atique, un romancier, comme les trois derniers, est propre à écrire l’
histoire
, qui dans ses mains, sera un roman & une comé
té, dont leur almanac rapporte la liste. Il est vrai qu’il a paru des
histoires
de l’opéra, du théatre François, du théatre-Itali
te ; il faudroit qu’un Annaliste en titre d’office, en fit un corps d’
histoire
, & pût imprimer le seau de l’Etat à une histo
n fit un corps d’histoire, & pût imprimer le seau de l’Etat à une
histoire
si intéressante. Les morceaux épars sont des maté
même s’en repait quelquefois. A la Chine, pour prévénir cet abus de l’
histoire
, dont les Historiographes du théatre ne se garent
de l’Empire rassemble & lit tous ces écrits, & en compose son
histoire
. Les théatres seroient bien de mettre un pareil c
honorables au théatre. C’est un inconvénient inévitable à toutes les
histoires
, anciennes ou modernes, un peu véridiques, &
les histoires, anciennes ou modernes, un peu véridiques, & toute
histoire
doit l’être. Tout n’y est pas glorieux, à ceux qu
Théologien Défenseur de la Comédie. Page 1. II. DISC. Où l’on fait l’
Histoire
des Jeux de Théâtre et autres divertissements com
es sentiments des Docteurs de l’Eglise sur cette matière. 33 I. PART.
Histoire
des Jeux de Théâtre et des autres divertissements
l’Empereur Auguste, jusqu’à la conversion de Constantin. 51 II PART.
Histoire
des Jeux de Théâtre et des autres divertissements
a conversion de Constantin jusqu’à l’Empereur Honorius. 99 III. PART.
Histoire
des Jeux de Théâtre et des autres divertissements
ue sacrés, depuis Auguste jusqu’à Justinien. 137 V. PART. Contenant l’
Histoire
des Jeux de Théâtre, et autres divertissements Co
ence ces anciens courages doués d’une louable magnanimité ? C’est à l’
histoire
, généreux Héros, que vous et nous tout ensemble d
de bouches, honorée par tant de plumes, et conservée par le soin de l’
histoire
, qui remplit un monde du bruit de vos conquêtes,
e l’âge et l’expérience sont inévitables ; n’avouerons-nous pas que l’
histoire
nous doit servir de très excellent miroir pour y
la présence des plus rares esprits de ce siècle, qui contemplent et l’
histoire
et le geste, représentant au vrai les effets de l
de l’ancienne générosité ? Sans vanité, Messieurs, les louanges que l’
histoire
peut mériter sont légitimement redoublées sur nos
jusqu’à les débiter du ton le plus tranchant. Ces drames présentent l’
Histoire
sainte par les endroits les plus saillans (en fon
cule & simple, de les leur prêter dans un poëme où l’on fait leur
histoire
. Du paradis terrestre d’où le péché les fit chass
jamais dans les plus profondes ténebres de l’oubli. Zeno entreprit l’
Histoire
Eclésiastique de Venise, & la laissa imparfai
montel, Voltaire ont été Poëtes ; les trois premiers n’ont pas fait d’
Histoire
; Voltaire a ébauché une Histoire Universelle, qu
les trois premiers n’ont pas fait d’Histoire ; Voltaire a ébauché une
Histoire
Universelle, qui n’est pas de son département, &a
nt Siecle de Louis XIV & de Louis XV. Zeno ne fit non-plus aucune
Histoire
de l’Empire ; mais, après onze ans de travaux dra
s Templiers jusqu’à la mort du Chevalier de la Barre, on croit lire l’
Histoire
des Sauvages, on frémit un moment, & on va à
as mieux eux-mêmes. Le sieur Serane, ancien Doctrinaire, Professeur d’
Histoire
, Instituteur de la Jeunesse, vendeur d’engrais de
t communément les Fables de la Fontaine. Il applique cette morale à l’
Histoire
, & elle est ici plus recevable : il veut en é
; les égaremens de leur jeunesse, dont ils ont fait penitence. Dans l’
Histoire
, qu’il appelle le Théatre des Mœurs, on voit , d
us déplorable, c’est que ceux qui ont écrit pour les jeunes princes l’
Histoire
des Rois, se sont appesantis sur leurs vices, &am
es des grands rois ? Il pense autrement des hommes ordinaires, dont l’
histoire
n’est que le tableau de leurs miseres & de le
quel le Spectacle est le plus grand danger. Voulez-vous, dit-il, les
histoires
des grands hommes de tous les siecles traitées av
lus frappans de leurs vies ; composez de ces magnifiques lambeaux des
histoires
à la portée & conformes au goût des enfans.
e étude fort au-dessus de leur portée, suppose des connoissances de l’
histoire
qu’ils ne peuvent avoir : cette finesse échappe à
ue ceux de Fontenelle. Le même goût de singularité lui fait étudier l’
histoire
dans l’Esprit des Loix du Président de Montesquie
élés amateurs, & même plusieurs fort bons acteurs. On voit dans l’
Histoire
du Théatre, tom. X, deux portraits de Moliere qui
ême ouvrage l’Etre suprême & les Dieux de la fable, qui prend les
histoires
pour des contes, & les contes pour des histoi
e, qui prend les histoires pour des contes, & les contes pour des
histoires
. Qu’est-ce qu’un Acteur & une Actrice ? C’est
-on que ce faux du théatre, ainsi que des romans, nuit infiniment à l’
histoire
, soit dans le style des Historiens qui l’ont pris
lecteurs ou des spectateurs qui les apprennent ? Voltaire a fait des
histoires
, les Annales de l’Empire, l’Histoire universelle,
pprennent ? Voltaire a fait des histoires, les Annales de l’Empire, l’
Histoire
universelle, le Siecle de Louis XIV, &c. qui
théatre, des romans. Combien de gens qui n’ayant de connoissance de l’
histoire
que celle qu’ils ont puisée dans des romans &
fantaisie du Poëte ; il n’y en a pas une où l’en suive fidellement l’
histoire
. Il en résulte une espèce de pyrrhonisme qui fait
ens, & douter de tout aux beaux esprits. Le peuple prend pour des
histoires
tous ces contes dialogués ; les notables prennent
r des histoires tous ces contes dialogués ; les notables prennent les
histoires
pour des contes, à commencer par les faits pieux
lent bien, ne fût-ce que pour la droiture & la sincérité. Voyez l’
Histoire
du Théatre, tom. 6. ann. 1642. 1643. Vie de Corne
r. Le théatre se donnant lui-même pour une fable, combien de traits d’
histoire
, de sentimens, de règles de morale, qu’il donne p
ie, ait donné lieu de demander, si on peut approuver qu’on prenne des
Histoires
de l’Ecriture Sainte pour en faire des pièces de
ndit moins dangereux, ne voulut jamais souffrir qu’on représentât des
Histoires
saintes et le savant et pieux Mariana Jésuite écr
un Collège il sera trouvé utile à la Jeunesse de représenter quelque
Histoire
, on le pourra tolérer, pourvu qu’elle ne soit tir
ripturis aliud inquiratis nemo vobis aliud præcipiat". » Donc quelque
Histoire
de l’Ecriture que l’on touche, si l’on n’y fait t
ons si mortifiantes pour ceux qui aiment le monde, contient aussi des
Histoires
admirables et qui peuvent plaire à toutes sortes
toujours un bien de leur faire trouver de la joie dans le récit de l’
Histoire
Sainte. J’entre tout à fait dans cette réflexion
les révolutions les plus surprenantes, rien n’est plus propre que les
Histoires
saintes. Tertullien363, Saint Augustin364, et Sai
présente. Où verra-t-on en effet de plus grands événements que dans l’
Histoire
d’un peuple que Dieu conduit dans une Terre promi
e seconde réponse, que de ces sujets même les plus consolants, soit l’
Histoire
de Judith, ou telle autre qu’on voudra prendre, i
urs maris. Saint Julien Pomère dit que les Saints découvrent dans ces
Histoires
une image admirable des vertus qui plaisent à ceu
l est à craindre que les hommes charnels ne prennent mal ces sortes d’
Histoires
. C’est pourquoi ce Saint remarque que les Livres
ts à la jeunesse. Voilà cependant ce qu’on prendra pour le Théâtre. L’
Histoire
de Judith plaira, parce que outre ce qu’il y a de
que de parures, d’ajustements, et des avantages de la beauté ? Cette
Histoire
et cent autres qu’on trouve dans l’Ecriture accom
Combien de précautions faudrait-il prendre, pour proposer utilement l’
Histoire
de Judith à ceux qui fréquentent le Théâtre ? Et
it-on même se promettre après toutes sortes de précautions, que cette
Histoire
ne s’altérerait point dans des esprits, qui sont
des pensées tendres et délicates. Nous pouvons voir quelles pensées l’
Histoire
de Judith fera naître au Théâtre, par celles que
caractère et l’exercice qu’on lui donne. Contre la connaissance de l’
Histoire
de ce temps, et le silence de l’Ecriture, on fait
e les Comédiens, faut-il même que les Comédiens osent représenter les
Histoires
les plus saintes, et que pour divertir le monde o
ires les plus saintes, et que pour divertir le monde on mêle dans ces
Histoires
des plaisanteries et des fictions Advers. gent. L
nt au Théâtre les Sujets qui sont tirés de l’Ecriture Sainte, et de l’
Histoire
Chrétienne. Indigné contre une opinion si fausse
el hazard il a échappé aux yeux de ceux qui m’ont précédé. Toutes les
Histoires
peuvent-elles fournir rien de plus élevé et de pl
ir rien de plus élevé et de plus propre pour la grande Tragédie que l’
Histoire
de Judith ? n’y voit-on pas le merveilleux et le
et peut occuper l’Auteur tragique, s’il veut conserver la vérité de l’
Histoire
sans blesser la sainteté de la matiere ? Qu’il se
us avons un illustre exemple dans Polyeucte, et puisque Judith dont l’
Histoire
est si délicate et si difficile à traiter, n’a pa
ajestueux. Il veut ensuite qu’on enseigne à cet Acteur, la Musique, l’
Histoire
, & je ne sais combien d’autres choses, capabl
ensable, puisque le Pantomime était accompagné par des instrumens ; l’
Histoire
ne l’était pas moins, pour se conformer aux mœurs
s l’empire d’Auguste ; ils ont rendu leurs noms aussi célèbres dans l’
Histoire
Romaine, que le peut être dans l’Histoire Moderne
noms aussi célèbres dans l’Histoire Romaine, que le peut être dans l’
Histoire
Moderne, le nom du Fondateur de quelqu’établissem
Capitale, & qu’il subsista aussi long-temps que l’Empire même. L’
Histoire
des Empereurs Romains fait plus souvent mention d
mp; toutes les factions du Cirque dont il est si souvent parlé dans l’
Histoire
Romaine, épousèrent des Troupes de Pantomimes. Ce
nde a entendu parler de l’idée burlesque de quelque Poëte de mettre l’
Histoire
Romaine en sonnets, le Digeste & le Code en é
coup d’esprit dans un nouveau Théatre François. C’est de mettre notre
histoire
de France en comédie. On en conclurra peut-être q
notre histoire de France en comédie. On en conclurra peut-être que l’
histoire
n’est qu’une comédie, & les hommes, sur-tout
xactitude, l’agrément, qu’il y a répandu. Ce mérite est tout à lui. L’
histoire
de France lui a fait voir plusieurs évenemens tra
s le Siege de Calais, le Duc de Foix, Bayard & quelques autres. L’
histoire
Grecque, Romaine, Espagnole, &c. en fournisse
