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1 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Spectacles des Romains en general. » pp. 7-8
s Spectacles des Romains en general. N ous ne remontons point aux premiers siecles, toutes sortes de commencements sont impa
tion des curieux. Ie les ay tous reduit à cinq sortes, dont les trois premiers tirent le nom du lieu où ils se faisoient, &
soient, & les deux autres de la chose qui estoit faite. Les trois premiers sont les Chasses Combats, oujeux du Cirque, de l’
2 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
ire, aux mœurs désirables dans la société ; le Roi nommera les quatre premiers , ces quatre nommeront le cinquième, les cinq nomm
retirent du plaisir. 2°. Il est à propos que le Roi crée une place de premier Poète tragique ou sérieux, et une autre de premie
crée une place de premier Poète tragique ou sérieux, et une autre de premier Poète comique, qu’il les nomme d’entre les trois
plus utiles aux bonnes mœurs. Le feu Roi a déjà donné des Lettres de premier Géographe, de premier Peintre, de premier Sculpte
s mœurs. Le feu Roi a déjà donné des Lettres de premier Géographe, de premier Peintre, de premier Sculpteur, etc. Il est de la
a déjà donné des Lettres de premier Géographe, de premier Peintre, de premier Sculpteur, etc. Il est de la bonne police de form
lustration, et même une noblesse héréditaire attachée à la qualité de Premier . Il y a longtemps que j’ai observé que nos ancien
3 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
TABLE DES PRINCIPALES matièresContenues dans ce Volume. Chapitre Premier . L’Obscénité du Théâtre Anglais dans le langage
a chasteté règne toujours, 45 Caractère d’Euripide différent des deux premiers , 49 La pureté de son style, là même. Tout ce qui
e la raison qui apprend à respecter les Ministres de la Religion, 216 Première preuve : leur devouement spécial au Seigneur, là
dernes qui en aient usé de la sorte, 299 CHAPITRE cinquième. Article Premier . Remarques sur l’Amphitryon de M. Dryden, compa
4 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
Chapitre premier . Du Theatre. Section premiere. Du no
Spectacle que celuy d’Auditoireἄκροατήριον., soit par le souvenir des premiers Spectacles qui n’estoient que pour les yeux, soit
, soit par un particulier respect pour cette Statuë de la Nourice des premiers Romains, s’y opposa avec tant de force & tant
de Gallus, ou Gallio, & voudroit mesme luy attribuer la gloire du premier fondateur de la Scene & du Theatre permanent 
u’il en soit, tous ces ouvrages ont esté de beaucoup inferieurs à ces premiers , dont nous avons parlé : & il suffira apres c
dans son Ter. Iust. La Seconde prit sa naissance de la simplicité des premiers Acteurs, qui se contentoient de l’ombre des arbre
ou de desordre ou de mespris. Pour les Peintures, C. Pulcher fut des premiers qui en orna la Scene, où jusqu’à luy on s’étoit c
s les autres choses n’ont pas receu leur derniere perfection de leurs premiers Inventeurs ; & la suite des temps, ou la dive
5 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
CHAPITRE PREMIER . Comparaison des Théâtres anciens avec les modern
a la licence ; mais la Comédie, en se corrigeant, n’abandonna pas son premier motif : sans nommer les particuliers, elle se con
t sur ce pivot que tournent les intrigues de la Comédie, depuis cette première espèce de correction jusqu’à présent. Suivant ce
a pas longtemps dans cet état de pureté. Elle retomba bientôt dans sa première licence ; et c’est à cette dernière corruption qu
6 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Fautes à corriger. »
usse-délicatesse, la Femme-jalouse, & l’Il-est-possédé : les deux premières sont des chefs-d’œuvres dignes de notre Théâtre.
près marin, 3 500 liv.   On trouve chez les mêmes Libraires, le Tome Premier des Idées singulières, ou le Pornographe.
7 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
t utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. Article Premier . J’ai deux choses à montrer, en cet article, en
avantage à la preuve de cette vérité ; car en la sixième Partie de ce premier Tome, j’en parlerai plus amplement, lors que je c
lui qui vit bien, de laquelle je traiterai en la sixième Partie de ce premier Tome ; je ne m’arrête ici qu’à la seconde, et pro
première, tel a été le sentiment des Philosophes, et des Théologiens, Première . C’est l’avis de tous les Sages. qui traitant des
fils, lorsqu’il lui donne des bons préceptes pour la vertu, au livre premier de ses Offices, « Il est loisible de jouer, et de
de récréations.Quatre avis pour se bien comporter en ces récréations. Premier Elever le cœur à Dieu renouvelant la pure intenti
é de la chasteté, en un mot qu’ils soient bons. L’Orateur Romain, au premier livre de ses Offices, distingue deux genres de di
n met à jouer. 4. La somme qu’on joue. 5. La façon de jouer. Quant au premier , qui est la personne qui joue,Première, A la pers
5. La façon de jouer. Quant au premier, qui est la personne qui joue, Première , A la personne qui joue. souvenez-vous que toute
ncipalement de celles qui vous sont plus importantes, comme celles du premier Dimanche des mois, et des fêtes de Notre Seigneur
enne peut et doit prendre des récréations corporelles et extérieures. Première . C’est l’avis de tous les Sages. 35. [NDA] Aris
verses sortes. Quatre avis pour se bien comporter en ces récréations. Premier Elever le cœur à Dieu renouvelant la pure intenti
Pour n’offenser par Dieu au jeu, il faut prendre garde à cinq choses. Première , A la personne qui joue. 77. [NDA] Amb. 2. off.
8 (1731) Discours sur la comédie « MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’EVEQUE DE NIMES, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 352-360
couvert pour toujours de cette espèce de séduction, par la chute des premiers qui vous l’apportèrent. On les vit méprisés et mi
une nouvelle Troupe, et s’élever un second Théâtre sur les ruines du premier . Nous en fûmes surpris ; mais ce qui nous toucha
plus de notre silence. Mais hélas ! à peine les traces impures de ce premier passage étaient effacées, que l’esprit immonde es
9 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
pectacles à dessein et de propos délibéré tu retournes en effet à ton premier maître qui est le diable : car ayant en même temp
stères du Symbole sont ruinés dans nos cœurs , et après avoir sapé ce premier fondement de notre créance, tout ce qui suit des
aricateurs des Sacrements, de gens qui retournent vers le diable leur premier maître, qui préfèrent le démon à Dieu, qui font b
10 (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30
, j’en connais les détours. » Bajazet. Les Théâtres, depuis ceux du premier ordre jusqu’aux tréteaux de la foire, (C’est ains
s foires qu’elle supprimait, a porté un coup terrible aux théâtres du premier ordre. Le répertoire Français fut un instant livr
erge du Soleil 41 et le Château du Diable 42, sont je crois les trois premiers enfants de cette bâtarde43, qui accoucha quelques
eance ; un jour, si vous avez une injure à laver, comptez sur nous au premier appel ; en route, voilà notre adresse, au revoir.
