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1 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — [Introduction] » pp. -1
atique, un romancier, comme les trois derniers, est propre à écrire l’ histoire , qui dans ses mains, sera un roman & une comé
té, dont leur almanac rapporte la liste. Il est vrai qu’il a paru des histoires de l’opéra, du théatre François, du théatre-Itali
te ; il faudroit qu’un Annaliste en titre d’office, en fit un corps d’ histoire , & pût imprimer le seau de l’Etat à une histo
n fit un corps d’histoire, & pût imprimer le seau de l’Etat à une histoire si intéressante. Les morceaux épars sont des maté
même s’en repait quelquefois. A la Chine, pour prévénir cet abus de l’ histoire , dont les Historiographes du théatre ne se garent
de l’Empire rassemble & lit tous ces écrits, & en compose son histoire . Les théatres seroient bien de mettre un pareil c
honorables au théatre. C’est un inconvénient inévitable à toutes les histoires , anciennes ou modernes, un peu véridiques, &
les histoires, anciennes ou modernes, un peu véridiques, & toute histoire doit l’être. Tout n’y est pas glorieux, à ceux qu
2 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1
Théologien Défenseur de la Comédie. Page 1. II. DISC. Où l’on fait l’ Histoire des Jeux de Théâtre et autres divertissements com
es sentiments des Docteurs de l’Eglise sur cette matière. 33 I. PART. Histoire des Jeux de Théâtre et des autres divertissements
l’Empereur Auguste, jusqu’à la conversion de Constantin. 51 II PART. Histoire des Jeux de Théâtre et des autres divertissements
a conversion de Constantin jusqu’à l’Empereur Honorius. 99 III. PART. Histoire des Jeux de Théâtre et des autres divertissements
ue sacrés, depuis Auguste jusqu’à Justinien. 137 V. PART. Contenant l’ Histoire des Jeux de Théâtre, et autres divertissements Co
3 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
ence ces anciens courages doués d’une louable magnanimité ? C’est à l’ histoire , généreux Héros, que vous et nous tout ensemble d
de bouches, honorée par tant de plumes, et conservée par le soin de l’ histoire , qui remplit un monde du bruit de vos conquêtes,
e l’âge et l’expérience sont inévitables ; n’avouerons-nous pas que l’ histoire nous doit servir de très excellent miroir pour y
la présence des plus rares esprits de ce siècle, qui contemplent et l’ histoire et le geste, représentant au vrai les effets de l
de l’ancienne générosité ? Sans vanité, Messieurs, les louanges que l’ histoire peut mériter sont légitimement redoublées sur nos
4 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31
jusqu’à les débiter du ton le plus tranchant. Ces drames présentent l’ Histoire sainte par les endroits les plus saillans (en fon
cule & simple, de les leur prêter dans un poëme où l’on fait leur histoire . Du paradis terrestre d’où le péché les fit chass
jamais dans les plus profondes ténebres de l’oubli. Zeno entreprit l’ Histoire Eclésiastique de Venise, & la laissa imparfai
montel, Voltaire ont été Poëtes ; les trois premiers n’ont pas fait d’ Histoire  ; Voltaire a ébauché une Histoire Universelle, qu
les trois premiers n’ont pas fait d’Histoire ; Voltaire a ébauché une Histoire Universelle, qui n’est pas de son département, &a
nt Siecle de Louis XIV & de Louis XV. Zeno ne fit non-plus aucune Histoire de l’Empire ; mais, après onze ans de travaux dra
s Templiers jusqu’à la mort du Chevalier de la Barre, on croit lire l’ Histoire des Sauvages, on frémit un moment, & on va à
as mieux eux-mêmes. Le sieur Serane, ancien Doctrinaire, Professeur d’ Histoire , Instituteur de la Jeunesse, vendeur d’engrais de
t communément les Fables de la Fontaine. Il applique cette morale à l’ Histoire , & elle est ici plus recevable : il veut en é
; les égaremens de leur jeunesse, dont ils ont fait penitence. Dans l’ Histoire , qu’il appelle le Théatre des Mœurs, on voit , d
us déplorable, c’est que ceux qui ont écrit pour les jeunes princes l’ Histoire des Rois, se sont appesantis sur leurs vices, &am
es des grands rois ? Il pense autrement des hommes ordinaires, dont l’ histoire n’est que le tableau de leurs miseres & de le
quel le Spectacle est le plus grand danger. Voulez-vous, dit-il, les histoires des grands hommes de tous les siecles traitées av
lus frappans de leurs vies ; composez de ces magnifiques lambeaux des histoires à la portée & conformes au goût des enfans.
e étude fort au-dessus de leur portée, suppose des connoissances de l’ histoire qu’ils ne peuvent avoir : cette finesse échappe à
ue ceux de Fontenelle. Le même goût de singularité lui fait étudier l’ histoire dans l’Esprit des Loix du Président de Montesquie
élés amateurs, & même plusieurs fort bons acteurs. On voit dans l’ Histoire du Théatre, tom. X, deux portraits de Moliere qui
5 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE V. Du Mensonge. » pp. 100-113
ême ouvrage l’Etre suprême & les Dieux de la fable, qui prend les histoires pour des contes, & les contes pour des histoi
e, qui prend les histoires pour des contes, & les contes pour des histoires . Qu’est-ce qu’un Acteur & une Actrice ? C’est
-on que ce faux du théatre, ainsi que des romans, nuit infiniment à l’ histoire , soit dans le style des Historiens qui l’ont pris
lecteurs ou des spectateurs qui les apprennent ? Voltaire a fait des histoires , les Annales de l’Empire, l’Histoire universelle,
pprennent ? Voltaire a fait des histoires, les Annales de l’Empire, l’ Histoire universelle, le Siecle de Louis XIV, &c. qui
théatre, des romans. Combien de gens qui n’ayant de connoissance de l’ histoire que celle qu’ils ont puisée dans des romans &
fantaisie du Poëte ; il n’y en a pas une où l’en suive fidellement l’ histoire . Il en résulte une espèce de pyrrhonisme qui fait
ens, & douter de tout aux beaux esprits. Le peuple prend pour des histoires tous ces contes dialogués ; les notables prennent
r des histoires tous ces contes dialogués ; les notables prennent les histoires pour des contes, à commencer par les faits pieux
lent bien, ne fût-ce que pour la droiture & la sincérité. Voyez l’ Histoire du Théatre, tom. 6. ann. 1642. 1643. Vie de Corne
r. Le théatre se donnant lui-même pour une fable, combien de traits d’ histoire , de sentimens, de règles de morale, qu’il donne p
6 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
ie, ait donné lieu de demander, si on peut approuver qu’on prenne des Histoires de l’Ecriture Sainte pour en faire des pièces de
ndit moins dangereux, ne voulut jamais souffrir qu’on représentât des Histoires saintes et le savant et pieux Mariana Jésuite écr
un Collège il sera trouvé utile à la Jeunesse de représenter quelque Histoire , on le pourra tolérer, pourvu qu’elle ne soit tir
ripturis aliud inquiratis nemo vobis aliud præcipiat". » Donc quelque Histoire de l’Ecriture que l’on touche, si l’on n’y fait t
ons si mortifiantes pour ceux qui aiment le monde, contient aussi des Histoires admirables et qui peuvent plaire à toutes sortes
toujours un bien de leur faire trouver de la joie dans le récit de l’ Histoire Sainte. J’entre tout à fait dans cette réflexion
les révolutions les plus surprenantes, rien n’est plus propre que les Histoires saintes. Tertullien363, Saint Augustin364, et Sai
présente. Où verra-t-on en effet de plus grands événements que dans l’ Histoire d’un peuple que Dieu conduit dans une Terre promi
e seconde réponse, que de ces sujets même les plus consolants, soit l’ Histoire de Judith, ou telle autre qu’on voudra prendre, i
urs maris. Saint Julien Pomère dit que les Saints découvrent dans ces Histoires une image admirable des vertus qui plaisent à ceu
l est à craindre que les hommes charnels ne prennent mal ces sortes d’ Histoires . C’est pourquoi ce Saint remarque que les Livres
ts à la jeunesse. Voilà cependant ce qu’on prendra pour le Théâtre. L’ Histoire de Judith plaira, parce que outre ce qu’il y a de
que de parures, d’ajustements, et des avantages de la beauté ? Cette Histoire et cent autres qu’on trouve dans l’Ecriture accom
Combien de précautions faudrait-il prendre, pour proposer utilement l’ Histoire de Judith à ceux qui fréquentent le Théâtre ? Et
it-on même se promettre après toutes sortes de précautions, que cette Histoire ne s’altérerait point dans des esprits, qui sont
des pensées tendres et délicates. Nous pouvons voir quelles pensées l’ Histoire de Judith fera naître au Théâtre, par celles que
caractère et l’exercice qu’on lui donne. Contre la connaissance de l’ Histoire de ce temps, et le silence de l’Ecriture, on fait
e les Comédiens, faut-il même que les Comédiens osent représenter les Histoires les plus saintes, et que pour divertir le monde o
ires les plus saintes, et que pour divertir le monde on mêle dans ces Histoires des plaisanteries et des fictions Advers. gent. L
7 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
nt au Théâtre les Sujets qui sont tirés de l’Ecriture Sainte, et de l’ Histoire Chrétienne. Indigné contre une opinion si fausse
el hazard il a échappé aux yeux de ceux qui m’ont précédé. Toutes les Histoires peuvent-elles fournir rien de plus élevé et de pl
ir rien de plus élevé et de plus propre pour la grande Tragédie que l’ Histoire de Judith ? n’y voit-on pas le merveilleux et le
et peut occuper l’Auteur tragique, s’il veut conserver la vérité de l’ Histoire sans blesser la sainteté de la matiere ? Qu’il se
us avons un illustre exemple dans Polyeucte, et puisque Judith dont l’ Histoire est si délicate et si difficile à traiter, n’a pa
8 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
ajestueux. Il veut ensuite qu’on enseigne à cet Acteur, la Musique, l’ Histoire , & je ne sais combien d’autres choses, capabl
ensable, puisque le Pantomime était accompagné par des instrumens ; l’ Histoire ne l’était pas moins, pour se conformer aux mœurs
s l’empire d’Auguste ; ils ont rendu leurs noms aussi célèbres dans l’ Histoire Romaine, que le peut être dans l’Histoire Moderne
noms aussi célèbres dans l’Histoire Romaine, que le peut être dans l’ Histoire Moderne, le nom du Fondateur de quelqu’établissem
Capitale, & qu’il subsista aussi long-temps que l’Empire même. L’ Histoire des Empereurs Romains fait plus souvent mention d
