s avec les grands sentiments qu’Agrippine, Burrhus et Néron même font
paraître
dans cette Tragédie, la défigurent entièrement. P
coup d’elle dans la Pièce, on rapporterait tout à elle ; mais elle ne
paraîtrait
jamais. L’action théâtrale n’aurait plus rien alo
les, et serait très convenable au nouveau Théâtre. CINNA. Il me
paraît
que l’amour de Cinna et d’Æmilie affaiblissent co
ent Æmilie comme il fait ; mais, sans laisser éclater de jalousie, il
paraîtra
seulement inquiet de l’intelligence qui est entre
choisirais celui qui s’éloigne le moins de l’original Grec, et qui me
paraît
le plus aisé à rendre parfait ; c’est celui de M.
nt retranché de leur Pièce le personnage de Créon, s’exposent à faire
paraître
Œdipe trop vertueux ? d’où il suit que le Spectat
as d’être en droit de faire cette remarque ; puisque ce principe leur
paraît
essentiel, pendant qu’il me paraît peu exact : ca
emarque ; puisque ce principe leur paraît essentiel, pendant qu’il me
paraît
peu exact : car il est incontestable que dans leu
’amour de Camille pour Curiace ; les violents transports qu’elle fait
paraître
à l’occasion de la mort de son Amant, quoi que ce
ie sa femme répudiée ; parce qu’une telle passion (quoiqu’elle puisse
paraître
ridicule de nos jours) n’est que d’un très bon ex
MEDEE, par M. de Longepierre. Le crime, dans cette Tragédie, me
paraît
être porté au plus haut degré où la méchanceté du
ien atroce, pour être présentée aux Spectateurs de notre temps. Il me
paraît
, au reste, que cette Tragédie prouve la probabili
èrement sur le Théâtre. La Tragédie de Médée, réduite en cet état, me
paraîtrait
assez convenable pour le Théâtre de la Réformatio
connue ; mais modifiée à la manière des modernes, avec un art qui me
paraissait
admirable. Peut-être ai-je eu tort de l’avoir tan
ait point susceptible de correction ; parce que jamais, à ce qu’il me
paraissait
, l’action ne pouvait être conduite à sa fin, que
sont nommés par les Princesses, que comme leurs Amants, sans qu’elles
paraissent
se rappeller qu’ils avaient été destinés à les ép
La Tragicomédie d’Agrippa ou du faux Tibérinus, mise en cet état, me
paraîtrait
très convenable pour le nouveau Théâtre. ROMUL
côté de Romulus des expressions de sentiment vives et tendres, qui me
paraissent
devoir être supprimées. Je ne répète point que ce
n’est pas conforme à la vérité. L’amour d’Artemise et celui d’Ilione
paraissent
très raisonnable et très permis ; car Artemise es
même je tâcherai de le prouver dans l’examen du Cid ; mais le cas me
paraît
très différent. La passion d’amour dans Artemise
se des Tragédies à corriger, ce n’est que pour une seule Scène qui me
paraît
en avoir besoin. Dans la dernière Scène du premie
l’action. L’inclination d’Arténice pour Sésostris, sans le connaître,
paraît
d’une certaine façon autorisée : et dans la Scène
dit le P. Saverio, qui observe que les Piéces régulieres, quand elles
parurent
en Italie, ne les firent pas tomber. Nous avons e
, ils la représenterent. Dans ce Sujet il leur étoit aisé, en faisant
paroître
des Diables, d’exciter la Terreur & la Pitié.
ie del Gonfalone, étoit de représenter la Passion. Par tout, ce Sujet
parut
le plus propre à la Tragédie, comme étant un Suje
ges, & le massacre des Innocens, Sujet fort Tragique, qui a aussi
paru
sur notre Théâtre, aussi bien que la Décollation
es Spectacles donnés par les Evêques Anglois au Concile de Constance,
parurent
très-nouveaux aux Allemans. Les Représentations d
r à son Auteur, Reverendissimo. La Comédie le tre Tiranni, indigne de
paroître
devant de graves Spectateurs, fut représentée à B
cain donna la Nisa lastimosa (c’est Inès de Castro) & cette Piéce
paroît
à D. Montiano parfaite dans l’ordre, le stile, &a
es de Pasquier, avoit mis l’œil aux bons Livres, par une Tragédie qui
parut
à la maniere des Grecs, parce qu’elle avoit des C
ach, yaha. Le Dieu de notre Théâtre trouva un Rival dans Garnier, qui
parut
à quelques Savans plus comparable aux Grecs. Comm
nventeur du Dramatique Pastoral, genre très-inconnu aux Grecs, il dut
paroître
du moins y exceller ; cependant il eut encore une
ec leurs filets : & cette espece de Comédie intitulée Pescatoria,
paroît
à Crescembeni une belle & ingénieuse inventio
l’Europe, puisque jusqu’à lui on n’avoit encore vû sur aucun Théâtre
paroître
la Raison. Ayant tiré de l’enfance, ou pour mieux
e Ministre, & ménager le Poëte. L’Amour Tyrannique de Scuderi qui
parut
deux ans après le Cid, causa une grande joie au C
oint nos richesses Dramatiques. Les Chef-d’œuvres de notre Théâtre ne
parurent
sur celui de Londres que si changés, qu’ils n’éto
ieux reçues par d’autres Peuples : traduites chez les Italiens, elles
parurent
sur leurs Théâtres, & y firent oublier toutes
ient de donner D. Montiano. Athalie & Britannicus doivent bientôt
paroître
en Espagnol, & peut-être auront un jour cet h
p; sa belle traduction d’Athalie, le goût du Poëme Dramatique chanté,
paroît
aujourd’hui dominer seul en Italie, où pour ne pl
our le Théâtre. IPHIGENIE en Aulide. La Tragédie d’Iphigénie me
paraît
très convenable au nouveau Théâtre : On pourrait
’il fait éclater. Il est vrai que l’amour insensé d’Eriphile pourrait
paraître
illégitime ; mais, outre que c’est un amour caché
in de correction, et ne se serait pas attiré tant de critiques. Il me
paraît
donc que la Tragédie d’Iphigénie peut rester tell
rreur, et qu’ils pourraient s’aimer et s’épouser sans scrupule. Il me
paraît
donc que la Tragédie d’Héraclius peut être conser
suivant l’intention de la Réformation ; et la Tragédie de Stilicon me
paraît
excellente pour ce Théâtre. ANDROMAQUE. Je
ce Théâtre. ANDROMAQUE. Je ne sais si je me trompe ; mais il me
paraît
que la Tragédie d’Andromaque est très convenable
-je éloigné de l’exclure du Théâtre, toutes les fois qu’elle y pourra
paraître
avec utilité, et d’une manière qui tende à en cor
t le fondement, les motifs et la diction ne respirent que l’amour, me
paraît
un modèle parfait de la correction que l’on deman
mes, la corruption est parvenue à un tel degré sur ce point, qu’il me
paraît
inutile d’en parler ; je me contenterai seulement
; avec la seule réserve qu’il en faudra examiner les maximes, qui me
paraissent
cependant assez régulières, ou du moins peu vicie
mour, qui est l’objet que j’attaque partout où je le rencontre, ne me
paraît
pas toujours mériter d’être bannie du Théâtre, co
laissé en ce genre. J’ajoute que la Tragédie d’Atrée et de Tyeste me
paraît
très bonne et très bien faite ; et, si s’en était
e a tiré partie de certaines choses qu’on n’aurait jamais cru pouvoir
paraître
avec agrément sur la Scène. D’un autre côté, cett
ommun. Je conviens que c’est là ce qui m’a le plus choqué, et qui m’a
paru
mériter tout ce que j’ai dit dans l’examen de la
cette première ne doit point m’empêcher d’adopter la seconde, qui me
paraît
en toutes ses parties tendre à l’instruction des
e reviens à mon sujet. La Tragédie d’Oreste et Pilade de la Grange me
paraît
une Pièce excellente pour le Théâtre de la Réform
pour corriger les mœurs que la peinture des faiblesses de l’amour me
paraît
capable de les corrompre. Il peut se faire que, d
espèce de protestation, je dirais que le Brutus de M. de Voltaire me
paraît
composé précisément comme il doit l’être, pour no
voir dans les deux Discours sur la Comédie, quelque chose qui vous a
paru
digne de votre attention ; mais tout ce qu’on en
traitassions cette matière dans nos conférences. Apparemment on verra
paraître
plusieurs pièces sur ce sujet qui vaudront mieux
le montrer à qui vous jugerez à propos. Au reste, quand on ne ferait
paraître
aucun ouvrage sur ce sujet, la Lettre du R.P. Caf
Religieux tel que le R. P. Caffaro. Je suis, etc. Le 2. mai 1694. IL
paraît
par la Lettre précédente, que l’Auteur des deux D
teur dût en empêcher l’impression. S’il se plaint de ce que l’ouvrage
paraît
sans son consentement, on le prie de considérer q
e pour satisfaire votre curiosité. Imaginez-vous donc de voir d’abord
paraître
une Vieille, qu’à son air et à ses habits on n’au
on Monsieur, on lui a donné un Valet, duquel, quoiqu’il n’ait point à
paraître
, on fait le caractère tout semblable au sien, c’e
ulant seulement plaisanter et faire enrager la Vieille, et sans qu’il
paraisse
qu’elle se doute déjà de quelque chose, « qu’il f
notre bile contre qui nous pique de cette manière subtile, sans qu’il
paraisse
que nous le fassions pour notre intérêt. Pour rem
e produire un caractère aussi outré que celui de ce bon Seigneur, qui
paraît
de cette sorte d’abord dans le plus haut degré de
lui quand il sera désabusé (qui est proprement le sujet de la pièce)
paraisse
d’autant plus merveilleux au Spectateur. C’est i
e bonne qualité, et n’ont pour tout mérite que leur bigoterie, ce qui
paraît
en ce que l’homme même qui est infatué de celui-c
ce dépit a cela de particulier et d’original par-dessus ceux qui ont
paru
jusqu’à présent sur le théâtre, qu’il naît et fin
s enfin la Suivante le chasse. À peine l’a-t-il laissée, que Panulphe
paraît
, criant à son valet : « Lorent, serrez ma haire a
ction est échauffée ; car un caractère de cette force tomberait, s’il
paraissait
sans faire d’abord un jeu digne de lui ; ce qui n
qu’il produit dans l’âme de toutes la plus concertée. À peine la Dame
paraît
, que notre Cagot la reçoit avec un empressement,
reçoit avec un empressement, qui, bien qu’il ne soit pas fort grand,
paraît
extraordinaire dans un homme de sa figure. Après
art à diminuer cette horreur naturelle, qu’il en a apporté à la faire
paraître
dans toute sa force, il n’aurait pu empêcher que
ire paraître dans toute sa force, il n’aurait pu empêcher que cela ne
parût
toujours fort odieux : de sorte que, cet obstacle
vir de la dévotion, et de l’employer partout à leur avantage, afin de
paraître
agir toujours par elle. Habitude qui leur est trè
ut que la chose éclate », et qu’elle soit sue dans le monde. Panulphe
paraît
surpris, et demeure muet, mais pourtant sans être
l’obliger à se découvrir tout entier par la facilité qu’elle lui fera
paraître
. Elle commande à Dorine de la faire venir. Celle-
lable. C’est ce qu’il serait inutile d’expliquer, parce que tout cela
paraît
très clairement par le discours même de la Dame,
s l’apparence première, et au jugement des autres, ce dernier outrage
paraisse
plus grand. En effet pendant que le galant va à l
vant toujours le caractère d’honnêteté qu’elle a fait voir jusqu’ici,
paraît
honteuse de la fourbe qu’elle a faite au Bigot, e
uger ; que l’intention est cachée ; que la passion préoccupe, et fait
paraître
les choses autrement qu’elles ne sont, et qu’enfi
lation par la violence et l’impudence de l’Imposteur, jusque-là qu’il
paraît
que c’est une affaire sans ressource dans les for
qu’on le fasse ! Je ne feins pas de vous avouer, que ce sentiment me
paraît
un des plus considérables effets de la corruption
peuvent rencontrer leurs ennemis. C’est pourtant là qu’elles doivent
paraître
; c’est dans les lieux plus profanes, dans les pl
et qu’ainsi c’est les détruire en quelque façon, que les réduire à ne
paraître
que parmi leurs Adorateurs. Mais passons plus ava
s des lieux indignes d’elle ? Il ne faut pas donc qu’elle dédaigne de
paraître
dans ces lieux, et qu’elle ait si mauvaise opinio
e se commettre jamais en des lieux qui ne contribuent pas à les faire
paraître
élevés et parfaits ; à la bonne heure : mais que
spectacles qui lui sont si agréables. C’est pour cela que leurs Dieux
paraissent
si souvent sur la Scène ; que les dénouements, qu
nuer au théâtre est un avantage si grand par-dessus les lieux où elle
paraît
avec toute son austérité, qu’il n’y a pas lieu de
ont tournées en ridicule d’une manière si vive et si puissante, qu’on
paraîtrait
sans doute ridicule, quand on voudrait les employ
posé, je suis persuadé que le degré de ridicule où cette pièce ferait
paraître
tous les entretiens et les raisonnements, qui son
l du Ridicule, il est aisé de voir pourquoi la galanterie de Panulphe
paraît
ridicule, et l’hypocrisie en général aussi ; car
car le mauvais effet que la galanterie de Panulphe y produit, le fait
paraître
si fort et si clairement ridicule, que le Spectat
écessaire pour en tirer le fruit que je prétends. Vous me direz qu’il
paraît
bien par tout ce que je viens de dire, que les ra
pression ; et qu’il est quelques instants, où la vue d’un objet qui a
paru
extrêmement ridicule dans quelqu’autre lieu, le r
ccasions. Que le sentiment du Ridicule soit le plus froid de tous, il
paraît
bien, parce que c’est un pur jugement plaisant et
ucher point du tout, et lui être indifférent, à plus forte raison lui
paraître
méprisable, pour peu que ce soit, c’est toujours
revenir à la liberté et à la raison, la moindre marque qu’il aura de
paraître
ridicule, le guérira absolument, ou du moins le t
isse être effacée entièrement, parce que, outre que ces raisonnements
paraissent
ridicules, comme je l’ai fait voir, ils le sont e
tent pas comme je les dis ; car ce n’est que dans les occasions qu’il
paraît
si on les a, ou non : ce n’est pas qu’alors même
able, mais même qu’elle l’est extrêmement, puisque c’est jusques à en
paraître
ridicule ? Voilà, Monsieur, quels sont les danger
importe qui que ce soit qui ait raison : car quoique cette affaire me
paraisse
peut-être assez de conséquence, j’en vois tant d’
ifient à leur Maîtresse des partis beaucoup plus considérables. Il me
paraît
donc que, si c’est là ce qui fait la grandeur de
é que deux moyens également difficiles, ou il fallait ne faire jamais
paraître
Cléopâtre sur la Scène, ou retrancher tout ce qui
on dans le cœur des Spectateurs. Si donc l’amour de Mithridate a fait
paraître
dans cette Pièce beaucoup d’esprit et d’imaginati
ssimulation, l’avidité de l’or, et toutes les passions humaines ne me
paraissent
pas dignes du Cothurne, et qu’il faut les abandon
elle a inspiré de l’amour à ses deux fils. Rodogune de son côté ne me
paraît
pas avoir plus de grandeur d’âme que sa rivale, l
er Cléopâtre : ainsi tout ce que ces deux femmes entreprennent, ne me
paraît
point s’accorder avec la grandeur des personnages
de faire un examen plus détaillé de cette Tragédie ; mais elle ne me
paraît
point du tout convenable pour être admise au Théâ
la Duchesse. A l’égard de la passion du Comte pour la Duchesse, il me
paraît
que malgré la constance avec laquelle le Comte y
nouvel examen que j’abandonne cet ouvrage, quelque admirable qu’il me
paraisse
d’ailleurs, et que j’en fais le sacrifice à la ju
, de la magnanimité et du courage, et le faible de la passion d’amour
paraîtra
toujours en défigurer le caractère. Bref, la mora
tendre. Aussi, malgré tout l’art d’un si grand maître, cette Pièce me
paraît
toujours non seulement hors d’état d’être représe
Des Acteurs anciens. L’art de la déclamation ou du jeu théâtral,
paraît
s’être perfectionné de nos jours, il est du moins
liers indiquaient les mouvemens qu’il fallait faire. Mais ce qui nous
paraîtrait
extrêmement ridicule, c’est que chez les Romains
n jeu, il ne se relâcherait jamais ; il ferait ensorte chaque jour de
paraître
un homme nouveau. On ne veut parler que du je
indifférent : ne serai-ce que dans l’instant qu’il parle, qu’il doit
paraître
ému, agité ? non, il faut que dans son silence mê
son ton, ni dans sa manière de se présenter. En un mot, il faut qu’il
paraisse
être réellement le personnage supposé ; & que
ire que la nature règne dans les ouvrages de Théâtre, il faut qu’elle
paraisse
aussi dans les gestes & dans tout ce que fait
rois pas que ses Poètes s’opposent à ce que je veux persuader : Il me
paraît
qu’ils conviennent devoir beaucoup à la représent
Enfants à déclamer, et de leur inspirer cette hardiesse honnête, nous
paraît
très faible, et il est fâcheux de dire et diffici
endre l’un, ni se donner l’autre, que sur un Théâtre sur lequel on ne
paraît
qu’une ou deux fois au plus en sa vie, et sur leq
plus grands Prédicateurs et de nos plus célèbres Avocats n’y ont pas
paru
. II. Nous défendons de joindre à la représentatio
le précédent Règlement : et si ce scandale arrivait, comme cela nous
paraîtrait
une profanation publique de ces lieux, et une esp
s un désordre manifeste et un scandale, que la même personne qui aura
paru
pendant les Offices Divins occupée à y chanter so
ges de Dieu et à servir à l’Autel au plus redoutable de nos mystères,
paraisse