aison, que j’avais remarqué plusieurs fois en passant, m’avait plu au premier coup d’œil. J’étais à peine installé dans un joli
Il y avait affluence, comme dans ma jeunesse, aux représentations du Premier navigateur et de Tarare, avec son prologue des ve
tisme, il a paralysé l’ vrai genre qui convenait à c’ théâtre qui, d’ premier pour le mélodrame, est d’venu l’ dernier pour le
emarques que, dans le moment où l’autorité donne des commissaires aux premiers théâtres, sa sollicitude devrait s’étendre sur le
2. [NDA] Innovation d’un rideau de glace. 53. [NDA] Les acteurs du premier , dans leur origine, ne pouvaient jouer qu’à trave
ite d’une représentation du Festin de Pierre de la Foire. 58. [NDA] Premier titre du spectacle de Nicolet, aujourd’hui la Gaî
11 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Cirque. » pp. 9-43
forme spherique & disposée en rond. Ce fut la tout l’apareil des premiers temps ; car les beautez de la nature suffisoient
point toute leur premiere Pompe, ils perdirent aussi beaucoup de leur premier ordre, Al. ab. Al. l. 5. c. 16.& les Senateur
ou mesme sur des Chars, selon la course qu’ils avoient entreprise. Ce premier appareil s’appelloit la Pompe. Les yeux suffisamm
s vns aux autres, leur donna l’art & l’invention de fortifier ces premiers secrets, d’armer les poings de gantelets, au comm
off. aul. Constant. termes obligeans & affectez à ce respect. Ce premier bruit de joye ou de respect estant cessé, ceux qu
t. Tout cet assemblage d’esclaves destinez aux cruels plaisirs de ces premiers temps, estoit apellé famille. La mort estoit le p
pos & de vivre affranchy de la servitude & de l’infamie de sa premier profession. Ce n’est pas par maniere d’acquit qu
heatre. Pour les divertir on leur donnoit ces miserables épargnez des premiers perils, qui n’estant ny revêtus ny armez s’entret
12 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
divertisse durant quelques jours, pour se disposer à rentrer dans ses premiers exercices. Pourriez-vous seulement souffrir ce di
ie la vie de ce Chef humilié & chargé d’épines. Les enfans de ces premiers enfans de l’Eglise, auxquels les Païens n’avoient
vanitate. De tous ces eloges, que ces grands Saints donnoient à ces premiers imitateurs de Jesus-Christ ; y en a-t-il un seul,
sert-il de le dissimuler ? Il n’y a gueres moins difference entre ces premiers Chrêtiens & ceux, qui portent aujourd’hui ce
13 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
un objet neuf : voila le plus grand mérite des femmes. C’est de notre premier aspect que dépend l’illusion ; si l’amour semble
ce n’est que le dévelopement, & l’affaiblissement peut-être de ce premier sentiment d’étonnement & d’admiration qu’une
14 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
sir sans peur ». De là, après quelques autres discours revenant à son premier sujet, il conclut qu’« elle peut bien juger consi
erté. La Dame prie Damis de ne rien dire ; mais il s’obstine dans son premier dessein. Sur cette contestation le mari arrivant,
lle ne s’en était mêlé : qu’une femme fait beaucoup en effet dans ses premières déclarations, que de promettre le secret ; qu’ell
de lui voir cajoler sa femme jusqu’au bout ; quoique dans l’apparence première , et au jugement des autres, ce dernier outrage pa
s’empêcher de s’écrier « Le pauvre homme ! » comme le Mari faisait au premier Acte touchant le même Panulphe. La Vieille, encor
dit, mais seulement à ce qu’elle veut dire, ne s’écarte point de son premier chemin : sur quoi la Suivante encore malicieuseme
ait fait naître dans nos temps quelque génie capable de lui rendre sa première sainteté, pourquoi l’empêcherons-nous, et ne perm
rafraîchissent l’idée du plaisir très sensible qu’elle a goûté cette première fois : or, dans cet état l’âme n’est pas capable
es mêmes manières, nous sommes d’abord frappés d’un souvenir de cette première fois, si elle a fait une impression extraordinair
a joie dans la première ; ce qui n’est autre que le Ridicule de cette première . Ceux qui ont étudié la nature de l’âme, et le pr
re tout le chemin qu’il faut qu’elle fasse pour se désabuser de cette première impression ; et qu’il est quelques instants, où l
comme tel, quoique peut-être il ne le soit pas dans celui-ci. Or ces premiers instants sont de grande considération dans ces ma
ourrais vous dire pour achever de vous convaincre de l’importance des premiers instants en matière de Ridicule, que l’extrême at
, et qui nous l’a rafraîchie : combien donc à plus forte raison cette première impression fait-elle le même effet dans les occas
qui est le but de ma réflexion. Mais non seulement quand l’impression première de Ridicule, qui se fait dans l’esprit d’une femm
e qui lui parle : non seulement, dis-je, quand cela arriverait, cette première impression ne laisserait pas de produire tout l’e
nne qu’à lui-même. Cela ne lui arriverait pas, si suivant les pas des premiers Comiques et des modernes qui l’ont précédé, il ex
15 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
om d’Acteurs, ou d’Actrices, Danseurs, Filles des Chœurs, &c. Nos premiers Comédiens ont été les Troubadours, connus aussi s
; d’exposer les ridicules : ceux qui l’occupent, sont les organes des premiers génies, & des hommes les plus célèbres de la
16 (1709) Mandement de M. L’Evêque de Nîmes contre les Spectacles pp. 3-8
couvert pour toujours de cette espèce de séduction, par la chute des premiers qui vous l’apportèrent. On les vit méprisés et mi
une nouvelle troupe, et s’élever un second théâtre sur les ruines du premier . Nous en fûmes surpris ; mais ce qui nous toucha
plus de nôtre silence. Mais hélas ! à peine les traces impures de ce premier passage étaient effacées, que l’esprit immondef e
17 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
ssits font en tout 44,000 l. ci… 44,000 l. Prix & Accessits des premiers Danseurs : huit Prix à deux mille livres, trente
cle de Dépense sera comme nul, par la sur-taxe des Places, aux quatre premières Représentations. *** La Recette journalière, pour
 livres ; à pleine Salle, 4000 livres ; ce qui n’arrive guères qu’aux premières Représentations des Pièces nouvelles. Par le Syst
18 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
jeunesse & à leur inexpérience. On ne les remarque que dans leurs premiers Poémes. Dans le Cid, le Roi de Castille est un Pr
cité de son raisonnement, l’emportoit sur le célébre Nicole, étoit du premier genre ; & Nicole qui disoit de son antagonist
t. Le bel esprit n’a donc pas besoin de l’espèce de jugement, qui, au premier coup d’œil, saisit toutes les faces des objets. P
e des Maîtres, à qui cette partie si essentielle à échappé dans leurs premiers Ouvrages, faute des connoissances suffisantes ; o
19 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
, [E] 399, [F] 407. Le Règlement est divisé en trois Titres. Le Titre Premier 108 regarde nos Théâtres : Note [G] 408. Le préam
nner plus de vérité à la Représentation. 111. Note [H] 415 L’Article premier concerne le Parterre. 119 L’Article deux ce que