mp; toutes les factions du Cirque dont il est si souvent parlé dans l’ Histoire Romaine, épousèrent des Troupes de Pantomimes. Ce
9 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153
nde a entendu parler de l’idée burlesque de quelque Poëte de mettre l’ Histoire Romaine en sonnets, le Digeste & le Code en é
coup d’esprit dans un nouveau Théatre François. C’est de mettre notre histoire de France en comédie. On en conclurra peut-être q
notre histoire de France en comédie. On en conclurra peut-être que l’ histoire n’est qu’une comédie, & les hommes, sur-tout
xactitude, l’agrément, qu’il y a répandu. Ce mérite est tout à lui. L’ histoire de France lui a fait voir plusieurs évenemens tra
s le Siege de Calais, le Duc de Foix, Bayard & quelques autres. L’ histoire Grecque, Romaine, Espagnole, &c. en fournisse
, une vingtaine de pieces dans chacune l’épuiseroit. Vouloir mettre l’ histoire en drame ; c’est vouloir mettre toutes nos provin
ble dans le détail qu’il en fait. Son théatre historique n’est qu’une histoire en dialogue, comme on a fait des romans en lettre
ine, expliquent les coutumes, les loix, les mœurs du temps. Ce plan d’ Histoire , susceptible d’agrément, de sel, d’un style varié
des conversations instructives & agréables, plus amusantes qu’une Histoire suivie. C’est tout ce qu’a voulu le P. Henault. O
areil Théâtre. Qu’il change le titre, & qu’il annonce un Abrégé d’ Histoire en Dialogue, quoiqu’il soit fort difficile de sou
utile & brillante. Il n’est pas fait pour être sur la scène, ni l’ Histoire de France pour être racontée sur le Théâtre sous
es de Théâtre. Voltaire s’est mis à la tête des Auteurs Dramatiques d’ Histoire . Il a composé à peu de frais une Tragédie histori
ment saisi : plûtôt ou plûtard il eût risqué d’échouer encore. Dans l’ Histoire de Bretagne, Jean de Montfort IV, qui vivoit en 1
ans, & malgré la volonté de qui on sauva Jupiter, il y a dans les Histoires & dans les Romans, cent exemples de pareilles
main ils se rendirent à discrétion. Froissard ajoûte, pour embellir l’ Histoire , que dans un mouvement de colere, le Roi d’Anglet
e l’Auteur, comme le Duel proposé par Philippe à Edouard, dont aucune Histoire ne parle : ce qu’il a pris de la vie de Charles Q
découverte de plusieurs titres importans, ces actes seront utiles à l’ histoire , prouveront l’illustration de plusieurs grandes m
fidélité & courage très-louables, mais évenemens fréquens dans l’ histoire , & souvent encore plus mémorables. Il soutien
Racine. On lui reproche de défigurer les faits les plus connus dans l’ histoire , pour n’en faire qu’une fiction de fantaisie sous
héatre François, & n’y réussiroient pas. Si Metastasio fabulise l’ histoire pour y mettre de la vertu, l’Auteur de Thamar au
vertu ce choix judicieux, même dans les traits de la fable & de l’ histoire profane, à plus forte raison dans l’histoire sain
s de la fable & de l’histoire profane, à plus forte raison dans l’ histoire sainte, à qui on doit le plus profond respect. Mo
Guebres, qui a paru dans le même temps, est aussi une altération de l’ histoire en faveur de l’irréligion, mais moins monstrueuse
rsuivre. L’Auteur est aussi mal orienté dans la géographie que dans l’ histoire . Jamais les Guebres n’ont été soumis à l’Empire R
damné aux galeres. Ces traits sont beaux, mais non sans exemples, Les histoires présentent fréquemment, & Melpomene met souve
conscience de croire ce qu’il lui plait. L’apologie de Calas dont l’ histoire a retenti dans toute l’Europe, célébrée par le pi
ontinue le Voyageur, que les sujets de leurs drames étoient pris de l’ histoire de la nation, & qu’on affectoit de mettre sur
10 (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152
l de Bourgogne n’ait été donné aux Comédiens que pour représenter des Histoires saintes, je ne crois pas que ces Messieurs voulus
c’était abuser de la sainteté de notre Religion que de représenter l’ Histoire des Saints sur un Théâtre profane ; et il me semb
on pourraient produire de fort belles choses. N’avez-vous jamais lu d’ Histoire de Martyr qui vous ait paru propre pour le Théâtr
es ; je ne vous en dirai que deux ou trois. Vous avez lu sans doute l’ Histoire d’Herménégildeae, celle de saint Eustacheaf, et l
t le Collège où l’on n’a pas représenté vingt fois sur le Théâtre les Histoires dont vous parlez ? TIMANTE. On les a aussi repré
i pour ni contre moi : je veux seulement vous faire connaître que ces Histoires fournissent assez de passions et d’intrigues pour
e voudrait pas se donner cette licence, n’y a-t-il pas une infinité d’ Histoires Chrétiennes qui n’offrent que de beaux noms ? Ne
lée, mais avouons de bonne foi que pour les noms et pour les choses l’ histoire profane n’a nul avantage sur l’histoire Chrétienn
les noms et pour les choses l’histoire profane n’a nul avantage sur l’ histoire Chrétienne. CLEARQUE. Il n’est pas nécessaire q
ur l’histoire Chrétienne. CLEARQUE. Il n’est pas nécessaire que les Histoires soient merveilleuses ; la plus simple aventure pe
dois tout à la lecture des Anciens. Cependant j’ai lu depuis peu une Histoire qui me semble propre pour le Théâtre, si elle éta
e obligé, ou de voir périr son fils, ou de quitter la foiaj. Si cette Histoire paraissait devant vous avec les ornements du Théâ
e sujet en fût connu : car je ne me souviens d’aucuns événements de l’ Histoire qui soient semblables à ceux que vous venez de me
nom du Prince dont j’ai parlé, vous verriez aussitôt qu’il y a dans l’ Histoire assez de choses conformes à ce que j’ai dit pour
Non, je ne voudrais pas qu’on fît mourir pour la foi un homme dont l’ histoire n’aurait jamais parlé, ou qui aurait été Païen du
ique, et quand la persécution ne va pas jusqu’à le faire mourir. Si l’ histoire en parle, et s’il est vrai que ce Héros a souffer
enacé que de l’exil. Ce n’est point manquer au respect qu’on doit à l’ histoire de l’Eglise, que de changer quelques circonstance
ortir de l’amour : Il y a une infinité d’événements mémorables dans l’ histoire qui pourraient avoir un grand succès sur le Théât
e lui apporte Du Plaisir dans les Sentiments sur les lettres et sur l’ histoire , avec des scrupules sur le style, Paris, C. Blage
rsion de l’arianisme au christianisme, sur ordre du roi son père. Son histoire fut représentée par La Calprenède en 1641. af. [
11 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TABLE DES CHAPITRES. » pp. 3-4
ion de presque tous les Peuples pour la Poësie Dramatique. CHAP. II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. CHAP. II
e, & de ce sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. CHAP. VI. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Romains. §. Po
ains n’ont pas égalé les Grecs dans la Poësie Dramatique. CHAP. VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. CHAP. VIII. Dan
12 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
aimable & plein d’esprit, il s’est fait un nom par un abrégé de l’ histoire de France, où regne beaucoup d’ordre & de mét
tre regardé comme la suite ; ce n’est qu’une autre maniere d’écrire l’ histoire de France : qui se seroit attendu qu’à l’âge de 8
era pardonner quelque répétition : c’est une suite de dialogues sur l’ histoire de France, qu’il appelle drames, parce que les ac
emens en sont les interlocuteurs : on peut traiter de même toutes les histoires , faire de tout l’univers un théatre, de tous les
de l’écriture. Ce seroit le moyen de faire apprendre & retenir l’ histoire en s’amusant : c’étoit le goût des anciens maître
ir l’histoire en s’amusant : c’étoit le goût des anciens maîtres. Les histoires sacrées, habillées en scénes, passoient en revue
ouement, inventer, nuancer, soutenir, contracter des caractères que l’ histoire leur donne, & les circonstances où elle les p
Fontenelle. Le Président Henault n’a fait qu’appliquer ces idées à l’ histoire de France, dont il est plein : on a eu tort dans
commun. Le Président Henault & cent autres ont fait des abrégés d’ histoire , des tables chronologiques, où les noms des Princ
s sa jeunesse, il eût réussi mieux qu’un autre à remplir son projet d’ histoire théatrale, & animer sur la scéne ce qu’il avo
er sur la scéne ce qu’il avoit dit dans son abrégé : nous aurions une histoire de France ; de la façon de Melpomene qui auroit u
n de Melpomene qui auroit usurpé les droits de sa sœur fameuse dans l’ histoire . Cette histoire à la vérité, seroit longue &
ui auroit usurpé les droits de sa sœur fameuse dans l’histoire. Cette histoire à la vérité, seroit longue & fort sérieuse, p
jeunes gens une pareille école. Voici des traits qui caractérisent l’ Histoire de Galligones, ou Mémoires de Sarecan. Les Gallig
& chargés de présens, bien accueillis & excommuniés. Larrey, histoire de Louis XIV, après avoir parlé des prétextes qu’
e risque, mais on a beau le condamner, on en sera toujours enchanté. Histoire de Théodose, de M. le Beau, Tom. 5. Il réforma le
13 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100
NOTICES PRÉLIMINAIRES. L’ histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres nous
ter à la plus grande perfection cet art dont Despréaux nous a donné l’ histoire dans les Vers qui suivent : La Tragédie, inform
res Chantres ou Phonasques. Ils composoient des Vers sur des sujets d’ Histoire sacrée & profane qu’ils chantoient sur une tr
tes pourroient être sujettes. Il nous reste à donner une notice sur l’ Histoire de notre Théatre ; nous l’avons réservée pour la
es entiers, ils ont encore été les peres & les conservateurs de l’ Histoire . C’est chez eux que les Monarques trouverent les
us les Peuples anciens ont reçu la coutume de charger de fables leurs Histoires & leur Religion. Les Perses, qui conquirent l
rapporterent l’esprit de fiction, & ils en firent usage dans leur histoire de Zoroastre. Cecrops transporta de l’Egypte le
leurs. Les Picards eurent leurs Servantois ; les Normands eurent leur histoire de Roland le Furieux. Le Poitou eut les Relations
s Romanciers & leurs Conteurs. Ils chargeoient de merveilleux les histoires des familles militaires ; telles sont les aventur
stes du Preux Godefroi de Bouillon ; le Chevalier sans reproche, ou l’ Histoire de Louis & de Charles de la Trémoille, &c
Le Roman de Guillaume au court nez, est du neuvieme siecle ; c’est l’ histoire de S. Guillaume, chargée d’aventures fabuleuses.
