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1 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend inf
sens, on reconnaîtra facilement qu’il est impossible de concilier le métier de comédien avec les devoirs du christianisme : c
une école et un exercice du vice, et qu’il est impossible d’allier ce métier avec la pureté de la religion ; que c’est un méti
sible d’allier ce métier avec la pureté de la religion ; que c’est un métier profane et indigne d’un chrétien. « En commençan
s : c’est pourquoi il y a des pays d’innocence et de simplicité où le métier de comédien est presque en horreur. Voilà des fai
plaidoyer pour ce dernier, il plaint un si honnête homme d’exercer un métier si peu honnête. Loin de distinguer entre les comé
es de la nation. Je ne suis pas surpris que, loin de les avilir, leur métier exercé de cette manière leur donnât cette fierté
prendre celle d’autrui. Qu’est-ce que la profession du comédien ? Un métier par lequel il se donne en représentation pour de
us, celui d’homme qu’il abandonne. « Le comédien cultive, pour tout métier , le talent de tromper les hommes, de s’exercer à
subtils de la langue et de la main sur la scène, dans le besoin d’un métier plus dispendieux que lucratif, n’auront-ils jamai
r un moment ce que je n’ai jamais vu ni ouï dire. Appellerons-nous un métier honnête celui qui fait d’une honnête femme un pro
2 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — I.  » pp. 455-456
I. Il est impossible qu'on considère le métier de Comédien, et qu'on le compare avec la professi
t. On ne parle que de ce qui en est entièrement inséparable. C'est un métier qui a pour but le divertissement des autres ; où
que ces folies: on verra facilement qu'il est impossible d'allier ce métier avec la pureté de notre religion: et ainsi il fau
vec la pureté de notre religion: et ainsi il faut avouer que c'est un métier profane et indigne d'un Chrétien ; que ceux qui l
3 (1675) Traité de la comédie « II.  » pp. 275-276
II. Il est impossible de considérer le métier de Comédien, et de le comparer avec la profession
t. On ne parle que de ce qui en est entièrement inséparable. C'est un métier qui a pour but le divertissement des autres ; où
que ces folies; on verra facilement qu'il est impossible d'allier ce métier avec la pureté de notre religion. Et ainsi il fau
4 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IX. Des Exercices, ou Reveuës Militaires. » pp. 197-204
e fut capable de Commander, & qui n’eust assez de connoissance du Métier , pour estre consulté dans les plus grands perils.
ur faisoient essuyer toutes les fatigues & toutes les rudesses du Métier , pour les leur rendre moins sensibles dans l’occa
aucoup moins de succez, & ne contribuent à la Discipline & au Métier , qu’une intelligence bien grossiere & bien im
l faut les faire souvent sans excuser sur le temps ou sur la mode. Le métier est toûjours le mesme, & qui veut y reüssir,
5 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
son âge rende la grâce plus facile que pour un vil Acteur qui en fait métier , il doit en demander la dispense. Les paroles du
e ; ce n’est pas seulement la bassesse du salaire, c’est l’infamie du métier qui exclut des saints ordres, de même, disent-ils
moins sévère. Cette loi au contraire paraît dire qu’il faut en faire métier ou habitude : question superflue ; qui peut compt
citer par toute sorte d’artifices les passions les plus criminelles : métier si opposé au christianisme, que d’autres canons a
. C. 1.) Faut-il être surpris si un Comédien, quoiqu’il ait quitté ce métier infâme, traité comme un énergumène qui serait dél
leur donner l’absolution, à moins qu’ils ne quittent absolument leur métier . La leur donnât-il, elle serait nulle, ils en son
pourraient souffrir qu’on aille à la comédie, n’ont jamais toléré le métier de Comédien. 2.° Le baptême. On ne peut sans dout
s paroisses, et sous divers noms, afin de n’être pas arrêtés sur leur métier , en épousant dans une paroisse où ils n’étaient p
La fraude sur la diversité du domicile fut reconnue, et l’infamie du métier n’est pas un empêchement dirimant qui rende le sa
e le procès. M. Cochin, quoique son défenseur, frappé de l’infamie du métier de Comédien, ne peut s’empêcher de conclure en ce
evalier, célèbres Avocats, avouent et sur l’excommunication et sur le métier des Comédiens. « L’unique fonction, dit l’un, que
sse auxquelles tous les autres sujets sont soumis ? l’infamie de leur métier , le désordre de leur conduite, donneraient-ils un
qui ne porte pas sur la validité, c’est un renoncement sincère à leur métier de Comédien ; sans quoi leur mariage, comme fait
6 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125
hapitre V. Infamie civile des Comédiens. Tout le monde sait que le métier de Comédien est infâme ; mais peu de personnes on
ourue par la seule notoriété de fait. Telle est l’infamie attachée au métier de Comédien, qui ne saurait être plus évidente et
enones. Notre langue est trop chaste pour nous permettre d’appeler ce métier par son nom. Le droit canonique n’est pas moins p
esprit ; le fonds et la forme sont toujours mauvais, et en général le métier et ceux qui le font méritent l’infamie dont la lo
térition. J’ai dit, avec la loi, à moins que le père n’exerce le même métier . Pourrait-il alors avec justice punir dans son fi
cas de l’exhérédation de Comédiens. La loi veut qu’il ait embrassé ce métier contre la volonté de son père, et qu’il y ait per
stances sont rarement réunies. Un homme du commun ne s’y oppose pas ; métier pour métier, il lui est indifférent que son fils
rarement réunies. Un homme du commun ne s’y oppose pas ; métier pour métier , il lui est indifférent que son fils soit Savetie
ères années avaient été aussi mal employées. Il quitta enfin l’infâme métier de Comédien, et entra au barreau. Il y porta cet
s légions et qu’il ne serait enrégimenté qu’à condition de quitter un métier totalement opposé à l’esprit du service. On ne vo
ithèses au langage, et toutes justes, que les charges publiques et le métier de Comédien. Rousseau, dans son ouvrage contre le
t leurs apologistes ne cessent de dire, d’un ton lamentable, que leur métier ne leur donne pas de quoi vivre. D’où tout cela v
ns le sein de Danaé ; car peut-on penser, comme Rousseau, que dans un métier dispendieux et peu lucratif, on fasse usage de l’
s, toujours les verges à quelque esclave. La bassesse et l’infamie du métier dispensait de tout ménagement à leur égard ; ils
7 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
par des ornements et des habits si peu assortis à la bassesse de leur métier , et qu’elles affectent plus que d’autres, soit po
a corruption de quelque particulier, c’est la nécessité inévitable du métier , destructeur par lui-même de toute vertu, et inst
un mauvais Chrétien, si même il peut être appelé Chrétien, puisque ce métier est par lui-même le renversement de l’Evangile. V
le méritent, que ce ne soit jamais qu’après qu’il auront quitté leur métier , ou pour leur faciliter la retraite. Ils n’ont pa
tolérés dans le royaume, peuvent donc, quelque mauvais que soit leur métier , retenir ce qu’on leur donne à la porte ; mais co
retenir ce qu’on leur donne à la porte ; mais comme il n’y a que leur métier de toléré, tout ce que les Actrices savent si bie
dus aux plaisirs du public, ils ne pouvaient pas plus renoncer à leur métier , qu’un esclave se dérober à son maître ; et s’ils
turpibus volutate complexibus », qu’on la fasse revenir à son premier métier , jusqu’à ce que la vieillesse la rende hideuse et
u’elle en fait. Il est juste de prendre ce ton avec des gens qui font métier de se moquer de tout, et ne peuvent que se rendre
, il faut en vérité que la Clairon attache bien de l’importance à son métier et à sa personne, pour se flatter que la Majesté
on la leur accorde par charité pour le reste de leurs jours ; ou sans métier et sans grâces, elles seraient sans ressource, et
maginer que dans un royaume chrétien on leur fasse une nécessité d’un métier infâme ? Voici un témoignage non suspect de l’int
s contre l’assistance aux spectacles et à plus forte raison contre le métier de Comédien, qu’elle a toujours anathématisé et p
C’est comme si un Prince, en tolérant les courtisanes, déclarait leur métier innocent. Il y a donc bien de l’apparence que cet
8 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
uite ils y soient admis, de sorte qu'ils n'exercent plus leur premier métier . Que s'ils contreviennent à ce Décret, qu'ils soi
diens, Nous ordonnons qu'ils soient excommuniés tant qu'ils feront ce métier . CANON II. Du 3. Concile de CARTHAGE, tenu l'
ersonne ne le puisse obliger, ni contraindre de reprendre son premier métier . Les Pères de ce Concile demandent l'exécution d'
avons accordé par une grâce spéciale, de ne point exercer cet honteux métier , jouissent toute leur vie de cette exemption, san
dèles, Nous ordonnons qu'ils soient excommuniés tant qu'ils feront ce métier . CANON LI. Du sixième Concile général, tenu l
9 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. Le Journal des Audiences (Tom. 6.