ensuite et quelquefois le même jour sur un Théâtr
brement mon sentiment, ou, pour mieux dire, je proposerai ce qui m’en
paraît
de plus simple, de plus naturel et de plus aisé ;
née et bien conduite ; mais quant à l’article des bonnes mœurs, il ne
paraît
pas que l’Auteur en ait été occupé autant qu’il l
lination pour le mal. Si l’on corrigeait ce rôle de Laurette, si elle
paraissait
forcée à faire ce qu’elle fait, et qu’elle plaign
es Théâtres de l’Europe : il y corrige deux passions, qui à la vérité
paraissent
rarement dans le monde, mais qui ne sont jamais m
LA RÉCONCILIATION Normande, de M. Du Fresny , Cette Comédie me
paraît
excellente ; le Poète entreprend de corriger un d
ète entreprend de corriger un défaut qui, selon le titre de sa Pièce,
paraît
particulier à une Province, et par cette raison o
touche point au fond de la Pièce, qui après ces légers changements me
paraît
très digne du Théâtre de la Réformation. LE CO
Sicyone celui de Pédagogue : Eschile, dans sa Pièce des Cabires, fit
paraître
des gens ivres ; Méson, Acteur de Mégare inventa
Dramatique avait des masques particuliers, à l’aide desquels l’Acteur
paraissait
aussi conforme qu’il le voulait au caractère qu’i
Jeune-homme amoureux & aimé. Hippolyte, Hercule & Nestor, ne
paraissaient
sur le Théâtre qu’avec une tête reconnaissable, à
convenance avec leur caractère connu. Le visage sous lequel l’Acteur
paraissait
, était toujours assorti à son Rôle ; & l’on n
ient tirer des masques mêmes le pathétique. Dans les Tragédies, Niobé
paraît
avec un visage où se peint le desespoir ; Médée n
répondaient au reste de l’habillement des Acteurs, qu’il falait faire
paraître
plus grands & plus gros que des hommes ordina
faire attention. Quel est en effet l’objet de ces Piéces, où l’Auteur
paroît
ne songer qu’à faire rire ? De faire connoître la
estent de Ménandre, de Philemon, & de plusieurs autres Poëtes, il
paroît
qu’elle étoit toute morale, & sententieuse. E
de la même façon. Ce qui paroissoit plaisant aux Atheniens, peut nous
paroître
froid, & ce qui étoit un bon mot pour eux, pe
té mise au nombre de nos bonnes, puisque depuis tant d’années qu’elle
paroît
sur notre Théâtre, elle fait rire & le Parter
vante d’avoir pleuré à une belle Tragédie, parce qu’on est flatté de
paroître
avoir un cœur tendre : mais on ne se vante point
sa charge très-mal. Une fine plaisanterie est souvent un mot dit sans
paroître
vouloir plaisanter. Lorsque dans les Plaideurs, l
ie Dramatique est toute Action, & toute Action de la Comédie doit
paroître
plaisante. Un bon Poëte Comique fait comme les Pe
laisans sur le Théâtre, par la maniere dont le Poëte sait les y faire
paroître
: l’Imitateur sait même nous faire appercevoir d’
us forte impression que le péché ait faite dans nos âmes, ainsi qu'il
paraît
assez par les désordres horribles qu'elle produit
nue davantage cette horreur que la Comédie; parce que cette passion y
paraît
avec honneur et d'une manière qui, au lieu de la
rendre horrible est capable au contraire de la rendre aimable. Elle y
paraît
sans honte et sans infamie. On y fait gloire d'en
la plus forte impression que le péché ait faite sur nos âmes, ce qui
paraît
assez par les désordres horribles qu'elle produit
nue davantage cette horreur que la Comédie, parce que cette passion y
paraît
avec honneur et d'une manière qui, au lieu de la
a rendre horrible, est capable au contraire de la faire aimer. Elle y
paraît
sans honte et sans infamie. On y fait gloire d'en
défigurée sous prétexte de l’embellira. Ils se sont imaginés qu’elle
paraîtrait
bien plus aimable s’ils en rendaient l’acquisitio
rète pour tous les beaux esprits. Car quelle apparence y a-t-il qu’il
paraisse
à ses yeux un diable vêtu de chair humaine, parce
s sans que le fils osât lui dire mot, que la religieuse, bien loin de
paraître
sur un théâtre, fit dans son couvent une pénitenc
L'intrigue de cette comédie aurait été mieux conduite, s’il n’y avait
paru
pour tous personnages qu’un père qui eût fait des
de Molière ne vous a point donné de mauvais exemple, lorsqu’il a fait
paraître
un jeune homme qui avait tant d’antipathie pour l
arences, et que par conséquent il faut être coupable en effet pour le
paraître
devant lui. Ou bien, si vous avez tant d’aversion
n esprit, le faire passer pour l’acteur le plus achevé qui eût jamais
paru
, et comme cet éloge nous aurait persuadés que vou
e méchant parti pour exercer la facilité qu’ils ont de prouver ce qui
paraît
le plus faux, qu’ils ont cru que cette réputation
e maxime bien conçue et fort spirituelle ; et de plus, le succès m’en
paraît
infaillible. Quand on compose un livre qui diffam
pour l’ordinaire en tels Jeux, sont des pièces d’amour déshonnête qui
paraît
avec la plus grande effronterie qui se puisse ima
cet appareil odieux que nous avons dit, que les Joueurs et Joueuses y
parussent
en leur habits ordinaires, le Théâtre sans ce qu’
en auraient condamné l’usage ? Aussi ont-ils fait souvent, comme il
paraît
en un Concile de Constantinople, qui prohibe abso
honneur. Les Princes séculiers les ont-ils ainsi mal traités ? Il y
paraît
par ce que l’Empereur Théodose L. ad bestias ! co
assister ? Il est presque aussi grand que celui des Acteurs, qui ne
paraîtraient
pas en public, s’ils n’y étaient attirés par ceux
t amis. La différence de celle-ci aux autres est si visible, qu’elle
paraît
toute contraire. En quoi paraît cette si grande
i aux autres est si visible, qu’elle paraît toute contraire. En quoi
paraît
cette si grande différence ? C’est premièrement
t rarement, et hors une ou deux qui ont déjà vieilli, il n’en a point
paru
de cette sorte. Mais n’en pourrait-on pas compos
ession de cette Réfutation, il est aisé de voir qu’elle était prête à
paraître
, lorsqu’on publia la Lettre écrite à Monseigneur
forts ; mais je ressentis une véritable joie de ce désaveu Iorsqu’il
parut
, et je doutais même si je ne supprimerais pas ent
ruire : je me trouve engagé à joindre mon Ouvrage à ceux qui ont déjà
paru
, croyant qu’on ne peut trop écrire là-dessus, et
re un mot du Récitatif : l’Opéra-Bouffon l’employe souvent, quoiqu’il
paraisse
lui être étranger ; & je ne veux en parler ic
acer le Vaudeville à la fin d’un Drame comique. Sans doute qu’il leur
parut
un moyen de terminer leurs Pièces avec gaité, &am
ement satisfait davantage le Spectateur, & que le moindre mot lui
paraît
froid & ridicule, après que l’intrigue est dé
qu’il est précédé & suivi du discours simplement récité ? Il doit
paraître
alors tout-à-fait èxtravagant. Je n’adopte pourta
l’intérêt » (66). Je crois seulement que le chant à côté de la parole
paraît
encore moins naturel que lorsqu’il marche seul.
ie, ne peut sans peine entendre ensuite un chant trop simple, qui lui
paraît
d’une froideur èxtrême. J’éxaminerai tout-à-l’heu
on revenait à l’ancien usage, l’esprit y gagnerait, le Poète pourrait
paraître
, le Drame serait naturel & sa marche plus rap
le qu’il ne se soutiendrait point à côté d’un morceau de musique ; il
paraîtrait
bientôt d’une froideur èxtrême ; j’en ai parlé pl
onie ne sont que l’accessoire, & où par conséquent ils ne doivent
paraître
qu’à propos & avec briéveté. Des raisons enco
sens ; on veut y trouver des choses au-lieu de mots. Il faut qu’elle
paraisse
plutôt être faite pour èxprimer avec élégance un
st comme accoutumée à une harmonie continue. Ce que dit d’Aubignac me
paraît
fort sensé : « le Théâtre peut bien, sans doute,
it, les morceaux de Chant à une seule voix, où règne la tendresse, me
paraissent
presque toujours, dans les Drames du nouveau Théâ
tionnaire de Musique ; » les roulades qui, dans les airs pathétiques,
paraissent
si déplacées, ne le sont pourtant pas toujours :
nt de l’endroit où une expression est placée ? L’Harmonie de nos Vers
paroît
à quelques Espagnols, comme à D. Feijoo, une paru
ësie. Je ne m’arrête point à Crescembeni, à qui toute Piéce Italienne
paroît
une merveille ; mais je suis fâché de voir le P.
la Françoise, les Héros de l’Antiquité, de même que nous les faisons
paroître
sur le Théâtre avec des parures Françoises, ensor
lli, grand admirateur de notre Tragédie, nous reproche aussi de faire
paroître
Agamemnon avec une perruque & un chapeau. Cet
té. Ne croyons pas non plus que toutes les Tragédies Italiennes ayent
paru
à tout Italien, comme à Crescembeni, autant de me
& pourquoi notre Rhodogune même n’a-t-elle pu lui plaire, ce qui
paroît
par la longue critique qu’il en a faite ? Quand i
me le sont parmi nous celles de Moliere. Dans ce même Livre Riccoboni
paroît
vouloir nous faire entendre qu’il représenta avec
lle fut jouée onze fois. On a parlé de cette Tragédie parce qu’elle a
paru
sur le Théâtre. S’il n’eût fait que l’écrire, ell
ans laquelle les Critiques ont relevé tant de défauts, fut quand elle
parut
, si vantée par les Gens de Lettres de l’Italie, &
ntée par les Gens de Lettres de l’Italie, & même parmi nous. Elle
parut
écrite & conduite plus naturellement que tout
rreur d’une Passion qui a des suites si terribles : l’objet de Dryden
paroît
tout contraire. Il intitule sa Tragédie, Tout pou
& ses Ministres, sous le Personnage du Curé de S. Eustache qui y
paroît
. La Tragédie Angloise s’est perfectionnée, &
’y avait alors que les Ouvrages d’Hédelin pour la Comédie qui avaient
paru
en 1657. En la même année 1657. M. le Curé de sai
té ; ce que ce Docteur exécuta en 1666. Le public fut surpris de voir
paraître
dans la même année une Apologie de la Comédie, pa
sur la condamnation des Théâtres. Ce Livre a été imprime en 1671. Il
parut
en 1672. une autre pièce contre la Comédie, qui s
contraire dans cet Ouvrage. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant
paru
à Paris durant le Carême, plusieurs Prédicateurs
HISTOIRE DES OUVRAGES Qui ont
paru
pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle.
r exécuta en 1666, à Paris, chez Promé. Le Public fut surpris de voir
paraître
dans la même année une apologie de la Comédie, pa
œurs des Chrétiens, condamne les Théâtres ; chez Aubouin, en 1682. Il
parut
en 1672 une autre Pièce contre la Comédie, qui se
ause de la seule idolâtrie. La Lettre de ce prétendu Théologien ayant
paru
à Paris en 1694 durant le Carême, plusieurs Prédi
ndamnation des Spectacles. Le troisième ouvrage contre la Comédie qui
parut
après la Lettre du P. Caffaro, qui la défendait,
lit tant cette horreur que les spectacles ; parce que cette passion y
paraît
sans honte et sans infamie, parce qu’elle y paraî
ue cette passion y paraît sans honte et sans infamie, parce qu’elle y
paraît
même avec honneur, d’une manière qui la fait aime
même avec honneur, d’une manière qui la fait aimer ; parce qu’elle y
paraît
si artificieusement changée en vertu, qu’on l’adm
nière plus délicate, et qui n’en est que plus périlleuse, lorsqu’elle
paraît
plus épurée ; parce que l’esprit la regarde avec
e s’empare d’autant plus facilement des âmes innocentes, qu’elle leur
paraît
plus innocente elle-même. On s’imagine que ce n’e
, on se pénètre à loisir des mêmes vues, des mêmes penchants que font
paraître
les personnages qu’on représente. On se sent atte
amusent de tout sans scrupule, et qui, entraînés par tout ce qui leur
paraît
agréable, se livrent à toutes les impressions qu’
me qui invite à la volupté, tout ce qu’on entend avant que ces femmes
paraissent
et après qu’elles ont paru ; ajoutez le son des i
ce qu’on entend avant que ces femmes paraissent et après qu’elles ont
paru
; ajoutez le son des instruments de diverse espèc
e et épris des charmes d’une femme étrangère, votre propre femme vous
paraît
sans agréments, vos enfants vous sont à charge, v
pompeux. L’Opéra ne fit aucun progrès chez les Romains. Il ne
paraît
pas que les Romains ayent fait changer de forme a
ieux inspirait à sa naissance un ennui insupportable ; mais dès qu’il
parut
en Français, il commença d’acquérir des Partisans
écolier en comparaison de Rameau ; ces derniers, je ne sais pourquoi,
paraissent
être les plus forts : nous éxaminerons plus bas q
oire. Nous adoptons un genre nouveau de Spectacle, parce qu’il nous a
paru
qu’il était agréable. D’ailleurs, nous en avons r
qu’il y avait de plus distingué à la Cour. Louis XIV. daigna lui-même
paraître
dans quelques Balets. La Pièce intitulée le Triom
e la figure de plus d’un Danseur n’est guères agréable quand elle ôse
paraître
sans voile ; mais alors elle est au moins l’image
perbe ; la nuit la plus obscure succède au jour le plus vif ; l’enfer
paraît
dans des lieux où l’on admirait l’Olimpe. A peine
la Scène change, un Spectacle différent se découvre, d’autres Acteurs
paraissent
, & une nouvelle harmonie se fait entendre. Le
rveilleux, & ceci en étant le comble. D’ailleurs, la Divinité qui
paraît
tout-à-coup pour dénouer un Poème lyrique bien co
e nouvelle carrière Cet Auteur est, je crois, le prémier qui ait fait
paraître
à l’Opéra, des Sylphes, ou des Esprits élémentair
die & de la Tragédie. Voici comme je prouve mon sentiment, qui ne
paraît
hazardé qu’au prémier coup d’œil. Lorsque l’on di
ssi forte. Le merveilleux perd alors une partie de ses charmes, &
paraît
sur-tout à l’homme délicat une absurdité insouten
multipliés sont diviser en un nombre d’Entrées considérables ; ce qui
paraît
absurde, & tout à-fait contre la règle, qui v
is il ne ferait point des vers lyriques. Lorsque de nos jours on voit
paraître
un Drame nouveau sur le Théâtre de notre Opéra-sé
r & d’illusion à tout ce qu’on y représente. Pourrions-nous faire
paraître
réellement sur la Scène cent Cavaliers montés sur
u’on se garde de rien changer à la musique de Lully ; qu’on la laisse
paraître
telle qu’elle est ; & qu’on ne mêle jamais su
eurs écrivaient pour la Scène chantante, on espérerait y voir souvent
paraître
plusieurs Poèmes éxcellens ; le génie de Quinault
es représentations ? Les nouveaux Directeurs, MM. Trial & Berton,
paraissent
vouloir remédier à une partie des inconvéniens do
lieu d’appréhender un jour sa décadence, toutes dangereuses qu’elles
paraissent
, ne sont encore rien en comparaison de la dernièr
Scène de l’Opéra-Sérieux est couverte d’une multitude d’Acteurs, qui
paraissent
habillés par les mains de la richesse & du go
2. On trouve dans le Dictionnaire de Musique, par J. J. Rousseau, qui
paraît
depuis quelques mois, des observations très-curie
u’ils firent chanter des paroles Françoises longtems avant que Pomone
parut
. 45. M. Lacombe. 46. M. le Comte de St. Florent
fâcheuses ; mais à quelque point qu’elles le soient, elles ne vous le
paraissent
jamais assez pour vous forcer à revenir sur les p
garder les spectacles que comme un amusement, cette raison seule vous
paraît
suffire pour les condamner. « La vie est si court
ux qui l’instruisent en l’amusant. Or les bonnes pièces de Théâtre me
paraissent
réunir ces deux derniers avantages. C’est la mora
homet, je crois pouvoir le dire de même des autres Tragédies qui vous
paraissent
si dangereuses. Il n’en est, ce me semble, aucune
pinion assez généralement établie) que le sujet de Venise sauvée k me
paraît
bien plus propre au Théâtre que celui de Manlius
ux que des Sénateurs qui cabalent pour se rendre maîtres. Mais ce qui
paraît
, Monsieur, vous avoir choqué le plus dans nos piè
effet le ressort presque unique du Théâtre Français ; et rien ne vous
paraît
plus contraire à la saine morale que de réveiller
chercheriez en vain à détruire cette passion dans les hommes ; il ne
paraît
pas d’ailleurs que votre dessein soit de la leur
die comme un nouveau moyen de corruption, la plupart de nos pièces me
paraissent
bien propres à nous rassurer à cet égard. Ce qui
en croit la multitude, est l’âme de nos Tragédies ; pour moi, il m’y
paraît
presque aussi rare que dans le monde. La plupart
e la conduite qu’on doit tenir avec les hommes. Philinte m’a toujours
paru
, non pas absolument comme vous le prétendez, un c
s pas cela » répétés avant que de déclarer franchement son avis, vous
paraissent
hors de son caractère. Permettez-moi de n’être pa
le sort de nos pareils a bien plus de droits à nos larmes. Ce qui me
paraît
blâmable dans ce genre, ou plutôt dans la manière
ut ce qu’elles doivent à l’opinion publique, qui peut les condamner à
paraître
ignorantes, mais non pas les forcer à l’être. On
cet avantage même forme contre vous une objection incommode que vous
paraissez
avoir sentie en n’osant vous la faire, et à laque
