e doit pas s’étendre au-delà de ses Etats. Tout pontife romain, qui a
prétendu
exercer, dans ce bas monde, une monarchie univers
’en le recevant de la part de Dieu, par les mains de ministres qui se
prétendaient
investis de la puissance divine sur terre, comme
à la table d’un ministre d’Etat qu’à celle d’un pauvre, ce que je ne
prétends
ni soutenir, ni contredire. La grande colère et l
On pourrait croire qu’il n’a pas su rendre compte de cet écrit qu’il
prétendait
critiquer. La cause des Comédiens, que je ne prét
t écrit qu’il prétendait critiquer. La cause des Comédiens, que je ne
prétends
pas avoir défendue aussi habilement qu’elle le mé
inions jésuitiques, de justifier le fanatisme de quelques prêtres qui
prétendent
encore, contre toute justice, pouvoir excommunier
commune ; & Moliere a joué tout Paris & la Cour. Ce même Pere
prétend
que Moliere est le seul parmi nous qui ait découv
nce que le Public a témoigné pour tous ses services après sa mort. Il
prétend
au contraire que l’on n’a bien reconnu son mérite
ére d’écrire, & de représenter ses Piéces de Théâtre. Mr. Rosteau
prétend
qu’il étoit également bon Auteur & bon Acteur
dans le Scapin qu’on ne l’y puisse reconnoître. Il dit qu’il n’a pas
prétendu
faire dans Scapin une Satire fine comme dans le M
ins la plus hardie, pourront jetter les yeux sur le Tartuffe, où il a
prétendu
comprendre dans la juridiction de son Théâtre le
es Prophetes en Israël. Au reste, quelque capable que fût Moliere, on
prétend
qu’il ne savoit pas même son Théâtre tout entier,
Spectateurs qu’il reconnoissoit pour ses uniques Juges. Le Pere Rapin
prétend
, que l’ordonnance de ses Comédies est toujours dé
de l’Europe : si elle était aussi stérile, aussi méprisable qu’on le
prétend
, serait-il croyable qu’on l’accueillît par-tout ?
des autres Peuples de l’Europe. Du moins si notre musique ne peut
prétendre
le prémier rang dans l’estime de tous les connais
Anglais, des Espagnols, & sur-tout que ceux des Allemands, qui se
prétendent
grands Musiciens ? Notre Poèsie réunit un avantag
’emporte même sur la Langue Italienne. Je ne sais pourquoi l’on a
prétendu
que leur Langue était plus agréable que la nôtre.
ems des terminaisons trop fréquentes, sans être rebutée. Ceux qui ont
prétendu
que la musique d’Italie valait mieux que la nôtre
Française. Elle n’est donc point si dure, si peu mélodieuse qu’on le
prétend
. Quinault a prouvé depuis long — tems l’énergie &
notre Langue se prête aux mouvemens de la Musique. On ne saurait
prétendre
actuellement que nous n’avons aucun goût pour la
ère dont les Italiens font accorder ensemble plusieurs instrumens. On
prétend
, par éxemple, que leurs accompagnemens sont plus
on voit entre-eux. On raconte une histoire assez plaisante, qu’on
prétend
être la cause de cette anthypatie qu’il est si fa
le chant Grégorien ; celui de l’Empereur s’y opposa fortement, &
prétendit
qu’on se servit de l’ancien chant de St. Ambroise
le droit de parler le prémier. Il soutint qu’il se croyait autorisé à
prétendre
le pas sur les Musiciens Français, puisqu’il appa
ondit à son tour : que par-tout où se trouvait son Maître, il pouvait
prétendre
le pas ; & que la musique Française devait êt
n proposant simplement deux questions. Le théâtre est-il, comme on le
prétend
, indifférent en foi ? Je l’examinerai dans la pre