ers le treizieme siecle, vinrent les Romans de Chevalerie, tels que l’ histoire de S. Greant, le Roman des Chevaliers de la table
, & il donna, pour en être l’antidote, un autre écrit intitulé, l’ Histoire justifiée contre les Romans. Prévôt d’Exiles 34 a
les mêmes occasions. Rien n’est plus pernicieux que cette multitude d’ histoires amoureuses & de Nouvelles galantes qu’on est
ture de tous nos Romans doit être redoutée comme l’étoit celle de ces histoires dont Horace disoit que le vice s’y trouve peint d
âge de notre ancienne littérature, un Ouvrage intéressant, intitulé : Histoire Littéraire des Troubadours, en 3 vol. in-12, dont
un College il étoit trouvé utile à la jeunesse de représenter quelque histoire , on ne pourra le tolérer qu’à condition qu’elle n
ans leurs Poëmes. La vraisemblance de ces allusions est prouvée par l’ histoire , ou fondée sur des conjectures. Il en résulte qu’
s ; c’est ce qui occasionna les écrits polémiques dont on va donner l’ histoire . Les apologies de nos Théatres y étant mises en o
Remed. Am. 36. Sen. epist. 79. 37. Mart. lib. 12. 38. Dans son Histoire du Théatre François. 39. Fu sepelito à grand ho
e debent. Tome I des Capitulaires des Rois de France, page 1170. 43. Histoire de France, par M. le Président Hénault. 44. Ibi
Dans la Vie de l’Empereur Julien, page 28. 49. Dans son Abrégé de l’ Histoire de France. 50. Elle a été insérée dans le XXXVe
51. Page 4 ; lisez-y ligne 28, 1772, au lieu de 1770. 52. Dans son Histoire du Théatre François. 53. O magna vis veritatis,
14 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
t ce que vous dites ensuite, vos raisonnements, vos comparaisons, vos histoires et vos railleries, sont des preuves particulières
parant le Palais avec le Théâtre, la Jurisprudence avec la Comédie, l’ Histoire avec la Fable, et un très célèbre Avocat avec un
n de si contraire que vous n’ajustiez dans vos comparaisons. Pour vos histoires elles sont poétiques, vous les avez accommodées a
ui ôte la vraisemblance à tout le reste, décrédite encore moins votre histoire que la conduite que vous attribuez à la Mère Angé
Royal, ni souhaiter une conviction plus forte de la fausseté de votre histoire . Je ne pense pas aussi que vous l’ayez dite pour
et vous n’avez été trompé qu’en ce que vous croyiez qu’on rirait de l’ histoire et qu’on ne rit que de celui qui l’a inventée. On
udence quand vous leur dites « en combien de façons avez-vous conté l’ histoire du pape Honorius ag » n’est-ce pas là un reproche
-ce pas là un reproche bien judicieux ? Vous ne dites point que cette histoire soit fausse, vous ne dites point qu’ils la rappor
? et qui doit-on accuser, ou le Port-Royal qui a dit tant de fois une histoire véritable, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont
itable, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont jamais répondu à cette histoire , et qui bien souvent ont fait semblant de ne la p
engagée contre les Volsques, vainquit et s’en retourna à sa charrue ( Histoire de Rome, III, 26). w. [NDE] Laurent Thirouin cit
15 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
mœurs, ni religion, ni pudeur. Sa Politique n’est qu’un extrait de l’ histoire fait avec trop de vérité, dans le goût de maligni
avel, nommé secrétaire & historiographe de Florence, en composa l’ histoire , bien écrite, mais qui n’est qu’une tragédie perp
de sa patrie, il mourut dans la misere. Outre ses comédies & son histoire de Florence, ses poësies érotiques des plus licen
uerres civiles, d’assassinats, d’intrigues sans nombre, qui forment l’ histoire la plus chargée & la plus odieuse : on pourro
sée sur le ton de conseil & de traité. Je ne doute pas même que l’ histoire qu’il avoit écrite n’eût exalté son imagination &
raison se déchaînent si vivement contre lui, n’ignorent pas que leur histoire est pleine de Machiavélisme. Les Maires du Palais
; ce seroit dans les uns une comedie toute faite, dans les autres une histoire ou un roman. On peut faire toutes sortes d’ouvrag
s, Auguste changea la ville de Rome & la bâtit toute de marbre. L’ histoire est pleine de ces traits : rien n’est nouveau sur
16 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
dans ses réponses, parle en deux endroits de ces pièces sous le nom d’ histoires , pour ne pas employer le mot et donner l’idée pro
ant, dit-elle, et de la fête des Rois, on représente quelques petites histoires de dévotion. Mais de danser, courir, etc., il s’e
bien garder. Il doit suffire de manger un peu de fruit à la fin de l’ histoire dans la chambre des assemblées (Tit. des récréati
s, n. 75. et 76). Ce ne sont pas jeux défendus de représenter quelque histoire dévote, pourvu qu’on n’y mette pas trop de temps 
S. François de Sales n’approuvait pas ces actions-là. Il a permis les histoires , et a pris quelquefois plaisir à les voir représe
ectateurs que les Religieux. L’ingénieux, mais très malin Auteur de l’ histoire des Ordres monastiques cite ce passage en parlant
et ayant promis d’être plus circonspecte, le théâtre a été rétabli. L’ histoire de l’Opéra, et chaque année le Mercure et les aut
ur. Dans les Missions étrangères on se donne de pareilles licences. L’ histoire des Incas de Garcilasso de la Vega (L. 2. ch. 28.
r le théâtre Chinois, où il rapporte quelques pièces Chinoises ; et l’ histoire des voyages, art. de la Chine. La troupe fut cong
17 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
ien prononcer sur cette matiere tant discutée, parcourons un moment l’ histoire du Théâtre ; consultons les faits, examinons s’il
s, des fêtes & des cérémonies en l’honneur d’un de leurs Dieux. L’ histoire rapporte qu’Iscarias, d’une contrée de l’Attique,
dans ses pieces, à cause de son peu de voix : Il fut couronné, dit l’ histoire , vingt fois. L’Etat alors décernoit des couronnes
rop d’un jour ». Les Comédies grecques & latines, bien plus que l’ histoire , nous donnent une connoissance plus exacte des mœ
s fossés S. Germain-des-prés, où ils sont. Telle est en peu de mots l’ histoire de nos théâtres. Il y a donc toujours eu de tout
de vaines dissertations dans tous les genres de littérature, Romans, Histoires , Comédies, Opera même ; tout est dissertation, &a
e Comédiens ont commencé à être sédentaires comme eux. On voit dans l’ histoire , que S. Louis ayant établi un droit de péage à l’
p; avec graces, & représenter des jours mémorables choisis dans l’ histoire , devant une multitude de spectateurs qui n’auroie
ste & Pylade sont arrêtés par des bergers. Les premiers Rois de l’ histoire sont ainsi représentés comme les premiers Pasteur
dement des spectateurs, ces choses séparées entre la peinture & l’ histoire . Quel danger peut-il y avoir d’un côté plus que d
éducation. Les jeunes gens, en sortant des humanités, instruits de l’ Histoire d’Alexandre & de César, n’ignoreront plus jus
e les Poëtes François qui ont illustré les Lettres, ils connoîtront l’ Histoire & la Poësie de la nation, & à l’exemple d
nos Piéces nouvelles pourront n’être plus tirées que de notre propre Histoire . Nous avons vu avec quelle fureur le Public s’est
es Spectacles entretenus aux dépens de l’Etat. Nous voyons dans notre histoire , que l’Empereur Justinien(a) voulant rechercher l
ette majesté qui éclattoient dans les anciennes Cours plénieres ». ( Histoire de France de l’Abbé Velly, seconde race, Pepin.)
18 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
chine ; les Flechier, les Fénélon sont supérieurs à Isocrates. Dans l’ Histoire , dans la Poésie, dans la Tragédie & la Comédi
a France a des Chefs-d’œuvres, que les Grecs ne désavoueroient pas. L’ Histoire du Théâtre Grec est, à la différence des mœurs pr
la hauteur divine des Grecs. Ce que les Héros de la Fable & de l’ Histoire ont fait de plus grand, ont pensé de plus sublime
s, Sophocle & Euripide ouvrirent & refermerent la Scène. Si l’ Histoire nous parle de quelques Poétes dramatiques après e
19 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
rstition auroit vû s’ouvrir devant ses pas, en jettant les yeux sur l’ Histoire Moderne ! Là, tous les grands préjugés s’offrent
rojet d’introduire, sur la Scène Françoise, les époques célèbres de l’ Histoire Moderne, & particulièrement de l’Histoire Nat
s époques célèbres de l’Histoire Moderne, & particulièrement de l’ Histoire Nationale ; d’attacher à des passions, à des évén
oral. La Tragédie est plus philosophique & plus instructive que l’ Histoire , écrivoit jadis Aristote. J’avois crû qu’on pouvo
pour mon coup d’essai, le sujet, j’ose le dire, le plus tragique de l’ Histoire moderne ; la Saint-Barthélemi. Nul autre ne pouvo
d un Roi de vingt-deux ans, a pu commettre le plus grand crime dont l’ histoire du monde fasse mention, celui d’un Roi qui conspi
s Tragédies nationales ; & pour coup d’essai vous choissez dans l’ Histoire de France un fait qui est l’opprobre de la Nation
sur la Scène ces grands événemens tragiques, ces grandes époques de l’ Histoire , qui intéressent tous les Citoyens ; & non pl
liberté que le Philosophe David Hume est loin d’avoir égalé dans son histoire . Croit-on que les Anglois fussent libres du temps
touchons à l’époque la plus importante qui marque, jusqu’à ce jour, l’ histoire de la Nation Françoise ; & la destinée de vin
utres. Je ne concevrai jamais comment ce qui paroît instructif dans l’ Histoire , peut sembler nuisible sur la Scène. Comment, par
es vertus & les vices des hommes qui sont livrés au jugement de l’ Histoire . Je n’aurai pas plus de ménagement pour les rangs
20 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
à les décrier ou à les châtier ? Il y en a assez de preuves par les Histoires . Apprenez m’en seulement quelques-unes en passan
l y aurait quelque chose à reprendre à leurs personnes, néanmoins les Histoires qu’ils représentent sont toujours assez agréables
Comédiens représentent aussi quelquefois des pièces sérieuses, et des Histoires Saintes. C’est ce qui se voit fort rarement, et
er de cette façon, qui ne divertirait pas moins que les autres ? Les Histoires Saintes n’ont pas été écrites pour donner du plai
en. L’Hôtel de Bourgogne a pourtant servi à telles représentations d’ Histoires Sacrées ? Vous dites vrai : car autrefois quelqu
21 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
prez de Boissy = Lettres de M. Des. de B. sur les spectacles avec une histoire des ouvrages pour et contre le théâtre, Paris, Bu
préface de la tragédie de Judith, Paris, 1695, repris in Lalouette , Histoire de la comédie et de l’opéra, où l’on prouve qu’on
rre-Nicolas Desmolets : Continuations des Mémoires de Litérature et d’ Histoire , t. VII, 1re partie, Paris, Nyon fils, 1749, 478 
2. • Voir également : Art poétique, chant III (allusions). Boll, Histoire pittoresque des passions, 1846 • Boll, Jules :
Boll, Histoire pittoresque des passions, 1846 • Boll, Jules : Histoire pittoresque des passions chez l’homme et chez la
ée par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re partie, p. 459).   N.-B. = Histoire critique des personnes les plus remarquables de t
[La Rochelle, Jean Portau], 1582, in-8º, 70 p. Ex. Genève, Institut d’ Histoire de la Réformation : MHR D Dan 7 (cf. Notice).   R
(1730?-1827) : Lettres de M. Des. de B. sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrages pour et contre les théâtres ; quatri
-483 p. PDF : Google. • 5e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrages pour et contre les théâtres, par M. 
le (deuxième partie). • 6e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrages pour et contre les théâtres, par M. 
ve (tome I, tome II). • 7e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une Histoire des ouvrages pour et contre les théâtres, par M. 
ettres] (Marmontel, t. III, 1753, p. 665-669, ARTFL) ; • « Comédie » [ Histoire ancienne] (Diderot, t. III, 1753, p. 669, ARTFL) 
ienne] (Diderot, t. III, 1753, p. 669, ARTFL) ; • « Comédie sainte » [ Histoire moderne théâtrale] (Jaucourt, t. III, 1753, p. 66
lles-Lettres] (Mallet, t. V, 1755, p. 105-106, ARTFL) ; • « Genève » [ Histoire et Politique] (d’Alembert, t. VII, 1757, p. 578-5
enseur Royal, Gresset, de l’Académie Françoise, Parfaict, Auteur de l’ Histoire du Théâtre François, Par l’Auteur des Anecdotes d
certains exemplaires, est donné en appendice à Ambroise Lalouette , Histoire de la comédie et de l’opéra, Orléans et Paris, Lo
1718-1794 ; abbé) : Querelles littéraires ou mémoires pour servir à l’ histoire des révolutions de la république des lettres, dep
 (1 f.). PDF : Google.   N.-B. Voir Huerne de La Mothe . Joly, Histoire de la prédication, 1767 • Joly, Joseph-Romain
la prédication, 1767 • Joly, Joseph-Romain (1715-1805 ; capucin) : Histoire de la prédication, ou la Manière dont la parole d
en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Lalouette, Histoire et abrégé des ouvrages, 1697 • Lalouette, Ambr
en, chanoine de Sainte-Opportune, prêtre habitué de Saint-Eustache) : Histoire et abrégé des ouvrages latins, italiens et franço
e table) [publié sans nom d’auteur]. PDF : Google.   Autre édition • Histoire de la comédie et de l’opéra, où l’on prouve qu’on
are, Nicolas de (1639-1723) : Traité de la police, où l’on trouvera l’ histoire de son etablissement, les fonctions et les prerog
, « Recueil de documents, en latin, français et italien, relatifs à l’ histoire de la Compagnie de Jésus aux xvie et xviie  sièc
Comédie, où l’on voit la réponse au Théologien qui la deffend, avec l’ Histoire du Théâtre et les sentiments des Docteurs de l’Ég
odigieux, Signes, Ecstases & songes admirables, & encores les Histoires des Apparitions, & semblables prodiges advenu
e VI, chap. XV, p. 661-662. Autres éditions • 1re éd. : Discours et histoires des spectres…, Paris, Nicolas Buon, 1605, in-4º,
médie moderne, où l’on réfute les Nouvelles observations. Suivi d’une histoire abrégée des ouvrages qui ont paru pour et contre
ancienne & nouvelle, la tragédie, la pastorale-dramatique… Avec l’ histoire philosophique de la musique, & des observatio
ons modernes • in Œuvres mêlées, revues, annotées et précédées d’une histoire de la vie et des ouvrages de l’auteur par Charles
graphe. Bibliothèque de l’Institut : Ms 667, Mémoires pour servir à l’ histoire des solitaires de Port-Royal, par l’un d’eux, M. 
