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1 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
el du ministère en France. Page 63 Réflexions sur les Congréganistes, considérés comme espions obligés de la société des jésuites
Bonaparte jugé par M. le vicomte de Châteaubriand. Page 73 Bonaparte considéré comme usurpateur du directoire. Page 74 Bonapart
Alexandre-le-Grand, César et Charles XII. Page 77 Du pouvoir absolu, considéré comme l’ennemi irréconciliable de la liberté et d
es et inaliénables des peuples. Page 78 Du gouvernement théocratique, considéré comme le plus détestable de tous les gouvernement
ntre les mains d’un grand conquérant. Page 81 Les grands conquérants, considérés comme des comédiens remplissant des rôles d’acteu
e et surtout depuis la restauration. Page 112 CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des comédiens du tr
oyances. Page 127 Les comédiens, eu égard à la religion, doivent être considérés à l’égal des autres citoyens. Page 128 CHAPITRE
ante de l’autorité ecclésiastique. Page 146 De l’autorité temporelle, considérée comme protectrice de la religion. Page 147 De la
e que les agents provocateurs sont en police. Page 166 De la censure, considérée comme préférable aux lois de tendance et moins od
lement seront condamnés. Page 167 La loi de tendance du 17 mars 1822, considérée comme n’étant qu’une espèce de jury, uniquement c
de la cour royale, comparés aux anciens conseillers au Parlement, et considérés comme des juges ordinaires. Page 167 De la nécess
pirituelle au-dessus de l’autorité des souverains. Page 169 Le clergé considéré comme se trouvant perpétuellement dans une fausse
nspirateurs ou complices. Page 185 CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste, et par conséquent nulle, de la par
tuels de l’église. Page 186 Du refus de sépulture fait aux comédiens, considéré comme un délit, sous le rapport des lois ecclésia
Le fanatisme des prêtres dans leur refus de sépulture aux comédiens, considéré comme un délit sous le rapport de la charité chré
l’art de raisonner. Page 206 Principes de la secte ultramontaine, qui considère que la religion chrétienne doit être maintenue pa
207 Injures lancées contre l’auteur du livre des Crimes de la presse, considéré comme un jésuite hydrophobe et lycanthrope. Page
à M. l’abbé de La Mennais. Page 210 Le livre des Crimes de la presse considéré comme l’avant-coureur de l’anéantissement de la l
2 (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -
r. Mais ce n’est point dans une spéculation chimérique qu’il faut les considérer , c’est dans la pratique commune et ordinaire. Il
les considérer, c’est dans la pratique commune et ordinaire. Il faut considérer quelle est leur origine, quelles sont les mœurs o
ns les spectateurs ; quelles impressions elles leur laissent. Il faut considérer ensuite si tout cela peut se concilier avec la vi
3 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492
XXXII. Si le Chrétien se considère comme pécheur, il doit reconnaître qu'il n'y a ri
vertissement aussi vain et aussi dangereux que la Comédie: et s'il se considère comme enfant de Dieu, comme membre de Jésus-Chris
4 (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327
XXXII. Si le Chrétien se considère comme pécheur, il doit reconnaître qu'il n'y a ri
divertissement aussi vain, et aussi dangereux que la Comédie. S'il se considère comme enfant de Dieu, comme membre de Jésus-Chris
5 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IV. La Comédie considérée en elle-mesme. » p. 8
IV. La Comédie considérée en elle-mesme. Pour mettre quelque ordre dans c
nsidérée en elle-mesme. Pour mettre quelque ordre dans ces preuves, considérons la Comédie en elle-même, dans ses Acteurs & d
6 (1675) Traité de la comédie « XIII.  » p. 293
encore un très grand abus, et qui trompe beaucoup de monde, que de ne considérer point d'autres mauvais effets dans ces représenta
, et que nous n'en fussions pas aussi susceptibles. Cependant si l'on considère les Comédies de ceux qui ont le plus affecté cett
7 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
ainteté à laquelle ils sont obligés par le vœu de leur Baptême. On ne considère pas, comme dit saint Paulin, que par la grâce de
eux-mêmes ni au monde, mais de faire vivre Jésus-Christ en eux. On ne considère pas que la vie Chrétienne doit être non seulement
8 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIII.  » p. 468
encore un très grand abus, et qui trompe beaucoup de monde, que de ne considérer point d'autres mauvais effets dans ces représenta
, et que nous n'en fussions pas aussi susceptibles. Cependant si l'on considère les Comédies de ceux qui ont le plus affecté cett
9 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
ainteté à laquelle ils sont obligés par le vœu de leur baptême. On ne considère pas, comme dit S. Paulin, que par la grâce de ce
