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1 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
rouveront aucun véritable crime ils calomnieront l’innocence de cette condition . Mais il faut croire qu’ayant ce grand esprit que
les Pâtissiers, et les Laboureurs que les Orfèvres. Entre lesquelles conditions si on en voulait choisir quelques-unes innocentes
rs, et des Laboureurs : car y a-t-il personne au monde qui n’envie la condition paisible et tranquille de ces gens qui vivent inn
la délicatesse des bons vers. Qui pourrait donc s’imaginer qu’à cette condition où il paraît quelque innocence et rayon de justic
uand on trouverait quelque chose à redire dans cet exercice, y a-t-il condition au monde qui soit exempte de blâme ? Si c’était u
enfants des meilleures et plus nobles familles eussent embrassé cette condition , si par le frein des lois on n’eût su dextrement
bjection est frivole, puisque ceux qui sont ignorants, ou d’une basse condition sont de la même façon incapables ? Qui voudrait s
est tellement vrai que l’homme ne peut pas longtemps agir, en quelque condition qu’il se rencontre, sans être diverti et récréé p
’est alléché par le profit ? Et si cette opinion avait lieu, y a-t-il condition qui pût s’exempter de cette tache ? Tout travail
2 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
ogiens, l’a regardée comme un jeu permis, supposé néanmoins certaines conditions que vous admettez, et que vous appliquez. Voilà l
l’a mise au rang des jeux permis, il l’a fait non seulement sous les conditions dont vous avez parlé ; mais encore sous d’autres
adroitement, ou enfin oublié, et que ni les unes ni les autres de ces conditions ne se rencontrent point dans votre Comédie ; et q
ndement je nie cette conséquence, je n’ai pour cela qu’à examiner les conditions sous lesquelles il permet le relâchement de l’esp
eut que l’on prenne en se le procurant, ou en le donnant. La première condition que Saint Thomas exige pour rendre le Jeu permis,
rapporte dans le corps de l’article 2. Ainsi à prendre cette première condition à la rigueur, il faudra que la Comédie, et que ce
uvent dans cette récréation de nouvelles forces pour agir. La seconde condition que Saint Thomas exige pour rendre le divertissem
citis verbis vel factis 11 ». Je ne ferai que parcourir à présent ces conditions , et je les examinerai plus particulièrement dans
t je les examinerai plus particulièrement dans la suite. La troisième condition , est qu’on ne dise rien d’injurieux à Dieu, ni de
 Non adhibendo ludum negotiis et temporibus indebitis. 15 » Voilà les conditions sous lesquelles Saint Thomas permet le Jeu et la
le Grand, S. Bonaventure, et Saint Antonin, ont tous exigé les mêmes conditions  : Vous en demeurerez sans doute d’accord, puisque
t Thomas et des Théologiens qui le suivent. En admettant une fois les conditions dont je viens de parler, et posant certains princ
n’est pas fort difficile de les accorder ensemble. Mais voyons si ces conditions admises, Saint Thomas et les autres Théologiens o
il n’y a rien de plus obscur dans l’application, si vous admettez les conditions que Saint Thomas exige. Vous tirez une conséquenc
te même que la Comédie considérée comme un Jeu, revêtue de toutes les conditions que Saint Thomas exige, doit être mise non seulem
ifier par les Pères et par Saint Thomas, n’étant revêtue d’aucune des conditions que ce Saint exige, bien loin d’être mise au nomb
t très dangereuse. Ne me dites pas que considérer la Comédie avec ces conditions , ce n’est pas la considérer en elle-même ; mais d
défendue en elle-même « secundum se », ajoute immédiatement après les conditions qui la rendent licite, et celles qui la rendent i
la rendent licite, et celles qui la rendent illicite. J’avoue que ces conditions ne sont pas essentielles à la Comédie prise en gé
e au nombre des choses permises, vous ne pouvez pas la séparer de ces conditions qui la rendent licite. Que si vous n’êtes pas co
s demandiez encore si la Comédie prise en général et séparée de cette condition est permise, je réponds que c’est une question Mé
ment aux sentiments de Saint Thomas qu’il cite, qu’il admet les mêmes conditions que lui, qu’il appuie ce qu’il dit par Saint Cypr
à qui, et de quelle manière il en parle, dans quels cas, sous quelles conditions et avec quelles précautions il permet à sa Philot
us. D’ailleurs cette permission qu’il donnait à la Comédie sous cette condition , ne l’engageait pas beaucoup : car il n’ignorait
ereux. Et si vos bons amis voulaient à présent se soumettre à la même condition , ou demander des Docteurs de Sorbonne pour l’exam
ons pour une bonne fois l’examen que nous avions trop interrompu, des conditions que Saint Thomas exige pour rendre la Comédie un
ce que je croirai le plus plausible et le plus spécieux. La première condition que Saint Thomas exige, est que l’on prenne le di
es, et vous verrez que le nombre de ceux en qui se trouve la première condition que Saint Thomas exige est bien petit, s’il est v
Thomas exige est bien petit, s’il est vrai qu’il y en ait. La seconde condition est, qu’on ne cherche pas le plaisir par des paro
e est honnête ou déshonnête, sur quoi roule principalement la seconde condition que Saint Thomas exige. Or pour cela je ne veux p
âce. J’ai été sans doute un peu trop long dans l’examen de la seconde condition que Saint Thomas exige pour rendre la Comédie un
rouverez que j’en ai dit assez, pour vous persuader que cette seconde condition ne se trouve pas dans les Comédies que vous avez
vos Comédies que Saint Thomas a parlé, quand il a exigé cette seconde condition . La troisième condition que ce Docteur demande, e
homas a parlé, quand il a exigé cette seconde condition. La troisième condition que ce Docteur demande, est que dans le plaisir q
édies, et n’y arrive-t-il pas en effet. Rayez-en donc cette troisième condition que Saint Thomas exige. La quatrième précaution e
rtie inférieure à la supérieure, qui peut leur procurer cette paix, à condition pourtant qu’elle ne sera jamais inaltérable. C'es
