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1 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VII. De la Diction. De la Poësie dans la Tragédie. » pp. 122-130
Il faut seulement qu’il soit assorti. Le Poëme en a besoin ; il ne s’ agit que de ne pas lui donner la préférence sur les id
u’il faut, & de la manière qu’il le faut. Dans un endroit où il s’ agit de passer rapidement de la colere à l’amour, on f
eu de paroles, quand on a beaucoup d’idées : au Théâtre parler, c’est agir  ; & quoi qu’il y ait peu d’actions réelles da
s actions du discours même. « Dans les bons Auteurs, tout parle tout agit  ; mais c’est, dit le pere Brumoy, plus l’action &
2 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
e de la Pastorale Dramatique, c’est-à-dire des Pièces dans lesquelles agissent des Bergers. Les Poèsies champêtres qui portent l
d’ornemens. Dans les unes on s’apperçoit que le Poète par le ou fait agir , au lieu que l’autre est la représentation vérita
ce beau simple, qui en fait le seul mérite. Les Bergers parlent & agissent avec des Bergers. Leur manière de s’èxprimer est
ieux que les Drames proprement appellés Opéras-Bouffon, dans lesquels agissent des Paysans, sont des espèces de Pastorales, mais
ns Poètes Français, tels que Ronsart & Théophile, où l’on ne voit agir , où l’on n’entend parler que Pierrot & Catin.
es Bergers & des Artisans ; aulieu que la Pastorale ne doit faire agir que des gens de la campagne. Mais le nouveau Théâ
le charme ; il est curieux de savoir si la flamme de ceux qu’il voit agir sera couronnée. Si le dénouement est lent à venir
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
c ose être d’un avis différent. « On peut mettre, dit-il, & faire agir dans une Scène tant d’Acteurs que l’on voudra28. 
ptée pour quelque chose. Le Poète Dramatique aura la liberté de faire agir tout ensemble jusques à quatre Acteurs : l’attent
t veut même alors qu’on fasse paraître généralement tous ceux qui ont agis dans le cours de la Pièce ; ainsi que je l’ai rec
4 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
ale de Musique et de Danse, que Lully rachète en 1672. e. [NDE] Il s’ agit de Phèdre de Racine. f. [NDE] Il ne s’agit pas d
e en 1672. e. [NDE] Il s’agit de Phèdre de Racine. f. [NDE] Il ne s’ agit pas de Rachel, née en 1821, mais probablement de
français. i. [NDE] Nous rectifions la graphie « à la cocque ». Il s’ agit de Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690), mystiqu
le premier Supérieur général de la Compagnie de Jésus. m. [NDE] Il s’ agit de conciles des 4e et 5e siècles. n. [NDE] Il s’
m. [NDE] Il s’agit de conciles des 4e et 5e siècles. n. [NDE] Il s’ agit de S. Antonin, évêque de Florence, au XVe s. Voir
nce, au XVe s. Voir sa Summa theologica, III, 8, 4, 12 o. [NDE] Il s’ agit du théâtre de Tordione à Rome, bâti par Benoit XI
5 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
de l’intérêt qu’on prend à une Comédie. Les Personnages qu’on y voit agir sont factices, il est vrai ; mais leurs ridicules
ourir de vastes contrées, pour mieux connaître les Hèros qu’elle fait agir  ; ses Personnages sont copiés d’après des origina
nt copiés d’après des originaux qui vivent parmi nous : on croit voir agir & entendre parler des personnes que l’on fréq
quel est le cœur qui ne s’ouvre avec joye à l’affliction, lorsqu’il s’ agit de s’intéresser au sort de l’innocence persécutée
6 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXI.  » p. 480
ercher qu'un simple délassement d'esprit, qui le rende plus capable d' agir chrétiennement et dans des dispositions chrétienn
des divertissements qui ne font que rendre leur esprit moins propre à agir chrétiennement.
7 (1675) Traité de la comédie « XXI.  » p. 309
ercher qu'un simple délassement d'esprit, qui le rende plus capable d' agir Chrétiennement, et dans des dispositions Chrétien
des divertissements qui ne font que rendre leur esprit moins propre à agir Chrétiennement.
8 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre IV. Il faut que le nouveau Théâtre se fonde sur la Vérité & sur la Nature. » pp. 133-138
nous attachent. Représente-t-il une action villageoise, on croit voir agir les vrais habitans de la campagne ; l’ame trompée
Teinturier, d’un Boulanger, on est transporté dans leur boutique ; on agit , on parle avec eux : enfin, jamais Spectacle ne c
tent quelquefois cet Art encore plus loin. Il est impossible de faire agir leurs personnages avec plus de naturel. On croit
9 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
s, et pour perpétuer un état de choses aussi louable, il n’avait qu’à agir avec douceur, circonspection, et franchise ; Mais
s même qui paraissent les plus simples. Le Clergé ne doit donc jamais agir en ce qui concerne les pénalités qui auraient un
tout ce qui a rapport à des objets d’importance, surtout lorsqu’il s’ agit d’infliger des pénalités qui pourraient avoir un
s nombre, parce qu’en fait de religion, l’exemple est le seul moyen d’ agir avec certitude et succès. 13. [NDA] François d
s, Guillaume de Montholon, fut créé cardinal en 1350. ai. [NDE] Il s’ agit bien des pages qui précèdent celles marquées par
10 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
néral ; mon discours se rapporte à diverses Pièces à la fois. On fait agir plusieurs Acteurs dans un Drame ; mais un seul es
tastrophe dans une situation délicate qui semblerait le contraindre d’ agir de la sorte ? On siflerait, je crois, un Drame au
èce chrétienne ; parce qu’il est alors à supposer qu’un pouvoir divin agit sur les personnages qu’on juge à propos de faire
ifice agréable, Du plus affreux objet fait un objet aimable. Il ne s’ agit que de les peindre plaisament, que de prendre gar
11 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141
’éloge. On entend par Mœurs, les passions, les caractères, la façon d’ agir . Ce mot se prend quelquefois dans plusieurs sens,
elui du maître Cordonnier ; le simple Laboureur a une autre manière d’ agir que le riche Fermier &c. Ne portons pas ce dé
12 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « II. » pp. 9-11
emple et le modèle des fidèles dans les entretiens, dans la manière d’ agir avec le prochain, dans la charité, dans la foi, d
n ni louange lorsque sa conduite sera contraire à la votre et qu’il n’ agira point selon vos maximes. Vous n’aviez donc garde
13 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
esse. Il y a déjà long-temps, en effet, que c’est par imitation qu’on agit à l’égard de la morale et de ses soutiens qui suc
de ses soutiens qui succombent comme des hommes sauvages et barbares agissent , dans un naufrage, à l’égard du vaisseau et de l’
portée de comparer les temps, d’apprécier moi-même les causes qui ont agi sur les mœurs aux différentes époques, par le rap
uire une réputation légitimée par une si antique possession ; il ne s’ agit ici que d’erreurs, ou de démontrer, d’après l’exp
14 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
tre qui reçoit des personnages qui lui sont étrangers, doit les faire agir de manière qu’ils ayent toujours un certain rappo
Comédie, plus douce dans son stile, plus simple dans sa marche, fait agir l’humble habitant des Villes ; elle donne des leç
teurs de leur état. Un Sérrurier trouvera plutôt à profiter en voyant agir ses pareils, qu’un Duc en écoutant les discours d
15 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
prendre un plaisir plus innocent, que celui où l’esprit est en état d’ agir pour se perfectionner, quand il se délasse. Les G
que les longueurs, ou que le mélange des affaires y apportent, afin d’ agir avec plus de violence sur l’intégrité des cœurs.