la plus haute noblesse. Rien de plus ignoble et de plus méprisé qu’un métier uniquement destiné et occupé à enseigner, à inspi
ruit qui en ait pu éclore. Une femme qui se livre au public, qui fait métier de séduire, peut-elle se dire séduite ? qu’a-t-el
les fleurs de lys démentent leur jurisprudence par leur conduite. Le métier de Comédien fut toujours un métier d’esclave, et
urisprudence par leur conduite. Le métier de Comédien fut toujours un métier d’esclave, et jamais la pureté des mœurs ni la no
e de Golconde, il y a des milliers d’Actrices qui font à la fois deux métiers fort semblables, dont l’un est le fruit de l’autr
autres, ont tâché de nous rendre. Sans doute, quelque vil que soit le métier , un homme d’un si rare talent est estimable. On e
lic, prabere suum corpus, copiam facere sui corporis, fut toujours le métier le plus méprisable. C’est devenir esclave, louer
ndécence. Mais pour les Acteurs qui composent les troupes, et font le métier de représenter pour de l’argent, il n’est pas dou
s instants de raison et de vertu, rendaient justice à l’infamie de ce métier . Tibère, quoique très vicieux, voulait la décence
e, il fallait souvent forcer ou engager pour de l’argent à cet infâme métier , qu’il n’y avait que des gens corrompus qui s’y p
le, tu les laisseras aller libres ; mais ils ne pourront exercer leur métier . Tu les contraindras à travailler, et les châtier
10 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion : passage exprès de Saint Thomas, et conciliation de ses sentiments. » pp. 88-92
art 2, ad. 2]., dit-il, le gain qui provient de la prostitution et du métier d’histrion : quaedam dicuntur male acquisita, qui
reur qu’il attire à cet infâme exercice. On voit à quoi il compare ce métier qu’il excuse ailleurs. Comment concilier ces deux
ie : les deux passages de sa somme, dont les défenseurs de cet infâme métier se font un rempart sont renversés sur leur tête,
11 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
nt pas école de vice. C’est une habitude personnelle, mais non pas un métier . Il n’affiche pas une enseigne, il ne se joint pa
ations les exclut de toute réception publique des sacrements, et leur métier seul de toute réception même secrète. Je vais plu
s poursuivi et excommunié personnellement un Comédien à raison de son métier . Il en est de comminatoires ferendæ sententiæ, qu
tout on peut communiquer avec eux, quoique par tout l’infamie de leur métier et le danger de leur commerce les fassent éviter
re excommunié sans être infâme. Les lois qui impriment cette tache au métier , flétrissent les Païens, comme les Chrétiens, et
ent de toute censure. L’irrégularité aux ordres sacrés, attachée à ce métier , ne prouve pas non plus la censure : il n’y a que
médiens soient séparés de la communion, tandis qu’ils exerceront leur métier . » Ce concile de toute l’Eglise d’Occident, et no
défense de leur administrer les sacrements, s’ils ne renoncent à leur métier  ; ce qui a toujours été observé dans l’Eglise, to
de même de la nature des biens. Un Comédien a du patrimoine, il a un métier , il fait un commerce, il gagne légitimement du bi
les Comédiens et les Courtisanes doivent la dîme des profits de leur métier . Il répond que sans doute elle est due de droit c
, dont il fait l’application aux pauvres. Ce n’est pas autoriser leur métier et leurs profits, c’est au contraire le punir, en
12 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
ur argent qu’à la taverne. L’heure des spectacles y favorise tous les métiers . Ils ne s’ouvrent qu’à la fin de la journée, quan
ommunion des Fidèles. Ils savent même s’occuper, d’ailleurs, dans les métiers et le commerce. L’Arlequin de Florence a une bout
13 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
xamine si elle est dûe de ce qu’on a acquis par le crime, par-tout le métier des Histrions est donné pour exemple, & compa
lle soit nécessaire au soulagement, au délassement de l’homme, que le métier n’en est pas mauvais par lui-même, qu’on peut fai
la même ligne, ou plutôt n’en font qu’une sous deux points de vue. Le métier de Comédien est une sorte de prostitution, &
noit sa vie à jouer dans les villages, in vico, & quitta même son métier quand le Saint l’eut instruit. 2.° S. Thomas, 4. 