4-209.   Version éditée • Nicolas Fontaine, Mémoires pour servir à l’ histoire de Port-Royal, t. II, Utrecht, aux dépens de la C
rt, signalée dans la notice « Valbelle », par Claude-François Achard, Histoire des hommes illustres de la Provence, Marseille, 2
Tome VII. Contenant ses Mélanges de philosophie, de littérature et d’ histoire , s. l. [Paris], s. n. [Michel Lambert], 1757, in-
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’ histoire de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’ histoire de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’ histoire de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’ histoire de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
22 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202
CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. Quintilien co
u tems de Corneille & de Moliere. C’est ce que fera connoître une Histoire très-abrégée, dans laquelle je ne prétens point d
II, parce qu’ayant fait de grandes dépenses pour représenter à Noël l’ Histoire du vieux Testament, il supplioit Sa Majesté de ne
e ne point permettre à d’autres, de la représenter. L’Enfant dans son Histoire du Concile de Constance rapporte que quand l’Empe
te expression naturelle. Voici encore ce qu’en dit Riccoboni dans son Histoire des Théâtres : Notre Musique n’est plus que bizar
mettre en Musique la mort de Caton, & les plus grands Sujets de l’ Histoire . Je n’ai parlé de l’Opera dans l’Histoire de la P
les plus grands Sujets de l’Histoire. Je n’ai parlé de l’Opera dans l’ Histoire de la Poësie Dramatique moderne, qu’à cause de l’
23 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
il à celui qui m’anime ? Apprends de ma langueur la cause légitime. L’ Histoire , où tant de fois pour remplir mes projets J’ai tr
pe, Iphigenie, Horace, Où chaque Passion parle avec tant de grâce : L’ Histoire , où des Héros les Exploits éclatants Savent se ga
sins emprunter des Héros ? Quoi qu’on fasse de beau ; la lenteur de l’ Histoire Ne promet aux grands Noms qu’une tardive gloire ;
que le Théâtre a des effets présents, Plus connus en dix jours que l’ Histoire en dix ans. Retrouve en sa faveur une Plume parei
24 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
de longs morceaux avec les noms fameux de Valère et de Colombine. Ces histoires intéressantes sont lues avec avidité, et c’est la
nner son attention. Ajoutons cette foule d’almanachs, de tablettes, d’ histoires , de dictionnaires de théâtre, cette inondation de
e sont pas moins intéressantes. Nous y mêlerons bien des traits sur l’ histoire ancienne et moderne des spectacles, et nous ne né
es défenseurs, comme l’a si heureusement exécuté M. Bossuet, dans son Histoire immortelle des variations des Protestants. On n’e
25 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
ie. C’est cette curiosité que je vais tâcher de satisfaire. Après une Histoire abrégée de la Poësie Dramatique chez les Grecs, j
aisir que cause la Comédie, & sur le sel Attique, je reprendrai l’ Histoire de la Poësie Dramatique, que je suivrai chez les
26 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202
voit pour ainsi dire ; aussi sa vie étoit une vie de théatre. Point d’ histoire plus remplie d’évenemens dramatiques ; c’est un s
ns, &c. C’est le théatre de Sophocle, d’Eschile, de Crébillon : l’ Histoire Orientale fourniroit aisément la matiere de deux
fit une gazette fort seche & pleine de bassesses, sous le titre d’ Histoire abrégée de Louis le Grand, qui n’est qu’une table
our les mœurs, qu’il est absolument impossible d’y résister. Dans son histoire cependant, il fait plusieurs fois un mérite à Lou
race & une justesse admirable . Au contraire, un grand roi dans l’ histoire disoit à son fils : N’as-tu pas honte de danser
; l’esprit des bons Angevins, à l’honneur du portrait de ce Prince. L’ histoire fournit plusieurs exemples d’honneurs rendus à de
ai distibue la Vie d’Henri IV en opéras bouffons, M Hénaut veut que l’ Histoire de France soit partagée en drames, & le Sieur
mp; maître des Bals de la Reine, &c. prétend faire danser toute l’ Histoire ancienne & moderne, & en mettre tous les
consequence dans un maître a danser qui n’est pas obligé de savoir l’ histoire , & traite les évenemens comme un pas de trois
e Encyclopédie, qui possede toutes les sciences, les fables & les histoires . Pilade & Batille firent un livre chez les ro
s. Molli saltante batillo. Le savant danseur se jette d’abord sur l’ histoire , il traverse les mers & les siecles pour alle
stris, Salé, &c. forment par leurs tableaux magiques une chaîne d’ histoire que le Mercure écrit tous les mois dans ses faste
27 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
rofané la divine parole par la manière romanesque dont il raconte les histoires saintes, et les discours qu’il prête aux Patriarc
érité la censure. Sans vouloir en faire l’apologie, je demande si une histoire sainte sur le théâtre n’est pas mille fois plus p
e sainte sur le théâtre n’est pas mille fois plus profanée que dans l’ histoire du Peuple de Dieu. Y en conserve-t-on l’intégrité
t encore impossible qu’elles n’en altèrent la vérité. Pour mettre une histoire sainte sur le théâtre, il faut ourdir une intrigu
oir recours à la fiction. Cette fiction est sans conséquence dans les histoires profanes ; mais la sainteté de la Bible ne permet
par des fables ou des opinions incertaines, le Poète ne corrompe une histoire pour laquelle on doit avoir un respect singulier.
mords ce que la religion semble avoir consacré, et faire mépriser une histoire et des personnages où l’on trouve les mêmes avent
nné, avec qui elle a les conversations les plus tendres, tandis que l’ histoire nous apprend que depuis la mort de son mari elle
les personnages sans intérêt ; elle tomba pour ne jamais se relever. ( Histoire du Théâtre. 1710.). L’Absalon de Duché fut plus b
28 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
HISTOIRE DES OUVRAGES Qui ont paru pour et contre la Coméd
omédiens, dont on a rendu compte plus haut, et qui se trouvent dans l’ histoire des Ouvrages sur la Comédie que l’on a indiqués.
onzième, intitulé Pensées sur les Spectacles, se trouve dans la même histoire . Le douzième est dans les Réflexions spirituelles
29 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
e haine, et d’envie : Il ne faut donc pas aussi que l’on fasse aucune Histoire . Les Histoires les plus saintes décrivent toutes
envie : Il ne faut donc pas aussi que l’on fasse aucune Histoire. Les Histoires les plus saintes décrivent toutes les passions et
s Remontrances faites à propos. Comme cela se trouve souvent dans les Histoires , cela doit être observé de même dans les Comédies
st défendu par les saintes Ecritures : Mais s’il faut représenter une Histoire où une fille prenne l’habit d’homme, comme de la
30 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
souvent mis sur le Théâtre des sujets graves tirés de toutes sortes d' Histoires , et même de nos Ecritures Saintes, et des persécu
èrent bientôt après elles le libertinage, et cela fut corrigé par les Histoires Saintes que l'on y fit représenter ; et les perso
on, qui possède encore l'Hôtel de Bourgogne, où l'on représentait des Histoires Saintes ; et où maintenant on en représente encor
31 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
isse connaître tout-à-fait cet art célèbre, je vais lui en raconter l’ histoire . Il sera charmé d’apprendre ce qu’il était autref
it percé de plusieurs petits trous. Plutôt que d’adopter des traits d’ histoire aussi fabuleux, ne vaut-il pas mieux chercher la
nation des Romains, & ne furent plus qu’un Peuple d’esclaves. Histoire de la Musique chez les Latins. Il ne faut pas
p; chez les Gaulois ; il ne me reste plus, pour achever d’en tracer l’ histoire , que de rapporter tout ce qu’on en a dit d’avanta
, & de l’élever au-dessus de toutes les sciences. On lit dans une Histoire de la musique qui parait depuis 1767, que Dieu av
cours, des Ecrits ; voyons maintenant des faits. Faits tirés de l’ Histoire , qui prouvent l’estime qu’on fesait autrefois de
e Nevers, neveu du Cardinal Mazarin, a mis en chansons un Abrégé de l’ Histoire de France, qui commence à la troisième race. La m
e, tierce & quatre, & qu’elle dissipe la folie. On lit dans l’ Histoire de l’Académie des Sciences, année 1707, page 7, &
ndit qu’aucun Musicien pût s’établir jamais dans son Empire. Si cette Histoire était vraie, elle nous apprendrait la raison de c
é des sciences ; ancienne traduction. 38. Voyez un Ouvrage intitulé, Histoire de la Musique & de ses éffets, qui m’a beauco
ts, qui m’a beaucoup servi dans ce Chapitre. 39. D’Aubigny, dans son Histoire de France. 40. Voyage de Chardin. 41. Dictionna
de France. 40. Voyage de Chardin. 41. Dictionnaire de Musique. 42. Histoire de la Musique & de ses éffets, par Bonnet.