de provid. . Il n’y a que les comédies, où ceux qui regardent, et qui agissent commettent un même péché ; où la vue devient cont
16 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
l, le charme des différentes espèces de Drames, que de se permettre d’ agir autrement ? Voici ce que je conseillerais aux Poè
rend à peu près aussi ridicule en voulant me faire croire que je vois agir des gens qu’une muraille épaisse est censée dérob
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354
us ridicule que ces énormes paniers que portent les femmes qu’on voit agir dans la Comédie. Une partie des Acteurs de notre
on doit dèscendre jusques dans la lie Peuple, apprendre ses façons d’ agir , de parler, de se conduire ; on doit devenir pres
s, prouve combien ils craindraient de perdre, si l’on y manquait. Ils agissent avec prudence. Mais une petite réfléxion se prése
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
s Poèmes du nouveau genre. La gravité des personnages que l’on y fait agir , ne les empêche pas de s’écrier tous à la fois ;
nt arrivés, qui troublent les Personnages même avant qu’on les ait vu agir . Les Auteurs du Poème épique employent ce moyen a
ur ; & qu’il est dangereux de la laisser s’éteindre. Mais il ne s’ agit point de considérer si une règle est difficile ;
19 (1844) Théologie morale « CHAPITRE I. Des Péchés de luxure non consommée, sections 644-651. » pp. 291-296
sans nécessité, voudrait assister au spectacle, dans le cas dont il s’ agit  ; à moins qu’il ne fût d’une conscience très timo
x acteurs des temps modernes ; et il n’est guère plus certain qu’il s’ agisse ici d’une excommunication à encourir par le fait,
nt mention de cette excommunication12. Quoi qu’il en soit, comme il s’ agit d’un point de discipline particulière à la France
20 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
lui de nous nuire. Mais enfin, quand je me tromperais, ne dois-je pas agir , parler, selon ma conscience et mes lumières ? Ai
déchu et l’on ne tombe pas au-dessous de rien. Premièrement, il ne s’ agit plus ici d’un vain babil de Philosophie ; mais d’
e ; mais d’une vérité de pratique important à tout un peuple. Il ne s’ agit plus de parler au petit nombre, mais au public ;
21 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
remettant sans cesse devant les yeux le point d’où il est parti. Il s’ agit donc pour donner la solution de cette seconde que
ux autres Auteurs comiques qui l’ont tous pris pour leur modele. Il s’ agit donc d’examiner quelle route à suivie Moliere pou
fférentes sortes de plaisanteries qui sont long-temps oublier qu’il s’ agit d’un avare. On dérobe dix mille écus à Harpagon q
est question maintenant d’examiner comment Moliere fait parler & agir Alceste le misanthrope. Alceste blâme toutes les
22 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
re de Scènes jointes ensemble ; dans l’Acte les Acteurs parlent & agissent aux yeux des Spectateurs. On entend par entre-Act
encore, que tous les Personnages, entraînés par les circonstances, n’ agissent plus sur la Scène. Enfin l’entre-Acte est un mome
on accorde, non aux Personnages du Drame, puisqu’ils doivent toujours agir tant que l’action dure ; mais aux Spectateurs, da
s parce que l’action cesse, mais parce qu’ils sont contraints d’aller agir hors de la Scène. Cependant comme le Spectateur p
23 (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176
humeurs, ni se régler par ses sentiments, principalement lorsqu’il s’ agit de la manière de sanctifier les Fêtes, et de corr
uvaise inclination par des remèdes efficaces, lui laisse la liberté d’ agir selon ses désirs. Il ne m’est donc point permis,
et à la discipline de l’Eglise : et sa pensée n’était pas, lorsqu’il agissait dans cette réformation particulière, avec tant de
fidèles, que Dieu avait soumis à sa conduite ; mais il a cru qu’il s’ agissait dans cette occasion de son salut, et de celui de
24 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
oses que vous avez apprises, & d’un génie supérieur ? Lorsqu’il s’ agit de faire parler un Artisan, un Laboureur, &c.