que nous croyons permises avec Saint Thomas, en admettant les autres conditions . Mais tant qu’on ne représentera sur le Théâtre q
1641 ait relevé les Comédiens de leur infamie, elle l’a fait sous des conditions qu’ils n’exécutent pas, et par là même ils retomb
siens, de même que la vertu. Ne parlons donc plus de cette quatrième condition que Saint Thomas exige, concluons enfin que l’har
de la Comédie, et qu’on ne fait pas difficulté de s’habiller selon sa condition et de vivre à son aise, pourvu qu’on le fasse ave
ce chapitre, puisqu’on ne fait pas difficulté de s’habiller selon sa condition et de vivre à son aise. Mais en cela va-t-on cont
’intempérance, ont-ils déclamé contre ceux qui s’habillent selon leur condition et qui vivent à leur aise ? il n’y a que vous qui
vous qui le puisse dire. Le luxe consiste-t-il à s’habiller selon sa condition , et l’intempérance, à vivre à son aise ? Non sans
dicateurs n’ont jamais déclamé contre ceux qui s’habillent selon leur condition et qui vivent à leur aise, pourvu qu’on ne s’abus
chacun peut s’habiller modestement, honnêtement et richement selon sa condition , et vivre sans mollesse, sans excès et sans délic
condamner ceux qui s’habillent honnêtement et modestement, selon leur condition , et qui vivent à leur aise sans mollesse, sans ex
nt de Dieu ; mais encore contre celui de l’Eglise. Ainsi la cinquième condition que Saint Thomas exige, ne lui convient pas mieux
circonstances du temps, des lieux et des personnes. J’avoue que cette condition dépend presque entièrement des autres : car si ce
s fort nécessaire de s’arrêter beaucoup sur cet article, et sur cette condition qui me paraît renfermée dans les autres. Cependan
tre, en examinant les passages des Pères que vous aviez cités, et les conditions que Saint Thomas exige pour rendre le plaisir de
utre celle de l’infamie, ils n’ont pas exclu, mais plutôt supposé les conditions sous lesquelles Saint Thomas et les autres Théolo
rmise. Et que Saint Thomas et les autres Théologiens en admettant ces conditions , n’ont pas exclu, mais plutôt supposé a fortiori
3 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
on des bans & la bénédiction du Ministre devant des témoins, deux conditions nécessaires pour empêcher la clandestinité, chose
; il manquoit à la scene le vernis de la législation. §. 6, 8. Si la condition ajoutée aux fiançailles est impossible ou déshonn
; canonique, plus sage & plus favorable aux mariages, annulle les conditions , non les promesses. Toutes les conditions même i
aux mariages, annulle les conditions, non les promesses. Toutes les conditions même impossibles ou déshonnetes sont censees acco
virginité, & qu’apparemment on se l’étoit promis ? Il a joint la condition de ne pas avoir des enfans . Jamais Notaire n’a
légitime, tout le reste est arbitraire. Un étranger peut imposer ces conditions , parce qu’il est maître de son bien ; le pere n’e
ne met aucune difference. §. 21. Le manque de bien, l’inegalité des conditions ou de la naissance, ne sont pas des raisons suffi
s Electeurs & le College des Princes ? Sans doute l’inégalité des conditions ne doit pas seule décider des mariages ; mais il
4 (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445
ns du Procureur du Roi, il fit défenses à toutes personnes de quelque condition qu’elles fussent, de faire aucune insolence en l’
fait et faisons très expresses défenses à tous vagabonds et gens sans condition , même à tous Soldats, de se trouver aux environs
us les mêmes peines, à toute sorte de personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient, de faire effort pour entrer dans
s expresses défenses à toutes sortes de personnes de quelque qualité, condition et profession qu’elles soient, de s’attrouper et
ue ceux qui s’en trouveront être les auteurs ou complices, de quelque condition qu’ils soient, puissent être saisis et arrêtés, e
fait et faisons très expresses défenses à tous vagabonds et gens sans condition , même à tous Soldats, de se trouver aux environs
illement défenses à toutes sortes de personnes, de quelque qualité et condition qu’elles soient, de porter aucunes armes à feu da
ses inhibitions et défenses à toutes personnes, de quelque qualité et condition qu’elles soient, même aux Officiers de Sa Maison,
ses inhibitions et défenses à toutes personnes, de quelque qualité et condition qu’elles soient, même aux Officiers de sa Maison,
ses inhibitions et défenses à toutes personnes, de quelque qualité et condition qu’elles soient, même aux Officiers de sa Maison,
5 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21
elles-mêmes indifférentes ; il est nécessaire que nous examinions les conditions et les circonstances qui les peuvent rendre mauva
faisait en secret, et qu’on n’y employât que fort peu de temps. Cette condition néanmoins, que cet Auteur particulier ajoute, ne
t, d’une manière générale ; ne laisse pas de l’être, par rapport à la condition particulière des personnes appliquées au culte de
6 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87
ver les bouffonneries dans la bouche des chrétiens, puisque parmi les conditions sous lesquelles il permet les réjouissances, il e
t Thomas quelque avantage, faire voir par ce saint docteur, que cette condition convienne aux bouffonneries poussées à l’extrémit
7 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
va du Ciel éclairant et échauffant toute la terre et il n’y a aucune condition tant soit elle déplorable qui ne se ressente de s
la modestie. Si queb les personnes de tout âge de tout sexe de toute condition y peuvent librement aller sans crainte de rencont
ur le continuer éternellement au Ciel. Madame je suis violentée en la condition où je suis c’est pourquoi je supplie votre majest
parmi les épines. Mais on peut appeler conversion le changement de sa condition puisque d’une vie de théâtre et qui tous les jour
toute langue, de tout peuple, de toute nation, et de toute qualité et condition de personnes. Son saint nom soit béni à jamais.
