Carnaval & de quelques autres temps, Les Conciles & les Peres
défendent
aux Laïques de se masquer. Les Conciles & les
éfendent aux Laïques de se masquer. Les Conciles & les Evêques le
défendent
surtout aux Ecclesiastiques. La danse n’est point
point un divertissement indifferent. Les Conciles & les Peres la
défendent
à tous les Fidéles. Elle est particulierement déf
a troisiémec, parce que la Discipline des Eglises Reformées de France
défend
positivement d’aller à la Comédie & à la Trag
e condamne la Comédie & les Spectacles dans les passages qui nous
défendent
de suivre les desirs deréglez de la convoitise &a
rvir à les fortifier & à les y entretenir ; Et dans ceux qui nous
défendent
les moindres impuretez & les moindres paroles
tes ou frivoles. La cinquiéme, parce que le Concile d’Elviref en 305.
défend
aux femmes & aux filles Chrétiennes d’épouser
s Comédiens ; & que le Concile du Dôme de Constantinoplei en 692.
défend
aux Laiques, sous peine d’excommunication, de se
acles profanes. » Le Concile Provincial de Narbonnec en 1609. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques d’assister aux Comédies, aux
omédies publiques, avec des Laïques. » « Le Synode d’Aixe en 1658. «
Défendons
à tous Ecclesiastiques de nostre Diocese & ré
la condition Ecclesiastique. » Le Synode d’Orleansf en 1664. « Nous
défendons
aux Prêtres & aux autres Ecclesiastiques qui
ales, & de Monsieur d’Arenton d’Alés, Evêques de Genevea : « Nous
défendons
à tous Prêtres, sous peine de suspension, d’assis
s & toutes sortes de boufonneries. » Le Synode d’Aixc en 1672. «
Défendons
à toutes les personnes Ecclesiastiques d’assister
ous avons de détourner nôtre Clergé d’un si pernicieux scandale, Nous
défendons
sous de tres-grandes peines à tous les Ecclesiast
e ces vains spectacles que les Conciles & les Prelats de l’Eglise
défendent
aux Ecclesiastiques par tous les passages que nou
ux joüez en public ou en particulier, vû que de tout temps cela a été
défendu
entre les Chrêtiens, comme apportant corruption d
istent à leurs representations. » Du Synode de Sens en 1524e. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques les jeux de theatre, & ge
x boufonneries. » Du Concile Provincial de Narbonne en 1609d. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques sous peine de prison & au
d’Evreux en 1664e. « Conformement aux Saintes Loix des Conciles, Nous
défendons
à tous Ecclesiastiques les spectacles, farces, bo
rces & toute sorte de boufonnerie. » Du Synode d’Aix en 1672g. «
Défendons
à toutes les personnes Ecclesiastiques d’assister
lable raison. Les Ordonnances Roïaux, & les Arrests des Parlemens
défendent
tres expressement les masques, dont certaines gen
rmel dans l’Ordonnance de Chastillon sur Loing en 1539.b le 9. Mai. «
Défendons
(dit-il) à toutes personnes de quelque état qu’il
on de corps & de biens, sans aucune exception de personnes. » «
Défendons
à toutes personnes de recevoir, logerc, ne recele
ssion ou pardon consequemment reprins ni aprehendez en Justice. » «
Défendons
(dit Charles IX. dans une Ordonnance du 5. Févrie
» « Par arrest de Paris (dit Bouchel) du 25. Avril 1514c il a été
défendu
à tous Marchands de plus vendre ou tenir masques,
Palais. » « Par Arrest de la Cour de Roüen du 28. Mars 1508. il est
défendu
à toutes personnes de porter, vendre ou acheter a
« Si vous considerez avec attention (dit ce saint Prelat) ce qui est
défendu
par ce precepte du Deuteronome, vous verrez que c
ment parce que cela peut donner lieu à l’impureté, & que cela est
défendu
par la Loi en termes exprés, à cause que les Païe
que le Concile d’Auxerrea en 578. & Saint Eloi Evêque de Noïonb,
défendent
aux Fidéles de se déguiser en cerfs ou en genisse
ques plaisent à Dieu ; puisqu’en defendant de faire aucune figure, il
défend
à plus forte raison de faire des figures de son i
n a écrit l’histoire. Car il dit positivement qu’en Angleterre il est
défendu
sous peine de la vie de se masquera, Una omnium
débauchées & des malfaicteurs. Le Parlement de Toulouse a souvent
défendu
par ses Arrests à toutes sortes de pernes de vend
ines funerailles & sepultures, qu’ils appellent de Carnaval. Nous
défendons
sous peine d’excommunication, de plus faire tels
es masques qui ont des figures de demons. Car non seulement nous leur
défendons
ce jeu, mais nous le défendons aussi à tous les F
de demons. Car non seulement nous leur défendons ce jeu, mais nous le
défendons
aussi à tous les Fidéles de nôtre Diocese sous pe
res d’amende applicable à nous. » Le Synode de Sense en 1524. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques les mascarades & les autr
eries &c. » Le Concile Provincial de Bourdeaux e en 1583. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques de jamais paroître masquez. »
masqueront jamais. » « Le Concile Provincial d’Aix g en 1585. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques de se masquer. » Le Concile
ynodaux du Diocese de saint Maloi en 1618. « Les Loix Ecclesiastiques
défendent
aux Prêtres d’aller en mascarades, representer au
tacles publics. » Les Statuts du Diocese de Limogesa en 1619. « Nous
défendons
tres expressément aux Ecclesiastiques de se masqu
es Ordonnances du Diocese d’Alet, depuis 1640. jusqu’en 1659.c « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques tous divertissemens scandaleu
la rigueur du Droit. » Les Statuts Synodaux de Sensd en 1658. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques tous spectacles, boufonneries
d’Evreuxf en 1664. « Conformément aux saintes Loix des Conciles, nous
défendons
à tous Ecclesiastiques les spectacles, boufonneri
alare, vel saltare . Et le Concile du Dôme de Constantinopleb en 692.
défend
les danses publiques & particulieres, non seu
sé en Asie ; Et ce reproche estoit si sanglant que Ciceron n’osa l’en
défendre
autrement qu’en niant absolument que cela fût. On
gt-sept des avertissemens pour les réglemens des particuliers, lequel
défend
de danser, distinguant prudemment entre ceux qui
es de Sully Evêque de Paris, qui mourut en 1208a. « Il est absolument
défendu
aux Ecclesiastiques de se trouver dans les lieux
les lieux où l’on danse. » Du Synode de Vvorcesterb en 1240. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques d’assister aux jeux deshonnêt
rez & les Prêtres doivent servir d’exemple aux Laïques, nous leur
défendons
sous de grandes peines de lutter, ni de danser. »
r. » Des Statuts Synodaux de Milon Evêque d’Orleansd en 1314. « Nous
défendons
expressément aux Prêtres d’assister aux spectacle
spectacles ni aux danses. » « Du Synode de Langres e en 1404. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques, à ceux qui sont dans les Ord
x Prêtres, de sauter ni danser. » Du Synode de Sensa en 1514. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques, les danses & tous les au
iciers, soit exemplaire & édifiante pour tout le monde, nous leur
défendons
expressément d’assister aux danses, aux joûtes, a
es de danser. Du premier Concile Provincial de Milanf en 1565. « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques toutes sortes de danses. » D
Du Concile Provincial de Toulousea en 1590. « Nous interdisons &
défendons
absolument aux Ecclesiastiques les danses & l
s Synodaux du Diocese de S. Maloe en 1618. « Les Loix Ecclesiastiques
défendent
aux Prêtres de hanter les danses, soulles ou brel
elans. » Des Statuts Synodaux du Diocese de Limogesf en 1619. « Nous
défendons
très-expressément aux Ecclesiastiques les taverne
Des Ordonnances du Diocese d’Alet, depuis 1640 jusqu’en 1659.g « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques tous divertissemens scandaleu
&c. » Des Ordonnances du Diocese de Châlon sur Marnec en 1657. «
Défendons
aux Ecclesiastiques de nôtre Diocese de se trouve
es, ou autres assemblées de débauches. » Du Synode d’Aixd en 1658. «
Défendons
à tous Ecclesiastiques de nôtre Diocese & res
ls &c. » Des Statuts Synodaux de Sense en la même année : « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques tous spectacles, farces, dans
; Instructions Synodales de Monsieur Godeau Evêque de Vencef : « Nous
défendons
aux Ecclesiastiques, sous peine d’amende, applica
eux aussi en 1664. « Conformément aux saintes Loix des Conciles, nous
défendons
à tous Ecclesiastiques les spectacles, bals, comm
toutes ces choses. » Des Ordonnances du Diocese d’Autuna en 1669. «
Défendons
à tous les Ecclesiastiques de se trouver aux jeux
ectacles publics, danses, bals &c. » Du Synode d’Aixc en 1672. «
Défendons
à toutes les personnes Ecclesiastiques d’assister
ent devant sa Majesté. Je n’ai point marqué en particulier qu’il fût
défendu
aux Religieux & aux Religieuses de danser ; &
n Prédicateur prêchera-t-il ce qu’il vient d’entendre ? un Confesseur
défendra-t
-il ce qu’il vient de faire ? A plus forte raison
le plus doux des hommes (Statuts Synod. part. 3. tit. 4.) qui la leur
défend
, sous peine de suspense ipso facto, et un Concile
e Italien (Luc de Ferrariis, tom. 2. art. 4. N. 17.), qui à la vérité
défend
aux Ecclésiastiques et aux Religieux de représent
i sévères en ce point que les canons de l’Eglise. L’Empereur Honorius
défend
à tous les Evêques, Prêtres, Diacres, Sous-diacre
t pompis Diaboli, quorum non minima pars sunt spectacula ». Justinien
défend
absolument et sans exception à tout le Clergé, mê
s sont un ordre à part), j’ose dire qu’on n’en trouvera pas un qui ne
défende
la comédie aux Ecclésiastiques. Madame de Mainten
reuves ; mais j’en conclus qu’à plus forte raison la comédie leur est
défendue
: plus indécente et plus dangereuse que tous ces
829, le Concile huitième de Paris, appelé le sixième (L. 1. C. 38.),
défend
la comédie aux Ecclésiastiques par diverses raiso
ile de Laodicée, C. 34. rapporté par Yves de Chartres (P. 2. C. 78.),
défend
aux Clercs d’être présents à certaines comédies,
les Comédiens entreront, « Surgere de convivio et abire. » 2.° Il est
défendu
aux enfants des Prêtres de représenter la comédie
° Le Concile sixième de Constantinople in trullo (ann. 680. Con. 51.)
défend
de regarder les représentations de théâtre, et mê
pectacles. Le troisième Concile de Tours (l’an 813. C. 7.) va jusqu’à
défendre
aux Ecclésiastiques même les décorations, et les
et par leurs attraits y font glisser le poison du vice. N’est-ce pas
défendre
d’avance l’opéra et les concerts, où l’on en chan
ut trop louer la sagesse de M. de Colbert, Evêque de Montpellier, qui
défendit
à tous les Bénéficiers du Chapitre d’aller au con
apportées, L. 17. L. 18. C. de Episcop. et Cleric. Mais on a beau le
défendre
: peut-on espérer que le Clergé n’ira point au sp
t du théâtre. Quelle est la vertu assez forte, assez éclairée pour se
défendre
de tant de pièges de toutes parts semés, et pour
e servir d’habits ecclésiastiques ou religieux ; pourquoi ne pas leur
défendre
aussi d’y recevoir des Religieux et des Ecclésias
t-il plus indécent d’y voir l’habit que la personne ? Il devrait être
défendu
aussi de représenter des pièces de leur compositi
ants mystères de l’intrigue et du dénouement d’une comédie ? S’il est
défendu
au Clergé d’assister à ces folies, lui est-il per
crétales. Le chap. penult. De vit. et honest. Cleric. est précis pour
défendre
la comédie aux Clercs. L’interprétation de Diana
ation. Sous le même titre de honest. Cleric. on trouve des canons qui
défendent
l’impudicité, l’ivrognerie, et l’usure. Ne sont-c
culier elle est alors permise même aux Religieux, si leur règle ne le
défend
pas expressément, comme si les canons de l’Eglise
s Jeux de Théâtre, 188 S. Ambroise engage l’Empereur Valentinien I. à
défendre
aux femmes Chrétiennes le métier de Comédiennes,
ndamne le seul concours des hommes et des femmes, 145 Clercs, on leur
défend
le métier de Bateleur, 224. 228. 241 Clergé de Fr
on leur défend le métier de Bateleur, 224. 228. 241 Clergé de France,
défend
dans l’Assemblée de Melun de jouer des Comédies d
Cimetières, 240 Clovis n’avait qu’un joueur d’instrument, 131 Comédie
défendue
avant et après l’extinction de l’Idolâtrie, 34. M
ne vivent pas chrétiennement, à servir au Théâtre, 105. Théodose leur
défend
de porter des pierreries et des étoffes brodées,
pagne n’a plus de Jeux sous les Visigots, 125 Evêques, Justinien leur
défend
d’assister aux Spectacles, 134 Excommunication, c
édien, sa conversion et son martyre, 74 Godeau (M.) Evêque de Grasse,
défend
sous peine d’excommunication qu’on élève des Théâ
édiennes de se marier aux enfants de famille, 136 Justinien Empereur,
défend
les Spectacles aux Evêques et aux Prêtres, 135. P
e qui lui chantait des chansons de piété, ibid. Louis le Débonnaire,
défend
aux bouffons de prendre des habits de Religieux,
7. 108 Théodose le jeune prive les Païens de toutes les Charges, 114.
défend
les Spectacles les jours de Fête, 118 Théophile E
’y en eut presque plus dans le quinzième siècle, 210 V Valentinien I.