, une vingtaine de pieces dans chacune l’épuiseroit. Vouloir mettre l’
histoire
en drame ; c’est vouloir mettre toutes nos provin
ble dans le détail qu’il en fait. Son théatre historique n’est qu’une
histoire
en dialogue, comme on a fait des romans en lettre
ine, expliquent les coutumes, les loix, les mœurs du temps. Ce plan d’
Histoire
, susceptible d’agrément, de sel, d’un style varié
des conversations instructives & agréables, plus amusantes qu’une
Histoire
suivie. C’est tout ce qu’a voulu le P. Henault. O
areil Théâtre. Qu’il change le titre, & qu’il annonce un Abrégé d’
Histoire
en Dialogue, quoiqu’il soit fort difficile de sou
utile & brillante. Il n’est pas fait pour être sur la scène, ni l’
Histoire
de France pour être racontée sur le Théâtre sous
es de Théâtre. Voltaire s’est mis à la tête des Auteurs Dramatiques d’
Histoire
. Il a composé à peu de frais une Tragédie histori
ment saisi : plûtôt ou plûtard il eût risqué d’échouer encore. Dans l’
Histoire
de Bretagne, Jean de Montfort IV, qui vivoit en 1
ans, & malgré la volonté de qui on sauva Jupiter, il y a dans les
Histoires
& dans les Romans, cent exemples de pareilles
main ils se rendirent à discrétion. Froissard ajoûte, pour embellir l’
Histoire
, que dans un mouvement de colere, le Roi d’Anglet
e l’Auteur, comme le Duel proposé par Philippe à Edouard, dont aucune
Histoire
ne parle : ce qu’il a pris de la vie de Charles Q
découverte de plusieurs titres importans, ces actes seront utiles à l’
histoire
, prouveront l’illustration de plusieurs grandes m
fidélité & courage très-louables, mais évenemens fréquens dans l’
histoire
, & souvent encore plus mémorables. Il soutien
Racine. On lui reproche de défigurer les faits les plus connus dans l’
histoire
, pour n’en faire qu’une fiction de fantaisie sous
héatre François, & n’y réussiroient pas. Si Metastasio fabulise l’
histoire
pour y mettre de la vertu, l’Auteur de Thamar au
vertu ce choix judicieux, même dans les traits de la fable & de l’
histoire
profane, à plus forte raison dans l’histoire sain
s de la fable & de l’histoire profane, à plus forte raison dans l’
histoire
sainte, à qui on doit le plus profond respect. Mo
Guebres, qui a paru dans le même temps, est aussi une altération de l’
histoire
en faveur de l’irréligion, mais moins monstrueuse
rsuivre. L’Auteur est aussi mal orienté dans la géographie que dans l’
histoire
. Jamais les Guebres n’ont été soumis à l’Empire R
damné aux galeres. Ces traits sont beaux, mais non sans exemples, Les
histoires
présentent fréquemment, & Melpomene met souve
conscience de croire ce qu’il lui plait. L’apologie de Calas dont l’
histoire
a retenti dans toute l’Europe, célébrée par le pi
ontinue le Voyageur, que les sujets de leurs drames étoient pris de l’
histoire
de la nation, & qu’on affectoit de mettre sur
l de Bourgogne n’ait été donné aux Comédiens que pour représenter des
Histoires
saintes, je ne crois pas que ces Messieurs voulus
c’était abuser de la sainteté de notre Religion que de représenter l’
Histoire
des Saints sur un Théâtre profane ; et il me semb
on pourraient produire de fort belles choses. N’avez-vous jamais lu d’
Histoire
de Martyr qui vous ait paru propre pour le Théâtr
es ; je ne vous en dirai que deux ou trois. Vous avez lu sans doute l’
Histoire
d’Herménégildeae, celle de saint Eustacheaf, et l
t le Collège où l’on n’a pas représenté vingt fois sur le Théâtre les
Histoires
dont vous parlez ? TIMANTE. On les a aussi repré
i pour ni contre moi : je veux seulement vous faire connaître que ces
Histoires
fournissent assez de passions et d’intrigues pour
e voudrait pas se donner cette licence, n’y a-t-il pas une infinité d’
Histoires
Chrétiennes qui n’offrent que de beaux noms ? Ne
lée, mais avouons de bonne foi que pour les noms et pour les choses l’
histoire
profane n’a nul avantage sur l’histoire Chrétienn
les noms et pour les choses l’histoire profane n’a nul avantage sur l’
histoire
Chrétienne. CLEARQUE. Il n’est pas nécessaire q
ur l’histoire Chrétienne. CLEARQUE. Il n’est pas nécessaire que les
Histoires
soient merveilleuses ; la plus simple aventure pe
dois tout à la lecture des Anciens. Cependant j’ai lu depuis peu une
Histoire
qui me semble propre pour le Théâtre, si elle éta
e obligé, ou de voir périr son fils, ou de quitter la foiaj. Si cette
Histoire
paraissait devant vous avec les ornements du Théâ
e sujet en fût connu : car je ne me souviens d’aucuns événements de l’
Histoire
qui soient semblables à ceux que vous venez de me
nom du Prince dont j’ai parlé, vous verriez aussitôt qu’il y a dans l’
Histoire
assez de choses conformes à ce que j’ai dit pour
Non, je ne voudrais pas qu’on fît mourir pour la foi un homme dont l’
histoire
n’aurait jamais parlé, ou qui aurait été Païen du
ique, et quand la persécution ne va pas jusqu’à le faire mourir. Si l’
histoire
en parle, et s’il est vrai que ce Héros a souffer
enacé que de l’exil. Ce n’est point manquer au respect qu’on doit à l’
histoire
de l’Eglise, que de changer quelques circonstance
ortir de l’amour : Il y a une infinité d’événements mémorables dans l’
histoire
qui pourraient avoir un grand succès sur le Théât
e lui apporte Du Plaisir dans les Sentiments sur les lettres et sur l’
histoire
, avec des scrupules sur le style, Paris, C. Blage
rsion de l’arianisme au christianisme, sur ordre du roi son père. Son
histoire
fut représentée par La Calprenède en 1641. af. [
ion de presque tous les Peuples pour la Poësie Dramatique. CHAP. II.
Histoire
de la Poësie Dramatique chez les Grecs. CHAP. II
e, & de ce sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. CHAP. VI.
Histoire
de la Poësie Dramatique chez les Romains. §. Po
ains n’ont pas égalé les Grecs dans la Poësie Dramatique. CHAP. VII.
Histoire
de la Poësie Dramatique moderne. CHAP. VIII. Dan
aimable & plein d’esprit, il s’est fait un nom par un abrégé de l’
histoire
de France, où regne beaucoup d’ordre & de mét
tre regardé comme la suite ; ce n’est qu’une autre maniere d’écrire l’
histoire
de France : qui se seroit attendu qu’à l’âge de 8
era pardonner quelque répétition : c’est une suite de dialogues sur l’
histoire
de France, qu’il appelle drames, parce que les ac
emens en sont les interlocuteurs : on peut traiter de même toutes les
histoires
, faire de tout l’univers un théatre, de tous les
de l’écriture. Ce seroit le moyen de faire apprendre & retenir l’
histoire
en s’amusant : c’étoit le goût des anciens maître
ir l’histoire en s’amusant : c’étoit le goût des anciens maîtres. Les
histoires
sacrées, habillées en scénes, passoient en revue
ouement, inventer, nuancer, soutenir, contracter des caractères que l’
histoire
leur donne, & les circonstances où elle les p
Fontenelle. Le Président Henault n’a fait qu’appliquer ces idées à l’
histoire
de France, dont il est plein : on a eu tort dans
commun. Le Président Henault & cent autres ont fait des abrégés d’
histoire
, des tables chronologiques, où les noms des Princ
s sa jeunesse, il eût réussi mieux qu’un autre à remplir son projet d’
histoire
théatrale, & animer sur la scéne ce qu’il avo
er sur la scéne ce qu’il avoit dit dans son abrégé : nous aurions une
histoire
de France ; de la façon de Melpomene qui auroit u
n de Melpomene qui auroit usurpé les droits de sa sœur fameuse dans l’
histoire
. Cette histoire à la vérité, seroit longue &
ui auroit usurpé les droits de sa sœur fameuse dans l’histoire. Cette
histoire
à la vérité, seroit longue & fort sérieuse, p
jeunes gens une pareille école. Voici des traits qui caractérisent l’
Histoire
de Galligones, ou Mémoires de Sarecan. Les Gallig
& chargés de présens, bien accueillis & excommuniés. Larrey,
histoire
de Louis XIV, après avoir parlé des prétextes qu’
e risque, mais on a beau le condamner, on en sera toujours enchanté.
Histoire
de Théodose, de M. le Beau, Tom. 5. Il réforma le
NOTICES PRÉLIMINAIRES. L’
histoire
des Ouvrages pour & contre les Théatres nous
ter à la plus grande perfection cet art dont Despréaux nous a donné l’
histoire
dans les Vers qui suivent : La Tragédie, inform
res Chantres ou Phonasques. Ils composoient des Vers sur des sujets d’
Histoire
sacrée & profane qu’ils chantoient sur une tr
tes pourroient être sujettes. Il nous reste à donner une notice sur l’
Histoire
de notre Théatre ; nous l’avons réservée pour la
es entiers, ils ont encore été les peres & les conservateurs de l’
Histoire
. C’est chez eux que les Monarques trouverent les
us les Peuples anciens ont reçu la coutume de charger de fables leurs
Histoires
& leur Religion. Les Perses, qui conquirent l
rapporterent l’esprit de fiction, & ils en firent usage dans leur
histoire
de Zoroastre. Cecrops transporta de l’Egypte le
leurs. Les Picards eurent leurs Servantois ; les Normands eurent leur
histoire
de Roland le Furieux. Le Poitou eut les Relations
s Romanciers & leurs Conteurs. Ils chargeoient de merveilleux les
histoires
des familles militaires ; telles sont les aventur
stes du Preux Godefroi de Bouillon ; le Chevalier sans reproche, ou l’
Histoire
de Louis & de Charles de la Trémoille, &c
Le Roman de Guillaume au court nez, est du neuvieme siecle ; c’est l’
histoire
de S. Guillaume, chargée d’aventures fabuleuses.
ers le treizieme siecle, vinrent les Romans de Chevalerie, tels que l’
histoire
de S. Greant, le Roman des Chevaliers de la table
, & il donna, pour en être l’antidote, un autre écrit intitulé, l’
Histoire
justifiée contre les Romans. Prévôt d’Exiles 34 a
les mêmes occasions. Rien n’est plus pernicieux que cette multitude d’
histoires
amoureuses & de Nouvelles galantes qu’on est
ture de tous nos Romans doit être redoutée comme l’étoit celle de ces
histoires
dont Horace disoit que le vice s’y trouve peint d
âge de notre ancienne littérature, un Ouvrage intéressant, intitulé :
Histoire
Littéraire des Troubadours, en 3 vol. in-12, dont
un College il étoit trouvé utile à la jeunesse de représenter quelque
histoire
, on ne pourra le tolérer qu’à condition qu’elle n
ans leurs Poëmes. La vraisemblance de ces allusions est prouvée par l’
histoire
, ou fondée sur des conjectures. Il en résulte qu’
s ; c’est ce qui occasionna les écrits polémiques dont on va donner l’
histoire
. Les apologies de nos Théatres y étant mises en o
Remed. Am. 36. Sen. epist. 79. 37. Mart. lib. 12. 38. Dans son
Histoire
du Théatre François. 39. Fu sepelito à grand ho
e debent. Tome I des Capitulaires des Rois de France, page 1170. 43.