int Archevêque de Florence parle en plusieurs endroits de sa Somme du métier d’Histrion. Il en donne l’idée par ces paroles, 3
er en conscience, ni rien donner aux Histrions. Il parle de différens métiers , Peintres, Musiciens, Jongleurs, &c. il décid
elle extrémité plus vicieuse & souverainement vicieuse d’en faire métier , d’y consacrer sa personne & sa vie ! Dans le
14 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
exprimé par les vers des Comédiens, étaient obligés de renoncer à ces métiers en se faisant Chrétiens. Cependant conduire un ch
de ces gesticulateurs veulent embrasser la Foi, ils renoncent à leur métier avant qu’on les reçoive, et promettent de ne l’ex
Comédiens, soient séparés de la Communion tandis qu’ils exerceront ce métier . La raison que ces Conciles ont eue d’en user ain
s grand et plus commode, que n’est celui qu’il pourrait faire dans un métier légitime, honnête, et utile au public. Jésus-Chri
e nécessité, et pour ne pas mourir de faim, qu’ils persistent dans ce métier infâme, ils n’ont pas dû néanmoins s’y engager, e
e la corruption de leur cœur, et le désir de gagner davantage dans ce métier , qu’ils ne feraient dans un autre qui les y ont e
che, pour y être plus offensé qu’aux autres jours de la semaine ? Les métiers les plus innocents et les plus utiles sont interd
15 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210
tablir des lois capables de les contenir. ez II. Les Comédiens font métier de se contrefaire fa , et s’il est parmi eux quel
les dégoûts, qui prennent à ceux qui pensent mieux et qui quittent un métier dont de tels associés anéantissent tous les agrém
ché que l’humanité, et cette qualité du cœur est incompatible avec le métier de Soldat, que faisaient tous les Spartiates. L’a
t à l’heure. La plaisante distinction que vous faites du talent et du métier de la célèbre Oldfieldfj ! L’un ne suppose-t-il p
as l’autre, et jouirait-on du talent si l’Acteur n’en faisait pas son métier  ? Les Anglais ont honoré cette Actrice d’un tombe
des Rois, ils ont voulu encourager par là tous ceux qui font le même métier à tâcher, par leur talent, de mériter le même hon
vocat, d’un Peintre, ou d’un Musicien ignorant ? Ce n’est donc pas le métier qui honore, mais le talent avec lequel on s’y dis
s laisser tout dire : « Qu’est-ce que la profession du Comédien ? Un métier par lequel il se donne en représentation pour de
ubtils de la langue et de la main sur la Scène, dans les besoins d’un métier plus dispendieux que lucratif, n’auront-ils jamai
t selon vous, suborneurs et fripons. Mais vous Monsieur, qui tirez du métier des autres des inductions contre leur probité, vo
L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers , Paris, A.-F. Le Breton et al., 1757, t. 7, p. 57
t inhumé la célèbre Oldfield à côté de leurs Rois, ce n’était pas son métier , mais son talent qu’ils voulaient honorer. » fk
16 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
ett. 1. Les vrais Comédiens sont rares, tout le monde se mêle de leur métier  ; outre le théatre des petits appartemens à Versa
lle ne seroit admise en attendant qu’à titre de complaisance. Mais le métier est bon, elle aura bien-tôt son contingent. C’est
 ; à Venise, à Gènes, parmi les nobles, tant de ducats, &c. Or le métier d’Actrice n’est pas moins noble, jusqu’à ses nuit
& le Receleur, leur rivalité de délicatesse sur l’honneur de leur métier , sans préjudice du sincère dessein de se vendre l
e spectacle pour amuser tant de gens désœuvrés (c’est ici jalousie de métier entre les Actrices & les femmes de mauvaise v
nnier qui a donné deux volumes de chansons. Ne font-ils pas bien leur métier l’un & l’autre ? Le cothurne vouloit passer a
17 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
de ses Etats. Quelques-unsLivr. blanc du Chât de Paris ou 1. vol. des métiers , 2. part. fol. 125. et suiv. néanmoins qui se ref
or. de gest. Philip. Aug. Livr. blanc du Chât de Paris ou 1. vol. des métiers , 2. part. fol. 125. et suiv. Ibid. 1. part. fol. 
18 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « [Épigraphe] » p. 2
pour les mœurs de voir des gens qui contribuent, uniquement par leur métier inutile, à des plaisirs qu’une philosophie solide
19 (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127
jourd’hui nos Comédiennes, et peut-être même n’en faisaient-elles pas métier comme elles. Comment donc le Docteur peut-il espé
. Mais il faut avouer de bonne foi que saint Thomas en s’objectant le métier de baladins, qu’il appelle Histriones, il semble
ni les mêmes adorateurs. Il est vrai que saint Thomas en tolérant le métier de Comédiens ou de Farceurs, le suppose dans un é
orter ici pour lui faire plaisir. « L’histrionat, histrionatus, ou le métier de Farceur, dit donc saint Antonin, n’est pas déf
Lois, et il verra qu’elles font tomber l’infamie « sur ceux qui font métier de jouer sur le Théâtre, et qui en tirent un gain
ais la profession des Comédiens n’est nullement nécessaire ; c’est un métier qui n’est pas l’ouvrage de Dieu, et qui n’a été i
de l’Eglise, et d’un aveuglement pitoyable qui leur fait préférer un métier infâme, et l’intérêt d’un gain sordide, à une bon
entiment d’un Homme, qui n’est ni scrupuleux ni libertin, et qui fait métier de dire des vérités d’une manière assez sèche et
on de pécher. » On ne se serait point douté que notre Docteur fît le métier de confesser, s’il n’en avait averti ; car ce mét
e Docteur fît le métier de confesser, s’il n’en avait averti ; car ce métier est un peu sérieux pour un Docteur de Théâtre : i
sanctification du Dimanche qui ne peut compatirq avec l’exercice des métiers les plus utiles à la vie, se trouvera en partie d
rs les plus utiles à la vie, se trouvera en partie dans l’exercice du métier des Comédiens, tout infâme qu’il est. Tous les Ar
serait-elle plutôt en faveur des Comédiens que des Artisans, dont les métiers sont utiles et n’ont rien que d’honnête ? Les Can
lier, et si ce n’est point assez pour empêcher un Séculier d’en faire métier et marchandise, ainsi que font les Comédiens ? Ce
a Comédie sont d’honnêtes infâmes ; puisque l’infamie est attachée au métier de Comédiens, ainsi que je l’ai fait voir ? « Ma
nduite qu’il devait tenir à l’égard d’un Comédien qui avait quitté le métier , mais qui ne laissait pas de dresser et de former
20 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Table des chapitres. »
hap. III. Jurisprudence du Royaume ; 50 Chap. IV. Bassesse légale du métier de Comédien, 75 Chap. V. Infamie civile des Comé
21 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179
e Comédien qui observe cette loi, qui puisse même l’observer dans son métier  ? J’ajoute que ceux qui ces saints jours vont au
ts si opposés à leur sanctification, et même qu’ils renonçassent à un métier si pernicieux. Mais si la police du royaume, qui
oit pas par elle-même une œuvre servile, elle est devenue pour eux un métier très servile, et servilement exercé. Qu’est-ce qu
t, qui n’est ici qu’une sorte de goût et de routine. C’est si bien un métier et des plus serviles, qu’on n’y a jamais employé
est le Comédien qui fait ses pâques ? Il aurait horreur de son infâme métier , s’il les faisait. L’entrée dans la troupe est un
22 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137
x, donnés par des ames basses, corrompues & mercenaires, qui font métier de la licence, & fréquentés par des libertins
déclarèrent le plus fortement, l’édit du Préteur attacha l’infamie au métier de Comédien. Toutes les personnes sages suivoient
es Grecs n’avoient point de loix qui attachassent l’infamie légale au métier de Comédien. Ces loix n’ont été portées que par l
étoient pas excommuniés chez les Grecs. Mais le mépris public pour ce métier infame & corrompu fut toûjours chez tous les
iques, l’art de les déclamer, n’est point infame ; mais ceux qui font métier de l’exercer, le furent toûjours par leur liberti
23 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
à l’article de la mort, s’ils ne promettent de renoncer à ce damnable métier . Un Chrétien se peut-il divertir sans pécher, de