défend
aux Gouverneurs les Spectacles, 108 Valère Maxime
au Grand Conseil le 25. Avril de la même année, par lesquelles il est
défendu
à tous Libraires et Imprimeurs, d’imprimer et ven
rougir la vertu, nous ne viendrions point dans la chaire de vérité le
défendre
contre ses détracteurs. Mais, qu’y a-t-il de comm
édulité du peuple en flattant ses passions, et que de nos jours il le
défend
, parce que le théâtre, par la direction des espri
cle, dis-je, était ce que le font ces hommes absurdes, il faudrait le
défendre
; il serait alors tout aussi dangereux que lorsqu
st avec le ciel des accommodements ? g Ministres de la religion, qui
défendez
le spectacle, sous quelque prétexte que ce soit,
mitrés ? Le chef de votre Eglise ne permet-il pas à Rome, ce que vous
défendez
à Paris ? M. le vicaire de telle paroisse ne refu
Rome et à Turin qu’à Paris, qu’il est permis dans ces deux villes, et
défendu
dans la dernière. Il y a, je crois, une immense d
ssaire à l’entretien de la vie humaine, l’art des comédiens n’est pas
défendu
. » (Tom. 2. 2. 9. 168 ad. 3) Ce saint docteur aj
on de comédien servant au divertissement de l’homme, ne doit pas être
défendue
; « qu’ainsi il est permis de vivre du gain de ce
ntôt l’extrême licence des gens d’Église blessa la cour même ; il fut
défendu
de jouer des pièces qui eussent trait aux mystère
s cesse en but aux sarcasmes et à la malignité publics. Ne pouvant se
défendre
sur quelque point qu’on l’attaque, il se fâche, s
ienne, ils admettent une distinction des personnes que Jésus-Christ a
défendue
. Catholiques français, soyons plus justes envers
carrière. g. [NDE] Acte IV, sc. 5 de Tartuffe de Molière. « Le Ciel
défend
, de vrai, certains contentements, Mais on trouve
Chapitre XIX. Si un Evêque peut
défendre
qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en qu
uchant la prohibition des danses. La première est, s’ils ont droit de
défendre
sous des peines Ecclésiastiques, qu’on ne danse p
point, il est évident qu’ils peuvent sous des peines Ecclésiastiques
défendre
la danse les jours des Dimanches et des Fêtes, et
our appuyer et faire observer le droit commun, les Evêques peuvent la
défendre
par leurs Ordonnances, aux jours et aux temps que
on. Pour le second, on ne peut non plus douter qu’un Evêque ne puisse
défendre
la danse absolument et en tout temps, parce que l
éloigner du vice. Et de là il s’ensuit nécessairement qu’ils peuvent
défendre
la danse en tout temps, parce que comme nous avon
t retranchés de l'Eglise. CANON LXVII. Du même Concile. Il faut
défendre
aux femmes, et aux filles fidèles, ou catéchumène
CANON II. Du 3. Concile de CARTHAGE, tenu l'an 397. Qu'il soit
défendu
à tous Laïques d'assister aux Spectacles: Car il
fendu à tous Laïques d'assister aux Spectacles: Car il a toujours été
défendu
aux Chrétiens d'aller aux lieux qui sont souillés
es; c'est à dire, selon l'interprétation de Zonare, il a toujours été
défendu
aux Chrétiens d'aller aux lieux où l'on ne fait q
aut demander aux très-pieux Empereurs Théodose et Valentinien, qu'ils
défendent
les Spectacles des Théâtres, et des autres Jeux l
qui est rapportée dans le Code de Théodose l'année suivante 425. Nous
défendons
aux Peuples dans toutes les Villes de notre Empir
Ce saint Concile général condamne ceux qu'on appelle Comédiens, et
défend
entièrement leurs Spectacles, comme aussi les Dan
ligion dont ils font profession; c'est pourquoi le Décret de ce Canon
défend
, et interdit tout ce qui relâche l'esprit, et dis
Dans le Traité des Spectacles Quand même la sainte Ecriture ne
défendrait
pas aux Chrétiens d'aller aux Spectacles, la pude
t pas aux Chrétiens d'aller aux Spectacles, la pudeur le leur devrait
défendre
: Lors que l'Ecriture commande quelque chose, elle
, il y a des choses si honteuses, qu'elle trouve plus à propos de les
défendre
seulement en général, sans les exprimer en partic
r que souvent il vaut mieux ne point exprimer en particulier ce qu'on
défend
, pour ne pas donner occasion de le faire, puis qu
'il n'exprime pas ces crimes dans l'Ecriture, il ne laisse pas de les
défendre
, puisque la sévérité dont il use dans la punition
qu'il se sera prescrit soi-même. Mais qu'est-ce donc que l'Ecriture a
défendu
? Elle a défendu de regarder ce qu'il n'est pas p
scrit soi-même. Mais qu'est-ce donc que l'Ecriture a défendu ? Elle a
défendu
de regarder ce qu'il n'est pas permis de faire, e
il apprend à les commettre, ainsi l'on aime tellement tout ce qui est
défendu
, qu'on se remet devant les yeux, même ce que le t
e l’an 789. Capitul. Reg. Francor. tome i, col. 229, art. 44. Il leur
défendit
de former aucune accusation en Justice. Pour se c
tias Jocorum. L’Ordonnance du Prévôt de Paris du 14 Septembre 1395,
défend
aux Jongleurs de ne rien dire, représenter ou cha
mes donnèrent lieu à cette défense. En 1609, une Ordonnance de Police
défendit
aux Comédiens de représenter aucunes comédies ou
Titre du respect dû aux Eglises, que l’Ordonnance du 24 Juillet 1728
défend
d’afficher aux portes des Eglises des pièces de t
corporali pœnæ subsistat & exilio tradatur. L’Impératrice-Reine
défendit
en 1754 les Comédies, Opéras, Concerts, & aut
agist. Cod. Theod. de Spectacul. Théodose, Gratien & Valentinien,
défendirent
par une Loi du 19 Mai 386, à tous Juges de se tro
n des jours de la naissance & de l’avénement des Empereurs : leur
défendent
même dans ces jours d’y assister l’après-dîner. L
heod. lib. 2 nullus de Spectacul. Théodose le jeune & Valentinien
défendent
de représenter aucuns jeux, soit du Théâtre, soit
Les derniers Conciles de Rouen 1581, de Tours 1583, de Bourges 1584,
défendent
les spectacles aux jours de Dimanches & de Fê
tes. Ceux de Mayence, Tours, Rheims, Châlons-sur-Saône, tenus en 813,
défendent
aux Evêques, Prêtres & autres Clercs, à peine
Procureur-Général du Roi fit des remontrances en 1541 pour les faire
défendre
. « Le commun peuple, disoit-il au Parlement, dès
regor. Tolos. L. 39. C. 11. Syntag. L’ordonnance de François I, 1539,
défend
à toute sorte de personnes de recevoir & de l
hamp & punies. Long-temps auparavant un édit du 9 mars 1399 avoit
défendu
dans tout le royaume de courir en masque. Un autr
La jurisprudence des arrêts s’est conformée aux ordonnances, & a
défendu
de porter, vendre & débiter des masques. La C
Duluc, L. 6. tit. 17. art. 13. Arrêt du Parlement de Grenoble qui le
défend
, sous peine de prison, amende de cinq cents livre
relle. Basset, tom. 2. L. 9. tit. 6. Autre du Parlement de Rouen, qui
défend
, sous grieves peines, de porter, vendre, acheter
vestes induunt laicales. Car si tous les canons & les ordonnances
défendent
aux laïques de se déguiser en Ecclésiastiques, en
eux, de paroître sous ces habits au bal, au théatre, il est bien plus
défendu
à ceux-ci de s’habiller en laïques. Eh ! que sero
t ; il a un uniforme réglé, c’est sa mode invariable. Il lui est même
défendu
de se conformer au monde, d’en prendre l’esprit,
rtullien, aux Comédiens ? Opus personatum, quæro quid Deo placeat. Il
défend
toute sorte de déguisemens, à plus forte raison c
natus es ? car mentitis fœminam vel fœmina virum ? Tout mensonge est
défendu
de Dieu, celui de l’habit, des gestes, des action
loigner le peuple d’Israël de toutes ces horreurs, que Dieu lui avoit
défendu
les déguisemens. Cette raison n’est pas tout-à-fa
de les imiter. Il étoit donc très-à-propos, pour les en préserver, de
défendre
absolument les déguisemens. Cet Auteur prétend en
emploi étoit peu fait pour un Confesseur. Ce grave Missionnaire s’en
défendit
, & dit que les Chinoises étant fort retirées,
ire les femmes ; & de l’autre part le Syndic des Masques, qui les
défend
, non pas en niant les faits, l’abus de masquerie
t les défendeurs de nulle vouloir injurier, mais les portent pour eux
défendre
par la ville de ceux qui voudroient les détrousse
ors & excepté les gens de basse condition, auxquels le masque est
défendu
, si ce n’est d’aller en masque de papier, robes r
Masques danseront ou entretiendront les Damoiselles, est étroitement
défendu
aux Maris & amis n’empêcher les Masques en le
ls vont, mener un tabourin ou haut bois, ou pour le moins vielle. Est
défendu
aux Masques de prendre le nom d’autrui, mais leur
eur langue, & mentir tant que bon leur semblera. Est expressément
défendu
à tous Maris de n’aller masqués pour entretenir l
ur accoutrement, marche, maniere de danser, & autres indices, est
défendu
aux Ménétriers de les découvrir, sous peine de fr
& brisement de fluttes sur leur tête, & de mille buffes. Est
défendu
à tous Marchands de drap, soie ou laine, chapelie
Chapitre XIII. Que les lois civiles
défendent
de danser, et d’aller à la Comédie les jours des
qu’elles sont défendues. Nous allons donc voir, s’il est expressément
défendu
de danser les jours des Fêtes ; parce que suivant
es ; parce que suivant la maxime des Casuistes mêmes, ce que les lois
défendent
de faire les jours des Fêtes, est contraire à la
s : « dans lesquels jours (disent-ils) à cause de leur sainteté, nous
défendons
toutes sortes de spectacles ; et nous mettons enc
ut a cunctis executionibus, » etc. Et plus bas : « Mais quoique nous
défendions
toutes ces œuvres serviles par la considération d
t une particulière application à Dieu, et à la prière, puisqu’ils ont
défendu
en ces saints jours, sous des peines très rigoure
que Dieu n’a pas laissé de punir très sévèrement ce qui n’était point
défendu
par la Loi en termes formels et précis : car, par
par la Loi en termes formels et précis : car, par exemple, la Loi ne
défendait
pas de ramasser de petits brins de bois le jour d
de sa vacation, se sont toujours contentés dans les Conciles de leur
défendre
seulement d’aller à la Comédie aux saints jours d
saints jours des Dimanches et des fêtes. celui de Tours tenu en 1583.
défend
sous peine d’excommunication de représenter en ce
plus souvent. C’est pourquoi nous voyons qu’ils leur ont tout à fait
défendu
les comédies, les bals et les danses. Je ne m’arr
res. On nous dira peut-être que l’Ecriture sainte et l’Evangile ne
défendent
point les spectacles. Nous répondrons, avec saint
? « Mais on se trompe de dire que l’Evangile et l’Ecriture sainte ne
défendent
nulle part ces divertissements profanes. Ils ne l
inte ne défendent nulle part ces divertissements profanes. Ils ne les
défendent
pas en particulier quelque part, parce qu’ils les
des joies mondainesbq ? » Comment ose-t-on avancer que l’Evangile ne
défend
point les spectacles, tandis que tout l’Evangile
ubinarii, comœdi. » page 108. an 1654. imprimé depuis quarante ans ne
défendait
de donner les Sacrements qu’à des Comédiens, qui
omédie, pour oser dire d’un air moqueur à ceux qui croyant la Comédie
défendue
, se feraient un scrupule d’y aller: « Jusqu’à pré
n scrupule d’y aller: « Jusqu’à présent, je l’avoue, je croyais qu’on
défendait
les choses parce qu’elles étaient mauvaises, et n
à ses Enfants de s’aller exposer au hasard d’offenser Dieu ; elle la
défend
donc généralement, et dès lors la voilà mauvaise
nd donc généralement, et dès lors la voilà mauvaise parce qu’elle est
défendue
. Mais nous allons aussi montrer qu’elle est défen
arce qu’elle est défendue. Mais nous allons aussi montrer qu’elle est
défendue
, parce qu’elle est mauvaise, et que presque toute
était obligé d’y tendre des voiles avec des mâts et des cordages pour
défendre
les Spectateurs, des ardeurs du Soleil. Ces voile
541.. Cet Empereur établit quelques lois touchant les spectacles. Il
défendit
aux jeunes gens de l’un et de l’autre sexe d’alle
de la Judée. Domitien fut grand amateur des spectacles, cependant il
défendit
aux Histrions de monter sur le Théâtre, et ne leu
était indigne des personnes graves d’assister aux jeux de Théâtre. Il
défendit
aux Chevaliers Romains de fréquenter ces jeux87 e
asser les Comédiens, il régla qu’on leur donnerait cinq Ecus d’or, et
défendit
de leur en donner jamais plus de dix96. Il diminu
eur. Libanius tout Païen qu’il était, écrit qu’un Empereur Constance.
défendit
sagement cette folie. La Fête de Majume qui avait
1. c.2.. Constantin embrasse le Christianisme, il fait des lois pour
défendre
de sacrifier aux Idoles, et pour permettre de bât
om[en]. Hist[oria]. Eccles[iastica]. L. 1. cap. 8 que dès lors il fut
défendu
à toutes personnes de consulter les devins, de se
poscentes (si tamen Antistites probant) beneficii consequantur. » On
défendit
la même année par une Loi donnée à Trèves de fair
e sera pas inutile d’observer en passant, qu’en 385 Théodose le Grand
défendit
d’entretenir dans les maisons ou de faire venir d
’abord l’Eglise dans le Concile de Laodicée, tenu environ l’an 330, a
défendu
simplement aux Ecclésiastiques de se trouver aux
ennes, pour en donner de l’horreur à tous les fidèles. Enfin Théodose
défendit
cet usage par une Loi. L’Année suivante ce religi
gem nostram quàm dudum tulimus committat. » Valentinien I. avait déjà
défendu
en 364, aux Gouverneurs de Province d’employer au
et à décider les affaires sérieuses. En l’année 393, le même Théodose
défendit
aux Comédiennes de porter des pierreries et des é
’avoir un air de propreté que S. Chrysostome condamne. Il fallut donc
défendre
aux Comédiennes de prendre l’habit des Vierges, e
es autres règlements qui ne purent être qu’agréables à l’Eglise. Elle
défend
de mettre le tableau d’aucun Pantomime, d’aucun C
bonnes grâces l’accompagna au Cirque ; mais il observe que cela était
défendu
par les Canons ; Contra Ecclesiasticum Canonem.
riminelles187. Justinien se contenta de faire observer les Canons qui
défendaient
aux Ecclésiastiques d’assister aux spectacles ; à
veut donc qu’il soit libre aux Comédiennes de quitter le Théâtre, et
défend
à toutes sortes de personnes de les contraindre à
ne Ecclésiastique, quelques Chrétiens s’imaginèrent qu’il n’était pas
défendu
d’aller aux spectacles et ce fut ce qui engagea T
s dans l’Eglise, ils en seront chassés. Et au Canon 67213, le Concile
défend
sous peine d’excommunication aux femmes Chrétienn
I. Homélie sur le second chapitre de saint Matthieu, que saint Paul a
défendu
aux Chrétiens les paroles vaines et bouffonnes, q
quidem Clericus deponatur, si vero Laicus segregetur. » Can[on]. 51.,
défendit
aux Clercs et aux Laïques d’y assister, aux premi
équentes génuflexions, des ballets et des danses. Ce Saint Concile ne
défendit
pas seulement de fréquenter des concerts si profa
Code Legoult . De falsis legib[us]. § 12., qu’autrefois les Empereurs
défendaient
en ces saints jours les spectacles, les courses d
ombat des bêtes, comme le 51e Canon aussi bien que le 24e semblent le
défendre
, mais que tous convenaient que l’Eglise défendait
e le 24e semblent le défendre, mais que tous convenaient que l’Eglise
défendait
aux Chrétiens d’assister aux jeux et aux danses q
ant toujours les Chrétiens à l’exacte observation de l’Evangile, leur
défend
les plaisirs qui ne sont pas nécessaires à la vie
le Théâtre, excitent les spectateurs à des ris immodérés, et qu’elle
défend
encore d’assister aux danses ou à tous autres jeu
nt toujours le nom de Jongleurs et d’Histrions. Il était expressément
défendu
aux Prêtres d’assister à de tels festins, et de f
nt mauvais : comme si on voulait jouer à des jeux que l’Eglise aurait
défendu
, car pour lors encore il pourrait y avoir péché m
qui ne croit pas qu’une chose puisse être mauvaise, parce qu’elle est
défendue
; car S. Thomas distingue deux circonstances qui
lorsqu’il s’y mêle quelque chose de mauvais, et l’autre lorsqu’il est
défendu
par l’Eglise. Donc sans qu’il fût nécessaire d’en
. », que le divertissement étant quelquefois nécessaire, il n’est pas
défendu
qu’il y ait des hommes qui puissent quelquefois n
dite Confrérie ». Voici les termes de l’Arrêt : « La Cour a inhibé et
défendu
, inhibe et défend auxdits Suppliants de jouer le
oici les termes de l’Arrêt : « La Cour a inhibé et défendu, inhibe et
défend
auxdits Suppliants de jouer le Mystère de la Pass
honnêtes et licites, sans offenser et injurier aucunes personnes, et
défend
ladite Cour de jouer ou représenter dorénavant au
l cas, qui est espèce d’exaction sur le pauvre peuple ». La Cour leur
défendit
de jouer à l’avenir des Farces sans permission, s
l’Eglise, et nos Rois mêmes avaient toujours réputés infâmes, et leur
défendit
de jouer, ni de plus obtenir de semblables Lettre
vêque de Tournai286 [NDE] Paginé 122. et Légat du Siège Apostolique,
défend
aux Moines de vendre du vin dans l’enceinte du Mo
leterre des Bateleurs, puisqu’un Synode de Wigornie assemblé en 1240.
défend
aux Ecclésiastiques d’assister aux danses et aux
l’an 1279. nous apprend qu’il y avoir des Comédiens en ce Pays. On y
défend
aux Clercs de fréquenter les Bouffons, les Histri
s bouffons et les bateleurs. Un Concile tenu à Salzburg en 1310. leur
défend
de faire cet indigne métier. « Ne sint joculatore
cum, en 1215. et non pas en 1260. comme le veut le P. Hardouin, avait
défendu
sous peine d’excommunication, les danses qui se f
tte Ville, après avoir rappelé l’autorité de ce même Concile général,
défend
aux Clercs les Mascarades, les jeux de Théâtre, l
les jeux de Théâtre, les danses et les autres bouffonneries ; il leur
défend
encore de se trouver aux Assemblées où l’on chant
des instruments, et d’empêcher qu’ils ne jouent dans le voisinage. Il
défend
encore de célébrer la Fête des Fous ou des Innoce
et un grand vacarme. Un Concile de la Province de Tours tenu en 1448.
défend
ces Spectacles sous peine d’excommunication. Un C
blé en 1515. avait servi d’exemple à celui de Sens de l’an 1528. pour
défendre
aux Clercs d’assister aux jeux de Théâtre, et de
s turpes. » Dans un Synode Diocésain de Chartres de l’an 1538. il est
défendu
aux Prêtres, et surtout aux Curés, de faire le mé
de Cambrai tenu en 1550. ordonne la même chose. Le Synode de Chartres
défend
encore les mascarades qui se faisaient le jour de
les en profanaient la sainteté en assistant aux jeux de Théâtre. On y
défend
aux Prêtres et surtout aux Curés de se trouver au
nstruments et différents autres Farceurs ; ce désordre est sévèrement
défendu
, aussi bien que les danses et les représentations
taient composées de Prêtres, de femmes et de bouffons ; le Synode les
défend
sous peine d’excommunication et d’une amende arbi
Les Statuts Synodaux du Diocèse de Soissons que nous venons de citer,
défendent
en particulier aux Ecclésiastiques de ne point se
que de Brescia en Lombardie, qu’on appelait aussi le second Ambroise,
défendait
aux Clercs de ne point se trouver dans les lieux
ntion des Lecteurs. Le Synode de Camerino dans l’Ombrie tenu en 1630.
défend
de laisser dresser des Théâtres aux Charlatans et
nt le peuple des bonnes œuvres. Le Synode de Polycastro de l’an 1655.
défend
pendant les jours des Fêtes les Comédies, les far
vant revue et approuvée par lui ou par son Vicaire Général... mais il
défend
les représentations des Histoires pieuses ou tiré
fieri prohibemus. » Un autre Synode Diocésain d’Albano tenu en 1687.
défend
seulement de représenter sans la permission de l’
des Airs lascifs, efféminés et tels qu’on chante sur le Théâtre ; il
défend
encore les chansons déshonnêtes et tout ce qui pr
n en 1579. dans le Règlement qu’elle fit sur l’observance des Fêtes ;
défendit
toutes sortes de spectacles comiques, et renouvel
rovinces ses Règlements imprimés. Un Concile de Bourges de l’an 1584.
défend
expressément au peuple de faire des mascarades, e
du Concile Provincial de Reims de 1583. celui de Tours tenu en 1585.
défend
sous peine d’excommunication, les Comédies, les j
i denuncientur et publicentur. » Un Concile d’Aix tenu la même année,
défend
en particulier les Jeux comiques et les autres fo
587. Par M. Germain Valens de la Guelle Evêque de cette Ville, il est
défendu
de laisser représenter des Comédies et des Specta
Metz imprimé en cette Ville en 1605 sous ce titre : Agenda Metensis.
