APITRE IV. Deux conséquences que les Pères de l’Eglise ont tirées des
principes
qui ont été établis ci-devant. Le but que se s
r et à éviter les personnes qui pourraient les y porter. C’est sur ce
principe
que sont fondées deux conséquences. La première e
és infâmes, comme ils sont, dit-il, il les faut chasser. C’est sur ce
principe
que le Concile de Paris, tenu en 829. sous Louis
es impudiques, « impudicos et histriones non nutrire. » C’est sur ce
principe
que Philippe Auguste les chassa de sa Cour les re
la sagesse et la religion commandent si fort d’étouffer. C’est sur ce
principe
que le grand saint Louis les chassa de sa Cour, h
assa de sa Cour, histriones aula exegit, dit Paul Emile. C’est sur ce
principe
que saint Charles Borromée témoigne dans un de se
ctatorum mores accommodatis, sordidum quæstum faciunt ». C’est sur ce
principe
que le Jésuite MarianaMar. de Rege et Regis insti
sion. La deuxième conséquence que les Pères de l’Eglise ont tirée des
principes
qui ont été ci-devant établis, c’est qu’il n’est
ontains l’ont obscurcie par des sophismes captieux, et ont adopté des
principes
basés sur l’injustice la plus révoltante et la pl
rminatoires, qu’il a lui-même aidé à leur institution, et que dans le
principe
de la création des comédiens du troisième âge, le
ire des peuples de la chrétienté. Le péril est toujours imminent. Les
principes
anarchiques du fanatisme religieux, font des effo
en même temps pénétrer en France, elle cherche à y propager les mêmes
principes
, le même esprit, et y exciter les mêmes désordres
sobéissance et la résistance aux autorités légitimes, et y répand les
principes
abominables du régicide. Parmi ces livres détesta
elle a obtenu des lois qui portent l’empreinte bien caractérisée d’un
principe
inquisitorial. C’est ainsi que pour le malheur de
a rebelle à la loi d’état et par conséquent digne de mort. Tel est le
principe
atroce de l’inquisition religieuse, que les jésui
démontrer les vérités de la religion chrétienne, par une pétition de
principe
, il en avait plutôt affaibli les preuves, s’il ét
tre auteur, très probablement, ignore ce que c’est qu’une pétition de
principe
, et néanmoins, il a la témérité de se mesurer ave
le monde sait, ou doit savoir, qu’en logique, on appelle pétition de
principe
, la supposition pour vrai, de ce qui n’est qu’en
iver à ses fins, ne recule pas, lorsqu’il faut fouler à ses pieds les
principes
de la religion chrétienne, et les maximes de l’év
uste titre, d’être poursuivi par un réquisitoire, comme contenant des
principes
dangereux et véritablement nuisibles à l’Etat et
onque se refuse à croire des mystères et des dogmes révélés. Ce fatal
principe
d’intolérance fanatique et cruelle, que des gouve
tyrannie la plus odieuse. Ceux-là qui adoptèrent et prêchèrent un tel
principe
, abusèrent des religions et s’en servirent comme
doptant l’immoralité politique, appelée aussi machiavélisme, comme un
principe
nécessaire pour gouverner. L’autorité s’est abusé
clusivement de l’éducation de la jeunesse, la secte jésuitique a pour
principe
de refuser la connaissance des sciences à la clas
aîtres. Leurs élèves trop dociles, lorsqu’ils sont bien imbus de faux
principes
et de doctrines détestables, deviennent également
intolérants en religion comme en politique. Ils sont démoralisés par
principe
; ils se persuadent que tous les crimes du machia
à ne jamais s’en faire aimer ? Le souverain qui adopterait de pareils
principes
n’obtiendrait jamais l’affection de ses sujets, e
ne peut produire que du mal, et tous les raisonnements contraires aux
principes
de philanthropie ne sont que des paradoxes. Je le
n des jésuites et de ceux de leurs élèves qui sont fortement imbus de
principes
jésuitiques contre le développement des sciences,
x-mêmes la légitimité de leur autorité. Il est temps de repousser les
principes
dangereux de ces hypocrites incorrigibles, qui ca
des lois inquisitoriales toujours odieuses et toujours basées sur un
principe
d’injustice. Il faut s’abstenir de toutes ces mes
er et régulier. Il est temps de réformer les mœurs, le langage et les
principes
des prêtres fanatiques qui, en divers pays, et pr
tion, à la rébellion et à l’anarchie. Il est temps qu’il proclame les
principes
qu’il professe lui-même, sur la ligne de démarcat
tion formelle de remplacer l’inquisition. Ils en héritèrent les mêmes
principes
, et se rendirent coupables des mêmes excès et des
qu'il a aimé, et que nous haïssons ce qu'il a haï. Et comme il est le
principe
de toutes nos bonnes œuvres, et que la grâce par
e ; ce sera votre esprit qui m'y conduira ; ce sera vous qui serez le
principe
de cette action ; c'est par votre Croix que vous
rir à Dieu, toute action dont l'esprit de Jésus-Christ n'est point le
principe
, toute action que l'on ne saurait faire pour lui
Les titres, les erreurs, les songes du monde n’ont jamais ébranlé les
principes
de Religion que je vous connois depuis si long-te
le, quand on pense, que de voir sa conduite en contradiction avec ses
principes
, & de se trouver faux à soi-même & mal av
ans les délires de la jeunesse ; on se laisse entraîner à établir des
principes
qu’on n’a point ; un vers brillant décide d’une m
u, pour l’utilité des mœurs, pouvoir sauver de cette proscription les
principes
& les images d’une pièce que je finissois, &a
cette carrière, qu’avant de me désapprouver il accorde un regard aux
principes
qui m’ont déterminé. Après avoir apprécié, dans s
oire & pour adorer avec une soumission fondée sur les plus fermes
principes
de la saine raison ? Comment immoler nos jours à
si c’est chez les Grecs qu’il faut nécessairement chercher les vrais
Principes
de la Poësie Dramatique, & si ces mêmes Princ
rcher les vrais Principes de la Poësie Dramatique, & si ces mêmes
Principes
ont été également suivis par les autres Nations q
la Tragédie, lui a été rendue par Athalie, Piéce conforme à tous les
Principes
d’Aristote, comme je le prouverai. Cette Piéce, q
eur des Comédiens par la Consultation, fondée uniquement sur les faux
principes
avancés dans deux Mémoires à consulter, & sur
n assure que la Consultation renferme en peu de mots la certitude des
principes
de l’Auteur du Mémoire, & qu’elle couronne l
n assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs
principes
, & les autres seront charmés de s’y instruire
ur les Acteurs. Ce n’est qu’un tissu de propositions scandaleuses, de
principes
erronés, de fausses maximes & de propos injur
, on y reconnoissoit cette pureté, cette tradition d’honneur & de
principes
, qui distinguent singulierement ce premier Barrea
n générale, en disant que ces sentimens sont une suite nécessaire des
principes
de la Religion Protestante : que, si les Ministre
nnant à leurs paroles des interprétations forcées, en tirant de leurs
principes
des conséquences odieuses qu’ils désavouent ; Mrs
nnant à leurs paroles des interprétations forcées, en tirant de leurs
principes
des conséquences odieuses & fausses qu’ils dé
, sans cependant nous croire obligés d’adopter servilement tous leurs
principes
. En agissant ainsi, nous tâchons, autant qu’il no
rce qu’on ne sauroit le prouver par une démonstration géométrique. Ce
principe
une fois posé, il nous suffit d’être convaincus d
is parmi les hommes qui se sont toujours montrés le plus pénétrés des
principes
de ce gouvernement ; et pour les y attacher davan
inuité et la stabilité dépendent entiérement du maintien de ces mêmes
principes
. Ces précautions ne suffisent pas encore ; et mal
mmune ; la soumission aveugle au despotisme des rois y est réduite en
principes
, et fortifiée par des exemples ; on y déploie tou
au théâtre, l’esprit de curiosité a plus fait que la connoissance des
principes
. Les comédiens Français ont donné Marie de Braban
s instigateurs de la St. Barthelemy. La lutte des préjugés contre les
principes
a été longue et vive10 ; mais enfin, sans se rend
liciste, il a moins considéré le grand intérêt de la conservation des
principes
qui tiennent à notre liberté, que son amour pour
on y distingue que les commissaires ont déjà établi quelques-uns des
principes
relatifs à la liberté du théâtre, en déclarant qu
as osé les attaquer. Ces considérations m’ont engagé à développer les
principes
que je crois les seuls admissibles, sur la libert
lever un théâtre, tous les autres hommes ont donc le même droit. Ces
principes
ne sçauroient être contestés par personne ; mais
loi, est permis par la loi. Ainsi, en s’attachant rigoureusement aux
principes
, il demeurera démontré que tous les hommes, étant
e boutique, d’exploiter une mine, d’établir une manufacture, etc. Ces
principes
sont incontestables, il ne s’agit donc plus que d
équent une loi qui détermine cette peine. Il suffit donc d’établir le
principe
pour démontrer, que la liberté du théâtre ne peut
les objections banales que l’on peut faire contre l’application de ce
principe
. On avance d’abord que les spectacles ne pouvant
ne s’essayer que dans l’un de ces genres. Il auroit fallu, d’après ce
principe
, empêcher Racine de donner les Plaideurs ; Cornei
le vraiment libre. M. de Chenier a établi, à ce sujet, les véritables
principes
dans son Traité de la liberté du théâtre, et dans
ition ? est-il question d’exemples et de citations, quand il faut des
principes
. La liberté du théâtre est une liberté, et la vio
un coup d’œil sur le Portugal, on y voit encore les traces des mêmes
principes
du fanatisme monacal et jésuitique. L’ultramontan
t, comme en Espagne, dans une attitude honteuse, qui accuseraient les
principes
de ceux qui les ont envoyées. De braves militaire
gouvernement anglais qui, tous les jours, déploie de plus en plus les
principes
d’une politique sage, éclairée et morale, qu’étai
s d’état y sont réduits à la dure nécessité de mettre en pratique les
principes
de corruption, qui sont si bien établis dans les
, leurs écrivains soudoyés, leurs gazetiers salariés, tous d’après le
principe
d’hypocrisie dont ils sont prédominés, semblent a
oit-on pas d’Amis de la religion et du roi, qui ne professent que des
principes
anti-chrétiens et régicides ! Si on jette un coup
utes les Saint-Barthélemy religieuses et politiques. C’est d’après ce
principe
si odieux, qu’un jeune étudiant irréprochable, fu
fusil tiré au hasard, qui aurait pu tuer tout autre individu. Le même
principe
encore, fit mitrailler le peuple à Cadix et massa
pour la défense du jésuitisme impur. Il déshonore ses écrits par des
principes
anarchiques en politique et par des doctrines dan
e ; généreux par intérêt et spoliateurs par inclination, ils ont pour
principe
de partager les dépouilles de leurs victimes avec
ce que après la révolution funeste que la France a éprouvée, tous les
principes
de morale se trouvant bouleversés et anéantis, il
ssement, à leur propagation. La religion chrétienne renferme dans ses
principes
, dans ses éléments, tout ce qui mène l’homme au b
aient nécessaires aux autres hommes ; comme Dieu il a offert, par les
principes
qu’il a tracés, les moyens de trouver le bonheur
exte de ces canons, que l’Eglise, qui a dû se montrer sévère dans les
principes
de son institution, à l’égard des fidèles qui sui
rs droits, les ministres de la religion, qui s’écartent eux-mêmes des