24 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
t inhumé la célèbre Oldfield à côté de leurs Rois, ce n’était pas son métier , mais son talent qu’ils voulaient honorer. » Pag
el était le talent de la célèbre Oldfield, si ce n’était celui de son métier  ? Et si ce métier eût été réputé infâme, comment
de la célèbre Oldfield, si ce n’était celui de son métier ? Et si ce métier eût été réputé infâme, comment aurait-on pu honor
25 (1823) Instruction sur les spectacles « Table des chapitres. » pp. 187-188
oduction. vii Chapitre I er. Origine des spectacles. 1 Chap. II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend inf
26 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « [Introduction] » pp. 1-9
éclatante eût été pris pour une injure ; on rendait encore justice au métier de Comédien, on le méprisait ; aujourd’hui c’est
uvent par leurs mœurs et leurs sentiments, aussi méprisables que leur métier . Pour mieux établir cette doctrine, nous irons ch
27 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies à conserver. » pp. 276-294
en étourdis, qu’en hommes véritablement amoureux : Célimène fait son métier , et le Misanthrope, quoique passionné, traite l’a
n frère Chrisale, n’est pas un trait bien surprenant pour les gens du métier  ; mais que Molière, pour conserver le caractère d
28 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
n’ai de lui que ce qu’il m’a donné, rien de mieux acquis. En effet le métier d’Actrice n’est qu’un commerce, c’est à qui fait
ur des Acteurs & des Actrices pieux tandis qu’ils exerçoient leur métier , c’est ce qu’on n’a jamais vu, qu’on ne verra jam
roïne de ce roman finit par une sorte de conversion ; dégoûtée de son métier par des vols, des mépris, des infidélités, forcée
ertu d’une fille d’opéra ; elle joue la fille honnête, & fait son métier  ; elle fait à quel filet se prennent les bonnes g
29 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre II. De la Comedie. » pp. 163-177
de Jeu, & de Piece : car non-seulement du costé des Comediens le métier s’oublie, la paresse bannit l’estude, & la me
amp; les avances qu’il leur faut faire necessairement, il n’est aucun métier où le travail & la sujetion soient plus tiran
30 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
on se trompe, absorbé dans l’ivresse des spectacles, étudie-t-on son métier , songe-t-on à son devoir ? On ne voit les Perses
ui condamnent à la mort un Soldat qui se serait fait Comédien, car ce métier marque en lui tant de bassesse, qu’il est indigne
in et de plaisir pour les hommes de bon ton (Littré). En tout cas, le métier de perruquier, par exemple, pouvait aussi compren
31 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
distingué, qui a ses officiers, ses sujets, sa jurande, non comme les métiers méchaniques, cette idée est trop roturiere ; mais
plet des plus étendus. Parmi les beaux cahiers que donne sur tous les métiers l’Académie des Sciences, il n’est pas douteux qu’
pas douteux qu’elle ne donne aussi avec des belles planches tous les métiers théatraux. Ils sont trop utiles pour échapper à s
tous ces arts. C’étoit un homme universel ; il étoit Tapissier de son métier , & par conséquent initié dans tous les mystèr
e s’adressent ces sublimes idées ? Quelles femmes que celles qui font métier d’amuser les hommes ! quels hommes dont le goût e
s, les froideurs, la séparation, triste fruit de la perfection de son métier , offrirent avec éclat au public la réalité de ce
32 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
engage l’Empereur Valentinien I. à défendre aux femmes Chrétiennes le métier de Comédiennes, 105. son zèle à décrier les Spect
seul concours des hommes et des femmes, 145 Clercs, on leur défend le métier de Bateleur, 224. 228. 241 Clergé de France, défe
33 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « LIVRE QUATRIEME. » pp. 1-3
utoriser et entretenir des Comédiens, dont l'esprit, le dessein et le métier , est d'en remuer tous les ressorts, et s'exposer
34 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
ns, honnêtement et louablement. [c] Il était loisible même d’en faire métier aux gens d’honneur en Grèce : Aristoni tragico ac
35 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
dre, même à la mort, s’ils ne promettent de renoncer à leur dangereux Métier . II. Il n’y a rien de moins pardonnable que la su
ite ils y soient admis ; de sorte qu’ils n’exercent plus leur premier Métier . Que s’ils contreviennent à ce Décret, qu’ils soi
diens, Nous ordonnons qu’ils soient excommuniés tant qu’ils feront ce Métier . CANON II.Du 3. Concile de Carthage, tenu l’an 39
fâme, et que de voleur qu’il était auparavant, il était passé dans le métier honteux qu’il lui voyait exercer alors.Ad illud q
e à celle de saint Paphnuce ; puisque pour y arriver, il renonça à un métier qu’il reconnut lui-même être honteux.Fœdum artifi
sez de mal faire, et apprenez à bien faire. Isa. 1. Mais de plus, le métier de Comedien n’est pas tel, quoiqu’on en dise, qu’
ur les affaires de son salut, et la fréquentation des Sacrements : Ce métier demande son homme tout entier, s’il y veut réussi
Théâtre, on ne voit que la moindre partie de ses travaux. En effet le métier de Comedien dont on fait le Panégyrique, ne consi
toute la journée se ressent, et toute la vie est infectée de ce sale métier . Un personnage à faire, occupe tout entier celui
36 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
raison pro Quintio, parlant du fameux Roscius, son ami, homme dans le métier de Comédien aussi unique par sa vertu que par son
comédie, car il ne s’occupe qu’à excuser Roscius d’exercer un si vil métier . Sa partie voulait rendre sa bonne foi suspecte,
tre, convient aussi qu’il a trouvé un Comédien honnête homme, que son métier n’avait point corrompu : « Rara avis in terris al
pag. 129.) qui dit : « La Cour, avertie que le peuple et les gens de métier s’appliquent au jeu des Bateleurs, défend à tous
37 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107
embellissons, nous le savourons avec joie, nous en faisons un art, un métier , un bonheur. Pour peindre parfaitement les passio
l sera sifflé : « Si vis me flere, dolendum est prius ipse tibi. » Le métier de Comédien est donc le plus pernicieux à eux-mêm
dans le succès ou les obstacles de la passion, s'en faire un art, un métier , un état de vie, y consacrer tous ses talents, se
tous ses talents, ses moments, ses forces, sa santé ! Peut-il être de métier plus détestable ? un Chrétien peut-il applaudir à
38 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
oprement parler, les Tragédies ne font que chatouiller, c’est là leur métier  ; au lieu que dans les plaies désespérées, il fau
i je passais à mon second point : je n’ai garde d’entreprendre sur le métier des Prédicateurs, quoique les Satiriques, au moin
39 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « Instruction chrétienne sur la Comédie. » pp. 443-453
tte occupation, et les Magistrats châtièrent ceux qui en faisaient le métier . Les Premiers Romains qui étaient si grands poli
bles de leur repentir, et s’ils ne quittent effectivement ce damnable métier , que les Saints Canons4. quest. 1. c. 1. déclaren
40 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
soit pas qu’en faisant briller son talent, il faisoit le procès à son métier & au théatre, auquel il devoit toute sa gloir
41 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
mp; ne vous dégoûtez pas des longueurs du travail. Vingt fois sur le Métier remettez votre Ouvrage, Polissez-le sans cesse &a
42 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
et si elle n’a pas absolument rejeté de son sein ceux qui exercent ce métier infâme et scandaleux, elle les prive publiquement
43 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
es, conferent les dégrés de bachelier & de docteur, élevent leurs métiers au sang des arts libéraux, & prétendent le di
stime & de considération. Pour tirer ce grand art de la foule des métiers roturiers, il établit sa noblesse en remontant à