eux-mêmes ni au monde, mais de faire vivre Jésus-Christ en eux. On ne considère pas que la vie chrétienne doit être non seulement
10 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
rer dans les fables un Joueur de flute, et pourquoi m'arrêterais-je à considérer un Antigenide Thébain, disciple de Philoxene, qui
i renoncé aux Spectacles. Chap. 10. Quant aux Comédies, si nous considérons l'origine du Théâtre, qui est le lieu où elles so
ez tout cela comme un breuvage de miel dans une coupe empoisonnée; et considérez qu'il y a plus de péril à se laisser emporter à l
her leurs plaisirs en ce monde; ou plutôt, c'est une étrange manie de considérer , comme un véritable plaisir, les voluptés de ce s
hariots, représentez-vous le cours du siècle, et du temps qui passe ; considérez l'espace de votre vie ; et au lieu du terme et du
êts au son de la Trompette, et à la voix de l'Ange qui vous avertira: Considérez la victoire, et la couronne des Martyrs, comme l'
11 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. » pp. 7-9
z les païens et chez les chrétiens. Page 101 Chapitre IV. Du Clergé, considéré comme fondateur et protecteur des Comédiens du tr
entreprises du fanatisme. Page 174 Chapitre XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part
12 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — I.  » pp. 455-456
I. Il est impossible qu'on considère le métier de Comédien, et qu'on le compare avec l
écessairement exciter en soi-même des passions vicieuses. Que si l'on considère que toute la vie des Comédiens est occupée dans c
13 (1675) Traité de la comédie « II.  » pp. 275-276
II. Il est impossible de considérer le métier de Comédien, et de le comparer avec la
essairement à exciter en soi-même des passions vicieuses. Que si l'on considère que toute la vie des Comédiens est occupée dans c
14 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
it faire attention à ces différentes manières dont les comédiens sont considérés dans les canons et décrets des saints conciles dé
oncer si les acteurs de comédie, eu égard à la religion, doivent être considérés à l’égal des autres citoyens et comme ayant, aux
mêmes droits aux prières et aux honneurs de l’église. On doit encore considérer que le prêtre qui exige d’un acteur l’abjuration
15 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVI. Des périls auxquels on s’expose en allant au bal. » pp. 97-118
bal. Il n’y a point de sujet qui mérite d’être plus attentivement considéré que celui duquel nous allons parler dans ce Chapi
s mauvais désirs contre sa pureté. Ces principes étant ainsi établis, considérons le mélange qui se fait dans le bal des hommes ave
l n’y a point d’homme raisonnable qui n’entre dans ce sentiment, s’il considère sans préoccupation et devant Dieu, avec quelle fa
t par ce moyen satisfaire aux inclinations de quelque personne qu’ils considèrent , ou qu’ils aiment ? Enfin quel sera le crime de c
16 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIX.  » pp. 475-477
ge de cette passion de tout le fard que le Poète y prête, et qu'on la considère par la raison, on ne saurait rien s'imaginer de p
vices en des sujets beaucoup plus pernicieux que celui-là; et si l'on considère presque toutes les Comédies et tous les Romans, o
17 (1675) Traité de la comédie « XIX.  » pp. 302-305
ge de cette passion de tout le fard que le Poète y prête; et qu'on la considère par la raison, on ne saurait s'imaginer rien de p
vices en des sujets beaucoup plus pernicieux que celui-là. Et si l'on considère presque toutes les Comédies et tous les Romans, o
18 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
rétienne, s’ils n’ont pas renoncé au Théâtre avant leur mort. Si l’on considère le but de nos Spectacles, & les talens nécess
te Loi ne s’observe point parmi nous. Les Comédiens étaient autrefois considérés comme infâmes, & par cette raison, on les a r
19 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 7-8
l’esprit de ceux qui l’entendent, s’y attache plus longtemps pour en considérer et admirer la subtilité. On y mêle souvent des br
la vénération et l’estime qu’ils en avaient ; ils s’accoutument à les considérer comme des choses profanes, indifférentes et de pe
20 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
ans action. Je réponds que les choses morales ne se doivent pas ainsi considérer dans la pure spéculation, et d’une manière abstra
sont-elles mêlées, combien de sentiments Païens et pis que Païens. Y considère-t -on jamais les crimes par opposition à la loi éter
mouvement, le voile d’honnêteté dont le premier est couvert en laisse considérer la peinture avec moins de précaution, et par cons
multitude de choses qui sont d’une magnificence admirable. Au lieu de considérer les frivoles merveilles des hommes, arrêtez-vous
21 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
es spectacles sont opposés au christianisme dans leur nature, il faut considérer ce que c’est qu’un chrétien, et ce que c’est que
