits par Ar
u’on amène les événements & les passions : il faut que le prémier Acte d’un Drame offre une idée parfaite de ce qui doit
ne suite de ce qu’on a vû & de ce qu’on a entendu dans le prémier Acte  ? En un mot, les événemens d’un Poème bien fait,
aître doivent tous tirer leur source de ce qui s’est passé au prémier Acte , & de l’action principale, qui ne peut être u
10 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
fidèle de l’exposition de ce Poéme. Les Interlocuteurs de ce premier Acte , sont enveloppés d’un nuage épais, qui laisse ent
& pour la dignité du Soudan. Voilà donc trois personnages de cet acte , dont deux sont principaux, qui ne savent ni ce q
ge d’un coup d’œil, qui n’avoit rien que de naturel. Voilà le premier acte de la Tragédie de Zaïre, où les personnages sont
auteurs, font plus : ils en prescrivent à l’art lui-même. Le premier acte , selon eux, (nous en avons entendu qui raisonnoie
ne ou deux Scènes, s’il lui est presque impossible de lier le premier Acte au second, sans un commencement de nœud, tant pis
ieux, dans le tableau exact que nous esquisserons ailleurs du dernier Acte d’Hypermnestre. Il nous reste à parler des choses
malheureux Prince se crêve les yeux, ce qui occupe tout le cinquieme Acte , feroit soulever la délicatesse de nos dames, don
11 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire. »
ous ce qui concerne le genre de ces deux espèces de Drames. Combien d’ Actes doivent avoir les Poèmes du nouveau Spectacle ; &
nt avoir les Poèmes du nouveau Spectacle ; & Dissertation sur les Actes en général. On finit par éxaminer d’où naissent l
12 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
on digne cortège, de soins que les lois paient de la corde ; […] Faux acte , supposition, vol, fourberie, mensonge, inhumanit
endra jamais aussi maladroitement que le Légataire pour faire un faux acte  : Crispin et Lisette sont des fourbes trop absurd
orge Dandin, ou Le mari confondu, Paris, J. Ribou, 1669 [repr. 1668], Acte I, scène 1, p. 1-2. cq. [NDE] J.-J. Rousseau, o
courtisée par Clitandre. cs. [NDE] Molière, George Dandin, op. cit., Acte III, scène 8, p. 155. ct. [NDE] Horace, op.cit
cw. [NDE] L. de Boissy, La Vie est un songe, Paris, P. Prault, 1732, Acte II, scène 4, p. 31-32. cx. [NDE] Thomas Corneil
dd. NDE Molière, Le Misanthrope, Paris, J. Ribou, 1667 [repr. 1666], Acte I, scène 1, p. 6. Dancourt, qui reprend scrupuleu
seau, op. cit., p. 62. df. [NDE] Molière, Le Misanthrope, op. cit., Acte I, scène 2, p. 18. dg. [NDE] J.-J. Rousseau, o
e Chapelain », p 404. dk. [NDE] Molière, Le Misanthrope, op. cit., Acte I, scène 2, p. 15. dl. [NDE] J.-J. Rousseau, op
seau, op. cit., p. 68. dm. [NDE] Molière, Le Misanthrope, op. cit., Acte I, scène 2, p. 17. dn. [NDE] Ibid., Acte II, s
Le Misanthrope, op. cit., Acte I, scène 2, p. 17. dn. [NDE] Ibid., Acte II, scène 6, p. 39. Dancourt cite très approximat
exprès du Roy ne vienne […] » do. [NDE] Ibid. dp. [NDE] Ibid., Acte I, scène 1, p. 8. dq. [NDE] J.-J. Rousseau, op
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
gent l’humanité ! Que la Pastorale ne doit guères avoir plus d’un Acte . Une Pastorale ne doit guères passer la longu
s d’un Acte. Une Pastorale ne doit guères passer la longueur d’un Acte  ; lorsque le sujet l’éxige absolument, elle peut
’à trois tout au plus. Nous en avons pourtant un grand nombre en cinq Actes , & qui, pour comble d’ennui, sont des Comédie
l est donc naturel de n’étendre les bornes de la Pastorale qu’à trois Actes , ainsi que fait très-sagement l’Opéra-sérieux. Co
stinguer dans le Drame champêtre, de ne lui donner que l’étendue d’un Acte  ; s’ils n’ont le secret d’émouvoir fortement les
s n’ont le secret d’émouvoir fortement les Spectateurs, pendant trois Actes . Que la Musique des Pastorales doit être tout
14 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
ement les romans et les pièces de théâtre éloignent l’âme de tous les actes de religion et de piété, mais encore ils tendent,
a mode, l’exemple de grands personnages, etc. ; il est de même de nos actes  : nous sommes sujets à agir contre les plus simpl
règles de la raison et du bon sens, et à nous rendre même coupables d’ actes complètement opposés à la pureté de notre religio
de louange. Un homme ne doit pas penser qu’il n’a aucune part dans un acte de charité publique, parce qu’il n’est que l’un d
l a contribué. Maintenant, je le demande, que devons-nous penser d’un acte qui a pour but d’encourager le mal, soit par notr
devons pas considérer dans quelle proportion nous prenons part à cet acte , et si nous contribuons plus ou moins que des mil
même, et nous considérer comme coupables de tout le mal attaché à cet acte ou provenant de cet acte. « La classe supérieure
comme coupables de tout le mal attaché à cet acte ou provenant de cet acte . « La classe supérieure de la nation a de grands
ns le charme des relations sociales et de la vie domestique, dans des actes de charité et de bienfaisance, enfin, dans le tém
15 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [N] » pp. 431-435
, mais toujours par des Enfans ; qu’il serait à propos que le premier Acte de l’Ambigu fût, par exemple, un rapproché, intel
s les plus intéressantes, on réduise la Pièce à la longueur d’un seul Acte  ; que le second fût une Pièce en un Acte (ou si e
ièce à la longueur d’un seul Acte ; que le second fût une Pièce en un Acte (ou si elle était en plusieurs, réduite comme la
tre des Ariettes ; que le troisième fût un Opéra, une Pastorale en un Acte comme le Devin-de-Village, on réduit, si c’était
16 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
commettent des délits et lorsqu’ils troublent l’ordre social par des actes de fanatisme, il faut que les agents du ministère
ne sacrée des rois. De là naîtraient des pensées, des discours et des actes séditieux ; car le prêtre par sa conduite, semble
rles x n’est pas chrétien, qu’il veut maintenir la Charte, qui est un acte contre la religion, nous ne devons point prier po
l’opinion générale de l’église et des souverains pontifes. En prenant acte de cet aveu, que les jésuites et leurs partisans
