ne font-ils pas tous les jours sans relâche ? S’ils avaient une autre
fin
, choisiraient-ils pour héros de leurs pièces, pou
c’est pour eux, tout le reste dût-il en manquer. Quelle peut être la
fin
d’un Poète qui dispense la gloire à ce prix ? N’e
r faire ses premiers personnages des débauchés, et les couronner à la
fin
de la pièce contre la règle de la Comédie, qui es
chaque Acte : en sorte qu’ils ne fassent qu’un tout et n’aient qu’une
fin
; par là il est démontré qu’Horace ne voulait qu’
la violence de la tentation. Cependant, « Face a persisté jusqu’à la
fin
dans ses impostures sans repentir » ? M. DrydenIb
yden ; nous en avons son propre aveu pour preuve : il assure que « la
fin
du Poète dans cette Pièce est de punir le vice et
raisonnement de M. Dryden porte sur ce merveilleux axiome : Ibid.« La
fin
principale de la Comédie est de divertir, » : il
; et si elle y entre, il est convaincu que ce n’en est que la seconde
fin
. « L’affaire essentielle du Poète est de réjouir.
ceté tournées en ridicule. Et telle doit être, si je ne me trompe, la
fin
de la Comédie. Elle ne diffère de la Tragédie que
édie. Elle ne diffère de la Tragédie que par les moyens et non par la
fin
; qui est d’instruire également de part et d’autr
rdination essentielle que tout art doit avoir à la Politique, dont la
fin
générale est le bien public. C’est le sentiment d
ien mettre sur la Scène que d’honnête et d’instructif : ce qui est la
fin
principale de la poésie. Il a suivi dans le dénou
Si Ben Jonson y entendait quelque chose, la Comédie n’a donc pas pour
fin
unique et principale de divertir précisément, com
minables : après tout le plaisir à parler en général n’est jamais une
fin
à se proposer. » L’autorité de Quintilien sera i
à sa place ; vu que nos Poètes traitent les obscénités de railleries
fines
. Cet habile Rhéteur n’exclut pas seulement toute
e la Comédie, il faudra bien à quelque prix que ce soit obtenir cette
fin
: dès là qu’un expédient, quelque illicite qu’il
our eux ? il faut enfin les divertir à tort et à travers ; puisque la
fin
principale de la Comédie est le plaisir. Le plais
t été le premier dessein de la Comédie : qu’en concluerait-on ? si la
fin
d’une chose susceptible de correction est mauvais
rrection est mauvaise, ne doit-on pas la redresser ? Mal faire est la
fin
de la malignité : sera-ce gâter un méchant nature
de le reformer, s’il est possible ? Un furieux peut se proposer pour
fin
de mettre le feu à un superbe édifice : sera-ce u
rendre aimable le libertinage, et que je m’embarrasse peu d’avilir la
fin
et l’institution de la Comédie, (le plaisir n’en
fin et l’institution de la Comédie, (le plaisir n’en est donc pas la
fin
principale) je déclare nettement que nous ne fais
ancienne antipathie entre les philosophes et les poètes »De Rep. 10.
fin
. [Platon, De la République, livre X, in fine].[ND
t les poètes »De Rep. 10. fin. [Platon, De la République, livre X, in
fine
].[NDE] D’après Urbain et Levesque, « là, rien qui
épublique, livres II, III, X ; Des Lois, livres II, VII]. De Rep. 10.
fin
. [Platon, De la République, livre X, in fine].[ND
res II, VII]. De Rep. 10. fin. [Platon, De la République, livre X, in
fine
].[NDE] D’après Urbain et Levesque, « là, rien qui
die célèbre ; elle en relevait adroitement les fautes ; des allusions
fines
avertissaient le Spectateur de ce qu’elle avait e
ragiques. Nous ne pouvons plus sentir une grande partie de ses traits
fins
& délicats, parce que nous sommes trop éloign
en a la légèreté. Il éxcelle sur-tout à décocher avec art les traits
fins
de la Satire. Vif, enjoué, malin, c’est l’enfant
vec adresse, & qui doit avoir son èxposition, son milieu & sa
fin
. N’outrez point la nature, comme on fait ordinair
évolte les gens qui ont la moindre lueur de raison. L’on ne sait à la
fin
comment appeller un pareil amas de choses si oppo
e qu’ils sont très-dangereux, Génies qui sachant assaisonner d’un sel
fin
, les choses les plus grossieres, savent faire rir
, & il lui est permis de l’être, quand elle attaque d’une maniere
fine
& innocente les Ridicules des hommes. Ces Rid
s Atheniens, mais leur maniere délicate de penser, & leur maniere
fine
& enjouée de railler. Les Romains attachoient
divertir, le Fol du Roi devoit souvent faire sa charge très-mal. Une
fine
plaisanterie est souvent un mot dit sans paroître
, velut palato, excitatque & tædio defendit orationem. Des traits
fins
& enjoués, répandus dans une Comédie ne suffi
as savoir donner ce tour plaisant à une Comédie. Cervantes qui par sa
fine
raillerie, est si admirable dans son D. Quichotte
le dessein n’eussent esté accompagnez d’un esprit secret & d’une
fine
intelligence, tant au choix & à la distributi
t cet appareil appartienne naturellement, & si precisement que la
fin
, la suite & la liaison des choses soient appa
eu artificiel. Ainsi tout est suivy, tout à part à l’action, & la
fin
de l’action & de la representation est consom
le mot est trop bas, à cause de ce qui fut représentéf: voire que la
fin
requiert qu’on lui donne le nom de tragédie. Car
és d’eux mêmes, de leurs disciples et auditeurs. Combien aussi que la
fin
au regard de quelques-uns des joueurs soit lament
et Lucifer leur maître, accoutrés selon le dessein des jésuites : la
fin
du jeu était de contrefaire un jugement dernier,
t les tonnerres si effroyables, que plusieurs pensaient que ce fût la
fin
du monde. Et je crois fermement (dit encore ce pe
i l’aiment de conscience non feinte. Amen, fait ce 22. d’Août. 1607.
FIN
L’infâme troupe en France condamnée, Et malgré
édiens qui la représentent. 2. Le but où elle tend d’elle-même. 3. La
fin
que les Comédiens et ceux qui les vont ouïr se pr
avec justice sur tous les Chrétiens le droit d’être le principe et la
fin
de toutes leurs actions, en qualité de leur Créat
re considérés dans le monde comme des gens infâmes. ARTICLE II. La
fin
de la Comédie et des Comédiens est toujours mauva
vaise ; et celle des spectateurs l’est aussi pour l’ordinaire. La
fin
à laquelle la Comédie tend d’elle-même, et le but
s ne pourraient leur plaire : et ainsi ils ne pourraient arriver à la
fin
qu’ils se proposent, qui est le gain et le profit
tres, devient ennuyeux et insupportable. Or il est constant que cette
fin
ne vaut rien, puisqu’elle est entièrement opposée
osent dans la représentation de leurs Pièces, est encore une mauvaise
fin
; car quoi que ce soit peut être par une malheure
it que rien n’est si peu solide que tout cela. Voilà quelles sont les
fins
des Comédies, et des Comédiens. Celles des Specta
r à la Comédie pour se divertir et en faisant consister uniquement sa
fin
dans le divertissement. Cela n’est pas permis à u
e, soit par rapport à ceux qui la représentent, soit par rapport à la
fin
à laquelle elle tend d’elle-même, et à laquelle l
ce qu’il détourne notre esprit du culte intérieur de Dieu, qui est la
fin
du précepte : « Quod mentem à divino cultu, qui f
lise, et déclarés infâmes par les Lois civiles, soit par rapport à la
fin
qu’ils se proposent, ou à la honteuse profanation
ux heures, il font voir la naissance, le progrès, les difficultés, la
fin
des aventures qui exercèrent le monde durant plus
épublique D. August. li. 2. de civit. Dei cap. 10.. Mais parce que la
fin
de la comédie est de délecter, et que les pratiqu
e dans la complaisance des passions, et l’on se propose pour dernière
fin
, une volupté qui est l’amorce commune de tous les
qui leur reste de crédit, en faisant voir leurs entreprises, et leurs
fins
toujours malheureuses : déjà les hommes ne sont q
qui allaient aux Théâtres bien d’une autre manière, et pour une autre
fin
, à savoir, pour y glorifier Dieu, pour y sceller
c., doivent être rapportées à la gloire de Dieu1 Cor. 10 k , laquelle
fin
les rend bonnes, d’indifférentes qu’elles étaient
nce de les jouer, et que la connaissance en doit être rapportée à une
fin
, et usage tout autre, où visent les Théologiens,
al, il est certain, qu’il n’appartenait qu’aux Juifs, et qu’il a pris
fin
par la venue de Jésus Christ, et que les Chrétien
habit d’un homme, pour s’enfermer dans des Monastères ; mais comme la
fin
qu’elles se proposaient en ces choses, était supe
essité n’a point de loi ; Que les circonstances selon les causes, les
fins
, les temps, et les lieux, rendent les actions, no
u’à Satan : Lui aussi, et non autre, en est la première et principale
fin
, puisque ces jeux, avaient pour but principal, l’
ernelle. Que si on dit, que les Chrétiens en peuvent user à une autre
fin
; je réponds, qu’on s’en peut bien proposer une a
s cœurs, par cette fausse porte ? Peut-on nier, en conscience, que la
fin
de ces jeux, soit autre aujourd’hui ? ou veut-on
la fin de ces jeux, soit autre aujourd’hui ? ou veut-on douter, si la
fin
de notre vocation est la gloire de Dieu, l’édific
âmes ? Certes le Chrétien juge de toute action principalement par la
fin
, et n’estime bonnes, sinon celles, qui visent à c
t n’estime bonnes, sinon celles, qui visent à ce but ; De dire que la
fin
de ces jeux, est de former la grâce à la jeunesse
nhardir la jeunesse ; que l’on s’en serve donc, pour parvenir à cette
fin
. Les Comédiens des Païens, avaient une fin beauco
onc, pour parvenir à cette fin. Les Comédiens des Païens, avaient une
fin
beaucoup plus spécieusecj, utile, et nécessaire,
’y répondre, et de s’en défendre en jugement. Au reste, quand même la
fin
susdite serait bonne, et vraie, ce que noncm ; il
par telles voiescn ; serait-il à louer ? Ainsi en se proposant cette
fin
, de la dextérité de la jeunesse ; faut considérer
près avoir montré, que ni l’auteur, ni la matière, ni la forme, ni la
fin
, c’est-à-dire ni les principes intérieurs, ni les
exercice que ce qui s’en peut permettre selon Dieu, et faudrait à la
fin
quitter tout ; ne plus ne moins, que celui qui au
e sévère mais très juste répréhension, que cet Evêque-là fait, sur la
fin
de ce 6. livre, à ceux de Trèves, qui après la ru
à se dégouter des Comédies, et Tragédies simples ; et crois, qu’à la
fin
on surmontera l’horreurez des Bacchanales, et des
our être retenu sans peine. Pourquoi les Poètes l’ont placés à la
fin
des Drames comiques. Je ne conçois pas trop c
ois pas trop ce ce qui engagea les Poètes à placer le Vaudeville à la
fin
d’un Drame comique. Sans doute qu’il leur parut u
Spectateurs contens. Comme le Vaudeville ne se trouve guères qu’à la
fin
des Comédies d’un Acte, je serai tenté de croire
i déjà observé qu’il faut un grand art pour amener le Vaudeville à la
fin
des Pièces(64). Je dois rendre justice à la maniè
que les règles & les leçons. On y verra que l’enjoument & la
fine
plaisanterie accompagnent l’éxcellent Vaudeville
artie que du Musicien ; & celui-ci ne sait que faire d’une pensée
fine
; il ne lui faut guères que des mots propres à êt
freuse. L’usage de placer des Ritournelles au commencement & à la
fin
de la plus-part des Ariettes, nous est venu, je c
mots. Je sais que la musique a plutôt besoin d’images que de pensées
fines
& spirituelles. C’est pourquoi il me semble q
un Poème. Quelque amour qu’on ait pour la musique, elle fatigue à la
fin
. Je ne fixerai point au Poète la quantité d’ariet
gistrats séculiers qui voient le mal et n’y remédient pas, Glos. in c
fin
. de except in 6. et Firman. tract. de Ep. par. 2
re, et de suppléer à leur défaut par leur zèle et par leur autorité.