on en diminue l’horreur par la manière de les peindre : il suffit de considérer , avec tous les saints docteurs, que le théâtre es
mpagne naturellement la continuation des plaisirs, ne doivent-ils pas considérer ce besoin comme un vice d’habitude, dont ils doiv
« Pour bien comprendre ce que nous venons d’avancer, il ne faut que considérer quelles impressions font sur l’âme les images les
22 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
nous faire entrer dans la connaissance de la misère des hommes que de considérer la cause véritable de l’agitation perpétuelle dan
prit d’extravagances ; ceux qui sentent de semblables besoins doivent considérer cette disposition, non comme l’effet d’une faible
es soutenir, quelque modique que soit d’ailleurs la somme, doivent se considérer comme ayant contribué, autant qu’il a été en elle
de l’entreprise : parce que nous contribuons à son succès, nous nous considérons comme les co-opérateurs de tout ce qu’elle a prod
, soit par notre bourse, soit par notre présence ? Nous ne devons pas considérer dans quelle proportion nous prenons part à cet ac
utres individus ; nous devons regarder la chose en elle-même, et nous considérer comme coupables de tout le mal attaché à cet acte
23 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
t voir la pièce entière, et qui ne seront pas assez raisonnables pour considérer la difficulté qu’il y a eu à en retenir seulement
qu’il est capable de lui donner. En général, on prie les Lecteurs de considérer la circonspection dont l’Auteur a usé dans cette
24 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
fois l’imprudence de publier et d’accréditer sur la scène, je n’ai pu considérer cette influence de la Chaire et du Barreau, sans
raison, il était naturel autant que nécessaire que je commençasse par considérer l’influence de la Chaire dans la société civile.
25 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 5. SIECLE. » pp. 147-179
st le Souverain maître, et qu'il sait bien ce qu'il fait, et qu'il ne considère pas tant nos inclinations que notre utilité, ceux
cordes qu'il leur a faites. Se voyant dans le sein de l'Eglise, elles considèrent avec une extrême reconnaissance l'affection que D
ous nous mettez devant les yeux. Ce Chrétien se plaisait auparavant à considérer les frivoles merveilles des hommes ; Qu'il s'arrê
nnent-ils ? Ne sont-ce pas des hommes à qui ils donnent ; mais ils ne considèrent pas en eux la nature de l'ouvrage de Dieu ; ils n
acles dont nous avons parlé soient de si grande conséquence, que l'on considère attentivement ce que nous avons dit, et sans dout
26 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
défauts qui les rendent illicites et condamnables ; et pour cet effet considérons -les, et les regardons dans l’esprit, et selon la
e que de se trouver aux spectacles ne soit qu’une faute légère, qu’il considère attentivement tout ce que nous venons de dire, et
27 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
agiques, etc. » Sans m’amuser à leurs risées, je prie les fidèles, de considérer , si les contredisants ont autant de sujet de se r
s étaient. Pour le dire plus brièvement : les choses indifférentes se considèrent , ou en elles-mêmes, ou au regard des personnes, q
idèrent, ou en elles-mêmes, ou au regard des personnes, qui en usent. Considérées en elles-mêmes, elles sont ni bonnes, ni mauvaise
que le Seigneur même y a pesé. » Es jeux Comiques ou Tragiques, faut considérer deux choses : Premièrement le sujet, ou la matièr
. En l’autre exemple, il y a des circonstances, qui doivent être bien considérées  : Il était question de conserver l’honneur d’une
ntendement ivre des erreurs busch depuis si longtemps, vous permet de considérer quelque chose de sain : Les Dieux pour faire cess
insi en se proposant cette fin, de la dextérité de la jeunesse ; faut considérer , si les moyens qui l’y conduisent, sont légitimes
des Païens ; on l’estimerait, ou furieux, ou Païen : Cependant on ne considère pas, que les premiers Chrétiens, abhorraient auta
imés, que selon le prix qu’ils ont coûté : Ainsi quand tout sera bien considéré , on se trouvera plus empêchédi à cette réformatio
ecteur de la lire sur le lieuew, et désirerais bien, que quelques-uns considérassent cette sévère mais très juste répréhension, que ce
il y a quelques vertu, et quelque louange, pensez à ces choses. » Ils considèrent aussi, combien sont dangereuses les moindre ouver
28 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « II. PARTIE. Où l’on répond aux Objections de l’Auteur de la Lettre. » pp. 89-140
n, et tant de docilité et de soumission pour eux, qu’ils ont toujours considérés leurs sentiments comme devant être la règle de le
gnage d’une affection particulière ; au lieu, dit-il, qu’ils devaient considérer cela comme faisant partie de leur servitude : « I
