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1 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
, n’en a point dépassé les intentions et n’a point transgressé la loi commune . Elle a attendu pendant dix ans, dans le silence
réhabilitée par la Charte, elle ne devait pas aller au-delà de la loi commune  ; elle s’est soumise à l’esprit de cette loi ; el
, voila sa position légale ; se porter extra, c’est enfreindre la loi commune . Ce que nous venons de dire est si vrai, que le l
essus des autres citoyens, elle les a rangés au contraire dans la loi commune , elle ne peut en conséquence leur permettre d’app
t en France, c’est pour exister dans la propre conscription de la loi commune , et non pour la dépasser et aller au-delà. S’il e
prince, qui se trouve, en beaucoup de circonstances, soumis aux lois communes du royaume. Ainsi, le roi respecte la volonté du
2 (1675) Traité de la comédie « XXII.  » p. 310
ls le dégoûtent en quelque manière de toutes les actions sérieuses et communes . Comme on n'y représente que des galanteries ou d
eux qui y parlent sont assez éloignés de ceux dont on use dans la vie commune ;on y prend insensiblement une disposition d'espri
3 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
tyrans !…… On peut donc mettre sur la Scène, les conditions les plus communes  : on peut, non pas leur donner le bel-esprit, mai
uble Dépôt, qui… Tracez-nous le portrait de ces indignes égoïstes, si communs dans vos villes, qui vivent pour eux-seuls, &
es-Italiennes en cinq Actes, offrent une peinture burlesque des mœurs communes  : le tableau qu’elles font, est souvent très-vrai
Comédie dont nous sommes surchargés, est très inutile : outre que le commun des Spectateurs perd les deux tiers de ce que l’o
ie. Je lui abandonne celles qu’il attaque : nous ne fesons pas cause commune . [Des Arcis reprend sa lecture] :
4 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Post-scriptum. » pp. 201-216
le, qui a déjà donné plusieurs autres preuves de son amour du bonheur commun , la plus sûre pour éviter de compromettre, ou con
oit de contribuer à l’élection de nos législateurs, de nos magistrats communs dont les rapports avec nos personnes, avec nos in
ssent manquer sans châtiment. Alors nous pourrons participer au droit commun , et notre patrie cessera d’être pour nous un séjo
5 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10
l’Europe un seul chevalier errant ? La satyre & la médisance sont communes . Y a-t-il de conversation, surtout sur le théatre
alantes, licentieuses, dont le vice se nourrit ? Elles sont bien plus communes & bien plus dangereuses que les chevaliers de
l, de folie & de sagesse, d’absurdités & de bonne morale, est commun dans les pieces de théatre, où il est ordinaire d
de l’amour, qui regne sur le théatre, cette passion si naturelle, si commune , si violente ; quel désordre ne cause-t-elle pas,
6 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VI. Des Comédiens français rétablis dans leurs droits civils et religieux, à raison de leur profession, et entièrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise. » pp. 130-133
n conséquence cessé, et devaient naturellement cesser d’avoir rien de commun avec le clergé, à raison de la profession d’acteu
t uniquement frappée de l’animadversion des prêtres ; il aura un sort commun avec tous les autres infracteurs des pratiques de
7 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
r ses droits ; on n’ose y débiter que des leçons d’une morale usée et commune  ; la soumission aveugle au despotisme des rois y
s gouvernemens, et qu’on n’y introduit que des hommes d’une condition commune , il conserve plus de liberté que la tragédie. Mai
du théâtre, en déclarant que toutes les pieces imprimées doivent être communes aux différens théâtres cinq ans après la mort de
doivent-ils être fixés ? 5°. Les pieces imprimées doivent-elles être communes à tous les théâtres après la mort des auteurs ? 6
viléges dramatiques. §. V. Les pieces imprimées doivent-elles être communes à tous les théâtres ? Une piece de théâtre im
avori, que la liberté n’est pas la licence. Qui doute de cette vérité commune  ? Les loix sont faites pour protéger la liberté,
t au profiter. 10. On se rappelle la résistance de l’assemblée de la commune  ; la lutte du district des Carmes et de celui des
ni italien, etc. Ils ont fait plus, en présentant à l’assemblée de la commune un mémoire, par lequel ils réclament les privilég
s après la mort de l’auteur, toutes ses pieces seront sensées un bien commun à tous les théâtres. Art. XIX. Les articles 14,
15, 16 et 17 regardent aussi la musique imprimée, et l’article 18 est commun à la musique de théâtre, imprimée ou manuscrite.