isition, on devient un être distingué, on acquiert une généalogie, le métier devient un art, la routine une science, l’artisan
omie, le dessein, la perspective, la peinture, la sculpture, tous les métiers , & les professions, afin de travailler à tous
leurs tissus, pour en prendre le droit fil , &c. Tous les autres métiers ont autant de droit à la gloire. Pourquoi ne suiv
44 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25
t pas les Magistrats se donner à une troupe de Comédiens, et faire le métier de représenter pour de l’argent. Les Parlements,
ent résister à une Princesse que tous les jours on admire, et dont le métier ne garantit pas la vertu ? Voilà les mains qui ti
avants commentaires sur toutes les lois sans nombre qui condamnent le métier de Comédien et le couvrent d’infamie, comme nous
45 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
uite ils y soient admis, de sorte qu’ils n’exercent plus leur premier métier  : que s’ils contreviennent à ce Décret, qu’ils so
diens, nous ordonnons qu’ils soient excommuniés tant qu’ils feront ce métier . » Le 2. Concile d’Arles, tenu en 452. a renouvel
46 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PLAN. DU THEATRE. et autres Règlements, Qui sont la suite de ce qu’on a déjà vu, page 106 de l’Ouvrage. » pp. 329-337
des principes de religion et de piété, et on leur ferait apprendre un métier pour leur préparer une ressource, si par hasard à
47 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
u à peu à des gens sans ressource qu’ils pourroient aisément faire le métier d’acteur. Ils se rassemblerent dans les places pu
ous daignerions rentrer en nous-mêmes pour nous rendre justice sur le métier de suborneurs dont nous faisons hautement profess
vilit l’ame et; flétrit le courage. Répandez un vernis honteux sur un métier quel qu’il soit, vous verrez bientôt ceux qui l’a
nt inhumé la célébre Oldfied à côté de leurs Rois, ce n’étoit pas son métier , mais son talent qu’ils vouloient honnorer. Chez
s Rois à cette illustre Actrice, on honoroit son talent, mais non son métier . Dites-moi, s’il vous plaît, s’il est possible d’
st possible d’honorer le talent du Comédien, sans faire honneur à son métier , puisque le talent en est l’essence ? D’ailleurs
ur à son métier, puisque le talent en est l’essence ? D’ailleurs tout métier dont l’exercice pourra mettre celui qui l’a embra
ne supériorité de genie extraordinaire. « Quel est, demandez-vous, le métier du Comédien ? c’est un métier par lequel il se do
rdinaire. « Quel est, demandez-vous, le métier du Comédien ? c’est un métier par lequel il se donne en représentation pour de
s qu’on achette le droit de lui faire. » Je vous répondrai moi que le métier du Comédien est l’art de faire valoir ses propres
veux à présent vous faire voir qu’il n’y a rien de deshonnête dans le métier du Comédien, consideré même du côté que vous nous
btils de la langue et; de la main sur la Scene, dans les besoins d’un métier plus dispendieux que lucratif, n’auront-ils jamai
état des Comédiens étant de paroître, c’est leur ôter le goût de leur métier de les en empêcher…. » Vous vous abusez ici bien
la liberté, sur le changement des gouts et; des usages, sur ce que le métier de Comédien est deshonnête par lui-même, et; enfi
48 (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32
insi, de cette familière déesse qui s’accommode avec les gens de tous métiers et de tous âges, ils en ont fait la plus austère
de ces sages réformateurs, mais comme il est encore apprenti dans le métier , il n’ose pas condamner ouvertement ce que nos pr
49 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134
vec toute sorte d'impudence, digne certainement d'une personne de son métier  ; Car outre le libertinage effréné de paroles, le
e de Jupiter, sous l'apparence de l'or, tant elle devint riche par ce métier . Ces Mimes, hommes ou femmes ne dansaient réguliè
50 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198
fois aux honneurs, ne croyant pas pouvoir mépriser des hommes dont le métier honorait les Dieux : « Græci turpiter quidem, sed
entièrement, sentez que la divine Majesté ne peut être honorée par un métier qui déshonore ceux qui l’exercent, qu’on ne verra
z donc le vice, non la nature ; vous donnez, non à l’homme, mais à un métier infâme : « Non homini donas, sed arti nequissimæ 
51 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96
le jeu de dés, il vient à d’autres matières, par exemple à plusieurs métiers , et enfin à celui des histrions, qu’il approuve I
52 (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171
jamais la fléchir, a rendu ses coups inutiles. Le Ch. Mais, si le métier de comédien est infame, si la comédie elle-même l
monde, parfaitement dignes les uns des autres, & sur-tout de leur métier . C’est la lie du vice, mêlée avec la lie du peupl
53 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
r dans l’univers ; elle inspire les Poëtes dramatiques, & rend le métier de Comédien infame. Tous ces débauchés ne cherche
là les leçons du théatre. La pauvreté de la crêche, la bassesse d’un métier méchanique, une soule de malades de toute espèce,
54 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
nvertir à la religion chrétienne doivent premièrement renoncer à leur métier  ; et si après s’être faits chrétiens, ils venaien
55 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
teur fait le contraire de ce qu’il doit faire : qu’il ne sait pas son métier , puisqu’il va contre les règles de la raison et d
56 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
ncien ami de mon Pere. Je reconnus bientôt que toute la science de ce métier se bornait à une assiduité servile et à l’étude d
obité, la conduite se peuvent très bien accorder avec le talent et le métier de Comédien, j’avoue en même temps que je n’ai pa
seul homme et tout à fait inutile à sa Patrie. Devais-je apprendre un métier  ? Il aurait fallu que mon Père après m’avoir fait
ureusement l’amour propre nécessaire pour désirer de réussir dans mon métier , si c’est un malheur que de l’avoir. Il y a longt
n bon Chrétien, faire tout le bien dont je suis capable, cultiver mon métier dont j’ai reconnu tous les avantages et dont l’ex
57 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
en lui suffira pour occuper la Scène. S’il a le bonheur de trouver un métier quelqu’obscur qu’il soit, dont l’Opéra-Bouffon n’
vant que notre Spectacle ait fait passer en revue tous les Arts & Métiers , il se sera fait de grands changemens dans le goû
58 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6
une physionomie impudente & chagrine annonçoient son origine, son métier , ses mœurs & son caractere. La poësie l’a cél
59 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
us indigne d’un Enfant de Dieu et d’un membre de Jésus-Christ, que le métier de Comédien, où des hommes et des femmes représen
eur est donc impossible d’allier avec la pureté de notre Religion, un métier que d’ailleurs les Conciles leur font une obligat
ouverts pendant toute l’année, que la plupart des acteurs n’y font le métier d’histrions que pendant le temps des folies épidé
prendre celle d’autrui. Qu’est-ce que la profession du Comédien ? Un métier par lequel il se donne en représentation pour de
60 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37
mé les gens les plus honnêtes, il n’a pas voulu qu’elles fissent leur métier dans les Villes ; il leur a abandonné la campagne
ur de la troupe & ma maîtresse même en étoient. On croit, dans ce métier , que tous les biens sont communs. Le Directeur av
pira tant de mépris pour elle & pour la troupe, que je quittai le métier du théatre pour ma vie. Le besoin d’argent me le
s rien dire, & emporta mes remedes. Je fus obligé d’abandonner ce métier  ; il continua à l’exercer, & je le retrouvai
61 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
e acharné poursuive l’Auteur sur ces conséquences, le Prêtre fait son métier et n’étonne personne : mais devons-nous honorer l
ants à son exemple, il est très simple qu’on la leur préfère dans son métier  ; mais c’est tout au contraire pour n’avoir nul a