32 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
pas heureuse pour le raisonnement, au moins elle sert à embellir les histoires , et il est aisé de connaître celles qui ont passé
tres gentillesses de la narration. Cela ne va pas mal pour une petite histoire , et sur ce pied-là, du moindre sujet du monde vou
re tantôt du cidre, et tantôt du vin des Messieurs, à quoi aboutira l’ histoire  ? Il faut songer à tout. Vous aviez besoin de que
ogies des Jésuites, vous n’êtes pas difficile en panégyriques. Pour l’ histoire du volume de Clélie, peut-être qu’en réduisant to
de la grâce, et n’a rien entrepris que de simples traductions et des histoires pieuses. Et M. Desmarets après avoir passé sa vie
s prétendez ; et je ne pense pas que personne demeure convaincu sur l’ histoire des deux Capucins, sur les louanges qu’on a donné
l’espèce de celui d’Honoriusk : et au lieu que la répétition de cette histoire vous ennuie, ils voient avec plaisir qu’il n’y a
33 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre X. Des entrées faites aux Rois & aux Reines. » pp. 205-208
& dans le silence. Un sujet reel doit faire regner le corps de l’ Histoire & ne placer les ornemens qu’en accessoire. L’
raire doit faire regner l’allegorie, & faire les applications à l’ Histoire & à la verité par accessoire, pour conserver
34 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VIII. De la Folie. » pp. 163-179
rasse, les Bottes de sept lieues, etc. Qu'on parcoure les tables de l' Histoire du théâtre, on verra que la plupart des titres de
des temps et des peuples. Il serait inutile et impossible de faire l' histoire et d'épuiser le détail des folies humaines dans l
te importante matière, on peut consulter les Mémoires pour servir à l' Histoire de la Fête des Fous, par M. Tilliot, qui crut fai
e vivre et de mourir ». De pareils déguisements sont fréquents dans l' histoire . Qu'ont-ils de commun avec la scène, où volontair
l'Hébreu, subtilientem, est un spectacle fort extraordinaire, dont l' histoire ne fournit guère d'exemple, et qui dans nos mœurs
DE] Le texte donne « ce ». aa. [NDE] Cyrano de Bergerac, auteur de L' Histoire comique des Etats et Empires de la Lune. ab. [N
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VII. De la Vraisemblance. » pp. 277-286
jour sous nos yeux : en voilà la preuve ; si l’on nous racontait une histoire remplie d’événemens incroyables, serions nous aff
& n’oser y faire des changemens dans la crainte de s’écarter de l’ Histoire , ou de la manière dont un fait est survenu. Arist
s que je n’y comprends rien, & qu’on se serait plû à contredire l’ Histoire , la raison & le sens commun. Je demande d’abo
36 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
siècle, ainsi que l’a dit M. Fleury dans son troisième discours sur l’ histoire ecclésiastique v, servit encore de prétexte pour
gitimes, par des intrigues, par des séditions et des complots, dont l’ histoire fournit de nombreux exemples. M. de Sénancourt, e
injustes qu’odieuses ! v. [NDE] Abbé Claude Fleury, Discours sur l’ histoire ecclésiastique, Paris, 1708 (plusieurs fois réimp
37 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128
Chapitre IV. Extrait des Histoires de Voltaire. VOltaire se montre par-tout zélé
s brillante réputation : son poëme, sa philosophie, sa politique, ses histoires ne lui auroient jamais fait ériger des statues. C
u de bons mots ; mais un historien est plus croyable qu’un poëte. Des histoires sont des livres serieux, écrits à loisir avec mat
ommé & payé pour dire la vérité ? Qui le croiroit ? Cependant ces histoires même n’épargnent pas plus la scene que ses autres
ologie, je rapporte seulement ce que tout le monde peut lire dans son histoire universelle : en voici des extraits sur les matie
ogie, de magie, d’horoscope, de chiromancie jusqu’alors inconnus. Les histoires des magiciens, les rélations du sabbat, les appar
re emprunterent beaucoup de la scene Espagnole ; sans en dire mot : l’ histoire , les romans y furent traités avec succès, on peut
les à leur amant, qu’il l’étoit à sa femme, & la femme au mari. L’ histoire fournit peu d’exemples d’une si scandaleuse, &
dans tous les Royaumes, dont personne ne se souvient. Qu’on ouvre les histoires , il n’en est point où ces sobriquets ne se trouve
anacronismes en peu de mots.) Voltaire connoît mieux le théatre que l’ histoire ecclésiastique. Luther & les Luthériens trop
38 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
rs faicts & gestes selon l’escripture saincte, avecques plusieurs histoires en icelluy inserées des gestes des Cesars. Veu &a
été le lieu où se soient données les Représentations Dramatiques des Histoires de la Sainte Ecriture dans Paris. Mais, pour fair
à nous aprendre, que pendant que l’on défendoit au Peuple de voir les Histoires Saintes dans le Livre qui les contient purement &
la plupart d’une façon basse, & en style de farceur. La prémiere Histoire que l’on ait décrite dans ce Volume est l’électio
39 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique &
ans ce Chapitre de son établissement chez les Français. Je tracerai l’ histoire de ses commencemens, de ses progrès, chez un Peup
oman. Pour peu que l’on eut d’imagination, ou qu’on voulut broder son histoire , on ferait un livre rempli d’avantures surprénant
urner aux Marionnettes. Je vais apprendre au Public un trait de l’ histoire de notre Opéra sur lequel on semble avoir jetté u
40 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
roles, les gestes, les mœurs et les inclinations de ce prince. Dans l’ histoire , les troubadours, pour la plupart gentilshommes,
ister à des représentations théâtrales. Cela est encore attesté par l’ histoire inexorable, cet épouvantail de l’hypocrisie, et q
la mort de la reine de France, par M. Lafont d’Aussonne, auteur de l’ Histoire de madame de Maintenon, et de la cour de Louis XI
41 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VII. Quelle doit être la Comédie après la réformation du Théâtre. » pp. 69-85
objet, que des intrigues d’amour et de mariage. Héliodoree, dans son Histoire Ethiopiquef, nous peint les honnêtes propos et le
pour guérir de la maladie d’amour ; la faim, le temps et la corde : l’ Histoire du Vieillard de Parme nous apprend que la Comédie
angue grecque et ayant vécu au IIIe ou au VIe siècle ap JC. f. [NDE] Histoire Ethiopique, ou Théagène et Chariclée, est un roma
42 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
Saints ne sauroit compatir avec les verus des Héros dramatiques. Les histoires du vieux Testament s’y accommodent mieux ; mais l
cipline, & renouveler tout ce qu’en a dit l’Abbé Boileau dans son histoire des Flagellans. Il eût amusé le pattere par bien
rcasmes ; mais il y a apparence qu’il n’en savoit pas tant, ni dans l’ histoire Romaine, ni dans l’histoire Ecclésiastique. Quoi
nce qu’il n’en savoit pas tant, ni dans l’histoire Romaine, ni dans l’ histoire Ecclésiastique. Quoi qu’il en soit de son éruditi
uire les Religieuses pour les décrier. Tout est contre la vérité de l’ histoire . 1.° Le Roi Numa, dont parle la grande Prêtresse,
le a déjà le pied levé quand son amant l’enleve. Cependant toutes les histoires nous apprennent que la punition d’une Vestale éto
s moins une faute, puisque cette conduite blesse la vrai-semblance. L’ histoire a conservé le nom de toutes les Vestales qui ont
43 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
Militaires aillent à la Comédie ? On trouve deux événements dans l’ histoire , qui parmi cent autres sont des punitions visible
n’eût point été incorporé dans les légions. Il est même inouï dans l’ histoire qu’on ait eu dans les camps des troupes d’Acteurs
t détruisent le guerrier. Qui en doute ? qui peut en douter ? Toute l’ histoire en fournit des exemples, et tous les livres milit
ommencé à Molière, et les Princesses Cozbi de nos jours datent dans l’ histoire des mœurs théâtrales, de la plus haute antiquité.
tiquité. Que sont nos spectacles, que la représentation des anciennes histoires et des passions humaines ? Les originaux sont les
44 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134
Et voici commeLactant, de fals. rel. l. 2. Lactance en a fait toute l' Histoire . « Flore ayant acquis de grandes richesses par se
ile de représenter le sens d'une Moralité, que les actions de quelque Histoire . Ces Mimes et Pantomimes avaient encore accoutumé
t croire, avec quelque sentiment de dévotion envers leurs Dieux. Et l' Histoire nous apprend qu'aux Jeux donnés par Messius Edile
èrent à l'exercice de son art ; Mais Tite-Live est plus croyable en l' Histoire de son pays. Quoi qu'il en soit, ce nom qui dans
45 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
carriere à ses doctes lucubrations ? Elle réparera cette faute dans l’ histoire complette qu’elle ne peut manquer de donner depui
ut manquer de donner depuis Thespis jusqu’à Vadé inclusivement. Cette histoire manque à la littérature ; les histoires particuli
qu’à Vadé inclusivement. Cette histoire manque à la littérature ; les histoires particulieres de l’Opéra, du Théatre Italien, du
on en peut tirer ! On en a voulu faire une école de politique & d’ histoire . Variété de philosophie & de littérature n.° 
oliere n’est pas moins caractérisé par son théatre. Ses pieces sont l’ histoire de sa vie, le portrait de son cœur, le tableau de
annis du Théatre. Il exclud les pieces tirées de l’Ecriture & des Histoires Saintes où le langage nécessairement employé est
es cérémonies de l’Eglise. C’est tourner en dérision la piété. Dans l’ Histoire de l’Eglise de Quebec on voit un Gouverneur du Ca
utile des ridicules de la Cour & de la ville, ses ouvrages sont l’ histoire des mœurs, des modes, des goûts du siecle, &
nt pas deux. Les Caracteres de la Bruyere, le Telemaque de Fenelon, l’ Histoire universelle de Bossuet, ont plus de choses, &
lus ancienne que lui. Voici une étimologie plus brillante, prise de l’ Histoire du Danemarc, tom. 1. p. 2. c. 33. Je crains fort
46 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
les poupées sont-elles plus immodestes ? sont-elles si dangereuses ? ( Histoire des Voyages, tom. 22. pag. 99. du Halde.) Ce n’es
nsuite par les meilleurs Comédiens qu’elle pouvait trouver. Brantôme ( Histoire des Dames illustres), Florimond de Raimond (Histo
ouver. Brantôme (Histoire des Dames illustres), Florimond de Raimond ( Histoire de l’Hérésie C. de la Navarre et Béarn.), et aprè
ire de l’Hérésie C. de la Navarre et Béarn.), et après lui Maimbourg ( Histoire du Calvinisme L. 1.), rapportent que le Ministre
1668, qui, comme on sait, ne décide rien pour le fonds. L’Auteur de l’ Histoire du Théâtre (Tom. 8. p. 221.), mieux instruit que
à la comédie. L’Abbé de Boisrobert est une sorte de phénomène dans l’ histoire du théâtre. Il était fils d’un Procureur à la Cou
arron, Ménage, les lettres de Costar, de Chapelain, et surtout dans l’ histoire du théâtre, à l’occasion des diverses pièces de c
47 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
a Comédie où l’on voit la réponse au Théologien qui la défend, avec l’ Histoire du Théâtre, et les sentiments des Docteurs de l’E
scernement des effets naturels d’avec ceux qui ne le sont pas, avec l’ Histoire Critique des Pratiques superstitieuses qui ont sé
48 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35
France, Racine, Voltaire, Marmontel, soient des Poëtes Dramatiques. L’ histoire ne seroit-elle qu’une comédie ? doit-elle être tr
ration, ni la dissimulation ? S. au lieu de Tite-live ou de Tacite, l’ histoire Romaine étoit écrite par Plaute ou Terence, y ajo
s étoient venues de telle main, n’auroient-elles rien d’apocriffe ? l’ histoire Ecclésiastique seroit-elle d’un grand poids ? Le
n, d’un historiographe, qui nous montre de quelle maniere il écrira l’ histoire , & quelles loix d’équité & de décence il
oser dans le goût de Regnard, trouveront uue matiere abondante dans l’ histoire des Larrons. C’est un vieux Recueil d’une infinit
tout propos, n’est que fanfaronade. S. vanité a voulu tout embrasser, histoire , philosophie, théologie, politique. Il y est si s
lui avoit ouvert à l’envi. Dom Vaissete a fondu ces annales dans son histoire du Languedoc, & y a ajouté ce qui étoit arriv
un galimathias où il se jette de tous côtés, Belles Lettres, Poësie, histoire , jusqu’à faire venir Gregoire VII & Alexandre
lu leur expliquer que ce mot signifioit un homme chargé d’écrire leur histoire , & leur apprendre à l’écrire dans leur delibé
49 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
nous eût représenté Antiochus, obligeant sa Mere, comme le rapporte l’ Histoire , à boire une coupe empoisonnée, il nous eût prése
tateurs d’un autre goût, on traita les Sujets de la Fable, & de l’ Histoire profane, & nos Poëtes durent avoir en les tra
mp; nos Poëtes ont un beau champ pour les instruire, puisqu’ils ont l’ Histoire entiere du monde. Le Théâtre d’Athénes ne recevoi
la voudroient préférer diroient qu’elle est entiérement conforme à l’ Histoire , au lieu que le Sujet d’Œdippe paroît ajusté au T
50 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IV. De la Médisance. » pp. 80-99
faudroit des volumes pour en épuiser le détail : la vie de Moliere, l’ histoire du Théatre, en rapportent mille anecdotes. Il est
ions ensemble n’ont ni autant ni si bien écrit sur les règles & l’ histoire du théatre, n’en ont si bien connu les beautés &a
hinois, Iroquois, &c. Elle est insatiable de spectacles, la seule histoire des folies du théatre François, poussée seulement
antes, n’avoit fait prier les Auteurs de discontinuer leur ouvrage. L’ histoire de l’Opéra, du Théatre Italien, de celui de la fo
ecdotes, si on daignoit les recueillir, feroient une suite immense. L’ histoire de France n’a pas fourni tant de volumes à Mezera
des Patriarches, les visions des Prophètes, la physique de Moyse, les histoires , le style, les expressions des Écritures, en un m
51 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
me rappelle au surplus que le Public n’aura pas oublié que, dans mon Histoire du Théâtre Italien imprimée l’an 1727, je fis les
assent l’approbation de ces deux Saints Docteurs. Quand j’écrivis mon Histoire , j’étais encore au Théâtre ; et je ne pouvais en
52 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
former, mais ne pût les détruire. Il parut en 1742 un livre intitulé, Histoire de la fête des Fous, où M. du Tillet ramassa gran
ans quantité d’estampes grotesques. Il eût pu faire des volumes : les histoires sont pleines des délires des hommes ; on en voit
ités donne l’air de la fable. » (Boil.) On pourrait faire de même l’ histoire des folies du théâtre, des caprices, des ridicule
fait l’ont donnée au public sous un autre titre ; car qu’est-ce que l’ histoire du théâtre, que l’histoire des folies humaines mi
sous un autre titre ; car qu’est-ce que l’histoire du théâtre, que l’ histoire des folies humaines mise en action par des fous e
nt pas été plus heureux. C’est la judicieuse réflexion de M. Bernard ( Histoire des ouvrages des Savants, année 1696. article 7.)