Histoire
de France, par M. le Président Hénault. 44. Ibi
Dans la Vie de l’Empereur Julien, page 28. 49. Dans son Abrégé de l’
Histoire
de France. 50. Elle a été insérée dans le XXXVe
51. Page 4 ; lisez-y ligne 28, 1772, au lieu de 1770. 52. Dans son
Histoire
du Théatre François. 53. O magna vis veritatis,
t ce que vous dites ensuite, vos raisonnements, vos comparaisons, vos
histoires
et vos railleries, sont des preuves particulières
parant le Palais avec le Théâtre, la Jurisprudence avec la Comédie, l’
Histoire
avec la Fable, et un très célèbre Avocat avec un
n de si contraire que vous n’ajustiez dans vos comparaisons. Pour vos
histoires
elles sont poétiques, vous les avez accommodées a
ui ôte la vraisemblance à tout le reste, décrédite encore moins votre
histoire
que la conduite que vous attribuez à la Mère Angé
Royal, ni souhaiter une conviction plus forte de la fausseté de votre
histoire
. Je ne pense pas aussi que vous l’ayez dite pour
et vous n’avez été trompé qu’en ce que vous croyiez qu’on rirait de l’
histoire
et qu’on ne rit que de celui qui l’a inventée. On
udence quand vous leur dites « en combien de façons avez-vous conté l’
histoire
du pape Honorius ag » n’est-ce pas là un reproche
-ce pas là un reproche bien judicieux ? Vous ne dites point que cette
histoire
soit fausse, vous ne dites point qu’ils la rappor
? et qui doit-on accuser, ou le Port-Royal qui a dit tant de fois une
histoire
véritable, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont
itable, ou les ennemis de Port-Royal qui n’ont jamais répondu à cette
histoire
, et qui bien souvent ont fait semblant de ne la p
engagée contre les Volsques, vainquit et s’en retourna à sa charrue (
Histoire
de Rome, III, 26). w. [NDE] Laurent Thirouin cit
mœurs, ni religion, ni pudeur. Sa Politique n’est qu’un extrait de l’
histoire
fait avec trop de vérité, dans le goût de maligni
avel, nommé secrétaire & historiographe de Florence, en composa l’
histoire
, bien écrite, mais qui n’est qu’une tragédie perp
de sa patrie, il mourut dans la misere. Outre ses comédies & son
histoire
de Florence, ses poësies érotiques des plus licen
uerres civiles, d’assassinats, d’intrigues sans nombre, qui forment l’
histoire
la plus chargée & la plus odieuse : on pourro
sée sur le ton de conseil & de traité. Je ne doute pas même que l’
histoire
qu’il avoit écrite n’eût exalté son imagination &
raison se déchaînent si vivement contre lui, n’ignorent pas que leur
histoire
est pleine de Machiavélisme. Les Maires du Palais
; ce seroit dans les uns une comedie toute faite, dans les autres une
histoire
ou un roman. On peut faire toutes sortes d’ouvrag
s, Auguste changea la ville de Rome & la bâtit toute de marbre. L’
histoire
est pleine de ces traits : rien n’est nouveau sur
dans ses réponses, parle en deux endroits de ces pièces sous le nom d’
histoires
, pour ne pas employer le mot et donner l’idée pro
ant, dit-elle, et de la fête des Rois, on représente quelques petites
histoires
de dévotion. Mais de danser, courir, etc., il s’e
bien garder. Il doit suffire de manger un peu de fruit à la fin de l’
histoire
dans la chambre des assemblées (Tit. des récréati
s, n. 75. et 76). Ce ne sont pas jeux défendus de représenter quelque
histoire
dévote, pourvu qu’on n’y mette pas trop de temps
S. François de Sales n’approuvait pas ces actions-là. Il a permis les
histoires
, et a pris quelquefois plaisir à les voir représe
ectateurs que les Religieux. L’ingénieux, mais très malin Auteur de l’
histoire
des Ordres monastiques cite ce passage en parlant
et ayant promis d’être plus circonspecte, le théâtre a été rétabli. L’
histoire
de l’Opéra, et chaque année le Mercure et les aut
ur. Dans les Missions étrangères on se donne de pareilles licences. L’
histoire
des Incas de Garcilasso de la Vega (L. 2. ch. 28.
r le théâtre Chinois, où il rapporte quelques pièces Chinoises ; et l’
histoire
des voyages, art. de la Chine. La troupe fut cong
ien prononcer sur cette matiere tant discutée, parcourons un moment l’
histoire
du Théâtre ; consultons les faits, examinons s’il
s, des fêtes & des cérémonies en l’honneur d’un de leurs Dieux. L’
histoire
rapporte qu’Iscarias, d’une contrée de l’Attique,
dans ses pieces, à cause de son peu de voix : Il fut couronné, dit l’
histoire
, vingt fois. L’Etat alors décernoit des couronnes
rop d’un jour ». Les Comédies grecques & latines, bien plus que l’
histoire
, nous donnent une connoissance plus exacte des mœ
s fossés S. Germain-des-prés, où ils sont. Telle est en peu de mots l’
histoire
de nos théâtres. Il y a donc toujours eu de tout
de vaines dissertations dans tous les genres de littérature, Romans,
Histoires
, Comédies, Opera même ; tout est dissertation, &a
e Comédiens ont commencé à être sédentaires comme eux. On voit dans l’
histoire
, que S. Louis ayant établi un droit de péage à l’
p; avec graces, & représenter des jours mémorables choisis dans l’
histoire
, devant une multitude de spectateurs qui n’auroie
ste & Pylade sont arrêtés par des bergers. Les premiers Rois de l’
histoire
sont ainsi représentés comme les premiers Pasteur
dement des spectateurs, ces choses séparées entre la peinture & l’
histoire
. Quel danger peut-il y avoir d’un côté plus que d
éducation. Les jeunes gens, en sortant des humanités, instruits de l’
Histoire
d’Alexandre & de César, n’ignoreront plus jus
e les Poëtes François qui ont illustré les Lettres, ils connoîtront l’
Histoire
& la Poësie de la nation, & à l’exemple d
nos Piéces nouvelles pourront n’être plus tirées que de notre propre
Histoire
. Nous avons vu avec quelle fureur le Public s’est
es Spectacles entretenus aux dépens de l’Etat. Nous voyons dans notre
histoire
, que l’Empereur Justinien(a) voulant rechercher l
ette majesté qui éclattoient dans les anciennes Cours plénieres ». (
Histoire
de France de l’Abbé Velly, seconde race, Pepin.)
chine ; les Flechier, les Fénélon sont supérieurs à Isocrates. Dans l’
Histoire
, dans la Poésie, dans la Tragédie & la Comédi
a France a des Chefs-d’œuvres, que les Grecs ne désavoueroient pas. L’
Histoire
du Théâtre Grec est, à la différence des mœurs pr
la hauteur divine des Grecs. Ce que les Héros de la Fable & de l’
Histoire
ont fait de plus grand, ont pensé de plus sublime
s, Sophocle & Euripide ouvrirent & refermerent la Scène. Si l’
Histoire
nous parle de quelques Poétes dramatiques après e
rstition auroit vû s’ouvrir devant ses pas, en jettant les yeux sur l’
Histoire
Moderne ! Là, tous les grands préjugés s’offrent
rojet d’introduire, sur la Scène Françoise, les époques célèbres de l’
Histoire
Moderne, & particulièrement de l’Histoire Nat
s époques célèbres de l’Histoire Moderne, & particulièrement de l’
Histoire
Nationale ; d’attacher à des passions, à des évén
oral. La Tragédie est plus philosophique & plus instructive que l’
Histoire
, écrivoit jadis Aristote. J’avois crû qu’on pouvo
pour mon coup d’essai, le sujet, j’ose le dire, le plus tragique de l’
Histoire
moderne ; la Saint-Barthélemi. Nul autre ne pouvo
d un Roi de vingt-deux ans, a pu commettre le plus grand crime dont l’
histoire
du monde fasse mention, celui d’un Roi qui conspi
s Tragédies nationales ; & pour coup d’essai vous choissez dans l’
Histoire
de France un fait qui est l’opprobre de la Nation
sur la Scène ces grands événemens tragiques, ces grandes époques de l’
Histoire
, qui intéressent tous les Citoyens ; & non pl
liberté que le Philosophe David Hume est loin d’avoir égalé dans son
histoire
. Croit-on que les Anglois fussent libres du temps
touchons à l’époque la plus importante qui marque, jusqu’à ce jour, l’
histoire
de la Nation Françoise ; & la destinée de vin
utres. Je ne concevrai jamais comment ce qui paroît instructif dans l’
Histoire
, peut sembler nuisible sur la Scène. Comment, par
es vertus & les vices des hommes qui sont livrés au jugement de l’
Histoire
. Je n’aurai pas plus de ménagement pour les rangs
à les décrier ou à les châtier ? Il y en a assez de preuves par les
Histoires
. Apprenez m’en seulement quelques-unes en passan
l y aurait quelque chose à reprendre à leurs personnes, néanmoins les
Histoires
qu’ils représentent sont toujours assez agréables
Comédiens représentent aussi quelquefois des pièces sérieuses, et des
Histoires
Saintes. C’est ce qui se voit fort rarement, et
er de cette façon, qui ne divertirait pas moins que les autres ? Les
Histoires
Saintes n’ont pas été écrites pour donner du plai
en. L’Hôtel de Bourgogne a pourtant servi à telles représentations d’
Histoires
Sacrées ? Vous dites vrai : car autrefois quelqu
prez de Boissy = Lettres de M. Des. de B. sur les spectacles avec une
histoire
des ouvrages pour et contre le théâtre, Paris, Bu
préface de la tragédie de Judith, Paris, 1695, repris in Lalouette ,
Histoire
de la comédie et de l’opéra, où l’on prouve qu’on
rre-Nicolas Desmolets : Continuations des Mémoires de Litérature et d’
Histoire
, t. VII, 1re partie, Paris, Nyon fils, 1749, 478
2. • Voir également : Art poétique, chant III (allusions). Boll,
Histoire
pittoresque des passions, 1846 • Boll, Jules :
Boll, Histoire pittoresque des passions, 1846 • Boll, Jules :
Histoire
pittoresque des passions chez l’homme et chez la
ée par Desprez de Boissy , éd. 1771, 1re partie, p. 459). N.-B. =
Histoire
critique des personnes les plus remarquables de t
[La Rochelle, Jean Portau], 1582, in-8º, 70 p. Ex. Genève, Institut d’
Histoire
de la Réformation : MHR D Dan 7 (cf. Notice). R
(1730?-1827) : Lettres de M. Des. de B. sur les spectacles, avec une
Histoire
des ouvrages pour et contre les théâtres ; quatri
-483 p. PDF : Google. • 5e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une
Histoire
des ouvrages pour et contre les théâtres, par M.
le (deuxième partie). • 6e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une
Histoire
des ouvrages pour et contre les théâtres, par M.
ve (tome I, tome II). • 7e éd. : Lettres sur les spectacles, avec une
Histoire
des ouvrages pour et contre les théâtres, par M.