le n’ont rien obtenu. 23. Adresse de MM. les comédiens François à la commune de Paris, page 10, l. 19. 24. On lit dans un ar
8 (1590) De l’institution de la république « QUATORZIEME TITRE. Du Théâtre et Scène. » pp. 507-508
particuliers, ayant leurs fenestrages et ouvertures faites à la mode commune . Ceux de la Satirique étaient ornés d’arbres, Cav
s : ce néanmoins tous ces Spectacles et leurs parties avaient ceci de commun , que les parois n’étaient point ceintes à l’entou
9 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
forts, néanmoins plus doux, en ce qu’ils paraissent plus justes étant communs dans les assemblées. Il est certain que si les th
s, et l’on se propose pour dernière fin, une volupté qui est l’amorce commune de tous les vices ; et d’autant que ces acteurs v
it égale, si la corruption de notre siècle, n’avait rendu ce mal trop commun Lib. 4. Can. de malef. et Mathem. . Ouvrir son â
10 (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387
n a-t-il pas une plus simple, & qui convient plus généralement au commun des hommes ? C’est que rien ne leur est plus agré
n a-t-il pas une plus simple, & qui convient plus généralement au commun des hommes ? C’est que rien ne leur est plus agré
al réel, ni même d’aucun trouble importun, passeroit dans l’esprit du commun des hommes, si elle pouvoit être durable, pour l’
ir dans ceux qu’on appelle des Héros ; & une passion qui nous est commune avec eux, ne paroît plus une foiblesse ; on se ré
me, tout ce qui s’éleve au-dessus des sentiments & des actions du commun des hommes, fait sur nous une impression aussi fo
, & réduit ainsi la variété à l’unité. Outre cet avantage qui est commun à la Tragédie avec tous les ouvrages bien ordonné
enre que la Tragédie dans le sien : le mérite de l’imitation leur est commun , & le plaisir doit être égal à cet égard. Mai
y fait couler des larmes passageres, mais, en un sens véritables. Le commun des hommes aime mieux se laisser agiter, échauffe
habitude des regles de son Art, peut en être frappé plûtôt ; mais le commun des hommes jouit des sentiments que la Musique fa
de Folie & de Sagesse, de Foiblesse & de Fermeté, n’a rien de commun avec le plaisir de l’Imitation renfermé dans ses
lus d’admiration le portrait d’un grand homme que celui d’un homme du commun , quoique l’un & l’autre portrait soient égale
e les réduire au seul désir d’apprendre & de s’instruire, qui est commun à tous les hommes. Le plaisir que nous sentons à
s rapports le sont aussi ; ils sont par conséquent moins agréables au commun des hommes que ceux qui sont sensibles, & qui
11 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
veut satisfaire, en unissant le jeune Des Arcis, à la fille d’un ami commun . Dans les circonstances où tu te trouves, tout ce
Tianges doit ignorer que les habitans des villes, dans les conditions communes , privent quelquefois leurs familles du nécessaire
12 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
tionnablement ; disant en outre que s’ils jouaient publiquement et en commun , que ce serait le profit de ladite Confrérie ; ce
sus toutes et quantes fois qu’il leur plaira, soit devant Nous, notre Commun ou ailleurs, tant en recors qu’autrement, et d’eu
à n’y représenter que des pièces de piété ou de morale, sous ce titre commun de Moralités, pendant près d’un siècle et demi. F
13 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
et humaine pour l’accomplissement d’un dessein, les péchés de la vie commune en comparaison de cela ne leur paraissent plus qu
elque chose, s’ils se laissent aller à une désobéissance, qu’une voix commune fait passer pour une invincible fidélité, s’ils s
jouissez avec eux : les craintes, les espérances, les joies vous sont communes  ; vous êtes d’esprit et d’affection dans tous leu
14 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XV. Les spectacles éteignent le goût de la piété. » pp. 133-137
plaisirs grossiers des spectacles, que les actions même sérieuses et communes deviennent à charge, qu’on n’aime plus qu’à se sa
le blasphème, tant d’autres vices inconnus autrefois, seraient-ils si communs , si les spectacles ne les occasionnaient pas ? Ve
15 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
ssemens dans le monde qui passent pour legitimes, & que l’opinion commune des gens du siécle authorise ; mais que le Christ
nt moins d’impression sur l’ame. Ils m’aprendroient que dans l’estime commune des fideles on ne croyoit pas pouvoir garder le s
mes & qu’a les prendre dans le sens le plus naturel & le plus commun  : sur quel autre sujet se sont-ils expliquez avec
16 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
lus légitimement employée que pour appuyer et faire observer le droit commun , les Evêques peuvent la défendre par leurs Ordonn
e que la puissance Episcopale n’est pas tellement bornée par le Droit commun , pour ce qui regarde les mœurs, qu’elle ne puisse
17 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Amphitheatres. » pp. 44-72
grandes palmes, & les palmes reviennent à peu pres à nostre pied commun . Sa circonference est de 195 cannes, & sa sur
ribuer au Peuple la viande qui luy estoit destinée, ce mot est devenu commun à ces deux fortes de solemnitez. Par cette autre
à d’avantage. Et enfin, les Empereurs suivants rendirent la chose si commune , que l’on en exposoit au carnage par centaine aus
t. Chaum, Gall. vet. Raphium. Pl. l. 8. c. 12. l. 8.Depuis ils furent communs , pres-qu’à tous ceux qui entreprirent de pareille
p; extraordinaire Beste. Il la fit venir de Iudée, où le bruit estoit commun que c’estoit le Squelete du Monstre à qui Androme
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
rne embrasse de sujets différens : les uns sont tout-à-fait bas & communs  ; les autres ne le sont qu’à demi. Ceux-là joigne
paroles, & qui offre une intrigue basse, ainsi que des caractères communs  ; doit être appellé Opéra-Bouffon. Il s’en suit d
19 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
ne inconséquence dans la conduite, qui n’est malheureusement que trop commune parmi des gens d’ailleurs très respectables. Il s