rtés à quelque fin véritablement honnête. Aussi est-ce bien là ce que
prétend
le monde. Une loi qui défende les spectacles ! Où
’est dans les Conciles, c’est dans les saints Docteurs ; qui tous ont
prétendu
qu’ils étoient véritablement condamnés dans l’Ecr
mer les droits de l’Evangile, de crier au scandale. Par où donc enfin
prétend
-on se justifier ? C’est, dit-on, le motif qui déc
cipe, & je veux bien examiner en eux-mêmes les motifs par où l’on
prétend
rendre le théâtre licite. Ces motifs sont de se f
n ont donné les regles, non pas dans les ouvrages de ceux qui les ont
prétendu
suivre. Depuis combien de temps, en effet, fréque
r la vertu dans les cœurs que le zele saint qui nous enflamme ? On le
prétend
, on nous le dit ; Seigneur, décidez entre nous. M
mes regles. Pour moi, en condamnant aujourd’hui vos spectacles, je ne
prétends
justifier ni la mollesse & l’inutilité de vot
t le plus sûr écueil de l’innocence ; à moins, Messieurs, que vous ne
prétendiez
que l’innocence peut compatir avec la mollesse d’
e dissolution & d’infamie, comme vous vous obstinez toujours à le
prétendre
& à le dire ; Sint dulcia libebit & grat
pour faire entrer dans l’ame du spectateur la folle passion du héros
prétendu
que l’on feint enflammé ; & tout cela mis sou
pression de la passion qui est représentée. C’est bien aussi ce qu’on
prétend
. On réussit trop bien. Ici la joie éclate, ailleu
es & les spectacles de la Grece. Et vous, Messieurs, avant que de
prétendre
contre-balancer le poids de ces exemples par l’ex
soupirs ne se comptent pour rien. Je conçois maintenant comment vous
prétendez
sortir innocent du spectacle. J’assiste tous les
dans le cirque ; de même que les Céreaux, consacrés à Cérès. Politien
prétend
que les jeux Céreaux, et les grands jeux du cirqu
grands jeux du cirque étaient les mêmes. Rosin, Boulanger, et Lacerda
prétendent
le contraire. Les Neptunales se célébraient aussi
rviette par la fenêtre pour signal, qu’on pouvait commencer. D’autres
prétendent
que cette coutume est plus ancienne ; et que les
bien quel était ce jour de modestie, et de pudeur. Le Jésuite Lacerda
prétend
que l’unique fois, où ces malheureuses prostituée
Héliodore a transcrit ce passage presque tout entier. Quoique Lacerda
prétende
que dans l’un et dans l’autre de ces pères, il fa
rite, et qu’en voulant apaiser ses justes scrupules, vous n’aviez pas
prétendu
les dissiper dans les âmes les plus timorées. Voi
tinction, par la facilité que j’ai de vous la refuser, quoique je n’y
prétende
rien. Je ne sais en quoi votre ami fait consister
pectacles des Anciens, et que l’on ne voit plus dans les nôtres. Vous
prétendez
que les Pères n’ont condamné que ces excès, et no
se trouvent encore dans ceux de ce temps ou dans la Comédie que vous
prétendez
justifier, et que quand Saint Thomas l’a mise au
se. Voilà en général le dessein de ma Réfutation, dans laquelle je ne
prétends
pas examiner le sentiment de tous les Pères, et d
cela vous était de conséquence dans le dessein que vous aviez. Je ne
prétends
pas faire une grande dissertation sur la diversit
res, ce n’a pas été seulement à cause de ces excès, comme vous l’avez
prétendu
. Pour la preuve de cette vérité, je puis me servi
té et de violence contre les infamies des Comédies, si, comme vous le
prétendez
, ces infamies avaient été communes aux Comédies c