ettres] (Marmontel, t. III, 1753, p. 665-669, ARTFL) ; • « Comédie » [
Histoire
ancienne] (Diderot, t. III, 1753, p. 669, ARTFL)
ienne] (Diderot, t. III, 1753, p. 669, ARTFL) ; • « Comédie sainte » [
Histoire
moderne théâtrale] (Jaucourt, t. III, 1753, p. 66
lles-Lettres] (Mallet, t. V, 1755, p. 105-106, ARTFL) ; • « Genève » [
Histoire
et Politique] (d’Alembert, t. VII, 1757, p. 578-5
enseur Royal, Gresset, de l’Académie Françoise, Parfaict, Auteur de l’
Histoire
du Théâtre François, Par l’Auteur des Anecdotes d
certains exemplaires, est donné en appendice à Ambroise Lalouette ,
Histoire
de la comédie et de l’opéra, Orléans et Paris, Lo
1718-1794 ; abbé) : Querelles littéraires ou mémoires pour servir à l’
histoire
des révolutions de la république des lettres, dep
(1 f.). PDF : Google. N.-B. Voir Huerne de La Mothe . Joly,
Histoire
de la prédication, 1767 • Joly, Joseph-Romain
la prédication, 1767 • Joly, Joseph-Romain (1715-1805 ; capucin) :
Histoire
de la prédication, ou la Manière dont la parole d
en réponse à Caffaro , Lettre d’un théologien, 1694. Lalouette,
Histoire
et abrégé des ouvrages, 1697 • Lalouette, Ambr
en, chanoine de Sainte-Opportune, prêtre habitué de Saint-Eustache) :
Histoire
et abrégé des ouvrages latins, italiens et franço
e table) [publié sans nom d’auteur]. PDF : Google. Autre édition •
Histoire
de la comédie et de l’opéra, où l’on prouve qu’on
are, Nicolas de (1639-1723) : Traité de la police, où l’on trouvera l’
histoire
de son etablissement, les fonctions et les prerog
, « Recueil de documents, en latin, français et italien, relatifs à l’
histoire
de la Compagnie de Jésus aux xvie et xviie sièc
Comédie, où l’on voit la réponse au Théologien qui la deffend, avec l’
Histoire
du Théâtre et les sentiments des Docteurs de l’Ég
odigieux, Signes, Ecstases & songes admirables, & encores les
Histoires
des Apparitions, & semblables prodiges advenu
e VI, chap. XV, p. 661-662. Autres éditions • 1re éd. : Discours et
histoires
des spectres…, Paris, Nicolas Buon, 1605, in-4º,
médie moderne, où l’on réfute les Nouvelles observations. Suivi d’une
histoire
abrégée des ouvrages qui ont paru pour et contre
ancienne & nouvelle, la tragédie, la pastorale-dramatique… Avec l’
histoire
philosophique de la musique, & des observatio
ons modernes • in Œuvres mêlées, revues, annotées et précédées d’une
histoire
de la vie et des ouvrages de l’auteur par Charles
graphe. Bibliothèque de l’Institut : Ms 667, Mémoires pour servir à l’
histoire
des solitaires de Port-Royal, par l’un d’eux, M.
4-209. Version éditée • Nicolas Fontaine, Mémoires pour servir à l’
histoire
de Port-Royal, t. II, Utrecht, aux dépens de la C
rt, signalée dans la notice « Valbelle », par Claude-François Achard,
Histoire
des hommes illustres de la Provence, Marseille, 2
Tome VII. Contenant ses Mélanges de philosophie, de littérature et d’
histoire
, s. l. [Paris], s. n. [Michel Lambert], 1757, in-
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’
histoire
de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’
histoire
de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’
histoire
de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
érie de la Passion et les mystères. Recueil de documents relatifs à l’
histoire
de la confrérie de la Passion depuis la fin du xi
CHAPITRE VII.
Histoire
de la Poësie Dramatique moderne. Quintilien co
u tems de Corneille & de Moliere. C’est ce que fera connoître une
Histoire
très-abrégée, dans laquelle je ne prétens point d
II, parce qu’ayant fait de grandes dépenses pour représenter à Noël l’
Histoire
du vieux Testament, il supplioit Sa Majesté de ne
e ne point permettre à d’autres, de la représenter. L’Enfant dans son
Histoire
du Concile de Constance rapporte que quand l’Empe
te expression naturelle. Voici encore ce qu’en dit Riccoboni dans son
Histoire
des Théâtres : Notre Musique n’est plus que bizar
mettre en Musique la mort de Caton, & les plus grands Sujets de l’
Histoire
. Je n’ai parlé de l’Opera dans l’Histoire de la P
les plus grands Sujets de l’Histoire. Je n’ai parlé de l’Opera dans l’
Histoire
de la Poësie Dramatique moderne, qu’à cause de l’
il à celui qui m’anime ? Apprends de ma langueur la cause légitime. L’
Histoire
, où tant de fois pour remplir mes projets J’ai tr
pe, Iphigenie, Horace, Où chaque Passion parle avec tant de grâce : L’
Histoire
, où des Héros les Exploits éclatants Savent se ga
sins emprunter des Héros ? Quoi qu’on fasse de beau ; la lenteur de l’
Histoire
Ne promet aux grands Noms qu’une tardive gloire ;
que le Théâtre a des effets présents, Plus connus en dix jours que l’
Histoire
en dix ans. Retrouve en sa faveur une Plume parei
de longs morceaux avec les noms fameux de Valère et de Colombine. Ces
histoires
intéressantes sont lues avec avidité, et c’est la
nner son attention. Ajoutons cette foule d’almanachs, de tablettes, d’
histoires
, de dictionnaires de théâtre, cette inondation de
e sont pas moins intéressantes. Nous y mêlerons bien des traits sur l’
histoire
ancienne et moderne des spectacles, et nous ne né
es défenseurs, comme l’a si heureusement exécuté M. Bossuet, dans son
Histoire
immortelle des variations des Protestants. On n’e
ie. C’est cette curiosité que je vais tâcher de satisfaire. Après une
Histoire
abrégée de la Poësie Dramatique chez les Grecs, j
aisir que cause la Comédie, & sur le sel Attique, je reprendrai l’
Histoire
de la Poësie Dramatique, que je suivrai chez les
voit pour ainsi dire ; aussi sa vie étoit une vie de théatre. Point d’
histoire
plus remplie d’évenemens dramatiques ; c’est un s
ns, &c. C’est le théatre de Sophocle, d’Eschile, de Crébillon : l’
Histoire
Orientale fourniroit aisément la matiere de deux
fit une gazette fort seche & pleine de bassesses, sous le titre d’
Histoire
abrégée de Louis le Grand, qui n’est qu’une table
our les mœurs, qu’il est absolument impossible d’y résister. Dans son
histoire
cependant, il fait plusieurs fois un mérite à Lou
race & une justesse admirable . Au contraire, un grand roi dans l’
histoire
disoit à son fils : N’as-tu pas honte de danser
; l’esprit des bons Angevins, à l’honneur du portrait de ce Prince. L’
histoire
fournit plusieurs exemples d’honneurs rendus à de
ai distibue la Vie d’Henri IV en opéras bouffons, M Hénaut veut que l’
Histoire
de France soit partagée en drames, & le Sieur
mp; maître des Bals de la Reine, &c. prétend faire danser toute l’
Histoire
ancienne & moderne, & en mettre tous les
consequence dans un maître a danser qui n’est pas obligé de savoir l’
histoire
, & traite les évenemens comme un pas de trois
e Encyclopédie, qui possede toutes les sciences, les fables & les
histoires
. Pilade & Batille firent un livre chez les ro
s. Molli saltante batillo. Le savant danseur se jette d’abord sur l’
histoire
, il traverse les mers & les siecles pour alle
stris, Salé, &c. forment par leurs tableaux magiques une chaîne d’
histoire
que le Mercure écrit tous les mois dans ses faste
rofané la divine parole par la manière romanesque dont il raconte les
histoires
saintes, et les discours qu’il prête aux Patriarc
érité la censure. Sans vouloir en faire l’apologie, je demande si une
histoire
sainte sur le théâtre n’est pas mille fois plus p
e sainte sur le théâtre n’est pas mille fois plus profanée que dans l’
histoire
du Peuple de Dieu. Y en conserve-t-on l’intégrité
t encore impossible qu’elles n’en altèrent la vérité. Pour mettre une
histoire
sainte sur le théâtre, il faut ourdir une intrigu
oir recours à la fiction. Cette fiction est sans conséquence dans les
histoires
profanes ; mais la sainteté de la Bible ne permet
par des fables ou des opinions incertaines, le Poète ne corrompe une
histoire
pour laquelle on doit avoir un respect singulier.
mords ce que la religion semble avoir consacré, et faire mépriser une
histoire
et des personnages où l’on trouve les mêmes avent
nné, avec qui elle a les conversations les plus tendres, tandis que l’
histoire
nous apprend que depuis la mort de son mari elle
les personnages sans intérêt ; elle tomba pour ne jamais se relever. (
Histoire
du Théâtre. 1710.). L’Absalon de Duché fut plus b
HISTOIRE
DES OUVRAGES Qui ont paru pour et contre la Coméd
omédiens, dont on a rendu compte plus haut, et qui se trouvent dans l’
histoire
des Ouvrages sur la Comédie que l’on a indiqués.
onzième, intitulé Pensées sur les Spectacles, se trouve dans la même
histoire
. Le douzième est dans les Réflexions spirituelles
e haine, et d’envie : Il ne faut donc pas aussi que l’on fasse aucune
Histoire
. Les Histoires les plus saintes décrivent toutes
envie : Il ne faut donc pas aussi que l’on fasse aucune Histoire. Les
Histoires
les plus saintes décrivent toutes les passions et
s Remontrances faites à propos. Comme cela se trouve souvent dans les
Histoires
, cela doit être observé de même dans les Comédies
st défendu par les saintes Ecritures : Mais s’il faut représenter une
Histoire
où une fille prenne l’habit d’homme, comme de la
souvent mis sur le Théâtre des sujets graves tirés de toutes sortes d'
Histoires
, et même de nos Ecritures Saintes, et des persécu
èrent bientôt après elles le libertinage, et cela fut corrigé par les
Histoires
Saintes que l'on y fit représenter ; et les perso
on, qui possède encore l'Hôtel de Bourgogne, où l'on représentait des
Histoires
Saintes ; et où maintenant on en représente encor
isse connaître tout-à-fait cet art célèbre, je vais lui en raconter l’
histoire
. Il sera charmé d’apprendre ce qu’il était autref
it percé de plusieurs petits trous. Plutôt que d’adopter des traits d’
histoire
aussi fabuleux, ne vaut-il pas mieux chercher la
nation des Romains, & ne furent plus qu’un Peuple d’esclaves.
Histoire
de la Musique chez les Latins. Il ne faut pas
p; chez les Gaulois ; il ne me reste plus, pour achever d’en tracer l’
histoire
, que de rapporter tout ce qu’on en a dit d’avanta
, & de l’élever au-dessus de toutes les sciences. On lit dans une
Histoire
de la musique qui parait depuis 1767, que Dieu av
cours, des Ecrits ; voyons maintenant des faits. Faits tirés de l’
Histoire
, qui prouvent l’estime qu’on fesait autrefois de
e Nevers, neveu du Cardinal Mazarin, a mis en chansons un Abrégé de l’
Histoire
de France, qui commence à la troisième race. La m
e, tierce & quatre, & qu’elle dissipe la folie. On lit dans l’
Histoire
de l’Académie des Sciences, année 1707, page 7, &
ndit qu’aucun Musicien pût s’établir jamais dans son Empire. Si cette
Histoire
était vraie, elle nous apprendrait la raison de c
é des sciences ; ancienne traduction. 38. Voyez un Ouvrage intitulé,
Histoire
de la Musique & de ses éffets, qui m’a beauco
ts, qui m’a beaucoup servi dans ce Chapitre. 39. D’Aubigny, dans son
Histoire
de France. 40. Voyage de Chardin. 41. Dictionna
de France. 40. Voyage de Chardin. 41. Dictionnaire de Musique. 42.