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
s en peu de mots. Le Poète aura soin ensuite que les Scènes & les Actes soient bien liés entre-eux ; que les uns & le
l faut que le lieu de la Scène ne change qu’au commencement de chaque Acte . On souffre, on est révolté, lorsqu’au milieu d’u
dité insoutenable. Il est bien plus naturel que dans l’intervale d’un Acte à l’autre, les Acteurs ayent eu le tems de parcou
que celle qu’on a prescrite aux Poèmes simplement récités. Le prémier Acte est en Thessalie dans la ville d’Yolcos. Lycomède
de cette Princesse, suivi d’Hercule, court à la vengeance. Le second Acte se passe dans l’Ile de Scio, qui est située dans
par l’éxemple des Italiens. L’usage a décidé qu’on terminerait chaque Actes des Poèmes lyriques par un Balet ; on risquerait
uir. On peut observer qu’en France, un Balet termine presque tous les Actes des Poèmes lyriques ; c’est-à-dire, que des Danse
ue la Scène n’est jamais vide, & qu’il n’y a point de divisions d’ Actes à l’Opéra des Français ; puisque nous entendons p
upé. Néanmoins nos Poèmes lyriques se divisent en trois & en cinq Actes . Dès que les Acteurs chantans sortent du lieu où
Dès que les Acteurs chantans sortent du lieu où se passe l’action, l’ Acte est censé fini. Nous avons des Opéras que les Bal
i veut que les Pièces de Théâtre ne contiennent tout au plus que cinq Actes , ou cinq divisions. Les Lyriques feront bien de n
servons au sujet des Opéras-Balets, qu’ils sont composés de plusieurs Actes qui n’ont aucun rapport les uns aux autres, puisq
alets des autres sortes de Poèmes lyriques, c’est que dans chacun des Actes qui les composent, on amène ordinairement deux di
n n’est point même obligé de placer une seule Fête dans le cours d’un Acte d’un Opéra-Tragédie. Ai-je besoin de faire observ
ts ensemble. On ajoute à ce terme l’épithète d’héroïques, lorsque les Actes qu’on a réunis contiennent une intrigue relevée o
18 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
Auteur du Roi & du Ministre, ou Henri IV. & Sully, Drame en 4 Actes , en Prose, disoit à la tête de cet Ouvrage dans s
sage.) Ce dernier a même encore ses Perfidies à la mode, Comédie cinq Actes en vers, qui doivent être jouées…. quand…. Dieu s
gny à Bordeaux, où l’on représenta Gabrielle d’Estrées, Tragédie en 5 Actes , en vers ; & M. *** à Rouen, où l’on donna le
mp; M. *** à Rouen, où l’on donna le Siége de Rouen, Tragédie en cinq Actes , en vers. A ce sujet le judicieux Auteur du Journ
n lit dans son Discours préliminaire des deux Reines, Drame en quatre actes , en prose, belle édition avec gravures, 1769. « L
19 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
érieurs, ou en èxquissant des caractères ; le Poète à tout le prémier Acte  : Orosmane n’annonce combien il est soupçonneux,
xcès où le portera la jalousie, que dans la dernière Scène du prémier Acte de Zaïre. Mais il ne faut jamais aller au-delà ;
re. Mais il ne faut jamais aller au-delà ; & dans les Pièces d’un Acte , l’èxposition doit être renfermée dans la prémièr
20 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187
e idée. Partageons sa vie en différens drames, & chacun en divers actes . Un bon poëte n’auroit qu’à les remplir, pour com
dialoguer les scenes pour en faire des comédies. Sa Personne. Acte prémier. Son extraction. Et sequitur leviter fil
acha les larmes de tous les spectateurs. Marie avoit de la religion. Acte II. Sa Naissance. L’héroïne Angloise vit le jour
est née, & quel chaste sang a reçu la sainte vierge Elizabeth ! Acte III. Sa Légitimité. Dans la religion Chrétienne,
de Thalie & de Melpomene, il se feroit des scenes intéressantes. Acte  IV. Son Éducation. Elizabeth fut élevée comme les
lé avec Astrée. La débauche a pris sa place ; il est devenu inutile. Acte V. Son Elêvation au trône. Par une révolution rom
mpagne, &c. mais cet objet nous est étranger. Ses Mœurs. Acte premier. Sa Virginité. Cet acte est admirable par
ous est étranger. Ses Mœurs. Acte premier. Sa Virginité. Cet acte est admirable par son comique. Cette qualité de
es Protestans & des Philosophes dans leur plus celebre héroïne ! Acte II. Sa Vanité. Cette femme célebre, soi-disant vi
matieres-là. Comment répondre, sans déplaire à l’une ou à l’autre ? Acte III. Son Luxe. On fait honneur à Elizabeth d’avoi
voir les félicitations. Elle mettoit chaque jour de nouveaux habits. Acte IV. Sa Licence. Il faut bien de la charité , dit
écontentement. On le découvrit enfin. Il fallut en envoyer un autre. Acte V. Son Avarice. Ce vice s’accorde peu avec le fas
mi nos jeunes Seigneurs pour payer les actrices. Ses Amours. Acte premier. Le Comte de Devonshire. Sur vingt Favori
ent des yeux bruns, & au milieu du livre, il les lui fait noirs. Acte II. Le Comte d’Essex. Cet amant d’Elizabeth, qui
e du Comte d’Essex, & jouée avec succès sur le théatre de Paris. Acte III. Le Duc d’Alençon. Ce Prince, quatrieme fils
it que la liberté & le faste, & se moquoit de tout le monde. Acte IV. Ses Amourettes. Sur vingt favoris qu’on a con
prenoit, sans vouloir l’approfondir, pour une partie du cérémonial. Acte V. Henri IV. Quoique ce Prince fut galant, je dou
21 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
’a le droit de contrarier leur législation et leurs institutions. Les actes émanés du souverain, élaborés et proclamés dans l
é de Saint-Laurent, de faire la présentation du corps à l’église. Cet acte de fanatisme a fait naître de nombreuses réflexio
s’il est nécessaire. o. [NDE] Allusion à une réponse de saint Paul, Actes des Apôtres 23,3 : Dieu te frappera, muraille bla
22 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
sur les femmes qui faisoient la provision galante. Ses mariages. Acte premier. Philippe II, Roi d’Espagne. Elisabeth av
des défaites ; mais le caractère perce par-tout même sans nécessité. Acte deuxième. La flotte d’Espagne. Ceci n’est pas un
’orgueil, toute la dissimulation d’une Actrice se brise à cet écueil. Acte III. Dom Carlos. La mort de Dom Carlos, Infant d’