n a retranché et qu’on n’y souffre plus les grossièretés ; et la plus commune opinion des hommes est que, parmi les amusements
20 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VII. De la Diction. De la Poësie dans la Tragédie. » pp. 122-130
images, sans embonpoint, sans carnation. Ce défaut est d’autant plus commun , qu’il est fondé sur un préjugé qui a des partisa
ossible de soutenir une grande action avec des ressorts foibles & communs  ? Le défaut contraire n’est pas moins funeste aux
21 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
re des réflexions affligeantes. Le désordre doit assurément être bien commun pour avoir fourni la matiere d’un poëme, & fr
c’est un des travers qu’il faut moins épargner ; Il n’est pas fort commun , mais il pourroit gagner. Il faut en enrageant
bscénité perpétuelle. D’abord on veut faire croire que l’adultère est commun  : c’est le sort inévitable de tous les maris, où
ommençoit à régner. A mesure que le goût s’en répandit, ils devinrent communs , & grace à la loi Chrétienne, qui déclare le
ouver jusques dans les enfers. En imposé-je ? n’est-ce pas le langage commun de tous les théatres ? Les plaintes ordinaires de
est mille fois plus intraitable. Les célibataires de libertinage, si communs aujourd’hui, qui s’avisent de condamner les célib
prunte de toutes mains, à tout prix, est un mal plus grand & plus commun , qu’on excuse pourtant sous prétexte de l’extrémi
22 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
êcheraient de pécher en repos, fait qu'ils demeurent dans des erreurs communes , sans vouloir examiner si ce sont en effet des er
tes sortes de Poèmes Dramatiques, et en général, par ce qu'ils ont de commun , et en particulier, par ce qui fait leurs espèces
d'en venir à un plus grand détail ; et après avoir dit ce qui est de commun à toutes les Comédies, et qui compose comme leur
ière a encore ses subdivisions ; car, si elle est entre des personnes communes , elle retient simplement le nom de Comédie ; et s
a représentation d'une aventure agréable et gaie, entre des personnes communes . Ce qu'on entend par le terme de Tragédie, est la
23 (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82
t imposées à eux-mêmes, et qu’ils ne sont pas si fort occupés au bien commun de l’Église, qu’ils ne songent de temps en temps
la plus belle. Il n’y eut pas la moindre dispute là-dessus, et d’une commune voix elles furent jugées aussi froides l’une que
24 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
s dessein que plusieurs de ses Auteurs employent des façons de parler communes & triviales. S’ils ne mettent dans la bouche
nt toujours méprisable, quoique son stile soit très souvent bas & commun . Voici les termes de ce Poète élégant & judic
ite si elle est bien fondée. Il offre des choses trop viles, trop communes . Plaçons encore ici quelques uns des traits d
ofit ; c’en est assez pour que tous les Poètes vivans l’adoptent d’un commun accord. Ne cherchant, ne voyant, n’aimant que l’O
25 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
tion, au lieu que les Anciens y comprenoient toute l’enceinte du lieu commune aux Acteurs & aux Spectateurs. Quand la diffe
des habits plus simples, & n’avoient que des * souliers bas & communs . Leur Scene estoit un tas de maisons basses &
nt amplement deduits dans un moderne. Ie ne toucheray jcy que la plus commune Pegma., & qui servoit comme de base à toutes
& ie conçois tant pour l’une & l’autre difficulte, une raison commune qui me semble convainquante. Il y avoit en ce tem
26 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
re tous les chrétiens dont il explique par tout son livre les devoirs communs . Il est vrai que de temps en temps, et deux ou tr
lait toujours raffiner sur lui, et accommoder les vertus aux opinions communes et à la coutume. Encore que les saints pères n’ap
27 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XV.  » p. 470
XV. Les affections même communes ne sont pas propres pour donner le plaisir qu'on
28 (1675) Traité de la comédie « XV.  » p. 296
XV. Les affections communes ne sont pas même propres pour donner le plaisir q
29 (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132
as estre si hardis ny si ambitieux : Il y a des deuoirs qui leur font communs  ; Il y en a qui leur font propres. Et quand Varro
demie, qui estoit presente. Luy seul patissoit extremement dans cette commune joye ; Et après plusieurs mines de degoust, &
débordées iusques dans les Appartemens des Femmes ; dans les Sales du Commun  ; dans les Boutiques des Artisans. Ils donnent le
e. Ils veulent instruire directement & sans artifice, par la voye commune des preceptes ; au lieu qu’ils deuroient instruir
30 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
et le plus considérable est l'Edit du Préteur qui contenait le droit commun du peuple Romain, et qui déclare infâmes ceux qui
mains. Nous avons établi trois sortes d'Acteurs qui n'avaient rien de commun avec les Mimes, Planipèdes, Histrions ou Farceurs
que des intrigues populaires, leurs personnages tirés des conditions communes , et leurs actions accompagnées quelquesfois de pl
31 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
la pudicité Patricienne, que la pudeur étoit le partage des femmes du commun , mais non pas la vertu des Héroïnes & des Pri
ain que la loi de la pudeur, aussi-bien que celle de la chasteté, est commune aux deux sexes. Mêmes principes, mêmes raisons, m
n’est pas le fruit d’un systeme reflechi de legislation. Ce sentiment commun à tous, à l’ignorant comme au savant, aux simples
elles ne fussent pas plus parées que vous. Il a mal consulté le goût commun des hommes. Il ne peut y avoir qu’un libertin, do
llures d’une personne, qui sont des indices de son desordre ; mais le commun des hommes n’est pas capable de faire ce discerne
tres n’étoient pas plus élégans. Pauvres, vivans de la pêche, gens du commun , à qui tout manquoit, on sent bien que l’or &
doit jamais s’éteindre. On chante leur cantique funebre. Les mots si communs de sacrifice, victime, immolation, autel, &c.