pplaudissent de même à votre sévérité. C’est d’après un désir qui m’a
paru
presque général dans vos concitoyens, que j’ai pr
anses que vous voulez mettre à la place de la Comédie ; et qu’il leur
paraît
plus dangereux encore de se donner en spectacle q
’argent ; et dans le peu de temps que j’ai passé parmi eux, ils m’ont
paru
assez avancés, ou si vous voulez assez pervertis,
épense ; c’est du moins la disposition où plusieurs d’entre eux m’ont
paru
être, et c’est en conséquence que j’ai hasardé la
urs ouvrages, d’après des conversations publiques où ils ne m’ont pas
paru
prendre beaucoup d’intérêt à la Trinité ni à l’E
ut-être le moyen le plus sûr d’en être aussi satisfait que vous me le
paraissez
. Ne prenez point cette invitation pour un trait d
aux progrès inattendus de la Philosophie dans les esprits même qui en
paraissaient
les moins susceptibles ? Mon article Genève n’a p
tolae duorum amantium), sans ironie possible sur La Nouvelle Héloïse,
parue
en 1761. x. [NDE] Elisabeth de Bohême, Princess
a pièce dont vous parlez ; Eriphile, Achille, et Iphigénie même m’ont
paru
des personnages fort amoureux. TIMANTE. J’avoue
les temps. Quelle raison je vous prie avons-nous maintenant de faire
paraître
l’Amour sur le Théâtre, quelle raison avaient-ils
n’eût consulté que le goût des Dames Athéniennes. Son Antigone aurait
paru
avec d’autres intrigues et d’autres passions que
nt une mort comme celle-là : Bien loin de s’étudier à ne faire jamais
paraître
ensemble ces deux Amants, il aurait ménagé entre
laire, s’il n’eût pas fait plus de scrupule que nos Auteurs, de faire
paraître
l’amour sur le Théâtre. CLEARQUE. Je vois bien
ique. Mais quelle que fût cette autorité, les Anciens n’ont rien fait
paraître
en sa faveur qui pût nuire à la vertu des gens de
violent, n’est-ce pas vouloir le bannir tout à fait ? Ce sentiment me
paraît
encore plus austère que celui d’Achille, lorsqu’i
éfendre à Thespis, un des premiers Auteurs de la Tragédie Suidas., de
paraître
en public, parce qu’il lui semblait que le menson
rte que l’amour ; on pouvait même tirer Oreste du Berceau et le faire
paraître
sur le Théâtre en âge d’agir et d’aider à l’embel
de travailler à sa Pièce, et s’il vous avait dit qu’il voulait faire
paraître
sur le Théâtre une Princesse dont toute la tendre
C’est pourtant ce qui fait tout le jeu du Théâtre, c’est ce qui fait
paraître
toute la tendresse et tous les embarras d’Agamemn
u du moins elle diminue beaucoup. Dans la dernière Sophonisbe w qui a
paru
sur le Théâtre, on n’est point touché du malheur
qu’ils auraient peu de tendresse, ou que si on leur en donnait, elle
paraîtrait
indigne de la sainteté de leur foi. TIMANTE. Il
elles choses. N’avez-vous jamais lu d’Histoire de Martyr qui vous ait
paru
propre pour le Théâtre ? CLEARQUE. J’en sais pl
ui offre, va elle-même le livrer à la mort : tout cela ne peut-il pas
paraître
sur le Théâtre Français ; et plaire même aux gens
ou de voir périr son fils, ou de quitter la foiaj. Si cette Histoire
paraissait
devant vous avec les ornements du Théâtre, vous n
ra peut-être rien à lui reprocher sur la première Tragédie qu’il fera
paraître
. TIMANTE. Nous avons vu réussir des Tragédies,
. CLEARQUE. Ces Auteurs qui ont entrepris, à ce qu’on dit, de faire
paraître
une nouvelle Iphigénie, incomparablement plus bel
t aux Auteurs qui introduisent des femmes sur le Théâtre de les faire
paraître
dans la modestie et la retenue qui est le propre
ont des égards pour les Spectateurs que nous n’avons pas. S’ils font
paraître
quelque femme transportée d’amour, comme Phèdre d
ire naître la joie, & procurent de solides avantages. Ce qui nous
paraît
d’abord le plus frivole, offre une certaine utili
nt, encouragent les Lettres & les font souvent refleurir. S’il en
paraissait
un dénué de bonnes qualités, & dont le princi
e d’un seul homme de génie. L’Opéra-Bouffon, au contraire, ne saurait
paraître
sans le secours de plusieurs mains habiles. Il fa
ysans, les savetiers, & d’autres gens de cette espèce, qu’on voit
paraître
tous les jours sur la Sçene. Les Bergers se sont
itre III. Origine des Théâtres. L’époque des Spectacles ne me
paraît
pas juste. On prétend qu’ils ne furent connus qu’
ques plaisanteries de leurs Drames naissans. Le savant Isaac Casaubon
paraît
être de mon avis ; il date de bien loin la naissa
rémière simplicité. Les Faunes, les Silvains & les Bacchantes, me
paraissent
autant d’Acteurs qui représentent divers personna
commentateurs. En faut-il d’avantage pour appuyer mon opinion ? S’il
paraît
que le genre tragique se soit plutôt perfectionné
au Drame, ils devaient lui faire mériter cet honneur. Le comique leur
parut
indigne d’une telle source. Mais si leur vue s’ét
a Chaussée, & au Père de famille, tout ce que je viens de dire ne
paraît
plus hazardé. Le genre de la plaisanterie enfante
commune voix, que la Grèce les connut la prémière ; cette opinion me
paraît
très-mal fondée : je ne vois pas pourquoi quelque
soin d’en bâtir à grands frais pour les Spectacles. La Grèce fait
paraître
les Spectacles avec éclat. Voilà, selon moi,
e nouvelle forme ; ils le tirèrent par dégrés de l’avilissement où il
paraissait
devoir rester toujours, & le portèrent enfin
uguste l’honnora, & le goût qu’il conçut pour les Belles-Lettres,
paraissaient
devoir immortaliser la gloire du Théâtre. A peine
xcellent Comique en France n’est venu qu’après la Tragédie. Il me
paraît
que notre genre comique, ainsi que celui des Grec
ls avaient occasion de parler. Nous l’avons adopté parce qu’il nous a
paru
propre à éxprimer en peu de mots un instant de di
n faites. Les Sçènes doivent être si bien liées ensemble qu’elles
paraissent
ne faire qu’un seul & même tout. C’est-à-dire
tif déterminé. Il faut que le concours des circonstances les oblige à
paraître
dans le lieu de l’action. Il serait ridicule de l
intitulée, la jeune Grecque. En général, ayez soin que vos Acteurs ne
paraissent
pas sans avoir quelque chose à dire, & sans ê
observer en quittant la Scène. La remarque que je vais mettre ici
paraîtra
superficielle ; mais on ne saurait être trop minu
’Opéra-Bouffon. Il est vrai que les Poètes de nos Drames favoris,
paraissent
être éxcusables de se permettre quelques négligen
six où Démée revient des courses que lui a fait faire le fourbe Syre,
paraît
devoir être plutôt la prémière Scène du cinquième
vraisemblance ; il aurait bien dû s’élever aussi contre les Scènes où
paraît
l’Infante, qui ne sont ni liées au sujet, ni amen
on décidée ; en un mot un homme du monde se charge d’un ministère qui
paraît
purement apostolique. Je ne me serais d’ailleurs
rand nombre de personnes déjà trop prévenues en faveur du Théâtre. Il
paraît
que le véritable objet de M.F. est de prouver que
ter à la fin de ce petit ouvrage une histoire abrégée de ceux qui ont
paru
pour et contre la Comédie depuis le dix-septième
que ces Observations n’étaient pas proposables à tout le monde. Il a
paru
embarrassé de savoir à qui il s’adresserait. On n
res Les Femmes savantes. follement entêtées d’être savantes, et de le
paraître
. Des L’Ecole des Maris. Le Cocu imaginaire. L’Ava
es qu’on vient de récapituler, quelques vices qui, au premier aspect,
paraissent
plus réels et plus essentiellement contraires aux
re. « Parbleu, je viens du Louvre où Cléonte au levé, Madame, a bien
paru
ridicule achevé. … … … … … Célimène. Dans le
plaire ; Il prend toujours en main l’opinion contraire, Et penserait
paraître
un homme du commun, Si l’on voyait qu’il fût de l
sidérée sous différents rapports, sous différents points de vue, peut
paraître
bonne et mauvaise, louable et répréhensible. Tell
faire détester le vice, que de l’exposer publiquement, et de le faire
paraître
au grand jour. Ceux qui ne le connaissent pas app
la plus forte impression que le péché ait faite sur nos âmes, ce qui
paraît
assez par les désordres horribles qu’elle produit
ue davantage cette horreur que la Comédie ; parce que cette passion y
paraît
avec honneur, et d’une manière qui, au lieu de la
a rendre horrible, est capable au contraire de la faire aimer. Elle y
paraît
sans honte et sans infamie ; on y fait gloire d’e
ge des passions, c’est-à-dire l’art de s’en exprimer, et de les faire
paraître
d’une manière agréable et ingénieuse, ce qui n’es
ersonnes, sans être touchées de passions, et voulant simplement faire
paraître
leur esprit, se trouvent ensuite insensiblement e
on sent combien le retranchement qu’on en conseille doit déplaire, et
paraître
dur aux amateurs. M.F. a même trouvé moyen de les
où serait l’utilité d’être sévère sur les nouvelles, si on en laisse
paraître
impunément à côté d’elles d’autres qui méritent l
e ; mais ce ne sont pas les seules de condamnables en ce genre. Il en
paraît
journellement au Théâtre qui le sont autant, et s
rt sont sans intrigues et sans amour, où il y est bien faible, et n’y
paraît
, pour ainsi dire, qu’en passant. Sans aller cherc
; mais la passion ne parle dans aucune de ses scènes. On ne voit même
paraître
qu’un instant la fille qu’on destine au héros de
ceptible de toutes sortes de vices ; il n’en est point qui n’y puisse
paraître
, si on l’habille avec décence et avec une certain
loyer avec avantage ; il en est qui ne l’ont jamais été, parce qu’ils
paraissent
moins heureux, ou plus bas, comme le Gourmand, le
et qu’ils se mêlent de traiter. Leur vrai but, dit-il, leur grand but
paraît
être uniquement de briller, et de se faire prompt
x folles passions, capables seules de corrompre toute une nation, lui
paraissent
être le grand objet de nos Poètes, et en être l’o
ant d’après nature, exact sans affectation d’exactitude, correct sans
paraître
s’être gêné, serré dans sa prose, libre et aisé d
détruire une autre qui commence ses observations, et sur laquelle il
paraît
faire un grand fond. Tous les défenseurs du Théât
est servi de plusieurs moyens de réplique contre cette objection, qui
paraissent
également raisonnables et décisifs, et dont l’on
viter de plus grands maux, comme on a toléré autrefois des choses qui
paraissaient
plus mauvaises, il faut du moins qu’on fasse ente
èses, et de plusieurs Mandements peu favorables à la Comédie, qui ont
paru
au commencement de ce siècle. On lui répond que o
n le prie d’y jeter de nouveau les yeux. Quant aux Mandements qui ont
paru
au commencement de ce siècle, est-ce les détruire
int que détesté ? Ce n’est pas un principe général, que tous ceux qui
paraissent
en public soient en butte à la médisance ; c’est
. 2. [NDA] Le P. Le Brun. 3. [NDA] Les nouvelles Observations ont
paru
dans le Public à la fin de l’année dernière ; mai
Français par le P. Brumoy. 11. [NDA] Les nouvelles Observations ont
paru
dans le temps du Jubilé, dont M.F. a voulu sans d
ailleurs, si plusieurs de mes raisonnemens & de mes dénominations
paraissent
quelquefois tomber à faux, j’ai découvert que mes
i entreprend d’écrire sur un pareil Spectacle ? Est il étonnant qu’il
paraisse
se contredire quelquefois ? Les autres Théâtr
rire & de corriger ; au-lieu que chaque Poème de l’Opéra-Bouffon
paraît
, pour ainsi dire, avoir été composé pour quelque
llé Opéra-Bouffon. Il s’en suit de-là que presque tous les Poèmes qui
paraissent
chaque jour au Spectacle moderne ne sont point ju
ue. On n’avait d’autre reproche à leur faire que celui de ne jamais y
paraître
, et de ne point se couronner de fleurs comme les
ues et ridicules. La pudeur, l’innocence, la piété et la justice, n’y
paraissent
que pour essuyer le mépris des spectateurs : auss
aient perdre la vie de la grâce. Vous, jeune personne, gardez-vous de
paraître
dans ces lieux pernicieux où votre innocence ne m
Les devoirs que vous remplissez maintenant avec joie et facilité vous
paraîtraient
gênants et onéreux, et les plus respectables et l
t gênants et onéreux, et les plus respectables et les plus réels vous
paraîtraient
ridicules et chimériques. Vous douteriez des véri
un Drame ; mais un seul est dominant ; c’est pour lui que les autres
paraissent
sur la Sçène ; ils servent à le faire sortir d’av
personnages d’un Drame ne doivent jamais se démentir. Dès qu’ils ont
paru
fourbes, méchans, amoureux, bons ou cruels, il fa
l’a vu d’abord. Dans les chefs-d’œuvres des grands maitres, le Hèros
paraît
à la catastrophe tel qu’il a été dépeint dans l’é
u Théâtre par différents Auteurs, changerait toujours de forme, &
paraîtrait
presque tout autre. La raison de cette variété pe
ncore une fois, & je ne me lasserai point de le dire, parce qu’il
paraît
que les Poètes de ce Spectacle n’y songent guères
ut que ses Acteurs badinent noblement. La règle que je conseille ici
paraîtra
peut-être une étrange nouveauté à notre Spectacle
ice a eu dit ce que j’étais & ce que je desirais, personne n’en a
paru
fâché ; parce qu’heureusement Mademoiselle *** av
er à ceux qui je devais jouer, en fesant une Répétition chez elle. Je
paraissais
sa protégée : on se prêta à tout ce qu’elle voulu
l avait vu l’Affiche, & qu’elle annonçait une Actrice qui n’avait
paru
sur aucun Théâtre. Je soupirai : – Mon ami ! pen
me reconnaissait plus. L’instant arrive : la toile se lève : il faut
paraître
: je m’avance sur la Scène : un profond silence r
is occupée du soin de ma maison, lorsque monsieur D’Alzan rentra ; je
paraissais
jouir d’un calme, incompatible avec ce qui venait
assidûment, & parvient enfin à saisir sa manière. Son père ayant
paru
surpris de ses absences, elle se crut obligée de
le-même ; plaît universellement à une Répétition qu’on fit à la hâte,
paraît
aussitôt sur la Scène, éclipse sa Rivale autant p
nt guère propres à divertir les spectateurs. Ceux qui ont voulu faire
paraître
des saints sur la scène ont été contraints de leu
nce, l’homme le plus fougueux, le plus impétueux et le plus violent y
paraîtra
aimable, et plaira davantage par sa fureur, par s
ue la vertu pour briller. S’il se tue dans un moment de désespoir, il
paraît
mourir noblement. « De même que la lecture des ro
our au Ministre. Le goût du Prince ayant changé à leur égard, ils n’y
paraissent
plus, ils y seraient sifflés, et leur banc a été
r la mettre sous son nom. En fait de gloire il embrassait tout ce qui
paraît
le plus se contredire. Sa fureur ridicule pour le
qui paraît le plus se contredire. Sa fureur ridicule pour le théâtre
parut
avec éclat dans la composition des pièces dramati
icule, la bassesse, la grossièreté, font ordinairement le mérite, qui
parurent
au Cardinal un trésor précieux, soit qu’il espérâ
rtées. Il avait honte d’abord de s’avouer Poète, les premières pièces
parurent
« sous le nom de Desmarets (ce fameux visionnaire
yent ces flatteries ! 2.° La condamnation du Cid. Dès que cette pièce
parut
elle enleva tous les suffrages, et causa une surp
immense disproportion de tous leurs ouvrages les plus estimés, qui ne
paraissaient
auprès de lui que des ébauches d’écolier. Scudéry
njures, de personnalités, de chicanes. Corneille eut la faiblesse d’y
paraître
sensible, d’y répondre aussi vivement, et de fair
réunir à tant d’autres, le rendit jaloux du Cid. Dès que cette pièce
parut
, il en fut aussi alarmé que s’il avait vu les Esp
onta sur le ton du jour, et tout lui applaudit. Si ces chefs-d’œuvres
paraissaient
aujourd’hui, ils seraient froidement accueillis ;
usie, qu’on importunerait tous les jours l’Académie, et que dès qu’il
paraîtrait
quelque chose sur le théâtre, le moindre Poète se
serait un retardement au travail du Dictionnaire, etc. » Ces raisons
parurent
frivoles, le Cardinal s’offensa de ces retardemen
u, et les théâtres dans ses maisons de ville et de campagne ; il fait
paraître
la Conduite à la perfection, et compose Mirame, l
’il s’agit d’attaquer un préjugé auquel on ne peut toucher sans qu’on
paraisse
manquer aux bonnes mœurs. Mais j’ôse le dire, nou
us nous amusons d’abord des leçons que la réfléxion nous fait ensuite
paraître
sérieuses. C’est à la Tragédie à peindre l’horreu
pag. 274. lig. 10. Monsigi ; lis. Monsigni. pag. 329. lig. 7. qu’ils
paraissent
; lis. qu’il paraisse. pag. 342. lig. 18. pour ê
gi ; lis. Monsigni. pag. 329. lig. 7. qu’ils paraissent ; lis. qu’il
paraisse
. pag. 342. lig. 18. pour être gouvernée ; lis. p
insi avec moins de regret. De là cette constance stoïque, qu’ils font
paraître
dans les tourments ; et qui est plutôt l’effet d’
rs significations à l’Ecriture Sainte ; surtout lorsque le sens moral
paraît
conforme à celui que la lettre présente d’abord.