es excès que les Pères ont condamné les Spectacles, comme vous l’avez
prétendu
, et que ce qu’ils y ont condamné, se trouve encor
upiscence du siècle qui y régnait, et répond en même temps à ceux qui
prétendaient
que ces Spectacles étaient permis, parce que l’Ec
car quoique je n’aie parlé que de Tertullien et de Saint Cyprien, je
prétends
que les autres que vous avez cités n’ont pas été
et 17, en parlant des infamies des Spectacles des Anciens, n’ont pas
prétendu
comme vous que ces infamies fussent communes à to
tous les Calepins appeler proprement Farceurs ou Bateleurs. Vos amis
prétendent
sans doute faire corps à part, et quiconque dans
mes conditions : Vous en demeurerez sans doute d’accord, puisque vous
prétendez
qu’ils ont été en cela du même sentiment que Sain
que je ne soutienne que la Comédie que vous aviez en vue, et que vous
prétendiez
justifier par les Pères et par Saint Thomas, n’ét
a Comédie n’était pas illicite en elle-même, « secundum se », n’a pas
prétendu
la justifier selon l’usage ordinaire, c’est qu’il
lame au commencement du Livre des Spectacles contre les Chrétiens qui
prétendaient
autoriser les Spectacles des Gentils par les Ecri
s avouez, et ce que j’avoue moi-même ; ainsi passe pour cela. Mais il
prétend
, ajoutez-vous, que « cela n’excuse point les Chré
ent à des danses lascives et à des chants impurs », c’est ce que nous
prétendons
aussi bien que vous. Doù, poursuivez-vous, il vou
en parlant du second Jeu que l’on doit tolérer ? Comment avez-vous pu
prétendre
nous donner le change ? comment en un mot avez-vo
plusieurs, et n’en a en effet que trop ; mais celui que Saint Thomas
prétend
justifier, doit avoir principalement, et s’il se
ire, cette vue est entièrement mercenaire, et indigne des gens qui ne
prétendent
pas déroger à leur noblesse par leur profession.
s les occasions quelles qu’elles soient qui l’y peuvent porter. Je ne
prétends
pas dire pour cela que l’on soit obligé d’éviter
a seule ombre du péché, leur fait éviter les éloignées, quoique je ne
prétende
pas les y obliger. Ce n’est pas que quand je le f
oint accusées d’avoir péché à la Comédie, donc elles sont innocentes.
Prétendiez
-vous qu’on vous accordât cette conséquence ? Une
car enfin on n’aime pas ces grands raisonneurs qui damnent à ce qu’on
prétend
, tout le monde, qui font mille questions pour déc
faite ; mais par les représentations que j’en ai vues. D’ailleurs, ne
prétendez
pas vous imaginer et nous persuader que la Poésie
i fût le maître ablolu de ses passions, ils ont éprouvé que leur Sage
prétendu
n’était que dans leur idée, que s’il savait mieux
où on leur inspirait par le moyen des Spectacles les sentiments qu’on
prétendait
leur donner. L’expression ou la peinture qu’une p
détail de quelques autres occasions extraordinaires, où l’on pourrait
prétendre
que certaines personnes qui iraient quelquefois à
ra, tout ce qu’il en dit peut être appliqué à la Comédie, comme je ne
prétends
rien dire de la Comédie que l’on ne puisse appliq
péra, et qu’on n’est pas si sensible à la Comédie : car il y en a qui
prétendent
qu’on l’est davantage, et qu’une passion bien exp
marque, s’en formalisa, et lui dit que quoi qu’il fût Comédien, il ne
prétendait
pas que ses enfants le fussent, qu’il n’estimait
vous vous êtes retranché promptement dans le précepte formel, et vous