Fin
du Traité de saint Charles. Exemplum affertur
rrogatus de emptio. Abbas eodem loco. Cap. de raptorib. Glos. in c
fin
. de except in 6. et Firman. tract. de Ep. par. 2
r les Jeux Comiques et Tragiques se jouaient anciennement pour ladite
fin
: Ils ne peuvent donc être joués aujourd’hui sans
Ils ne peuvent donc être joués aujourd’hui sans ledit inconvénient.
Fin
’à des malheurs imprévus, qui changent la face des choses, amènent la
fin
de la Pièce en paraissant la reculer. C’est tout
Nous voici à la dernière partie du Drame. Le Dénouement en est la
fin
pleine & entière. Après lui l’on ne doit rien
it mourir ; & cependant on est aussi surpris, aussi affligé de sa
fin
tragique, que si l’on n’eut jamais sçu ce qui dev
n grand homme, on ne verrait pas tant de Pièces en tout genre dont la
fin
est défectueuse. Il serait à souhaiter que les dé
C’est à quoi l’on fait très peu d’attention ; l’on fait chanter à la
fin
des Opéras-Bouffons un personnage qui n’a souvent
e. Cet homme unique en tout, sentant bien qu’une Chanson répugne à la
fin
d’un Drame, lorsqu’elle n’est soutenue que par le
e sans changemens notables. Le nœud du Maréchal est proportionné à sa
fin
. Marcel le ferreur de mule, demande au commenceme
rminer, & se trouvent sur le Théâtre lorsqu’elle est arrivée à sa
fin
. 19. Voyez le Chap. 6. du Liv. 7. 20. D’Aubig
DESSEIN DE L’OUVRAGE. La
fin
du Poème dramatique est de porter à la vertu et d
es de Théâtre. Ce n’est pas néanmoins qu’ils ne pussent parvenir à la
fin
que se propose la Poésie dramatique, s’ils avaien
a per le pubbliche scene del Teat. Pag. 195 Q. 5. Non basta il
fine
buono per introdurre le Donne ; e i discorsi amor
e stimò di giustamente supplicar dicendo. Io non ho scritto per altra
fine
questo Discorso, se non per supplicare quesiti ta
derazione ? Voglio porre su questo principio, quello che pongo nel
fine
di un’altra Opera detta l’Istanza, cioè la descri
tà, io mi servirò di più pungente, e penetrante spada ; né mi poserò,
fin
tanto che non mandi in dispersione affatto le dia
o: ma deve essere con la debita moderazione: perché il Santo a questo
fine
prescrive i termini moderativi, dicendo degli Ist
paucis anmis erit in mundo; anima autem nostra, si bene agimus, sine
fine
regnabit in celo. Si vero, quod Deus non patiatur
ccia le sante virtù, e fugge dai vizi, e dai peccati. E conclude alla
fine
così « Ecce audistis, Fratres, quales sint chris
dai rei, e dei modesti dai viziosi, e disonesti. Credo, che il detto
fin
qui basti per rispondere al Quesito : dunque non
dice egli, non siano di peccato mortale, quando sono dette senza mal
fine
; nulla di meno in Commedia, per esser luogo pubb
vogliacu concedere materia alcuna da ridere agli spettatori, che alla
fine
vanno alla Commedia per ricrearsi, e per ridere c
nt: et si notabiliter admixtum horum aliquid habent, mortale peccatum
fine
dubio incurritur a facientibus. » Notisida, che q
m se speciem mortalis peccati, sed potius alleviet ». Essendo che tal
fine
non dica secondo sé specie di colpa mortalmente g
con la propria persona porger diletto ai sudditi in cose da gioco, di
fine
, che egli è de’ popoli suoi, si fa instrumentodv
i Enrico II Re di Francia ha dimostrato: e questo è cosa contraria al
fine
del Re, che deve la vita sua alla pubblica salute
, scusò il fatto dicendo nel Prologo. « Ego bis trigenis annis actis
fine
nota Eques Romanus lare digressus meo Domum rever
edute. Io ho vedute quelle, che qui porrò distintamente con il solito
fine
; cioè accicché possiamo giudicare, se le moderne
es veneras »l. 3 d. 18. n. 2.. Come sarebbe il condurre chiaramente a
fine
una fornicazione. E tali sporchezze si usano per
ofessa non usare esagerare; ma scrivere con tutto rigore scolastico a
fine
, che si distinguano giudiziosamente le lecite dal
io di tempo con la debita moderazione, e necessaria modestia; ma alla
fine
l’abito loro osceno si smascherò, e fecero delle
iosa, e abituale oscenità. Ma con un altro breve Quesito veniamo alla
fine
di questo primo Capo. Quesito Decimo ottavo
ndalo. Questi tali hanno la loro opinione, e io ho la mia. » Beltrame
fin
qui. Ma io considero, che egli non dichiara, chi
, e far dopo lo spaccio la commedia in una pubblica piazza: e per tal
fine
conducevano due Femmine. Subito fu avvisato, e pr
lettamento non sarà buono, e numeroso il concorso al banco: onde alla
fine
io non guadagnerò, quanto ci basti. Così rispose,
o ingannato si trova, chi troppo ardentemente brama conseguir qualche
fine
delle sue brame: e l’effetto veemente fa spesso t
s ». Che la Commedia è un Poema drammatico, pieno di negozi lieto nel
fine
, e dichiarato con lo stile popolare. Queste poche
e trattati di fornicazioni: ancorché poi il tutto si concluda con il
fine
di un apparente Matrimonio: perché tali cose al p
d’oro da qualificati personaggi, e anche da supremi Principi, e alla
fine
sperare di poter conseguir dopo la morte l’onore
dell’infernale Vulcano; « ubi cris, et stridor dentium ». Ovvero, sul
fine
dell’anno1640. quella creatura fu rimandata alla
a oscena con la comparsa della Femmina Commediante, la quale a questo
fine
già era salita in palco, e stava ritirata dietro
oro cammino: ed il Religioso aiutato da certe buone persone uscì alla
fine
con travaglio, e stento da quel grave pericolo; e
cortigiani mendichi del povero, e nudo Cupido, per diventare poi alla
fine
vittime d’impudicizia, e consacrate a Venere impu
imo sapore e di molta gagliardezza: si banchettava largamente: e alla
fine
i buoni Comici, oppressi dal vino, erano astretti
o, e a sentire, e vedere le oscene Azioni. Ed ella per questo cattivo
fine
ornandosi, e abbellendosi pecca mortalmente. « Mu
lti si impietriscono per tale aspetto: onde impietriti servono poi al
fine
per la fabbrica dell’eterna dannazione tra Diavol
dopo aver posto sottosopra il tutto con scandalo universale, fu alla
fine
illuminata, e toccata dal Sig. Iddio, onde compun
e di S. Teobaldo Eremita, l’asprezza della sua vita, e il felicissimo
fine
, del suo pellegrinaggio tra gli uomini mortali; e
a: tutti fuggirono, e l’infelice, lacerato cadavere rimase insepolto,
fin
tanto che cessò quella puzza intollerabile: e all
gnosa, e pudica quella, che gode farsi vedre sul palco Saltatrice nel
fine
della Commedia fatta dai Comici, o dopo lo spacci
e di più bene spesso vestire da uomo esercitano il salto Gaditano nel
fine
delle Commedia, « etiam Gaditanam saltationem in
to Gaditano nel fine delle Commedia, « etiam Gaditanam saltationem in
fine
Comedie virili habitu assumpto ». E D. Francesco
tro le scusa dal mortale: perché le scusa, quiando non hanno quel mal
fine
. « Facilius Meretricandi »Cap. Si qua mulier. 30.
ice la Glossa, e l’Arcidiacono nel cit. Canone. Ora se hanno quel mal
fine
molte volte si vede dall’effetto. Lirano avvisa.