plus pures, et qu’il y a des pays d’innocence et de simplicité où le métier de Comédien est presque en horreur. Voilà des fai
plaidoyer pour ce dernier, il plaint un si honnête homme d’exercer un métier si peu honnête. Loin de distinguer entre les Comé
t moins sur la représentation même, que sur l’état où l’on en faisait métier  : puisque la Jeunesse de Rome représentait publiq
es de la nation. Je ne suis pas surpris que, loin de les avilir, leur métier , exercé de cette manière, leur donnât cette fiert
prendre celle d’autrui. Qu’est-ce que la profession du Comédien ? Un métier par lequel il se donne en représentation pour de
usé-je pas d’être précisément un trompeur, mais de cultiver pour tout métier le talent de tromper les hommes, et de s’exercer
ubtils de la langue et de la main sur la Scène, dans les besoins d’un métier plus dispendieux que lucratif, n’auront-ils jamai
mmes du thé ; tous deux se livrent au jeu sans fureur et s’en font un métier plutôt qu’une passion ; tous deux ont un grand re
à-dessus ce que je n’ai jamais ni vu ni ouï dire. Appellerons-nous un métier honnête celui qui fait d’une honnête femme un pro
le désordre des Actrices entraîne celui des Acteurs ; surtout dans un métier qui les force à vivre entre eux dans la plus gran
état des Comédiens étant de paraître, c’est leur ôter le goût de leur métier de les en empêcher, et je doute que jamais bon Ac
ter ; les seconds, personne à convaincre : autant vaudrait quitter le métier .Si l’on me demandait là-dessus pourquoi donc je d
t inhumé la célèbre Oldfield à côté de leurs Rois, ce n’était pas son métier , mais son talent qu’ils voulaient honorer. Chez e
e dont les Comédiens soient moins accusés que de la friponnerie. Leur métier qui les occupe beaucoup et leur donne même des se
out va mal quand l’un aspire à l’emploi d’un autre. Il faut aimer son métier pour le bien faire. L’assiette de l’Etat n’est bo
est le vrai moyen d’animer ses travaux. 63. [NDA] A chaque corps de métier , à chacune des sociétés publiques dont est compos
62 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
ar d’autres, quels qu’ils soient, qu’il nous dise quel privilège a le métier de la comédie par-dessus les autres, pour avoir d
63 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
ersonnage qu’on représente ; ou bien il ne faut pas s’ingérer dans le métier de la poésie. Un Peintre qui habillerait un Monar
ent ennuyés de ne voler qu’en prose, si on ne les avait encouragés au métier par des vers et de la musique. Un manant donc rem
t effectivement la meilleure ressource du monde pour vous : car si ce métier vous réussit, vous voilà délivré de peine ; et si
lité de Néron eût bien plutôt dû les mettre en état de se passer d’un métier indigne, que de les y engager. Nous lisons dans l
t même capitales ; à moins que ces sortes de gens ne renoncent à leur métier . Il est vrai que le premier article de cette Cons
et si elle n’a pas absolument rejeté de son sein ceux qui exercent ce métier infâme et scandaleux ; elle les prive publiquemen
nt le Théâtre, traitent fort mal les Comédiens. Ils en flétrissent le métier , et les privent de la liberté commune, des emploi
hez eux que l’on va, et qu’il y a plus de monde pour en entretenir le métier . » « Un Poème bien composéIbid. cap. 22. est un
suivant les règles de la vraie Poésie : le plus mauvais plat de leur métier , pourvu qu’ils espèrent qu’on le goûtera, est tou
64 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74
en ces termes : « La Cour avertie que plusieurs du peuple et gens de métier s’appliquent plutôt aux jeux des bateleurs et jon
est dérivé d’un Hister, qui vint de la Toscane à Rome exercer le beau métier , l’utile talent de faire rire le peuple aux coins
65 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
Et il tire delà la conséquence que la profession de Comédien étoit un métier honoré à Athènes : rien n’est plus inconséquent.
ois divers talens, on remplit différentes fonctions, mais jamais deux métiers , ni deux professions en même tems. De même en par
t moins sur la représentation même, que sur l’état où l’on en faisoit métier . Il falloit dire que l’opprobre tomboit seulemen
re le même paralelle au sujet du Théâtre. Une troupe d’hommes faisant métier de renoncer à tous parens, à toute patrie, &
66 (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410
rs, les Forgerons, les Tailleurs, les Maçons, ceux qui exerçaient les métiers les plus vils, confondus avec ceux qui remplissai
médiens qui voulaient embrasser la Foi chrétienne, de renoncer à leur métier  ; et si après avoir reçu le Baptême, ils reprenai
brasser la Foi chrétienne, il faut qu’ils renoncent auparavant à leur métier  ; et s’ils le reprennent après leur Baptême, qu’i
xcommunie les Comédiens, tandis qu’ils seront dans l’exercice de leur métier . Il est défendu dans le Concile de Carthage, à to
67 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
rs prennent à cœur la cause de ceux desquels nom blâmons justement le métier , et qu’ils trouvent des Avocats, oùb ils devraien
uisements d’habits, de sexes, de paroles et de gestes, et qui en font métier en public, doivent être entretenus en cette façon
la vie, ce qui n’est point du Père mais du monde  », autrement, leur métier ne vaudrait rien, en la corruption du siècle : et
aient les peuples de l’entretien de ces débauchés et perdus, qui font métier et marchandise de paraître sur le Théâtre ; et qu
et Tragédies ont été tenus pour infâmes, qui est un argument que leur métier ne vaut rien. C’est chose notoire à ceux qui o
ateleur qui avait été nourri en la Religion Chrétienne, et avait fait métier d’enseigner aux jeunes hommes la manière de contr
rs spectateurs, et adviendrait que s’ils étaient rendus meilleurs, le métier ne vaudrait plus rien. C’est pourquoi ils n’ont e
onnêteté ? Ce sera un vain essai, car ils retourneront à leur premier métier , autrement leur pratique serait perdue, et leur m
68 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
la conduite du public, qui va à la comédie, et la loi qui déclare le métier de Comédien infâme. Avouons la dette, c’est une i
69 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117
la jurande des comédiens, comme en France on a aboli les jurandes des métiers pour favoriser les arts & ce commerce. Cette
ds &c. Quelques acteurs entrent dans la cabale. C’est jalousie de métier . Les italiens ont plus de foule, on y rit davanta
ivrée pour actrice, vient à être séduite : c’est un risque attaché au métier , comme à la guerre d’être tué ou blessé, & pl
es femmes & filles du monde qui n’ont d’autre profession, état ou métier que de femmes publiques, & enjoignant aux com
ours livré, doit avoir par son caractere ou doit avoir acquis par son métier des manieres, une diction, un tour d’esprit qui r
70 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142
n art, que l’Académie des Sciences joindra aux Traités des arts & métiers , qu’elle donne à ce Traité de la coëffure des Dam
yen Romain, & de tous ces vils esclaves, qui exerçoient à Rome le métier de Friseur, de Calamistreur, que nous honorons, a
ge, & étaler leurs attraits. C’est le revenant bon de leur chaste métier  ; on a partagé cette tête creuse, on en a conserv
71 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29
s du monde, tous parfaitement dignes les uns des autres & de leur métier , n’ont été de notoriété publique, que la lie du v
légitime qui nous fait regarder comme l’école du vice un art & un métier où les maîtres & les élèves sont des gens san
captivé mon cœur : Chansonnier sans chanter, passable coupletteur ( métier important) Jamais dans mes chansons on n’a vû ri
72 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
grand péché de faire & de vendre des masques ; il faut quitter ce métier , ou refuser l’absolution. C’en est un encore, quo
chère, courtisans, baladins, joueurs, chasseurs, enfin de tout autre métier que du leur, dont ils ne se servent que pour attr
sont que les armes, l’épée, le casque, le bouclier, &c. & le métier de la guerre. La défense de s’habiller en homme n