nt à son imitation, chercher la compagnie des personnages qu’ils font agir . Qu’on les voye donc à chaque instant fréquenter
nt. Sa manière de se comporter au cabaret mérite d’être observée ; il agit autrement que chez lui. Comment prétendez-vous sa
essité de s’approcher des Artisans dont l’on veut dépeindre l’état. S’ agissait -il de parler d’un Cordonnier, d’un Perruquier, au
25 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12
t ce que les autres voient bien qu’il faut condamner. VI. Car il ne s’ agit pas de dire qu’on est revenu du Spectacle comme o
omme des Héros. XVI. Il n’y a donc rien de plus dangereux, quand il s’ agit des mœurs, que de vouloir voir ce qu’on ne veut p
laircir ce que j’eu l’honneur de vous dire dans un entretien. Il ne s’ agit pas de traiter ici à fond des Spectacles, et vous
26 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre III. Du Bal. » pp. 178-183
oup de defaux, soit en la personne, soit à la dance. Mais icy il ne s’ agit que de soy-mesme : Vous paroissez tel que vous es
ist plus beau dans un Parterre que sur un Theatre, & puis qu’il s’ agit de faire paroistre la beauté des Dames, la bonne
27 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
st pas, font presque le même effet, et n’excitent qu’un mouvement qui agit ensuite diversement, selon les différentes positi
e cœur, ému par cette représentation, n’a pas les mêmes bornes ; il n’ agit pas par mesure : dès qu’il se trouve attiré par s
use. C’est ainsi que la véritable éloquence remue l’âme pour la faire agir pour le plus grand bien ; mais l’art du théâtre n
par le désir ; vous avez consommé le crime dans le cœur. Le spectacle agit encore sur vous-même après qu’il est fini : l’ima
. 6. [NDA] Prov. vi, 27. 7. [NDA] Tom. VI, pag. 274. r. [NDE] Il s’ agit d’une imitation d’un vers d’Ovide (Ille locus cas
28 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
tunes. Ils tâchent de gagner la Nymphe Ausonie (l’Italie). Ibère fait agir son parent Germanique (l’Empereur) pour assujetti
n. » Je doute fort cependant que cette raison, qui aurait dû faire agir un Ministre pieux, ait en rien influé sur les dém
dinal payait une pension à Corneille, qu’il aurait dû punir, s’il eût agi par ces vues supérieures : « Il récompensait, com
. L’Abbé Boisrobert, qui était son ami, fut chargé de l’ambassade, et agit au nom du Cardinal. Une affaire de cette importan
pour terminer la pièce, il protestait à sa mort qu’il n’avait jamais agi que pour la gloire de Dieu, même allant à la comé
la faiblesse d’un homme si célèbre pût aller si loin, ont cru qu’il n’ agissait que par politique, et il est vrai que le goût des
er contre lui. Cette diversion cachait même en partie ses projets, il agissait d’autant plus sûrement qu’on se défiait moins ; o
29 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
ge qui nous attache le plus ; si on l’entend parler, et si on le voit agir comme on parlerait et comme on agirait soi-même,
l’entend parler, et si on le voit agir comme on parlerait et comme on agirait soi-même, étant animé de la même passion : alors
phe provient de Desprez de Boissy, op. cit, vol. 2, pp. 376-377. Il s’ agit d’une citation de M. Le Franc de Pompignan. al.
30 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
plaisirs, que je voudrois voir rassemblées dans le Discours dont il s’ agit , & rendues sensibles au Lecteur, par ces imag
de notre ame, qu’elle cesseroit absolument d’être, si elle cessoit d’ agir . Lorsqu’il n’y a point de nouvel objet qui la fra
de notre ame, qu’elle cesseroit absolument d’être, si elle cessoit d’ agir . Lorsqu’il n’y a point de nouvel objet qui la fra
is ce n’est pas ici le lieu de faire la censure de la Tragédie ; il s’ agit de découvrir l’origine du plaisir que nous y goût
rtu éclatante plaît aux ames les moins vertueuses ; c’est parce qu’il agit sur elles par goût & par sentiment, plutôt qu
mp; après cela c’est la Lune même que j’observe, c’est sa lumiere qui agit sur moi, & quelquefois si fortement que j’en
ne fois achevé son ouvrage, ce n’est plus lui à proprement parler qui agit sur mon ame, c’est le sujet même, c’est l’union &
endent point de celui d’appercevoir des rapports ; comme le plaisir d’ agir qui nous fait sentir notre force ; le plaisir de
plaire en imitant ce qui est à la mode. L’esprit aime naturellement à agir  : mais il préfére ce qui lui coûte moins de trava
iginal. Je serois donc bien tenté de croire, que d’un côté le desir d’ agir , & de l’autre la foiblesse ou la paresse de n
d’efforts dans cette espece de jugement. 2°. L’esprit qui se plaît à agir , comme je l’ai déja observé, croit agir davantage
. 2°. L’esprit qui se plaît à agir, comme je l’ai déja observé, croit agir davantage quand il découvre des rapports, que qua
31 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
pas un titre moins odieux, en examinant vos austeres paradoxes. Il s’ agit de sçavoir, Si les spectacles sont bons en eux-mê
ent également le grand homme & le scélérat ; le principe qui fait agir ces deux caracteres opposés, les distingue, &
ur dramatique n’est-il pas obligé d’établir les caracteres qu’il fait agir , non-seulement pour soulager l’attention des spec
u’elle produit. Le plaisir de la Comedie est fondé sur le rire : il s’ agit de sçavoir si le rire est une faculté vicieuse. S
le contraste des bonnes & mauvaises qualités des personnages qui agissent , que notre attention est fixée : & indépendam
les loix modérées de la raison, c’est un art qui peut, en les faisant agir , nous faire sentir leurs forces, l’étendue de leu
, les Themistocles, les Phocions n’égalent-ils pas les Lycurgues, les Agis , les Leonidas, les Pausanias, &c ? Lycurgue
t que de s’occuper à les peindre ; mais dans le moment qu’il les fait agir , il n’y a que le sentiment qui puisse donner de l
ît les passions, plus il a de liberté & de vigueur pour les faire agir , plus il est ingénieux à en développer les différ
illité des citoyens : l’ordre public dépend de leur observation. Il s’ agit de sçavoir si les Comédiens sont pesés plus souve
e liason assez éloignée du sujet que vous avez voulu traiter, où il s’ agit simplement de s’éclaircir sur l’utilité des spect
32 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
re ; l’usage du Théatre ne peut lui être d’aucune utilité, quand il s’ agit de juger d’une piéce dramatique. Pendant la lectu
C’est pourtant à son tribunal que l’usage pris dans le sens dont il s’ agit ici, fait gloire d’appeller. C’est aussi pourquoi
& repulsive, qui ne paroît dans toute son énergie que quand elle agit directement sur notre ame. La présence des objets
33 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
fférentes espèces, et principalement de la Comédie. » b. [NDE] Il s' agit du traité du Prince de Conti, voir le corpus Hain
du Prince de Conti, voir le corpus Haine du théâtre. c. [NDE] Il s' agit de l'abbé d'Aubignac. d. [NDE] Il s'agit du pèr
u théâtre. c. [NDE] Il s'agit de l'abbé d'Aubignac. d. [NDE] Il s' agit du père Voisin, voir le corpus Haine du théâtre.