Défend
de donner la Sépulture Ecclésiastique aux Histrio
able par son zèle et par son savoir aux Evêques des premiers siècles,
défend
sous peine d’excommunication dans ses Ordonnances
el de son Eglise imprimé à Paris en 1660. dans l’article De Patrinis,
défend
d’admettre pour Parrains les Bateleurs et les Com
rdonnances Synodales de son Diocèse, imprimées en 1694. à S. Quentin,
défend
les spectacles à tous les Ecclésiastiques avec ce
r condamner l’Eglise, les Saints Pères, les plus Saints Prélats. » Il
défend
d’aller à la Comédie sous peine d’excommunication
rsité, de concert avec les Principaux des Collèges les plus célèbres,
défendit
de faire paraître des danses aux intermèdes des T
é envers les Pauvres, et par son zèle pour la discipline de l’Eglise,
défend
aux Ecclésiastiques d’assister à l’Opéra et à la
erait assez pour croire que l’on n’y fait aucun mal, on ne saurait se
défendre
de celui qu’y font les autres, et comme les compl
ne voudraient pas cesser de fréquenter la Comédie et l’Opéra. Et nous
défendons
à tous Prêtres, Bénéficiers et Ecclésiastiques de
ux joués en public ou en particulier, vu que de tout temps cela a été
défendu
entre les Chrétiens, comme apportant corruption d
is Civiles et Ecclésiastiques qui déclarent les Comédiens infâmes, et
défendent
la fréquentation des Théâtres, et parle de plusie
nt que des femmes osent monter sur le Théâtre : Que l’Ecriture sainte
défend
à tous les Fidèles d’aller voir ces femmes ni de
de l’Oratoire ne diffèrent pas beaucoup de celles-là. On a seulement
défendu
dans l’Oratoire de faire des Comédies ; on exhort
, et fondé sur saint Thomas, ou plutôt sur la loi du Deutéronome, qui
défend
si expressément de prendre les habits d’un autre
ugle les esprits, et le silence trouve des protecteurs qui tâchent de
défendre
ce que nous voyons faire tous les jours. Il y a m
mmuniés par l’Eglise. L’Ecriture Sainte, les Conciles et les Pères le
défendent
. « Les victimes des impies, dit Salomon Prov[erbe
Saint Thomas, que bien des personnes croient indulgent aux Comédiens,
défend
distinctement de leur faire des impositions pour
est certain que c’est un très grand péché. Les Pères et les Conciles
défendent
sous de grièves peines d’avoir aucune part aux co
.. Saint Louis ne les avait donc pas chassé du Royaume, et il ne leur
défendit
pas non plus de monter sur le Théâtre, puisqu’ils
l’occasion d’un désordre arrivé sur le Théâtre à Antioche, Justinien
défendit
les spectacles. « Undique discussione divinis pr
ie dans cet ouvrage pour montrer que la Comédie est un divertissement
défendu
à ceux qui font profession de la Religion Chrétie
rement contre la Comédie, sans parler des autres Spectacles. Ceux qui
défendent
les Spectacles en général condamnent le Théâtre a
lorsqu'ils les trouveront répandus dans leurs Ouvrages. TatienTatien
défend
la Comédie aux Chrétiens, parce qu'elle est plein
rivoles et inutiles. TertullienTertullien, Apologeticum, chap. 38. la
défend
, parce que les Chrétiens ignorent toutes sortes d
es plaisirs des Chrétiens, par opposition à ceux dont il prétend leur
défendre
l'usage. Clément d'Alexandrie ne lui est pas plus
e ; si elles ne blessent pas le bon sens et la raison, le censeur les
défend
comme attentatoires aux priviléges des grands thé
emens trop aisés à faire, des allusions trop faciles à saisir, il est
défendu
aux comédiens de la jouer, et au public de l’ente
iens et d’être joués plus promptement, ont embrassé leur parti et ont
défendu
leurs priviléges, ou du moins, desirant en secret
s quartiers et les lieux où ils doivent les placer ? 3°. Peut-on leur
défendre
de s’établir dans des quartiers ou des lieux part
ttribueroit à un petit nombre de citoyens. Tout ce qui peut nuire est
défendu
par la loi. Le théâtre ne sçauroit donc pas nuire
ar la loi. Le théâtre ne sçauroit donc pas nuire, puisqu’il n’est pas
défendu
par la loi. La liberté consiste à pouvoir faire t
par la loi. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui n’est pas
défendu
par la loi. Il est donc permis d’élever un théâtr
Il est donc permis d’élever un théâtre, puisque le théâtre n’est pas
défendu
par la loi. La loi ne sçauroit défendre à un cito
, puisque le théâtre n’est pas défendu par la loi. La loi ne sçauroit
défendre
à un citoyen ce qu’elle permet à un autre. Si un
à tout le monde d’élever un théâtre. Il n’y en a pas non plus qui le
défende
; des priviléges ne sont pas des loix. Tout ce qu
défende ; des priviléges ne sont pas des loix. Tout ce qui n’est pas
défendu
, par la loi, est permis par la loi. Ainsi, en s’a
nt doit avoir des loix générales, qui protegent les propriétés et les
défendent
de la fraude et de l’injustice ; mais cette prévo
si elle rendoit les magistrats juges des spéculations particulieres.
Défendre
à des directeurs d’élever un théâtre, sous prétex
e possesseur d’un privilége qui permet à lui seul de faire ce qui est
défendu
à tous les autres, ne manquera jamais de trouver
sureté publique n’y est pas intéressée. Un marchand d’étoffes peut-il
défendre
à un autre marchand d’étoffes de devenir son vois
toit jouée nulle part. 5. M. d’Aranda, ambassadeur d’Espagne, a fait
défendre
dom Carlos, tragédie de M. le Febvre, jouée chez
r son héros Andronic. 6. La tragédie des Druïdes, de M. Leblanc, fut
défendue
à la huitieme représentation, parce qu’on y voyoi
se faire carmelite. Ericie ou la Vestale, par M. de Fontanelle, a été
défendue
pendant quinze ans, quoiqu’on la jouât dans toute
a jouoit cependant sur tous les théâtres particuliers ; mais il étoit
défendu
de l’offrir au peuple. Les ministres redoutoient
rmis à l’acteur de s’évanouir, même de se blesser ; mais il lui étoit
défendu
de se tuer ou de mourir. Ces pieces devoient remp
hapitre IV. Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être
défendue
par la raison des anciens Pères de l'Eglise. Il
été des Idolâtres. ConstantinZozime. ayant embrassé le Christianisme,
défendit
les Jeux des Gladiateurs, comme une brutalité cri
s publics, qu'ils nomment les Delicos, et la Joie du Peuple, ils n'en
défendirent
pas absolument la célébration, mais ils en retran
e avec les Festins, quand les occasions s'en présenteront ; mais nous
défendons
d'y faire aucun sacrifice aux Idoles, ni d'y prat
inian, Théodose et Léon n'en voulurent pas priver le peuple, mais ils
défendirent
de les célébrer aux jours de Dimanche, de Noël, d
édicateurs et de nos plus célèbres Avocats n’y ont pas paru. II. Nous
défendons
de joindre à la représentation de ces Tragédies,
es rendre de bons Chrétiens, qu’à en faire de bons Acteurs. III. Nous
défendons
absolument et très étroitement de se servir de li
ment encore si on y joignait quelqu’une des choses que nous venons de
défendre
dans le précédent Règlement : et si ce scandale a
ue de ces lieux, et une espèce d’abomination dans le lieu saint, Nous
défendons
très expressément à tous Prêtres du Clergé ou Rég
la lumière avec les ténèbres, et Jésus-Christ avec Bélial ? VII. Nous
défendons
aussi de mêler des paroles profanes et qui senten
s ne manquent point. Jugez (Sire) si cela est faire justice. Ceux qui
défendent
telles choses disent une seule raison d’apparence
autres débauches qu’il fait lesdits jours de fêteRaisons de ceux qui
défendent
et soutiennent les jeux aux jours de fêtes., auqu
est contre les lois divines et humaines., et les lois humaines qui le
défendent
. La loi dit tit. de feriis au Cod. qu’il n’est po
r de la fête en aucune volupté : et l’Empereur auteur de cette Loi le
défend
expressément : d’où il apperti que aller et assis
rées et vérifiées ès choses qui sont contre Dieu. Raisons de ceux qui
défendent
et soutiennent les jeux aux jours de fêtes. Réfut
Du Dimanche et des jours des Fêtes. p. 53. XIII. Que les lois civiles
défendent
de danser, et d’aller à la Comédie les jours des
, et des jeunes filles qui vont au bal. p. 142 XIX. Si un Evêque peut
défendre
qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en qu
ani, pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait
défendu
de danser les jours des Fêtes. page 154. Instruct
et Comédiens. LE titre contient tout ce qui est du Chapitre lequel
défend
: d’assister aux banquets, festins, jeux, danses,
tés. Question 1. P ourquoi le B.P.S. François a si étroitement
défendu
de se trouver aux Comédies, Festins etc. Rés
iété. » Remarque. IL faut ici remarquer qu’en la Règle n’est
défendu
au Tertiaires d’assister à toutes sortes de Spect
voir. Deux ou trois pièces sur mille paraissent faites dans la vue de
défendre
les droits de Dieu, le Festin de Pierre, les Phil
ute la France fut étonnée, on cria de tous côtés ; la piété du Roi en
défendit
deux fois la représentation. La défense dura deux
art de ses autres pièces, qu’il est infiniment plus difficile de s’en
défendre
que dans son Tartuffe, où il mène ouvertement à l
théâtre ? Le concile de Carthage (canon 17.), parlant des spectacles,
défend
aux Chrétiens d’aller dans des lieux où l’on ente
ce qu’avec raison le concile traitait de blasphème et d’invective, et
défendait
aux Chrétiens d’écouter. Sous un Roi très chrétie
e que dressa le théâtre contre la religion, en faisant semblant de la
défendre
. Qui peut supporter, disait-on, la témérité d’un
éussit point et ne pouvait y réussir. Un Comédien n’est pas fait pour
défendre
la religion ; le Saint Esprit, qui descendit sur
fripon de valet qui fait semblant de prendre parti pour elle et de la
défendre
. Il s’en acquitte d’une manière si impertinente e
oute son autorité pour éloigner des fidèles ce subtil poison, jusqu’à
défendre
, d’après l’Apôtre, toute communication avec les h
s. Athènes en fut scandalisée, et le Poète Grec en convint : il ne se
défendait
, non plus que le Poète Français, qu’en disant que
e se payait point de ces raisons, et plus d’une fois ce sage Tribunal
défendit
la composition et la représentation des pièces de
ralités, jouées en public ou en particulier. De tout temps elle a été
défendue
aux Chrétiens, comme apportant corruption de foi
tement contre les spectacles par ces deux raisons sensibles. L’Apôtre
défend
de prononcer le nom du crime ; pourrait-il en app
eligion soit toujours maltraitée, lors même qu’on fait semblant de la
défendre
? m. [NDE] Ici, le mot signifie que les intérêt
par les saints Pères et par les saints conciles. Si l’Ecriture ne
défend
point les spectacles, c’est qu’ils n’étaient pas
cieux dépôt dans leurs ouvrages. L’Eglise, dans plusieurs conciles, a
défendu
la fréquentation des spectacles et les spectacles
qui l’a rapporté, et nous l’avons dans la bibliothèque d’Origène : il
défend
les jeux de théâtre, ainsi que les excès contre l
nstantinople, l’an 692, s’explique en ces termes : « Le saint concile
défend
les farceurs et leurs spectacles, et les danses q
spectaculis fœdari38. » Le premier concile de Ravenne, de l’an 1286,
défend
aux clercs d’entretenir dans leurs maisons ou des
ncile de Tours qui se rapproche de notre siècle, il est de l’an 1583,
défend
sous peine d’excommunication les comédies, jeux d
plaisirs ; il faut certainement un courage plusque mediocre, pour se
défendre
d’un gros qui nous attaque par autant d’endroits
glise ont esté employez par les inspirations de ce divin Esprit, pour
défendre
l’innocence contre les insultes & les efforts
grand nombre de personnes. Les peres & les meres sont obligez de
défendre
à leurs enfans d’aller à des Comedies si pernicie
urieuses à Dieu, que funestes aux peuples. I. Raison. Obligation de
défendre
les méchans livres. Comme cette proposition e
ale de cette Partie, je la prouve en premier lieu par l’obligation de
défendre
les méchans livres. La défense des livres contrai
ne sont pas moins interessez que luy, qu’il ne peut se resoudre de se
défendre
contre des sujets qu’il ne considere pas comme se
ermis de voir, selon le sentiment de ce grand Personnage, ce que Dieu
défend
de faire ; on ne peut pas regarder avec innocence
lic. Arelat. 1. can. 5. Arelat. 2. can. 20. Deux Conciles d’Arles
défendent
de recevoir les Acteurs à la penitence, s’ils ne
oses indifferentes d’elles-mesmes. Les Magistrats sont obligez de
défendre
des actions indifferentes, & quelquefois util
, n’est pas un peché ; les Magistrats ne sont pas moins obligez de le
défendre
, quand le public y est interessé, quand il est en
elles peuvent porter du préjudice au public ; & Dieu veut qu’ils
défendent
ce qui est contraire à la premiere & à la sou
ant de courage pour les empescher de paroistre, que vous en avez pour
défendre
les choses les plus indifferentes quand l’estat p
articuliers de ne point aller à ces especes de Comedies, les peres de
défendre
à leurs enfans d’y aller, les Magistrats d’empesc
es peres, & meres, & des Magistrats : Ils sont obligez de les
défendre
. Les peres & les meres n’ont pas assez de
es mesmes satisfactions qu’eux dans les Pieces ambiguës, & ils se
défendent
par ces exemples contre ceux qui les détournent d
, ou plus difficile à guerir, & qui ruinent le bien qui se seroit
défendu
des Pieces criminelles par la retraite, & par
vertissements demandoient aux Peres, en quel lieu de l’Escriture Dieu
défend
d’aller aux Comedies. Tertullien avouë qu’il n’y
, entretiennent les extravagances & les crimes. Les Conciles, qui
défendent
aux laïques d’aller aux Comedies, alleguent pour
de sçavoir, de pieté, d’autorité, le soin de revoir, d’approuver, de
défendre
, de corriger les Pieces qui devoient paroistre su
s saintes. Lact. sub Leo. 10. sess 10. de Imp. Le Concile de Latran
défend
d’imprimer les Livres qui traitent des choses sai
son esprit ? Il n’y a point de privilege, point d’exemption ; il est
défendu
d’imprimer aucun de ces Livres qui n’ait passé pa
s Pieces seront examinées, point de raison qui doive les détourner de
défendre
qu’on les jouë, & qu’on les imprime avant cet
Magistrats pour des choses de moindre consequence. Les Magistrats
défendent
de joüer la Comedie dans le temps des Offices div
conscience & son salut à ce hazard, sans offenser celuy qui nous
défend
une indiscretion si contraire à la crainte que no
ace si impie, & pour vanger l’outrage fait à une Majesté que vous
défendriez
, s’il estoit necessaire, aux dépens de vos biens,
geront de pareils jeux dignes de récompense et d’honneur. » Solon lui
défendit
en effet de jouer ses pièces à Athènes. Eschyle a
ux-mêmes, ils trouvèrent que la plaisanterie passait les bornes ; ils
défendirent
ce genre de comédie. Comme la malignité a trop de
t y reconnaître ceux que l’on jouait, il fallut une nouvelle loi pour
défendre
de faire la satire personnelle des citoyens. Il n
t pour réprimer la licence des théâtres et surtout des pantomimes. Il
défendit
aux jeunes gens de l’un et de l’autre sexe d’assi
sous le règne de Tibère, le sénat fut obligé de rendre un décret pour
défendre
aux sénateurs de fréquenter les écoles des pantom
ns, qui ne furent pas sans effet pour plusieurs. Le concile de Trente
défendit
aussi de faire servir l’Ecriture sainte à des suj
lise et nos rois de France avaient toujours réputées infâmes, et leur
défendit
de jouer ni de plus obtenir de semblables lettres
nt le nom de Chrétiens, lesquels n’ont point de honte de soutenir, et
défendre
par l’autorité des saintes écritures, les superst
ont proposés pour nous exhorter à la vertu Evangélique, à soutenir et
défendre
les vices : pour ce que ces choses-là ne sont pas
e tait de quelque chose, pour garder modestie, c’est alors qu’elle la
défend
et prohibe davantage. Si la vérité s’étendait jus
’à soi-même, aura plus de poids et d’autorité. Quand l’écriture saine
défend
l’idolatrie, elle défend quant et quants tout ce
poids et d’autorité. Quand l’écriture saine défend l’idolatrie, elle
défend
quant et quants tout ce qui en dépend.Qu'est-ce d
quant et quants tout ce qui en dépend.Qu'est-ce donc que l’écriture a