a l’auteur de la Lettre pour la Comédie l’aveugle tellement, qu’il ne considère pas assez le plus souvent ce qu’il dit, et ce qu’
xime de chrétiens, mais une maxime d’infidèles qui n’ont pas de Dieu. Considérez , je vous prie, que les jours de l’homme passent c
iens selon les Pères de l’Eglise. Les Pères de l’Eglise ont toujours considéré les véritables Chrétiens comme des hommes spiritu
nement ; mais dans une majesté toute Divine, et tout plein de gloire. Considérez quelle sera alors la joie des Anges et la consola
ardait auparavant les ouvrages des hommes avec étonnement, s’arrête à considérer ceux de Dieu, et se serve pour cela des yeux que
la foi lui donne. Il exhorte dans un autre endroit les Catéchumènes à considérer tantôt le Prophète Elie enlevé au ciel dans un ch
ous en promener dans un jardin, où sur les bords d’une rivière. Allez considérer la vaste étendué d’une grande campagne, et ouïr l
29 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IV. Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être défendue par la raison des anciens Pères de l'Eglise. » pp. 90-103
que pour les bienfaits dont nos Princes les honorent. Enfin que l'on considère le Théâtre de tous les côtés, les consciences n'y
rés des Théâtres anciens consacrés aux faux Dieux, ils n'ont plus été considérés comme une invention des Démons, et n'ayant plus r
30 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
CHAPITRE XI.De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part
omédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. Nous avons considéré , sous le point de vue politique et celui de la lé
e, depuis si longtemps, de l’art de raisonner. La secte ultramontaine considère que la religion, sous le point de vue qu’elle l’e
yez ci-dessus, page 183. r. [NDE] L’ouvrage Des crimes de la presse considérés comme générateurs de tous les autres, dédié aux s
31 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
ystème, et d’exalter l’élégance et la force de votre style. Je n’y ai considéré que votre cœur, ou du moins vos sentiments présen
plus beaux yeux du monde. Quel tableau je vous présente ! Daignez le considérer un moment. Mais que vois-je ? Vous le foulez aux
Ses mouvements sont alternatifs, et peignent également la haine. S’il considère leurs charmes, il pâlit ; s’il considère leurs vi
ent également la haine. S’il considère leurs charmes, il pâlit ; s’il considère leurs vices, il s’emporte. La nature cependant vo
m ou quelque Nymphe plus aimable. Il veut la fuir, il est forcé de la considérer  ; il se sent enchaîné ; mais son esclavage l’irri
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VI.  » p. 460
VI. On doit considérer que la Comédie est une tentation recherchée de ga
33 (1675) Traité de la comédie « VII.  »
VII. On doit considérer que la Comédie est une tentation recherchée de ga
34 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DONATION EN FAVEUR DU PUBLIC. » p. 11
re de ce genre, c’est d’offrir un écrit de peu de valeur, si on ne le considère que sous les rapports de la diction et de l’exécu
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire »
tendent à lier plus intimement la Musique à la Poèsie, ces deux Arts considérés au Théâtre.
36 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354
gloire, se néglige, & ne joue bien que par caprice. S’il voulait considérer que le Public se dégoute enfin de l’Acteur qui ne
aître un homme nouveau. On ne veut parler que du jeu du Comédien, considéré sur la Scène. Je ne veux point entrer dans le
37 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Des Duo, Trio & Quatuor. » pp. 329-339
t éprouver une Pièce qui débute de la sorte. On s’apprête avec joye à considérer l’action qui promet tant de chaleur. Je suis ench
il est dangereux de la laisser s’éteindre. Mais il ne s’agit point de considérer si une règle est difficile ; il faut seulement ob
38 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des principes qui ont été établis ci-devant. » pp. 82-88
n’ont pas égard à la nature, qui est l’ouvrage de Dieu ; mais ils ne considèrent que la dépravation de ces gens-là, dont ils tiren
ondance qui leur était si funeste, c’est un traitement qu’ils doivent considérer comme un effet d’une grande miséricorde de Dieu à
39 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
ut m’être ni avantageux ni agréable de m’attaquer à M. d’Alembert. Je considère sa personne : j’admire ses talents : j’aime ses o
s contenus d’abord par des règlements sages, protégés ensuite et même considérés dès qu’ils en seraient dignes, enfin absolument p
40 (1764) De l’Imitation théatrale ; essai tiré des dialogues de Platon : par M. J. J. Rousseau, de Genéve pp. -47
conque, se laissant amuser par leurs images, n’est pas capable de les considérer sous leur vrai point de vue, ni de donner à ces f
insi dans tout instrument possible, il y a trois objets de pratique à considérer , sçavoir l’usage, la fabrique & l’imitation.