8 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à rejeter. » pp. 313-318
regretteront, je les exhorterai à les étudier dans leurs cabinets, à condition néanmoins qu’ils proposeront ces deux Comédies, a
r corriger la vanité d’un Bourgeois qui veut s’élever au dessus de sa condition par une alliance disproportionnée : mais les bonn
9 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
-le moi, ma bonne amie. Ursule, voila les peines du mariage, dans les conditions où les richesses laissent du superflu*. Rarement
Madame Des Tianges doit ignorer que les habitans des villes, dans les conditions communes, privent quelquefois leurs familles du n
10 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion : passage exprès de Saint Thomas, et conciliation de ses sentiments. » pp. 88-92
 ». Pour donc prouver quelque chose, et pour satisfaire à la première condition , d’abord il faudrait montrer, ou qu’il ne soit pa
vait recevoir le moindre doute. Voilà pour ce qui regarde la première condition . Nous avons parlé de la seconde qui regarde les b
11 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
s qu’on a fait sur cette matière n’ont été qu’entre gens riches ou de condition , qui avaient de l’honneur, et dont le patrimoine
est indifférent que son fils soit Savetier ou Comédien ; un homme de condition aurait bien peu de crédit, s’il n’empêchait son f
âme habitude du théâtre. Alors un honnête homme pourra les épouser, à condition qu’écartant tout air de clandestinité, le mariage
.). La même loi étend cette grâce aux filles des Comédiens, aux mêmes conditions  ; mais si elles sont nées depuis la réhabilitatio
avec décence, elle n’a jamais fait un empêchement de l’inégalité des conditions . Je ne crois pas même que les Empereurs Romains e
Cette femme, qui avait des sentiments, ne consentit au mariage, qu’à condition qu’il ne travaillerait plus pour le théâtre et ac
uval mouchait les chandelles, elle en devint amoureuse et l’épousa, à condition néanmoins que Beauval la laisserait maîtresse, au
ce principe, l’Avocat ajoute vivement : « Croira-t-on qu’un homme de condition soit né pour être Comédien ? Et quand on prouvera
12 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
er un peu, et de le débander. La seconde raison se prend de l'état et condition de la nature humaine ;Seconde raison, la conditio
prend de l'état et condition de la nature humaine ;Seconde raison, la condition de l’homme les requiert. l’homme n’est pas un pur
au billard, invité à jouer avec lui, l’accorda ; mais avec une sainte condition , que celui qui perdrait, ferait l’espace de trent
âme. »65 Le quatrième,Quatrième, Prendre garde à quatre choses. A sa condition . Vous trouvant en ces récréations qui se font par
écréations qui se font par paroles, ayez égard, 1. à votre qualité et condition , de ne dire rien indigne de votre vocation ; « Le
oise, de donner à un chacun ce qui est convenable à son sexe, et à sa condition  » :77 Car quoique le jeu de soi ne soit pas une m
ive, pour l’honorer et glorifier » ; car la modestie et autres bonnes conditions qu’on garde en jouant, glorifient Dieu, qui ayant
hoses. Le premier ; que les personnes auxquelles, selon leur état et condition , il est permis de danser, ne prennent pas cette r
amplexandi, et tempus longè fieri ab ampleribus. » Seconde raison, la condition de l’homme les requiert. 40. [NDA] Cass col. 24
in lumine viventium. » Quatrième, Prendre garde à quatre choses. A sa condition . 67. [NDA] Isa. 3. « Princeps quæ digna sunt pr
13 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
des histrions, qu’il approuve Ibid., § 14. au même sens et aux mêmes conditions que Saint Thomas, qu’il allègue sans s’expliquer
de leur sexe. Que si on ajoute à ces sentiments de Saint Antonin, les conditions qu’il exige dans les réjouissances qui sont d’êtr
14 (1670) Du delay, ou refus de l’absolution [Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet] « Du delay, ou refus de l’absolution. » pp. 128-148
& ne la veut pas congedier ; ou bien quand il se trouve dans une condition dangereuse pour luy, par exemple de juge d’avocat
& à commettre d’autres semblables pechez : l’engagement dans une condition , comme de soldat, de marchand, ou d’officier de j
omment se faut-il conduire à l’egard des personnes qui ne sont pas de condition libre à se separer, comme seroient le frere &
e en service, ou d’apprendre un mestier ; & à celuy qui seroit de condition , d’aller aux études, de faire quelque voyage, de
ait du rapport & de la proportion avec ses pechez, & avec sa condition  : luy marquer un certain temps, durant lequel il
15 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
rroit trouver un abri aux Acteurs de la Comédie Françoise, toutes les conditions de la loi se réunissent sur eux, comme sur les Hi
la Comédie. Je reponds en général que la législation humaine suit la condition de l’homme : l’infaillibilité n’a jamais été prom
16 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
ns l’article 2. et 3. de la 2. 2. q. 168. Ensuite il rapporte les six conditions que ce Saint demande pour rendre le Jeu permis, e
ia talibus ludis nihil fiat. » Art. 3. in. corp. L’application de ces conditions est aisée à faire à la Comédie, où l’on dit des p
oine acheta l’Hôtel de Bourgogne à Paris pour ses dévots Comédiens, à condition qu’ils ne représenteraient que des Pièces pieuses
l ne faut pas déférer au sentiment des personnes de quelque mérite et condition qu’ils fussent, s’ils osaient justifier les Coméd
aurait pu citer Arlequin à qui on n’a donné le Viatique qu’à la même condition . Il nomme encore Rosimondaj Comédien connu dans l
17 (1640) Traité des Spectacles des Gentils « SAINCT CYPRIAN DES SPECTACLES. » pp. 155-193
rer en nous mesme, & produire des raisonnemens conformes à nostre condition  ; ainsi les loix de l’honnesteté seront religieus
amp; de plus honteux dans vne ville ? ont esté les passages & les conditions qui luy ont frayé le chemin du theatre. Ie ne veu
onnesteté : Mais ce qui est plus admirable, c’est d’y voir toutes les conditions extremement maltraitées dans les discours, &
nnent leur attention ; & ils ne sçauroient sans faire tort à leur condition , porter la veuë sur les actions bouffonnes de cer
18 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IX. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques n'étaient point infâmes parmi les Romains, mais seulement les Histrions ou Bateleurs. » pp. 188-216
eur Bourgeoisie. Néanmoins les personnes illustres de naissance ou de condition ne les ont pas traités de même sorte ; car les pr
jet n'était que des intrigues populaires, leurs personnages tirés des conditions communes, et leurs actions accompagnées quelquesf
ployés aux Courses sacrées, bien qu'ils fussent de la plus méprisable condition , d'où l'on peut aisément juger, et certainement,
19 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Extrait du Privilège du Roi. » pp. -1
tous Imprimeurs, libraires et autres personnes de quelque qualité et condition qu'elles soient, de l'imprimer, vendre et débiter
20 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre V. De ceux qui vont danser avec mauvais dessein. » pp. 26-27
uerre, mais que l’on ne peut y aller sans péché, si on embrasse cette condition pour voler ; que les charges de la République ne
21 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
es modestes, et ne condamnent que les déshonnêtes et les impies ». La condition supposée. Rien n’est tant condamné par ces grands
ement bien concluant. Il est permis à Monsieur de s’habiller selon sa condition . Donc il faut lui permettre la Comédie. Monsieur
assembler pour les jouer en leur présence. Gens de tout âge, de toute condition , de toute profession hommes et femmes de mille di
araison de ce qui suit. Il lui est aisé de faire voir « qu’aucune des conditions que demandent les saints Docteurs ne manque à la
réglés, que la raison y puisse toujours être la supérieure. Avec ces conditions il n’y a point de jeux et de spectacles qui ne so
de spectacles qui ne soient licites. Mais sont-elles compatibles ces conditions avec nos Comédies et Opéras ? Se trouvaient-elles