34 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
ge de Littérature dont le commencement doit être modéré ; encore ne s’ agit -il que du stile & de l’invocation, car l’on p
ne sçai quoi qui ébranle & attache l’ame des Spectateurs. Il ne s’ agit plus que de les soutenir dans la même action, ce
doit sur-tout rien renfermer d’inutile. Mais, insistera-t-on, le Roi agit hors de la Scène, & l’on en parle ; ainsi vot
t être. Je trouve encore d’autres défauts dans la Pièce dont il s’ agit  ; c’est que le titre me fait attendre un Fermier 
simple changement de volonté, mais par quelque incident qui oblige d’ agir ainsi. Ces paroles condamnent tous ceux du Specta
35 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VIII. Erreurs des Modernes sur ce sujet. » pp. 165-186
à sa suite ; « An melior cum Thaïda sustinet, aut cum Uxorem Comœdus agit , vel Dorida nullo Cultam palliolo, mulier nempe i
ceux des femmes, s'il y en eût eu dans les troupes des Comédiens pour agir en ces représentations. Et Quintilien remarque en
l. 2. c. 4. « An melior cum Thaïda sustinet, aut cum Uxorem Comœdus agit , vel Dorida nullo Cultam palliolo, mulier nempe i
36 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
rentes sortes de Pièces comiques. La Comédie-Bourgeoise dont il s’ agit particulièrement serait tout-à-fait semblable à l
de Comique Larmoyant aux Drames de M. de la Chaussée, où l’on ne voit agir ni des Hèros, ni des Rois, mais seulement des Sei
37 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
reux lorsqu’il espère de la posséder ? Le premier principe sur lequel agissent les Poètes tragiques et comiques, c’est qu’il fau
tif : où ce ne sont point des traits morts et des couleurs sèches qui agissent , mais des personnages vivants, de vrais yeux, ou
38 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
appelle caractère au Théâtre, la manière de sentir, de parler & d’ agir , propre à chaque personnage. Les caractères pris
? On voit dans les maîtres de l’art, des Héros, qui parlent & qui agissent . Cela suffit pour en faire agir & parler. Les
des Héros, qui parlent & qui agissent. Cela suffit pour en faire agir & parler. Les caracteres ! les mœurs ! ne pre
39 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
on ne sauroit croire que celui qui nous est proposé, dans lequel il s’ agit d’être homme de bien ou d’être un méchant. Et il
nt. Comme les Hommes cependant ont besoin de quelques amusemens, il s’ agit de les leur rendre utiles, & on peut les rend
e telle sorte que chacune des parties qui le composent subsiste & agisse séparément & distinctement. Elle ne se fait p
rmonie & mesure : & quand je dis que chacune des parties doit agir séparément, je veux dire qu’il y a des choses qui
e est l’imitation d’une Action : or toute Action suppose des gens qui agissent , & les gens qui agissent ont nécessairement u
n : or toute Action suppose des gens qui agissent, & les gens qui agissent ont nécessairement un caractere, c’est-à-dire des
caractere, c’est-à-dire des mœurs & des inclinations qui les font agir  : car ce sont les mœurs & l’inclination [c’es
action s’acheve ou ne s’acheve pas, & que ceux qui la commettent agissent ou par ignorance ou avec connoissance ; il ajoute
meilleure que l’autre dont je viens de parler, c’est lorsqu’un homme agit avec connoissance, & qu’il acheve l’action ;
if & de vicieux ? L’homme peut-il être trop compatissant ? S’il s’ agit d’exciter en lui une Crainte & une Pitié conf
40 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [K] » pp. 421-424
ille, d’avec une Femme de dignité. Si le père, des intérêts dont il s’ agit dans la Comédie, doit être quelquefois content, &
és de son masque qui convient à sa situation présente. C’est ainsi qu’ agissait le Comédien, quand il jouait des Scènes où il dev
41 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
sujetCi-dessus, n. 23.ad Mais d’abord, il est certain qu’il ne s’y agit point du carême dont il n’y a pas un mot dans tou
on voit, à bien peu de choses. Mais dans la seconde question où il s’ agit en particulier des spectacles, il décide nettemen
42 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
ction, Mademoiselle, qu’aucun motif d’intérêt ne peut vous avoir fait agir en cette occasion. Protégés et récompensés du Roi
de son Plaidoyer, sont en faveur de Roscius, et non pas contre. Il s’ agit dans la cause d’un traité de société, dans lequel
tre, MADEMOISELLE, Un de vos plus zélés Admirateurs. a. [NDE] Il s' agit de M. Huerne de la Mothe, dont le texte figure da
43 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. »
Et c’est l’effet propre de la Comédie. Ces principes posés, il s’ agit à présent de prouver que la Comédie fournit au mo
44 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « AVERTISSEMENT. »
personnelle, tout le public est intéressé dans la question dont il s’ agit , et il n’y a personne qui n’y prenne part : elle
45 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
’y glisse, & sans doute force l’entrée, car il faut bien que pour agir en repos on ait consigné la porte, qu’il y fasse
à qui elle s’est ouverte, qui l’ont détournée de son état, & ont agi pour la délivrer, elle qu’on dit avoir été élevée
e couvent voir quelque autre novice forcée ? Sans savoir de quoi il s’ agit , il commence par condamner le père avec dureté :
ystere de la vie spirituelle ; mais un Curé doit l’être, & ne pas agir & parler en Poëte. Ce Curé ne sçait pas même
faire profession ? Il pouvoit chercher à la voir, à lui écrite, faire agir ses parens ; il devoit mettre tout en œuvre pour
ler au but. Aux jeux de mots on s’abandonne, Quand la passion devroit agir , Et l’Ecrivain toujours raisonne Au moment qu’il
père un grand respect & une parfaite obéissance ? Clitemnestre n’ agit pas ainsi, elle met tout en mouvement, Achille, l
s prennent le plus grand travers dans le choix de leur état, qu’ils n’ agissent que par passion ou par caprice, qu’il est nécessa
bés, du galimathias, des néologismes, du précieux, des contresens. On agit pour son cœur, lire en son cœur, interroger le cœ
al, &c. Il peut n’avoir aucune part à ce qui se passe, avoir même agi en faveur de sa sœur ; on n’a songé à son mariage
46 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
ent : on n’assiste point au Spectacle sans y prendre plaisir. Il ne s’ agit que d’examiner le prix, en soi du talent de la re
eaux Arts ; combien n’est-il pas plus puissant au Théâtre, où il ne s’ agit pas de modifier le jour, d’animer des ombres ; de
soit un point à considérer en toutes autres circonstances. Mais il s’ agit de faire parler des idées, de donner du corps à d
ncore d’intelligence chez l’Acteur dans le détail de son rolle ? Il s’ agit d’arranger l’expression avec la chose, le relief
eux. La nature dans le cours ordinaire des choses est maussade : il s’ agit ici de la belle nature, de la nature enfin perfec
s yeux. Voilà le point délicat & critique de l’Acteur. Quand il s’ agit de se mettre exactement dans les situations diffé
 : 4°. Enfin la précision la plus scrupuleuse en tout, puisqu’il ne s’ agit pas seulement de mériter, à l’exemple toute autre
 : on convient assez que l’homme peut impunément se récréer ; il ne s’ agit donc plus que du choix dans l’objet : or, il est
aisirs, est violent & tumultueux, secoue ; mais n’amuse pas. Il s’ agit ici d’un amusement sublime & délicat, d’une b
r des lumiéres, encore moins des motifs : chacun suit son génie & agi selon qu’il est inspiré. Tout ce qui se passe sou
47 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
it visiblement choquée, par ce qu’il n’est pas naturel que les hommes agissent au de la de douze heures, & qu’il leur faut e
i sont le prémier pas dans la carrière dramatique. Voici de quoi il s’ agit . Nos jeunes Auteurs croyent avoir tout fait dès q
bien considérer, & qui servira d’éxplication à la règle dont il s’ agit . Divers incidens forment une grande action ; pour
ennent à la fois frapper la vue. Deux paysans guêtent un ours, l’un n’ agit pas plus que l’autre ; voilà donc mon attention p
48 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
âce est celui que le Chrétien reçoit dans son baptême, et qui le fait agir par les principes de la foi. C’est de lui que S.
