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1 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des principes qui ont été établis ci-devant. » pp. 82-88
APITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des principes qui ont été établis ci-devant. Le but que se s
r et à éviter les personnes qui pourraient les y porter. C’est sur ce principe que sont fondées deux conséquences. La première e
és infâmes, comme ils sont, dit-il, il les faut chasser. C’est sur ce principe que le Concile de Paris, tenu en 829. sous Louis
es impudiques, « impudicos et histriones non nutrire. » C’est sur ce principe que Philippe Auguste les chassa de sa Cour les re
la sagesse et la religion commandent si fort d’étouffer. C’est sur ce principe que le grand saint Louis les chassa de sa Cour, h
assa de sa Cour, histriones aula exegit, dit Paul Emile. C’est sur ce principe que saint Charles Borromée témoigne dans un de se
ctatorum mores accommodatis, sordidum quæstum faciunt ». C’est sur ce principe que le Jésuite MarianaMar. de Rege et Regis insti
sion. La deuxième conséquence que les Pères de l’Eglise ont tirée des principes qui ont été ci-devant établis, c’est qu’il n’est
2 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
ontains l’ont obscurcie par des sophismes captieux, et ont adopté des principes basés sur l’injustice la plus révoltante et la pl
rminatoires, qu’il a lui-même aidé à leur institution, et que dans le principe de la création des comédiens du troisième âge, le
ire des peuples de la chrétienté. Le péril est toujours imminent. Les principes anarchiques du fanatisme religieux, font des effo
en même temps pénétrer en France, elle cherche à y propager les mêmes principes , le même esprit, et y exciter les mêmes désordres
sobéissance et la résistance aux autorités légitimes, et y répand les principes abominables du régicide. Parmi ces livres détesta
elle a obtenu des lois qui portent l’empreinte bien caractérisée d’un principe inquisitorial. C’est ainsi que pour le malheur de
a rebelle à la loi d’état et par conséquent digne de mort. Tel est le principe atroce de l’inquisition religieuse, que les jésui
démontrer les vérités de la religion chrétienne, par une pétition de principe , il en avait plutôt affaibli les preuves, s’il ét
tre auteur, très probablement, ignore ce que c’est qu’une pétition de principe , et néanmoins, il a la témérité de se mesurer ave
le monde sait, ou doit savoir, qu’en logique, on appelle pétition de principe , la supposition pour vrai, de ce qui n’est qu’en
iver à ses fins, ne recule pas, lorsqu’il faut fouler à ses pieds les principes de la religion chrétienne, et les maximes de l’év
uste titre, d’être poursuivi par un réquisitoire, comme contenant des principes dangereux et véritablement nuisibles à l’Etat et
3 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
onque se refuse à croire des mystères et des dogmes révélés. Ce fatal principe d’intolérance fanatique et cruelle, que des gouve
tyrannie la plus odieuse. Ceux-là qui adoptèrent et prêchèrent un tel principe , abusèrent des religions et s’en servirent comme
doptant l’immoralité politique, appelée aussi machiavélisme, comme un principe nécessaire pour gouverner. L’autorité s’est abusé
clusivement de l’éducation de la jeunesse, la secte jésuitique a pour principe de refuser la connaissance des sciences à la clas
aîtres. Leurs élèves trop dociles, lorsqu’ils sont bien imbus de faux principes et de doctrines détestables, deviennent également
intolérants en religion comme en politique. Ils sont démoralisés par principe  ; ils se persuadent que tous les crimes du machia
à ne jamais s’en faire aimer ? Le souverain qui adopterait de pareils principes n’obtiendrait jamais l’affection de ses sujets, e
ne peut produire que du mal, et tous les raisonnements contraires aux principes de philanthropie ne sont que des paradoxes. Je le
n des jésuites et de ceux de leurs élèves qui sont fortement imbus de principes jésuitiques contre le développement des sciences,
x-mêmes la légitimité de leur autorité. Il est temps de repousser les principes dangereux de ces hypocrites incorrigibles, qui ca
des lois inquisitoriales toujours odieuses et toujours basées sur un principe d’injustice. Il faut s’abstenir de toutes ces mes
er et régulier. Il est temps de réformer les mœurs, le langage et les principes des prêtres fanatiques qui, en divers pays, et pr
tion, à la rébellion et à l’anarchie. Il est temps qu’il proclame les principes qu’il professe lui-même, sur la ligne de démarcat
tion formelle de remplacer l’inquisition. Ils en héritèrent les mêmes principes , et se rendirent coupables des mêmes excès et des
4 (1675) Traité de la comédie « XXXI.  » pp. 325-326
qu'il a aimé, et que nous haïssons ce qu'il a haï. Et comme il est le principe de toutes nos bonnes œuvres, et que la grâce par
e ; ce sera votre esprit qui m'y conduira ; ce sera vous qui serez le principe de cette action ; c'est par votre Croix que vous
rir à Dieu, toute action dont l'esprit de Jésus-Christ n'est point le principe , toute action que l'on ne saurait faire pour lui
5 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
Les titres, les erreurs, les songes du monde n’ont jamais ébranlé les principes de Religion que je vous connois depuis si long-te
le, quand on pense, que de voir sa conduite en contradiction avec ses principes , & de se trouver faux à soi-même & mal av
ans les délires de la jeunesse ; on se laisse entraîner à établir des principes qu’on n’a point ; un vers brillant décide d’une m
u, pour l’utilité des mœurs, pouvoir sauver de cette proscription les principes & les images d’une pièce que je finissois, &a
cette carrière, qu’avant de me désapprouver il accorde un regard aux principes qui m’ont déterminé. Après avoir apprécié, dans s
oire & pour adorer avec une soumission fondée sur les plus fermes principes de la saine raison ? Comment immoler nos jours à
6 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
si c’est chez les Grecs qu’il faut nécessairement chercher les vrais Principes de la Poësie Dramatique, & si ces mêmes Princ
rcher les vrais Principes de la Poësie Dramatique, & si ces mêmes Principes ont été également suivis par les autres Nations q
la Tragédie, lui a été rendue par Athalie, Piéce conforme à tous les Principes d’Aristote, comme je le prouverai. Cette Piéce, q
7 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
eur des Comédiens par la Consultation, fondée uniquement sur les faux principes avancés dans deux Mémoires à consulter, & sur
n assure que la Consultation renferme en peu de mots la certitude des principes de l’Auteur du Mémoire, & qu’elle couronne l
n assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs principes , & les autres seront charmés de s’y instruire
ur les Acteurs. Ce n’est qu’un tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de fausses maximes & de propos injur
, on y reconnoissoit cette pureté, cette tradition d’honneur & de principes , qui distinguent singulierement ce premier Barrea
8 (1759) Lettre d’un professeur en théologie pp. 3-20
n générale, en disant que ces sentimens sont une suite nécessaire des principes de la Religion Protestante : que, si les Ministre
nnant à leurs paroles des interprétations forcées, en tirant de leurs principes des conséquences odieuses qu’ils désavouent ; Mrs
nnant à leurs paroles des interprétations forcées, en tirant de leurs principes des conséquences odieuses & fausses qu’ils dé
, sans cependant nous croire obligés d’adopter servilement tous leurs principes . En agissant ainsi, nous tâchons, autant qu’il no
rce qu’on ne sauroit le prouver par une démonstration géométrique. Ce principe une fois posé, il nous suffit d’être convaincus d
9 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
is parmi les hommes qui se sont toujours montrés le plus pénétrés des principes de ce gouvernement ; et pour les y attacher davan
inuité et la stabilité dépendent entiérement du maintien de ces mêmes principes . Ces précautions ne suffisent pas encore ; et mal
mmune ; la soumission aveugle au despotisme des rois y est réduite en principes , et fortifiée par des exemples ; on y déploie tou
au théâtre, l’esprit de curiosité a plus fait que la connoissance des principes . Les comédiens Français ont donné Marie de Braban
s instigateurs de la St. Barthelemy. La lutte des préjugés contre les principes a été longue et vive10 ; mais enfin, sans se rend
liciste, il a moins considéré le grand intérêt de la conservation des principes qui tiennent à notre liberté, que son amour pour
on y distingue que les commissaires ont déjà établi quelques-uns des principes relatifs à la liberté du théâtre, en déclarant qu
as osé les attaquer. Ces considérations m’ont engagé à développer les principes que je crois les seuls admissibles, sur la libert
lever un théâtre, tous les autres hommes ont donc le même droit. Ces principes ne sçauroient être contestés par personne ; mais
loi, est permis par la loi. Ainsi, en s’attachant rigoureusement aux principes , il demeurera démontré que tous les hommes, étant
e boutique, d’exploiter une mine, d’établir une manufacture, etc. Ces principes sont incontestables, il ne s’agit donc plus que d
équent une loi qui détermine cette peine. Il suffit donc d’établir le principe pour démontrer, que la liberté du théâtre ne peut
les objections banales que l’on peut faire contre l’application de ce principe . On avance d’abord que les spectacles ne pouvant
ne s’essayer que dans l’un de ces genres. Il auroit fallu, d’après ce principe , empêcher Racine de donner les Plaideurs ; Cornei
le vraiment libre. M. de Chenier a établi, à ce sujet, les véritables principes dans son Traité de la liberté du théâtre, et dans
ition ? est-il question d’exemples et de citations, quand il faut des principes . La liberté du théâtre est une liberté, et la vio
10 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
