homas6 en parlant de la Comédie, a dit que ce n’était point une chose
mauvaise
. Plusieurs Comédies, particulièrement celles des
tendent coopérer qu’à une chose bonne en elle-même, et qui ne devient
mauvaise
que par la malice de ceux qui l’exercent : ils vo
urce de la damnation, dit Tertullien en parlant des Comédiens, est le
mauvais
usage de sa condition ; et au pis aller on pourra
able de divertir et de réjouir l’esprit humain, il n’y paraît rien de
mauvais
. L’homme a besoin de divertissement pour ne pas s
grands en soi, séparée de toutes circonstances, n’est point une chose
mauvaise
, selon ce Saint Docteur au même endroit article 3
pour but le divertissement des hommes n’est point de soi illicite et
mauvaise
. » Cette idée de la Comédie séparée de toutes cir
regarder comme une chose de soi indifférente, qui n’est ni bonne, ni
mauvaise
. Mais elle n’a pas cette indifférence dans son us
un péché, parce que l’inspection des Spectacles n’est point une chose
mauvaise
, il nie cette dernière proposition, et il dit11 q
ion, et il dit11 que l’assistance aux Spectacles est quelque chose de
mauvais
, en tant qu’elle incline l’homme aux vices ou de
ticule en tant, in quantum, marque la raison pourquoi c’est une chose
mauvaise
d’assister aux Spectacles, c’est qu’immédiatement
aint Thomas en faveur de la Comédie, sinon qu’elle n’est point de soi
mauvaise
; or dans la pratique elle a toujours été regardé
se ; or dans la pratique elle a toujours été regardée comme une chose
mauvaise
; et comme telle, elle a toujours été condamnée pa
r, de l’argent, du fer, etc. Quand on s’en sert mal, cela vient de la
mauvaise
disposition de ceux qui s’en servent, souvent on
uvent on fait un bon usage de ces choses, souvent aussi on en fait un
mauvais
; c’est pourquoi quand Tertullien et les autres P
viennent en ce que, comme le désir déréglé de l’or et de l’argent est
mauvais
, de même le désir du plaisir que l’on prend à la
: que la Comédie moralement parlant et dans son usage ordinaire, est
mauvaise
; c’est ce qui a fait qu’elle a toujours été défe
aux sujets qui y sont représentés, soit par rapport aux circonstances
mauvaises
qui en sont inséparables dans la pratique. Il n’e
apport à l’idolâtrie, il suppose que quand il n’y aurait même rien de
mauvais
, il serait toujours très malséant à un homme qui
onzième de saint Matthieu : « Celui qui voyant une femme, concevra un
mauvais
désir envers elle, a déjà commis le péché dans so
que lui-même y assistant, il s’est souvent réjoui quand il voyait les
mauvais
désirs des amants accomplis37. « Alors, dit-il, l
e, je me réjouissais avec les amants lorsqu’ils accomplissaient leurs
mauvais
désirs, ce qu’il condamne. Et il ne faut pas s’en
e et tout ce qui peut exciter au-dedans de l’homme l’ambition, et les
mauvais
désirs de la chair. Les pompes du démon43 , dit c
chées, les Comédiens, les Bateleurs.... et tous ceux qui ont une fort
mauvaise
réputation dans le public, avec qui l’Apôtre nous
e quelques transports de passions, de quelques artifices et intrigues
mauvaises
pour y réussir, et l’on montre par là le chemin a
se servir des mêmes adresses pour obtenir l’accomplissement de leurs
mauvais
désirs. L’on détruit souvent ce qu’il y a d’honnê
circonstances qui accompagnent les Comédies, elles sont ordinairement
mauvaises
, quelque honnête qu’en soit le sujet ; l’on n’y v
les représenter. A l’égard des Comédies où l’on représente des choses
mauvaises
, il y a du péché d’y assister quand le plaisir a
la Pièce, ou dans ce qui la finit, cela ne pourrait rendre la Comédie
mauvaise
, que par rapport à ceux à qui elle serait une occ
édie, sans en recevoir aucune impression, ni sans en remporter aucune
mauvaise
idée, et qui par conséquent sont hors de danger d
’en voyant la représentation d’une chose malhonnête, il laisserait le
mauvais
plaisir que la chose est capable d’inspirer, pour
ulation l’un sans l’autre. Secondement, il suffit que la Comédie soit
mauvaise
, par rapport aux sujets qui y sont représentés, o
uvaise, par rapport aux sujets qui y sont représentés, ou que par les
mauvaises
circonstances qui l’accompagnent ordinairement, e
défier de soi-même, et à ne point s’exposer dans une occasion qui est
mauvaise
, et dans laquelle on offense Dieu ordinairement.
omédie ; c’est-à-dire, que la Comédie ne produirait en elle aucun des
mauvais
effets qu’elle produit dans les autres, il ne sui
eur faute d’y assister en cet état ; mais aussi ceux qui leur donnent
mauvais
exemple, contribuent à leur faire regarder la Com
n n’avait rien retranché dans les Comédies, et qu’elles fussent aussi
mauvaises
qu’elles l’ont été, il n’y aurait que les liberti
ées à un point qu’elles n’impriment, ou qu’elles ne laissent point de
mauvaises
idées capables de corrompre la pureté des mœurs d
t, ne sont point purifiées de toutes ce qu’elles avaient autrefois de
mauvais
, et qu’il reste encore un retranchement considéra
e les pécheurs publics ou les personnes infâmes : comme les Femmes de
mauvaise
vie, les Concubinaires, les Comédiens, etc. Et à
nnêtes, les excès de bouches, les bals, les danses, les Comédies, les
mauvais
livres, etc. Le Catéchisme de Bourges de l’an 169
la proposition qui a été avancée au commencement, que la Comédie est
mauvaise
moralement parlant et dans la pratique, soit par
aller pour les Séculiers. Si l’on veut enfin que les Comédies soient
mauvaises
, les Magistrats ne devraient point les souffrir.
ts et de grands profits ». En un mot, si la Comédie est ordinairement
mauvaise
dans la pratique, comme on l’a montré, elle ne pe
vait dit autrefois dans le même esprit : que l’on tolérait des choses
mauvaises
pour empêcher de plus grands maux. Mais quoique l
ats tolèrent la Comédie, cela n’empêche pas néanmoins qu’elle ne soit
mauvaise
et qu’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise
se. On répond à la seconde demande de l’exposé, que si la Comédie est
mauvaise
, comme on l’a prouvé, et que par cette raison tan
ment, parce que leur action tend d’une manière déterminée à une chose
mauvaise
. A la troisième demande, on répond que l’Opéra e
s honteuse ». A la quatrième demande, on répond que si la Comédie est
mauvaise
dans la pratique, on n’y doit pas aller par une s
es Comédiens, a toujours été reconnue jusqu’à présent comme une chose
mauvaise
, qui excite les passions et tend à corrompre les
us en guérir, qu’en nous privant de tout ce qui peut satisfaire notre
mauvais
panchant. Que penseroit-on d’une personne à qui o
euse, c’est qu’elle éloigne tous les remedes qui peuvent empêcher les
mauvaises
impressions qu’elle fait sur nous : car aprés avo
ous met hors d’état d’avoir la vigilance nécessaire pour résister aux
mauvaises
idées qui nous restent de ce que nous avons vu &a
sur leurs gardes, à peine peuvent-ils se préserver de l’infection du
mauvais
air qu’ils y respirent : quelles peuvent être les
Dieu les en délivrera ? Ne nous appercevant peut-être pas d’abord des
mauvaises
impressions que les Comedies font sur nous, nous
ort. Cet Esprit de ténebres ne causant point en nous sur le champ les
mauvais
effets de la Comedie, il les produit dans la suit
mmettent par des Ames foibles, qui n’ont pas la force de résister aux
mauvais
exemples. Quelque soin que l’on prenne de separer
enseignent aussi la maniére de l’exprimer. Bien des gens étouffent de
mauvais
desseins, parce qu’ils manquent d’expressions ; i
flattent la corruption de notre nature. On ne doit pas croire que les
mauvaises
maximes dont les Comedies & les Romans sont r
nte, mais seulement de nous divertir. Manquent-ils jamais de faire de
mauvaises
impressions en nous ? Ne ressentons-nous pas plus
illes leçons qu’on donne dans les Comedies, où l’on ne remplit que de
mauvaises
choses l’imagination des spectateurs. Chacun cond
epte. Ils nous troublent l’imagination, & nous dérangent, par les
mauvaises
idées qu’ils nous impriment. Comme le besoin que
d en 1694. comme une chose de soi indifférente, qui n’est ni bonne ni
mauvaise
, doit être condamnée dans son usage et avec ses c
mnée dans son usage et avec ses circonstances. II. Si la Comédie est
mauvaise
, tous ceux qui y coopèrent d’une manière prochain
ad 3. en parlant de la Comédie, a dit que ce n’était point une chose
mauvaise
. Plusieurs Comédies, particulièrement celles des
tendent coopérer qu’à une chose bonne en elle-même, et qui ne devient
mauvaise
que par la malice de ceux qui l’exercent : Ils vo
urce de la damnation, dit Tertullien en parlant des Comédiens, est le
mauvais
usage de sa condition ; et au pis aller on pourra
est capable de divertir et de réjouir l’esprit, il n’y paraît rien de
mauvais
. L’homme a besoin de divertissement pour ne pas s
ds en soi, séparée de toutes ces circonstances, n’est point une chose
mauvaise
, selon ce Saint Docteur au même endroit cité à la
pour but le divertissement des hommes, n’est point de soi illicite et
mauvaise
. Cette idée de la Comédie séparée de toutes circo
t regarder comme une chose de soi indifférente, qui n’est ni bonne ni
mauvaise
. Mais elle n’a pas cette indifférence dans son us
un péché, parce que l’inspection des spectacles n’est point une chose
mauvaise
, il nie cette proposition, et il dit S. Thom. 2.
inspectiones. » que l’assistance aux spectacles est quelque chose de
mauvais
, en tant qu’elle incline l’homme aux vices ou de
icule, en tant, In quantum, marque la raison pourquoi c’est une chose
mauvaise
d’assister aux spectacles, c’est qu’immédiatement
aint Thomas en faveur de la Comédie, sinon qu’elle n’est point de soi
mauvaise
; mais dans son usage, elle a toujours été condam
r, de l’argent, du fer, etc. Quand on s’en sert mal, cela vient de la
mauvaise
disposition de ceux qui s’en servent, souvent on
uvent on fait un bon usage de ces choses, souvent on en fait aussi un
mauvais
: c’est pourquoi quand Tertullien et les autres P
viennent en ce que, comme le désir déréglé de l’or et de l’argent est
mauvais
, de même le plaisir que l’on prend à la Comédie e
rgent est mauvais, de même le plaisir que l’on prend à la Comédie est
mauvais
. Jamais les Pères et les Conciles ne sont demeuré
e, que la Comédie moralement parlant et dans son usage ordinaire, est
mauvaise
; ce qui fait que jusqu’à présent on l’a toujours
aux sujets qui y sont représentés, soit par rapport aux circonstances
mauvaises
qui en sont inséparables dans la pratique. Il n’e
pport à l’idolâtrie ; il suppose que quand il n’y aurait même rien de
mauvais
, il serait toujours très malséant à un homme qui
du chap. 5. de Saint Matthieu, Celui qui voyant une femme concevra un
mauvais
désir envers elle, a déjà commis le péché dans so
ue lui-même y assistant, il s’est souvent réjoui, quand il voyait les
mauvais
désirs des amants accomplis S. Aug. lib. 3. Confe
, je me réjouissais avec les amants, lorsqu’ils accomplissaient leurs
mauvais
désirs ; ce qu’il condamne ; et il ne faut pas en
e, et tout ce qui peut exciter au-dedans de l’homme l’ambition et les
mauvais
désirs de la chair. « Les pompes du démon Serm.
auchées, les Comédiens, les Bateleurs … et tous ceux qui ont une fort
mauvaise
réputation dans le public, avec qui l’Apôtre nous
de quelques transports de passion, de quelques artifices ou intrigues
mauvaises
pour y réussir ; et l’on montre par là le chemin
se servir des mêmes adresses pour obtenir l’accomplissement de leurs
mauvais
désirs. L’on détruit souvent ce qu’il y a d’honnê
circonstances qui accompagnent les Comédies, elles sont ordinairement
mauvaises
, quelque honnête qu’en soit le sujet ; l’on n’y v
les représenter. A l’égard des Comédies où l’on représente des choses
mauvaises
, il y a péché d’y assister, quand le plaisir a po
la Pièce ou dans ce qui la finit, cela ne pourrait rendre la Comédie
mauvaise
, que par rapport à ceux à qui elle serait une occ
médie sans en recevoir aucune impression, ni sans en remporter aucune
mauvaise
idée, et qui par conséquent sont hors de danger d
’en voyant la représentation d’une chose malhonnête, il laisserait le
mauvais
plaisir que la chose est capable d’inspirer, pour
s la spéculation l’un sans l’autre. 2°. Il suffit que la Comédie soit
mauvaise
par rapport aux sujets qui y sont représentés, ou
auvaise par rapport aux sujets qui y sont représentés, ou que par les
mauvaises
circonstances qui l’accompagnent ordinairement, e
ises circonstances qui l’accompagnent ordinairement, elle produise de
mauvais
effets dans l’âme de ceux qui y vont, afin qu’on
défier de soi-même, et à ne point s’exposer dans une occasion qui est
mauvaise
, et dans laquelle on offense Dieu ordinairement.
t de son endurcissement et de l’abandon de Dieu, s’il ne sent pas les
mauvaises
impressions que cette occasion fait dans les autr
omédie ; c’est-à-dire, que la Comédie ne produirait en elle aucun des
mauvais
effets qu’elle produit dans les autres, il ne s’e
eur faute d’y assister en cet état ; mais aussi ceux qui leur donnent
mauvais
exemple, contribuent à leur faire regarder la Com
n n’avait rien retranché dans les Comédies, et qu’elles fussent aussi
mauvaises
qu’elles l’ont été, il n’y aurait que les liberti
mées à un point qu’elles n’impriment ou qu’elles ne laissent point de
mauvaises
idées capables de corrompre la pureté des mœurs d
à présent ne sont point purifiées de ce qu’elles avoient autrefois de
mauvais
, et qu’il reste encore un retranchement considéra
les personnes publiques ou les personnes infâmes, comme les femmes de
mauvaise
vie, les Concubinaires, les Comédiens, etc. Et pa
sements malhonnêtes, les excès de bouche, les bals, les Comédies, les
mauvais
livres, etc. Le Catéchisme de Bourges de l’an 169
de la proposition qu’il a avancée au commencement, que la Comédie est
mauvaise
moralement parlant et dans la pratique, soit par
aller pour les séculiers. Si l’on veut enfin que les Comédies soient
mauvaises
, les Magistrats ne devraient point les souffrir.
ts et de grands profits. » En un mot, si la Comédie est ordinairement
mauvaise
dans la pratique, comme on l’a montré, elle ne pe
vait dit autrefois dans le même esprit : que l’on tolérait des choses
mauvaises
pour empêcher de plus grands maux. Mais quoique l
ats tolèrent la Comédie, cela n’empêche pas néanmoins qu’elle ne soit
mauvaise
, et qu’elle ne soit toujours défendue par l’Eglis
à la seconde question, ou demande de l’exposé ; que si la Comédie est
mauvaise
, comme on l’a prouvé, et que par cette raison tan
ment, parce que leur action tend d’une manière déterminée à une chose
mauvaise
. A la troisième demande on répond, que l’Opéra es
s honteuse. » A la quatrième demande on répond, que si la Comédie est
mauvaise
dans la pratique, on n’y doit pas aller par une s
les Comédiens, a toujours été reconnue jusqu’à présent pour une chose
mauvaise
, qui excite les passions, et tend à corrompre les
qu’ils lui donnèrent quelque vogue avant qu’ils en eussent aperçu les
mauvaises
suites. Qu’avaient-ils à craindre, eux qui ne cr
vos meilleurs Auteurs ? Je le ferai aussi pour confondre par là, les
mauvais
Chrétiens et les libertins. Je serai très conten
d’y assister, et l’un des Scipion voyant les grands désordres que ce
mauvais
entretien causait dans les familles, persuada aux
eurs, et dont ils peuvent retenir de très pernicieux exemples. Quels
mauvais
exemples en peut-on remporter ? Tels sont les di
elle ? L’on ne peut excuser l’intention, lorsque l’effet s’en trouve
mauvais
; puisque c’est toujours contribuer au mal tout c
laisse pas d’y assister avec plaisir, et en grande compagnie ? Cette
mauvaise
pratique vient de ce que le commun du monde veut
plaisir qu’on prend en telle rencontre, où les assistants n’ont aucun
mauvais
desseins ? C’est sur quoi ils ont exagéré davant
és, que pour ceux où ils auront induit les autres par l’éclat de leur
mauvais
exemples. Cependant S. François de Sales dit que
nt S. François de Sales dit que les Comédies ne sont nullement choses
mauvaises
en leur substance, ains indifférentes. Cela est
rs de leurs études : Ce qui pris tout ensemble ne peut produire aucun
mauvais
effet comparable à ceux des Comédiens publics. L
apporter des nouvelles) à persuader au peuple, « Que l’air était fort
mauvais
en ce pays-là, qu’on n’y pouvait pas vivre longue
essaires à la vie qui s’y rencontraient. Pour donc contrecarrer cette
mauvaise
impression que Satan met dans les esprits, qu’on
iscours récréatifs,Second Que les discours récréatifs n’aient rien de
mauvais
, et soient bons. ou que vous ferez, ou lesquels v
coutent :Les comédies sont de soi indifférentes, il faut abhorrer les
mauvaises
. je ne veux pas être si sévère, qu’absolument je
ne vous y trouvez jamais ;Le mal qu’il y a aux comédies. car outre le
mauvais
exemple que vous donneriez à ceux qui vous verrai
scrupule, estimant licite tout ce que vous faites ; outre, dis-je, ce
mauvais
exemple, vous n’en sortirez jamais sans quelque m
e, dis-je, ce mauvais exemple, vous n’en sortirez jamais sans quelque
mauvaise
impression, laquelle vous distraira en vos Oraiso
l’âme. Le troisième ;Troisième, comment ou peut assister aux comédies
mauvaises
sans blesser sa conscience. s’il arrive que vous
ournaise leur servit de rafraîchissement, comme une douce rosée ; une
mauvaise
pensée représentée par les cheveux, le dérèglemen
sée : C’est l’avis de saint Paul, écrivant aux Ephésiens, « Qu’aucune
mauvaise
parole ne sorte de votre bouche, mais celle qui é
xe, et à sa condition » :77 Car quoique le jeu de soi ne soit pas une
mauvaise
action, mais plutôt indifférente : néanmoins il p
ne mauvaise action, mais plutôt indifférente : néanmoins il peut être
mauvais
et indécent, plutôt à une sorte de personnes, qu’
un plus grand bien, que le plus grand bien temporel : Gardez-vous des
mauvaises
intentions que quelques-uns apportent au jeu, com
entions que quelques-uns apportent au jeu, comme sontQuelles sont les
mauvaises
intentions an jeu. 1. de gagner en trompant, ou d
chose à laquelle il faut prendre garde et le temps du jeu. Le jeu est
mauvais
à raison de temps. j'ai à vous dire que chaque ch
pose, que les bals et les danses ne sont point de soi des récréations
mauvaises
, et étant rangées parmi les choses indifférentes,
es plaisirs qu’on donne au corps : et à l’opposite elles peuvent être
mauvaises
, si elles se font à mauvaise intention, et si ell
ps : et à l’opposite elles peuvent être mauvaises, si elles se font à
mauvaise
intention, et si elles ne sont convenables à la p
, sans endommager la conscience ; je donne ici trois avis.Pour n’être
mauvaises
, il faut garder trois choses. Le premier ; que l
ui déplût à celui qui vous doit juger ; Retranchez en y allant toutes
mauvaises
intentions,Avant la danse. que d’ordinaire ont ce
tur die septimo. » Second Que les discours récréatifs n’aient rien de
mauvais
, et soient bons. 56. [NDA] Cicer. 1. off. « Dup
cetum. » Les comédies sont de soi indifférentes, il faut abhorrer les
mauvaises
. Le mal qu’il y a aux comédies. 59. [NDA] Cypr.