ar leur mauvaise vie, des dispositions toutes saintes, et il les fait agir tout autrement que les gens du monde : car comme
car comme ils vivent par l’esprit de Dieu, c’est aussi par lui qu’ils agissent  ; « Si Spiritu vivimus Spiritu et ambulemus »Ad G
(c’est-à-dire, la mort) viendra, dans laquelle personne ne peut plus agir . »Joan. 9. 4. 4. Le temps ne nous a pas été don
49 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XX. Suite des prétendus talents du Comédien & de la Déclamation théatralle. » pp. 63-85
nc l’effet de ce beau feu, ou tout au plus, d’une étude où la mémoire agit plus que le jugement, & où les répétitions ré
er donne à ses soldats les ordres de son supérieur. Encore le Sergent agit -il souvent sans consulter son Capitaine, par les
ropres ressorts. Il transforme le lecteur en tous ses personnages. Il agit , il parle pour eux ; & à mois d’être stupide,
50 (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92
s idées plus pures, des façons de parler moins libres, des manières d’ agir plus chrétiennes ? Et au sortir des spectacles, r
ent pas tant. Mais on vous passe ce fait privilégié. Tous les poisons agissent -ils sur l’heure ? ne s’en trouvent-ils pas qui so
e ? ne s’en trouvent-ils pas qui sont d’autant plus pernicieux qu’ils agissent plus lentement ; parce qu’en cachant le péril, il
51 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318
s les Conches, & en Orient ; Il les faut aller pêcher : Et s’il s’ agit de les contrefaire, il en faut sçavoir l’art &
e toute la chaleur necessaire pour vivre, & toute la vigueur pour agir . Ainsi il regne uniquement durant toute l’action,
des Symphonies, ou par les charmes de la voix. Dans la Peinture l’œil agit autant que la main, & la dexterité de celle-c
un Prince paroistra, on aura soin d’y observer de la Majesté. S’il s’ agit d’un Amant, on affectera du tendre ou du passionn
fadaize, & ne produisit que des railleries & des mépris. Il s’ agit icy de faire choix de l’Instrument que nous juger
de la Dance publique & domestique, où les deux sexes ont droit d’ agir & de paroistre. Ie n’en diray qu’un seul mot
, & qui emportent la gloire dans les Bals, & par tout où il s’ agit d’un pas majestueux & simple, qui cependant n
epresente : sans songer à s’élever quand il ne faut pas, ou quãd il s’ agit de la modestie d’une Femme, de la majesté d’un Ro
du moins qu’il me semble qu’il faut en telles occasions. Car il ne s’ agit point d’élevation ny de regularité dans les Vers
rés, & des feux de souffre & desalpetre, qui devoient soudain agir & brûler. Le moindre esprit seul est plus for
s qui dépendent de la decoration ou des Machines, qu’alors qu’il doit agir en des endroits raboteux, mal tournez, & irre
ions ; ne violenter point le sujet à force de produire & de faire agir des Machines : & metre & tenir toute sort
52 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « [FRONTISPICE] »
on, 1565-1762 (Liège, Mardaga, 1991, p. 184) fait l’hypothèse qu’il s’ agisse d’un pseudonyme.
53 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — IV.  » p. 458
me font presque le même effet, et n'excitent qu'un même mouvement qui agit ensuite diversement selon les différentes disposi
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VII. De la Vraisemblance. » pp. 277-286
tre ; il ne faut lui déffendre l’entrée des Drames, qu’autant qu’il s’ agit d’événemens surnaturels, ou qui n’arrivent que ra
Il est clair que l’action est tout-à-fait modernes ; ainsi l’on fait agir Mercure, Jupiter, dans un tems où l’on ne connait
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. De la Parodie. » pp. 78-89
telle conduite donne lieu de penser ! Ne peut-on pas les soupçonner d’ agir par envie, & de chercher à rabaisser le mérit
’on puisse dire que leurs Ouvrages soient trop ressemblans : ils font agir des Personnages différens, qui éprouvent les même
56 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE III. Qu'une Mère est très coupable de mener sa fille aux Spectacles. Que c'est une erreur de croire que la Comédie soit destinée à corriger les mauvaises mœurs. Que rien au contraire n'est plus propre à les corrompre. » pp. 65-75
on fils. » « Il n'est permis de désobéir à ses parents que quand il s' agit d'obéir à Dieu », « In ea re sola filius non deb
dèle, et de n'avoir égard ni à votre père, ni à votre mère quand il s' agirait de son service …… Quelques caresses que votre pet
57 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des principes qui ont été établis ci-devant. » pp. 82-88
poison, l’on ne peut plus ensuite en empêcher l’effet, il faut qu’il agisse sur le corps ; il en est de même pour l’âme. Ains
amane : quia laudatur peccator in desideriis animæ suæ, et qui iniquè agit , benedicitur. »Aug. Tract. in cap. 4. Ioan. Cet
58 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
nent en quelque façon personnelles ; il aime comme nous, nous voulons agir comme lui ; la réflexion n’y a point de part. C’e
llon père, représentée pour la première fois en 1711. l. [NDE] Il s' agit de Cyrus II, fondateur de l'empire perse.