solo venialmente, usando l’abito virile per leggerezza, « absque alio
fine
, et circumstantia mortali », quando novi sia altr
« absque alio fine, et circumstantia mortali », quando novi sia altro
fine
mortalmente vizioso, ne altra circostanza mortale
dei Cacciatori, non però guadagna la vita così fuggendo; perché alla
fine
languida rimane dal corso, e languendo se ne muor
So bene, che i Comici, e i Ciarlatani di buona mente non hanno questo
fine
speculativamente in « actu signato » ; ma essi mi
che aggiunga aiutiall’imperfezione della Natura, faccia il tutto col
fine
di parer bella: e che l’esser bella nno sia per f
sso, e una manifesta oscenità, prima di sufficiente ragione, e di tal
fine
, che la possa rendere onesta, secondo il parere d
sprezzate: ma stimo, che le viziose possano fare le suddette cose con
fine
moderato, e onesto, come anche l’acconciarsi il c
perché è scandalosa almeno efficacemente ai deboli di spirito: ne ha
fine
alcuno, o circostanza, che basti per la sua giust
o, e fanno recitare Commedie di poca onestà. Egli in Captius circa il
fine
del Prologo palra con questa forma intorno alla q
loro Rappresentazioni. Ma sentiamo ciò, che lo stesso Plauto dice nel
fine
. « Spectatores ad pudicos mores facta hac fabula
scena la voce femminile. E così tirando tutta l’attenzione sino alla
fine
, senza far vedere mai Femmina, o Giovanetto vesti
na pudicizia, e della vera castità. Quesito Quinto Non basta il
fine
buono per introdurre le Donne, e i discorsi amoro
rre le Donne, e i discorsi amorosi nel pubblico Teatro ? Quando il
fine
è di ottima condizione, non v’è ragione di biasim
: e chi operando prescrive a se stesso la bellissima luce di un retto
fine
, non deve restare involto nelle calignose tenebre
enebre del vituperio. Con questo principio alcuni discorrono così. Il
fine
buono non rende buona l’oparazione ? Sì per verit
rattati amorosi delle Commedie non sono cattivi: perché hanno un buon
fine
, che è l’onestissimo, e santo Sacramento del Matr
ndoglilw replicava con grazia. È vero, che discorrrono d’amore, ma il
fine
è buono, cioè il Matrimonio; è buono il fine. Ora
scorrrono d’amore, ma il fine è buono, cioè il Matrimonio; è buono il
fine
. Ora voglio rispondere alla difficoltà secondo la
ovocative efficacemente alla disonestà: tutto che le usino con ottimo
fine
: perché le azioni umane pigliano la bontà, e la m
gliano la bontà, e la malizia loro ontrinseca, ed essenziale, non dal
fine
sotto ragione precisa di fine; perché questo è es
loro ontrinseca, ed essenziale, non dal fine sotto ragione precisa di
fine
; perché questo è estrinseco delle azioni: ma dagl
ndum speciem », la specifica; la terza « secundum finem », secondo il
fine
. Si legga il corpo dell’art. 4. e frattanto si in
e frattanto si inserisca per nostro porposito, che non basta il buon
fine
solo, cioè la conclusione del matrimonio, per ren
m malas vias adinveniat. » Il consiglio non è buono, se uno anche per
fine
buono ritrovi strade cattive. Come se tu per fare
de cattive. Come se tu per fare un altare alla B. Vergine, che è buon
fine
, ti ponessi a rubare, ovvero a dare ad usura, che
ura, che è strada, e mezzo cattivo. Così procedono i Commedianti: per
fine
buono, cioè per rappresentare un Matrimonio, inve
, quod bonitas sit. » Ed in sostanza vuol dire, che non basta il buon
fine
per la totale bontà di un atto buono. Un Religios
un atto buono. Un Religioso profesore di belle lettere scrisse. Se il
fine
è buonoD. Celso. Rosini nel sacro Museo., può qua
re il tutto fiorito, e odoroso, aggiungendo, come fiore di soavità il
fine
Matrimoniale, con che si termina la Commedia. Non
trimoniale, con che si termina la Commedia. Non basta mutare prima il
fine
, come dice il Beltrame, il lascivo, o giocoso avv
o Quesito, a cui dico, continuando la Risposta, che non basta il buon
fine
du un Rappresentato Matrimonio, per introdurre le
ccese d’amore; tuttochemf lecito sia il fare modestamente l’amore con
fine
di Matrimonio; perché la pubblicità è scandalosa,
zo delle nevi: e poi dicono, e professano di onestare il tutto con il
fine
di un finto Matrimonio. Questa finzione è una ver
e, tatti, e baci, e altre cose peggiori, da una Donna, quale poi alla
fine
riceve per Moglie. Ma nel rappresentare quelle pr
di chi non so chi, le gli si accostò facendogli vezzi, e lusinghe al
fine
, o di farlo cadere bruttamente nel peccato della
a presenza di molti deboli di virttù, con apportare per scusa il buon
fine
del matrimonio; perché tale espressione dell’affe
illecita per ragione dello scandalo. Ma diciamo anche di più, che il
fine
principale dei Comici, e delle Comiche non è per
ono tutti, e così confessano; e però indirizzanogli altri lor fini al
fine
dell’utile; e fanno l’arte Comica per vivere onor
ldi, che sono necessari al loro sostentamento: insomma l’utilità è il
fine
dei Commedianti; come anche la stessa è il punto
nsura, e che per sorta esperienza, non cammina a capriccio. Il comune
fine
di chiunque sisia umano operatore è animato dalla
si nelle virtù è un assicurarsi di maggiore guadagno: e questo comune
fine
hanno i ComiciC. 54. ancora: e però, come gli alt
E di più dice, che le loro mercenarie Commedie, sono fatte senz’altro
fine
, che di procurarsi il vitto. Ora se questo è vero
ica, che essi meritano biasimo, come che si abusino dell’Arte, il cui
fine
è di giovare con una dilettevole, modesta, e virt
i amorosi, e scandalosi ragionamenti degli Amanti, scusandoli poi col
fine
di un Matrimonio. E qui vale la dottrina ci Caiet
i; e per ammaestrare con viva voce, e con apparenza i semplici. E nel
fine
del Capo conclude così. La Commedia è statat inve
così. La Commedia è statat inventata a buon esempio, e non a rovinoso
fine
: se vi è poi, , chi abusa il suo beneficio, tal s
igere Deum est actus secundum s ebonus; sed referre actum huismodi ad
fine
aliquem inordinatum, scilicet cupiditatis, aut in
ui per prova che per lo più i moderni Comici, e Comiche non hanno per
fine
la conclusione del Sacramento Matrimoniale, ma il
tutto che non segua l’effetto, ella pecca mortalmente per ragion del
fine
mortale. « Si se ornat eo animoTr. 30. n. 221., u
naliter adametur, etiamsi non sequatur effectus, peccat mortaliter ex
fine
mortali », dice secondo S. Tommaso Filliucci. Cas
e di peccato. Ora io domando. « Quo animo», con che animo, e con che
fine
la Comica ordinaria si adorna ? Con animo, e fine
he animo, e con che fine la Comica ordinaria si adorna ? Con animo, e
fine
di piacere «moraliter; vel carnaliter, platonice,
, o alla plutonica ? Io credo, che molte Comiche virtuose non abbiano
fine
espresso mortalmente reo; ma non farei già la sic
resentazioni: dunque essa è meno scusata del peccato di adornarsi per
fine
di usare quel peccaminoso allettamento. Io credo,
o la bellezza sua, e la gentilezza della persona, senza altro cattivo
fine
, non sia peccato mortale. « Ornare se moderate, v
em, ostendendo suam puleritudinem, et elegantiam corporis absque alio
fine
, non est mortale. »cit us 221 tr. 30. Come credo
0. Come credono Caietano, Graffio, e Filliucci. Ma poi credo già, il
fine
di allettare ad udire la Commedia, quale fine la
i. Ma poi credo già, il fine di allettare ad udire la Commedia, quale
fine
la Comica per ordinario, sia fine buono, « finis
lettare ad udire la Commedia, quale fine la Comica per ordinario, sia
fine
buono, « finis normalis » ; perché, oltre alle co
ono, « finis normalis » ; perché, oltre alle cose dette sopra, egli è
fine
di allettare al pagamento della Commedia e al pag
os Comedias legere, et Mimorum turpia scripta cantar.» E conclude nel
fine
. « Helt Sacerdos sanctus fuit, sed quia Filios su
i, non vede oscenità, e così non si contamina; e se vi passa per buon
fine
, e a caso vede qualche oggetto osceno, sarà aiuta
levati: l’iniquità ancora ha la sua stagione per maturarsi, onde alla
fine
con il tempo si matura, e cadendo manca. Molti er
iudice, che tiene il luogo di dio; in modo che forse esso non oda nel
fine
di sua vita. perché volesti essere Giudice non po
amsi Venatorum effugerit manus, nihil inde fert tucri » ; perché alla
fine
resta morta; « sic anima accepto concupiscentia i
fazione, quando avrò schiodato, e mi vedrò libero delle mani. Ove per
fine
affettuosamente la riverisco, e mi raccomando in
, la quale (come ho detto sul principio di questa Operetta, e qui sul
fine
replico, seguendo l’avviso di chi scrisse già. «
: lo sforzo di giovare ad altri è a se medesimo un dolce frutto. Il
Fine
. Indice delle materie. A Allettament
me possa ornarsi per il Teatro. Pag. 217. E quando pecchi per cattivo
fine
. Pag. 217, 218. Si custodisce difficilmente. Pag.
to di una Commedia. Pag. 34. Filippo II proibì le Commedie. Pag. 250.
Fine
buono non basta a fare buona l’azione. Pag. 190.
a nuoce. Pag. 172. Z Zelo stimola all’aiuto altrui. Pag. 2. IL
FINE
. Ho. 34.Note [NDE] Ottonelli réprend la cit
la raggiungono. ie. [NDE] Original: patono. if. [NDE] Original: il
fine
. ig. [NDE] Original: lo. ih. [NDE] Original: no
représentation naïve d’un événement agréable, assaisonné d’une satire
fine
et douce pour la correction des mœurs ? Les ancie
endant, comme elles ne sont pas sans réplique, M. l’archevêque, aussi
fin
que les jésuites qui cherchaient à l’embarrasser,
NDE] Les mémoires de l’abbé Louis Le Gendre (1655-1733), rédigés à la
fin
de sa vie, n’ont été publiés qu’en 1863 : Le pass
u milieu d’une Pièce, de même est-il ridicule de se le permettre à la
fin
. Ce qui serait un défaut s’il était suivi de plus
e son Poème ? Si vous permettez de faire tel personnage meilleur à la
fin
d’un Drame, ne puis-je pas dans le même cas rendr
de délicatesse que Térence, parce qu’il leur manquait ce poli, cette
fine
élégance que les Romains connurent aussi-tôt que
personnages l’état & les mœurs qu’ils ont d’abord. Ils sont à la
fin
ce qu’ils étaient au commencement. Leurs mœurs &a
droit faible : on souffre aisément une réprimande, mais une raillerie
fine
et délicate est trop sensible à l’amour propre1,
t un tableau où l’on voit des caractères, des portraits, une critique
fine
des mœurs, des exemples de vertu et des sentiment
ad instanza del Sig. Odomenigico Lelonotti da Fanano. Si aggiunge al
fine
una Censura d’Autori antichi, e moderni intorno a
essendo in terra, siamo bisognossimi della tua protezione: e però al
fine
di ottenerla, ora, e di continuo, con affetto umi
luoghi. 111. P. 15. Se il dire. Io non vo per far peccato, né per mal
fine
alle Commedie Oscene; e pochi vi vanno con tal’an
o piena cognizione. 201. P. 4.Se. perché molti senza ottenere il loro
fine
hanno scritto, e parlato contro le Commedie Oscen
he osservante Congregazione. Vedi all’ultimo di questa Operetta. Il
fine
. AL BENIGNO LETTORE, Affezionato al Teatro Cr
e 134. Può, e deve informarsi della qualità della Commedia 11. Va con
fine
di peccato implicite all’oscena 114. Alle volte v
on fine di peccato implicite all’oscena 114. Alle volte vi va per mal
fine
114. 115. I vizioso cagiona il peccato 19. Non ha
ie oscene 229. Ma confusi partirono 230. Usano mezzo cattivo per buon
fine
232. Fanno qualche Commedia modesta 213. Danno al
come le concesse 38. Fini vari, per li quali si va alla Commedia 113.