l’Opéra, où l’on parle du genre propre à ce Spectacle. 145 L’Article premier de ce Titre règle ce qui concerne les Opéras en g
oyens de perfectionner le Jeu Théâtral, ou l’Actricisme. 179 Article premier , Éducation des Acteurs, dans lequel est placée la
20 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVII. Accidents arrivés dans les spectacles. » pp. 150-153
lumières qui toutes furent éteintes en un instant. Au morne silence, premier effet de la frayeur, succédèrent bientôt des cris
ications, de Desprez de Boissy, op. cit., vol. 1, p. 449-455. Dans ce premier paragraphe, Desprez de Boissy cite le Discours co
21 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415
endu de grands services à l’Etat : les Grecs les nommaient Proedrias ( premières Places), parce qu’elles étaient les plus apparent
même aux Temples des Dieux. Ainsi la Scène, née de la simplicité des premiers Acteurs ; qui se contentaient de l’ombre des arbr
ais magnifique d’un Roi fastueux ? Ce qui était autrefois l’objet des premiers Magistrats ; ce qui fesait la gloire d’un Archont
ronqué, dont la surface la plus pétite, celle qui était au-dessous du premier rang des Gradins & du Podion, s’appelait l’Ar
22 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XXII. Le repentir de quelques auteurs dramatiques d’avoir travaillé pour les théâtres doit nous engager à éviter ces divertissements. » pp. 183-186
Racine ayant reçu une éducation toute sainte se relâcha bientôt de sa première ferveur : devenu sans peine, mais malheureusement
à faire, il fallait de grands sacrifices. Il fut accueilli, dans ses premiers succès, par le prince de Conti, qui lui donna des
23 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56
es Comédiens et les Tragédiens, je ne me servirai bien souvent que du premier nom ; ce que je dis afin que l'on ne s'imagine pa
de Théâtre ou de scène, qui n'avaient presque rien de commun avec ces premiers . Venons maintenant à notre sujet. Nous avons dit
ui donnèrent sa dernière perfection ; et nous voyons clairement cette première vérité dans les écrits de Donat, et de plusieurs
24 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « La tradition de l'Eglise sur la comédie et les spectacles. Les conciles » pp. 53-68
t qu'ensuite ils y soient admis, de sorte qu'ils n'exercent plus leur premier métier. Que s'ils contreviennent à ce Décret, qu'
y en a qui en épousent, qu'elles soient excommuniées. CANON V. Du premier Concile d'ARLES, tenu l'an 314. Quant aux Comé
t, que personne ne le puisse obliger, ni contraindre de reprendre son premier métier. Les Pères de ce Concile demandent l'exécu
25 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
éreuse résolution, de ne jamais assister à ces vilaines comédies. Le Première objection. Pros. Oui mais, dira un petit garçon c
comédies apportent. Deux sortes de comédies. Moyen de s’en dispenser. Première objection. Réponse. Seconde objection. Réponse. T
26 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PLAN. DU THEATRE. et autres Règlements, Qui sont la suite de ce qu’on a déjà vu, page 106 de l’Ouvrage. » pp. 329-337
u’on nomme à Venise le Rez de chaussée, parce qu’il est au-dessous du premier rang de Loges, il ferait comme dans les Théâtres
chaussée, et bientôt les Dames et les Seigneurs les préféreraient aux premières Loges ; malgré les cinq rangs de Loges l’élévatio
27 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
Rosiere fut mariée dans l’an ; le Seigneur voulut être parrain de son premier enfant ; le Rosier fut marié aussi dans son année
inspirer l’amour de la vertu ; en conséquence la Marquis de Noailles, premier Gentilhomme de la Chambre de Monsieur, & la D
Rouville. La cérémonie fut faite le lendemain par l’Evêque de Senlis, premier Aumônier du Roi. En 1640 Louis XIII envoya de mêm
point cette vertueuse Agape, qui rappelloit le souvenir de celle des premiers chrétiens. Ils se contenterent de faire entendre
couplets que les Benedictins avoient composé. Le Dimanche suivant, au premier coup la Messe de Paroisse, ils s’assemblerent dan
28 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
t plaça le théâtre, encore dans son enfance, sous la direction de son premier archontea. Et ce fut du sein de ces bacchanales d
lui-même fut banni d’Athènes. Un second décret corrigea la méprise du premier , interdit les personnalités ; et par un troisième
ère, il faut en convenir, pour un refus de soumission à la censure du premier archonte et à la loi protectrice de ceux qui tena
Les deux grandes figures de ce drame sont Marguerite et Buridan, son premier amant. L’intrigue est une suite d’efforts des deu
a préférence que le public accorde aux nouvelles compositions sur nos premiers chefs-d’œuvre : si quelquefois encore on représen
29 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
chrétienne. Cinquième partie. Contenant les sujets particuliers. Tome premier . Qui contient quelques Fêtes, Mysteres, & Cer
le Chancelier d’Aguesseau, Paris, les Libraires associés, 1759, tome premier , CXLVIII-623 p. PDF : Gallica.   Réédition • « R
37 ; abbé) : Sermons de Mr l’Abbé Anselme. Sermons pour l’Avent, tome premier , Paris, Julien-Michel Gandoüin et Pierre-François
 40-61, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intégrale, ou ch
aires, les bals et les spectacles : prononcé dans l’église française ( première succursale de Clichy) sise à Paris, boulevard Sai
fol, (6 p.) 759 p. (72 p.). PDF : Gallica. → Texte : livre VI, chap.  premier  : « De la censure », p. 602-616 (contre les acteu
’analyse philosophique et physiologique des passions. Bonnefons, Premier volume de la science du chrestien, 1646 • Bonn
ce du chrestien, 1646 • Bonnefons, Amable (16..-16.. ; père, SJ) : Premier volume de la science du chrestien qui apprend I.
 79-96, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intégrale, ou ch
l’Église. Par M. Chevassu, ancien Curé du Diocèse de S. Claude, tome premier , Lyon, Jean et Pierre Deville, 1753, in-12, table
theur, Paris, Guillaume de Luyne, 1664, 2 vol. in-fol. PDF : Gallica ( première partie ; seconde partie). → Textes : « Discours d
Nyon, Dessaint, 1771, 2 vol. in-12, XVI-694 p. (2 ff.) PDF : Google ( première partie, deuxième partie). Corpus OBVIL (vol. 1, v
Veuve Desaint, 1774, 2 vol. in-12, XX-838 p. PDF : Internet Archive ( première partie) ; Google (deuxième partie). • 6e éd. : Le
Ordre en France, Paris, Méquignon l’aîné, 1788, 6 vol. ; Prones, tome premier , (4 ff.) 480 p. PDF : Google. → Texte : « [Sermo
Ordre en France, Paris, Méquignon l’aîné, 1788, 6 vol. ; Carême, tome premier , (4 ff.) 560 p. PDF : Google. Corpus OBVIL. → Te
06-228, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intégrale, ou ch
l., s. n., 1666, in-4º, 12 p. Corpus OBVIL.   Éditions modernes • «  Première réponse à la lettre précédente par M. Dubois », p
e, considérablement augmentée, et donnée au Public par l’Auteur, tome premier , Londres, Edouard Kelmarneck, 1765. PDF : Google.
érablement augmentée, Paris, Veuve Laurent Prault, 1774, 2 vol., tome premier , xl-348 p. PDF : Google. → Textes : « Chapitre X.
