, n’en a point dépassé les intentions et n’a point transgressé la loi
commune
. Elle a attendu pendant dix ans, dans le silence
réhabilitée par la Charte, elle ne devait pas aller au-delà de la loi
commune
; elle s’est soumise à l’esprit de cette loi ; el
, voila sa position légale ; se porter extra, c’est enfreindre la loi
commune
. Ce que nous venons de dire est si vrai, que le l
essus des autres citoyens, elle les a rangés au contraire dans la loi
commune
, elle ne peut en conséquence leur permettre d’app
t en France, c’est pour exister dans la propre conscription de la loi
commune
, et non pour la dépasser et aller au-delà. S’il e
prince, qui se trouve, en beaucoup de circonstances, soumis aux lois
communes
du royaume. Ainsi, le roi respecte la volonté du
ls le dégoûtent en quelque manière de toutes les actions sérieuses et
communes
. Comme on n'y représente que des galanteries ou d
eux qui y parlent sont assez éloignés de ceux dont on use dans la vie
commune
;on y prend insensiblement une disposition d'espri
tyrans !…… On peut donc mettre sur la Scène, les conditions les plus
communes
: on peut, non pas leur donner le bel-esprit, mai
uble Dépôt, qui… Tracez-nous le portrait de ces indignes égoïstes, si
communs
dans vos villes, qui vivent pour eux-seuls, &
es-Italiennes en cinq Actes, offrent une peinture burlesque des mœurs
communes
: le tableau qu’elles font, est souvent très-vrai
Comédie dont nous sommes surchargés, est très inutile : outre que le
commun
des Spectateurs perd les deux tiers de ce que l’o
ie. Je lui abandonne celles qu’il attaque : nous ne fesons pas cause
commune
. [Des Arcis reprend sa lecture] :
le, qui a déjà donné plusieurs autres preuves de son amour du bonheur
commun
, la plus sûre pour éviter de compromettre, ou con
oit de contribuer à l’élection de nos législateurs, de nos magistrats
communs
dont les rapports avec nos personnes, avec nos in
ssent manquer sans châtiment. Alors nous pourrons participer au droit
commun
, et notre patrie cessera d’être pour nous un séjo
l’Europe un seul chevalier errant ? La satyre & la médisance sont
communes
. Y a-t-il de conversation, surtout sur le théatre
alantes, licentieuses, dont le vice se nourrit ? Elles sont bien plus
communes
& bien plus dangereuses que les chevaliers de
l, de folie & de sagesse, d’absurdités & de bonne morale, est
commun
dans les pieces de théatre, où il est ordinaire d
de l’amour, qui regne sur le théatre, cette passion si naturelle, si
commune
, si violente ; quel désordre ne cause-t-elle pas,
n conséquence cessé, et devaient naturellement cesser d’avoir rien de
commun
avec le clergé, à raison de la profession d’acteu
t uniquement frappée de l’animadversion des prêtres ; il aura un sort
commun
avec tous les autres infracteurs des pratiques de
r ses droits ; on n’ose y débiter que des leçons d’une morale usée et
commune
; la soumission aveugle au despotisme des rois y
s gouvernemens, et qu’on n’y introduit que des hommes d’une condition
commune
, il conserve plus de liberté que la tragédie. Mai
du théâtre, en déclarant que toutes les pieces imprimées doivent être
communes
aux différens théâtres cinq ans après la mort de
doivent-ils être fixés ? 5°. Les pieces imprimées doivent-elles être
communes
à tous les théâtres après la mort des auteurs ? 6
viléges dramatiques. §. V. Les pieces imprimées doivent-elles être
communes
à tous les théâtres ? Une piece de théâtre im
avori, que la liberté n’est pas la licence. Qui doute de cette vérité
commune
? Les loix sont faites pour protéger la liberté,
t au profiter. 10. On se rappelle la résistance de l’assemblée de la
commune
; la lutte du district des Carmes et de celui des
ni italien, etc. Ils ont fait plus, en présentant à l’assemblée de la
commune
un mémoire, par lequel ils réclament les privilég
s après la mort de l’auteur, toutes ses pieces seront sensées un bien
commun
à tous les théâtres. Art. XIX. Les articles 14,
15, 16 et 17 regardent aussi la musique imprimée, et l’article 18 est
commun
à la musique de théâtre, imprimée ou manuscrite.