73 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
nt des Poésies lascives et criminelles, et que tant de personnes font métier de les répéter ; métier infâme, métier scandaleux
et criminelles, et que tant de personnes font métier de les répéter ; métier infâme, métier scandaleux, que les Romains eux-mê
et que tant de personnes font métier de les répéter ; métier infâme, métier scandaleux, que les Romains eux-mêmes regardèrent
74 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
de Comédiens. Mais quand ils vous voient tout quitter, jusqu’à votre métier , vos affaires, vos profits, pour eux, ils en sont
e & la peste des villes. Que cherchent les misérables qui font ce métier  ? ils cherchent à vivre, ils vendent leurs talens
75 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des principes qui ont été établis ci-devant. » pp. 82-88
on de ce S. Archevêque, comme des gens qui passaient leur vie dans un métier honteux, et qui ne s’occupaient qu’à corrompre le
76 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92
talents, et détruisent l’émulation. Anéantir le mérite, n’est pas le métier d’un honnête homme. Je n’ai jamais blâmé qu’avec
77 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
ubstitué, aux Esclaves, des hommes et de vieilles femmes, qui font le métier de séduire la jeunesse ; et, en cela, quoique le
78 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -
L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers , Paris, A.-F. Le Breton et al., 1757, t. 7, p. 57
79 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
des Bénéfices, T. 2. C. 18. pag. 376). Et quoiqu’ils aient quitté ce métier , que la fureur ou la possession du Démon ait cess
n des laïques, de quelque condition qu’ils soient, lorsqu’ils font le métier de Comédien, Joculatores, bouffonnes, gaillardos
80 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre I. Est-il à propos que la Noblesse fréquente la Comédie ? » pp. 3-19
r ceux qui jouent quelque rôle pour leur plaisir, et ceux qui font le métier de Comédien par intérêt ; que ceux-ci sont couver
nt la mort jusqu’à ne pas la préférer au rôle d’un mari jaloux, ou au métier d’Acteur dans la troupe de Corinthe ? « Quid sati
81 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
s, disposition telle qu’on ne voit presque plus que des envieux ou du métier infâme, ou des talents et de la vue des infâmes q
nés, etc., qui ont la plus grande influence sur les mœurs qu’ils font métier de corriger, sans être obligés de prouver qu’ils
re société, au degré d’avancement où en sont maintenant les arts, les métiers et le luxe (à moins qu’il ne s’agisse d’introduir
82 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
ouvent, a cloué l’ouvrier sur son banc, sur son établi, auprès de son métier . Quel mouvement !… quelle ardeur !… quel chaos !…
gazes transparentes sous lesquelles se cache le tentateur, brisez vos métiers , fermez vos magasins, renoncez à ces occupations
ales et dont chaque ligne est tarifiée, que les prêtres auraient, par métier , débitées sur ton cercueil. Et encore aujourd’hui
83 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [O] » pp. 436-440
ncêtres. On fesait ordinairement sur les enfans qu’on destinait à ce métier , la même cruauté, qu’un préjugé détestable autori
84 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
timent sur le sujet d'un Comédien de votre Pays, qui exerce encore ce métier , et instruit la jeunesse, non pas à se bien condu
85 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
out va mal quand l’un aspire à l’emploi d’un autre. Il faut aimer son métier pour le bien faire ; l’assiette de l’État n’est b
86 (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494
, sous prétexte de les venir soulager. Ces personnes infâmes qui font métier de corrompre le chasteté, n’ont rien en leur bouc
87 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67
des sciences utiles ; je vois que vous avez des maîtres pour tous les métiers . Nous faisons, répondit-il, déclamer les jeunes g
le tolère que rarement : permettrait-on l’assiduité au théâtre, et le métier de Comédien ? Il faut que la pièce soit examinée
88 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
ient Funambules : elle n’est point faite pour des Citoyens : c’est un métier vil, puisqu’il est dangereux. Bien des gens ont d
89 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
s ont dessein d’embrasser la foi, et, s’ils retournent à leur premier métier après avoir reçu le baptême, ils seront chassés d
90 (1733) Traité contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE TRAITÉ. CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 247-261
neur ; il se trouvait encore des hommes assez impudents pour faire le métier infâme d’exposer en vente, si j’ose parler ainsi,
91 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
ens & par sa conduite ; il se convertit aussi, & abandonna le métier de Satyrique, branche du Théatre ; Nous avons sou
elà des Pirénées, le petit collet n’est pas un titre frivole & un métier de libertinage ; il ne s’y dégrade point par l’in
urs une preuve convaincante d’une parfaite conversion. On se lasse du métier  ; on trouve une occasion favorable de s’établir,
92 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137
iquité. Il est donc parmi les hommes, il est parmi les Chrétiens, des métiers établis pour corrompre, comme il y a des métiers
i les Chrétiens, des métiers établis pour corrompre, comme il y a des métiers pour apprendre à tuer, des breteurs, par exemple,
qui des deux aura la préséance ? Les Coëffeurs des Dames traitent le métier des Perruquiers d’art méchanique, & mettent l
93 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
conviens avec moi que tous tes confrères sont des scélérats, que ton métier n’est qu’imposture, et que tu es en ce point le p
nces : l’Auteur du Relaps se signale par-dessus tous les autres en ce métier . Le Chapelain Bulle P. 73. fait à de nouveaux mar
tère en général au lieu que l’Œdipe Anglais fait du Sacerdoce même un métier de Tartufe. Dans Antigone,Sophocl. Antig. p. 256.
94 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVI. Des périls auxquels on s’expose en allant au bal. » pp. 97-118
ment, parce qu’elles contribuent au mal que les autres font ; et leur métier est illicite à l’égard des bals et des danses, pa
95 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
une foule de compositions littéraires ; mais qu’on y prenne garde, le métier se gâtera ; on aura beau manier les ciseaux avec
96 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
sur la scène, il renvoie aux esclaves et aux étrangers ce méprisable métier . Il n’en souffre aucun qui ne promette de ne rien
eux ; il parle pourtant fortement contre le théâtre. Non seulement le métier de Comédien est infâme et criminel, c’est encore
97 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200
s mêmes Magistrats qui donnent des spectacles au peuple, dégradent un métier dont ils font tant de cas, déclarent infâme, chas
mes qu'eux-mêmes punissent. Quel aveu forcé du crime ! il faut que le métier soit bien mauvais, les hommes les plus agréables
98 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
essieurs les Valets des filoux publics, & payer pour apprendre le métier au dépens même des volées, quel pitoyable raisonn
ris ainsi que moi d’un stupide pied-plat. Oui, je me fais honneur du métier que j’exerce : Tout Homme vertueux annoblit son é
là dessus ce que je n’ai jamais vu, ni oui dire. Appellerons-nous un métier honnête, celui qui fait d’une honnête femme un pr
irdle sont inhumées auprès des tombeaux des Rois. « Ce n’était pas le métier (dit J.J.R. en parlant des Anglais à ce sujet) ma
lustres. » Je doute qu’un Savetier, à quelque degré qu’il poussât son métier , je doute fort, dis-je, qu’il parvînt à cet honne
âme & dangéreuse, il serait aussi méprisable que ceux qui en font métier  ; la conséquence est sûre. 36. Madame du Châtele
99 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