principes
voulus et tracés par les conciles, ne montreraien
sentiment pur, par un enthousiasme qui tient de l’instinct, suit les
principes
de son art, quoique leur influence soit insensibl
s vrais génies ont moins besoin d’être instruits qu’aiguillonnés. Les
principes
ne leur disent que ce qu’ils sentent, & ne so
Les siécles qui servent d’époque à la décadence du goût, abondent en
principes
, & manquent de bons ouvrages. C’est que la gl
la derniere évidence, la littérature est innondée de traités sur les
principes
. Il n’y a guère d’année où on ne publie une nouve
as laisser néanmoins de faire voir aux chrétiens, qu’elle fournit des
principes
d’où l’on tire sa condamnation par des conséquenc
étaient pas mêmes marquées précisément. La Religion chrétienne a des
principes
fertiles, qui produisent une infinité de conséque
es dispositions interieures, soit pour les devoirs exterieurs, et ces
principes
sont renfermés dans la sainte Ecriture, que Dieu
qu’elles en seront frappées ? D’abord, arrêtons-nous un instant aux
principes
et aux maximes de l’antiquité païenne. L’an 400 d
5. Pour ceux auxquels la Religion se fait encore entendre, voici les
principes
d’après lesquels ils pourront se juger. I. L’Evan
d, leur permettent un genre de plaisir formellement opposé à tous les
principes
de la Religion et de la saine Morale. 2.° S’ils p
rapporter à Jésus-Christ, et le faire pour sa gloire » « Or, sur ce
principe
, le plus incontestable, le plus universellement r
t la conduite et les mœurs manifestèrent toujours son attachement aux
principes
du Christianisme, se sentait vivement animé contr
ni, célèbre acteur du Théâtre italien de Paris, auquel il renonça par
principe
de religion, convient, dans l’un de ses ouvrages
r les germes de leurs passions, et les familiariser avec le vice. Ces
principes
de corruption reçoivent une nouvelle force des Sp
le, quand on pense, que de voir sa conduite en contradiction avec ses
principes
, et de se trouver faux à soi-même, et mal avec so
que j’ai pris ; qu’avant de me désapprouver, il accorde un regard aux
Principes
qui m’ont déterminé. Après avoir apprécié, dans l
t forcé de mettre dans la bouche des méchants, leurs maximes et leurs
principes
, revêtus de tout l’éclat des beaux vers, et débit
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce
principe
, que plus la Comédie est agréable et parfaite, pl
villes ? Ce sont des gens intrigants, désœuvrés, sans religion, sans
principes
, dont l’imagination, dépravée par l’oisiveté, la
ait citer ; à ce sujet de terribles exemples. 39. C’est d’après ces
Principes
, que les Spectacles ont été proscrits à Genève, à
il faudroit leur en inspirer pour les vices. Qu’on analyse d’après ce
principe
, la plupart de nos Comédies, & l’on en tirera
e que spécieuse. Pour la résoudre, il est à propos de se rappeller le
principe
que j’ai établi ci-dessus, savoir que la Comédie
eur a fait contracter, & d’examiner quelques Comédies d’après les
principes
constitutifs de son essence, j’espere après cela,
ne application par rapport à la Comédie. Reprenons en peu de mots les
principes
que nous avons exposés ci-dessus. Le but de la Co
e figure je crois que fera la Comédie, si on la travaille d’après mes
principes
; je réponds qu’elle tiendra dans l’esprit des ge
doit se proposer. Quand dans une question quelconque, on a établi un
principe
vrai ou supposé tel, toutes les questions qui nai
les questions qui naissent de la premiere, doivent se résoudre par le
principe
établi au commencement ; cette méthode synthétiqu
pour donner la solution de cette seconde question de se rappeller le
principe
établi au commencement de ce discours. Le but de
ce qu’au ridicule du vice, c’est-à-dire, toujours suivant mon premier
principe
, s’il s’est plutôt attaché à inspirer de l’horreu
t peu. Je ne vois dans Moliere qu’une Comédie traitée selon les vrais
principes
, c’est celle de l’Imposteur. J’en appelle au témo
nsi dire, hors d’elle-même, ne réfléchit plus ; loin de combattre ces
principes
vicieux, elle s’y abandonne sans résistance, se c
y puise, et se trouve naturellement disposée à agir en conformité des
principes
coupables qu’elle a puisés. « Dieu ne nous imput
Les maximes impies qu’elles renferment tendent à inoculer de mauvais
principes
aux hommes et à affaiblir en eux ce respect et ce
passions qui sont mises en jeu sur la scène, si nous n’avions pas les
principes
d’une corruption intérieure qui se trouve flattée
c’est qu’il y a quelque chose dans notre nature qui répond à tous ces
principes
de vice. « Vous reconnaissez que Dieu vous ordon
us haute importance de préserver purs et sans tache, les mœurs et les
principes
de la génération naissante. Nous devons empêcher
exposer à l’influence de semblables tentations, et notre vertu et nos
principes
; tentations les plus dangereuses de toutes, parc
n leur dira qu’on peut profiter à l’école du théâtre, et y puiser des
principes
de religion et de morale ; on leur parlera encore
es de Jésus-Christ, que nous venons de citer plus haut, que réside le
principe
de l’abominable doctrine des régicides. Telle est
tiquement ! Cette société à jamais déshonorée par l’immoralité de ses
principes
et par la doctrine du régicide qu’elle prêcha aud
contrainte, les pratiques religieuses, ils mettraient en action leur
principe
favori, que la religion ne peut se soutenir que p
en résulteraient-ils pas dans l’ordre social, et toujours, d’après ce
principe
affreux que nous venons de citer, que c’est par l
plus loyaux souverains, n’adoptera jamais une loi de tendance dont le
principe
est incontestablement inquisitorial. Mieux vaudra
illeurs que de telles manœuvres, ont été commises par l’influence des
principes
du jésuitisme, qui enseignent que tout est permis
nture. Il« Cælare, pingere sciebat Nero ; sed hæc puerilia et indigna
Principe
. » y a je ne sais quoi de trop vil et de trop bas
Astrologues prétendent qu’ils ne se peuvent tromper, parce que leurs
principes
sont infaillibles, qu’ils s’élèvent au-dessus du
ernité. « Cælare, pingere sciebat Nero ; sed hæc puerilia et indigna
Principe
. » « Modulatricibus a quis constitit Deo mundus.
ertir de ce qui se passe hors d’elle. On concevra aisément d’après ce
principe
, qu’une instruction mise en action, c’est-à-dire,
t point les mêmes vérités dénuées du secours de la représentation. Ce
principe
nous conduit donc naturellement à reconnoître l’u
tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les
principes
de ce philosophe. Par ce moyen il poussait la
osophe. Par ce moyen il poussait la démonstration jusqu’au premier
principe
, et ôtait à la comédie tout ce qui en fait le pla
de faux et d’imposture dirigée contre M. le curé Magnin. Page 111 Le
principe
pernicieux qui consiste à ne point divulguer les
if des richesses est la source du fanatisme des prêtres. Page 194 Les
principes
anarchiques du fanatisme religieux qui désolent a
ge 201 L’auteur du livre des Crimes de la presse professe les affreux
principes
de l’horrible inquisition. Page 202 A l’exemple d
les preuves de la religion, s’il était possible, par une pétition de
principe
. Page 204 L’auteur du livre des Crimes de la pres
es Crimes de la presse paraît ignorer ce que c’est qu’une pétition de
principe
. Page 204 Définition d’une pétition de principe.
st qu’une pétition de principe. Page 204 Définition d’une pétition de
principe
. Page 205 L’auteur du livre des Crimes de la pres
moque également de la religion, comme de l’art de raisonner. Page 206
Principes
de la secte ultramontaine, qui considère que la r
preuve : en est-on au reste capable ? C’est une autre affaire. Sur ce
principe
, permettez vous, Mademoiselle, à un Écrivain obsc
le procès à l’erreur, il n’y a donc aussitôt qu’à s’élever contre ce
principe
ingénieux en général qui sçait tout transformer :
n’est pas à beaucoup-près à nos yeux aussi relevé : la nature est un
principe
éminent & fécond par lui-même ; l’art au cont
lairé est souvent la dupe de lui-même : on s’attache volontiers à ses
principes
, on tient naturellement à ses maximes ; par consé
la vertu son abus. Toute action d’éclat dont la vanité souvent est le
principe
& l’objet ; où bien un systême de conduite im
’établissement dans tous les endroits où il n’y en a pas, du moins un
principe
de considération puissante dans ceux où il y en a
ppliquer l’esprit, qu’on lui offre des maximes, qu’on lui propose des
principes
; qu’on mette un certain ton de solidité à la con
ils en sont au contraire l’abus & l’inconvénient. La vertu est le
principe
essentiel & dominant du gouvernement républic
ît les passions. L’esprit pur, le goût, l’imagination, sont les seuls
principes
appellés aux Spectacles des beaux Arts ; & si
us relevés, les traits plus frappés ; les caractéres plus grands, les
principes
plus beaux, les maximes plus délicates ? J’en att
sse & de vérité dont elles sont susceptibles, le goût n’est qu’un
principe
équivoque capable de délire & jamais d’enthou
. La morale enfin n’est pas sans intérêt aux Spectacles en ce que les
principes
& les maximes qui s’y débitent, respirent tou
un Spectateur assez absurde pour aller prendre des incidens pour des
principes
, des traits détachés pour des maximes, des pensée
orte, comme il est, dans les Piéces, s’élever au point d’étouffer les
principes
étrangers, auxquels il ne sert que de contraste &
trait à raison de sa finesse flate & recrée ; mais quel en est le
principe
& la cause ? C’est beaucoup moins l’objet, qu
olontiers & croit même qu’il importe à sa gloire de s’en faire un
principe
: on se montre au moment du Spectacle, insensible
faisant paroître au grand jour & avec applaudissement ce que les
principes
d’une bonne éducation ne permettent pas même d’en
soutenir, c’est combattre les régles des grands maîtres. « Le premier
principe
, ajoûte-t-il ; sur lequel agissent les Poëtes tra
imple Dialogue. Elle diffère particulièrement de la Tragédie dans son
principe
, dans ses moyens & dans sa fin. La sensibilit
ipe, dans ses moyens & dans sa fin. La sensibilité humaine est le
principe
d’où part la Tragédie ; le pathétique est le moye
t les fins qu’elle se propose. La malice naturelle aux hommes, est le
principe
de la Comédie : nous voyons les défauts de nos se
ns & ses idées aux mœurs de la Société ; où les préjugés sont des
principes
; où les usages sont des loix ; où l’on est conda
n ce qu’il remonte à la source des vices, & les attaque dans leur
principe
; le plus fort, en ce qu’il présente le miroir au
ne. Personne ne se corrige, dit-on encore. Malheur à ceux pour qui ce
principe
est une vérité de sentiment : mais si en effet le
nssent toujours ? Ne leur mets-je pas plus vivement sous les yeux les
principes
qu’ils ne doivent jamais oublier ? En voyant alte
t la Nature. On a donc tort de composer des Drames qui s’écartent des
principes
reçus, puisque ces principes sont fondés sur ce q
e composer des Drames qui s’écartent des principes reçus, puisque ces
principes
sont fondés sur ce qu’éprouvent les hommes. On po
un grand avantage de ce qu’on y trouve trois des plus méchants de vos
principes
généraux. Le 1. renverse la plus certaine règle d
péché selon l’opinion contraire qui nous paraît plus probable. Le 2.