un coup d’œil sur le Portugal, on y voit encore les traces des mêmes principes du fanatisme monacal et jésuitique. L’ultramontan
t, comme en Espagne, dans une attitude honteuse, qui accuseraient les principes de ceux qui les ont envoyées. De braves militaire
gouvernement anglais qui, tous les jours, déploie de plus en plus les principes d’une politique sage, éclairée et morale, qu’étai
s d’état y sont réduits à la dure nécessité de mettre en pratique les principes de corruption, qui sont si bien établis dans les
, leurs écrivains soudoyés, leurs gazetiers salariés, tous d’après le principe d’hypocrisie dont ils sont prédominés, semblent a
oit-on pas d’Amis de la religion et du roi, qui ne professent que des principes anti-chrétiens et régicides ! Si on jette un coup
utes les Saint-Barthélemy religieuses et politiques. C’est d’après ce principe si odieux, qu’un jeune étudiant irréprochable, fu
fusil tiré au hasard, qui aurait pu tuer tout autre individu. Le même principe encore, fit mitrailler le peuple à Cadix et massa
pour la défense du jésuitisme impur. Il déshonore ses écrits par des principes anarchiques en politique et par des doctrines dan
e ; généreux par intérêt et spoliateurs par inclination, ils ont pour principe de partager les dépouilles de leurs victimes avec
11 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
ce que après la révolution funeste que la France a éprouvée, tous les principes de morale se trouvant bouleversés et anéantis, il
ssement, à leur propagation. La religion chrétienne renferme dans ses principes , dans ses éléments, tout ce qui mène l’homme au b
aient nécessaires aux autres hommes ; comme Dieu il a offert, par les principes qu’il a tracés, les moyens de trouver le bonheur
exte de ces canons, que l’Eglise, qui a dû se montrer sévère dans les principes de son institution, à l’égard des fidèles qui sui
rs droits, les ministres de la religion, qui s’écartent eux-mêmes des principes voulus et tracés par les conciles, ne montreraien
12 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
sentiment pur, par un enthousiasme qui tient de l’instinct, suit les principes de son art, quoique leur influence soit insensibl
s vrais génies ont moins besoin d’être instruits qu’aiguillonnés. Les principes ne leur disent que ce qu’ils sentent, & ne so
Les siécles qui servent d’époque à la décadence du goût, abondent en principes , & manquent de bons ouvrages. C’est que la gl
la derniere évidence, la littérature est innondée de traités sur les principes . Il n’y a guère d’année où on ne publie une nouve
13 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE I. Condamnation de la Comédie par la sainte Ecriture, par les Conciles et par plusieurs raisons. » pp. 7-11
as laisser néanmoins de faire voir aux chrétiens, qu’elle fournit des principes d’où l’on tire sa condamnation par des conséquenc
étaient pas mêmes marquées précisément. La Religion chrétienne a des principes fertiles, qui produisent une infinité de conséque
es dispositions interieures, soit pour les devoirs exterieurs, et ces principes sont renfermés dans la sainte Ecriture, que Dieu
14 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
qu’elles en seront frappées ? D’abord, arrêtons-nous un instant aux principes et aux maximes de l’antiquité païenne. L’an 400 d
5. Pour ceux auxquels la Religion se fait encore entendre, voici les principes d’après lesquels ils pourront se juger. I. L’Evan
d, leur permettent un genre de plaisir formellement opposé à tous les principes de la Religion et de la saine Morale. 2.° S’ils p
rapporter à Jésus-Christ, et le faire pour sa gloire » « Or, sur ce principe , le plus incontestable, le plus universellement r
t la conduite et les mœurs manifestèrent toujours son attachement aux principes du Christianisme, se sentait vivement animé contr
ni, célèbre acteur du Théâtre italien de Paris, auquel il renonça par principe de religion, convient, dans l’un de ses ouvrages
r les germes de leurs passions, et les familiariser avec le vice. Ces principes de corruption reçoivent une nouvelle force des Sp
le, quand on pense, que de voir sa conduite en contradiction avec ses principes , et de se trouver faux à soi-même, et mal avec so
que j’ai pris ; qu’avant de me désapprouver, il accorde un regard aux Principes qui m’ont déterminé. Après avoir apprécié, dans l
t forcé de mettre dans la bouche des méchants, leurs maximes et leurs principes , revêtus de tout l’éclat des beaux vers, et débit
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce principe , que plus la Comédie est agréable et parfaite, pl
villes ? Ce sont des gens intrigants, désœuvrés, sans religion, sans principes , dont l’imagination, dépravée par l’oisiveté, la
ait citer ; à ce sujet de terribles exemples. 39. C’est d’après ces Principes , que les Spectacles ont été proscrits à Genève, à
15 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
il faudroit leur en inspirer pour les vices. Qu’on analyse d’après ce principe , la plupart de nos Comédies, & l’on en tirera
e que spécieuse. Pour la résoudre, il est à propos de se rappeller le principe que j’ai établi ci-dessus, savoir que la Comédie
eur a fait contracter, & d’examiner quelques Comédies d’après les principes constitutifs de son essence, j’espere après cela,
ne application par rapport à la Comédie. Reprenons en peu de mots les principes que nous avons exposés ci-dessus. Le but de la Co
e figure je crois que fera la Comédie, si on la travaille d’après mes principes  ; je réponds qu’elle tiendra dans l’esprit des ge
16 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
doit se proposer. Quand dans une question quelconque, on a établi un principe vrai ou supposé tel, toutes les questions qui nai
les questions qui naissent de la premiere, doivent se résoudre par le principe établi au commencement ; cette méthode synthétiqu
pour donner la solution de cette seconde question de se rappeller le principe établi au commencement de ce discours. Le but de
ce qu’au ridicule du vice, c’est-à-dire, toujours suivant mon premier principe , s’il s’est plutôt attaché à inspirer de l’horreu
t peu. Je ne vois dans Moliere qu’une Comédie traitée selon les vrais principes , c’est celle de l’Imposteur. J’en appelle au témo
17 (1824) Du danger des spectacles « DU DANGER DES SPECTACLES. » pp. 4-28
nsi dire, hors d’elle-même, ne réfléchit plus ; loin de combattre ces principes vicieux, elle s’y abandonne sans résistance, se c
y puise, et se trouve naturellement disposée à agir en conformité des principes coupables qu’elle a puisés. « Dieu ne nous imput
Les maximes impies qu’elles renferment tendent à inoculer de mauvais principes aux hommes et à affaiblir en eux ce respect et ce
passions qui sont mises en jeu sur la scène, si nous n’avions pas les principes d’une corruption intérieure qui se trouve flattée
c’est qu’il y a quelque chose dans notre nature qui répond à tous ces principes de vice. « Vous reconnaissez que Dieu vous ordon
us haute importance de préserver purs et sans tache, les mœurs et les principes de la génération naissante. Nous devons empêcher
exposer à l’influence de semblables tentations, et notre vertu et nos principes  ; tentations les plus dangereuses de toutes, parc
n leur dira qu’on peut profiter à l’école du théâtre, et y puiser des principes de religion et de morale ; on leur parlera encore
18 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
es de Jésus-Christ, que nous venons de citer plus haut, que réside le principe de l’abominable doctrine des régicides. Telle est
tiquement ! Cette société à jamais déshonorée par l’immoralité de ses principes et par la doctrine du régicide qu’elle prêcha aud
contrainte, les pratiques religieuses, ils mettraient en action leur principe favori, que la religion ne peut se soutenir que p
en résulteraient-ils pas dans l’ordre social, et toujours, d’après ce principe affreux que nous venons de citer, que c’est par l
plus loyaux souverains, n’adoptera jamais une loi de tendance dont le principe est incontestablement inquisitorial. Mieux vaudra
illeurs que de telles manœuvres, ont été commises par l’influence des principes du jésuitisme, qui enseignent que tout est permis
19 (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201
nture. Il« Cælare, pingere sciebat Nero ; sed hæc puerilia et indigna Principe . » y a je ne sais quoi de trop vil et de trop bas
Astrologues prétendent qu’ils ne se peuvent tromper, parce que leurs principes sont infaillibles, qu’ils s’élèvent au-dessus du
ernité. « Cælare, pingere sciebat Nero ; sed hæc puerilia et indigna Principe . » « Modulatricibus a quis constitit Deo mundus. 
20 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — ESSAI SUR LES MOYENS. De rendre la Comédie utile aux Mœurs. » pp. 7-10
ertir de ce qui se passe hors d’elle. On concevra aisément d’après ce principe , qu’une instruction mise en action, c’est-à-dire,
t point les mêmes vérités dénuées du secours de la représentation. Ce principe nous conduit donc naturellement à reconnoître l’u
21 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe.  » pp. 61-63
tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe. Par ce moyen il poussait la
osophe. Par ce moyen il poussait la démonstration jusqu’au premier principe , et ôtait à la comédie tout ce qui en fait le pla
22 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
de faux et d’imposture dirigée contre M. le curé Magnin. Page 111 Le principe pernicieux qui consiste à ne point divulguer les
if des richesses est la source du fanatisme des prêtres. Page 194 Les principes anarchiques du fanatisme religieux qui désolent a
ge 201 L’auteur du livre des Crimes de la presse professe les affreux principes de l’horrible inquisition. Page 202 A l’exemple d
les preuves de la religion, s’il était possible, par une pétition de principe . Page 204 L’auteur du livre des Crimes de la pres
es Crimes de la presse paraît ignorer ce que c’est qu’une pétition de principe . Page 204 Définition d’une pétition de principe.