des sentiments plus touchants, des spectacles plus merveilleux, que l’ histoire Sainte ; mais comme la magnificence des palais de
des déclarations infâmes ; tel ce Peintre scandaleux qui choisit les histoires de Joseph, de Bethsabée, de Suzanne, pour renouve
53 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 4-42
r le Théatre Italien. LE théatre dont en 1727 Riccoboni donna une histoire depuis 1500, jusqu’en 1600, avec tout le luxe typ
u’on entend à Paris par le théatre Italien, dont on vient de donner l’ histoire en 7 vol. avec l’analise des pieces qui y ont été
étail de ce nombre infini de pieces italiennes, qu’il a fait dans son histoire du théatre Italien, il est bien éloigné de n’en p
la comédie. Ce seroit un bien mince éloge pour tous les deux ; mais l’ histoire dement tout cela, Ce Pontife de la maison de Médi
 X & sur le Cardinal Bibiana : plusieurs sont prises de Varillas, histoire secrette de la maison de Médicis. Je sai que cet
es profusions, de son amour pour le théatre, n’est pas douteux dans l’ histoire . Etant Cardinal, le renversement de la maison l’a
une Actrice poëte, n’est pas un événement ordinaire. Auberi, dans son histoire des Cardinaux, n’en fait pourtant pas mention &am
er des théatres Italiens, le seul objet qui nous occupe. Il en fait l’ histoire  ; il donne une notice des piéces, il fait connoît
décorations, habits, danse, musique. Cet ouvrage doit être joint à l’ histoire du théatre Italien de France, donné depuis peu, &
. Il est mort en 1750. Un habile historien qui a beaucoup écrit sur l’ histoire , & a eu une bonne pension, & le titre d’h
54 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74
anisme n’étoient que des libertins ; toute la mythologie n’est qu’une histoire galante. Le Théatre n’est que le Paganisme mis en
l’Abbé Banier, & quelques autres Mithologistes ont cherché dans l’ histoire l’origine de cette fable en Grece, en Asie, en Af
n à leur grand préjudice : l’impression en reste toute la vie. Dans l’ Histoire naturelle ce sont des monstres qui ont une gorge
erdu les traces de la plupart des choses & des personnes. Point d’ histoire sacrée ou profane, même de notre pays, qui n’offr
scours & cette conduite ? Quelques-uns ont dit avec Grotius que l’ histoire de Judith n’étoit pas un fait réellement arrivé,
si précis, ne permettent guere de douter que ce ne soit une véritable histoire , un peu embellie dans la narration. Il faut même
u’un acte de courage & de patriotisme qui a réussi. Il est dans l’ histoire cent exemples de femmes courageuses qui, comme la
n & de mal dans les discours, les actions de ceux dont on écrit l’ histoire  ; ce qui montre la nécessité d’un Juge, d’un Inte
espere les éloges du Saint-Esprit, & la vénération de l’Eglise. L’ histoire de Judith pourroit fournir de très-belles pieces
offriroient des sentimens de toute espece, pourroient ramener toute l’ Histoire Sainte, sans avoir besoin d’épisode d’amour, ni d
55 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-10
de cette famille batarde, & la gloire d’une si belle éducation. L’ histoire de l’admirable Dom Quichotte de la Manche est far
ichotte de la Manche est farcie de répétitions ennuyeuses, de longues histoires disparates, qui ne font que remplissage pour allo
d’insultes : cent & cent autres personnes, dans le cours de cette histoire insensée, entretiennent les rêveries de ce malheu
56 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197
de Prusse lui-même, qui le fit imprimer. C’est un fait unique dans l’ histoire , qu’un roi compose, prononce, donne au public un
sans même se voiler dans les titres. L’homme plante, l’homme machine, histoire naturelle de l’ame, ils souleverent toutes les se
s attributs ne sont rien moins que modestes. Il en raconte toutes les histoires qui ne sont que des infamies Mais ce n’est que l
légance, le goût du style galant, les détails révoltans de toutes les histoires sans nombre, toutes roulant sur la débauche, les
soldats dans les armées, les scythes sur leurs charriots. Toutes les histoires de la Genese & de l’Exorde se sont passées so
imitif analisé, comparé avec le monde monde moderne, considéré dans l’ histoire naturelle de la parole, l’origine du langage &
finité de matériaux. Il a encore pu tirer grand parti du Trésor & histoire des langues de l’univers, leur origine, beauté, d
, parce qu’on se jouoit l’opéra & la comédie qu’en françois, ni l’ histoire , parce que les histoires de Lafontaine étoient le
l’opéra & la comédie qu’en françois, ni l’histoire, parce que les histoires de Lafontaine étoient les plus utiles, ni la phil
s s’arrête à la morale qu’on en tire. Il y a fort peu de fable dans l’ histoire  ; on n’en voit qu’une dans l’Ecriture, des arbres
le est un conte, l’intrigue d’une piece de théatre est une fable, une histoire fausse est une fable, mais parce que, supposant l
que ce qu’il a vu, comme une vieille nourrice croit de bonne foi les histoires qu’elle raconte des sorciers & des revenans,
57 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
to. crinibus auri scobem aspersit. Aussi, quelle idée nous donne l’ histoire de ces monstres ? Elle est peu flatteuse, aliæ c
ui est un vrai ridicule. C’en étoit un encore de dorer les cheveux, l’ histoire des voyages rapporte que les Negres sur la Côte d
elle de Diane, celle de Phedre avec celle d’Alcimadure. (Ils savent l’ histoire , la fable, le théatre, nos savans Barbiers. les
démies de Toulouse, & de Montauban, avoit fait un gros livre de l’ histoire , & de la diversité des coëffures françoises ;
voient dans la plus grande simplicité. Tandis que dans le même tems l’ histoire lance des anathêmes sur les excès de Cléopatre, e
, de tout sexe, jusques dans le Sanctuaire. Qu’on parcoure toutes les histoires sacrées & profanes, Abraham, Isaac, Jacob, Jo
dans les Epigrammes de Martial & de l’Anthologie, & dans les histoires  : en voici quelques-uns ; à force de teindre vos
58 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
ont pris naissance. J’ose avancer qu’ils étaient déja en usage. Cette Histoire prouve qu’on faisait la guerre aux boucs, parce q
le n’aurait pas inventé les Spectacles. Cependant il faut décider ; l’ Histoire est remplie d’obscurités, lorsqu’elle remonte dan
es plus anciens, que l’on trouve policés dès les prémières pages de l’ Histoire , doivent nous faire présumer qu’ils avaient des S
andre, on ne découvre plus aucun vestige de son ancienne splendeur. L’ Histoire de sa décadence serait pour le moins aussi curieu
. Ils allaient dans les Cours des Princes faire le récit d’un trait d’ histoire ou d’une avanture galante, ils accompagnaient, sa
59 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE VIII. Dans quelle Nation la Poësie Dramatique Moderne fit-elle les plus heureux progrès ? » pp. 203-230
ité. Riccoboni n’est pas plus favorable à sa Nation, lorsque dans son Histoire des Théâtres, il dit : Tout ce que les Italiens o
er que le désordre regna par tout, je l’ai assez fait connoître par l’ Histoire de la Poësie Dramatique moderne. Nous nous égarâm
ries, les Tragédies de Shakespear sont remplies. Nous avons vu dans l’ Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs, que leurs
p; des Piéces Italiennes anciennes & modernes. Riccoboni dans son Histoire du Théâtre Italien, nous raconte qu’ayant voulu r
i possédoit le Théâtre François, n’a point pensé tout ce que dans son Histoire du Théâtre Italien il a écrit de favorable à la P
60 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
les choses; et si cette définition peut convenir en quelque sorte à l' Histoire et à la fable, le Poème Dramatique a cela de diff
t que de matière; il nous fait voir les choses comme présentes, que l' Histoire et la fable nous racontent comme passées, et qu'i
manière vive, animée, et pour ainsi dire, personnelle; au lieu que l' histoire et la fable ne nous les font voir que d'une maniè
e ne nous les font voir que d'une manière morte et sans action. Par l' Histoire , nous rappelons les choses passées jusques à nous
ar deux duels, en tuant le Comte, et en désarmant Don Sanche: et si l' histoire le considère davantage par le nom de Cid, et par
61 (1640) Lettre apologétique pp. 2-42
fut même appelée le langage de la Divinité, car si nous considérons l’ histoire Romaine, nous trouverons que les Oracles, ne répo
lus agréables passions, la parfaite image de la vie humaine, la vraie histoire parlante, la pure philosophie visible, l’entretie
ereau Ministre. A Montauban trois ans avant sa prise, il se joua une histoire par les Clercs de la ville, qui avait été tirée d
uelles il se joua deux pièces, l’une tirée de Joseph, et l’autre de l’ histoire de Perse, où plusieurs Ministres des lieux circon
rie du Sieur des Herbiers, se représenta une Tragi-comédie tirée de l’ histoire Romaine, dans le Collège où avaient été autrefois
62 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
utre avantage qui nous assure qu’elle n’épuisera guères ses sujets. L’ Histoire est un vaste champ qu’elle ne parcourera jamais e
sur la Scène Tragique que deux ou trois Familles, célèbres dans leur Histoire , telles que celle d’Alcméon, d’Œdipe, d’Oreste, d
mnon, inspiraient plus de terreur & de surprise, qu’aucun trait d’ Histoire qu’on aurait pu mettre au Théâtre. Ils avaient to
ue que des Héros Grecs & Romains, sans considérer que leur propre Histoire offrait des sujets aussi frappans & plus dans
63 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
aiter. On dit, et c’est encore une objection de notre Auteur, « que l’ Histoire , qui est si grave et si sérieuse, se sert de paro
ables d’une manière qui en fasse goûter le plaisir ? Que s’il y a des histoires qui dégénérant de la dignité d’un si beau nom, en
64 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
l’exécution des ordres absolus du Roi. Voici un fait rapporté dans l’ histoire de la ville de Paris (Tom. 2. pag. 727.), et dans
é dans l’histoire de la ville de Paris (Tom. 2. pag. 727.), et dans l’ histoire du Théâtre (Tom. 5. pag. 49.). Sur la fin de 1633
otection, et si parfaitement, qu’on n’en trouve ni détail ni vestige ( Histoire du Théâtre, ibid.). Ce siècle fut fécond en établ
se séparer, se disputer, se battre, plaider. On en pourrait faire une histoire plaisante par bien des traits et des aventures co
’étaient des instructions vives, animées, amusantes, intéressantes. L’ histoire de la Bible, la vie du Sauveur, sa mort, sa résur
abillant comme des Actrices. Concluons que c’est bien mal connaître l’ histoire et la jurisprudence, ou vouloir en imposer au pub
65 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59
nement, qui fait époque dans les fastes du théâtre, est unique dans l’ histoire . Quoique l’Eglise l’ait dans tous les temps conda