32 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. De la Parodie. » pp. 78-89
udrais que la Parodie chantante fût composée de couplets sur des airs communs . On n’en perd point un seul mot, tout est saisi,
é qu’on y observe, c’est qu’une action noble est rendue quelques fois commune & populaire, & qu’on en diminue de beauco
33 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
e ne puisse dire ce qui est marqué dans le Bréviaire de Paris pour le commun des Pontifes : « Ille non vano tenuit tremendam
servi aussi de ce passage de S. Augustin pris de son Sermon de la vie commune des Clercs. « Je me suis séparé de ceux qui aimen
34 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 9
point de bouquets, et vous n’usez point de parfums13. Ce qui était si commun et notoire, qu’au rapport de Tertullien on reconn
35 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
la dédaigneroit, ou même s’en croiroit dégradé. Ces vérités sont trop communes pour nous y arrêter longtems. Ne prouvent-elles p
édaignons une phrase pompeuse, & sonore qui n’exprime qu’une idée commune ou déplacée. Nous ne manquons pas d’exemples de l
vers ? Qu’un esprit froid & rétréci, ait à vérifier cette pensée commune  : Je mourrai dans la maison où je suis né ; il au
36 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXI.  » p. 480
actions chrétiennes, comme la prière; mais aux actions mêmes les plus communes , lorsqu'on les veut faire dans un esprit de Chrét
37 (1675) Traité de la comédie « XXI.  » p. 309
pations Chrétiennes, comme la prière, mais aux actions mêmes les plus communes , lorsqu'on les veut faire dans un esprit de Chrét
38 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VIII. Qu’il n’est point permis aux particuliers de faire des Assemblées pour la danse, ni pour toute sorte de sujet. » pp. 33-35
la moindre occasion, et pour toute sorte de sujet. C’est le sentiment commun des Docteurs, et entre autres de saint Thomas, et
39 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158
dans les livres de priere & de piété, où elles étoient autrefois communes , tandis que les Dieux de la fable, les héros des
n les condamne si sévérement ; non seulement par le principe général, commun à tous les Chrétiens, qui défend les mauvais rega
rmain, examen, tit. des Peintres, enseigne la même doctrine, elle est commune , & ne fut jamais contestée, & c’est une d
emidore, il est beaucoup parlé des songes impurs, que la passion rend communs parmi les libertins, il ne regarde comme de bonne
40 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VIII.  » p. 462
vie, et la parole du diable qui est la semence de la mort ont cela de commun qu'elles demeurent souvent longtemps cachées dans
41 (1675) Traité de la comédie « IX.  » pp. 284-285
e, et la parole du Diable, qui est la semence de la mort, ont cela de commun qu'elles demeurent souvent longtemps cachées dans
42 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
l’on y prend bien garde on s’appercevra que ce défaut n’est que trop commun , et que malheureusement en tout pays on trouve de
ce serait très bonne pour le nouveau Théâtre : elle corrige un défaut commun à presque tous les hommes qui prennent aisément l
43 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
Secondement. Nos Poètes représentent indifféremment, et les femmes du commun et les femmes de qualité, tout le sexe en un mot
de l’honnêteté ? Ils en foulent aux pieds toutes les règles les plus communes . Ont-ils de la religion ? L’on ne s’y prendrait p
ple de femme mariée que l’on corrompe. Sur notre Théâtre rien de plus commun que des infidèles à leur époux : les modèles d’in
n et lui déclare qu’il ne reconnaît point les Dieux suivant la notion commune .Nub. a. 1. s. 3. Edit. Amstel. Le Poète lui dit e
és fabuleuses que le Philosophe s’efforçait d’abolir, au mépris de la commune créance. Il reste donc qu’Aristophane était bon P
ntées.Ran. p. 188. Et afin qu’on ne doute point de son opinion sur la commune créance, il avertit que quiconque ne paie pas le
c la Théologie des Païens ? ces caractères sont-ils d’après l’opinion commune touchant Hercule et Bacchus ? Est-il dans la bien
ton mesuré à l’élévation de leur rang : comme ils sont distingués du commun par la magnificence de leur parure, ils doivent l
44 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
que le Théâtre où l'on représente ces Spectacles honteux, est l'Ecole commune et publique de l'impureté pour ceux qui s'assembl
45 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XV. Application de la doctrine précédente aux danses et aux bals qui se font aujourd’hui. » pp. 94-96
blées de leur autorité privée, sans aucune raison qui regarde le bien commun  ; mais par la seule inclination vers son propre p
46 (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -
culation chimérique qu’il faut les considérer, c’est dans la pratique commune et ordinaire. Il faut considérer quelle est leur
47 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140
é. A la bonne heure, la contradiction entre les pieces de Théatre est commune  : mais il est inexcusable de blesser par la Scène
Je ne m’abaisse point à ces scrupules vains, Dont se laisse bercer le commun des humains, Et je laisse aux pédans ces austeres
veau la foiblesse & les crimes. Peu fait pour consulter l’opinion commune , Exempt d’ambition, maître de ma fortune, Je ne v
est dit de nos jours. Clément trouve peu vraisemblable qu’un homme du commun dise de pareilles injures aux Chambres assemblées
48 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
et Histrions et autres joueurs étaient effacés du rôle de la tribu du commun peuple, et n’étaient point tenus pour citoyens Ro
ui sont bannies des Comédies de ce siècle, qui n’ont rien que le nom, commun à celles du passé : Celle-ci traitée par gens doc
lus parfaites, et fort éloigné de celles des affections qui nous sont communes , avec les bêtes qui n’ont que le sentiment, que l
49 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
pour une République en Idée. Bannir les Comediens de la vie civile et commune , ce serait ôter les histoires des livres, les bel
abusent aussi bien que de la volupté. De dire que le plaisir nous est commun avec les animaux, cette objection est inutile ; c