défendu
? Elle a prohibé de regarder ce qu’elle prohibe d
d en public : et même entre les lois on enseigne tout ce que les lois
défendent
et prohibent. Que fait un fidèle Chrétien entre c
ivre de la rep. de Patricius de Siennes. Note. Quand l’écriture saine
défend
l’idolatrie, elle défend quant et quants tout ce
ius de Siennes. Note. Quand l’écriture saine défend l’idolatrie, elle
défend
quant et quants tout ce qui en dépend. Les specta
s Athènes une Ordonnance vers l’an du Monde 3647. avant J.C. 407. qui
défendit
à tous Poètes de nommer les personnes dans leurs
résentés dans les Villes où ils avaient été établis d’antiquité, » et
défendirent
de les transférer en d’autres lieux. La présence
sance des Empereurs, ou celui de leur avènement à l’Empire. Elle leur
défend
même en ces jours d’y assister l’après-dîner. Ell
es Consuls, et fait défenses à tous autres Juges d’en connaître. Elle
défend
enfin d’en représenter aucuns le jour du Dimanche
maient Majuma, qui était rempli d’obscénités. L’Empereur Constance le
défendit
par une Loi dont Libanius et S. Chrysostome font
dose le souffrit pendant quelque temps, et sur la fin de son règne le
défendit
. Honorius et Arcadius importunés par le Peuple en
Quelques injures que l’on puisse dire à un innocent, on craint de le
défendre
lorsque la religion y est mêlée : l’imposteur est
isonnements ne tendent qu’à faire voir que le roi a eu tort de ne pas
défendre
Le Festin de Pierre, après avoir fait tant de cho
uses pour la religion. Vous voyez par là que je ne dois pas seulement
défendre
la pièce de Molière, mais encore le plus grand, l
isonnement est persuasif. Il faut avoir de grandes lumières pour s’en
défendre
, il dit beaucoup et prouve encore davantage, et c
Pierre j , susciter quelque acteur pour soutenir la cause de Dieu et
défendre
sérieusement ses intérêts. » Il fallait donc pour
eront pas grand bruit. Peut-être que si j’attaquais aussi bien que je
défends
, elles seraient plus divertissantes, puisque la s
re fournit des plaisanteries que l’on rencontre rarement lorsque l’on
défend
aussi sérieusement que je viens de faire. Je puis
de moindres raisons ? Ce fut aussi pour ce sujet que Octave Auguste
défendit
aux femmes d’y assister, et l’un des Scipion voya
injustes passe-temps, et que la corruption le porte à ce qui est plus
défendu
. En quoi est-on trompé par la Comédie ? C’est q
oses que vous censurez, qui font la Comédie ? C’est aussi ce qui est
défendu
par toutes les lois divines et humaines, et qui f
hrétienne, et à la loi de Dieu, qui parlant par la bouche de S. Paul,
défendit
aux Ephésiens Ad Eph. 5. 3. de nommer aucune sor
car tous les assistants font un pareil mal, comme étant pareillement
défendu
, et le nombre des fous étant infini selon l’Ecrit
c permis de leur donner quelque chose ? C’est ce qui est étroitement
défendu
par les Canons,Cap. donare dist. 86. qui les cond
s Théâtres, dont on crut Hédelin encore l’auteur. M. de Voisin voulut
défendre
le Traité de M. le Prince de Conti contre la Comé
on ne croyait pas que personne osât mettre la main à la plume pour la
défendre
. Cependant après plus de vingt années de silence,
voir si la Comédie peut être permise, ou si elle doit être absolument
défendue
. Le Théologien prétendu veut justifier la Comédie
age contre la Comédie qui parut après la Lettre du P. Caffaro, qui la
défendait
, est une Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une pe
et des Ordonnances de l’Eglise avec les Lois des Empereurs. Elles ne
défendent
pas avec moins de rigueur ces usages sensuels et
ore citées, dans lesquelles ces Princes zélés pour la gloire de Dieu,
défendent
comme un crime, de s’adonner les jours des Fêtes
s occupari. » L. ult. Puisque donc les Empereurs ont si absolument
défendu
toute sorte de jeux, de divertissements séculiers
’est-à-dire, sans exception, ni limitation, « Qu’il est nécessaire de
défendre
les danses, et les chansons profanes, pendant les
hapitres de ce Concile, il est aussi dit, sans restriction « que l’on
défendra
qu’on ne danse point les jours des Fêtes des Sain
Lettre d'un théologiena Monsieur, Je m’étais toujours
défendu
de vous donner par écrit mon sentiment sur la Com
p. 16. Tertullien, nous n’y trouvons nulle part, que, de même qu’elle
défend
, en termes exprès, d’adorer les Idoles, ou de com
hommes une recréation honnête, n’a rien, selon moi, qui mérité d’être
défendu
, et je ne les crois pas en état de péché, pourvu
me on dit, le sacré au profane, et qu’ils ne jouent point en un temps
défendu
. Et quoique dans la vie (ce sont toujours les par
ce que je vous choisirai dans leurs écrits de plus faible. Salvien se
défendait
d’en rien dire, par la peine qu’il aurait eue d’e
Laïques mêmes n’assistent point aux Spectacles, car il a toujours été
défendu
à tout Chrétien d’aller où il y a des blasphémate
à la récréation de l’homme, qui est nécessaire pour sa vie, n’est pas
défendue
d’elle-même : de là vient qu’il n’est pas non plu
n’est pas défendue d’elle-même : de là vient qu’il n’est pas non plus
défendu
de vivre de cet artHistrionatus Ars, etc. in 3. p
e change Introd. ad vit. devot. : aussi voyons-nous qu’elle n’est pas
défendue
par le Saint de nos jours, le grand François de S
Ah, disent ses ennemis, elle n’est que trop mauvaise, puisqu’elle est
défendue
. Jusqu’à présent je l’avoue, je croyais qu’on déf
uisqu’elle est défendue. Jusqu’à présent je l’avoue, je croyais qu’on
défendit
les choses parce qu’elles étaient mauvaises, et n
ément à bout, voyons les autorités de l’Ecriture Sainte, qui semblent
défendre
la Comédie et semblables spectacles, et tâchons d
t les danses des Juifs étaient accompagnées : et que saint Paul enfin
défend
jusqu’à l’apparence du vrai mal, et non de ce qui
moins qui se piquent de l’être, vous ont montré certains Rituels, qui
défendent
aux Confesseurs d’administrer les Sacrements aux
Le troisième enfin, est la lecture des Comédies, qui ne nous est pas
défendue
comme en pourrait être la représentation ; et je
omédies ne nuisent que par accident, n’est-ce pas toujours nuire ? On
défend
bien de lire la Bible en langue vulgaire, de peur
, quand même ce ne serait que par accident. S’il était vrai qu’on dut
défendre
toutes les choses qui pourraient avoir des suites
sérieuses, telle qu’est la Comédie ; et l’on aurait tort pour cela de
défendre
les unes et les autres, parce que cette défense d
honnêtes, comme nous l’avons assez prouvé, elle ne doit pas être plus
défendue
le Dimanche, que les plaisirs qui en tel jour ne
3.Decret cap. 12 cit. I. cum decorem domus Dei. du Saint Siège, qui
défendait
aux Prêtres, Diacres, etc. de se plus émanciper à
rrible Prostitution. On ne contrevient point en France aux Canons qui
défendent
de dresser des Théâtres dans les Eglises, et l’on
nteté de l’Eglise soit souillée Deuter. 225.. Car puisqu’il estLa loi
défend
que les hommes se déguisent en femmes, et les fem
éfend que les hommes se déguisent en femmes, et les femmes en hommes.
défendu
en la loi, que les hommes ne vêtent point les hab
hafauds est déshonnête, et corrompt la Jeunesse. Deuter. 225. La loi
défend
que les hommes se déguisent en femmes, et les fem
cru qu’Hédelin était encore l’Auteur. M. de Voisin se crut obligé de
défendre
le Traité de Monsieur le Prince de Conti contre l
on ne croyait pas que personne osât mettre la main à la plume pour la
défendre
. Cependant après plus de vingt années de silence,
voir si la Comédie peut être permise, ou si elle doit être absolument
défendue
. Ce Théologien prétendu (je l’appelle ainsi, parc
remarqué Tertullien, nous n’y trouvons nulle part que de même qu’elle
défend
en termes exprès d’adorer les Idoles, elle comman
. Il dit donc premièrement que Tertullien reconnaît que l’Ecriture ne
défend
nulle part d’assister aux Spectacles ; et il le c
s pas. Mais il soutient avec cela que le Théâtre ne laisse pas d’être
défendu
sous d’autres termes plus généraux où il se trouv
non qu’en lisant l’Ecriture nous n’y trouverons point de précepte qui
défende
la Comédie, en exprimant le mot de Comédie, nous
mps. Mais est-ce une conséquence pour cela que la Comédie ne soit pas
défendue
dans l’Ecriture par d’autres préceptes de morale
int du tout : car autrement on pourrait dire que l’Ecriture sainte ne
défend
en aucun endroit de filouter et de boulinere ; pa
e Docteur beaucoup d’autres endroits de l’Ecriture, où la Comédie est
défendue
de cette manière : il y en a une infinité, et on
que Jésus-Christ lui-même a prescrite aux Chrétiens ? Mais comment se
défendra
encore le Docteur de cet endroit de l’Epître aux
re que quelque précepte formel qui les aurait défendus, puisqu’ils se
défendent
assez d’eux-mêmes : et qu’ainsi en cet état la bo
assent ; et pour but de la course, regardez la fin de toutes choses ;
défendez
fortement les sociétés de l’Eglise, éveillez-vous
lieu entre la danse de David et ces sortes de Spectacles qui pût être
défendu
, et que parmi les Pièces de Théâtre il n’y en eût
ux Dieux. Il faut donc faire voir à notre Docteur qu’il y a un milieu
défendu
entre la danse de David et les Spectacles honteux
trionatus, ou le métier de Farceur, dit donc saint Antonin, n’est pas
défendu
de lui-même, parce qu’il sert à la recréation de
Aussi voyons-nous, dit-il en parlant de la Comédie, qu’elle n’est pas
défendue
par le Saint de nos jours le grand François de Sa
e la Comédie, il est bien plus vraisemblable que c’aurait été pour la
défendre
plutôt que pour la permettre, puisque dans tous l
eurs, les bateleurs, et autres gens semblables de mauvaise vie, et de
défendre
aux hôteliers et à tous les autres, sous de grièv
Diocèse et de sa Province, mais dans les Règlements de sa Famille il
défend
encore expressément à ses domestiques de se trouv
à dire qu’il faut bien que la Comédie soit mauvaise, puisqu’elle est
défendue
: là-dessus il se réjouit, et se donne la Comédie
e de prouver qu’une chose est mauvaise, parce que Dieu et les Lois la
défendent
. Il reprend après cela son sérieux, et entreprend
a son sérieux, et entreprend de montrer que la Comédie n’est pas même
défendue
. Et pour toutes preuves, quant à la Loi de Dieu,
moins qui se piquent de l’être, vous ont montré certains Rituels qui
défendent
aux Confesseurs d’administrer les Sacrements aux
idiction Ecclésiastique pour bannir la Comédie de son Diocèse, que de
défendre
dans son Rituel d’admettre les Comédiens à la sac
comme ils y sont traités, et il y trouvera plusieurs Arrêts qui leur
défendent
de jouer, « à peine d’amende arbitraire et de pun
cela que fait ici notre Docteur, quand il nous dit : « que s’il était
défendu
d’aller à la Comédie, une belle femme ne devrait
es, de la pénitence et de l’observation du Carême. Car enfin l’Eglise
défend
les Spectacles à tous les Chrétiens ; et le Docte
veut que saint Thomas les permette même aux Pénitents : l’Eglise les
défend
sans exception, et pour tous les temps de l’année
honnêtes, comme nous l’avons assez prouvé, elle ne doit pas être plus
défendue
les Dimanches, que les plaisirs qui en tel jour n
» Canon 1. Il confirme la même chose par les Lois des Empereurs, qui
défendent
absolument les Spectacles aux jours de Fêtes, et
où saint Charles infère que « puisque les Empereurs ont si absolument
défendu
toute sorte de jeux et de divertissements séculie
remarquer que ce dernier Concile qui fut approuvé par le saint Siège,
défend
de représenter des Comédies les Fêtes et Dimanche
cteur ; il fait aussi le Législateur : il ordonne, et il dispense. Il
défend
aux Religieux, aux Ecclésiastiques et aux Evêques
ustesse. h. [NDE] mandie = mendie. i. [NDE] patrociner = maintenir,
défendre
, soutenir. j. [NDE] savoir = à savoir. k. [NDE
dont nous parlons ne fassent impression sur les faibles, il faut leur
défendre
d’aller à la Comédie, et non point aux autres, ou
ordinaire, est mauvaise ; c’est ce qui a fait qu’elle a toujours été
défendue
jusqu’à présent aux Fidèles. Que l’idolâtrie ait
ne devaient point être défendus, Tertullien montre que l’Ecriture les
défend
, lorsqu’elle condamne la concupiscence du siècle
ession, qu’il soit chassé hors de l’Église. » Et dans le Canon 67, on
défend
aux femmes Fidèles et Catéchumènes d’épouser des
de Carthage de l’année 419, et qui est inséré dans le Droit Canon, on
défend
aux infâmes tels que sont les Comédiens de pouvoi
se d’Afrique, on demande aux Empereurs Théodose et Valentinien qu’ils
défendent
les Spectacles aux jours de Dimanches et autres g
l’attachement du peuple pour ces Spectacles était trop grand pour les
défendre
tout à fait. Le sixième Concile tenu à Constantin
le, in Trullo, Canon 51. condamne ceux que l’on appelle Comédiens, et
défend
leurs Spectacles, comme aussi les danses qui se f
ans un Recueil53 des Décrets de la Province de Tours, par lesquels on
défend
sous peine d’anathème de faire les jours de Diman
t une fort mauvaise réputation dans le public, avec qui l’Apôtre nous
défend
de demeurer et de manger. Dans le même Manuel, au
lui jusqu’à présent. Dans les Actes de Milan, Livre troisième, il est
défendu
aux Clercs d’assister aux Comédies, comme étant d
aint Charles parle de la Comédie, on ne peut pas dire qu’elle ne soit
défendue
qu’aux Clercs ; de même quand il est dit au Titre
mbre 11 et 12 du troisième Concile de Milan, que la Comédie doit être
défendue
aux jours de Fêtes67, du moins aux heures du Serv
saint Charles apporte des raisons générales qui prouvent qu’elle est
défendue
à toute sorte de personnes en tout temps ; elle d
oute sorte de personnes en tout temps ; elle doit néanmoins être plus
défendue
aux Ecclésiastiques, qui sont des personnes attac
rsonnes attachées à l’Eglise qu’aux Séculiers, et elle doit être plus
défendue
aux heures du Service divin qu’en tout autre temp
La seconde est, qu’on ne peut pas dire non plus que Saint Charles ait
défendu
les Comédies de son temps, par rapport seulement
e raison que le Parlement de Paris, par son Arrêt du 9 Décembre 1541,
défendit
aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie
ets dans l’âme de ceux qui y vont, afin qu’on puisse dire qu’elle est
défendue
à toute sorte de personnes : car une personne doi
e la Comédie, ne faisant ce semble aucune peine à la pudeur, on ne se
défend
pas d’un poison qui est d’autant plus dangereux q
Théâtre ». Le Rituel de Châlons-sur-Marne, de l’année 1649, page 12,
défend
de recevoir pour parrains du baptême les pécheurs
: de sorte que l’on peut dire en cet endroit qu’il est plus facile de
défendre
tout à fait de jouer les Comédies, que d’entrepre
aux Fidèles d’assister aux Comédies ; vu que de tout temps cela a été
défendu
entre les Chrétiens, comme apportant corruption d
ines qui laissent beaucoup de péchés impunis, dit105 que si elles les
défendaient
tous, cela empêcherait plusieurs biens qui en pou
he pas néanmoins qu’elle ne soit mauvaise et qu’elle ne soit toujours
défendue
par l’Eglise. On répond à la seconde demande de l
lequel nous tenons en autres choses, pour permis, ce qui n’y est pas
défendu
. Si donc cette parole, non seulement ne favorise
ermet pas plus les PaïennesTit. 1. 1 Tim. 3 et 4 t ; voire elles les
défend
toutes, en termes exprès ; Que si elle en défend
t ; voire elles les défend toutes, en termes exprès ; Que si elle en
défend
le trop grand étudeu en particulier, où quelques-
stes ; d’exécrations, et invocations des Dieux Païens : Or l’Ecriture
défend
en termes exprès, non seulement de jurer par les
lon le jugement de S. Cyprien, que nous verrons ci-après : l’Ecriture
défend
en termes exprèsEph. 5 ab , de nommer la paillard
rs, qu’aucun autre, qui soital en tout le reste de l’Ecriture, lequel
défend
, que l’homme ne soit vêtu de vêtement de femme, n
exercer nul office viril ; que c’est là, que vise l’Apôtre, quand il
défend
à la femme d’enseigner en l’Eglise1 Tim. 2. Eph.