musant. Nous le prendrons de la Vie de Corneille par Fontenelle, de l’ Histoire de l’Académie par Pélisson, de celle du Théâtre p
ition des pièces. « Le premier soin du Cardinal (dit le Père le Brun, Histoire du Théâtre, page 299.), fut de faire chercher (à
livres ! » On peut voir dans les Œuvres mêlées de Chevreau, dans l’ Histoire du Théâtre (Tom. 6.), et l’Histoire de l’Académie
Œuvres mêlées de Chevreau, dans l’Histoire du Théâtre (Tom. 6.), et l’ Histoire de l’Académie, bien des particularités de la vie
ombée dans l’oubli, est rare : on en peut voir un long extrait dans l’ Histoire du théâtre (Tom. 6.) L’Aveugle de Smyrne est enco
66 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
t réuni pour flatter le cœur, l’esprit, les yeux, les oreilles, que l’ histoire de l’Opéra appelle « le spectacle universel, le t
rangères : Diis non detrahes. Ces indécences ne sont pas rares dans l’ histoire sans sortir de la France. Philippe le Bel fit jou
anquets, beignets et grand fracas, pour les mignonnes de la ville. » ( Histoire du Théat. Franç. Tom. 3. p. 202. 206.). François 
son, on ne trouvera de théâtre papal que dans la tête de Boursault. L’ histoire ecclésiastique fournit tout aussi peu de théâtre
iècle un spectacle régulier à Rome et à Venise, tandis que toutes les histoires ne font renaître le théâtre en Europe, depuis la
67 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
er & d’agir, propre à chaque personnage. Les caractères pris de l’ Histoire ou de la Fable, sont au moins ébauchés. Le Poéte
amp; cela suffit pour les faire trouver mauvaises & pitoyables. D’ Histoire  ? un ton assuré, une narration facile en imposent
à la perfection du Poéme, une étude constante des grands modèles de l’ Histoire , & surtout de la Nature, un jugement sain ind
68 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
tale de la France, où il y en a eu jusqu’à sept à la fois, (Voyez mon Histoire des Théâtres.) étoit le vœu général : c’étoit la
r, autant que je puis, l’ordre chronologique, & cela à cause de l’ Histoire du Théâtre Français. Au commencement de 1775, un
e de ne point voir représenter cette Piéce, d’autant plus que c’est l’ histoire du jour. Je lui réponds qu’il ignore, ou qu’il ve
69 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
nciens, puisqu’on n’en rencontre nulle part aucune trace, & que l’ Histoire n’en dit point le moindre mot ; je ne serais pas
s apprendrait même jusqu’à la manière dont ils se papillotaient 14. L’ Histoire ne nous dit pas, il est vrai, que notre Opéra fut
70 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
sentant des actes des apôtres du vieil testament et autres semblables histoires qu’ils s’efforcent représenter. Tertio, il est ce
ue les entrepreneurs ne sont gens pour faire l’édification mais par l’ histoire jouée sera représenté l’Ancien Testament, et le p
érie de la Passion et les Mystères. Recueil de documents relatifs à l’ histoire jusqu’au milieu du XVIe siècle », Romania, 122, 2
ean Louvet, « tapissier » à François Pourtrain. w. [NDE] Tant dans l’ histoire représentée que dans la manière de la jouer. x.
71 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214
a sur le trône, où sa postérité a long-tems régné. Voilà le fond de l’ histoire sur lequel le sieur Belloy a bâti la tragédie de
a bâti la tragédie de Pierre-le-Cruel, qui n’a eu aucun succès. Cette histoire n’est pas propre au théatre, ce ne sont que des a
xploit héroïque ? On dit qu’Henri de Guise voyant un tableau où cette histoire étoit représentée, dit je vois toujours avec pla
s trouver de panégyriste. Dans le projet de M. de Belloy, de mettre l’ histoire de France de M. Velli, en drames, devoit-il chois
voit pris dans cette loi les grandes idées qu’il avoit de la danse. L’ histoire de Velli Tom. 7. Regne de Philippe IV, dit que po
airent, elle n’ a trouvé dans Loke que ses propres sentimens, & l’ histoire de ses pensées . Loke étoit un matérialiste, Clar
ître ou son disciple ; que n’embrasse pas le génie du grand Voltaire, histoire , romans, théologie, philosophie, politique, juris
72 (1707) Lettres sur la comédie « [frontispice] »
[frontispice] Continuation des Mémoires de Litérature et d' Histoire Par le P. Desmolets Tome sept, partie premiere
73 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] HISTOIRE DE LA COMÉDIE ET DE L’OPERA, Où l’on prouve qu’on
74 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « [FRONTISPICE] »
u sujet des condamnations prononcées contre les ComédiensSuivis d'une Histoire Abrégéedes ouvrages qui ont parus pour et contrel
75 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 —  TABLE DES CHAPITRES.  »
Comédiens 128. Chap. VI. De l’Iconomanie théatrale. 140. Chap. VII. Histoire des cas de conscience, 158.
76 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
les Jugleours ; ces noms nous en découvrent assez l’origine, quand l’ histoire serait demeurée sur cela dans le silence : ils so
es Trouvères ou Trouveours, composaient en vers des sujets tirés de l’ histoire des Grands Hommes, qu’ils nommaient leurs Gestes,
77 (1846) Histoire pittoresque des passions « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] Histoire pittoresque des passions chez l’homme et chez la
78 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
ur cela il est nécessaire que le Poète choisisse quelque beau point d’ histoire véritable, ou crue telle ; qu’il conserve les bie
à certains états, ni altérer les caractères connus et consacrés par l’ Histoire ou par la Fable ; qu’Achille soit emporté, ardent
sujet est choisi, qui doit être un trait éclatant de la Fable ou de l’ Histoire , on tâche d’y ramener toutes les actions connues
ique le Poète ait la liberté de changer quelques circonstances de son Histoire , d’en supprimer une partie, d’en ajouter de nouve
de : Il n’est pas cependant obligé de suivre mot à mot la vérité de l’ Histoire , pourvu qu’il ne la corrompe pas dans les points
n’est pas considérable, et qu’il n’altère pas le point essentiel de l’ Histoire . Nous n’aimons pas à voir la scène ensanglantée,
au spectateur, quelque objet pitoyable, ou qu’on lui raconte quelque Histoire tragique. Le caractère des Poètes dramatiques est
sentir le déclamateur. Si la disposition du sujet, ou la vérité de l’ Histoire ne permet pas au Poète de récompenser la vertu, i
79 (1705) Traité de la police « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] TRAITE de LA POLICE, Où l’on trouvera l’ histoire de son établissement, les fonctions et les prérog
80 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre VI. De ce qu’un Poète dramatique doit sçavoir pour être en état de travailler dans le nouveau genre. » pp. 142-158
ans la carrière des Lettres. — Etes-vous un peu sçavant ? — J’ai lû l’ Histoire avec réfléxion, la Fable, & nos plus grands P
lorsqu’il est pret à me quitter en levant les épaules. Vous sçavez l’ Histoire , dites-vous, à quoi vous servira-t-elle ? La Fabl
, dit-on, mourir de chagrin. Diodore de Sicile, Auteur d’une sçavante Histoire du monde, qui malheureusement n’est venue jusqu’à
81 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
anger. Voilà, Messieurs, tout ce que je voulais vous dire, car pour l’ Histoire des Capucins, il paraît bien par la manière dont
er sa Vie, qu’ils ont commencée, ils pourront même se servir de cette Histoire , et ils en feront un chapitre particulier, qu’ils
parant le Palais avec le théâtre, la jurisprudence avec la Comédie, l’ histoire avec la fable, et un très célèbre avocat avec un
82 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127
x écrit, et dont l'objet est le plus éloigné de ces idées profanes, l’ Histoire du Peuple de Dieu. Son style, charmant d'ailleurs
é de faire monter les Saints sur le théâtre, d'altérer la vérité de l' histoire , de corrompre les vertus chrétiennes, et de mêler
été un hérésiarque, chef des Apollinaristes, mirent en vers quelques histoires de l'Ecriture, en forme de dialogue, comme plusie
l'avaient aimé. Le Journal des Savants m'a donné occasion de relire l' histoire et les ouvrages de ce fameux Apostat. Voici des t
es règlements : il insiste sur le théâtre. M. de Fleury en a orné son histoire (L.  15. n.  17.). « La feinte gravité des mœurs,
83 (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303
SECOND DISCOURS Où on fait l’ Histoire des Jeux de Théâtre et autres divertissements Com
, nous le diviserons en différentes parties. La première comprendra l’ Histoire des Jeux de Théâtre depuis Auguste, jusqu’à la co
pectacles depuis Auguste jusqu’à Justinien. La cinquième contiendra l’ Histoire des Jeux de Théâtre depuis l’extinction de l’Idol
Théâtre et donnent du jour pour en traiter. PREMIERE PARTIE. Histoire des jeux de Théâtre et des autres divertissements
t très fréquents. Au temps d’Auguste par lequel nous commençons cette Histoire , on voit à Rome trois Théâtres fixes ainsi que le
l’honneur d’Auguste pendant lesquels Caius fut tué. On peut en voir l’ histoire dans Josèphe Antiq[uitates]. L. 19. c. 2.. Toute
ne manque pas de le remarquer. Mais il est beaucoup plus utile pour l’ histoire de remarquer que les jeux Olympiques furent alors
, donna une infinité de jeux qui n’ont rien de particulier pour notre histoire  ; nous observerons seulement que les Orientaux av
emps-ci, en considérant qu’on ne faisait que représenter au Théâtre l’ Histoire des Dieux, et que ces représentations étaient tou
s dangereux que les Temples pour ceux qui étaient accoutumés à lire l’ Histoire des Dieux, la pudeur y était plus ménagée ; et le
é ; on le voit par ce qu’en dit Josèphe, lorsqu’il rapporte au long l’ Histoire des jeux Palatins, pendant lesquels Caius fut tué
s et les Tragédies. Fin de la première partie. SECONDE PARTIE Histoire des jeux de Théâtre et des autres divertissements
t contre la folle passion du peuple d’Antioche pour les spectacles. L’ Histoire nous fournit dans ce siècle des monuments plus dé
iblement mauvais. Fin de la seconde partie. TROISIEME PARTIE. Histoire des jeux de Théâtre et des autres divertissements
ence, et qu’on agitait la question dans divers Conciles, faisons-en l’ histoire en peu de mots. Il y avait à Arles un fort beau T
tièrement détruite. Justinien la rebâtit. Evagre, qui raconte la même histoire L. 4. c. 25., ajoute que Cosroès s’étant rendu ma
es vrais plaisirs celui de la Comédie ; que si on aime la Poésie et l’ Histoire , on en trouvera suffisamment dans l’Ecriture sain
Théâtre, prouve encore combien l’on doit les avoir en horreur, par l’ Histoire d’une femme qui fut possédée pour avoir été au Th
l’esprit, qu’elles sont exposées avec plus de tour et d’élégance. Les Histoires Tragiques nuisent par le récit qu’on y fait des p
enser. Fin de la quatrième Partie CINQUIEME PARTIE. Contenant l’ Histoire des Jeux de Théâtre, et autres Divertissements Co