lle faculté de notre ame se rapportent les imitations du Poëte, & considérons d’abord d’où vient l’illusion de celles du Peintr
ulté de l’ame, qu’elle porte des jugemens contraires des mêmes choses considérées sous les mêmes relations. D’où il suit que ce n’e
s quant au sens matériel qui nous fait juger des tableaux du Peintre. Considérons maintenant le même art appliqué par les imitation
41 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
ui facit hæc. Or il faut observer que cette défense ne doit pas étre considérée comme simplement légale, & comme un précepte
e plus vivre que de la vie de Jésus-Christ & imiter sa sainteté : considérez combien vous vous en êtes éloignés. Lorsque vous
ntes ames étoient occupées à prier ou à chanter les louanges de Dieu. Considérez que pendant que vous dansiez, un million de perso
42 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIV.  » pp. 482-483
omédiens de son royaume. Ceux qui sentent en eux ce besoin le doivent considérer non comme une faiblesse naturelle; mais comme un
43 (1675) Traité de la comédie « XXIV.  » pp. 312-313
médiens de son Royaume. Ceux qui sentent en eux ce besoin, le doivent considérer non comme une faiblesse naturelle, mais comme un
44 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
culiers dont elle prétend découvrir les défauts, ou les beautés. Elle considère le choix du sujet, soit qu'il soit Historique, fa
choses qu'ils leur voulaient insinuer n'aurait pu faire. La Tragédie considérée par cet endroit ne paraît pas plus mauvaise que l
dans toutes, et qu'elle les doit faire même plus ordinairement, si on considère de bonne foi quel est l'empire naturel d'une repr
s, en tuant le Comte, et en désarmant Don Sanche: et si l'histoire le considère davantage par le nom de Cid, et par ses exploits
45 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
n origine, et fut même appelée le langage de la Divinité, car si nous considérons l’histoire Romaine, nous trouverons que les Oracl
omme nous l’enseigne le docte Rupert, en ses décrétales. Mais si nous considérons en quel point est aujourd’hui la Comédie, nous tr
de leur ardeur, n’excite leur passion au-delà de leur devoir. Qu’il considère combien la Calomnie est préjudiciable à la réputa
ionnaire de l’Académie, 1694). x. [NDE] Plante, originaire de Grèce, considérée comme pouvant traiter la folie ou l’imbécillité.
46 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
éable d’intrigues, d’intérêts, de passions et de personnes, où ils ne considèrent point ce qui est véritable, mais seulement ce qui
it dit, en passant, que les pièces de Théâtre sont « horribles, étant considérés selon les principes de la Religion Chrétienne et
des empoisonneurs publics, et que leurs ouvrages sont horribles étant considérés selon les principes de la Religion et les règles
fort honorables au jugement des honnêtes gens, sont horribles, étant considérées selon les principes de la religion chrétienne, et
(« Le crime du poète vous a irrités contre la poésie. Vous n’avez pas considéré que ni M. d’Urfé, ni Corneille, ni Gomberville, v
47 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
nce du prince et celle des lois. Le délit dont nous venons de parler, considéré sous le point de vue de l’état politique et celui
e leva en signe d’adhésion. Dans cette circonstance, qui pouvait être considérée comme alarmante, l’autorité ecclésiastique a lais
48 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
nt versé tant de sang, et ce Démon exterminateur du genre humain, est considéré comme un homme miraculeux choisi de Dieu, pour en
ils n’y voient rien pire que la mort qui la finit. Quand les peuples considèrent ces célèbres iniquités qui ont violé la foi divin
49 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XII.  » p. 467
en nous par ce qu'on y voit. Et pour en être convaincu il ne faut que considérer que lorsque nous avons une extrême horreur pour u
50 (1675) Traité de la comédie « XII.  » pp. 291-292
les choses que l'on y voit. Et pour en être convaincu, il ne faut que considérer , que lorsque nous avons une extrême horreur pour
51 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIV. » pp. 66-67
u tout à sa Majesté et ne lui ferait point honneur. L’on ne doit donc considérer ici dans Apollon que sa qualité de symbole clair
52 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
temps d’ignorance, de superstition et d’abrutissement, elle est enfin considérée comme n’étant qu’une usurpation anti-chrétienne,
ers d’ecclésiastiques et de moines dévoués au saint-siège, elle les y considérait comme des troupes fidèles qu’elle y faisait stati
eu. M. de Sénancourt, mon implacable adversaire, et j’ai droit de le considérer ainsi, essaiera peut-être de prouver, que mes sen
53 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
ets ne soient traités sous toutes les faces possibles. Tel qui a bien considéré un sujet sous un certain rapport, ne l’a pas cons
Tel qui a bien considéré un sujet sous un certain rapport, ne l’a pas considéré sous un autre, sous lequel il étoit aussi importa