22 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [L] » p. 425
leurs vêtemens ordinaires ; ils ressembleraient au-moins à ceux d’une condition quelconque : au-lieu que ceux de nos rôles de Vil
23 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-9
frages d’une vile populace, jamais ils n’obtiendront ceux des gens de conditions . Ne nimium teneris juvenentur versibus unquam. A
Ciceron, tous les maîtres de l’éloquence exigent la vertu, comme une condition nécessaire pour former un bon grateur. Les poëtes
24 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
eurs faiblesses. Ils veulent être remués, agités, vivement excités, à condition toutefois que ce ne soit pas en leur inspirant de
visager sans un retour douloureux et pénible sur leur propre cœur ; à condition encore que, si on veut les forcer à rire de leurs
25 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre VII. De ceux qui sont aux autres occasions de ruine, et de péché. » pp. 30-32
aire licitement, prenant la chose en elle-même ; si toutefois dans la condition présente du temps, et à cause de la corruption, e
26 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
Toi qui te figures une immortalité après cette vie, ne sens-tu pas ta condition , ne reconnais-tu pas ta faiblesse lorsque tu vois
27 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
tc., soit afin qu’elle ne soient pas confondues avec les personnes de condition par des ornements et des habits si peu assortis à
e l’esclavage : « A Rome, dit-il, les Comédiens étaient esclaves ; la condition d’esclave était infâme, par conséquent celle de C
on historien ni jurisconsulte. Jamais l’infamie n’a été attachée à la condition d’esclave ; l’esclavage est un malheur, et non un
ntinue à l’être, et que Dieu n’en soit offensé. On ne le souffre qu’à condition pour eux impossible qu’on n’y représentera jamais
et qu’on n’usera point de paroles lascives et même à double entente, condition bien mal observée. Je m’en rapporte à la bonne fo
28 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
ffet, n’est que trop renfermée dans la défense de l’Apôtre. Parmi les conditions que S. Thomas exige pour tolérer l’histrionat, il
nt à ses premiers goûts, & à son dérangement. Enfin il appuie les conditions qu’il exige par l’autorité de S. Ambroise & d
Ambroise & de Cicéron dans ses Offices. Qu’on réunisse toutes ces conditions , qu’il n’y ait rien de mauvais, d’indécent ou de
tes d’histrionats, l’histrionat honnête, de la maniere & avec les conditions que nous venons d’expliquer, & l’histrionat m
29 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 19-42
ance à la Justice Divine. Mais c’est en vain, que vôtre Demoiselle de condition s’excuse sur leurs exemples : celles, qui donnent
t dans leurs égaremens. Aussi-je dois vous avouer, que cette Fille de condition , qui survint, quand vous étiez chez nôtre cher Am
ssion de Comedienne est indigne de sa naissance. Hé bien une fille de condition se rendroit infame en voulant faire la Comedienne
& qu’ainsi il n’est pas seulement obligé de l’élever en Fille de condition , mais qu’il est encore plus obligé de l’élever en
30 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
ée permit les Comédies dans son Diocèse par une Ordonnance de 1583, à condition néanmoins qu’avant d’être représentées elles sera
a Comédie, et l’on ne fait point de difficulté de s’habiller selon sa condition , et de vivre à son aise, pourvu qu’on le fasse av
ait pas remonter bien haut pour voir que la plus infâme de toutes les conditions était celle des Cabaretiers : ils n’étaient reçus
tre âme, où les vertus forment un agréable concert. » Et la troisième condition que l’on demande dans nos Jeux aussi bien que dan
ndre honnêtes. Il m’est fort aisé de vous faire voir qu’aucune de ces conditions ne manque à la Comédie, telle qu’elle est aujourd
s les Comédies qu’on imprime, ce qui prouve de soi que cette première condition se garde exactement dans nos Comédies, où l’on ne
utes choses dont on peut faire un mauvais usage. Passons à la seconde condition que saint Thomas exige dans les jeux, qui est de
s, de s’appliquer a des œuvres de charité, etc. » Enfin la troisième condition que S. Thomas veut qu’il y ait dans nos jeux, con
31 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Privilege du Roy. » pp. -
Imprimeurs, Libraires & autres personnes de quelque qualité & condition qu’elles soient, de l’imprimer ou faire Imprimer,
32 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232
à la fin] est impraticable ici ; parce que le Parterre étant pour la condition la plus nombreuse, on doit plutôt l’aggrandir que
s nous qui savons que les âmes des hommes sont égales dans toutes les conditions , n’ajoutons pas à la misère du pauvre, en le croy
es ; dans un pays ou l’humanité respectée, offre des nuances dans les conditions , mais l’égalité dans l’espèce. Nous avons des déf
s porte à croire, que le Comédisme ne peut exister utilement dans une condition avilie, mais dont chaque individu se fait adorer.
s acordent trop au faste national, & mettent trop bien toutes les conditions  ; on corrigera sur le nouveau Théâtre ce défaut d
ctricisme, qui ne tend qu’à généraliser le luxe ; nos jeunes-gens des conditions médiocres se persuadant que porter du galon, de l
tuosité financière. Les femmes, lorsqu’il s’agit des rôles imités des conditions communes, s’écartent de la convenance d’habit bea
chose que le ton & la manière de la Déclamation). Voici quelques conditions , aussi nécessaires qu’inobservées sur notre Théât
; celles qui s’y consacreraient pendant le nombre d’années fixé, à la condition la plus honorée dans l’État, après la Noblesse. C
e même des sujets pour l’Opéra ; mais ils ne seront pris que dans les conditions qui ne peuvent être admises au rang d’Acteurs-cit
our, & la chaussure d’une petite Maîtresse. ‌ Art. III [VIII]. Condition des Acteurs. Comme les Théâtres de la Nation n’a
de ces familles chéries de la Nation*. D’ailleurs, les jeunes-gens de condition , destinés à représenter dans le monde, se formera
ze Directeurs choisis parmi les honnêtes Citoyens, depuis la première condition , jusqu’à la dernière de celles dont les enfans pe
& de même les plus respectables Mères-de-familles de la première condition . Les Directeurs ne pourront jamais, sous aucun pr
33 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Privilége du Roi. » pp. 369-370
primeurs, Libraires, & autres personnes, de quelque qualité & condition qu’elles soient, d’en introduire d’impression étr
34 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
. Faisons défenses à toutes sortes de personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient, d’en introduire d’impression étr
35 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
e permit les Comédies dans son Diocèse, par une Ordonnance de 1583. à condition néanmoins qu’elles seraient revues et approuvées
uses, il n’en permet l’usage qu’avec beaucoup de réserve, et qu’à des conditions moralement impraticables. Il veut premièrement, q
impressions des danses et des Comédies les plus honnêtes : voilà les conditions sous lesquelles il en tolère l’usage. Mais y a-t-
t l’usage de la Comédie, puisqu’il le rend comme impraticable par les conditions qu’il demande ; et que d’ailleurs il en dit assez
ée permit les Comédies dans son Diocèse par une Ordonnance de 1583. à condition néanmoins qu’avant que d’être représentées, elles
avaient toujours jusques alors été tenus pour infâmes : mais c’est à condition néanmoins qu’ils s’abstiendraient à l’avenir de t
de la Modestie chrétienne. Le Cardinal de Richelieu avait cru que ces conditions était compatibles avec les divertissements qu’on
temps. Or il est aisé, à ce qu’il dit, de faire voir qu’aucune de ces conditions ne manque à la Comédie d’aujourd’hui, et que par
e jusqu’au bout, et en supposant avec lui qu’il ne faut que ces trois conditions pour supporter les Comédies, quoique saint Franço
il en fait, et dont il nous fait fête par avance. Quant à la première condition  ; il croit, dit-il,« avoir suffisamment prouvé qu
se perde point dans les Spectacles : ce qui est néanmoins la seconde condition que saint Thomas demande dans l’usage des jeux, e
