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1 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
le Théâtre d’Athènes bien moins licencieux que le Théâtre Anglais, 22 Preuves tirées sur cela : de Plaute, 23 de Térence, 31 de
re Anglais contraire en ce point à l’usage de toutes les nations, 191 Preuves tirées d’Homère, là même. De Virgile, 194 D’Eschy
es Poètes comiques Grecs et Latins, 206 Des Dramatiques modernes, 208 Preuves tirées de la raison qui apprend à respecter les M
on qui apprend à respecter les Ministres de la Religion, 216 Première preuve  : leur devouement spécial au Seigneur, là même. S
emière preuve : leur devouement spécial au Seigneur, là même. Seconde preuve  : l’importance de leur ministère, 220 Troisième p
même. Seconde preuve : l’importance de leur ministère, 220 Troisième preuve  : la vénération non interrompue, où ils ont été e
2 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « HISTOIRE DES OUVRAGES. Qui ont paru pour et contre la Comédie, depuis le 17e Siècle. » pp. 161-175
emèdes qu’on y pourrait apporter. Dans le premier, l’auteur donne des preuves de son érudition dans les poésies anciennes. Le s
pressante. On trouve dans l’ouvrage de ce Prince religieux autant de preuves de son zèle, que de la beauté de son esprit. Il d
rtation attaquait. C’est pourquoi il composa un livre in-4°. plein de preuves , et de faits les plus solides que l’on puisse dés
s endroits, principalement au mois d’Avril 1684, page 201. Toutes les preuves répandues dans ces différents Ouvrages se réduise
3 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
emèdes qu’on y pourrait apporter. Dans le premier, l’Auteur donne des preuves de son érudition dans les Poésies anciennes. Le s
essante. On trouve encore dans l’Ouvrage de ce pieux Prince autant de preuves de son zèle que de la beauté de son esprit. Il do
donner au public. C’est pourquoi il composa un Livre in 4°. plein de preuves et de faits les plus solides que l’on puisse dési
4 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
toujours eu, & a encore les Spectacles en horreur : Premiere preuve . Tirée des Conciles Généraux & particuliers.
out le reste de leur vie. Ce seroit perdre le tems que d’entasser ici preuves sur preuves. Les Apologistes du Théatre, les part
de leur vie. Ce seroit perdre le tems que d’entasser ici preuves sur preuves . Les Apologistes du Théatre, les partisans de la
entiérement détruites. Voyez l’ouvrage de Jeremie Collier Seconde preuve . Tirée des SS. Peres & des Docteurs de L’égl
rt des Peres si unanime, si précis, leur décision soutenue de tant de preuves , l’importance qu’ils donnent à ce point de morale
es d’Angers depuis la pag. 547. déjà citée, jusqu’à 557. Troisieme preuve . Tirée des mandemens & des instructions des
re les spectacles en 1581. Est-il un fait mieux établi ? Quatrieme preuve . Tirée des Rituels, & des Statuts Synodaux.
sépulture ecclésiastique aux Comédiens qui meurent, sans donner des preuves d’une véritable Pénitence . Celui de Châlons déjà
e de leurs ordres . Se peut-il rien de moins équivoque ? Cinquieme preuve . Les Souverains Pontifes ne sont pas plus partis
a défense faite aux Ecclésiastiques, d’aller à la Comédie. Sixieme preuve . Tirée du concours de tous les Théologiens.
re, que la profession de Comédien est incompatible avec le salut ; la preuve en est sensible dans la pratique de l’Eglise, qui
monde Chrétien, comme des occasions prochaines de péché. En voici la preuve . On appelle occasion prochaine de péché, tout ce
voluptés. Tout ce qui a été dit page 9, & suivantes, en est une preuve sans replique. Le grand Bossuet nous en sera un n
mot, tous ceux qui coöperent aux spectacles du Théatre. En voici les preuves … 1°. Ceux, qui de plein gré, se mettent dans l’oc
sé à lui rendre graces d’y avoir assisté ? Tout cela n’est-il pas une preuve sensible, que leur conscience dément leurs fausse
pectacles, il doit lui refuser l’absolution « jusqu’à ce que, par des preuves … non équivoques, il soit moralement assûré de la
5 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93
en auraient fourni, puisque le hazard m’en a tant procuré. Une grande preuve de son mérîte se tire d’abord du prodigieux succè
u’elles ont pour un genre presqu’adoré dans la Capitale, est donc une preuve de son mérite ?… La Province se plaît à copier Pa
de l’Opéra-Bouffon ; le passage que je viens de rapporter en est une preuve , Boileau nous apprend pourquoi ce Spectacle n
d’avantage aux ignorans qu’aux gens d’esprit. Mais c’est une nouvelle preuve de leurs beautés : un sot est plus difficile a ém
arrivait s’il se voyait chassé avec ignominie, ce ne serait point une preuve de son peu de mérite. Plutarque a dit que les plu
tes, qui nous paraissent si ridicules, étaient une grande beauté. Preuves que le nouveau Théâtre corrompt le bon goût, &
6 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-4
crime est encore incertain, & ce n’est qu’après avoir examiné les preuves , & entendu les Parties, que le Juge prononce.