59 (1675) Traité de la comédie « V.  » p. 279
as font presque le même effet, et n'excitent qu'un même mouvement qui agit ensuite diversement selon les différentes disposi
60 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
inuation de la vie de Jésus-Christ; puisque c'est son esprit qui doit agir en eux, et par eux, en imprimant dans leur cœur l
61 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
inuation de la vie de Jésus-Christ, puisque c'est son esprit qui doit agir en eux, et par eux, et imprimer dans leur cœur le
62 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
à la fois, pour mieux séduire ; objets, modes, vanités, erreurs, tout agit  ; c’est un enchantement qui énerve, possede, corr
tre qui les perd, qui leur apprend à former des intrigues & faire agir les domestiques, à surprendre la vigilance &
omédie, & veulent une réponse précise. Ah ! Chrétiens, quand il s’ agit de conserver les biens, la santé, faut-il montrer
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
ieu de l’action, & les différentes parties d’un Acte où l’on voit agir les Acteurs. C’est à tort qu’on veut lui chercher
e les gens de la lie du peuple n’ont aucune dignité qui les empêche d’ agir à leur fantaisie, & qu’il ne serait pas natur
tra superficielle ; mais on ne saurait être trop minutieux quand il s’ agit d’une plus grande perfection. Je me crois obligé
64 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79
onteux Aux filles d’expliquer si librement si leurs vœux. Elle n’ agit pas moins en fille perdue, en fille de théatre :
façon de recevoir la chose. Du pis dont une femme avec nous puisse agir . On peut le souhaiter pour de certaines causes,
plus mauvais discours, offrent les objets les plus dangereux, mais n’ agissent qu’au hasard, par goût & par passion, sans av
 ; on sent que le démon dirige sa marche, combine les principes, fait agir les ressorts. La vraie piété comdamne les passion
corrompre ses domestiques par des promesses & des présens, faire agir des amis par des sollicitations, employer des hom
65 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149
e calme, où l'homme se possede, ne se laisse point vivement affecter, agit avec réflexion, donne à chaque chose son juste pr
coute et se respecte soi-même, est occupé de son objet, ne parle et n' agit qu'à propos, ne dit que des choses utiles et réfl
'un sérieux lent et amer qui déplaît à tout le monde. Quand la nature agit , le sérieux perce partout et répand sur tout un f
os moverit fædius moves. » Toujours équitable, il examine, il écoute, agit , comme la sagesse, avec poids et mesure ; charita
au, des secousses de la sollicitation, il ne voit que la vérité, il n' agit que pour la justice : « Si fractus illabatur orbi
66 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VIII. De la Mascarade. » p. 196
Balet, de dexterité comme au Bal, ny de Jeu comme au Carosel. Il ne s’ agit que de bien exprimer ce que ce que l’on represent
67 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
ne laisse pas de se continuer derrière le Théâtre, où les personnages agissent toujours, et quelquefois même plus vivement. Une
belle de toutes les reconnaissances est lorsqu’on est sur le point d’ agir sans connaître, et que l’on reconnaît avant que d
sur le point d’agir sans connaître, et que l’on reconnaît avant que d’ agir . La seconde est, lorsqu’on agit sans connaître, e
re, et que l’on reconnaît avant que d’agir. La seconde est, lorsqu’on agit sans connaître, et que l’on reconnaît quand on a
est, lorsqu’on agit sans connaître, et que l’on reconnaît quand on a agi . Sentiments, c’est tout ce qui fait la matière d
là. En un mot, il faut exposer son sujet avec art ; se hâter de faire agir ses personnages, amener des événements extraordin
elles, comme la condition, l’age, la fortune, la nation doivent faire agir , et parler diversement les personnes, qui paraiss
68 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
ns les entreprises qui ne regardaient point la Religion, ils devaient agir par les mêmes lumières, par lesquelles nous agiss
ligion, ils devaient agir par les mêmes lumières, par lesquelles nous agissons  ; ils avaient là-dessus les mêmes vertus à suivre
tirer Oreste du Berceau et le faire paraître sur le Théâtre en âge d’ agir et d’aider à l’embellissement de la pièce. Pour m
e, la tendresse d’Agamemnon n’aurait-elle pas les mêmes effets s’il s’ agissait d’immoler son fils, que lorsqu’il s’agit d’immole
les mêmes effets s’il s’agissait d’immoler son fils, que lorsqu’il s’ agit d’immoler sa fille ? Vous voyez bien que quand on
ue l’on attribue le succès mitigé de Suréna, en 1674. ao. [NDE] Il s’ agit de Le Clerc et Coras, dont l’Iphigénie, créée en
ie, créée en mai 1675, ne recueillit guère de succès. ap. [NDE] Il s’ agit du Philoctète, encore peu connu au xvii e siècle.
69 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIV. De l’usage de composer des Pièces, ou des Rôles pour un ou plusieurs Acteurs. » pp. 219-233
t s’accorder avec celle de l’Acteur, & produire l’unité dont il s’ agit . Mais qu’en conclure ? On va le faire voir en dév
 : car un connoisseur n’a pas besoin du secours du Comédien pour voir agir les personnages d’un Drame. Enfin si l’expression
70 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
t ce que les autres voient bien qu’il faut condamner. « Car il ne s’ agit pas de dire qu’on est revenu des spectacles comme
comme des héros. « Il n’y a donc rien de plus dangereux, quand il s’ agit des mœurs, que de chercher à voir ce qu’on ne veu
71 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
disposition d’esprit où est le bonhomme touchant le mariage dont il s’ agit , comme je l’ai déjà dit. Le bon Seigneur donne, p
s naïvement et très moralement la variété surprenante des principes d’ agir , qui se rencontrent en ce monde dans une même aff
alors à des choses de nulle conséquence dans ces temps-là, au lieu d’ agir solidement dans le véritable intérêt de la passio
dévotion, et de l’employer partout à leur avantage, afin de paraître agir toujours par elle. Habitude qui leur est très uti
e exacte connaissance de la nature de leur intérêt, ne veulent jamais agir que par l’autorité seule que leur donne l’opinion
autant et plus qu’elle ne fait » ; mais que dans l’affaire dont il s’ agit entre eux, « le scandale en effet est la plus gra
e souffre point de bornes ; tous lieux, tous temps lui sont bons pour agir et faire du bien : elle n’a point d’égard à sa di
; mais je soutiens qu’il est toujours vrai et constant, quand il ne s’ agit que de parler comme ici. La Religion a ses lieux
i est le réceptacle naturel du Ridicule, selon sa manière ordinaire d’ agir , en attache si fortement le caractère au matériel