cteur s’efforce d’ajuster au Théâtre. Passons avec lui à la troisième condition , qui consiste à prendre garde aux circonstances d
36 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
a donc un merite très-rare, quand malgré la bassesse apparente de sa condition , & la simplicité de son langage, elle parvien
r plaisanter. Lorsque dans les Plaideurs, le Portier du Juge vante sa condition , parce qu’on n’entroit pas chez son Maître sans g
37 (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435
nt le rétablissement, par une Loi du vingt-quatre Avril 396. mais à «  condition de n’y rien représenter qui put blesser la pudeur
stitia generetur ; ils permirent la représentation des autres jeux, à condition d’en retrancher toutes sortes de licences contrai
38 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
remblement de terre, 133 Aroadius permet les Jeux Majumes à certaines conditions , 111. Est obligé de les abolir, 119 Argent, ne do
6. 348 Philippe Auguste chasse les Comédiens, 185. S. Pie V. à quelle condition il souffrit les Courtisanes, 277 Plaute, caractèr
39 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
accuser de péché ceux qui y assistent, à moins que leur état et leur condition ne les en dût empêcher. Je n’en ai que contre ceu
diens, ou les Bateleurs ; mais aussi le plus souvent les personnes de condition , sans se mettre en peine s’ils violent les jours
40 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
fait la guerre au mérite en quelque genre qu’il soit, et dans quelque condition qu’il se rencontre : qui veut se mettre à l’abri
eu contre le libertinage.Terent. Eunuch. A. 3. Chrémès jeune homme de condition a de la modestie et de l’honneur : il craint d’êt
emment que les peines ne sont que pour les Grands et les personnes de condition  ? que la justice ne doit point porter ses coups p
réussir en cette matière il faut avoir égard à l’âge, au sexe et à la condition des personnes, afin de ne leur prêter quoi que ce
polies ! Sa méthode pour garder les bienséances, pour rendre à chaque condition les respects qui lui sont proportionnés, et pour
41 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -
ous Imprimeurs, Libraires, et autres personnes, de quelque qualité et condition qu’elles soient, d’en introduire d’impression étr
42 (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132
quand ils les espousent : Ils luy ont fait changer d’estat, & de condition  : Ils font cause que ce n’est plus elle. Aussi je
secrette, & telle que la vertu la donne aux personnes de moyenne condition . Les particuliers peuuent estre aussi gens de bie
fasche moins, je dis qu’ils ne figurent pas l’homme selon son âge, sa condition & son païs ; Ils le figurent à leur fantaisie
43 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
ion. Au même temps il entra une jeune Demoiselle de 24. ans, fille de condition  : je lui donnai vôtre lettre. Après qu’elle en av
44 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre III. L’amour profane est la plus dangereuse de toutes les passions. » pp. 29-31
nces indécentes d’où il résulte quelquefois un contraste humiliant de condition et souvent une extrême indigence, et les unions c
45 (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »
. Faisons défenses à toutes sortes de personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient, d’en introduire d’impression étr
46 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
ité. C’est néanmoins celle où vous êtes réduite, et ce qui rend votre condition encore plus misérable, c’est que si vous surmonte
. Ep. [Epistola] ad Rom. [Romanos] C. 7. V. 23. 24. 25, il déplore sa condition , voyant que son esprit, qui ne saurait plaire à D
e convention secrète avec ses yeux, de leur donner quelque liberté, à condition qu’ils ne regarderaient jamais ni femme, ni Fille
erain Juge, sans que le criminel en ait la connaissance : voilà votre condition et la mienne, c’est pourquoi, si nous sommes sage
47 (1674) Le Theâtre François pp. -284
éclaircir, & il y en a enfin qui pour sauuer les dehors dans les conditions où ils se trouuent, blâment par maxime ce qu’au f
au besoin. XI. Coûtume obseruée dans la lecture des pieces. XII.  Conditions faites aux Autheurs. XIII. Combat de generosité
estoient bien sages, ils n’imprimeroient jamais de liures qu’à cette condition , ils ne verroient pas leurs magazins plier soûs l
itoyable, & qui font tort à leurs ouurages en les lisant. XII.  Conditions faires aux Autheurs. La piece estant leüe &
aux Autheurs. La piece estant leüe & approuuée, on traitte des conditions , & il est juste qu’vn Autheur soit recompensé
generalement toutes les Comedies qui portent son nom. Ie reuiens aux conditions que les Comediens font a l’Autheur, & ce ne s
veulent sçauoir comme tout se passe dans le monde. La plus ordinaire condition & la plus iuste de costé & d’autre est de
& ce n’est aussi qu’à ceux de cette volée que se font ces belles conditions du contant ou des deux parts. Quand la piece a eu
fait de produire son ouurage. Enfin la piece leüe & acceptée à la condition du contant ou des deux parts, le plus souuent l’A
Hercule, où ils bornent leurs courses & leur fortune. Cette belle condition ne se peut trouuer entre eux, parce que leurs Tro
peu pres les mémes reglemens que ceux de Paris, & autant que leur condition d’ambulans le peut permettre. C’est dans ces Trou
des personnes qui entrent dans la Troupe, & de marquer à quelles conditions ils y sont receus. Ces deux charges de Tresorier
-Expresses Deffences à toutes sortes de personnes de quelque qualité, condition & profession qu’elles soient, de s’attrouper
mesmes à tous Soldats & autres personnes de quelque qualité & condition qu’elles soient, de s’atrouper & de s’assembl
trouueront estre les autheurs ou complices, de quelque qualité & condition qu’ils soient, puissent estre saisis & arrest
48 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
Coque, lui fit faire son portrait, le lui paya & le lui donna, à condition qu’il le porteroit en France, & le feroit voi
méprisant auroit dû les aprécier ce qu’elles valent. Bien des gens de condition , dit-on, voyoient Scarron & Moliere ; cela pe
urons de leurs couronnes ? Jusqu’ici ils n’étoient point sortis de la condition obscure d’un artisan ; le Théatre ennoblit tout,
ante demoiselle, qui fiere de sa qualité, ne recevoit que des gens de condition , & recommandoit à sa fille de soutenir l’hone
deux ans. A force d’intrigues & de sollicitations, & sous la condition de quantité de changemens que Moliere promit d’y
49 (1574) Livre premier. Epître dixième. Cyprien à Eucratius son frère « Epître dixième. » pp. 30-31
nt retire-le, tant qu’il te sera possible, de sa méchante et damnable condition de vivre, pour le rappeler au chemin d’innocence,
50 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
ent de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) Vues par la cour les lettres
51 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
il est de la politique de rapprocher l’homme des bêtes, puisque leur condition doit être la même, et qu’elle exige également une
52 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
our être esclaves ou tyrans !…… On peut donc mettre sur la Scène, les conditions les plus communes : on peut, non pas leur donner
te tracée dans Lucile, où l’Auteur a su rassembler des personnages de conditions assez éloignées, sans que les contrastes blessent
53 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VII. » pp. 36-41
pice de votre Ballet. Je n’ai pas besoin, mes Pères, d’examiner la 3. condition d’une légitime translation, qui est qu’elle ne se
54 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
îne. Ce n’est pas la Charge qui en est une par elle-même, ce sont les conditions aux-quelles on l’a acquise. Qu’est-ce qui commun
jouer. Le Théatre étoit donc regardé à Rome comme indigne des gens de condition . On a vu des Affranchis manier, presque à la plac
55 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
se est quelque fois permise, pourvu qu’elle soit accompagnée de trois conditions qui sont nécessaires pour la rendre innocente. 1.