Baptiste Coignard Fils et Hippolyte-Louis Guérin, 1733, 2 vol. ; tome premier , (2 ff.) VIII p.-1756 col. PDF : Google. Corpus O
812. Réédition • Id., Paris, Aux dépens de la Compagnie, 1740, tome premier , (2 ff.) IV p.-1312 col. PDF : Google. → Texte :
écrivains de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals et Comedies », première partie, p. 7-79. Entretiens I (Bourdaloue), II (L
19-733, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intégrale, ou ch
odore-Augustin (1735-1809 ; abbé) : Le Pour et contre les spectacles. Première édition, par l’abbé M***, Mons, C. S. Beugnies, 1
e, 2 versions successives :   1) « L’Heresie imaginaire lettre XI. Ou Première Visionnaire » et « L’Heresie imaginaire lettre XI
onnaire ». — Publié en réponse à « L’Heresie imaginaire lettre XI. Ou Première Visionnaire » et à « L’Heresie imaginaire lettre 
p. i-lxxii ; 3e partie, « Des mœurs et des caractères de l’Iliade », première section, « Des mœurs des héros », t. I, p. 143-26
la discipline contenue en l’Escriture saincte et ès conciles des six premiers siècles, par François Véron, Paris, Louys Boulang
30 (1770) Des Spectacles [Code de la religion et des mœurs, II] « Titre XXVIII. Des Spectacles. » pp. 368-381
s qui leur sont propres ; on ramenera les spectacles à la fin de leur première institution, & les Loix n’auront plus à conda
Arrêt du 9 Novembre 1543, aux Confrères de la Passiona (c’étoient nos premiers Comédiens) de s’établir dans l’ancien Hôtel des D
ent cette odieuse profession. On peut voir le 4e & le 5e Canon du premier Concile d’Arles ; le Can. 88 du quatrième Concile
assion représentés en relief ; emblême, dit Villaret, de la piété des premiers Instituteurs de ce théâtre. Cette maison appartie
31 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IX. Défauts que les Etrangers ont coutume de reprocher à notre Tragédie. » pp. 231-259
nt un Langage extraordinaire. Cette faute, qui fut toujours celle des premiers Poëtes Tragiques, est excusable lorsqu’elle ne du
r l’autorité de Ronsard, a avancé dans la Préface de sa Traduction du premier Livre de l’Iliade) je puis répondre que nos Vers
’elle est dans notre Telemaque. On ne peut attribuer cette sagesse du premier & du plus grand des Poëtes qu’à l’idée qu’il
e commencer ces combats dont l’occasion se présentoit si souvent, son premier devoir étoit de se recommander à la Dame de ses p
fit écrire des billets doux à Cesar dans le champ de Pharsale. Si nos premiers Poëtes eussent connu leur Art, ils eussent pensé
qui ne cause ordinairement qu’une foible émotion : mais aucun de nos premiers Poëtes Tragiques n’avoit, comme je l’ai dit plus
32 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — TROISIEME PARTIE. Des obstacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. » pp. 57-75
tacles qui s’opposent parmi nous à la perfection de la Comédie. Premier Obstacle. Penchant des François à jetter du ridi
és le plus à fond, sont aussi suivies que des Comédies bouffonnes. Ce premier obstacle cessera donc d’en être un, si les Auteur
a perfection de la Comédie, n’est pas si aisé à détruire que les deux premiers , & il est bien plus de conséquence. C’est cel
33 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « VII. » pp. 36-41
er que ce ne soit une ambition démesurée qui lui ait fait mépriser sa première Epouse pauvre, mais chaste pour jouir des embrass
pu affranchir des liens qu’il a contractés avec l’Eglise de Lavaur sa première et légitime Epouse ? Mais peut-être que le Chapit
34 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
ce qui a produit le Traité qu’on donne aujourd’hui. A l’exception du premier Discours où il y a peu d’additions, les autres pe
. le Brun avait lui-même indiqué ce Recueil dans un Exemplaire de son premier ouvrage, et marqué la place de ces extraits ; on
35 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
Livre premier . Des jeux et autres observations séculières rete
planter des arbres le premier jour de Mai, de donner les étrennes au premier jour de l’an, qui ne serait pas paraventure mauva
et de David retournant de la victoire de Goliath et des PhilistinsAu premier livre des Rois, 18q.. Il dit aussi que les Juifs
3, 15] Au 2e livre des Rois, 6m. Judith, 16. [16, 20]. Exod., 15p. Au premier livre des Rois, 18q. Au 3e chap. d’Esdras 2r. En
36 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
iére soumission. Sans principe il veut nous instruire. Tel est un des premiers maîtres du Comédien. Aussi malgré ses savantes dé
peut-il faire assez d’attention à toutes ses parties pour décider du premier coup-d’œil, des effets qu’elles produiront ? Il p
rie que par l’habitude. Eh ! qui ne connoit ses funestes effets ! Nos premiers Comédiens m’ont dit plus d’une fois, que la plus
37 (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445
neuf : Signé, Le Jay, et Charles Leroy. Les Pièces de théâtres de nos premiers Poètes commencèrent à vieillir ; et leurs représe
du Marais du Temple. Corneille cependant animé par la réussite de ce premier ouvrage, continua de travailler, et donna sept ou
rouver, tant à Paris, que dans les Provinces les plus éloignées. Leur premier théâtre fut dressé dans le jeu de paume de la rue
ansporter sur le lieu toutes fois et quand il sera nécessaire ; et au premier avis qui leur en sera donné, même de faire arrête
transporter sur le lieu, toutefois et quand il sera nécessaire, et au premier avis qui leur en sera donné ; même de faire arrêt
ablissement au lieu désigné par ledit Arrêt. Commandons au surplus au premier des Huissiers de notre Conseil, ou autre sur ce r
38 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE
dix siècles le Théâtre ne soit plus tel qu’il était pendant les trois premiers . Le changement qui s’y est fait n’a pu faire enti
2. Statut 23. et dans ceux de Grenoble en 1690. dont l’article 5. du premier titre commence ainsi : « Rien n’étant plus contra
lastiques, dont il ne prend pas bien le sens comme nous le verrons au premier jour, et qui d’ailleurs ne font pas la règle de l
yé tous les hommes pour apprendre la Sainte Doctrine. Nous verrons au premier jour ce que les Pasteurs de l’Eglise nous ont ens
39 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
la prévention, et peut-être du ressentiment. J’aurais aperçu cela du premier coup d’œil, si je n’avais pas contracté comme tan
. Zoroastre fut adoré. Ne craignez-vous pas Monsieur de ressembler au premier , et ne serait-il pas mieux de travailler à la con
ns [Facta et dicta memorabilia], Paris, M. Brunet, 1713 [24-31], Tome premier , Livre II, Chapitre X « De la majesté », VIII, p.