st qu’une pétition de principe. Page 204 Définition d’une pétition de principe . Page 205 L’auteur du livre des Crimes de la pres
moque également de la religion, comme de l’art de raisonner. Page 206 Principes de la secte ultramontaine, qui considère que la r
23 (1762) Apologie du théâtre adressée à Mlle. Cl… Célébre Actrice de la Comédie Française pp. 3-143
preuve : en est-on au reste capable ? C’est une autre affaire. Sur ce principe , permettez vous, Mademoiselle, à un Écrivain obsc
le procès à l’erreur, il n’y a donc aussitôt qu’à s’élever contre ce principe ingénieux en général qui sçait tout transformer :
n’est pas à beaucoup-près à nos yeux aussi relevé : la nature est un principe éminent & fécond par lui-même ; l’art au cont
lairé est souvent la dupe de lui-même : on s’attache volontiers à ses principes , on tient naturellement à ses maximes ; par consé
la vertu son abus. Toute action d’éclat dont la vanité souvent est le principe & l’objet ; où bien un systême de conduite im
’établissement dans tous les endroits où il n’y en a pas, du moins un principe de considération puissante dans ceux où il y en a
ppliquer l’esprit, qu’on lui offre des maximes, qu’on lui propose des principes  ; qu’on mette un certain ton de solidité à la con
ils en sont au contraire l’abus & l’inconvénient. La vertu est le principe essentiel & dominant du gouvernement républic
ît les passions. L’esprit pur, le goût, l’imagination, sont les seuls principes appellés aux Spectacles des beaux Arts ; & si
us relevés, les traits plus frappés ; les caractéres plus grands, les principes plus beaux, les maximes plus délicates ? J’en att
sse & de vérité dont elles sont susceptibles, le goût n’est qu’un principe équivoque capable de délire & jamais d’enthou
. La morale enfin n’est pas sans intérêt aux Spectacles en ce que les principes & les maximes qui s’y débitent, respirent tou
un Spectateur assez absurde pour aller prendre des incidens pour des principes , des traits détachés pour des maximes, des pensée
orte, comme il est, dans les Piéces, s’élever au point d’étouffer les principes étrangers, auxquels il ne sert que de contraste &
trait à raison de sa finesse flate & recrée ; mais quel en est le principe & la cause ? C’est beaucoup moins l’objet, qu
olontiers & croit même qu’il importe à sa gloire de s’en faire un principe  : on se montre au moment du Spectacle, insensible
24 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — V. La Comédie donne des leçons de l’amour impur. » pp. 9-11
faisant paroître au grand jour & avec applaudissement ce que les principes d’une bonne éducation ne permettent pas même d’en
soutenir, c’est combattre les régles des grands maîtres. « Le premier principe , ajoûte-t-il ; sur lequel agissent les Poëtes tra
25 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
imple Dialogue. Elle diffère particulièrement de la Tragédie dans son principe , dans ses moyens & dans sa fin. La sensibilit
ipe, dans ses moyens & dans sa fin. La sensibilité humaine est le principe d’où part la Tragédie ; le pathétique est le moye
t les fins qu’elle se propose. La malice naturelle aux hommes, est le principe de la Comédie : nous voyons les défauts de nos se
ns & ses idées aux mœurs de la Société ; où les préjugés sont des principes  ; où les usages sont des loix ; où l’on est conda
n ce qu’il remonte à la source des vices, & les attaque dans leur principe  ; le plus fort, en ce qu’il présente le miroir au
ne. Personne ne se corrige, dit-on encore. Malheur à ceux pour qui ce principe est une vérité de sentiment : mais si en effet le
26 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « Discours préliminaire. » pp. -
nssent toujours ? Ne leur mets-je pas plus vivement sous les yeux les principes qu’ils ne doivent jamais oublier ? En voyant alte
t la Nature. On a donc tort de composer des Drames qui s’écartent des principes reçus, puisque ces principes sont fondés sur ce q
e composer des Drames qui s’écartent des principes reçus, puisque ces principes sont fondés sur ce qu’éprouvent les hommes. On po
27 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
un grand avantage de ce qu’on y trouve trois des plus méchants de vos principes généraux. Le 1. renverse la plus certaine règle d
péché selon l’opinion contraire qui nous paraît plus probable. Le 2. Principe réduit à rien le plus grand de tous les commandem
tre damné, quand il aura eu besoin de se réconcilier avec Dieu. Le 3. Principe est directement opposé au soin qu’a pris M. le Ca
28 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71
XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. Par un principe en
XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. Par un principe encore plus universel, Platon trouvait tous les a
29 (1788) Sermons sur les spectacles (2) « Sermons sur les spectacles (2) » pp. 6-50
aujourd’hui du danger des spectacles profanes : nous n’avons point de principes communs d’où nous puissions partir ; & avant
ngereux plaisir, s’il y a déja germé ; ou augmenter l’horreur que les principes de la religion vous en ont déja donnée. Ave Maria
ne parle ici, mes Frères, que d’après vos propres aveux : éloigné par principes autant que par devoir & par bienséance de ces
est que trop vrai que nous portons tous dans le fond de notre cœur le principe & le goût de cette funeste passion. Mais ce p
les objets qu’on y voit, les discours passionnés qu’on y entend, les principes suborneurs qu’on y établit, soit qu’ils ne soient
une femme désespérée de s’être vu enlever l’objet de sa passion. Les principes de votre religion ne vous inspirent que l’humanit
es dont l’Evangile est la règle, dont la grace de Jésus-Christ est le principe , dont la gloire de Dieu est la fin. Sont-ce-là le
de toutes les passions qu’on y représente. Car, mes Frères, c’est un principe certain & fondé sur la nature même de notre c
our être moins apperçue. Cessez donc d’opposer votre expérience à des principes certains & incontestables : votre cœur bien a
30 (1715) La critique du théâtre anglais « PREFACE DE L’AUTEUR » pp. -
perdre tout à fait. Il n’est rien tel pour cela que de renverser les principes de conduite ; la pratique suivra à coup sûr ce re
la pratique suivra à coup sûr ce renversement : car n’avoir aucun bon principe , c’est n’avoir aucune raison d’être vertueux. En
31 (1823) Instruction sur les spectacles « Préface. » pp. -
est bon et même nécessaire d’avoir à opposer à leurs apologistes des principes certains et des raisons péremptoires qui les conf
re continuent à regorger de spectateurs, toujours est-il vrai que les principes qui y sont développés engageront quelques personn
32 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
euvent devenir très vicieuses par leur funeste application ; voilà le principe dans lequel je me suis renfermé pour montrer le d
suis renfermé pour montrer le danger de la Tragédie, et c’est sur ce principe que j’ai posé tous les fondements de ma Satirec.
lisser mon sentiment à la faveur du sien. J’en reviens toujours à mon principe , Monsieur, et ce principe est que tous les hommes
faveur du sien. J’en reviens toujours à mon principe, Monsieur, et ce principe est que tous les hommes tenant plus ou moins à la
33 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. — Du mandemant de Monseigneur l’Archeveque de Rouen. » pp. 379-401
e. Elle n’existe que par la Charte, et elle ne peut aller au-delà des principes politiques, consacrés par la Charte ; se tenir in
la Charte, dans l’esprit de sagesse et de religion qui en a guidé les principes , reconnaît le culte catholique, comme le culte do
de la monarchie et du monarque ; car la Charte, en reconnaissant les principes monarchiques et l’existence immuable de la légiti
pour le plus grand bien de la fin spirituelle. C’est de cet infernal principe qu’est née la doctrine impie du régicide que tant
34 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
la part de plusieurs Littérateurs distingués, qui, en adhérant à ses principes , l’ont loué de les avoir soutenus de la maniere l
p; suivre l’une & l’autre, ne peut se refuser à l’évidence de vos principes , & à la justesse des conséquences. On ne peut
35 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
ans la passion qui nous est représentée. Quels reproches d’après les principes de ce grand homme, n’aurions-nous point encore à
ons sont excitées par les maximes, ainsi que par les objets ; que les principes du Théâtre ne font que fortifier ceux qui sont si
36 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien cinquieme. Le danger de la Comedie en particulier, decouvert par le R. P. F. Guilloré de la Compagnie de Jesus. » pp. 67-79
somption, vouloir trouver sa seureté au milieu des écueils. C’est une principe universellement receu de l’Ecole, que, quand quel
n’ont rien, qui de soy-même ne donne quelque penchant au peché. Si ce principe donc, que j’ay avancé, est recevable, l’applicati
t du peché, qui se peut commettre en y allant, l’effet, qui part d’un principe , tenant toûjours de la nature de son principe. M
l’effet, qui part d’un principe, tenant toûjours de la nature de son principe . Mais la preuve de ce que je dis se fortifie bea
37 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « V. Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage.  » pp. 19-24
et en nourrissant de dessein prémédité la concupiscence qui en est le principe . On répond que pour prévenir le péché, le théâtre
la beauté, qui se termine au nœud conjugal. Du moins donc, selon ces principes il faudra bannir du milieu des chrétiens les pros
38 (1680) Entretien X. Sur la Comédie « Entretien X. sur la Comedie » pp. 363-380
loir trouver sa seureté au milieu des écüeils. §. III. C’est un principe universellement receü de l’Ecole, que, quand quel
n’ont rien, qui de soy-méme ne donne quelque penchant au péché. Si ce principe donc, que j’ay avancé, est recevable, l’aplicatio
nt du péché, qui se peut commettre en y allant l’effet, qui part d’un principe , tenant toûjours de la nature de son principe.
l’effet, qui part d’un principe, tenant toûjours de la nature de son principe . §. IV. Mais la preuve de ce que je dis se
39 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
médie pour les Spectateurs ; c’est la conséquence que vous tirez d’un principe aussi peu admissible qu’elle. Il n’est sûrement p
mique soit fondé « sur un vice du cœur humain »ck (sa malignité). Le principe et la conséquence sont aussi absurdes que le tari
le vice qui l’a fait naître. Celui des Précieuses par exemple, a pour principe l’orgueil qui fait gémir Cathos et Madelon de n’ê
gereux »dq  : votre conséquence tombe absolument. C’est le sort qu’un principe faux lui préparait et devait vous faire augurer.
de s’imaginer que les empressements de leurs Légataires aient d’autre principe que l’intérêt de ceux-ci. Quoique vous en disiez,
ou quatre c’était les réfuter tous, puisqu’ils partent tous d’un même principe dont j’ai prouvé la fausseté, en détruisant les c
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce principe que plus la Comédie est agréable et parfaite, plu
40 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
mes (Tacit. L. 1. Annal.). Quels exemples ne verraient-ils pas, quels principes ne prendraient-ils pas en si mauvaise compagnie ?
i a lu ces mémoires et en donne un extrait pour en combattre les faux principes . Je doute qu’on puisse écrire plus maussadement,
veur des Comédiens par la consultation, fondée uniquement sur de faux principes , avancés dans des Mémoires à consulter, et sur de
n assure que la consultation renferme en peu de mots la certitude des principes de l’Auteur du Mémoire, et qu’« elle couronne le
en assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs principes , et les autres seront charmés de s’y instruire. L
ur les Acteurs, ce n’est qu’un tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de fausses maximes, et de propos injurie
rimer, on reconnaissait cette pureté, cette tradition d’honneur et de principes qui distingue singulièrement le premier Barreau d
41 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien premier. Sentiment du reverend Pere Bourdaloue de la Compagnie de Jesus, touchant les Bals & les Comedies en general. » pp. 8-16
modi gaudiis ac fructibus veretur omittere. Et en effet, c’est de ce principe que naissent tous les jours les relachemens dans
intenant & parmi nous eussent sur la question, que je traite, des principes moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; &am
principes moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; & si ces principes étoient generalement & constamment suivi par
42 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
mœurs, ou le sentiment [ou la disposition de l’esprit] sont les deux principes des Actions. Ajoutez que c’est par ces deux chose
ut le monde, parce qu’elle épargne l’atrocité du crime. Mais dans les Principes d’Aristote, ce n’est point parce qu’elle épargne
tent la plus grande émotion ; c’est le but de la Tragédie : ainsi les Principes d’Aristote, pourvu qu’on y ajoute le Principe ind
a Tragédie : ainsi les Principes d’Aristote, pourvu qu’on y ajoute le Principe indispensable, de l’utilité des mœurs, sont les v
e Principe indispensable, de l’utilité des mœurs, sont les véritables Principes . La Tragédie étant destinée à être la peinture de
ne l’a point été dans ces deux Vers. Je reconnois donc la vérité des Principes d’Aristote, & j’avouerai même que suivant ses
érité des Principes d’Aristote, & j’avouerai même que suivant ses Principes , il ne faut mettre Athalie que parmi les Piéces d
Auteur comme le Législateur du Théâtre. On vient de voir que tous ses Principes conduisent à procurer la Tragédie la plus pathéti
doit toujours être joint à l’agréable. Horace le dit, & tous les Principes d’Horace sur la Poëtique, sont tirés d’Aristote.