le n’ont rien obtenu. 23. Adresse de MM. les comédiens François à la
commune
de Paris, page 10, l. 19. 24. On lit dans un ar
particuliers, ayant leurs fenestrages et ouvertures faites à la mode
commune
. Ceux de la Satirique étaient ornés d’arbres, Cav
s : ce néanmoins tous ces Spectacles et leurs parties avaient ceci de
commun
, que les parois n’étaient point ceintes à l’entou
forts, néanmoins plus doux, en ce qu’ils paraissent plus justes étant
communs
dans les assemblées. Il est certain que si les th
s, et l’on se propose pour dernière fin, une volupté qui est l’amorce
commune
de tous les vices ; et d’autant que ces acteurs v
it égale, si la corruption de notre siècle, n’avait rendu ce mal trop
commun
Lib. 4. Can. de malef. et Mathem. . Ouvrir son â
n a-t-il pas une plus simple, & qui convient plus généralement au
commun
des hommes ? C’est que rien ne leur est plus agré
n a-t-il pas une plus simple, & qui convient plus généralement au
commun
des hommes ? C’est que rien ne leur est plus agré
al réel, ni même d’aucun trouble importun, passeroit dans l’esprit du
commun
des hommes, si elle pouvoit être durable, pour l’
ir dans ceux qu’on appelle des Héros ; & une passion qui nous est
commune
avec eux, ne paroît plus une foiblesse ; on se ré
me, tout ce qui s’éleve au-dessus des sentiments & des actions du
commun
des hommes, fait sur nous une impression aussi fo
, & réduit ainsi la variété à l’unité. Outre cet avantage qui est
commun
à la Tragédie avec tous les ouvrages bien ordonné
enre que la Tragédie dans le sien : le mérite de l’imitation leur est
commun
, & le plaisir doit être égal à cet égard. Mai
y fait couler des larmes passageres, mais, en un sens véritables. Le
commun
des hommes aime mieux se laisser agiter, échauffe
habitude des regles de son Art, peut en être frappé plûtôt ; mais le
commun
des hommes jouit des sentiments que la Musique fa
de Folie & de Sagesse, de Foiblesse & de Fermeté, n’a rien de
commun
avec le plaisir de l’Imitation renfermé dans ses
lus d’admiration le portrait d’un grand homme que celui d’un homme du
commun
, quoique l’un & l’autre portrait soient égale
e les réduire au seul désir d’apprendre & de s’instruire, qui est
commun
à tous les hommes. Le plaisir que nous sentons à
s rapports le sont aussi ; ils sont par conséquent moins agréables au
commun
des hommes que ceux qui sont sensibles, & qui
veut satisfaire, en unissant le jeune Des Arcis, à la fille d’un ami
commun
. Dans les circonstances où tu te trouves, tout ce
Tianges doit ignorer que les habitans des villes, dans les conditions
communes
, privent quelquefois leurs familles du nécessaire
tionnablement ; disant en outre que s’ils jouaient publiquement et en
commun
, que ce serait le profit de ladite Confrérie ; ce
sus toutes et quantes fois qu’il leur plaira, soit devant Nous, notre
Commun
ou ailleurs, tant en recors qu’autrement, et d’eu
à n’y représenter que des pièces de piété ou de morale, sous ce titre
commun
de Moralités, pendant près d’un siècle et demi. F
et humaine pour l’accomplissement d’un dessein, les péchés de la vie
commune
en comparaison de cela ne leur paraissent plus qu
elque chose, s’ils se laissent aller à une désobéissance, qu’une voix
commune
fait passer pour une invincible fidélité, s’ils s
jouissez avec eux : les craintes, les espérances, les joies vous sont
communes
; vous êtes d’esprit et d’affection dans tous leu
plaisirs grossiers des spectacles, que les actions même sérieuses et
communes
deviennent à charge, qu’on n’aime plus qu’à se sa
le blasphème, tant d’autres vices inconnus autrefois, seraient-ils si
communs
, si les spectacles ne les occasionnaient pas ? Ve
ssemens dans le monde qui passent pour legitimes, & que l’opinion
commune
des gens du siécle authorise ; mais que le Christ
nt moins d’impression sur l’ame. Ils m’aprendroient que dans l’estime
commune
des fideles on ne croyoit pas pouvoir garder le s
mes & qu’a les prendre dans le sens le plus naturel & le plus
commun
: sur quel autre sujet se sont-ils expliquez avec
lus légitimement employée que pour appuyer et faire observer le droit
commun
, les Evêques peuvent la défendre par leurs Ordonn
e que la puissance Episcopale n’est pas tellement bornée par le Droit
commun
, pour ce qui regarde les mœurs, qu’elle ne puisse
grandes palmes, & les palmes reviennent à peu pres à nostre pied
commun
. Sa circonference est de 195 cannes, & sa sur
ribuer au Peuple la viande qui luy estoit destinée, ce mot est devenu
commun
à ces deux fortes de solemnitez. Par cette autre
à d’avantage. Et enfin, les Empereurs suivants rendirent la chose si
commune
, que l’on en exposoit au carnage par centaine aus
t. Chaum, Gall. vet. Raphium. Pl. l. 8. c. 12. l. 8.Depuis ils furent
communs
, pres-qu’à tous ceux qui entreprirent de pareille
p; extraordinaire Beste. Il la fit venir de Iudée, où le bruit estoit
commun
que c’estoit le Squelete du Monstre à qui Androme
rne embrasse de sujets différens : les uns sont tout-à-fait bas &
communs
; les autres ne le sont qu’à demi. Ceux-là joigne
paroles, & qui offre une intrigue basse, ainsi que des caractères
communs
; doit être appellé Opéra-Bouffon. Il s’en suit d
ne inconséquence dans la conduite, qui n’est malheureusement que trop
commune
parmi des gens d’ailleurs très respectables. Il s