40 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379
trouver, & qu’il rendait plus intéressans par ses lumières. *** PREMIER ENTRETIEN. Adelaïde, Honorine, Septimanie, Des
our l’Histrionisme, me firent voir en quoi je m’étais trompé dans mon premier jugement. Ce fut alors que me parvint l’Ouvrage d
à moins qu’il ne soit héros lui-même ; & ces gens-là sont rares ; première différence : la seconde consiste, en ce que la Tr
avoir pour femme ou pour fille. Ce second tableau vient à l’appui du premier , & le fortifie pour légitimer de mauvaises mœ
pectacles, avec celles qui jouissent de cet avantage. La jeunesse des premières , sans en être moins corrompue, est grossière, bru
ianges. Vous, à mes yeux ? jamais, mon amie. Adelaïde. Article premier . Des Tianges. Des Tianges. C’est l’Opéra :
 ; ainsi que la troisième satisfera quiconque n’aura pu voir les deux premières  : si la Pièce est mauvaise, tous ces Spectateurs
cabale une Pièce passable : la troisième, qu’on ne s’écrasera pas aux Premières Représentations ; objet que l’on doit considérer,
fin au troisième Titre. Honorine. Je ne trouve rien contre votre premier Article ; car j’ai pensé, que c’est la rareté des
éjugés, mon amie. Septimanie. Pour moi, je tiens davantage à mes premiers sentimens : tant de graves personages qui ont reg
u’il y eut une Société. Les premiers Acteurs furent nos Prêtres ; nos premiers Théâtres, les Temples sacrés ; c’est au culte de
rrissantes, planta les arbres qui portaient les meilleurs fruits ; du premier qui fut contraindre le bœuf à tracer un pénible s
t au pouvoir de l’humanité d’accorder ce prix à ses Bienfaiteurs ; du premier qui sut extraire le suo du raisin : enfin de ces
toutes les productions des Vieillards, puisse se mettre sur le ton du premier Couplet. Il mesure une Strophe ; voila la Poésie 
ce Divin. Ils répètent dans un âge plus avancé, cet amusement de leur première jeunesse, mais d’une manière plus majestueuse, qu
a Vengeance, la Punition, tous ces noms, dis-je, furent appliqués aux premiers Rois qui règnèrent, selon qu’ils convenaient à le
des idées inconnues. Puisque nous sommes arrivés au temps de Thespis, premier Dramatiste nommé dans l’Histoire, il ne sera pas
davantage à un Ouvrage sérieux. De-là ce mot du Peuple d’Athènes, aux premières Tragédies : Cela est fort beau, mais on n’y voit
. Le Père, ou le restaurateur de la vraie Tragédie, donna le Menteur, première Comédie française raisonnable : un seul homme dev
cole & M. Rousseau sont de même avis. Le Traité de la Comédie, du premier , qu’on peut voir, Tome III des Essais de Morale,
èrent de forcer un jour leur patrie, à leur rendre l’estime que cette première démarche ne peut manquer de leur faire perdre, &a
-filles, pour nos Jeunes-hommes : combien ne s’en trouve-t-il pas des premières & des seconds, qui ne vont plus au Spectacle
tions, mais les Pièces, c’est une chose moins facile.] La surtaxe des premières Places n’a d’autre but, que de faire contribuer l
s, dieu de la Joie : alors Comédie signifiera Chant Joyeux. *. Tome premier des Idées singuliéres, Note (A). *. Air des Bouv
41 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
le était bonne. Vous savez assez quelles peuvent être les raisons des premiers , et je n’ai qu’à vous exposer celles des derniers
recherchées, y ayant bien plus de personnes capables de sentir cette première impression qui les choque, qu’il n’y en a qui aie
42 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51
Chapitre premier . Remarques Littéraires. LE Journal d’Agri
de toutes le regles théatrales. Le principal héros, presque enfant au premier acte, tombe dans la caducité avant la catastrophe
bourgeoisie. Au contraire, il en est qui pensent que la sublimité du premier se soutient assez par elle-même ; mais que les li
mposé des comédies & des chansons : c’est un beau supplément. Ses premiers essais furent des chansons contre les rudimens &a
ecteur, recevra le modeste auteur. Chloé, qu’on vit si mince dans son premier état, Chloé se souviendra des sabots qu’en provin
l’on occupe ou du merite que l’on a, bien des gens qui se pavanent au premier rang, seroient obligé d’en descendre, & de se
ui, malgré ses vœux, se livre au vice, ne peut résister à l’amour, ce premier vœu de la nature, supérieur à toutes les loix, ve
tous un air de fierté, de présomption, d’arrogance, qui les décele au premier coup-d’œil, sans attendre leur conversation qui n
hommes de théatre, c’est tout dire. Nous avons parlé des comédies du premier , voici l’esquisse du poëme. La création du coupl
43 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
cette prudence ne dure guère. Et comment peut-on dire dans les trois premières lignes d’une lettre, qu’on ne se déclare point po
ts des Hérésies imaginaires. Quiconque aura bien senti les grâces des premières , aimera celles-ci, et verra bien que s’il y a que
ort-Royal ne jugent que selon leurs passions et leurs intérêts. Votre première saillie vous a mis en malheur. Quand on est échau
qu’ils soient en communauté de péchés, et qu’en faisant le procès au premier qui se présente, on le fait à tous. Voudriez-vous
Racine. j. [NDE] Racine citait alors Nicole, L’Hérésie imaginaire ou Première visionnaire, lettre XI. k. [NDE] Honorius 1er,
44 (1825) Des comédiens et du clergé « Table des matières, contenues dans ce volume. » pp. 409-427
159 ; les cardinaux, princes de l’Eglise, sont les protecteurs de nos premiers comédiens, pag. 164 ; l’abbé Perrin est lui-même
se, pag. 276. Procureurs du roi, furent chargés de la censure de nos premières comédies, pag. 108 ; ils doivent connaître du dél
dans la cathédrale, pag. 285. Richelieu (le cardinal de) protège nos premiers comédiens, pag. 164. Rouen, procession de Gargou
45 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre IV. Que la représentation des Poèmes Dramatiques ne peut être défendue par la raison des anciens Pères de l'Eglise. » pp. 90-103
ise. Il ne faut doc point trouver étrange que l'on ait interdit aux premiers Chrétiens avec tant de rigueur les Jeux du Théâtr
qui le rendaient abominable. Mais examinons une autre raison dont nos premiers Docteurs se sont servis, et qui semblait condamne
46 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98
pas de répondre, que ces Spectacles, qui ont attiré l’indignation des premiers Chrétiens, étaient des Ecoles de Paganisme, et qu
du nouveau, sans leur ôter néanmoins tout ce qu’ils tenaient de leur première origine. De-là vient que les Spectacles modernes
47 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
insi sur notre Théâtre : j’en commence la preuve par les exemples des premiers caractères. P. Dans l’Astrologue Joué. Sang-far
clination pour un amant. Et comme je l’ai déjà observé, les femmes du premier caractère dans L’Astrologue Joué, Le Moine Espagn
convient qu’on l’a blâmé pour en user de la sorte ; « pour faire ses premiers personnages des débauchés, et les couronner à la
ale est le bien public. C’est le sentiment d’Aristote et d’Horace son premier interprète. » Ben Jonson nous fournit quelque cho
aussi bien qu’à la morale, c’est que des femmes et des femmes même du premier rang débitent des infamies. J’ai déjà fait à nos
l ne leur échappe aucun désir de rechute : il ne leur revient de leur première passion aucune pensée criminelle. Cette conduite
e mérite et quelque relief parmi les Dames. » Horner P. 22. l’un des premiers rôles de la Femme de la campagne est averti « d’é
48 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « [FRONTISPICE] »
int Michel, à l'entrée de la rue de la Huchette. Et en sa Boutique au premier pilier de la grande Salle du Palais, vis à vis le
49 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « [FRONTISPICE] »
ULAIRES, les bals Et les SpectaclesPrononcé dans l’Eglise française ( première succursale de Clichy), sise à Paris, boulevard Sa
50 (1844) Théologie morale « [FRONTISPICE] »
FESSEURS par S. E. LE CARDINAL GOUSSET archeveque de reims, etc. TOME PREMIER comprenant le traite des actes humains, de la con
51 (1777) Des divertissements du Carnaval « [frontispice] »
de diverses Prieres et Instructions et d'un abrégé de la Créance tome premier A PARISChez Michel Sorin, rue Saint-Jacques, pr
52 (1777) Des Spectacles « [frontispice] »
de diverses Prieres et Instructions et d'un abrégé de la Créance tome premier A PARISChez Michel Sorin, rue Saint-Jacques, pr
53 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
cachées, basses, élevées, coupées & grillées ; celles du rang des premières sont désertes, & jettent sur la scéne un air
mp; lui firent élever un tombeau magnifique. Enfin Aristodème, un des premiers acteurs grecs, fut envoyé en ambassade à Philippe
en musique par Lambert, Surintendant de la musique de la Reine mere ; premier Opéra françois, d’abord joué à Issi & ensuite
in ; les paroles de Benserade, à la fin duquel on représenta les deux premiers actes de Mélicerte & le Sicilien, ou l’amour
t dissertation, & voilà tout. Il semble que plus on s’éloigne des premiers tems & de leur premiere simplicité, & plu
ers, & des intrigues de comédies, dignes de la composition de nos premiers théâtres, forment tout le canevas de ce spectacle
s abus qui en résultent. La cause de l’inégalité des fortunes, a pour premier principe les emprunts publics, & particuliere
de la Norvege sont encore portés sur des faisceaux d’armes, comme au premier acte, & dans lequel il n’est fait aucune ment
54 (1646) Science du chrétien « [FRONTISPICE] »
[FRONTISPICE] Premier volume de la SCIENCE du Chrestien qui apprend I.
