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1 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
ne font-ils pas tous les jours sans relâche ? S’ils avaient une autre fin , choisiraient-ils pour héros de leurs pièces, pou
c’est pour eux, tout le reste dût-il en manquer. Quelle peut être la fin d’un Poète qui dispense la gloire à ce prix ? N’e
r faire ses premiers personnages des débauchés, et les couronner à la fin de la pièce contre la règle de la Comédie, qui es
chaque Acte : en sorte qu’ils ne fassent qu’un tout et n’aient qu’une fin  ; par là il est démontré qu’Horace ne voulait qu’
la violence de la tentation. Cependant, « Face a persisté jusqu’à la fin dans ses impostures sans repentir » ? M. DrydenIb
yden ; nous en avons son propre aveu pour preuve : il assure que « la fin du Poète dans cette Pièce est de punir le vice et
raisonnement de M. Dryden porte sur ce merveilleux axiome : Ibid.« La fin principale de la Comédie est de divertir, » : il
; et si elle y entre, il est convaincu que ce n’en est que la seconde fin . « L’affaire essentielle du Poète est de réjouir.
ceté tournées en ridicule. Et telle doit être, si je ne me trompe, la fin de la Comédie. Elle ne diffère de la Tragédie que
édie. Elle ne diffère de la Tragédie que par les moyens et non par la fin  ; qui est d’instruire également de part et d’autr
rdination essentielle que tout art doit avoir à la Politique, dont la fin générale est le bien public. C’est le sentiment d
ien mettre sur la Scène que d’honnête et d’instructif : ce qui est la fin principale de la poésie. Il a suivi dans le dénou
Si Ben Jonson y entendait quelque chose, la Comédie n’a donc pas pour fin unique et principale de divertir précisément, com
minables : après tout le plaisir à parler en général n’est jamais une fin à se proposer. » L’autorité de Quintilien sera i
à sa place ; vu que nos Poètes traitent les obscénités de railleries fines . Cet habile Rhéteur n’exclut pas seulement toute
e la Comédie, il faudra bien à quelque prix que ce soit obtenir cette fin  : dès là qu’un expédient, quelque illicite qu’il
our eux ? il faut enfin les divertir à tort et à travers ; puisque la fin principale de la Comédie est le plaisir. Le plais
t été le premier dessein de la Comédie : qu’en concluerait-on ? si la fin d’une chose susceptible de correction est mauvais
rrection est mauvaise, ne doit-on pas la redresser ? Mal faire est la fin de la malignité : sera-ce gâter un méchant nature
de le reformer, s’il est possible ? Un furieux peut se proposer pour fin de mettre le feu à un superbe édifice : sera-ce u
rendre aimable le libertinage, et que je m’embarrasse peu d’avilir la fin et l’institution de la Comédie, (le plaisir n’en
fin et l’institution de la Comédie, (le plaisir n’en est donc pas la fin principale) je déclare nettement que nous ne fais
2 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71
ancienne antipathie entre les philosophes et les poètes »De Rep. 10. fin . [Platon, De la République, livre X, in fine].[ND
t les poètes »De Rep. 10. fin. [Platon, De la République, livre X, in fine ].[NDE] D’après Urbain et Levesque, « là, rien qui
épublique, livres II, III, X ; Des Lois, livres II, VII]. De Rep. 10. fin . [Platon, De la République, livre X, in fine].[ND
res II, VII]. De Rep. 10. fin. [Platon, De la République, livre X, in fine ].[NDE] D’après Urbain et Levesque, « là, rien qui
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. De la Parodie. » pp. 78-89
die célèbre ; elle en relevait adroitement les fautes ; des allusions fines avertissaient le Spectateur de ce qu’elle avait e
ragiques. Nous ne pouvons plus sentir une grande partie de ses traits fins & délicats, parce que nous sommes trop éloign
en a la légèreté. Il éxcelle sur-tout à décocher avec art les traits fins de la Satire. Vif, enjoué, malin, c’est l’enfant
vec adresse, & qui doit avoir son èxposition, son milieu & sa fin . N’outrez point la nature, comme on fait ordinair
évolte les gens qui ont la moindre lueur de raison. L’on ne sait à la fin comment appeller un pareil amas de choses si oppo
4 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144
e qu’ils sont très-dangereux, Génies qui sachant assaisonner d’un sel fin , les choses les plus grossieres, savent faire rir
, & il lui est permis de l’être, quand elle attaque d’une maniere fine & innocente les Ridicules des hommes. Ces Rid
s Atheniens, mais leur maniere délicate de penser, & leur maniere fine & enjouée de railler. Les Romains attachoient
divertir, le Fol du Roi devoit souvent faire sa charge très-mal. Une fine plaisanterie est souvent un mot dit sans paroître
, velut palato, excitatque & tædio defendit orationem. Des traits fins & enjoués, répandus dans une Comédie ne suffi
as savoir donner ce tour plaisant à une Comédie. Cervantes qui par sa fine raillerie, est si admirable dans son D. Quichotte
5 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VII. Des Carozels. » pp. 191-195
le dessein n’eussent esté accompagnez d’un esprit secret & d’une fine intelligence, tant au choix & à la distributi
t cet appareil appartienne naturellement, & si precisement que la fin , la suite & la liaison des choses soient appa
eu artificiel. Ainsi tout est suivy, tout à part à l’action, & la fin de l’action & de la representation est consom
6 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
le mot est trop bas, à cause de ce qui fut représentéf: voire que la fin requiert qu’on lui donne le nom de tragédie. Car
és d’eux mêmes, de leurs disciples et auditeurs. Combien aussi que la fin au regard de quelques-uns des joueurs soit lament
et Lucifer leur maître, accoutrés selon le dessein des jésuites : la fin du jeu était de contrefaire un jugement dernier,
t les tonnerres si effroyables, que plusieurs pensaient que ce fût la fin du monde. Et je crois fermement (dit encore ce pe
i l’aiment de conscience non feinte. Amen, fait ce 22. d’Août. 1607. FIN L’infâme troupe en France condamnée, Et malgré
7 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
édiens qui la représentent. 2. Le but où elle tend d’elle-même. 3. La fin que les Comédiens et ceux qui les vont ouïr se pr
avec justice sur tous les Chrétiens le droit d’être le principe et la fin de toutes leurs actions, en qualité de leur Créat
re considérés dans le monde comme des gens infâmes. ARTICLE II. La fin de la Comédie et des Comédiens est toujours mauva
vaise ; et celle des spectateurs l’est aussi pour l’ordinaire. La fin à laquelle la Comédie tend d’elle-même, et le but
s ne pourraient leur plaire : et ainsi ils ne pourraient arriver à la fin qu’ils se proposent, qui est le gain et le profit
tres, devient ennuyeux et insupportable. Or il est constant que cette fin ne vaut rien, puisqu’elle est entièrement opposée
osent dans la représentation de leurs Pièces, est encore une mauvaise fin  ; car quoi que ce soit peut être par une malheure
it que rien n’est si peu solide que tout cela. Voilà quelles sont les fins des Comédies, et des Comédiens. Celles des Specta
r à la Comédie pour se divertir et en faisant consister uniquement sa fin dans le divertissement. Cela n’est pas permis à u
e, soit par rapport à ceux qui la représentent, soit par rapport à la fin à laquelle elle tend d’elle-même, et à laquelle l
ce qu’il détourne notre esprit du culte intérieur de Dieu, qui est la fin du précepte : « Quod mentem à divino cultu, qui f
lise, et déclarés infâmes par les Lois civiles, soit par rapport à la fin qu’ils se proposent, ou à la honteuse profanation
8 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
ux heures, il font voir la naissance, le progrès, les difficultés, la fin des aventures qui exercèrent le monde durant plus
épublique D. August. li. 2. de civit. Dei cap. 10.. Mais parce que la fin de la comédie est de délecter, et que les pratiqu
e dans la complaisance des passions, et l’on se propose pour dernière fin , une volupté qui est l’amorce commune de tous les
qui leur reste de crédit, en faisant voir leurs entreprises, et leurs fins toujours malheureuses : déjà les hommes ne sont q
9 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
qui allaient aux Théâtres bien d’une autre manière, et pour une autre fin , à savoir, pour y glorifier Dieu, pour y sceller
c., doivent être rapportées à la gloire de Dieu1 Cor. 10 k , laquelle fin les rend bonnes, d’indifférentes qu’elles étaient
nce de les jouer, et que la connaissance en doit être rapportée à une fin , et usage tout autre, où visent les Théologiens,
al, il est certain, qu’il n’appartenait qu’aux Juifs, et qu’il a pris fin par la venue de Jésus Christ, et que les Chrétien
habit d’un homme, pour s’enfermer dans des Monastères ; mais comme la fin qu’elles se proposaient en ces choses, était supe
essité n’a point de loi ; Que les circonstances selon les causes, les fins , les temps, et les lieux, rendent les actions, no
u’à Satan : Lui aussi, et non autre, en est la première et principale fin , puisque ces jeux, avaient pour but principal, l’
ernelle. Que si on dit, que les Chrétiens en peuvent user à une autre fin  ; je réponds, qu’on s’en peut bien proposer une a
s cœurs, par cette fausse porte ? Peut-on nier, en conscience, que la fin de ces jeux, soit autre aujourd’hui ? ou veut-on
la fin de ces jeux, soit autre aujourd’hui ? ou veut-on douter, si la fin de notre vocation est la gloire de Dieu, l’édific
âmes ? Certes le Chrétien juge de toute action principalement par la fin , et n’estime bonnes, sinon celles, qui visent à c
t n’estime bonnes, sinon celles, qui visent à ce but ; De dire que la fin de ces jeux, est de former la grâce à la jeunesse