54 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
e Figurans, & la Danse entière de soixante-deux Sujets. La Danse, considérée comme l’art de porter le corps avec grâce, avec a
ral, & une science nécessaire dans une bonne éducation : la Danse considérée , comme l’Art représenter par des mouvemens &
55 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
oire abrégée de la Poësie Dramatique chez les Grecs, je m’arrêterai à considérer le caractere de leurs Tragédies. Leur unique but
56 (1715) La critique du théâtre anglais « DESSEIN DE L’OUVRAGE. » pp. -
ite de nos Poètes, eu égard aux mœurs et à la Religion. Leur conduite considérée sous ce double rapport, est un tissu d’excès mons
57 (1667) Traité de la comédie « Préface » pp. 452-454
sans scrupule. Mais le moyen de se défendre de cette illusion est de considérer au contraire la Comédie, non dans une spéculation
58 (1675) Traité de la comédie « I. » pp. 272-274
sans scrupule. Mais le moyen de se défendre de cette illusion est de considérer au contraire la Comédie, non dans une spéculation
59 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XI. Son opposition à l’Evangile. » pp. 23-24
ngile. Est-il possible après ce qui vient d’être dit sur la Comédie considérée en elle-même, est-il possible de se dissimuler à
60 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
Après avoir retracé l’état des comédiens chez les anciens, M. d’Hénin considère successivement leur existence aux trois âges de l
s successeurs de ces derniers, et qu’il serait tout au plus permis de considérer comme tels ces acteurs en plein air, dont les par
61 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIV. Réponse a l’objection qu’il faut trouver du relâchement à l’esprit humain : que celui qu’on lui veut donner par la représentation des passions est réprouvé même par les philosophes : beaux principes de Platon. » pp. 58-60
e, et directement opposé à la simplicité des mœurs. Quand il venait à considérer que ces personnages qu’on représentait sur les th
62 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
Rome pour avoir donné un baiser à sa femme en présence de sa fille, à considérer cette action en elle-même, qu’avait-elle de répré
re à commettre des crimes qu’il a sous les yeux et qu’il est forcé de considérer avec complaisance. « Combien de femmes étaient ch
onnent encore un tel pouvoir à leurs charmes, qu’on ne peut guère les considérer sans s’y laisser prendre. Qui peut se flatter d’ê
63 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature. » pp. 1-5
s. Il est même à remarquer, et c’est une chose qui mérite d’être bien considérée , que nous ne lisons jamais dans les Livres sacrés
64 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
, où la cour de Rome compte des milliers d’ecclésiastiques qu’on peut considérer comme autant de généraux, ou de capitaines d’armé
65 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVII.  » pp. 486-488
e divertissement, et qu'il mettait toute sa gloire et toute sa joie à considérer les merveilles des œuvres de Dieu : « Non sedi cu
66 (1675) Traité de la comédie « XXVII.  » pp. 318-320
divertissements; et qu'il mettait toute sa gloire et toute sa joie à considérer les merveilles des ouvrages de Dieu : « Non sedi
67 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
faire naître des idées utiles à d’autres écrivains plus exercés, qui considéreraient ce sujet sous de nouveaux points de vue ; j’aurai
et le jugement. C’est sous ce point de vue, particulièrement, que je considérerai l’action du théâtre ; je rappellerai cependant et
68 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. Après avoir considéré la qualité des personnes, nous descendrons à la d
69 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
laint de ce que l’ouvrage paraît sans son consentement, on le prie de considérer que le manuscrit n’était plus à lui, puisqu’il l’
70 (1590) De l’institution de la république « QUATORZIEME TITRE. Du Théâtre et Scène. » pp. 507-508
s retentissent de manière, que d’une parole ils en font plusieurs. Ce considéré il a été nécessaire, que pour choisir un lieu pro
71 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238
t de lieue, qu’un voyage considérable, avec trois mille personnes qui considèrent leurs actions. Il est clair que si j’observe quel
tems prescrit à la Comédie. Je sais que je ne passe que deux heures à considérer telle Pièce ; & vous prétendez me faire croir
s concourent au même événement. Voici ma réponse, que je prie de bien considérer , & qui servira d’éxplication à la règle dont
72 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
mundanorum.) Il faut que je vous avoue, Messieurs, que j’ai longtemps considéré devant Dieu et balancé en mon esprit si je pouvai
73 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
omnia penes Dei veritatem fixa sunt. » Supposé ce principe, il faut considérer ce que c’est que la Comédie, car si tout ce qui e
ant, c’est une vision qu’on puisse, selon la pensée du Théologien, la considérer indépendamment de toutes circonstances, bonnes ou