pagne pour la troisième fois, quoique l’Espagne lui eut sauvé la vie. Acte quatrième. Divers mariages. Elle en a refusé jusq
aux Princes par d’autres voies, ridendo dicere verum quid vetat ? Acte cinquième. Mariage désiré & manqué. Quelque M
eurs ennuyés, il falloit laisser tomber la toile. Sa religion. Acte premier. Indifférence pour la Religion. Il est ce
on lui est sacrifiée, l’intérêt est le seul évangile qu’on consulte. Acte deuxième. Religion Anglicane. Quoiqu’Élisabeth pr
de de modestie ; c’est une Actrice qui fait de l’Église un théatre. Acte troisième. Sa Suprématie dans l’Église. Elle en p
e l’Église Anglicane, elle a gouverné absolument son Église, tous les actes ecclésiastiques ont été faits en son nom, & c
uronnée a appellé toute la terre à la représentation de ses comédies. Acte quatrième. La Religion Protestante. Les Ambassade
décoration, c’est une pièce nouvelle, où elle joue le plus beau rôle. Acte V. Persécution des Catholiques. On ne comprend pa
te des ames ne formoient le plus sombre magique. SES ATTENTATS. Acte I. Guerre des Pays-Bas. La révolte des Pays-Bas f
s loges est trop galante pour ne pas applaudir à la première Actrice. Acte II. Tyrannie d’Ecosse. Marie Stuart, Reine d’Écos
des Anglois dans le goût d’Elisabeth, étoit plus grand homme qu’elle. Acte III. La mort de Marie. Cette mort, injuste, cruel
th n’étoit pas sa justiciable, on n’avoit aucun droit sur sa vie. Cet acte condamnoit encore les demandes réitérées que le P
ux qu’Elisabeth. On loua beaucoup Elisabeth, on ne dit rien de Marie. Acte IV. Sa mort. Quand la Reine eut passé soixante an
23 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
st sur-tout choquant lorsque le Théâtre change de face au milieu d’un Acte , par un pouvoir surnaturel, ou lorsqu’un Acteur e
issant. Quelles soient variées, quelles fassent contraste, que chaque Acte ait la sienne particulière ; le Poète sera déclar
beauté du Spectacle aille toujours en augmentant, en sorte que chaque Acte ait sa décoration particulière, & qui soit ex
24 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
e à cet amour, mais aussi affirmatif qui nous oblige à l’aimer par un acte intérieur, il demande en quel temps ce précepte o
é d’aimer Dieu plus que toutes choses, qui est quand on doit faire un acte de Contrition pour se réconcilier avec Dieu, ce q
Il dit aussi que selon quelques Théologiens on est obligé de faire un acte d’amour de Dieu quand on commence à avoir l’usage
25 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56
Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. Avant q
iculier, qu'ils y étaient présents, et qu'ils les traitaient comme un acte de Religion, les honnêtes femmes, et mêmes les Ve
Théâtre, et tout ce qui s'y disait touchant les faux Dieux, était des actes de révérence : Et cette considération a fait dire
26 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
te cour ordonné contre les prédécesseurs entrepreneurs du Mystère des Actes des Apôtres. Et sauf à ordonner par ladite cour,
ller ». cw. [NDE] C’est la même somme que pour les entrepreneurs des Actes  : 1000 livres tournois valent 800 livres parisis.
27 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIII. Si l’on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. » pp. 52-57
III de Tours. Conc. Tur. Can. 8. Capitul. Bal. T. 2. .add. 3. c. 71. [ Actes du 3e concile de Tours (813), Canon 8, in Sirmond
III de Tours. Conc. Tur. Can. 8. Capitul. Bal. T. 2. .add. 3. c. 71. [ Actes du 3e concile de Tours (813), Canon 8, in Sirmond
28 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232
silence qui précède les grandes agitations, avant le commencement des Actes , ou seulement quand les entre-scènes laissent un
du Tonnerre, qu’il n’ait pas cet air mesquin, qu’on lui donne dans l’ Acte de Bacchus & Erigone. Lorsque les infernales
’elle veut que Damon prenne pour lui. On bannira de notre Théâtre ces actes d’impudence, c’est un mauvais Comique, que celui
ite en exemple de cette inconvenance sur notre Théâtre, la Scène du I Acte du Glorieux entre Lisimon & Lisette ; une Scè
Spectateurs n’approuveront, ou n’improuveront, qu’à la fin de chaque Acte , ou de la Pièce entière, si elle est dans le nouv
die, on donnera sur les Théâtres Comiques, une de nos Pièces en trois Actes , une de nos petites Comédies en un Acte, qui sero
, une de nos Pièces en trois Actes, une de nos petites Comédies en un Acte , qui seront suivies d’une Pièce mêlée d’Ariettes,
i, je n’entens donner que des à-peu-près. Cependant j’ai vu dans le V Acte de Dardanus, un Parascénica tel que je le demande
ux, & que nous sommes sous des merveilles. *. Le beau Chœur de l’ Acte de l’Amour & Psyché, ceux de Zoroastre, &
es actions que les Héros instruisent *. Celui de la xiv scène du III Acte , & celui de la scène ix du IV. *. La Musique
s sont les sujets de Jephté, de Samson, &c. [L’on ne dit rien des Actes détachés, réunis sous un titre commun ; ils ne fo
’a pas une quantité de Pièces proportionnée, sur-tout de celles en un Acte , pour varier les Représentations : J’avance qu’il
en ne suivant que le Répertoire. J’y trouve 116 Petites Pièces en un Acte  ; 66 en trois Actes : or, si vous ôtez les Vacanc
le Répertoire. J’y trouve 116 Petites Pièces en un Acte ; 66 en trois Actes  : or, si vous ôtez les Vacances de Pâques, &
e. Ce dernier Théâtre est possesseur de 40 Pièces de Déclamation en 3 Actes , de 43 en 1 Acte ; de 45 Comédies-ariettées, 13 P
tre est possesseur de 40 Pièces de Déclamation en 3 Actes, de 43 en 1 Acte  ; de 45 Comédies-ariettées, 13 Parodies, & 54
e sur le Théâtre national 121 Grandes Comédies représentables en cinq Actes , & 177 Tragédies. Les nouveaux Répertoires so
le. J’ai toujours été blessée, lorsqu’Alphonse, à la fin du troisième Acte d’Inès, après la scène la plus vive, s’écrie : Da
i senti la force ; souvent elle exprime, elle peint : l’ouverture des Actes de plusieurs Opéras, pourrait nous fournir des mo
taux actuel des Parts d’Auteur, est le neuvième pour les Pièces en V Actes , & le dix-huitième pour celles en III & e
èces en V Actes, & le dix-huitième pour celles en III & en un Acte .