du temps & des autres circonstances qui l’accompagnent. Voilà les conditions que S. Thomas demande dans la danse, afin qu’elle
56 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
emples d’un Héroïsme semblable à celui de Titus dans des hommes d’une condition médiocre et même de la plus basse extraction, don
nd Seigneur, ne travaille à faire monter son Amant sur le Trône, qu’à condition qu’il l’épousera. On ne pouvait rien imaginer de
57 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
rien à la dépense*. Mais on ne peut rendre au Théâtre l’ingénuité de condition , qu’en lui fesant subir des changemens aussi cons
mes, peuvent donner des leçons utiles & agréables pour toutes les conditions  ». 2. La réponse à la première question, résout a
donné la raison plus haut : il faut donc trouver des Acteurs que leur condition , leur état, leurs espérances obligent à penser di
58 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
ces dangereux frelons y corrompent les mœurs ; la contagion gagne les conditions occupées, & de la Ville, elle s’étend jusqu’a
59 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68
; et, si quelques fois il les permit dans le Carnaval, ce fut avec la condition expresse qu’il ne paraîtrait jamais de femmes sur
60 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
que les Héros avec le même succès qu’eux, 250 Les jeunes personnes de condition ont des mœurs plus saines dans Plaute et dans Tér
61 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
des Spectacles, selon leur dignité, selon leur âge, ou même selon la condition de leur nature, néanmoins leur esprit n'est point
rve la pureté de notre conscience ; qui nous rend satisfaits de notre condition présente; qui fait que nous n'avons aucune craint
62 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
ure des âmes, il en est l’exercice, non l’oisiveté. IV. Cette seconde condition n’est pas indifférente, c’est au contraire le pri
dée. Qu’on la mette vis-à-vis des principes que j’ai rappelés sur les conditions d’une bonne Pièce. XVIII. Calomnie atroce, qui at
63 (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504
oit point faire de déshonneur à la personne qui le veut prendre : Les conditions des hommes ont je ne sais quelle bienséance qui n
s, ni de paroles qu’un homme laïc pourrait prendre sans déshonorer sa condition . Personne ne dira que tout ce qui n’est point rép
coutume des pays, qui peut passer pour loi, à l'état, à l’âge et à la condition d’un chacun : C’est de là qu’il faut prendre ses
. Chacun en use comme il veut et autant qu’il veut, il n’est point de condition si misérable dans le monde qui n’y puisse avoir p
sonnes si viles et si rebutantes, qu’ils crurent que les personnes de condition n’y voudraient point avoir part, et qu’ainsi la l
et en postures différentes, et que les autres comme ils n’ont qu’une condition , ne paraissent que sous un même habit ; on peut d
ois, ou qui fût disposé à quitter toutes les espérances d’une honnête condition pour faire le jongleur sur un théâtre : néanmoins
bouche autant de fois qu’ils sont pour mal parler : La honte de leur condition n’empêche pas que leur liberté de tout faire et d
ille, il faut encore que le divertissement ne choque ni l’état, ni la condition de la personne qui le veut prendre : Je ne crois
s contre eux : N’est-ce pas traiter Dieu de valet, et le réduire à la condition des esclaves ? Si Dieu ne le fait il sera renié e
de ces parjures ? Que ces brutaux ne considèrent-ils qu’ils font une condition à Dieu, qu’ils ne feraient pas à leurs valets, à
res leur visage, quelques-uns leur parole, et tous leur habit et leur condition . Aussi à bien parler tout n’en vaut rien ; on ne
contredire ? Quoique les autres déguisements de visage, de parole, de condition , soient un peu plus tolérables que celui du sexe,
Pourquoi la voudrait-on interdire aux personnes qui ne sont point de condition à vivre dans une si grande retenue, et qui souven
dre ; mais la suite des siècles nous a fait voir qu’il n’y a point de condition dans le Christianisme qui n’ait ses Saints. La gr
ant pas de quoi s’occuper ni dans le trafic, qui est au-dessous de sa condition , ni dans la guerre, qui ne dure pas toujours, ell
64 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201
ssiéger, ou de celles qu’il veut défendre. Le reste est indigne de sa condition , et quand il voudra se délasser ou se divertir, i
65 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
aracteres et à certains esprits : ils n’ont distingué ni qualités, ni conditions , ni tempéraments, ni dispositions du cœur ; ils p
s comme un exercice réglé, comme un emploi, comme un état fixe et une condition  ; qui donne au jeu les journées entieres, les sem
nt qu’ils en demanderont ; ils ne perdront rien dans l’avenir, mais à condition qu’ils perdront tout dans le présent, et que cet
ménagement et sans réflexion, emprunte de tous les côtés et à toutes conditions , et ne pouvant encore se dépouiller d’un héritage
66 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
vint mourir à Rome, et laissa tout son bien à la Ville d Antioche, à condition que de cinq en cinq ans on donnerait dans cette V
e Flore, laissa en mourant de grands biens à la République de Rome, à condition qu’on ferait quelques réjouissances le jour de sa
complaisant permet par cette Loi de célébrer les jeux Majuma, mais à condition qu’il ne s’y passerait rien contre l’honnêteté, l
ise ; et qu’il n’approuve les Histrions, qu’en cas qu’ils gardent des conditions qu’ils ne gardent point. Ce grand Saint savait si
péché des Histrions, et de ceux qui vont à la Comédie. II. Suite des conditions qui, selon S. Thomas, rendent les divertissements
endent les divertissements permis ou condamnables. Application de ces conditions aux Comédiens de ce temps. II développe encore mi
s conditions aux Comédiens de ce temps. II développe encore mieux ces conditions dans le second article de la même question, où il
s mettent au nombre des péchés de leur Jeunesse. Donc par la première condition que Saint Thomas exige, la Comédie d’aujourd’hui
si elle n’était remplie des vices que les hommes aiment. » La seconde condition n’est pas moins décisive Colos[siens]. 3. 17. : «
; ce sera vous, qui serez le principe de cette action. » La troisième condition , est qu’on ne joue pas en certains temps marqués 
stiques, qui paraît favorable aux Comédiens, est toujours joint à des conditions qui ne s’observent point ; et qu’au contraire, lo
t que quand même les Comédiens ne pècheraient pas toujours contre les conditions prescrites, et qu’ils représenteraient quelquefoi
it en réputation de grande piété à Paris, eût approuvé avec certaines conditions ces mêmes Comédiens que S. Louis chassa absolumen
e une espèce de métier de réciter quelques pièces agréables, met pour conditions qu’on n’usera point de paroles indécentes ou nuis
ge qui porte son nom, acheta l’Hôtel de Bourgogne et le leur donna, à condition qu’ils ne représenteraient jamais que des pièces
teraient jamais que des pièces pieuses. Je ne sais s’ils gardèrent la condition . Peut-être la gardèrent-ils de telle sorte que le
être dites ». Le Parlement leur accorda ce qu’ils demandaient, mais à condition qu’ils répondraient des scandales qui pourraient
l’honnêteté publique », il est dit, « qu’au cas qu’ils observent ces conditions , ils ne seront pas à l’avenir notés d’infamie ».