ducunt ad mortem. » Troisième, comment ou peut assister aux comédies
mauvaises
sans blesser sa conscience. 64. [NDA] Eccl. 5.
uno crine colli tui. » 87. [NDA] Rom. 8. Ezech. 1. Quelles sont les
mauvaises
intentions an jeu. Troisième chose à laquelle il
chose à laquelle il faut prendre garde et le temps du jeu. Le jeu est
mauvais
à raison de temps. 90. [NDA] Sap. 15. « Æstimav
façon de jouer. Les bals et danses, choses indifférentes. Pour n’être
mauvaises
, il faut garder trois choses. Ne danser pas avec
les tentations et de nouveaux pièges pour prendre les âmes. Il y a de
mauvaises
conversations, qu’on ne peut, comme dit saint Pau
monde » : il n’y a donc point de péché de chercher volontairement de
mauvaises
conversations, et cet Apôtre se sera trompé en no
ions, et cet Apôtre se sera trompé en nous faisant craindre « que les
mauvais
entretiens ne corrompent les bonnes mœurs ? »I. C
ieux composées et mieux jouées, ne doivent pas être mises « parmi ces
mauvais
entretiens, par lesquels les bonnes mœurs sont co
prises en elles-mêmes indépendamment de toute circonstance, bonne ou
mauvaise
, doivent être mises au nombre des choses indiffér
nt principe de Tertullien,Tert. de spect. c. 2. que ce qui est bon et
mauvais
en soi, ne peut changer de nature ; puisque tout
bon ; il faudra dire qu’elle est bonne. Et si au contraire tout y est
mauvais
, on se verra aussi obligé de dire qu’elle est mau
aire tout y est mauvais, on se verra aussi obligé de dire qu’elle est
mauvaise
et qu’elle ne peut être indifférente. Je dis donc
gien, la considérer indépendamment de toutes circonstances, bonnes ou
mauvaises
. Je dis en second lieu, que la Comédie est une es
ente, que de réciter des Vers, et de représenter des passions souvent
mauvaises
, et qui peuvent porter au péché. Le Concile d’Elv
es. ARTICLE II. La fin de la Comédie et des Comédiens est toujours
mauvaise
; et celle des spectateurs l’est aussi pour l’ord
s se proposent dans la représentation de leurs Pièces, est encore une
mauvaise
fin ; car quoi que ce soit peut être par une malh
ux, et très funestes aux âmes. La Comédie produit une infinité de
mauvais
effets dans ceux qui la fréquentent. Voici comme
trouve enfin dans l’impuissance de résister aux tentations. Le second
mauvais
effet que produit la Comédie, est un grand dégoût
eux-mêmes, et aux autres. après avoir vu ci-devant que la Comédie est
mauvaise
, soit par rapport à ceux qui la représentent, soi
ssistent à leurs Pièces se proposent, faisons encore voir qu’elle est
mauvaise
par rapport à ses circonstances, et principalemen
pardon de ses ingratitudes, et de ses offenses. Le travail n’est pas
mauvais
en soi, puisque Dieu l’a commandé, et l’a imposé
la Comédie, et à la perte du temps qu’on y fait. Tout cela étant donc
mauvais
, que peut-on conclure autre chose sinon qu’elle e
onc mauvais, que peut-on conclure autre chose sinon qu’elle est aussi
mauvaise
, et qu’elle n’est pas permise aux Chrétiens. Salv
prit ; les regards impudiques ne se commettent que par les yeux ; les
mauvaises
paroles ne sont reçues que par les oreilles ; et
emps et l’âme, et tous les sens. Elle corrompt, dis-je, l’âme par les
mauvaises
pensées ; le cœur par les mauvais désirs ; les or
e corrompt, dis-je, l’âme par les mauvaises pensées ; le cœur par les
mauvais
désirs ; les oreilles par les paroles déshonnêtes
lle qui renferme et porte avec elle tout le fardeau du scandale et du
mauvais
exemple. On est instruit dans cette Scène que Val
e Jacques, avec la Scène de la Cassette. Je pense que pour en ôter le
mauvais
exemple, et pour décharger Elise du blâme qu’elle
rvante d’Ismène (qui est le personnage en question) est aussi de très
mauvais
exemple ; elle fait cent fourberies pour brouille
écessité où elle est de prêter son secours à sa Maîtresse pour une si
mauvaise
fin, la Pièce serait instructive. On y verrait da
doivent être rejetées, parce que je sens vivement tout le mal que le
mauvais
exemple de Laurette peut causer. LES PLAIDEURS
amour est traité d’une façon qui le rend suspect de pouvoir faire de
mauvaises
impressions. Léandre aime Isabelle, fille de Chic
er du côté des mœurs, et il en résulte toujours qu’elle est d’un très
mauvais
exemple pour les jeunes gens. Il faut donc corrig
mmençaient à s’y répandre. Il n’a pas fallu y revenir, les Turcs sont
mauvais
railleurs. Cependant leurs Ambassadeurs à Paris e
aire (D.L. 4.), remarque que les voisins peuvent obliger une femme de
mauvaise
vie de vider la maison qu’elle a louée, et même s
uvent à Paris le Lieutenant de police débarrasser un quartier d’un si
mauvais
voisinage, en jetant les meubles par les fenêtres
, leurs domestiques, s’abandonner eux-mêmes à la contagion de la plus
mauvaise
compagnie, et faire trouver chez eux à toute une
volité, la débauche, le mensonge. Actrice, fille de l’Opéra, femme de
mauvaise
vie, sont des termes synonymes. Arlequin, Scaramo
es (Sect. 20. N. 20.), demande pourquoi les Comédiens ont toujours de
mauvaises
mœurs, comme il avait demandé dans un autre probl
voile forcé d’une modestie superficielle un Comédien fut toujours un
mauvais
Chrétien, si même il peut être appelé Chrétien, p
ui-là. La première règle de la vocation est de ne pas prendre un état
mauvais
par lui-même, et personne qui ne donne d’abord po
t-elles s’y soutenir ? Vous serez bon avec les bons, et plus sûrement
mauvais
avec les mauvais, et avec ce qu’il y a de pire pa
nir ? Vous serez bon avec les bons, et plus sûrement mauvais avec les
mauvais
, et avec ce qu’il y a de pire parmi les mauvais.
ment mauvais avec les mauvais, et avec ce qu’il y a de pire parmi les
mauvais
. Ils n’ont pas plus le suffrage des gens du monde
» Les Comédiens étant tolérés dans le royaume, peuvent donc, quelque
mauvais
que soit leur métier, retenir ce qu’on leur donne
ndiscrètes ; à plus forte raison sont-elles prohibées à des femmes de
mauvaise
vie qui en sont indignes, et mille fois plus avid
obabilis habeatur. » Cela veut dire en bon Français que les femmes de
mauvaise
vie, vulgaris vitæ, sont faites pour le théâtre,
quefois accompagnées de représentations peu honnêtes, qui laissent de
mauvaises
impressions sur les esprits, fait que nous sommes
ce, qui peut innocemment divertir nos peuples de diverses occupations
mauvaises
, ne puisse leur être imputé à blâme, ni préjudici
n des Comédiens, innocemment et utilement pour divertir le peuple des
mauvaises
occupations, on voit bien qu’ils ne sont mis là q
ment Comédien pour divertir la Cour et le peuple des occupations très
mauvaises
des cabales et des révoltes. Car en tolérant les
nature des occupations qu’ils interrompent qui les fait juger bons ou
mauvais
; surtout lorsqu’ils sont assez vifs pour devenir
x, un ambitieux, un conspirateur ait l’intention de profiter de leurs
mauvaises
dispositions. Les Césars faisaient eux-mêmes tous
is de procédés la laideur du vice ; pour empêcher, en un mot, que les
mauvaises
mœurs ne dégénèrent en brigandage. »ey Quoi Mon
eurs, comme je vous l’ai prouvé. Mais si le spectacle empêche que les
mauvaises
mœurs ne dégénèrent en brigandage, il est dès lor
dès lors d’une utilité universelle, puisqu’il y a partout des gens de
mauvaises
mœurs. Indépendamment de ceux qui naissent dans l
lui accordez une si grande vertu que celle d’empêcher le progrès des
mauvaises
mœurs. Est-ce que la nature du climat changerait
ez-vous concevoir à quelqu’un que ce qui peut arrêter les progrès des
mauvaises
mœurs d’un côté puisse en être le principe ailleu
radiction avec vous-même. Ici, le spectacle est bon pour les bons, et
mauvais
pour les méchants ; là, il est dangereux pour les
est alors qu’elles pourront s’appesantir avec justice sur les gens de
mauvaise
vie attachés au spectacle comme sur les autres ci
jet à qui les règles en retrancheront les moyens, pour le punir de sa
mauvaise
conduite, que l’on chasserait avec infamie du spe
onsidérable. L’Acteur allègue une maladie, on a lieu de soupçonner sa
mauvaise
volonté : je fais jouer son rôle par un autre, à
ication, aux dépens du malade imaginaire. L’opiniâtreté s’en mêle, la
mauvaise
volonté domine : la mauvaise conduite éclate, et
imaginaire. L’opiniâtreté s’en mêle, la mauvaise volonté domine : la
mauvaise
conduite éclate, et scandalise ; je révoque. Croy
vantageux dans mon Plan qu’on ne pourrait plus s’en prendre qu’à leur
mauvaise
inclination et non pas à l’inquiétude du sort qu’
dans les mains ne seraient plus exposés à se laisser prévenir par de
mauvais
sujets qui les obsèdent, les conseillent souvent
ur feraient honneur : on les dégoûte, et l’on regarde comme humeur et
mauvaise
volonté le chagrin qu’ils laissent paraître à cau
égulière jusqu’alors pourront bien ne sacrifier qu’à la crainte leurs
mauvais
déportements ; mais au moins ne donneront-ils plu
e leurs mauvais déportements ; mais au moins ne donneront-ils plus de
mauvais
exemples aux nouveaux Comédiens, et ceux-ci, à qu
and, un Commis savent bien que s’ils reprochaient aux Comédiens leurs
mauvaises
mœurs, ceux-ci seraient autorisés à leur reproche
. Ce n’est pas une raison pour en conclure que les spectacles soient
mauvais
. Quelle quantité de bonnes choses le Législateur
e : les législateurs voulaient inspirer de l’horreur pour l’image des
mauvaises
mœurs ; elle était si nue cette image, qu’il n’es
toujours que les lois ne s’élevaient pas contre les spectacles comme
mauvais
en eux-mêmes, ni contre des Acteurs honnêtes gens
édien ? On le siffle, quand il joue mal : mais ne siffle-t-on pas les
mauvais
Auteurs ? En sont-ils moins honnêtes gens pour ce
sont-ils moins honnêtes gens pour cela ? Fait-on beaucoup de cas d’un
mauvais
Prédicateur, ou d’un Avocat imbécile ? Ne se moqu
e qu’elle soit, elle les expose toujours à des sifflets ignominieux :
mauvaise
conclusion. N’a-t-on pas critiqué très injustemen
profession des Comédiens les rend fripons parce qu’il y a des gens de
mauvaises
mœurs entre eux, prouvez avant que tous les homme
es approuvent et qu’ils encouragent ; c’est parce que vous accusez de
mauvaises
mœurs et de friponnerie des gens que vous ne conn
pas silence et ne vous convertit pas. 4. [NDA] Prison des femmes de
mauvaise
vie. eu. [NDE] J.-J. Rousseau, op. cit., p. 99.
nable ; c’est à savoir, qu’une chose qui peut produire quelquefois de
mauvais
effets dans des esprits vicieux, quoique non vici
pas même au temps du Carnaval. Il n’est pas concevable de combien de
mauvaises
choses la Comédie a guéri les hommes capables d’ê
oème dramatique est une Poésie indifférente de soi-même, et qui n’est
mauvaise
que par le mauvais usage qu’on en fait. Je soutie
une Poésie indifférente de soi-même, et qui n’est mauvaise que par le
mauvais
usage qu’on en fait. Je soutiens que l’amour expr
ses idées, que personne ne s’en étoit apperçu, & ne lui en savoit
mauvais
gré ; qu’enfin il lève le masque, puisque retiré
age & de l’impiété, & depuis sa correction il est l’école des
mauvaises
mœurs. Les vues sages des anciens ont été entiere
s amours, qu’on appelle honnêtes, ne sont pas moins que les autres de
mauvais
exemple ; ils sont traités sur la scène sans bien
’intrigues, qui ne sont pas rares chez eux, & qui rendent le même
mauvais
service à la jeunesse. Les François, qui en ont p
impiété & du libertinage, & qu’il est aujourd’hui l’école des
mauvaises
mœurs. J’avoue qu’il corrige de quelques ridicule
us les temps les danseuses & les chanteuses ont été des femmes de
mauvaises
mœurs, mises au rang des Courtisanes ; que doiven
lus modeste, blesse la pudeur ; que sera-ce d’y exposer des femmes de
mauvaise
vie, avec toutes les amorces de la volupté ? Si o
que dans un état modeste ? Je ne pense pas que l’homme naisse bon ou
mauvais
, & reste toute la vie tel qu’il est né ; le v
t la vérité, nous verrions avec douleur qu’ils n’en ont retenu que le
mauvais
; ils en rapportent les plus pernicieuses impress
fois des traits d’une bonne morale, noyés dans une infinité de choses
mauvaises
. Elle ressemble à un Médecin qui présenteroit aux
diette, leur interdiroit les excès, & leur mèneroit des femmes de
mauvaise
vie, & les inviteroit à un grand repas. Cette
e qu’il faut réformer, selon ses idées, comme contraire aux mœurs, de
mauvais
exemple, pernicieux à la société. Il faut voir ce
mployés. Au lieu de corriger & d’instruire, il ne présente que de
mauvais
exemples, & il donne de mortelles atteintes a
aideurs. Malheureusement il y a de l’amour traité de façon à faire de
mauvaises
impressions. Pour y réussir, on trompe le père de
à les plaindre de ce qu’ils n’ont pas la force de secouer le joug des
mauvaises
habitudes. L’approbation des sages nous dédommage
ut permanente, qui va toujours croissant. Il faut au cœur corrompu un
mauvais
caractère, pour se livrer à la haine, à la vengea
t leurs prix. Diminution de débit : troisième préjudice. « Dans les
mauvais
temps, les chemins ne sont pas praticables. […] I
omates que les Savoyards font rouler sur nos parquets. Il ne sera pas
mauvais
même, pour s’assurer que les regards dérobés ne t
ce. Un ivrogne est ordinairement brutal, imbécile, opiniâtre, hébété,
mauvais
Mari, mauvais Père, négligent, paresseux, très pe
est ordinairement brutal, imbécile, opiniâtre, hébété, mauvais Mari,
mauvais
Père, négligent, paresseux, très peu propre à rem
ctacle n’en est pas un non plus. Vous prétendez que celui qui fait de
mauvaises
actions étant ivre couve à jeun de mauvais dessei
ez que celui qui fait de mauvaises actions étant ivre couve à jeun de
mauvais
desseins. « Celui qui tua Clitus dans l’ivresse,
z-vous qu’un homme méchant dans le vin soit nécessairement, également
mauvais
à jeun ? L’expérience prouve le contraire. Combie
re de brandevin. En supposant d’ailleurs que le vin fasse éclater les
mauvais
desseins qu’un méchant couvait à jeun, il faut do
-même, ceux qui ont le cœur corrompu font, dans l’ivresse, toutes les
mauvaises
actions qu’ils se seraient interdites à jeun. Voy
rgument de similitude et exemples. Outre cela il reprend aussi toutes
mauvaises
coutumes et observations des Gentils et Païens, s
r les étrennes au premier jour de l’an, qui ne serait pas paraventure
mauvaise
chose sinon qu’en ce faisant nous suivons la mauv
pas paraventure mauvaise chose sinon qu’en ce faisant nous suivons la
mauvaise
coutume des Gentils, et comme eux donnons plutôt
et commodité d’un chacun, où il s’en fait aussi lesquels ne seraient
mauvais
, sinon que plusieurs y vont seulement pour cela,
. Mais au lieu desdites bonnes œuvres, les hommes prennent plutôt les
mauvaises
appartenances aux fausses religions. On en voit a
s de Saint ClémentSaint Clément, livre 4 des Recognitions.. Plusieurs
mauvaises
et vagantes religions ont été introduites, auxque
nt advenus, à cause des injures et reproches que lui avait faites une
mauvaise
chambrière, l’appelait à témoin de son honnêteté,
s jeux la qualité d’iceux et des personnes, ne les rend pas seulement
mauvais
mais aussi le tropaf, ou importunité de ceux qui
aussi le tropaf, ou importunité de ceux qui autrement ne seraient pas
mauvais
: car il faut qu’il y ait une grande modéranceag
prises en elles-mêmes indépendamment de toute circonstance, bonne ou
mauvaise
, doivent être mises au nombre des choses indiffér
les y emploient par leur malice : et que ce qui rend bien des choses
mauvaises
, qui de soi seraient indifférentes, c’est la corr
Comédie, il s’ensuit que considérée en elle-même, elle n’est pas plus
mauvaise
que les Anges, les herbes et le fer, mais que c’e
ichesse des habits ; tantôt intimidant les Chrétiens par l’exemple du
mauvais
Riche, tantôt les menaçant des Anathèmes prononcé
s ? Les danses et les plaisirs, conclut Albert le Grand, ne sont donc
mauvais
que par les circonstances criminelles qu’on y ajo
peut glisser dans la Comédie, je ne sais pas ce qu’il peut y avoir de
mauvais
. Car c’est un tableau où sont représentées des hi
ans l’étude sérieuse des belles Lettres. Jusqu’ici je ne vois rien de
mauvais
dans l’institution de la Comédie. Ah, disent ses
nstitution de la Comédie. Ah, disent ses ennemis, elle n’est que trop
mauvaise
, puisqu’elle est défendue. Jusqu’à présent je l’a
l’avoue, je croyais qu’on défendit les choses parce qu’elles étaient
mauvaises
, et non pas qu’elles fussent mauvaises parce qu’e
choses parce qu’elles étaient mauvaises, et non pas qu’elles fussent
mauvaises
parce qu’elles étaient défendues. Mais il est bon
d à tous ces Passages que les danses, etc., « qui, de soi ne sont pas
mauvaises
pouvaient le devenir par les malheureuses circons
u vrai mal, et non de ce qui ne le devient que par accident et par de
mauvaises
circonstances. » Ces autorités de l’Ecriture, do
sement ; car cette raison fait pitié. S’il est vrai que l’action soit
mauvaise
en soi, qu’importe qu’elle se fasse avec sgain ou
porte qu’elle se fasse avec sgain ou sans profit ? elle sera toujours
mauvaise
: une circonstance de plus, ou de moins, ne saura
la Comédie, qui y est soufferte et peut-être approuvée. Si elle était
mauvaise
, pourrait-on la tolérer ? L’illustre et sage Prél
st encore plus sûr, c’est de juger par les Confessions des Fidèles du
mauvais
effet que produisent les Comédies dans leur cœur
té. Quoi, disais-je en moi- même, si l’on invitait les gens à quelque
mauvaise
action, à se trouver en des lieux infâmes, ou bie
s. Il faut donc, concluais-je aisément, que la Comédie ne soit pas si
mauvaise
, puisque les Magistrats ne la Homélie 5.i n cap.