55 (1705) Traité de la police « [FRONTISPICE] »
e tous les statuts et reglemens des six corps de marchands [...] TOME PREMIER A PARISChez Jean et Pierre Cot, ruë Saint Jacque
56 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
se de l’enthousiasme ; ils redoublèrent même aux deux dernières de ce premier Acte. En rentrant, je fus reçue dans les bras de
circonstance contribua durant quelque temps à faire subsister dans sa première vivacité, le goût du Magistrat ; c’est que sa jeu
é de reconnaissance, il sentit à la fois renaître pour elle & ses premiers sentimens de tendresse, & ce goût vif, qu’il
57 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [C] » pp. 391-398
a Tragédie est née chez les Grecs, comme tous les Arts. Eschyle, leur premier Tragique, donna à la Tragédie un air gigantesque,
n nouveau genre à Racine, lorsque Corneille commençait à vieillir. Ce premier Tragique avait pour ainsi dire raproché les passi
e dans la Comédie, ces derniers ne sont encore que les imitateurs des premiers , & que ceux-ci surpassent en même-temps leurs
58 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
t qu’ensuite ils y soient admis, de sorte qu’ils n’exercent plus leur premier métier : que s’ils contreviennent à ce Décret, qu
Ecclésiastique : en quoi elle renouvelle la plus grande sévérité des premiers siècles, puisqu’elle met les Comédiens au rang de
Tradition des Pères de l’Eglise, je m’arrêterai seulement à ceux des premiers siècles, particulièrement à Tertullien, S. Cyprie
59 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE. Du Même au Même » p. 82
LETTRE Du Même au Même Je vous envoie les quatre premiers Actes de ma Tragédie, & je vous enverrai le c
60 (1675) Traité de la comédie « XXXIV.  » p. 330
XXXIV. Un des premiers effets de la lumière de la grâce est de découvrir
61 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIV.  » p. 494
XXXIV. Un des premiers effets de la lumière de la grâce est de découvrir
62 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « [FRONTISPICE] »
de la Faculte de Paris, et Soupenitencier de l'Eglise de Paris tome premier [...]Seconde Edition, revûë et augmentée par l'Au
63 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100
qui lui a donné la naissance ; & le second, qui est une suite du premier , est de porter toujours les hommes à la vertu. On
ages Législateurs. M. Burette, dans une Dissertation qui se trouve au premier volume des Mémoires de l’Académie des Inscription
par verbis materiæ, par sententiis rebus, comme l’a défini un de ses premiers Editeurs, Jean André, Evêque d’Aleria en Corse, d
nt dite, la tabernaria, les Atellanes & les Mimes. Les Pieces du premier caractere sont quelquefois appellées prætextatæ,
nds de la Nation : telles étoient celles qui avoient lieu lorsque nos premiers Rois tenoient leurs cours plénieres, où, relative
ucoup d’actes & contrats particuliers, jusqu’au regne de François premier , qui, par son Ordonnance de 1529, renouvellée en
er dans leurs cloîtres, les rappelle à Dieu. S’ils dégénerent de leur premier état, c’est que tout homme est foible, & qu’a
fictions, que nous appellons la Romancie, date de loin. Ce fut un des premiers fruits de la raison corrompue & égarée par le
ais chez les Peuples modernes ce fut la grossiéreté qui enfanta leurs premiers Romans. On les vit d’abord sortir de la Provence,
par Guillaume de Lorris, qui composa les quatre mille cent cinquante premiers vers ; & quarante ans après sa mort il fut co
on n’est qu’une grossiere fiction d’amour, comme l’annoncent les deux premiers Vers : Cy est le Rommant de la Rose, Où tout l
64 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre premier. » p. 162
Chapitre premier . I l est de nos plaisirs comme de nos sciences
65 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XV. » p. 68
XV. Cependant les six premiers Génies reviendront, savoir qui est celui d’entre
66 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « [FRONTISPICE] »
. pepingue, à l’entrée de la ruë de la Huchette. Et en sa Boutique au premier Pilier de la grande Salle du Palais, vis-à-vis le
67 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134
temps, et qu'elle nous doit être aussi précieuse qu'aux Docteurs des premiers siècles, j'estime qu'il est à propos pour lever l
ces Jeux Scéniques étaient les mêmes qui se nommaient Floraux sous le  premiers Rois, s'ils furent de nouveau donnés au peuple, o
de Flore, ainsi que Tite-Live nous l'apprend, quand il parle de leur première célébration. Plutarque n'est pas entièrement de c
68 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
d’espoir de toute guérison, le feu, le rasoir et le cautère ardent du premier coup. Car quelle apparence de vouloir faire croir
re sujet y répugnent duab tout, vu qu’il n’y a rien, disait Lycurgue, premier et plus grand législateur de son temps, plus prop
s : les parents doivent payer davantage pour que leur fils ait un des premiers rôles. k. [NDE] Comprendre : leur pratique cont
69 (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « [FRONTISPICE] »
pagnie de Jésus, le 7. d’Aoust, de la présente année 1607a a. [NDE] Première édition de ce texte : André de Gaule, Conviction
70 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre »
F. — (5.° Exemplis.) Ces premiers chrétiens avaient lu en l’Ecriture, que la dévote
71 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
ition d’honneur & de principes, qui distinguent singulierement ce premier Barreau du Royaume. Qu’ils n’hésitoient pas à req
Justice, en présence de moi Dagobert-Etienne Ysabeau, l’un des trois premiers & principaux Commis servant à la Grand’Chambr
72 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VIII. Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispositions dangereuses et imperceptibles : la concupiscence répandue dans tous les sens.  » pp. 30-40
que les commencements soient innocents : pour peu qu’on adhère à ces premières complaisances des sens émus, on commence à ouvrir
nsible : libido sentiendi. De ces quatre qualités des sens, les trois premières sont l’ouvrage du créateur : la nécessité du sent
73 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
on pût conserver. LES HORACES. J’ai toujours regardé les quatre premiers Actes des Horaces, comme un Ouvrage comparable, s
tion, il faudrait faire ce que Quinault eût fait s’il avait suivi son premier projet ; et qu’il suffirait que Lavinie et Albine
instruire : cependant, si on y fait attention, on trouvera que cette première impression n’est pas conforme à la vérité. L’amo
seule Scène qui me paraît en avoir besoin. Dans la dernière Scène du premier Acte, Arténice avoue à sa confidente qu’elle aime
e leur mariage était déjà résolu : sur ce principe, on peut sauver ce premier mouvement d’inclination pour une personne qu’Arté
74 (1647) Traité des théâtres pp. -
les Lois civiles leur ont formé leur procès. 7. Que la pratique des premiers Chrétiens les a rejetés. 8. Que les Conciles les
tre appliqué à ceux de cet âge, qui n’ont rien de la turpitude de ces premiers . D’ailleurs que si durant un temps il y a eu lieu
endu parler que de ceux des Païens. Car si cela a lieu, au regard des premiers d’entre eux, comme Tertullien, et saint Cyprien,
s de tenir rang entre les Citoyens. CHAP. VII. Que la pratique des premiers Chrétiens a condamné les Théâtres. La droite
étri les Théâtres par leurs censures. Combien que la pratique des premiers Chrétiens eût été telle, néanmoins comme le monde
Chrétiens de donner des Spectacles, et mêmes d’y assister. De même au premier Concile tenu à Arles, en notre France, au Canon 5
ilscj sont encore aujourd’hui des restes ; la défense donc en est au premier et second Commandement, et en tous les passages q
es Païens ils avaient été dédiés à Vénus, de retenir toujours de leur première institution, et de tendre des lacs à la chasteté.