nhardir la jeunesse ; que l’on s’en serve donc, pour parvenir à cette fin . Les Comédiens des Païens, avaient une fin beauco
onc, pour parvenir à cette fin. Les Comédiens des Païens, avaient une fin beaucoup plus spécieusecj, utile, et nécessaire,
’y répondre, et de s’en défendre en jugement. Au reste, quand même la fin susdite serait bonne, et vraie, ce que noncm ; il
par telles voiescn ; serait-il à louer ? Ainsi en se proposant cette fin , de la dextérité de la jeunesse ; faut considérer
près avoir montré, que ni l’auteur, ni la matière, ni la forme, ni la fin , c’est-à-dire ni les principes intérieurs, ni les
exercice que ce qui s’en peut permettre selon Dieu, et faudrait à la fin quitter tout ; ne plus ne moins, que celui qui au
e sévère mais très juste répréhension, que cet Evêque-là fait, sur la fin de ce 6. livre, à ceux de Trèves, qui après la ru
à se dégouter des Comédies, et Tragédies simples ; et crois, qu’à la fin on surmontera l’horreurez des Bacchanales, et des
10 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Ariettes, & des autres parties du Chant théâtral à une seule voix. » pp. 297-328
our être retenu sans peine. Pourquoi les Poètes l’ont placés à la fin des Drames comiques. Je ne conçois pas trop c
ois pas trop ce ce qui engagea les Poètes à placer le Vaudeville à la fin d’un Drame comique. Sans doute qu’il leur parut u
Spectateurs contens. Comme le Vaudeville ne se trouve guères qu’à la fin des Comédies d’un Acte, je serai tenté de croire
i déjà observé qu’il faut un grand art pour amener le Vaudeville à la fin des Pièces(64). Je dois rendre justice à la maniè
que les règles & les leçons. On y verra que l’enjoument & la fine plaisanterie accompagnent l’éxcellent Vaudeville 
artie que du Musicien ; & celui-ci ne sait que faire d’une pensée fine  ; il ne lui faut guères que des mots propres à êt
freuse. L’usage de placer des Ritournelles au commencement & à la fin de la plus-part des Ariettes, nous est venu, je c
mots. Je sais que la musique a plutôt besoin d’images que de pensées fines & spirituelles. C’est pourquoi il me semble q
un Poème. Quelque amour qu’on ait pour la musique, elle fatigue à la fin . Je ne fixerai point au Poète la quantité d’ariet
11 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
gistrats séculiers qui voient le mal et n’y remédient pas, Glos. in c fin . de except in 6. et Firman. tract. de Ep. par. 2
re, et de suppléer à leur défaut par leur zèle et par leur autorité. Fin du Traité de saint Charles. Exemplum affertur
rrogatus de emptio. Abbas eodem loco. Cap. de raptorib. Glos. in c fin . de except in 6. et Firman. tract. de Ep. par. 2
12 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques «  Analyse et sommaire du présent Traité  » p. 63
r les Jeux Comiques et Tragiques se jouaient anciennement pour ladite fin  : Ils ne peuvent donc être joués aujourd’hui sans
Ils ne peuvent donc être joués aujourd’hui sans ledit inconvénient. Fin
13 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre II. L’Exposition, le Nœud & le Dénouement. » pp. 183-210
’à des malheurs imprévus, qui changent la face des choses, amènent la fin de la Pièce en paraissant la reculer. C’est tout
Nous voici à la dernière partie du Drame. Le Dénouement en est la fin pleine & entière. Après lui l’on ne doit rien
it mourir ; & cependant on est aussi surpris, aussi affligé de sa fin tragique, que si l’on n’eut jamais sçu ce qui dev
n grand homme, on ne verrait pas tant de Pièces en tout genre dont la fin est défectueuse. Il serait à souhaiter que les dé
C’est à quoi l’on fait très peu d’attention ; l’on fait chanter à la fin des Opéras-Bouffons un personnage qui n’a souvent
e. Cet homme unique en tout, sentant bien qu’une Chanson répugne à la fin d’un Drame, lorsqu’elle n’est soutenue que par le
e sans changemens notables. Le nœud du Maréchal est proportionné à sa fin . Marcel le ferreur de mule, demande au commenceme
rminer, & se trouvent sur le Théâtre lorsqu’elle est arrivée à sa fin . 19. Voyez le Chap. 6. du Liv. 7. 20. D’Aubig
14 (1715) La critique du théâtre anglais « DESSEIN DE L’OUVRAGE. » pp. -
DESSEIN DE L’OUVRAGE. La fin du Poème dramatique est de porter à la vertu et d
es de Théâtre. Ce n’est pas néanmoins qu’ils ne pussent parvenir à la fin que se propose la Poésie dramatique, s’ils avaien
15 (1648) Della cristiana moderazione del teatro. Detto la qualità delle Commedie pp. -272
a per le pubbliche scene del Teat. Pag. 195 Q. 5. Non basta il fine buono per introdurre le Donne ; e i discorsi amor
e stimò di giustamente supplicar dicendo. Io non ho scritto per altra fine questo Discorso, se non per supplicare quesiti ta
derazione ? Voglio porre su questo principio, quello che pongo nel fine di un’altra Opera detta l’Istanza, cioè la descri
tà, io mi servirò di più pungente, e penetrante spada ; né mi poserò, fin tanto che non mandi in dispersione affatto le dia
o: ma deve essere con la debita moderazione: perché il Santo a questo fine prescrive i termini moderativi, dicendo degli Ist
paucis anmis erit in mundo; anima autem nostra, si bene agimus, sine fine regnabit in celo. Si vero, quod Deus non patiatur
ccia le sante virtù, e fugge dai vizi, e dai peccati. E conclude alla fine così «  Ecce audistis, Fratres, quales sint chris
dai rei, e dei modesti dai viziosi, e disonesti. Credo, che il detto fin qui basti per rispondere al Quesito : dunque non
dice egli, non siano di peccato mortale, quando sono dette senza mal fine  ; nulla di meno in Commedia, per esser luogo pubb
vogliacu concedere materia alcuna da ridere agli spettatori, che alla fine vanno alla Commedia per ricrearsi, e per ridere c
nt: et si notabiliter admixtum horum aliquid habent, mortale peccatum fine dubio incurritur a facientibus. » Notisida, che q
m se speciem mortalis peccati, sed potius alleviet ». Essendo che tal fine non dica secondo sé specie di colpa mortalmente g
con la propria persona porger diletto ai sudditi in cose da gioco, di fine , che egli è de’ popoli suoi, si fa instrumentodv
i Enrico II Re di Francia ha dimostrato: e questo è cosa contraria al fine del Re, che deve la vita sua alla pubblica salute
, scusò il fatto dicendo nel Prologo. « Ego bis trigenis annis actis fine nota Eques Romanus lare digressus meo Domum rever
edute. Io ho vedute quelle, che qui porrò distintamente con il solito fine ; cioè accicché possiamo giudicare, se le moderne
es veneras »l. 3 d. 18. n. 2.. Come sarebbe il condurre chiaramente a fine una fornicazione. E tali sporchezze si usano per
ofessa non usare esagerare; ma scrivere con tutto rigore scolastico a fine , che si distinguano giudiziosamente le lecite dal
io di tempo con la debita moderazione, e necessaria modestia; ma alla fine l’abito loro osceno si smascherò, e fecero delle
iosa, e abituale oscenità. Ma con un altro breve Quesito veniamo alla fine di questo primo Capo. Quesito Decimo ottavo
ndalo. Questi tali hanno la loro opinione, e io ho la mia. » Beltrame fin qui. Ma io considero, che egli non dichiara, chi
, e far dopo lo spaccio la commedia in una pubblica piazza: e per tal fine conducevano due Femmine. Subito fu avvisato, e pr
lettamento non sarà buono, e numeroso il concorso al banco: onde alla fine io non guadagnerò, quanto ci basti. Così rispose,
o ingannato si trova, chi troppo ardentemente brama conseguir qualche fine delle sue brame: e l’effetto veemente fa spesso t
s ». Che la Commedia è un Poema drammatico, pieno di negozi lieto nel fine , e dichiarato con lo stile popolare. Queste poche
e trattati di fornicazioni: ancorché poi il tutto si concluda con il fine di un apparente Matrimonio: perché tali cose al p
d’oro da qualificati personaggi, e anche da supremi Principi, e alla fine sperare di poter conseguir dopo la morte l’onore
dell’infernale Vulcano; « ubi cris, et stridor dentium ». Ovvero, sul fine dell’anno1640. quella creatura fu rimandata alla
a oscena con la comparsa della Femmina Commediante, la quale a questo fine già era salita in palco, e stava ritirata dietro
oro cammino: ed il Religioso aiutato da certe buone persone uscì alla fine con travaglio, e stento da quel grave pericolo; e
cortigiani mendichi del povero, e nudo Cupido, per diventare poi alla fine vittime d’impudicizia, e consacrate a Venere impu
imo sapore e di molta gagliardezza: si banchettava largamente: e alla fine i buoni Comici, oppressi dal vino, erano astretti
o, e a sentire, e vedere le oscene Azioni. Ed ella per questo cattivo fine ornandosi, e abbellendosi pecca mortalmente. « Mu
lti si impietriscono per tale aspetto: onde impietriti servono poi al fine per la fabbrica dell’eterna dannazione tra Diavol
dopo aver posto sottosopra il tutto con scandalo universale, fu alla fine illuminata, e toccata dal Sig. Iddio, onde compun
e di S. Teobaldo Eremita, l’asprezza della sua vita, e il felicissimo fine , del suo pellegrinaggio tra gli uomini mortali; e
a: tutti fuggirono, e l’infelice, lacerato cadavere rimase insepolto, fin tanto che cessò quella puzza intollerabile: e all
gnosa, e pudica quella, che gode farsi vedre sul palco Saltatrice nel fine della Commedia fatta dai Comici, o dopo lo spacci
e di più bene spesso vestire da uomo esercitano il salto Gaditano nel fine delle Commedia, « etiam Gaditanam saltationem in
to Gaditano nel fine delle Commedia, « etiam Gaditanam saltationem in fine Comedie virili habitu assumpto ». E D. Francesco
tro le scusa dal mortale: perché le scusa, quiando non hanno quel mal fine . « Facilius Meretricandi »Cap. Si qua mulier. 30.
ice la Glossa, e l’Arcidiacono nel cit. Canone. Ora se hanno quel mal fine molte volte si vede dall’effetto. Lirano avvisa.