n a retranché et qu’on n’y souffre plus les grossièretés ; et la plus
commune
opinion des hommes est que, parmi les amusements
images, sans embonpoint, sans carnation. Ce défaut est d’autant plus
commun
, qu’il est fondé sur un préjugé qui a des partisa
ossible de soutenir une grande action avec des ressorts foibles &
communs
? Le défaut contraire n’est pas moins funeste aux
re des réflexions affligeantes. Le désordre doit assurément être bien
commun
pour avoir fourni la matiere d’un poëme, & fr
c’est un des travers qu’il faut moins épargner ; Il n’est pas fort
commun
, mais il pourroit gagner. Il faut en enrageant
bscénité perpétuelle. D’abord on veut faire croire que l’adultère est
commun
: c’est le sort inévitable de tous les maris, où
ommençoit à régner. A mesure que le goût s’en répandit, ils devinrent
communs
, & grace à la loi Chrétienne, qui déclare le
ouver jusques dans les enfers. En imposé-je ? n’est-ce pas le langage
commun
de tous les théatres ? Les plaintes ordinaires de
est mille fois plus intraitable. Les célibataires de libertinage, si
communs
aujourd’hui, qui s’avisent de condamner les célib
prunte de toutes mains, à tout prix, est un mal plus grand & plus
commun
, qu’on excuse pourtant sous prétexte de l’extrémi
êcheraient de pécher en repos, fait qu'ils demeurent dans des erreurs
communes
, sans vouloir examiner si ce sont en effet des er
tes sortes de Poèmes Dramatiques, et en général, par ce qu'ils ont de
commun
, et en particulier, par ce qui fait leurs espèces
d'en venir à un plus grand détail ; et après avoir dit ce qui est de
commun
à toutes les Comédies, et qui compose comme leur
ière a encore ses subdivisions ; car, si elle est entre des personnes
communes
, elle retient simplement le nom de Comédie ; et s
a représentation d'une aventure agréable et gaie, entre des personnes
communes
. Ce qu'on entend par le terme de Tragédie, est la
t imposées à eux-mêmes, et qu’ils ne sont pas si fort occupés au bien
commun
de l’Église, qu’ils ne songent de temps en temps
la plus belle. Il n’y eut pas la moindre dispute là-dessus, et d’une
commune
voix elles furent jugées aussi froides l’une que
s dessein que plusieurs de ses Auteurs employent des façons de parler
communes
& triviales. S’ils ne mettent dans la bouche
nt toujours méprisable, quoique son stile soit très souvent bas &
commun
. Voici les termes de ce Poète élégant & judic
ite si elle est bien fondée. Il offre des choses trop viles, trop
communes
. Plaçons encore ici quelques uns des traits d
ofit ; c’en est assez pour que tous les Poètes vivans l’adoptent d’un
commun
accord. Ne cherchant, ne voyant, n’aimant que l’O
tion, au lieu que les Anciens y comprenoient toute l’enceinte du lieu
commune
aux Acteurs & aux Spectateurs. Quand la diffe
des habits plus simples, & n’avoient que des * souliers bas &
communs
. Leur Scene estoit un tas de maisons basses &
nt amplement deduits dans un moderne. Ie ne toucheray jcy que la plus
commune
Pegma., & qui servoit comme de base à toutes
& ie conçois tant pour l’une & l’autre difficulte, une raison
commune
qui me semble convainquante. Il y avoit en ce tem
re tous les chrétiens dont il explique par tout son livre les devoirs
communs
. Il est vrai que de temps en temps, et deux ou tr
lait toujours raffiner sur lui, et accommoder les vertus aux opinions
communes
et à la coutume. Encore que les saints pères n’ap
XV. Les affections même
communes
ne sont pas propres pour donner le plaisir qu'on
XV. Les affections
communes
ne sont pas même propres pour donner le plaisir q
as estre si hardis ny si ambitieux : Il y a des deuoirs qui leur font
communs
; Il y en a qui leur font propres. Et quand Varro
demie, qui estoit presente. Luy seul patissoit extremement dans cette
commune
joye ; Et après plusieurs mines de degoust, &
débordées iusques dans les Appartemens des Femmes ; dans les Sales du
Commun
; dans les Boutiques des Artisans. Ils donnent le
e. Ils veulent instruire directement & sans artifice, par la voye
commune
des preceptes ; au lieu qu’ils deuroient instruir
et le plus considérable est l'Edit du Préteur qui contenait le droit
commun
du peuple Romain, et qui déclare infâmes ceux qui
mains. Nous avons établi trois sortes d'Acteurs qui n'avaient rien de
commun
avec les Mimes, Planipèdes, Histrions ou Farceurs
que des intrigues populaires, leurs personnages tirés des conditions
communes
, et leurs actions accompagnées quelquesfois de pl
la pudicité Patricienne, que la pudeur étoit le partage des femmes du
commun
, mais non pas la vertu des Héroïnes & des Pri
ain que la loi de la pudeur, aussi-bien que celle de la chasteté, est
commune
aux deux sexes. Mêmes principes, mêmes raisons, m
n’est pas le fruit d’un systeme reflechi de legislation. Ce sentiment
commun
à tous, à l’ignorant comme au savant, aux simples
elles ne fussent pas plus parées que vous. Il a mal consulté le goût
commun
des hommes. Il ne peut y avoir qu’un libertin, do
llures d’une personne, qui sont des indices de son desordre ; mais le
commun
des hommes n’est pas capable de faire ce discerne
tres n’étoient pas plus élégans. Pauvres, vivans de la pêche, gens du
commun
, à qui tout manquoit, on sent bien que l’or &
doit jamais s’éteindre. On chante leur cantique funebre. Les mots si
communs
de sacrifice, victime, immolation, autel, &c.