moyens que j’ai pu employer pour découvrir ce qu’il pouvait avoir de
mauvais
dans les Comédies, n’a servi qu’à me faire connaî
point leur effet, leur nature étant toujours d’avoir des suites très
mauvaises
et très pernicieuses. Mais pour les premières, po
n’étant pas de les exciter, malheur à celui qui s’en sert pour un si
mauvais
usage. Toutes les Histoires (sans excepter même l
e qu’elles étaient si scandaleuses, qu’elles produisaient toujours de
mauvais
effets, et qu’on ne pouvait même s’en souvenir sa
de circonstances assez scandaleuses pour produire infailliblement de
mauvais
effets dans leur cœur. Mille gens y assistent san
role mal entendue, ou malicieusement expliquée. Si l’on peut faire un
mauvais
usage des choses les plus Saintes, telle qu’est l
tte défense devrait s’étendre sur toutes choses dont on peut faire un
mauvais
usage. Passons à la seconde condition que saint T
ansons déshonnêtes, qui ne peuvent faire naître en leurs cœurs que de
mauvais
désirs. » Trouve-t-on rien de pareil dans nos Com
dignité Ecclésiastique : non pas qu’ils assistassent à des Spectacles
mauvais
, mais parce qu’étant consacrés à Dieu, ils doiven
est-on moins dans l’erreur ? Et ce que Dieu condamne parce qu’il est
mauvais
, peut-il jamais être excusé ou approuvé comme bon
ges des pays, ne peuvent prescrire contre la loi de Dieu. Tertull. La
mauvaise
coutume ne peut pas prévaloir sur la vérité, car
ist est mort. Comptez-vous pour rien l’argent, dont vous faites un si
mauvais
emploi. N’est-ce donc rien aux spectateurs de pay
vous fournissiez à une créature impudique les moyens d’entretenir son
mauvais
commerce, et vous croiriez l’être en donnant lieu
cour savent le scrupule que je me fais d’y aller, et ils auraient une
mauvaise
opinion de vous, si vous aviez si peu d’égard pou
re est de donner une nouvelle énergie à toutes les passions… Tout est
mauvais
et pernicieux dans la comédie. Plus elle est agré
isconvenir que le théâtre de Molière ne soit une école de vices et de
mauvaises
mœurs plus dangereuses que les livres mêmes où l’
il n’y a que des imbécilles qui condamnent la comédie et qui trouvent
mauvais
qu’on y aille ? Mais continuons à confondre ceux
ces impertinentes récréations réveillent dans l’âme mille sortes de
mauvaises
affections . Le grand Bossuet a fait tout un trai
nes se trompent grossièrement, parce qu’elles entretiennent dans leur
mauvaise
profession des gens, qui sont notés d’infamie et
, qui sont notés d’infamie et qu’elles scandalisent les autres par ce
mauvais
exemple ; cependant, comme il peut y avoir des ci
pays défendent aux fidèles d’assister au théâtre. Donc le théâtre est
mauvais
. Deuxième fait. — Les théologiens les plus renom
tre ne peuvent pas recevoir la sainte absolution. Donc le théâtre est
mauvais
. Troisième fait. — Un très-grand nombre d’évêque
esseurs d’absoudre ceux qui assistent au théâtre. Donc le théâtre est
mauvais
. Quatrième fait. — Les lois ecclésiastiques et c
noté d’infamie les comédiens et les comédiennes. Donc le théâtre est
mauvais
. Cinquième fait. — De grands écrivains, qui avai
c connaissance de cause, ont réprouvé le théâtre. Donc le théâtre est
mauvais
. Ainsi conciles, synodes, évêques, théologiens, l
e, leur nom, leur origine, la maniere dont on les fait, leurs bons ou
mauvais
effets. Il avoue que c’est une affaire de goût &a
int à se trouver parmi les bonnes odeurs, & s’il s’en présente de
mauvaises
, il ne s’en plaint nullement, n’en témoigne pas l
odeurs, & à l’exemple de S. Arsene, il supporte avec patience les
mauvaises
pour se punir des parfums dont il avoit usé dans
liment & le signe, de qui on peut dire comme Pline, des femmes de
mauvaise
vie de son temps : Suavis odor transeunte fœminâ
ercs, lorsqu’ils se respectent assez peu eux-mêmes, pour donner un si
mauvais
exemple. Le châtiment qu’on leur impose est appel
is homo inficitur vitiis. Gregor. Nisson. orat. 3. Rien ne sent plus
mauvais
que l’ame quand le corps sent bon. Un homme parfu
rejetoit. Tertullien s’en moque. La massue d’Hercule, dit-il, sentoit
mauvais
; ce héros ne pouvoit souffrir les parfums : Her
ies pour les conserver, soit pour les gens du commun pour écarter les
mauvaises
odeurs qui en exhalent ? Car il n’en est point de
e odeur de soufre désagréable. De cet effet naturel il conclud que la
mauvaise
odeur est une punition du crime, relative à la ma
onclud que la mauvaise odeur est une punition du crime, relative à la
mauvaise
odeur de la réputation & du scandale ; &
omme la mort, la maladie, la misere, la pauvreté, sont accompagnés de
mauvaises
odeurs : Ater cum fulmine odor . Une punition pl
par-tout des signes de réprobation dans sa physionomie & dans sa
mauvaise
odeur. Cet effet n’est pas naturel ; que dans tou
ays du monde, un nombre infini d’hommes, sans exception, exhalent une
mauvaise
odeur, c’est une punition visible de l’horrible D
a chasteté doivent les craindre & s’en abstenir. Au contraire les
mauvaises
odeurs sont beaucoup plus multipliées ; la pourri
Tous les corps des animaux en exhalent après la mort, & des plus
mauvaises
. Marthe le disoit de son frere Lazare : Jam fœte
voit par tout des métaphores, des figures prises des bonnes & des
mauvaises
odeurs. Le Prophete, dis-je, s’en sert pour peind
ns pour les jeunes hommes, et pour les jeunes filles, et qui trouvent
mauvais
qu’on les condamne, disent que le bal donne souve
ils voudraient conclure que ces assemblées, non seulement ne sont pas
mauvaises
et illicites ; mais qu’elles sont même quelques f
lieux ? Ne compte-t-on pour rien tant de pensées impures, et tant de
mauvais
désirs, dont les âmes qui étaient peut-être venue
t moins aller. Ainsi les meilleures pièces sont, en un sens, les plus
mauvaises
, le meilleur Acteur est le plus mauvais. Pourquoi
sont, en un sens, les plus mauvaises, le meilleur Acteur est le plus
mauvais
. Pourquoi réveiller un ennemi si redoutable, et l
ur, en les y confirmant. On prend peu à peu le premier le pli, bon ou
mauvais
, quoique ce ne soit que pour contrefaire. En affe
turalise, on en est le premier la dupe. Est-on excusable de se rendre
mauvais
pour rendre mauvais les autres ? Quel tissu de sc
le premier la dupe. Est-on excusable de se rendre mauvais pour rendre
mauvais
les autres ? Quel tissu de scandales ! parler le
buleux et sans conséquence, le plaisir de la passion n'aurait rien de
mauvais
. Les passions peuvent être tournées du côté du bi
a faveur d'une supposition chimérique, permettent de désirer un objet
mauvais
s'il n'était pas défendu : Je désirerais cette fe
sant, les mœurs sont plus pures, la jeunesse plus sage, les femmes de
mauvaise
vie en plus petit nombre, les sacrements plus fré
nce, sont aussi pernicieuses. Des Chrétiens ont-ils le même zèle ? un
mauvais
vers, un mauvais geste, un faux ton, sont sifflés
ernicieuses. Des Chrétiens ont-ils le même zèle ? un mauvais vers, un
mauvais
geste, un faux ton, sont sifflés, une mauvaise ma
e ? un mauvais vers, un mauvais geste, un faux ton, sont sifflés, une
mauvaise
maxime est applaudie. Mais les passions les plus
erté, comme on en jouit au théâtre, si on excitait volontairement ces
mauvais
songes, comme on excite le rêve du théâtre, ne se
onsiste à faire passer le spectateur dans tous les sentiments bons ou
mauvais
de son rôle. La vivacité de l'impression fait le
t tous les mouvements, celui-là pour peindre, celui-ci pour goûter le
mauvais
comme le bon, et plus que le bon, ce qui n'est ja
qu’il y ait des pieces honnêtes ; il suffit qu’il y en ait souvent de
mauvaises
, pour le condamner. Le Ch. Vous ignorez sans d
elles la rendront plus infidelle encore. Ces œuvres sont une école de
mauvaises
mœurs. Qu’y voit-on ? des enfants qui volent leur
d’adulteres, d’effrontées, de jureurs, de frippons, de débauchés, de
mauvais
fils, de mauvais maris, &c. Si les mariages,
ffrontées, de jureurs, de frippons, de débauchés, de mauvais fils, de
mauvais
maris, &c. Si les mariages, dans le monde, se
voit ; il en blâmeroit plusieurs, s’ils y venoient ; il ne trouve pas
mauvais
que les confesseurs, les casuistes, les prédicate
résomption ? La plupart corrompus, qu’enfanteront-ils d’édifiant ? Un
mauvais
arbre porte-t-il de bon fruit ? Je n’attaque poin
aine : Lasciva est nobis pagina, vita probra ; c’est une chimere, les
mauvais
discours corrompent les mœurs, & sont une pre
beau se couvrir d’or & d’argent, c’est le rendez-vous de toute la
mauvaise
compagnie, & comme l’égoût d’une ville. La pi
’est le mieux instruit & le plus croyable. Dans son Sermon sur le
mauvais
riche & Lazare, pour faire sentir la vanité d
s, & qui sont dans la plus honteuse indigence ! combien, comme le
mauvais
riche, ne peuvent obtenir une goutte d’eau ! &
itionnez, & c’est avec des Danseurs, des Comédiens, des femmes de
mauvaise
vie que vous partagez cette gloire. N’est-ce pas
vous reviennent pendant le sommeil, & souillent votre cœur par de
mauvais
songes. En voyant, en entendant des choses impure
it dans un instant le bien ou le mal. En multipliant ainsi les choses
mauvaises
, & négligeant les bonnes, quelle espérance y
étoient allumés par des mains barbares, & ceux-ci le sont par de
mauvaises
pensées, des désirs criminels. Le feu le plus dév
s du théatre, c’est la facilité, c’est le danger extrême de former de
mauvais
commerces avec les Actrices, toutes femmes de mau
me de former de mauvais commerces avec les Actrices, toutes femmes de
mauvaise
vie, qui perdent en même temps la bourse, le corp
Les spectacles. S ont-ils bons ou
mauvais
de leur nature ? Question agitée dans tous les te
prises en elles-mêmes, indépendamment de toute circonstance bonne ou
mauvaise
, doivent être mises au nombre des choses indiffér
être prohibée par elle-même. On défend les choses parce qu’elles sont
mauvaises
, & les choses ne sont point mauvaises en elle
choses parce qu’elles sont mauvaises, & les choses ne sont point
mauvaises
en elles-mêmes, parce qu’elles sont défendues. Le
pas qu’on joue par amusement ou pour gagner sa vie : si la chose est
mauvaise
en soi, elle l’est par rapport à tout le monde. L
inviteroit-on au coin des rues à les aller voir ? Qu’on affichât les
mauvais
lieux, avec quelle promptitude la police séviroit
âtre, il y a déjà plus de cinquante ans, je l’ai toujours envisagé du
mauvais
côté, & que je n’ai jamais cessé de desirer l
i de toutes sortes d’originaux. C’est que la règle* est au-dessus des
mauvais
exemples de quelques ecclésiastiques. Peu de ceux
ne actrice, non le métier, mais le talent. Les comédiens médiocres ou
mauvais
sont autant ou plus méprisés à Londres que partou
rcice, qui peut innocemment divertir ses sujets de diverses occasions
mauvaises
, ne puisse leur être imputé à blâme, ni nuire à l
l’arbre par les fruits, dit l’Evangile ; un bon arbre ne porte pas de
mauvais
fruits, ni un mauvais arbre de bons fruits. Dans
, dit l’Evangile ; un bon arbre ne porte pas de mauvais fruits, ni un
mauvais
arbre de bons fruits. Dans cette généralité de dé
e des deux actrices joue le mieux, quelle des deux piéces est la plus
mauvaise
; la coquetterie ou le drame, le langage des yeux
blent traiter le théatre comme une chose indifférente, qui ne devient
mauvaise
que par les circonstances de la licence, de l’ass
trions, qui y passent leur vie. Cependant leur profession n’est point
mauvaise
de sa nature, ils ne sont point en état de péché.
au soulagement, au délassement de l’homme, que le métier n’en est pas
mauvais
par lui-même, qu’on peut faire des dons aux femme
s, comme de toutes les autres actions humaines. Il y en a de bons, de
mauvais
, & d’indifférens. Tous ceux où l’on voit des
x où l’on voit des péchés, de la turpitude, du danger de pécher, sont
mauvais
& défendus à tout le monde. Ceux qui contribu
x d’esprit, promenades, conversations gaies, tout cela devient bon ou
mauvais
, selon l’intention qu’on y porte, l’usage qu’on e
dissolution & aux désirs de la chair. La comédie, qui produit ce
mauvais
effet, n’est que trop renfermée dans la défense d
cette objection. La vue des spectacles ne doit pas être une curiosité
mauvaise
: c’est un amusement agréable & naturel ; l’h
Offices. Qu’on réunisse toutes ces conditions, qu’il n’y ait rien de
mauvais
, d’indécent ou de dangereux, jamais d’excès ni da
te : les enfans même savent contrefaire. Elle est en ce sens bonne ou
mauvaise
, selon la fin, l’usage, les circonstances. La pei
irconstances. La peinture même des choses les plus obscènes n’est pas
mauvaise
. Les livres de médecine sont remplis de descripti
me le P. Porée, ils le disoient indifférent par lui-même, mais devenu
mauvais
par les circonstances. Pour prévenir le mal que c
’y en a point eu aussi où l’on ait tant fait valoir les bonnes et les
mauvaises
choses. Pendant que des personnes éclairées trava
rendra que c’est moins par tels gestes et telles paroles, que par les
mauvaises
dispositions excitées en nous-mêmes et dans les a
La Comédie, dit-ilPage 22. , considérée en elle-même, n’est pas plus
mauvaise
, que les Anges, les herbes et le fer. Mais c’est
ées de divers sentiments, et par conséquent de dispositions bonnes ou
mauvaises
selon la nature de ces impressions. Nulle puissan
t point qu’elle produise en eux ces effets, mais je réponds que c’est
mauvais
signe. Ils vont à la Comédie remplis des plus fun
ire les scrupuleux sur le chapitre de la Comédie en sera-t-elle moins
mauvaise
? Et si le Père veut nous convaincre de son relig
s ». Donc les Comédies telles qu’elles se font parmi nous ne sont pas
mauvaises
. Et le Directeur des âmes, sans aller davantage a
on ton moqueur, et répond ainsi à ceux qui croient que la Comédie est
mauvaise
, parce qu’elle est défendue dans les saintes Ecri
l’avoue, je croyais qu’on défendait les choses parce qu'elles étaient
mauvaises
; et non pas qu’elles fussent mauvaises parce qu’
choses parce qu'elles étaient mauvaises ; et non pas qu’elles fussent
mauvaises
parce qu’elles étaient défendues. Ibid. » Ainsi,
ce nouveau Docteur, il n’est pas à propos de croire qu’une chose est
mauvaise
, quoique l’Ecriture la défende, à moins qu’on ne
Ecriture la défende, à moins qu’on ne reconnaisse que cette chose est
mauvaise
en elle-même. Si tous les hommes étaient aussi éc
s’en tiennent à ce qu’elle ordonne, et qu’ils jugent qu’une chose est
mauvaise
quand l’Ecriture la défend. Mais enfin tous les p
n se sert des Rituels les plus rigoureux on joue la Comédie : si elle
mauvaise
pourrait-on la tolérer ? L'illustre Prélat qui go
ce qui se fait avec « le Privilège d’un si grand Prince ne peut être
mauvais
». Le Père demandait des adoucissements en faveur
e plaisir de les opposer à eux-mêmes. Cependant rien ne se décide, le
mauvais
esprit règne toujours ; et le Cavalier balancé pa
Les spectacles sont absolument défendus, parce qu'ils sont absolument
mauvais
, et qu'on ne saurait les mettre au rang des chose
n ne saurait les mettre au rang des choses qui peuvent être bonnes ou
mauvaises
, selon le bon ou le mauvais usage qu'on en fait ;
g des choses qui peuvent être bonnes ou mauvaises, selon le bon ou le
mauvais
usage qu'on en fait ; et que rien n'est plus oppo
coméd[ie]. chap. 10. D. Pourquoi les spectacles sont-ils absolument
mauvais
? R. Parce qu'on n'y représente que les objets de
e dans le cœur des Spectateurs. D. Si les spectacles sont absolument
mauvais
, d'où vient que l'Ecriture ne le condamne pas ? R
en garde contre le danger. 647. Le spectacle par lui-même n’est point
mauvais
; on ne peut donc le condamner d’une manière abso
nt une occasion prochaine de péché mortel. Le spectacle n’étant point
mauvais
de sa nature, la profession des acteurs et des ac
r le salut, ne doit pas être regardée comme une profession absolument
mauvaise
: « Ludus, dit le Docteur angélique, est necessar
condamner d’une manière absolue, comme si elle était essentiellement
mauvaise
: « Choreæ, dit saint Alphonse de Liguori d’après
ion prochaine de péché mortel, il ne suffit pas qu’elle occasionne de
mauvaises
pensées ou autres tentations, même toutes les foi
médie est un abus qui ne saurait rendre licite et innocent ce qui est
mauvais
et condamné de tout temps par l’Eglise. Dema
tristes occasions, lui à qui il n’est pas même permis de souffrir les
mauvaises
pensées ? comment peut-il prendre plaisir à voir
aient changer la loi de Dieu, et rendre innocent et licite ce qui est
mauvais
de sa nature. Toute l’antiquité a condamné les Th
es premiers. Il est donc indubitable que ces sortes de Comédies étant
mauvaises
, ne sauraient être représentées sans péché, et qu
ou interdits, ceux qui sont notoirement infâmes, comme les femmes de
mauvaise
vie, les concubinaires, les Comédiens, les usurie
ron. On voit par tout ce qui vient d’être dit, combien est frivole et
mauvaise
l’excuse que les Comédiens en question apportent
l s’est passé cinquante ans sans que personne ait osé soutenir une si
mauvaise
cause. Enfin en 1751 il a plu au sieur Fagan, hom
apologies, que personne n’avoit exposé les raisons avec soin ? Quelle
mauvaise
cause qui n’a pas trouvé de bons défenseurs ! que
hants, les danses, n’est-ce qu’une lecture ? est-il permis de lire de
mauvais
livres, de chanter de mauvaises chansons ? La bel
’une lecture ? est-il permis de lire de mauvais livres, de chanter de
mauvaises
chansons ? La belle & édifiante lecture, de f
Moliere, Dancour ! Si ce ne sont que des chansons, la bonne, comme la
mauvaise
morale, ne sera qu’une chanson aussi. Que devient
ux les désole, ils se livrent au crime par désespoir. Faut-il pour un
mauvais
livre brûler une bibliothèque ? Non ; mais si tou
is livre brûler une bibliothèque ? Non ; mais si tous les livres sont
mauvais
, on doit la brûler. Faut-il aussi approuver le dé
t mauvais, on doit la brûler. Faut-il aussi approuver le désordre des
mauvais
lieux, & en lever l’infamie ? Quelle charité
nt Dieu ? L’Eglise peut-elle approuver une profession essentiellement
mauvaise
, lever la barriere de l’infamie & des censure
n deux choses ; faire choix de bons sujets, & mettre ordre à leur
mauvaise
conduite, si elle éclatte trop ; recommander aux
sé sous le poids d’une si grande autorité : Le charme des sens est un
mauvais
introducteur des sentimens vertueux. Un Auteur di
scrupule, ou faute de goût pour les spectacles ; enfin je suis aussi
mauvais
Poète, que mauvais Historien, et je doute que je
de goût pour les spectacles ; enfin je suis aussi mauvais Poète, que
mauvais
Historien, et je doute que je puisse m’acquitter,
ement. Les mœurs ne sont autre chose, que les inclinations, bonnes ou
mauvaises
. Ce sont tous ces traits répandus, qui forment le
ce par sa faute, ou par son imprudence, ou après avoir commis quelque
mauvaise
action, on se sent indigné contre ses vices, et p
unie. Ses infortunes doivent être regardées comme la suite de quelque
mauvaise
action ; mais il ne faut pas qu’elle parte d’un m
e de quelque mauvaise action ; mais il ne faut pas qu’elle parte d’un
mauvais
fond, ou d’une âme noire ; il faut plutôt que ce
r se venger d’un ennemi, après en avoir reçu de grands outrages ; les
mauvais
traitements qu’il lui fait, ne surprennent point.