halie ? Cependant il ne la faut placer qu’au second rang, suivant les Principes d’Aristote. On sait bien que la Pitié peut avoir
s prouvent, qu’après nous être fait pendant un tems de notre vie, des principes sur certaines matieres, qui nous paroissent certa
e tems de la vie, où nous voyons les choses d’un autre œil, ces mêmes principes nous paroissent faux, & la désobéisance de So
43 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
faciles à retenir. Qu’on ne craigne point de s’égarer en adoptant mes principes  ; les Grands-Hommes qui ont traité des règles du
d’éloges, je rapellerai à tous les Poètes dramatiques en général, les principes qu’ils ne doivent jamais oublier. Puisque le plan
44 (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238
ne école de politesse et de goût : mais sans nous prévenir contre ses principes , discutons-les de bonne foia. M. d’Alembert a pro
tre en paix avec elle-même ; qu’il y avait à Rome dans les esprits un principe de sédition, qui ne se dissipait que dans les fêt
té dans les Espagnols et devant les Français une opinion adhérente au principe fondamental de la monarchie. « Si les chefs-d’œu
ignons comme nos semblables ; et ce retour sur nous-mêmes, qui est le principe de la pitié, est aussi celui de la crainte. « La
ient suffire, ce me semble, pour déterminer dans son esprit les vrais principes des mœurs Théâtrales. Mais comme il n’en veut rie
forcé de mettre, dans la bouche des méchants, leurs maximes et leurs principes revêtus de tout l’éclat des beaux Vers, et débité
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce principe , que plus la Comédie est agréable et parfaite, pl
la n’est pas, de bonne foi, cette comparaison peut-elle être posée en principe  ? La laideur et la beauté sont arbitraires jusqu’
vrai ? Je lui réponds, exclusivement jusqu’à l’équivoque. Suivant ces principes , le Misanthrope doit n’user d’aucun détour, et di
tre la morale du Misanthrope et de tout le théâtre de Molière. Si les principes sont détruits, la conséquence tombe d’elle-même.
 ; mais cet objet céleste où se cache-t-il ? » M. Rousseau, selon ses principes , trouve si peu d’hommes de bien ! Il n’est pas ét
t ce que je voulais vous faire observer en passant. Mais revenons aux principes de l’honnêteté qui prescrit d’autres mœurs aux fe
se et raisonne ; qu’on lui donne un esprit ferme, une âme élevée, des principes et des vertus ? Et si les femmes s’offensaient qu
Quand on peint des femmes bien nées, il faut bien qu’elles aient des principes d’honnêteté, de vertu, d’humanité : la nature leu
de l’éducation : mais si M. Rousseau avait été moins éloigné par ses principes du commerce du monde et des femmes, il en aurait
e l’on s’échauffe l’imagination au point d’appliquer sérieusement les principes de Lycurgue à une ville industrieuse et paisible,
ux, et le Théâtre n’eut jamais de plus indulgente morale. D’après ces principes , j’ose assurer M. Rousseau, que l’amour honnête e
être aimé ? Vous reconnaîtrez, lui dirait-il, une femme honnête à ses principes , à ses sentiments, au caractère de son amour. Si
t ; mais aucun ne pardonnerait à Titus de cesser de l’être. C’est par principe qu’on l’admire, c’est par sentiment qu’on le plai
compose lui-même ce caractère détestable ; je ne lui oppose point son principe , que tout homme est né bon ; je veux qu’il y en a
time. » J’ai dit comment le théâtre répond à ces vues ; mais dans les principes de M. Rousseau, rien n’est plus rare qu’une femme
plaire, et de les rendre intéressants. Cet art est honnête, selon vos principes  ; mais comme je ne vous prends pas au mot, j’avou
y a d’autant mieux à présumer de sa conduite et de ses mœurs, que les principes et les sentiments dont elle est habituellement af
ent une représentation de Molière. » Il est, comme on voit, selon ses principes , dans le cas d’un homme qui aurait assisté journe
45 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
é & à la persuasion, opposons les notions, saisons contraster les principes , attaquons, ébranlons, renversons un tas d’opinio
ssière, en renvoyant à des sources pures & irréprochables, où des principes solides servent de base aux vérités opposées à ce
st présenté par Thémis même, ne peut être ni incertain ni éloigné. Le principe est vrai, il est sacré  : (aux Heb. 13. v. 8.) l
mblement (p. 30.) de vouloir bien considérer que leurs excès ont pour principe l’égarement de leurs esprits plutôt que celui de
t des pattes, & l’homme a des mains  ? Qu’il seroit ridicule… Le principe de cette infériorité  ! Puis donc que la Nature,
oudre capables d’écraser nos Théâtres sur lesquels (p. 3.) selon les principes d’une science mondaine, qui n’ont pour fondemens
nément, sans craindre leur dénonciation ! Mais (p. 10.) quel affreux principe  ! Que les conséquences en seroient funestes ! Q
s qu’ils nous causent à tous, ne peut que rendre plus insoutenable le principe maudit que l’on veut faire servir de base à nos T
it. Avec quelle facilité (p. 8.) ne pourroit-on pas composer sur ce principe ainsi entendu, un cathéchisme de probité, dont le
nos préposés à la Police nous dire en s’applaudissant d’après ce même principe , qu’il lui falloit fermer les yeux pour ne pas vo
de Jezabels, s’il n’y avoit point de Balaam ! Tout affreux qu’est ce principe si accrédité, on ne peut s’empêcher d’y reconnoît
ole ont donc étudié nos oracles ? Dans quelle source ont-ils puisé un principe si diamétralement opposé à ces maximes, & com
clairé par la lumière supérieure, & qui connoît la vérité par des principes certains. Soutenu au dehors par des témoignages q
 dont les lumières, l’exactitude, l’attachement & la fidélité aux principes de la Religion, aux maximes de sa morale & au
46 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
die. » Je ne crois pas que l’on puisse disconvenir de la vérité de ce principe  ; mais, soit dit avec tout le respect dont je sui
ait la grandeur de la Tragédie de Bérénice, il y a bien à rabattre du principe que l’Auteur établit dans sa Préface. M. Racine a
point se gêner, le Poète a suivi parfaitement la nature, et selon ce principe , il établit une maxime très capable de séduire et
ion et de conduite, que je me suis bien gardé de relever : suivant ce principe , je dirai librement ce que je pense sur l’Astrate
47 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
ourgeois va plus loin ; il étabit dans tout le chapitre 3, Liv. 2. un principe dont l’autorisation legale est un scandale, que
galimathias. Peut-on regarder comme accompli ce qui est nul dans son principe  ? Et la loi peut-elle jamais supposer accompli &a
le contrat de mariage, comme dans les autres contrats, roule sur des principes fort simples ; à droit égal de créancier à créanc
. Un Roi Pape, une Reine Papesse en Angleterre, pourroient dans leurs principes exercer cette autorité, puisqu’ils se disent Chef
théatre de Berlin & de Postdam, où il réunissoit ces trois grands principes d’irréligion. Dans le pays de Sans-Souci le lien
48 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
laît : sans droit, sans motifs, il exige une entiére soumission. Sans principe il veut nous instruire. Tel est un des premiers m
s remarqué à l’égard de Rodogune. Si le Comédien a quelque idée de ce principe , s’il exige qu’on s’y conforme souvent, il fera f
es chef-d’œuvres, & n’en ont jamais produits. Un Poëte occupé des principes de son art, ressemble à un grand Général, entouré
49 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
même point. Si sans attaquer a priori, comme on dit dans l’école, le principe sur lequel se fonde le ministre, on s’attachait s
abjuré. Beaucoup très certainement ignorent que telle est la base des principes qui leur ont été transmis et qui règlent leur con
t là le point capital, relativement à l’administration) que, dans les principes de l’Eglise gallicane, l’excommunication, fût-ell
50 (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32
nt pas aux saints Décrets. N’avons-nous donc pas lieu de conclure des principes mêmes posés par le prétendu Théologien ? III.