udrais que la Parodie chantante fût composée de couplets sur des airs
communs
. On n’en perd point un seul mot, tout est saisi,
é qu’on y observe, c’est qu’une action noble est rendue quelques fois
commune
& populaire, & qu’on en diminue de beauco
e ne puisse dire ce qui est marqué dans le Bréviaire de Paris pour le
commun
des Pontifes : « Ille non vano tenuit tremendam
servi aussi de ce passage de S. Augustin pris de son Sermon de la vie
commune
des Clercs. « Je me suis séparé de ceux qui aimen
point de bouquets, et vous n’usez point de parfums13. Ce qui était si
commun
et notoire, qu’au rapport de Tertullien on reconn
la dédaigneroit, ou même s’en croiroit dégradé. Ces vérités sont trop
communes
pour nous y arrêter longtems. Ne prouvent-elles p
édaignons une phrase pompeuse, & sonore qui n’exprime qu’une idée
commune
ou déplacée. Nous ne manquons pas d’exemples de l
vers ? Qu’un esprit froid & rétréci, ait à vérifier cette pensée
commune
: Je mourrai dans la maison où je suis né ; il au
actions chrétiennes, comme la prière; mais aux actions mêmes les plus
communes
, lorsqu'on les veut faire dans un esprit de Chrét
pations Chrétiennes, comme la prière, mais aux actions mêmes les plus
communes
, lorsqu'on les veut faire dans un esprit de Chrét
la moindre occasion, et pour toute sorte de sujet. C’est le sentiment
commun
des Docteurs, et entre autres de saint Thomas, et
dans les livres de priere & de piété, où elles étoient autrefois
communes
, tandis que les Dieux de la fable, les héros des
n les condamne si sévérement ; non seulement par le principe général,
commun
à tous les Chrétiens, qui défend les mauvais rega
rmain, examen, tit. des Peintres, enseigne la même doctrine, elle est
commune
, & ne fut jamais contestée, & c’est une d
emidore, il est beaucoup parlé des songes impurs, que la passion rend
communs
parmi les libertins, il ne regarde comme de bonne
vie, et la parole du diable qui est la semence de la mort ont cela de
commun
qu'elles demeurent souvent longtemps cachées dans
e, et la parole du Diable, qui est la semence de la mort, ont cela de
commun
qu'elles demeurent souvent longtemps cachées dans
l’on y prend bien garde on s’appercevra que ce défaut n’est que trop
commun
, et que malheureusement en tout pays on trouve de
ce serait très bonne pour le nouveau Théâtre : elle corrige un défaut
commun
à presque tous les hommes qui prennent aisément l
Secondement. Nos Poètes représentent indifféremment, et les femmes du
commun
et les femmes de qualité, tout le sexe en un mot
de l’honnêteté ? Ils en foulent aux pieds toutes les règles les plus
communes
. Ont-ils de la religion ? L’on ne s’y prendrait p
ple de femme mariée que l’on corrompe. Sur notre Théâtre rien de plus
commun
que des infidèles à leur époux : les modèles d’in
n et lui déclare qu’il ne reconnaît point les Dieux suivant la notion
commune
.Nub. a. 1. s. 3. Edit. Amstel. Le Poète lui dit e
és fabuleuses que le Philosophe s’efforçait d’abolir, au mépris de la
commune
créance. Il reste donc qu’Aristophane était bon P
ntées.Ran. p. 188. Et afin qu’on ne doute point de son opinion sur la
commune
créance, il avertit que quiconque ne paie pas le
c la Théologie des Païens ? ces caractères sont-ils d’après l’opinion
commune
touchant Hercule et Bacchus ? Est-il dans la bien
ton mesuré à l’élévation de leur rang : comme ils sont distingués du
commun
par la magnificence de leur parure, ils doivent l
que le Théâtre où l'on représente ces Spectacles honteux, est l'Ecole
commune
et publique de l'impureté pour ceux qui s'assembl
blées de leur autorité privée, sans aucune raison qui regarde le bien
commun
; mais par la seule inclination vers son propre p
culation chimérique qu’il faut les considérer, c’est dans la pratique
commune
et ordinaire. Il faut considérer quelle est leur
é. A la bonne heure, la contradiction entre les pieces de Théatre est
commune
: mais il est inexcusable de blesser par la Scène
Je ne m’abaisse point à ces scrupules vains, Dont se laisse bercer le
commun
des humains, Et je laisse aux pédans ces austeres
veau la foiblesse & les crimes. Peu fait pour consulter l’opinion
commune
, Exempt d’ambition, maître de ma fortune, Je ne v
est dit de nos jours. Clément trouve peu vraisemblable qu’un homme du
commun
dise de pareilles injures aux Chambres assemblées
et Histrions et autres joueurs étaient effacés du rôle de la tribu du
commun
peuple, et n’étaient point tenus pour citoyens Ro
ui sont bannies des Comédies de ce siècle, qui n’ont rien que le nom,
commun
à celles du passé : Celle-ci traitée par gens doc
lus parfaites, et fort éloigné de celles des affections qui nous sont
communes
, avec les bêtes qui n’ont que le sentiment, que l
pour une République en Idée. Bannir les Comediens de la vie civile et
commune
, ce serait ôter les histoires des livres, les bel
abusent aussi bien que de la volupté. De dire que le plaisir nous est
commun
avec les animaux, cette objection est inutile ; c
tte objection est inutile ; car le Soleil est-il moins beau pour être
commun
à tout le monde, et les Eaux sont-elles moins agr
rs, dont l'une est blanche et l'autre est brune, et qui n'ont rien de
commun
que certains traits presque imperceptibles qu'ell
es convenables, afin d’ôter un abus si insupportable, et néanmoins si