xcuse point le crime, on le nie au contraire, & on en infirme les preuves . Bien loin de faire aimer le criminel, on va le l
7 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
ssible de les détruire, & d’en montrer le faux. Raisons & preuves qui portent à croire qu’un Drame doit encore plai
t, vit à peine quelques années. Ce que j’avance ici n’a pas besoin de preuves . Ceux qui soutiennent qu’un Drame n’est fait que
8 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
nseurs, & tous les autres ministres de la volupté. Ce qui est une preuve invincible que ces Peuples étoient persuadés que
mp; à l’espérance chrétienne. Soudivisions de cette premiere Partie. Preuves de la premiere Soudivision. Les spectacles dans l
isme, non-seulement dans leur nature, mais encore dans leurs effets. Preuves de la seconde Soudivision. Les spectacles sont op
’on apporte d’ordinaire aux principes qui condamnent les spectacles. Preuves de la premiere Soudivision. Réfutation de la prem
rêt à donner sa vie pour l’alliance & le testament de ses peres. Preuves de la seconde Soudivision. On justifie mal-à-prop
sionnée n’excite en vous aucun sentiment vicieux, c’est peut être une preuve que vous avez consommé l’ouvrage du crime ? Ne de
éritablement honnête : aussi est-ce bien là ce que prétend le monde. Preuves de la premiere Soudivision. Loi qui défend les sp
s veulent accorder avec l’esprit de leur Religion. Or, cette premiere preuve de saint Ambroise, convient-elle aux spectacles d
agination seule, c’est en rendre son cœur complice. Or, cette seconde preuve encore tirée de Théophile, convient-elle aux théâ
les le chant modeste des pseaumes ? Suite du même sujet.Or, ces deux preuves enfin de Tertullien & de saint Jean Chrysostô
oulez-vous indépendamment de l’autorité & de l’Ecriture même, une preuve sans replique ? C’est la maniere dont on a toujou
t sur-tout à présent tant de réputation & tant de gloire ? Triste preuve que le théâtre est illicite en soi. Si le théâtr
perdu de tout temps, & perd encore aujourd’hui toutes les mœurs. Preuves de la premiere Soudivision. Le théâtre est le plu
ce ; j’y consens. Paroissons donc enfin au tribunal où il nous cite. Preuves de la seconde Soudivision. L’expérience commune &
tout temps, & qu’il perd encore aujourd’hui toutes les mœurs. Une preuve d’abord bien sensible, c’est l’expérience de tout
oduction à la premiere Partie. Soudivisions de cette premiere Partie. Preuves de la premiere Soudivision. Les spectacles dans l
fendu. Les divertissemens qui nous sont permis doivent étre honnêtes. Preuves de la seconde Soudivision. Les spectacles sont op
tie. Soudivision de la seconde Partie. Justifications des spectacles. Preuves de la premiere Soudivision. Réfutation de la prem
ectacles, des Chrétiens doivent-ils les autoriser par leur présence ? Preuves de la seconde Soudivision. On justifie mal-à-prop
n du Discours. Introduction à la premiere Partie, & Soudivisions. Preuves de la premiere Soudivision. Loi qui défend les sp
Introduction à la seconde Partie. Soudivisions de la seconde Partie. Preuves de la premiere Soudivision. Le théâtre est le plu
& meres ne doivent pas laisser aller leurs enfans aux spectacles. Preuves de la seconde Soudivision. L’expérience commune &
9 (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12
. Le monde s’y connaît ; il juge ; il fait justice ; mais il veut des preuves et des preuves qui concluent ; sinon votre accusa
connaît ; il juge ; il fait justice ; mais il veut des preuves et des preuves qui concluent ; sinon votre accusation sans preuv
es preuves et des preuves qui concluent ; sinon votre accusation sans preuve devient une preuve contre vous. Vous voilà donc,
reuves qui concluent ; sinon votre accusation sans preuve devient une preuve contre vous. Vous voilà donc, Monsieur, réduit à
ux qui disent que les Propositions sont dans Jansénius demeurent sans preuve sur une chose dont les yeux sont juges, ceux qui
ceux qui nient qu’elles y soient, quoiqu’ils fussent déchargés de la preuve selon la règle de droit, ont prouvé cent et cent
10 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
de tort à son dessein, que lui être avantageux ; nous en verrons des preuves dans les Extraits suivants. Je ne veux citer ici
uples, combien ils doivent les avoir en exécration, et d’employer les preuves tirées de Tertullien, de S. Cyprien, et de S. Jea
paraître. Le plus beau morceau de cet Ouvrage, c’est la réponse à la preuve tirée de S. François de Sales ; car l’Auteur rapp
ans l’usage ordinaire de ce siècle sur le Théâtre Français. Voici ses preuves en abrégé. L’Auteur remarque d’abord que saint Th
lorence se trouve cité comme approbateur de la Comédie. Il en tire la preuve de la 3me Partie de sa Somme Tit. 8. Chap. 4. Sec
que l’Eglise est bien éloignée de les supporter : et c’est encore une preuve contre cette scandaleuse Dissertation, qu’encore
11 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
, où il fait l’éloge de cette Pièce, quoiqu’elle fournisse de grandes preuves de l’ignorance de son Auteur ; et il parle avec m
ainsi réunis et appuyés de réflexions sages et mesurées, forment des preuves supérieures, aux raisonnements purement spéculati
12 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
’ai dit plus haut, en parlant de l’origine des Spectacles, en est une preuve certaine. En effet, on est convenu que c’est la j
Epicharmus en fut le père, & sçut la polir. Mais ils n’ont aucune preuve de ce qu’ils allèguent, au lieu que les Athéniens
u-delà des Alpes ; il faut en convenir, malgré notre amour propre. La preuve des grandes obligations que nous avons aux Italie
uel il défend aux Prêtres d’assister aux représentations des Farces ; preuve convaincante que la Comédie était connue depuis l
’ouvrage de plusieurs. L’on peut tirer de ce que je viens de dire une preuve assez claire du frivole & de l’inutilité des
13 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Post-scriptum. » pp. 201-216
s, qu’il prend pour exemple. Si je ne démontre point, dit-il, par des preuves bien établies, par des faits matériels et inconte
paraît aussi à cet homme sensible, qui a déjà donné plusieurs autres preuves de son amour du bonheur commun, la plus sûre pour
14 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
Or, cette Musique avait quelque chose de burlesque, donc elle est une preuve que l’Opéra-Bouffon avait déja pris naissance. Le
ppées, & d’autres que je tais, crainte d’être trop long, sont des preuves convaincantes que les Anciens ont cultivés le Spe
15 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
er la profession de comédien que les lois autorisent, assurément font preuve d’ignorance, ainsi que je l’ai démontré ; mais il
tienne, par une pétition de principe, il en avait plutôt affaibli les preuves , s’il était possible. Ce n’est pas son intention,
contraire à la raison, puisque dans tout raisonnement, ce qui sert de preuve , doit être plus clair et plus connu, que ce que l
t d’injures. A coup sûr, il signalera le présent écrit, comme une des preuves les plus évidentes, des crimes de la presse. Suiv
16 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
cela plus permis. La liberté que tant de Chrétiens se donnent est une preuve de leur relâchement ; mais elle ne justifie ni l'
'Opéra sont-ils excusables d'y être allés ? R. Non. Cet ennui est une preuve qu'ils n'y ont pas goûté le plaisir qu'ils s'étai
17 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
eulent les accorder avec l’esprit de leur Religion. Or cette premiere preuve de S. Ambroise convient-elle, Messieurs, aux spec
magination seule, c’est en rendre son cœur complice. Or cette seconde preuve encore tirée de Théophile convient-elle, Messieur
comment écouteront-elles le chant modeste des Pseaumes ? Or ces deux preuves enfin de Tertullien & de S. Jean Chrysostome,
épendamment de toute autorité, & de celle de l’Ecriture même, une preuve sans réplique, que le théâtre est illicite en soi
t sur-tout à présent tant de réputation & tant de gloire ? Triste preuve que le théâtre est illicite en soi : Argumentum m
du de tout temps, & perd encore aujourd’hui toutes les mœurs. Une preuve d’abord bien sensible, c’est, Messieurs l’expérie
18 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
Je cherchai donc à profiter de ses lumières, et à me fortifier de ses preuves sur un sujet de controverse auquel on affecte de
lissement dans son Diocèse. Ce seul fait décide la question. Voilà ma preuve complète ; et j’ai droit de conclure que ce n’est
jeter un ridicule sur tout ce qui tend à en modérer les passions. La preuve en est sensible quand on compare cette condamnabl
eur d’une intraitable férocité ? Ne serait-ce pas encore une nouvelle preuve que nous ne cherchons, n’aimons, ne suivons de Sp
19 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IV. La Comédie considérée en elle-mesme. » p. 8
omédie considérée en elle-mesme. Pour mettre quelque ordre dans ces preuves , considérons la Comédie en elle-même, dans ses Ac
20 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des
Dieu cette action, et lui rendre grâces de l'avoir faite ? C'est une preuve sensible que leur conscience dément leurs fausses
21 (1749) Maximes pour se conduire chrestiennement « Des Plaisirs, et en particulier des Spectacles. » pp. 233-248
urez fait tomber. De si grandes autorités portent, ce me semble, leur preuve avec elles. Par rapport aux Comédies spécialement
dans le monde bien peu de scrupule ; j’ajouterai cependant encore une preuve , qui me semble démonstrative. C’est un principe c
22 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
ommes respectables ? Un fait de cette nature peut-il être avancé sans preuves , sans une parfaite certitude morale ? Vous-même n
ité de la Révélation : ainsi je me dispense de vous rappeller ici les preuves qui nous déterminent à la recevoir avec soumissio
23 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77
ont toujours un charme secret, même pour les cœurs corrompus : et la preuve que ce sentiment n’est point l’ouvrage de la Pièc
Page 27. Page 28. Page 32. Page 40. Page 42. Page 44. 17. [NDA] La preuve de cela, c’est qu’il intéresse. Page 45. Page 46.