Fine
buono non giustifica i Comici osceni 113. 114. Mo
ssa, e debba fare, per non incorrere recitando in qualche errore: e a
fine
che non rimanga reliquia di dubbio in alcuno, han
sano fatti, e detti osceni; benché ciò facciano per puro gioco, e per
fine
di dar piacere ad altri per cagione del gioco, il
si lacci, che Satanasso pone loro nel trattenimento carnevalesco, con
fine
di tirarli seco legati nell’eterno tormento. Conv
is viri. l. 5. d. 46. n. 11. » E questa giusta cagione, e questo buon
fine
non si trova nel caso delle Commedie oscene, alme
ella consuetudine scandalosa delle Commedie; perché non si permette a
fine
di schivare più grave male; poiché o tal male non
ma si stende in mare, e si slarga molto bene, e con molto artificio a
fine
di fare una tratta buona, e abbondante, come è ne
he tal correttivo non basta; perché non « sunt facienda mala, etiam a
fine
, ut eveniant bona ». E non si purgherebbe abbasta
’infernal prigione del sempiterno pianto. Né la Commedia, benché alla
fine
rappresenti il Matrimonio, ha forza valevole a so
ane, si muti in virtuoso al vedere, e sentire, che un altro giunga al
fine
de’ suoi disegni, non è per certo buona ragione;
il detto di cui riferito da me ad un gran Signore pratico di Spagna a
fine
, che non tollerare le oscenità del teatro, gli di
iri. Ora se le nostre con minor interesse più riguardo, e senza altro
fine
, che di procacciarsi il vitto, sono fatte; perché
vino) le molte bruttezze, e le gravi scelleragini, che si conducono a
fine
molte volte con la scusa, e con la coperta di una
o che sarebbe tollerabile, anzi desiderabile, almeno per accidente, a
fine
di spuntar un chiodo con un altro chiodo, e di ca
rar quell’utile essere una cosa perniciosa, e degna detta nota di mal
fine
, e molto nocivo: perché la Commedia oscena è il m
dice. « Perché la Repubblical. 7. della Rep. Reg. c. 10. Regia ha per
fine
la bontà de’ sudditi, le Rappresentazioni non sar
le semplici persone; tutto che essi non vogliano questo, e abbiano un
fine
per altro eccellentissimo. Io abitai una volta in
lezzo delle oscene parole, e de’ gesti osceni. Bisogna confessar alla
fine
, che l’Opera è molto male operata per l’immodesti
o, che la risposta al presente Dubbio mi dilungar ebbe troppo dal mio
fine
principale, che è di rispondere con questo Libro
ngregatio S. Carolo rescripsit. Actus enimo, ut Theologi loquuntur, a
fine
specificantur, qui semper in humanis actionibus e
onna, a quel vero, e comune principio. « Actus humani specificantur a
fine
», gli atti umani prendono la loro qualità, speci
ani prendono la loro qualità, specie, e natura in bene, o in male dal
fine
: e discorrono, a proposito della permissione dell
medie oscene, e dell’andar a sentirle, in questo modo. Si va per buon
fine
, cioè per imparate l’Arte di far belle, e ingegno
in disgrazia del Padre, aborrito da gli Amici, fuggito da tutti, e in
fine
vituperato da mille parti, richiamò la Ragione, e
dimeno di non introdurre i beni nella Scena con giochi, e scherzi, al
fine
che le Commedie non si rendano schife, e noiose.
o pensiero d’andar a sentire le Commedia Mercenarie allo Stanzone con
fine
di udire que’ ridicoli, che non trovo nelle Comme
penna in oro di eterno per onorarle, e lodarle eternamente. Dico per
fine
ad ogni Città principale del Cristianesimo, che s
rati. Pubblicato quest’ordine, seguì l’effetto d’emendazione: e ora a
fine
di mantenerla i Magistrati riveggono le Azioni; e
l’avviso di queste Scolastico per regola di saggia Moderazione, a chi
fin
ora poco scrupolo si è fatto d’invitar liberament
to decimo quinto. Se il dire, lo non vò per far peccato, né per mal
fine
alle Commedie oscene, e pochi vi vanno con tal'an
È opinione del Comico Beltrame, che chi vuole cercare, e ricercare il
fine
, col quale si va alla Commedia, non troverà, chi
va alla Commedia, non troverà, chi vi vada per far peccato, e per mal
fine
. Se io non erro, dice egli, il fine di coloro, ch
i vada per far peccato, e per mal fine. Se io non erro, dice egli, il
fine
di coloro, che vanno alla Commediac. 17. si somma
Insomma cercate, e ricercate, che non troverete, chi vi vada per mal
fine
. L’opinione di questo Comico non resta giustifica
empo non dicono le parole, né formano i gesti di qualche oscenità per
fine
, che si pecchi; ma per fine di far fuggir il pecc
é formano i gesti di qualche oscenità per fine, che si pecchi; ma per
fine
di far fuggir il peccato, il quale si rappresenta
iAppr.Il Franc.nel Gio. Chris. p. 3. c. 15., che professano aver buon
fine
; e dico. Peccano mortalmente, quando nel recitare
vocative efficacemente alla disonestà; tutto che le dicano con ottimo
fine
: perché le Azioni umane pigliano la bontà, e mali
e pigliano la bontà, e malizia loro intrinseca, e essenziale, non dal
fine
sotto ragione precisa di fine, perché questo è es
loro intrinseca, e essenziale, non dal fine sotto ragione precisa di
fine
, perché questo è estrinseco dell’azione, ma da gl
presa da tali oggetti non può essere fatta buona da qualsivoglia buon
fine
, essendo estrinseco. Vero è, che il fine cattivo,
a buona da qualsivoglia buon fine, essendo estrinseco. Vero è, che il
fine
cattivo, etiam estrinseco può contaminare l’Azion
est ex integra causa », secondo il detto del gran Dionisio; e però il
fin
buono non basta ad integrare la bontà di un Azion
Spettatori niuno va alla Commedia oscena per far peccato, ne per mal
fine
. Rispondo, che forse è vero « in actu signato, ex
us ». Senza che non mancano di quelli che vanno alla Commedia per mal
fine
direttamente. Onde Beltrame fece l’obiezione a se
rai a questo capo? Veramente se molti andassero alla Commedia con tal
fine
, io stesso, dice Beltrame, che sono interessato,
rlo, ma solo con permetterlo. Onde Laimanl. 2. tr. 3. c. 13. n. 7. al
fine
. approva la dottrina del Valenza, e dice. «Commis
Crisostomo. « Temporalis voluptas perpetuum parere solet dolorem, et
fine
carentia tormenta. »ho. 22. in Gen. Punto vigesi
forse fa opera di qualche merito appresso Dio. « Bonitas rei pendet a
fine
», scrive S. Tommaso; poco prima aveva scritto. «
anno, solamente per ridere sentendo le buffonerie, e non avendo altro
fine
, si una cosa poco a lui decente, e però deve rifi
soccorso più volte di segrete elemosine, ma non rimase contento: alla
fine
, dopo essere stato tentato alcune volte con lette
detto, la quale non è pregio dell’opera, che noi consideriamo ; e in
fine
aggiunge. Solo il Comico per sua natura, e per co
asa Pia, ove dalla carità de’ Fedeli potrà esser aiutato, e mantenuto
fin
all’ultimo di sua vita. Ho inteso da Girolamo Chi
tam solicitudinem suspensa expectationis exagitet. »In Mat. C. 26. in
fin
. Cioè. Noi abbiamo bisogno di vigilanza, di orazi
e intelligenza servisse per bene de’ suoi Discepoli a conseguir quel
fine
, che prima si aveva prefisso, dichiarando Terenzi
uesto voglio discorrere per via di Punti, r Dubbi secondo il solito a
fine
, che in tutti si vegga praticato il detto breve d
opolo ne gusta, sia buona Ragione per tollerarle Gli esempi iuxta §.
fin
. Inflit. de hared. instituted. iuxta. erat olim I
, già che dal Pubblico è stata data licenza di far Commedie, proibite
fin
dal principi della Guerra col Turco. E credesi ci
ivili proibiscono le oscenità Teatrali: onde io dico anche secondo il
fine
di tali Leggi. Non vuole il diritto di Ragione, c
on possiamo dire con S. Cirillo Gerusal. Ad Illuminatos Catech. 4. al
fine
. L. 5. de Provid. « Ne Spectaculum etnico catus a
ice. « Non peccat Princeps permittendo, et non impediendo, bono tamen
fine
. Nam quanda mala permittitur, nec ad alia deterio
saeculorum. » Punto quarto. Se, perché molti senza osservare il loro
fine
hanno scritto, e parlato contro le Commedie Oscen
menti, quando discorrono con questa forma. Molti, senza conseguire il
fine
, e frutto preteso, hanno faticato molto e scriven
o sempre le loro fatiche vane, e infruttuose: perché si proposero per
fine
, e faticarono, o per muovere i Superiori alla pro
più faticare scaldando, e battendo il ferro, che non si torce? A che
fine
prender fatiche nuove, e vane, senza conseguire i
A che fine prender fatiche nuove, e vane, senza conseguire il preteso
fine
? Questa è prudenza? Ovvero ostinazione? Rispondo.
o dal vizioso; non fatica in vano, e ottiene per ordinario il preteso
fine
, e il desiderato frutto; cioè, o che l’Azioni si
ecolari con il modo scolastico, ho per divina bontà conseguito il mio
fine
; e ho vedute le fatiche mie, non vane, ma fruttuo
o vi rimarrebbe, che non si potesse facilmente riformare. E a, questo
fine
mirano le fatiche di molti moderni, i quali conce
nno in Cielo, lo riceveranno anche in terra, e conseguendo il preteso
fine
, non saranno vane. E all’ora i modesti, e valenti
erazione Teatrale de’ giochi; e trattenimenti del Teatro. E se questo
fine
non sortisce, sortirà forse quell’altro, con che
iandio leggeri, il tempo commesso loro per operare il bene. E per tal
fine
ricordo, che Zaccaria Bonerio ha ponderato, che u
o fanno, e devono fare i zelanti, e discreti Predicatori, e Dottori a
fine
,che ne segua la correzione ne’ miseri Peccatori.
tori a fine,che ne segua la correzione ne’ miseri Peccatori. A questo
fine
sono stati composti tanti Libri e fatte tante pre
he, o parlando, o seguendo, o stampando, travagliano cristianamente a
fine
, che il cristiano Teatro resti purgato da tutte l
a offesa di Dio, e senza rovina degli Spettatori. E chi fatica per un
fine
tanto giusto, onesto., prudente, e buono; certo c
, che li legga, come gli bisogna e per conoscere, e per conseguire il
fine
, per cui ha ricevuto l’essere dal Creatore; e que
ssimi costumi ripieni i loro scritti; ponendosi avanti gli occhi quel
fin
lodeule di insegnar l’Arte del vivere sapientemen
egli aggiunge. Cioè. Tutti i mezzi sono buoni, quando tendono a buono
fine
; perché chi avesse per fine l’offrire un Calice d
mezzi sono buoni, quando tendono a buono fine; perché chi avesse per
fine
l’offrire un Calice d’Argento, è d’Oro ad un Alta
r fine l’offrire un Calice d’Argento, è d’Oro ad un Altare; e per tal
fine
usasse l’assassinio, e il ladroneccio, uccidendo
del dinaro, il mezzo sarebbe molto cattivo, ancorché tendesse a buono
fine
. Così nel caso nostro de’ Commedianti osceni par
e. Così nel caso nostro de’ Commedianti osceni par che succeda; hanno
fine
retto: vogliono correggere, e ammaestrare al bene
azione; questo è servirsi di un mezzo molto repugnante alla bontà del
fine
, cioè per cagionare casti costumi, proporre impud
così la Professione de’ Commedianti non merita biasimo, quando ha per
fine
l’onesto trattenimento: ma si come in quelle Prof
perché a tutti è prescritta la regola di vivere con Virtù: e a questo
fine
vien, provocata ogni persona di qualsivoglia sess
are: chi vuol peccare suo danno. Ella si fa buon esempio; e non a rio
fine
: se vi è poi, chi abusa il suo beneficio, tal sia
quell’Animale, trattò con le vecchie per concluderne la compra e alla
fine
l’ottenne a prezzo molto caro, e molto alto. E le
qua. E così diligentemente fu custodito un buon spazio di tempo: alla
fine
un giorno, essendo poco ben guardato da un custod
l suo cantar’osceno, ricevé tormento grave di fuoco nella bocca: alla
fine
svegliata dall’orribilissimo sonno, narrò il tutt
lcune Gentildonne se ne partirono talvolta prima, che si giungesse al
fine
. La pubblica fama presto portò quel disordine all
onestà, e impudica Ricreazione. E io colpendo nel bersaglio di questo
fine
, finisco di lanciar altre saette per ferire: e so
entes aliquando bestialiter moriuntur. »3. p, sum. T. 8. c. 4. §. 13.