commun
; et le zèle de la gloire et du salut des âmes, a
is le public seroit dans la disposition la plus favorable. Rien de si
commun
que de voir sur le Theâtre des Acteurs immobiles,
soit dans tout ce qui les accompagne. Il est encore une obstacle fort
commun
à l’enchantement Théâtral. Ce sont ces battemens
ourquoi le chœur, qui ne représentait ordinairement que des hommes du
commun
, ne se servaient que de tons modestes, tristes et
st en cette signification générale, et parce qu'ils n'en ont point de
commun
pour ces deux exercices qu'ils font conjointement
ute que ces Auteurs ont eu plus d’égard dans cette occasion à l’usage
commun
de leur temps, qu’à la vérité et à l’esprit de l’
les lois Ecclésiastiques et civiles. D’où il s’ensuit sur le principe
commun
, et reçu de tout le monde, que celui-là pèche mor
ent attaqués, la Coquetterie, et la Misanthropie, dont le premier est
commun
et fournit bien des exemples dans Paris, et l’aut
ute la Pièce, mais on n’y trouve aucune de ces Scènes de tendresse si
communes
dans les Comédies de ce siècle, et dont le poison
a Comédie, non dans une spéculation chimérique, mais dans la pratique
commune
et ordinaire dont nous sommes témoins. Il faut re
tissements dans le monde, qui passent pour légitimes et que l’opinion
commune
des gens du siècle autorise, mais que le christia
t moins d’impression sur l’ame. Ils m’apprendroient que dans l’estime
commune
des fideles, on ne croyoit pas pouvoir garder le
ur termes et qu’à les prendre dans le sens le plus naturel et le plus
commun
: sur quel autre sujet se sont-ils expliqués avec
andis que je passe à un nouvel article, non moins important, ni moins
commun
. Car ce que je puis encore compter parmi les dive
i se passe devant nos yeux. Un homme du monde qui fait du jeu sa plus
commune
et presque son unique occupation, qui n’a point d
perd, pourvu qu’il joue. Ces exemples peut-être ne sont-ils pas aussi
communs
qu’ils ont été autrefois ; mais ne le sont-ils pa
a Comédie, non dans une spéculation chimérique, mais dans la pratique
commune
et ordinaire dont nous sommes témoins. Il faut re
célebres que des impiétés & des blasphêmes : sous ce prétexte si
commun
, mais aussi dangereux que sophistique & frivo
ence, est le plus sûr écueil de l’innocence. On prétexte l’expérience
commune
, sa propre expérience ; & moi je dis, en seco
ropre expérience ; & moi je dis, en second lieu, que l’expérience
commune
& générale, c’est que le théâtre a perdu de t
Tribunal où il nous cite. J’ai dit, en second lieu, que l’expérience
commune
& générale est que le théâtre a perdu de tout
ous animent à persévérer dans le bien que vous avez commencé. Rien de
commun
entre vous & le monde, si vous voulez vivre e
llasse et un vilain homme habillé en Bohèmienne ; après quelques airs
communs
de tambour de basque ; après les exercices d’un p
s lui dit que sa blessure est feinte, &c. &c. Ce Drame pillé,
commun
, puéril, est écrit du style le plus plat. Les eff
oins innocens. Chez quelques uns l’espérance de goûter un plaisir peu
commun
à voir ces tendres beautés s’évertuer autour d’eu
igence des devoirs, libertinage, en voilà les principaux, et ils sont
communs
aux deux sexes (avec les différences que les deux
t bon pour développer rapidement le germe de libertinage qui nous est
commun
à tous ! Bientôt ils ne connoissent plus de frein
nt de nos ennuis et afflictions, ains souffrent et compatissent d’une
commune
condoléance avec nous. C’est pourquoi ne se peut
s Compatriotes, le caractère qu’elle doit avoir pour changer la façon
commune
de penser… Elle aura des défauts d’exécution, j’
sujet soumis ? Que de graces à rendre au Ciel s’ils ne sont pas plus
communs
de nos jours, ces monstres, dont les noms serviro
-là cette puissance passive, cette sensibilité physique qui nous est
commune
avec les animaux ? Pour établir qu’elle a dans n
nt du bal Ont souvent perdu davantage. Quelles sont donc les notions
communes
de nos hommes de Théâtres ? Parce qu’ils nous fon
tous, le plus céleste seroit bien la prudence, si le Ciel la rendoit
commune
à tous les Citoyens ! Que ne sommes-nous tous au
lui ce qu’Horace disoit à Virgile sur la mort de Quintilien leur ami
commun
: Cui pudor & justitiæ soror, Incorr
onheur public ? Pour faire taire ce langage de l’homme sans foi trop
commun
parmi nous, puissiez vous, portion chérie du trou
s enfans infortunés qui sont nos freres, & dont la cause nous est
commune
à tant d’égards, cesseront d’être un objet d’ana
sans honte, mais même avec estime, le talent si agréable & si peu
commun
de nous divertir ? Au moins est-il certain que n
omédie. « Les caractères des Drames comiques, s’écrie-t-il, sont fort
communs
, & toujours les mêmes. » Les siens sont varié
croire qu’on était convenu de n’insérer dans ces Poèmes que des Hèros
communs
& populaires, puisqu’on n’en voit presque que
qui y parlent sont assez éloignés de ceux dont on se sert dans la vie
commune
, on y prend insensiblement une disposition d’espr
remier lieu dit que, pendant lesdits jeux et tant qu’ils ont duré, le
commun
peuple, dès huit à neuf heures du matin ès jours
risoires, qu’ils jouent en la fin ou au commencement, pour attirer le
commun
peuple à y retourner, qui ne demande que telles v
font auxdits jeux commessationsap et dépenses extraordinaires par le