29 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
ords de Cinna et son incertitude dans la troisième Scène du troisième Acte , rendraient son caractère plus grand et plus dign
lligence qui est entre Cinna et Æmilie. La Scène sixième du quatrième Acte entre Maxime et Æmilie deviendrait par là infinim
nserver. LES HORACES. J’ai toujours regardé les quatre premiers Actes des Horaces, comme un Ouvrage comparable, s’il n’
un autre épisode, qui fournit en même temps la matière d’un cinquième Acte , et perfectionnât cette Pièce de tout point. Dans
cène qui me paraît en avoir besoin. Dans la dernière Scène du premier Acte , Arténice avoue à sa confidente qu’elle aime pass
d’une certaine façon autorisée : et dans la Scène VIIe. du troisième Acte , la Reine lui dit que leur mariage était déjà rés
30 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
les, un moyen presque infaillible seroit par exemple de décomposer un acte de Racine, & de le réduire pour ainsi dire en
e seul vraiment tragique ; l’autre sur la division des drames en cinq actes , qu’il traite de puerilité : il a fait comme Font
e l’essence du poëme théatral ; qu’il n’a de parfait que le cinquieme acte de Rodogune, parce que ce n’est que là qu’on épro
’horreur ; que Voltaire lui meme n’est tragique que dans le quatrieme acte de son Mahomet. Tous ces grands mots, ces blasphê
sans cesser d’être tragiques. Que ce soit une vertu, ou un crime ; un acte héroïque, ou une bassesse ; que ce soit des Rois,
ésentation, & à la lecture. 2°. Mr. Arnaud appelle la division en actes universellement suivie depuis la naissance du thé
C’est pour la commodité du spectateur qu’on fait un partage en divers actes , à peu près de même longueur, comme un sermon don
ur excessive, ou dissipé par de trop fréquentes interruptions, si les actes étoient trop nombreux & trop courts. C’est au
31 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91
] Voltaire, L’Enfant prodigue, Paris, Prault fils, 1738 [repr. 1736], Acte V, sc. 6, p. 98 sq. bh. [NDE] J.-J. Rousseau, o
Ibid., p. 27. bj. [NDE] J. Racine, Phèdre, Paris, C. Barbin, 1677, Acte II, scène 5, p. 34. bk. [NDE] Citation non iden
bk. [NDE] Citation non identifiée. bl. [NDE] J. Racine, op. cit., Acte IV, scène 6, p. 64 : « Détestables flatteurs, pré
] Voltaire, La Mort de César, Amsterdam, [s. é.], 1735 [repr. 1743], Acte II, scène 5, p. 27 : « [Ton pouvoir, tes vertus,
P. J. de Crébillon, Catilina [repr. 1748], Paris, Prault fils, 1749, Acte V, scène dernière, p. 96. bw. [NDE] J.-J. Rouss
isme, ou Mahomet le Prophète, Amsterdam, E. Ledet, 1743 [repr. 1741], Acte V, scène 4, p. 104. ch. [NDE] Ibid., p. 105. I
32 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
ue et notoire, d’une notoriété de fait ou de droit, constatée par des actes publics, et par quels actes ? Ces questions ne se
té de fait ou de droit, constatée par des actes publics, et par quels actes  ? Ces questions ne seront jamais pleinement décid
e direction pastorale pour remédier paternellement au péché, c’est un acte juridique d’un Magistrat, une vraie sentence dans
sacrements, qui n’en est que la distribution éclairée, n’est point un acte judiciaire, ne produit aucun effet civil, n’influ
un acte judiciaire, ne produit aucun effet civil, n’influe sur aucun acte légal, n’exige pas d’absolution. Sa notoriété n’e
dont la dévotion ait imaginé que quand il va à la comédie, il fait un acte de communion ecclésiastique avec le théâtre ? Il
33 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54
non des punitions régulières. Les autres tragiques ne font pas plus d' actes de justice, et sur quels crimes s'exerce-t-elle ?
ttr.  80.) que l'origine de la division des pièces de théâtre en cinq actes vient des cinq sens, et la division en trois acte
de théâtre en cinq actes vient des cinq sens, et la division en trois actes des trois puissances de l'âme. Tous les sens sont
tention, qui a besoin d'interruption et de repos, après la durée d'un acte , et qui ne pourrait se soutenir, sans nous incomm
cte, et qui ne pourrait se soutenir, sans nous incommoder, après cinq actes . Les grandes actions ne se font, ni les grands mo
plaisanterie ou un divertissement qui puisse s'exécuter en un ou deux actes  : toute intrigue, pour se former, se nouer, se dé
34 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
peine en parle-t-on : à l’exception de la première Scène du quatrième Acte , où il n’est question cependant que de l’importan
Tragédie d’Esther dans la forme ordinaire. Si cette Pièce avait cinq Actes , au lieu qu’elle n’en a que trois, elle ne plaira
résentée sur un Théâtre public. Cependant, telle qu’elle est en trois Actes et avec des chœurs en musique, je ne balancerais
le avoir été faite pour un Collège : elle est sans femmes et en trois Actes  ; si M. de Voltaire l’avait voulu, il l’aurait mi
si M. de Voltaire l’avait voulu, il l’aurait mise facilement en cinq Actes  ; je crois même voir très clairement qu’il s’est
35 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
de renier DieuEn la première représentation.[NDE] La scène du pauvre ( acte III, scène 2) a effectivement été en grande parti
fils, 1867). En la première représentation.[NDE] La scène du pauvre ( acte III, scène 2) a effectivement été en grande parti
ations théâtrales), voir Vie d’Auguste, 44 et 45. j. [NDE] Dom Juan, acte III, scène 1. k. [NDE] La référence au Moine bou
l’édition de 1683, et sous une forme différente. m. [NDE] Dom Juan, acte V, scène 6. L’expression a été censurée : elle n’
mière visite de Don Louis et au dialogue avec Sganarelle qui la suit ( acte IV, scènes 4 et 5). Le fauteuil est la réaction d
36 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
aurait dû se concerter sur le mandement qu’il a fulminé, certes, cet acte qui a réveillé tant de passions, tant de craintes
il eût été du devoir de M. l’archevêque de Rouen, avant de lancer son acte fulminatoire, de prendre conseil du ministre qui
on excellence ne l’eût invité ou à modifier, ou à supprimer un pareil acte . Cette conduite de l’archevêque de Rouen prouve,
37 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
s’y prend bien plus joliment : voyez la scène quatrième du troisième acte de cette pièce entre Arlequin et un Seigneur qui
rivaux, La Double Inconstance, Paris, F. Flahault, 1724 [repr. 1723], Acte III, sc. 4, p. 111-113. Qu’en dites-vous Monsie
, Le Joueur, Paris, T. Guillain, 1697 [repr. 1696]. n. [NDE] Ibid., Acte I, sc. 7. o. [NDE] Dancourt écrit « Tout-à-bas 
M. M. Rey, 1755. w. [NDE] L.-F. Delisle de la Drevetière, op. cit., Acte II, scène 4, p. 54-55. x. [NDE] Horace, Epîtres
t. »] ah. [NDE] Molière, Les Femmes savantes, Paris, P. Prome, 1672, Acte II, sc. 7, p. 29-31. ai. [NDE] Molière, Sganare
de La Drevetière, Timon le misanthrope [1722], Paris, Briasson, 1732, Acte II, scène 6, p. 83. La citation exacte est la sui
[NDE] A.-R. Lesage, Le Point d’honneur [repr. 1702], comédie en trois actes et en prose, Paris, Barois fils, 1739. ar. [NDE]
rivaux, La Double Inconstance, Paris, F. Flahault, 1724 [repr. 1723], Acte III, sc. 4, p. 111-113. at. [NDE] B-C. de Fagan