Histoire
de la Musique & de ses éffets, par Bonnet.
pas heureuse pour le raisonnement, au moins elle sert à embellir les
histoires
, et il est aisé de connaître celles qui ont passé
tres gentillesses de la narration. Cela ne va pas mal pour une petite
histoire
, et sur ce pied-là, du moindre sujet du monde vou
re tantôt du cidre, et tantôt du vin des Messieurs, à quoi aboutira l’
histoire
? Il faut songer à tout. Vous aviez besoin de que
ogies des Jésuites, vous n’êtes pas difficile en panégyriques. Pour l’
histoire
du volume de Clélie, peut-être qu’en réduisant to
de la grâce, et n’a rien entrepris que de simples traductions et des
histoires
pieuses. Et M. Desmarets après avoir passé sa vie
s prétendez ; et je ne pense pas que personne demeure convaincu sur l’
histoire
des deux Capucins, sur les louanges qu’on a donné
l’espèce de celui d’Honoriusk : et au lieu que la répétition de cette
histoire
vous ennuie, ils voient avec plaisir qu’il n’y a
& dans le silence. Un sujet reel doit faire regner le corps de l’
Histoire
& ne placer les ornemens qu’en accessoire. L’
raire doit faire regner l’allegorie, & faire les applications à l’
Histoire
& à la verité par accessoire, pour conserver
rasse, les Bottes de sept lieues, etc. Qu'on parcoure les tables de l'
Histoire
du théâtre, on verra que la plupart des titres de
des temps et des peuples. Il serait inutile et impossible de faire l'
histoire
et d'épuiser le détail des folies humaines dans l
te importante matière, on peut consulter les Mémoires pour servir à l'
Histoire
de la Fête des Fous, par M. Tilliot, qui crut fai
e vivre et de mourir ». De pareils déguisements sont fréquents dans l'
histoire
. Qu'ont-ils de commun avec la scène, où volontair
l'Hébreu, subtilientem, est un spectacle fort extraordinaire, dont l'
histoire
ne fournit guère d'exemple, et qui dans nos mœurs
DE] Le texte donne « ce ». aa. [NDE] Cyrano de Bergerac, auteur de L'
Histoire
comique des Etats et Empires de la Lune. ab. [N
jour sous nos yeux : en voilà la preuve ; si l’on nous racontait une
histoire
remplie d’événemens incroyables, serions nous aff
& n’oser y faire des changemens dans la crainte de s’écarter de l’
Histoire
, ou de la manière dont un fait est survenu. Arist
s que je n’y comprends rien, & qu’on se serait plû à contredire l’
Histoire
, la raison & le sens commun. Je demande d’abo
siècle, ainsi que l’a dit M. Fleury dans son troisième discours sur l’
histoire
ecclésiastique v, servit encore de prétexte pour
gitimes, par des intrigues, par des séditions et des complots, dont l’
histoire
fournit de nombreux exemples. M. de Sénancourt, e
injustes qu’odieuses ! v. [NDE] Abbé Claude Fleury, Discours sur l’
histoire
ecclésiastique, Paris, 1708 (plusieurs fois réimp
Chapitre IV. Extrait des
Histoires
de Voltaire. VOltaire se montre par-tout zélé
s brillante réputation : son poëme, sa philosophie, sa politique, ses
histoires
ne lui auroient jamais fait ériger des statues. C
u de bons mots ; mais un historien est plus croyable qu’un poëte. Des
histoires
sont des livres serieux, écrits à loisir avec mat
ommé & payé pour dire la vérité ? Qui le croiroit ? Cependant ces
histoires
même n’épargnent pas plus la scene que ses autres
ologie, je rapporte seulement ce que tout le monde peut lire dans son
histoire
universelle : en voici des extraits sur les matie
ogie, de magie, d’horoscope, de chiromancie jusqu’alors inconnus. Les
histoires
des magiciens, les rélations du sabbat, les appar
re emprunterent beaucoup de la scene Espagnole ; sans en dire mot : l’
histoire
, les romans y furent traités avec succès, on peut
les à leur amant, qu’il l’étoit à sa femme, & la femme au mari. L’
histoire
fournit peu d’exemples d’une si scandaleuse, &
dans tous les Royaumes, dont personne ne se souvient. Qu’on ouvre les
histoires
, il n’en est point où ces sobriquets ne se trouve
anacronismes en peu de mots.) Voltaire connoît mieux le théatre que l’
histoire
ecclésiastique. Luther & les Luthériens trop
rs faicts & gestes selon l’escripture saincte, avecques plusieurs
histoires
en icelluy inserées des gestes des Cesars. Veu &a
été le lieu où se soient données les Représentations Dramatiques des
Histoires
de la Sainte Ecriture dans Paris. Mais, pour fair
à nous aprendre, que pendant que l’on défendoit au Peuple de voir les
Histoires
Saintes dans le Livre qui les contient purement &
la plupart d’une façon basse, & en style de farceur. La prémiere
Histoire
que l’on ait décrite dans ce Volume est l’électio
Chapitre IV.
Histoire
de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique &
ans ce Chapitre de son établissement chez les Français. Je tracerai l’
histoire
de ses commencemens, de ses progrès, chez un Peup
oman. Pour peu que l’on eut d’imagination, ou qu’on voulut broder son
histoire
, on ferait un livre rempli d’avantures surprénant
urner aux Marionnettes. Je vais apprendre au Public un trait de l’
histoire
de notre Opéra sur lequel on semble avoir jetté u
roles, les gestes, les mœurs et les inclinations de ce prince. Dans l’
histoire
, les troubadours, pour la plupart gentilshommes,
ister à des représentations théâtrales. Cela est encore attesté par l’
histoire
inexorable, cet épouvantail de l’hypocrisie, et q
la mort de la reine de France, par M. Lafont d’Aussonne, auteur de l’
Histoire
de madame de Maintenon, et de la cour de Louis XI
objet, que des intrigues d’amour et de mariage. Héliodoree, dans son
Histoire
Ethiopiquef, nous peint les honnêtes propos et le
pour guérir de la maladie d’amour ; la faim, le temps et la corde : l’
Histoire
du Vieillard de Parme nous apprend que la Comédie
angue grecque et ayant vécu au IIIe ou au VIe siècle ap JC. f. [NDE]
Histoire
Ethiopique, ou Théagène et Chariclée, est un roma
Saints ne sauroit compatir avec les verus des Héros dramatiques. Les
histoires
du vieux Testament s’y accommodent mieux ; mais l
cipline, & renouveler tout ce qu’en a dit l’Abbé Boileau dans son
histoire
des Flagellans. Il eût amusé le pattere par bien
rcasmes ; mais il y a apparence qu’il n’en savoit pas tant, ni dans l’
histoire
Romaine, ni dans l’histoire Ecclésiastique. Quoi
nce qu’il n’en savoit pas tant, ni dans l’histoire Romaine, ni dans l’
histoire
Ecclésiastique. Quoi qu’il en soit de son éruditi
uire les Religieuses pour les décrier. Tout est contre la vérité de l’
histoire
. 1.° Le Roi Numa, dont parle la grande Prêtresse,
le a déjà le pied levé quand son amant l’enleve. Cependant toutes les
histoires
nous apprennent que la punition d’une Vestale éto
s moins une faute, puisque cette conduite blesse la vrai-semblance. L’
histoire
a conservé le nom de toutes les Vestales qui ont
Militaires aillent à la Comédie ? On trouve deux événements dans l’
histoire
, qui parmi cent autres sont des punitions visible
n’eût point été incorporé dans les légions. Il est même inouï dans l’
histoire
qu’on ait eu dans les camps des troupes d’Acteurs
t détruisent le guerrier. Qui en doute ? qui peut en douter ? Toute l’
histoire
en fournit des exemples, et tous les livres milit
ommencé à Molière, et les Princesses Cozbi de nos jours datent dans l’
histoire
des mœurs théâtrales, de la plus haute antiquité.
tiquité. Que sont nos spectacles, que la représentation des anciennes
histoires
et des passions humaines ? Les originaux sont les
Et voici commeLactant, de fals. rel. l. 2. Lactance en a fait toute l'
Histoire
. « Flore ayant acquis de grandes richesses par se
ile de représenter le sens d'une Moralité, que les actions de quelque
Histoire
. Ces Mimes et Pantomimes avaient encore accoutumé
t croire, avec quelque sentiment de dévotion envers leurs Dieux. Et l'
Histoire
nous apprend qu'aux Jeux donnés par Messius Edile
èrent à l'exercice de son art ; Mais Tite-Live est plus croyable en l'
Histoire
de son pays. Quoi qu'il en soit, ce nom qui dans
carriere à ses doctes lucubrations ? Elle réparera cette faute dans l’
histoire
complette qu’elle ne peut manquer de donner depui
ut manquer de donner depuis Thespis jusqu’à Vadé inclusivement. Cette
histoire
manque à la littérature ; les histoires particuli
qu’à Vadé inclusivement. Cette histoire manque à la littérature ; les
histoires
particulieres de l’Opéra, du Théatre Italien, du
on en peut tirer ! On en a voulu faire une école de politique & d’
histoire
. Variété de philosophie & de littérature n.°
oliere n’est pas moins caractérisé par son théatre. Ses pieces sont l’
histoire
de sa vie, le portrait de son cœur, le tableau de
annis du Théatre. Il exclud les pieces tirées de l’Ecriture & des
Histoires
Saintes où le langage nécessairement employé est
es cérémonies de l’Eglise. C’est tourner en dérision la piété. Dans l’
Histoire
de l’Eglise de Quebec on voit un Gouverneur du Ca
utile des ridicules de la Cour & de la ville, ses ouvrages sont l’
histoire
des mœurs, des modes, des goûts du siecle, &
nt pas deux. Les Caracteres de la Bruyere, le Telemaque de Fenelon, l’
Histoire
universelle de Bossuet, ont plus de choses, &
lus ancienne que lui. Voici une étimologie plus brillante, prise de l’
Histoire
du Danemarc, tom. 1. p. 2. c. 33. Je crains fort
les poupées sont-elles plus immodestes ? sont-elles si dangereuses ? (
Histoire
des Voyages, tom. 22. pag. 99. du Halde.) Ce n’es
nsuite par les meilleurs Comédiens qu’elle pouvait trouver. Brantôme (
Histoire
des Dames illustres), Florimond de Raimond (Histo
ouver. Brantôme (Histoire des Dames illustres), Florimond de Raimond (
Histoire
de l’Hérésie C. de la Navarre et Béarn.), et aprè
ire de l’Hérésie C. de la Navarre et Béarn.), et après lui Maimbourg (
Histoire
du Calvinisme L. 1.), rapportent que le Ministre
1668, qui, comme on sait, ne décide rien pour le fonds. L’Auteur de l’
Histoire
du Théâtre (Tom. 8. p. 221.), mieux instruit que
à la comédie. L’Abbé de Boisrobert est une sorte de phénomène dans l’
histoire
du théâtre. Il était fils d’un Procureur à la Cou
arron, Ménage, les lettres de Costar, de Chapelain, et surtout dans l’
histoire
du théâtre, à l’occasion des diverses pièces de c
a Comédie où l’on voit la réponse au Théologien qui la défend, avec l’
Histoire
du Théâtre, et les sentiments des Docteurs de l’E
scernement des effets naturels d’avec ceux qui ne le sont pas, avec l’
Histoire
Critique des Pratiques superstitieuses qui ont sé
France, Racine, Voltaire, Marmontel, soient des Poëtes Dramatiques. L’
histoire
ne seroit-elle qu’une comédie ? doit-elle être tr
ration, ni la dissimulation ? S. au lieu de Tite-live ou de Tacite, l’
histoire
Romaine étoit écrite par Plaute ou Terence, y ajo
s étoient venues de telle main, n’auroient-elles rien d’apocriffe ? l’
histoire
Ecclésiastique seroit-elle d’un grand poids ? Le
n, d’un historiographe, qui nous montre de quelle maniere il écrira l’
histoire
, & quelles loix d’équité & de décence il
oser dans le goût de Regnard, trouveront uue matiere abondante dans l’
histoire
des Larrons. C’est un vieux Recueil d’une infinit
tout propos, n’est que fanfaronade. S. vanité a voulu tout embrasser,
histoire
, philosophie, théologie, politique. Il y est si s
lui avoit ouvert à l’envi. Dom Vaissete a fondu ces annales dans son
histoire
du Languedoc, & y a ajouté ce qui étoit arriv
un galimathias où il se jette de tous côtés, Belles Lettres, Poësie,
histoire
, jusqu’à faire venir Gregoire VII & Alexandre
lu leur expliquer que ce mot signifioit un homme chargé d’écrire leur
histoire
, & leur apprendre à l’écrire dans leur delibé
nous eût représenté Antiochus, obligeant sa Mere, comme le rapporte l’
Histoire
, à boire une coupe empoisonnée, il nous eût prése
tateurs d’un autre goût, on traita les Sujets de la Fable, & de l’
Histoire
profane, & nos Poëtes durent avoir en les tra
mp; nos Poëtes ont un beau champ pour les instruire, puisqu’ils ont l’
Histoire
entiere du monde. Le Théâtre d’Athénes ne recevoi
la voudroient préférer diroient qu’elle est entiérement conforme à l’
Histoire
, au lieu que le Sujet d’Œdippe paroît ajusté au T
faudroit des volumes pour en épuiser le détail : la vie de Moliere, l’
histoire
du Théatre, en rapportent mille anecdotes. Il est
ions ensemble n’ont ni autant ni si bien écrit sur les règles & l’
histoire
du théatre, n’en ont si bien connu les beautés &a
hinois, Iroquois, &c. Elle est insatiable de spectacles, la seule
histoire
des folies du théatre François, poussée seulement
antes, n’avoit fait prier les Auteurs de discontinuer leur ouvrage. L’
histoire
de l’Opéra, du Théatre Italien, de celui de la fo
ecdotes, si on daignoit les recueillir, feroient une suite immense. L’
histoire
de France n’a pas fourni tant de volumes à Mezera
des Patriarches, les visions des Prophètes, la physique de Moyse, les
histoires
, le style, les expressions des Écritures, en un m
me rappelle au surplus que le Public n’aura pas oublié que, dans mon
Histoire
du Théâtre Italien imprimée l’an 1727, je fis les
assent l’approbation de ces deux Saints Docteurs. Quand j’écrivis mon
Histoire
, j’étais encore au Théâtre ; et je ne pouvais en
former, mais ne pût les détruire. Il parut en 1742 un livre intitulé,
Histoire
de la fête des Fous, où M. du Tillet ramassa gran
ans quantité d’estampes grotesques. Il eût pu faire des volumes : les
histoires
sont pleines des délires des hommes ; on en voit
ités donne l’air de la fable. » (Boil.) On pourrait faire de même l’
histoire
des folies du théâtre, des caprices, des ridicule
fait l’ont donnée au public sous un autre titre ; car qu’est-ce que l’
histoire
du théâtre, que l’histoire des folies humaines mi
sous un autre titre ; car qu’est-ce que l’histoire du théâtre, que l’
histoire
des folies humaines mise en action par des fous e
nt pas été plus heureux. C’est la judicieuse réflexion de M. Bernard (
Histoire
des ouvrages des Savants, année 1696. article 7.)