ni de scrupule à s’y trouver ». Il faut conclure au contraire de ses principes , que si des Prélats ont été à la Comédie, ils ont
ommis dans sa jeunesse. » Le prétendu Théologien devrait suivant ses principes traiter de scrupuleux M. Racine ; mais le monde e
avoir le plaisir de la Comédie. Qu’il est condamnable par ses propres principes , pour avoir prétendu justifier la Comédie contre
-on, y aller. Les plus pieux en effet en sont assez détournés par les principes du Christianisme ; et du temps du Louis XIV, ceux
51 (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227
oup, qui ne connaît que le sensible, qui n’a point été élevé dans les principes de raison, en sera ébloui, et deviendra esclave s
s Poètes n’en ont eu nullement l’esprit ? Eugene. On le ramènera aux principes sur lesquels ils raisonnaient, à cette confiance
inspire. Comme elle n’est fondée que sur de vaines idées, qui sont le principe de l’orgueil, elle l’augmente à proportion qu’ell
en ouvre le chemin ; et votre fils doit se contenter d’en savoir les principes généraux, sans vouloir creuser dans cette science
52 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
omique étant fondés sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce principe , que plus la Comédie est agréable et parfaite, pl
rande ville pleine de gens intrigants, désœuvrés, sans religion, sans principes , dont l’imagination dépravée par l’oisiveté, la f
conclusion positive me paraît hasardée. Qu’on la mette vis-à-vis des principes que j’ai rappelés sur les conditions d’une bonne
ques. XXXIII. « Chaque homme, chaque action a son prix ; » voilà leur principe  ; c’est le fondement de leur société. XXXIV. Preu
53 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
stices et d’excès, chercher le bonheur en détruisant ce qui en est le principe , acquérir des richesses, obtenir des places en do
de leurs vices, de leur langage, de leurs actions, les variations des principes et de l’esprit des sociétés ou des cercles et cot
théâtre dont la malignité est en effet le moyen ordinaire, souvent le principe , depuis long-temps a produit cet effet, en attira
54 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82
fermeté, accompagnent également le grand homme & le scélérat ; le principe qui fait agir ces deux caracteres opposés, les di
pe qui fait agir ces deux caracteres opposés, les distingue, & ce principe est toujours developé. Tout Auteur dramatique n’e
ysique, ils n’ont pas l’orgueil de croire remonter jusqu’aux premiers principes de tous nos sentimens ; ils n’accumulent point sa
e, qui seroit moins emporté par l’ardeur d’un zele estimable dans son principe , qui est l’amour de la vertu, mais inconsideré ;
ent de même âge, de même condition ; s’ils ne differoient pas par les principes de l’éducation primitive, & qu’il fût trahi p
atre représente toujours comme des monstres, qu’ils avoient puisé ces principes d’inhumanité ? Quelle morale de Tragédie avoit pû
e. La passion de l’amour tendant à une union légitime, eût alteré les principes de sagesse d’un peuple dont les jeunes gens alloi
, les Agis, les Leonidas, les Pausanias, &c ? Lycurgue outra les principes de sa législation, en donnant tous ses soins à pe
ement du cercle de nos idées. Tel est le privilege des arts, dont les principes sont dans tous les hommes, mais dont la faculté d
amnation rigoureuse prononcée contre un art, aussi estimable dans son principe , qu’avantageux dans ses effets. J’ose reclamer, e
55 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18
lui on s’estime heureux lorsqu’il espère de la posséder ? Le premier principe sur lequel agissent les Poètes tragiques et comiq
x que celui de la beauté même. C’est donc combattre les règles et les principes des maîtres, que de dire avec la dissertation, qu
56 (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610
is un peu fréquemment des digressions, afin d’avoir lieu de jeter des principes de mœurs, & de proposer des modeles pour tous
s de réserve à la fin du premier Volume, sous le titre de Preuves des Principes contenus dans les deux Lettres. Elles forment une
en rapporte plusieurs textes, & on les explique conformément aux principes de la saine morale, & aux regles de l’exacte
s loix de la morale chrétienne, pour en montrer l’opposition avec les principes du monde sur les Théatres, il ne se seroit fait l
se seroit fait lire que de ceux qui sont déjà bien convaincus que ces principes sont anathématisés par l’Evangile. Mais, en décou
ée de son Ouvrage, en l’annonçant comme un arsenal où l’on trouve des principes de mœurs pour tous les états, & de quoi dissi
sprez de Boissy combat le Théatre ; il s’attache particulierement aux principes philosophiques…. Ciceron, Seneque, Ovide, & u
st par la Philosophie même…. On trouvera dans cet Ouvrage d’excellens principes , & des raisonnemens très-solides, aux-quels l
ues & particulieres ; il s’est ménagé les occasions d’y jeter des principes pour les professions les plus intéressantes : tel
imens de l’Auteur. L’objet de cet Ouvrage exigeoit que la théorie des principes y fût fortifiée par l’expérience, c’est-à-dire, p
M. Desprez de Boissy, d’avoir profité de tout incident pour jeter des principes de mœurs pour les professions qu’il importe le pl
rnement ! M. de Boissy en a rapporté une suite de preuves ; & ses principes sur cet objet ont été loués par les Ecrivains pér
va le prouver le petit Poëme qui suit. Le Poëte y expose d’abord les principes qui doivent détourner de la fréquentation des Spe
adressée à cette occasion en 1694, & qui est intéressante par les principes qu’elle contient sur la condamnation des Spectacl
us envoie cette Notice, Monsieur, comme une justification de plus des principes que M. Desprez de Boissy a si heureusement souten
e d’une grande utilité pour les mœurs. Bien des gens attribuent à des principes trop austeres & outrés, tout ce que les Minis
out temps sur le danger des Spectacles. Il faut espérer que les mêmes principes établis par un homme du monde, qui montre une gra
qui montre une grande connoissance des Théatres, & qui appuie ces principes sur le témoignage des Philosophes de tous les tem
pour & contre les Théatres, par M. Desprez de Boissy. Les solides principes qu’on y trouve développés avec tant d’énergie, su
e ce que Ciceron renferme sous l’idée de l’honnête, c’est-à-dire, les principes qui doivent assujettir notre conduite à la raison
vous adresser ; j’ai seulement intention de vous faire confidence des principes qui me dirigent sur ces objets. Je vais d’abord v
de préjugés inspirés par des Précepteurs, étoient fondées sur de bons principes . Je n’ai pas pensé pour cela qu’il fallût commenc
es par la maniere dont elles sont présentées. C’est relativement à ce principe que j’ai cru ne pouvoir me permettre d’aller aux
ure toutes les vertus…. Vous arrivez dans le monde ; venez-y avec des principes  ; vous ne sçauriez trop vous fortifier contre ce
passions. On se trouve au sortir du College dans un monde où les bons principes qui nous ont été inspirés, ne sont pas fort accue
étonnant que les Spectacles ne puissent se concilier avec les grands principes de la Religion chrétienne. Le prétendu Poëte Phil
quelque passion ou par quelque foiblesse, dont l’excès est souvent le principe d’un ridicule qui les caractérise. Il n’est point
s d’à présent, une sage éducation, & l’exactitude à en suivre les principes , pourront en préparer pour l’avenir ». Ce même Or
ens sensés & instruits. Il faut au contraire se renfermer dans ce principe incontestable, qu’où les Loix du Royaume & de
écarter. D’ailleurs, re vincimus ipsâ. Ces idées sont fondées sur les principes de la plus exacte philosophie, puisqu’elles ne dé
tout entier aux penchans corrompus de son cœur ; qui attaque tous les principes reçus, tarit jusqu’au fond du cœur tous les senti
pénétré dans tous les états, dans toutes les conditions ; si tous les principes s’anéantissent ; si tous les sentimens se dégrade
 : Voilà le héros que la crainte de Dieu produit ». C’est d’après ces principes , Monsieur, que je vous ai si souvent entendu dire
acles. Comme cette réponse, qui a été imprimée, m’y fait soutenir des principes dont j’avois reconnu l’erreur, je me suis vu obli
uvrage de M. Desprez de Boissy. Pourquoi hésiterois-je à soutenir des principes qui tendent à rendre meilleurs les Citoyens, &
propre à fournir des armes défensives à ceux qui, étant dans de bons principes , sont souvent exposés à lutter contre ces tourbil
ce qui domine dans sa Lettre. On n’y trouve que les motifs & les principes qui ont déterminé son sentiment ; & il m’a pa
si nécessaire & si utile, ne doit avoir pour fondement & pour principe que l’amour des Lettres, & le goût du vrai. O
specter ses Lecteurs, ne prostitue point sa plume pour accréditer des principes faux & dangereux. Il n’affecte point de dépré
tôt la méthode des Scholastiques ; & pour en bien juger, voici un principe qu’il faut sçavoir. Ces Théologiens ne se content
des suppositions métaphysiques. Saint Thomas, par exemple, pose pour principe , que tout ce qu’on fait devant être réglé par la
mp; de leurs effets. Ce vénérable Cardinal rappella sur cet objet les principes de l’Eglise, que les abus avoient fait oublier ;
forcé de mettre dans la bouche des méchans leurs maximes & leurs principes , revêtus de tout l’éclat des beaux vers, & dé
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce principe , que plus la Comédie est agréable & parfaite,
villes ? Ce sont des gens intriguans, désœuvrés, sans religion, sans principes , dont l’imagination dépravée par l’oisiveté, la f
M. Marmontel appelle, un usage établi & une opinion adhérente au principe fondamental de la Monarchie, que Corneille a eu r
’extrême facilité de son esprit lui donna le moyen d’en apprendre les principes , comme en se jouant, & d’en tirer par les réf
le plus se piquer. « Tout homme de condition intimement pénétré de ce principe , est courageux, parce que ne craignant que Dieu,
oblesse n’offroit au service de l’Etat que des sujets élevés dans ces principes , la Patrie y trouveroit sa gloire & sa force 
qui entraîne, qui met sans cesse les penchans en opposition avec les principes . Ses plaisirs étoient la compagnie des hommes écl
, son désintéressement. Il ne faudroit qu’une génération imbue de ces principes , pour réparer tous nos maux…. L’Etat est accablé
ruines de la Religion un trône à cette Philosophie insensée dont les principes dégradent l’homme, avilissent son être, bornent s
uit en maximes toutes les conséquences qui résultent de ce monstrueux principe  ? Il sied à de pareils gens, qui travestissent le
ut occasion, en 1775, de faire imprimer un Mémoire instructif sur les principes de la discipline du Barreau. On y interdit aux Av
dé que les familles, les Villes & les Empires n’ont point d’autre principe destructif à craindre que la volupté, dont le reg
e saint Evangile que l’on professe de bouche, on devroit, suivant les principes des Déistes, respecter la Religion de la Patrie,
lle nous inspire, Des folles passions affermissent l’empire ; Par ses principes faux les crimes déguisés, Sous le nom de vertus s
détesta Le vol pernicieux dont l’essor l’y porta252. Je tiens à ces principes . Ils sont soutenus d’autorités imposantes, &
imitari turbas concurrentes. S. Aug. Je suis, &c. PREUVES DES PRINCIPES Contenus dans les deux Lettres précédentes.