solo venialmente, usando l’abito virile per leggerezza, « absque alio fine , et circumstantia mortali », quando novi sia altr
« absque alio fine, et circumstantia mortali », quando novi sia altro fine mortalmente vizioso, ne altra circostanza mortale
dei Cacciatori, non però guadagna la vita così fuggendo; perché alla fine languida rimane dal corso, e languendo se ne muor
So bene, che i Comici, e i Ciarlatani di buona mente non hanno questo fine speculativamente in « actu signato » ; ma essi mi
che aggiunga aiutiall’imperfezione della Natura, faccia il tutto col fine di parer bella: e che l’esser bella nno sia per f
sso, e una manifesta oscenità, prima di sufficiente ragione, e di tal fine , che la possa rendere onesta, secondo il parere d
sprezzate: ma stimo, che le viziose possano fare le suddette cose con fine moderato, e onesto, come anche l’acconciarsi il c
perché è scandalosa almeno efficacemente ai deboli di spirito: ne ha fine alcuno, o circostanza, che basti per la sua giust
o, e fanno recitare Commedie di poca onestà. Egli in Captius circa il fine del Prologo palra con questa forma intorno alla q
loro Rappresentazioni. Ma sentiamo ciò, che lo stesso Plauto dice nel fine . « Spectatores ad pudicos mores facta hac fabula
scena la voce femminile. E così tirando tutta l’attenzione sino alla fine , senza far vedere mai Femmina, o Giovanetto vesti
na pudicizia, e della vera castità. Quesito Quinto Non basta il fine buono per introdurre le Donne, e i discorsi amoro
rre le Donne, e i discorsi amorosi nel pubblico Teatro ? Quando il fine è di ottima condizione, non v’è ragione di biasim
: e chi operando prescrive a se stesso la bellissima luce di un retto fine , non deve restare involto nelle calignose tenebre
enebre del vituperio. Con questo principio alcuni discorrono così. Il fine buono non rende buona l’oparazione ? Sì per verit
rattati amorosi delle Commedie non sono cattivi: perché hanno un buon fine , che è l’onestissimo, e santo Sacramento del Matr
ndoglilw replicava con grazia. È vero, che discorrrono d’amore, ma il fine è buono, cioè il Matrimonio; è buono il fine. Ora
scorrrono d’amore, ma il fine è buono, cioè il Matrimonio; è buono il fine . Ora voglio rispondere alla difficoltà secondo la
ovocative efficacemente alla disonestà: tutto che le usino con ottimo fine : perché le azioni umane pigliano la bontà, e la m
gliano la bontà, e la malizia loro ontrinseca, ed essenziale, non dal fine sotto ragione precisa di fine; perché questo è es
loro ontrinseca, ed essenziale, non dal fine sotto ragione precisa di fine ; perché questo è estrinseco delle azioni: ma dagl
ndum speciem », la specifica; la terza « secundum finem », secondo il fine . Si legga il corpo dell’art. 4. e frattanto si in
e frattanto si inserisca per nostro porposito, che non basta il buon fine solo, cioè la conclusione del matrimonio, per ren
m malas vias adinveniat. » Il consiglio non è buono, se uno anche per fine buono ritrovi strade cattive. Come se tu per fare
de cattive. Come se tu per fare un altare alla B. Vergine, che è buon fine , ti ponessi a rubare, ovvero a dare ad usura, che
ura, che è strada, e mezzo cattivo. Così procedono i Commedianti: per fine buono, cioè per rappresentare un Matrimonio, inve
, quod bonitas sit. » Ed in sostanza vuol dire, che non basta il buon fine per la totale bontà di un atto buono. Un Religios
un atto buono. Un Religioso profesore di belle lettere scrisse. Se il fine è buonoD. Celso. Rosini nel sacro Museo., può qua
re il tutto fiorito, e odoroso, aggiungendo, come fiore di soavità il fine Matrimoniale, con che si termina la Commedia. Non
trimoniale, con che si termina la Commedia. Non basta mutare prima il fine , come dice il Beltrame, il lascivo, o giocoso avv
o Quesito, a cui dico, continuando la Risposta, che non basta il buon fine du un Rappresentato Matrimonio, per introdurre le
ccese d’amore; tuttochemf lecito sia il fare modestamente l’amore con fine di Matrimonio; perché la pubblicità è scandalosa,
zo delle nevi: e poi dicono, e professano di onestare il tutto con il fine di un finto Matrimonio. Questa finzione è una ver
e, tatti, e baci, e altre cose peggiori, da una Donna, quale poi alla fine riceve per Moglie. Ma nel rappresentare quelle pr
di chi non so chi, le gli si accostò facendogli vezzi, e lusinghe al fine , o di farlo cadere bruttamente nel peccato della
a presenza di molti deboli di virttù, con apportare per scusa il buon fine del matrimonio; perché tale espressione dell’affe
illecita per ragione dello scandalo. Ma diciamo anche di più, che il fine principale dei Comici, e delle Comiche non è per
ono tutti, e così confessano; e però indirizzanogli altri lor fini al fine dell’utile; e fanno l’arte Comica per vivere onor
ldi, che sono necessari al loro sostentamento: insomma l’utilità è il fine dei Commedianti; come anche la stessa è il punto
nsura, e che per sorta esperienza, non cammina a capriccio. Il comune fine di chiunque sisia umano operatore è animato dalla
si nelle virtù è un assicurarsi di maggiore guadagno: e questo comune fine hanno i ComiciC. 54. ancora: e però, come gli alt
E di più dice, che le loro mercenarie Commedie, sono fatte senz’altro fine , che di procurarsi il vitto. Ora se questo è vero
ica, che essi meritano biasimo, come che si abusino dell’Arte, il cui fine è di giovare con una dilettevole, modesta, e virt
i amorosi, e scandalosi ragionamenti degli Amanti, scusandoli poi col fine di un Matrimonio. E qui vale la dottrina ci Caiet
i; e per ammaestrare con viva voce, e con apparenza i semplici. E nel fine del Capo conclude così. La Commedia è statat inve
così. La Commedia è statat inventata a buon esempio, e non a rovinoso fine : se vi è poi, , chi abusa il suo beneficio, tal s
igere Deum est actus secundum s ebonus; sed referre actum huismodi ad fine aliquem inordinatum, scilicet cupiditatis, aut in
ui per prova che per lo più i moderni Comici, e Comiche non hanno per fine la conclusione del Sacramento Matrimoniale, ma il
tutto che non segua l’effetto, ella pecca mortalmente per ragion del fine mortale. « Si se ornat eo animoTr. 30. n. 221., u
naliter adametur, etiamsi non sequatur effectus, peccat mortaliter ex fine mortali », dice secondo S. Tommaso Filliucci. Cas
e di peccato. Ora io domando. « Quo animo», con che animo, e con che fine la Comica ordinaria si adorna ? Con animo, e fine
he animo, e con che fine la Comica ordinaria si adorna ? Con animo, e fine di piacere «moraliter; vel carnaliter, platonice,
, o alla plutonica ? Io credo, che molte Comiche virtuose non abbiano fine espresso mortalmente reo; ma non farei già la sic
resentazioni: dunque essa è meno scusata del peccato di adornarsi per fine di usare quel peccaminoso allettamento. Io credo,
o la bellezza sua, e la gentilezza della persona, senza altro cattivo fine , non sia peccato mortale. « Ornare se moderate, v
em, ostendendo suam puleritudinem, et elegantiam corporis absque alio fine , non est mortale. »cit us 221 tr. 30. Come credo
0. Come credono Caietano, Graffio, e Filliucci. Ma poi credo già, il fine di allettare ad udire la Commedia, quale fine la
i. Ma poi credo già, il fine di allettare ad udire la Commedia, quale fine la Comica per ordinario, sia fine buono, « finis
lettare ad udire la Commedia, quale fine la Comica per ordinario, sia fine buono, « finis normalis » ; perché, oltre alle co
ono, « finis normalis » ; perché, oltre alle cose dette sopra, egli è fine di allettare al pagamento della Commedia e al pag
os Comedias legere, et Mimorum turpia scripta cantar.» E conclude nel fine . « Helt Sacerdos sanctus fuit, sed quia Filios su
i, non vede oscenità, e così non si contamina; e se vi passa per buon fine , e a caso vede qualche oggetto osceno, sarà aiuta
levati: l’iniquità ancora ha la sua stagione per maturarsi, onde alla fine con il tempo si matura, e cadendo manca. Molti er
iudice, che tiene il luogo di dio; in modo che forse esso non oda nel fine di sua vita. perché volesti essere Giudice non po
amsi Venatorum effugerit manus, nihil inde fert tucri » ; perché alla fine resta morta; « sic anima accepto concupiscentia i
fazione, quando avrò schiodato, e mi vedrò libero delle mani. Ove per fine affettuosamente la riverisco, e mi raccomando in
, la quale (come ho detto sul principio di questa Operetta, e qui sul fine replico, seguendo l’avviso di chi scrisse già. « 
 : lo sforzo di giovare ad altri è a se medesimo un dolce frutto. Il Fine . Indice delle materie. A Allettament
me possa ornarsi per il Teatro. Pag. 217. E quando pecchi per cattivo fine . Pag. 217, 218. Si custodisce difficilmente. Pag.
to di una Commedia. Pag. 34. Filippo II proibì le Commedie. Pag. 250. Fine buono non basta a fare buona l’azione. Pag. 190.
a nuoce. Pag. 172. Z Zelo stimola all’aiuto altrui. Pag. 2. IL FINE .   Ho. 34.Note [NDE] Ottonelli réprend la cit
la raggiungono. ie. [NDE] Original: patono. if. [NDE] Original: il fine . ig. [NDE] Original: lo. ih. [NDE] Original: no
16 (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194
représentation naïve d’un événement agréable, assaisonné d’une satire fine et douce pour la correction des mœurs ? Les ancie
endant, comme elles ne sont pas sans réplique, M. l’archevêque, aussi fin que les jésuites qui cherchaient à l’embarrasser,
NDE] Les mémoires de l’abbé Louis Le Gendre (1655-1733), rédigés à la fin de sa vie, n’ont été publiés qu’en 1863 : Le pass
17 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IV. Des Personnages. » pp. 239-251
u milieu d’une Pièce, de même est-il ridicule de se le permettre à la fin . Ce qui serait un défaut s’il était suivi de plus
e son Poème ? Si vous permettez de faire tel personnage meilleur à la fin d’un Drame, ne puis-je pas dans le même cas rendr
de délicatesse que Térence, parce qu’il leur manquait ce poli, cette fine élégance que les Romains connurent aussi-tôt que
personnages l’état & les mœurs qu’ils ont d’abord. Ils sont à la fin ce qu’ils étaient au commencement. Leurs mœurs &a
18 (1751) Avertissement (Les Leçons de Thalie) pp. -
droit faible : on souffre aisément une réprimande, mais une raillerie fine et délicate est trop sensible à l’amour propre1,
t un tableau où l’on voit des caractères, des portraits, une critique fine des mœurs, des exemples de vertu et des sentiment
19 (1649) Della Cristiana Moderazione del Teatro. La soluzione dei nodi pp. -
ad instanza del Sig. Odomenigico Lelonotti da Fanano. Si aggiunge al fine una Censura d’Autori antichi, e moderni intorno a
essendo in terra, siamo bisognossimi della tua protezione: e però al fine di ottenerla, ora, e di continuo, con affetto umi
luoghi. 111. P. 15. Se il dire. Io non vo per far peccato, né per mal fine alle Commedie Oscene; e pochi vi vanno con tal’an
o piena cognizione. 201. P. 4.Se. perché molti senza ottenere il loro fine hanno scritto, e parlato contro le Commedie Oscen
he osservante Congregazione. Vedi all’ultimo di questa Operetta. Il fine . AL BENIGNO LETTORE, Affezionato al Teatro Cr
e 134. Può, e deve informarsi della qualità della Commedia 11. Va con fine di peccato implicite all’oscena 114. Alle volte v
on fine di peccato implicite all’oscena 114. Alle volte vi va per mal fine 114. 115. I vizioso cagiona il peccato 19. Non ha
ie oscene 229. Ma confusi partirono 230. Usano mezzo cattivo per buon fine 232. Fanno qualche Commedia modesta 213. Danno al
come le concesse 38. Fini vari, per li quali si va alla Commedia 113. Fine buono non giustifica i Comici osceni 113. 114. Mo
ssa, e debba fare, per non incorrere recitando in qualche errore: e a fine che non rimanga reliquia di dubbio in alcuno, han
sano fatti, e detti osceni; benché ciò facciano per puro gioco, e per fine di dar piacere ad altri per cagione del gioco, il
si lacci, che Satanasso pone loro nel trattenimento carnevalesco, con fine di tirarli seco legati nell’eterno tormento. Conv
is viri. l. 5. d. 46. n. 11. » E questa giusta cagione, e questo buon fine non si trova nel caso delle Commedie oscene, alme
ella consuetudine scandalosa delle Commedie; perché non si permette a fine di schivare più grave male; poiché o tal male non
ma si stende in mare, e si slarga molto bene, e con molto artificio a fine di fare una tratta buona, e abbondante, come è ne
he tal correttivo non basta; perché non « sunt facienda mala, etiam a fine , ut eveniant bona ». E non si purgherebbe abbasta
’infernal prigione del sempiterno pianto. Né la Commedia, benché alla fine rappresenti il Matrimonio, ha forza valevole a so
ane, si muti in virtuoso al vedere, e sentire, che un altro giunga al fine de’ suoi disegni, non è per certo buona ragione;
il detto di cui riferito da me ad un gran Signore pratico di Spagna a fine , che non tollerare le oscenità del teatro, gli di
iri. Ora se le nostre con minor interesse più riguardo, e senza altro fine , che di procacciarsi il vitto, sono fatte; perché
vino) le molte bruttezze, e le gravi scelleragini, che si conducono a fine molte volte con la scusa, e con la coperta di una
o che sarebbe tollerabile, anzi desiderabile, almeno per accidente, a fine di spuntar un chiodo con un altro chiodo, e di ca
rar quell’utile essere una cosa perniciosa, e degna detta nota di mal fine , e molto nocivo: perché la Commedia oscena è il m
dice. « Perché la Repubblical. 7. della Rep. Reg. c. 10. Regia ha per fine la bontà de’ sudditi, le Rappresentazioni non sar
le semplici persone; tutto che essi non vogliano questo, e abbiano un fine per altro eccellentissimo. Io abitai una volta in
lezzo delle oscene parole, e de’ gesti osceni. Bisogna confessar alla fine , che l’Opera è molto male operata per l’immodesti
o, che la risposta al presente Dubbio mi dilungar ebbe troppo dal mio fine principale, che è di rispondere con questo Libro
ngregatio S. Carolo rescripsit. Actus enimo, ut Theologi loquuntur, a fine specificantur, qui semper in humanis actionibus e
onna, a quel vero, e comune principio. « Actus humani specificantur a fine  », gli atti umani prendono la loro qualità, speci
ani prendono la loro qualità, specie, e natura in bene, o in male dal fine : e discorrono, a proposito della permissione dell
medie oscene, e dell’andar a sentirle, in questo modo. Si va per buon fine , cioè per imparate l’Arte di far belle, e ingegno
in disgrazia del Padre, aborrito da gli Amici, fuggito da tutti, e in fine vituperato da mille parti, richiamò la Ragione, e
dimeno di non introdurre i beni nella Scena con giochi, e scherzi, al fine che le Commedie non si rendano schife, e noiose.