igion. Mais pourquoi nous arrêter à une question de nom, lorsque tout
paraît
idolâtrie dans la chose ? En effet tous les jeux
proprement à ces derniers que convient le nom de Pompe. C’est ce qui
paraît
par la prodigieuse quantité des simulacres, par l
es, de celle qui préside à la tutelle des fruits. Devant ces colombes
paraissent
trois autels consacrés à autant de dieux ; c’est-
rist ne détesterez-vous pas des objets, dont les auteurs doivent vous
paraître
si détestables. Ajoutons un mot sur ce qui regard
autre chose que de malins esprits, c’est-à-dire, des démons. D’où il
paraît
manifestement, que les actions théâtrales dont no
nts dédiés aux Muses, à Apollon, et à Minerve ; de même dans celui-là
paraissent
les bandes martiales consacrées à Mars ; parce qu
-ce que pour répondre à quelques-uns, qui se prévalent de ce qu’il ne
paraît
point de loi positive, qui nous défende d’assiste
victimes de l’impudicité, qui ont prostitué leur corps au public, ne
paraissent
-elles pas aussi sur le théâtre, d’autant plus mis
e découvrant ailleurs leur turpidité qu’aux hommes, ici elles la font
paraître
aux yeux des autres femmes, à qui elles avaient e
elés gens de bien. Certainement il y a des gladiateurs innocents, qui
paraissent
dans l'amphithéâtre, pour devenir les hosties du
ens, dis-je, jugent du bien et du mal selon leur caprice. Ce qui leur
paraît
bon aujourd’hui, leur paraît mauvais demain : ce
t du mal selon leur caprice. Ce qui leur paraît bon aujourd’hui, leur
paraît
mauvais demain : ce qu’ils regardent ici comme il
rt d’un vêtement aussi bigarré que celui d’un maître d’impudicité, il
paraît
élevé sur un char ? Ne dirait-on pas que le diabl
e dis rien de celui qui pousse un autre au-devant d’un lion ; afin de
paraître
moins homicide, que la bête féroce qui le met en
cet homme est devenu chrétien : il a renoncé aux spectacles ; il n’y
paraît
plus. Vous voyez par là que celui qui ôte cette m
qu’en use le démon : il cache son poison mortel en des viandes où il
paraît
le plus de délicatesse et d’agrément. Par conséqu
s nations de la terre assemblées verront, et plus tôt qu’on ne pense,
paraître
le Seigneur au milieu des nues ; alors triomphant
radition de l’Eglise touchant les spectacles, et que cette matière ne
paraît
pas achevée, si on ne traite le point proposé ; n
er si on doit les joindre, et il est trop évident qu’on ne peut faire
paraître
l’Ecriture sur le Théâtre sans l’altérer et la pr
aire le sujet et le partage de ce Discours. L’Ecriture Sainte ne peut
paraître
sur le Théâtre sans y être altérée et corrompue,
que la question est terminée, et qu’on ne doit plus penser à laisser
paraître
sur le Théâtre des sujets tirés de l’Ecriture Sai
uns pourraient prendre, de porter au bien ceux qui vont à la Comédie,
paraîtront
des chimères, et on se trouvera naturellement por
dith et d’Esther. Toujours grand lorsqu’il faut que la gloire de Dieu
paraisse
; dans l’affliction la plus sensible et la captiv
th, ou telle autre qu’on voudra prendre, il n’en est aucun où Dieu ne
paraisse
seul grand, seul aimable, seul digne de nos atten
lera toujours de la galanterie dans les sujets tels qu’ils soient qui
paraîtront
sur le Théâtre. C’est le principal assaisonnement
blement à ceux qui voudraient égayer l’Ecriture Sainte, pour la faire
paraître
sur le Théâtre : « De la foi d’un Chrétien les
élices, s’y trouve étranger partout. « Les choses les plus riches lui
paraissent
vides, et il passe sans s’en apercevoir ce qui lu
devons conclure qu’il n’est pas possible que l’Ecriture puisse jamais
paraître
sur le Théâtre des Comédiens, sans y être altérée
-hier, il est bien difficile de supposer que l’Ecriture puisse jamais
paraître
sur le Théâtre des Comédiens, sans y être altérée
viter de plus grands maux, comme on a toléré autrefois des choses qui
paraissaient
plus mauvaises ; il faut du moins qu’on fasse ent
ouhaiter qu’ils reconnaissent leur faute, et que l’Ecriture Sainte ne
paraisse
jamais sur le Théâtre, puisqu’on ne saurait l’y f
nte ne paraisse jamais sur le Théâtre, puisqu’on ne saurait l’y faire
paraître
sans l’altérer et sans la profaner. 348. [NDA
ouvrage au Public. Quoiqu’il en soit, dès que le Livre de M. Collier
parut
, toutes les Muses d’outre-mer se soulevèrent cont
ue ni la Tragédie ni la Comédie ne doivent rouler sur une passion qui
paraît
presque toujours chez eux une vertu et non une fa
re me semblaient convenir davantage : j’ai étendu ce qui pouvait nous
paraître
trop obscur, pour être trop laconique ; et au con
être trop laconique ; et au contraire j’ai serré ce qui pouvait nous
paraître
lâche pour être trop étendu : quoique après tout,
vrai, je les aie le plus souvent traduits d’après lui, tant ils m’ont
paru
semblables à eux-mêmes dans la traduction. Au res
re dans quelques-uns, et la charité cherche à excuser ce qui pourrait
paraître
blâmable. Mais de voir un Théologien entreprendre
uis, que je ne sois d’abord surpris de l’irrésolution que vous faites
paraître
au commencement de votre Lettre page 2 « du parti
mble, d’attirer les Pères dans le sentiment de Saint Thomas, comme il
paraît
que vous l’ayez voulu faire ; mais plutôt de fair
ir que vous vous êtes trompé. D’ailleurs je ne me soucie pas de faire
paraître
tant d’érudition que vous ; mais seulement plus d
s que les Pères nous ont laissés sur ce sujet, avec la retenue qui me
paraît
dans les Auteurs païens, la profonde soumission q
ce ne fut pas dans une Comédie, mais dans la rnaison, qu’Héliogabale
parut
avec infamie ; ce ne fut pas d’une Comédie que Ca
e, s’il est vrai qu’elles s’y commissent effectivement, comme vous me
paraissez
l’avoir cru, par la traduction outrée que vous av
ulement à cause de l’affectation que les hommes et les femmes ont d’y
paraître
avec leurs habits et leurs ornements les plus mag
us dit Chapitre 15 que cette affectation des hommes et des femmes, de
paraître
avec magnificence dans les Spectacles, y est d’un
s excès seulement qu’il les condamne. Mais quelque fort que peut vous
paraître
ce retranchement, Saint Cyprien vous y forcera et
férents. Comme je vous ai déjà dit que je ne me souciais pas de faire
paraître
tant d’érudition et d’esprit que vous, mais seule
lu refuser la soumission à l’autorité d’un Père, quelque opposé qu’il
parût
à son propre sentiment, se contentant de l’expliq
a mille fois plus de vénération pour ce Saint que vous n’en avez fait
paraître
: et le seul titre de Docteur Angélique que perso
ogiens ou Casuistes en grand nombre, dont les sentiments sur ce sujet
paraissent
différents de celui de Saint Thomas et des Théolo
e ou défendue. C’est ainsi que Saint Thomas l’a considérée, quoiqu’il
paraisse
d’abord la séparer des circonstances en disant qu
tre qui vous soit favorable, au contraire Saint François de Sales m’y
paraît
ôter à sa Philotée d’une main ce qu’il lui donnai
Pères ont parlé, se passaient sur le Théâtre des Gentils, comme vous
paraissez
l’avoir cru : car Dieu merci, on n’en voit point
ondamnaient ? Est-ce que vous n’en trouverez pas de moindres qui vous
paraîtront
encore blâmables ? et ne condamnerez-vous point n
émérité, et sans quelque nécessité. Les personnes dont vous parlez me
paraissent
de ce caractère, vous ne nous dites pas les raiso
lle avait fait, ou auquel elle avait donné occasion pendant qu’elle a
paru
sur le Théâtre de l’Opéra. Il fallait vous adress
e péché, ne laissent pas d’y assister. Voilà deux dispositions qui me
paraissent
bien opposées : et je n’aurais jamais cru qu’on p
de tant de péchés, qui quelque grands qu’ils soient devant Dieu, leur
paraissent
légers par la seule facilité et l’habitude qu’ell
comme dit Saint Augustin, « ex coecitate securitas », une poutre leur
paraît
un fétu. En voilà assez, ils sont justifiés par l
oyen dont vous vous êtes servi pour votre éclaircissement, devrait me
paraître
plus sûr, puisque vous jugez du fond de la chose
trêmement surpris de voir qu’une Pièce dont la lecture ne m’avait pas
paru
beaucoup dangereuse, fut si gâtée dans la représe
ns. Si je rapporte au long ce que je trouve de blâmable, le danger me
paraît
fort grand pour ceux qui n’auront ni lu, ni vu re
és, de la manière qu’elles pouvaient y être reçues autrefois, elles y
paraissent
pourtant toujours en une autre manière ; c’est-à-
ion ». Cela peut-être, et j’avoue que comme la corruption de l’âme ne
paraît
pas toujours au dehors, et que d’ailleurs les hom
sé ; j’en ai connu aussi bien que vous qui hors du Théâtre étaient ou
paraissaient
fort honnêtes gens, modérés dans leurs actions, c
cœur est quelquefois plus grande ; mais comme j’ai déjà dit, elle ne
paraît
pas toujours au dehors. Les hommes ont plus d’adr
et ferait honte aux autres Actrices. Mais hélas ! à peine y eût-elle
paru
dix-huit mois, qu’elle fut obligée de disparaître
atir avec elle. Après tout ce que je viens de dire, pouvez-vous faire
paraître
tant de surprise pages 30, 31 et 32, de ce que le
Charles dans la première Partie des Actes du Synode de l’an 1572, ne
paraisse
défendre les Comédies que les jours de Dimanche e
peut-être, on n’en parle que pour en donner de l’horreur, on ne fait
paraître
le vice sur le Théâtre que pour le corriger. Et q
l’impureté ? Ces efféminés démentent ce qu’ils font, et s’étudient à
paraître
des femmes dans leurs habits, dans leur façon de
s leurs gestes lascifs. A ce caractère je reconnais vos Farceurs, qui
paraissent
sur le Théâtre après la Pièce sérieuse, où l’on v
ps n’ayant pas une intention sainte, comme ceux des anciens Chrétiens
paraissaient
l’avoir, lorsqu’ils les faisaient, comme dit Lact
die, ne doivent pas faire tant d’impression sur notre esprit, et nous
paraître
d’une si grande autorité, puisque ces mêmes Pères
uel fondement je la puis tirer, je ne me sers que d’une raison qui me
paraît
sans réponse. Sans examiner tous les Rituels qui
manière dont ces Rituels. parlent contre la Comédie, aussi bien vous
paraissiez
demeurer d’accord qu’ils ne vous sont pas favorab
tes les occasions qui se sont présentées, Monseigneur de Paris a fait
paraître
son zèle contre les désordres de la Comédie, et l
de s’arrêter beaucoup sur cet article, et sur cette condition qui me
paraît
renfermée dans les autres. Cependant il en faut d
r que ces Pères vous sont en effet plus contraires qu’ils ne vous ont
paru
favorables. Saint Chrysostome à l’ endroit que vo
ns doute laissé de belles déclamations contre la Comédie ; mais il ne
paraît
pas qu’ils reprochent aux Chrétiens de leur temps
nous recommande de lui rapporter toutes nos actions, même celles qui
paraissent
plus de l’homme charnel, comme le boire et le man
s-uns, on ne s’en rapportera pas entièrement à vous, votre témoignage
paraîtra
suspect ; et il vaudrait mieux pour vous ne vous
loyé la vôtre pour les combattre. Quel dommage que vous n’ayez plutôt
paru
sur la Scène, et dans le temps que feu Monseigneu
puissent vous excuser. Il est fâcheux pour vous, que votre Lettre ait
paru
particulièrement dans le temps de Carême : car il
e regne de Charles le Chauve, dans le neuvieme Siécle. Auparavant, il
paroît
que les Armes, la Chasse, le Plein-Chant, tenoien
fauts ? Les Tragédies & Comédies de Garnier & de Jodelle, qui
parurent
dès 1551, ne méritoient gueres une exception. Tou
p; de bonne-foi, on ne pense pas qu’il soit possible d’y répondre. Il
parut
, en 1669, un Ecrit contre la Comédie, que l’on at
es. On objecte encore qu’au commencement du Siecle où nous sommes, il
parut
plusieurs Mandemens peu favorables à la Comédie.
s des sots amoureux, les vues intéressées des Parens, ont toujours dû
paroître
importantes aux Poëtes Comiques, & sur-tout à
quelle les sujets tirés des Ecritures Saintes, auroient dû n’y jamais
paroître
; & c’est dans ce sentiment, sans doute, que,
uste repentir ? III. OBSERVATION. Plus les désordres pourroient
paroître
grands dans les mœurs des Comédiens, & plus u
en est pas journalier. Un Acteur sera quelquefois plusieurs mois sans
paroître
sur la scene ; & dans les tems où les Spectac
e n’est que trois jours de la Semaine que l’Acteur le plus nécessaire
paroît
en public. Il est donc incontestable qu’un Comédi
mœurs. 2°. Que l’Eglise veuille bien le purger d’une indignation qui
paroît
n’avoir plus de fondement. Conclusion, &
gréable, n’est qu’un raisonnement spécieux. A l’égard de l’Opéra, qui
paroît
être-plus difficile à justifier, c’est encore l’a
rable maladie de notre cœur ? On se voit soi-même, dans ceux qui nous
paraissent
comme transportés par de semblables objets : on d
e : combien plus sera-t-on touché des expressions du théâtre, où tout
paraît
effectif : où ce ne sont point des traits morts e
sonnés et toutes leurs grâces trompeuses ? Mais tout cela, dira-t-on,
paraît
sur les théâtres comme une faiblesse. Je le veux
, paraît sur les théâtres comme une faiblesse. Je le veux : mais il y
paraît
comme une belle, comme une noble faiblesse, comme
assuré d’être accueilli du Public. La Lettre qu’on publie aujourd’hui
parut
pour la première fois en 1752, & fut reçue av
faites, que l’empressement qu’on témoigne depuis long-tems d’en voir
paroître
une nouvelle. Celle qu’on publie a été revue par
un vrai service au Public, que de lui remettre sous les yeux ce qui a
paru
de plus sagement pensé & de mieux écrit sur l
semble être parvenue à son comble, il ne serait pas inutile de faire
paraître
, sur cette matière, un petit écrit qui serait, en
ux qui sont obligés de l’enseigner aux autres. Nous ferons à ceux qui
paraîtraient
surpris de notre résolution la réponse que Sénèqu
tence. Il n’est pas douteux que, dans l’ordre de la Providence, il ne
paraît
aucune réclamation en faveur de la vertu sans qu’
cipes qui vous les ont fait entreprendre. Tout ce travail vous aurait
paru
de trop, si vous aviez été bien sûr de l’impuissa
anition en s’établissant dans un désert. Si votre allégation vous eût
paru
vraie, elle vous aurait semblé en même temps la m
grâce un sentiment, souriez agréablement. Tous ces principes ne vous
paraîtraient
pas modestes : il faut donc imaginer une danse ex
de tous ceux-ci et des autres gens du monde, l’ivrognerie a toujours
paru
un vice atroce et déshonorant. Ils ont toujours v
e ; la médisance des femmes, l’ivrognerie habituelle des hommes, vous
paraissent
moins dangereux pour les mœurs que la vue d’un sp
é, dans son sang-froid, un projet funeste dont l’exécution lui aurait
paru
dangereuse, tant qu’elle n’aurait pas pu être acc
objections, vous trouvez que j’en aie négligé quelques-unes qui vous
paraissent
des plus fortes (car j’en ai négligé beaucoup pou
irard, au Palais. 1694. Cette Réponse est le premier Ouvrage qui a
paru
contre cette Lettre. L’Auteur y parle en Philosop
favorisant la Comédie, n’est qu’un fantôme que les Comédiens ont fait
paraître
. Le plus beau morceau de cet Ouvrage, c’est la ré
regarde les Scholastiques ; on les a déjà vus. Les Poètes Provençaux
paraissent
depuis le treizième jusqu’au quinzième siècle, da
ès rarement, qu’on prendra toujours des sujets de piété, et qu’il n’y
paraîtra
point de personnages de femme, ni de fille ; enfi
il dit que les expressions du Théâtre touchent plus, parce que tout y
paraît
effectif : les vraies larmes dans les Acteurs en
nnes, parce qu’elles réveillaient les passions, quoique les Femmes ne
parussent
pas sur les Théâtres des Païens par pudeur. Ainsi
ondamnation par les Statuts des Jésuites, qui leur défendent de faire
paraître
des personnages de Femme sur les Théâtres de leur
logiens, mais de seuls Poètes Comiques pour Approbateurs, ni la faire
paraître
autrement qu’à la tête, et à la faveur des Comédi
r la Comédie et sur les Comédiens : opposés à ceux de la Lettre qui a
paru
sur ce sujet depuis quelques mois. « Nolite commu
de Judith, cette Pièce aurait été désagréable ; c’est pourquoi Misaël
paraît
dans la plupart des Scènes, et quoique Judith ne
es exemples dans Paris, et l’autre est singulier et très rare : il me
paraît
que tous les deux sont fort instructifs et fort p
rope dont nous venons de parler, n’est pas une Pièce où cette passion
paraisse
avec les défauts contre lesquels je me suis si fo
s mœurs je ne puis me dispenser de faire précéder une remarque qui me
paraît
aussi juste que nécessaire. Molière dans le plus
Savantes est une production du génie de Molière uniquement : et il me
paraît
que dans cette Pièce il n’y a rien qui puisse êtr
s grande colère, on voit toujours ce qui en arrivera lorsque sa femme
paraîtra
devant lui. Mais j’entre ici dans un détail qui n
deo insitus corpori, ut, etc. » Outre que le terme entée [insitus] ne
paraît
pas assez noble, et que celui d’unie est plus pro
, etc. Les jeux Mégaliens où l’on représentait des comédies, comme il
paraît
dans Térence, étaient consacrés à Cybèle, que les
ques. Erichtonius Chap. 9. fruit abominable. L’expression latine m’a
paru
trop forte pour la rendre mot à mot en français :
et que les magistrats eux-mêmes, qui étaient à l’orchestre, faisaient
paraître
de là quelque espèce de mouchoir pour faire comme
’habillaient en femmes ; car il parle un peu plus bas des femmes, qui
paraissaient
elles-mêmes sur le théâtre. EllesIbid. rougissent
s d’un bonnet, les longs plis d’une robe, la pointe d’un capuchon, ne
paraissent
point sans exciter des éclats de rire, surtout le
rix on y verrait avec fruit venir des Magistrats. Un jour que Caton y
parut
, on vit une Actrice fort immodeste, selon le goût
la foire, les Tabarins du Pont Neuf ? Les Magistrats oseraient-ils y
paraître
? Ils ne sont guère moins déplacés à la comédie :
quence qui n’en est que plus vive pour être muette. Là les Acteurs ne
paraissent
qu’à demi-corps, et ont ordinairement un manchon
comme la prêtrise. Un homme de robe ne saurait guère danser au bal ou
paraître
au théâtre, sans consentir à son propre avilissem
rône, il écouta les lois de la décence ; il défendit aux Sénateurs de
paraître
sur le théâtre. Quelque temps après il fit la mêm
la comédie ? Nous l’avons dit, un habit grave et sérieux oserait-il y
paraître
? Il faut se conformer à la mode du pays. Une par
son génie devint depuis l’un des plus grands Jurisconsultes qui aient
paru
dans les écoles, sortait de dessus les bancs, et
t plus intrigant, et qui d’ailleurs n’était pas sans mérite, comme il
paraît
par ses ouvrages, où l’on trouve une grande conna
pour les spectacles lui donnait le plus grand ridicule. Louis XIV ne
parut
plus sur le théâtre, et ne dansa plus dans les ba
un mérite à ce Prince d’avoir favorisé le théâtre, d’y avoir lui-même
paru
, et ajoute que ce serait une idée d’Attila, Roi d
et regarde comme la tache la plus honteuse de la vie de Néron d’avoir
paru
sur la scène. Qu’a donc fait ce maître du monde p
e devoir la couronne qu’à son mérite, et non à la faveur du Sénat. Il
parut
donc sur la scène, récita des vers de sa façon, j
hevêque de Paris pour la défense des spectacles, donne une raison qui
paraît
d’abord plausible, mais qui dans le fait est abso
nseigner la morale et inspirer les sentiments de la scène ? Il n’y en
paraît
point à qui son confident, son ministre, sa cour,
us. La comédie dans son tripot bourgeois n’instruit pas mieux. S’il y
paraît
un homme raisonnable, qui fasse entendre quelque
ient du théâtre, il défendit à ses Prêtres d’y aller. Lui-même il n’y
parut
que rarement et par nécessité ; les jeux lui para
r. Lui-même il n’y parut que rarement et par nécessité ; les jeux lui
paraissaient
indignes de la philosophie dont il faisait profes
s, la violence, la discorde, l’impiété, la dissimulation, la calomnie
paraissent
sur la Scène. L’innocence qui ne prévoit pas une
; et le bon sens veut que ce ne puisse être que le Diocèse d’Aix, où
paraissent
, selon vous, tous les vices sur la Scène. Mais, m
s sûre en faisant ce qui est péché selon l’opinion contraire qui nous
paraît
plus probable. Le 2. Principe réduit à rien le pl
uand on commence à avoir l’usage de la raison. Mais quoi que cela lui
paraisse
probable, il prétend que l’on se met à couvert de
t à l’entour de leur Personne pour en conserver la Majesté. Mais cela
paraît
particulièrement dans le luxe de leurs Habits, da
a sorte dans l’ancienne Loi, quand il se montrait aux hommes : Car il
paraissait
dans une lumière si éclatante, que les yeux avaie
régler : Car il semble que c’est en ces occasions que le Prince fait
paraître
sa Magnificence, qu’il divertit ses Sujets, qu’il
, on y remarque aisément une autre passion qui la retient, et qu’elle
paraît
incomparablement plus amoureuse qu’irritée ? Diso
it tout ce qu’elle peut pour obliger Don Juan à se convertir, elle ne
paraît
point sur le théâtre en pécheresse, mais en Madel
s, bien qu’elle soit innocente, pource que c’est Molière qui l’a fait
paraître
sur la scène, et l’on n’en a pas autrefois condam
l’on y travaillerait de tout son pouvoir. Par exemple, si on eût fait
paraître
sur le théâtre un homme à qui on n’eût donné que
t non pas le vrai dévot. Je sais bien que si les vrais et faux dévots
paraissent
ensemble, que s’ils avaient un même habit et un m
aite et que, ne voulant point tromper, ils n’affectent point de faire
paraître
que leurs mortifications les ont abattus. Comme l
ne court plus aux éclipses, on se lasse même des comètes quand elles
paraissent
trop souvent. L'expérience en fait foi : nous en
gage des passions, c'est-à-dire l'art de les exprimer et de les faire
paraître
d'une manière agréable et ingénieuse, ce qui n'es
personnes sans être touchées de passion, et voulant simplement faire
paraître
leur esprit, s'y trouvent ensuite insensiblement
tromper. Mais l’impudicité règne dans leurs Ouvrages, quoi qu’elle y
paraisse
sous les habits de la vertu. Car enfin l’Idole de
resser ses auditeurs dans la fortune de Pamphile et de Glycérie, fait
paraître
ces deux jeunes gens aimables ; il en fait à la f
lle l’est néanmoins beaucoup. Les vices dont elle donne de l’horreur,
paraissent
horribles d’eux-mêmes sans artifice. C’est un Œdi
age des passions; c'est-à-dire l'art de s'en exprimer et de les faire
paraître
d'une manière agréable et ingénieuse, ce qui n'es
personnes sans être touchées de passion, et voulant simplement faire
paraître
leur esprit, se trouvent ensuite insensiblement e
plus éloquents orateurs, des plus sages philosophes qui aient jamais
paru
, mais parce que c’était un homme élevé aux plus h
s, dit-il, est un si habile Acteur, qu’il n’y a que lui qui mérite de
paraître
sur la scène, mais en même temps si honnête homme
sur le théâtre, où l’on n’en connaît presque plus. C’est de ne pas y
paraître
sans ceinture : « Hanc habet a vetere disciplina
culo prodeat nemo. » Quoi ! sur un théâtre païen les Actrices n’osent
paraître
sans ceinture, quoique les robes Romaines fussent
ée, où quatre cents lions et grand nombre d’éléphants furent tués, où
parut
le fameux Esope, le plus grand Acteur du temps, e
s autres théâtres fussent-ils tolérables, personne assurément ne peut
paraître
sur celui des Boulevards, qui n’est qu’un tissu d
i que ces Italiens nommés li Gelosi, apparemment du nom de leur chef,
parurent
sur la scène à l’Hôtel de Bourbon, qu’ils prenaie
uple leur apportait. Cette pension se payait encore en 1608, comme il
paraît
par une lettre du Roi à M. de Sully pour la faire
mps la Reine donna un grand repas à son fils, où les Dames de la Cour
parurent
par son ordre la gorge découverte, ce qui fut reg
nce. Les Actrices arborèrent une parure si fort de leur goût, elles y
parurent
à demi nues. Cet usage s’y est si bien établi, qu
Actrice modeste ne serait pas soufferte dans la troupe, et n’oserait
paraître
sur la scène. Ce serait aujourd’hui un ridicule d
. Voilà pourquoi nous rencontrons dans les Tragédies, des Vers qui ne
paraissent
que l’ouvrage du Poète. Que le Dialogue dramat
e soit vraisemblable. Quand je recommande qu’on ait soin de faire
paraître
le Dialogue vraisemblable, je veux dire, qu’il so
ans le lieu & dans l’instant où vous les faites parler. Qu’il
paraisse
, que ce sont les seuls Acteurs qui parlent au Thé
Dialogue. Les Dramatiques Latins sont un peu moins concis. Il
paraît
que la Tragédie chez les Latins fut toujours priv
ne Tragédie d’Euripide, intitulée ; Ion. La Scène que j’insère ici me
paraît
un chef-d’œuvre d’éloquence naturelle, & de b
ne même matière les sentiments se trouvent souvent partagés ; mais il
paraît
étrange que les Chrétiens aient des sentiments di
e le Comédien et le Chantre dans plusieurs Villes de Grèce pour faire
paraître
sa belle voix. Il commença par Naples, qui était
flûte, tant de Bouffons, de Baladins et de joueurs de Gobelets, qu’il
paraissait
plutôt victorieux des Histrions que des Parthes ;
onfecisse. »p. 430. Mais toute cette troupe qui le rendit ridicule ne
parut
pas sur le Théâtre, et ne servit qu’à le divertir
d’avoir caressé son Favori dans l’Orchestre, et la seconde d’y avoir
paru
un jour avec un habit de femme. Mais Dion parle d
ir à Antioche ; et un jour qu’il assistait aux jeux du Cirque, elle y
parut
montée sur un Dromadaire. Les Comédiens eurent un
r tourner en ridicule le Baptême des Chrétiens ; au sortir du bain il
parut
habillé de blanc. Alors il refusa de faire le Com
tenir la raillerie : l’infamie que l’exercice du Théâtre donnait, lui
paraissait
si grande, qu’il ne croit pas que Néron ait jamai
il ne croit pas que Néron ait jamais rien fait de si horrible, que de
paraître
sur la Scène. « Quid Nero tam sœva, crudaque tyr
r le divertissement. A l’égard des premiers, les bouffons, dit-il, ne
paraissaient
pas sur le Théâtre, non pas même du temps de Néro
s d’y monter lorsqu’il n’était question que de divertir le peuple. Il
paraît
aussi par plusieurs endroits d’Appien De bellis
ure de la Comédie d’autrefois, il s’avise de dire que « les Comédiens
paraissaient
nus sur le Théâtre ». Voici la cause de sa bévue.