tte & nourrit de dessein prémédité la concupiscence qui en est le principe . Vous direz, selon vos maximes, qu’on purifie l’a
tes ces raisons, & beaucoup d’autres. Que si on veut pénétrer les principes de leur Morale, quelle sévere condamnation n’y li
s ne connoissoient pas dans leur Nation : c’étoit assez d’établir les principes qui en donnoient du dégoût. Quoi qu’il en soit, c
avorable. Et je ne puis que je ne reconnoisse à ma confusion, que les principes & les preuves qui se trouvent dans la Lettre
tion ne peut être chrétienne, qu’elle ne puisse avoir la charité pour principe , & être rapportée à Dieu. A-t-on jamais été a
le rapporter à Jesus-Christ, & le faire pour sa gloire. Or sur ce principe le plus incontestable, le plus universellement re
i établit en effet la véritable force de l’esprit, ne sont-ce pas les principes , les témoignages, les autorités sur lesquels il s
clairé par la lumiere supérieure, & qui connoît la vérité par des principes certains. Soutenu au dehors par des témoignages q
uelle plus grande foiblesse que de vouloir être sans certitude sur le principe de son-être, de sa vie, de ses sens, de ses conno
e ; & la droiture de leurs sentimens leur a fait illusion sur des principes d’autant plus dangereux, qu’ils paroissoient tend
ur des Comédiens, par la Consultation, fondée uniquement sur les faux principes avancés dans deux Mémoires à consulter, & sur
n assure que la Consultation renferme en peu de mots la certitude des principes de l’Auteur du Mémoire315, & qu’elle couronne
en assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs principes , & les autres seront charmés de s’y instruire
ur les Acteurs. Ce n’est qu’un tissu de propositions scandaleuses, de principes erronés, de fausses maximes & de propos injur
, on y reconnoissoit cette pureté, cette tradition d’honneur & de principes qui distinguent singuliérement ce premier Barreau
ême objet les Réflexions les plus solides dans son Ouvrage intitulé : Principes de la Littérature. C’est assurément, dit cet ha
it avilir un Littérateur illustre, si l’on citoit la Religion pour le principe de ses démarches. On aime mieux en faire un homme
n’étoit point connue en France, seroit le complément des preuves des principes que nous avons soutenus dans nos Lettres. Nous de
le Latin n’est pas familier, en voici un Extrait qui en contient les principes essentiels. François del Monaco a divisé son Ou
24 de notre Histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres. Les principes que l’Auteur y soutient, sont conformes à ceux de
e foi que cette décision que nous venons de citer, est fondée sur des principes incontestables, & que les Ministres Ecclésias
iâ dignum caput. Paveant postremam illam vocem tuam cœterarum gentium Principes , ut quondam ad emortui penè cadaveris postremos n
olo Borromæo, p. par. Ubi de Histrionibus & Comicis, De his etiam Principes & Magistratus commonendos esse duximus, ut Hi
facere his videatur qui non prohibet cùm prohibere possit, quod ipsi principes & populi facilè præstabunt, si eos non recipi
lanensis Ecclesiæ, addidit etiam sanctissimè sanctissimus Carolus, ut Principes in caupones etiam acriter animadvertant si eos re
ter animadvertant si eos receperint. Postremum erit cùm id minimè per Principes sæculares fiet, penes quos est, pestes ejusmodi u
rouvé de moyen plus efficace pour graver dans l’esprit des hommes les principes de la morale & l’amour de la vertu. Et tout c
liés ». Il faut aujourd’hui recourir aux Payens, pour prouver que les principes de la Morale chrétienne sont naturels, vrais &
dans l’Histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres. 144. Principes & Magistratus commonendos esse duximus, ut Hi
nsabili delle loro cariche, sono costretti à seguitare la persona del Principe in ogni luogo, e conseguentemente ad assistere a’
miglia, o per lo servigio, che prestano ad altri, come i ministri del Principe , e i cortigiani, ei servitori, non può estendersi
ne, & s’accoutumer aux privations, en évitant le luxe, qui est un principe de corruption, & les plaisirs qui amollissent
57 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160
elques-uns ont de l’éducation & de la politesse, ils ont reçu des principes de religion & de vertu, qui se perdent bien-t
tout ce jargon diabollque qu’on n’oseroit proférer, si l’on avoit des principes d’honnêteté, n’y sont-ils pas familiers ? Les anc
Clergé de France, n’est pas suspect de cagotisme ; mais les premiers principes de la religion natutelle apprennent aux plus impi
n’ont jamais été ni pû être révoquées en doute. Ce sont les premiers principes de la morale, on ne fait point grace en y sousscr
ailleurs pour tout homme de bonne foi qui aime la chasteté ! Dans les principes de la religion & de la vertu on appelle licen
lement jusqu’à adopter un systême d’éducation qui choque les premiers principes de la religion & de la vertu. Voyez Mercure d
58 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128
comme dans le système des Péripatéticiens la privation est le premier principe des corps. Quoique Fagan ne dise rien que de triv
ue peut-il se donner pour un approbateur du théatre, lui qui dans les principes de Fagan ne pouvoit l’être sans se déshonorer, pu
âchés. Pour établir son corps de doctrine erronnée, Fagan avance des principes également faux ; 1.° le théatre est un danger ord
onnoît que la probité, on n’a parlé d’aucune vertu chrétienne. Autres principes aussi peu Catholiques. Il humanise la piété pour
Dans les délires de la jeunesse on se laisse entraîner à établir des principes qu’on n’a point. Un vers brillant décide d’une ma
59 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VIII. Des caractères & des Mœurs Tragiques. » pp. 131-152
ns à le déraciner ; c’est à eux à ramener leurs concitoyens aux vrais principes , au bon goût & à la raison. Telles sont les c
e ceux qui conviennent ; pourquoi chercheroit-on dans ces maîtres des principes sur cela ? Ne sait-on pas tout aujourd’hui sans r
les, étant les mêmes qui se commettent à l’égard des caractères ; les principes que nous avons donné pour ceux-ci doivent servir
60 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
e, qui se déguise mal et siège à Montrouge, etc., etc., a adopté pour principe invariable que l’autorité des rois est sur terre,
réclame en faveur des comédiens français, ne sont point contraires au principe de la liberté des cultes. Cette liberté reconnaît
61 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301
qu’on puisse être à leur égard. Madame Brute se conduit par d’autres principes  : Dans la Femme Provoquée.« La vertu, dit-elle, e
rencie. Puis donc qu’Horace demande que les Poètes se règlent sur les principes de la Morale ; sans doute qu’il exige d’eux que l
re essentielle du Poète est de réjouir. » Quand je conviendrais de ce principe , je ne sais si M. Dryden en serait beaucoup plus
t de force de raisonnement contre la licence du Théâtre. Il pose pour principe  : « Qu’il est impossible d’être bon Poète, sans ê
rrent dans des bornes qu’un Poète ne doit jamais franchir. Mais, quel principe que de prétendre établir pour base de la Comédie,
incipe que de prétendre établir pour base de la Comédie, le plaisir ? principe déraisonnable en soi et infiniment dangereux dans
ur se laver de ces reproches, est trop heureux d’abandonner enfin son principe . « De peur qu’on ne s’imagine, dit-il, que j’écri
62 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
prémier Concile de Milan, exhorte les Princes & les Magistrats, Principes & Magistratus &c. à chasser les Comédiens
ix-septieme siécle, qu’à la fin du seizieme. Aussi étoit-ce encore un principe certain alors, que tous les Comédiens étoient exc
ns distinction. François Delmonaco cité pag. 21, les suppose comme un principe incontestable. Ce qui prouve encore , dit-il, qu
& instruits, & qu’il faut au contraire, se renfermer dans ce principe incontestable, qu’où les Loix du Royaume & de
de ceux qui les récitent, & de ceux qui les écoutent Le prémier principe , sur lequel agissent les Poëtes tragiques & c
poet. versu 105. C’est donc combattre les régles de l’art, & les principes des maîtres, que de dire… Que le Théatre n’excite
moins le rapporter à J. C., & le faire pour sa gloîre. Or, sur ce principe incontestable de la morale Chrétienne, vous n’ave
ceux de leur tems. Ne pensez pas, qu’il y ait une différence dans les principes qui nous doivent actuellement diriger sur cet obj
est plus question de disputer, c’est au fidéle à obéir. Douter de ces principes , ce seroit ignorer les prémiers élémens du Cathéc
el bonos mores, nec tacet, nec facit, nec approbat Ecclesia. C’est un principe , dont tout Théologien instruit ne peut douter. Or
63 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
enchaînement continuel de preuves & de raisonnemens si suivis de principes en principes, & de conséquences en conséquenc
continuel de preuves & de raisonnemens si suivis de principes en principes , & de conséquences en conséquences, qu’un fam
quence, que la doctrine qui condamne les Théatres, est fondée sur des principes & sur des autorités auxquels il faut se soume
694. En voici les paroles : « Ces maximes & réflexions pleines de principes de religion, découvrent avec une entiere évidence
ernes, ouvrages de Législateurs qui n’ont pas toujours vécu selon les principes de la raison, mais aux Loix dictées par des homme
t rangé sous leur drapeau ; & pour preuve de son adhésion à leurs principes en faveur des Théatres, il donna en 1758 au Publi
personnes qui l’avoient écouté, c’est qu’il la fit naître des grands principes de morale qui doivent fixer notre conduite dans l
es ? On peut aisément deviner la réponse qu’y fait notre Auteur : des principes qu’il vient de nous exposer, il conclut qu’on ne
me un remede contre l’oisiveté de la jeunesse, & ses dangers. Des principes si relâchés forment une trop foible défense pour
en fit l’observation dans un Ecrit périodique106, où l’on releva les principes dangereux que contenoit un Edit qu’un Prélat, Gou
ification dans sa Cathédrale, il ne cesse d’exposer sur cet objet les principes qui ont toujours fait proscrire les Théatres, com
&, à cet égard, la Religion Chrétienne ne fait que fortifier des principes qu’une saine raison prescrit, & qui intéresse
, & qui intéressent le plus grand bien du Gouvernement civil. Ces principes se trouvent très-bien soutenus dans un sçavant Ou
on sentiment sur ce genre d’amusemens. Il y a déclaré que suivant les principes de S. Thomas, dont les Apologistes des Spectacles
de divertissemens. Ne pensez pas qu’il y ait une différence dans les principes qui nous doivent actuellement diriger sur cet obj
nde 118 : « On voit à Rome chaque nouveau regne y amener de nouveaux principes , & un nouveau plan de conduite. Chaque Pape t
avec l’intégrité & la pureté des mœurs. La Comédie contraire aux principes de la Morale chrétienne, 1754, par M. Mahy, Chano
s Farces, où en personnifiant des êtres métaphysiques, on mettoit des principes de morale en action. Il termine ce chapitre par l
u’il prononça dans une Assemblée académique, est établi sur les mêmes principes que celui du P. Porée, dont il a été ci-devant pa
le dessein général de la Piece étoit visiblement de décrier plusieurs principes & maximes du Christianisme ». Que n’emploien
n lui doit-on d’institutions raisonnables ! Que d’ordre, de regle, de principes , que toute la philosophie payenne, toute la sages
’état actuel de notre société. Tous les liens y sont rompus, tous les principes renversés. A force de généraliser la vertu, on pa
a paru en 1775, sous le titre de Devoirs du Prince réduits à un seul principe , ou Discours sur la Justice. Quelle sécurité ne d
ol. On y trouve au mot Spectacles, une suite méthodique des meilleurs principes sur cette matiere. De l’Education civile, par M.