o pensiero d’andar a sentire le Commedia Mercenarie allo Stanzone con fine di udire que’ ridicoli, che non trovo nelle Comme
penna in oro di eterno per onorarle, e lodarle eternamente. Dico per fine ad ogni Città principale del Cristianesimo, che s
rati. Pubblicato quest’ordine, seguì l’effetto d’emendazione: e ora a fine di mantenerla i Magistrati riveggono le Azioni; e
l’avviso di queste Scolastico per regola di saggia Moderazione, a chi fin ora poco scrupolo si è fatto d’invitar liberament
to decimo quinto. Se il dire, lo non vò per far peccato, né per mal fine alle Commedie oscene, e pochi vi vanno con tal'an
È opinione del Comico Beltrame, che chi vuole cercare, e ricercare il fine , col quale si va alla Commedia, non troverà, chi
va alla Commedia, non troverà, chi vi vada per far peccato, e per mal fine . Se io non erro, dice egli, il fine di coloro, ch
i vada per far peccato, e per mal fine. Se io non erro, dice egli, il fine di coloro, che vanno alla Commediac. 17. si somma
Insomma cercate, e ricercate, che non troverete, chi vi vada per mal fine . L’opinione di questo Comico non resta giustifica
empo non dicono le parole, né formano i gesti di qualche oscenità per fine , che si pecchi; ma per fine di far fuggir il pecc
é formano i gesti di qualche oscenità per fine, che si pecchi; ma per fine di far fuggir il peccato, il quale si rappresenta
iAppr.Il Franc.nel Gio. Chris. p. 3. c. 15., che professano aver buon fine ; e dico. Peccano mortalmente, quando nel recitare
vocative efficacemente alla disonestà; tutto che le dicano con ottimo fine : perché le Azioni umane pigliano la bontà, e mali
e pigliano la bontà, e malizia loro intrinseca, e essenziale, non dal fine sotto ragione precisa di fine, perché questo è es
loro intrinseca, e essenziale, non dal fine sotto ragione precisa di fine , perché questo è estrinseco dell’azione, ma da gl
presa da tali oggetti non può essere fatta buona da qualsivoglia buon fine , essendo estrinseco. Vero è, che il fine cattivo,
a buona da qualsivoglia buon fine, essendo estrinseco. Vero è, che il fine cattivo, etiam estrinseco può contaminare l’Azion
est ex integra causa », secondo il detto del gran Dionisio; e però il fin buono non basta ad integrare la bontà di un Azion
Spettatori niuno va alla Commedia oscena per far peccato, ne per mal fine . Rispondo, che forse è vero « in actu signato, ex
us ». Senza che non mancano di quelli che vanno alla Commedia per mal fine direttamente. Onde Beltrame fece l’obiezione a se
rai a questo capo? Veramente se molti andassero alla Commedia con tal fine , io stesso, dice Beltrame, che sono interessato,
rlo, ma solo con permetterlo. Onde Laimanl. 2. tr. 3. c. 13. n. 7. al fine . approva la dottrina del Valenza, e dice. «Commis
Crisostomo. « Temporalis voluptas perpetuum parere solet dolorem, et fine carentia tormenta. »ho. 22. in Gen. Punto vigesi
forse fa opera di qualche merito appresso Dio. « Bonitas rei pendet a fine  », scrive S. Tommaso; poco prima aveva scritto. «
anno, solamente per ridere sentendo le buffonerie, e non avendo altro fine , si una cosa poco a lui decente, e però deve rifi
soccorso più volte di segrete elemosine, ma non rimase contento: alla fine , dopo essere stato tentato alcune volte con lette
detto, la quale non è pregio dell’opera, che noi consideriamo  ; e in fine aggiunge. Solo il Comico per sua natura, e per co
asa Pia, ove dalla carità de’ Fedeli potrà esser aiutato, e mantenuto fin all’ultimo di sua vita. Ho inteso da Girolamo Chi
tam solicitudinem suspensa expectationis exagitet. »In Mat. C. 26. in fin . Cioè. Noi abbiamo bisogno di vigilanza, di orazi
e intelligenza servisse per bene de’ suoi Discepoli a conseguir quel fine , che prima si aveva prefisso, dichiarando Terenzi
uesto voglio discorrere per via di Punti, r Dubbi secondo il solito a fine , che in tutti si vegga praticato il detto breve d
opolo ne gusta, sia buona Ragione per tollerarle Gli esempi iuxta §. fin . Inflit. de hared. instituted. iuxta. erat olim I
, già che dal Pubblico è stata data licenza di far Commedie, proibite fin dal principi della Guerra col Turco. E credesi ci
ivili proibiscono le oscenità Teatrali: onde io dico anche secondo il fine di tali Leggi. Non vuole il diritto di Ragione, c
on possiamo dire con S. Cirillo Gerusal. Ad Illuminatos Catech. 4. al fine . L. 5. de Provid. « Ne Spectaculum etnico catus a
ice. « Non peccat Princeps permittendo, et non impediendo, bono tamen fine . Nam quanda mala permittitur, nec ad alia deterio
saeculorum. » Punto quarto. Se, perché molti senza osservare il loro fine hanno scritto, e parlato contro le Commedie Oscen
menti, quando discorrono con questa forma. Molti, senza conseguire il fine , e frutto preteso, hanno faticato molto e scriven
o sempre le loro fatiche vane, e infruttuose: perché si proposero per fine , e faticarono, o per muovere i Superiori alla pro
più faticare scaldando, e battendo il ferro, che non si torce? A che fine prender fatiche nuove, e vane, senza conseguire i
A che fine prender fatiche nuove, e vane, senza conseguire il preteso fine ? Questa è prudenza? Ovvero ostinazione? Rispondo.
o dal vizioso; non fatica in vano, e ottiene per ordinario il preteso fine , e il desiderato frutto; cioè, o che l’Azioni si
ecolari con il modo scolastico, ho per divina bontà conseguito il mio fine ; e ho vedute le fatiche mie, non vane, ma fruttuo
o vi rimarrebbe, che non si potesse facilmente riformare. E a, questo fine mirano le fatiche di molti moderni, i quali conce
nno in Cielo, lo riceveranno anche in terra, e conseguendo il preteso fine , non saranno vane. E all’ora i modesti, e valenti
erazione Teatrale de’ giochi; e trattenimenti del Teatro. E se questo fine non sortisce, sortirà forse quell’altro, con che
iandio leggeri, il tempo commesso loro per operare il bene. E per tal fine ricordo, che Zaccaria Bonerio ha ponderato, che u
o fanno, e devono fare i zelanti, e discreti Predicatori, e Dottori a fine ,che ne segua la correzione ne’ miseri Peccatori.
tori a fine,che ne segua la correzione ne’ miseri Peccatori. A questo fine sono stati composti tanti Libri e fatte tante pre
he, o parlando, o seguendo, o stampando, travagliano cristianamente a fine , che il cristiano Teatro resti purgato da tutte l
a offesa di Dio, e senza rovina degli Spettatori. E chi fatica per un fine tanto giusto, onesto., prudente, e buono; certo c
, che li legga, come gli bisogna e per conoscere, e per conseguire il fine , per cui ha ricevuto l’essere dal Creatore; e que
ssimi costumi ripieni i loro scritti; ponendosi avanti gli occhi quel fin lodeule di insegnar l’Arte del vivere sapientemen
egli aggiunge. Cioè. Tutti i mezzi sono buoni, quando tendono a buono fine ; perché chi avesse per fine l’offrire un Calice d
mezzi sono buoni, quando tendono a buono fine; perché chi avesse per fine l’offrire un Calice d’Argento, è d’Oro ad un Alta
r fine l’offrire un Calice d’Argento, è d’Oro ad un Altare; e per tal fine usasse l’assassinio, e il ladroneccio, uccidendo
del dinaro, il mezzo sarebbe molto cattivo, ancorché tendesse a buono fine . Così nel caso nostro de’ Commedianti osceni par
e. Così nel caso nostro de’ Commedianti osceni par che succeda; hanno fine retto: vogliono correggere, e ammaestrare al bene
azione; questo è servirsi di un mezzo molto repugnante alla bontà del fine , cioè per cagionare casti costumi, proporre impud
così la Professione de’ Commedianti non merita biasimo, quando ha per fine l’onesto trattenimento: ma si come in quelle Prof
perché a tutti è prescritta la regola di vivere con Virtù: e a questo fine vien, provocata ogni persona di qualsivoglia sess
are: chi vuol peccare suo danno. Ella si fa buon esempio; e non a rio fine : se vi è poi, chi abusa il suo beneficio, tal sia
quell’Animale, trattò con le vecchie per concluderne la compra e alla fine l’ottenne a prezzo molto caro, e molto alto. E le
qua. E così diligentemente fu custodito un buon spazio di tempo: alla fine un giorno, essendo poco ben guardato da un custod
l suo cantar’osceno, ricevé tormento grave di fuoco nella bocca: alla fine svegliata dall’orribilissimo sonno, narrò il tutt
lcune Gentildonne se ne partirono talvolta prima, che si giungesse al fine . La pubblica fama presto portò quel disordine all
onestà, e impudica Ricreazione. E io colpendo nel bersaglio di questo fine , finisco di lanciar altre saette per ferire: e so
entes aliquando bestialiter moriuntur. »3. p, sum. T. 8. c. 4. §. 13. fine . Alle volte avviene, che se ne muore a guisa di b
ig. Superiori di efficace rimedio, come sono obligati. Ed io à questo fine ho scritto il Libro, che s'intitola L'Istanza. il
di quella brevità, che io sperava, e desiderava, però la pongo qui al fine dopo le brevi Risposte date brevemente da me a gl
a, che gli amori, che in quella trattava, non erano veri, ma finti, a fine di dar trattenimento a Lettori Invenzione, con la
serabilmente restano prese a migliaia nell’uno, e nell’altro sesso, e fin dall’età fanciullesca fatte preda del peccato, e
ribus, Epico, Lyrico, Tragico, Homerum, Pindarum, Euripidem ». E alla fine conclude, che i Cristiani Compositori debbono eme
che se altro non si pretendesse, altri non se ne prenderebbero? Se il fine d’alcuni Poeti fosse stato quest’uno di svegliare
endevano ammorbatoSer. 81. deuter. tutto il paese: e pèrche saltavano fin sopra le tavole, dove si prendeva il cibo; e sopr
sa libertà de’ cattivi) la troppa fidanza de’ semplici buoni, che con fine di ripulirsi l’ingegno allo specchio de’ tesori d
ndo la lezione, giunse ad un trattato fatto da Nestorio, e legato nel fine di quel volume; e conobbe, che quello era l’inimi