67 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
quelquefois assez vraie, des mœurs communes des gens de la plus basse condition . Je dis une peinture des mœurs communes ; parce q
es mœurs communes ; parce que la Comédie-Ariette, qui peint les mêmes conditions , ne les envisage pour ainsi dire que dans leurs j
os, rappeler les Sujets qu’elle aura donnés à la Province, sans autre condition que de renvoyer des Eléves dans le même genre pou
68 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
libéraux, et sont des productions de l’esprit et du goût. Des gens de condition ont quelquefois composé. Scipion et Lelius eurent
robité et des sentiments. Ce cas d’ailleurs est si rare ! Un homme de condition Comédien est un phénomène ; à peine s’en trouve-t
n’en sont pas moins infâmes. La Bruyère dit (C. des jugements) : « La condition des Comédiens était infâme chez les Romains et ho
69 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
les & nos campagnes ? Serons-nous donc forcés, en déplorant notre condition , de desirer d’avoir des pattes ? Sans avoir vû (
illes généralement tous les cœurs de tout âge, de tout sexe, de toute condition  ? Des hommes qui nous présentent des poisons si d
vé le voile d’infamie qui l’avoit couvert jusqu’alors, ce fut sous la condition expresse qu’il ne s’y passeroit rien qui pût ble
voix de la Religion, a mérité le surnom de Juste : C’est sous la même condition qu’au commencement du quatorzieme siecle un autre
l de Bourgogne pour les Comédiens. Etant de notoriété publique que la condition si recommandée n’a jamais été remplie, on peut cr
nous tant de millions de Martyrs de tout âge, de tout sexe, de toutes conditions auront scellé de leur sang les vérités que nous c
70 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
r la licence, exige, comme on a vuCi-dessus, n. 25.ak , pour une des conditions des divertissements innocents, « que le temps en
71 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
tre considérés à l’égal des autres citoyens et comme ayant, aux mêmes conditions , les mêmes droits aux prières et aux honneurs de
72 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
Drames du Spectacle dont je parle, ont le bonheur de satisfaire à ces conditions . Je trouve qu’ils plaisent encore d’avantage aux
raît un Poème à ce Théâtre dans lequel on fait agir des Acteurs d’une condition un peu distinguée ; nous serons donc enfin dans l
73 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
u’elles offrent un Spectacle tout-à-fait inconnu. Mais cette prémière condition est bien difficile à remplir : il faut encore que
74 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE PREMIER. De la Passion de presque tous les Peuples pour la Poësie Dramatique. » pp. 8-16
Action grande, est exécutée les jours de Fêtes, par des Acteurs d’une condition estimable, qu’un vil intérêt n’engage point à div
75 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
défenses à tous Juges de leur donner permission de jouer que sous ces conditions . » Ces mêmes défenses furent réitérées par Arrêt
76 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
contre de la bouche impie de toutes sortes de personnes ; des gens de condition aussi bien que de la canaille, des braves aussi b
gion dont une créature puisse être capable. Je la supprime, aux mêmes conditions que j’ai dissimulé quelques impiétés de Polypore,
Ciel, et ne veut pas démordre de sa révolte ; il ne changerait pas sa condition pour celle de Mercure ; il aime mieux vivre misér
tempérament qu’on y apporte : elle doit être exilée de chez nous sans condition et sans réserve : nul prétexte emprunté du caract
77 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
; la licence est la plus proche voisine de l’esclavageParallele de la condition & des facultés de l’homme, avec la condition
avageParallele de la condition & des facultés de l’homme, avec la condition & les facultés des autres animaux : Ouvrage t
ers le beau. L’Auteur de l’ouvrage Anglais intitulé : Parallele de la condition & des facultés de l’homme, avec la condition
lé : Parallele de la condition & des facultés de l’homme, avec la condition & les facultés des autres animaux, l’appelle,
belles ames, on n’aura aucun sujet de s’en plaindre. Parallele de la condition & des facultés de l’homme etc. Ouvrage tradui
tés. C’est la pensee de Grotius & de Montesquieu. Parallele de la condition & des facultés de l’homme, avec la condition
ieu. Parallele de la condition & des facultés de l’homme, avec la condition & les facultés des autres animaux : Ouvrage t
; nos vertus, notre bonne ou notre mauvaise conduite. Parallele de la condition & des facultés de l’Homme avec, &c. Ouvra
78 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
reux Initiés, s’écrioit Saint Jean Chrysostome, ignorez-vous à quelle condition le Seigneur vous adopta pour fils ? Nous vous dem
oncé au Démon & à ses pompes, & qui remplissez fidélement les conditions de l’alliance que vous avez faite avec le Seigneu
us-Christ, pour régner un jour avec Jesus-Christ. C’est à cette seule condition que nous pouvons vous promettre la vie éternelle,
79 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
aint Medard est-il un Fief qu’il n’ait accordé à des vassaux qu’à ces conditions  ? eût-il dû imposer cette redevance ? Lorsque Lou
age peut avoir des parens répréhensibles. Favart y pensoit-il ? Cette condition combat sa piece & celle de son éleve, qui tou
établir un prix de sagesse dans une grande ville entre des filles de condition  : on pourtoit alors donner l’essor au génie. Un R
80 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56
e, tomba de son fauteuil, & mourut. Un jeune Abbé, riche & de condition , ayant vu jouer la Gaussin, alla se prosterner à
empare de tous les états, comme on voit devenir communes à toutes les conditions les manieres de se coëffer & de se parer que
elques-uns en ont chez eux. Les théatres en profiteront ; les gens de condition liés avec les actionnaires y trouveront une pepin
81 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
olide. Déjà ils ont été introduits dans des sociétés analogues à leur condition , c’est-à-dire dans des cercles bourgeois, parmi d
donne pour raisonnable dans la même pièce, la démarche d’une fille de condition qui va tous les soirs en sécret apprendre à décla