24 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
ives que les talens doivent mériter aux hommes.2 Avant de fournir la preuve de ce que j’avance, examinons successivement tout
uroit intéresser personne. » Le même Zopire dont je parle ici est une preuve du contraire dans le Tragique. Est-il un mortel p
ir la premiere représentation, et; sa piéce n’y seroit pas tombée. La preuve c’est que par la suite elle a été vuë avec le con
ais vous ne persuaderez pas les personnes qui savent approfondir. Une preuve que vous ne cherchez qu’à éblouir l’imagination d
te, mais c’est à tout autre qu’à vous qu’il sera aisé de donner cette preuve , car pour les gens à parti c’est assûrément d’eux
ne dédaigne pas le suc du serpolet. Vous avez senti la foiblesse des preuves que vous apportez pour détruire l’utilité de la C
onnoître parcequ’il s’est rendu fameux, et; toute sa conduite sert de preuve que les plus hautes qualités sont les plus pernic
cieuse aux mœurs. Je ne veux pas vous laisser la liberté d’appuyer la preuve de ses dangereux effets par l’impression qu’elle
éritable école de mauvaises mœurs, et; en avez-vous regardé comme une preuve les applaudissemens que le Parterre donne à la na
sortant de dessous la table il prend le perfide sur le fait, sont une preuve de la satisfaction qu’on ressent de ce qu’il n’a
ues petites bienséances pour dire que le Sonnet ne vaut rien, est une preuve de la sottise de sa misantropie. Il est si peu ho
qu’Alceste en a, peut-on, me direz-vous, allier tant de défauts ? La preuve que la chose est possible, c’est que Moliere croy
t; qu’on peut rire de ce qu’on méprise. Vous trouvez encore une autre preuve de corruption dans le rire qui est provoqué par t
it être plus honteux et; plus déshonorant pour un homme de donner des preuves de sa foiblesse, puisqu’il se prévaut d’un esprit
nt pas en sortir ? Qui vous a répondu qu’ils n’en donneroient pas les preuves les moins suspectes, si on vouloit prendre la pei
te s’avilissent, et; font réjaillir leur infamie sur des innocens. La preuve qu’il ne seroit pas impossible de contenir les Co
ont-ils méprisés en France, puisque le Monarque les pensionne ? Cette preuve de bonté seroit plus que suffisante pour anéantir
ice que les Anglois ont inhumé à côté de leurs Rois, est peut-être la preuve de mauvaise foi la plus caractérisée qu’on puisse
sans contredit la marque d’une belle ame, mais n’en seroit-ce pas une preuve bien plus grande de ne s’en point faire ? Quoi vo
25 (1675) Traité de la comédie « XXXI.  » pp. 325-326
ais pensé à rendre grâces à Dieu d'y avoir assisté ? N'est-ce pas une preuve sensible que leur conscience dément leurs fausses
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
remplie de fautes dans sa conduite. La Comédie est peut-être la vraie preuve de ce que j’avance. Je connais deux Tragédies, do
ure dans sa vraie simplicité. Le Drame de Rose & Colas en est une preuve frappante. Il serait à souhaiter pourtant qu’il s
aleuse. Racine rend quelquefois ses personnages peu polis. J’en ai la preuve toute prête. C’est Achille qui parle à Clitemnest
mme se découvre par-tout. Les écrits du grand Rousseau en offrent une preuve  : ils affermissent l’Opéra-Bouffon contre les tra
27 (1731) Discours sur la comédie « a tres-haut et tres-puissant seigneur, monseigneur louis-auguste d'albert d'ally, duc de chaulnes, pair de france. » pp. -
des vertus Chrétiennes, après avoir donné en plusieurs occasions, des preuves singulières de ce courage héréditaire dans votre
28 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
rs, & la basse complaisance avec laquelle on y applaudit, sont la preuve la plus complète de la dépravation & de l’avi
e l’Eglise & l’horreur des véritables Chrétiens. Combien d’autres preuves ne pourrois-je point ajouter à celle-ci ? Que ne
st-ce pas plutôt, de la part de celles qui les en affranchissent, une preuve de relâchement & un oubli des règles ancienne
ions. Vous vous trompez, mes Frères, & je n’en veux point d’autre preuve que le plaisir même que vous y trouvez. Oui ; ce
trigue amoureuse & à entendre le langage de la passion, c’est une preuve que cette passion n’est pas à vos yeux ce qu’elle
29 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-3
ice. Ce témoignage de fait est de tous le plus décisif, la plus forte preuve de la contagion dans une ville, c’est la mort ou
30 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198
peuple, compris sous le nom général d’Histrion. 1.° S. Thomas cite en preuve l’exemple de S. Paphnuce, à qui il fut révélé qu’
ée : Ne gravitas animæ totaliter resolvatur. Qu’on cherche la moindre preuve de gravité dans ces bouffonneries, ces ris immodé
le Dictionnaire théologique rapportent au long la doctrine & les preuves . Son ouvrage fut composé par ordre de Benoît XIV 
& les preuves. Son ouvrage fut composé par ordre de Benoît XIV : preuve certaine que quoique les Papes tolèrent à Rome le
31 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286
directement d’Italie ; ce serait de Lully que je tirerais toutes mes preuves . Sans entrer dans aucune discussion à ce sujet, i
Les raisonnemens qu’il m’a fallu faire pour les combattre, & les preuves que j’ai alléguées, m’ont conduit plus loin que j
eux & éclairé, qui démontre si bien la vérité de mon sistême. Preuves que le chant Italien n’est point si naturel que l
atie qu’il est si facile d’entre-voir. Cette histoire est du moins la preuve que ce n’est pas d’aujourd’hui que les Musiciens
32 (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42
à leurs genoux ; mais notre bonheur commença avec leur empire, et la preuve de cela, la preuve qu’originairement cet ordre es
ais notre bonheur commença avec leur empire, et la preuve de cela, la preuve qu’originairement cet ordre est bien, c’est qu’il
s sont très capables de sentir, et plus capables d’exprimer. Mais les preuves ne suffisent pas pour convaincre un homme qui a d
par raison que par humeur, et cette humeur est la plus incontestable preuve de maladie et de fermentation dans un homme qui a
33 (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142
ans ce genre, & celles que je vous ai citées plus haut en font la preuve . J’aurois tort cependant d’en conclure que toutes
d’Olivet sur la théologie des philosophes Grecs. Vous y trouverez les preuves les plus convaincantes qu’on puisse alléguer en s
34 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
ifféremment, il est difficile de tenir à l’envie naturelle d’en faire preuve  : en est-on au reste capable ? C’est une autre af
e, que de faire un morceau de Peinture, de Musique, ou de Poësie : la preuve en est, que tout étant dans une Piéce à notre por
plus précieux des Piéces, c’est le jeu des Acteurs. Mais une derniere preuve que l’Acteur créé les Piéces dans son genre, qu’i
e chez les uns, si elle est muette dans les autres, il n’y a point de preuve plus précise que la Piéce est manquée : car enfin
ez le Spectateur la sérénité la plus pure : & peut-il y avoir une preuve plus précise d’intégrité sur cela, que l’applaudi
r ; mais cesse-t-il néanmoins ce combat, d’être un ouvrage ? Non : la preuve en est, qu’on se lasse au Jeu comme au Cabinet ;