est surmontée par la raison : Mais par ce moyen, il serait seulement
défendu
à l’homme, de prendre l’habit de femme ; et non à
restreint aux seules assemblées Ecclésiastiques, car puisque l’Apôtre
défend
ailleurs à la femme d’enseigner en l’Eglise, il s
êtus de vieux haillons, pour faire peur aux oiseaux, ce qui n’est pas
défendu
. Ils pourront bien joindre cet épouvantail, avec
mais quand l’occasion le requiert : Les négatifs sont ceux, qui nous
défendent
quelque chose, et nous obligent à nous en absteni
te de tromperie parle cette objection : Un Prince terrien, qui aurait
défendu
le port des armes, sans exception, se contenterai
eux : Mais votre Pontife Scipion, pour empêcher la peste des Esprits,
défendait
de bâtir un Echafaud : S’il vous reste quelque pe
subversion de probité, et honnêteté, que craignait Scipion, quand il
défendit
de bâtir des Théâtres, voyant que facilement vous
eprocher à aucun, qu’en lui donnant le moyen d’y répondre, et de s’en
défendre
en jugement. Au reste, quand même la fin susdite
Chrétienne ? restreignant à celle-là, tous les passages, qui nous la
défendent
, pour maintenir, et établir celle-ci, en l’Eglise
isme sur le modèle de l’intégrité, qu’il remarquait au Christianisme,
défend
les Tavernes, et les Théâtres à ses prêtresSozom.
ilaine et infâme contagion : Car, ajoute-t-ilDeut. 22 ej , si la Loi
défend
à l’homme de se vêtir d’habit de femme, et si ceu
u. [NDE] « étude » est ici masculin. v. [NDE] comprendre : si elle
défend
de les étudier, elle défend encore bien plus de l
masculin. v. [NDE] comprendre : si elle défend de les étudier, elle
défend
encore bien plus de les jouer en public. w. [ND
quoi qu’on puisse dire, la concupiscence de la chair, que Saint Jean
défend
de rendre aimable, puisqu’il défend de l’aimer. L
cence de la chair, que Saint Jean défend de rendre aimable, puisqu’il
défend
de l’aimer. Le grossier que vous en ôtez ferait h
la joie de ce hardi jeune homme, si elle n’était imprévue, inespérée,
défendue
, et emportée par la force. Si l’on ne propose pas
aujourd’hui fort tombé. Quelques Visiteurs des Carmélites le leur ont
défendu
, peu d’Evêques et de grands Vicaires les approuve
déchaussés de l’année 1645 (Part. 4. C. 6.) sont très sévères ; elles
défendent
, sous peine de la prison, d’aller au bal et à la
int Sacrement. Les constitutions des nouveaux Ordres ont généralement
défendu
ces amusements. Les constitutions des Ermites de
ordre des Cordeliers, Augustins, Jacobins, Carmes, dont les règles ne
défendent
aux Confrères d’aller à la comédie. Les règles de
orte, en finissant, le décret 17 d’un Concile de Cologne en 1549, qui
défend
absolument aux Religieuses, et par conséquent, aj
s des sentiments des Casuistes, et il est aisé de sentir que ceux qui
défendent
la comédie à tout le monde, à plus forte raison n
que a donné trois décisions, qu’il n’est pas facile de concilier : il
défend
absolument la comédie aux Ecclésiastiques, il la
auxquels dit M. la Loubère (Tom. 1. pag. 140. de son voyage), il est
défendu
d’assister à la comédie, quoique plus châtiée que
êque, qui avait ordonné l’exclusion. Celui-ci donna un mandement pour
défendre
la comédie, et fit prêcher contre, et refuser l’a
ir été consulté, si la Comédie pouvait être permise, ou si elle était
défendue
absolument. Il tâche de faire l’Apologie des Comé
eurs, les Bateleurs, et autres gens semblables de mauvaise vie, et de
défendre
aux Hôteliers et à tous autres sous de grièves pe
Comédiens y sont traités ; qu’on y trouvera plusieurs Arrêts qui leur
défendent
de jouer, à peine d’amende arbitraire et de punit
Discours sur la Comédie, où l’on voit la Réponse au Théologien qui la
défend
, avec l’Histoire du Théâtre, et les Sentiments de
Il y a une Lettre en tête, dans laquelle l’Auteur de ces Discours se
défend
de la faire imprimer, en disant qu’il se contente
ui font métier de monter sur le théâtre, Tit. 3. Chap. 21. Et l’autre
défend
aux Clercs d’assister aux Jeux du Théâtre, sous p
s pieuses ; ce qui y fit ajouter des Farces que le Parlement de Paris
défendit
en 1541. sous François I. comme contraires aux Sa
tiré des Tragédies des Collèges, par les règles de l’Université, qui
défendent
d’y rien représenter que d’édifiant, et d’en excl
On confirme cette condamnation par les Statuts des Jésuites, qui leur
défendent
de faire paraître des personnages de Femme sur le
étaient scrupuleux observateurs, telles que les lois somptuaires, qui
défendaient
tous les excès du luxe et de l'intempérance ; cel
qui prescrivaient aux femmes la modestie et la sobriété, jusqu'à leur
défendre
de boire du vin, et de porter de l'or sur leurs h
r auteur ? Que l'ignorance humaine se croit sage, surtout lorsqu'elle
défend
la cause de la volupté ! Bien d'autres s'éloignen
profanateur sont bien différents. Tous les crimes que les païens même
défendent
, ne se commettent qu'avec les ouvrages de Dieu. L
ontinence ? Dieu n'a formé aucune créature pour servir au crime qu'il
défend
, l'abus que nous en aurons fait nous damnera. Apr
arés ! Soyons-en du moins dans le vice. « 16.° Puisque la fureur est
défendue
, fuyons les spectacles où elle règne. Voyez ce pe
mour frivole, aversion injuste, fût-il même permis d'aimer, il serait
défendu
de haïr sans raison, puisqu'il l'est de haïr même
i partout ailleurs est un péché ? « 17.° L'impureté n'étant pas moins
défendue
que la fureur, on doit fermer le théâtre, qui en
à l'impureté hors du théâtre,parce que Dieu en est témoin ? Ce qu'il
défend
est toujours mauvais. Telle est la vérité, la pur
nous frappe ? Les masques seront-ils plus agréables à Dieu ? lui qui
défendait
dans l'ancienne loi de peindre les créatures, per
ecs : ce que Cicéron témoigne dans la cause du Comédien Roscius qu’il
défendit
avec ardeur. Mais quoiqu’elle soit introduite à p
as qui suit d’un Arrêt du Parlement de Paris du 9. Décembre 1541. qui
défendit
aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie
représentations de leurs Pièces jusqu’en 1541. que le Parlement leur
défendit
de jouer, jusqu’à ce que le Roi en eût autrement
dont nous parlons ne fassent impression sur les faibles, il faut leur
défendre
d’aller à la Comédie, et non point aux autres ; o
naire, est mauvaise ; ce qui fait que jusqu’à présent on l’a toujours
défendue
aux fidèles. Que l’idolâtrie ait été une des rais
ne devaient point être défendus, Tertullien montre que l’Ecriture les
défend
, lorsqu’elle condamne la concupiscence du siècle
sion, qu’il soit chassé hors de l’Eglise. » Et dans le Canon 67. « On
défend
aux femmes fidèles et catéchumènes d’épouser des
de Carthage de l’année 419. et qui est inséré dans le Droit Canon, on
défend
aux infâmes, tels que sont les Comédiens, de pouv
e d’Afrique, on demande aux Empereurs Théodose et Valentinien, qu’ils
défendent
les spectacles aux jours de Dimanches et autres g
l’attachement du peuple pour ces spectacles était trop grand pour les
défendre
tout à fait. Le VI. Concile tenu à Constantinople
ple in Trullo, Canon 51. condamne ceux que l’on appelle Comédiens, et
défend
leurs spectacles, comme aussi les danses qui se f
hæc sancta Synodus… » des Décrets de cette Province, par lesquels on
défend
sous peine d’anathème de faire les jours de Diman
t une fort mauvaise réputation dans le public, avec qui l’Apôtre nous
défend
de demeurer et de manger. » Dans le même Manuel a
epuis lui jusqu’à notre temps. Dans les Actes de Milan liv. 3. il est
défendu
aux Clercs d’assister aux Comédies, comme étant d
ont ce Saint parle de la Comédie, on ne peut pas dire qu’elle ne soit
défendue
qu’aux Clercs : de même quand il dit au titre de
, nomb. 11. et 12. du III. Concile de Milan, que la Comédie doit être
défendue
aux jours de Fêtes, du moins aux heures du Servic
Saint Charles apporte des raisons générales qui prouvent qu’elle est
défendue
à toutes sortes de personnes et en tout temps : e
sortes de personnes et en tout temps : elle doit néanmoins être plus
défendue
aux Ecclésiastiques, qui sont des personnes attac
onnes attachées à l’Eglise, qu’aux Séculiers ; et elle doit être plus
défendue
aux heures du Service qu’en tout autre temps. Que
La seconde est, qu’on ne peut pas dire non plus que Saint Charles ait
défendu
les Comédies de son temps, par rapport seulement
raison que le Parlement de Paris, par son Arrêt du 9. Décembre 1541.
défendit
aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie
ets dans l’âme de ceux qui y vont, afin qu’on puisse dire qu’elle est
défendue
à toutes sortes de personnes : car un Chrétien do
la Comédie ne faisant, ce semble, aucune peine à la pudeur, on ne se
défend
pas d’un poison qui est d’autant plus dangereux q
r le Théâtre. » Le Rituel de Châlons-sur-Marne de l’an 1649. page 12.
défend
de recevoir pour Parrains au Baptême les personne
: de sorte que l’on peut dire en cet endroit qu’il est plus facile de
défendre
tout à fait de jouer les Comédies, que d’entrepre
aux fidèles d’assister aux Comédies, vu que de tout temps cela a été
défendu
entre les Chrétiens, comme apportant corruption d
entur, si omnia peccatis districte prohiberentur. » que si elles les
défendaient
tous, cela empêcherait plusieurs biens qui en pou
e pas néanmoins qu’elle ne soit mauvaise, et qu’elle ne soit toujours
défendue
par l’Eglise. On répond à la seconde question, ou
aïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la
défendent
spécialement aux ecclésiastiques. Il est souven
s qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. Il est souvent
défendu
aux clercs d’assister aux spectacles, aux pompes,
lle de certains docteurs qui rapportent les canons par où l’usure est
défendue
aux ecclésiastiques, comme s’ils portaient une pe
ice, qu’à deux ou trois Ecrivains près, qui ont fait semblant de s’en
défendre
, ils n’ont pas réclamé contre la juste sévérité d
s l’excommunication, où sous peine d’excommunication mineure, on leur
défend
de commercer avec l’excommunié. Puisqu’il n’y a r
qu’on chantât des choses saintes sur le théâtre de l’opéra, qu’il le
défendit
, et il n’y eut point de concert, jusqu’à ce qu’on
168.). Le concile in trullo de l’an 680. (Can. 51.) va plus loin ; il
défend
à tout le monde de regarder, à plus forte raison
1588, approuvé par le S. Siège s’explique bien clairement. D’abord il
défend
de recevoir à la sainte table tous les pécheurs p
e infames, quales sunt fures, Meretrices, Histriones. » L’Apôtre nous
défend
même de manger avec eux : « Quibuscum versari et
médies, tragédies, farces, moralités, vu que de tout temps cela a été
défendu
aux Chrétiens, comme apportant corruption des bon
u 21 octobre 1680, réunit toutes les troupes des Comédiens en une, et
défendit
à tous autres Comédiens Français de s’établir dan
s forment de nouvelles plaintes, et demandent au Parlement qu’il soit
défendu
à la Foire de faire même des monologues, puisqu’o
e domestique, sans aucun rapport au théâtre, tout cela n’est pas plus
défendu
aux Comédiens qu’à tout autre, quelque excommunié
erait assez pour croire que l'on n'y fait aucun mal, on ne saurait se
défendre
de celui qu'y font les autres, et comme les compl
, ne voudront pas cesser de fréquenter la Comédie et l'Opéra, et Nous
défendons
à tous Prêtres, Bénéficiers, et ecclesiastiques d
hommes, qu’il les porte à différer de s’instruire de ce qui leur est
défendu
, pour avoir un prétexte de s’y satisfaire, ou à t
abord : si les spectacles sont innocents pourquoi des confesseurs les
défendent
-ils à leurs pénitents ? Pourquoi refusent-ils l’a
héâtre, combien trouve-t-on de confesseurs sages et instruits, qui le
défendent
? Lesquels faut-il suivre. S’il se trouve des fid
nd pas, dit-on encore, comment tel confesseur permet ce que tel autre
défend
. L’Évangile est-il donc différent ? Cette différe
des impressions du théâtre et qu’on n’y fait aucun mal, on ne peut se
défendre
de celui qu’y sont les acteurs et les actrices, s
r leur consentement, sont devant Dieu coupables du même péché. « Or,
défendre
au comédien d’être vicieux, c’est défendre à l’ho
bles du même péché. « Or, défendre au comédien d’être vicieux, c’est
défendre
à l’homme d’être malade (J.-J. Rousseau.) N’est-c
canons et aux règlements de plusieurs saints et dignes évêques, nous
défendons
aux fidèles de notre diocèse l’assistance aux thé
s 8e et 13e siècles, quand les septième et douzième conciles généraux
défendaient
aux fidèles d’y assister et que St. Bernard disai
iaux, des synodes diocésains, grand nombre d’évêques de tous les pays
défendent
aux fidèles d’assister au théâtre. Donc le théâtr
vais. Troisième fait. — Un très-grand nombre d’évêques et de rituels
défendent
aux confesseurs d’absoudre ceux qui assistent au
sieurs autres, qui s’étoient tenus auparavant en Occident. Ce Concile
défend
de recevoir un comédien qui veut se faire chrétie
les aux Comédies & à ceux qui y assistoient. Le Concile d’Afrique
défend
de forcer des chrétiens à fréquenter les Spectacl
é. 4 Le septieme Concile Général (c’est le premier de Latran en 787)
défend
aux fidéles de fréquenter les Comédiens, & ve
gne. Le Concile de Châlons-sur-Saone, tenu en 813, sous Charlemagne,
défend
aux ecclésiastiques d’assister aux spectacles, so
que les sixieme & douzieme généraux. Le Concile de Tours en 1585,
défend
les Comedies &c. Sous peine d’excommunication
, aux fidéles d’assister aux Comédies, vû que de tout tems cela a été
défendu
entre les Chrétiens. Le Gouvernement civil d’Ang
Principes & Magistratus &c. à chasser les Comédiens, & à
défendre
aux hôtelliers & à tous autres, sous de griev
p; Lisons. Ceux de Châlons-sur-Marne en 1649, & de Troyes en 1660
défendent
d’admettre les Comédiens pour parrains. Ad hoc m
mandent l’absolution à l’Eglise . Ceux de Rheims & d’Alet en 1677
défendent
d’accorder l’absolution à ceux qui fréquentent l
re ce qui suit : L’Eglise condamne les Comédiens, & croit par-là
défendre
assez la Comédie ; la Décision en est précise dan
êque de Noyon, dans ses Statuts & Ordonnances Synodales en 1694.,
défend
les spectacles avec la même vigueur, à tous les F
es fideles… de s’abstenir de ces faux & malheureux plaisirs… nous
défendons
à tous Prêtres & Ecclésiastiques de ce Diocés
tion encourue ipso facto. Celles de Noyon, dont nous avons parlé, les
défendent
aux Ecclésiastiques, sous peine de suspense de l
; les Peres de l’Eglise avoient toujours réputées infames, & leur
défendit
de jouer, ni de plus obtenir semblables lettres,
buseroit assez, pour croire qu’on n’y feroit aucun mal, on ne peut se
défendre
de celui qu’y sont les autres, & comme compli
ogiens, & tous les Confesseurs consultés, ainsi que tous ceux qui
défendent
aux fidéles d’assister aux spectacles, donnent to
s l’horreur des spectacles, c’est de la part de l’Eglise, qu’ils leur
défendent
d’y assister, c’est en son nom, qu’ils leur décla
NI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait
défendu
de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et t
au temps qui est destiné pour la pénitence, parce que les Canons les
défendent
en ces jours : et comme dit saint Ambroise, ce se
hé ; et celui-là semble commettre une mauvaise action, qui pouvant la
défendre
la souffre sans rien dire par lâcheté de cœur, et
fêtes avec la révérence et la dévotion convenable ; et pour cela j'ai
défendu
en ces mêmes jours les danses, et toute sorte de
t sur ce sujet la ville de Milan, par ses Lettres Apostoliques ; et à
défendre
même dans Rome, comme nous lisons dans la vie de
uent les comédies.L’Eglise condamne les comédiens, & croit par-là
défendre
assez les comédies : la décision en est précise d
nt de décrets publics contre les comédies, & tant de loix qui les
défendent
, qu’on ne peut presque les compter. Si maintenant
comédie doit être rangée parmi les maux & les désordres que l’on
défend
toujours, & que l’on ne laisse pas de commett
uoiqu’on en puisse dire, la concupiscence de la chair, que saint Jean
défend
de rendre aimable, puisqu’il défend de l’aimer. L
cence de la chair, que saint Jean défend de rendre aimable, puisqu’il
défend
de l’aimer. Le grossier que vous en ôtez feroit h
n que rien ne manquât à leur satisfaction. Le métier de comédien est
défendu
, & par conséquent il n’est pas permis d’assis
ne faisant aucune peine à la pudeur attachée à leur sexe, elles ne se
défendent
pas d’un poison aussi dangereux, & plus caché
donnent ces divertissemens criminels au public. Deux Conciles d’Arles
défendent
de recevoir les acteurs à la Pénitence, s’ils ne