ndo ritrovare la cagione, se ne meravigliò, e ne sentì disgusto: alla fine dubitando, che non procedesse da quella lezione d
tale occasione. Aveva gran desiderio d’imparare la lingua italiana, a fine di poter leggere i Libri spirituali scritti con t
uggire con diligenza la lezione de’ Libri vani e poco modesti; e alla fine raccontò questo orribile esempio, successo in una
racconto di tal’esempio, narrato dal proprio fratello, e religioso, a fine di far fuggire ogni lezione de’ Libri impudichi:
massimamente perché per ordinario non si leggono questi Libri con un fine , e modo tanto buono, che a guisa degli Israeliti
: flores denique dum colligunt phrasium, pudicita perdunt: quod malum fine dubio multò gravius est opinione multorum, ac lat
odesta. Aristotile insegna, che le Favole poetiche furono ritrovate a fine , che i Mortali attendessero all’acquisto della Vi
opere de’ Poeti fossero state fatte, o si facessero con la regola di fine tanto nobile, e virtuoso, non avrebbero avuto già
affetto, par che si possano leggere al parere di alcuni; perché alla fine risvegliano solamente qualche; pensiero alquanto
cipio del suo Pontificio governo i Monasteri de’ Religiosi in Roma, a fine d’incitarli alla perfezione propria di ciascuno,
esi, le quali contengono amori impuri, e istorie poco modeste. E alla fine conclude con questa illazione. « Erubescant ergo
qui riferire una cosa, dice Fr. Luigi di Granatapar. 4. del Simb. al fine ., che mi narrò un Signor del Consiglio generale d
le vivande: ciò seguì; perché conobbero, che egli non mirava ad altro fine , che di recar al gusto, e alla gola compiacimento
à. Ora si come l’Artefice buono delle vivande conviene, che abbia per fine suo principale l’utile, e mantenimento, del corpo
gusto, e il diletto del senso:così il·buon Poeta non si prefigge per fine il solo dilettare; ma mira principalmente all’uti
letto a sé, e ad altri, fatica senza fondata ragione, senza il debito fine , e può temere d’acquistarsi il nome di Poeta vano
, che si faticano tutto dì scrivendo e componendo per gustare essi al fine , e far gustar ad altri, una stilla di vana misera
far gustar ad altri, una stilla di vana miserabile dolcezza, senza il fine della virtuosa utilità. Ma quelli poi, che a Comp
one di provarsi, e esercitarsi comicamente in Scena: certo è che alla fine dopo le molte prove essi verranno al Teatrale Rec
saggiamente si trattengono in Casa, quanto più si può. Ma la Casa in fine non è un Oratorio, per dimorarvi in continui eser
zioni imprimono assai più, che i semplici ragionamenti, e fanno colpo fin in que’capi sventati, che non vogliono sentire gl
la guerra de’ Giganti: bisogna, che con il mezzo sia proporzionato al fine : se la Congregazione ha vera mancanza di spirito,
, e volle, che ognuno fosse astretto all’atto di scarificare, forse a fine che s’intendesse , che ogni persona deve dopo i t
appresentata un’Azione da molti Recitati, Soggetti di un Convento, al fine uno comparve in Scena a fare la sua scusa, e diss
ntia loquitur acerrime, corripiatur. »To. 1. Concil. pa. 509. col. 1. fine . Faccia per se il commento a queste parole ogni s
ta Commedia. 129. N. Ultima. D’un Ricordo giovevole a’ Congregati. IL FINE . Approvazioni. Il Sig. Girolamo, Rosati ved
ob. 2. 10. t. 2. all. 1. disp.44. n. 17. l. 2. tr. 3. c. 13. n. 7. al fine . l. 3. contra Parmen. Mat. 13. Suar. De fid. Disp
To. 1. tit. De Antichr. in primum metrum pag. 236. In Mat. C. 26. in fin . in Ps. 51. 10. Or. De mortius. ser. Infer. 4. He
. 4. c. 17. §. expedit spir. t. 1. par. 3. Pastor. Adm. 21. iuxta §. fin . Inflit. de hared. instituted. iuxta. erat olim I
195. Epist. Ad Historiarum. cap. 27. Ad Illuminatos Catech. 4. al fine . L. 5. de Provid. lib. 1. cap. 11. della Tribol.
. Par. pr. l. 8. c. 70. l. Medit. c. 7. 3. p, sum. T. 8. c. 4. §. 13. fine . cap. 42. De perf. Chris. form. t. 4. l. de Vocat
8. In Act. c. 19. v. 19. p. 718. Plut. in Apoph. par. 4. del Simb. al fine . in cat. Ad illud. c. 2. Iob. Filijs suis, et c.
n. Capucc. an. 1562. n. 39. pag. 599. To. 1. Concil. pa. 509. col. 1. fine . in Regul, Brev. n. 159- t. 9. tract. 7. de Vit.
20 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
ion sacrée, et qui ne forcera donc pas les écrivains de désirer, à la fin de son règne, pouvoir déchirer les pages où ils e
parents ont pratiqués et propagés avec aussi peu de retenue que si la fin de leur vie devait être la fin de tout ce qui les
és avec aussi peu de retenue que si la fin de leur vie devait être la fin de tout ce qui les intéresse. Il y a déjà long-te
yons périr. C’est en vertu d’une mission aussi naturelle, et pour une fin aussi légitime que je vais émettre quelques autre
21 (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435
ges distingués par leur rang, leur vertu, et par la triste et funeste fin de leur aventure, ou de leur vie. La Comédie nous
tre et jeux du cirque : ils les divisèrent ensuite par rapport à leur fin , en jeux sacrés, jeux votifs, jeux funèbres et je
e de la nuit ; et la licence était toujours beaucoup plus grande à la fin qu’au commencement : les dépenses enfin y étaient
rétablissement. Théodose le souffrit pendant quelque temps, et sur la fin de son règne le défendit. Honorius et Arcadius im
22 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58
ra-Bouffon ne se piquat jamais de ménager la pudeur. Ses Drames de la fin du siècle passé, ceux qui firent briller son Théâ
laisse rien à deviner, & qui méconnaît le mérite des èxpressions fines & délicates. La modestie, l’adresse du naïf l
la. Que nous laisse à deviner ce sens interrompu ? Elle a la taille fine , Et même j’imagine… C’est grand dommage que la b
n des trompettes ». Mais l’Auteur a fait en sorte que les gens un peu fins se passassent de l’èxplication. Me voici arrivé à
souvent réveillée ; on l’avertit de prendre garde aux équivoques, aux fines plaisanteries ; & aux images voluptueuses qu’
-toi, va, je recule afin de mieux sauter. Voilà ce qu’on appelle une fin proportionnée au commencement ; & un Ouvrage
   Peste ! Ah ! Monseigneur… Robert.                        Sa jambe fine & leste… Lahire. Ah ! Monseigneur… Robert.
mme assez osé Qui tenterait de nous séduire. Voici une allusion bien fine  : Bonne mère, à vos droits la cour ayant égard,
23 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
us ceux qu'il peut prendre en les rapportant à Dieu, qui doit être la fin de toutes ses actions selon ces paroles de l'Apôt
les passions, et corrompent les bonnes mœurs. Dieu n'en peut être la fin . D. Les spectacles peuvent-ils être comptés parmi
Opéra, et les autres représentations qui se font sur les Théâtres. La fin de ces représentations étant d'exciter les passio
24 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
t d’art pour terminer un Acte, que pour faire sortir les Acteurs à la fin d’une Scène. Les Pièces Grecques n’avaient po
n sixème Acte. S’il arrivait qu’on ne pût dénouer l’intrigue à la fin du cinquième Acte, ou même qu’il fût nécessaire d
s choses à deviner. Dans la crainte que les Drames ne devinssent à la fin d’une longueur énorme, il faudrait que le sixième
lui soit vraîment propre, étant la bouffonnerie, il fatiguerait à la fin , s’il ne s’arrêtait à propos. Les ouvrages burles
25 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre X. Des Incidens & des Episodes. » pp. 159-164
connu de personne. Sur un faux avis, donné à dessein par Zaraès à la fin du second Acte, Amœnophis envoye en Arabie, une a
se tomber à ses pieds & s’enfuit. L’armée déjà bien éloignée à la fin du second Acte, est rappellée au commencement du
26 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
nce dampne de tenebre & bruyne » Loup ravissant, ton hurlement ne fine » Que te fault-il ? as tu la rage au cueur ? » Pr
haulx, soufre, & poix resine » Metail bouillant qui seront drogue fine » Pour destouper ta mauldicte rancueur. » Autre
hemins prens » Pense souldain de leur liurer bataille » Pour mettre a fin la maudicte canaille » Transporte toy aux prestre
ité Joüa les Saints, la Vierge, & Dieu, par piété. Le Savoir à la fin dissipant l’Ignorance Fit voir de ce projet la dé
27 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
leur luxe & leur vanité par des sommes immensesVoyez la Note à la fin de cet Ecrit., qui suffiroient & seroient néc
int encore éclos. » S. Aug de Civit. Dei, c. 13. Voyez la Note à la fin de cet Ecrit. Prov. ch. 7. v. 20. 21. Conf. L.
28 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
e ce Saint Pere1, que les cruautés du Cirque devoient bientôt prendre fin , qu’on se lasseroit du combat des Gladiateurs, a
e un corps sans ame. Car, selon Horace2, ce grand maître de l’Art, sa fin est d’intéresser ; si vous n’employez la clef de
. 1. Astutia spirituum nefandorum prævidens pestilentíam Circi, jam fine debito cessaturam, aliam longè graviorem, quâ plu
29 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
me Dramatique qui représente une action commune et plaisante, dont la fin est gaie, qui d’une manière ingénieuse, corrige l
Saint Clément d’Alexandrie S. Clem. Alex. l. 3. pædagogi. c. 11. sub fin . ne déclame pas moins fortement contre les spect
ia spirituum nefandorum, prævidens illam pestilentiam (idolatriæ) jam fine debito cessaturam .… aliam longe graviorem .… non
quini sextum ou in trullo, Conc. in trullo. can. 51. assemblé sur la fin du septième siècle, lequel défend aux laïques sou
’espérance de remporter quelques-uns des prix, qu’on y distribue à la fin à ceux qui les ont mérités, les porte à étudier a
. l. de spectaculis c. 17. S. Clem. Alex. l. 3. pædagogi. c. 11. sub fin . S. Joan. Chrysost. Hom. 6. in Matth. S. Aug.