ies et les Tragédies, d’où il conclut mal à propos, que les Comédiens
paraissaient
nus sur le Théâtre. S’il connaissait un peu mieux
Maxime, que Caton se trouvant auprès du Théâtre, où l’on devait faire
paraître
ces femmes, personne n’osa demander qu’on les dép
us licencieuse de toutes, selon le témoignage de Julien l’Apostat. Il
paraît
que dans le Faubourg de Daphné où ce spectacle se
r montrer que les Comédiens représentaient nus : c’est qu’Héliogabale
parut
ainsi sur le Théâtre. Quand ce qu’il dit serait v
ar religion à certains jours de Fête. Quand on l’engage malgré elle à
paraître
avec des satyres, elle rougit dès qu’on dit quelq
conversation, dans les Ecrits et dans les Livres même de piété. Cela
paraît
par quelques endroits de Saint Augustin et de Sai
teurs qui aimaient mieux s’exposer à être condamnés à la mort, que de
paraître
aux spectacles où assistait Commode. Le peuple ab
t de là occasion de les abolir, comme faisant partie du Paganisme. Il
paraît
par le témoignage de Zozime Zozim. que les Païens
ne de la victoire remportée par Constantin sur les Sarmates : mais il
paraît
se tromper, puisque Vopiscus dit que Carin fit re
par la paix générale de l’Eglise et les libéralités de Constantin, il
paraît
néanmoins qu’ils n’allaient pas aux spectacles ;
e restriction, que si les femmes qu’on déchargeait de l’obligation de
paraître
sur le Théâtre par respect pour la Religion Chrét
ereurs pour éteindre le goût du Théâtre Tit. VI. L. 1. pag. 357. ; il
paraît
par la Loi que l’Empereur Arcadius donna en 396 c
es Mimes, qui produisirent dans le pays ce grand nombre de Poètes qui
parurent
dans la suite. Les jeux ne cessèrent pas de même
rer le mal qu’ils inspirent, il descend dans le détail de tout ce qui
paraît
sur la Scène. Les pièces comiques lui paraissent
le détail de tout ce qui paraît sur la Scène. Les pièces comiques lui
paraissent
dangereuses, parce qu’elles roulent ordinairement
ns, qui s’appliquent à contrefaire toute sorte de gestes, rien ne lui
paraît
plus efféminé, plus ridicule et plus dangereux. I
es tant de corruption et d’opposition au bien, que la République leur
paraît
florissante, lorsqu’on bâtit des maisons magnifiq
es, et que l’on se fait des Dieux en l’honneur de qui on puisse faire
paraître
sur les Théâtres des infamies, qui déshonorent ég
sur la terre lorsqu’il est dit, que la grâce de Dieu notre Seigneur a
paru
à tous les hommes, et qu’elle nous a appris que r
avait appris que des laïques ayant plié leurs cheveux pour les faire
paraître
aussi courts que ceux des Ecclésiastiques, s’étai
autres jeux qui se font sur le Théâtre, parce que, soit qu’on y fasse
paraître
des hommes ou des femmes, les uns et les autres p
n’en trouvons ensuite aucune mention que sous Charlemagne, encore ne
paraît
-il pas qu’on ait fait en ce temps ni Comédie, ni
chant avec les Vers amoureux qu’il composait. En peu de temps on vit
paraître
un fort grand nombre de méchants Poètes, qui ne c
joueur dont il vient de parler, qui était un joueur de flûte comme il
paraît
par l’endroit cité de la vie des Pères Rufin[us]
Comédie d’aujourd’hui est condamnée. Nous pouvons même dire qu’il ne
paraîtra
peut-être jamais de Comédie agréable, où il n’y a
er cette proposition, et après bien des preuves de toute espèce, « Il
paraît
clairement de toutes ces preuves, dit ce Saint Ca
rois remarques. La première, que ce qu’ont dit les Scholastiques, qui
paraît
favorable aux Comédiens, est toujours joint à des
rent d’avoir un Théâtre fixe pour y monter tous les jours, et y faire
paraître
des femmes avec les ajustements les plus recherch
chés, comme font les Comédiens d’aujourd’hui. Cette remarque pourrait
paraître
fausse à ceux qui ont lu en divers endroits que s
Provençal M. Cazeneuve Obros de Goudouli., et les pièces d’esprit ne
paraissaient
ordinairement qu’en cette langue, ce qui fit qu’o
e dans un festin d’apparat donné par Louis VIII. père de saint Louis,
parut
un de ces Ménétriers, qui chanta les louanges du
rs mis une grande différence entre les Acteurs publics et ceux qui ne
paraissaient
que dans des maisons particulières. Les premiers
e attachée à ceux qui montaient sur le Théâtre, lorsque voulant faire
paraître
sa belle voix, il institua les jeux qu’il appela
moires de M. le Maire Paris anc[ien]. et nouv[eau]. t. 2. p. 503., il
paraît
que ces dévots Comédiens vinrent à Paris au comme
tre à Paris Regist[re]. du Parle[ment]. mois de Novemb[re]. 1548.. Il
paraît
que ces Comédies pieuses furent encore jouées pen
remier le Français Echafaut. » Garnier et quelques autres Poètes qui
parurent
au même temps que Jodelle, ne donnèrent presque q
Personas turpes vel inhonestas, vel Histriones vel Joculatores. » Il
paraît
qu’il y avait aussi en Angleterre des Bateleurs,
sont déshonorés par des farces et des représentations indécentes ? Il
paraît
par un Concile de Sens de l’an 1486. que ces dans
iastiques, étant obligés d’éviter les dangereuses représentations qui
paraissent
sur les Théâtres, puisqu’ils doivent être eux-mêm
avec les Principaux des Collèges les plus célèbres, défendit de faire
paraître
des danses aux intermèdes des Tragédies, et ordon
nal de Richelieu crut pouvoir purger le Théâtre, mais inutilement. Il
paraît
que le Parlement a toujours gardé la même sévérit
la Comédie qu’à cause de l’Idolâtrie ou des nudités scandaleuses qui
paraissent
sur le Théâtre. Mais l’Histoire des divertissemen
on invite à la Comédie par des Affiches, et que les Comédiens fassent
paraître
sur leur Hôtel, que le Roi trouve bon qu’ils donn
ès rarement, qu’on prendra toujours des sujets de piété, et qu’il n’y
paraîtra
point de personnage de femme ni de fille. Les anc
l’Oratoire, qu’on observe partout inviolablement de ne laisser jamais
paraître
sur le Théâtre aucun personnage de fille ni de fe
our un sujet aussi peu décent et aussi peu utile qu’il l’est de faire
paraître
des femmes sur un Théâtre, et de faire représente
orsqu’on se représente qu’il est chaste et fort honnête : Car plus il
paraît
innocent aux âmes innocentes, et plus elles sont
ût de l’argent des pécheurs, comme on en reçoit des Juifs, sans qu’il
paraisse
qu’on approuve leurs actions ni leur état ; alors
, et je m’y suis d’autant moins arrêté, que la question principale me
paraît
suffisamment éclaircie. Je suis etc. Le 3. de Jui
e en chantant ou récitant de petites pièces de galanterie, sans qu’il
paraisse
nulle part que Saint Louis ait fait aucun Edit co
a représenter toute sorte de pieces, et qu’il permit aux Histrions de
paraître
en public. ‘Ab urbe nullum Scenicum removit… Fabu
s, et n’était homme qui vît le mystère à qui le cœur ne apiteât. » Il
paraît
par une exception que fit cet Auteur p. 102 qu’on
Evêque de Nevers, a traduit en Français ce Concile. Cette Traduction
parut
à Paris en 1569. Il dit assez ridiculement que ce
entièrement consacré. Loin de vouloir en convenir, nous la forçons de
paraître
dans la Comédie, dans la Tragédie même, & dan
e se corrompt, s’épuise, s’anéantit à la fin. On ne doit la faire
paraître
qu’au nouveau Théâtre. Je crois pourtant qu’e
rcher à embellir cette image qui doit être si naïve, afin de la faire
paraître
plus agréable : mais alors nous nous écrions, que
ve & très-divertissante ; mais nos Auteurs, je ne sçais pourquoi,
paraissent
le dédaigner. Vadé, qui en fut l’inventeur, le pe
d’ennui, sont des Comédies, ou des Scènes dialoguées ; mais elles ont
paru
dans un tems où les bonnes Pièces étaient rares.
simple, & proportionné à sa manière de s’èxprimer, de même qu’il
paraît
naturel que les paroles soient de lui. N’oublions
il semble alors qu’un homme soit de son propre fonds ce qu’on le fait
paraître
. Or nos Poètes observent au regard du Clergé les
court est en habit de Théologien ; Alithée ne le croit point ce qu’il
paraît
; mais Dameret voudrait lui ôter son soupçon : P.
témoin son épître dédicatoire du RoiPoème de M. Dryden. Arthur où il
paraît
qu’il n’aime pas les coups. Dans Cléomène ; Cassa
t non d’un Maître. Pour revenir à mon sujet. Le Chevalier Jean Brute
paraît
en habit Ecclésiastique,Dans la femme provoquée,
e Vôtre Grandeur est inexprimable : cependant il y a une chose qui me
paraît
une matière de scrupule pour vous ; car la consci
s ». Ensuite on outrage Bulle en vrai langage des halles ; on le fait
paraître
un hébété, un misérable, un impie. J’aurais ici
êtres sont-ils dans ses Poèmes ? Chrysès Prêtre d’ApollonHome. Iliad.
paraît
dans un conseil de guerre la couronne sur la tête
est les Euménides, où la Prêtresse d’Apollon ouvre le Théâtre, et ne
paraît
plus après cela ; l’autre est le siège de Thèbes.
ran. p. 148. le Prêtre de Jupiter a peu de part à ce qui se passe. Il
paraît
portant la parole au Tyran par l’ordre du Roi : Œ
n. Telle était donc la conduite des anciens Dramatiques : les Prêtres
paraissaient
rarement dans leurs Poèmes ; et quand cela arriva
piété. Le Sacerdoce est un trop saint et trop auguste ministère pour
paraître
assez décemment sur un Théâtre. La Religion n’est
peine pour rien, le Curé fait le personnage d’un fou, et le Poète n’y
paraît
pas plus sage que le Curé : car cette pièce n’est
pour le moins égale à celle de Gentilhomme : autrement elle pourrait
paraître
en plusieurs rencontres une sorte de tache. Mais
ire sur les outrages faits aux Ministres du Seigneur. Du reste, il me
paraît
que les mauvais procédés de notre Théâtre sont ma
d-Prêtre, seul avec son Epouse, se prépare à exécuter son projet, qui
paroît
devoir être déconcerté par l’arrivée imprévue d’A
couronnement de Joas, comme le rapporte l’Ecriture Sainte, elle n’eût
paru
qu’une fois à la fin de la Piéce, & le Specta
’il doit avoir : il falloit trouver un moyen pour la faire auparavant
paroître
sur la Scene, ce qui n’étoit pas aisé, puisque le
e par l’Armée d’Athalie, & qu’Abner est en prison. Tout espérance
paroît
perdue, le Grand-Prêtre qui ne la perd jamais, se
ie, il est aussi le Ministre & le Confident de cette Reine. Il ne
paroît
sur le Théâtre que parce qu’Athalie l’envoye cher
aindre, qu’importe au Spectateur, qui des deux soit Héraclius ? Il me
paroît
donc que le Poëte qui s’est conformé aux Principe
Dieu. Cet homme qui par devoir a entrepris un projet dont l’exécution
paroît
presque impossible, le conduit avec une si grande
ur orbis, Impavidum ferient ruinæ. Cependant un tel caractere ne
paroît
point théatral : nous aimons à voir dans les Hero
t pleine d’agitation, La superbe Athalie Dans un sombre chagrin
paroît
ensevelie. Si-tôt qu’elle entre sur la Scene,
qu’elle cherche, & qui la fuit toujours. Le trouble de son ame
paroît
dans le récit qu’elle fait de son songe ; mais po
il est presque toujours sur la Scene ; il n’y pouvoit être quand Joas
paroît
devant Athalie, elle n’auroit pas eu la liberté d
mple & sublime. L’Abbé du Bos, Tom. 2. Sect. 39. prétend qu’il ne
paroît
plus grand dans Athalie que dans ses autres Tragé
e Livre de la Loi. Lorsqu’au dernier Acte le rideau se tire, l’Enfant
paroît
sur un Trône auprès de sa Nourrice : Josabet, son
enes même, c’est-à-dire chez un Peuple tout Musicien, notre Opera eût
paru
un Spectacle ridicule : c’est ce qui m’engage à u
ortir des Mers ou des Enfers toutes les Divinités fabuleuses, qui ont
paru
plus souvent parmi nous que sur le Théâtre d’Athe
e j’aye parlé de la vraisemblance dans le cours de cet Ouvrage, il me
paraît
nécessaire d’en dire encore un mot. On doit étudi
’on vienne au contraire nous apprendre une avanture toute simple, qui
paraisse
probable, nous l’écoutons attentivement, notre cœ
rale, est un rapport si parfait des choses les unes-aux-autres, qu’il
paraît
impossible qu’elles se soient passées différemmen
il est aussi comique d’avoir fait une telle faute, que si l’on fesait
paraître
un des Saints de la Légende au grand Aléxandre, o
Préface de l'Editeur. L’ouvrage qu’on donne au Public, avait déjà
paru
anonyme en 1694. in-12. Sous ce titre : Discours
es Confrères qu’on s’abstient ici de nommer, le mit en l’état où il a
paru
. Depuis ce temps, la Lettre du Théologien a été i
e Discours sur les Pièces de Théâtre tirées de l’Ecriture Sainte, qui
paraît
ici pour la première fois, fut prononcé en 1695.