ctes qui supposent nécessairement qu’on les a ; et c’est la manière d’ agir naturelle et générale de notre âme, qui ne s’avou
72 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IV. Des Feux de-Ioye. » pp. 184-185
dre le plus expressément que l’on peut la nature des choses dont il s’ agit . Par exemple, vn Combat de Mer, autrement qu’un C
73 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
ne, dont le stile a tant de rapport avec les personnages qu’on y voit agir . Pourquoi l’on ne fait guères attention au st
’appliquent, sur-tout à peindre les mœurs des personnages qu’ils font agir  ; donc ils ne doivent pas employer un stile reche
Vers, montre qu’on n’entend plus parler que d’une Fille ; car s’il s’ agissait toujours d’un oiseau, il faudrait dire, zeste, on
 ; m’était-il possible de les rendre plus importantes, puisqu’il ne s’ agit que de l’Opéra-Bouffon ? J’observe que les critiq
74 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
ndant le tems qu’ils s’occupent à chanter, combien n’auraient-ils pas agis , sur-tout dans un Poème où il faut beaucoup plus
e de l’Ariette ? Laissons à part tout amour pour la musique ; il ne s’ agit point ici du Chant, mais de la perfection des par
e croirait ivre ou fou. Le Musicien dira envain pour s’èxcuser, qu’il agit de la sorte afin de mieux faire sortir les beauté
Musiciens qui travaillent pour l’Opéra-Sérieux sont plus èxcusables d’ agir de la sorte, que ceux qui consacrent leurs talens
75 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
’hérésie, il est plus aisé d’en faire accroire, et surtout quand il s’ agit d’une hérésie aussi mince et aussi difficile à ap
pas qu’on y emploie son temps et son travail ; et s’il était permis d’ agir pour la gloire, ce n’est pas celle-là qu’il faudr
défendre d’avoir pour celui qui l’obligea de voir l’endroit dont il s’ agit  ; peut-être, dis-je, qu’elle approcherait de la v
st permis de lire des romans et des comédies. Point du tout ; il ne s’ agit point de cela. Mais c’est un cœur pressé qui se d
76 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
s les émotions qu’elle y puise, et se trouve naturellement disposée à agir en conformité des principes coupables qu’elle a p
n’est point de mauvaise compagnie qui pût vous être aussi fatale ! En agir ainsi, n’est-ce donc point se rendre coupable au
ersonnages, etc. ; il est de même de nos actes : nous sommes sujets à agir contre les plus simples règles de la raison et du
r et à une vie immortelle, de revêtir la dignité de notre nature et d’ agir conformément à l’importance de notre destination.
77 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
travail, et cela est tellement vrai que l’homme ne peut pas longtemps agir , en quelque condition qu’il se rencontre, sans êt
ssier, sœur de Bellerose (contrat du 26 octobre 1636). f. [NDE] Il s’ agit de procès bouffons donnés par les clercs du Palai
qui on faisait faire la revue sans qu’il soit enrôlé. i. [NDE] Il s’ agit de célèbres cabarets parisiens.
78 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VII. De la frivolité et de la familiarité. » pp. 150-162
Telle est la littérature à la mode. On pense, on parle, on écrit, on agit en Comédien, on lit, eh quoi ? des brochures. Sur
nts. C'est un vice dans la société : la familiarité est une liberté d' agir et de parler, qui sans égard à la subordination e
n faux air de grandeur on se croit en droit et on se fait un mérite d' agir avec les gens librement et sans se gêner, ce qui
79 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XVI. » pp. 69-70
ros vous transporte de telle sorte, qu’elle vous fait oublier qu’il s’ agissait de rendre des honneurs à un Pontife qui n’est que
80 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
ropres lumieres : Pour décider définitivement la question, vous avez agi prudemment de vous en rapporter aux Jurisconsulte
de la vôtre ; dans une affaire d’où votre salut dépend, vous devriez agir avec plus de prudence, votre choix n’est nullemen
81 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
urer, on s’en fait une espece de conviction, en vertu de la quelle on agit au prejudice de la conscience, & malgré les p
n de nôtre siecle. Comprenez la, s’il vous plait, toute entiere. Il s’ agit de la conscience & du salut, & tout ce qu
82 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
n où se livre un jeune homme qui ne connaît rien de sacré, quand il s’ agit de satisfaire sa passion. On pourrait regarder co
de l’agréable, (et qui se trouve rarement dans une action, où il ne s’ agit que d’amour et de mariage) nous voyons que l’agré
83 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XV. Devoir des parens & des maîtres. » pp. 34-35
roît réel. Ce ne sont point des traits morts, des couleurs séches qui agissent  ; ce sont des personnages vivans, de vrais yeux a
84 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre X. Que c’est une chose vicieuse et un dérèglement manifeste de danser fréquemment. » pp. 37-40
n’est plus une recréation honnête ; mais une pure sensualité, et on n’ agit pas en homme raisonnable : mais on se laisse cond
85 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
ur sa gloire. Or, qui peut se flatter, en assistant aux Spectacles, d’ agir pour Dieu ? Qui oserait lui offrir cette action e
s Pères de l’Eglise ont cru devoir hautement qualifier de péché. Il s’ agit de la conscience et du salut ; tout ce qu’il y a
ques pieuses ; ce sont nos obligations les plus essentielles. Il ne s’ agit pas d’être plus ou moins parfait, en les négligea
e plus ou moins parfait, en les négligeant ou en les observant : il s’ agit d’être Chrétien, ou de ne l’être pas. Nicole a
dir. Ils s’imaginent que tout ce qu’on leur expose est à retenir. Ils agissent en conséquence, lorsqu’ils jouissent de leur libe
gens ne sont que des gens qui parlent ; ses vicieux sont des gens qui agissent , et que les plus brillants succès favorisent le p
86 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
rières n’aient la noblesse de penser qu’il doit leur être permis d’en agir de même envers leurs maris, quand ils sont lourda
dé ; ce qui est plus respectable que risible. Combien d’autres en ont agi de même, dont la mémoire est proposée à notre adm
cette modération, recommandées envers les fourbes et les méchants, n’ agissent pas aussi efficacement sur des hommes profondémen
s font extravaguer ou passer le but qu’on se propose. Cette manière d’ agir , aussi peu sensée que celle de frapper rudement e
ur les plantes utiles dont elles font l’engrais, sur lesquelles elles agissent , qu’elles échauffent et font croître. D’un autre
érêt personnel qui les régit plus ou moins impérieusement et les fait agir sous le masque de quelque vertu que peu possèdent