des sentiments plus touchants, des spectacles plus merveilleux, que l’
histoire
Sainte ; mais comme la magnificence des palais de
des déclarations infâmes ; tel ce Peintre scandaleux qui choisit les
histoires
de Joseph, de Bethsabée, de Suzanne, pour renouve
r le Théatre Italien. LE théatre dont en 1727 Riccoboni donna une
histoire
depuis 1500, jusqu’en 1600, avec tout le luxe typ
u’on entend à Paris par le théatre Italien, dont on vient de donner l’
histoire
en 7 vol. avec l’analise des pieces qui y ont été
étail de ce nombre infini de pieces italiennes, qu’il a fait dans son
histoire
du théatre Italien, il est bien éloigné de n’en p
la comédie. Ce seroit un bien mince éloge pour tous les deux ; mais l’
histoire
dement tout cela, Ce Pontife de la maison de Médi
X & sur le Cardinal Bibiana : plusieurs sont prises de Varillas,
histoire
secrette de la maison de Médicis. Je sai que cet
es profusions, de son amour pour le théatre, n’est pas douteux dans l’
histoire
. Etant Cardinal, le renversement de la maison l’a
une Actrice poëte, n’est pas un événement ordinaire. Auberi, dans son
histoire
des Cardinaux, n’en fait pourtant pas mention &am
er des théatres Italiens, le seul objet qui nous occupe. Il en fait l’
histoire
; il donne une notice des piéces, il fait connoît
décorations, habits, danse, musique. Cet ouvrage doit être joint à l’
histoire
du théatre Italien de France, donné depuis peu, &
. Il est mort en 1750. Un habile historien qui a beaucoup écrit sur l’
histoire
, & a eu une bonne pension, & le titre d’h
anisme n’étoient que des libertins ; toute la mythologie n’est qu’une
histoire
galante. Le Théatre n’est que le Paganisme mis en
l’Abbé Banier, & quelques autres Mithologistes ont cherché dans l’
histoire
l’origine de cette fable en Grece, en Asie, en Af
n à leur grand préjudice : l’impression en reste toute la vie. Dans l’
Histoire
naturelle ce sont des monstres qui ont une gorge
erdu les traces de la plupart des choses & des personnes. Point d’
histoire
sacrée ou profane, même de notre pays, qui n’offr
scours & cette conduite ? Quelques-uns ont dit avec Grotius que l’
histoire
de Judith n’étoit pas un fait réellement arrivé,
si précis, ne permettent guere de douter que ce ne soit une véritable
histoire
, un peu embellie dans la narration. Il faut même
u’un acte de courage & de patriotisme qui a réussi. Il est dans l’
histoire
cent exemples de femmes courageuses qui, comme la
n & de mal dans les discours, les actions de ceux dont on écrit l’
histoire
; ce qui montre la nécessité d’un Juge, d’un Inte
espere les éloges du Saint-Esprit, & la vénération de l’Eglise. L’
histoire
de Judith pourroit fournir de très-belles pieces
offriroient des sentimens de toute espece, pourroient ramener toute l’
Histoire
Sainte, sans avoir besoin d’épisode d’amour, ni d
de cette famille batarde, & la gloire d’une si belle éducation. L’
histoire
de l’admirable Dom Quichotte de la Manche est far
ichotte de la Manche est farcie de répétitions ennuyeuses, de longues
histoires
disparates, qui ne font que remplissage pour allo
d’insultes : cent & cent autres personnes, dans le cours de cette
histoire
insensée, entretiennent les rêveries de ce malheu
de Prusse lui-même, qui le fit imprimer. C’est un fait unique dans l’
histoire
, qu’un roi compose, prononce, donne au public un
sans même se voiler dans les titres. L’homme plante, l’homme machine,
histoire
naturelle de l’ame, ils souleverent toutes les se
s attributs ne sont rien moins que modestes. Il en raconte toutes les
histoires
qui ne sont que des infamies Mais ce n’est que l
légance, le goût du style galant, les détails révoltans de toutes les
histoires
sans nombre, toutes roulant sur la débauche, les
soldats dans les armées, les scythes sur leurs charriots. Toutes les
histoires
de la Genese & de l’Exorde se sont passées so
imitif analisé, comparé avec le monde monde moderne, considéré dans l’
histoire
naturelle de la parole, l’origine du langage &
finité de matériaux. Il a encore pu tirer grand parti du Trésor &
histoire
des langues de l’univers, leur origine, beauté, d
, parce qu’on se jouoit l’opéra & la comédie qu’en françois, ni l’
histoire
, parce que les histoires de Lafontaine étoient le
l’opéra & la comédie qu’en françois, ni l’histoire, parce que les
histoires
de Lafontaine étoient les plus utiles, ni la phil
s s’arrête à la morale qu’on en tire. Il y a fort peu de fable dans l’
histoire
; on n’en voit qu’une dans l’Ecriture, des arbres
le est un conte, l’intrigue d’une piece de théatre est une fable, une
histoire
fausse est une fable, mais parce que, supposant l
que ce qu’il a vu, comme une vieille nourrice croit de bonne foi les
histoires
qu’elle raconte des sorciers & des revenans,
to. crinibus auri scobem aspersit. Aussi, quelle idée nous donne l’
histoire
de ces monstres ? Elle est peu flatteuse, aliæ c
ui est un vrai ridicule. C’en étoit un encore de dorer les cheveux, l’
histoire
des voyages rapporte que les Negres sur la Côte d
elle de Diane, celle de Phedre avec celle d’Alcimadure. (Ils savent l’
histoire
, la fable, le théatre, nos savans Barbiers. les
démies de Toulouse, & de Montauban, avoit fait un gros livre de l’
histoire
, & de la diversité des coëffures françoises ;
voient dans la plus grande simplicité. Tandis que dans le même tems l’
histoire
lance des anathêmes sur les excès de Cléopatre, e
, de tout sexe, jusques dans le Sanctuaire. Qu’on parcoure toutes les
histoires
sacrées & profanes, Abraham, Isaac, Jacob, Jo
dans les Epigrammes de Martial & de l’Anthologie, & dans les
histoires
: en voici quelques-uns ; à force de teindre vos
ont pris naissance. J’ose avancer qu’ils étaient déja en usage. Cette
Histoire
prouve qu’on faisait la guerre aux boucs, parce q
le n’aurait pas inventé les Spectacles. Cependant il faut décider ; l’
Histoire
est remplie d’obscurités, lorsqu’elle remonte dan
es plus anciens, que l’on trouve policés dès les prémières pages de l’
Histoire
, doivent nous faire présumer qu’ils avaient des S
andre, on ne découvre plus aucun vestige de son ancienne splendeur. L’
Histoire
de sa décadence serait pour le moins aussi curieu
. Ils allaient dans les Cours des Princes faire le récit d’un trait d’
histoire
ou d’une avanture galante, ils accompagnaient, sa
ité. Riccoboni n’est pas plus favorable à sa Nation, lorsque dans son
Histoire
des Théâtres, il dit : Tout ce que les Italiens o
er que le désordre regna par tout, je l’ai assez fait connoître par l’
Histoire
de la Poësie Dramatique moderne. Nous nous égarâm
ries, les Tragédies de Shakespear sont remplies. Nous avons vu dans l’
Histoire
de la Poësie Dramatique chez les Grecs, que leurs
p; des Piéces Italiennes anciennes & modernes. Riccoboni dans son
Histoire
du Théâtre Italien, nous raconte qu’ayant voulu r
i possédoit le Théâtre François, n’a point pensé tout ce que dans son
Histoire
du Théâtre Italien il a écrit de favorable à la P
les choses; et si cette définition peut convenir en quelque sorte à l'
Histoire
et à la fable, le Poème Dramatique a cela de diff
t que de matière; il nous fait voir les choses comme présentes, que l'
Histoire
et la fable nous racontent comme passées, et qu'i
manière vive, animée, et pour ainsi dire, personnelle; au lieu que l'
histoire
et la fable ne nous les font voir que d'une maniè
e ne nous les font voir que d'une manière morte et sans action. Par l'
Histoire
, nous rappelons les choses passées jusques à nous
ar deux duels, en tuant le Comte, et en désarmant Don Sanche: et si l'
histoire
le considère davantage par le nom de Cid, et par
fut même appelée le langage de la Divinité, car si nous considérons l’
histoire
Romaine, nous trouverons que les Oracles, ne répo
lus agréables passions, la parfaite image de la vie humaine, la vraie
histoire
parlante, la pure philosophie visible, l’entretie
ereau Ministre. A Montauban trois ans avant sa prise, il se joua une
histoire
par les Clercs de la ville, qui avait été tirée d
uelles il se joua deux pièces, l’une tirée de Joseph, et l’autre de l’
histoire
de Perse, où plusieurs Ministres des lieux circon
rie du Sieur des Herbiers, se représenta une Tragi-comédie tirée de l’
histoire
Romaine, dans le Collège où avaient été autrefois
utre avantage qui nous assure qu’elle n’épuisera guères ses sujets. L’
Histoire
est un vaste champ qu’elle ne parcourera jamais e
sur la Scène Tragique que deux ou trois Familles, célèbres dans leur
Histoire
, telles que celle d’Alcméon, d’Œdipe, d’Oreste, d
mnon, inspiraient plus de terreur & de surprise, qu’aucun trait d’
Histoire
qu’on aurait pu mettre au Théâtre. Ils avaient to
ue que des Héros Grecs & Romains, sans considérer que leur propre
Histoire
offrait des sujets aussi frappans & plus dans
aiter. On dit, et c’est encore une objection de notre Auteur, « que l’
Histoire
, qui est si grave et si sérieuse, se sert de paro
ables d’une manière qui en fasse goûter le plaisir ? Que s’il y a des
histoires
qui dégénérant de la dignité d’un si beau nom, en
l’exécution des ordres absolus du Roi. Voici un fait rapporté dans l’
histoire
de la ville de Paris (Tom. 2. pag. 727.), et dans
é dans l’histoire de la ville de Paris (Tom. 2. pag. 727.), et dans l’
histoire
du Théâtre (Tom. 5. pag. 49.). Sur la fin de 1633
otection, et si parfaitement, qu’on n’en trouve ni détail ni vestige (
Histoire