. au. [NDE] J.-B.-L. Gresset, Edouard III, Paris, Prault père, 1740, Acte IV, scène 7, p. 51-52. av. [NDE] Le Duc de Worc
aw. [NDE] L.-F. Delisle de La Drevetière, Arlequin Sauvage, op. cit., Acte II, scène 5, p. 60-67. ax. [NDE] Ibid., p. 64-
38 (1844) Théologie morale « [FRONTISPICE] »
USSET archeveque de reims, etc. TOME PREMIER comprenant le traite des actes humains, de la conscience, des loisdes peches, de
39 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75
ir ; ni qu’ils soient profanés par aucune exaction, ou même par aucun acte de justice ; et nous ordonnons que l’on conserve
ou en assistant aux spectacles un jour de fête, ou en faisant quelque acte de justice, sous prétexte des affaires publiques
40 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
aire finir celles de leur Héros, et de leur Héroïne avec le cinquième acte , et que les Comédiens ne diront que ce qui est da
té conjugale, jointe à la force et à la fermeté Romaine, au troisième Acte de la mort de Pompée, Scène quatrième, lors qu’el
antiquité ; car il la fait parler dans la première Scène du cinquième Acte aux cendres de son mari, en cette manière ; « M
qui l’ont mal protégé. » Et sur la fin de la Scène quatrième du même Acte  : « J’irai, n’en doute point, au partir de ces l
enne, et que la représentation des Comédies et des Tragédies était un Acte de Religion. Il veut prouver ensuite que la repré
41 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE. Du Même au Même » p. 82
LETTRE Du Même au Même Je vous envoie les quatre premiers Actes de ma Tragédie, & je vous enverrai le cinquiè
42 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
nte. Mais rendons-leur justice. Les jeux publics étaient chez eux des actes de religion que leur superstition leur rendait au
vères : on peut voir les PP. Concinna Jacobin, Othonelli Jésuite, les actes de l’Eglise de Milan, par S. Charles, les synodes
43 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153
le Maréchal de Luxembourg au lit de la mort. Dans les quatre premiers actes de cette satyre, coupée en scenes, tout se passe
p; dire chacun son mot satyrique qui le caractèrise. Quoique coupé en actes & en scenes, ce prétendu drame n’a ni nœud, n
conversations quelquefois ingénieuses, toujours malignes. Le dernier acte , où le Maréchal est mort, n’est que l’arrangement
de si beaux vers & un si brillant héroïsme ! Il est fondé sur les actes originaux trouvés à la Tour de Londres, dont l’ex
Normands, François, &c. déposés dans la Tour de Londres. Tous les actes qui y sont contenus sont en latin ; il y en a plu
nisés & mal écrits. Les Anglois même n’y entendent rien. Tous ces actes sont cousus l’un à l’autre, & roulés en forme
ôté des anciens noms, avec les dates, & l’indication du rôle où l’ acte se trouve. On pourra facilement & à peu de fr
aux particuliers de la découverte de plusieurs titres importans, ces actes seront utiles à l’histoire, prouveront l’illustra
e Belloi, intéressé à jeter un voile sur ces faits, constatés par les actes de la Tour de Londres, garde le silence. Mais, di
spectateur le temps de respirer, dans une piece très-courte, où trois actes renferment la matiere de cinq ou six, de faire pa
44 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
à la fin dudit livre. Et sont en nombre CXLI. On jouait de même les Actes des Apôtres. Cet ouvrage, qui contient deux Volum
ux Volumes est intitulé : Le premier Volume des Catholiques œuvres et Actes des Apostres rédigez en escript par Sainct Luc, E
endant lesdits jeux, dit-il, parlant du Mystere de la Passion, et des Actes des Apostres), le commun peuple dès huit à neuf h
45 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
de Dieu. C’est d’après de pareilles prétentions, que résultèrent les actes les plus révoltants de la part des papes et des é
e dévote, qui joue le rôle de notaire pour apposer sa signature à cet acte bizarre ; mais M. de Sénancourt, voulant donner u
46 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
lut s’en faire un honneur, & on donna une démission forcée pour l’ acte le plus héroïque du désintéressement & de la
t, & se détestoient très-sincérement. Enfin on lut à haute voix l’ acte d’abdication qu’elle signa, & que le Prince &
qu’ils vous disent, mais ne faites pas ce qu’ils font. Cependant un acte si héroïque, cette espèce de martyre plus diffici
uoiqu’instruite, convaincue, résolue, sans faire même en secret aucun acte de Catholicité ni dire un seul mot qui laisse ent
taire, à différer l’éclat d’une abjuration, & à ne pas faire des actes extérieurs de la Religion qu’on veut embrasser ;
gion qu’on veut embrasser ; mais aucune raison n’autorise à faire des actes positifs contraires de la Religion qu’on croit fa
itte la couronne pour la foi, & qui en la quittant combat par des actes solennels qu’elle sait mauvais la Religion même p
es paroles. Le célibat volontaire par un principe de Religion, est un acte héroïque, un célibat d’indépendance qui n’est pas
47 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
is le titre n’excuse une Pièce. Qu’était-il besoin d’employer tout un Acte à des amours épisodiques ? Et lequel encore ? Le
it attendre ses personnages. Le Tartuffe ne se montre qu’au troisiéme Acte  ; les deux prémiers ne sont point pour cela de pu
rmés, & un inspecteur des gardes-chasse. La décoration du dernier Acte a peut-être du rapport avec ce que je me figurais
’il lui aurait plû. Il était facile de donner à la Pièce encore trois Actes . Tous les Dénouemens du nouveau Théâtre sont
48 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
faire finir celles de leur Héros et de leur Héroïne avec le cinquième acte , et que les Comédiens ne diront que ce qui est da
é conjugale jointes à la force et à la fermeté Romaines, au troisième Acte de La Mort de Pompée, Scène quatrième, lorsqu'ell
antiquité, car il la fait parler, dans la première scène du cinquième Acte , aux cendres de son mari, en cette manière : « M
qui l'ont mal protégé. » Et sur la fin de la scène quatrième du même Acte  : « J'irai, n'en doute point, au partir de ces l
49 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
Page 111 Le principe pernicieux qui consiste à ne point divulguer les actes d’immoralité des prêtres, est inscrit positivemen
castrats. Page 139 Réflexions sur ce sujet. Page 140 CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies, exercés par quelques prê
Eloge de la police de Paris, à l’occasion des troubles excités par l’ acte de rigorisme de M. le curé de Saint-Laurent. Page
ge 178 Réflexions politiques sur les refus de sépulture. Page 179 Les actes de fanatisme des prêtres, tendent à exciter l’ana
50 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75
s. Ce théatre, qui contient une vingtaine de pieces, la plupart en un acte , est proprement le théatre des femmes ; on auroit
ieces aussi courtes, dont il faudroit deux ou trois pour faire un bon acte , il seroit surprenant qu’on mît des répétitions,
t dans sa Préface de Zéloide. Une Dame lui demanda une tragédie en un acte . Il y rêva beaucoup sans succès : Je me rebutai,
pede in uno. Sur-tout quand on ne veut faire que de petits riens d’un acte même assez court, & dont une bonne partie ne