d’ordinaire. 5. Les temps auxquels elle se joue. Voilà comme il faut considérer la Comédie, et ce qui en constitue la nature. Si
t cet Arrêt inutile ; et que par conséquent ils doivent toujours être considérés dans le monde comme des gens infâmes. ARTICLE
74 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
onté d’avec l’intention de son adversaire. Il faut donc non seulement considérer celui qui a fait toutes choses, mais savoir encor
était la prêtresse ; je veux dire des démons, et de leurs ministres. Considérez donc combien d’idolâtries on découvre par ce seul
ois-je craindre que mon âme y contracte quelque souillure ? Les lieux considérés en eux-mêmes ne tirent point à conséquence. Car u
e des démons : on honore par conséquent les démons par ces pratiques. Considérons présentement les titres du jeu des Gladiateurs, d
ir de prendre des divertissements si funestes. Car enfin, mes Frères, considérez ce que c’est que de passer de l’église de Dieu au
sentez-vous dans ces saints spectacles une image des jeux du cirque ; considérez -y la course rapide de toutes les choses du siècle
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
e, éxaminons ce que signifie le terme d’Acte & celui d’entre-Acte considéré dans un Drame. On entend par Acte un certain nomb
elle veut que ces riens ne durent qu’un moment : lorsqu’on l’oblige à considérer long-tems des choses frivoles, elle en vient enfi
76 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
e toujours quelque passion vous inspire, il ose prendre la liberté de considérer toutes les personnes en qui l’on voit luire quelq
s. Le crime du Poète vous a irrités contre la Poésie. Vous n’avez pas considéré que ni M. d’Urfé, ni Corneille, ni Gomberville vo
77 (1647) Traité des théâtres pp. -
s Tragédies, et Comédies. 2. Du mal qu’il y a en ces Théâtres, à les considérer en eux. 3. De l’exception qu’ils ont été réformé
s sont véritablement. CHAP. II. Du mal qu’il y a ès Théâtres à les considérer en eux-mêmes. En premier lieu, si nous remonto
de vrai, avec toute cette belle réformation dont on nous parle, Si on considère les Comédies données au jour, et qu’on met entre
re en notre égard. Mais outre le mal qu’il y a ès Théâtres, ainsi considérés en eux, il y en a deux autres qui ne sont pas moi
rés en eux, il y en a deux autres qui ne sont pas moindres, si on les considère en notre égardae. Le premier c’est que tous ceux
des Théâtres sont exclus de la Communion. Mais surtout doit être ici considéré ce qu’ordonna là-dessus le sixième Concile univer
i puissants, et qui témoignent une dernière détestation. Or cela bien considéré dût aujourd’hui imposer silence à aucuns, qui tou
les Théâtres. Tout ce que dessus ayant été pesé, et soigneusement considéré , par les écrivains modernes, qui ont écrit de la
s, mais seulement de la représentation de quelque histoire. Tout cela considéré montre que cette objection est un pur sophisme. D
dements de Dieu, sont coupables par cette violation prise en elle, et considérée au matériel propre du commandement ; et pèchent i
ce Traité. Car 1. Nous avons montré le mal qu’il y a ès Théâtres à le considérer en eux, à savoir un reste de l’ancienne Idolâtrie
78 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVII. Du gouvernement & de la Police intérieure du Théâtre. » pp. 12-18
pour aucun d’eux, entre dans la tête des Comédiens, & y peut-être considéré comme la cause des usurpations qu’ils ont faites
79 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. L’idée la plus juste qu’on pu
80 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. Le mal de la Comédie, qu’
81 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre VI. Des Poèmes Dramatiques représentés aux Jeux Scéniques. » pp. 135-144
ui furent depuis ajoutées à la pompe des Jeux publics. La Comédie fut considérée comme une peinture naïve et plaisante de la vie c
82 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion : passage exprès de Saint Thomas, et conciliation de ses sentiments. » pp. 88-92
n une idée générale abstraite et métaphysique : mais que lorsqu’il le considère naturellement de la manière dont on le pratique,
83 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
s lettres patentes du roi, les conclusions du procureur et avoir tout considéré , la cour… cm. [NDE] Impétrants des lettres roya
84 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
s pas que l’histoire nous doit servir de très excellent miroir pour y considérer le vice et la vertu, non terminés par la vie d’un
85 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XV. Les spectacles éteignent le goût de la piété. » pp. 133-137
été. Comme on n’y apprend à juger des choses que par le sens, et à ne considérer comme subsistant et réel que ce qui les frappe et
86 (1643) La discipline des Eglises prétenduement réformées « Chapitre XIV. Des règlements ou avertissements particuliers » pp. 381-625
rtinacité = obstination, opiniâtreté. c. [NDE] Fête de l'Epiphanie, considéré comme une occasion de goinfrerie et de beuverie.