inte ne condamnent nullement ces divertissemens profânes : ils ne les
défendent
pas en particulier, quelque part, parce qu’ils le
châtimens & la damnation éternelle ? Tout délassement n’est pas
défendu
.Ce n’est pas que je prétend de défendre tout déla
? Tout délassement n’est pas défendu.Ce n’est pas que je prétend de
défendre
tout délassement ; ce seroit outrer la morale de
ces jeux cruels devint si immodéré, qu’il ne lui fut possible de s’en
défendre
; tant il est vrai que le cœur ne peut être indif
de le fuir : cependant comme la cupidité est toujours ingenieuse à se
défendre
sur ce qui la favorise, & qu’il importe de ne
ce, & sur-tout cette malheureuse passion, que l’Apôtre saint Paul
défend
de nommer parmi les Chrétiens ; il n’est content
tente d’excommunier les ministres du théâtre, & elle croit par-là
défendre
assez le théâtre ; & même sa décision est pré
au plus qu’il faut les mettre au nombre des maux qu’elle ne cesse de
défendre
, & qu’on aime toujours. Quand les loix civil
indifférente en elle-même, il faut, en premier lieu, qu’elle ne soit
défendue
par aucune loi ; en second lieu, qu’on puisse, en
ur les spectacles, il s’agit donc d’examiner 1°. si aucune Loi ne les
défend
; 2°. s’ils peuvent être rapportés à quelque fin
ce que prétend le monde. Preuves de la premiere Soudivision. Loi qui
défend
les spectacles.1°. Une Loi qui défende les specta
a premiere Soudivision. Loi qui défend les spectacles.1°. Une Loi qui
défende
les spectacles ! Où est-elle, nous dit-on ? est-c
us grands péchés de sa jeunesse, & que saint Clément d’Alexandrie
défend
à tout Chrétien, sans réserve & sans exceptio
Conciles en ont-ils fait la distinction, pour permettre les uns &
défendre
les autres ? Ce sont tous les spectacles en génér
licite, & criminel. Les raisons qui dans tous les temps ont fait
défendre
les spectacles.C’est que les raisons qui engagere
expressément nommés : mais toute l’Ecriture ne tend-t-elle pas à les
défendre
? De quelle maniere a-t-on toujours regardé les
ssion ; c’est toujours cette malheureuse concupiscence que saint Jean
défend
de rendre aimable, puisqu’il défend de l’aimer ;
euse concupiscence que saint Jean défend de rendre aimable, puisqu’il
défend
de l’aimer ; c’est toujours cette concupiscence q
écle qu’on a prétendu justifier la comédie. Le métier de comédien est
défendu
, & par conséquent il n’est pas permis d’assis
peut être une œuvre agréable au Seigneur. Tout délassement n’est pas
défendu
. Les divertissemens qui nous sont permis doivent
rtie, & Soudivisions. Preuves de la premiere Soudivision. Loi qui
défend
les spectacles. Pour se justifier on oppose la di
interdits aux Chrétiens. Les raisons qui dans tous les temps ont fait
défendre
les spectacles. Les spectacles sont contraires à
la prohibition de la Danse n’est pas formellement contenue. Car le I.
défend
seulement les bouffonneries, « les railleries, et
tum. » De consecratione dist. 5. ex Concilio Nannetensi. Le second
défend
l'ivrognerie, les ris immodérés, les contes vains
consécration. Et c’est pour cela que le Canon du Concile de Laodicée
défend
ces mêmes Exercices de la danse, et la Comédie à
mens, quelquefois de simples conseils : & souuent ce qu’elle veut
défendre
est mieux défendu par son silence que par sa voix
e simples conseils : & souuent ce qu’elle veut défendre est mieux
défendu
par son silence que par sa voix, quand sa modesti
is pour reprendre nostre discours ; qu’est-ce que la sainte Escriture
défend
? Ie dis qu’elle défend de voir ce qu’elle défend
discours ; qu’est-ce que la sainte Escriture défend ? Ie dis qu’elle
défend
de voir ce qu’elle défend de faire. Elle a condam
la sainte Escriture défend ? Ie dis qu’elle défend de voir ce qu’elle
défend
de faire. Elle a condamné les representations, d’
d’estre icyleur accusateur, & la bien-seance de ma profession me
défend
de rapporter tous leurs discours, leurs abominati
à la face des loix mesme, on enseigne la pratique de tout ce qu’elles
défendent
. Dans ces lieux où les débauches fleurissent auec
Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise
défendirent
aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, par
aut pas trouver étrange que les Docteurs de la primitive Eglise aient
défendu
si rigoureusement aux Chrétiens d'y assister, par
her dans l'Écriture Sainte des paroles pour autoriser l'idolâtrie, et
défendre
les vaines superstitions qui sont mêlées dans tou
fin qu'elle pût être aimée. » Quand le Concile troisième de Carthage
défend
à tous les Chrétiens de donner les Spectacles pub
les Fidèles les fréquentent, c'est blasphémer le Nom de Dieu qui les
défend
, c'est honorer ces Dieux abominables, c'est-à-dir
évérité fut si grande dans les premiers siècles de l'Eglise, que l'on
défendait
absolument aux Chrétiens toutes les choses qui pa
je ne fusse pas de votre sentiment, et que je trouvasse moyen de les
défendre
: mais étant condamnés comme ils sont par plus d’
vues que des personnes d’esprit peuvent avoir. Car j’en ai vu qui en
défendaient
la citation, justement par la même raison dont d’
vre à la plus injuste censure, plutôt que de prendre de la peine à le
défendre
. Sap. 2. 12. a. [NDE] : Cette lettre n’est pas
it où la main de la sagesse et de la décence l’ont planté. 1.° La loi
défend
aux Comédiennes toutes les parures riches et dist
et dans toute l’Inde. La loi 10. (Codex Theodosianus de Scenicis) le
défend
absolument ; elle défend même d’avoir des esclave
loi 10. (Codex Theodosianus de Scenicis) le défend absolument ; elle
défend
même d’avoir des esclaves de ce caractère, ni de
cre nous apprend que Théodose par une loi expresse l’avait absolument
défendu
: « Ministeria lasciva et plastricas in comessati
des Comédiens est regardé par les lois comme si dangereux, qu’il est
défendu
de laisser aux enfants et aux femmes la liberté d
odosianus de usu sellarum.) Tacite (L. 1. Annal.) remarque que Tibère
défendit
aux Sénateurs d’entrer même dans la maison des Co
» Leurs apologistes même (Marmontel, Fagan…) en conviennent, et ne se
défendent
que sur la pauvreté des Actrices, qui n’ayant pas
se, la religion, le bien public, et la vertu. Quatrième effet. Il est
défendu
, comme un crime énorme, de rien donner aux Comédi
ar surprise, par sédition, ce qui n’est pas rare, le vol fut toujours
défendu
, même entre pécheurs, ni jusqu’aux femmes mariées
à la Cour, théâtre de sa faiblesse. Sa passion pour un objet toujours
défendu
par l’Eglise, était scandaleuse dans un Prince de
suadé qu’il n’y a point de Parlement dont la discipline intérieure ne
défende
aux Conseillers d’aller à la comédie, qu’il n’y e
et le nourrir dans l’oisiveté. Cet Auteur avance qu’il est également
défendu
aux Magistrats d’aller au bal et aux danses, si c
1. tit. 16. verb. Bateleur.) un arrêt du Parlement de Toulouse, qui «
défend
aux Capitoulse de permettre à aucun bouffon et ba
reuse et si déshonorante pour les Magistrats, que la loi Romaine leur
défend
d’aller jamais dans leurs maisons, non plus que d
our aveugle pour ces créatures, qui l’avaient d’abord perdu. Il était
défendu
aux filles de condition, surtout aux filles des S
is curæ tribuat, quam seriis actibus. » La loi 2. de spectac. (ibid.)
défend
à tous les Magistrats de rien donner aux Comédien
toutes les passions, l’expérience et la conduite de ceux même qui le
défendent
, fait si vivement sentir combien il est funeste à
ers arrêts du Parlement punirent les Basochiens. Un premier, qui leur
défendit
absolument de blesser la modestie et la réputatio
e et la réputation de personne, ayant été mal observé, un second leur
défendit
de jouer aucune pièce qui n’eût été examinée et a
oubli, ce qu’il attribue à l’amour qu’on avait pour tout ce qui était
défendu
. « Ita amatur quod non licet, ut quae etiam aetas
daient que ces Spectacles étaient permis, parce que l’Ecriture ne les
défendait
pas, que leur défense est renfermée dans celle de
tuant aux Chrétiens d’autres Spectacles à la place de ceux qu’il leur
défendait
, il ne leur retranche pas seulement les plus hont
oyait ceux-là bien plus honnêtes que ceux-ci. Cependant Saint Cyprien
défend
aux Chrétiens les uns et les autres indifféremmen
nt des circonstances : car Saint Thomas en disant qu’elle n’était pas
défendue
en elle-même « secundum se », ajoute immédiatemen
je soutiens qu’elles entrent dans la nature de la Comédie permise ou
défendue
, ou que l’on veut permettre ou défendre : ainsi,
ture de la Comédie permise ou défendue, ou que l’on veut permettre ou
défendre
: ainsi, dès que vous voulez la mettre au nombre
que circonstance bonne ou mauvaise, par laquelle elle sera permise ou
défendue
. C’est ainsi que Saint Thomas l’a considérée, quo
pour blâmer ou se moquer de certaines personnes, leur profession est
défendue
, qu’il faut qu’ils la quittent, et que c’est un p
ique, et du mal à s’y affectionner, il n’est pas nécessaire de la lui
défendre
, elle se la défend assez elle-même ; d’ailleurs s
affectionner, il n’est pas nécessaire de la lui défendre, elle se la
défend
assez elle-même ; d’ailleurs s’il permet quelque
ial, après avoir lu les Pièces, ne manquerait pas de prétexte pour en
défendre
la représentation, à moins qu’elles n’eussent été
uisse être dans votre idée, on a toujours raison de la regarder comme
défendue
. Quand même elle ne serait pas une occasion proch
ercher de nouveaux endroits. Quoique vous n’en croyiez pas la lecture
défendue
à un Théologien, il y a longtemps que je suis per
vous avez rapportés page 46, pour nous persuader que l’on ne doit pas
défendre
les paroles ni les actions qui n’excitent les pas
ispenser aussi de rapporter page 49, « l’exemple de la Bible, dont on
défend
, dites-vous, la lecture en Langue vulgaire, parce
, et vous dire : Comment pouvez-vous prétendre que l’Ecriture n’a pas
défendu
la Comédie ? comme si elle ne l’avait pas assez s
défendu la Comédie ? comme si elle ne l’avait pas assez suffisamment
défendue
et condamnée, en condamnant les concupiscences du
quam sic litteras legere. 31 » Il n’est pas nécessaire que Dieu, pour
défendre
la Comédie, en ait fait un précepte formel dans l
le n’a pourtant point fait de précepte formel. On n’en voit point qui
défende
à un Religieux d’écrire en faveur de la Comédie ;
uand vous voudrez, je vous ferai voir par l’Ecriture que cela lui est
défendu
. En un mot, c’est assez pour que la Comédie soit
cela lui est défendu. En un mot, c’est assez pour que la Comédie soit
défendue
dans l’Ecriture, que nous y trouvions la défense
siècle n’y règnent pas moins que dans les autres. La Comédie est donc
défendue
et condamnée par l’Ecriture, et par conséquent on
dans la première Partie des Actes du Synode de l’an 1572, ne paraisse
défendre
les Comédies que les jours de Dimanche et de Fête
u moins qui se piquent de l’être, lui ont montré certains Rituels qui
défendent
aux Confesseurs d’administrer les Sacrements aux
lité ni d’aucun secours. Or le Rituel de Paris condamne la Comédie et
défend
d’administrer les Sacrements aux Comédiens, s’ils
que ceux que vous voulez justifier ; et ce sont ceux-là même à qui il
défend
d’administrer les sacrements. Cette défense est t
Car pour les Rituels et les Canons [ils] n’en mettent aucune, et les
défendent
également. » Et pour justifier ce que vous avance
les Comédiens étaient plus fidèles à suivre les Ordonnances qui leur
défendent
de mêler rien de déshonnête dans leurs Pièces de
mparfaits dans lesquels on empêcherait de grands biens, si elles leur
défendaient
toute sorte de péchés à la dernière rigueur. « Si
arlé, ce grand Prélat avait cru que la Comédie était particulièrement
défendue
les jours de Dimanche et de Fête quand on voulait
igés. Cela étant, il est évident que la Comédie doit être encore plus
défendue
les Dimanches et les Fêtes que les autres jours,
F, du Culte des Fêtes. C’est particulièrement dans ces jours-là qu’il
défend
et condamne les Spectacles. En un mot, si les Chr
e que vous auriez sans doute mieux fait, illustre Théologien, de vous
défendre
toujours de donner par écrit votre sentiment touc
la Comédie. Un Théologien ne doit mettre la main à la plume que pour
défendre
les intérêts de l’Eglise, et vous avez employé la
ité des livres saints, de l’Eglise, des Peres, des Païens mêmes, pour
défendre
les spectacles. Il seroit bien plus prudent d’imp
diens, comme les corrupteurs de l’esprit & du cœur. Cicéron, pour
défendre
Roscius, est obligé de dire qu’il est le seul qui
leurs bonnes intentions furent alors toujours traversées. Innocent XI
défendit
aux femmes de monter sur le Théatre. Innocent XII
faut qu’une cause soit bien désespérée, quand on cite à faux pour la
défendre
. Que des ignorans, disoit le grand Bossuet, vienn
atres publics, on aura toujours à leur opposer la loi de Dieu qui les
défend
. On ne pourra jamais acquérir de prescription con
celles que donnent la raison & la Religion. Il est, par exemple,
défendu
sur le Théatre d’ensanglanter la scene, même en l
uction pour vos enfans, où les hommes faits ont bien de la peine à se
défendre
de la séduction du vice ! Quel jugement porteront
crire. Je sais qu’il n’y a point de cause si mauvaise qu’on ne puisse
défendre
. Je connois les héros du parti, ils sont comme le
onnements aussi faibles que profanes de cet auteur : quiconque voudra
défendre
les comédies du dimanche par ses raisonnements ou
es comme les autres ? J’avoue qu’il y a des jeux que l’église même ne
défend
absolument que durant l’office ; mais la comédie
ui souille l’honnêteté et la sainteté de l’église », comme absolument
défendu
dans les saints jours. Saint Charlesaj avait pron
ordonnance de l’an 813, du même empereur, d’accord avec les conciles,
défendait
aux évêques et à tous les autres ecclésiastiques
et autres gens infâmes, tandis que les autres conciles plus modernes
défendent
aux prêtres de jouer la comédie, ainsi que nous l
ernements agirent premièrement de concert avec les saints canons, qui
défendaient
aux prêtres de jouer la comédie, et ensuite ils s
7, Charles IX, en 1571. Henri III en 1577, Louis XIII, Louis XIV, ont
défendu
de faire de pareilles images, de les publier, exp
iens Conciles, entr’autres le III de Constantinople in Trullo, qui le
défend
absolument, & les appelle les corruptrices de
n seulement par le principe général, commun à tous les Chrétiens, qui
défend
les mauvais regards & les scandales, mais en
II Concile de Nicée, & celui de Trente qui ont si autentiquement
défendu
la cause des saintes images, en ont en même tems
tentiquement défendu la cause des saintes images, en ont en même tems
défendu
l’indécence : Omnis lascivia vitetur, dit celui d
amp; par-tout infiniment saint, il les voit ; les condamne, & les
défend
? On voit que quand on porte le Saint Viatique da
ce à tiroir, un tissu de scénes que la Réligion, la vertu, la décence
défendent
également de garder & de lire, & défendoi
rir. » cap. 25. Dans le Livre de l’Ecclésiastique, cap. 9. il est
défendu
de hanter ni écouter la femme danseresse, de peur
témoignages dans les Conciles et assemblées des Evêques, comme elle a
défendu
ces danses presque en tout temps. L’an 364. sous
364. sous le Pape Sylvestre dans un Concile tenu à Laodicée, elle les
défendit
même aux noces. Le Concile d’Aix-la-Chapelle, les
évotion, et c’est la raison pourquoi elle est encore plus étroitement
défendue
ès jours de Dimanches et Fêtes, que nous sommes o
l serait à souhaiter qu’ils n’assistassent pas même aux noces. « On
défend
aux prêtres d’avoir des femmes chez eux, si ce n’
il les verra mener une vie plus chaste et plus honnête, le S. Concile
défend
à tous ecclésiastiques de tenir dans leurs maison
a constitution du pape Léon, aura pris ou gardé une concubine, on lui
défend
de célébrer la messe, de lire l’évangile ou l’épî
de les suivre avec ferveur, ils vous servent d’armes capables de vous
défendre
contre toutes les attaques des ennemis de votre s
Tradition n’a jamais varié sur cet article. III. Le Rituel de Paris
défend
de donner les Sacrements aux Comédiens, à moins q
de Valet qui fait semblant d’y prendre le parti de la Religion et de
défendre
la vertu, s’en acquitte d’une manière si impertin
n. La Religion y est partout insultée, quoiqu’on y introduise pour la
défendre
un misérable Valet, qui détruit par ses fades pla
s discours qu’il ne nous est pas permis de répéter ? » car Saint Paul
défend
jusqu’aux bouffonneries et aux paroles inutiles.