fine
. Alle volte avviene, che se ne muore a guisa di b
ig. Superiori di efficace rimedio, come sono obligati. Ed io à questo
fine
ho scritto il Libro, che s'intitola L'Istanza. il
di quella brevità, che io sperava, e desiderava, però la pongo qui al
fine
dopo le brevi Risposte date brevemente da me a gl
a, che gli amori, che in quella trattava, non erano veri, ma finti, a
fine
di dar trattenimento a Lettori Invenzione, con la
serabilmente restano prese a migliaia nell’uno, e nell’altro sesso, e
fin
dall’età fanciullesca fatte preda del peccato, e
ribus, Epico, Lyrico, Tragico, Homerum, Pindarum, Euripidem ». E alla
fine
conclude, che i Cristiani Compositori debbono eme
che se altro non si pretendesse, altri non se ne prenderebbero? Se il
fine
d’alcuni Poeti fosse stato quest’uno di svegliare
endevano ammorbatoSer. 81. deuter. tutto il paese: e pèrche saltavano
fin
sopra le tavole, dove si prendeva il cibo; e sopr
sa libertà de’ cattivi) la troppa fidanza de’ semplici buoni, che con
fine
di ripulirsi l’ingegno allo specchio de’ tesori d
ndo la lezione, giunse ad un trattato fatto da Nestorio, e legato nel
fine
di quel volume; e conobbe, che quello era l’inimi
ndo ritrovare la cagione, se ne meravigliò, e ne sentì disgusto: alla
fine
dubitando, che non procedesse da quella lezione d
tale occasione. Aveva gran desiderio d’imparare la lingua italiana, a
fine
di poter leggere i Libri spirituali scritti con t
uggire con diligenza la lezione de’ Libri vani e poco modesti; e alla
fine
raccontò questo orribile esempio, successo in una
racconto di tal’esempio, narrato dal proprio fratello, e religioso, a
fine
di far fuggire ogni lezione de’ Libri impudichi:
massimamente perché per ordinario non si leggono questi Libri con un
fine
, e modo tanto buono, che a guisa degli Israeliti
: flores denique dum colligunt phrasium, pudicita perdunt: quod malum
fine
dubio multò gravius est opinione multorum, ac lat
odesta. Aristotile insegna, che le Favole poetiche furono ritrovate a
fine
, che i Mortali attendessero all’acquisto della Vi
opere de’ Poeti fossero state fatte, o si facessero con la regola di
fine
tanto nobile, e virtuoso, non avrebbero avuto già
affetto, par che si possano leggere al parere di alcuni; perché alla
fine
risvegliano solamente qualche; pensiero alquanto
cipio del suo Pontificio governo i Monasteri de’ Religiosi in Roma, a
fine
d’incitarli alla perfezione propria di ciascuno,
esi, le quali contengono amori impuri, e istorie poco modeste. E alla
fine
conclude con questa illazione. « Erubescant ergo
qui riferire una cosa, dice Fr. Luigi di Granatapar. 4. del Simb. al
fine
., che mi narrò un Signor del Consiglio generale d
le vivande: ciò seguì; perché conobbero, che egli non mirava ad altro
fine
, che di recar al gusto, e alla gola compiacimento
à. Ora si come l’Artefice buono delle vivande conviene, che abbia per
fine
suo principale l’utile, e mantenimento, del corpo
gusto, e il diletto del senso:così il·buon Poeta non si prefigge per
fine
il solo dilettare; ma mira principalmente all’uti
letto a sé, e ad altri, fatica senza fondata ragione, senza il debito
fine
, e può temere d’acquistarsi il nome di Poeta vano
, che si faticano tutto dì scrivendo e componendo per gustare essi al
fine
, e far gustar ad altri, una stilla di vana misera
far gustar ad altri, una stilla di vana miserabile dolcezza, senza il
fine
della virtuosa utilità. Ma quelli poi, che a Comp
one di provarsi, e esercitarsi comicamente in Scena: certo è che alla
fine
dopo le molte prove essi verranno al Teatrale Rec
saggiamente si trattengono in Casa, quanto più si può. Ma la Casa in
fine
non è un Oratorio, per dimorarvi in continui eser
zioni imprimono assai più, che i semplici ragionamenti, e fanno colpo
fin
in que’capi sventati, che non vogliono sentire gl
la guerra de’ Giganti: bisogna, che con il mezzo sia proporzionato al
fine
: se la Congregazione ha vera mancanza di spirito,
, e volle, che ognuno fosse astretto all’atto di scarificare, forse a
fine
che s’intendesse , che ogni persona deve dopo i t
appresentata un’Azione da molti Recitati, Soggetti di un Convento, al
fine
uno comparve in Scena a fare la sua scusa, e diss
ntia loquitur acerrime, corripiatur. »To. 1. Concil. pa. 509. col. 1.
fine
. Faccia per se il commento a queste parole ogni s
ta Commedia. 129. N. Ultima. D’un Ricordo giovevole a’ Congregati. IL
FINE
. Approvazioni. Il Sig. Girolamo, Rosati ved
ob. 2. 10. t. 2. all. 1. disp.44. n. 17. l. 2. tr. 3. c. 13. n. 7. al
fine
. l. 3. contra Parmen. Mat. 13. Suar. De fid. Disp
To. 1. tit. De Antichr. in primum metrum pag. 236. In Mat. C. 26. in
fin
. in Ps. 51. 10. Or. De mortius. ser. Infer. 4. He
. 4. c. 17. §. expedit spir. t. 1. par. 3. Pastor. Adm. 21. iuxta §.
fin
. Inflit. de hared. instituted. iuxta. erat olim I
195. Epist. Ad Historiarum. cap. 27. Ad Illuminatos Catech. 4. al
fine
. L. 5. de Provid. lib. 1. cap. 11. della Tribol.
. Par. pr. l. 8. c. 70. l. Medit. c. 7. 3. p, sum. T. 8. c. 4. §. 13.
fine
. cap. 42. De perf. Chris. form. t. 4. l. de Vocat
8. In Act. c. 19. v. 19. p. 718. Plut. in Apoph. par. 4. del Simb. al
fine
. in cat. Ad illud. c. 2. Iob. Filijs suis, et c.
n. Capucc. an. 1562. n. 39. pag. 599. To. 1. Concil. pa. 509. col. 1.
fine
. in Regul, Brev. n. 159- t. 9. tract. 7. de Vit.
ion sacrée, et qui ne forcera donc pas les écrivains de désirer, à la
fin
de son règne, pouvoir déchirer les pages où ils e
parents ont pratiqués et propagés avec aussi peu de retenue que si la
fin
de leur vie devait être la fin de tout ce qui les
és avec aussi peu de retenue que si la fin de leur vie devait être la
fin
de tout ce qui les intéresse. Il y a déjà long-te
yons périr. C’est en vertu d’une mission aussi naturelle, et pour une
fin
aussi légitime que je vais émettre quelques autre
ges distingués par leur rang, leur vertu, et par la triste et funeste
fin
de leur aventure, ou de leur vie. La Comédie nous
tre et jeux du cirque : ils les divisèrent ensuite par rapport à leur
fin
, en jeux sacrés, jeux votifs, jeux funèbres et je
e de la nuit ; et la licence était toujours beaucoup plus grande à la
fin
qu’au commencement : les dépenses enfin y étaient
rétablissement. Théodose le souffrit pendant quelque temps, et sur la
fin
de son règne le défendit. Honorius et Arcadius im
ra-Bouffon ne se piquat jamais de ménager la pudeur. Ses Drames de la
fin
du siècle passé, ceux qui firent briller son Théâ
laisse rien à deviner, & qui méconnaît le mérite des èxpressions
fines
& délicates. La modestie, l’adresse du naïf l
la. Que nous laisse à deviner ce sens interrompu ? Elle a la taille
fine
, Et même j’imagine… C’est grand dommage que la b
n des trompettes ». Mais l’Auteur a fait en sorte que les gens un peu
fins
se passassent de l’èxplication. Me voici arrivé à
souvent réveillée ; on l’avertit de prendre garde aux équivoques, aux
fines
plaisanteries ; & aux images voluptueuses qu’
-toi, va, je recule afin de mieux sauter. Voilà ce qu’on appelle une
fin
proportionnée au commencement ; & un Ouvrage
Peste ! Ah ! Monseigneur… Robert. Sa jambe
fine
& leste… Lahire. Ah ! Monseigneur… Robert.
mme assez osé Qui tenterait de nous séduire. Voici une allusion bien
fine
: Bonne mère, à vos droits la cour ayant égard,
us ceux qu'il peut prendre en les rapportant à Dieu, qui doit être la
fin
de toutes ses actions selon ces paroles de l'Apôt
les passions, et corrompent les bonnes mœurs. Dieu n'en peut être la
fin
. D. Les spectacles peuvent-ils être comptés parmi
Opéra, et les autres représentations qui se font sur les Théâtres. La
fin
de ces représentations étant d'exciter les passio
t d’art pour terminer un Acte, que pour faire sortir les Acteurs à la
fin
d’une Scène. Les Pièces Grecques n’avaient po
n sixème Acte. S’il arrivait qu’on ne pût dénouer l’intrigue à la
fin
du cinquième Acte, ou même qu’il fût nécessaire d
s choses à deviner. Dans la crainte que les Drames ne devinssent à la
fin
d’une longueur énorme, il faudrait que le sixième
lui soit vraîment propre, étant la bouffonnerie, il fatiguerait à la
fin
, s’il ne s’arrêtait à propos. Les ouvrages burles
connu de personne. Sur un faux avis, donné à dessein par Zaraès à la
fin
du second Acte, Amœnophis envoye en Arabie, une a
se tomber à ses pieds & s’enfuit. L’armée déjà bien éloignée à la
fin
du second Acte, est rappellée au commencement du
nce dampne de tenebre & bruyne » Loup ravissant, ton hurlement ne
fine
» Que te fault-il ? as tu la rage au cueur ? » Pr
haulx, soufre, & poix resine » Metail bouillant qui seront drogue
fine
» Pour destouper ta mauldicte rancueur. » Autre
hemins prens » Pense souldain de leur liurer bataille » Pour mettre a
fin
la maudicte canaille » Transporte toy aux prestre
ité Joüa les Saints, la Vierge, & Dieu, par piété. Le Savoir à la
fin
dissipant l’Ignorance Fit voir de ce projet la dé
leur luxe & leur vanité par des sommes immensesVoyez la Note à la
fin
de cet Ecrit., qui suffiroient & seroient néc
int encore éclos. » S. Aug de Civit. Dei, c. 13. Voyez la Note à la
fin
de cet Ecrit. Prov. ch. 7. v. 20. 21. Conf. L.
e ce Saint Pere1, que les cruautés du Cirque devoient bientôt prendre
fin
, qu’on se lasseroit du combat des Gladiateurs, a
e un corps sans ame. Car, selon Horace2, ce grand maître de l’Art, sa
fin
est d’intéresser ; si vous n’employez la clef de
. 1. Astutia spirituum nefandorum prævidens pestilentíam Circi, jam
fine
debito cessaturam, aliam longè graviorem, quâ plu
me Dramatique qui représente une action commune et plaisante, dont la
fin
est gaie, qui d’une manière ingénieuse, corrige l
Saint Clément d’Alexandrie S. Clem. Alex. l. 3. pædagogi. c. 11. sub
fin
. ne déclame pas moins fortement contre les spect
ia spirituum nefandorum, prævidens illam pestilentiam (idolatriæ) jam
fine
debito cessaturam .… aliam longe graviorem .… non
quini sextum ou in trullo, Conc. in trullo. can. 51. assemblé sur la
fin
du septième siècle, lequel défend aux laïques sou
’espérance de remporter quelques-uns des prix, qu’on y distribue à la
fin
à ceux qui les ont mérités, les porte à étudier a
. l. de spectaculis c. 17. S. Clem. Alex. l. 3. pædagogi. c. 11. sub
fin
. S. Joan. Chrysost. Hom. 6. in Matth. S. Aug.