asse enfin de pleurer toujours, et l’on abandonne un malheureux à son
mauvais
sort. Il faut dont choisir un sujet, où l’on trou
faut dont choisir un sujet, où l’on trouve un mélange de bonne et de
mauvaise
fortune, et dont le Héros se croyant au comble de
ions des personnes, qui ont des sentiments dépravés, de peur que leur
mauvais
exemple ne fasse impression sur des esprits faibl
paroles un peu libres ; des équivoques à qui l’on pourrait donner un
mauvais
sens, suffiraient pour faire interdire et pour fa
rente ; mais les meilleures choses peuvent devenir criminelles par le
mauvais
usage que l’on en fait : Les mêmes sucs, et les m
est donc que la corruption du cœur humain, qui peut rendre la Comédie
mauvaise
: En effet à le bien prendre, elle n’est qu’un mé
ait souvent une bonne fin, cela n’empêche pas qu’il ne fasse de fort
mauvais
effets ; car il est toujours excessif et outré ;
scandaleux : Si l’on permet de certaines choses, qui sont visiblement
mauvaises
, c’est pour empêcher que les hommes ne s’abandonn
ux qui se vantent d’aller à la Comédie et d’en sortir, sans sentir de
mauvaises
impressions, ne la justifient pas pour cela ; c’e
és ; la Comédie ne fait autre chose, que de les entretenir dans leurs
mauvaises
habitudes. Ce sont, Madame, à peu prés les raison
: Ils disent que non seulement la Comédie d’aujourd’hui n’est pas une
mauvaise
école ; mais qu’elle peut même contribuer à réfor
Chapitre I. Que les Danses ne sont pas
mauvaises
de leur nature. Comme les Danses ne sont que d
iment commun des Docteurs, et de dire avec eux qu’elles ne sont point
mauvaises
de leur nature ; mais qu’elles sont d’elles-mêmes
rieurs de contentement, et de joie, peuvent être bons, aussi bien que
mauvais
; Et nous ne pouvons point douter, que quelques p
es représentations théâtrales abstractivement considérées ne sont pas
mauvaises
, ou, si l’on veut, elles ne sont pas mauvaises de
onsidérées ne sont pas mauvaises, ou, si l’on veut, elles ne sont pas
mauvaises
de leur nature ou par elles-mêmes. Mais, à les pr
les pompes, les comédies en leur substance, ne sont nullement choses
mauvaises
, ains indifférentes, pouvant être bien et mal exe
n globo et sans distinction. « Le spectacle par lui-même n’est point
mauvais
, dit Mgr Gousset ; on ne peut donc le condamner d
ous y ramène. Ce savant théologien dit : « Le spectacle n’étant point
mauvais
de sa nature, la profession des acteurs et des ac
r le salut, ne doit pas être regardée comme une profession absolument
mauvaise
». Mgr Gousset, d’après saint Liguori, se fonde s
sans réplique que la profession des acteurs et des actrices n’est pas
mauvaise
. Bossuet ne rejette-t-il pas cette preuve en fave
le, en ce qu’il semble dire que la profession des comédiens n’est pas
mauvaise
de sa nature, et que l’on peut même contribuer à
rétend établir, savoir que l’on ne doit pas regarder comme absolument
mauvaise
la profession des acteurs et des actrices. Abstra
me sont les acteurs dans les colléges, non, elle n’est pas absolument
mauvaise
; prise positivement, pratiquement dans l’état ac
bles et sans lesquelles cette profession n’existe pas ; oui, elle est
mauvaise
, très-mauvaise, immensément mauvaise. Mgr Gousset
ion n’existe pas ; oui, elle est mauvaise, très-mauvaise, immensément
mauvaise
. Mgr Gousset ajoute : « Saint Antonin, saint Alph
it monté cinquante ans sur le théâtre, le regardoit comme l’école des
mauvaises
mœurs & de la corruption, & ne pouvoit s’
nt on fait l’éloge avec la censure du vice. On va aux spectacles sans
mauvais
dessein, & sans mauvais effet. Les puissances
ensure du vice. On va aux spectacles sans mauvais dessein, & sans
mauvais
effet. Les puissances ecclésiastiques & sécul
e plus chaste & le plus épuré théâtre. On va aux spectacles sans
mauvais
dessein & sans mauvais effet. Quand cela sero
épuré théâtre. On va aux spectacles sans mauvais dessein & sans
mauvais
effet. Quand cela seroit, on feroit toujours mal
ù vient l’insensibilité de ceux qui disent qu’ils n’éprouvent rien de
mauvais
aux spectacles ? n’est-ce pas de ce qu’ils ont de
Mais est-il bien vrai qu’on va aux spectacles sans en ressentir aucun
mauvais
effet ? eh ! que sont donc ces émotions, ces trou
se du scandale ; 4°. à cause de la perte du tems ; 5°. par rapport au
mauvais
emploi de l’argent, qui est dû aux pauvres, s’il
présentations théâtrales, mêmes dans les collèges. Mais, dira quelque
mauvais
plaisant, les Comédiens ne célèbrent-ils pas des
sont des œuvres serviles. 2.° Ce sont des œuvres dangereuses, et même
mauvaises
. 3.° Fussent-elles indifférentes, ces œuvres empê
plus forte raison la représenter, est une action frivole, dangereuse,
mauvaise
. Je le démontre dans tout cet ouvrage. Elle est d
rai jour. Le théâtre fut-il par lui-même indifférent, il devient très
mauvais
par la multitude des péchés qui s’y commettent, q
l’homme au démon, par le péché : infiniment funeste, elle produit les
mauvaises
œuvres. La troisième, d’homme à homme : elle est
oisième, d’homme à homme : elle est indifférente, et devient bonne ou
mauvaise
par l’usage que l’on en fait ; les services qu’el
s œuvres serviles. Elles sont défendues par le texte du précepte, les
mauvaises
par son esprit et sa fin. Rien de plus opposé à l
éché dure les heures entières, comme le bal, la comédie, les lectures
mauvaises
, il n’est pas douteux que la circonstance ne doiv
de leur sanctification est, et négatif, en ce qu’il défend les œuvres
mauvaises
et les œuvres serviles, et affirmatif, en ce qu’i
tournez-les de la vanité ; faites jeûner vos oreilles, fermez-les aux
mauvais
discours ; faites jeûner votre langue, interdisez
de pieux mouvements ; faites jeûner votre esprit, rejetez toutes les
mauvaises
pensées. A quoi vous servira l’abstinence, si le
comédie, elle veut intéresser son lecteur dans les actions bonnes et
mauvaises
qu’elle représente. Quelle erreur de ne savoir pa
lle erreur de ne savoir pas distinguer entre l’art de représenter les
mauvaises
actions pour en inspirer de l’horreur, et celui d
t et par soi le feu de la convoitise ; ou que la convoitise n’est pas
mauvaise
, et qu’il n’y a rien qui répugne à l’honnêteté et
e un amant insensé, ce n’est que « par accident » c, que l’ardeur des
mauvais
désirs sort du milieu de ces flammes : dites que
le moindre mal. Qui vous a donc appris, M. P,, que la comédie est si
mauvaise
, & comme vous dites, un lieu d’abomination ?
Réponse. Qui m’a appris, dites-vous, M. P., que la comédie est si
mauvaise
? Ce sont tous les Peres de l’Eglise qui ont eu o
n de si justes invectives par l’oracle de saint Paul, qui dit que les
mauvais
entretiens corrompent les bonnes mœurs, même dans
. 33. Corrumpunt mores bonos colloquia mala. Or qu’y a t’il de plus
mauvais
que tout ce que disent les comédiens, non dans le
tout un peuple assemblé ? Ne corrompent-ils pas les mœurs par tant de
mauvais
sentimens qu’ils inspirent, si contraires aux max
la comédie, puisqu’il a dit que la profession des comédiens n’est pas
mauvaise
de sa nature, & que l’on peut sans péché cont
ration, c’est-à-dire, qu’ils ne se servent pas de paroles indécentes,
mauvaises
& dissolues, ou qu’ils ne fassent point d’act
e autorisée publiquement partout, si elle est si pernicieuse & si
mauvaise
? Car ce n’est pas seulement en France, mais dans
n Chrétienne, on joue publiquement la comédie. Elle n’est donc pas si
mauvaise
que vous la faites, puisqu’elle est tolérée publi
côté de Dieu, parcqu’il n’y donne point sa grace, on y conçoit mille
mauvais
desirs, après s’être rempli l’esprit de mille idé
riter tous ces anathêmes lorsqu’ils ne disent & ne jouent rien de
mauvais
, comme on le suppose ? Marquez-nous, s’il vous pl
ein. Suivre le monde & se conformer à la coutume, c’est suivre un
mauvais
guide ; puisque c’est cette coutume qui perd tous
gé de la Doctrine Chrétienne. Il ne doute donc pas qu’elles ne soient
mauvaises
. Pères de l’Eglise Latine. Les Pères de l’Eglis
encore ce que c’est ; il est sans doute qu’il se ressent toujours du
mauvais
air qu’il y a été respirer. Bodin. Bodin au l. 6
ent toutes les choses du monde dans notre esprit. Il n’y a rien de si
mauvais
qui n’y soit bien reçu, quand il est accompagné d
eur passe bien au delà. Car il dit positivement que les Comédies sont
mauvaises
, en ce que ceux qui y vont deviennent plus enclin
en dignité Ecclésiastique, non pas qu’ils assistent à des spectacles
mauvais
; mais parce qu’étant consacrés à Dieu, ils doive
’ils ne défendent point absolument les Comédies que l’on prétend être
mauvaises
? Je réponds à cela, que la prudence et les maxim
urp. 37. l’Archevêque de Paris tolère la Comédie, donc elle n’est pas
mauvaise
ni scandaleuse. » C’est la conclusion que tire l
res, et publié en 1648. fût exactement observé, il fût fait contre la
mauvaise
coutume qui commençait à s’introduire, de faire p
e l’Auteur. « Faut-ilp. 46. condamner les Comédiens, à cause que les
mauvaises
paroles qu’on y entend par hasard, et que les act
ns et gestes peu honnêtes qu’on y voit, peuvent quelquefois donner de
mauvaises
pensées, et émouvoir les passions ? Il n’y aurait
oan. que lorsqu’on va à la comédie, on devient coupable de toutes les
mauvaises
pensées, et de toutes les tentations qu’on y peut
lant volontairement à la comédie, l’on devient coupable de toutes les
mauvaises
pensées qu’on y peut avoir par hasard, et de tous
pas aller a la Comédie, à cause que la vue des femmes peut donner de
mauvaises
pensées. Il ne faudrait donc pas aller à l’Eglise
ION. Paroles de l’Auteur. « Lesp. 26. Danses et les plaisirs ne sont
mauvais
que par les circonstances criminelles qu’on y ajo
river que la vue des Comédiennes n’excite dans les spectateurs aucune
mauvaise
pensées, tandis qu’ils sont actuellement à la com
e particulier ; n’êtes vous pas cause que d’autres l’offensent par le
mauvais
exemple que vous leur donnez ; et ainsi ne devene
somption, pour se croire capable de résister de soi-même à la moindre
mauvaise
pensée qu’on y peut avoir. Nous ne recevons du Ci
ist, dit : « Si quelqu’un voit une femme, et qu’il la regarde avec un
mauvais
desir, il a déjà commis le péché dans son cœur. »
Comédiens, les Farceurs, les Bateleurs, et autres gens semblables de
mauvaise
vie, et de défendre aux Hôteliers et à tous autre
cet Ouvrage des peintures du Théâtre Italien, où l’on débite tant de
mauvaises
et dangereuses plaisanteries. SECTION SIXIEME.
orment quatre demandes sur la Comédie. La première, si la Comédie est
mauvaise
; et ils font voir par l’Antiquité qu’elle est ma
a Comédie est mauvaise ; et ils font voir par l’Antiquité qu’elle est
mauvaise
. La deuxième regarde les Auteurs, et généralement
ment, parce que leur action tend d’une manière déterminée à une chose
mauvaise
. La troisième, si on doit dire la même chose de l
quelqu’un peut aller à la Comédie ; on y répond que la Comédie étant
mauvaise
, dans la pratique on n’y doit pas aller, même par
de femmes, dont les fables des Poètes sont remplies, ou par les idées
mauvaises
des Comédies. Ces Docteurs concluent que les Comé
Bonnet. SECTION SEPTIEME. Réfutation des Sentiments relâchés d’un
mauvais
Théologien, sur la Comédie. A Paris, Chez Coignar
2. 2. q. 167. art.2. ad.2. « Que l’assistance aux Spectacles devient
mauvaise
, en ce qu’elle porte l’homme aux vices d’impureté
res Guzman et Mariana Jésuites, qui soutiennent que les Comédies sont
mauvaises
et nuisibles, et qu’il ne faut pas déférer au sen
mœurs. Le but de la satire est de corriger les mœurs quand elles sont
mauvaises
; & je crois que pour les corriger, il suffit
tant privé de raison, il n’a plus de frein qui puisse s’opposer à ses
mauvais
penchans. Veut-on un autre exemple ? prenons l’av
t le portrait naturel des mœurs. Or comme les mœurs sont ou bonnes ou
mauvaises
, la Comédie peut s’exercer sur les bonnes ou sur
nes ou mauvaises, la Comédie peut s’exercer sur les bonnes ou sur les
mauvaises
mœurs. Elle peut représenter une action vertueuse
, que la Comédie dont le but est de corriger les mœurs, les rend plus
mauvaises
, puisqu’elle contribue à fortifier & à étendr
endant institué pour corriger les Mœurs, les a peut-être rendues plus
mauvaises
.