ils commencent à le connoître & à se familiariser avec lui. « Ces principes de corruption reçoivent une nouvelle force des Sp
mieux réglés peut-être dans leur objet, mais aussi déréglés dans leur principe , & communément plus dangereux dans leurs suit
raphe ose abuser de la proposition de M. Bergier, jusqu’à en faire un principe pour établir la nécessité d’avoir des Spectacles
amp; pour lui porter nos vœux, nos prieres & nos sacrifices. Ces principes incontestables & précieux à conserver dans to
nc les sages conseils de M. de Bussy-Rabutin. Ils sont fondés sur des principes qui peuvent en général s’appliquer à tout ce qui
de Panthéon consacré aux plaisirs ». On trouve les influences de ces principes scandaleux dans un Ecrit qui parut en 1775, sous
jusqu’à se mépriser soi-même, amor Dei usque ad contemptum suî 225 ? Principe si fécond pour faire remplir noblement, généreuse
mes tarés, des femmes affichées, une foule d’êtres manqués, gens sans principes , sans caractere, des ames viles & noires, des
Les titres, les erreurs, les songes du monde n’ont jamais ébranlé les principes de religion que je vous connois depuis si long-te
le, quand on pense, que de voir sa conduite en contradiction avec ses principes , & de se trouver faux à soi-même & mal av
ans les délires de la jeunesse ; on se laisse entraîner à établir des principes qu’on n’a point, un vers brillant décide d’une ma
u, pour l’utilité des mœurs, pouvoir sauver de cette proscription les principes & les images d’une Piece que je finissois, &a
cette carriere, qu’avant de me désapprouver, il accorde un regard aux principes qui m’ont déterminé ; après avoir apprécié dans l
ire, & pour adorer avec une soumission fondée sur les plus fermes principes de la saine raison ? Comment immoler nos jours à
de tort ni d’injure à personne. Enfin j’ai suivi scrupuleusement les principes de la nature. Ne suffisent-ils pas pour la condui
rs décisions tranchantes, & prétendent nous donner pour les vrais principes des choses, les inintelligibles systêmes qu’ils o
oint user de l’autorité, où les loix peuvent agir ; voilà quel fut le principe invariable de son administration. Avec quel zele
’anarchie des opinions, qui produit l’anarchie des mœurs. Dès que les principes sacrés de la foi ont été ébranlés, on a vu les se
t-il donc pas d’arrêter la témérité de nos faux Philosophes, dont les principes renversent les qualités les plus essentielles pou
conduite, de prouver la vérité de ses dogmes par leur fidélité à ses principes , par des mœurs séveres, par la résidence dans leu
l’esprit des Lecteurs la séduction propre à masquer le faux de leurs principes , & le frivole de leurs méprisables difficulté
vancés, les ont fait passer plus ou moins rapidement, suivant que les principes de la Religion étoient plus ou moins gravés dans
ier celle de la Religion, malgré ses obscurités. L’Incrédule qui sans principes fronde la Révélation, en a-t-il donc une particul
itif, où l’on puisse asseoir une opinion propre à tranquilliser ; des principes sans consistance, incohérens, qui s’impliquent, &
n particulier sur celui de l’Opéra. Or voici ce qu’on y donne pour un principe général & commun à tout le genre dramatique :
erions insensibles aux plus tristes objets : si nous n’avions pas des principes secrets de l’harmonie, nous ne goûterions pas la
é publique tous ceux qui le professent véritablement277. C’est sur ce principe que Louis XVI a voulu que son Ordonnance du 25 Ma
gique de ce Réglement, « déclare être convaincu que si l’ordre est le principe de tout bien : c’est dans l’état Militaire qu’il
s Fermiers généraux des revenus publics, qu’on appelloit Mancipes, ou Principes Publicanorum, mais encore leurs Sous-Fermiers, qu
ns sa conduite & ses sentimens ; & il la perfectionna par les principes de la Religion Catholique à laquelle il fut toujo
re. Marian. de Rege & Regis instituti, lib. III, c. 15. 169. Les principes de M. de Montesquieu sur l’influence des climats,
. Et, dans sa Lettre au Roi, il représenta que l’inflexibilité de ses principes lui susciteroit des ennemis, & que le cri de
e & ceux qui ne peuvent se faire valoir que par-là, puisent leurs principes , leur morale, tout leur sçavoir & tout leur e
lon, & à respecter, comme lui, les droits de la vérité, & les principes du goût ».
64 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « [FRONTISPICE] »
ISPICE] Le Dictionnaire des cas de conscience décidés suivant les principes de la morale, les usages de la discipline ecclesi
65 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « [Épigraphe] » p. 2
[Épigraphe] « Quel renversement de principes , quel scandale pour les mœurs de voir des gens qu
66 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. »
III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. Ces principes posés, il s’agit à présent de prouver que la Comé
67 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
e & la folie, employant la raison à agir, même contre ses propres principes , & nous enseignant, pour ainsi dire, à dérais
langage qui leur est tout à-fait étranger, débitent sur la scene des principes dangereux, qui rendent à la perte de la vertu, do
te à celle qui demande, & elle a grand soin de faire adopter pour principe à ses galans, que rien ne doit coûter à celui qui
s peuvent-elles se passer autrement, entre personnes sans mœurs, sans principes , sans éducation, qui n’affichent pas moins, par l
avec orgueil sur la surface de la terre ? Cette fatuité, qui dans son principe ne paraît qu’un travers, digne, tout au plus, de
consiste à n’en avoir aucune ; ses mœurs sont toujours dissolues, ses principes pernicieux ; les vertus & les vérités les plu
s & ses travaux ; s’il est des hommes assez Egoïstes pour nier ce principe fondamental de la Société, ce sont des enfans ing
de ces Courtisannes qui sont sans préjugés, parce qu’elles sont sans principes , qui s’arrogent le titre d’honnête homme, parce q
ête, au moins pendant le Spectacle, au cas qu’il ne le soit point par principes , & que la personne qu’il y conduit soit de mœ
on totale. L’union sociale consiste sur-tout dans cette conformité de principes , d’inclinations & d’habitudes dans tous les m
se faire, par exemple, qu’un jeune homme ne prenne pas pour autant de principes sûrs & nécessaires, des propos obscenes &
rament, le caprice, l’exemple & les passions lui donnent…… Sur ce principe , un enfant accoutumé à être son propre maître, c’
lieux où l’on débite impunément leur affreuse morale, où leurs odieux principes circulent de bouche en bouche, sont reçus & a
des hommes bien intentionnés veulent les réformer44, on attaque leurs principes , on cherche à les rendre suspects ; les Etres obs
rement ou égare la multitude qui marche à sa suite, vient prendre ses principes , recevoir des exemples, contracter des habitudes.
saurait disconvenir que cet Ouvrage, rempli de vérités certaines, de principes excellens, d’observations judicieuses, ne contien
68 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179
s fêtes, ils doivent les respecter et s’abstenir du théâtre. » Sur ce principe on les obligeait de s’abstenir des œuvres servile
ien ; ils ne vont régulièrement à des exercices peu amusants, que par principe de piété, ils n’y font que de bonnes œuvres. Ceux
posée à la sanctification des fêtes ; la conséquence est évidente, le principe est certain et reconnu de tout vrai Chrétien. Auc
x bonnes œuvres, il devrait être interdit les jours de fête. Ce grand principe , faire le bien et fuir le mal, a surtout lieu ces
les, c’est celui de la religion. O vous à qui il reste encore quelque principe de piété, que le théâtre arrachera bientôt, si vo
69 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92
veut donner à sa Muse un air plus gracieux et plus noble. Et c’est un principe reçu dans le monde, qu’un défaut nous est d’autan
dans le monde. Par exemple, le petit peuple libertin et qui n’a aucun principe d’éducation, nulle idée de la bienséance, nul fon
rent ! quel crime même ! Car sur ce point, les usages du monde et les principes de la conscience, les règles de la politesse et l
n scandalisât la pudeur.Var. apud Nonium. Ils défendaient par le même principe le commerce du grand monde à celles qui n’étaient
ticulier et de personnel c’est la netteté du style ; ce sont certains principes , certains retours heureux de morale ; c’est l’art
dans les mœurs suit de la droite raison, comme la conséquence, de son principe . Lors donc que Phèdre se trouve l’esprit tout occ
tre les lois de la justice, à ce qu’il prétend, pour avoir débité des principes d’Athéisme, et s’être moqué de la Religion du pay
nce ? des distinctions du bien et du mal ? Un Sceptique ne connaît ni principes de conscience ni motifs de vertu ; il n’a ni crai
nt, il est en repos. A la vérité lorsque le libertinage s’établit par principes , il en plaît davantage pour l’ordinaire :Les Poèt
70 (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217
te pensée ne vous paroisse point outrée. Pourquoi, en effet, dans les principes du monde même, cesser de fréquenter le théâtre, e
’une action morale. Premiérement, Messieurs, il est certain, c’est un principe qui ne fut jamais contesté, qu’aucun motif, quel
en soi. Mais j’abandonne tout l’avantage que je pourrois tirer de ce principe , & je veux bien examiner en eux-mêmes les mot
elle est rigide cette morale. Aussi Tertullien supposoit-il, comme un principe incontestable, que la Religion chrétienne est dur
mp; conduit toutes les affaires ; vous la verrez représentée comme le principe de toutes les vertus, l’ame de tous les événement
mieux réglés peut-être dans leur objet, mais aussi déréglés dans leur principe  ; & communément plus dangereux encore dans le
71 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
nversement : systême aussi démenti par l’expérience que faux dans les principes de la foi. Un trait singulier dans cette piece, c
désordres, ou éteigne les feux d’une concupiscence que tout allume ! Principe inépuisable de péché. Il faut être en garde contr
autorisent. Celles des Romains, quoique souvent légères, avoient leur principe dans la pureté des mœurs. Sulpitius répudia la si
riage inspirent ces sentimens & ces idées ? en est-il qui sur ces principes puisse maintenir la bonne intelligence & ne s
s dans l’empire de la Chine, où le respect pour les parens est un des principes fondamentaux qui y maintient le bon ordre depuis
s avoir fait trois actes de respect : & chez une nation qui a des principes & une jurisprudence si rigoureuse, on applaud
72 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
re la cause de ce retardement, ils l’attribuent fort naturellement au principe général de toutes les actions de ce pauvre homme
présente très naïvement et très moralement la variété surprenante des principes d’agir, qui se rencontrent en ce monde dans une m
ce qu’ils devaient imiter. Ils allèguent des raisons admirables de ce principe , que je passe sous silence, de peur d’être trop l
répond divinement qu’« on est facilement trompé par ce qu’on aime ». Principe qu’elle prouve admirablement dans la suite par ex
rquoi il l’avait confiée à Panulphe, il répond que c’est encore « par principe de conscience » ; que Panulphe lui fit entendre q
ables effets de la corruption du siècle où nous vivons : c’est par ce principe de fausse bienséance qu’on relègue la Raison et l
tu, le fondement et l’âme de toutes les autres Vertus. Je sais que le principe que je prétends établir a ses modifications comme
en demeure pleinement convaincu. La raison de cela est, que selon mon principe nous estimons Ridicule ce qui manque extrêmement
utrui, qu’un sentiment passionné ; ce qui est peut-être le plus grand principe de la véritable Rhétorique ; aussi n’y a-t-il rie
u fond, enfin toute contrariété entre actions qui procèdent d’un même principe , est essentiellement ridicule. Or tous les galant
e aujourd’hui, qui sont ou traitées de bagatelles, ou réglées par des principes tout autres qu’il faudrait, que n’étant pas assez
73 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214
chiavel, avec plus d’art, d’ordre & de suite, a mis en système le principe général, plus politique que chrétien, que les pri
s lui doivent l’élévation de la seconde race, Louis XI en suivoit les principes , Catherine de Médicis les poussoit encore plus lo
nt pas les mêmes, mais c’est le même esprit la même fureur, les mêmes principes , les mêmes effets, par-tout un vrai Machiavélisme
un caractere caustique & malin qui l’embellissoit : il en fait un principe de la politique. La gravité, la modération, la dr
74 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
steurs ne cesseront jamais de tonner contre un abus si dangereux. Les principes qui les guident sont uniformes, et les conséquenc
eut partir que d’un cerveau troublé par de noires fumées. D’après des principes si sensés, quel est mon étonnement de lire dans u
le Service Militaire, et comme lui des lâches qui en abandonnent les principes et les maximes les plus essentielles. C’est donc
nt vous avouez, Monsieur, la barbarie, comme une opinion inhérente au principe fondamental de la Monarchie ? Et que répondront à
75 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « II. A quoi il faut réduire cette question. » p. 4
ener d’abord à la vérité par un tour plus court, c’est-à-dire par des principes qui ne demandent ni discussion ni lecture. Puisqu
76 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
ac fructibus veretur amittere. Tertullien Et en effet, c’est de ce principe que naissent tous les jours les relâchements dans
i maintenant et parmi nous eussent sur la question que je traite, des principes moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; et
des principes moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; et si ces principes étoient généralement et constamment suivis par la
u christianisme diminuer à proportion et s’affoiblir, que les heureux principes de votre premiere éducation se sont altérés, que
et qui va faire tout le fonds de cette seconde partie : c’est le jeu. Principe de mille malheurs, et passion que je ne puis trop
en, ou presque rien pour le jeu. Toutefois on veut jouer, et c’est un principe qu’on a tellement posé dans le systême de sa vie,
mblent des plaisirs si convenables et si légitimes. Ils posoient pour principe , qu’une jeune personne ne devoit jamais se produi
77 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
es Rituels, et des Lois civiles. D.a A juger d'un Chrétien par les principes que vous avez établis, quelle doit être sa vie ?