Principe
réduit à rien le plus grand de tous les commandem
tre damné, quand il aura eu besoin de se réconcilier avec Dieu. Le 3.
Principe
est directement opposé au soin qu’a pris M. le Ca
XIX. Autre
principe
de Platon sur cette matière. Par un principe en
XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. Par un
principe
encore plus universel, Platon trouvait tous les a
aujourd’hui du danger des spectacles profanes : nous n’avons point de
principes
communs d’où nous puissions partir ; & avant
ngereux plaisir, s’il y a déja germé ; ou augmenter l’horreur que les
principes
de la religion vous en ont déja donnée. Ave Maria
ne parle ici, mes Frères, que d’après vos propres aveux : éloigné par
principes
autant que par devoir & par bienséance de ces
est que trop vrai que nous portons tous dans le fond de notre cœur le
principe
& le goût de cette funeste passion. Mais ce p
les objets qu’on y voit, les discours passionnés qu’on y entend, les
principes
suborneurs qu’on y établit, soit qu’ils ne soient
une femme désespérée de s’être vu enlever l’objet de sa passion. Les
principes
de votre religion ne vous inspirent que l’humanit
es dont l’Evangile est la règle, dont la grace de Jésus-Christ est le
principe
, dont la gloire de Dieu est la fin. Sont-ce-là le
de toutes les passions qu’on y représente. Car, mes Frères, c’est un
principe
certain & fondé sur la nature même de notre c
our être moins apperçue. Cessez donc d’opposer votre expérience à des
principes
certains & incontestables : votre cœur bien a
perdre tout à fait. Il n’est rien tel pour cela que de renverser les
principes
de conduite ; la pratique suivra à coup sûr ce re
la pratique suivra à coup sûr ce renversement : car n’avoir aucun bon
principe
, c’est n’avoir aucune raison d’être vertueux. En
est bon et même nécessaire d’avoir à opposer à leurs apologistes des
principes
certains et des raisons péremptoires qui les conf
re continuent à regorger de spectateurs, toujours est-il vrai que les
principes
qui y sont développés engageront quelques personn
euvent devenir très vicieuses par leur funeste application ; voilà le
principe
dans lequel je me suis renfermé pour montrer le d
suis renfermé pour montrer le danger de la Tragédie, et c’est sur ce
principe
que j’ai posé tous les fondements de ma Satirec.
lisser mon sentiment à la faveur du sien. J’en reviens toujours à mon
principe
, Monsieur, et ce principe est que tous les hommes
faveur du sien. J’en reviens toujours à mon principe, Monsieur, et ce
principe
est que tous les hommes tenant plus ou moins à la
e. Elle n’existe que par la Charte, et elle ne peut aller au-delà des
principes
politiques, consacrés par la Charte ; se tenir in
la Charte, dans l’esprit de sagesse et de religion qui en a guidé les
principes
, reconnaît le culte catholique, comme le culte do
de la monarchie et du monarque ; car la Charte, en reconnaissant les
principes
monarchiques et l’existence immuable de la légiti
pour le plus grand bien de la fin spirituelle. C’est de cet infernal
principe
qu’est née la doctrine impie du régicide que tant
la part de plusieurs Littérateurs distingués, qui, en adhérant à ses
principes
, l’ont loué de les avoir soutenus de la maniere l
p; suivre l’une & l’autre, ne peut se refuser à l’évidence de vos
principes
, & à la justesse des conséquences. On ne peut
ans la passion qui nous est représentée. Quels reproches d’après les
principes
de ce grand homme, n’aurions-nous point encore à
ons sont excitées par les maximes, ainsi que par les objets ; que les
principes
du Théâtre ne font que fortifier ceux qui sont si
somption, vouloir trouver sa seureté au milieu des écueils. C’est une
principe
universellement receu de l’Ecole, que, quand quel
n’ont rien, qui de soy-même ne donne quelque penchant au peché. Si ce
principe
donc, que j’ay avancé, est recevable, l’applicati
t du peché, qui se peut commettre en y allant, l’effet, qui part d’un
principe
, tenant toûjours de la nature de son principe. M
l’effet, qui part d’un principe, tenant toûjours de la nature de son
principe
. Mais la preuve de ce que je dis se fortifie bea
et en nourrissant de dessein prémédité la concupiscence qui en est le
principe
. On répond que pour prévenir le péché, le théâtre
la beauté, qui se termine au nœud conjugal. Du moins donc, selon ces
principes
il faudra bannir du milieu des chrétiens les pros
loir trouver sa seureté au milieu des écüeils. §. III. C’est un
principe
universellement receü de l’Ecole, que, quand quel
n’ont rien, qui de soy-méme ne donne quelque penchant au péché. Si ce
principe
donc, que j’ay avancé, est recevable, l’aplicatio
nt du péché, qui se peut commettre en y allant l’effet, qui part d’un
principe
, tenant toûjours de la nature de son principe.
l’effet, qui part d’un principe, tenant toûjours de la nature de son
principe
. §. IV. Mais la preuve de ce que je dis se
médie pour les Spectateurs ; c’est la conséquence que vous tirez d’un
principe
aussi peu admissible qu’elle. Il n’est sûrement p
mique soit fondé « sur un vice du cœur humain »ck (sa malignité). Le
principe
et la conséquence sont aussi absurdes que le tari
le vice qui l’a fait naître. Celui des Précieuses par exemple, a pour
principe
l’orgueil qui fait gémir Cathos et Madelon de n’ê
gereux »dq : votre conséquence tombe absolument. C’est le sort qu’un
principe
faux lui préparait et devait vous faire augurer.
de s’imaginer que les empressements de leurs Légataires aient d’autre
principe
que l’intérêt de ceux-ci. Quoique vous en disiez,
ou quatre c’était les réfuter tous, puisqu’ils partent tous d’un même
principe
dont j’ai prouvé la fausseté, en détruisant les c
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce
principe
que plus la Comédie est agréable et parfaite, plu
mes (Tacit. L. 1. Annal.). Quels exemples ne verraient-ils pas, quels
principes
ne prendraient-ils pas en si mauvaise compagnie ?
i a lu ces mémoires et en donne un extrait pour en combattre les faux
principes
. Je doute qu’on puisse écrire plus maussadement,
veur des Comédiens par la consultation, fondée uniquement sur de faux
principes
, avancés dans des Mémoires à consulter, et sur de
n assure que la consultation renferme en peu de mots la certitude des
principes
de l’Auteur du Mémoire, et qu’« elle couronne le
en assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs
principes
, et les autres seront charmés de s’y instruire. L
ur les Acteurs, ce n’est qu’un tissu de propositions scandaleuses, de
principes
erronés, de fausses maximes, et de propos injurie
rimer, on reconnaissait cette pureté, cette tradition d’honneur et de
principes
qui distingue singulièrement le premier Barreau d
modi gaudiis ac fructibus veretur omittere. Et en effet, c’est de ce
principe
que naissent tous les jours les relachemens dans
intenant & parmi nous eussent sur la question, que je traite, des
principes
moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; &am
principes moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; & si ces
principes
étoient generalement & constamment suivi par
mœurs, ou le sentiment [ou la disposition de l’esprit] sont les deux
principes
des Actions. Ajoutez que c’est par ces deux chose
ut le monde, parce qu’elle épargne l’atrocité du crime. Mais dans les
Principes
d’Aristote, ce n’est point parce qu’elle épargne
tent la plus grande émotion ; c’est le but de la Tragédie : ainsi les
Principes
d’Aristote, pourvu qu’on y ajoute le Principe ind
a Tragédie : ainsi les Principes d’Aristote, pourvu qu’on y ajoute le
Principe
indispensable, de l’utilité des mœurs, sont les v
e Principe indispensable, de l’utilité des mœurs, sont les véritables
Principes
. La Tragédie étant destinée à être la peinture de
ne l’a point été dans ces deux Vers. Je reconnois donc la vérité des
Principes
d’Aristote, & j’avouerai même que suivant ses
érité des Principes d’Aristote, & j’avouerai même que suivant ses
Principes
, il ne faut mettre Athalie que parmi les Piéces d
Auteur comme le Législateur du Théâtre. On vient de voir que tous ses
Principes
conduisent à procurer la Tragédie la plus pathéti
doit toujours être joint à l’agréable. Horace le dit, & tous les
Principes
d’Horace sur la Poëtique, sont tirés d’Aristote.