i constitue l’esprit républicain. Mais loin qu’ils en soient & la preuve & l’image ; on pourroit dire avec plus de fon
ée, n’y trouve-t-elle pas non-seulement des hommages, mais encore des preuves  ? Les mœurs y sont toujours couronnés, la vertu t
35 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVI. De la présentation des Poëmes aux Comédiens ; de leur réception, & du choix de ceux qu’on joue dans les intervales. » pp. 8-11
aurons eu de goût pour lui. Si les Comédiens vouloient refléchir aux preuves , que le public leur donne assez souvent de sa sen
36 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
. Je ne les rapporterai pas, parce que ce sont les mêmes principes et preuves que celle de del Monaco, auxquelles il a donné un
donné un tour très délicat et très agréable. Das le 2. il propose les preuves du Comédien, pour autoriser l’usage de faire mont
sur le Théâtre, et les y faire parler d’amour ; il met en poudre ces preuves , et établit solidement que cet usage est très cri
37 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
urquoi se faire plus coupable qu’on n’est ? On auroit pu chercher des preuves , interroger la prévenue & ses compagnes, ména
on difficile, & enfin, si on vouloit la faire mourir, fournir des preuves apparentes. Ce procès bien filé auroit amené des
& funestes à la République, on ne condamnoit qu’à regret sur les preuves les plus convaincantes. Rien de plus faux que cet
t à même temps à Rome le procès au séducteur de la Vestale, les mêmes preuves servoient contre tous les deux, & on le conda
38 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128
encore dans l’épithète ; paralogisme est le terme sans contredit, la preuve en est aisée. Il est physiquement vrai que le bon
danses ; » il veut parler des Français ; son Devin de Village est la preuve qu’il connaît l’esprit & le goût de la nation
cris de tant d’infortunés qu’on égorgeait par ses ordres. » Mauvaise preuve  : je connais des gens de toutes sortes de religio
ement uni avec un. Romagnezi, son Epouse, Silvia, ne sont-ils pas des preuves combien le Génevois se trompe ? Sarrazin, la Noue
, (dont il fait souvent l’éloge sur sa probité, ses talens14) est une preuve sûre de la supériorité du Comédien sur l’Orateur
ais une partie de ceux qui la composent ; j’en donnerai plus avant la preuve . Romulus ne fonda un grand Peuple qu’ayant rassem
la fausse noblesse, il fut reçu par le Roi & son Conseil à faire preuve de la vérité de la sienne qui, par droit hérédita
me permettra de ne pas être de son avis ; l’Histoire m’en fournit une preuve si autentique, que je ne puis me dispenser de la
un corps d’Automates ; c’est ce dont je ne conviens pas : j’en ai la preuve ,39 l’esprit est de tous les pays. Ainsi selon le
nt de la bouche d’Hécube leur semble croyable, parce qu’ils en ont la preuve devant les yeux. « C’est là qu’ils ne doutent poi
ce atroce. Le mot d’Histrion est déplacé, je lui en ai donné assez de preuve  ; la Comédie doit sa naissance à la Grece. Ceux q
que la plus grande partie des nouvelles opinions ne sont point secte. Preuve en main. 51. On voulut hausser, comme j’ai déja
39 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
t violée par ces jeux profanes et indécents. » Mais il n’y a point de preuve plus puissante pour établir cette vérité, qu’on p
40 (1744) Dissertation épistolaire sur la Comedie « Dissertation Epistolaire sur la Comedie. — Reponse à la Lettre précedente. » pp. 16-18
peut pas en user librement sans peché ; cela parle de soi sans autre preuve à un esprit, qui a seulement un petit raion d’int
41 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160
n que c’est mauvaise humeur de ne pas citer cette piece si courue, en preuve de la réforme du théatre, & de la pureté des
honnête refrein : Ouida, guia pas du mal à ça. Ce sont encore là des preuves de décence & des titres en faveur du théatre,
it gloire ; il l’appelle réforme, décence, pureté de style. Voici une preuve singuliere de l’impression que font ces termes de
ais à Dieu ne plaise que nous souillions cet ouvrage par de pareilles preuves , superflues d’ailleurs pour tout homme de bonne f
42 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
vous faire croire que je prends parti, puisque c’est au contraire une preuve que je n’en prends point, et que je suis seulemen
nnements, vos comparaisons, vos histoires et vos railleries, sont des preuves particulières de ce que l’Auteur des lettres n’a
iction de ces pauvres filles. On ne peut pas demander une plus grande preuve de l’hospitalité de Port-Royal, ni souhaiter une
des Comédies de Desmarets, et qu’une Traduction si pure, qui est une preuve de doctrine et un effet de charité, ne saurait ja
43 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
beaucoup fait rire les Spectateurs a manqué son effet ; car c’est une preuve que l’Auteur aura pris du vice tout ce qu’il renf
d’être comme ils sont : la méthode la plus efficace pour faire cette preuve , est d’exposer d’après nature le vice avec ses su
44 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
surpassé, ne l’ont imité que de très-loin. C’est pourquoi ce qui fera preuve par rapport à Moliere, le fera à plus forte raiso
nt homme qui me l’a fait préférer à ses rivaux, & je crois que la preuve qui résultera de l’examen de ses ouvrages, en ser
45 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
eu de persévérer dans son sentiment, & il en adressa de nouvelles preuves à M. de Rochefort, qui, par sa façon de penser, h
46 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614
d Roi, b, 353 Amelot, a, 328 Aménités littéraires ; ouvrage cité en preuve de la Lettre d’un Anglois, rapportée, b, 499 Ami
ribuée à la Comédie, a, 74. Sentiment de l’existence de Dieu, a, 130. Preuve de son respect pour la Religion, a, 509. Son sent
u triomphe, 153. Que la haine des vertus s’inspire aux Théatres, 106. Preuve de son repentir d’avoir travaillé pour le Théatre
a vie de ce Roi, a, 339 Louis, Dauphin de France, pere de Louis XVI. Preuve des sentimens admirables de ce Prince, b, 170, 51
8 Quinault. Dangers du fol amour, a, 8. Caractere de ses Poëmes, 82. Preuve de son repentir d’avoir travaillé pour le Théatre
312. Ce qu’il pensoit de ses Tragédies d’Athalie & d’Esther, 337. Preuves de son repentir d’avoir travaillé pour le Théatre
des Spectacles pour empêcher des crimes, 463. Sa conduite a donné des preuves du peu de confiance que l’on doit avoir aux signe
47 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre V. Du nombre des Acteurs. » pp. 252-256
à débarrasser la Scène, après l’avoir comme surchargée. On en voit la preuve dans le Sorcier, dans Tom-Jones, où le Théâtre es
48 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
les instructions de Saint Paphnuce ; et c’est à quoi se réduit cette preuve si décisive, qu’on prétend tirer de Saint Thomas
49 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VI. Les spectacles produisent et favorisent l’incrédulité. » pp. 86-89
inel, les Lois de Minos, les Guèbres et beaucoup d’autres en sont des preuves . On y fait semblant de n’en vouloir qu’aux abus,
50 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