commun
peuple, tellement que ce qu’un pauvre artisan aur
ésentais que l’esprit d’irréligion, si funeste à tout le monde, et si
commun
au théâtre, se répand plus facilement dans le peu
mations contre l’état monastique leur en font un devoir, rien de plus
commun
que le célibat. On s’en est plaint cent fois, on
temps où le théâtre fut le plus en vogue, que le célibat fut le plus
commun
. Dans les premiers temps de la République, où la
du corps ; il n’y a rien qui nous empêche d’entrer dans le sentiment
commun
des Docteurs, et de dire avec eux qu’elles ne son
ques sont bien nés sujets du roi, et soumis comme les autres à la loi
commune
, mais il ne faut pas oublier qu’ils tiennent auss
e chercher de bonne foi, et sans d’autre passion que celle du bonheur
commun
, comment il s’est fait que, malgré toutes nos lum
ibelliste froid qui, à la vue de la plus grande misère, et du pouvoir
commun
à tous les hommes d’être immoral, m’a contesté l’
De l’assistance aux Théâtres Ce ne sont pas seulement les gens du
commun
qui assistent aux spectacles pour y entendre les
stome en une Homélie de la Pénitence, nomme le Théâtre, « la boutique
commune
de la luxure, le collège public de l’incontinence
range changement dans la morale Chrétienne ; que les notions les plus
communes
de plusieurs vérités capitales, sur lesquelles la
Plaute & Terence trauailloient pour le Theâtre. Cela n’a rien de
commun
auec nôtre siecle, & il me suffit de montrer,
ont chacune vn corps à part. XIX. Leur emulation tres vtile au bien
commun
. XX. Rencontres fâcheuses de deux Troupes de Pr
grande qualité, ou leur grand merite releuent au dessus des personnes
communes
, & le plus souuent c’est entre des Princes &a
ation naïue & enjoüée d’vne auanture agreable entre des personnes
communes
; à quoy l’on ájoûte souuent la douce Satyre pour
piece bien disposée en reüssit beaucoup mieux, & c’est l’interest
commun
de l’Autheur & de la Troupe, & méme de l’
si dans la distribution des rôles ils ont d’autres veües que le bien
commun
, & de la Troupe, & du Poëte, & de l’A
r, ce defaut ne rejallit pas sur tout le Corps, & c’est vn defaut
commun
à tous les Estats & à toutes les familles. Ce
ont voix deliberatiue en toutes les affaires qui regardent l’interest
commun
. Mais il se rencontre comme ailleurs aux vns &
lation que ie feray voir ailleurs tres necessaire & vtile au bien
commun
, ne va presentement à Paris que d’vn bord de la S
heuaux qui leur sont fournis de l’Ecurie, ils ont de gratification en
commun
mille écus par mois, chacun deux escus par iour p
amis, & que chaque particulier n’eust d’autre veüe que l’áuantage
commun
du Corps où il se trouuoit vni : mais la gloire m
ue ie blamerois d’auantage, si ces petites jalousies ne leur estoient
communes
auec toutes les Societez. Mais, comme ie l’ay dit
Maîtresse du Peloponnese, & l’autre de l’Achaïe, qui auoient pour
commune
barriere vn Isthme fameux, gouuernées par des loi
& en general dans toutes les rencontres qui regardent l’interest
commun
. Ce seroit à luy d’en faire l’ouuerture, & de
; à la Ville, il s’est serui auec joye de ces áuantages, pour le bien
commun
du Corps, qui luy abandonnoit la conduite des aff
ccedé aussi dans le soin & le zele qu’il auoit pour les interests
communs
, & pour toutes les affaires de la Troupe, aya
oix, par les rituels, par les canons de quelques conciles. Les droits
communs
à tous les hommes devroient-ils être refusés à de
des Pratiques superstitieuses, livre où il se donne pour une ame peu
commune
, étoit superstitieux comme un autre : on a dit qu
es pères de l’église lançoient tant d’anathêmes, ont quelque chose de
commun
avec nos pièces régulières ; si les changemens ar
, les trahissent. Outre la licence, la malignité, l’irréligion, excès
communs
à tous les théatres, dont on ne se défend gueres,
elui de Machiavel en a deux que l’on ne veut pas avouer, quoiqu’aussi
communs
, le plagiat & les personnalités. Quoiqu’on ne
sons point le procès à Machiavel : ses émules, ses imitateurs sont si
communs
! Plusieurs historiens assurent qu’il mourut athé
e ? Ces désordres ne sont-ils pas le sujet des conversations les plus
communes
du Parterre, des Loges, des Balcons, des Promenad
pas un Curé qui fait son Prône et son métier, suivant un propos assez
commun
, qui enseigne toute cette bonne Doctrine ; c’est
ure une vertu qui nous engage à toute entreprise au-dessus des forces
communes
et ordinaires pour un objet honnête, utile, impor
Refusent. m. [NDE] = ce qui règle la vie de la cité. n. [NDE] = le
commun
peuple, le vulgaire. Donc : le peuple. o. [NDE]
e de force & de relief. Cette representation a beaucoup de choses
communes
avec les Poëmes Dramatiques, & les uns &
ute, la felicité des meilleurs temps. Toutefois si le Balet a cela de
commun
avec la Comedie, il a ses differences & ses r
i suit. Par exemple, l’Entrée du Maistre d’Hostel, n’a de soy rien de
commun
avec celle des Massons ou des Courtaux de Boutiqu
il doive estre plus hardy & plus vigoureux, que celuy de la Dance
commune
, dont on use dans les Bals & dans ces Dances
luy-mesme, & fait faire ainsi une double faute. C’est une maxime
commune
au Balet & à la Musique. Il faut que chacun t
ie sans avoir aucun égard à son Compagnon. Il faut plus qu’un sçavoir
commun