nos masquarades nous verrons que ce n’est qu’vne mesme chose : sur la
fin
de l’annee & au mois de Feburier (l’annee com
faciles à enfanter sans tranchees & douleurs. Nos masques sur la
fin
de l’an courent les ruës masquez & deguisez e
& insensiblement escoulee aux esprits des Chrestiens qui les a en
fin
renduz insensez (face Dieu que non insensibles &a
idolatres se masquoient en vn autre tẽps, d’autre façon & à autre
fin
, & quant à eux qu’ils n’ont intentiõ que de p
urer en ces bestes & courir les ruës. S. Pierre de Rauenne sur la
fin
de l’homelie de ce mesme iour du premier Ianuier
ction & absolution aux adulteres Nicolaus Pap. epist. 4., à celle
fin
que tous les Chrestiens fussent purs & nets à
a d’ãticiper l’ãnee de 8. iours & de la commencer à Noel, à celle
fin
que par ce offic. Alcuin. ibid. Vet. Kalend. m. s
e de Dadon prioit le Curé de veiller par ensemble la nuict de Noel, à
fin
que par les merites & interuention de S. Nice
c. c. 1. Ordo Clazom. m. s. l’Eglise mesmes qui a redoublé l’office à
fin
qu’on n ẽployast à autre vsage ces saincts iours,
l’Eglise nous met deuant les yeux en memoire de l’incarnation, mette
fin
à noz folies & irreuerences plus que payennes
es Parades, l’invention y décèle souvent les talens de l’Auteur ; une
fine
plaisanterie se fait sentir au milieu des équivoq
grossière ; les jeux de Thalie n’y sont plus animés par une critique
fine
& judicieuse ; ils sont deshonorés par les tr
les imposent sont trop respectables dans leurs motifs & dans leur
fin
, pour être une véritable chaîne. Ce n’est pas la
s sensés attachent à cet état. C’est une régle sûre en morale, que la
fin
que nous nous proposons dans une entreprise, nous
moment, que cette Actrice a sacrifié toute pudeur pour parvenir à ses
fins
. Rien ne coûtoit donc alors aux Comédiens pourvu
quoi ils ne devoient satisfaire à cette ordonnance infamante, qu’à la
fin
de la Piéce. Cette prostitution rappelloit au peu
plus que par le plaisir de la Comedie, que nous arriverons à ces deux
fins
: est-il rien de plus dangereux à notre innocence
ui tombent sous nos yeux ; & c’est-là le but des Acteurs : car la
fin
qu’ils se proposent, c’est de plaire à ceux qui l
ion de se marier, de se servir des mêmes adresses pour arriver à leur
fin
? Ce sont de pareilles leçons qu’on donne dans le
dre graces à Dieu, comme en étant la premiére cause & la derniére
fin
, est encore moins permise à un Chrétien. En quell
la peine de remarquer dans la Comedie de nostre Arioste, est la vraye
fin
de la Poësie representatiue. Elle est cause que l
; s’essuya le front auec son mouchoir. Le troisiesme Acte estant à la
fin
venu, où Cynthio vouloit continüer de discourir d
p; de la tromperie dans les moyens qu’elle employe, pour arriuer à sa
fin
. Vne tromperie si ingenieuse & si honneste, e
ste que celuy qui ne trompe pas ; & à laquelle il croyoit que les
fins
& les habiles se deuoient laisser piper, pour
les fins & les habiles se deuoient laisser piper, pour estre plus
fins
& plus habiles. Mais de quelle maniere se t
. num. 5. 7. 8. 4 Ludorum theatralium diuisio. Et 17. 6 Spectaculorum
fines
virtus, & voluptas, quæstus. 9 Certamina sac
uptionem, vel deteriorem viuendi modum habere, traditVip. in l. 1. §.
fin
. de ser. corrup. lib. 11. P. titu. 3.. Et idem Iu
& folliati, vt author lulius PolluxIul. Poll. lib. 3. Onomast. c.
fin
., τοὺς μὲν οὖυ καλουμένους ἱεροὺς ἀγῶνας, ὧν τὰ ἀ
p; cler. 5. interdicimus, in 2. de sanctiss. episco. Vip. in l. 1. §.
fin
. de ser. corrup. lib. 11. P. titu. 3. l. imperial
. lib. 10. c. 19. Plato, 12. de legib. Iul. Poll. lib. 3. Onomast. c.
fin
. Simbo, lib. 2. Geog. 12. p Pausa. libr. 6. in El
ules et vicieux qu’on entreprend de corriger sur le Théâtre : et à la
fin
de la Pièce chaque vice et chaque ridicule se tro
tion ? Car les amours les plus irréguliers sont toujours heureux à la
fin
par le mariage. Quelle méthode ! C’est précisémen
les en les instruisant, on jouait Dieu et les Saints. Le savoir à la
fin
dissipant l’ignorance, Fit voir de ce projet la d
riture avec ce qui peut passer pour profane. Ecoutons je vous prie la
fin
de la quatrième session « Post hæc temeritatem il
qui fréquentent le Théâtre, ne sauraient souffrir qu’on y exposât la
fin
pour laquelle tout est écrit, et qu’on y développ
priser les richesses, n’aimer et ne craindre que Dieu : « Ecoutons la
fin
de toute parole, dit l’Ecclésiastique, Craignez D
cœur pur, d’une bonne conscience, et d’une foi sincère, et qui est la
fin
des Commandements ». « Car si vous vous aimez d’u
eut que nous ayons toujours devant les yeux. « Souvenez-vous de votre
fin
dernière dans toutes vos actions360 ». « Le Seign
Histoires des plaisanteries et des fictions Advers. gent. L. 4. vers.
fin
. . « Nec satis hæc culpa est ; etiam mimis et scu
rem[ie]. 15. 17. De vera Relig[ione]. 51. Advers. gent. L. 4. vers.
fin
. Li. 14. c. 6. « Donare res suas histrionibus
compagnée d’une joie qui l’inondera de sa plénitude, et qui sera sans
fin
comme sans affaiblissement. Voilà, Monsieur, les
x pour qui ils sont faits ; mais par les traits de cette plaisanterie
fine
et délicate que vous savez manier avec tant d’adr
té et à l’Auteur de toutes lumieres, qu’il daigne l’éclairer avant la
fin
de sa carriere. Pour moi, Monsieur, soyez persuad
rien à ajouter à de tels faits. L’espace me manque pour parler de la
fin
de ce volume où l’auteur a rassemblé des détails
la source. Entre les citations, une seule m’a paru étrange : c’est la
fin
d’un couplet du Gymnase dramatiqueh ; certes, M.
’auteur fait référence à l’influence de la typographie anglaise de la
fin
du xviii e siècle sur les pratiques d’impression
is les yeux sur d’autres moindres spectacles, & qu’ayant le goust
fin
& delicat, & le discernement excellent po
n les noms des Acteurs & des Actrices des deux Hostels jusqu’à la
fin
de l’année presente mil six cens soixante treize.
’ay à parler en celuy-cy de l’vsage de la Comedie, c’est à dire de la
fin
pour laquelle ie trouue quelle à esté inuentée ;
nt toutefois chacune & leurs loix & leurs coûtumes, & vne
fin
particuliere, sur laquelle leur établissement est
st le centre où viennent aboutir toutes leurs resolutions ; & ces
fins
particulieres tendant à la generale, vont toutes
vn commerce vniuersel dans toutes les parties de la Terre ; & la
fin
que ces Societez là se proposent est tres loüable
commoder à tous les esprits. Ces deux sortes de Societez ont la mesme
fin
, & que nous importe par quel moyen elles y ar
utes que j’ay dit que l’on peut prendre pour paruenir à cette loüable
fin
, les vns ont fait choix de celle qui est aspre &a
estier des Roys, la guerre est juste & loüable, quand elle a pour
fin
la defence de leurs Droits & le soûtiẽ de leu
e corps, n’en sont pas pour cela moins honorables, elles on vne bonne
fin
; & la Comedie, comme ie l’ay fait voir, en a
re dont s’entretiendront tous les siecles à venir. Encore vne fois la
fin
de la Comedie est bonne. Les choses les plus sain
ur esprit & à les porter a l’étude de la vertu. C’est là aussi la
fin
que le Poëte se propose dans la Comedie, & c’
i la fin que le Poëte se propose dans la Comedie, & c’est la méme
fin
du gouuernement des Comediens. Leur Societé ne s’
ue la Comedie est du nombre de ces choses dont l’institution a eu vne
fin
louable, & qui sont bonnes au fond, quoy que
les grandes passions jusqu’où elles peuuent aller, à demesler la plus
fine
Politique des Estats pour la faire entrer en comm
a les Comediens, qui entendent mieux cette matiere que le Poëte. A la
fin
de chaque Acte, tandisque le Lecteur prend halein
dans le seruice, ayent de quoy s’entretenir honorablement jusqu’à la
fin
de leurs iours. 13. Difference entre les Troup
maniere de Republique, & de la plus belle espece ; quelle est la
fin
de son gouuernement, & les áuantages qu’on en
r s’óposer aux violences qu’on leur voudroit faire. Ie produiray à la
fin
du Liure la Declaration du Roy du 9. Ianuier 1673
Cet établissement des Comediens se fit il y a plus d’vn siecle sur la
fin
du Regne de François I. mais ils ne commencerent
oupe du Palais Royal. La Troupe du Palais Royal fut établie sur la
fin
de l’année 1659. apres que les principales person
Royal. La Declaration du Roy pour cet etablissement sera couchée à la
fin
du Liure. Voila en peu de mots comme les choses s
qui l’executent, je diray seulement que Son Altesse Royale a le goust
fin
pour toutes les belles productions, qu’elle en sç
elle des Fossez de Nesle ; vis-à-vis la ruë de Guenegaud ; Et à cette
fin
d’y faire transporter les Loges, Theâtres, Decora
sans fâcher personne, qu’il a soûtenu le Theâtre du Marais jusqu’à la
fin
par sa bonne conduite & par sa brauoure, ayan
la Tragédie et la Comédie, 265, 266 Le divertissement n’est point la
fin
principale de la Comédie, 267 La Comédie et la Tr
Tragédie, quoique par une route différente, doivent tendre à une même
fin
; qui est la réformation des mœurs, 268, et suiv.