blier que nos Ouvrages étoient dans le même Gout. Ce Gout nous a donc
paru
à tous, être le seul bon : ce qui est d’autant pl
st. En même-tems que notre compassion flatte notre amour propre, elle
paroît
nous faire honneur. Mais la compassion n’est poin
uites d’un péché d’un premier Pere. Il étoit aisé à Euripide de faire
paroître
Hippolyte coupable, en le dépeignant comme un org
es Ancêtres : παλαιῶν προγενητὀρων. Il étoit aisé à Sophocle de faire
paroître
Œdippe coupable. Puisque son avenir lui avoit été
: & dans toutes les Nations qui ont élévé des Théâtres. Œdippe a
paru
. Le Sujet de Merope a de même été bien reçu, quoi
arce qu’ils cachent leurs foiblesses aux yeux du Public, ne voulant y
paroître
que pour inspirer l’admiration ou le respect. Les
haute. Comme il voulut qu’un Acteur représentant un Dieu ou un Héros,
parût
plus grand que les autres hommes, il voulut aussi
our étonner les spectateurs par un appareil terrible, il voulut faire
paroître
souvent des Furies, des Ombres, des Tombeaux, &am
ectionnées par Sophocle, puisque ce fut lui, suivant Aristote, qui en
parut
l’inventeur. Eschyle fut appellé le pere de la Tr
l’exécution d’une grande Action, en ajouta un troisiéme. La Tragédie
parut
alors avoir sa forme entiere ; on crut qu’un quat
atriéme Acteur jetteroit de la confusion, & qu’il ne devoit point
paroître
, à moins qu’il n’eût que très-peu de choses à dir
n’avoient attention qu’à la vraisemblance de l’Action. Le chant nous
paroît
pouvoir s’accorder avec la vraisemblance. Il n’en
Eschyle avoit été près d’être lapidé, pour quelques vers qui avoient
paru
impies. Euripide ayant commencé une Tragédie par
stophane, par l’estime que les Etrangers faisoient de ses Piéces : il
paroît
qu’ils les recherchoient avec plus d’ardeur que c
'aviserait de chercher des Comédiens dans la Compagnie de Jésus. Cela
paraît
même impossible. Les Compagnons de Jésus se sont
ssible. Les Compagnons de Jésus se sont toujours dits et ont toujours
paru
les gens du monde les plus occupés, et occupés de
chacun. Depuis plus de cent cinquante ans qu'ils sont rétablis, il a
paru
quinze mille pièces chez les Jésuites. Veut-on en
plutôt aucun que je sache n'a tenté de les imiter, et n'a rien laissé
paraître
sur la scène. Les Jésuites seuls y ont brillé. Je
e ni de celle de son chef, la Compagnie de Jésus aurait pu ignorer et
paraître
ignorer un art si étranger à son état. Les Ecriva
de Versailles, refusa d'y aller ; aucun Lazariste, aucun Récollet n'y
parut
. Le P. la Chaise, à la tête de trente Révérends d
iété le proscrivent sans restriction ; selon eux, on ne doit jamais y
paraître
. Tous leurs Casuistes ne le condamnent que condit
r les mœurs, et les plus remplies de sentiments de religion qui aient
paru
, elles ne feront jamais l'apologie des pièces tir
s dans son système de persécution il n'eût pas manqué de défendre d'y
paraître
, s'ils l'eussent fréquenté, pour se moquer d'eux,
en que lui : mais on voit que ce n’est qu’ignorance ou simplicité. Il
paroît
bon Catholique, & de bonne foi. Il faut pardo
imens tendres. Dans sa préface, ou peut-être celle du Traducteur, qui
paroît
du moins y avoit mis beaucoup du sien, Gesner se
histoire. Du paradis terrestre d’où le péché les fit chasser, Gesner
paroît
encore supposer qu’Eve y conçut son premier né av
le & de poësie, & la lui rendant lui dit, la voilà en état de
paroître
. on peut la faire imprimer. Cet homme fut si frap
’on avoit pris pour vertu ; & en démasquant les hommes, les faire
paroître
tous mauvais. Neron , dont on loue les premieres
re les dernieres, furent toujours également vicieux, dit-il, & ne
parurent
bons que par foiblesse ou par ambition. Il vaudr
oit dans l’Histoire du Théatre, tom. X, deux portraits de Moliere qui
parurent
de son temps, & méritent quelque attention pa
iée : ils auroient mieux fait de ne pas la faire composer. En 1699 il
parut
une comédie en vers intitulée, Critique du Tartuf
en foule a couru pour le voir : Mais avec tout cela, quand on l’a vu
paroître
, On l’a tant applaudi, faute de le connoître. Un
l’a défendu. Ajoutons, c’est qu’il est très-licencieux. Il n’a point
paru
sur le Théatre François de piece plus scandaleuse
e le martyre de quelques Saints, comme l’on avait accoutumé d’y faire
paraître
auparavant les Héros et les Héroïnes de l’antiqui
nfondre la lumière avec les ténèbres, et J.C. avec Belzébuth ? Cela a
paru
si horrible à Mariana,Mariana l. 3. de Rege et Re
nables que celles du temps passé. §. II.Plus les Comédies d’à présent
paraissent
honnêtes, plus elles sont dangereuses. Paroles d
lité, et toutes celles qui ont un peu de pudeur auraient eu honte d’y
paraître
. Ainsi les Comédiens n’y auraient point trouvé le
st vrai que cette grande circonspection, dont usent les Comédiens, ne
paraît
qu’en ce qui regarde la passion de l’amour. Car p
u’ils se proposaient, nos ancêtres les ont toujours détestés ; ce qui
paraît
par quantité d’Arrêts que le Parlement a donnés c
ement. C’est pourquoi Monsieur Corneille n’a pu s’empêcher d’en faire
paraître
dans Polyeucte, où nous voyons Pauline faire une
hesses, l’amour de la pauvreté et du silence. Ces vertus n’ont jamais
paru
su le Théâtre, et elles ne seraient pas certainem
fourbe et cet hypocrite en faisait encore de plus surprenantes. Cela
paraît
assez par ce que dit Orgon, après qu’on l’a détro
jours un très dangereux spectacle, que de jeunes et belles filles qui
paraissent
sur le théâtre avec tous les agréments naturels e
as, ou ne veulent pas s’en apercevoir. Deux ou trois pièces sur mille
paraissent
faites dans la vue de défendre les droits de Dieu
ne convienne aussi bien à des Païens qu’à des Chrétiens, qui n’eût pu
paraître
sur la scène de Rome ou d’Athènes, comme sur cell
résentent, justifient des exercices publics où il n’est pas permis de
paraître
Chrétien ? Pour les pratiques de piété, signe de
t, le trouvant trop laid, il lui donna une clef. Le présent lui ayant
paru
trop petit, il les lui offrit toutes deux, ce qu’
se et de Porphyre, blasphémait ouvertement le christianisme, comme il
paraît
par le martyre de S. Genest, qui se convertit en
tout voir et tout entendre. 3.° Ainsi parlait tout le public, lorsque
parut
le Festin de Pierre, nouvelle batterie que dressa
let, d’un paysan, qui dit quatre mots dans son jargon maussade, et ne
paraît
qu’un importun ennuyeux et ridicule ; le crédit e
cœur, les débiter publiquement, les animer de la voix et du geste, en
paraître
persuadé, animé, transporté, car enfin un Acteur
ossible qu’il les ait faits. Le livre de Jansénius n’avait pas encore
paru
, un Protestant ne connaît ni le chrême ni l’excom
2.° Qu’il prenne garde de n’y pas mêler des galanteries et d’y faire
paraître
des passions qui donnent de mauvaises idées aux s
s vicieuses, que la plupart des vertus chrétiennes sont incapables de
paraître
sur le Théâtre. Le silence, la patience, la modér
Saints et des Saintes sur le Théâtre ont été contraints de les faire
paraître
orgueilleux, et de leur mettre dans la bouche des
est possible, tel que les bonnes mœurs et les égards de la société me
paraissent
l’exiger : c’est ce que je ne pouvais entreprendr
é mes Observations sur la Comédie et sur le génie de Molière b : On a
paru
n’être pas mécontent des réflexions semées dans c
expliqué assez clairement. Cette réserve et ces ménagements m’avaient
paru
nécessaires ; mais enfin je donnais mon dernier O
& combatans en la presence de leur Maistre. Ce genre de Spectacle
parut
ou si nouveau ou si pompeux, qu’il y courut des S
’arçon, le bouclier au bras, & l’épée au costé. Le second iour il
parut
dans un habit moins guerrier, mais plus galant &a
nt, il y fit rehausser les eaux en un point que des Poissons marins y
parurent
nageans & fuyans les javelots & les hameç
its du monde. Ie n’y trouve pourtant rien de nouveau : & tout m’y
paroît
desia fait & mesme reïteré, & qui ne se s
ns vicieuses que la plupart des vertus chrétiennes sont incapables de
paraître
sur le Théâtre. Le silence, la patience, la modér
Saints et des Saintes sur le Théâtre ont été contraints de les faire
paraître
orgueilleux, et de leur mettre dans la bouche des
PRIVILEGE DU ROI. REFUTATION D’UN ECRIT FAVORISANT LA COMEDIE Il
paraît
depuis peu dans le Public, à la tête des Pièces d
se mettre à couvert, que comme un fantôme que les Comédiens ont fait
paraître
, ou comme un homme imaginaire qu’ils ont travesti
ne ne soit obligé d’entrer dans ce Jardin. C’est un scandale actif de
paraître
dans une Église d’une manière immodeste, quoique
au Peuple, soit afin de captiver sa bienveillance, soit afin de faire
paraître
la libéralité de ceux qui fournissaient aux frais
orna les Théâtres de Décorations : on y ajouta la Danse ; les femmes
parurent
enfin sur le Théâtre : tout s’y ordonna ; tout s’
des Exorcismes de l’Église, de rendre raison de cette usurpation qui
paraissait
si injuste, il répondit, qu’il avait trouvé cette
sages des Pères pour montrer que jamais les Spectacles, même ceux qui
paraissent
les plus épurés, ne peuvent convenir aux Chrétien
et de bouffonnerie. Passons à l’Article suivant, où ce saint Docteur
paraît
si favorable à la Comédie, qu’il dit que l’office
xquels elle était presque ensevelie dans l’oubli ; d’autres où elle a
paru
avec tant de simplicité, qu’à peine attirait-elle
dont se traite la Peinture aujourd’hui, où tout est nu, où l’on fait
paraître
autant que l’on peut les corps sans habits, et qu
ce que l’on avait d’abord laissé passer comme innocent, a commencé à
paraître
très pernicieux. Faut-il une plus grande preuve d
present. Premièrement, parce que dans la Comédie toutes les passions
paraissent
dans l’excès : si l’on dépeint l’amour, c’est un
precisément les Spectacles à sa Philothée. Chacun sait que ce Saint a
paru
dans notre France dans un temps de trouble, où le
bid. 11. Comment donc peut-on approuver ces Spectacles, où l’on voit
paraître
une fille parée de tous les atours qui la peuvent
s touchante ; tantôt s’en prend à Dieu, d’avoir fait des Lois qui lui
paraissent
si sévères ; tantôt murmure contre la modestie at
dre impression, il ne peut presque plus tenir : quand ensuite on voit
paraître
un désert affreux avec des rochers menaçants le C
res passions de colères, de vengeance, d’ambition, d’amour propre qui
paraissent
dans leur excès avec honneur sur le Théâtre, et q
pas, mais le vrai Dieu les entend. Dans le cours d’une Pièce on fait
paraître
tous les faux Dieux qui s’opposent les uns aux au
es Cathedrales quand on lève la redoutable Hostie. Ce Dieu de Théâtre
paraît
enfin au milieu des airs dans une illumination pr
nairement contre ceux qui jouent à des jeux de hasard, c’est qu’il ne
paraît
pas à présent aux yeux de l’Église que le mal soi
s Souverains ne prétendirent punir les mauvais desirs quand il n’en a
paru
aucun signe ; jamais ils n’établirent de châtimen
ion des Pièces de théâtre du Sieur Boursault en tête desquelles était
parue
la lettre du père Caffaro. b. 1. Cor. 8, 11. «
rations, on le produit sur la Scène pour servir de divertissement. Il
paraît
, il examine quelque temps les regards, et s’expri
is ; la chose est trop évidente pour en douter. Car, pourquoi Jupiter
paraîtrait
-il sous la forme du vrai Dieu ? pourquoi la Toute
fort extraordinaire dans sa personne et dans ses procédés à ce qu’il
paraît
: M. Dryden qui ne conçoit pas bien comment cela
Sosie, ses grossièretés et ses folies lui conviendraient moins mal et
paraîtraient
plus pardonnables ; mais tout cela part de Mercur
uées du même sceau que les majestueuses et les sublimes ; l’obscénité
paraît
au travers de la métaphore, et ne frappe pas moin
s sortes d’endroits n’en seraient-elles pas les raisons ? Non : il me
paraît
que M. Dryden avait ici un dessein plus profond ;
comptable ou non de ces conséquences : quant à son dessein, il ne me
paraît
à moi nullement équivoque. Le lieu où il débite c
e M. D'Urfey, pour qu’on juge si j’exagère et si je lui en impose :«
Paraissez
, gras compagnons, qui geignez dans les Limbes, vo
es, vous qui faites griller des tranches de fous pour votre déjeuner,
Paraissez
. » Je demande si j’avais exagéré ? L’Epilogue re
maligne bête ne vienne à parler. » Dans la seconde partie ; le diable
paraît
en qualité d’Acteur et s’écrie :P. 18. « Comme j’
ême solidité et de la même beauté d’esprit. Dans la troisième Partie,
paraît
une troupe de Marionnettes. C’est heureusement re
Dédicace à M. de Montague. C’est un parfait Quichottisme ; le Poète y
paraît
presque enchanté. « Si vos yeux avaient lancé con
est rare que le vice ne prospère pas sur notre Théâtre : dès qu’il y
paraît
, on peut jurer presque à coup sûr que le Poète a
oyons l’Intrigue et le Nœud de la Pièce. C’est ici ou jamais que doit
paraître
le génie, le talent du Poète. Cette partie du Poè
opposé aux caractères établis. L’expédient du Chevalier Jean Lima qui
paraît
enfin et qui prend fait et cause pour le Lord-Fat
un palefroi l’économie de sa personne ; et qu’un dameretbh comme lui,
parût
si fort dans son négligé : un Milord précieux se
étendu faire. Il ne doit pas les varier, de sorte qu’un seul homme en
paraisse
deux, qu’un homme d’esprit devienne un sot, qu’un
inesse d’esprit et beaucoup de sens : ainsi nulle affectation ne doit
paraître
en lui, nul prétexte n’en doit gâter le caractère
Pensée ou des sentiments. »Rap. Réflex. p. 64. Mais cet examen ne me
paraît
pas nécessaire, après celui que nous avons fait d
t établies pour cacher la fiction, pour faire qu’une Pièce Dramatique
paraisse
une action au naturel, et lui donner l’air de la
tre mesurée au temps limité : autrement la supposition d’un voyage ne
paraîtra
plus naturelle, mais absurde. La troisième unité
héâtre soit une et simple : cette Unité demande qu’une seule personne
paraisse
visiblement plus intéressée dans l’Action que tou
us les Incidents et tous les obstacles servent à quelque chose, et ne
paraissent
que pour être combattus et surmontés. La représen
t examen du Relaps par rapport aux règles de la Poésie Dramatique, il
paraît
assez que cette Pièce n’est qu’un tas d’irrégular
res gens d’Eglise, d’avoir aucune part aux spectacles publics, ni d’y
paraître
: ces divertissements de Païens étant interdits à
ne permettent point que ces sortes de gens deviennent Nobles, qu’ils
paraissent
au Sénat, qu’ils haranguent le peuple, ni qu’on l
le repos de l’esprit étaient l’unique but de leurs désirs. Et vous il
paraît
que vous ne seriez pas content à ce prix ; vous s
ersonnes ; c’est quelque intrigue de prostituées. Et sur cela plus il
paraît
d’éloquence, plus il y a de péril ; plus les Poèt
t le péché ; mais tout ce qui pourrait nous y engager. Des choses qui
paraissent
indifférentes, ont quelquefois de terribles consé
un si grand Maître dans sa profession, dit-il, qu’il méritait seul de
paraître
sur le Théâtre : mais d’un autre côté, c’était un
tement la vérité de l’objet, mais l’apparence : il le peint tel qu’il
paroît
être, & non pas tel qu’il est. Il le peint so
quez vous-même ; si vous êtes réellement ce que vous vous efforcez de
paroître
; si vos imitations n’ont pas le troisiéme rang,
s, pour le flatter, les objets qu’il lui présente ? Il imitera ce qui
paroît
beau à la multitude, sans se soucier s’il l’est e
acité. Vus dans l’eau, ils changent d’apparence ; ce qui étoit droit,
paroît
brisé ; l’objet paroît flotter avec l’onde. A tra
ils changent d’apparence ; ce qui étoit droit, paroît brisé ; l’objet
paroît
flotter avec l’onde. A travers un verre sphérique
etit, rond ou quarré, rare ou compacte, éloigné ou proche, par ce qui
paroît
l’être, mais par ce que le nombre, la mesure &
renfermer en lui-même une partie de ses peines ; &, contraint de
paroître
aux yeux des hommes, il rougiroit de dire & f
empérament ; ce qui n’empêche pas ces quintes ainsi tempérées de nous
paroître
agréables. Or où est, en pareil cas, la simplicit
ait du ressort de l’art ? Par exemple, c’est un jeu pour eux de faire
paroître
en relief une surface plane : pourquoi donc nul d
reste le mal ; et comme celui-ci n’est point douteux, la question me
paraît
décidée. » Page 49. « Tout en est mauvais et pe
terie. VIII. Le grossier sans doute nous déplairait ; partout il nous
paraît
un défaut ; mais la droiture et la franchise, qui
ons diverses que nous venons d’entendre, cette conclusion positive me
paraît
hasardée. Qu’on la mette vis-à-vis des principes
s un autre endroit, que la politesse et l’urbanité qui commencent a y
paraître
dans la jeunesse, le choquent terriblement.) Qu’i
hommes et des femmes ensemble ? C’est l’ordre de la nature : et il me
paraît
plus scandaleux de voir les hommes faire le rôle
femme, et la honte ne suit que le crime. XXXVII. La reconnaissance ne
paraît
point être la vertu de M. Rousseau. XXXVIII. Faus
nt n’était pas stable ; & ceci même procura un bien : les Acteurs
parurent
sur la Scène dans leurs proportions naturelles ;
ressorts de son âme au ton des sentimens qu’il avait à exprimer ; il
paraissait
; on oubliait l’Acteur & le Poète : il parlai
s dérèglements grossiers, et de la manière dissolue dont les femmes y
paraissent
, parce que ceux qui justifient la Comédie en sépa
a pour but le divertissement des autres ; où des hommes et des femmes
paraissent
sur un Théâtre pour y représenter des passions de
billa les visages, Sur les airs d’un Théâtre, en public exhaussé, Fit
paroître
l’Acteur d’un brodequin chaussé. Le mot personæ,
composant des corps de règles sur les plus beaux ouvrages qui avoient
paru
chez eux, perdirent cette force, ce sublime, qui
e en est un grand. Le Latin habille son héros en homme, celui du Grec
paroît
un Dieu. Rome connoissoit à fond les ouvrages des
avoit, pour ainsi dire, passé par ses différens âges, quand la Grèce
parut
dans son éclat littéraire. Dans son plus beau siè
de l’action Théâtrale. Chez les Grecs, dira-t-on encore, la Comédie a
paru
après la Tragédie. Des succès fortunés, du Spect
change et de l’autre la raison croît et le goût se raffine ; il nous
paraît
aujourd’hui dans ces pièces des défauts, qui ne p
fine ; il nous paraît aujourd’hui dans ces pièces des défauts, qui ne
paraissaient
point à nos pères, gens d’esprit, il y a cinquant
ra à un nombre infini de spectateurs. On me dira peut-être que ce qui
paraît
possible dans la spéculation est réellement impos
réputation chimérique et mal entendue. Mais par la même raison, il me
paraît
contre le bon sens et contre la bonne police de p
lque chose d’utile pour les mœurs ; j’avoue cependant que la chose me
paraît
très difficile en l’état de corruption et de moll