30 (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36
nos masquarades nous verrons que ce n’est qu’vne mesme chose : sur la fin de l’annee & au mois de Feburier (l’annee com
faciles à enfanter sans tranchees & douleurs. Nos masques sur la fin de l’an courent les ruës masquez & deguisez e
& insensiblement escoulee aux esprits des Chrestiens qui les a en fin renduz insensez (face Dieu que non insensibles &a
idolatres se masquoient en vn autre tẽps, d’autre façon & à autre fin , & quant à eux qu’ils n’ont intentiõ que de p
urer en ces bestes & courir les ruës. S. Pierre de Rauenne sur la fin de l’homelie de ce mesme iour du premier Ianuier
ction & absolution aux adulteres Nicolaus Pap. epist. 4., à celle fin que tous les Chrestiens fussent purs & nets à
a d’ãticiper l’ãnee de 8. iours & de la commencer à Noel, à celle fin que par ce offic. Alcuin. ibid. Vet. Kalend. m. s
e de Dadon prioit le Curé de veiller par ensemble la nuict de Noel, à fin que par les merites & interuention de S. Nice
c. c. 1. Ordo Clazom. m. s. l’Eglise mesmes qui a redoublé l’office à fin qu’on n ẽployast à autre vsage ces saincts iours,
l’Eglise nous met deuant les yeux en memoire de l’incarnation, mette fin à noz folies & irreuerences plus que payennes
31 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [P] » pp. 441-443
es Parades, l’invention y décèle souvent les talens de l’Auteur ; une fine plaisanterie se fait sentir au milieu des équivoq
grossière ; les jeux de Thalie n’y sont plus animés par une critique fine & judicieuse ; ils sont deshonorés par les tr
32 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
les imposent sont trop respectables dans leurs motifs & dans leur fin , pour être une véritable chaîne. Ce n’est pas la
s sensés attachent à cet état. C’est une régle sûre en morale, que la fin que nous nous proposons dans une entreprise, nous
moment, que cette Actrice a sacrifié toute pudeur pour parvenir à ses fins . Rien ne coûtoit donc alors aux Comédiens pourvu
quoi ils ne devoient satisfaire à cette ordonnance infamante, qu’à la fin de la Piéce. Cette prostitution rappelloit au peu
33 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
plus que par le plaisir de la Comedie, que nous arriverons à ces deux fins  : est-il rien de plus dangereux à notre innocence
ui tombent sous nos yeux ; & c’est-là le but des Acteurs : car la fin qu’ils se proposent, c’est de plaire à ceux qui l
ion de se marier, de se servir des mêmes adresses pour arriver à leur fin  ? Ce sont de pareilles leçons qu’on donne dans le
dre graces à Dieu, comme en étant la premiére cause & la derniére fin , est encore moins permise à un Chrétien. En quell
34 (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132
la peine de remarquer dans la Comedie de nostre Arioste, est la vraye fin de la Poësie representatiue. Elle est cause que l
; s’essuya le front auec son mouchoir. Le troisiesme Acte estant à la fin venu, où Cynthio vouloit continüer de discourir d
p; de la tromperie dans les moyens qu’elle employe, pour arriuer à sa fin . Vne tromperie si ingenieuse & si honneste, e
ste que celuy qui ne trompe pas ; & à laquelle il croyoit que les fins & les habiles se deuoient laisser piper, pour
les fins & les habiles se deuoient laisser piper, pour estre plus fins & plus habiles.   Mais de quelle maniere se t
35 (1582) De spectaculis. Cap. 5. [Tertia ac postrema syntagmatis iuris vniversi pars, liber XXXIX] « De spectaculis. Cap. 5. » pp. 818-825
. num. 5. 7. 8. 4 Ludorum theatralium diuisio. Et 17. 6 Spectaculorum fines virtus, & voluptas, quæstus. 9 Certamina sac
uptionem, vel deteriorem viuendi modum habere, traditVip. in l. 1. §. fin . de ser. corrup. lib. 11. P. titu. 3.. Et idem Iu
& folliati, vt author lulius PolluxIul. Poll. lib. 3. Onomast. c. fin ., τοὺς μὲν οὖυ καλουμένους ἱεροὺς ἀγῶνας, ὧν τὰ ἀ
p; cler. 5. interdicimus, in 2. de sanctiss. episco. Vip. in l. 1. §. fin . de ser. corrup. lib. 11. P. titu. 3. l. imperial
. lib. 10. c. 19. Plato, 12. de legib. Iul. Poll. lib. 3. Onomast. c. fin . Simbo, lib. 2. Geog. 12. p Pausa. libr. 6. in El
36 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
ules et vicieux qu’on entreprend de corriger sur le Théâtre : et à la fin de la Pièce chaque vice et chaque ridicule se tro
tion ? Car les amours les plus irréguliers sont toujours heureux à la fin par le mariage. Quelle méthode ! C’est précisémen
37 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
les en les instruisant, on jouait Dieu et les Saints. Le savoir à la fin dissipant l’ignorance, Fit voir de ce projet la d
riture avec ce qui peut passer pour profane. Ecoutons je vous prie la fin de la quatrième session « Post hæc temeritatem il
qui fréquentent le Théâtre, ne sauraient souffrir qu’on y exposât la fin pour laquelle tout est écrit, et qu’on y développ
priser les richesses, n’aimer et ne craindre que Dieu : « Ecoutons la fin de toute parole, dit l’Ecclésiastique, Craignez D
cœur pur, d’une bonne conscience, et d’une foi sincère, et qui est la fin des Commandements ». « Car si vous vous aimez d’u
eut que nous ayons toujours devant les yeux. « Souvenez-vous de votre fin dernière dans toutes vos actions360 ». « Le Seign
Histoires des plaisanteries et des fictions Advers. gent. L. 4. vers. fin . . « Nec satis hæc culpa est ; etiam mimis et scu
rem[ie]. 15. 17. De vera Relig[ione]. 51. Advers. gent. L. 4. vers. fin . Li. 14. c. 6. « Donare res suas histrionibus
38 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
compagnée d’une joie qui l’inondera de sa plénitude, et qui sera sans fin comme sans affaiblissement. Voilà, Monsieur, les
x pour qui ils sont faits ; mais par les traits de cette plaisanterie fine et délicate que vous savez manier avec tant d’adr
té et à l’Auteur de toutes lumieres, qu’il daigne l’éclairer avant la fin de sa carriere. Pour moi, Monsieur, soyez persuad
39 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
rien à ajouter à de tels faits. L’espace me manque pour parler de la fin de ce volume où l’auteur a rassemblé des détails
la source. Entre les citations, une seule m’a paru étrange : c’est la fin d’un couplet du Gymnase dramatiqueh ; certes, M.
’auteur fait référence à l’influence de la typographie anglaise de la fin du xviii e siècle sur les pratiques d’impression
40 (1674) Le Theâtre François pp. -284
is les yeux sur d’autres moindres spectacles, & qu’ayant le goust fin & delicat, & le discernement excellent po
n les noms des Acteurs & des Actrices des deux Hostels jusqu’à la fin de l’année presente mil six cens soixante treize.
’ay à parler en celuy-cy de l’vsage de la Comedie, c’est à dire de la fin pour laquelle ie trouue quelle à esté inuentée ;
nt toutefois chacune & leurs loix & leurs coûtumes, & vne fin particuliere, sur laquelle leur établissement est
st le centre où viennent aboutir toutes leurs resolutions ; & ces fins particulieres tendant à la generale, vont toutes
vn commerce vniuersel dans toutes les parties de la Terre ; & la fin que ces Societez là se proposent est tres loüable
commoder à tous les esprits. Ces deux sortes de Societez ont la mesme fin , & que nous importe par quel moyen elles y ar
utes que j’ay dit que l’on peut prendre pour paruenir à cette loüable fin , les vns ont fait choix de celle qui est aspre &a
estier des Roys, la guerre est juste & loüable, quand elle a pour fin la defence de leurs Droits & le soûtiẽ de leu
e corps, n’en sont pas pour cela moins honorables, elles on vne bonne fin  ; & la Comedie, comme ie l’ay fait voir, en a
re dont s’entretiendront tous les siecles à venir. Encore vne fois la fin de la Comedie est bonne. Les choses les plus sain
ur esprit & à les porter a l’étude de la vertu. C’est là aussi la fin que le Poëte se propose dans la Comedie, & c’
i la fin que le Poëte se propose dans la Comedie, & c’est la méme fin du gouuernement des Comediens. Leur Societé ne s’
ue la Comedie est du nombre de ces choses dont l’institution a eu vne fin louable, & qui sont bonnes au fond, quoy que
les grandes passions jusqu’où elles peuuent aller, à demesler la plus fine Politique des Estats pour la faire entrer en comm
a les Comediens, qui entendent mieux cette matiere que le Poëte. A la fin de chaque Acte, tandisque le Lecteur prend halein
dans le seruice, ayent de quoy s’entretenir honorablement jusqu’à la fin de leurs iours. 13. Difference entre les Troup
maniere de Republique, & de la plus belle espece ; quelle est la fin de son gouuernement, & les áuantages qu’on en
r s’óposer aux violences qu’on leur voudroit faire. Ie produiray à la fin du Liure la Declaration du Roy du 9. Ianuier 1673
Cet établissement des Comediens se fit il y a plus d’vn siecle sur la fin du Regne de François I. mais ils ne commencerent
oupe du Palais Royal. La Troupe du Palais Royal fut établie sur la fin de l’année 1659. apres que les principales person
Royal. La Declaration du Roy pour cet etablissement sera couchée à la fin du Liure. Voila en peu de mots comme les choses s
qui l’executent, je diray seulement que Son Altesse Royale a le goust fin pour toutes les belles productions, qu’elle en sç
elle des Fossez de Nesle ; vis-à-vis la ruë de Guenegaud ; Et à cette fin d’y faire transporter les Loges, Theâtres, Decora
sans fâcher personne, qu’il a soûtenu le Theâtre du Marais jusqu’à la fin par sa bonne conduite & par sa brauoure, ayan
41 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
la Tragédie et la Comédie, 265, 266 Le divertissement n’est point la fin principale de la Comédie, 267 La Comédie et la Tr
Tragédie, quoique par une route différente, doivent tendre à une même fin  ; qui est la réformation des mœurs, 268, et suiv.
42 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
fin qu’elles soient égales et ne se démentent point. Ainsi jusqu’à la fin le souvenir d’Hector est cher à Andromaque. Il y
res ou étrangers, qui les traversent : Il va ordinairement jusqu’à la fin du quatrième Acte, et dure quelquefois jusqu’à la
ement, peu de récits, une action continuelle et qui se précipite à sa fin . La Fable, ou la composition du sujet, est la par
. Le Poète doit avoir grand soin de réserver le plus tragique pour la fin de la pièce, et pour en faire le dénouement, afin
r de plus grandes passions dans l’âme des Auditeurs. S’il expose à la fin de la Tragédie deux grandes actions, l’âme partag
est toujours heureux ou malheureux depuis le commencement jusqu’à la fin de la pièce. Les Grecs qui aimaient à se lamenter
ance à propos, en observant toutes les règles de la vraisemblance. La fin des pièces dramatiques est d’exciter en l’âme plu
nciennes Comédies ; et que les Modernes soient plus délicates et plus fines , elles n’en sont pas pour cela moins dangereuses,
uoique l’amour que l’on dépeint sur le Théâtre, ait souvent une bonne fin , cela n’empêche pas qu’il ne fasse de fort mauvai
43 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
i commencent et qui conduisent l’action à une bonne ou à une mauvaise fin , et qui excitent le plaisir ou l’indignation des
i commence l’action, qui y donne le mouvement, et qui la conduit à sa fin . Athalie est dans le même cas ; on peut même dire
ais, à ce qu’il me paraissait, l’action ne pouvait être conduite à sa fin , que par les intrigues d’amour de ces deux Prince
et par conséquent pour corriger la Pièce, en conduisant l’action à sa fin , sans le secours de la passion d’amour ; je crois
ue la vertu la plus sévère peut exiger d’elle ; et si elle parle à la fin , c’est la situation qui l’y force ; puisqu’elle s
nclination pour une personne qu’Arténice ne connaît pas ; puisqu’à la fin il se trouve que cet inconnu est Sésostris lui-mê
44 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
nnes sont menacées de quelques grands malheurs, qui sont effacés à la fin par un événement heureux. On ignore l'origine de
st donc plus que dans les livres de poétique que l'instruction est la fin du Poème Dramatique. Cela n'est plus véritable, n
appartiennent qu'à Dieu, qui veut y régner par la charité, qui est la fin et l'accomplissement de toute la Loi Chrétienne.