& qu’une force ordinaire, pour secourir à la
nt point trop mal à nos deux manieres de Dance, à l’ordinaire ou à la
commune
dans les Bals publics & particuliers, & à
le-cy est toutefois la plus considerable, quoy que la matiere en soit
commune
& de peu de prix, car ce n’est que du carton,
es Dames peuvent s’habiller, & se coeffer separement. Les Danceus
communs
ont diverses chambres où ils peuvent placer seure
Danses-de-corde sont une peinture, quelquefois assez vraie, des mœurs
communes
des gens de la plus basse condition. Je dis une p
es des gens de la plus basse condition. Je dis une peinture des mœurs
communes
; parce que la Comédie-Ariette, qui peint les mêm
ait un Artiste intelligent, inventeur d’un ouvrage au-dessus des vues
communes
; & rien de plus naturel que la curiosité de
erneront les Filles : chaque jour elles s’assembleront dans une Salle
commune
, où deux de leurs Gouvernantes présideront toujou
païen et un publicain, livrant à Satan, etc., prive de tous les biens
communs
à tous les fidèles. Cette procédure est très régu
tte question. Je les rapporte, mais en peu de mots, parce que quoique
communs
parmi les Théologiens, ils sont fort peu connus d
la plus grande de ces peines, qui prive de tous les biens spirituels
communs
au troupeau. Il en est de générales imposées par
rofits de leur métier. Il répond que sans doute elle est due de droit
commun
, puisque chacun la doit de son industrie, et qu’i
du Théatre, funestes à ses progrès. Honneurs avilis en devenant trop
communs
. Cabales. Leurs effets, & les moyens qu’on em
enfantent de faux préjugés dans les jeunes gens, & même parmi le
commun
des spectateurs. Si l’on en excepte les Journalis
prêtres qui commettent des délits et des crimes sont sujets à la loi
commune
, et il n’y a aucune exception en leur faveur, pag
es jésuites, pag. 236. Madrid (procession de), pag. 274. Maires des
communes
doivent surveiller la conduite des ecclésiastique
& la parole du diable qui est la semence de la mort, ont cela de
commun
qu’elles demeurent souvent longtems cachées dans
upations chrétiennes comme la priere, mais aux actions mêmes les plus
communes
, lorsqu’on les veut faire en esprit de Chrétien,
l’Evangile lui-même est une manifeste condamnation des spectacles si
communs
dans notre siécle. Les personnes mondaines n’ent
re aimer plus aisément. Ab omnibus ad spectaculum concurritur,
commune
dedecus delectat, vel recognoscere vitia, vel dis
état, s’il veut. Troisiéme Siécle. Viri & fœminæ
communes
constituentes choros, sese invicem libidinum teli
plaisirs grossiers des spectacles, les actions mêmes sérieuses &
communes
deviennent à charge. On n’aime plus qu’à se satis
nt d’autres vices que nos peres ne connoissoient pas, seroient-ils si
communs
, si les spectacles ne les occasionnoient pas ? Ve
ence, est le plus sûr écueil de l’innocence. On prétexte l’expérience
commune
, sa propre expérience ; & moi je dis en secon
propre expérience ; & moi je dis en second lieu, que l’expérience
commune
& générale, c’est que le théâtre a perdu de t
nal où il nous cite. Preuves de la seconde Soudivision. L’expérience
commune
& générale est que le théâtre a toujours perd
perd encore toutes les mœurs.J’ai dit en second lieu que l’expérience
commune
& générale est que le théâtre a perdu de tout
ous animent à persévérer dans le bien que vous avez commencé. Rien de
commun
entre vous & le monde, si vous voulez vivre e
nfans aux spectacles. Preuves de la seconde Soudivision. L’expérience
commune
& générale est que le théâtre a toujours perd
ire ce choix. Il n’est question ici que des nouveautés. Rien de plus
commun
que les murmures des Comédiens sur le nombre des
i leur inspire une pareille idée, c’est que n’y voyant que des choses
communes
, ils concluent qu’elles doivent venir aisément da
scours de grimaces qui faisoient rire. Ses mots qui auroient été fort
communs
dans la bouche d’un autre, devenoient piquans &am
cesseur, en fait peu à l’Académie, l’amour pour la Religion doit être
commun
à tous les chrétiens, & l’Académie plus éclai
tous deux gens de condition, estimés dans le monde, ce qui n’est pas
commun
dans l’Empire de Thalie, l’un Chevalier de Malthe
ine implacable, & avec lui tout son parti qui fait avec lui cause
commune
, Merville qui avoit beaucoup de douceur & un
iquent, ç’en est tout le mérite. En voici un qui a plut, quoique fort
commun
, Fleur d’Epine, pour amuser un Prince imbécile, l
m probro dare abusum voluptatum quas cum reliquis animantibus habemus
communes
, et quibus velut in similitudinem brutorum degene
vitatem insinuantes. Hæc etsi inter se differant habent tamen aliquid
commune
, quod in omnibus postremum illud de turpitudine i
si nuntium remisimus, nihil deinceps nobis cum Idololatris debet esse
commune
. Tertium autem caput, de turpitudine, magis ad no
les Farceurs d’autrefois, et les Comédiens d’à présent n’ont rien de
commun
. Que l’excommunication qui regarde les uns, ne pe
s personnes naturellement sages et circonspectes ne sont pas les plus
communes
; et sans trop de rigidité, on pourrait regarder
s cercles ou sociétés de douze ou quinze personnes qui louent à frais
communs
un appartement commode, et où les associés se ren
affaiblie, combien de causes peuvent y contribuer, qui n’ont rien de
commun