ES. L’histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres nous a
paru
devoir être précédée par un Précis historique sur
abilla les visages ; Sur les ais d’un Théatre en public exhaussé, Fit
paroître
l’Acteur d’un brodequin chaussé. Sophocle enfin
es dont il est Membre. Il y pose pour base ce raisonnement qui lui a
paru
être sans replique : « Pour que la Tragédie fût u
voir comme elles sont, sans se les affoiblir, ni se les exagérer. Il
paroît
en effet soutenir ce caractere dans son Discours
Stolo, qu’on vit venir à Rome d’Etrurie, des Farceurs, dont les jeux
parurent
, propres à appaiser les Dieux, & à détourner
Les deux plus fameux de ces Acteurs furent Pylade & Bathyle, qui
parurent
sous Auguste. Les écoles de Pylade & de Bathy
n Italie vers le commencement du seizieme siecle. Ces Pieces profanes
parurent
plus tard en Angleterre : la premiere qui y fut d
chiens, de singes qu’on avoit habitués à différens exercices. On vit
paroître
ensuite successivement les Mimes, les Histrions o
ù l’on ne cesse de tenir des propos indécens sur cet objet, il nous a
paru
convenable d’en détourner la jeunesse, en plaçant
peuvent être rangées dans la classe des Pieces de Théatre, il nous a
paru
à propos de donner ici épisodiquement sur ce genr
laisant, enjoué & d’agréable humeur. L’honnête homme au contraire
paroît
insipide, misanthrope & bourru. Les Auteurs R
employa dans son Roman d’Alexandre le Grand. Ces étincelles de Poésie
parurent
dans les douzieme, treizieme & quatorzieme si
a plus grande réputation. On y honoroit excessivement leur talent. Il
paroît
que les Poëtes y étoient distingués par un habill
e, on y trouve une simplicité ingénue, une naïveté qui fait rire sans
paroître
trop ridicule, & quelquefois des traits de go
ns des événemens qui rassembloient à la Cour les personnes d’état à y
paroître
. On sçait que, lorsque les grands Seigneurs ne fu
r tous les Ordres de l’Etat. Néanmoins dans le cours de cette nuit il
parut
assez de lumieres pour conduire les vrais Philoso
défendues par Arrêt du Parlement de Paris, du 6 Octobre 1584. On vit
paroître
vers l’année 1588 deux nouvelles troupes de Coméd
nces particulieres du temps où ils écrivoient, tantôt à eux-mêmes. Il
paroît
que c’est pour cette raison qu’un même sujet a ét
à des Romains ; & qui pis est à des Turcs ? Pourquoi cela ne nous
paroît
-il pas burlesque ? c’est que nous n’en sçavons pa
t, ce semble, au sommet de la perfection. La Tragédie vous a toujours
paru
comme une école raisonnable de la vertu, & mo
qui apprennent le langage séduisant de l’amour ; cette passion infâme
paroît
avec honneur sur la scéne, on fait gloire d’en êt
que cette piéce soit plutôt un Roman versifié qu’une Tragédie, elle a
paru
avec un succès surprenant, grace à la dépravation
qu’on nous le fait entendre. Qu’un Héros se tue dans le désespoir, il
paroît
mourir noblement : toutes les piéces tragiques so
REGLEMENTS Pour la Réformation du Théâtre. Il me
paraît
que, lorsque la réformation du Théâtre serait déc
3°. On examinera toutes les anciennes Pièces, pour choisir celles qui
paraîtront
le plus susceptibles de correction ; et dans lesq
geait à propos d’en conserver quelques-unes, où la passion d’amour ne
parût
pas nuisible, ni capable de corrompre le cœur, il
par d’autres, ne veuille point assister à des représentations qui lui
paraîtraient
insipides, cet inconvenient ne durerait pas longt
malheureux dont l’indigence seule est la cause de la malpropreté qui
paraît
en leur personne ; mais l’Auteur de l’Homme sans
isse quelque sentiment désavantageux à leur vertu : pour peu qu’elles
paraissent
comprendre en ces occasions, c’est dans l’esprit
, et encore moins de les abandonner à leur extravagance. Au reste, il
paraît
que notre Théâtre fait grand fond sur les expédie
Acteurs, et que ce n’est plus en eux le personnage, mais l’homme qui
paraît
, qui parle, et qui adresse directement la parole
ur les succès ni sur les disgrâces de l’amour : ces deux articles lui
paraissent
des écueils, il n’y touche que légèrement et avec
onnages du dernier ordre sont trop libres dans leurs paroles. Térence
parut
lorsque Rome était devenue plus polie ; et il se
é, dans l’Heautontimoreumenos l’intrigue du Poète oblige Antiphile de
paraître
déguisée sous Bacchis : elles ont ensemble à cett
ous avons des Spectateurs à qui nous devons du respect. Lorsqu’on a à
paraître
devant des personnes au-dessus de soi, on prend s
a Grèce ; et jetons un coup d’œil sur le Théâtre d’Athènes. Eschyle y
parut
le premier avec réputation : il a du grand, il es
ondent en même temps et le gèlent. » Des foudres de glace ! Oui ; il
paraît
même que le froid s’est communiqué jusqu’à la têt
plaine. L’univers n’a qu’un teint, et sur l’amas chenu A grand’ peine
paraît
du Cerf le chef cornu. » Je conçois cette descr
de la Religion du pays. Que Socrate ne fut point Athée, c’est ce qui
paraît
assez certain par les preuves que j’en viens d’ap
, les grands hommes, et à plus forte raison les Dieux ne fassent rien
paraître
qui ne réponde à leur supériorité sur les Etres v
sales et les railleries qui tombent sur des personnes du premier rang
paraissent
très propres à faire rire : mais c’est là ravaler
uges : on la siffla avant qu’elle eût été à demi représentée. Mais il
paraît
que la trop grande austérité de ses mœurs fut l’u
u de l’impureté qui fait des ravages si affreux dans la jeunesse leur
paroît
-il trop foible ? Faut-il qu’ils en augmentent l’a
dangéreux ! Le Spectacle saisit les yeux & les oreilles ; tout y
paroît
réel. Ce ne sont point des traits morts, des coul
comme un homme inconséquent, qui a soutenu le Théâtre, tant qu’il y a
paru
, & qui ne l’attaque que lorsqu’il l’a quitté
s défendues par la Loi de Dieu ? Chez les Anciens, dont les femmes ne
paraissaient
pas au Théâtre, soit comme Actrices, soit comme S
nné l’être à de riches corrupteurs. Mais avec la tyrannique opulence,
parurent
le vice & la séduction : le crime occasionna
ogune. L’Auteur dit, dans l’Examen de cette Pièce, que l’ambition lui
paraît
la seule passion digne de la Tragédie, parce qu’e
pas le Public, elle le subjugue : son droit, par-tout où elle daigne
paraître
, est de plaire & d’être aimée, ou de faire tr
anière, on ne corrige pas les mœurs, on les peint : un laid visage ne
paraît
point laid à celui qui le porte. Si l’on veut les
l, reste le mal ; & comme celui-ci n’est pas douteux, la question
paraît
décidée. Des Arcis. Oui, dans le système a
à préférer ; vos Couronnes pour la Tragédie patriotique, tout cela me
paraît
fort sage : vous êtes bonne citoyenne, mon amie.
sérieuses, que d’autres ont confondue avec le Comique larmoyant, m’a
paru
mériter d’en être distinguée : ces Drames auraien
noraires des Auteurs, la manière dont je propose de les dispenser, me
paraît
officace efficace pour que nous n’ayions que très
ment ; c’est une mode que cette affectation, & personne ne voudra
paraître
s’en écarter. Mais je dois répondre à quelque cho
ter. Mais je dois répondre à quelque chose de plus grave : Honorine a
paru
révoltée, lorsque j’ai lu l’endroit de mon Règlem
ivertissemens où il y a Représentation : la plupart des pratiques qui
parurent
, dans la succession des temps, si contraires à l’
rs. Voila la première ébauche de la Tragédie. Quelqu’éloignée qu’elle
paraisse
de la perfection, elle en est bien plus proche qu
ir ; où l’on célébrait quelques-unes de leurs aventures, lorsqu’elles
paraissaient
extraordinaires ; au lieu, dis-je, de ce simple D
erfectionner les arts agréables, devinrent compliquées, vives ; elles
parurent
des merveilles. Ce ne furent plus des hommes qui
ue la Reine Michol s’en moqua, & que la raillerie qu’elle en fit,
parut
si piquante au saint Roi, qu’il résolut de s’en v
ture ne les pressant plus comme dans les autres saisons [Ce sentiment
paraît
le mieux fondé]. Mais ceux qui prétendent que Tra
e ces animaux, on les designa, comme on avait fait les Centaures : il
parut
plaisant de dire, L’homme à la peau le chèvre, au
nt à Athènes, les vainqueurs ne cultivèrent avec succès que celle qui
paraissait
avec éclat dans le Public, l’art Oratoire : on vi
Spectacle, & les Loix ne l’eussent pas permis. Dès que les femmes
parurent
sur le Théâtre, elles y jouirent des droits de le
dans l’effigie d’une Vache en osier, couverte d’une peau, qui la fit
paraître
si naturelle, que le Taureau s’y trompa : Que Dom
Mort de Pompée, Sertorius, ou Manlius Capitolinus ! Récapitulons : il
paraît
incontestable, que les premiers Spectacles eurent
s Moines qui devinrent leurs Farceurs : ainsi les Imailers ou Imaums,
paraissent
dans les carrefours, un Livre à la main, rempli d
amp; leur fait faire des extravagances que le Peuple admire, plus ils
paraissent
frénétiques, plus la populace les honore. Ce sont
a même acception que Poètes, c’est-à-dire inventeurs] les Troubadours
parurent
dans le temps où ce germe commençait à se féconde
titre bien singulier, du Pécheur justifié par la Foi. Robert Garnier
parut
sous Henri III ; à Garnier, succéda Alexandre Har
les supplices, la mort même ; sur-tout si l’on considère que la Pièce
parut
dans un temps où venaient de cesser les guerres s
ux d’un Peuple, dont la Religion avait flétri la Comédie. Moliére qui
parut
bientôt après, Moliére l’honneur de son pays, qui
ue dirons-nous des femmes ? Celles qui sont nées de parens Comédiens,
paraissent
naturellement destinées au Théâtre : elles pourra
jeunes & belles ; mais leur nombre, la rareté des jours où elles
paraîtront
sur le Théâtre, le peu d’années qu’elles y rester
. On se rappelle délicieusement mademoiselle Guéant, qui n’a fait que
paraître
un moment sur la Scène française ; sa timide ingé
s & de la joie). *. 450 ans avant J. C, Thespis commença à faire
paraître
sur un Théâtre informe, un Acteur qui fesait à la
citaient des passages de l’Odyssée, de l’Iliade & du Margitès. Il
paraît
que le sens du mot Tragédie n’était pas alors dét
ns avaient déja de la barbe, ils se l’arrachaient soigneusement, pour
paraître
toujours dans l’âge de l’adolescence. Fragm. de D
tumés à la Représentation dans le Service Divin ; & la Comédie ne
parut
que comme une suite de ce Service, & même ell
es Pères de l’Eglise, les sentiments des gens doctes et pieux qui ont
paru
presque de notre temps. Pétrarque. Petrar. dial.
e répondrai ici seulement à quelques-unes de ses Objections qui m’ont
paru
les plus considérables. Réponses aux Objections
ectiver contre un abus si pernicieux, avant que la lettre en question
parût
, ne sont-ce pas autant de témoins illustres qui d
a personne sacrée de sa Majesté, tout le monde s’efforçant d’en faire
paraître
sa joie, le Te Deum fut chanté dans toutes les Eg
croyait suffire pour donner aux jeunes gens une louable hardiesse de
paraître
et de parler en public avec grâce et bienséance.
it contre la mauvaise coutume qui commençait à s’introduire, de faire
paraître
des danseurs aux intermèdes des Tragédies. Anno
ents sages et pieux, c’est la nécessité qu’il y a de les accoutumer à
paraître
en public, qui les fait monter quelquefois sur le
n seulement le diable, mais Dieu même ? Notre Défenseur des comédiens
paraît
dans cette Objection, être un fort méchant Théolo
et les pompes du diable, auxquels l’on a renoncé dans le baptême, ne
paraissent
pas avec moins d’éclat dans l’un que dans l’autre
; que parce qu’on s’est affaibli peu à peu en des occasions, qui ont
paru
de peu d’importance. 6. L’on ne fait pas souvent
t spirituels. Jetez les yeux sur l’étendart de la Croix que Dieu fera
paraître
dans le ciel au jour du jugement ; et réveillez-v
ciel ; non plus dans un état de bassesse et d’humiliation, comme il a
paru
dans son premier avènement ; mais dans une majest
t vous persuader que Dieu ne prenait pas soin des choses de la terre,
paraîtront
devant vos yeux avec leurs Disciples, tout couver
médie et les Comédiens. Opposés à ceux de la Lettre scandaleuse qui a
paru
depuis quelques mois sur ce sujet, pendant le tem
HISTOIREDES OUVRAGES Pour & contre les Théatres Publics. Il
parut
sur la fin du dernier siecle un Livre intitulé :
Lalouette. Quant à la partie historique, elle se borne aux Ecrits qui
parurent
de son temps. Nous donnerons plus d’étendue à cet
que nous indiquerons ; nous distinguerons les Ecrits de ce genre qui
parurent
dans le dix-septieme siecle d’avec ceux du dix-hu
entreprendre de justifier les Théatres publics par deux Ouvrages qui
parurent
en 1657 ; Le premier intitulé : Pratique du Théa
e premier de nos Dramaturges qui ait écrit en faveur des Théatres. Il
parut
en 1639 un Ouvrage intitulé : Apologie du Théatr
rce contre la faim, magis fami quàm famæ inserviebat. En 1666, on vit
paroître
une apologie de la Comédie, sous ce titre : Diss
veu qui en fut fait par ce Religieux Théatin. Aussi ne la vit-on plus
paroître
sous son premier titre, mais seulement sous celui
ssayer d’embrouiller la matiere qui en est l’objet. L’Auteur feint de
paroître
embarrassé par la contradiction qu’il dit apperce
urs les Littérateurs les mieux famés en vertu, & que, dès qu’il a
paru
en faveur du Théatre quelques Ecrits, il y a touj
nciliables avec la regle évangélique. Voici le titre de cet Ecrit qui
parut
muni d’un grand nombre d’approbations : Tratado
trois Comédiens incurseurs. Il donna un Ouvrage en 4 Tomes in-4° qui
parurent
successivement à Florence en 1645, 1649 & 165
e déplut aux Partisans du Théatre, & il donna lieu à un Ecrit qui
parut
dans le Mercure du mois d’Août de la même année,
l’Orateur y a parlé du livre de M. Bossuet sur la Comédie. M. Talbert
paroît
reprocher à ce Prélat de s’être chargé d’une caus
donc lui-même ne pas l’oublier ; &, au lieu de s’abaisser jusqu’à
paroître
partager l’intérêt que les gens du siecle prennen
. Mais il ne doit pas ignorer que si, pour l’intérêt des passions, on
paroît
accueillir dans les Ministres de l’Eglise ces sor
heureux les hommes 82 ». C’est à cette derniere maxime que notre Roi
paroît
être fixé ; nous en avons un gage dans la Lettre
it à la tête de sa Traduction des Odes d’Anacreon & de Sapho, qui
parut
en 1712, une longue dissertation sur la Poésie, o
arderoit comme ses ennemis tous ceux qui s’efforcent de nous la faire
paroître
aimable ; mais on ne veut point guérir, & l’o
criture, qui nous ordonne de fermer les yeux dès qu’une femme folâtre
paroît
, de peur de tomber dans ses filets ; & qui no
nt ont-ils passé en coutume ? Comment des Ecclésiastiques osent-ils y
paroître
? A cela il répond, 1°. que ces Ecclésiastiques e
piété & par leur Doctrine, & même canonisés par l’Eglise, ont
paru
être moins séveres sur quelques abus, ils ont à c
, que M. l’Abbé Richard a donnée au Public en 1766, & celle qui a
paru
en 176998, font connoître « que le Peuple de Rome
ver la voix contre les scandales des Théatres publics, mais encore de
paroître
les tolérer. Il y a quelques années qu’on en fit
dans aucune de ses maisons. Les Ouvrages qu’on a vu assez fréquemment
paroître
en Italie contre les Spectacles, & dont nous
ipes se trouvent très-bien soutenus dans un sçavant Ouvrage latin qui
parut
en 1770 à Milan, sous ce titre : Theatrum moder
r contre les Spectacles108, nonobstant la quantité d’Ouvrages qui ont
paru
sur cet objet ; & la raison qu’il en donne, e
; mais il n’est point douteux que dans l’ordre de la Providence il ne
paroît
aucune réclamation en faveur de la vérité, sans q
aire. Je reviens à nos Ecrits nationaux contre les Spectacles : il en
parut
un très-bon en 1752, sous ce titre : Essai sur l
t de ses nouvelles Observations, que toutes les Apologies qui avoient
paru
jusqu’alors en faveur de la Comédie, étoient asse
e il s’est flatté que celle qu’il a donnée est la plus parfaite, il a
paru
convenable de donner un extrait un peu étendu de
é par l’Essai sur la Comédie moderne, dont nous donnons l’extrait. Il
paroît
que l’Auteur n’a pas été ébloui par les Observati
les nouvelles Observations de M. Fagan ont percé jusqu’à moi. Il m’a
paru
si facile de les réfuter, que je l’ai fait. Voilà
t-à-dire, des femmes follement entêtées d’être sçavantes, & de le
paroître
. [L’Ecole des Maris, les Fâcheux, l’Avare, &c
e contente. On trouve dans le second Tome de ses Œuvres diverses, qui
parurent
en 1730, un Projet pour la réformation du Théatre
ir plus de succès que toutes celles qui l’avoient précédé, ou qui ont
paru
depuis. Au moins M. Fagan a témoigné conserver q
73, pour, dit avec justice l’Editeur, remettre sous les yeux ce qui a
paru
de plus sagement pensé & de mieux écrit sur l
On en trouve aussi un extrait dans le second volume d’un Ouvrage qui
parut
à Paris en 1774, sous ce titre : Antilogies. On
es Ministres Protestans condamnoient aussi les Théatres publics, il a
paru
convenable de rassembler ici en preuves de cette
pas avoir des mœurs bien austeres. Il avoit été Dominicain ; & il
paroît
qu’il ne déserta de son Ordre & de l’Eglise C
rique & critique du Poitou, 5 vol. in-12. Ce sçavant Philologue y
paroît
surpris de ce que cet Ecrit de Rivet n’est pas au
ssertations. Werenfels n’avoit pas vingt ans quand il le composa. Il
paroît
qu’il avoit alors beaucoup de goût pour les Jeux
e, les plaisirs de la débauche mis en honneur, &c. ». En 1772, il
parut
à Londres un Ouvrage intitulé : The absolute unla
ables, dont deux Critiques du Théatre Anglois sont du nombre ». L’une
parut
en 1698, sous ce titre : A short view of the immo
la traduction d’un des Ouvrages de Collier contre les Théatres. Elle
parut
en 1715 sous ce titre : la Critique du Théatre An
s instruites par la plus saine partie de ceux qui le composent ». Tel
paroît
être l’objet au moins indirect de cette Piece. Il
u Tome premier de ses Nouvelles historiques qu’il donna en 1774. Il y
paroît
persuadé que ces Romans font peut-être plus utile
des Acteurs. Cependant c’est dans un siecle aussi corrompu, qu’il a
paru
des Ecrits contre le genre d’amusement le plus do
s dont le Roi a permis la publication, & dont le premier volume a
paru
en 1775, sous le titre de Devoirs du Prince rédui
Littéraires 157. Elle y est donnée comme une déclamation qui a moins
paru
le langage du remords que celui de l’amour-propre
mp; de véhémence qu’il n’appartient qu’aux gens persuadés d’avoir. Il
paroît
que M. Irail n’a pas, sur les devoirs de l’Etat E
ractation authentique. M. Irail laisse à douter si elle a eu lieu. Il
paroît
qu’il ne s’est pas intéressé à s’instruire du fai
n M. de Noailles, qui ne lui succéda qu’au mois d’Août 1695. M. Irail
paroît
si attaché à l’erreur rétractée par le P. Caffaro
nheur public, par M. l’Abbé Gros de Besplas. La premiere édit. in-8°.