chassa absolument ; c’est pourquoi il est bon d’éclaircir ce point d’ histoire , on le trouvera à la fin de ce second discours. M
miques d’alors, d’avec celles d’à présent, faisons-en succinctement l’ Histoire jusqu’à nos jours. IV. Histoire des divertissemen
à présent, faisons-en succinctement l’Histoire jusqu’à nos jours. IV. Histoire des divertissements comiques au xiii. et xiv. siè
es de France, sur les Spectacles. Pour ne pas interrompre le fil de l’ Histoire , nous avons réservé jusqu’à présent les monuments
faire bannir s’il se pouvait de tous Pays Catholiques. L’Auteur de l’ Histoire du Théâtre Italien publiée depuis peu Le Sieur Ri
ou par son Vicaire Général... mais il défend les représentations des Histoires pieuses ou tirées des Livres saints, parce qu’il
se faire écouter. Les Comédies passent parmi eux simplement pour des Histoires représentées sur un Théâtre ; il faut leur avouer
rie ou des nudités scandaleuses qui paraissent sur le Théâtre. Mais l’ Histoire des divertissements Comiques que nous avons joint
eux de dés, d’échecs, etc. Ajoutons que M. de la Chaise, qui a fait l’ Histoire de saint Louis, sur tout ce qui s’est pu trouver
s de la science enjouée. Qu’on lise les Vies des Poètes Provençaux, l’ Histoire de Provence par Nostradamus, celle du sieur Bouch
sept vingt-quatre milliers d’enfants mâles. » Alain Chartier dans son Histoire de Charles VII. parlant de l’entrée de ce Roi à P
stère de la Passion de Jésus-Christ. Il cite encore de Rubis dans son Histoire de la même Ville, L. III. Ch. LIII. qui fait ment
anches et les fêtes après le dîner furent représentées la plupart des Histoires du vieil et du nouveau Testament, avec la farce a
84 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
t directement en récit ce que nos Poèmes modernes sont en action. Nos Histoires romanesques nous amuseraient délicieusement, nous
ra-Bouffon. C’est la fin à laquelle il doit tendre. La Tragédie est l’ Histoire du malheur des Rois, des amours & de la faibl
85 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
condamnable que l’idolâtrie ? fut-il jamais rien de plus autorisé ? L’ histoire de tous les siècles dans le monde entier fait voi
ien les mensonges et les impiétés des Lettres sur les Anglais b, de l’ Histoire universelle, etc. Les représentations théâtrales
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire »
ce qui concerne la Musique dans un Poème chantant. On fait d’abord l’ Histoire de cet Art, duquel on tâche de raisonner en Philo
87 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
e, de la sublimité de sa morale, de la profondeur de ses mystères ! L’ histoire profane elle-même, dans la vicissitude de ses rév
autre spectacle bien digne de vos regards, dit le même Père, c’est l’ histoire de la Religion. Ouvrez les divines Écritures, vou
plus frappantes & à la portée des hommes. Ses livres embrassent l’ histoire de tous les siecles, remontent au premier instant
s prodiges dans le ciel & sur la terre, pete tibi signum à Deo. L’ histoire & la fable, la chimère & la réalité réuni
88 (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162
n leur doit, quand on les représente sur le Théâtre. A la vérité, les Histoires du vieux Testament s’accommoderaient beaucoup mie
les Prêtres ne manqueraient pas de crier contre la profanation de ces Histoires sacrées, dont ils remplissent leurs conversations
c. [NDM] : C’est ce qu’on a vu dans le XVe et le XVIe siècles, où les Histoires de l’Ancien et du Nouveau Testament étaient repré
89 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160
la piste, les goûts qui ont dominé, en divers tems ; & en faire l’ histoire . Celle du dix septieme siécle est bien facile, c’
ire l’histoire. Celle du dix septieme siécle est bien facile, c’est l’ histoire de l’irréligion & du théatre, leur langage es
res pour former le cœur de leurs filles, mettent entre leurs mains, l’ histoire & l’art du libertinage, & les exposent el
de la, mort, Tantôt elle plane avec gloire Sur les lieux sacrés de l’ histoire , Force la demeure du sort. Je prie tous les Saum
que la demeure du sort, comment on peut forcer le destin ? Comment l’ histoire peut se forcer, puisqu’elle ne raconte que ce qui
douze Cesars de l’Empire de Thalie. Un Suetone auroit fait une jolie histoire des exploits, & de la vie domestique de ces P
ts, le caractère des habitans des Provinces de France ; l’abrégé de l’ histoire de plusieurs Rois, enfin, après en long voyage on
90 (1733) Theatrum sit ne, vel esse possit schola informandis moribus idonea « Theatrum sit ne, vel esse possit schola, informandis moribus idonea. Oratio,  » pp. -211
e but. Car d’où vient, Messieurs, que l’on met la Philosophie & l’ Histoire au nombre des plus excellentes Ecoles, si ce n’es
, ni l’Historien) que la Scene peut à ce double titre le disputer à l’ Histoire & à la Philosophie. La Philosophie, particul
t nous porte à l’imiter, s’il le faut, dans les mêmes conjonctures. L’ Histoire , dit Ciceron, est appellée la Maîtresse de la vi
teriez-vous, Messieurs, que la Scéne puisse disputer cet avantage à l’ Histoire  ? Si vous en doutez, faites-moi la grace de me di
 ? Convenez que pour en trouver de pareils, il faut les choisir. Hé l’ Histoire choisit-elle toûjours ? C’est le hazard, non le c
poids jusqu’au centre de l’ame, si j’ose user de cette expression ? L’ Histoire n’en sera pas dénuée. Mais elle mêlera les faits
rner de l’autre. Tels seront toujours les souhaits trop inutiles de l’ Histoire . Malheureusement pour elle on la contraint de pei
brillent & qu’ils touchent. C’est là le triomphe de Melpoméne. L’ Histoire en ceci se voit obligée de lui ceder la palme.  
trop ; l’on vole au devant de vos coups. Ce n’est plus, Messieurs, l’ Histoire sacrée ou profane qui vous peint l’horrible desti
la vertu à des hommes ? Autre effort plus considérable de la Scéne. L’ Histoire est astreinte au temps, au lieu, à l’ordre des év
le parallele de la Scene telle que je viens de la peindre, & de l’ histoire telle qu’elle est ? Consultez le Lecteur & le
ouvée par le suffrage de la Philosophie, & par la déposition de l’ Histoire  ? En effet, Messieurs, pourquoi ce Socrate, que l
n enchanté on établisse une Ecole, non pas Platonicienne, telle que l’ Histoire nous la peint dans les jardins ombragés d’Academu
91 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « Approbation des Docteurs »
rs Le but que s’est propose l’Auteur du Livre qui porte pour titre, Histoire et Abrégé des Ouvrages Latin, Italien et Français
92 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7
re, ce fatras immense des faits où l’on fait intervenir le Démon, ces histoires de Sabbat, ces Sorciers, ces Possessions, ces Rev
thologique, où l’on veut deviner des allusions morales, des secrets d’ histoires & de politique qui n’y furent jamais. Ce ne s
93 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
s procure. Il ne faut point se transporter dans les tems reculés de l’ histoire , ni parcourir de vastes contrées, pour mieux conn
rés par la Tragédie sont comparables à ceux qu’on éprouve en lisant l’ Histoire . Mais quelque raison que l’on puisse donner de l’
94 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VI. » pp. 27-35
s Pères, est propre à faire souvenir ceux qui ont lu les Poètes, de l’ Histoire ou de la fable de ces trois Déesses qui se disput
Saints Evêques. Lisez, mes Pères, au lieu de vos Fables des Païens, l’ Histoire de l’Eglise. Vous y trouverez des Héros, mais un
95 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
culière sur la conduite du clergé est d’autant plus nécessaire, que l’ histoire de France nous fournit des preuves innombrables d
aire pour s’opposer constamment aux usurpations des prêtres, et notre histoire leur paie à cette occasion un tribut d’éloges bie
96 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Charles IV & Charles V. » pp. 38-59
qui ne pardonnoit pas aisément. Tous ces événemens appartiennent à l’ histoire . Voici ce qui appartient au théatre. Quand le tra
courtisans disoient, en voyant ces deux Chefs : Voilà les Héros de l’ histoire & de la fable. Quand à son retour d’Espagne,
’y engagent sans défiance. Telles sont les Confessions du Comte de… l’ Histoire amoureuse des Gaules, &c. Il auroit pu donne
andaleuse sans lier les faits, comme tant de recueils, de contes ou d’ histoires galantes ; il a mieux aimé leur donner un enchaîn
de dévotion, il les refusa, & n’en voulut que de comédie & d’ histoire . Aussi lui-même convient il que sa vie n’a été qu
97 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251
rticulier sur les règles de notre Opéra-Sérieux. On nous a appris son histoire , mais on n’a presque rien dit de détaillé au suje
s Opéras-Sérieux étaient mêlés de Bouffonneries. Pour revenir à l’ Histoire de l’Opéra-Sérieux ; peu s’en fallut que le Spect
iomphe de l’Amour 50, jouée en 1681, est un époque remarquable dans l’ histoire du grand-Opéra. On y vit danser à St. Germain, M.
ques que des Hèros véritables, ou dont les fais sont consacrés dans l’ Histoire  ; aussi leurs Pièces chantantes sont-elles toujou
des incidens qui sont très-analogues au genre du Spectacle lyrique. L’ Histoire ne lui ouvre qu’un champ stérile en comparaison.
s. On nous vante envain les sujets tragiques, c’est-à-dire tirés de l’ Histoire  ; je soutiens que l’Opéra-Sérieux doit les employ
s quoi il serait d’un ennui insupportable ; & un fait pris dans l’ Histoire n’offre pas toujours un champ assez vaste. Le goû
beaucoup que les sujets de ces Poèmes tragiques soient puisés dans l’ Histoire . Que l’action des Drames lyriques est vraisem
98 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
en autrement que dans ses propres Piéces. Cela est si différent que l’ Histoire ne nous dit point qu’Eschyle ait représenté dans
de l’Etat. Nul Comédien n’est parvenu à cet honneur. Roscius, dont l’ Histoire nous a conservé le nom, plûtôt pour marquer la fo
pudent de ses charmes, choque la vue au lieu de toucher le cœur. Si l’ Histoire nous apprend qu’une seule femme (Phrénice) pût as
99 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
us les sujets qu’on a choisi pour en faire des Tragédies, soit dans l’ Histoire , soit dans les Romans, je ne crois pas que l’on p
où la passion d’amour soit plus vivement marquée qu’elle l’est dans l’ Histoire véritable, qui fait le fond de la Tragédie du Com
re sans amour, les Spectateurs s’en accommoderaient mieux, quoi que l’ Histoire fût en droit de s’en plaindre. Voir Alexandre att
100 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques «  Analyse et sommaire du présent Traité  » p. 63
Païens ne doit avoir lieu entre les Chrétiens : Or il appert par les histoires , tant Ecclésiastiques que profanes, que le Diable
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