halie ? Cependant il ne la faut placer qu’au second rang, suivant les
Principes
d’Aristote. On sait bien que la Pitié peut avoir
s prouvent, qu’après nous être fait pendant un tems de notre vie, des
principes
sur certaines matieres, qui nous paroissent certa
e tems de la vie, où nous voyons les choses d’un autre œil, ces mêmes
principes
nous paroissent faux, & la désobéisance de So
faciles à retenir. Qu’on ne craigne point de s’égarer en adoptant mes
principes
; les Grands-Hommes qui ont traité des règles du
d’éloges, je rapellerai à tous les Poètes dramatiques en général, les
principes
qu’ils ne doivent jamais oublier. Puisque le plan
ne école de politesse et de goût : mais sans nous prévenir contre ses
principes
, discutons-les de bonne foia. M. d’Alembert a pro
tre en paix avec elle-même ; qu’il y avait à Rome dans les esprits un
principe
de sédition, qui ne se dissipait que dans les fêt
té dans les Espagnols et devant les Français une opinion adhérente au
principe
fondamental de la monarchie. « Si les chefs-d’œu
ignons comme nos semblables ; et ce retour sur nous-mêmes, qui est le
principe
de la pitié, est aussi celui de la crainte. « La
ient suffire, ce me semble, pour déterminer dans son esprit les vrais
principes
des mœurs Théâtrales. Mais comme il n’en veut rie
forcé de mettre, dans la bouche des méchants, leurs maximes et leurs
principes
revêtus de tout l’éclat des beaux Vers, et débité
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce
principe
, que plus la Comédie est agréable et parfaite, pl
la n’est pas, de bonne foi, cette comparaison peut-elle être posée en
principe
? La laideur et la beauté sont arbitraires jusqu’
vrai ? Je lui réponds, exclusivement jusqu’à l’équivoque. Suivant ces
principes
, le Misanthrope doit n’user d’aucun détour, et di
tre la morale du Misanthrope et de tout le théâtre de Molière. Si les
principes
sont détruits, la conséquence tombe d’elle-même.
; mais cet objet céleste où se cache-t-il ? » M. Rousseau, selon ses
principes
, trouve si peu d’hommes de bien ! Il n’est pas ét
t ce que je voulais vous faire observer en passant. Mais revenons aux
principes
de l’honnêteté qui prescrit d’autres mœurs aux fe
se et raisonne ; qu’on lui donne un esprit ferme, une âme élevée, des
principes
et des vertus ? Et si les femmes s’offensaient qu
Quand on peint des femmes bien nées, il faut bien qu’elles aient des
principes
d’honnêteté, de vertu, d’humanité : la nature leu
de l’éducation : mais si M. Rousseau avait été moins éloigné par ses
principes
du commerce du monde et des femmes, il en aurait
e l’on s’échauffe l’imagination au point d’appliquer sérieusement les
principes
de Lycurgue à une ville industrieuse et paisible,
ux, et le Théâtre n’eut jamais de plus indulgente morale. D’après ces
principes
, j’ose assurer M. Rousseau, que l’amour honnête e
être aimé ? Vous reconnaîtrez, lui dirait-il, une femme honnête à ses
principes
, à ses sentiments, au caractère de son amour. Si
t ; mais aucun ne pardonnerait à Titus de cesser de l’être. C’est par
principe
qu’on l’admire, c’est par sentiment qu’on le plai
compose lui-même ce caractère détestable ; je ne lui oppose point son
principe
, que tout homme est né bon ; je veux qu’il y en a
time. » J’ai dit comment le théâtre répond à ces vues ; mais dans les
principes
de M. Rousseau, rien n’est plus rare qu’une femme
plaire, et de les rendre intéressants. Cet art est honnête, selon vos
principes
; mais comme je ne vous prends pas au mot, j’avou
y a d’autant mieux à présumer de sa conduite et de ses mœurs, que les
principes
et les sentiments dont elle est habituellement af
ent une représentation de Molière. » Il est, comme on voit, selon ses
principes
, dans le cas d’un homme qui aurait assisté journe
é & à la persuasion, opposons les notions, saisons contraster les
principes
, attaquons, ébranlons, renversons un tas d’opinio
ssière, en renvoyant à des sources pures & irréprochables, où des
principes
solides servent de base aux vérités opposées à ce
st présenté par Thémis même, ne peut être ni incertain ni éloigné. Le
principe
est vrai, il est sacré : (aux Heb. 13. v. 8.) l
mblement (p. 30.) de vouloir bien considérer que leurs excès ont pour
principe
l’égarement de leurs esprits plutôt que celui de
t des pattes, & l’homme a des mains ? Qu’il seroit ridicule… Le
principe
de cette infériorité ! Puis donc que la Nature,
oudre capables d’écraser nos Théâtres sur lesquels (p. 3.) selon les
principes
d’une science mondaine, qui n’ont pour fondemens
nément, sans craindre leur dénonciation ! Mais (p. 10.) quel affreux
principe
! Que les conséquences en seroient funestes ! Q
s qu’ils nous causent à tous, ne peut que rendre plus insoutenable le
principe
maudit que l’on veut faire servir de base à nos T
it. Avec quelle facilité (p. 8.) ne pourroit-on pas composer sur ce
principe
ainsi entendu, un cathéchisme de probité, dont le
nos préposés à la Police nous dire en s’applaudissant d’après ce même
principe
, qu’il lui falloit fermer les yeux pour ne pas vo
de Jezabels, s’il n’y avoit point de Balaam ! Tout affreux qu’est ce
principe
si accrédité, on ne peut s’empêcher d’y reconnoît
ole ont donc étudié nos oracles ? Dans quelle source ont-ils puisé un
principe
si diamétralement opposé à ces maximes, & com
clairé par la lumière supérieure, & qui connoît la vérité par des
principes
certains. Soutenu au dehors par des témoignages q
dont les lumières, l’exactitude, l’attachement & la fidélité aux
principes
de la Religion, aux maximes de sa morale & au
die. » Je ne crois pas que l’on puisse disconvenir de la vérité de ce
principe
; mais, soit dit avec tout le respect dont je sui
ait la grandeur de la Tragédie de Bérénice, il y a bien à rabattre du
principe
que l’Auteur établit dans sa Préface. M. Racine a
point se gêner, le Poète a suivi parfaitement la nature, et selon ce
principe
, il établit une maxime très capable de séduire et
ion et de conduite, que je me suis bien gardé de relever : suivant ce
principe
, je dirai librement ce que je pense sur l’Astrate
ourgeois va plus loin ; il étabit dans tout le chapitre 3, Liv. 2. un
principe
dont l’autorisation legale est un scandale, que
galimathias. Peut-on regarder comme accompli ce qui est nul dans son
principe
? Et la loi peut-elle jamais supposer accompli &a
le contrat de mariage, comme dans les autres contrats, roule sur des
principes
fort simples ; à droit égal de créancier à créanc
. Un Roi Pape, une Reine Papesse en Angleterre, pourroient dans leurs
principes
exercer cette autorité, puisqu’ils se disent Chef
théatre de Berlin & de Postdam, où il réunissoit ces trois grands
principes
d’irréligion. Dans le pays de Sans-Souci le lien
laît : sans droit, sans motifs, il exige une entiére soumission. Sans
principe
il veut nous instruire. Tel est un des premiers m
s remarqué à l’égard de Rodogune. Si le Comédien a quelque idée de ce
principe
, s’il exige qu’on s’y conforme souvent, il fera f
es chef-d’œuvres, & n’en ont jamais produits. Un Poëte occupé des
principes
de son art, ressemble à un grand Général, entouré
même point. Si sans attaquer a priori, comme on dit dans l’école, le
principe
sur lequel se fonde le ministre, on s’attachait s
abjuré. Beaucoup très certainement ignorent que telle est la base des
principes
qui leur ont été transmis et qui règlent leur con
t là le point capital, relativement à l’administration) que, dans les
principes
de l’Eglise gallicane, l’excommunication, fût-ell
nt pas aux saints Décrets. N’avons-nous donc pas lieu de conclure des
principes
mêmes posés par le prétendu Théologien ? III.