prétendez
qu’il n’y en a point dans l’Ecriture contre la Co
ndus par l’Ecriture. Il y combat vigoureusement l’opinion de ceux qui
prétendaient
que l’Ecriture ne les avait pas défendus : ainsi,
resser ses paroles du Chapitre 14, et vous dire : Comment pouvez-vous
prétendre
que l’Ecriture n’a pas défendu la Comédie ? comme
; mais que si par les Danses dont il est parlé dans l’Ecriture, vous
prétendez
justifier celles des Opéras, des Comédies et des
édies. D’ailleurs vous me faites pitié avec votre correction que vous
prétendez
inférer dans le dessein du Théâtre. Je voudrais b
ne s’y attend pas, le temps ni le lieu n’y sont pas propres, et on ne
prétend
pas même qu’il ait ce dessein. C’est pourquoi on
u’il me suffisait de les justifier, et de faire voir que quoique vous
prétendiez
au contraire, les Pères vous étaient entièrement
un peu plus solidement que vous n’avez fait, que la Comédie que vous
prétendiez
justifier, est conforme aux règles de la sagesse
xe et à l’intempérance. Mais comme je nie votre supposition et que je
prétends
qu’on n’a point mis de tempérament à l’égard du l
I n’y a point là de distinction à donner : car quelque épuré que vous
prétendiez
que votre Théâtre soit, le Rituel ne reconnaît pa
pas examiné par les règles sévères de la Morale, et que la Police ne
prétend
pas justifier tout ce qu’elle permet. En cela, la
40 » Je crois avoir suffisamment prouvé que la Comédie que vous avez
prétendu
justifier, est non seulement contre le Commandeme
ait des règles de la poétique aux ouvrages des particuliers dont elle
prétend
découvrir les défauts, ou les beautés. Elle consi
t partagé soit plus susceptible du plaisir, ou de l'instruction qu'on
prétend
lui donner: si la versification en est belle et p
est le plus naturel, et le plus régulier que je puisse garder. Je ne
prétends
pas en parlant de la Comédie traiter seulement de
ient des Tragédies, ou des Tragi-comédies; c'est sous ce nom que j'ai
prétendu
examiner toutes sortes de Poèmes Dramatiques, et
d'approbation, ni de blâme. Ce n'est pas aussi par cet endroit que je
prétends
examiner la Comédie : le discours que j'ai entrep
ls leur inspiraient par le moyen des spectacles les sentiments qu'ils
prétendaient
leur donner, croyant avec raison qu'ils étaient p
nterdits: mais outre cela, il est très certain que c'est à tort qu'on
prétend
justifier celles de ce temps par l'exemple des an
léopâtre dans Rodogune; au contraire, c'est par cette vengeance qu'il
prétend
rendre Comélie recommandable, et la relever au-de
r mérite à la correspondance qu'on trouve en eux aux sentiments qu'on
prétend
leur donner, que ces sortes de représentations fa
s danses et contre les bals. Vous en appelleriez à vos Casuistes, qui
prétendent
qu’on doit moins s’arrêter à ces bons Docteurs, p
de plus indigne de la Religion d’un Dieu mourant sur la Croix, que de
prétendre
honorer un de ses Pontifes par une troupe de bala
s, ils ne voyaient personne, et étaient vus de tout le monde. » Je ne
prétends
pas, Mes Pères, que vous ayez dû ni vous ni vos E
ent, ils ne leur cachent pas les foudres dont l’Eglise les menace. Le
prétendu
Théologien ne les a point déguisés ; et Dieu a pe
avons-nous donc pas lieu de conclure des principes mêmes posés par le
prétendu
Théologien ? III. Induction de ces réflexions.