fin qu’elles soient égales et ne se démentent point. Ainsi jusqu’à la
fin
le souvenir d’Hector est cher à Andromaque. Il y
res ou étrangers, qui les traversent : Il va ordinairement jusqu’à la
fin
du quatrième Acte, et dure quelquefois jusqu’à la
ement, peu de récits, une action continuelle et qui se précipite à sa
fin
. La Fable, ou la composition du sujet, est la par
. Le Poète doit avoir grand soin de réserver le plus tragique pour la
fin
de la pièce, et pour en faire le dénouement, afin
r de plus grandes passions dans l’âme des Auditeurs. S’il expose à la
fin
de la Tragédie deux grandes actions, l’âme partag
est toujours heureux ou malheureux depuis le commencement jusqu’à la
fin
de la pièce. Les Grecs qui aimaient à se lamenter
ance à propos, en observant toutes les règles de la vraisemblance. La
fin
des pièces dramatiques est d’exciter en l’âme plu
nciennes Comédies ; et que les Modernes soient plus délicates et plus
fines
, elles n’en sont pas pour cela moins dangereuses,
uoique l’amour que l’on dépeint sur le Théâtre, ait souvent une bonne
fin
, cela n’empêche pas qu’il ne fasse de fort mauvai
i commencent et qui conduisent l’action à une bonne ou à une mauvaise
fin
, et qui excitent le plaisir ou l’indignation des
i commence l’action, qui y donne le mouvement, et qui la conduit à sa
fin
. Athalie est dans le même cas ; on peut même dire
ais, à ce qu’il me paraissait, l’action ne pouvait être conduite à sa
fin
, que par les intrigues d’amour de ces deux Prince
et par conséquent pour corriger la Pièce, en conduisant l’action à sa
fin
, sans le secours de la passion d’amour ; je crois
ue la vertu la plus sévère peut exiger d’elle ; et si elle parle à la
fin
, c’est la situation qui l’y force ; puisqu’elle s
nclination pour une personne qu’Arténice ne connaît pas ; puisqu’à la
fin
il se trouve que cet inconnu est Sésostris lui-mê
nnes sont menacées de quelques grands malheurs, qui sont effacés à la
fin
par un événement heureux. On ignore l'origine de
st donc plus que dans les livres de poétique que l'instruction est la
fin
du Poème Dramatique. Cela n'est plus véritable, n
appartiennent qu'à Dieu, qui veut y régner par la charité, qui est la
fin
et l'accomplissement de toute la Loi Chrétienne.
affligé Que le respect des dieux qui l'ont mal protégé. » Et sur la
fin
de la scène quatrième du même Acte : « J'irai, n
i ce discours peut ouvrir les yeux à quelqu'un, je serai parvenu à la
fin
que je me suis proposée, pour ceux qui sont rempl
à la vertu, et l’on menace les impies d’une peine qui n’aura point de
fin
. « Cependant les passions se débordent, comme u
rie et de la Chaldée. Israël est puni d’une double captivité, qui met
fin
à son idolâtrie. « Un nouveau temple s’élève su
anchard, vol. 3 249-250. Il cite Gérard, op. cit. bl. [NDE] Toute la
fin
de ce chapitre est pris de Joseph-Romain Joly, Co
; on fit l’Ombre de Moliere d’abord après sa mort ; on la trouve à la
fin
de ses ouvrages, avec ses Epitaphes en grand nomb
oit grossir la recette, quittoit pour le bouffon l’agréable & le
fin
, & sans honte à Terence allioit Tabarin . Il
a contagion. Pour le libertinage, qui est l’ame, le principe & la
fin
du théatre, le Philosophe sans souci en tient si
en d’autres armes. Mars & Bellone entrerent en campagne, & la
fin
fut tragique. Voltaire fut enlevé & emprisonn
presque toujours durement. Ce ne sont point de bons mots, des traits
fins
, des idées plaisantes ; ce sont de vrais sarcasme
Pendant l’éternité qui précéda mon être. Ah ! voyons dans la mort la
fin
de tous nos maux. Grand Dieu, votre courroux devi
le néant. Le temps s’échappe, & fuit soudain sans commencement ni
fin
. C’est une absurdité ; le temps commence & f
mps commence & finit. C’est l’éternité qui n’a ni commencement ni
fin
. C’est en même temps reconnoître & combattre
ner à l’irréligion, dont les semences sont répanduës d’une maniére si
fine
& si cachée dans la plupart de ses autres Pié
ent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon l’agréable & le
fin
, Et sans honte à Terence allié Tabarin. Dans ce s
connoître. Il dit qu’il n’a pas prétendu faire dans Scapin une Satire
fine
comme dans le Misanthrope. Scapin, selon lui, est
D’autres le tournent d’une autre manière, mais qui va toujours à même
fin
, puisqu’il demeure pour assuré que les délices et
sur ce sujet jusqu’aux derniers temps, et le Concile de Reims sur la
fin
du siècle passéai, au titre des fêtes, après avoi
de réfléchir. Les représentations qui se font dans les Collèges à la
fin
des Classes, qui d’elles-mêmes et réduites à de c
ents. I. Nous croyons pouvoir tolérer l’ancien usage de faire à la
fin
des Classes des Tragédies, pour apprendre aux Enf
journée, afin d’exiger plus d’argent du peuple, en entremettant en la
fin
ou au commencement du jeu farces lascives et de m
et autres jeux impudiques, lascifs ou dérisoires, qu’ils jouent en la
fin
ou au commencement, pour attirer le commun peuple
oyer faire représenter ledit Ancien Testament par mystère et, à cette
fin
, lui avait fait expédier ses lettres patentes adr
résentaient. j. [NDE] Sextus Pompeius Festus (ou Festus Grammaticus,
fin
du IIe s. ap. J.C.), De verborum significatione l
our s’en convaincre, il ne faut que consulter l’état de son cœur à la
fin
d’une tragédie : l’émotion, le trouble et l’atten
à toutes ? Qu’importe que l’amour y soit rendu légitime ou puni à la
fin
, si on s’est rendu coupable ? on ne règle pas apr
un corps sans âme : car, selon Horace, ce grand maître de l’art, « la
fin
est d’intéresser : si vous n’employez la clef de
usage en les rapportant à des objets légitimes ; et, lorsque pour une
fin
honnête on veut les exciter dans les autres, on d
n entier, le présent ouvrage, sont prévenues qu’elles trouveront à la
fin
des Chapitres, une Table des Matières, qui les di
ons avons vû que la fureur des Athéniens pour ces plaisirs causa à la
fin
leur ruine entiere, & que la même fureur caus
ervée ? Le principal Personnage qui depuis le commencement jusqu’à la
fin
est sur la Scene, y est attaché à un rocher par d
ur rendre le Jeu permis, et sous le nom du Jeu la Comédie, est que la
fin
du Jeu ou de la Comédie soit le divertissement ou
i n’a rien, en soi, « secundum se », d’illicite, est celui qui a pour
fin
de donner du soulagement aux hommes ; ce qui est
nt « qui est établi », mais « qui doit être établi », ou « qui a pour
fin
». Saint Thomas ne considère pas tant la fin que
tabli », ou « qui a pour fin ». Saint Thomas ne considère pas tant la
fin
que l’emploi a, que celle qu’il doit avoir, il en
es par une honnête récréation. Voilà donc d’abord quelle doit être la
fin
de la Comédie, et celle que les Comédiens doivent
e par l’intérêt ou par le libertinage, vous ne pouvez pas dire que la
fin
de leur emploi soit le soulagement des hommes. Vo
ous direz peut-être que quand même les Comédiens n’auraient pas cette
fin
, elle subsiste toujours dans la nature de leur em
re de leur emploi qui n’en a pas d’autre, et qu’il faut distinguer la
fin
de l’ouvrier de celle de l’ouvrage ; que celle-là
pour ne pas outrer les choses, laissons les Comédiens en repos sur la
fin
qu’ils se proposent ; contentons-nous de leur fai
rmi ceux-là même combien peu en trouverez-vous qui se proposent cette
fin
en allant à la Comédie ? le nombre en sera bien p
rofession, ces batteurs de pavé, dont la présence à la Comédie est la
fin
d’une journée inutile et pour eux et pour le publ
parler plus particulièrement du premier dessein de la Comédie, de sa
fin
et de ses effets ; ainsi j’en parlerai ici plus s
parler plus particulièrement du premier dessein de la Comédie, de la
fin
, et de ses effets. L’harmonie de l’âme consiste s
ra sortir de ce retranchement si je vous fais voir que le dessein, la
fin
et tout le but de la Comédie d’à présent est d’ex
era pas par hasard qu’elle les excitera. J’avoue que le dessein et la
fin
de la Comédie ou plutôt de la Tragédie dès son pr
qu’il y en a encore entre exciter en effet, et avoir le dessein et la
fin
d’exciter, quoiqu’on n’excite pas toujours ; et c
ite pas toujours les passions, vous avez cru, ou du moins dit, que sa
fin
et son dessein n’était pas de les exciter, et que
oujours les passions, ce n’est que par hasard, parce que sa véritable
fin
et tout son but est de les exciter. Vous vous ête
et quoiqu’elle ne les excite pas toujours, c’est contre sa véritable
fin
et son principal dessein ; qu’il est toujours vra
cela non point par hasard, comme vous dites ; mais parce que c’est la
fin
et le véritable dessein de la Comédie. De là vien
ntiments d’amour impur, de haine, de vengeance et d’ambition, etc. la
fin
de ces Pièces sera d’inspirer ces mêmes sentiment
doit faire cet effet dans tout le monde, parce que c’est son but, sa
fin
et son dessein, et que ce n’est que par accident
ance que l’hérésie est aux abois et qu’elle tire continuellement à la
fin
, ce grand roi qui n’a point donné de relâche ni d
des tartufes, l’observateur enfin qui a écrit contre lui, parle à la
fin
de son ouvrage comme un désespéré qui se prend à
oivent les premiers sentir les effets de la colère d’un dieu vengeur.
FIN
l. [NDE] Ce sont les termes de Rochemont. m.
a même passion de se servir des mêmes adresses pour arriver à la même
fin
.
même passion, de se servir des mêmes adresses pour arriver à la même
fin
.
engage les Poètes à ne représenter que des passions vicieuses. Car la
fin
qu'ils se proposent est de plaire aux spectateurs
taît, dit qu’elle a parlé à soi-même. Est-ce là du plaisant & du
fin
? il n’appartient qu’au fagotier Médecin & à
grimacer les figures, Quitter pour le bouffon l’agréable & le
fin
, Et sans honte à Térence allier Tabarin. Et
vertu ; ce qui n’est pas tolérable, même par jeu, même pour une bonne
fin
: Non sunt facienda mala ut eveniant bona, sur-to
Valère, qui au commencement de la piece est un imbécille, & à la
fin
un honnête homme, un homme d’esprit, qui offre gé
le tard, comme il dit lui-même. L’action n’a pû commencer que sur la
fin
de la matinée ; car dès la premiere scène la bell
égoûté du séjour d’Athenes, se retira en Sicile, où il mourut. Triste
fin
d’un homme vaincu dans un Art dont il a été l’inv
s auteurs de cette Comédie si libre & si picquante, eût du par sa
fin
tragique, la faire cesser, s’il est vrai, comme l
la Piéce. Euripide pria le Peuple d’avoir patience, l’assurant que la
fin
de ce Personnage serviroit d’exemple. Dans une au
& ils les désignoient de façon que la satire n’en devint que plus
fine
. On croit qu’Aristophane fit des Piéces de ce gen
t Eschyle, Sophocle & Euripide, qu’on avoit déja regrettés sur la
fin
de la guerre du Peloponese, puisque dans les Gren
st donc plus que dans les livres de Poétique que l’instruction est la
fin
du Poème dramatique ; cela n’est plus véritable,
’appartiennent qu’à Dieu, qui veut y régner par la charité qui est la
fin
et l’accomplissement de toute la Loi Chrétienne.
affligé, Que le respect des Dieux qui l’ont mal protégé. » Et sur la
fin
de la Scène quatrième du même Acte : « J’irai, n
i ce discours peut ouvrir les yeux à quelqu’un, je serai parvenu à la
fin
que je me suis proposée. Pour ceux qui sont rempl
te et honnête ; pourquoi il cite saint Thomas. Mais il se plaint à la
fin
de cet Ouvrage par ces paroles : « Il est certain
ngage les Poètes à ne représenter que des passions vicieuses : car la
fin
qu' ils se proposent est de plaire aux spectateur
intempérie: parce que cette sorte de nourriture serait contraire à la
fin
du manger, qui est de conserver la vie du corps.
intempérie; parce que cette sorte de nourriture serait contraire à la
fin
du manger, qui est de conserver la vie du corps.