procher d’avoir triomphé sans combattre. Je suis Comédien, j’aime mon métier , je fais plus, je l’estime, sûr que j’ai pour moi
100 (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -
s, encore qu’ils fussent notés de l’infamie de droit, à cause de leur métier , n’étaient pas notés de l’infamie de fait. XV
la race des Dieux, et qui leur ont donné des noms, des honneurs, des métiers , et des figures. » Ce sont les paroles d’Hérodote
n faisons un mauvais discernement, en les prenant de toutes sortes de métiers , qu’il semble que nous ayons nous-mêmes besoin de
cles n’étaient point admis au Baptême qu’ils n’eussent renoncé à leur métier  ; et si après le Baptême ils retournaient à leur
âtre, nous ordonnons qu’ils soient excommuniés, tant qu’ils feront ce métier . » Ce Concile, tenu l’an 452. ordonne la même ch
é les Théâtres, et s’il y en a encore d’ouverts, personne n’y va.… Le métier ou plutôt le dérèglement des infâmes Acteurs de c
genes Laërtius in vita Diogenis.. Néanmoins Eschine qui avait fait ce métier , ne laissa pas d’être employé par les Athéniens d
de Plutarque, que la Comédie n’est pas une chose vertueuse, et que le métier de Comédien est indigne d’un homme qui se conduit
disait des autres, que s’ils étaient vertueux ils ne feraient pas le métier de Comédiens. Que si nous considérons le jugement
te condition dans Syracuse, qui était une ville des Grecs, dit que le métier qu’il faisait, ne le déshonorait point ; parce qu
mie. Car l’on n’aurait point remarqué dans l’histoire Romaine, que le métier de Comédien n’était point infâme parmi les Grecs,
. leg. imperial. Cod. de nup., « que les femmes Scéniques quittant ce métier , peuvent être relevées de la note d’infamie, et m
oient admis ; de sorte qu’à l’avenir ils n’exercent plus leur premier métier . Que s’ils contreviennent à ce décret, qu’ils soi
sont du nombre des fidèles, soient excommuniés tant qu’ils feront ce métier . » Ces Conciles lui auraient encore appris que l
dèles, Nous ordonnons qu’ils soient excommuniés tant qu’ils feront ce métier . » Or il est certain que sous le nom de Théâtriqu
, et aux Ecclésiastiques sous peine d’être déposés, croyait-il que le métier de Comédien, et de Tragédien fût aussi honnête, q
hénien, ce personnage si éloquent, après avoir fait en sa jeunesse le métier d’Acteur de Tragédies, entra dans l’administratio
ntiment sur le sujet d’un Histrion de votre pays qui exerce encore ce métier , et instruit la jeunesse, non pas à se bien condu
ente pas de représenter des Comédies ; on en a fait un art : C’est un métier de gens qui n’ont d’autre but que de gagner de l’
par toutes sortes de voies, par celles même qui sont mauvaises ». Le métier donc de Comédien qui de sa nature n’a point d’aut
t. C’est pourquoi les lois Civiles et Ecclésiastiques ont condamné ce métier et ceux qui en font profession, comme nous l’avon
dèles, nous ordonnons qu’ils soient excommuniés tant qu’ils feront ce métier . » « Tous les fidèles , dit le Rituel de l’Egli
rler en public avec plus de hardiesse, avec des Comédiens qui font un métier honteux de ces spectacles pour gagner de l’argent
mé les Théâtres et s’il y en a encore d’ouverts ; personne n’y va, le métier ou plutôt le dérèglement des infâmes Acteurs de c
l’absolution dans leurs Paroisses, s’ils ne promettent de quitter ce métier . Et cela est si notoire dans Paris, qu’il n’est p
devoirs d’un véritable Chrétien. Il est impossible qu’on considère le métier de Comédien, et qu’on le compare avec la professi
.) On ne parle que de ce qui en est entièrement inséparable, C’est un métier qui a pour but le divertissement des autres ; où
que ces folies ; on verra facilement qu’il est impossible d’allier ce métier avec la pureté de notre Religion : et ainsi il fa
ec la pureté de notre Religion : et ainsi il faut avouer que c’est un métier profane, et indigne d’un Chrétien ; que ceux qui
ant nécessaire à la conversation des hommes, on peut établir quelques métiers licites pour tout ce qui peut servir à la convers
tes pour tout ce qui peut servir à la conversation. C’est pourquoi le  métier des Histrions, qui tend à soulager et à délasser
Auteur de la Dissertation prétend en inférer : savoir, que puisque ce métier n’est pas mauvais de lui-même, et que ceux qui l’
, pourvu qu’ils n’y mêlent rien d’illicite ; on ne doit pas abolir ce métier , ni obliger ceux qui l’exercent, à le quitter ; c
mple qu’allègue saint Thomas, qu’on doit obliger ceux qui exercent ce métier , de le quitter afin qu’ils puissent obtenir leur
fâme, et que de voleur qu’il était auparavant, il était passé dans le métier honteux qu’il lui voyait exercer alors. Plus il l
demeure d’accord. Il faut donc voir comment ce grand Saint dit que le métier de Comédien n’est pas mauvais de lui-même. Il est
jamais été. C’est pourquoi dans la pratique commune, et ordinaire le métier des Comédiens tel qu’ils l’exercent, et qu’ils l’
et les lois de l’Eglise les déclarent excommuniés tant qu’ils font ce métier , comme nous l’avons montré ci-dessus, et comme il
un grand Saint. Réponse. Il n’a pas été saint dans l’exercice de son métier d’Histrion ; mais en le quittant, et en passant l
itence. D’où nous voyons que dans la pratique commune et ordinaire le métier d’Histrion est vicieux, et qu’on le doit quitter.
icieux, et qu’on le doit quitter. Quant à ce que dit S. Thomas que ce métier considéré en lui-même n’est point illicite, c’est
de S. Thomas, jugeant qu’il était impossible de réformer tellement le métier des Comédiens, et des Histrions, qu’il pût répond
la rigueur de l’Ecole, et selon l’expression même de saint Thomas, le métier de représenter des Comédies, ne soit pas de lui-m
er des jeux du Théâtre, ou des représentations, et des Comédies, « Le métier , dit-il, des Comédiens, qui a pour but de délasse
e le principal. De même S. Thomas permet aux Comédiens d’exercer leur métier à la bonne heure, pourvu , qu’ils ne s’écartent p
ie. Saint Antonin Archevêque de Florence enseigne qu’encore que le métier de Comédien ne soit pas illicite de lui-même, sel
différemment toutes sortes de pièces, même des plus déshonnêtes. « Le métier , dit-il « Histrionatus ars, quia deservit humanæ
rt. 3. in r. ad 3. C’est pourquoi il n’est pas défendu de vivre de ce métier , pourvu qu’on y observe les circonstances requise
el est tiré du Concile de Laodicée. Il est aussi défendu d’exercer ce métier dans l’Eglise ; et dans le temps de pénitence, co
, comme durant le Carême. Mais lorsque les Comédiens se servent de ce métier , pour représenter indifféremment même des choses
ier, pour représenter indifféremment même des choses déshonnêtes ; ce métier est illicite, et ils le doivent quitter. » C’est
end aussi les Comédiens sous le nom d’Histrions. Et ainsi il parle du métier des Comédiens, quand il dit, qu’il est indécent a
ns, quand il dit, qu’il est indécent aux Ecclésiastiques d’exercer le métier des Histrions, selon le Canon, Non oportet. De co
pénitence comme dans le Carême. 3. Saint Antonin nous apprend que le métier des Comédiens, qui représentent indifféremment de
et soit honnête, ou déshonnête, est illicite. D’où il s’ensuit que le métier des Comédiens de ce temps est illicite, et qu’ils
t donc honorés, enrichis, comment ne se plairaient-ils pas à faire ce métier  ? comment le changeraient-ils pour un autre ? com
sein de faire dans cet écrit. I. Il est impossible qu’on considère le métier de Comédien, et qu’on le compare avec la professi
t. On ne parle que de ce qui en est entièrement inséparable. C’est un métier qui a pour but le divertissement des autres ; où
que ces folies : on verra facilement qu’il est impossible d’allier ce métier avec la pureté de notre religion : et ainsi il fa
ec la pureté de notre religion : et ainsi il faut avouer que c’est un métier profane et indigne d’un Chrétien ; que ceux qui l
Car s’ils ne donnaient rien aux Comédiens, ils n’exerceraient pas un métier si infâme, et si pernicieux à l’État. » Il y a u
èles, Nous ordonnons qu’ils soient excommuniés, tant qu’ils feront ce métier . » Avec cette ordonnance du Rituel de l’Eglise d
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