nt d’Eloges qui se rencontrent en plusieurs endroits. Les Comédies se
défendaient
davantage par la foule de leurs Auditeurs et Appr
ens ont été depuis longtemps réputés infâmes, et qu’il a toujours été
défendu
aux Chrétiens d’assister à leurs spectacles, comm
honnêtes hommes de la Ville, et que Cicéron ayant pris la peine de le
défendre
en une Cause, avait parlé de lui fort avantageuse
édiennes, qu’ils changeaient les habits de leur sexe, et que cela est
défendu
par les saintes Ecritures : Mais s’il faut représ
préférant leur mondaine curiosité à la charité divine, icelle Cour a
défendu
et défend à tous bateleurs, jongleurs, et autres
leur mondaine curiosité à la charité divine, icelle Cour a défendu et
défend
à tous bateleurs, jongleurs, et autres semblables
jour que ce soit, sous peine du fouet et bannissement du royaume ; a
défendu
et défend au Prévôt de Paris et à ses Lieutenants
e soit, sous peine du fouet et bannissement du royaume ; a défendu et
défend
au Prévôt de Paris et à ses Lieutenants civil et
civil et criminel, de bailler permission de jouer auxdits bateleurs ;
défend
pareillement à tous les hauts Justiciers de cette
tout à suivi la pente des vices et le goût du peuple ; qui peut s’en
défendre
? on veut attirer la foule, et faire rire, gagner
t les bêtes à la chasse ; ils sont aussi de l’avis que la Comédie est
défendue
, et que d’y assister est un péché mortel. La sixi
rt de ce verset du premier Psaume pour vérifier que l’Ecriture sainte
défend
d’aller aux Spectacles, comme elle défend l’homic
ifier que l’Ecriture sainte défend d’aller aux Spectacles, comme elle
défend
l’homicide, l’adultère et le vol. Mariana Jésuite
vrage de del Monaco, propose les raisons apparentes des mondains pour
défendre
la Comédie, et dont il faut voir le fort et le fa
vendant leurs Drogues. Il rapporte en détail leurs artifices, il leur
défend
de dire des paroles bouffonnes et malhonnêtes pou
t les Princes ; il conclut qu’il serait et plus sûr, et plus utile de
défendre
absolument les Spectacles, que d’entreprendre de
r et le corrupteur. Au reste tant de mauvaises choses, que les païens
défendent
eux-mêmes rigoureusement, ne se font-elles pas pa
ent, s’ils doivent absolument s’abstenir de ce que Dieu ne leur a pas
défendu
en termes exprès. Il est vrai, que nous ne trouvo
e m’amuse ici à subtiliser, venons à la principale autorité, qui nous
défend
les spectacles : elle est fondée sur notre baptêm
ui se prévalent de ce qu’il ne paraît point de loi positive, qui nous
défende
d’assister aux spectacles :1. Joan. 2. comme si c
ce ; parce qu’il est de sa nature un esprit tendre, et doux : il nous
défend
au contraire de l’inquiéter par nos fureurs, par
es choses mondaines sont l’ouvrage du démon. Lorsqu’on Chap. 16. nous
défend
la fureur, on nous interdit donc aussi toute sort
rmis d’aimer sans sujet, que de haïr injustement : du moins Dieu nous
défend
de haïr même avec raison ; puisqu’il nous command
raison ; puisqu’il nous commande d’aimer nos ennemis. Luc. 6. Il nous
défend
de maudire personne, même avec quelque sujet ; pu
rétiens, il leur est aussi permis dans le cirque ; mais s’il leur est
défendu
partout, il l’est aussi en cet endroit. De Chap.
e inutile. Pourquoi nous sera-t-il permis de regarder ce qui nous est
défendu
de faire ? Pourquoi les mêmes choses qui souillen
nous trompons : ce que Dieu condamne, n’est jamais permis ; ce qu’il
défend
, est toujours et par tout illicite. Voilà en quoi
l’usage des masques soit approuvé de Dieu ? Je vous le demande. S’il
défend
toute sorte de simulacres, combien plus défendra-
vous le demande. S’il défend toute sorte de simulacres, combien plus
défendra-t
-il, qu’on défigure son image ? Non, non : l’auteu
n’est point assez à une ame soigneuse de son salut, d’éviter le crime
défendu
par le sixiéme commandement ; elle doit s’éloigne
aillé & qu’on s’est occupé pendant toute la semaine. Rép. On ne
défend
pas les divertissements honnêtes, mais ceux qui s
trent. C’est pourquoi le Concile de Laodicée, tenu sous S. Sylvestre,
défend
les danses, même aux noces : C. Laodicenum, Can.
la arrive dans les danses & les comédies ? Rép. La loi ancienne
défend
expressément à toutes sortes de personnes de se d
t, 1. que l’usage des masques étant un desordre très-pernicieux &
défendu
par les ordonnances de nos Rois & les Parleme
adius et Honorius, pour rendre ce contentement à leurs Provinces, ils
défendaient
expressément d'y mêler aucune chose et contraire
même chasser ces Jeux de Théâtres hors des Eglises. Et Boniface VIII
défend
l'art infâme des Bouffons, Jongleurs et Gueulards
on le fait pour cette fin, on ne peut pas dire que leur exercice soit
défendu
, ni qu'ils soient en état de péché quand ils le f
de Tours, de Reims, et de Châlon-sur-Saone qui furent tenus l’an 813.
défendirent
aux Evêques, aux Prêtres et aux autres Ecclésiast
rmont Prévôt de Paris, du jour de sainte Croix en Septembre 1341. qui
défend
à ceux ou à celles des Jongleurs ou « Jongleresse
nnance du Prévôt de Paris, du quatorzième Septembre 1395. il leur fut
défendu
, « de ne rien dire, représenter, ou chanter dans
, et ils lui prêtent des armes pour combattre la Vertu qu’ils veulent
défendre
. C’est pourquoi je détournerai toujours les Chrét
ans la raison de S. Cyprien, je leur dirai que le Fils de Dieu leur a
défendu
de regarder ce qu’il leur a défendu de commettre.
dirai que le Fils de Dieu leur a défendu de regarder ce qu’il leur a
défendu
de commettre. « Longe pulchrius magisque regium
de tous les gens de bien, et il ne doit pas trouver mauvais que l’on
défende
publiquement les intérêts de Dieu, qu’il attaque
es dévots des ridicules ou des hypocrites : il a cru qu’il ne pouvait
défendre
ses maximes, qu’en faisant la Satire de ceux qui
Auguste fit mourir un Bouffon qui avait fait raillerie de Jupiter, et
défendit
aux femmes d’assister à des Comédies plus modeste
gnent pas : les derniers enfin plus dangereux que tous les autres, ne
défendent
la Religion que pour la détruire, ou en affaiblis
la Divinité différemment : le Maître attaque avec audace, et le Valet
défend
avec faiblesse : le Maître se moque du Ciel, et l
le moins susciter quelque Acteuro pour soutenir la Cause de Dieu, et
défendre
sérieusement ses intérêts : il fallait réprimer l
NDE] L’auteur cite le premier Placet présenté par Molière au Roi pour
défendre
son Tartuffe : « Je n’ai point laissé d’équivoque
t toutes les raisons. Il ne faut pas s’étonner que durant ce temps on
défende
spécialement les spectacles : quand ils seraient
ces profanes, elle s’abstenait des saintes réjouissances, et il était
défendu
Ibid. can. 51. [Ibid. canon 51]. d’y célébrer les
le Sauveur à ses Disciples, & l’esprit de domination qu’il leur a
défendu
, ne concluent rien touchant la contestation prése
é qu’on lui suppose, elle ne sçauroit légitimer ce que la Loi de Dieu
défend
, un amusement contraire aux bonnes mœurs & à
ignant qu’encouragé par cet essai scandaleux, il ne prenne le goût de
défendre
les causes les plus décriées. Je souhaite néanmoi
sont toujours la matière des concupiscences du siècle que saint Jean
défend
de rendre aimables, puisqu'il défend de les aimer
scences du siècle que saint Jean défend de rendre aimables, puisqu'il
défend
de les aimer. Le grossier qu'on en ôte, ferait ho
gles de l'Evangile. Le Théâtre pour être fréquenté n'en est pas moins
défendu
: Et nous serons toujours en droit de dire avec s
ifice ex sanctis in illicita mutata sunt. » La raison et la pudeur le
défendraient
, si l’Ecriture ne le défendait pas. Son silence,
a sunt. » La raison et la pudeur le défendraient, si l’Ecriture ne le
défendait
pas. Son silence, dicté par la sagesse, en dit pl
ien que de convenable. Quelles sont les défenses de l’Ecriture ? Elle
défend
de regarder ce qu’elle défend de faire : « Prohib
sont les défenses de l’Ecriture ? Elle défend de regarder ce qu’elle
défend
de faire : « Prohibet spectare quod prohibet geri
rsonnage dont on ne sait s’il est homme ou femme ; on aime ce qui est
défendu
, et on rappelle les égaremens de la jeunesse que
teurs, entre autres un Philosophe habile nommé Aurolique. Il nous est
défendu
, dit-il (L. 3.), d’assister aux combats des Gladi
matiques de ces justes condamnations ? Ibid. Ep. 90. Pourquoi a-t-on
défendu
aux femmes de chanter dans l’Eglise, ce qui d’abo
s. Belle excuse ! comme s’il était jamais permis de faire ce que Dieu
défend
, et s’il cessait d’être mauvais pour n’être pas j
et si séduisants, que les âmes les plus chastes peuvent à peine s’en
défendre
: « Honestæ mentes superare non possunt. » Comme
it contre les spectacles ne lui paroît fondé. Le théâtre, dit-on, est
défendu
, & sans doute qu’il mérite de l’être. Son but
ans un état violent, & les comédiens sont flétris. La comédie est
défendue
; mais, répond le Théatin, c’est précisément donn
ion. La comédie n’est, ni ne sçauroit être prohibée par elle-même. On
défend
les choses parce qu’elles sont mauvaises, & l
e. Tous ses raisonnemens contre la comédie tombent, selon ceux qui la
défendent
, sur celle d’autrefois. Il ne rapproche point les
laquelle il avoit donné sujet ; mais enfin il rompit le silence &
défendit
son opinion. Si, sur le théâtre, on a voulu quelq
es exemples illustres, ses fureurs & ses foiblesses, pour nous en
défendre
ou nous en guérir ». La comédie a le même avantag
prits vicieux, quoique non vicieuse d’elle-même, doit être absolument
défendue
, quoiqu’elle puisse d’ailleurs servir au délassem
ibles de la vérité ; cependant, qui est le fou qui a jamais pour cela
défendu
la lecture de Joseph ? Je vous barbouille tout ce
ontre ces passe-temps dangereux, dans son Apologiea qu’il a fait pour
défendre
les Chrétiens ; et Comitorius a fait un traité ad
dans l’Oraison pro Murena, dit que la danse est une espèce d’ivresse
défendue
aux personnes qui font profession de vertuf. C’es
en même temps son secours, avec lequel il l’assure qu’il pourra s’en
défendre
. N’est-il pas vrai qu’il semblait n’y avoir plus
onnête ? Cela est-il conforme à la modestie Chrétienne ? Oseriez-vous
défendre
et soutenir comme innocent un exercice, qui ne re
périences. Il y en a peu qui y résistent, et le seul secret pour s’en
défendre
, c’est de fuir. Fuyez, dit S. Paul, c’est le meil
des insultes de la chair ; cependant il s’y fie si peu, que pour s’en
défendre
au milieu de sa misère, il fait une convention se
vait être toujours bandé, sans courir risque de se rompre. Ce qui est
défendu
dans les divertissements ; c’est de les prendre a
s indifférentes bonnes, et les dangereuses permises ; on ne s’en peut
défendre
, et qu’on s’y trouve nécessairement engagées, com
e monde, s’il est de bonne foi), et qu’un guide éclairé (l’Eglise) le
défend
, et que sans avoir égard aux exemples contraires,
i bien que l’usure, malgré la tolérance, est véritablement mauvais et
défendu
en conscience. M. Beaumon cite diverses permissio
ue le peuple et les gens de métier s’appliquent au jeu des Bateleurs,
défend
à tous Comédiens de jouer quelque jour que ce soi
lement de Bretagne du 11 septembre 1574, et du 3 octobre 1578, qui le
défendent
sous les plus grièves peines. Dictionnaire des Ar
de rire. Sur les conclusions de M. Séguier, Avocat général, « il fut
défendu
aux Comédiens Italiens ou Français de jouer aucun
it dû être plus indulgente, à la requête du Procureur général, il fut
défendu
aux Comédiens, qui jouaient alors à l’hôtel de Cl
de l’Eglise, et nos Rois même, ont toujours réputés infâmes, et leur
défendit
de jouer, ni de plus obtenir de semblables lettre
ris ensemble n’en avaient pas autant ». Il ajoute : Le Parlement leur
défendit
de jouer, mais ils obtinrent des lettres patentes
e, elle fait un progrès sur les cœurs, dont il n’est pas permis de se
défendre
. A présent que nos qualités sont établies, souffr
esprits vicieux, quoique non vicieuse d’elle-même, ne doit point être
défendue
, quand surtout elle peut servir à l’instruction e
la vérité, et que cependant il n’y a jamais eu d’homme assez fou pour
défendre
la lecture de Josephd. Distinguons, Monsieur, s’i
homme, qui cherche à s’instruire, et qui sait que vous aimez qu’on se
défende
, afin de vous faire mieux goûter le plaisir de la
ue la suppression entiere des spectacles. Mais, dit-on, l’Ecriture ne
défend
point les spectacles. Les saints Peres ne les con
ue communément pour justifier les spectacles. L’Ecriture, dit-on, ne
défend
point les spectacles. Il est vrai que l’Ecriture
mp; 16, ne condamne-t-il pas les vains plaisirs du théâtre, lorsqu’il
défend
aux Chrétiens l’amour du monde comme incompatible
plus triomphante qu’au théâtre ? l’Apôtre saint Paul, Ephes. 4, 5, ne
défend
-il pas les théâtres, lorsqu’il interdit aux Chrét
as, (Gui I. de Seve de Rochechouart) contre la comédie, par lequel il
défend
, sous peine d’excommunication, à tous les Fideles
pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument
défendu
», in Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jea
pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument
défendu
», in Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jea
cclésiastique : Détournez vos yeux d’une femme bien ajustée3. Donc il
défend
de vous ajuster pour être vue ; et comme si vous
ui riez ! malheur à vous qui êtes rassasiés ! Ce n’est pas qu’il soit
défendu
de se réjouir ; mais remarquez que toutes les foi
ue nous ne puissions ne pas condamner en tout temps la Comédie : Nous
défendons
particulièrement à tous les Fidèles de notre Dioc
er avec plus de soin. Et à l’égard des Comédiens et Comédiennes, Nous
défendons
très expressément à nos Pasteurs et à nos Confess
mpureté est-elle permise à celles qui naissent dans les palais, &
défendue
aux habitantes des cabanes ? le vice change-t-il
emme plus pernicieux, il n’est pas moins un crime, il n’est pas moins
défendu
à l’homme, ni l’obligation pour lui moins étroite
t confiée à ses soins ; c’est à lui à la ménager, à la soutenir, à la
défendre
; faut-il qu’il lui tende des piéges, qu’il cherc