87 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
é de faire un pacte éternel avec nos yeux, pour ne pas nous exposer à considérer un objet dangereux ; si, selon la sagesse éternel
la Providence y a magnifiquement pourvu ? et afin de n’en pas douter, considérez ce firmament où les étoiles comme en sentinelle a
seul grain de sable que le Tout-Puissant oppose à leur fureur ; enfin considérez -vous vous-mêmes, admirez les merveilles qui résul
des mères qui encouragent elles-mêmes leurs filles à la mort, et qui considèrent leurs tourments avec une intrépidité que tout l’U
88 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
t le devoir d’un chrétien de corriger tous ceux qui manquent, et sans considérer qu’il n’est pas plus blâmable de souffrir les imp
chrétien et si religieux, ne s’éclaire que par lui-même, vous deviez considérer que les matières les plus embrouillées étaient fo
89 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
se. Mais elle n’a pas cette indifférence dans son usage, lorsqu’on la considère avec les circonstances qui l’accompagnent ordinai
ectacles tout y soit honnête ou généreux, néanmoins ne laissez pas de considérer ce qui s’y passe comme des rayons de miel tirés d
Comédie était licite, il n’a jamais voulu parler que de cet exercice considéré en lui-même, et non de la manière dont il se fait
es permissions qu’ils eussent impétrées ou obtenues. En effet si l’on considère les sujets ordinaires des Comédies, et les circon
hoses déshonnêtes, sans en prendre de la chose représentée, ils n’ont considéré la Comédie qu’en général et spéculativement et no
semble favoriser la Comédie. L’on répond que saint François de Sales considère la Comédie en elle-même et spéculativement et qua
arquée par ladite Déclaration de 1641, c’est pourquoi on ne les a pas considéré moins infâmes ; ils sont exclus comme auparavant
n temps, les Spectacles quoique pleins d’iniquités, étaient néanmoins considérés par les Empereurs comme un moindre dérèglement ;
90 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
ssent l’intérêt. Sans étendre davantage ces réfléxions générales, considérons en particulier les Ariettes du Spectacle moderne.
ser une Ariette sans l’annoncer par une Simphonie. Ils devraient bien considérer que les Musiciens qui travaillent pour l’Opéra-Sé
is si bien, que lorsque l’Auteur s’en est tiré avec habileté. On peut considérer l’Ariette comme une espèce de rondeau, dont le re
91 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
ritannicus, semblent plus appartenir à la méditation qu’au sentiment, considérons dans les mêmes spectateurs l’effet immédiat du sp
quoique moins parfaites (sous le point de vue dans lequel seul je les considère ici), peuvent cependant être de quelque utilité a
e, c’est un incestueux qui abuse de la femme de son frère. Si nous le considérons dans la tragédie, c’est un homme de bonne foi qui
92 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
’utile ; ils les unissent même jusques dans leurs plaisirs. En éffet, considérez un peu leurs divers amusemens, vous vous appercev
93 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VII. » pp. 36-41
sit Episcopus qui de majore civitate ad minorem transiret. » Ainsi à considérer simplement ce passage de l’Evêché de Lavaur à l’A
94 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
sont pas d'ordinaire fort loin de le commettre. Les gens de bien qui considèrent qu'on ne connaît point avec certitude le degré de
95 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIII. Si l’on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. » pp. 52-57
e des chrétiens de l’exercer. Pour réfuter cette erreur il n’y a qu’à considérer où portent les preuves dont on s’appuie dans les
96 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
i leur profession ; et que vis-à-vis de l’église, un acteur doit être considéré à l’égal des autres citoyens, puis qu’il est cito
97 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
let, la panse de Gros-Guillaume et la science du Docteurb. Mais il ne considère pas que sa passion l’aveugle et qu’il a tort de l
ue l’Observateur remportera toute la gloire. Son zèle fera sans doute considérer son livre, il passera pour un homme de conscience
98 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
ssieurs appellent leurs Pièces comme il leur vient en fantaisie, sans considérer que le genre de l’Ouvrage doit le faire nommer ou
99 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
CHAPITRE IV.Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du tr
100 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
ute, à l’Auteur l’idée de son sistême si peu fondé. Il aurait bien dû considérer qu’elle va à son but d’une manière enjouée, &
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