e des ramassis, de petits divertissemens, des farces, des drames d’un acte  ; c’est une boutique de bijoutier. On a voulu dep
51 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
paroles de Benserade, à la fin duquel on représenta les deux premiers actes de Mélicerte & le Sicilien, ou l’amour peintr
le, étoit de cette troupe. Comme il étoit pauvre, il s’engagea par un acte de sociétè de fournir à sa troupe autant de piece
point à celles des Grecs. Ils ne connoissoient point la division des actes  : ils avoient des chœurs qui prolongeoient &
sé de monologues enchaînés avec art l’un à l’autre ; la fin de chaque acte amene naturellement des fêtes & des danses, &
la guerre, lui demande s’il doit l’éviter, & lorsqu’au cinquieme Acte Iphigénie veut se sauver à la présence d’Achile,
orvege sont encore portés sur des faisceaux d’armes, comme au premier acte , & dans lequel il n’est fait aucune mention d
l n’avoit vû un feu si clair & si beau. (a). Chœur du quatrieme Acte . Epode. (b). Garde de mon trésor Royal, payés c
52 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
ué, et de Jocaste qu’il a épousée. La Tragédie est distribuée en cinq actes  ; chaque acte en scènes, dont le nombre n’est poi
te qu’il a épousée. La Tragédie est distribuée en cinq actes ; chaque acte en scènes, dont le nombre n’est point fixe. Un ac
nq actes ; chaque acte en scènes, dont le nombre n’est point fixe. Un acte est une partie de l’action, qui paraît interrompu
est permis cependant de précipiter le temps dans les intervalles des Actes , c’est-à-dire, dans cette partie de l’action qui
onde dans les Horace de M. de Corneille. On peut omettre le cinquième Acte sans détruire l’action principale ; il renferme l
qui les traversent : Il va ordinairement jusqu’à la fin du quatrième Acte , et dure quelquefois jusqu’à la dernière Scène du
t sur l’esprit du spectateur ; il faut que le Poète dans les premiers Actes le remplisse d’espérance, et d’une certaine joie,
53 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
sujet tragique ne l’est pas beaucoup plus à trouver. Des scènes, des actes à coudre, de beaux vers, qu’est-ce que cela ! l’o
a composé trois ou quatre cens vers, il s’avise de dire que c’est un Acte . Ainsi continuant par cette méthode, il va jusqu’
54 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
cependant à rendre croyable l’amour brutal et emporté qu’on verra aux Actes suivants dans le saint Personnage. Vous pouvez cr
oblige d’y aller pourvoir.   La Fille de la maison commence le second Acte avec son père. Il lui demande si « elle n’est pas
ce qu’ils commencent à croire qu’il ne la hait pas. Et par là finit l’ Acte , qui laisse, comme on voit, dans toutes les règle
». Enfin le discours retombant fort naturellement sur l’aventure de l’ Acte précédent, et sur l’imposture prétendue de Damis
s un lieu qu’il dit ; il y court, et sa femme le suit.   Le cinquième Acte commence par le Mari et le Frère : le premier éto
er de s’écrier « Le pauvre homme ! » comme le Mari faisait au premier Acte touchant le même Panulphe. La Vieille, encore ent
fession ; ce qui n’est pas peu de chose : cet homme, dis-je, y fait l’ acte du monde le plus sanglant, avec toutes les façons
lare, permettez-moi de vous faire remarquer, que l’esprit de tout cet Acte , et son seul effet et but jusqu’ici n’a été que d
ses sujets ; que cela étant, il a d’autorité absolue annulé tous les actes favorables à l’Imposteur, et fera rendre tout ce
on s’aperçoive de les avoir ; mais c’est seulement que l’on fait des actes qui supposent nécessairement qu’on les a ; et c’e
55 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
ement postiche, contraire aux mœurs établies dans les quatre premiers actes de la pièce, et amené seulement pour ne pas bless
3. [NDA] Que l’on compare ces vers si différents, tirés du même rôle, acte IV. scène II. C’est Carlos qui parle…. « Comtes
nne un faux lustre. » Et ceux-ci de la cinquième scène du cinquième acte  : « Eh ! bien, Madame, enfin on connaît ma nais
 » Qu’on lise enfin ceux-ci tirés de la dernière scène du cinquième acte  : Carlos à D. Leonor. « … Il honorait en moi l
56 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
pour se préparer au combat. En tout ce qu’il a dit pour reprendre les actes indignes et les abus qui se sont commis lors que
donné, canon premier, commande qu’on ne fasse ni jeux, ni charmes, ni actes diaboliques. Canon 742e au Concile tenu à Rome, o
oir convenance avec sa simplicité. Mais si elle est selon Aristote un acte continuel, son être est en son action, et ne peut
57 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. » pp. 7-9
conduite éclairée du haut clergé en France. Page 134 Chapitre VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêt
58 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
st pourquoi les Chrétiens ne pouvant pas passer toute leur vie dans l' acte de la prière, sont obligés au moins de se renouve
59 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664
λαβεῖν ἀμείνους ἢ μεθίεναι. » Et Euripide In Alcest. qui fournit ses actes de vaines Images d’Ames pour étonner les Auditeur
60 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
amen est d’une importance d’autant plus grande, que c’est d’après nos actes , comme d’après nos principes, que nous devons êtr
61 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
C'est pourquoi les Chrétiens ne pouvant passer toute leur vie dans l' acte de la prière, sont obligés au moins de se renouve
62 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
la Métromanie j, dans la bouche de Damis, scène septième du troisième acte , sont un argument sans réplique, qu’on peut oppos
. 31. [NDA] Mimes fameuses. 32. [NDA] Louis XII, comédie en trois actes . 33. [NDA] Comédie en quatre actes. 34. [NDA]
NDA] Louis XII, comédie en trois actes. 33. [NDA] Comédie en quatre actes . 34. [NDA] Tragédie burlesque. 35. [NDA] Farc
aîté le second. 45. [NDA] Mélodrame de l’Ambigu. 46. [NDA] Second acte du Moine, resté longtemps en comédie en un acte,
u. 46. [NDA] Second acte du Moine, resté longtemps en comédie en un acte , à la Gaîté. 47. [NDA] Mélodrame de la Gaîté.
63 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
insi dire, de rentrer dans la discussion, au sujet des avanies et des actes d’intolérance, que les comédiens français ont à e
64 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
venin de jalousie en l’Ame, et la fait meurtrière de son mari : et l’ acte commis, pousse Oreste à venger sur Egiste et sa m
65 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335
. Ce défaut est très-commun dans les Tragédies, sur-tout aux prémiers Actes  ; ce qui rend l’éxposition froide, & d’une lo
toujours. Scène tirée de la Tragédie intitulée Ion, par Euripide. Acte V. Scène IV. Creuse. Je vous défends à tous
66 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
s lui rapportions toutes les pensées, toutes les volontés et tous les actes d’une âme qu’il a créée pour sa gloire, et formée
par jurer devant les religieuses. c. [NDE] Le Méchant, comédie en 5 actes écrite Jean-Baptiste Gresset en 1747.