ls ont tous les caractères, et n’en ont aucun. Ils ne sont ni bons ni
mauvais
, ni légers ni graves, ni oisifs ni occupés ; escl
délasser. Voilà pourtant la partie la plus saine, ou plutôt la moins
mauvaise
des spectateurs. N’en est-il point d’autres ? et
qui ont le cœur gâté par des passions déréglées et l’esprit rempli de
mauvaises
doctrines. Voilà pourquoi la morale du théâtre n’
clinations corrompues des spectateurs. Qu’on ne s’imagine pas que ces
mauvaises
maximes ne nuisent pas, parce qu’on n’y va que po
non pour y former ses sentiments. Cette intention ne garantit pas des
mauvais
effets des passions qui triomphent sur le théâtre
convertit sincérement. C’étoit la réfutation la plus complette de la
mauvaise
morale. Tout cela étoit sans conséquence. Des Aut
imprimer, & ensuite la mettant à la tête de son théâtre, en fort
mauvaise
compagnie, à laquelle le bon pere ne s’attendoit
n, n’étoit pas loyale & sincere : il répand bien de sarcasmes, en
mauvais
vers, & en mauvaise prose, contre ceux qui bl
amp; sincere : il répand bien de sarcasmes, en mauvais vers, & en
mauvaise
prose, contre ceux qui blament la comédie, qu’il
ruses pour tromper les parents & les maris, acteurs, actrices de
mauvaise
vie, spectateurs libertins, femmes dans un état i
aux exhortations générales, d’éviter le danger, de ne pas écouter de
mauvais
discours, fréquenter de mauvaises compagnies, reg
viter le danger, de ne pas écouter de mauvais discours, fréquenter de
mauvaises
compagnies, regarder des objets obscénes. Qu’en g
acle momentanée qui revenoit très-rarement, qui n’eût d’abord rien de
mauvais
, où l’histoire maussadement défigurée, ne pouvoit
mp; presque toujours réfutées par d’habiles plumes. La cause est trop
mauvaise
pour espérer que d’habiles Avocats daignent s’en
’habiles Avocats daignent s’en charger & s’exposer au ridicule du
mauvais
succès. La cause de la vertu se soutient d’elle-m
egarde pas directement Dieu & notre salut, on ne doit pas trouver
mauvais
que la comédie soit condamnée, &c. Que faut-i
scours, formé quelque désir, senti quelqu’émotion, consenti à quelque
mauvaise
pensée, & par-conséquent commis quelque péché
rdument. Ce qui a fourni la matiere de plusieurs tragédies, bonnes ou
mauvaises
, & qui traitent avec raison de tiran & de
ée de cet encens. Il vit tout-à-coup, dit Josephe un hibou, oiseau de
mauvaise
augure, perché sur une corde tendue en l’air pour
l retirer ? Il faut convenir qu’on est bien embarrassé quand on a une
mauvaise
cause. Au reste, mon dessein n’est point de le su
leurs enfants, et sur la vigilance qui les met en garde contre leurs
mauvais
desseins, qu’elle n’attaque l’avarice comme passi
Et que par la chaleur de montrer ses ouvrages, On s’expose à jouer de
mauvais
personnages ; … … … … … … … … qu’un froid écrit a
us pousse à vous faire imprimer ? Si l’on peut pardonner l’essor d’un
mauvais
livre, Ce n’est qu’aux malheureux qui composent p
rents rapports, sous différents points de vue, peut paraître bonne et
mauvaise
, louable et répréhensible. Telle est la Comédie d
piété. On a beau dire que c’est un scélérat qui parle. C’est une bien
mauvaise
maxime, pour faire détester le vice, que de l’exp
un bon usage de la concupiscence, elle est néanmoins en soi toujours
mauvaise
et déréglée ; et il n’est pas permis de l’exciter
on capable de nous infecter à tous moments, si Dieu n’en arrêtait les
mauvais
effets. Ainsi, de quelque honnêteté apparente don
ce qui n’est pas un petit mal. Il y a bien des gens qui étouffent de
mauvais
desseins, parce qu’ils manquent d’adresse pour s’
clure que, puisqu’il est impossible que la Comédie subsiste sans être
mauvaise
, il est impossible qu’elle subsiste sans être con
n veut lui faire épouser. On imagine, pour le faire apercevoir de ses
mauvaises
qualités, de n’introduire auprès de lui que des g
t par là même il en fait un maître dans l’art des mœurs d’autant plus
mauvais
, qu’il le fait meilleur dans l’art du poème drama
cence grossière et honteuse, dont les premiers étaient souillés ; les
mauvais
effets et les suites dangereuses qui résultent de
a rapporté beaucoup d’autres, telles que l’indécence, l’équivoque, la
mauvaise
morale, les maximes dangereuses, les intrigues d’
lque chose que le zèle d’un Ecrivain qui fait voir que la Comédie est
mauvaise
, soit respectable aux yeux même de son adversaire
ds maux, comme on a toléré autrefois des choses qui paraissaient plus
mauvaises
, il faut du moins qu’on fasse entendre qu’elles s
t plus mauvaises, il faut du moins qu’on fasse entendre qu’elles sont
mauvaises
. Que le comble des maux, est que le mal ose se re
t quelques autres Saints, ont bien souffert qu’il y eût des femmes de
mauvaise
vie dans les grandes villes ; mais que ces malheu
que leur vie est la même ; qu’il n’y a point de différence entre les
mauvais
lieux et le Théâtre ; mais que S. Louis, et les a
mblent influer et fournir en quelque sorte à l’accroissement de cette
mauvaise
semence, c’est un mystère qu’il faut respecter pa
nt d’action, quelque indifférente qu’elle paroisse, si elle n’est pas
mauvaise
, qui ne puisse et ne doive se rapporter à Dieu, e
e puisse et ne doive se rapporter à Dieu, et celles qui sont décidées
mauvaises
, sont celles qu’il est absolument impossible de l
inction essentielle à faire dans les actions. Il en est de bonnes, de
mauvaises
, et d’indifférentes : ces dernières se divisent e
ions peuvent quelquefois n’être qu’indifférentes, et quelquefois être
mauvaises
, telles que le jeu des cartes, de dés, etc. Celle
ête délassement ; ils peuvent en ce cas les offrir à Dieu. Elles sont
mauvaises
à l’égard de ceux en qui elles sont une passion,
ainsi, l’office d’un bon compatriote. C’est cependant donner de bien
mauvais
garants de l’exactitude et de la sévérité de ses
ssion excessive pour les spectacles ; c’est en donner surtout de bien
mauvais
de sa piété, et de son zèle à remplir les devoirs
et que rien n’est plus dangereux pour la jeunesse, si susceptible de
mauvaises
impressions. Que l’art de Molière et de ceux qui
ureux encore si ces images ne sont qu’inutiles ! Mais la plupart sont
mauvaises
, & c’est par-là qu’elles plaisent. L’irréligi
es images produisent sur l’esprit & sur le cœur, de bons & de
mauvais
effets, Qu’il faut donc proscrire les images indé
mages indécentes, dont l’effet ne peut être bon, & nécessairement
mauvais
, & conserver les images de piété, qui ne font
fait semblant de craindre le danger de l’idolâtrie, tout est plein de
mauvais
tableaux ? Où s’imprime-t-il plus de mauvais livr
âtrie, tout est plein de mauvais tableaux ? Où s’imprime-t-il plus de
mauvais
livres, où se grave-t-il plus d’estampes licentie
par le principe général, commun à tous les Chrétiens, qui défend les
mauvais
regards & les scandales, mais en particulier
on est plus rapide que celui de l’exhortation Une Vénus donne plus de
mauvaises
pensées qu’une Sainte n’en donne de bonnes. Elle
se à son épouse, tous ceux qui regardent le crime lui paroissent d’un
mauvais
augure ; toutes ces images indécentes, de nudités
sur le débit. Un des crimes d’Hérodes Ascalonite, qui fit le plus de
mauvais
effet sur les Juifs, ce fut d’avoir répandu, &
t des personnes du monde qui ont le cœur et l'esprit corrompus par de
mauvaises
passions et de mauvaises maximes.
qui ont le cœur et l'esprit corrompus par de mauvaises passions et de
mauvaises
maximes.
font sentir qu’en s’appliquant au palais, & la sensation bonne ou
mauvaise
qu’elles excitent cet ébranlement des nerfs qu’el
s espèces différentes de liqueurs & des parfums, de leurs bons ou
mauvais
effets, de leur composition, recette, manipulatio
ui-même qu’il aime fort les bonnes odeurs, & ne peut souffrir les
mauvaises
; que c’est une de ses folies, qu’il les distingu
bles ; mais il n’est pas douteux que si on répand les odeurs avec une
mauvaise
intention pour amollir, pour séduire, pour excite
ne fais pas, dit-il, de tels Prêtres, les choses saintes seroient en
mauvaises
mains. Cette partie du luxe a toujours été cond
ue s’en moquoit ouvertement. La bonne odeur de votre tête fait sentir
mauvais
votre ame & infecte votre réputation, capiti
ragrantia famæ graveo lentiam affert . Qu’on juge combien doit sentir
mauvais
la conduite, la réputation des gens de théatre qu
c’est très-souvent par nécessité qu’on en fait usage pour chasser les
mauvaises
. Tout le monde n’est pas comme Alexandre le Grand
ûtante atmosphère qui l’environne. Celui qui sent toujours bon ; sent
mauvais
; ce jeu de mots renferme une vérité très-commune
la roture de la fanfaronade. 6.° La débauche. Source intarissable de
mauvaises
odeurs elles fait du corps de l’homme un cloaque
ue se vérifia la parole de Saint Paul. La bonne odeur de la vertu, la
mauvaise
odeur du vice.
s, emploie la cheville qu’il trouve, qui lui est familiere & à la
mauvaise
compagnie qu’il fréquente. Comme Boileau le dit d
l le Curieux impertinent, qui est un conte dont Destouches a fait une
mauvaise
comédie ; le gouvernement de Sancho, dont le P. d
aujourd’hui que des extravagances, qu’elle propose & autorise de
mauvaises
actions, & qu’elle est presque toujours l’ima
es mœurs. Tels sont la fuite des occasions du péché, la contagion des
mauvais
exemples, le poison d’une danse & d’une musiq
ucoup sur le bien : pour une ligne de bonne morale, il en est cent de
mauvaise
Mais le bien & le mal y fussent-ils mêlés à d
ui vivent dans des joies, car ils seront accablés de tristesses. » Le
mauvais
riche étant au milieu des flammes d’enfer, Math.
e passage de la mer rouge, et ces danses non seulement, n’ont pas été
mauvaises
, mais même elles ont mérité louange, ayant été fa
assemblées rares de parenté et d’amitié, pourvu qu’on en bannisse les
mauvaises
circonstances, qui ont été marquées ; étant à obs
uelqu’unm des péchés susdits, s’en doivent abstenir comme d’une chose
mauvaise
, et que ceux même qui sortent de la danse fort in
llégué répond, qu’encore qu’en ces spectacles on ne soit ému à aucune
mauvaise
convoitise, c’est toutefois se trouver parmi les
un bon usage de la concupiscence, elle est néanmoins en soi toujours
mauvaise
et déréglée ; et il n'est pas permis de l'exciter
on capable de nous infecter à tous moments, si Dieu n'en arrêtait les
mauvaises
suites. On ne peut donc nier que les Comédies et
ole de perfection, que l’attention des Censeurs à ne pas approuver de
mauvaises
pieces ; le P. Porée est un homme sage, ferme &am
ssible de sa santé. Quel homme sage voudroit conserver ce qu’il croit
mauvais
& pernicieux, parce qu’avec de grandes diffic
u’à eux de les corriger. Ils savent bien connoître & reprendre un
mauvais
vers, un mauvais geste, un mauvais ton ; les siff
rriger. Ils savent bien connoître & reprendre un mauvais vers, un
mauvais
geste, un mauvais ton ; les sifflets & les hu
bien connoître & reprendre un mauvais vers, un mauvais geste, un
mauvais
ton ; les sifflets & les huées en sont la pun
tre les mœurs ? que ne s’élève-t-on contre l’impiété, l’obscénité, la
mauvaise
morale qu’on y débite ? Ces leçons seroient effic
possible ne sont que des rêves. Auteur, Acteur, spectateur, tout est
mauvais
, tout n’enseigne que le vice, & dans son syst
pour cela ceux qui le boivent ? Mais on ne s’est point apperçu de ces
mauvais
effets, on en revient aussi innocent, on se sait
genre ne sont point à négliger. Mariana, célèbre par de bons & de
mauvais
livres, par la beauté de son style & la témér
ce qui s’efforcent d’en faire l’apologie, se laissent aveugler par la
mauvaise
coutume trop répandue de toutes parts. Le public
ésuites à la faire jouer chez eux, de peccat. prop. 9. La comédie est
mauvaise
, dit-il, ou par l’occasion du péché qu’on y trouv
& moralement certain qu’on ne risque point de consentir à quelque
mauvaise
pensée, on peut ne pécher que véniellement, sans
nt sur le sixieme commandement : Les spectacles profanes, les danses,
mauvais
livres, comédies, romans, conduisent à l’impureté
der longtemps : Toute contrainte qui est de durée, laisse toujours de
mauvais
restes, dont on se sent tout à loisir : Quelque n
visités ; mais comme les choses forcées ne sont pas perpétuelles, la
mauvaise
habitude, qui avait fait chez eux comme une secon
té de l’esprit. Une vigne cultivée le Dimanche ne donnera pas de plus
mauvais
vin, que si elle avait été façonnée un jour ouvri
nne fin, mais elle ne donnera jamais ni lustre, ni bonté à une action
mauvaise
. Comme elle embellit les choses qui sont sous sa
lesses de notre nature, lequel étant pris sans mesure, nous charge de
mauvaises
humeurs, et nous appesantit pour tous nos emplois
’entretien a été goûté, il croit que toutes ses veilles et toutes les
mauvaises
nuits de ses études, lui sont bien payées. Les pr
omenoirs, où toutes sortes de gens se vont divertir, et chasser leurs
mauvaises
pensées : Ce remède est très utile quand il est p
lagement ; le matin est le temps le plus favorable, le soir n’est pas
mauvais
. Prenez votre heure, c’est la sienne : Votre lois
ses ennuis ; elle l’encourage dans les difficultés ; elle efface les
mauvaises
pensées de son esprit ; elle lève les ombrages qu
pris du poison, quoiqu’on en guérisse, il nous en demeure souvent de
mauvais
restes qui ne nous laissent point, quelques remèd
ls soient, ne se mangent quasi jamais sans péril ? Ils n’ont point de
mauvaises
qualités qui leur soient naturelles et n’en sont
n sont point exempts ; car leur nature fongeuseu attire à soi tout le
mauvais
suc du voisinage ; si un serpent ou quelque autre
Ce sera cette précieuse liqueur qui vous fortifiera contre toutes les
mauvaises
impressions qui vous en pourraient rester. Après
é saint Jean Baptiste ? Qui est-ce donc ? Ne voyez-vous pas, qu’un si
mauvais
métier n’a pu avoir d’autre maître que l’ancien d
autant de flèches qu’il s’y jette de regards lascifs, qu’il se dit de
mauvais
mots, qu’il se voit de gestes qui peuvent porter
promettre qu’elle n’aura ni consentement, ni complaisance pour aucune
mauvaise
pensée ? ou qu’elle ne rapportera rien au logis q
au logis qui lui puisse donner occasion de tomber au péché ? Tant de
mauvaises
idées viennent à la foule, elles se représentent
ndo veniunt, et cum adsunt, animo fornicantur. » Salvian. l. 6. le
mauvais
exemple en couvre si bien la laideur, qu’il n’est
nis de la sorte, que d’attendre leur châtiment en l’autre monde : Une
mauvaise
année est bien plutôt passée qu’une malheureuse é
l. On sait assez que dans la corruption du siècle où nous vivons, les
mauvaises
causes ne manquent point de protecteurs ; mais la
: Le corps a besoin d’être formé et déchargé de temps en temps de ses
mauvaises
humeurs ; la Danse fait l’un et l’autre avec plai
Dieu l’a commandé. Quand il est question de faire une chose, dont les
mauvaises
suites sont évidentes, il ne faut que la raison p
y met un Danseur ou une Danseuse, ils en sortiront sans y faire aucun
mauvais
pas ? Il est bien difficile que ceux à qui la têt
d’idolâtrie, ils ne sont pas dans la pensée que les Danses ne soient
mauvaises
qu’à cause qu’elles nous mettent dans l’occasion
ter ? Quelle différence y a-t-il entre faire une chose qui est de soi
mauvaise
, ou en faire une indifférente qui en tient une ma
ui est de soi mauvaise, ou en faire une indifférente qui en tient une
mauvaise
si fortement attachée que qui fait l’une fait l’a
r l’honneur de sa fille ; je l’avoue, mais elle ne la gardera pas des
mauvais
désirs qui se formeront dans son esprit ; ses yeu
ncore une excuse plus ridicule, quand on dit qu’on ne va pas au bal à
mauvaise
intention. C’est flatter le vice de parler ainsi
atter le vice de parler ainsi : Il n’est point nécessaire d’avoir une
mauvaise
intention pour commettre un péché ; c’est assez q
nous manquions en nos jours de véritables objets de la bonne et de la
mauvaise
fortune : Pourquoi donc en aller chercher sur les
it des mots que si l’Enfer pouvait parler, il n’en dirait pas de plus
mauvais
. Ce n’est point que je veuille retrancher aux Chr
ont pourris depuis deux ou trois cents ans, pour mettre au jour leurs
mauvaises
actions.« Numquam ævi senio delicta moriuntur ; e
amorem fingit, infligit. » Minut. fælix in Octavio. C’est comme un
mauvais
frimas qui perd en fleur les espérances de plusie
rt : N’était-ce pas quasi dire, que bien que la Comédie n’eût rien de
mauvais
, ni en forme, ni en matière, ce n’est point un li
nt pesé tous les dommages, que les curieux pouvaient recevoir d’un si
mauvais
livre : Ses jolies pensées et ses charmantes Etho
ieronym. in c. 18. Isaia. lenimentai qu’on apporte pour adoucir les
mauvais
effets, qu’ont produits les Romans dans l’esprit
rit de ceux qui en ont fait estime, on doit juger que ce sont de très
mauvais
arbres, puisque les fruits ont donné la mort à pl
é que les belles actions ne nous touchent pas sensiblement, comme les
mauvaises
, parce qu’elles sont au-dessus des sens, et ne pe
n’en changeait point, ni d’humeur, ni de visage ; s’il avait fait un
mauvais
coup, il était le premier à rire, s’il avait bien
t ; au contraire il se tenait dans le silence. Quelque bon ou quelque
mauvais
Jeu qu’il eut il ne s’emportait point : Il demeur
ages têtes du monde ont jugé, que bien que les parties ne fussent pas
mauvaises
, le tout n’en valait rien. Tout le désordre du je
un négoce mercenaire.Loco citato. Justinien appréhendait si fort les
mauvaises
suites du gain, qu’il l'éloigna des jeux mêmes qu
pas savoir qu’il n’y a point de petite faute, où il y a danger d’une
mauvaise
habitude ? L’ardeur qu’on prend pour le Jeu est u
né, et bien que quelquefois ils puissent être convaincus de faux ; la
mauvaise
habitude ne laissera pas de leur faire prendre Di
t voulu appeler Dieu au combat, et l’obliger à lui faire raison de sa
mauvaise
fortune ; elle retomba devant ses yeux toute tein
nition d’un joueur Italien, lequel se voyant dépouillé de tout par sa
mauvaise
chance, entra dans la première Eglise pour insult
deux yeux de notre Cavalier, la troisième fut jetée à côté sans aucun
mauvais
effet. Personne ne douta que ce ne fut la punitio
tre la miséricorde de Dieu en son endroit, et à détourner ses amis du
mauvais
pas, d’où il est échappé. Des Masques et des
postéar des gladiateurs déguisés en femmes pour faire le coup ; et le
mauvais
dessein eût réussi, comme on l’avait projeté, n’e
, ni celui d’une femme sur le corps d’un homme sans y allumer quelque
mauvais
feu ;« Quod mulier induatur veste virili, aut e c
ncore d’une barrière ; on se persuade aisément qu’une chose n’est pas
mauvaise
, quand elle passe sans correction. La France sera
les masques ? En est-il une seule qui ne soit foulée aux pieds par la
mauvaise
coutume ? Tous les jours il s’en voit des acciden
n de toucher à la question de droit, ni de décider si la Chasse était
mauvaise
ou non. Le respect qu’ils avaient pour les Apôtre
ranc. Rex. Godefridus Rex Daniæ. Attilus II. Suecorum Rex. Plusieurs