à eu occasion de dire qu’il se trouvoit souvent parmi eux des gens de condition honnête. Si ces derniers se montroient là passagè
82 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
, dit Tertullien en parlant des Comédiens, est le mauvais usage de sa condition  ; et au pis aller on pourrait ce semble les rédui
aint Thomas, dans le lieu cité de la question 168 marque de certaines conditions qui pourraient rendre l’usage licite de la Comédi
spèce de pacte, lorsque parlant des Comédiens qui joueraient avec les conditions qu’il marque, ce qui n’arrive pas dans la pratiqu
saint François de Sales dans cet endroit de la 3e Partie, met tant de conditions pour assister à ces sortes de divertissements, qu
ladite année 1641. Mais ils en sont relevés pour l’avenir, sous cette condition , que dans les Comédies qu’ils joueront il n’y ait
qu’ils aient semblé avoir voulu apporter, n’ont point satisfait à la condition qui leur a été marquée par ladite Déclaration de
83 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
de nouveaux plaisirs. Le Théâtre devint le rendez-vous de toutes les conditions , & la source des plus doux amusemens. L’ignor
84 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81
us prenez un autre chemin pour atteindre au même but : différence des conditions ne fait rien aux yeux de celui qui n’a acception
85 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. Vous me demandez, Madame, quelles conditions il faudrait pour qu’une Tragédie fût parfaite ? J
86 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
ui, de frequenter les Comédies, Bals & autres lieux indécens à la condition Ecclesiastique. » Le Synode d’Orleansf en 1664.
e la pureté de nostre conscience ; qui nous rend satisfaits de nostre condition presente, qui fait que nous n’avons aucune craint
5. Février 1561.) à toutes personnes de quelque état, qualité, & condition qu’ils soient, de ne plus faire des masques &
 Les Ecclesiastiques s’abstiendront des recreations indécentes à leur condition , comme bals, danses &c. » Des Ordonnances du
87 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
a déposition des Clercs, et l’excommunication des laïques, de quelque condition qu’ils soient, lorsqu’ils font le métier de Coméd
: elle suppose qu’en général la comédie peut être permise à certaines conditions qui ne s’y trouvent jamais, et qu’en particulier
88 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
posé, que les attaques dramatiques individuelles, soumises à quelques conditions de rigueur, surtout à celles de la gravité du suj
tion et de la réforme des deux sexes, des trois âges et de toutes les conditions ) ; sans titre, dis-je, sans guide, sous le rappor
e aujourd’hui, surtout le genre de spectacles convenable à toutes les conditions et à tous les âges ; celui dans lequel la morale
89 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
ngués par des compositions de ce genre. Sortis du Collége, ceux d’une condition plus relevée, ne font plus guére de vers que pour
90 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
me les citer en Latin. Galien ayant été appelé pour voir une femme de condition , attaquée d’une maladie extraordinaire, il découv
91 (1697) A Monseigneur de Harlay, Archevêque de Paris « A MONSEIGNEUR DE HARLAY, ARCHEVEQUE DE PARIS, DUC ET PAIR DE FRANCE  » pp. 394-406
fit scrupule de me donner l’absolution, et enfin ne me la donna qu’à condition que je m’informerais à de plus habiles Gens que l
92 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
241. et 242. ne suffit pas que le peuple ait du pain, et vive dans sa condition . Il faut qu’il y vive agréablement, afin qu’il en
93 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
t des femmes perdues. Le compliment est nouveau de dire aux femmes de condition que les trois quarts parmi elles n’ont point d’ho
ourtisanes sont chez lui plus retenues que les femmes d’honneur et de condition à la manière de nos Poètes : Bacchis dans l’Heaut
qui n’étaient pas mariées. Dans la Grèce, nulle femme au-dessus de la condition d’esclave ne mangeait hors de chez elle ;Cor. Nep
’aient rien d’opposé à leur caractère connu, et ne soient point d’une condition trop relevée pour badiner. C’est je crois le sent
94 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
n pas sentir le mauvais effet : et pour peu qu’il voulût revenir à la condition des autres hommes, il verrait que c’est un mauvai
ille voler sur les grands chemins ? Cet homme ne connaissait que deux conditions dans le monde, celle de prêtre, et celle de voleu
95 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
e ce sexe, nul déguisement ? n’en joue-t-on que très rarement ? A ces conditions , on peut avoir part à l’indulgence de M. Bossuet.
rable. Pour le théâtre public, l’apologie des collèges à de pareilles conditions est un nouveau coup de foudre qui l’écrase. M. l’
96 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
n’a pas cru devoir le passer sous silence. (p. 65.) Deux choses d’une condition toute différente tombent dans la matiere du prêt 
97 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
ctéres, & à certains esprits. Ils n’ont distingué ni qualitéz, ni conditions , ni tempéramens, ni dispositions du cœur. Ils par
98 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VII. Que les Acteurs des Poèmes Dramatiques étaient distingués des Histrions et Bateleurs des Jeux Scéniques. » pp. 145-164
s, dont les anciens faisaient seulement leurs Héros ; ceux des autres conditions n'étant estimés que de simples hommes. C'est pour
99 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
abîme malgré elle ; on lui conseille d’exiger de son Amant, comme une condition de leur future mariage, qu’elle demeurera maîtres
100 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
ntérêts des gouvernemens, et qu’on n’y introduit que des hommes d’une condition commune, il conserve plus de liberté que la tragé
la comédie est du genre héroïque, si elle représente des hommes d’une condition plus élevée, elle est soumise aux mêmes entraves
veres ; enfin, à force de protections, il obtint ce qu’il desiroit, à condition qu’on ne commenceroit qu’à 7 heures, c’est-à-dire
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