67 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
ral de n’avoir pas lu Baronius, et ce n’est certainement pas dans les actes des conciles qu’on apprend à placer des  batterie
arrêts des parlements, les règlements de police forment une réunion d’ actes publics qui constituent et consacrent, de la mani
68 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
s des gens de Lettres, Tome a, Page 260 Adélaïde (Madame) de France. Actes mémorables de zele pour la Religion, & d’amou
les Tragédies d’Athalie & d’Esther, a, 346 Cazali (le Cardinal). Acte de son zele pour les mœurs, a, 432 Cecchino, b,
avoit été présentée par les Comédiens de Paris, a, 121 Clément XIII. Acte de son zele contre les Spectacles, a, 122 Clémen
501. Ressource de l’homme dans la souffrance, b, 504 Coger (l’Abbé). Acte de son zele pour la Religion, b, 540 Colbert le
b, 227 Contarini (Zacharie), Procurateur de la République de Venise. Acte mémorable de son zele contre les Comédiens, a, 51
s qui leur avoient été présentées par les Comédiens de Paris, a, 121. Acte de zele contre les Spectacles, a, 435 Intendans
é d’). Pensée judicieuse sur Boyer, Poëte dramatique, b, 185 Ondedi. Acte de son zele pour les mœurs relativement aux Jeux
on sur la cause du retard de l’emploi de la Langue Françoise dans les actes publics, b, 47 Waux-hall. Idée de ce Spectacle,
69 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
agique dans Glocester. Si Molière a rendu Tartufe odieux au cinquième Acte , c’est, comme M. Rousseau le remarque, par la né
laisanteries ; la Langue en était Oscique ; elles étaient divisées en Actes  : il y avait de la Musique, de la Pantomime &
ée à voir jouer l’Andrienne de Terence, où l’on pleure dès le premier Acte . Quelque critique, pour condanner ce genre, a osé
70 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
monstres ceux qui l’inspirent, que cet horrible tableau du quatrième acte de Mahomet h, où l’on voit Seïde, égaré par un zè
de Bérénice, où Racine a trouvé l’art de nous intéresser pendant cinq actes avec ces seuls mots : « je vous aime, vous êtes E
amis (repr.1748, publ.1749) sont trois tragédies de Voltaire, en cinq actes et en alexandrins. f. [NDE] C’est en effet ce q
Faites votre devoir, et laissez faire aux dieux. » Corneille, Horace, acte II, scène 8 (repr. 1639, publ. 1641). j. [NDE]
[NDE] Venice Preserv'd or a Plot Discovered (1682), tragédie en cinq actes par le dramaturge anglais Thomas Otway. l. [NDE
p. [NDE] L’Enfant prodigue (repr.1736, publ.1738), comédie en cinq actes de Voltaire. q. [NDE] Original : ris. r. [NDE
atine (1618-1680). y. [NDE] Le Devin du village, est un opéra en un acte , un « intermède », de Rousseau lui-même (il est l
71 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
er ou Sergent sur ce requis, de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis & nécessaires, sans demander autre per
72 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
er notre Huissier ou Sergent de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis et nécessaires, sans demander autre permis
73 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « I. » pp. 6-8
aractère. Ceux que nous proposons ici pour modèle, parlaient dans des actes publics qui étaient vus de tout le monde, et ils
74 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
er ou Sergent sur ce requis, de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis et nécessaires, sans demander autre permis
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
sser les boutiques ouvertes quand la nuit est venue. Ainsi le dernier Acte ne saurait être vu. Je n’en serai point un crime
76 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [H] » pp. 416-417
, dans le même sallon où va délibérer Auguste ; & dans le premier Acte de Brutus, deux Valets de Théâtre viennent enleve
77 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
r notre Huissier ou Sergent de faire pour l’exécution d’icelles, tous actes requis et nécessaires, sans demander autre permis
78 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
longues idilles, qu’il appelle drames, parce qu’elles sont coupées en actes , en scènes, & des petits drames, qu’il appell
’occupe peu des vers. L’Abbé de Voisenon, qui vient de mourir, fit un acte de modération louable & rare dans un poëte. U
s’il ne corrige ses pieces. Elle est insérée dans une comédie en cinq actes en vers, par le Boulanger de Chalussai, intitulée
s’il ne corrige ses pieces. Elle est insérée dans une comédie en cinq actes en vers, par le Boulanger de Chalubai, intitulée,
79 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51
s le regles théatrales. Le principal héros, presque enfant au premier acte , tombe dans la caducité avant la catastrophe. Il
s les plus séduisans. Le Mari Sylphe est une farce en prose, en deux actes , mêlée d’ariettes & de chansons. Elle est pri
oujours le même, il n’a point changé . Quand elle lui vit, au dernier acte , lever la main pour massacrer son enfant, elle se
pouse. Le fonds est très-peu de chose : il a fallu pour fournir trois actes implorer le secours du machiniste, & faire jo
venir une épisode des amours de Bacchus & d’Ariadne, qui tient un acte , par une belle entrée triomphante qu’on leur acco
rd à l’Académie Françoise. Il ne suffit pas d’accoupler des rimes en actes , & d’en revêtir des idées triviales, des imag
80 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Siécle de Louis XV. Chap. 2. » pp. 161-170
loue ? Ses deux grands oracles de la philosophie. Alexandre fit deux actes célebres de générosité envers les vaincus, après
l’éducation de ses éleves, mais son spectacle, qui lui paroissoit un acte de religion, qu’on auroit pû pratiquer à la Trap
81 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
expliqués sur le principe de leur conduite. Natalie, drame en quatre actes , contre le précepte d’Horace, qu’on a refusé, mér
re du complot, en gâtant la fin de la piece. Il y a dans cette piece, Acte  IV, Scene I, un portrait du Sénat Romain, que l’o
ent en l’Etude de Me. Sauvigni, Notaire, & passerent entre eux un acte de société, conformément à l’arrêt du Conseil ; l
t du Conseil ; le règlement de MM. les Gentilshommes fut annexé à cet acte  : le tout fut approuvé, autorisé & confirmé p
elle pour les Comédiens, par l’adoption qu’ils en ont faite dans leur acte de société. Ce règlement contient vingt-deux arti
art. 55. La part d’Auteur sera d’un neuvieme pour les pieces en cinq actes , d’un douzieme pour les pieces en trois actes, d’
pour les pieces en cinq actes, d’un douzieme pour les pieces en trois actes , d’un dix-huitieme pour celles en un , art. 56.