mauvais
sujets ont pris occasion de la Chasse pour faire
-Christ au sacré Calice, personne néanmoins n’a jugé que la Messe fut
mauvaise
à cause qu’un détestable s’est voulu servir de ce
s méchans : Il se fait un divertissement de tout, des choses les plus
mauvaises
comme des meilleures, de la morale de l’Evangile,
pplaudir ? On ne voudroit pas d’une piéce écrite en vieux gaulois, en
mauvais
jargon, dans une langue barbare. Quel langage est
ton de la bourgeoisie qui se font sentir. Le Diable amoureux est un
mauvais
roman, où sous le vieux cadre de sorcier & de
oquence auroit été plus utile à ses adversaires, qu’à ses cliens, les
mauvais
logiciens comme lui sont la terreur du bon sens,
tes pas ce qu’ils font. Il est ridicule d’avancer que ceux qui ont de
mauvaises
mœurs, condamnent la comédie ; & ceux qui ont
faites ce qu’ils vous disent, mais ne faites pas ce qu’ils font. Les
mauvais
condamnent la comédie, & vivent mal ; vivez d
; destime, de persécution & de considération, de faveurs & de
mauvais
traitements ? Viendra un jour qui tirera ce grand
ut le fard, c’est-à dire de tous les traits les plus empoisonnés. Les
mauvais
discours, les peintures indécentes, les romans li
absurdités font rire & pleurer, choisissez ;) nous recevons ces
mauvaises
piéces, & rejettons les bonnes, dégoûtons les
In utrâque pessimus ; il nuisit autant qu’il excella, d’autant plus
mauvais
, qu’il éroit meilleur : Tanto pejor quantò melior
converti le pécheur. Quoiqu’il en soit, ce sont certainement de fort
mauvaises
leçons à donner à des enfans. Il n’y a qu’un comé
’Atrée ; mais que la négligence du stile, la monotonie des plans, son
mauvais
choix des sujets, dégoutent & inspirent de l’
e ; musique gaie ou triste ; alimens doux ou amers ; odeurs bonnes ou
mauvaises
; spectacles cruels ou humains ; lectures frivole
int jusqu’à en faire un plaisir, qui jamais ne pourra plaire qu’à des
mauvais
cœurs. C’est au contraire à la douceur, à la char
un bon usage de la concupiscence, elle est néanmoins en soi toujours
mauvaise
et déréglée ; et il n'est pas permis de l'exciter
on capable de nous infecter à tous moments, si Dieu n'en arrêtait les
mauvais
effets. Ainsi, de quelque honnêteté apparente don
rs, qu’a la place des pieces des boulevards, a plupart obscenes &
mauvaises
; on y jouât des drames decens & instructifs
a régularité sont chez eux des titres d’exclusion. Si dans les pieces
mauvaises
il se glisse quelque sentence, quelque trait de v
urs ordinaires : ceux-ci élaguent l’arbre, en coupent ce qu’il y a de
mauvais
; les autres en arrachent tout ce qu’il y a de bo
cé à jour, avec une lorgnette pour voir à travers les choses les plus
mauvaises
. Portrait ingénieux & vrai du caractere des s
uelle est la comédie dont l’intrigue & le dénouement ne soit d’un
mauvais
exemple ? Filles séduites ou séductrices, femmes
premiers ouvrages, est une Ode impie & grossierement obscene, si
mauvaise
, que l’autorité publique en prit connoissance, qu
s années n’est qu’un tissu de querelles littéraires, de bons & de
mauvais
succès de ses pieces, des éloges ou des critiques
eu de cas de son ouvrage, qui n’étoit qu’une traduction en prose fort
mauvaise
(car il écrivoit mal) ; qu’il n’y avoit que quelq
illans, quelques descriptions, qu’il avoit essayé de traduire en fort
mauvais
version témoin le poëme du Val-de-Grace, dont per
ue vous louez ce qu’il y a de bon, et que vous blâmez ce qu’il y a de
mauvais
. Cette sorte de critique est fort prudente. Tant
approfondir quand il vous plaît. Veut-on donc savoir ce qu’il y a de
mauvais
dans les Lettres de l’hérésie imaginaire ? Le voi
Et pour vous, Monsieur, je ne sais si vous en profiteriez. C'est une
mauvaise
marque de finesse de sentiment, que d’avoir confo
ntendre la religion comme Desmarets entend l’apocalypse, pour trouver
mauvais
qu’un chrétien et un théologien étant obligé de p
plus aller à l’église ». Quoi, s’il faut quitter les choses qui sont
mauvaises
, et dont nous ne saurions faire un bon usage, fau
faut-il aussi quitter les bonnes, parce que nous en pouvons faire un
mauvais
? Est-ce ainsi que vous raisonnez ? Mais si cette
dans cette élévation de l’ordre prophétique, pour n’en pas sentir le
mauvais
effet : et pour peu qu’il voulût revenir à la con
lût revenir à la condition des autres hommes, il verrait que c’est un
mauvais
lustre pour lui que M. le Maître. Vous voyez donc
qui leur conviennent. Cet entêtement pourrait bien vous jouer quelque
mauvais
tour, et vous ne feriez pas mal de vous en défair
. On voit dans cet exemple la fragilité de la jeunesse, le danger des
mauvaises
compagnies, la fureur des spectacles, la difficul
a grossièreté des paroles, si le vice en action y présente partout de
mauvais
exemples ? « Multa non verborum, sed rerum, turpi
nse de tous côtés, que les théâtres soient ouverts, que les femmes de
mauvaise
vie soient en grand nombre. Ceux qui vous procure
us aux Comédiens ? Vous aimez, vous nourrissez en lui ce qu’il y a de
mauvais
. Celui qui donne aux Comédiens, aux femmes débauc
1. C. 33. de Consens. Evang.). Vous vous plaignez que les temps sont
mauvais
, parce que les théâtres tombent, ces honteux abîm
ces séjours des démons ; mais c’est par la disette occasionnée par le
mauvais
et sacrilège usage qu’on avait fait de ses biens,
t. » (Serm. 159. de verb. Ap.) Tout ce qui flatte les sens, n’est pas
mauvais
; les viandes permises, et celles qui sont offert
ières et sa conscience, et préférer ce qu’on sait et qu’on croit être
mauvais
, « video meliora proboque, deteriora sequor », il
volupté à la vertu, l’intérêt à la vérité ; et c’est de cette science
mauvaise
, et véritablement fausse, que l’Ecriture a dit qu
VIII. On se trompe fort en croyant que la Comédie ne fait aucune
mauvaise
impression sur soi parce que nous ne sentons poin
sur soi parce que nous ne sentons point qu'elle excite en nous aucun
mauvais
désir. Il y a bien des degrés avant que d'en veni
onsidéré, ces amours (que l’on appelle honnêtes) ne sont pas moins de
mauvais
exemples que les autres ; ils sont toujours trait
du libertinage et de l’impiété, et depuis sa correction, l’Ecole des
mauvaises
mœurs et de la corruption ; d’où l’on peut conclu
’on leur en aura présenté) il n’en est pas moins incontestable que le
mauvais
exemple des deux enfants de l’Avare est un poison
l’essai d’une leçon si pernicieuse. Si nos modernes ont introduit le
mauvais
exemple, et souvent même le scandale jusque dans
est honnête, utile, nécessaire même, et; que ce ne peut être que les
mauvaises
mœurs du Comédien qui la deshonorent. Ce deshonne
à dire. Avant d’entrer dans le détail de toutes les raisons bonnes ou
mauvaises
que vous employez à noircir les Comédiens, remont
s Spectacles. « Demander, dites-vous, si les Spectacles sont bons ou
mauvais
en eux-mêmes, c’est faire une question trop vague
r, trouvez-vous qu’on ne peut répondre si les Spectacles sont bons ou
mauvais
en eux-mêmes ? Est-ce par la crainte d’avouer qu’
’avoir fixé leurs effets. Je dis donc que les Spectacles sont bons ou
mauvais
en eux-mêmes, suivant ce qu’ils sont par leur pro
ar leur propre nature. Un combat de Gladiateurs qui s’égorgent est un
mauvais
Spectacle en lui-même, parce que l’Homicide est u
ne question trop vague que de demander si les Spectacles sont bons ou
mauvais
en eux-mêmes. Parmi ceux qui font aujourd’hui l’o
ourd’hui particulierement que nous sommes en guerre, un Auteur auroit
mauvais
jeu à faire le panégyrique de la France ; mais sa
re Livre ; tout y est amertume. A quel propos, par exemple, faire une
mauvaise
plaisanterie sur les Acteurs de l’Opéra, parce qu
’autres couleurs que sous celles qui le rendent odieux ; bien que ses
mauvais
tours excitent le rire, par leur singularité. Vou
n’attend rien de pareil dans le cours naturel des choses humaines ».
Mauvaise
raison ! Ne serai-je point excité à l’amour de la
n sainte en me nourrissant des vérités sacrées, je n’en ferai pas une
mauvaise
, en cherchant une bonne morale dans la Fable. J’i
plaît, paroissent-ils sans être des objets d’exécration ? Toutes les
mauvaises
raisons que les criminels apportent, toute la pom
avec tout le zele que votre enthousiasme vous inspire. « Tout en est
mauvais
et; pernicieux, tout tire à conséquence pour les
vicieux que de sentir un certain plaisir quand il voit commettre une
mauvaise
action. Reste à savoir de quelle nature est le pl
it. Le premier peut être nuisible aux mœurs, s’il est possible qu’une
mauvaise
action le fasse naître. Or le cœur de l’homme est
que ce soit, a été la dupe d’un vaurien, ou tourné en ridicule par un
mauvais
plaisant. Vous me direz à cela que la Comédie à m
lâchera contre un parfaitement honnête homme, sans pour cela être un
mauvais
esprit. Je ne ris point de la fourberie en elle-m
« Le Théatre de Moliere, à votre avis, est une école de vices et; de
mauvaises
mœurs…. Les sots y sont les victimes des méchans…
vos Lecteurs que les Comédies de Moliere sont une véritable école de
mauvaises
mœurs, et; en avez-vous regardé comme une preuve
e l’esprit. Je suis donc peu surpris que vous donniez adroitement une
mauvaise
tournure aux meilleurs ouvrages de ce fameux Aute
ai que le peuple ait faim ; qui, le gousset bien garni, trouvent fort
mauvais
qu’on déclame en faveur des pauvres, et;c. » Où,
abale. Dans cette supposition est-ce suggerer à un homme de faire une
mauvaise
action, que de lui représenter combien il est de
trope décidé peut fort bien tenir cette conduite, elle prouve même la
mauvaise
opinion qu’il a des hommes ; Philinte a donc pu d
e plus grand de tous les vices. » Commencez par vous rétracter sur la
mauvaise
opinion que vous avez de nos Spectateurs ; et; pa
je voulois commenter cette partie de votre ouvrage. Une plaisanterie,
mauvaise
si vous voulez, échauffe tout à coup votre bile,
ostrophe est d’un quelqu’un qui n’y va pas, ou qui n’en entend que de
mauvais
. Quoiqu’il en soit, laissez au Comédiens le soin
une fois, Monsieur, ne vous imaginez pas que je veuille autoriser les
mauvaises
mœurs, quand je semble excuser les écarts du sexe
n que ceux qui en composent d’ordinaire le cercle ne sont pas d’assez
mauvaises
mœurs pour croire que leur oisiveté produiroit de
des Comédiens ». Je ne suis pas assez déraisonnable pour nier que le
mauvais
exemple n’ait une force bien puissante ; mais s’i
qu’ils soient honnêtes gens, parceque c’est un état de licence et; de
mauvaises
mœurs. Cette licence et; ces mauvaises mœurs sont
’est un état de licence et; de mauvaises mœurs. Cette licence et; ces
mauvaises
mœurs sont-ils absolument et; indispensablement a
dans les plus illustres. Et quant à la profession des Comédiens, les
mauvais
et; les médiocres sont méprisés à Londres, autant
y peuvent-ils annoblir ? Et quant à la profession des Comédiens, les
mauvais
et; les médiocres sont méprisés à Londres autant
s autant ou plus que partout ailleurs. S’il n’y a à Londres que les
mauvais
et; les médiocres Comédiens qui soient méprisés,
mment entretiendroit-on l’émulation si on les jugeoit irrévocablement
mauvais
, lorsqu’ils commencent, et; qu’en conséquence on
quiconque fait une Comédie partage notre honte. Vous en avez fait une
mauvaise
, les petits talens avilissent dans toute sorte d’
nes ne faisoit le procès aux autres. Elles auroient au bout du compte
mauvaise
grace à prendre de l’humeur contre ce petit trait
l est vrai que vous ne décidez pas sur le champ si elle sera bonne ou
mauvaise
. Vous vous mettez en devoir de l’examiner. Nous v
es Genevois que je respecte, que j’estime et; que j’aime, prissent en
mauvaise
part ce que j’ai à dire sur ce sujet. Je déclare
ité qu’il y a d’avoir une troupe d’honnêtes gens, sur le danger de la
mauvaise
morale des Piéces, sur le goût de parure qui se c
té-là criminels quand ils ne le seraient pas d'ailleurs. 6. « Dans le
mauvais
usage de l'argent, qu'on y dépense. Dieu fera voi
. D. Que doit-on répondre à ceux qui disent qu'ils y vont sans aucune
mauvaise
intention, et qu'ils savent séparer ce qu'il y a
s aucune mauvaise intention, et qu'ils savent séparer ce qu'il y a de
mauvais
, et de vicieux d'avec ce qu'il y a d'honnête, et
s-équivoque ; tout impose sur le théatre. L’Acteur par son jeu bon ou
mauvais
contribue autant que l’Auteur au succès ou à la c
e travers, refuse de bons ouvrages, & au contraire en soutient de
mauvais
. Est-ce à cette classe d’hommes arrogans, présomp
mpire ? Quoi de plus propre à décourager les bons, à faire valoir les
mauvais
, & à les obliger de se dégrader jusqu’à consu
tout à leurs mœurs. Une piéce ne peut plaire à une troupe de gens de
mauvaise
vie, qu’autant qu’elle est licentieuse & plei
bien vraiment dans une troupe d’infames libertins, & de femmes de
mauvaise
vie, qu’un homme vertueux seroit favorablement ac
t n’y apporte point du mérite, encore moins y en acquiérera-t-il ? La
mauvaise
compagnie lui feroit plutôt perdre celui qu’il y
ndez que par un oui ou par un non, tout ce qui est au-delà vient d’un
mauvais
principe, comment ces vertus pourront-elles ne dé
ent l’esprit des enfans, en les berçant de contes frivoles. Quel plus
mauvais
lait à faire succer que le mensonge ? que sont do
ait fait l’éloge du mensonge, du moins est-il sincère dans l’aveu du
mauvais
effet que produit cette piece, & convient for
axime touchant la récompense des bonnes actions & la punition des
mauvaises
. Si cette maxime est une règle du théatre, j’ai f
a même raison qui devoit assurer son succès, parce qu’elle a moins de
mauvaises
mœurs : Si je croyois que la poësie a pour but de
moins à estimer que dans la premiere comédie, puisqu’avec toutes ses
mauvaises
habitudes il a perdu toutes ses-graces, & qui
e, mais en amusant on nuit à la religion & aux mœurs par les plus
mauvais
exemples & la plus pernicieuse morale, par l’
VII. On se trompe fort en croyant que la Comédie ne fait aucune
mauvaise
impression sur soi, parce qu'on ne sent point qu'
se impression sur soi, parce qu'on ne sent point qu'elle excite aucun
mauvais
désir formé. Il y a bien des degrés avant que d'e
’ils font tout ce qu’ils veulent faire. Pourquoi donc trouvez-vous si
mauvais
ce que tous les autres ne trouvent point désagréa
eur pensée, c’est la vôtre, mais quand ils auraient voulu dire une si
mauvaise
raison et d’une manière si injurieuse à saint Jér
Psalmodie est une chose si bonne d’elle-même qu’elle ne peut devenir
mauvaise
que par le même abus qui rend quelquefois les Sac
nir mauvaise que par le même abus qui rend quelquefois les Sacrements
mauvais
? et qui ne sait au contraire que la Comédie est
ais ? et qui ne sait au contraire que la Comédie est naturellement si
mauvaise
qu’il n’y a point de détour d’intention qui puiss
t rien dit qui pût offenser la Poésie. Ils savent qu’elle n’est point
mauvaise
de sa nature, et qu’elle est sanctifiée par les p
die, l’Histoire avec la Fable, et un très célèbre Avocat avec un très
mauvais
Poète ? Pouvez-vous dire que Monsieur Le Maistre
cteur n’a dans l’esprit que des règles de Grammaire qui ne sont point
mauvaises
par elles-mêmes, et qu’un bon dessein peut rendre
nt visibles à tout le monde ? Ce ne peut être que par une raison fort
mauvaise
pour vous, n’obligez personne à la découvrir, et
nt que c’est une erreur, mais pour moi je dis seulement que c’est une
mauvaise
raillerie, et peut-être que vous serez plus touch
au théâtre qu’ailleurs après l’établissement du christianisme, et les
mauvais
Chrétiens, qui ont toujours composé les troupes,
lairs de vérité, ces apparitions de vertu suffisent, il n’est plus de
mauvais
livre, de mauvaise compagnie ; on peut tout voir
es apparitions de vertu suffisent, il n’est plus de mauvais livre, de
mauvaise
compagnie ; on peut tout voir et tout entendre. 3
-elles bien reçues ? les impiétés y sont-elles moins indécentes ? Ces
mauvais
raisonnements, ces imprécations, ces blasphèmes,
au rôle, que des extraits de ce qu’il y a de plus séduisant dans les
mauvais
livres ? Qu’est-ce alors que le théâtre ? une éco
s les avoir lus, à tous les livres de controverse, pour accréditer la
mauvaise
doctrine, en décréditant ceux qui la combattent,
teau court, selon l’usage des Presbytériens, s’avisa d’écrire un fort
mauvais
livre contre d’assez bonnes comédies qu’on représ
ns ils doivent éviter deux choses que j’ai toujours remarqué avoir un
mauvais
succès. 1.° Il ne faut jamais faire des invective
ne infinité d’injures atroces contre le christianisme. Cela fit un si
mauvais
effet, que le Cardinal Richelieu ne le put jamais
ler des galanteries et d’y faire paraître des passions qui donnent de
mauvaises
idées aux spectateurs, et les portent à des pensé
ci ! intrigues, artifices pour le commettre, audace pour le soutenir,
mauvaise
morale pour l'excuser, discours licencieux, témér
te quelque sage maxime ; mais tout cela est noyé dans une infinité de
mauvaises
choses qui à peine le laissent apercevoir, et bie
Qui les écouterait, s'ils venaient à visage découvert annoncer leurs
mauvais
desseins ? Ils se cachent sous le masque de l'hom
l a fallu tout l'excellent naturel de Louis XIV pour tenir contre le
mauvais
air qu'il y respirait. Boursaut, dans sa lettre à
er, a appris au genre humain qu'il n'est rien de si pernicieux que le
mauvais
exemple ; dans toute bonne éducation on écarte, a
ation on écarte, autant qu'il est possible, la vue et l'idée du vice,
mauvais
livres, mauvais discours, mauvais tableaux, mauva
autant qu'il est possible, la vue et l'idée du vice, mauvais livres,
mauvais
discours, mauvais tableaux, mauvaise compagnie ;
possible, la vue et l'idée du vice, mauvais livres, mauvais discours,
mauvais
tableaux, mauvaise compagnie ; on présente de bon
t l'idée du vice, mauvais livres, mauvais discours, mauvais tableaux,
mauvaise
compagnie ; on présente de bons modèles, de bons
r les forfaits, exercer les gens dans les lieux infâmes, les lier aux
mauvaises
compagnies, pour les rendre vertueux. Le théâtre
acine envenimée qui étend ses branches par tous les sens, n’est point
mauvaise
; qu’il n’y a rien de contraire au Christianisme
à au moins dans quel embarras on se met, quand on veut plaider une si
mauvaise
cause.
Chapitre V. De ceux qui vont danser avec
mauvais
dessein. Il est évident que ceux qui vont au B
uter que danser ne soit un crime en ceux qui le font, cachant quelque
mauvais
dessein dans leur cœur. C’est la doctrine de sain
scélérat infâme accuse son père, grave Magistrat, d’être un pilier de
mauvais
lieux. Dans la Femme de la Campagne p. 25. Horner
n est un homme perdu de vices, un prodigue, un débauché, un impie, un
mauvais
cœur, un fils dénaturé. Ce Valentin est pourtant
nser la vertu et de punir le vice ». Mais M. Dryden se tire mal de ce
mauvais
pas. Il répond qu’il « ne connaît point de règle
Théâtre. Mais, ce qu’Horace dit du Chœur ne regarde que la Tragédie ?