e ; ce sera votre esprit qui m'y conduira ; ce sera vous qui serez le principe de cette action ; c'est par votre Croix que vous
78 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
role royale et le vœu de la nation, et à rentrer de lui-même dans les principes de l’Evangile et dans les dogmes apostoliques, qu
e clergé et les jésuites eurent la criminelle audace de proclamer les principes subversifs de toute monarchie légalement institué
79 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
vos déclamations, que vous nous reprochez avec tant d’aigreur, est le principe ou l’occasion de vos jugements ainsi que des nôtr
eur plaira de me reprocher. 7. [NDA] Quoique contraires dans leurs principes , leur résultat se trouve le même : ces deux grand
80 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. Comparaison des Théâtres anciens avec les modernes. » pp. 2-17
; ils crurent devoir retenir quelque chose de l’Atellane ; et, sur ce principe , ils critiquèrent les vices qui dominaient dans l
epuis cette première espèce de correction jusqu’à présent. Suivant ce principe on a cru, en France, pouvoir conserver en partie
81 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre II. Charles XII. » pp. 32-44
c’est-à-dire, qu’il l’étendit à tout : il ne conserva de ses premiers principes que celui de la nécessité & prédestination ab
ion, étoit Schismatique Grec, & tout-à-fait intolérant contre les principes de la Philosophie. Leibnitz étoit un homme à syst
Monades, ou impies, comme son Optimisme & sa Théodicée, dont les principes conduisent à l’Athéisme. Charles n’avoit ni n’éto
82 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
édies modernes. Je viens de montrer qu’elle étoit conforme à tous les Principes établis pour la Tragédie par Aristote. Il auroit
les écrivant leurs Piéces devant les yeux, plus souvent que les vrais Principes de leur Art, & n’ont écrit leurs Reflexions q
érence ne se trouve en bien des choses. Toutes les deux ont les mêmes Principes , & le même but, qui est d’exciter la Crainte
83 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVI. Les pièces comiques et risibles rejetées par les principes du même Platon. » p. 64
XVI. Les pièces comiques et risibles rejetées par les principes du même Platon. La comédie n’est pas mieux trai
84 (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12
ue les pièces de Théâtre sont « horribles, étant considérés selon les principes de la Religion Chrétienne et les règles de l’Évan
lics, et que leurs ouvrages sont horribles étant considérés selon les principes de la Religion et les règles de l’Evangile ? Tout
qui est l’instruction des enfants, et qu’ils viennent tous d’un même principe qui est la charité. Vous voulez abuser du mot de
ui est une source de corruption, vous raillez la pénitence qui est le principe de la vie spirituelle, vous riez de l’humilité qu
gement des honnêtes gens, sont horribles, étant considérées selon les principes de la religion chrétienne, et les règles de l’Éva
85 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200
, je crois devoir recommander d’abord celui de cesser de condamner en principe , ou en théorie, ce que nous approuvons dans la pr
actuels, et les ordures ou farces et farceurs qui ont motivé dans le principe les monitions et les peines spirituelles, qu’il e
tournées à la jeunesse, lui apprennent à se jouer de la morale et des principes , ôtent peu à peu à la justice et à l’humanité leu
concours, les examens sévères sur les études et la capacité, sur les principes et la moralité, épreuves qu’ils font subir aux as
rs moyens respectifs d’instruction et de réforme, de coordonner leurs principes et réglements, leurs systèmes ou méthodes, et les
communautés respectives, et au plus haut degré actuellement, tous les principes , tous les motifs et moyens de l’émulation souvent
86 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
r loue des actions indifférentes en elles-mêmes, produites par un bon principe , et rapportées à une bonne fin : des actions que
rs celle qui est reçue parmi nous) n’est point indifférente, n’a pour principe que la corruption du cœur humain, n’a pour fin qu
lus possible qu’il agit en créature raisonnable. C’est précisément le principe des railleries que les hommes ont faites les uns
aut pas l’embarrasser. C’est assez qu’il ne puisse, sans démentir ses principes , refuser sa présence aux Spectacles, et la rétrib
e Théâtre, c’est par pure politique ; et si on le condamne, c’est par principe de Religion. Ce serait une chose étrange que l’am
ropos. On saura bien les guérir et les instruire en leur donnant pour principe que le Théâtre Français est épuré, qu’il est mora
87 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
seils qu’ils reçoivent. Quand les plus célébres Poëtes ont médité les principes de l’art toute leur vie ; quand ils ont passé les
c modestie, & que comme des doutes ; nous verrons des enfans sans principes , sans connoissances, s’abandonner à une yvresse a
88 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
ons de la Comédie Françoise : ainsi je dois leur donner pour appui un principe que vous ne puissiez contester. Le grand art des
le reméde est trop foible, & vient trop tard. Il ne manque à ces principes , Mademoiselle, qu’un petit détail ; on ne doit pa
89 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
r corruption ; et moi je lui répondrai que c’est précisément ce fatal principe qui a le plus nui jusqu’à présent à la religion e
qu’on doit aux bons prêtres. M. de Sénancourt ne sait donc pas que ce principe qu’il professe, se trouve inscrit positivement et
90 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
culer, de contraire à la volonté du prince et aux lois de l’Etat. Les principes qu’on vient de lire, qui découlent de la Charte,
à être soupçonné d’approuver et de recéler au fond du cœur, les mêmes principes et les mêmes doctrines abominables, qui causèrent
91 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
ennelle du Père Caffaro ? Il faut conclure nécessairement de tous les principes si solidement prouvés dans tous les Ouvrages dont
92 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3
lire par sa brièveté, des réflexions courtes, mais pleines des grands principes de la religion : par leur conseil, je laisse part
93 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137
XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. Par tous ces principes des saints pères, sans examiner le degré de mal q
94 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TABLE DES CHAPITRES. » pp. 3-4
amatiques entiérement chantés. CHAP. XI. Athalie conforme à tous les Principes d’Aristote, nous met-elle en état de disputer aux
95 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
recherche, on se peut souvenir que le premier a toujours eu quelques principes savants et singuliers pour le fondement des plus
96 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145
u donnera bénédiction à des alliances qui prennent leur naissance des principes si corrompus et si opposés à son esprit ? O aveug
97 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68
x d’exciter les passions qui plaisent ; auxquelles on peut étendre ce principe du même philosopheAristote, Politique, 8. 4. [Ari
98 (1694) Lettre à l’abbé Menard « Lettre LIII. De remercîment à M. l’Abbé Menard. Il y est parlé de quelques Ouvrages dont ont porte le jugement. » pp. 62-63
e la faire imprimer. Ces sortes de doctrines, quoiqu’appuyées sur les principes des Théologiens, peuvent ôter à des ames timorées
99 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VI. » pp. 98-114
LETTRE VI. MEs principes ont dû vous étonner, Mademoiselle, rien de plus n
le seule ils puisent la vraie grandeur. En conséquence de cet étrange principe , Cléopatre tient ce discours dans le Pompée de Co
100 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105
, qui peu à peu apprend à se jouer de toute sorte de religion. Sur ce principe , on ne doit jamais introduire des femmes de mauva
uvertement les loix & la pudeur. Le temple des chimeres avance un principe de morale absolument faux dans la Réligion chréti
téraire de cet ouvrage, en quoi il peut avoir raison ; mais encore du principe de morale & d’éducation qui met ces comédies
belle conversation à leur faire traduire & apprendre ; les beaux principes qu’ils débitent, les beaux artifices qu’ils ensei
s y penser sous la plume poétique de l’Auteur, a pris de fort mauvais principes sur la Réligion, qu’il réduit à la loi naturelle,
in tout Paris attiré. Esprit des Loix, L. 8. C. 7 (l’honneur.) Le principe de la Monarchie se corrompt encore plus, lorsqu’i
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