. Elle veut des témoins qui déposent de leur conduite, des gardes qui
défendent
leurs vertus, des objets imposans qui les protége
e se montre que couverte de boucliers. Les statuts de tous les Ordres
défendent
aux Religieux de sortir sans compagnon, & aux
alheur à celui qui est seul ; personne ne le releve s’il tombe, ne le
défend
s’il est attaqué : Væ soli, cùm ceciderit non ha
vice. On peut avoir intérêt de cacher ses desordres, aucune loi ne le
défend
; on n’en a point à les étaler, toutes les loix d
cune loi ne le défend ; on n’en a point à les étaler, toutes les loix
défendent
le scandale. La vertu seroit contraire à elle-mêm
la scene du monde, que le visage d’une femme. Que l’orgueuil ne s’en
défende
pas, dit S. Cyprien ; la main qui tient le pincea
& la plus foible, tout-à-coup courageuse, combat en Amazonne pour
défendre
ses petits contre l’oiseau de proie. Je n’applaud
e contre vous le parti de tous vos Auteurs ; c’est bien assez d’avoir
défendu
M. Pascal, il est vrai que j’ai eu quelque pitié
e choses à faire avant que de lire les romans ! » Vous voyez qu’il ne
défend
pas de les lire, mais il veut auparavant que je m
NDE] Il s’agit de Jean Barbier d’Aucour. d. [NDE] Montalte/Pascal se
défend
d’être de Port-Royal dans la Seizième Provinciale
53). i. [NDE] C’est le sujet de la Onzième Provinciale, où Pascal se
défend
d’avoir « tourné les choses saintes en raillerie
(64). ; c’est pourquoi elle condamne les comédiens, et croit par là
défendre
assez la comédie : la décision en est précise dan
être rangée parmi les maux dont un célèbre historieno a dit qu’on les
défend
toujours, et qu’on les a toujours. Mais après tou
dre de la Discipline de sa vraie Eglise, laquelle sans contredit nous
défend
ces Théâtres. Cela étant ainsi, Ceux de nous qui
Il est généralement connu, que la profession que nous disons suivre,
défend
cette vanité, les Règlements de notre Discipline
y est ; Et d’ailleurs, il est tout notoire que notre Ordre public les
défend
très expressément. Lors donc que quelques-uns les
ait un autre règlement, qui de même leur fut fort honteux, Car il fut
défendu
à tout Sénateur d’entrer seulement en leur maison
tique. De plus, au troisième Concile de Carthage, au Canon 11, Il est
défendu
expressément à tous Chrétiens de donner des Spect
ordre de ceux qui furent là compilés. Ce saint et universel Concile «
défend
absolument Ceux qu’on appelle, Bateleurs, et leur
mot ; Ainsi que nul des hommes n’a pu s’ingérer par-dessus ellecg, ni
défendre
ce que son silence avait laissé libre. Cette obje
» : Mais il soutient que comme son sens est d’une large étendue, elle
défend
diverses choses, sous lesquelles ils sont compris
en est au premier et second Commandement, et en tous les passages qui
défendent
de participer aux Idoles. 2. Nous y avons vu la p
ieu. Or on ne saurait contredire, que les passages de l’Ecriture, qui
défendent
de commettre ces horreurs, défendent aussi de les
les passages de l’Ecriture, qui défendent de commettre ces horreurs,
défendent
aussi de les feindre ; Blasphémer Dieu en jouant,
nt, « Tu ne paillarderas point » ; car le Législateur n’a pas entendu
défendre
l’action seule de la paillardise, mais généraleme
nous l’avons vu au chapitre septième. Ces lieux donc, sans contredit,
défendent
absolument les Théâtres. De ce peu de passages on
lence à ses Ministres, qui entreprendraient de parler de lui, et leur
défend
de rien « réciter de ses statuts, et de prendre s
é propre de notre Discipline Ecclésiastique, qui au même lieu où elle
défend
d’assister aux Comédies, permet toutefois que la
s se disent quant à eux de la Religion, et suivent une profession qui
défend
absolument cette sorte de récréationsep. 3. qu’il
s Théâtres se sont ainsi tournés de tous les côtés pour tâcher de les
défendre
, la force de la vérité tire d’eux une demi-confes
ent coupables de la ruine en laquelle ils les font tomber. Saint Paul
défendait
jadis de faire périr pour de la viandeet le frère
la provenance de cette citation. en. Vincent sait bien que Richelieu
défend
activement le théâtre et que Louis XIII a fait le
641 sa célèbre « Déclaration sur la profession des comédiens qui leur
défend
les paroles lascives et déshonnêtes » qui, sous c
éâtrales). fp. Ici, le sens est nettement religieux : la discipline
défend
les occasions de péché. fq. Comprendre : de donn
aux puissances établies de Dieu en toutes les choses, où Dieu ne nous
défend
pas de leur obéir, et là où il nous le défend, s’
choses, où Dieu ne nous défend pas de leur obéir, et là où il nous le
défend
, s’il ne faut pas obéir, il faut souffrir, De sor
ux qui meurent dans la Communion de l’Eglise, et que le Rituel Romain
défend
de la donner aux pécheurs publics. ☞ L’Auteur pen
de prendre d’autres habits que ceux de son sexe. 2°. Parce qu’il est
défendu
à un Religieux de quitter son habit, même pour un
er tant étroitement qu’ils pourront l’Article 27. des Règlements, qui
défend
de danser, distinguant prudemment entre ceux qui
ux joués en public ou en particulier, vu que de tout temps cela a été
défendu
entre les Chrétiens, comme apportant corruption d
les Chrétiens ? Mais ni l’Evangile, dit-on, ni l’Ecriture sainte, ne
défend
nulle part la comédie, ni les autres spectacles p
Mais on se trompe de dire que l’Evangile, que l’Ecriture sainte ne
défendent
nulle part ces divertissements profanes. Ils ne l
inte ne défendent nulle part ces divertissements profanes. Ils ne les
défendent
pas en particulier quelque part, parce qu’ils les
es maximes et des joies mondaines. On demande où c’est que l’Evangile
défend
ces profanes divertissements ? On répond que tout
t exprimés en apparence, comme s’ils tenaient la mauvaise cause qu’il
défend
. Que les raisons sur lesquelles il s’appuie dans
s le Nouveau Testament. Combien les Conciles ont-ils décidé, ordonné,
défendu
de choses dans l’Église, sur l’autorité de la Tra
se dit Théologien, de dire que quoique tous les Pères et les Conciles
défendent
la Comédie, on peut néanmoins y aller ; parce que
ndent la Comédie, on peut néanmoins y aller ; parce que l’Écriture ne
défend
pas en termes exprés d’aller à la Comédie. Pour r
ains et dans les Jardins où il y avait des Idoles. Quand donc ils ont
défendu
les Spectacles comme une idolâtrie, c’était parce
Métier. CANON II.Du 3. Concile de Carthage, tenu l’an 397. Qu’il soit
défendu
à tous Laïques d’assister aux Spectacles ; car il
endu à tous Laïques d’assister aux Spectacles ; car il a toujours été
défendu
aux Chrétiens d’aller aux lieux qui sont souillés
partie de l’idolâtrie ; elle les regarde, elle les déteste, elle les
défend
en eux-mêmes : Et c’est aussi de la même manière
rés, d’autres Comédiens étant encore venus à Paris, le Parlement leur
défendit
de jouer, à peine d’amende arbitraire, et de puni
nt de se répandre en des paroles et des gestes agréables, qu’elle lui
défend
de perdre la gravité de son âme, et d’interrompre
orité ; il ne s’accommode pas même de celle de l’Apôtre,Ephes. 5. qui
défend
aux Chrétiens d’ouvrir jamais la bouche pour lais
tiers et tous autres qui les recevront chez eux.De Cauponis. Enfin il
défend
par un Statut exprès à tous les Maîtres d’Hôtelle
fait du grand nom de saint François de Sales, sur ce que ce Saint ne
défend
pas precisément les Spectacles à sa Philothée. Ch
ommunion tous les Fidèles,Ed. l’an 1654. excepté ceux ausquels il est
défendu
par de justes raisons de s’en approcher : Et il e
s’allumer avec la même ferveur, quoiqu’il y ait des Canons qui aient
défendu
également l’un et l’autre. Je réponds à cela : Pr
ni pour les envieux, ni pour les avares. La Politique se contente de
défendre
et de punir les péchés qui sont nuisibles à la so
satisfait qu’il lui conseilla d’en faire une à trente-un an. Ils s’en
défendit
. Enfin à force de le presser, il en sit une. Le P
pereurs ? nos Rituels, nos Conciles, nos Evêques, nos Théologiens, ne
défendent
-ils que les pantomimes de Rome ? Senèque peut-il
n’a ordonné d’y aller. Il y a au contraire une foule de Canons qui la
défendent
. Si l’abus prévaut, c’est un malheur dont il faut
é ; il sit en 1669 un livre contre la comédie, que l’Abbé de Voisin a
défendu
& fort augmenté. C’est une ferveur outrée, on
res & les pompes de Satan. Celles-là sont des péchés ; la loi les
défend
. La renonciation va plus loin ; les pompes sont l
, dont elle attaque audacieusement la morale & les censures, pour
défendre
l’un des plus grands maux du Christianisme. Le cé
en son ordre, du troisième commandement de la seconde table, où Dieu
défend
toute impureté et souillure de la chair, et tout
tiennent, sont telles ; Et que les raisons qu’ils apportent pour s’en
défendre
sont frivoles, et nulles : Et que la pure Antiqui
e pluie d’or dans le sein de Danaë, se servait de cette autorité pour
défendre
la mauvaisevie, en laquelle il se vantait d’être
x joués en public ou en particulier : Vu que de tout temps cela a été
défendu
entre les Chrétiens, comme apportant corruption d
que puisqu’il n’est pas permis d’offrir ès sacrifices, ce que la loi
défend
, il a aussi jugé que les Dieux ne peuvent être ho
ne coutume invétérée, pource qu’encore que le Pape Innocent III l’eût
défendue
par loi expresse, toutefois on ne pouvait empêche
ésument d’y exercer les jeux de leurs folies ». Ce qu’il condamne et
défend
au même lieu. Mais on interprète cela des spectac
u’il a fait contre les spectacles, en use ainsi, contre ceux qui s’en
défendaient
et se « flattaient, disant que cette abstinence
« flattaient, disant que cette abstinence n’était point expressément
défendue
. Comme si, disait-il, il n’y avait pas abondamme
espèce de volupté, on ne peut nier que la convoitise d’iceux ne soit
défendue
». Il argumente là-même de la répugnanceaq qu’il
e S. Esprit excite ès cœurs des Chrétiens : et conclut que Dieu ayant
défendu
de contrister et inquiéter cet esprit de sainteté
et d’un ris immodéré. II argumente, de ce que toute impudicité étant
défendue
par la parole de Dieu, les Chrétiens sont par là
t aussi elle doit « être bannie de la cité, laquelle un certain Solon
défendit
être enseignée aux Thespiens, comme étant inutile
rçaient ces arts de jouer sur le Théâtre ; et par lois expresses, ont
défendu
qu’aucun de telles gens s’assît ès premiers quato
t leurs paroles, Cyprien59 avait raison néanmoins de dire, que « Dieu
défend
d’être spectateur de ce qu’il défend de faire. »
on néanmoins de dire, que « Dieu défend d’être spectateur de ce qu’il
défend
de faire. » Et Tertullien devant lui60, « pourquo
n’y eussent été conformes ». Aussi les constitutions Ecclésiastiques
défendent
l’un et l’autre, tant d’être acteur, que d’être s
mal convenables aux Chrétiens, et qui devaient être abolies ; « qu’on
défende
, disait-il, les spectacles et auditions qui sont
ce qu’on apprend en public, et on enseigne entre les lois, ce qui est
défendu
par les lois. Que fait au milieu de ces choses le
une partie de son peuplegw. Et cependant il n’avait point encore été
défendu
d’en désirer : Mais, comme je pense, Dieu voulut
Discours sur la Comédie où l’on voit la réponse au Théologien qui la
défend
, avec l’Histoire du Théâtre, et les sentiments de
pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument
défendue
V. La Préface des sentiments de l’Eglise et des
u leur condition mettent à couvert de ses suites ; mais qu’il en faut
défendre
l’étude aux filles pauvres et de basse naissance,
y comprend aussi les Actrices, à qui il nous apprend13 qu’Innocent XI
défendit
de monter jamais sur aucun Théâtre ; c’est nous d
u danger où leur devoir les appellerait. Ils plaçaient leur honneur à
défendre
leurs Compatriotes, et non pas à les traiter en e
Brave dont il avait repris les blasphèmes, disait qu’après avoir osé
défendre
la cause de Dieu, il ne devait point la trahir po
Règlement du Souverain Pontife Clément XIII, aujourd’hui régnant, qui
défend
aux Ecclésiastiques d’assister aux représentation
premier, par une loi expresse (Cod. Theod. L. 2. de Spectac. L. 15.)
défend
absolument de donner des spectacles le dimanche,
age. Un arrêt du Parlement de Paris du même temps (1. oct. 1588.) les
défend
à tous bateleurs, joueurs de farce, et semblables
ables, esdits jours de fête. Bien plus, le Concile de Sens (en 1528.)
défend
d’employer des acteurs ou des violons, et autres
Fêtes, dans le Concile 3. de Tolède, can. 23. etc. Les mêmes Conciles
défendent
, les jours de fête, les danses publiques, les jeu
er de naufrage sur mer, une incendie à éteindre, une ville assiégée à
défendre
, un besoin pressant, un pauvre qui n’a pas un mor
ours. Le précepte de leur sanctification est, et négatif, en ce qu’il
défend
les œuvres mauvaises et les œuvres serviles, et a
n du troisième concile de Carthage de l’an 397. Si un saint concile a
défendu
aux prêtres de jouer la comédie, donc ils s’étaie
de Tours, de Reims et de Chalon-sur-Saône, que nous avons déjà cités,
défendaient
également, sous peine de suspension et d’être mis
bal ce Magistrat examine les proces, que ce Jurisconsulte travaille à
défendre
ses Parties, que ce Médecin aille visiter ses Mal
; ignorans quod ad vincula stultus trahitur. Prov. 7. 1.° La religion
défend
absolument la danse aux personnes consacrées à Di
elle a été justement l’objet de l’anathême des Conciles, jusqu’à leur
défendre
de se trouver dans les lieux où l’on danse, même
de cette folie. Cicéron, dans l’oraison qu’il a faite pour lui, ne le
défend
qu’en niant le fait, comme hors de toute vrai-sem
. 8. C. 44. nous apprend que les mercuriales du Parlement de Toulouse
défendent
la danse à tous les Magistrats, si ce n’est le jo
e & dans les élèves ! 3.° La sainteté du temps. Il est absolument
défendu
par les Canons & par les ordonnances d’Orléan
épines qui environnent le lys de la pureté, peuvent la déchirer ou la
défendre
; l’austérité des règles, la vigilance des supéri
, la mortification, les exercices de piété sont des épines utiles qui
défendent
cette fleur ; les occasions qui perdent, le monde
▲