Mauvaise
défaite ! L’usage du Chœur est-il incompatible av
on pour ce qu’il a fait. Ainsi Ben Jonson a-t-il soin de prévenir les
mauvais
effets de sa Pièce : il fait faire au Maître et a
cette manière de se défendre ne vaut guère mieux que de soutenir une
mauvaise
coutume par une autre également mauvaise. Afin do
re mieux que de soutenir une mauvaise coutume par une autre également
mauvaise
. Afin donc d’échapper à l’objection qu’on lui fai
rossière du genre railleur, il en retranche même sans exception toute
mauvaise
équivoque : il veut « de l’honnêteté dans la pens
ements dramatiques le plus graves objets de la Religion : comme si le
mauvais
penchant des Spectateurs devait être flatté par-d
concluerait-on ? si la fin d’une chose susceptible de correction est
mauvaise
, ne doit-on pas la redresser ? Mal faire est la f
iproques, Sancho crie de toute sa force : « Ne m’agacez pas, j’ai une
mauvaise
pente…. » « Oui, ma foi repart Carlos ; vous ave
ertu ! vertu ! qu’es-tu devenue ? les hommes t’abandonnent pour cette
mauvaise
marchandise qu’on appelle femme !…. Le Ciel prit
e chose ; que dans ces chef-d’œuvres il y a plus de médiocre, plus de
mauvais
que de bon. L’enthousiasme théatral voit-il quelq
’est une chimere dans tout le reste. Il n’y a point de livre, quelque
mauvais
qu’on le suppose, dont on ne puisse faire de pare
l’être. S’il y a dans les pieces quelque chose de licencieux, quelque
mauvaise
morale, les occupations de la journée en auroient
vent représenté que la vertu. Pour une bonne piece, il y en a cent de
mauvaises
; pour une senne utile, il y en a trente de dange
e les écouteront pas, qui s’en moqueront, & ne s’arrêteront qu’au
mauvais
, dont ils se repaîtront avec délices. 2°. A nombr
lices. 2°. A nombre égal, le vice l’emporte toujours sur la vertu, un
mauvais
exemple fait plus de mal que vingt bons exemples
exemple fait plus de mal que vingt bons exemples ne sont de bien, un
mauvais
livre perd plus d’ames que plusieurs bons livres
modernes, où toutes les regles sont observées, & ses consolent du
mauvais
succès de leurs pieces, comme un médecin de la mo
sa timidité. J’avoue que je suis timide, car je n’ose pas faire une
mauvaise
action. Et une modestie fausse & mauvaise, l
je n’ose pas faire une mauvaise action. Et une modestie fausse &
mauvaise
, le respect humain, qui rougit du bien, qui a hon
apprenons au Collége ce cathéchisme païen, nous remplissons quelques
mauvais
vers de ces traits d’écolier dont nos régens font
enfuit. Il se donna à une troupe de comédiens à Londres. Il fut assez
mauvais
acteur, & s’avisa de faire quelques farces. I
gantesque quand il veut s’élever, plein de rebus, de jeux de mots, de
mauvaises
pointes, de bouffonneries de Tabarin jusques dans
, aulieu de saisir la piece, s’amuse à des papillons. Il étoit encore
mauvais
acteur, & ne savoit jouer que les rôles des S
es ne couvrent point les crimes, et on ne perd jamais le souvenir des
mauvaises
actions ; elles ont cessé d'être des crimes, et e
s les Comédies l'incontinence des Filles, et les amours des femmes de
mauvaise
vie. Plus les Auteurs de ces infâmes représentati
Dans le CHAP. 21. N'estimerait-on pas un homme impudique et de
mauvaise
vie, qui tiendrait des Comédiens en sa maison ? O
et qui vous peut rendre meilleur : Prenez garde de ne point faire un
mauvais
usage de ce sens qui vous a été donné, pour écout
. Sur ce que vous dites qu’une chose qui peut produire quelquefois de
mauvais
effets dans des esprits vicieux, quoique non vici
à s’unir de cœur à leur affliction ; il s’ensuit qu’on prend tout le
mauvais
de la Tragédie, et que le bon échappe faute d’obj
matique n’est pas une Poésie indifférente de soi-même, et qu’elle est
mauvaise
, même indépendamment du mauvais usage qu’on en pe
fférente de soi-même, et qu’elle est mauvaise, même indépendamment du
mauvais
usage qu’on en peut faire. Les téméraires ne conn
e si la Comédie rectifiée et prise en elle-même, ne laisse pas d’être
mauvaise
, il faut bannir des Eglises les peintures les plu
îtresse ? Elle fait le charme de sa vie ; donc elle est sans défauts…
mauvaise
conclusion. Je crois que, depuis quelques années,
des turpitudes indignes de Taconeth. C’est la prodigieuse quantité de
mauvaises
pièces écrites en mauvais français qui a le plus
aconeth. C’est la prodigieuse quantité de mauvaises pièces écrites en
mauvais
français qui a le plus contribué à ensevelir le b
e plus contribué à la désertion du bon goût et à l’impatronisation du
mauvais
, c’est le haut prix des places aux grands théâtre
nes du théâtre Sans Prétention. Je ne pense pas que personne me sache
mauvais
gré d’une observation aussi judicieuse et aussi i
Lettre il désavoue en termes si formels l’Écrit que je combats, et la
mauvaise
doctrine qu’il contient, que je ne dois plus m’en
e ne peut venir que des hommes, ou peut-être d’une source encore plus
mauvaise
. Je m’attendais, eu égard au scandale des âmes fa
lastiques, qui se sont exprimés en apparence, comme s’ils tenaient la
mauvaise
cause qu’il défend. Que les raisons sur lesquelle
e qu’il défend. Que les raisons sur lesquelles il s’appuie dans un si
mauvais
choix sont défectueuses, et qu’il est facile d’y
e chaque action, pour la justifier comme bonne, ou la condamner comme
mauvaise
. Ainsi, c’est mal raisonner pour un homme qui se
mettent leur frère en danger. C’est un scandale actif de composer un
mauvais
Livre qui contienne des erreurs ou des impuretés,
nd nous avancerons que tous les Spectacles ont une même origine aussi
mauvaise
les unes que les autres : qu’ils ont commencé par
leçon aux Souverains. III. Voici encore une troisiéme autorité aussi
mauvaise
que les deux précédentes. Pour l’établir, il tâch
e séparée de l’idolâtrie et de l’impureté grossière, est encore assez
mauvaise
pour être condamnée, à cause de la vanité, de la
rs Papes la doctrine de ce Saint, croyant donner autant d’appuis à la
mauvaise
doctrine qu’il lui attribue. Mais en quoi il s’ab
laise qu’on y voie succomber la raison ; ce qui suffit pour la rendre
mauvaise
: Et si cela se représente en public comme la Com
l condamne dans les divertissements toutes les paroles et les actions
mauvaises
, et capables de nuire. Secondement, parce que dan
t exprès à tous les Maîtres d’Hôtelleries de souffrir que les gens de
mauvais
commerce, que les femmes prostituées, que les Com
ces, refroidissent la charité, et réveillent en l’âme mille sortes de
mauvaises
affections. » Ensuite pour empêcher les fâcheuses
nés d’une plus grande force. Quelle absurdité, aprés avoir fait un si
mauvais
usage des Saints modernes, de retourner, comme fa
que quand ce serait un amour légitime, la Pièce ne laisse pas d’être
mauvaise
et scandaleuse, parce que les témoignages passion
ieurs excellens Traités pour montrer qu’il y a une infinité de choses
mauvaises
dans les Comedies même qui passent pour les plus
ne nouvelle Apologie : il faut dire, au contraire, qu’elles sont très
mauvaises
; que ceux qui les jouent sont des gens qui ont t
sez criminels, quand ils ne le seraient pas d’ailleurs. Péché dans le
mauvais
usage de l’argent que l’on y dépense : Dieu vous
re publique, comme il est de droit. VII. L’Auteur de la Lettre trouve
mauvais
qu’on ne traite pas la Comédie aussi favorablemen
r tous. Jamais, par exemple, les Souverains ne prétendirent punir les
mauvais
desirs quand il n’en a paru aucun signe ; jamais
prises en elles-mêmes indépendamment de toute circonstance, bonne ou
mauvaise
, doivent être mises au nombre des choses indiffér
DES CHAPITRES du contenu en ce Livre I. Que les Danses ne sont pas
mauvaises
de leur nature. page 1. II. De deux sortes de Dan
fendues dans les lieux Saints. p. 22. V. De ceux qui vont danser avec
mauvais
dessein. page 25. VI. De ceux qui dansent avec qu
it de grâce met d’ordinaire dans ceux qui ne l’éteignent pas par leur
mauvaise
vie, des dispositions toutes saintes, et il les f
i vont à la Comédie, à cause du péril évident d’offenser Dieu, et par
mauvais
désirs, pensées sales, regards lascifs, etc. auxq
er. Auront-ils l’impudence de dire qu’ils ne la regardent pas avec un
mauvais
dessein, lorsque leur voix, leurs gestes étudiés,
pourquoi Jésus-Christ dit, que quiconque regardera une femme avec un
mauvais
désir, il a déja commis l’adultère dans son cœur.
s oiseuses. 2. Ce temps est fort court. Et comme plusieurs en font un
mauvais
emploi, S. Paul exhorte les Chrétiens à le rachet
» ;Ibid. 10. 6. car après la mort tout sera éternel. Gémissez donc du
mauvais
emploi que vous faites du temps, dit saint Chryso
t du Ciel qui sont ceux, non seulement qui disent des impuretés et de
mauvaises
paroles, dit Tertullien,Tert. de spect. c. 27. ma
nt douteux, la question me paraît décidée. » Page 49. « Tout en est
mauvais
et pernicieux (de la Comédie), tout tire à conséq
is de procédés la laideur du vice ; pour empêcher, en un mot, que les
mauvaises
mœurs ne dégénèrent en brigandage. » Page 113.
re. » Page 135. « L’état des Comédiens est un état de licence et de
mauvaises
mœurs ; les hommes y sont livrés au désordre ; le
ndaleux d’hommes et de femmes, qui fait des nôtres autant d’Ecoles de
mauvaises
mœurs. » Page 144. « Quel est l’esprit que le C
qui s’unissent à notre penchant, et le décident pour l’honnête. XVI.
Mauvais
bon mot d’une imagination ardente de jeune homme,
r, et pour aimer à être ensemble. XX. Il lui était réservé de trouver
mauvais
l’établissement des lanternes dans Paris. XXI. Ré
Chapitre II. Le métier de comédien est
mauvais
par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent
e vois en général que l’état de comédien est un état de licence et de
mauvaises
mœurs ; que les hommes y sont livrés au désordre
ndaleux d’hommes et de femmes, qui fait des nôtres autant d’écoles de
mauvaises
mœurs. 6°. Enfin, leurs théâtres n’étaient point
me les avoir pas donnés. Je reviens aux comédiens : quelle source de
mauvaises
mœurs n’ont-ils pas dans le désordre des actrices
s le crime et le libertinage des courtisanes ou d’autres personnes de
mauvaise
vie ? Il n’est pas permis de contribuer à l’amuse
aux Comédiens les Histoires amoureuses, aux Tragédiens les crimes des
mauvais
Princes, aux Histrions ou Bateleurs les gestes im
vienne un bon Comédien. Ce qu'il répète encore en parlant d'Erotes si
mauvais
Comédien, qu'après avoir été sifflé par le peuple
Fableaux, où même ce mot de méchant dans Cicéron ne veut pas dire un
mauvais
Acteur, mais un homme vicieux, selon ce qu'Aristo
, ne signifie proprement, comme on le voit dans Valère Maxime, que ce
mauvais
et déshonnête batelaged qui se pratiquait au Théâ
aissent d’idées criminelles, qu’elles sont accoutumées au langage des
mauvais
lieux, et qu’elles aiment à voir des représentati
asions, c’est dans l’esprit des autres comme si elles avaient part au
mauvais
discours qui se tient, ou comme si elles dissimul
on met la pire sous ses yeux. Tout est alors tellement disposé que le
mauvais
côté de la pensée se montre toujours : semblable
’offensent jamais la pudeur. Je sais que Lambin prétend découvrir une
mauvaise
équivoque dans le Prologue du Pœnulus : mais j’es
contre la religion ou contre les mœurs, on informait aussitôt de son
mauvais
procédé, et on le condamnait à de grosses amendes
qui tient du scrupule : il comprenait qu’on ne saurait rendre un plus
mauvais
service à l’Etat que de corrompre les hommes ; et
absence :Helen. 277 leurs plus tendres expressions ne portent aucune
mauvaise
idée avec elles. Osmin et Almérie ne se séparent
emeure là, est admirable : « C’est qu’on doit passer sous silence les
mauvaises
choses, et qu’elle hait une Muse qui cherche à br
s : tout sera donc impunément dans la confusion ? l’homme laissé à sa
mauvaise
conduite ? la vie enfin que l’on mène à Londres,
de cette douleur ? Est-il quelqu’un qui voulût suivre à la piste une
mauvaise
odeur pour faire la découverte d’un cloaque ? Je
ie les mêmes affronts que les coquins, les délateurs et les femmes de
mauvaise
vie. Les sentiments d’Aristophane sont-ils ambigu
icieux et corriger la scurrilité par l’impudence. Est-il rien de plus
mauvais
sens ? Surtout ce juste, comme il plaît au Poète
e à bon compte au prix de Bacchus, à qui le Poète prodigue toutes les
mauvaises
qualités ; c’est un débauché, un brutal, un lâche
exhortation à la chasteté. Cette Pièce eut le malheur d’avoir de très
mauvais
Juges : on la siffla avant qu’elle eût été à demi
je vois la meilleure et la plus saine partie de mes Juges imputer ce
mauvais
succès à l’idée de prostitution que l’on n’a pu s
religion. Sur ce principe, on ne doit jamais introduire des femmes de
mauvaise
vie, des libertins obscénes, des discours licenti
ce, nous replonge dans la barbarie : ces ouvrages sont licentieux, la
mauvaise
morale en action excite les passions & famili
que la conversation d’un tas d’esclaves ; d’hommes & de femmes de
mauvaise
vie, de jeunes libertins, ou de vieux bourgeois q
lire, à leur faire étudier ? Et on leur défendra les Romans & les
mauvais
livres ? Est-ce là le germe des mœurs & des v
; mais les personnages odieux sont des valets fripons, des femmes de
mauvaise
vie, qui sont punies par le mépris. Voilà vraimen
sent sans y penser sous la plume poétique de l’Auteur, a pris de fort
mauvais
principes sur la Réligion, qu’il réduit à la loi
s leurs plaintes. Un des députés me dit : les pieces modernes sont si
mauvaises
, que sans les ballets la plûpart tomberoient. La
avoit fait plus de quatre-vingt ; il n’en reste que sept, la plûpart
mauvaises
, toute médiocres. Le Mercure de Juin 1770, fait u
met sans façon au dessus d’Eschile, & il n’a pas tort. Il trouve
mauvais
que M. de Pompignan n’en fasse pas l’éloge, ce qu
me dise, quels sont les défauts essentiels, ceux dont on a affecté de
mauvaises
rimes, des vers plats, des traits froids, des scé
utés sont noyées dans une foule de platitudes, de pensées fausses, de
mauvais
termes, de scénes languissantes, de déclamations
délire. Tout bien compté ; il y a dans les plus grands poétes plus de
mauvais
que de bon, & de médiocre que d’excellent ; &
quefois accompagnées de représentations peu honnêtes, qui laissent de
mauvaises
impressions dans les esprits, fait que nous nous
leur exercice, qui peut divertir nos peuples de diverses occupations
mauvaises
, ne puisse leur être imputé à blâme, ni préjudici
des ivrognes, et cette-ci la Déesse des Courtisanes, et des femmes de
mauvaise
vieTertullien, De Spectaculis, cap. 6. et 7. i .