ni de scrupule à s’y trouver ». Il faut conclure au contraire de ses
principes
, que si des Prélats ont été à la Comédie, ils ont
ommis dans sa jeunesse. » Le prétendu Théologien devrait suivant ses
principes
traiter de scrupuleux M. Racine ; mais le monde e
avoir le plaisir de la Comédie. Qu’il est condamnable par ses propres
principes
, pour avoir prétendu justifier la Comédie contre
-on, y aller. Les plus pieux en effet en sont assez détournés par les
principes
du Christianisme ; et du temps du Louis XIV, ceux
oup, qui ne connaît que le sensible, qui n’a point été élevé dans les
principes
de raison, en sera ébloui, et deviendra esclave s
s Poètes n’en ont eu nullement l’esprit ? Eugene. On le ramènera aux
principes
sur lesquels ils raisonnaient, à cette confiance
inspire. Comme elle n’est fondée que sur de vaines idées, qui sont le
principe
de l’orgueil, elle l’augmente à proportion qu’ell
en ouvre le chemin ; et votre fils doit se contenter d’en savoir les
principes
généraux, sans vouloir creuser dans cette science
omique étant fondés sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce
principe
, que plus la Comédie est agréable et parfaite, pl
rande ville pleine de gens intrigants, désœuvrés, sans religion, sans
principes
, dont l’imagination dépravée par l’oisiveté, la f
conclusion positive me paraît hasardée. Qu’on la mette vis-à-vis des
principes
que j’ai rappelés sur les conditions d’une bonne
ques. XXXIII. « Chaque homme, chaque action a son prix ; » voilà leur
principe
; c’est le fondement de leur société. XXXIV. Preu
stices et d’excès, chercher le bonheur en détruisant ce qui en est le
principe
, acquérir des richesses, obtenir des places en do
de leurs vices, de leur langage, de leurs actions, les variations des
principes
et de l’esprit des sociétés ou des cercles et cot
théâtre dont la malignité est en effet le moyen ordinaire, souvent le
principe
, depuis long-temps a produit cet effet, en attira
fermeté, accompagnent également le grand homme & le scélérat ; le
principe
qui fait agir ces deux caracteres opposés, les di
pe qui fait agir ces deux caracteres opposés, les distingue, & ce
principe
est toujours developé. Tout Auteur dramatique n’e
ysique, ils n’ont pas l’orgueil de croire remonter jusqu’aux premiers
principes
de tous nos sentimens ; ils n’accumulent point sa
e, qui seroit moins emporté par l’ardeur d’un zele estimable dans son
principe
, qui est l’amour de la vertu, mais inconsideré ;
ent de même âge, de même condition ; s’ils ne differoient pas par les
principes
de l’éducation primitive, & qu’il fût trahi p
atre représente toujours comme des monstres, qu’ils avoient puisé ces
principes
d’inhumanité ? Quelle morale de Tragédie avoit pû
e. La passion de l’amour tendant à une union légitime, eût alteré les
principes
de sagesse d’un peuple dont les jeunes gens alloi
, les Agis, les Leonidas, les Pausanias, &c ? Lycurgue outra les
principes
de sa législation, en donnant tous ses soins à pe
ement du cercle de nos idées. Tel est le privilege des arts, dont les
principes
sont dans tous les hommes, mais dont la faculté d
amnation rigoureuse prononcée contre un art, aussi estimable dans son
principe
, qu’avantageux dans ses effets. J’ose reclamer, e
lui on s’estime heureux lorsqu’il espère de la posséder ? Le premier
principe
sur lequel agissent les Poètes tragiques et comiq
x que celui de la beauté même. C’est donc combattre les règles et les
principes
des maîtres, que de dire avec la dissertation, qu
is un peu fréquemment des digressions, afin d’avoir lieu de jeter des
principes
de mœurs, & de proposer des modeles pour tous
s de réserve à la fin du premier Volume, sous le titre de Preuves des
Principes
contenus dans les deux Lettres. Elles forment une
en rapporte plusieurs textes, & on les explique conformément aux
principes
de la saine morale, & aux regles de l’exacte
s loix de la morale chrétienne, pour en montrer l’opposition avec les
principes
du monde sur les Théatres, il ne se seroit fait l
se seroit fait lire que de ceux qui sont déjà bien convaincus que ces
principes
sont anathématisés par l’Evangile. Mais, en décou
ée de son Ouvrage, en l’annonçant comme un arsenal où l’on trouve des
principes
de mœurs pour tous les états, & de quoi dissi
sprez de Boissy combat le Théatre ; il s’attache particulierement aux
principes
philosophiques…. Ciceron, Seneque, Ovide, & u
st par la Philosophie même…. On trouvera dans cet Ouvrage d’excellens
principes
, & des raisonnemens très-solides, aux-quels l
ues & particulieres ; il s’est ménagé les occasions d’y jeter des
principes
pour les professions les plus intéressantes : tel
imens de l’Auteur. L’objet de cet Ouvrage exigeoit que la théorie des
principes
y fût fortifiée par l’expérience, c’est-à-dire, p
M. Desprez de Boissy, d’avoir profité de tout incident pour jeter des
principes
de mœurs pour les professions qu’il importe le pl
rnement ! M. de Boissy en a rapporté une suite de preuves ; & ses
principes
sur cet objet ont été loués par les Ecrivains pér
va le prouver le petit Poëme qui suit. Le Poëte y expose d’abord les
principes
qui doivent détourner de la fréquentation des Spe
adressée à cette occasion en 1694, & qui est intéressante par les
principes
qu’elle contient sur la condamnation des Spectacl
us envoie cette Notice, Monsieur, comme une justification de plus des
principes
que M. Desprez de Boissy a si heureusement souten
e d’une grande utilité pour les mœurs. Bien des gens attribuent à des
principes
trop austeres & outrés, tout ce que les Minis
out temps sur le danger des Spectacles. Il faut espérer que les mêmes
principes
établis par un homme du monde, qui montre une gra
qui montre une grande connoissance des Théatres, & qui appuie ces
principes
sur le témoignage des Philosophes de tous les tem
pour & contre les Théatres, par M. Desprez de Boissy. Les solides
principes
qu’on y trouve développés avec tant d’énergie, su
e ce que Ciceron renferme sous l’idée de l’honnête, c’est-à-dire, les
principes
qui doivent assujettir notre conduite à la raison
vous adresser ; j’ai seulement intention de vous faire confidence des
principes
qui me dirigent sur ces objets. Je vais d’abord v
de préjugés inspirés par des Précepteurs, étoient fondées sur de bons
principes
. Je n’ai pas pensé pour cela qu’il fallût commenc
es par la maniere dont elles sont présentées. C’est relativement à ce
principe
que j’ai cru ne pouvoir me permettre d’aller aux
ure toutes les vertus…. Vous arrivez dans le monde ; venez-y avec des
principes
; vous ne sçauriez trop vous fortifier contre ce
passions. On se trouve au sortir du College dans un monde où les bons
principes
qui nous ont été inspirés, ne sont pas fort accue
étonnant que les Spectacles ne puissent se concilier avec les grands
principes
de la Religion chrétienne. Le prétendu Poëte Phil
quelque passion ou par quelque foiblesse, dont l’excès est souvent le
principe
d’un ridicule qui les caractérise. Il n’est point
s d’à présent, une sage éducation, & l’exactitude à en suivre les
principes
, pourront en préparer pour l’avenir ». Ce même Or
ens sensés & instruits. Il faut au contraire se renfermer dans ce
principe
incontestable, qu’où les Loix du Royaume & de
écarter. D’ailleurs, re vincimus ipsâ. Ces idées sont fondées sur les
principes
de la plus exacte philosophie, puisqu’elles ne dé
tout entier aux penchans corrompus de son cœur ; qui attaque tous les
principes
reçus, tarit jusqu’au fond du cœur tous les senti
pénétré dans tous les états, dans toutes les conditions ; si tous les
principes
s’anéantissent ; si tous les sentimens se dégrade
: Voilà le héros que la crainte de Dieu produit ». C’est d’après ces
principes
, Monsieur, que je vous ai si souvent entendu dire
acles. Comme cette réponse, qui a été imprimée, m’y fait soutenir des
principes
dont j’avois reconnu l’erreur, je me suis vu obli
uvrage de M. Desprez de Boissy. Pourquoi hésiterois-je à soutenir des
principes
qui tendent à rendre meilleurs les Citoyens, &
propre à fournir des armes défensives à ceux qui, étant dans de bons
principes
, sont souvent exposés à lutter contre ces tourbil
ce qui domine dans sa Lettre. On n’y trouve que les motifs & les
principes
qui ont déterminé son sentiment ; & il m’a pa
si nécessaire & si utile, ne doit avoir pour fondement & pour
principe
que l’amour des Lettres, & le goût du vrai. O
specter ses Lecteurs, ne prostitue point sa plume pour accréditer des
principes
faux & dangereux. Il n’affecte point de dépré
tôt la méthode des Scholastiques ; & pour en bien juger, voici un
principe
qu’il faut sçavoir. Ces Théologiens ne se content
des suppositions métaphysiques. Saint Thomas, par exemple, pose pour
principe
, que tout ce qu’on fait devant être réglé par la
mp; de leurs effets. Ce vénérable Cardinal rappella sur cet objet les
principes
de l’Eglise, que les abus avoient fait oublier ;
forcé de mettre dans la bouche des méchans leurs maximes & leurs
principes
, revêtus de tout l’éclat des beaux vers, & dé
comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce
principe
, que plus la Comédie est agréable & parfaite,
villes ? Ce sont des gens intriguans, désœuvrés, sans religion, sans
principes
, dont l’imagination dépravée par l’oisiveté, la f
M. Marmontel appelle, un usage établi & une opinion adhérente au
principe
fondamental de la Monarchie, que Corneille a eu r
’extrême facilité de son esprit lui donna le moyen d’en apprendre les
principes
, comme en se jouant, & d’en tirer par les réf
le plus se piquer. « Tout homme de condition intimement pénétré de ce
principe
, est courageux, parce que ne craignant que Dieu,
oblesse n’offroit au service de l’Etat que des sujets élevés dans ces
principes
, la Patrie y trouveroit sa gloire & sa force
qui entraîne, qui met sans cesse les penchans en opposition avec les
principes
. Ses plaisirs étoient la compagnie des hommes écl
, son désintéressement. Il ne faudroit qu’une génération imbue de ces
principes
, pour réparer tous nos maux…. L’Etat est accablé
ruines de la Religion un trône à cette Philosophie insensée dont les
principes
dégradent l’homme, avilissent son être, bornent s
uit en maximes toutes les conséquences qui résultent de ce monstrueux
principe
? Il sied à de pareils gens, qui travestissent le
ut occasion, en 1775, de faire imprimer un Mémoire instructif sur les
principes
de la discipline du Barreau. On y interdit aux Av
dé que les familles, les Villes & les Empires n’ont point d’autre
principe
destructif à craindre que la volupté, dont le reg
e saint Evangile que l’on professe de bouche, on devroit, suivant les
principes
des Déistes, respecter la Religion de la Patrie,
lle nous inspire, Des folles passions affermissent l’empire ; Par ses
principes
faux les crimes déguisés, Sous le nom de vertus s
détesta Le vol pernicieux dont l’essor l’y porta252. Je tiens à ces
principes
. Ils sont soutenus d’autorités imposantes, &
imitari turbas concurrentes. S. Aug. Je suis, &c. PREUVES DES
PRINCIPES
Contenus dans les deux Lettres précédentes.