tte objection est inutile ; car le Soleil est-il moins beau pour être commun à tout le monde, et les Eaux sont-elles moins agr
50 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
rs, dont l'une est blanche et l'autre est brune, et qui n'ont rien de commun que certains traits presque imperceptibles qu'ell
51 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
es convenables, afin d’ôter un abus si insupportable, et néanmoins si commun  ; et le zèle de la gloire et du salut des âmes, a
52 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre IV. De l’illusion Théâtrale. » pp. 64-79
is le public seroit dans la disposition la plus favorable. Rien de si commun que de voir sur le Theâtre des Acteurs immobiles,
soit dans tout ce qui les accompagne. Il est encore une obstacle fort commun à l’enchantement Théâtral. Ce sont ces battemens
53 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VII. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques étaient distingués des Histrions et Bateleurs des Jeux Scéniques. » pp. 145-164
ourquoi le chœur, qui ne représentait ordinairement que des hommes du commun , ne se servaient que de tons modestes, tristes et
st en cette signification générale, et parce qu'ils n'en ont point de commun pour ces deux exercices qu'ils font conjointement
54 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIV. Que les danses sont aussi défendues les jours des Fêtes par les lois Canoniques. » pp. 76-93
ute que ces Auteurs ont eu plus d’égard dans cette occasion à l’usage commun de leur temps, qu’à la vérité et à l’esprit de l’
les lois Ecclésiastiques et civiles. D’où il s’ensuit sur le principe commun , et reçu de tout le monde, que celui-là pèche mor
55 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
ent attaqués, la Coquetterie, et la Misanthropie, dont le premier est commun et fournit bien des exemples dans Paris, et l’aut
ute la Pièce, mais on n’y trouve aucune de ces Scènes de tendresse si communes dans les Comédies de ce siècle, et dont le poison
56 (1667) Traité de la comédie « Préface » pp. 452-454
a Comédie, non dans une spéculation chimérique, mais dans la pratique commune et ordinaire dont nous sommes témoins. Il faut re
57 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
tissements dans le monde, qui passent pour légitimes et que l’opinion commune des gens du siècle autorise, mais que le christia
t moins d’impression sur l’ame. Ils m’apprendroient que dans l’estime commune des fideles, on ne croyoit pas pouvoir garder le
ur termes et qu’à les prendre dans le sens le plus naturel et le plus commun  : sur quel autre sujet se sont-ils expliqués avec
andis que je passe à un nouvel article, non moins important, ni moins commun . Car ce que je puis encore compter parmi les dive
i se passe devant nos yeux. Un homme du monde qui fait du jeu sa plus commune et presque son unique occupation, qui n’a point d
perd, pourvu qu’il joue. Ces exemples peut-être ne sont-ils pas aussi communs qu’ils ont été autrefois ; mais ne le sont-ils pa
58 (1675) Traité de la comédie « I. » pp. 272-274
a Comédie, non dans une spéculation chimérique, mais dans la pratique commune et ordinaire dont nous sommes témoins. Il faut re
59 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
célebres que des impiétés & des blasphêmes : sous ce prétexte si commun , mais aussi dangereux que sophistique & frivo
ence, est le plus sûr écueil de l’innocence. On prétexte l’expérience commune , sa propre expérience ; & moi je dis, en seco
ropre expérience ; & moi je dis, en second lieu, que l’expérience commune & générale, c’est que le théâtre a perdu de t
Tribunal où il nous cite. J’ai dit, en second lieu, que l’expérience commune & générale est que le théâtre a perdu de tout
ous animent à persévérer dans le bien que vous avez commencé. Rien de commun entre vous & le monde, si vous voulez vivre e
60 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
llasse et un vilain homme habillé en Bohèmienne ; après quelques airs communs de tambour de basque ; après les exercices d’un p
s lui dit que sa blessure est feinte, &c. &c. Ce Drame pillé, commun , puéril, est écrit du style le plus plat. Les eff
oins innocens. Chez quelques uns l’espérance de goûter un plaisir peu commun à voir ces tendres beautés s’évertuer autour d’eu
igence des devoirs, libertinage, en voilà les principaux, et ils sont communs aux deux sexes (avec les différences que les deux
t bon pour développer rapidement le germe de libertinage qui nous est commun à tous ! Bientôt ils ne connoissent plus de frein
61 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
nt de nos ennuis et afflictions, ains souffrent et compatissent d’une commune condoléance avec nous. C’est pourquoi ne se peut
62 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
s Compatriotes, le caractère qu’elle doit avoir pour changer la façon commune de penser… Elle aura des défauts d’exécution, j’
sujet soumis  ? Que de graces à rendre au Ciel s’ils ne sont pas plus communs de nos jours, ces monstres, dont les noms serviro
-là cette puissance passive, cette sensibilité physique qui nous est commune avec les animaux  ? Pour établir qu’elle a dans n
nt du bal Ont souvent perdu davantage. Quelles sont donc les notions communes de nos hommes de Théâtres ? Parce qu’ils nous fon
tous, le plus céleste seroit bien la prudence, si le Ciel la rendoit commune à tous les Citoyens  ! Que ne sommes-nous tous au
lui ce qu’Horace disoit à Virgile sur la mort de Quintilien leur ami commun  :         Cui pudor & justitiæ soror, Incorr
onheur public  ? Pour faire taire ce langage de l’homme sans foi trop commun parmi nous, puissiez vous, portion chérie du trou
s enfans infortunés qui sont nos freres, & dont la cause nous est commune à tant d’égards, cesseront d’être un objet d’ana
sans honte, mais même avec estime, le talent si agréable & si peu commun de nous divertir ? Au moins est-il certain que n
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141
omédie. « Les caractères des Drames comiques, s’écrie-t-il, sont fort communs , & toujours les mêmes. » Les siens sont varié
64 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre dernier. Conclusion. » pp. 345-347
croire qu’on était convenu de n’insérer dans ces Poèmes que des Hèros communs & populaires, puisqu’on n’en voit presque que