ents si ce n’est qu’ils aient fait Pénitence de leur péché, donné des preuves d’amendement, renoncé à leur Etat, et réparé par
51 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27
s aux Ecclésiastiques. Il est inutile d’entrer ici dans le détail des preuves  ; mais j’en conclus qu’à plus forte raison la com
cence de ces ouvrages par de telles plumes, c’est une des plus fortes preuves du danger du théâtre. Après tant de décisions si
ssent peu les anciens canons, ils ne les citent ni en objection ni en preuve  ; on ne fait mention que des Décrétales. Le chap.
52 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24
que ceux de la gloire & de la puissance de la Nation. L’un est la preuve de l’autre. Chez les Romains, peu s’en falloit qu
grandes idées nous affectent avant toutes choses ; nous en avons une preuve dans nos jeunes Poétes ; à peine savent-ils le mé
53 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien cinquieme. Le danger de la Comedie en particulier, decouvert par le R. P. F. Guilloré de la Compagnie de Jesus. » pp. 67-79
ut pas en user librement, sans pecher ; cela parle de soy, sans autre preuve , à un esprit, qui a seulement un petit rayon d’in
d’un principe, tenant toûjours de la nature de son principe. Mais la preuve de ce que je dis se fortifie beaucoup, par la nat
54 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66
er. La scène de Caron & des Ombres dans Alceste est pour nous une preuve sans replique. La sincérité me force d’avouer qu’
sont de Le Sage. Si quelqu’un doutait de ce que j’écris ici, j’ai des preuves en main qui convaincraient les plus incrédules. L
55 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128
rens sens attribués à un même mot ? L’équivoque est une des premiéres preuves , nous le répétons, de l’appauvrissement & de
56 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
t pas l’éguillon qui m’a guidé : si ma fortune était moins bornée, la preuve serait aisé à donner : mon bien serait celui des
57 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
rsonnages et les pièces que je me suis contenté de nommer en sont des preuves sensibles ; et s’il en était besoin, ces preuves
e nommer en sont des preuves sensibles ; et s’il en était besoin, ces preuves pourraient être multipliées presque à l’infini ;
cchis dans l’Heautontimoreumenos et Bacchis dans l’Hécyre en sont des preuves  ; leurs paroles sont mesurées à la modestie insép
t. Mais la rareté même de ces sortes d’exemples dans ce Poète est une preuve efficace pour l’affaire présente ; et son témoign
Socrate ne fut point Athée, c’est ce qui paraît assez certain par les preuves que j’en viens d’apporter : j’y joins encore cell
suffit que ses derniers Ouvrages soient les plus honnêtes ; c’est une preuve ou que ce Poète s’est corrigé, ou que les endroit
58 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
aient faire, il ne leur faudrait pas de grands discours ni de longues preuves pour décider juste sur ce chapitre ; et pour acco
59 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE IV. Des Femmes de Théâtre. » pp. 42-48
que les Courtisanes. A l’égard des Spectacles, nous n’avons point de preuves certaines que les femmes, en Grèce, aient monté s
60 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
as à être subjugué. La lecture de ces mémoires en fournira plus d’une preuve . La fin que je me suis proposée en les écrivant,
e dans le cœur de l’homme, un fond de cruauté et de barbarie, cite en preuve l’empressement de la multitude à contempler les s
qui ne peut être violée sans apostasie 9… Voulez-vous savoir, par une preuve de fait, quelle est la perpétuelle opposition du
n puis citer des exemples avérés), les chandelles s’y sont éteintes : preuve indubitable d’un air capitalement méphitique. 24
61 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XX. Suite des prétendus talents du Comédien & de la Déclamation théatralle. » pp. 63-85
faire jurer avec ses expressions. Ainsi, ce coloris lui-même est une preuve de sa servitude. Il y a des Arts, me dira-t-on, q
couleurs, subsiste en quelque sorte, par lui-même. Nous en voyons la preuve dans les porcelaines de la Chine, où le dessein n
62 (1680) Entretien X. Sur la Comédie « Entretien X. sur la Comedie » pp. 363-380
ut pas en user librement, sans pécher ; cela parle de soy, sans autre preuve , à un esprit, qui a seulement un petit raïson d’i
e, tenant toûjours de la nature de son principe. §. IV. Mais la preuve de ce que je dis se fortifie beaucoup, par la nat
63 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
rouve. Voyons les ressemblances ; elles sont étonnantes. Diverses preuves de ce qu’on avance. Le commencement des Poème
64 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIII. Si l’on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. » pp. 52-57
er. Pour réfuter cette erreur il n’y a qu’à considérer où portent les preuves dont on s’appuie dans les défenses particulières
65 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIII. Passages de Saint Basile sur le sérieux de la vie chrétienne. » pp. 132-135
arle que pour les moines ; puisqu’au contraire, et ses paroles et ses preuves et tout l’esprit de ses discours démontrent qu’il
66 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
u croire que couvrir les Comédiens d’infamie, c’étoit leur donner une preuve de la haute idée qu’elle avoit d’eux ? Ne diroit-
une Actrice à leurs gages. Cette dépense devint un besoin, comme une preuve de la grandeur & de l’opulence. La jeunesse R
67 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276
tins n’étaient pas plus éxacts ; les Tragédies de Sénéque en sont une preuve convainquante, ainsi que la plus-part des Comédie
j’ai déjà citée, & les Horaces de Corneille, m’en fourniront une preuve . Le dernier Acte de la Tragédie Grecque, ne roule
68 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
s. Le caractere de ces deux Tragédies n’est pas le même, en voici une preuve . Si Corneille nous eût représenté Antiochus, obli
r le rassurer veut lui prouver que les Devins se trompent souvent, la preuve même qu’elle lui en veut donner redouble ses inqu
69 (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32
rien du farceur. C'est justement dire qu’il l’est, sans en donner la preuve , et soutenir en même temps, par des raisons conva
ans le cœur de tous ceux qui avaient mine d’honnêtes gens. Toutes ces preuves sont fortes et aussi véritables qu’il est vrai qu
70 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IX. Des Exercices, ou Reveuës Militaires. » pp. 197-204
i le rend formidable à tout le monde, doivent à toute la terre, cette preuve de sa grande Ame & de sa Magnificẽce, & p
71 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
que les choses se passent ainsi sur notre Théâtre : j’en commence la preuve par les exemples des premiers caractères. P. Dan
habiles pour leurs affaires personnelles et pour les emplois publics. Preuve certaine, que le vice n’était pas alors l’objet d
la Comédie ? L’ancienne Comédie l’admettait ; Aristophane en est une preuve . Je sais qu’on prétend que le Chœur fut banni de
sitivement contraire à M. Dryden ; nous en avons son propre aveu pour preuve  : il assure que « la fin du Poète dans cette Pièc