du Théâtre, ibid.). Ce siècle fut fécond en établ
se séparer, se disputer, se battre, plaider. On en pourrait faire une
histoire
plaisante par bien des traits et des aventures co
’étaient des instructions vives, animées, amusantes, intéressantes. L’
histoire
de la Bible, la vie du Sauveur, sa mort, sa résur
abillant comme des Actrices. Concluons que c’est bien mal connaître l’
histoire
et la jurisprudence, ou vouloir en imposer au pub
nement, qui fait époque dans les fastes du théâtre, est unique dans l’
histoire
. Quoique l’Eglise l’ait dans tous les temps conda
musant. Nous le prendrons de la Vie de Corneille par Fontenelle, de l’
Histoire
de l’Académie par Pélisson, de celle du Théâtre p
ition des pièces. « Le premier soin du Cardinal (dit le Père le Brun,
Histoire
du Théâtre, page 299.), fut de faire chercher (à
livres ! » On peut voir dans les Œuvres mêlées de Chevreau, dans l’
Histoire
du Théâtre (Tom. 6.), et l’Histoire de l’Académie
Œuvres mêlées de Chevreau, dans l’Histoire du Théâtre (Tom. 6.), et l’
Histoire
de l’Académie, bien des particularités de la vie
ombée dans l’oubli, est rare : on en peut voir un long extrait dans l’
Histoire
du théâtre (Tom. 6.) L’Aveugle de Smyrne est enco
t réuni pour flatter le cœur, l’esprit, les yeux, les oreilles, que l’
histoire
de l’Opéra appelle « le spectacle universel, le t
rangères : Diis non detrahes. Ces indécences ne sont pas rares dans l’
histoire
sans sortir de la France. Philippe le Bel fit jou
anquets, beignets et grand fracas, pour les mignonnes de la ville. » (
Histoire
du Théat. Franç. Tom. 3. p. 202. 206.). François
son, on ne trouvera de théâtre papal que dans la tête de Boursault. L’
histoire
ecclésiastique fournit tout aussi peu de théâtre
iècle un spectacle régulier à Rome et à Venise, tandis que toutes les
histoires
ne font renaître le théâtre en Europe, depuis la
er & d’agir, propre à chaque personnage. Les caractères pris de l’
Histoire
ou de la Fable, sont au moins ébauchés. Le Poéte
amp; cela suffit pour les faire trouver mauvaises & pitoyables. D’
Histoire
? un ton assuré, une narration facile en imposent
à la perfection du Poéme, une étude constante des grands modèles de l’
Histoire
, & surtout de la Nature, un jugement sain ind
tale de la France, où il y en a eu jusqu’à sept à la fois, (Voyez mon
Histoire
des Théâtres.) étoit le vœu général : c’étoit la
r, autant que je puis, l’ordre chronologique, & cela à cause de l’
Histoire
du Théâtre Français. Au commencement de 1775, un
e de ne point voir représenter cette Piéce, d’autant plus que c’est l’
histoire
du jour. Je lui réponds qu’il ignore, ou qu’il ve
nciens, puisqu’on n’en rencontre nulle part aucune trace, & que l’
Histoire
n’en dit point le moindre mot ; je ne serais pas
s apprendrait même jusqu’à la manière dont ils se papillotaient 14. L’
Histoire
ne nous dit pas, il est vrai, que notre Opéra fut
sentant des actes des apôtres du vieil testament et autres semblables
histoires
qu’ils s’efforcent représenter. Tertio, il est ce
ue les entrepreneurs ne sont gens pour faire l’édification mais par l’
histoire
jouée sera représenté l’Ancien Testament, et le p
érie de la Passion et les Mystères. Recueil de documents relatifs à l’
histoire
jusqu’au milieu du XVIe siècle », Romania, 122, 2
ean Louvet, « tapissier » à François Pourtrain. w. [NDE] Tant dans l’
histoire
représentée que dans la manière de la jouer. x.
a sur le trône, où sa postérité a long-tems régné. Voilà le fond de l’
histoire
sur lequel le sieur Belloy a bâti la tragédie de
a bâti la tragédie de Pierre-le-Cruel, qui n’a eu aucun succès. Cette
histoire
n’est pas propre au théatre, ce ne sont que des a
xploit héroïque ? On dit qu’Henri de Guise voyant un tableau où cette
histoire
étoit représentée, dit je vois toujours avec pla
s trouver de panégyriste. Dans le projet de M. de Belloy, de mettre l’
histoire
de France de M. Velli, en drames, devoit-il chois
voit pris dans cette loi les grandes idées qu’il avoit de la danse. L’
histoire
de Velli Tom. 7. Regne de Philippe IV, dit que po
airent, elle n’ a trouvé dans Loke que ses propres sentimens, & l’
histoire
de ses pensées . Loke étoit un matérialiste, Clar
ître ou son disciple ; que n’embrasse pas le génie du grand Voltaire,
histoire
, romans, théologie, philosophie, politique, juris
[frontispice] Continuation des Mémoires de Litérature et d'
Histoire
Par le P. Desmolets Tome sept, partie premiere
[FRONTISPICE]
HISTOIRE
DE LA COMÉDIE ET DE L’OPERA, Où l’on prouve qu’on
u sujet des condamnations prononcées contre les ComédiensSuivis d'une
Histoire
Abrégéedes ouvrages qui ont parus pour et contrel
Comédiens 128. Chap. VI. De l’Iconomanie théatrale. 140. Chap. VII.
Histoire
des cas de conscience, 158.
les Jugleours ; ces noms nous en découvrent assez l’origine, quand l’
histoire
serait demeurée sur cela dans le silence : ils so
es Trouvères ou Trouveours, composaient en vers des sujets tirés de l’
histoire
des Grands Hommes, qu’ils nommaient leurs Gestes,
[FRONTISPICE]
Histoire
pittoresque des passions chez l’homme et chez la
ur cela il est nécessaire que le Poète choisisse quelque beau point d’
histoire
véritable, ou crue telle ; qu’il conserve les bie
à certains états, ni altérer les caractères connus et consacrés par l’
Histoire
ou par la Fable ; qu’Achille soit emporté, ardent
sujet est choisi, qui doit être un trait éclatant de la Fable ou de l’
Histoire
, on tâche d’y ramener toutes les actions connues
ique le Poète ait la liberté de changer quelques circonstances de son
Histoire
, d’en supprimer une partie, d’en ajouter de nouve
de : Il n’est pas cependant obligé de suivre mot à mot la vérité de l’
Histoire
, pourvu qu’il ne la corrompe pas dans les points
n’est pas considérable, et qu’il n’altère pas le point essentiel de l’
Histoire
. Nous n’aimons pas à voir la scène ensanglantée,
au spectateur, quelque objet pitoyable, ou qu’on lui raconte quelque
Histoire
tragique. Le caractère des Poètes dramatiques est
sentir le déclamateur. Si la disposition du sujet, ou la vérité de l’
Histoire
ne permet pas au Poète de récompenser la vertu, i
[FRONTISPICE] TRAITE de LA POLICE, Où l’on trouvera l’
histoire
de son établissement, les fonctions et les prérog
ans la carrière des Lettres. — Etes-vous un peu sçavant ? — J’ai lû l’
Histoire
avec réfléxion, la Fable, & nos plus grands P
lorsqu’il est pret à me quitter en levant les épaules. Vous sçavez l’
Histoire
, dites-vous, à quoi vous servira-t-elle ? La Fabl
, dit-on, mourir de chagrin. Diodore de Sicile, Auteur d’une sçavante
Histoire
du monde, qui malheureusement n’est venue jusqu’à
anger. Voilà, Messieurs, tout ce que je voulais vous dire, car pour l’
Histoire
des Capucins, il paraît bien par la manière dont
er sa Vie, qu’ils ont commencée, ils pourront même se servir de cette
Histoire
, et ils en feront un chapitre particulier, qu’ils
parant le Palais avec le théâtre, la jurisprudence avec la Comédie, l’
histoire
avec la fable, et un très célèbre avocat avec un
x écrit, et dont l'objet est le plus éloigné de ces idées profanes, l’
Histoire
du Peuple de Dieu. Son style, charmant d'ailleurs
é de faire monter les Saints sur le théâtre, d'altérer la vérité de l'
histoire
, de corrompre les vertus chrétiennes, et de mêler
été un hérésiarque, chef des Apollinaristes, mirent en vers quelques
histoires
de l'Ecriture, en forme de dialogue, comme plusie
l'avaient aimé. Le Journal des Savants m'a donné occasion de relire l'
histoire
et les ouvrages de ce fameux Apostat. Voici des t
es règlements : il insiste sur le théâtre. M. de Fleury en a orné son
histoire
(L. 15. n. 17.). « La feinte gravité des mœurs,
SECOND DISCOURS Où on fait l’
Histoire
des Jeux de Théâtre et autres divertissements Com
, nous le diviserons en différentes parties. La première comprendra l’
Histoire
des Jeux de Théâtre depuis Auguste, jusqu’à la co
pectacles depuis Auguste jusqu’à Justinien. La cinquième contiendra l’
Histoire
des Jeux de Théâtre depuis l’extinction de l’Idol
Théâtre et donnent du jour pour en traiter. PREMIERE PARTIE.
Histoire
des jeux de Théâtre et des autres divertissements
t très fréquents. Au temps d’Auguste par lequel nous commençons cette
Histoire
, on voit à Rome trois Théâtres fixes ainsi que le
l’honneur d’Auguste pendant lesquels Caius fut tué. On peut en voir l’
histoire
dans Josèphe Antiq[uitates]. L. 19. c. 2.. Toute
ne manque pas de le remarquer. Mais il est beaucoup plus utile pour l’
histoire
de remarquer que les jeux Olympiques furent alors
, donna une infinité de jeux qui n’ont rien de particulier pour notre
histoire
; nous observerons seulement que les Orientaux av
emps-ci, en considérant qu’on ne faisait que représenter au Théâtre l’
Histoire
des Dieux, et que ces représentations étaient tou
s dangereux que les Temples pour ceux qui étaient accoutumés à lire l’
Histoire
des Dieux, la pudeur y était plus ménagée ; et le
é ; on le voit par ce qu’en dit Josèphe, lorsqu’il rapporte au long l’
Histoire
des jeux Palatins, pendant lesquels Caius fut tué
s et les Tragédies. Fin de la première partie. SECONDE PARTIE
Histoire
des jeux de Théâtre et des autres divertissements
t contre la folle passion du peuple d’Antioche pour les spectacles. L’
Histoire
nous fournit dans ce siècle des monuments plus dé
iblement mauvais. Fin de la seconde partie. TROISIEME PARTIE.