ivinité. Tout cela, à le bien prendre, est abominable. Car ce qui est
mauvais
à faire, est mauvais à contrefaire. Dieu ne veut
le bien prendre, est abominable. Car ce qui est mauvais à faire, est
mauvais
à contrefaire. Dieu ne veut point qu’on le blasph
x donc qui conduisent ou envoient là leurs filles, les remettent à de
mauvais
Maîtres, et les adressent à une école très danger
is c’est qu’après celles-là, bonnes, il en suivait à d’autres fois de
mauvaises
; Ce qui milite aussi au fait présent, s’agissant
s étaient les Maîtres, mais ç’ont été ceux des Chrétiens, qui par une
mauvaise
coutume s’étaient laissé emporter à l’exemple des
i est tout autre, vu qu’il s’agit d’une vanité mondaine, qui est très
mauvaise
en elle, et ayant été reconnue pour telle en tous
sciveté ne s’y fourrât » (nous dit cet Ancien). C’était faire un très
mauvais
jugement de ces passe-temps, puisqu’ils s’en pren
ense de paraître ailleurs que sur leur Théâtre. C’était faire un très
mauvais
jugement, tant d’eux, que de tout leur art. Sous
ur. Ainsi c’est à juste cause que nous nous abstenons de vos voluptés
mauvaises
, et de Vos Pompes, et Spectacles. Très bien infor
ux de le racheter. Eph. 5.16 et Col. 4-5. 3. Nous y avons remarqué un
mauvais
emploi de l’argent qui s’y met ; la Parabole donc
venus ainsi honnêtes, comme celui qui a été banni d’une ville pour sa
mauvaise
vie, par l’autorité publique, n’y saurait être re
r. D’ailleurs, qui ne sait, que vu la corruption de notre nature, les
mauvais
exemples ont beaucoup plus de force que n’en ont
peut réussir de bien de ce que la Fable représentera à la fin que ces
mauvaises
pratiques n’ont pas eu un bon succèscw. Il ne fau
e faut pas faire une plaie sous espérance de la guérir. C’est un très
mauvais
artifice pour retirer quelqu’un d’un péché auquel
l’instruire de la manière qu’il lui faudra tenir, pour satisfaire aux
mauvais
et passionnés désirs qui l’y portent. III. Outre
ustin, De Moribus Ecclesiae Catholicae. dk forme plainte de diverses
mauvaises
coutumes qui s’étaient glissées, lesquelles pourt
ture des choses indifférentes ds, qui d’elles-mêmes n’étant bonnes ni
mauvaises
, Il est libre à chacun d’en user ou non : Et ensu
re les choses libres ; tout au contraire, ils nous ont paru entre les
mauvaises
. Ainsi tout ce que leurs Défenseurs veulent bâtir
es mauvaises. Ainsi tout ce que leurs Défenseurs veulent bâtir sur ce
mauvais
fondement de leur prétendue indifférence, tombe d
nt tels, et en l’ordre des choses libresdu, ils se font paraître très
mauvais
Théologiens, voulant ôter aux Conducteurs de l’Eg
bsolument cette sorte de récréationsep. 3. qu’ils argumentent en très
mauvais
Théologiens, vu que le Chrétien vit par règle, et
s’y maintinssent sans nul danger, toujours, en y allant, ils donnent
mauvais
exemple à ces autres, pour lesquels, par leur ave
Se dit aussi de l'indignation qu'on a des actions et des discours de
mauvais
exemple. » aj. Comprendre : qui intente un proc
mal qu’il ne peut découler de bien d’une fin morale montrant que ces
mauvaises
pratiques n’ont pas eu une bonne issue ». cx. V
e bienveillance, que les théâtres sont des adiaphora, ils se montrent
mauvais
théologiens en refusant aux autorités ecclésiasti
s jusqu’aux boulevards & aux parades de Vadé, c’est une chaîne de
mauvaise
doctrine & de mauvais exemples. Qu’on jette l
; aux parades de Vadé, c’est une chaîne de mauvaise doctrine & de
mauvais
exemples. Qu’on jette les yeux de toutes parts su
résomption ? la plûpart corrompus, qu’enfanteront-ils d’édifiant ? un
mauvais
arbte porte-t-il de bon fruit ? Je n’attaque poin
ontaine, lasciva est nobis pagina vita probra, c’est une chimère, les
mauvais
discours corrompent les mœurs, & sont une pre
beau se couvrir d’or & d’argent, c’est le rendez-vous de toute la
mauvaise
compagnie, & comme l’égoût d’une ville. La pi
eux de la raison, de la religion, de la vertu, il n’est point de plus
mauvaise
compagnie, ni de plus fort préjugé contre le spec
voit ; il en blâmeroit plusieurs, s’ils y venoient ; il ne trouve pas
mauvais
que les Confesseurs, les Casuistes, les Prédicate
ngile & l’intérêt du salut. Voilà la vérité, tout le reste est un
mauvais
garant pour l’éternité. Forcé de souscrire à des
ugmente ! Quid miseriùs misero non miserante se ipsum ! Que c’est un
mauvais
juge de la prétendue expérience de sa force, qu’u
on. Les prisonniers du Fort-l’Évêque se plaignirent que l’air y étoit
mauvais
; & comme on ne veut pas les rendre malades,
voirs. Jamais il n’y a eu dans le monde plus de célibataires & de
mauvais
ménages que depuis le règne du théatre. On fit la
e fin. Le seul projet de celle-ci fait changer de résolution, par une
mauvaise
honte, le mari infidele qui avoit envie de se con
mp; ses pernicieux effets. Elle rend la vertu ridicule, & par une
mauvaise
honte, un malheureux respect humain, elle empêche
lantes, dont il fait trophée ; ce qui révolte & scandalise par de
mauvais
exemples & de mauvais discours dans une perso
ée ; ce qui révolte & scandalise par de mauvais exemples & de
mauvais
discours dans une personne si respectable, faite
Certes l’effort est grand. Je ne rapporte point les discours aussi
mauvais
de Saphie, des domestiques & du mari dans ses
rigue théatrale n’autoriseront jamais à souiller l’imagination par de
mauvaises
pensées, le cœur par le plaisir du péché, ni à en
s, parce qu’il la vit s’entretenir familierement avec un affranchi de
mauvaise
réputation ; Sempronius, parce qu’elle alla à la
on aveugle choisit communément mal, & mérite d’être punie par son
mauvais
choix. Peut-il être bon ? elle n’est touchée que
ne liberté de satisfaire son amour. Quels fruits vont naître d’une si
mauvaise
semence ! nul respect pour l’État, nulle estime d
te mérite d’être déplorée avec tant de larmes. Il ne trouve pas moins
mauvais
qu’on flatte cette autre partie plus emportée de
e légers sujets. La tragédie a donc tort, et donne au genre humain de
mauvais
exemples lorsqu’elle introduit les hommes et même
i fit tomber le Théâtre, avant que Mlle Favart le relevât, c’était le
mauvais
Jeu des Acteurs : & malgré la fureur du Publi
res de la Capitale, l’épicurisme des bons Comédiens, & le Jeu des
mauvais
, effarouchent aujourd’hui les Spectateurs délicat
c’est le petit nombre : des hommes tièdes, qui ne semblent ni bons ni
mauvais
, & que les circonstances poussent tantôt vers
pointe, elle serait sifflée avec raison. On peut dire que ce genre de
mauvaise
Comédie dont nous sommes surchargés, est très inu
ais rien de délicat, qui puisse dédommager l’honnête Spectateur de la
mauvaise
compagnie qu’on lui donne. Ce genre est donc à re
elle ne se pique point ; elle ne s’aigrit de rien ; elle n’a point de
mauvais
soupçons ; elle ne se réjouit point de l’injustic
nus par les menaces, condamnaient souvent à regret la tendance et les
mauvaises
intentions qu’ils prêtaient aux prévenus. C’est p
emie acharnée de l’instruction et des lumières de la philosophie. Les
mauvais
prêtres n’ignorent donc pas que la servitude et l
et tâcher de l’avilir, jusqu’à le rendre insensible au mépris et aux
mauvais
traitements, n’est-elle pas criminelle en politiq
njuste de condamner le peuple à l’ignorance : cette injustice est une
mauvaise
action, qui, dans aucune hypothèse, ne peut faire
i dérive du système adopté par les prêtres sur l’origine du bon et du
mauvais
génie. Je donnerais aussi des notions plus étendu
et commandent l’affection des sujets, tandis que les injustices, les
mauvais
traitements et les vengeances éternisent les hain
res du culte, que de faire connaître l’immoralité et le fanatisme des
mauvais
prêtres. Il est temps que le souverain pontife, d
les Programmes qui restant dans les mains du public peuvent faire un
mauvais
effet s’ils ne sont exacts. Dans des lieux destin
ces lâches condescendances sous le vain prétexte de s’accommoder à de
mauvais
usages et de conserver une fausse paix, qui sont
fait ici ou là, comme parlait autrefois un grand Saint, ni ce qu’une
mauvaise
coutume, ou pour parler le langage d’un Saint Pap
emonter jusques à elles. Dans cette idée générale, il n'est ni bon ni
mauvais
; il est susceptible de toutes sortes de sujets e
e personnes qui assureront qu'ils n'ont jamais reçu aucune impression
mauvaise
par la Comédie; mais je soutiens, ou qu'ils sont
t pu faire. La Tragédie considérée par cet endroit ne paraît pas plus
mauvaise
que les paraboles des Hébreux, les hiéroglyphes d
-il personne de tous ceux qui sont les plus zélés défenseurs d'une si
mauvaise
cause qui voulût que sa femme, ou sa fille, fût h
e les représenter en cette manière. Mais que bien loin qu'il fasse de
mauvais
effets, il en a de tous contraires, puisque le vi
ésagréable, dont les vers sont secs et languissants, quelquefois même
mauvais
,: mais tout du moins négligés, parce que c'est da
Comédiens font céder toutes ces considérations à leur avarice, et les
mauvais
Chrétiens à leur plaisir. Saint Augustin assure q
& a se trouver a des semblables divertissemens sont ordinairement
mauvais
; c’est pour satisfaire leur curiosité, leur vani
d porte au mal. Ce qu’on en rapporte est la perte de l’innocence, une
mauvaise
impression, que les passions, qu’on a naîvement r
t pas de paroître au jugement de Dieu après une action, qui n’est pas
mauvaise
, & que nous jugeons absolument n’être point c
peut prendre comme on prend une medicine pour purger le corps de ses
mauvaises
humeurs, & le rendre plus propre au travail.
du crime de l’adultère, qui jetant les yeux sur une femme conçoit des
mauvais
désirs contre sa pureté. Ces principes étant ains
e dans ces assemblées, s’y arrêtent avec danger d’y concevoir quelque
mauvais
désir, et d’être touchés de quelque affection dan
se où il n’y ait du danger, à cause de la corruption du siècle et des
mauvaises
coutumes qui s’y sont introduites, ne se tenant p
s’entretenir avec elles, de les cajoler, et de leur communiquer leurs
mauvais
sentiments ? Quel jugement porterons-nous encore
avaient été composées par des Poètes Païens qui faisaient gloire des
mauvaises
actions que les Chrétiens ont depuis condamnées.
faisaient aucune difficulté dans leur Religion de jouer des Pièces de
mauvais
exemple, on s’imaginera donc que ceux qui sont au
par les personnes austères qui croient que de tels objets causent de
mauvais
désirs. Les Comédies où les passions sont si bien
nte ? C’est qu’on prenne garde à ne point marquer scandaleusement les
mauvaises
actions, à toucher les passions doucement, et à y
t scrupuleux, ils se croyent plus permis de faire imprimer des choses
mauvaises
que l’autorité publique a proscrites, de blesser
la mise à sa place, parmi les ouvrages médiocres dans le littéraire,
mauvais
dans l’ordre de la religion. Le Journal cherche d
qui constate l’idée peu flateuse qu’en a le public. Sa médiocrité, sa
mauvaise
morale lui feront toujours perdre sa cause. Ce Jo
ens contre les passions des enfans, sur des femmes infidèles & de
mauvais
maris, sur l’indocilité des enfans à subit le jou
t ignorant & injuste, fait entrer dans l’Église un cadet qui sera
mauvais
Prêtre, dans le service un débauché. Il y a cent
, de duels, de pélerinages, &c. Ce livre, dont le stile n’est pas
mauvais
, n’a pas fait fortune, il est oublié & mérite
nous en rappelloit le souvenir. La fable de ce drame est prise de ce
mauvais
livre, a quelques circonstances près, qu’on a cha
son obstiné silence. Au lieu de se préparer à la mort, de réparer sa
mauvaise
vie par le repentir, elle saisit ce moment pour t
ient demi heure après, sans être appelé, uniquement pour apporter une
mauvaise
nouvelle, dont personne ne l’a chargé, la mort du
alheur ? Nul être, quel qu’il soit, n’a ce droit sur un autre. Est-ce
mauvaise
logique, ou doctrine philosophique du temps ? Cet
l’air philosophique, le ton d’oracle dont on l’accompagne, décelle la
mauvaise
doctrine plutôt que la mauvaise dialectique. Ce d
acle dont on l’accompagne, décelle la mauvaise doctrine plutôt que la
mauvaise
dialectique. Ce droit, s’il est fondé, doit-il êt
ne peut excuser. Mais c’est leur rôle, & le dessein de la piece.
Mauvaise
piece, formée sur un tel dessein de rôles si scan
ligieuse, & on ne rapporte aucun trait de violence, ni menace, ni
mauvais
traitement, ni dans la maison, où elle n’a point
ciles, & par conséquent fort rares. Les passions peuvent faire de
mauvais
Religieux, presque jamais la violence. L’Eglise p
e l’imagination : Sed tunc non erat hic locus. Il est bon maçon &
mauvais
architecte, il recrépit bien une muraille, il dis
er. » Après ces magnifiques paroles, et quelques autorités bonnes ou
mauvaises
qu’il allègue en faveur de la doctrine de saint T
prises en elles-mêmes, indépendamment de toute circonstance bonne ou
mauvaise
, doivent être mises au nombre des choses indiffér
aujourd’hui sont dans un état de pure nature, et dépouillées de toute
mauvaise
circonstance ; ce qui n’est point du tout vrai, e
les y emploient par leur malice ; et que ce qui rend bien des choses
mauvaises
, qui de soi seraient indifférentes, c’est la corr
Comédie, il s’ensuit que considérée en elle-même, elle n’est pas plus
mauvaise
que les Anges, les herbes et le fer ; mais que c’
de même que le fer, les herbes et les Anges ; et que n’étant pas plus
mauvaise
que les Anges, les herbes et le fer, elle doit êt
nées à l’usage de l’homme, et que par conséquent il n’y avait rien de
mauvais
dans les Spectacles. Sur quoi Tertullien commence
t aussi savoir par qui elles sont corrompues, par où elles deviennent
mauvaises
, et par où elles cessent d’être les ouvrages de D
institutorem et interpolatorem. » Tertullien poursuit et confond le
mauvais
raisonnement des Païens, parce que tous les maux
la Comédie était une chose indifférente, et qu’elle n’était pas plus
mauvaise
que les Anges, le fer et les herbes ; car ce para
la Comédie était une chose indifférente, et qu’elle n’était pas plus
mauvaise
que le fer, les herbes et les Anges. Il ne fait p
qu’on ferait faire à saint Cyprien que celui-ci. Il n’y a rien eu de
mauvais
dans la danse de David, donc il n’y a rien de mau
’y a rien eu de mauvais dans la danse de David, donc il n’y a rien de
mauvais
dans les Opéras et dans les Comédies qui se jouen
pût être défendu, et que parmi les Pièces de Théâtre il n’y en eût de
mauvaises
que celles où on ferait paraître des femmes toute
les pompes, les Comédies en leur substance, ne sont nullement choses
mauvaises
, ainsi indifférentes, pouvant être bien ou mal ex
ces, refroidissent la charité, et réveillent en l’âme mille sortes de
mauvaises
affections. Qu’il faut en cela imiter les Nazarée
tion, à refroidir la charité, et à réveiller en l’âme mille sortes de
mauvaises
affections ? » Il a regardé les Spectacles avec
Comédiens, les Farceurs, les bateleurs, et autres gens semblables de
mauvaise
vie, et de défendre aux hôteliers et à tous les a
en parle comme de « choses illicites : parce que, dit-il, elles sont
mauvaises
, au moins à cause des circonstances qui les accom
es, il les fait retrancher à dire qu’il faut bien que la Comédie soit
mauvaise
, puisqu’elle est défendue : là-dessus il se réjou
il se réjouit, et se donne la Comédie à lui-même, comme si c’était un
mauvais
argument en Morale de prouver qu’une chose est ma
si c’était un mauvais argument en Morale de prouver qu’une chose est
mauvaise
, parce que Dieu et les Lois la défendent. Il repr
mes dans le même Digeste. Il ne s’ensuit donc pas que la Comédie soit
mauvaise
, quoique les Comédiens soient infâmes.» Voilà not
le moyen d’y aller, et que par conséquent la Comédie ne produit aucun
mauvais
effet dans ceux qui s’y rencontrent. » Beau rais
dignité Ecclésiastique : non pas qu’ils assistassent à des Spectacles
mauvais
, mais parce qu’étant consacrés à Dieu, ils doiven
on usage de la concupiscence, la concupiscence est cependant toujours
mauvaise
par elle-même, elle conserve toujours quelque cho
dorateurs ? « Quiconque, dit Jésus-Christ4, regarde une femme avec un
mauvais
désir pour elle, a déjà commis l’adultère dans so
méprisables, pourront-ils dire qu’ils ont regardé ces femmes sans un
mauvais
désir ? Pourront-ils le dire, lorsque tout dans c
le dire, lorsque tout dans ces assemblées contribue à faire naître de
mauvais
désirs en nous ; des tons de voix languissants et
és par les yeux et les oreilles, comment pourraient-ils triompher des
mauvais
désirs ? Et s’ils n’en triomphent pas, comment po
ation et l’adultère ? « Mais, direz-vous, je regarde sans former de
mauvais
désirs. Pourrez-vous me le persuader, dit encore
ortel, pèche mortellement ; particulièrement dans les choses qui sont
mauvaises
par elles-mêmes, et non pas parce qu’elles sont d
ateurs donnent aux Comédiens les rend coupables, le scandale que leur
mauvais
exemple cause, sert à rendre leur assistance plus
mour avec les hommes, ce que les saints Pères ont fait voir être très
mauvais
et très dangereux ; et que plusieurs endroits des
vait écrit depuis peu contre la Comédie du siècle, en connaissant les
mauvais
effets dans la plupart de ceux qui y vont. Le Pèr
ne voit pas paraître de femmes, où il n’y a rien qui puisse donner de
mauvaises
pensées, ni réveiller ou exciter un amour déréglé
t jamais sans femmes, sans expressions tendres, capables de donner de
mauvaises
pensées, et qui excitent souvent un amour déréglé
ement, elle ne les aimoit point ; je ne sais pourquoi ; elle trouvoit
mauvais
qu’ils donnassent des comédies, & disoient qu
es troupes, tout fait nombre, le théatre n’y gagne guère qu’une assez
mauvaise
Actrice couverte de clinquant. Enfin après avoir
prenoit plaisir de s’entretenir avec les hommes, & sur des choses
mauvaises
plutôt que sur des bonnes, sa conversation étoit
e de Bavière, Dauphine, sauvez le premier coup d’œil. Voltaire trouve
mauvais
qu’on s’arrête à l’extérieur, il le répéte dans l
ue chose de fin & de délicat ; le nombre en est petit, en général
mauvais
style, de la hardiesse, de la hauteur, de la sing
fait un fort petit présent, & on lui a rendu à elle-même un assez
mauvais
service. Ménage l’a louée en Latin, en François
e couronne pour la Religion suppose un fond de vertu bien éloigné des
mauvaises
mœurs. Comment allier le vice à une perfection ém
, puisque c’est réellement s’en faire des ennemis, leur reprocher une
mauvaise
morale ; ce qui faisoit alors grand bruit en Fran
auvaise morale ; ce qui faisoit alors grand bruit en France, & le
mauvais
succès de leur théatre ; c’étoit encore se jouer
& qui en la quittant combat par des actes solennels qu’elle sait
mauvais
la Religion même pour laquelle elle la quitte. Au
puérile & d’une impiété audacieuse ; c’est à tous égards un fort
mauvais
livre où l’Auteur dans des dialogues mal écrits e
t assaisonnée ; sa conversation rouloit par préférence sur des choses
mauvaises
, toujours libertine dans ses paroles contre la Re
land ; c’est Marphise & Bradamante , elle étoit du moins en aussi
mauvais
équipage, sans domestiques, sans argent, sans vai
n a une très grande entre l’auteur et le corrupteur. Au reste tant de
mauvaises
choses, que les païens défendent eux-mêmes rigour
l pas l’ouvrage de Dieu, aussi bien que les herbes venimeuses, et les
mauvais
anges ? Croyez-vous cependant, que le créateur ai
en nous les feux de la concupiscence, ni les oreilles pour écouter de
mauvais
discours, ni la langue pour la médisance, ni la b
stices. Donc s’il est vrai, que Dieu étant infiniment bon, déteste le
mauvais
usage qu’on fait de ses créatures, il s’ensuit év
e ses créatures, il s’ensuit évidemment, qu’il n’a point créé pour de
mauvaises
fins ce qu’il condamne lui-même ; puisque les cho
-même ; puisque les choses dont on se sert pour faire le mal, ne sont
mauvaises
, que par le mauvais usage qu’on en fait. Nous don
oses dont on se sert pour faire le mal, ne sont mauvaises, que par le
mauvais
usage qu’on en fait. Nous donc, qui en connaissan
u changement qu’a fait le démon dans le genre humain ; sachant que ce
mauvais
ange a eu le pouvoir de faire tomber d’abord de l
tirent leur malignité. Ainsi une branche, ou un ruisseau conserve les
mauvaises
qualités du tronc, ou de la source d’où ils vienn
le dans le commencement : c’était pour faire voyage ; rien ne rendait
mauvais
un usage universel. Mais quand on les employa pou
ses jugements éternels. Ce qui est bon en soi, ne saurait jamais être
mauvais
; et ce qui est mauvais en soi, ne saurait jamais
Ce qui est bon en soi, ne saurait jamais être mauvais ; et ce qui est
mauvais
en soi, ne saurait jamais être bon. Tout est fixé
l selon leur caprice. Ce qui leur paraît bon aujourd’hui, leur paraît
mauvais
demain : ce qu’ils regardent ici comme illicite,
se-passe, par eux, ou par des singes qu’ils portaient, ou en quelques
mauvais
récits du plus bas burlesque. Les uns et les autr
ses, que par un commun Proverbe, lorsqu’on voulait parler d’une chose
mauvaise
, folle, vaine ou fausse, on la nommait jonglerie
tir d’habits Ecclésiastiques, et de jouer des choses dissolues, ou de
mauvais
exemple ; à peine de prison, et de punition corpo
ais persifler ne s’applique qu’à la moquerie, il se prend toujours en
mauvaise
part, on ne s’y sert pas de siflers, ce n’est pas
on qui donne une teinte de burlesque à tout ce qu’il traite. C’est un
mauvais
caractère dangereux pour la société, dont il sero
a le malheur de tout sacrifier. Un persiffleur est le plus souvent un
mauvais
plaisant, soit parce que tout n’est pas ridicule,
s ridicule, tout ne donne pas prise, soit parce qu’il est beaucoup de
mauvaises
plaisanteries ; qu’il en est même peu de bonnes,
rie est très difficile ; il y a pourtant des caractères tournés de ce
mauvais
côté, avec une liberté & une aisance qui leur
, avec une liberté & une aisance qui leur est propre : cet esprit
mauvais
déplaît dans la société, & ne merite aucune c
l’honneur de St. Moliere. On lui pardonneroit le galimathias & la
mauvaise
prose ; mais les loix de la vertu ne lui pardonne
de la déférence des jeunes gens : ainsi il a, en effet, couronné les
mauvaises
mœurs. Sont-ce là les couronnes dont l’Abbé Schro
soient point du goût de l’Evangile, il les tolere quand les excès des
mauvais
traitemens les rendent nécessaires ; mais pour pe
e n’a ressemblé ni à la nuit, ni au jour. Ce n’est qu’un ramas mis en
mauvais
vers, des idées des impies, qui osent combattre l
est-on excusable de le servir ou de le prendre ? Le Prince tolére une
mauvaise
réligion ; est-on excusable de l’enseigner ou de
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