avec les mœurs ? L’assertion est laconique, la di
sseau l’avouera lui-même. Il a donc fallu avoir égard au vice le plus
commun
, je ne dis pas de son siècle et de son pays, mais
e le ridicule en jeu ; la comédie l’a pris dans la peinture de la vie
commune
, tantôt pour objet principal, et tantôt pour prem
e l’état. Il n’est donc pas étonnant que l’amour, qui n’avait rien de
commun
avec le gouvernement d’Athènes, n’y fût point adm
croiriez-vous moins fondées ? A votre avis, ces modèles sont-ils plus
communs
parmi nous ? « Les imbéciles spectateurs vont, di
, un esprit droit, et une sensibilité modérée, leur est donc au moins
commun
avec les hommes. Je le dis à propos des Arts, je
aturel, sans aucune trace de moralité. J’avoue que cet amour est plus
commun
dans les Villes opulentes et peuplées ; j’avouera
Théâtre ; en nous intéressant, prend soin de réunir dans une émotion
commune
tous les sentiments vertueux qui doivent se combi
: tout est poison pour une telle âme. Mais supposons, ce qui est plus
commun
, c’est-à-dire, un homme qui ne se livre à l’amour
quilibre est une chimère. Lycurgue, pour rendre toutes les affections
communes
, a été obligé de rendre tous les biens communs ju
toutes les affections communes, a été obligé de rendre tous les biens
communs
jusqu’aux enfants, et de former son nœud politiqu
agination, leur âme, leurs veilles, et le don de feindre qui leur est
commun
avec elle. C’est principalement ce don de feindre
omédie fut considérée comme une peinture naïve et plaisante de la vie
commune
, et la Tragédie, comme un portrait magnifique et
ficultés, qu’on a de justifier la Comédie. La première est la créance
commune
des peuples, que c’est pécher contre les règles d
ux mœurs, que dans le cas où l’on en feroit un mauvais usage, (danger
commun
à tous les arts qui peuvent devenir pernicieux pa
res. Cet amour de soi, indépendamment de tout, le sépare de l’intérêt
commun
; & la plus grande faveur qu’on lui puisse ac
nt d’instruire sont ennuyeux, toujours en vous exceptant de cette loi
commune
, à laquelle vous soumettez tous les autres. Il fa
u. Cette vertu qui vous est si précieuse, que tout le monde aime, est
commune
aux deux sexes : il est dans le monde plus d’une
es armes unies aux leurs, avoient tant de fois contribué à la défense
commune
de la liberté de la Grece ; ces Spartiates si jal
e sa propre conservation, lorsqu’il falloit la sacrifier à la défense
commune
. On peut juger par ces effets que les spectacles
ui ces qualités, ce n’est plus, si j’ose parler ainsi, qu’une passion
commune
et bourgeoise. Mais, dira-t-on, en peignant l’amo
i en eux-mêmes ne blessent point l’honnêteté) une des causes les plus
communes
des actions criminelles que nous reprochons aux a
plus de finesse. La raison en est, si je ne me trompe, que les sujets
communs
sont presque entièrement épuisés sur les deux Thé
armes par des situations intéressantes, et de nous offrir dans la vie
commune
des modèles de courage et de vertu ; « autant vau
l n’est pas rare d’en voir qui résistent longtemps, et il serait plus
commun
d’en trouver qui résistassent toujours, si elles
n échappent dans le peuple ont assez de force pour découvrir aux âmes
communes
l’attrait et les avantages du vice, et non pour l
parlant des comédies sales et déshonnêtes, il les appelle la boutique
commune
de l’impudicité, l’école publique de l’incontinen
erd au bal et à la danse. Le bal a beaucoup de choses qui lui sont
communes
avec le theatre, mais la principale est la perte
public sont toujours d’accord. C’est une contradiction en effet fort
commune
dans le monde entre les sentimens & la condui
é pour en prendre qui plaît davantage : l’héroïsme à ce prix est bien
commun
. Peut-on en avoir, peut-on en donner des idées si
le seroit pas moins : car enfin la loi doit être égale ; le lien est
commun
, l’obligation est la même. Que deviendroient les
deux époux ? Ne pourroient-ils pas même se concerter à commettre d’un
commun
accord un adultere pour se séparer. Le roi de Pru
une danseuse une galerie superbe, tapissée de diamans (ils sont fort
communs
aux Indes), où sur la muraille serpentoit une vig
brouiller, se raccommoder, jouer le bonheur, &c. C’est l’opinion
commune
que l’amour ne doit jamais avoir des chaînes ; on
t les objets des passions & les enflammant, rendant la jouissance
commune
& facile par des invitations régulieres &
sentiment, en détruisant le charme de la délicatesse. Cer abandon si
commun
au théatre, à toute sorte de goûts, pourquoi est-
es dans la même personne étoit une invitation au crime abominable, si
commun
parmi les Payens, qui fit tomber le feu du ciel s
, défendeurs, d’autre. Disent les demandeurs que combien que de droit
commun
les Maris soient en bonne, pleine & paisible
re rêveur ou fâcheux. Lesquels privilèges servent de réponse au droit
commun
des maris, parce qu’un privilege spécial déroge a
ues. Pour le bien & utilité publique, franchise & liberté
commune
, il est permis à toutes gens d’aller en masque, f
-il, parlant du Mystere de la Passion, et des Actes des Apostres), le
commun
peuple dès huit à neuf heures du matin ès jours d
Aristote. i. [NDE] : Saint-Evremond donne ici la traduction la plus
commune
de la notion de catharsis (Aristote, Poétique, VI
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