affligé Que le respect des dieux qui l'ont mal protégé. » Et sur la fin de la scène quatrième du même Acte : « J'irai, n
i ce discours peut ouvrir les yeux à quelqu'un, je serai parvenu à la fin que je me suis proposée, pour ceux qui sont rempl
45 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
à la vertu, et l’on menace les impies d’une peine qui n’aura point de fin . « Cependant les passions se débordent, comme u
rie et de la Chaldée. Israël est puni d’une double captivité, qui met fin à son idolâtrie. « Un nouveau temple s’élève su
anchard, vol. 3 249-250. Il cite Gérard, op. cit. bl. [NDE] Toute la fin de ce chapitre est pris de Joseph-Romain Joly, Co
46 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
; on fit l’Ombre de Moliere d’abord après sa mort ; on la trouve à la fin de ses ouvrages, avec ses Epitaphes en grand nomb
oit grossir la recette, quittoit pour le bouffon l’agréable & le fin , & sans honte à Terence allioit Tabarin . Il
47 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60
a contagion. Pour le libertinage, qui est l’ame, le principe & la fin du théatre, le Philosophe sans souci en tient si
en d’autres armes. Mars & Bellone entrerent en campagne, & la fin fut tragique. Voltaire fut enlevé & emprisonn
presque toujours durement. Ce ne sont point de bons mots, des traits fins , des idées plaisantes ; ce sont de vrais sarcasme
Pendant l’éternité qui précéda mon être. Ah ! voyons dans la mort la fin de tous nos maux. Grand Dieu, votre courroux devi
le néant. Le temps s’échappe, & fuit soudain sans commencement ni fin . C’est une absurdité ; le temps commence & f
mps commence & finit. C’est l’éternité qui n’a ni commencement ni fin . C’est en même temps reconnoître & combattre
48 (1725) Mr. de Moliere [article des Jugemens des savans] « Mr. de Moliere, » pp. 339-352
ner à l’irréligion, dont les semences sont répanduës d’une maniére si fine & si cachée dans la plupart de ses autres Pié
ent grimacer ses figures ; Quitté pour le bouffon l’agréable & le fin , Et sans honte à Terence allié Tabarin. Dans ce s
connoître. Il dit qu’il n’a pas prétendu faire dans Scapin une Satire fine comme dans le Misanthrope. Scapin, selon lui, est
49 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
D’autres le tournent d’une autre manière, mais qui va toujours à même fin , puisqu’il demeure pour assuré que les délices et
sur ce sujet jusqu’aux derniers temps, et le Concile de Reims sur la fin du siècle passéai, au titre des fêtes, après avoi
50 (1698) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras au sujet des Tragédies qui se représentent dans les Collèges de son Diocèse [25 septembre 1698] « Mandement  » pp. 37-43
de réfléchir. Les représentations qui se font dans les Collèges à la fin des Classes, qui d’elles-mêmes et réduites à de c
ents. I. Nous croyons pouvoir tolérer l’ancien usage de faire à la fin des Classes des Tragédies, pour apprendre aux Enf
51 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
journée, afin d’exiger plus d’argent du peuple, en entremettant en la fin ou au commencement du jeu farces lascives et de m
et autres jeux impudiques, lascifs ou dérisoires, qu’ils jouent en la fin ou au commencement, pour attirer le commun peuple
oyer faire représenter ledit Ancien Testament par mystère et, à cette fin , lui avait fait expédier ses lettres patentes adr
résentaient. j. [NDE] Sextus Pompeius Festus (ou Festus Grammaticus, fin du IIe s. ap. J.C.), De verborum significatione l
52 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
our s’en convaincre, il ne faut que consulter l’état de son cœur à la fin d’une tragédie : l’émotion, le trouble et l’atten
à toutes ? Qu’importe que l’amour y soit rendu légitime ou puni à la fin , si on s’est rendu coupable ? on ne règle pas apr
un corps sans âme : car, selon Horace, ce grand maître de l’art, « la fin est d’intéresser : si vous n’employez la clef de
usage en les rapportant à des objets légitimes ; et, lorsque pour une fin honnête on veut les exciter dans les autres, on d
53 (1825) Encore des comédiens et du clergé « AVIS AU LECTEUR. » p. 10
n entier, le présent ouvrage, sont prévenues qu’elles trouveront à la fin des Chapitres, une Table des Matières, qui les di
54 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
ons avons vû que la fureur des Athéniens pour ces plaisirs causa à la fin leur ruine entiere, & que la même fureur caus
ervée ? Le principal Personnage qui depuis le commencement jusqu’à la fin est sur la Scene, y est attaché à un rocher par d
55 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
ur rendre le Jeu permis, et sous le nom du Jeu la Comédie, est que la fin du Jeu ou de la Comédie soit le divertissement ou
i n’a rien, en soi, « secundum se », d’illicite, est celui qui a pour fin de donner du soulagement aux hommes ; ce qui est
nt « qui est établi », mais « qui doit être établi », ou « qui a pour fin  ». Saint Thomas ne considère pas tant la fin que
tabli », ou « qui a pour fin ». Saint Thomas ne considère pas tant la fin que l’emploi a, que celle qu’il doit avoir, il en
es par une honnête récréation. Voilà donc d’abord quelle doit être la fin de la Comédie, et celle que les Comédiens doivent
e par l’intérêt ou par le libertinage, vous ne pouvez pas dire que la fin de leur emploi soit le soulagement des hommes. Vo
ous direz peut-être que quand même les Comédiens n’auraient pas cette fin , elle subsiste toujours dans la nature de leur em
re de leur emploi qui n’en a pas d’autre, et qu’il faut distinguer la fin de l’ouvrier de celle de l’ouvrage ; que celle-là
pour ne pas outrer les choses, laissons les Comédiens en repos sur la fin qu’ils se proposent ; contentons-nous de leur fai
rmi ceux-là même combien peu en trouverez-vous qui se proposent cette fin en allant à la Comédie ? le nombre en sera bien p
rofession, ces batteurs de pavé, dont la présence à la Comédie est la fin d’une journée inutile et pour eux et pour le publ
parler plus particulièrement du premier dessein de la Comédie, de sa fin et de ses effets ; ainsi j’en parlerai ici plus s
parler plus particulièrement du premier dessein de la Comédie, de la fin , et de ses effets. L’harmonie de l’âme consiste s
ra sortir de ce retranchement si je vous fais voir que le dessein, la fin et tout le but de la Comédie d’à présent est d’ex
era pas par hasard qu’elle les excitera. J’avoue que le dessein et la fin de la Comédie ou plutôt de la Tragédie dès son pr
qu’il y en a encore entre exciter en effet, et avoir le dessein et la fin d’exciter, quoiqu’on n’excite pas toujours ; et c
ite pas toujours les passions, vous avez cru, ou du moins dit, que sa fin et son dessein n’était pas de les exciter, et que
oujours les passions, ce n’est que par hasard, parce que sa véritable fin et tout son but est de les exciter. Vous vous ête
et quoiqu’elle ne les excite pas toujours, c’est contre sa véritable fin et son principal dessein ; qu’il est toujours vra
cela non point par hasard, comme vous dites ; mais parce que c’est la fin et le véritable dessein de la Comédie. De là vien
ntiments d’amour impur, de haine, de vengeance et d’ambition, etc. la fin de ces Pièces sera d’inspirer ces mêmes sentiment
doit faire cet effet dans tout le monde, parce que c’est son but, sa fin et son dessein, et que ce n’est que par accident
56 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57
ance que l’hérésie est aux abois et qu’elle tire continuellement à la fin , ce grand roi qui n’a point donné de relâche ni d
des tartufes, l’observateur enfin qui a écrit contre lui, parle à la fin de son ouvrage comme un désespéré qui se prend à
oivent les premiers sentir les effets de la colère d’un dieu vengeur. FIN l. [NDE] Ce sont les termes de Rochemont. m.
57 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XV.  » p. 470
a même passion de se servir des mêmes adresses pour arriver à la même fin .
58 (1675) Traité de la comédie « XV.  » p. 296
même passion, de se servir des mêmes adresses pour arriver à la même fin .
59 (1675) Traité de la comédie « XVI.  »
engage les Poètes à ne représenter que des passions vicieuses. Car la fin qu'ils se proposent est de plaire aux spectateurs
60 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179
taît, dit qu’elle a parlé à soi-même. Est-ce là du plaisant & du fin  ? il n’appartient qu’au fagotier Médecin & à
grimacer les figures, Quitter pour le bouffon l’agréable & le fin , Et sans honte à Térence allier Tabarin. Et
vertu ; ce qui n’est pas tolérable, même par jeu, même pour une bonne fin  : Non sunt facienda mala ut eveniant bona, sur-to
Valère, qui au commencement de la piece est un imbécille, & à la fin un honnête homme, un homme d’esprit, qui offre gé
le tard, comme il dit lui-même. L’action n’a pû commencer que sur la fin de la matinée ; car dès la premiere scène la bell
61 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48
égoûté du séjour d’Athenes, se retira en Sicile, où il mourut. Triste fin d’un homme vaincu dans un Art dont il a été l’inv
s auteurs de cette Comédie si libre & si picquante, eût du par sa fin tragique, la faire cesser, s’il est vrai, comme l
la Piéce. Euripide pria le Peuple d’avoir patience, l’assurant que la fin de ce Personnage serviroit d’exemple. Dans une au
& ils les désignoient de façon que la satire n’en devint que plus fine . On croit qu’Aristophane fit des Piéces de ce gen
t Eschyle, Sophocle & Euripide, qu’on avoit déja regrettés sur la fin de la guerre du Peloponese, puisque dans les Gren
62 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
st donc plus que dans les livres de Poétique que l’instruction est la fin du Poème dramatique ; cela n’est plus véritable,
’appartiennent qu’à Dieu, qui veut y régner par la charité qui est la fin et l’accomplissement de toute la Loi Chrétienne.
affligé, Que le respect des Dieux qui l’ont mal protégé. » Et sur la fin de la Scène quatrième du même Acte : « J’irai, n
i ce discours peut ouvrir les yeux à quelqu’un, je serai parvenu à la fin que je me suis proposée. Pour ceux qui sont rempl
te et honnête ; pourquoi il cite saint Thomas. Mais il se plaint à la fin de cet Ouvrage par ces paroles : « Il est certain
63 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVI.  »
ngage les Poètes à ne représenter que des passions vicieuses : car la fin qu' ils se proposent est de plaire aux spectateur
64 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIII.  »
intempérie: parce que cette sorte de nourriture serait contraire à la fin du manger, qui est de conserver la vie du corps.
65 (1675) Traité de la comédie « XXIII.  » p. 311
intempérie; parce que cette sorte de nourriture serait contraire à la fin du manger, qui est de conserver la vie du corps.