tte & nourrit de dessein prémédité la concupiscence qui en est le
principe
. Vous direz, selon vos maximes, qu’on purifie l’a
tes ces raisons, & beaucoup d’autres. Que si on veut pénétrer les
principes
de leur Morale, quelle sévere condamnation n’y li
s ne connoissoient pas dans leur Nation : c’étoit assez d’établir les
principes
qui en donnoient du dégoût. Quoi qu’il en soit, c
avorable. Et je ne puis que je ne reconnoisse à ma confusion, que les
principes
& les preuves qui se trouvent dans la Lettre
tion ne peut être chrétienne, qu’elle ne puisse avoir la charité pour
principe
, & être rapportée à Dieu. A-t-on jamais été a
le rapporter à Jesus-Christ, & le faire pour sa gloire. Or sur ce
principe
le plus incontestable, le plus universellement re
i établit en effet la véritable force de l’esprit, ne sont-ce pas les
principes
, les témoignages, les autorités sur lesquels il s
clairé par la lumiere supérieure, & qui connoît la vérité par des
principes
certains. Soutenu au dehors par des témoignages q
uelle plus grande foiblesse que de vouloir être sans certitude sur le
principe
de son-être, de sa vie, de ses sens, de ses conno
e ; & la droiture de leurs sentimens leur a fait illusion sur des
principes
d’autant plus dangereux, qu’ils paroissoient tend
ur des Comédiens, par la Consultation, fondée uniquement sur les faux
principes
avancés dans deux Mémoires à consulter, & sur
n assure que la Consultation renferme en peu de mots la certitude des
principes
de l’Auteur du Mémoire315, & qu’elle couronne
en assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs
principes
, & les autres seront charmés de s’y instruire
ur les Acteurs. Ce n’est qu’un tissu de propositions scandaleuses, de
principes
erronés, de fausses maximes & de propos injur
, on y reconnoissoit cette pureté, cette tradition d’honneur & de
principes
qui distinguent singuliérement ce premier Barreau
ême objet les Réflexions les plus solides dans son Ouvrage intitulé :
Principes
de la Littérature. C’est assurément, dit cet ha
it avilir un Littérateur illustre, si l’on citoit la Religion pour le
principe
de ses démarches. On aime mieux en faire un homme
n’étoit point connue en France, seroit le complément des preuves des
principes
que nous avons soutenus dans nos Lettres. Nous de
le Latin n’est pas familier, en voici un Extrait qui en contient les
principes
essentiels. François del Monaco a divisé son Ou
24 de notre Histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres. Les
principes
que l’Auteur y soutient, sont conformes à ceux de
e foi que cette décision que nous venons de citer, est fondée sur des
principes
incontestables, & que les Ministres Ecclésias
iâ dignum caput. Paveant postremam illam vocem tuam cœterarum gentium
Principes
, ut quondam ad emortui penè cadaveris postremos n
olo Borromæo, p. par. Ubi de Histrionibus & Comicis, De his etiam
Principes
& Magistratus commonendos esse duximus, ut Hi
facere his videatur qui non prohibet cùm prohibere possit, quod ipsi
principes
& populi facilè præstabunt, si eos non recipi
lanensis Ecclesiæ, addidit etiam sanctissimè sanctissimus Carolus, ut
Principes
in caupones etiam acriter animadvertant si eos re
ter animadvertant si eos receperint. Postremum erit cùm id minimè per
Principes
sæculares fiet, penes quos est, pestes ejusmodi u
rouvé de moyen plus efficace pour graver dans l’esprit des hommes les
principes
de la morale & l’amour de la vertu. Et tout c
liés ». Il faut aujourd’hui recourir aux Payens, pour prouver que les
principes
de la Morale chrétienne sont naturels, vrais &
dans l’Histoire des Ouvrages pour & contre les Théatres. 144.
Principes
& Magistratus commonendos esse duximus, ut Hi
nsabili delle loro cariche, sono costretti à seguitare la persona del
Principe
in ogni luogo, e conseguentemente ad assistere a’
miglia, o per lo servigio, che prestano ad altri, come i ministri del
Principe
, e i cortigiani, ei servitori, non può estendersi
ne, & s’accoutumer aux privations, en évitant le luxe, qui est un
principe
de corruption, & les plaisirs qui amollissent
elques-uns ont de l’éducation & de la politesse, ils ont reçu des
principes
de religion & de vertu, qui se perdent bien-t
tout ce jargon diabollque qu’on n’oseroit proférer, si l’on avoit des
principes
d’honnêteté, n’y sont-ils pas familiers ? Les anc
Clergé de France, n’est pas suspect de cagotisme ; mais les premiers
principes
de la religion natutelle apprennent aux plus impi
n’ont jamais été ni pû être révoquées en doute. Ce sont les premiers
principes
de la morale, on ne fait point grace en y sousscr
ailleurs pour tout homme de bonne foi qui aime la chasteté ! Dans les
principes
de la religion & de la vertu on appelle licen
lement jusqu’à adopter un systême d’éducation qui choque les premiers
principes
de la religion & de la vertu. Voyez Mercure d
comme dans le système des Péripatéticiens la privation est le premier
principe
des corps. Quoique Fagan ne dise rien que de triv
ue peut-il se donner pour un approbateur du théatre, lui qui dans les
principes
de Fagan ne pouvoit l’être sans se déshonorer, pu
âchés. Pour établir son corps de doctrine erronnée, Fagan avance des
principes
également faux ; 1.° le théatre est un danger ord
onnoît que la probité, on n’a parlé d’aucune vertu chrétienne. Autres
principes
aussi peu Catholiques. Il humanise la piété pour
Dans les délires de la jeunesse on se laisse entraîner à établir des
principes
qu’on n’a point. Un vers brillant décide d’une ma
ns à le déraciner ; c’est à eux à ramener leurs concitoyens aux vrais
principes
, au bon goût & à la raison. Telles sont les c
e ceux qui conviennent ; pourquoi chercheroit-on dans ces maîtres des
principes
sur cela ? Ne sait-on pas tout aujourd’hui sans r
les, étant les mêmes qui se commettent à l’égard des caractères ; les
principes
que nous avons donné pour ceux-ci doivent servir
e, qui se déguise mal et siège à Montrouge, etc., etc., a adopté pour
principe
invariable que l’autorité des rois est sur terre,
réclame en faveur des comédiens français, ne sont point contraires au
principe
de la liberté des cultes. Cette liberté reconnaît
qu’on puisse être à leur égard. Madame Brute se conduit par d’autres
principes
: Dans la Femme Provoquée.« La vertu, dit-elle, e
rencie. Puis donc qu’Horace demande que les Poètes se règlent sur les
principes
de la Morale ; sans doute qu’il exige d’eux que l
re essentielle du Poète est de réjouir. » Quand je conviendrais de ce
principe
, je ne sais si M. Dryden en serait beaucoup plus
t de force de raisonnement contre la licence du Théâtre. Il pose pour
principe
: « Qu’il est impossible d’être bon Poète, sans ê
rrent dans des bornes qu’un Poète ne doit jamais franchir. Mais, quel
principe
que de prétendre établir pour base de la Comédie,
incipe que de prétendre établir pour base de la Comédie, le plaisir ?
principe
déraisonnable en soi et infiniment dangereux dans
ur se laver de ces reproches, est trop heureux d’abandonner enfin son
principe
. « De peur qu’on ne s’imagine, dit-il, que j’écri
prémier Concile de Milan, exhorte les Princes & les Magistrats,
Principes
& Magistratus &c. à chasser les Comédiens
ix-septieme siécle, qu’à la fin du seizieme. Aussi étoit-ce encore un
principe
certain alors, que tous les Comédiens étoient exc
ns distinction. François Delmonaco cité pag. 21, les suppose comme un
principe
incontestable. Ce qui prouve encore , dit-il, qu
& instruits, & qu’il faut au contraire, se renfermer dans ce
principe
incontestable, qu’où les Loix du Royaume & de
de ceux qui les récitent, & de ceux qui les écoutent Le prémier
principe
, sur lequel agissent les Poëtes tragiques & c
poet. versu 105. C’est donc combattre les régles de l’art, & les
principes
des maîtres, que de dire… Que le Théatre n’excite
moins le rapporter à J. C., & le faire pour sa gloîre. Or, sur ce
principe
incontestable de la morale Chrétienne, vous n’ave
ceux de leur tems. Ne pensez pas, qu’il y ait une différence dans les
principes
qui nous doivent actuellement diriger sur cet obj
est plus question de disputer, c’est au fidéle à obéir. Douter de ces
principes
, ce seroit ignorer les prémiers élémens du Cathéc
el bonos mores, nec tacet, nec facit, nec approbat Ecclesia. C’est un
principe
, dont tout Théologien instruit ne peut douter. Or
enchaînement continuel de preuves & de raisonnemens si suivis de
principes
en principes, & de conséquences en conséquenc
continuel de preuves & de raisonnemens si suivis de principes en
principes
, & de conséquences en conséquences, qu’un fam
quence, que la doctrine qui condamne les Théatres, est fondée sur des
principes
& sur des autorités auxquels il faut se soume
694. En voici les paroles : « Ces maximes & réflexions pleines de
principes
de religion, découvrent avec une entiere évidence
ernes, ouvrages de Législateurs qui n’ont pas toujours vécu selon les
principes
de la raison, mais aux Loix dictées par des homme
t rangé sous leur drapeau ; & pour preuve de son adhésion à leurs
principes
en faveur des Théatres, il donna en 1758 au Publi
personnes qui l’avoient écouté, c’est qu’il la fit naître des grands
principes
de morale qui doivent fixer notre conduite dans l
es ? On peut aisément deviner la réponse qu’y fait notre Auteur : des
principes
qu’il vient de nous exposer, il conclut qu’on ne
me un remede contre l’oisiveté de la jeunesse, & ses dangers. Des
principes
si relâchés forment une trop foible défense pour
en fit l’observation dans un Ecrit périodique106, où l’on releva les
principes
dangereux que contenoit un Edit qu’un Prélat, Gou
ification dans sa Cathédrale, il ne cesse d’exposer sur cet objet les
principes
qui ont toujours fait proscrire les Théatres, com
&, à cet égard, la Religion Chrétienne ne fait que fortifier des
principes
qu’une saine raison prescrit, & qui intéresse
, & qui intéressent le plus grand bien du Gouvernement civil. Ces
principes
se trouvent très-bien soutenus dans un sçavant Ou
on sentiment sur ce genre d’amusemens. Il y a déclaré que suivant les
principes
de S. Thomas, dont les Apologistes des Spectacles
de divertissemens. Ne pensez pas qu’il y ait une différence dans les
principes
qui nous doivent actuellement diriger sur cet obj
nde 118 : « On voit à Rome chaque nouveau regne y amener de nouveaux
principes
, & un nouveau plan de conduite. Chaque Pape t
avec l’intégrité & la pureté des mœurs. La Comédie contraire aux
principes
de la Morale chrétienne, 1754, par M. Mahy, Chano
s Farces, où en personnifiant des êtres métaphysiques, on mettoit des
principes
de morale en action. Il termine ce chapitre par l
u’il prononça dans une Assemblée académique, est établi sur les mêmes
principes
que celui du P. Porée, dont il a été ci-devant pa
le dessein général de la Piece étoit visiblement de décrier plusieurs
principes
& maximes du Christianisme ». Que n’emploien
n lui doit-on d’institutions raisonnables ! Que d’ordre, de regle, de
principes
, que toute la philosophie payenne, toute la sages
’état actuel de notre société. Tous les liens y sont rompus, tous les
principes
renversés. A force de généraliser la vertu, on pa
a paru en 1775, sous le titre de Devoirs du Prince réduits à un seul
principe
, ou Discours sur la Justice. Quelle sécurité ne d
ol. On y trouve au mot Spectacles, une suite méthodique des meilleurs
principes
sur cette matiere. De l’Education civile, par M.
ils commencent à le connoître & à se familiariser avec lui. « Ces
principes
de corruption reçoivent une nouvelle force des Sp
mieux réglés peut-être dans leur objet, mais aussi déréglés dans leur
principe
, & communément plus dangereux dans leurs suit
raphe ose abuser de la proposition de M. Bergier, jusqu’à en faire un
principe
pour établir la nécessité d’avoir des Spectacles
amp; pour lui porter nos vœux, nos prieres & nos sacrifices. Ces
principes
incontestables & précieux à conserver dans to
nc les sages conseils de M. de Bussy-Rabutin. Ils sont fondés sur des
principes
qui peuvent en général s’appliquer à tout ce qui
de Panthéon consacré aux plaisirs ». On trouve les influences de ces
principes
scandaleux dans un Ecrit qui parut en 1775, sous
jusqu’à se mépriser soi-même, amor Dei usque ad contemptum suî 225 ?