its extravagants et ridicules, ou bien de marcher tout nus, comme nos premiers Parents », selon qu’il y a eu des fols qui ont ra
ndement général, « obéissez à vos Conducteurs ».ee Ainsi leur offense première est contre cet Ordre, et ne remonte à Dieu que se
à Dieu que secondairement et par réflexion, en tant qu’il en était 1e premier auteur. Qui que ce soit qui veuille peser ces tro
ensuite de cet aveu, elles ne sont d’aucune considération. Quant aux premiers qui en excluent les esprits faibles, et soutienne
si les Pasteurs en ayant connaissance, criaient hautement contre ces premiers , et à l’opposite se taisaient des autres, ou en p
ec montre et éclat, la droite raison veut, que comme l’offense de ces premiers est privée, elle soit reprise seulement en privé,
larent infâmes tous ceux qui s’en mêlent. 6. Nous avons prouvé, qu’ès premiers Siècles, dès que quelqu’un avait donné son nom à
75 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
es de vénération, et mêlait astucieusement ses cris d’alarmes à leurs premiers chants de victoire. Mais, efforts aussi coupables
té, continuera d’autoriser le peuple à l’infraction habituelle de ses premiers devoirs9 ; qu’en un mot, indifférents aux succès
s n’arrivons à sa pratique exacte que par le mépris ou l’oubli de nos premières obligations, ou qu’en nous exposant à perdre l’in
ement manifesté, ne pouvait manquer d’être favorablement accueilli du premier magistrat de la Républiqueh. Aussi, grâces à son
de la Républiqueh. Aussi, grâces à son empressement à satisfaire aux premiers besoins du peuple français, jouissons-nous déjà d
n’es pas même homme ! La douce humanité, plus instinct que vertu, Ce premier sentiment qui ne s’est jamais tu, Né dans nous, a
moderne et plus hardi l’a mis dans celle même d’un pontife honoré des premières dignités de l’église Romaine. C’est ainsi qu’au m
t tendres sœurs, qui toujours avec la rapidité de l’éclair, fuient au premier bruit des désordres civils, les muses ont-elles p
ont-elles pu jamais inspirer de si lugubres accents ? Comment dès son premier pas dans la noble carrière des Corneille et des R
miroir, S’y voit avec plaisir ou croit ne s’y point voir. L’avare des premiers rit du tableau fidèle D’un avare souvent tracé su
uissant ? Rousseau va plus loin ; il soutient que le théâtre de notre premier comique est même une école de vices et de mauvais
ésors assez abondants, pour les prodiguer avec tant d’indiscrétion au premier venu, cet exemple n’est pas d’un grand poids et d
qui nous attache à une femme, quelle qu’elle soit, nous dispense des premiers devoirs et de toute convenance sociale ; qu’un co
promettre ainsi son existence même, et ne pas la mettre à la merci du premier étourdi qui nous provoquera ridiculement, c’est s
ceux qui étaient opprimés ». Ce soin honorable est sans doute un des premiers devoirs de l’orateur au barreau, et il ne le remp
s jours de deuil et de calamité, pour l’état ébranlé jusques dans ses premiers fondements ? Mais si l’avocat ne saurait, sans tr
ou chercher de nouvelles lumières, il ouvrît enfin ce code fameux des premiers législateurs du monde, ces lois sages et sublimes
la cour de Rome a récompensé les talents précieux, en l’appelant aux premières dignités de l’église, oui, avec combien de raison
x établissement, qui présente au sein de la capitale, et dans une des premières paroisses du monde chrétien, une école publique d
ndateurs de leur nouveau théâtre. 42. NDA Discours de M. Morlhon, au premier tome des œuvres de d’Aguesseau. 43. NDA Ibidem,
76 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
ve-t-on pas secretement tout ce qu’on goûte ? C’est un autre effet du premier péché, de ne point goûter les biens spirituels :
ains trouvent à aimer, & à se faire aimer ; & c’est-là un des premiers effets de la Comedie. L’aversion qu’on avoit d’ai
rrir son esprit des chiméres dont les Comedies le remplissent. Un des premiers effets de la lumiére de la grace, est de découvri
77 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
cer celle de tous les Sçavans & de l’Eglise même, relativement au premier Concile d’Arles ? Ce Concile fut convoqué par l’a
ne. (Voyez la p. 99.) Ce Jurisconsulte à qui le IV. & V. Canon du premier Concile d’Arles avoient échappé, malgré l’exactit
par les Comédiens du Milanois, quand Saint Charles Borromée tint son premier Concile qui proscrivit cette odieuse bigarrure1 d
se laisser prévenir. Cette voie, quelqu’indirecte qu’elle paroisse au premier coup d’œil, a ses utilités ; elle tend à la déliv
78 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
LIVRE PREMIER . CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Com
la Comédie ? Les plus zélés défenseurs du spectacle abandonnent ce premier poste. Qui oserait désavouer que le Clergé séculi
tecteur, qui s’en amusait beaucoup ; mais dès qu’il fut converti, son premier soin fut de renoncer au théâtre et au malheureux
a pas des sentiments de S. Charles Borromée. Voici les paroles de son premier Concile provincial : « Clerici choreas privatas a
79 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137
font pas autant de mal qu’un seul de nos romans à la mode. Ainsi nos premiers romans de Scuderi, de la Calprenede, les Pharamon
s par tout le monde. En tout cas il n’y auroit que les Pères des deux premiers siecles, dont on pourroit, sous ce prétexte, élud
tamen usque recurret. Je n’abandonne pourtant pas les Pères des deux premiers siecles. Distinguons avec eux l’idolâtrie, qui dé
s qu’il doit être proscrit sans réserve. Qu’on compare le langage des premiers Pères avec celui des derniers, par-tout mêmes pri
quent même matiere de péché, très-différente du culte idolâtrique des premiers temps. Qu’on les compare enfin avec tous les Préd
80 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VIII. De la Mascarade. » p. 196
ue ce que l’on represente, d’estre vestu & masqué si juste, qu’au premier aspect on reconnoisse ce que vous voulez represen
81 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2
adversion d’un sage gouvernement. Ce que nous avons dit dans les deux premiers livres suffirait pour démontrer cette vérité. Est
82 (1640) L'année chrétienne « Des Recreations, Jeux, et autres di- vertissemens, desquels l’ame Chre- stienne se peut servir durant la journée. Chapitre IX. » p. 851
aradis. Je divise ce Chapitre en deux articles comme le précédent. Au premier , je fais voir la nature, la nécessité, et le prof
83 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [N] » pp. 431-435
a jamais à rougir d’elle-même, ni à se reprocher les égaremens de ses premières années. Quant à la manière de leur former un Actr
. Auteurs des Pièces actuelles. M.Mussot-Arnould, a donné les trois premières Pièces, le Testament-de-Polichinel, le Retour-de-