66 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Avertissement. »
Avertissement. Vers la fin du mois de Décembre de la précédente année 1693,
67 (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46
endu au milieu de l’atmosphère, comme ces brouillards qu’on voit à la fin de l’automne, le matin, dans les vallées. Qu’auro
olliciteuse de procès, en homme ruiné qui emprunte de l’argent ; à la fin il se découvre et fait convenir le jeune homme qu
Féerie. Certes, ses faiseurs n’ont point hérité des graces douces et fines , qui enchantent dans l’Oracle, dans Pygmalion, mê
ille de dix à onze ans. Desirez-vous de savoir ce que deviennent à la fin ces enfans de l’un & de l’autre sexe ? je vou
gner des bornes. Point de ces détours ingénieux que le Spectateur peu fin ne pourroit peut-être pas deviner. On lui donne d
désespoir. Je pourrois ajouter, la mort. C’est presque toujours à une fin douloureuse et prématurée qu’aboutit la débauche,
68 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — II. Ce qui rend à irriter la concupiscence combat directement cette fin. » p. 7
II. Ce qui rend à irriter la concupiscence combat directement cette fin . De-là il s’ensuit nécessairement que tout ce q
69 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Sonnet à la Seignore Isabelle, sur son voyage à Monceaux »
ts pour croître ma tourmente Qui se calme au Soleil de vos divinités. FIN . ac. [NDE] L’originale porte « Mouceaux ».
70 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVII. Que les danses sont condamnées dans l’Ecriture, et par les Pères. » pp. 119-141
er admonete ut semper quod bonum est, et honestum loqui studeant ; ne fine detrahendo, malum loquendo, et in sanctis festivi
mpureté, et des fournaises de Babylone. Saint Epiphane Can. 51. à la fin de son Livre contre les Hérétiques, le sixième Co
er admonete ut semper quod bonum est, et honestum loqui studeant ; ne fine detrahendo, malum loquendo, et in sanctis festivi
71 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
lement, et comme goutte à goutte, on n’en est pas moins submergé à la fin , le mal n’est pas encore déclaré, mais il est déj
rer nôtre tempérament, parce qu’il produirait un effet contraire à la fin que nous nous proposons, aussi la nécessité préte
sposant aux noces de l’Agneau avec l’Eglise, qui se consommeront à la fin des siècles par leur union éternelle, et le spect
72 (1777) Des Spectacles « Des Spectacles. » pp. 75-92
rmes, et à attendrir le cœur par tout ce que les passions ont de plus fin et de plus insinuant. Le théâtre perdrait son agr
la passion dominante du théâtre, il est aisé de comprendre à quelles fins tendent toutes ces plaintes amoureuses, et tous c
plus vif et de plus empoisonné, tout ce que l’art de tenter a de plus fin et de plus poli ; un assemblage de tout ce qui pe
73 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132
es rend les personnes impudiques et effrontées. L’on voit tant par la fin que se propose Saint Thomas, que par les paroles
ans son Homélie 24 touchant la lecture des livres des Païens, vers la fin il dit : que pour conserver la pureté de son âme
e son âme il faut éviter le plaisir des sens, qu’il faut fuir à cette fin les Spectacles et la musique que l’on y chante qu
on Homélie 38 sur le même Chapitre onzième de saint Matthieu36 sur la fin , il dit que « les Acteurs des Comédies ont été dé
s de piété des farces et des discours lascifs au commencement ou à la fin , pour attirer ou divertir le peuple, qui ne deman
me dans son Homélie 38. sur le Chapitre 11 de Saint Matthieu, vers la fin , parlant en particulier de la chasteté et de la v
rien de trop libre dans le corps de la Pièce, il y a des farces à la fin qui ne sont jamais bien pures. On ne peut point a
s modeste et probe Spectaculis fruitur, non tamen immobilis animi est fine tacita spiritus passione, nemo ad voluptatem veni
ndis libris Gentilium” (De la lecture des livres des Païens), vers la fin ] « Hanc animae purgationem, ut semel et quod vobi
th., vers.finem, [38e homélie sur le chapitre 11 de Matthieu, vers la fin ] « Leges quidem gentium infames esse volunt. » 3
vers. finem. [S. Jean Chrysostome, 38e homélie sur Matthieu, vers la fin ] « Nam etsi quodam excelsi animi robore nihil ind
Jean Chrysostome, 38e homélie sur le chap. 11 de S. Matthieu vers la fin ] « Quomodo castimoniæ arduos poteris perferre lab
74 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Avis au lecteur. » p. 
: Mais qu’on leur mette devant les yeux l’ensemble des Spectacles, la fin qu’ils s’y proposent, leurs effets & leurs su
75 (1675) Traité de la comédie « IV.  » p. 278
mans, qu'on n'y représente que des passions légitimes et qui ont pour fin le mariage; car encore que le mariage fasse un bo
76 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VII. De la Vraisemblance. » pp. 277-286
avec plaisir une action Théâtrale, depuis son commencement jusqu’à sa fin . Que le Poète ait donc grand soin de ne pas s’en
 ; en continuant d’éxaminer cette Pièce si bisare, je craindrais à la fin de perdre le sang froid, la gravité nécessaire à
77 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
a douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. A fin de terminer ce cinquième Livre par quelque chose
vent sourire l’homme le plus grave, parce qu’assaisonnés du sel de la fine Satire, ils réveillent en nous la malignité, qui
78 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
au lieu de 361, et cette nouvelle numérotation est suivie jusqu’à la fin du texte. Pour éviter toute confusion, les numéro
u texte. Pour éviter toute confusion, les numéros de pages jusqu’à la fin sont suivis d’un astérisque.
79 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
ir toujours dans l’émotion & nous remplir de tristesse jusqu’à la fin . Il n’en est pas de même du Poëme Epique, dont la
esse jusqu’à la fin. Il n’en est pas de même du Poëme Epique, dont la fin doit être un passage de l’agitation & du trou
la Tragédie sont la Crainte & la Pitié, qu’elle excite jusqu’à la fin . Nous concevons de l’Amour & de la Pitié pour
t le Spectateur par ses vertus & sa douceur, que s’il voyoit à la fin couler son sang, il seroit indigné contre les Die
trouva à Athenes, les apporta à Rome. §. III. La Tragédie, dont la fin est d’exciter deux Passions qui peuvent rendre le
l a construit sa Fable. Depuis le commencement de l’Iliade jusqu’à la fin , l’instruction qu’Homere veut donner n’est pas ob
n qu’Homere veut donner n’est pas obscure. Lorsqu’on entend dire à la fin d’Athalie, Que les Rois dans le Ciel ont un Ju
rds à son Confident. Depuis le commencement de Britannicus jusqu’à la fin , on voit un Prince qui en écoutant un Flateur, ét
nt persuadé du danger de presque toutes les Tragédies. Je repete à la fin de cet Article ce que j’ai dit au commencement. J
80 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXV.  » p. 495
eut voir cela en d'autres écrits qui ont été faits sur le même sujet. FIN .
81 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
a nefandorum spirituum prævidens illam pestilentiam (idololatriæ) jam fine debito cessaturam, … aliam longe graviorem, … non
ges. Et le Pape Innocent III, écrivant à un Evêque de Poitiers sur la fin du XII. siécle, ou au commencement du XIII. lui d
raits, pour être trop ingénieux, n’en sont que plus condamnables : la fin qu’on s’y propose, les intrigues qu’on y représen
ral qui est le troisième de Constantinople, sous le Pape Agathon à la fin du septiéme siécle, Omnino prohibet hæc sancta &
a nefandorum spirituum prævidens illam pestilentiam (idololatriæ) jam fine debito cessaturam, … aliam longe graviorem, … non
82 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Av Roy. » pp. -
preparions quelques plaisirs. Voicy les plus illustres & les plus fins , qui nous restent de la magnificence & de là
83 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
vôtres tous divins reluisent d’une grâce céleste, qui ne termine leur fin qu’en celle de l’éternité. S’il leur faut des lou
84 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
chez les Grecs et les Romains, ne parut que fort tard en France ; la fin du règne de Charles V. en vit pour ainsi dire naî
de quelqu’un des Mystères de notre Religion, avec une apostrophe à la fin au Prince, ou au Seigneur auquel il était dédié.
85 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
es, faux témoignages, et tout ce qui peut lui servir pour venir à ses fins est mis en œuvre par Laurette : et son rôle est d
où elle est de prêter son secours à sa Maîtresse pour une si mauvaise fin , la Pièce serait instructive. On y verrait dans C
86 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
mner la tyrannie, en faisant voir ses progrès toujours orageux, et sa fin ordinairement misérable, ces noires pratiques sal
chants livres qui sont les professeurs publics d’une passion, dont la fin est l’incontinence, le péché, le déshonneur, le d
87 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
ne peut en conscience assister sans pécher à l’Opéra et à la Comédie. FIN
88 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « TABLE DES CHAPITRES ET DES SECTIONS. »
au Pape Innocent XII. et sa Réponse. page 111. Conclusion. page 113. Fin de la Table
89 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre V. Des Ioustes. » pp. 186-187
de combats & d’exercices : Le divertissement en est d’autant plus fin qu’il part d’un objet un peu plus difficile, &
90 (1664) Traité contre les danses et les comédies « TABLE DES CHAPITRES du contenu en ce Livre » pp. -
4. Instruction et avis charitable sur le sujet des danses. page 177. Fin de la Table.
91 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
que le plaisir, et encore qu’un chacun le nie, on est contraint à la fin de l’avouer, ainsi que ce Berger dans Esope, lequ
aient leur argent bien employé s’ils n’étaient servis de ce plat à la fin pour la bonne bouche, qui est proprement après un
t qu’il ne refusera jamais venant de mains si belles et si libérales. FIN a. [NDE] Bertrand Harduin de Saint-Jacques (160
92 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TABLE DES CHAPITRES. » pp. 3-4
a Pitié, pour purger ces deux Passions ? §. III. La Tragédie dont la fin est d’exciter deux Passions qui peuvent rendre le
93 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68
u’on inspire pour les malheurs des héros ; si ce n’est de rendre à la fin le cœur humain plus sensible aux objets de ces pa
94 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. » pp. 7-9
hés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. Page 225 fin de la table des chapitres.
95 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
torité de ses leçons & à l’éloquence de ses vertus que je dois la fin de mon égarement, je lui devois l’hommage de mon
rt ; qu’il regarde au-delà, & qu’il me juge. Cette image de notre fin , la lumière, la leçon de notre existence, & n
96 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
de l’aversion pour une passion qui ne produit que des peines dans sa fin , comme dans son progrès : mais malheureusement l’
s extravagances ? Toujours la même chose ! Eh que l’on crie donc à la fin , plus d’amour, plus d’amour. Si le Théâtre modern
97 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — REGLEMENTS. Pour la Réformation du Théâtre. » pp. 99-116
istre. 7°. La recette entrera toute entière dans la caisse ; et, à la fin de l’année, ce qui restera, tous frais payés, ser
r les différents Théâtres de l’Europe, page 196. 9. [NDA] Voyez à la fin de l’ouvrage le plan du Théâtre, etc. qu’on aurai
98 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
ap. 5. jeux luperciens. Une jeunesse folle célébrait ces jeux vers la fin du mois de Février à l’honneur du dieu Pan ; en c
souvient d’avoir lu que les premiers chrétiens répondaient amen à la fin de ces paroles corpus domini nostri, etc. que le
99 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
e la Tragédie les excite pour les purger, & la Tragédie ayant une fin utile, ne devient dangereuse que par la faute des
100 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
de Montmorenci, du 20 Mars 1758. & que j’ai reçûe de la Haye à la fin d’Octobre de la même année.
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