72 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
nombre des Élus ! Je le supplie de croire que je n’avance point sans preuve une pareille chose. Plusieurs Auteurs ont prétend
73 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Corrections et additions. » pp. 364-368
8. après ces mots, qui se forme par dégrès, ajoutez cette note : (Une preuve frappante que l’harmonie & le chant nous sont
74 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
re. I l ne te connaît pas, non, il ne t’a pas reconnue : en voici la preuve  : Lettre de D’Alzan, à Des Tianges. Pas un sen
75 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
sacrifices, et le vin dont on a fait des effusions ; ce n’est pas une preuve de notre crainte, mais un témoignage de notre lib
76 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
multitude, perdront tout leur intérêt et le théâtre restera désert : preuve donc que les représentations scéniques, prises da
et des actrices n’est pas mauvaise. Bossuet ne rejette-t-il pas cette preuve en faveur de la comédie, tirée du texte de saint
spectacles, il doit lui refuser l’absolution, jusqu’à ce que, par des preuves réelles et non équivoques, il soit moralement ass
77 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre prémier. Le sujet. » pp. 160-182
lques traits d’un caractère qui nous est déja familier. La meilleure preuve que je puisse donner de la stérilité du Théâtre C
le goût de sa Nation. Ce qui se pratique chez nos Voisins en est une preuve . Les Anglais, les Allemands, les Hollandais &
78 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
is dimensions lesquelles ne se peuvent séparer l’une de l’autre. Pour preuve de ceci, on peut alléguer ce qu’allèguent les Méd
ssement, car ils sont les plus fâchés quand il se fait du bruit, pour preuve de ceci c’est que si vous les vouliez croire jama
79 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
d on lui en fera lire quelqu’un, qu’on sépare toujours ce qui fait la preuve d’avec ce qui n’en est que l’accessoire et l’orne
trer que la vraie éloquence consiste uniquement dans l’évidence de la preuve . Eugene. Ce lui sera une leçon qu’il ne pourra j
80 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13
sse ; en même-tems qu’elles nous éxcitent à rire ; j’en donnerai pour preuve l’Aveugle de Bethnal-Green (1). Réfléxions su
81 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80
s choses sont si claires et si évidentes qu'elles n'ont pas besoin de preuves ; et que le dessein de cet ouvrage a été principal
82 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
e poignard du fanatisme religieux. L’Espagne en offre aujourd’hui une preuve affligeante. 10. [NDA] E. Philippe de la Ville
83 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
Pompignan, M. Garnier &c ? Qu’en pensent-ils ? « Voulez-vous une preuve parlante, que les piéces du Théatre, pendant le r
huitieme siécle ? « Les piéces, dit-il, du Théatre François, sont des preuves de l’ignorance des Poëtes de notre tems. » On y e
n livre intitulé l’art du Theatre en 1769 ; mais il nous en donne des preuves toutes contraires : on sait, dit-il, dans le même
r rang, & ont opéré une affreuse corruption. Nous en avons eu une preuve éclatante, qu’on ne peut se rappeller sans effroi
si aimer le monde avec ses manieres de penser & d’agir, sont des preuves du plus déplorable des aveuglemens, comment cet a
soit éclairé &c, mais toutes ses lumieres empêchent-elles que les preuves , que je viens de vous donner, ne soient décisives
réquemment, & je ne m’en confesse point. Que pensez-vous de cette preuve , Madame ? Je ne m’accuse pas d’avoir été à la Com
? Non, non, Madame, les communions fréquentes ne sont pas toujours la preuve d’une piété solide, elles supposent les dispositi
84 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114
le souhaite. Il auroit dû en rapporter des traits & en donner des preuves . Il n’explique pas quelle religion il a voit, la
ourte, & très-peu convaincante parce qu’il se donne lui-même pour preuve . Il proteste de la pureté de ses intentions : Je
ie, de plaire, & d’amuser en instruisant. Il se cite lui-même en preuve . Son Ingrat, son Ambitieux n’ont pas réussi pour
85 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
ont entr’eux une espèce de fraternité ; je n’en voudrais pas d’autre preuve que le plaisir que nous ressentons en voyant pour
ns les Comédies. 1736 ; retiré en 1765. 47. Baron, cet Acteur fut une preuve que l’imitation servile des meilleurs modèles, ne
de cette admirable Actrice, sont, après l’exemple de Démosthène, une preuve , que le travail opiniâtre surmente la nature : sa
86 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100
la religion et aux mœurs ? La roture des Comédiens n’a pas besoin de preuve , quoiqu’ils soient tous les jours Marquis, Prince
x Comédiens une pareille fortune, ils n’y découvrent que de nouvelles preuves et une nouvelle raison de roture. Le théâtre n’ét
er l’épée, et ne pourrait être reçu dans aucun corps où il faut faire preuve de noblesse. Eh ! quel corps se respecterait asse
87 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
émiques. Le volume de M. Baillet sur les Auteurs déguisés, en est une preuve  : cette seconde Lettre est comme le supplément de
aduit en Latin & en Italien. Nous sçavons que l’Auteur a reçu des preuves de l’intérêt que des personnes en place ont paru
omme un corps de réserve à la fin du premier Volume, sous le titre de Preuves des Principes contenus dans les deux Lettres. Ell
s cette nouvelle Edition, à justifier par une plus grande quantité de preuves authentiques, qu’en Italie les habiles Littérateu
n à ceux dont ils dirigent la conduite ; & il en est rapporté des preuves . On sçait que l’incrédulité ose se produire par-t
e réclame ici contre les dangers du Théatre, par des argumens dont la preuve est dans le cœur de ses plus zélés Partisans. On
vier 1772, & Février 1775. M. Desprez de Boissy n’emploie pas les preuves que la Religion pouvoit lui fournir : d’autres l’
eurs éleves ce Livre, dont les éditions si souvent réitérées sont une preuve non équivoque qu’il a plu au Public. Tous les Ecr
Desprez de Boissy donne une nouvelle force aux raisonnemens & aux preuves des Philosophes qui condamnent les Représentation
Les dangers de nos Théatres y sont démontrés par des argumens dont la preuve est dans le cœur des plus zélés partisans des Spe
77, a dit que M. Desprez de Boissy avoit, dans cet Ouvrage, donné des preuves de son bon goût, de son érudition, & de la bo
de la part du Gouvernement ! M. de Boissy en a rapporté une suite de preuves  ; & ses principes sur cet objet ont été loués
issy avoit connu cette Piece, il l’auroit comprise dans le nombre des preuves qui forment la seconde partie de son premier Volu
toriques & littéraires sur le Théatre. M. de la Tour y a fait ses preuves de sçavant & ingénieux Littérateur. Il y a pr
ré M. Desprez de Boissy. Les éloges que son Ouvrage a reçus, sont une preuve que ce qui est conforme à la raison, plaît à tous
ue des Éditions de l’Ouvrage de M. Desprez de Boissy. On y trouve des preuves de l’accueil qui a été fait à la sixieme Édition.