Principe
si fécond pour faire remplir noblement, généreuse
mes tarés, des femmes affichées, une foule d’êtres manqués, gens sans
principes
, sans caractere, des ames viles & noires, des
Les titres, les erreurs, les songes du monde n’ont jamais ébranlé les
principes
de religion que je vous connois depuis si long-te
le, quand on pense, que de voir sa conduite en contradiction avec ses
principes
, & de se trouver faux à soi-même & mal av
ans les délires de la jeunesse ; on se laisse entraîner à établir des
principes
qu’on n’a point, un vers brillant décide d’une ma
u, pour l’utilité des mœurs, pouvoir sauver de cette proscription les
principes
& les images d’une Piece que je finissois, &a
cette carriere, qu’avant de me désapprouver, il accorde un regard aux
principes
qui m’ont déterminé ; après avoir apprécié dans l
ire, & pour adorer avec une soumission fondée sur les plus fermes
principes
de la saine raison ? Comment immoler nos jours à
de tort ni d’injure à personne. Enfin j’ai suivi scrupuleusement les
principes
de la nature. Ne suffisent-ils pas pour la condui
rs décisions tranchantes, & prétendent nous donner pour les vrais
principes
des choses, les inintelligibles systêmes qu’ils o
oint user de l’autorité, où les loix peuvent agir ; voilà quel fut le
principe
invariable de son administration. Avec quel zele
’anarchie des opinions, qui produit l’anarchie des mœurs. Dès que les
principes
sacrés de la foi ont été ébranlés, on a vu les se
t-il donc pas d’arrêter la témérité de nos faux Philosophes, dont les
principes
renversent les qualités les plus essentielles pou
conduite, de prouver la vérité de ses dogmes par leur fidélité à ses
principes
, par des mœurs séveres, par la résidence dans leu
l’esprit des Lecteurs la séduction propre à masquer le faux de leurs
principes
, & le frivole de leurs méprisables difficulté
vancés, les ont fait passer plus ou moins rapidement, suivant que les
principes
de la Religion étoient plus ou moins gravés dans
ier celle de la Religion, malgré ses obscurités. L’Incrédule qui sans
principes
fronde la Révélation, en a-t-il donc une particul
itif, où l’on puisse asseoir une opinion propre à tranquilliser ; des
principes
sans consistance, incohérens, qui s’impliquent, &
n particulier sur celui de l’Opéra. Or voici ce qu’on y donne pour un
principe
général & commun à tout le genre dramatique :
erions insensibles aux plus tristes objets : si nous n’avions pas des
principes
secrets de l’harmonie, nous ne goûterions pas la
é publique tous ceux qui le professent véritablement277. C’est sur ce
principe
que Louis XVI a voulu que son Ordonnance du 25 Ma
gique de ce Réglement, « déclare être convaincu que si l’ordre est le
principe
de tout bien : c’est dans l’état Militaire qu’il
s Fermiers généraux des revenus publics, qu’on appelloit Mancipes, ou
Principes
Publicanorum, mais encore leurs Sous-Fermiers, qu
ns sa conduite & ses sentimens ; & il la perfectionna par les
principes
de la Religion Catholique à laquelle il fut toujo
re. Marian. de Rege & Regis instituti, lib. III, c. 15. 169. Les
principes
de M. de Montesquieu sur l’influence des climats,
. Et, dans sa Lettre au Roi, il représenta que l’inflexibilité de ses
principes
lui susciteroit des ennemis, & que le cri de
e & ceux qui ne peuvent se faire valoir que par-là, puisent leurs
principes
, leur morale, tout leur sçavoir & tout leur e
lon, & à respecter, comme lui, les droits de la vérité, & les
principes
du goût ».
ISPICE] Le Dictionnaire des cas de conscience décidés suivant les
principes
de la morale, les usages de la discipline ecclesi
[Épigraphe] « Quel renversement de
principes
, quel scandale pour les mœurs de voir des gens qu
III. Et c’est l’effet propre de la Comédie. Ces
principes
posés, il s’agit à présent de prouver que la Comé
e & la folie, employant la raison à agir, même contre ses propres
principes
, & nous enseignant, pour ainsi dire, à dérais
langage qui leur est tout à-fait étranger, débitent sur la scene des
principes
dangereux, qui rendent à la perte de la vertu, do
te à celle qui demande, & elle a grand soin de faire adopter pour
principe
à ses galans, que rien ne doit coûter à celui qui
s peuvent-elles se passer autrement, entre personnes sans mœurs, sans
principes
, sans éducation, qui n’affichent pas moins, par l
avec orgueil sur la surface de la terre ? Cette fatuité, qui dans son
principe
ne paraît qu’un travers, digne, tout au plus, de
consiste à n’en avoir aucune ; ses mœurs sont toujours dissolues, ses
principes
pernicieux ; les vertus & les vérités les plu
s & ses travaux ; s’il est des hommes assez Egoïstes pour nier ce
principe
fondamental de la Société, ce sont des enfans ing
de ces Courtisannes qui sont sans préjugés, parce qu’elles sont sans
principes
, qui s’arrogent le titre d’honnête homme, parce q
ête, au moins pendant le Spectacle, au cas qu’il ne le soit point par
principes
, & que la personne qu’il y conduit soit de mœ
on totale. L’union sociale consiste sur-tout dans cette conformité de
principes
, d’inclinations & d’habitudes dans tous les m
se faire, par exemple, qu’un jeune homme ne prenne pas pour autant de
principes
sûrs & nécessaires, des propos obscenes &
rament, le caprice, l’exemple & les passions lui donnent…… Sur ce
principe
, un enfant accoutumé à être son propre maître, c’
lieux où l’on débite impunément leur affreuse morale, où leurs odieux
principes
circulent de bouche en bouche, sont reçus & a
des hommes bien intentionnés veulent les réformer44, on attaque leurs
principes
, on cherche à les rendre suspects ; les Etres obs
rement ou égare la multitude qui marche à sa suite, vient prendre ses
principes
, recevoir des exemples, contracter des habitudes.
saurait disconvenir que cet Ouvrage, rempli de vérités certaines, de
principes
excellens, d’observations judicieuses, ne contien
s fêtes, ils doivent les respecter et s’abstenir du théâtre. » Sur ce
principe
on les obligeait de s’abstenir des œuvres servile
ien ; ils ne vont régulièrement à des exercices peu amusants, que par
principe
de piété, ils n’y font que de bonnes œuvres. Ceux
posée à la sanctification des fêtes ; la conséquence est évidente, le
principe
est certain et reconnu de tout vrai Chrétien. Auc
x bonnes œuvres, il devrait être interdit les jours de fête. Ce grand
principe
, faire le bien et fuir le mal, a surtout lieu ces
les, c’est celui de la religion. O vous à qui il reste encore quelque
principe
de piété, que le théâtre arrachera bientôt, si vo
veut donner à sa Muse un air plus gracieux et plus noble. Et c’est un
principe
reçu dans le monde, qu’un défaut nous est d’autan
dans le monde. Par exemple, le petit peuple libertin et qui n’a aucun
principe
d’éducation, nulle idée de la bienséance, nul fon
rent ! quel crime même ! Car sur ce point, les usages du monde et les
principes
de la conscience, les règles de la politesse et l
n scandalisât la pudeur.Var. apud Nonium. Ils défendaient par le même
principe
le commerce du grand monde à celles qui n’étaient
ticulier et de personnel c’est la netteté du style ; ce sont certains
principes
, certains retours heureux de morale ; c’est l’art
dans les mœurs suit de la droite raison, comme la conséquence, de son
principe
. Lors donc que Phèdre se trouve l’esprit tout occ
tre les lois de la justice, à ce qu’il prétend, pour avoir débité des
principes
d’Athéisme, et s’être moqué de la Religion du pay
nce ? des distinctions du bien et du mal ? Un Sceptique ne connaît ni
principes
de conscience ni motifs de vertu ; il n’a ni crai
nt, il est en repos. A la vérité lorsque le libertinage s’établit par
principes
, il en plaît davantage pour l’ordinaire :Les Poèt
te pensée ne vous paroisse point outrée. Pourquoi, en effet, dans les
principes
du monde même, cesser de fréquenter le théâtre, e
’une action morale. Premiérement, Messieurs, il est certain, c’est un
principe
qui ne fut jamais contesté, qu’aucun motif, quel
en soi. Mais j’abandonne tout l’avantage que je pourrois tirer de ce
principe
, & je veux bien examiner en eux-mêmes les mot
elle est rigide cette morale. Aussi Tertullien supposoit-il, comme un
principe
incontestable, que la Religion chrétienne est dur
mp; conduit toutes les affaires ; vous la verrez représentée comme le
principe
de toutes les vertus, l’ame de tous les événement
mieux réglés peut-être dans leur objet, mais aussi déréglés dans leur
principe
; & communément plus dangereux encore dans le
nversement : systême aussi démenti par l’expérience que faux dans les
principes
de la foi. Un trait singulier dans cette piece, c
désordres, ou éteigne les feux d’une concupiscence que tout allume !
Principe
inépuisable de péché. Il faut être en garde contr
autorisent. Celles des Romains, quoique souvent légères, avoient leur
principe
dans la pureté des mœurs. Sulpitius répudia la si
riage inspirent ces sentimens & ces idées ? en est-il qui sur ces
principes
puisse maintenir la bonne intelligence & ne s
s dans l’empire de la Chine, où le respect pour les parens est un des
principes
fondamentaux qui y maintient le bon ordre depuis
s avoir fait trois actes de respect : & chez une nation qui a des
principes
& une jurisprudence si rigoureuse, on applaud
re la cause de ce retardement, ils l’attribuent fort naturellement au
principe
général de toutes les actions de ce pauvre homme
présente très naïvement et très moralement la variété surprenante des
principes
d’agir, qui se rencontrent en ce monde dans une m
ce qu’ils devaient imiter. Ils allèguent des raisons admirables de ce
principe
, que je passe sous silence, de peur d’être trop l
répond divinement qu’« on est facilement trompé par ce qu’on aime ».