65 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre X. Les spectacles ne sont propres qu’à rendre romanesques ceux qui les fréquentent. » pp. 102-104
qui y parlent sont assez éloignés de ceux dont on se sert dans la vie commune , on y prend insensiblement une disposition d’espr
66 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
remier lieu dit que, pendant lesdits jeux et tant qu’ils ont duré, le commun peuple, dès huit à neuf heures du matin ès jours
risoires, qu’ils jouent en la fin ou au commencement, pour attirer le commun peuple à y retourner, qui ne demande que telles v
font auxdits jeux commessationsap et dépenses extraordinaires par le commun peuple, tellement que ce qu’un pauvre artisan aur
67 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
ésentais que l’esprit d’irréligion, si funeste à tout le monde, et si commun au théâtre, se répand plus facilement dans le peu
mations contre l’état monastique leur en font un devoir, rien de plus commun que le célibat. On s’en est plaint cent fois, on
temps où le théâtre fut le plus en vogue, que le célibat fut le plus commun . Dans les premiers temps de la République, où la
68 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature. » pp. 1-5
du corps ; il n’y a rien qui nous empêche d’entrer dans le sentiment commun des Docteurs, et de dire avec eux qu’elles ne son
69 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
ques sont bien nés sujets du roi, et soumis comme les autres à la loi commune , mais il ne faut pas oublier qu’ils tiennent auss
70 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
e chercher de bonne foi, et sans d’autre passion que celle du bonheur commun , comment il s’est fait que, malgré toutes nos lum
ibelliste froid qui, à la vue de la plus grande misère, et du pouvoir commun à tous les hommes d’être immoral, m’a contesté l’
71 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
De l’assistance aux Théâtres Ce ne sont pas seulement les gens du commun qui assistent aux spectacles pour y entendre les
stome en une Homélie de la Pénitence, nomme le Théâtre, « la boutique commune de la luxure, le collège public de l’incontinence
72 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « PRÉFACE. » pp. 3-6
range changement dans la morale Chrétienne ; que les notions les plus communes de plusieurs vérités capitales, sur lesquelles la
73 (1674) Le Theâtre François pp. -284
Plaute & Terence trauailloient pour le Theâtre. Cela n’a rien de commun auec nôtre siecle, & il me suffit de montrer,
ont chacune vn corps à part. XIX. Leur emulation tres vtile au bien commun . XX. Rencontres fâcheuses de deux Troupes de Pr
grande qualité, ou leur grand merite releuent au dessus des personnes communes , & le plus souuent c’est entre des Princes &a
ation naïue & enjoüée d’vne auanture agreable entre des personnes communes  ; à quoy l’on ájoûte souuent la douce Satyre pour
piece bien disposée en reüssit beaucoup mieux, & c’est l’interest commun de l’Autheur & de la Troupe, & méme de l’
si dans la distribution des rôles ils ont d’autres veües que le bien commun , & de la Troupe, & du Poëte, & de l’A
r, ce defaut ne rejallit pas sur tout le Corps, & c’est vn defaut commun à tous les Estats & à toutes les familles. Ce
ont voix deliberatiue en toutes les affaires qui regardent l’interest commun . Mais il se rencontre comme ailleurs aux vns &
lation que ie feray voir ailleurs tres necessaire & vtile au bien commun , ne va presentement à Paris que d’vn bord de la S
heuaux qui leur sont fournis de l’Ecurie, ils ont de gratification en commun mille écus par mois, chacun deux escus par iour p
amis, & que chaque particulier n’eust d’autre veüe que l’áuantage commun du Corps où il se trouuoit vni : mais la gloire m
ue ie blamerois d’auantage, si ces petites jalousies ne leur estoient communes auec toutes les Societez. Mais, comme ie l’ay dit
Maîtresse du Peloponnese, & l’autre de l’Achaïe, qui auoient pour commune barriere vn Isthme fameux, gouuernées par des loi
& en general dans toutes les rencontres qui regardent l’interest commun . Ce seroit à luy d’en faire l’ouuerture, & de
; à la Ville, il s’est serui auec joye de ces áuantages, pour le bien commun du Corps, qui luy abandonnoit la conduite des aff
ccedé aussi dans le soin & le zele qu’il auoit pour les interests communs , & pour toutes les affaires de la Troupe, aya
74 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
oix, par les rituels, par les canons de quelques conciles. Les droits communs à tous les hommes devroient-ils être refusés à de
des Pratiques superstitieuses, livre où il se donne pour une ame peu commune , étoit superstitieux comme un autre : on a dit qu
es pères de l’église lançoient tant d’anathêmes, ont quelque chose de commun avec nos pièces régulières ; si les changemens ar
75 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
, les trahissent. Outre la licence, la malignité, l’irréligion, excès communs à tous les théatres, dont on ne se défend gueres,
elui de Machiavel en a deux que l’on ne veut pas avouer, quoiqu’aussi communs , le plagiat & les personnalités. Quoiqu’on ne
sons point le procès à Machiavel : ses émules, ses imitateurs sont si communs  ! Plusieurs historiens assurent qu’il mourut athé
76 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
e ? Ces désordres ne sont-ils pas le sujet des conversations les plus communes du Parterre, des Loges, des Balcons, des Promenad
pas un Curé qui fait son Prône et son métier, suivant un propos assez commun , qui enseigne toute cette bonne Doctrine ; c’est
ure une vertu qui nous engage à toute entreprise au-dessus des forces communes et ordinaires pour un objet honnête, utile, impor
77 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
Refusent. m. [NDE] = ce qui règle la vie de la cité. n. [NDE] = le commun peuple, le vulgaire. Donc : le peuple. o. [NDE]
78 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre XI. Du Balet. » pp. 209-318
e de force & de relief. Cette representation a beaucoup de choses communes avec les Poëmes Dramatiques, & les uns &
ute, la felicité des meilleurs temps. Toutefois si le Balet a cela de commun avec la Comedie, il a ses differences & ses r