parut
en 1768 ; la 2e en 1774, en 2 vol. in-12. Cet Ouv
osé de bonnes spéculations politiques, économiques & morales : il
paroît
que l’Auteur a eu en vue d’en faire comme la Phil
mourut de la peste, en 1596, à Laon, où il étoit Procureur du Roi. Il
paroît
que c’est de ses Ouvrages, & sur-tout de sa M
ceptes ou sur les conseils de la Religion Chrétienne. Ce systême169 a
paru
merveilleux aux Matérialistes, qui n’attribuent n
s à danser, à chanter ou à déclamer ; exercices, dit-il, qui auroient
paru
honteux à nos ancêtres, qui n’auroient point voul
nts sont trop contraires aux vertus des Héros Dramatiques. Le Théatre
paroît
toujours à la plupart des Spectateurs perdre de s
ne opinion motivée qui décide négativement la question. En effet il a
paru
des projets de réformation. Quelque peu séveres q
s & l’usage du monde ; en sorte qu’à dix ans, ils sont en état de
paroître
dans ce qu’on appelle les meilleures compagnies,
Paris, 1769. M. Nougaret, à qui l’on attribue cet Ouvrage didactique,
paroît
très-amateur des Spectacles. Il exagere beaucoup
yauté. L’Ecriture Sainte y est profanée & tournée en ridicule. Il
parut
en 1774 un Ouvrage intitulé : Du Théatre, ou nouv
, & qu’on a relevé avec justice dans un Ouvrage intéressant qui a
paru
en 1774 sous ce titre : le Comte de Valmont, ou l
est l’Auteur ; & il en a dédié à la Reine la seconde édition qui
parut
en 1775, cet Ecrit fut suivi en 1778, de deux aut
l’Empereur Justinien. La cause des Théatres ne peut certainement que
paroître
encore plus mauvaise à des gens sensés, quand ils
de grosses touches, comme le dit l’Auteur des Lettres à Eugenie, qui
parurent
en 1774, & qu’on attribue à M. le Prince de L
érés dans un Gouvernement bien dirigé. En voici quelques preuves : Il
parut
en 1773 un Ouvrage sous le titre de Systême Socia
Ce propos des jeunes Spartiates a été critiqué dans une Brochure qui
parut
en 1759, sous le titre de Considérations sur l’Ar
les âges confondus, Suivent, en se jouant, la Folie & Momus. Il
paroît
que M. de S.-L. ne s’étoit pas muni d’antidote co
e dans la Comédie des Talens à la mode, un personnage qui néanmoins y
paroît
avoit beaucoup d’inclination pour les plaisirs de
oit d’exposer le délire qui a dicté la plupart de leurs Apologies. Il
parut
, par exemple, à l’occasion des Vaux-hall & du
n trouve les influences de ces principes scandaleux dans un Ecrit qui
parut
en 1775, sous le titre de Lettre à Madame la Com
alier du Coudrai un Ecrit mieux fondé que le sien en raisonnement. Il
parut
en 1772, sous le titre deDialogue sur les Spectac
rviendra bien plus sûrement sous cette forme nouvelle, que s’il n’eût
paru
que sur la Scene, cette prétendue école des mœurs
esser à moi, est tenté de condamner le parti que j’ai pris de ne plus
paroître
dans cette carriere, qu’avant de me désapprouver,
x de leur instinct sont leurs uniques guides ; Et pour eux le présent
paroît
sans avenir. J.B. Rousseau, ode IV. C’est po
t de la Fable suivante, imitée de M. Gellert, Ecrivain Allemand. Elle
parut
il y a quelques années. Les Humains à leur tour
, du 12 Décembre 1753. Elle a aussi été rapportée dans un Ouvrage qui
parut
en 1773, sous le titre d’Aménités littéraires. L
uer par la médiation de Jesus-Christ. Ces réflexions ne doivent point
paroître
superflues. On a dans le cours de la vie assez d’
ur le costume moral de leurs Poëmes, selon une espece de Poétique qui
parut
en 1741264. L’Auteur de cet Ouvrage didactique lu
les les fictions de leurs drames…. Que les Poëtes aient soin de faire
paroître
l’amour dans tout son jour, comme l’a fait Quinau
. Ce ridicule a fait l’objet d’une Satyre ingénieuse de 243 Vers, qui
parut
en 1753, à l’occasion d’une querelle d’intérêt, e
te qui, comme l’a dit Tacite 280, pensoit qu’il devoit par politique,
paroître
s’intéresser aux plaisirs du Peuple, afin de l’em
nte d’Espagne, qui n’étant pas encore mariée, dit M. Bossuet, faisoit
paroître
plus de belles qualités qu’elle n’attendoit de Co
. On doit en être d’autant plus étonné, que « Moliere, dit M. Fréron,
parut
faire si peu de cas d’une place dans l’Académie F
rifices de l’Amour. 153. Ouvrage périodique dont le premier volume a
paru
au mois de Juillet 1775. 154. Dans la Feuille He
ibliothécaire de la Reine. 157. L’Histoire des Querelles Littéraires
parut
en 1761. M. l’Abbé Baral en donna dans le temps u
i est au commencement de sa traduction des Tragédies d’Eschyle, qui a
paru
en 1770. 174. Eschyle avoit été disciple de Pyt
. Dans sa Lettre sur sa Tragédie d’Euphémie, dont la deuxieme édition
parut
en 1768. 179. Dans sa Lettre sur Euphémie. 180.
nt cette Philosophie insensée qui méconnoît l’autorité divine. Horace
paroît
, dans une de ses Odes, s’être repenti de s’être l
volume. 229. Dans un Ouvrage intéressant, intitulé : Londres, qui a
paru
en 1770, en 3 volumes in-12 ; & qui a été réi
u’ils soient, jeunes ou vieux, de jouer ou laisser jouer, ou même d’y
paroître
, dans leur maison, héritage ou autre domicile ou
foi docile et une profonde humilité. Les infâmes commentaires qui ont
paru
depuis peu sur l’Apocalypse, l’Ecclésiaste, le Ca
ot tout ce qui est capable de nourrir la passion : tout le reste leur
paraît
vide ; à peine l’ennui laisse-t-il tomber un rega
ve des altérations de l’Ecriture la tragédie de Judith, qui venait de
paraître
, et qui composée par un Ecclésiastique (l’Abbé Bo
; elle y trouva son écueil. Le public n’est pas courtisan : la pièce
parut
froide, la texture commune, la versification pros
estilentielle n’infectât l’air. 2.° Il ne convient pas qu’un Chrétien
paraisse
avoir aucun commerce avec le Démon, ennemi déclar
ères sur les deux pièces de théâtre les plus pieuses qui aient jamais
paru
, Esther et Athalie, composées pour une Communauté
tation qu’elle traitait de profanation, quoiqu’elle lui eût autrefois
paru
une œuvre de piété dans ses filles. Mais elle ne
défense de porter des habits ecclésiastiques et religieux, en faisant
paraître
des Abbés déguisés et des Prêtres juifs ou Païens
Cet Abbé, tout Prêtre qu’il était, homme de condition et de probité,
paraît
partout sans religion et sans connaissance de la
les, du Commerce, des travaux profitables à la Population, &c. Il
paraît
que nous ignorons encore tous les usages de notre
ffaire d’Etat ; que, s’il était possible, le Citoyen y fût admis sans
paraître
contribuer en rien à la dépense*. Mais on ne peut
nt pour jamais bannies du Théâtre réformé : mais cette proposition me
paraît
également odieuse à faire, injuste & inadmiss
s, fort distinctes, quoique liées entr’elles, que monsieur Rousseau a
paru
attaquer victorieusement les Théâtres dramatiques
; & quoique, chez l’une & l’autre Nation, les Drames n’aient
paru
dans leur plus grande gloire, que lors d’une corr
Spectacles, des Arts, des Sciences en tout genre qu’il protégea ; il
parut
encourager un Pylade, un Bathylle, dont les Mimes
re à la plus exacte décence : j’ai prévu vos objections ; elles m’ont
paru
si fortes, que je n’ai pas cru qu’on pût les leve
je veux lui ménager un tête-à-tête… Adieu : Monsieur Des Tianges, qui
paraît
, t’embrasse un million de fois : & moi, chère
le1865 Mémoires de l’abbé Le Gendre a (1694.) En ce temps-là
parut
une lettre en faveur de la comédie, lettre assez
aire où elle travaillait depuis plus de cinquante ans. La critique en
parut
sous ce titre : Dictionnaire des halles, comme si
rand mérite ait mis cinquante ans à le faire, il est tombé, dès qu’il
parut
, dans l’oubli et dans le mépris si fort qu’on n’o
maladroitement causée. Innocence ! innocence ! tout le monde te loue,
paraît
te chercher, te desirer : trompeuses apparences !
te revoir avec plus de plaisir. Il n’est que sérieux avec toi ? Il ne
paraît
ni triste, ni dévoré par l’ennui : n’est-ce pas m
ur, est-elle bien vraie ? Monsieur D’Alzan, depuis quelques jours, me
paraît
plus triste qu’avant son voyage. Tout-à-l’heure,
bien des caresses à monsieur D’Alzan. Il n’a pas dit un mot : mais il
paraissait
si touché ! si touché… Agathe le regardait avec s
ombre. Qu’Orphée commence à jouer du Luth ; qu’au même instant elles
paraissent
toutes changées, et dansent avec l’ombre qu’elles
leurs troupeaux ; les autres leurs barques ? En vérité, mes Pères, il
paraît
que vous n’avez seulement pas l’Idée de la douceu
usages ; ils mettent leur étude à saisir nos modes à mesure qu’elles
paraissent
. Faut-il conclure que nos pompons sont divins, no
imple particulier, ou par un vil artisan. Tout ce qui nous amuse nous
paraît
digne de notre attention. On avait purgé le Théât
Théâtres de lui dérober. La plus-part des Poètes du nouveau Spectacle
paraissent
avoir raison de se persuader que le stile est trè
nne la préférence à celle des Italiens, mais c’est en cela qu’il fait
paraître
combien il estime l’Opéra-Bouffon. Il commença mê
isérables laboureurs, qu’on ne peut s’empêcher de s’écrier, lorsqu’il
paraît
un Poème à ce Théâtre dans lequel on fait agir de
e de ces langues était différent du nôtre ; leurs épithètes, qui nous
paraissent
si ridicules, étaient une grande beauté. Preu
es Pères, avec celle des Scolastiques et des Casuistes modernes, vous
paraîtra
juste. Pour moi je trouve que son indétermination
oir l’idolâtrie, et cette impudence horrible qui allait jusqu’à faire
paraître
des femmes toutes nues sur le Théâtre, et à y com
ui puissent être présentées au véritable Dieu. On n’y fait plus aussi
paraître
de femmes toutes nues ; mais celles qu’on y fait
plus aussi paraître de femmes toutes nues ; mais celles qu’on y fait
paraître
, n’y montrent encore que trop de leur nudité ; et
opinion, et qu’ils aient approuvé la Comédie dans l’état où elle lui
paraît
indifférente. « Vous ne vous attendez peut-être p
injurieux à Tertullien que celui qui vient d’être développé, et il va
paraître
du moins aussi téméraire. Car Tertullien première
tacle pompeux disposé pour le plaisir, où des Acteurs et des Actrices
paraissent
avec des ajustements mondains et peu modestes, où
Pièces purement comiques, que le Docteur lui-même abandonne. Or il va
paraître
clair comme le jour que la Comédie, suivant cette
ment toucher son cœur, non seulement par les bonnes intelligences qui
paraissent
quelquefois entre les Acteurs et les Actrices, ma
que l’avènement du Seigneur qui approche tous les jours, et lorsqu’il
paraîtra
glorieux et triomphant ? » Jusque-là les Comédie
Pièces de Théâtre il n’y en eût de mauvaises que celles où on ferait
paraître
des femmes toutes nues, et où on offrirait des sa
de dévotion, mais des Poupées de licence bien animées et bien vives,
paraissent
avec les ajustements et tous les airs les plus mo
ables que donne Albert le Grand à certains passages de l’Ecriture qui
paraissent
condamner les Comédies ; comme s’il n’y avait pas
es honnêtes, et en forme d’exercice seulement, afin de les disposer à
paraître
quelques joursn avec plus de liberté et de hardie
appareil qui ressent la vanité des Spectacles mondains ; où l’on fait
paraître
des garçons habillés en filles, ce qui est condam
aire preuve de la sienne.» Cette lexive, quelque excellente qu’elle
paraisse
à notre Docteur, n’a pas encore enlevé la tache d
orations ont été également pompeuses, les Acteurs et les Actrices ont
paru
avec les mêmes airs et les mêmes ajustements, les
on y prend garde, a quelque chose qui ne lui est pas ordinaire ; il y
paraît
modeste et scrupuleux. Il avoue que son jugement
icieuse. « J’ai fait encore quelquefois, dit-il, une réflexion qui me
paraît
assez judicieuse, en jetant les yeux sur les affi
pour le prouver par lui-même) quel profit en a-t-il tiré ? Il ne nous
paraît
pas qu’il y ait appris autre chose qu’à les appro
moyen pour arriver à la perfection et à la ressemblance de Dieu. Cela
paraît
impertinent, et cela l’est effectivement très for
que saint Augustin condamne, et que l’Eglise n’approuvera jamais. Il
paraît
par tout cela que les Comédies ne se sauveront pa
ême, et il semble qu’il serait fâché en finissant sa Pièce, de ne pas
paraître
ce qu’il est, c’est-à-dire, un Docteur de Théâtre
soyez content, et que le Public en puisse être autant édifié, qu’il a
paru
scandalisé de la Lettre dont je vous ai fait le d
ences. Tout étoit tranquille, on n’y pensoit plus, lorsqu’en 1694, il
parut
une brochure anonyme, jettée comme un enfant perd
aisemblablement n’avoit aucune part à à cette manœuvre de théatre, en
parut
aussi surpris & indigné que les autres, &
quence de Démosthene, & c’est un des meilleurs ouvrages qui ayent
paru
, & dont ou peut le moins récuser le témoignag
ment la défense, d’autant plus croyable, que ce qu’ils ont dit allant
paroître
devant le juge des vivans & des morts, qu’ils
coûta bien des nouveaux crimes. Ces spectacles admirés des étrangers,
parurent
aux Juifs le renversement de leurs loix & de
t de s’exposer à tout, plutôt que de souffrir un si grand mal. Hérode
parut
d’abord céder & réforma quelque chose ; mais
rode parut d’abord céder & réforma quelque chose ; mais le reméde
parut
insuffisant, & on le connoissoit trop pour se
gne de Dieu. La mort d’Hérode fut fatale au théatre, il languit &
parut
presque anéanti. Le royaume de ce Prince fut divi
mp; un amphithéatre, donna des concerts de musique, espece d’opéra où
parurent
1400 hommes, partagés en deux troupes qui donnere
inq Rois voisins qui y furent traités magnifiquement. Cette assemblée
parut
suspecte au Gouverneur de la Judée qui y vint aus
-fait son Athée . Il revint de cette maladie, & se convertit : il
paroît
dans ses Mémoires avoir de la religion. Il a mêlé
mber dans un moment en enfer : In puncto ad infernæ descendunt. Il
parut
alors deux libelles diffamatoires, dont les Auteu
, & auroit extremement déplu à la personne intéressée, s’il avoit
paru
. Le second, intitulé le Cochon mîtré, avec une es
. Ces trois adresses se trouverent fausses, & le diamant n’a plus
paru
. Il vit à Madrid, à l’entrée de Philippe V, un sp
la nouvelle Duchesse vit les riches appartemens de son mari, qu’elle
parut
dans le monde, & fut menée aux spectacles, ce
droit à la Couronne, &c. Toutes ces clauses doivent de nos jours
paroître
fort singulieres. C’est pourtant sur ce testament
nombreuse, marchande & riche en Pologne. Leurs filles n’oseroient
paroître
au théatre, mais elles sont très-exercées à la da
plus grand mal que d’être de mauvaise vie. Que ne fait-elle pas pour
paroître
belle, & cacher le plus petit défaut ? s’emba
bruit de guerre & une clarté éblouissante, au milieu de laquelle
paroît
le Dieu Mars avec sa suite. Vulcain le reçoit pol
ses genoux. Venus écoute ses propositions fort tranquillement, &
paroît
indécise sur la réponse qu’elle y doit faire. Heu
iété et aux sentiments que les véritables Chrétiens ont toujours fait
paraître
en de semblables occasions. Si vous étiez aussi v
cacher cette tristesse au Successeur, et qu’on affectait de ne faire
paraître
devant lui que de la joie. Les vrais Chrétiens on
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