Principe
qu’elle prouve admirablement dans la suite par ex
rquoi il l’avait confiée à Panulphe, il répond que c’est encore « par
principe
de conscience » ; que Panulphe lui fit entendre q
ables effets de la corruption du siècle où nous vivons : c’est par ce
principe
de fausse bienséance qu’on relègue la Raison et l
tu, le fondement et l’âme de toutes les autres Vertus. Je sais que le
principe
que je prétends établir a ses modifications comme
en demeure pleinement convaincu. La raison de cela est, que selon mon
principe
nous estimons Ridicule ce qui manque extrêmement
utrui, qu’un sentiment passionné ; ce qui est peut-être le plus grand
principe
de la véritable Rhétorique ; aussi n’y a-t-il rie
u fond, enfin toute contrariété entre actions qui procèdent d’un même
principe
, est essentiellement ridicule. Or tous les galant
e aujourd’hui, qui sont ou traitées de bagatelles, ou réglées par des
principes
tout autres qu’il faudrait, que n’étant pas assez
chiavel, avec plus d’art, d’ordre & de suite, a mis en système le
principe
général, plus politique que chrétien, que les pri
s lui doivent l’élévation de la seconde race, Louis XI en suivoit les
principes
, Catherine de Médicis les poussoit encore plus lo
nt pas les mêmes, mais c’est le même esprit la même fureur, les mêmes
principes
, les mêmes effets, par-tout un vrai Machiavélisme
un caractere caustique & malin qui l’embellissoit : il en fait un
principe
de la politique. La gravité, la modération, la dr
steurs ne cesseront jamais de tonner contre un abus si dangereux. Les
principes
qui les guident sont uniformes, et les conséquenc
eut partir que d’un cerveau troublé par de noires fumées. D’après des
principes
si sensés, quel est mon étonnement de lire dans u
le Service Militaire, et comme lui des lâches qui en abandonnent les
principes
et les maximes les plus essentielles. C’est donc
nt vous avouez, Monsieur, la barbarie, comme une opinion inhérente au
principe
fondamental de la Monarchie ? Et que répondront à
ener d’abord à la vérité par un tour plus court, c’est-à-dire par des
principes
qui ne demandent ni discussion ni lecture. Puisqu
ac fructibus veretur amittere. Tertullien Et en effet, c’est de ce
principe
que naissent tous les jours les relâchements dans
i maintenant et parmi nous eussent sur la question que je traite, des
principes
moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; et
des principes moins séveres que ceux de toute l’antiquité ; et si ces
principes
étoient généralement et constamment suivis par la
u christianisme diminuer à proportion et s’affoiblir, que les heureux
principes
de votre premiere éducation se sont altérés, que
et qui va faire tout le fonds de cette seconde partie : c’est le jeu.
Principe
de mille malheurs, et passion que je ne puis trop
en, ou presque rien pour le jeu. Toutefois on veut jouer, et c’est un
principe
qu’on a tellement posé dans le systême de sa vie,
mblent des plaisirs si convenables et si légitimes. Ils posoient pour
principe
, qu’une jeune personne ne devoit jamais se produi
es Rituels, et des Lois civiles. D.a A juger d'un Chrétien par les
principes
que vous avez établis, quelle doit être sa vie ?
e ; ce sera votre esprit qui m'y conduira ; ce sera vous qui serez le
principe
de cette action ; c'est par votre Croix que vous
role royale et le vœu de la nation, et à rentrer de lui-même dans les
principes
de l’Evangile et dans les dogmes apostoliques, qu
e clergé et les jésuites eurent la criminelle audace de proclamer les
principes
subversifs de toute monarchie légalement institué
vos déclamations, que vous nous reprochez avec tant d’aigreur, est le
principe
ou l’occasion de vos jugements ainsi que des nôtr
eur plaira de me reprocher. 7. [NDA] Quoique contraires dans leurs
principes
, leur résultat se trouve le même : ces deux grand
; ils crurent devoir retenir quelque chose de l’Atellane ; et, sur ce
principe
, ils critiquèrent les vices qui dominaient dans l
epuis cette première espèce de correction jusqu’à présent. Suivant ce
principe
on a cru, en France, pouvoir conserver en partie
c’est-à-dire, qu’il l’étendit à tout : il ne conserva de ses premiers
principes
que celui de la nécessité & prédestination ab
ion, étoit Schismatique Grec, & tout-à-fait intolérant contre les
principes
de la Philosophie. Leibnitz étoit un homme à syst
Monades, ou impies, comme son Optimisme & sa Théodicée, dont les
principes
conduisent à l’Athéisme. Charles n’avoit ni n’éto
édies modernes. Je viens de montrer qu’elle étoit conforme à tous les
Principes
établis pour la Tragédie par Aristote. Il auroit
les écrivant leurs Piéces devant les yeux, plus souvent que les vrais
Principes
de leur Art, & n’ont écrit leurs Reflexions q
érence ne se trouve en bien des choses. Toutes les deux ont les mêmes
Principes
, & le même but, qui est d’exciter la Crainte
XVI. Les pièces comiques et risibles rejetées par les
principes
du même Platon. La comédie n’est pas mieux trai
ue les pièces de Théâtre sont « horribles, étant considérés selon les
principes
de la Religion Chrétienne et les règles de l’Évan
lics, et que leurs ouvrages sont horribles étant considérés selon les
principes
de la Religion et les règles de l’Evangile ? Tout
qui est l’instruction des enfants, et qu’ils viennent tous d’un même
principe
qui est la charité. Vous voulez abuser du mot de
ui est une source de corruption, vous raillez la pénitence qui est le
principe
de la vie spirituelle, vous riez de l’humilité qu
gement des honnêtes gens, sont horribles, étant considérées selon les
principes
de la religion chrétienne, et les règles de l’Éva
, je crois devoir recommander d’abord celui de cesser de condamner en
principe
, ou en théorie, ce que nous approuvons dans la pr
actuels, et les ordures ou farces et farceurs qui ont motivé dans le
principe
les monitions et les peines spirituelles, qu’il e
tournées à la jeunesse, lui apprennent à se jouer de la morale et des
principes
, ôtent peu à peu à la justice et à l’humanité leu
concours, les examens sévères sur les études et la capacité, sur les
principes
et la moralité, épreuves qu’ils font subir aux as
rs moyens respectifs d’instruction et de réforme, de coordonner leurs
principes
et réglements, leurs systèmes ou méthodes, et les
communautés respectives, et au plus haut degré actuellement, tous les
principes
, tous les motifs et moyens de l’émulation souvent
r loue des actions indifférentes en elles-mêmes, produites par un bon
principe
, et rapportées à une bonne fin : des actions que
rs celle qui est reçue parmi nous) n’est point indifférente, n’a pour
principe
que la corruption du cœur humain, n’a pour fin qu
lus possible qu’il agit en créature raisonnable. C’est précisément le
principe
des railleries que les hommes ont faites les uns
aut pas l’embarrasser. C’est assez qu’il ne puisse, sans démentir ses
principes
, refuser sa présence aux Spectacles, et la rétrib
e Théâtre, c’est par pure politique ; et si on le condamne, c’est par
principe
de Religion. Ce serait une chose étrange que l’am
ropos. On saura bien les guérir et les instruire en leur donnant pour
principe
que le Théâtre Français est épuré, qu’il est mora
seils qu’ils reçoivent. Quand les plus célébres Poëtes ont médité les
principes
de l’art toute leur vie ; quand ils ont passé les
c modestie, & que comme des doutes ; nous verrons des enfans sans
principes
, sans connoissances, s’abandonner à une yvresse a
ons de la Comédie Françoise : ainsi je dois leur donner pour appui un
principe
que vous ne puissiez contester. Le grand art des
le reméde est trop foible, & vient trop tard. Il ne manque à ces
principes
, Mademoiselle, qu’un petit détail ; on ne doit pa
r corruption ; et moi je lui répondrai que c’est précisément ce fatal
principe
qui a le plus nui jusqu’à présent à la religion e
qu’on doit aux bons prêtres. M. de Sénancourt ne sait donc pas que ce
principe
qu’il professe, se trouve inscrit positivement et
culer, de contraire à la volonté du prince et aux lois de l’Etat. Les
principes
qu’on vient de lire, qui découlent de la Charte,
à être soupçonné d’approuver et de recéler au fond du cœur, les mêmes
principes
et les mêmes doctrines abominables, qui causèrent
ennelle du Père Caffaro ? Il faut conclure nécessairement de tous les
principes
si solidement prouvés dans tous les Ouvrages dont
lire par sa brièveté, des réflexions courtes, mais pleines des grands
principes
de la religion : par leur conseil, je laisse part
XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. Par tous ces
principes
des saints pères, sans examiner le degré de mal q
amatiques entiérement chantés. CHAP. XI. Athalie conforme à tous les
Principes
d’Aristote, nous met-elle en état de disputer aux
recherche, on se peut souvenir que le premier a toujours eu quelques
principes
savants et singuliers pour le fondement des plus
u donnera bénédiction à des alliances qui prennent leur naissance des
principes
si corrompus et si opposés à son esprit ? O aveug
x d’exciter les passions qui plaisent ; auxquelles on peut étendre ce
principe
du même philosopheAristote, Politique, 8. 4. [Ari
e la faire imprimer. Ces sortes de doctrines, quoiqu’appuyées sur les
principes
des Théologiens, peuvent ôter à des ames timorées
LETTRE VI. MEs
principes
ont dû vous étonner, Mademoiselle, rien de plus n
le seule ils puisent la vraie grandeur. En conséquence de cet étrange
principe
, Cléopatre tient ce discours dans le Pompée de Co
, qui peu à peu apprend à se jouer de toute sorte de religion. Sur ce
principe
, on ne doit jamais introduire des femmes de mauva
uvertement les loix & la pudeur. Le temple des chimeres avance un
principe
de morale absolument faux dans la Réligion chréti
téraire de cet ouvrage, en quoi il peut avoir raison ; mais encore du
principe
de morale & d’éducation qui met ces comédies
belle conversation à leur faire traduire & apprendre ; les beaux
principes
qu’ils débitent, les beaux artifices qu’ils ensei
s y penser sous la plume poétique de l’Auteur, a pris de fort mauvais
principes
sur la Réligion, qu’il réduit à la loi naturelle,
in tout Paris attiré. Esprit des Loix, L. 8. C. 7 (l’honneur.) Le
principe
de la Monarchie se corrompt encore plus, lorsqu’i
▲