Avertissement. Vers la
fin
du mois de Décembre de la précédente année 1693,
endu au milieu de l’atmosphère, comme ces brouillards qu’on voit à la
fin
de l’automne, le matin, dans les vallées. Qu’auro
olliciteuse de procès, en homme ruiné qui emprunte de l’argent ; à la
fin
il se découvre et fait convenir le jeune homme qu
Féerie. Certes, ses faiseurs n’ont point hérité des graces douces et
fines
, qui enchantent dans l’Oracle, dans Pygmalion, mê
ille de dix à onze ans. Desirez-vous de savoir ce que deviennent à la
fin
ces enfans de l’un & de l’autre sexe ? je vou
gner des bornes. Point de ces détours ingénieux que le Spectateur peu
fin
ne pourroit peut-être pas deviner. On lui donne d
désespoir. Je pourrois ajouter, la mort. C’est presque toujours à une
fin
douloureuse et prématurée qu’aboutit la débauche,
II. Ce qui rend à irriter la concupiscence combat directement cette
fin
. De-là il s’ensuit nécessairement que tout ce q
ts pour croître ma tourmente Qui se calme au Soleil de vos divinités.
FIN
. ac. [NDE] L’originale porte « Mouceaux ».
er admonete ut semper quod bonum est, et honestum loqui studeant ; ne
fine
detrahendo, malum loquendo, et in sanctis festivi
mpureté, et des fournaises de Babylone. Saint Epiphane Can. 51. à la
fin
de son Livre contre les Hérétiques, le sixième Co
er admonete ut semper quod bonum est, et honestum loqui studeant ; ne
fine
detrahendo, malum loquendo, et in sanctis festivi
lement, et comme goutte à goutte, on n’en est pas moins submergé à la
fin
, le mal n’est pas encore déclaré, mais il est déj
rer nôtre tempérament, parce qu’il produirait un effet contraire à la
fin
que nous nous proposons, aussi la nécessité préte
sposant aux noces de l’Agneau avec l’Eglise, qui se consommeront à la
fin
des siècles par leur union éternelle, et le spect
rmes, et à attendrir le cœur par tout ce que les passions ont de plus
fin
et de plus insinuant. Le théâtre perdrait son agr
la passion dominante du théâtre, il est aisé de comprendre à quelles
fins
tendent toutes ces plaintes amoureuses, et tous c
plus vif et de plus empoisonné, tout ce que l’art de tenter a de plus
fin
et de plus poli ; un assemblage de tout ce qui pe
es rend les personnes impudiques et effrontées. L’on voit tant par la
fin
que se propose Saint Thomas, que par les paroles
ans son Homélie 24 touchant la lecture des livres des Païens, vers la
fin
il dit : que pour conserver la pureté de son âme
e son âme il faut éviter le plaisir des sens, qu’il faut fuir à cette
fin
les Spectacles et la musique que l’on y chante qu
on Homélie 38 sur le même Chapitre onzième de saint Matthieu36 sur la
fin
, il dit que « les Acteurs des Comédies ont été dé
s de piété des farces et des discours lascifs au commencement ou à la
fin
, pour attirer ou divertir le peuple, qui ne deman
me dans son Homélie 38. sur le Chapitre 11 de Saint Matthieu, vers la
fin
, parlant en particulier de la chasteté et de la v
rien de trop libre dans le corps de la Pièce, il y a des farces à la
fin
qui ne sont jamais bien pures. On ne peut point a
s modeste et probe Spectaculis fruitur, non tamen immobilis animi est
fine
tacita spiritus passione, nemo ad voluptatem veni
ndis libris Gentilium” (De la lecture des livres des Païens), vers la
fin
] « Hanc animae purgationem, ut semel et quod vobi
th., vers.finem, [38e homélie sur le chapitre 11 de Matthieu, vers la
fin
] « Leges quidem gentium infames esse volunt. » 3
vers. finem. [S. Jean Chrysostome, 38e homélie sur Matthieu, vers la
fin
] « Nam etsi quodam excelsi animi robore nihil ind
Jean Chrysostome, 38e homélie sur le chap. 11 de S. Matthieu vers la
fin
] « Quomodo castimoniæ arduos poteris perferre lab
: Mais qu’on leur mette devant les yeux l’ensemble des Spectacles, la
fin
qu’ils s’y proposent, leurs effets & leurs su
mans, qu'on n'y représente que des passions légitimes et qui ont pour
fin
le mariage; car encore que le mariage fasse un bo
avec plaisir une action Théâtrale, depuis son commencement jusqu’à sa
fin
. Que le Poète ait donc grand soin de ne pas s’en
; en continuant d’éxaminer cette Pièce si bisare, je craindrais à la
fin
de perdre le sang froid, la gravité nécessaire à
a douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. A
fin
de terminer ce cinquième Livre par quelque chose
vent sourire l’homme le plus grave, parce qu’assaisonnés du sel de la
fine
Satire, ils réveillent en nous la malignité, qui
au lieu de 361, et cette nouvelle numérotation est suivie jusqu’à la
fin
du texte. Pour éviter toute confusion, les numéro
u texte. Pour éviter toute confusion, les numéros de pages jusqu’à la
fin
sont suivis d’un astérisque.
ir toujours dans l’émotion & nous remplir de tristesse jusqu’à la
fin
. Il n’en est pas de même du Poëme Epique, dont la
esse jusqu’à la fin. Il n’en est pas de même du Poëme Epique, dont la
fin
doit être un passage de l’agitation & du trou
la Tragédie sont la Crainte & la Pitié, qu’elle excite jusqu’à la
fin
. Nous concevons de l’Amour & de la Pitié pour
t le Spectateur par ses vertus & sa douceur, que s’il voyoit à la
fin
couler son sang, il seroit indigné contre les Die
trouva à Athenes, les apporta à Rome. §. III. La Tragédie, dont la
fin
est d’exciter deux Passions qui peuvent rendre le
l a construit sa Fable. Depuis le commencement de l’Iliade jusqu’à la
fin
, l’instruction qu’Homere veut donner n’est pas ob
n qu’Homere veut donner n’est pas obscure. Lorsqu’on entend dire à la
fin
d’Athalie, Que les Rois dans le Ciel ont un Ju
rds à son Confident. Depuis le commencement de Britannicus jusqu’à la
fin
, on voit un Prince qui en écoutant un Flateur, ét
nt persuadé du danger de presque toutes les Tragédies. Je repete à la
fin
de cet Article ce que j’ai dit au commencement. J
eut voir cela en d'autres écrits qui ont été faits sur le même sujet.
FIN
.
a nefandorum spirituum prævidens illam pestilentiam (idololatriæ) jam
fine
debito cessaturam, … aliam longe graviorem, … non
ges. Et le Pape Innocent III, écrivant à un Evêque de Poitiers sur la
fin
du XII. siécle, ou au commencement du XIII. lui d
raits, pour être trop ingénieux, n’en sont que plus condamnables : la
fin
qu’on s’y propose, les intrigues qu’on y représen
ral qui est le troisième de Constantinople, sous le Pape Agathon à la
fin
du septiéme siécle, Omnino prohibet hæc sancta &
a nefandorum spirituum prævidens illam pestilentiam (idololatriæ) jam
fine
debito cessaturam, … aliam longe graviorem, … non
preparions quelques plaisirs. Voicy les plus illustres & les plus
fins
, qui nous restent de la magnificence & de là
vôtres tous divins reluisent d’une grâce céleste, qui ne termine leur
fin
qu’en celle de l’éternité. S’il leur faut des lou
chez les Grecs et les Romains, ne parut que fort tard en France ; la
fin
du règne de Charles V. en vit pour ainsi dire naî
de quelqu’un des Mystères de notre Religion, avec une apostrophe à la
fin
au Prince, ou au Seigneur auquel il était dédié.
es, faux témoignages, et tout ce qui peut lui servir pour venir à ses
fins
est mis en œuvre par Laurette : et son rôle est d
où elle est de prêter son secours à sa Maîtresse pour une si mauvaise
fin
, la Pièce serait instructive. On y verrait dans C
mner la tyrannie, en faisant voir ses progrès toujours orageux, et sa
fin
ordinairement misérable, ces noires pratiques sal
chants livres qui sont les professeurs publics d’une passion, dont la
fin
est l’incontinence, le péché, le déshonneur, le d
ne peut en conscience assister sans pécher à l’Opéra et à la Comédie.
FIN
au Pape Innocent XII. et sa Réponse. page 111. Conclusion. page 113.
Fin
de la Table
de combats & d’exercices : Le divertissement en est d’autant plus
fin
qu’il part d’un objet un peu plus difficile, &
4. Instruction et avis charitable sur le sujet des danses. page 177.
Fin
de la Table.
que le plaisir, et encore qu’un chacun le nie, on est contraint à la
fin
de l’avouer, ainsi que ce Berger dans Esope, lequ
aient leur argent bien employé s’ils n’étaient servis de ce plat à la
fin
pour la bonne bouche, qui est proprement après un
t qu’il ne refusera jamais venant de mains si belles et si libérales.
FIN
a. [NDE] Bertrand Harduin de Saint-Jacques (160
a Pitié, pour purger ces deux Passions ? §. III. La Tragédie dont la
fin
est d’exciter deux Passions qui peuvent rendre le
u’on inspire pour les malheurs des héros ; si ce n’est de rendre à la
fin
le cœur humain plus sensible aux objets de ces pa
hés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. Page 225
fin
de la table des chapitres.
torité de ses leçons & à l’éloquence de ses vertus que je dois la
fin
de mon égarement, je lui devois l’hommage de mon
rt ; qu’il regarde au-delà, & qu’il me juge. Cette image de notre
fin
, la lumière, la leçon de notre existence, & n
de l’aversion pour une passion qui ne produit que des peines dans sa
fin
, comme dans son progrès : mais malheureusement l’
s extravagances ? Toujours la même chose ! Eh que l’on crie donc à la
fin
, plus d’amour, plus d’amour. Si le Théâtre modern
istre. 7°. La recette entrera toute entière dans la caisse ; et, à la
fin
de l’année, ce qui restera, tous frais payés, ser
r les différents Théâtres de l’Europe, page 196. 9. [NDA] Voyez à la
fin
de l’ouvrage le plan du Théâtre, etc. qu’on aurai
ap. 5. jeux luperciens. Une jeunesse folle célébrait ces jeux vers la
fin
du mois de Février à l’honneur du dieu Pan ; en c
souvient d’avoir lu que les premiers chrétiens répondaient amen à la
fin
de ces paroles corpus domini nostri, etc. que le
e la Tragédie les excite pour les purger, & la Tragédie ayant une
fin
utile, ne devient dangereuse que par la faute des
de Montmorenci, du 20 Mars 1758. & que j’ai reçûe de la Haye à la
fin
d’Octobre de la même année.
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