i suit. Par exemple, l’Entrée du Maistre d’Hostel, n’a de soy rien de commun avec celle des Massons ou des Courtaux de Boutiqu
il doive estre plus hardy & plus vigoureux, que celuy de la Dance commune , dont on use dans les Bals & dans ces Dances
luy-mesme, & fait faire ainsi une double faute. C’est une maxime commune au Balet & à la Musique. Il faut que chacun t
ie sans avoir aucun égard à son Compagnon. Il faut plus qu’un sçavoir commun & qu’une force ordinaire, pour secourir à la
nt point trop mal à nos deux manieres de Dance, à l’ordinaire ou à la commune dans les Bals publics & particuliers, & à
le-cy est toutefois la plus considerable, quoy que la matiere en soit commune & de peu de prix, car ce n’est que du carton,
es Dames peuvent s’habiller, & se coeffer separement. Les Danceus communs ont diverses chambres où ils peuvent placer seure
79 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
Danses-de-corde sont une peinture, quelquefois assez vraie, des mœurs communes des gens de la plus basse condition. Je dis une p
es des gens de la plus basse condition. Je dis une peinture des mœurs communes  ; parce que la Comédie-Ariette, qui peint les mêm
ait un Artiste intelligent, inventeur d’un ouvrage au-dessus des vues communes  ; & rien de plus naturel que la curiosité de
erneront les Filles : chaque jour elles s’assembleront dans une Salle commune , où deux de leurs Gouvernantes présideront toujou
80 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
païen et un publicain, livrant à Satan, etc., prive de tous les biens communs à tous les fidèles. Cette procédure est très régu
tte question. Je les rapporte, mais en peu de mots, parce que quoique communs parmi les Théologiens, ils sont fort peu connus d
la plus grande de ces peines, qui prive de tous les biens spirituels communs au troupeau. Il en est de générales imposées par
rofits de leur métier. Il répond que sans doute elle est due de droit commun , puisque chacun la doit de son industrie, et qu’i
81 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIV. Le sentiment, juge plus sûr que le goût. Celui-ci préféré au premier. Pourquoi ? Amour du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on employe pour les éluder.  » pp. 129-150
du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop communs . Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on em
enfantent de faux préjugés dans les jeunes gens, & même parmi le commun des spectateurs. Si l’on en excepte les Journalis
82 (1825) Des comédiens et du clergé « Table des matières, contenues dans ce volume. » pp. 409-427
prêtres qui commettent des délits et des crimes sont sujets à la loi commune , et il n’y a aucune exception en leur faveur, pag
es jésuites, pag. 236. Madrid (procession de), pag. 274. Maires des communes doivent surveiller la conduite des ecclésiastique
83 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVI. Efficace de la séduction des Spectacles. » pp. 36-39
& la parole du diable qui est la semence de la mort, ont cela de commun qu’elles demeurent souvent longtems cachées dans
84 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
upations chrétiennes comme la priere, mais aux actions mêmes les plus communes , lorsqu’on les veut faire en esprit de Chrétien,
l’Evangile lui-même est une manifeste condamnation des spectacles si communs dans notre siécle. Les personnes mondaines n’ent
re aimer plus aisément. Ab omnibus ad spectaculum concurritur, commune dedecus delectat, vel recognoscere vitia, vel dis
état, s’il veut. Troisiéme Siécle. Viri & fœminæ communes constituentes choros, sese invicem libidinum teli
plaisirs grossiers des spectacles, les actions mêmes sérieuses & communes deviennent à charge. On n’aime plus qu’à se satis
nt d’autres vices que nos peres ne connoissoient pas, seroient-ils si communs , si les spectacles ne les occasionnoient pas ? Ve
ence, est le plus sûr écueil de l’innocence. On prétexte l’expérience commune , sa propre expérience ; & moi je dis en secon
propre expérience ; & moi je dis en second lieu, que l’expérience commune & générale, c’est que le théâtre a perdu de t
nal où il nous cite. Preuves de la seconde Soudivision. L’expérience commune & générale est que le théâtre a toujours perd
perd encore toutes les mœurs.J’ai dit en second lieu que l’expérience commune & générale est que le théâtre a perdu de tout
ous animent à persévérer dans le bien que vous avez commencé. Rien de commun entre vous & le monde, si vous voulez vivre e
nfans aux spectacles. Preuves de la seconde Soudivision. L’expérience commune & générale est que le théâtre a toujours perd
85 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
ire ce choix. Il n’est question ici que des nouveautés. Rien de plus commun que les murmures des Comédiens sur le nombre des
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
i leur inspire une pareille idée, c’est que n’y voyant que des choses communes , ils concluent qu’elles doivent venir aisément da
87 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
scours de grimaces qui faisoient rire. Ses mots qui auroient été fort communs dans la bouche d’un autre, devenoient piquans &am
cesseur, en fait peu à l’Académie, l’amour pour la Religion doit être commun à tous les chrétiens, & l’Académie plus éclai
tous deux gens de condition, estimés dans le monde, ce qui n’est pas commun dans l’Empire de Thalie, l’un Chevalier de Malthe
ine implacable, & avec lui tout son parti qui fait avec lui cause commune , Merville qui avoit beaucoup de douceur & un
iquent, ç’en est tout le mérite. En voici un qui a plut, quoique fort commun , Fleur d’Epine, pour amuser un Prince imbécile, l
88 (1632) De spectaculis theatralibus pp. 339-351
m probro dare abusum voluptatum quas cum reliquis animantibus habemus communes , et quibus velut in similitudinem brutorum degene
vitatem insinuantes. Hæc etsi inter se differant habent tamen aliquid commune , quod in omnibus postremum illud de turpitudine i
si nuntium remisimus, nihil deinceps nobis cum Idololatris debet esse commune . Tertium autem caput, de turpitudine, magis ad no
89 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
les Farceurs d’autrefois, et les Comédiens d’à présent n’ont rien de commun . Que l’excommunication qui regarde les uns, ne pe