omme d’un bienfait public. Et la multiplicité des Editions en est une preuve plus décisive encore, que les justes témoignages
les autorités que l’Auteur a recueillies avec soin pour compléter ses preuves , lui méritera avec bien plus de titres encore les
s adressé à ceux qui fréquentent les Théatres ; je les ai réservés en preuve de ce que j’apprendrois à ce sujet. De plus, leur
être imputés à reproche, assurer le triomphe d’un Drame » ! C’est une preuve que la multitude ne juge point les Pieces d’après
ctacle offre de contagieux ? Mais le plaisir qu’ils y goûtent est une preuve qu’ils en éprouvent réellement toutes les mauvais
humain, dans l’espérance de pouvoir contester avec plus de succès les preuves de la Religion. « Avec quelle violence », dit un
te126. Mais je vous accorde qu’il eût ajouté sa propre expérience aux preuves que la raison, la connoissance de l’art, & le
de couvrir les idées propres à flatter la volupté. Nous en avons une preuve dans Duchesne 133. On y voit que dans les Spectac
Mémoires académiques, a assuré qu’on n’avoit encore pu fournir aucune preuve , que cet illustre Cardinal eût jamais employé auc
nte pour elle ; que le Public croiroit qu’il ne pouvoit pas faire les preuves de Noblesse requises : Si je vous fais tort, répo
ses erreurs…. Les demi-Sçavans croyant trouver dans ses Ouvrages des preuves invincibles contre la Religion, méprisent ces hom
ax est. Noli imitari turbas concurrentes. S. Aug. Je suis, &c. PREUVES DES PRINCIPES Contenus dans les deux Lettres pr
uis que je ne reconnoisse à ma confusion, que les principes & les preuves qui se trouvent dans la Lettre qui s’est donnée a
ens, si ce n’est qu’ils aient fait pénitence de leur péché, donné des preuves d’amendement, renoncé à leur état, & réparé p
cere sacrilegum est. M. de Boisgelin, Archevêque d’Aix289, donna des preuves de son respect pour cette maxime, dans son Discou
rétienne. L’Ecrit Italien que nous avons cité page 431, en donne pour preuve une Lettre du P. Mariana-Sozzini 294, de la Congr
e Théatre ; ce qui fut exécuté en 1696. Nous avons encore à donner en preuve un Ecrit Italien qui parut à Rome en 1770 sous le
re dans la dévotion, ne la voit-on pas renoncer aux jeux de Théatre ? Preuve qu’on ne les peut accorder avec la sainteté de no
e de la Morale Evangélique est dans les cœurs. Louis XIV en donna une preuve dans ce compliment énergique qu’il fit au célebre
t la contagion a toujours été redoutée. Despréaux nous en fournit une preuve dans une de ses Lettres à Racine 360, où il l’inf
d’Italie qui n’étoit point connue en France, seroit le complément des preuves des principes que nous avons soutenus dans nos Le
nt nous avons donné un extrait, page 469 ; & son observation a sa preuve dans les Vers suivans du même Discours de M. Arma
m. Cette réflexion justifie l’usage fréquent que nous avons fait des preuves de cette espece. M. l’Abbé Brotier n’a pas oublié
e Philadelphie s’étoient vus dans le cas de craindre d’en fournir une preuve  ; mais leur Congrès, pour prévenir ce funeste eff
ie légere, & il fut exilé de la Cour. C’est un exemple à citer en preuve de cette maxime : Les talens mal conduits nuise
Religion chrétienne, en convenant qu’elle étoit la seule qui eût des preuves . 79. Rebus in angustis facile est contemnere
tome 8 de la collection de ses Œuvres, imprimée en 1754. Son plan des preuves de la Religion chrétienne est dans le même volume
res l’amour de la vertu & de la Religion. 230. On en connoît les preuves pour tous les noms qu’on vient de citer. Celui, p
t plus précieuse, qu’elle est du nombre de celles qui fournissent des preuves de la compatibilité d’une grande piété avec les q
88 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
duit des biens innombrables. On y trouve un enchaînement continuel de preuves & de raisonnemens si suivis de principes en p
l’année 1671. Nous nous permettons cette digression, pour donner une preuve du contentement de la Nation ; lorsqu’elle crut v
Enfin M. de Campigneulles s’est rangé sous leur drapeau ; & pour preuve de son adhésion à leurs principes en faveur des T
nt rétabli ce que d’autres avoient hazardé de supprimer. En voici une preuve . « Clément XIII avoit fait fermer le Théatre Ali
ularité ceux qui ont embrassé l’Etat Ecclésiastique. Nous avons eu en preuve sous les yeux l’exemple de M. le Prince Pamphili
ue suivent tous les bons Evêques. Nous pourrions à cet égard citer en preuves les différens témoignages que nous avons eu l’hon
vent contre les Comédiens », & dont on a eu occasion de citer les preuves , p. 110 de ce vol. & 121 de nos Lett. L’extra
aussi les Théatres publics, il a paru convenable de rassembler ici en preuves de cette assertion les notices de quelques Ouvrag
est pas aussi connu qu’il le mérite. Ses regrets à cet égard sont une preuve de l’intérêt qu’il prend aux bonnes mœurs. Voici
nt toujours été pernicieux pour les mœurs : on pourroit même citer en preuve ce qui est échappé à un Poëte dramatique de cette
, les Guebres, Argillan, Virginie, Olinde & Saphronie en sont des preuves . On y fait semblant de n’en vouloir qu’aux abus ;
ait pas l’éloge de l’école de Melpomene & de Thalie. En voici une preuve dans le jugement qu’on a porté d’un Roman de M. D
ieur de ses Etats, comme S. Remy appelloit Clovis. On en trouvera des preuves à la suite de nos Lett. dans des extraits de deux
n l’adopte plus ou moins en les fréquentant. On peut s’en procurer la preuve dans le Poëme des Saisons que M. de Saint-Lambert
exible Sur ses fautes, jamais ne le laissant paisible. En voici une preuve . Jean Racine avoit eu la foiblesse de composer en
is sources d’argumens invincibles. Ne pourroit-on pas encore citer en preuve le témoignage intérieur d’un grand nombre de ceux
pas être tolérés dans un Gouvernement bien dirigé. En voici quelques preuves  : Il parut en 1773 un Ouvrage sous le titre de Sy
fforcent vainement d’élever leurs délires systématiques au dessus des preuves lumineuses de la révélation. Le temps vole, la nu
a nature n’est qu’un vaste commentaire qui développe ta grandeur. Ses preuves composées par le Ciel, furent publiées sur la Cro
rideau devant la clarté du jour, c’est-à-dire, devant l’évidence des preuves de la Religion Chrétienne246. M. J.J. Rousseau a
x hommes. Je le crois comme eux ; & c’est, à mon avis, une grande preuve que ce qu’ils enseignent, n’est point la vérité.