nnes, avez-vous trouvé rien d’aussi hardi que le tableau du quatrieme acte du Tartuffe, que la situation de Georges Dandin,
82 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVII. Accidents arrivés dans les spectacles. » pp. 150-153
ans la salle du spectacle ; la comédie n’était encore qu’au troisième acte , lorsque le tonnerre tomba sur le théâtre par une
83 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75
falloit du Sentiment ; l’Auteur n’a eu que de l’Esprit. Au cinquieme Acte , & c’est où j’en voulois venir, Rodrigue entr
Scènes de cette Tragédie ; celle de Porus & de Taxile au premier Acte  ; au second celle d’Ephestion avec les deux Monar
estion avec les deux Monarques Indiens ; joignons-y tout le cinquieme Acte , dont la dernière Scène est remplie de pompe, &am
il en a fallu beaucoup pour conduire avec chaleur jusqu’au cinquieme Acte , un sujet qui semble expirer à tout moment, faute
l y a même des endroits d’une grande élévation. Ce morceau du premier Acte , De cette nuit, Phénice, as-tu vû la splendeur, j
ur la Puissance de Dieu, l’un dans la bouche de Mardochée, au premier Acte  : Pour dissiper leur ligue il n’a qu’à se montr
les fait tous rentrer…. L’autre dans la bouche d’Esther, au dernier Acte  : Ce Dieu, maître absolu de la terre & des
84 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
en est l’auteur). Chaque volume in-4 contiendra quatre pieces de cinq actes , ou l’équivalent en petites pieces ou discours qu
r essentiel du théatre, sa propre à réformer les mœurs ? Ce seroit un acte de bienfaisance de la nouvelle philosophie, ce se
c’est sacrifier les agrémens de la figure à la verité du caractere . Acte heroïque pour une femme, pour une comédienne, qui
Contes de la Fontaine la matiere de leurs pieces, qu’ils arrangent en actes & en scenes. Ici on a décousu & décomposé
angent en actes & en scenes. Ici on a décousu & décomposé les actes & les scenes pour en faire une narration. L’u
85 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24
ui fait que leur Théâtre ne demeure jamais vuide. Les intervalles des actes n’étant marqués que par des hymnes, où des morali
grès de la Langue Latine, que la coûtume d’employer celle-ci dans nos actes publics, n’a été funeste au François. La perte du
86 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
ient ne pas la voir, cette nouvelle Actrice ; l’encourager ? c’est un acte de générosité : ne doit-on rien à ceux qui s’immo
enthousiasme ; ils redoublèrent même aux deux dernières de ce premier Acte . En rentrant, je fus reçue dans les bras de Madem
87 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
y chantait et dansait, pour marquer ordinairement les intervalles des Actes , ou pour donner quelque grâce extraordinaire au P
88 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
u’il copie, lorsqu’ils ne savent plus que faire pour finir un dernier acte . C’est le nœud Gordien qu’Alexandre coupa quand i
t-cinq ans, & les garçons celui de trente, après avoir fait trois actes de respect : & chez une nation qui a des prin
, contre laquelle on se roidit opiniâtrément, révolte dont on fait un acte héroïque qui forme le nœud de la piece ; & po
vrai-semblance, comme sont tous ceux du Théatre Italien, par de faux actes d’un Notaire affidé, par un changement de nom, un
89 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V. Le but des auteurs et des acteurs dramatiques est d’exciter toutes les passions, de rendre aimables et de faire aimer les plus criminelles. » pp. 51-75
le qui se repaît de quelques larmes, et n’a jamais produit le moindre acte d’humanité. On s’attendrit plus volontiers à des
ent une grande émotion durant le cours de la pièce, mais au cinquième acte , où, cessant de se plaindre, l’air morne, l’œil s
vec son digne cortège, de soins que les lois paient de la corde. Faux acte , supposition, vol, fourberie, mensonge, inhumanit
90 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
andeur. Cette grandeur n’est point determinée par un certain nombre d’ Actes , terme inconnu à Aristote. Une Action ne cesse pa
est prêté en posant la main sur le Livre de la Loi. Lorsqu’au dernier Acte le rideau se tire, l’Enfant paroît sur un Trône a
la moitié de sa vraisemblance, parce que les Poëtes pour remplir cinq Actes , sont obligés de dire bien des choses inutiles :
chanté, & ce qui doit être recité. Dans l’Interméde du quatriéme Acte quand les Levites partent pour le combat, les Fil
ctacle, qu’en sa faveur on a reçu des Piéces Dramatiques en plusieurs Actes qui n’ont entre eux aucun rapport ? Qu’importe en
91 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
spère, leur sacrilège conduite. Une Chapelle sert de Scène au premier Acte de l’Astrologue Joué : et afin qu’on sache d’abor
disposition très propre pour aller tout de bon en enfer. Au quatrième Acte , il est parlé de l’adultère aussi cavalièrement q
ugement dernier, craigne de ne les trouver que trop tôt. Au quatrième Acte  ; Mustapha date de la seconde nuit du mois Exod. 
à une maison, et s’imaginait l’éteindre en criant, Au feu. Au dernier Acte de cette Pièce, Rasor imite un endroit de la Genè
u Ciel et se vante d’être aussi grand que Jupiter ; mais au cinquième Acte il perd l’œil par le feu.Heraclid. p. 295. Le Chœ
92 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
un dramatique, qui écrit en prose, sans distinguer les scénes ni les actes . En Egypte, & chez bien d’autres peuples, les
93 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
ent des mêmes prérogatives : on les divise en autant de parties, ou d’ Actes , que l’on juge à propos. Enfin un dernier trait a
94 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
la représentation « publique ». Le texte est remanié, passe de 3 à 5 actes et change de titre pour Panulphe, ou l’imposteur
95 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
oint de sujet pour les célébrer, ils les faisaient seulement comme un acte de piété et par vœu qu'ils exécutaient soigneusem
pas de simples divertissements que l'on donnait au public ; mais des actes de Religion. Voyons maintenant si l'on en peut di
96 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114
tager la gloire de cette belle fête ; il s’imaginerent que c’étoit un acte de charité chrétienne de donner, aux nouveaux mar
ble artifice, cette idée est neuve. Jusqu’ici, dans l’énumération des actes de charité spirituelle ou corporelle, aucun Théol
ci (Smirne) ont exécuté sur le théatre national, une tragédie en cinq actes , composée par M. Peisonnel, Consul de la nation,
97 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
ur elle. Le contrat de mariage & la donation doivent être le même acte . Peut-il tomber dans l’esprit que dans le même te
nq à six heures. Que d’affaires pour si peu de temps ! Outre les cinq actes dont chacun emporte son heure, & les intermèd
alonger le jour, d’autant mieux que dès le commencement du quatrieme acte Tartuffe dit à Cléante : Il est trois heures &
98 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48
iaison continue, qui ne se trouve pas dans nos Tragédies partagées en Actes isolés. Nos entre-Actes sont quelquefois vraisemb
fut cause que les Grecs ne connurent point le partage d’une Piéce en Actes . Il n’en est point parlé dans Aristote, & ce
ans Aristote, & ce précepte d’Horace Que toute Piece soit en cinq Actes , n’est fondé sur aucune raison. Il suffit qu’une
99 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
dire, la véritable étoffe du genre, il n'y aurait qu'à la tailler en actes et en scènes, la pièce serait toute faite. Lamoth
us fréquemment répété que ces mots, théâtre, scène, rôle, personnage, acte , nœud, dénouement, tragique, tragédie, spectacle,
'imitation de la réalité, le commencement de l'orage, le prélude de l' acte , le germe de la volupté, l'ébauche de la passion.
100 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
u’on veut ; sa fonction se borne à la date, aux clauses, au sens de l’ acte , à l’assistance des témoins : mais il ne se charg
es auteurs : sans doute, son adultere avec Mars, avec Adonis sont des actes de vertu. Il donne en preuve évidente que son au
ement de quelque communauté, la construction d’un pont nécessaire, un acte extraordinaire de piété filiale, d’union conjugal
; plus durable qu’on en contracte l’habitude par la répétition de ces actes même factices, comme par la répétition des actes
la répétition de ces actes même factices, comme par la répétition des actes réels ? Répétition journaliere dans une actrice,
l’enfance, c’est la supposer stupide. Jamais fable n’a fait faire un acte de vertu à un enfant, ne l’a corrigé d’aucun vice
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