s personnes naturellement sages et circonspectes ne sont pas les plus communes  ; et sans trop de rigidité, on pourrait regarder
90 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
s cercles ou sociétés de douze ou quinze personnes qui louent à frais communs un appartement commode, et où les associés se ren
affaiblie, combien de causes peuvent y contribuer, qui n’ont rien de commun avec les mœurs ? L’assertion est laconique, la di
sseau l’avouera lui-même. Il a donc fallu avoir égard au vice le plus commun , je ne dis pas de son siècle et de son pays, mais
e le ridicule en jeu ; la comédie l’a pris dans la peinture de la vie commune , tantôt pour objet principal, et tantôt pour prem
e l’état. Il n’est donc pas étonnant que l’amour, qui n’avait rien de commun avec le gouvernement d’Athènes, n’y fût point adm
croiriez-vous moins fondées ? A votre avis, ces modèles sont-ils plus communs parmi nous ? « Les imbéciles spectateurs vont, di
, un esprit droit, et une sensibilité modérée, leur est donc au moins commun avec les hommes. Je le dis à propos des Arts, je
aturel, sans aucune trace de moralité. J’avoue que cet amour est plus commun dans les Villes opulentes et peuplées ; j’avouera
Théâtre ; en nous intéressant, prend soin de réunir dans une émotion commune tous les sentiments vertueux qui doivent se combi
: tout est poison pour une telle âme. Mais supposons, ce qui est plus commun , c’est-à-dire, un homme qui ne se livre à l’amour
quilibre est une chimère. Lycurgue, pour rendre toutes les affections communes , a été obligé de rendre tous les biens communs ju
toutes les affections communes, a été obligé de rendre tous les biens communs jusqu’aux enfants, et de former son nœud politiqu
agination, leur âme, leurs veilles, et le don de feindre qui leur est commun avec elle. C’est principalement ce don de feindre
91 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
omédie fut considérée comme une peinture naïve et plaisante de la vie commune , et la Tragédie, comme un portrait magnifique et
92 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
ficultés, qu’on a de justifier la Comédie. La première est la créance commune des peuples, que c’est pécher contre les règles d
93 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
ux mœurs, que dans le cas où l’on en feroit un mauvais usage, (danger commun à tous les arts qui peuvent devenir pernicieux pa
res. Cet amour de soi, indépendamment de tout, le sépare de l’intérêt commun  ; & la plus grande faveur qu’on lui puisse ac
nt d’instruire sont ennuyeux, toujours en vous exceptant de cette loi commune , à laquelle vous soumettez tous les autres. Il fa
u. Cette vertu qui vous est si précieuse, que tout le monde aime, est commune aux deux sexes : il est dans le monde plus d’une
es armes unies aux leurs, avoient tant de fois contribué à la défense commune de la liberté de la Grece ; ces Spartiates si jal
e sa propre conservation, lorsqu’il falloit la sacrifier à la défense commune . On peut juger par ces effets que les spectacles
94 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
ui ces qualités, ce n’est plus, si j’ose parler ainsi, qu’une passion commune et bourgeoise. Mais, dira-t-on, en peignant l’amo
i en eux-mêmes ne blessent point l’honnêteté) une des causes les plus communes des actions criminelles que nous reprochons aux a
plus de finesse. La raison en est, si je ne me trompe, que les sujets communs sont presque entièrement épuisés sur les deux Thé
armes par des situations intéressantes, et de nous offrir dans la vie commune des modèles de courage et de vertu ; « autant vau
l n’est pas rare d’en voir qui résistent longtemps, et il serait plus commun d’en trouver qui résistassent toujours, si elles
n échappent dans le peuple ont assez de force pour découvrir aux âmes communes l’attrait et les avantages du vice, et non pour l
95 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
parlant des comédies sales et déshonnêtes, il les appelle la boutique commune de l’impudicité, l’école publique de l’incontinen
96 (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XIII. Du temps que l’on perd au bal et à la danse. » pp. 280-284
erd au bal et à la danse. Le bal a beaucoup de choses qui lui sont communes avec le theatre, mais la principale est la perte
97 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145
public sont toujours d’accord. C’est une contradiction en effet fort commune dans le monde entre les sentimens & la condui
é pour en prendre qui plaît davantage : l’héroïsme à ce prix est bien commun . Peut-on en avoir, peut-on en donner des idées si
le seroit pas moins : car enfin la loi doit être égale ; le lien est commun , l’obligation est la même. Que deviendroient les
deux époux ? Ne pourroient-ils pas même se concerter à commettre d’un commun accord un adultere pour se séparer. Le roi de Pru
98 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29
une danseuse une galerie superbe, tapissée de diamans (ils sont fort communs aux Indes), où sur la muraille serpentoit une vig
brouiller, se raccommoder, jouer le bonheur, &c. C’est l’opinion commune que l’amour ne doit jamais avoir des chaînes ; on
t les objets des passions & les enflammant, rendant la jouissance commune & facile par des invitations régulieres &
sentiment, en détruisant le charme de la délicatesse. Cer abandon si commun au théatre, à toute sorte de goûts, pourquoi est-
99 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
es dans la même personne étoit une invitation au crime abominable, si commun parmi les Payens, qui fit tomber le feu du ciel s
, défendeurs, d’autre. Disent les demandeurs que combien que de droit commun les Maris soient en bonne, pleine & paisible
re rêveur ou fâcheux. Lesquels privilèges servent de réponse au droit commun des maris, parce qu’un privilege spécial déroge a
ues. Pour le bien & utilité publique, franchise & liberté commune , il est permis à toutes gens d’aller en masque, f
100 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
-il, parlant du Mystere de la Passion, et des Actes des Apostres), le commun peuple dès huit à neuf heures du matin ès jours d
Aristote. i. [NDE] : Saint-Evremond donne ici la traduction la plus commune de la notion de catharsis (Aristote, Poétique, VI
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