84 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
ent les damnés en leur enfer. Ainsi qu’ils commencèrent à lâcher leur premier pétard ou petit tonnerre jésuitique, le temps aup
ché en un mot. Le deuxième jour (dit-il) comme l’on eût mis le feu au premier pétard, voila l’air auparavant bien clair qui se
85 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
pour la représentation. LeurLivre rouge vieux du Châtelet, fol. 167. premier essai se fit au Bourg de saint Maur ; ils prirent
, mais simplement Moralités. CeBannières du Châtelet vol. 2. fol. 76. premier théâtre Français a subsisté en ce lieu, à n’y rep
86 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
ennemi de la pudeur approche, le sang s’élève contre lui, s’oppose au premier choc, et supplée au raisonnement et à la réflexio
plus que de l’anoblir ainsi en la rendant familière aux personnes du premier rang ? Il faut qu’après cela elle monte à son plu
: il donne un galimatias d’obscénités et de pédanteries à l’un de ses premiers personnages.Touch-Wood. Mais nos Poètes font aujo
it trop loin pour une jeune femme.Iphig. in Aulid. p. 277. Achille au premier aspect de Clytemnestre, lui fait assez entendre q
ès avoir achevé la cité suspendue, et fortifié l’air d’alentour, leur premier soin doit être de réclamer leur ancienne souverai
té sur les Etres vulgaires ; il est absurde et ridicule de donner aux premiers le langage ou les manières des autres : Aristopha
Les paroles sales et les railleries qui tombent sur des personnes du premier rang paraissent très propres à faire rire : mais
ion. Ran. 238. Ibid. p. 240. Ibid. p. 224 P. 700. Œuvres de Beaumont. Premier Prologue d’une autre pièce de Fletcher. Second Pr
87 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108
e faire des opérasm Français, et par une destinée singulière les deux premiers furent composés par des Ecclésiastiques, que les
age de l’Eglise avait beaucoup diminué de la sévérité apostolique des premiers siècles ; ainsi la conscience de la Reine fut en
iers, que l’Eglise d’aujourd’hui n’est pas aussi sévère que celle des premiers siècles sur la condamnation du vice et les occasi
nter en 1516 devant Léon X la comédie intitulée, la Kalandre, une des premières qui aient paru en machines (Vie de Quinault, pag.
88 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178
âge de dix huit ou vingt ans, choisit le sujet de la Thébaïde pour sa première Tragédie ; et en même temps il reconnaît que l’am
ffermie ; le second était encore très jeune, et la Thébaïde était son premier essai. Racine connaissait trop bien l’antiquité ;
oute, s’il l’eût osé, dans toutes ses autres Tragédies, comme dans sa première . En effet, les raisons qu’il donne, pour n’avoir
es de Mithridate et de Rhadamiste, je crois que, d’avoir rejeté cette première ne doit point m’empêcher d’adopter la seconde, qu
89 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
un dénouement postiche, contraire aux mœurs établies dans les quatre premiers actes de la pièce, et amené seulement pour ne pas
être a-t-il pensé que le fils d’un Pêcheur, élevé par son courage aux premiers emplois de l’Etat, instruit par le malheur à chér
exploits d’Achille, qui sait combien la clémence d’Auguste, depuis sa première représentation, a conservé de têtes dans l’Europe
’assure sur la parole de son frère, avec qui il est réconcilié. En ce premier état, il est très criminel ; en ce dernier, très
90 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
pour divertir les jeunes hommes de cet exercice, pour maintenir leur premier jugement, ils ont voulu rendre incapables des cha
gens de peu d’honneur pour représenter la cause grasse, la veille du premier Mercredi de Carêmef ? Pour ce qui est de la lectu
t des Princes serait belle, et qu’au sortir de là elle reprendrait sa première laideur ? Que s’ils donnent ensuite la comédie au
91 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XVI. » pp. 69-70
es Dieux que les Romains appelaient Majorum Gentium, c’est-à-dire, du premier ordre, puisque ceux du second ordre, Hercule, Orp
92 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
ffrer que ceux dont je me suis déjà servi. Mais le bon accueil que ce premier Ouvrage a reçu de toutes les personnes d'honneur
93 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. » pp. 7-9
n faveur du public. Page 11 Discours préliminaire. Page 13 Chapitre premier . Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre
94 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
e, en altérant un texte de Saint Gregoire, (pag. 291,) que les quatre premiers Conciles généraux sont les seuls que l’on doive t
s contestés en France. Les Protestans ne reconnoissent que les quatre premiers . Je ne sçai, Mademoiselle, si c’est pour les favo
95 (1715) La critique du théâtre anglais « DESSEIN DE L’OUVRAGE. » pp. -
rd du Clergé : à leur iniquité opiniâtre dans l’infâme choix de leurs premiers rôles toujours scélérats et toujours applaudis. J
96 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TABLE » pp. 338-343
TABLE PREMIERE PARTIE. Chapitre premier . Comparaison des Théâtres anciens avec les moder
97 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
aguerris à mal faire. Les paroles suivantes relèvent la noblesse des premières par une comparaison tirée de la profession de Tai
t ? Je joins à ce témoignage celui de Virgile, lequel est un Poète du premier mérite dans le même genre qu’Homère. Virgile est
sse de leurs habits. Virgile ne glisse que deux mots sur la parure du premier  : mais il appuie sur celle de Chlorée qu’il se pl
vancé touchant le Théâtre Français. Le Grand Prêtre Joad est l’un des premiers rôles de son Athalie : le Poète a égard à la dign
sacré : aussi en donnaient-ils de grandes marques ; car lorsque leurs premiers Magistrats et leurs Consuls mêmes rencontraient q
Noblesse n’ose s’attribuer. Il y a eu en Angleterre des personnes du premier rang dans les Ordres sacrés. Odo frère de Guillau
98 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177
maximes de notre sainte religion, c’est ce que je traiterai dans mon premier Point, et dans le second je réfuterai les princip
99 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe.  » pp. 61-63
ce philosophe. Par ce moyen il poussait la démonstration jusqu’au premier principe, et ôtait à la comédie tout ce qui en fa
100 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE PREMIER. Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre l’auteur du livre intitulé : Des Comédiens et du Clergé. » pp. 49-51
CHAPITRE PREMIER .Allégations de M. de Sénancourt, dirigées contre
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