87 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
gurer, on s’en fait une espèce de conviction, en vertu de laquelle on agit au préjudice de la conscience et malgré les plus
de notre siecle. Comprenez-la, s’il vous plaît, toute entiere ; il s’ agit de la conscience et du salut, et tout ce qu’il y
idente et si prochaine ? Mais, dit-on, en tout ce que je lis, il ne s’ agit que d’un amour honnête. Abus, mes Freres : appell
e fin chrétienne, que vous ne vous accorderez ce repos que pour mieux agir , et qu’en ce sens vous sanctifierez, si je puis p
es plus nécessaires ; on plaint jusqu’aux moindres frais, dès qu’il s’ agit de subvenir à leurs besoins ; on les éloigne de s
tions n’est prise que par le rapport qu’elles ont à nous ; quand il s’ agit de m’accorder un divertissement ou de m’en priver
88 (1647) Traité des théâtres pp. -
e nous avons à leur proposer ; et y sont d’autant plus tenus, qu’il s’ agit d’un fait de conscience, qui regarde la gloire de
i regardent les Traités oratoires. CHAP. I. De quels Théâtres il s’ agit en ce Traité. Sans nous arrêter pour cette he
vons déjà proposé. Quant aux défenses qu’en font les Pasteurs, s’il s’ agissait d’une chose bien reconnue pour indifférente, posé
i n’a pas cette autorité. Mais le fait ici est tout autre, vu qu’il s’ agit d’une vanité mondaine, qui est très mauvaise en e
os yeux vers la puissance Supérieure qu’avec tout respect. Que s’il s’ agit des commandements de leurs Majestés, lorsque mont
condamner les vices en général, il en va un peu autrement lorsqu’il s’ agit des personnes qui en peuvent être coupables. Car
dans le péché » (Dictionnaire de l’Académie, 1e éd. 1694). c. Il s’ agit de l’Instruction chrestienne touchant les spectac
bondamment commenté dans un volume à part (voir pars 1, p. 504). Il s’ agit de l’opuscule Praelectiones in capit. XX Exodi, L
texte est « sing »). ao. Désapprouvé. ap. L’acteur. ar. Il ne s’ agit pas de véritables citations mais d’une paraphrase
I, 817c-d. av. Vincent ne met pas de référence marginale, mais il s’ agit du Pseudo-Aristote, Problemata, section XXX, § 10
ale et non pas le théâtre, dont il n’est pas question, puisqu’il ne s’ agit que de ménétriers et de jongleurs. bn. Bernard d
sion d'erreur et de péché) et au sens actuel, déjà attesté. dj. Il s’ agit de Francesco Patrizi qui, dans le chapitre II, 6
le texte ne comporte pas d’équivalent de « plaisanterie »). do. Il s’ agit de Francesco Patrizi, cité au chapitre XI (op. ci
89 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
are Violento tient sa propre sœur, Inés, étroitement renfermée ; il s’ agit d’être introduit auprès de la belle. La duegne, D
lque part, à quoi le forçat répond : j’y vais quelquefois  ; il ne s’ agit dans cet ouvrage que de faux billets, de prostitu
soit rien moins qu’étranger au bonheur des hommes policés. Mais il s’ agit bien d’un autre intérêt ; il s’agit d’un nouveau
eur des hommes policés. Mais il s’agit bien d’un autre intérêt ; il s’ agit d’un nouveau degré de futilité ajouté au caractèr
urent bien moins de dangers aux grands spectacles qu’à ceux dont il s’ agit ici, et qui sont, puisqu’il faut le dire, autant
90 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
stématiquement la forme « Senancourt » au lieu de « Senancour ». Il s’ agit d’Etienne Pivert de Sénancour (1770-1846), connu
91 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 10
vous êtes chrétien, et en cette qualité vous êtes obligé de vivre, d’ agir et de parler comme lui ; vous êtes son serviteur,
92 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
les hommes de Génie celui des opinions. On pense comme les Sages, on agit comme les Grands. Si ceux-ci retranchent du luxe
ations même du sanctuaire. Ici c’est la foi qui parle, là l’homme qui agit  : l’homme ! qui a vaincu des obstacles innombrabl
93 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre d’une Dame de la Ville de *** au sujet de la Comedie. » pp. 6-15
soi-même font souvent sentir aux personnes de vôtre rang, lorsqu’il s’ agit de calmer la conscience. Telles sont les pernicie
-vous, que vos autres enfans approuvassent ses manieres, & qu’ils agissent de concert avec lui pour vous marquer d’infamie ?
94 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
u Théâtre dans celle de l’impudicité. Ajoutons, dans le cas dont il s’ agit , dans l’interdiction de l’impiété de cette Pièce,
es choses au poids du Sanctuaire. Mais pour examiner le cas dont il s’ agit par ce qui se fait à Paris, il est étonnant que c
95 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
s des grands maîtres. « Le premier principe, ajoûte-t-il ; sur lequel agissent les Poëtes tragiques & comiques, c’est qu’il
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
ue doivent se proposer les Poètes du nouveau genre qui voudront faire agir des gens obscurs, pris dans le menu Peuple. Il fa
97 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315
e la Tragédie est l’Action. Comme toute action suppose des hommes qui agissent , & arrive souvent parce que ces hommes ont te
tions, tels caracteres, ces Mœurs sont la seconde Partie : les hommes agissent parce qu’ils sont dans une telle disposition d’es
ver quelque ressemblance entre Heraclius & Athalie, parce qu’il s’ agit dans ces Piéces de remettre sur un Trône usurpé,
st bien différent de vouloir remettre sur le Trône un Prince en âge d’ agir par lui-même, ou un Enfant de huit ans : mais par
e vertu. Cette austérité de vertu ne se fait connoître que quand il s’ agit de la cause de Dieu. Cet homme qui par devoir a e
ge, & qu’on s’en sert pour animer les Soldats. Je réponds qu’elle agit sur nous par les vibrations de l’air agité suivan
98 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
f Sphères, Apprit le bel ordre des Cieux. Les Cercles, les Corps qui agissent , Les Inférieurs qui patissent Dessous ces mouveme
99 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE II. De la Danse. » pp. 30-51
un Romain sous l’habit d’un Italien. Tout cela doit suivre la mesure, agir en cadence, entrer dans le goût, le mouvement d’u
p; enfonce profondément celui des autres ; c’est un corps d’armée qui agit à la fois sur le cœur, que de blessures ! quelle
élange des deux sexes ; chacun y développe ses propres beautés, & agit sur les autres danseurs & sur les spectateurs
omninò irreligiosa consuetudo quam vulgus per Sanctorum solemnitates agit  ; populique debent divina attendere, saltationibu
100 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
dans tout bon esprit ; le degré de considération qui lui est dû. Il s’ agit maintenant, sur notre Théâtre Français particuliè
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