aux raisonnemens les plus spécieux qu’ils déduisent des faits ou des preuves de la Religion, sans les pouvoir entamer. Mais il
guerre manque rarement son effet. Leurs partisans, malgré toutes les preuves d’infidélité qu’on leur met continuellement sous
les peintures ! quelle entente dans le choix & l’enchaînement des preuves , dont la lumiere réfléchit de l’une sur l’autre !
ion Chrétienne & de la Divinité de Jesus-Christ, par Abadie ; les Preuves de la Religion Chrétienne, par M. le François ; l
e générale du Clergé de France, de l’année 1775260 ; la Certitude des Preuves du Christianisme ; l’Apologie de la Religion Chré
qu’un sourd en prend à la Musique. Nous pourrions ajouter plusieurs preuves à ces réflexions de M. Law ; mais nous n’avons dé
l’expérience des anciens & des modernes. Nous en avons donné des preuves de tous genres. Nous le répétons : Le Théatre a p
nt, de n’y négliger aucune occasion de mettre dans tout leur jour les preuves de la Religion, d’y faire remarquer les liaisons
utilité dont vous m’auriez été à moi-même ; donnez à ma mémoire cette preuve de votre tendresse ; & sur-tout que leur jeun
89 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
dit ; et ils leur interdisent même d’y assister. Or, on trouve ici la preuve , s’il était nécessaire, qu’il y avait des prêtres
90 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
fficiis Ministrorum. Mais les paroles de ce père sont générales : ses preuves portent également contre tous les chrétiens dont
91 (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436
du règne de ce Prince, et des Rois ses Successeurs : nous en avons la preuve dans un tarif qui fut fait par saint Louis, pour
92 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
astes mers séparent depuis long-tems du commerce des hommes policés ; preuve incontestable que la découverte de cet art n’est
qu’elle agit jusques sur les choses inanimées ; ils en trouvaient la preuve dans les merveilles qu’opérèrent Amphion & Or
es Egyptiens ne la souffraient que parce qu’on la regardait comme une preuve de la grandeur & des richesses d’un état. Ils
lmans ordonna lui-même de la bannir avec soin ; mais ils n’ont aucune preuve de ce qu’ils avancent. Ce qu’il y a de certain, c
93 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
prouver que c’est un crime que de jurer. Car chacun porte avec soi la preuve sensible que rien n’offense plus que le mépris :
u’il ne la reprochera pas. Sang-farouche avait déjà donné une étrange preuve de sa Religion : « Lorsqu’un homme va chez une fe
égard beaucoup au change ; la sixième et onzième Satires en sont des preuves trop visibles : ce sont des ordures capables de d
e miracles, signée du sang de tant de Martyrs, appuyée sur toutes les preuves de fait les plus fortes ; cette Religion servira
94 (1731) Discours sur la comédie « Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caffaro, Théatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris. Imprimée à Paris en 1694. in-quarto. » pp. -
e puis que je ne reconnaisse à ma confusion, que les principes et les preuves qui se trouvent dans la Lettre qui s’est donnée a
95 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
vous flatte, qui vous parle en secret, et qui ne vous apporte aucune preuve de son dire, qu’aux prédicateurs qui n’ont point
96 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
du S. Esprit portent le Cordon bleu. Cette marque de chevalerie fait preuve de noblesse ; mais d’une noblesse d’un genre bien
ner la plus licencieuse coquéterie. Le Seigneur de Salenci a porté en preuve une comédie qui lui donne le droit de ce choix. P
montrant l’abus que le Seigneur en fait, il fournit au contraire une preuve convainquante que la Rose n’a pas été remise à de
97 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29
e & de cette raison de tolérance ! quelle idée du spectacle ! Une preuve évidente que le théatre & tout ce qui le comp
d’être dissipateur & peu régulier. En voici, disoit l’Avocat, une preuve que je voudrois pouvoir dissimuler ; sa bibliothè
mplet, &c. L’Avocat du Prieur ne contestoit pas la force de cette preuve , il se retranchoit à dire qu’un Religieux ennemi
98 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
vous semblerait la chose la plus désagréable et la plus dégoûtante ; preuve , dit Saint Chrysostome, que vous ne recherchez au
, et toutes vos objections au sujet des Spectacles, sont la meilleure preuve que le Démon vous tient dans ses filets. Si Saint
r ici en votre nom ; c’est dans ce Livre qu’on trouve les plus fortes preuves contre les Spectacles et contre ceux qui les fréq
99 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « La criticomanie — Autres raisons à l’appui de ce sentiment, et les réponses aux objections. » pp. 154-206
ieusement, croyez à son innocence jusqu’à ce que vous ayiez acquis la preuve certaine de votre malheur, que, selon les circons
nelles, inconnues, que ces écrivains possédés par la passion de faire preuve d’imagination, de donner du neuf, du fort, des sc
100 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
e est défendue ; mais, répond le Théatin, c’est précisément donner en preuve l’état de la question. La comédie n’est, ni ne sç
épondu que, de quelques cas particuliers, il ne pouvoit pas tirer une preuve générale en faveur de son sentiment. Il ne persua
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