Histoire
des jeux de Théâtre et des autres divertissements
ence, et qu’on agitait la question dans divers Conciles, faisons-en l’
histoire
en peu de mots. Il y avait à Arles un fort beau T
tièrement détruite. Justinien la rebâtit. Evagre, qui raconte la même
histoire
L. 4. c. 25., ajoute que Cosroès s’étant rendu ma
es vrais plaisirs celui de la Comédie ; que si on aime la Poésie et l’
Histoire
, on en trouvera suffisamment dans l’Ecriture sain
Théâtre, prouve encore combien l’on doit les avoir en horreur, par l’
Histoire
d’une femme qui fut possédée pour avoir été au Th
l’esprit, qu’elles sont exposées avec plus de tour et d’élégance. Les
Histoires
Tragiques nuisent par le récit qu’on y fait des p
enser. Fin de la quatrième Partie CINQUIEME PARTIE. Contenant l’
Histoire
des Jeux de Théâtre, et autres Divertissements Co
chassa absolument ; c’est pourquoi il est bon d’éclaircir ce point d’
histoire
, on le trouvera à la fin de ce second discours. M
miques d’alors, d’avec celles d’à présent, faisons-en succinctement l’
Histoire
jusqu’à nos jours. IV. Histoire des divertissemen
à présent, faisons-en succinctement l’Histoire jusqu’à nos jours. IV.
Histoire
des divertissements comiques au xiii. et xiv. siè
es de France, sur les Spectacles. Pour ne pas interrompre le fil de l’
Histoire
, nous avons réservé jusqu’à présent les monuments
faire bannir s’il se pouvait de tous Pays Catholiques. L’Auteur de l’
Histoire
du Théâtre Italien publiée depuis peu Le Sieur Ri
ou par son Vicaire Général... mais il défend les représentations des
Histoires
pieuses ou tirées des Livres saints, parce qu’il
se faire écouter. Les Comédies passent parmi eux simplement pour des
Histoires
représentées sur un Théâtre ; il faut leur avouer
rie ou des nudités scandaleuses qui paraissent sur le Théâtre. Mais l’
Histoire
des divertissements Comiques que nous avons joint
eux de dés, d’échecs, etc. Ajoutons que M. de la Chaise, qui a fait l’
Histoire
de saint Louis, sur tout ce qui s’est pu trouver
s de la science enjouée. Qu’on lise les Vies des Poètes Provençaux, l’
Histoire
de Provence par Nostradamus, celle du sieur Bouch
sept vingt-quatre milliers d’enfants mâles. » Alain Chartier dans son
Histoire
de Charles VII. parlant de l’entrée de ce Roi à P
stère de la Passion de Jésus-Christ. Il cite encore de Rubis dans son
Histoire
de la même Ville, L. III. Ch. LIII. qui fait ment
anches et les fêtes après le dîner furent représentées la plupart des
Histoires
du vieil et du nouveau Testament, avec la farce a
t directement en récit ce que nos Poèmes modernes sont en action. Nos
Histoires
romanesques nous amuseraient délicieusement, nous
ra-Bouffon. C’est la fin à laquelle il doit tendre. La Tragédie est l’
Histoire
du malheur des Rois, des amours & de la faibl
condamnable que l’idolâtrie ? fut-il jamais rien de plus autorisé ? L’
histoire
de tous les siècles dans le monde entier fait voi
ien les mensonges et les impiétés des Lettres sur les Anglais b, de l’
Histoire
universelle, etc. Les représentations théâtrales
ce qui concerne la Musique dans un Poème chantant. On fait d’abord l’
Histoire
de cet Art, duquel on tâche de raisonner en Philo
e, de la sublimité de sa morale, de la profondeur de ses mystères ! L’
histoire
profane elle-même, dans la vicissitude de ses rév
autre spectacle bien digne de vos regards, dit le même Père, c’est l’
histoire
de la Religion. Ouvrez les divines Écritures, vou
plus frappantes & à la portée des hommes. Ses livres embrassent l’
histoire
de tous les siecles, remontent au premier instant
s prodiges dans le ciel & sur la terre, pete tibi signum à Deo. L’
histoire
& la fable, la chimère & la réalité réuni
n leur doit, quand on les représente sur le Théâtre. A la vérité, les
Histoires
du vieux Testament s’accommoderaient beaucoup mie
les Prêtres ne manqueraient pas de crier contre la profanation de ces
Histoires
sacrées, dont ils remplissent leurs conversations
c. [NDM] : C’est ce qu’on a vu dans le XVe et le XVIe siècles, où les
Histoires
de l’Ancien et du Nouveau Testament étaient repré
la piste, les goûts qui ont dominé, en divers tems ; & en faire l’
histoire
. Celle du dix septieme siécle est bien facile, c’
ire l’histoire. Celle du dix septieme siécle est bien facile, c’est l’
histoire
de l’irréligion & du théatre, leur langage es
res pour former le cœur de leurs filles, mettent entre leurs mains, l’
histoire
& l’art du libertinage, & les exposent el
de la, mort, Tantôt elle plane avec gloire Sur les lieux sacrés de l’
histoire
, Force la demeure du sort. Je prie tous les Saum
que la demeure du sort, comment on peut forcer le destin ? Comment l’
histoire
peut se forcer, puisqu’elle ne raconte que ce qui
douze Cesars de l’Empire de Thalie. Un Suetone auroit fait une jolie
histoire
des exploits, & de la vie domestique de ces P
ts, le caractère des habitans des Provinces de France ; l’abrégé de l’
histoire
de plusieurs Rois, enfin, après en long voyage on
e but. Car d’où vient, Messieurs, que l’on met la Philosophie & l’
Histoire
au nombre des plus excellentes Ecoles, si ce n’es
, ni l’Historien) que la Scene peut à ce double titre le disputer à l’
Histoire
& à la Philosophie. La Philosophie, particul
t nous porte à l’imiter, s’il le faut, dans les mêmes conjonctures. L’
Histoire
, dit Ciceron, est appellée la Maîtresse de la vi
teriez-vous, Messieurs, que la Scéne puisse disputer cet avantage à l’
Histoire
? Si vous en doutez, faites-moi la grace de me di
? Convenez que pour en trouver de pareils, il faut les choisir. Hé l’
Histoire
choisit-elle toûjours ? C’est le hazard, non le c
poids jusqu’au centre de l’ame, si j’ose user de cette expression ? L’
Histoire
n’en sera pas dénuée. Mais elle mêlera les faits
rner de l’autre. Tels seront toujours les souhaits trop inutiles de l’
Histoire
. Malheureusement pour elle on la contraint de pei
brillent & qu’ils touchent. C’est là le triomphe de Melpoméne. L’
Histoire
en ceci se voit obligée de lui ceder la palme.
trop ; l’on vole au devant de vos coups. Ce n’est plus, Messieurs, l’
Histoire
sacrée ou profane qui vous peint l’horrible desti
la vertu à des hommes ? Autre effort plus considérable de la Scéne. L’
Histoire
est astreinte au temps, au lieu, à l’ordre des év
le parallele de la Scene telle que je viens de la peindre, & de l’
histoire
telle qu’elle est ? Consultez le Lecteur & le
ouvée par le suffrage de la Philosophie, & par la déposition de l’
Histoire
? En effet, Messieurs, pourquoi ce Socrate, que l
n enchanté on établisse une Ecole, non pas Platonicienne, telle que l’
Histoire
nous la peint dans les jardins ombragés d’Academu
rs Le but que s’est propose l’Auteur du Livre qui porte pour titre,
Histoire
et Abrégé des Ouvrages Latin, Italien et Français
re, ce fatras immense des faits où l’on fait intervenir le Démon, ces
histoires
de Sabbat, ces Sorciers, ces Possessions, ces Rev
thologique, où l’on veut deviner des allusions morales, des secrets d’
histoires
& de politique qui n’y furent jamais. Ce ne s
s procure. Il ne faut point se transporter dans les tems reculés de l’
histoire
, ni parcourir de vastes contrées, pour mieux conn
rés par la Tragédie sont comparables à ceux qu’on éprouve en lisant l’
Histoire
. Mais quelque raison que l’on puisse donner de l’
s Pères, est propre à faire souvenir ceux qui ont lu les Poètes, de l’
Histoire
ou de la fable de ces trois Déesses qui se disput
Saints Evêques. Lisez, mes Pères, au lieu de vos Fables des Païens, l’
Histoire
de l’Eglise. Vous y trouverez des Héros, mais un
culière sur la conduite du clergé est d’autant plus nécessaire, que l’
histoire
de France nous fournit des preuves innombrables d
aire pour s’opposer constamment aux usurpations des prêtres, et notre
histoire
leur paie à cette occasion un tribut d’éloges bie
qui ne pardonnoit pas aisément. Tous ces événemens appartiennent à l’
histoire
. Voici ce qui appartient au théatre. Quand le tra
courtisans disoient, en voyant ces deux Chefs : Voilà les Héros de l’
histoire
& de la fable. Quand à son retour d’Espagne,
’y engagent sans défiance. Telles sont les Confessions du Comte de… l’
Histoire
amoureuse des Gaules, &c. Il auroit pu donne
andaleuse sans lier les faits, comme tant de recueils, de contes ou d’
histoires
galantes ; il a mieux aimé leur donner un enchaîn
de dévotion, il les refusa, & n’en voulut que de comédie & d’
histoire
. Aussi lui-même convient il que sa vie n’a été qu
rticulier sur les règles de notre Opéra-Sérieux. On nous a appris son
histoire
, mais on n’a presque rien dit de détaillé au suje
s Opéras-Sérieux étaient mêlés de Bouffonneries. Pour revenir à l’
Histoire
de l’Opéra-Sérieux ; peu s’en fallut que le Spect
iomphe de l’Amour 50, jouée en 1681, est un époque remarquable dans l’
histoire
du grand-Opéra. On y vit danser à St. Germain, M.
ques que des Hèros véritables, ou dont les fais sont consacrés dans l’
Histoire
; aussi leurs Pièces chantantes sont-elles toujou
des incidens qui sont très-analogues au genre du Spectacle lyrique. L’
Histoire
ne lui ouvre qu’un champ stérile en comparaison.
s. On nous vante envain les sujets tragiques, c’est-à-dire tirés de l’
Histoire
; je soutiens que l’Opéra-Sérieux doit les employ
s quoi il serait d’un ennui insupportable ; & un fait pris dans l’
Histoire
n’offre pas toujours un champ assez vaste. Le goû
beaucoup que les sujets de ces Poèmes tragiques soient puisés dans l’
Histoire
. Que l’action des Drames lyriques est vraisem
en autrement que dans ses propres Piéces. Cela est si différent que l’
Histoire
ne nous dit point qu’Eschyle ait représenté dans
de l’Etat. Nul Comédien n’est parvenu à cet honneur. Roscius, dont l’
Histoire
nous a conservé le nom, plûtôt pour marquer la fo
pudent de ses charmes, choque la vue au lieu de toucher le cœur. Si l’
Histoire
nous apprend qu’une seule femme (Phrénice) pût as
us les sujets qu’on a choisi pour en faire des Tragédies, soit dans l’
Histoire
, soit dans les Romans, je ne crois pas que l’on p
où la passion d’amour soit plus vivement marquée qu’elle l’est dans l’
Histoire
véritable, qui fait le fond de la Tragédie du Com
re sans amour, les Spectateurs s’en accommoderaient mieux, quoi que l’
Histoire
fût en droit de s’en plaindre. Voir Alexandre att
Païens ne doit avoir lieu entre les Chrétiens : Or il appert par les
histoires
, tant Ecclésiastiques que profanes, que le Diable
▲