dredi Saint et le jour de Pâques ? Non, Messieurs les Comédiens ne le
prétendent
pas ; et il n’y a que le nouveau défenseur de la
article, il y a péché mortel d’aller le Dimanche à la Comédie. Et le
prétendu
Théologien viendra nous dire que sa doctrine n’es
les spectacles ? Ici, Messieurs, pour ne pas combattre en aveugle le
prétendu
Théologien, je me suis vu obligé de parcourir les
aboutit tout ce qu’on apprend aux spectacles, et pour faire rougir le
prétendu
Théologien, qui mérité si justement ces reproches
e tendresse, Les prend pour des péchés commis dans sa jeunesse. » Le
prétendu
Théologien devrait suivant ses principes traiter
Comédie. Qu’il est condamnable par ses propres principes, pour avoir
prétendu
justifier la Comédie contre la discipline de l’Eg
ortes d’agréments. Et quoique ce soit une extravagance insigne que de
prétendre
qu’on soit obligé à la créance intérieure du fait
replis du cœur humain, et en faire mieux connaître les ruses ? Je ne
prétends
pas marquer tout ce qu’il y a de beau dans les Le
Mais encore est-il bon de savoir pourquoi. Dites-nous donc, Monsieur,
prétendez
-vous que les faiseurs de romans et de comédies, s
s les louer selon leur goût, que de leur reprocher de faire ce qu’ils
prétendent
? Les injures n’offensent que lorsqu’elles nous e
s les rendez dignes de ce reproche. Que voulez-vous donc dire, et que
prétendez
-vous par cette grande exagération qui fait la moi
place du pain blanc et du vin des Messieurs ; cette reconnaissance du
prétendu
P. Maillard en disant la messe ; tout cela est de
». Car en vérité l’exemple de Desmarets ne suffisait pas. Et si vous
prétendez
qu’on l’ait loué parg une simple excuse de civili
s voyez donc, Monsieur, que vous ne faites rien moins que ce que vous
prétendez
; et je ne pense pas que personne demeure convain
verain temporel et légitime. Elle a enfin poussé la barbarie, jusqu’à
prétendre
avoir le droit de relever les peuples du serment
vicaires de Jésus-Christ, ont abusé de la majesté de la religion pour
prétendre
mal à propos à une supériorité directe sur les ro
paires que les jésuites, pères de la foi et missionnaires universels,
prétendent
former l’opinion publique, s’en emparer pour la d
mer l’opinion publique, s’en emparer pour la diriger. C’est là qu’ils
prétendent
régler les intérêts des souverains, des gouvernem
est une vérité reconnue de tout temps, que deux pouvoirs, qui chacun
prétendent
à l’indépendance, ne peuvent longtemps subsister
u roi, à l’Etat, et à la vraie religion chrétienne et évangélique. Il
prétendra
que j’ai voulu exciter la haine contre les bons p
éloquence, ne fussent des désordres véritables. Mais beaucoup de gens
prétendent
qu'il n'y a rien de si différent que la Comédie d
ait dire, pour la soutenir, toutes les impertinences du monde ; Et il
prétend
justifier à la fin sa Comédie si pleine de blasph
oivent être les plaisirs des Chrétiens, par opposition à ceux dont il
prétend
leur défendre l'usage. Clément d'Alexandrie ne lu
être permise, ou si elle doit être absolument défendue. Le Théologien
prétendu
veut justifier la Comédie par des passages de sai
ctacles des Païens, qu’à cause de la seule idolâtrie. La Lettre de ce
prétendu
Théologien ayant paru à Paris en 1694 durant le C
élevèrent contre cette Lettre. Le premier ouvrage contre la Lettre du
prétendu
Théologien, a pour titre, Réponse à la Lettre du
op amies de la corruption du cœur ne les excite qu’indirectement ; il
prétend
que le soutenir, c’est combattre les régles des g
as & il est inutile d’examiner ici s’il est aussi châtié qu’on le
prétend
. Quoiqu’il en soit, il est constant qu’il instrui
deur monacale, D’une lugubre et pesante morale. » Ce n’est pas qu’on
prétende
ici justifier la Comédie dans toutes ses parties
sa défense dans toutes ses parties : enfin des gens plus raisonnables
prétendent
qu’il faut regarder la Comédie sous deux points d
& vos héroïnes passionnés ? Ce n’est que dans ce siécle qu’on a
prétendu
justifier la comédie.Il n’y a guére eu que ce sié
u justifier la comédie.Il n’y a guére eu que ce siécle-ci où l’on ait
prétendu
justifier la comédie, & la faire passer pour
ion chrétienne ; mais il s’est trouvé des gens dans celui-ci, qui ont
prétendu
pouvoir allier sur ce point la piété avec l’espri
troublé par ses remords : de-là ces discours insensés par lesquels on
prétend
qu’il n’y a point de mal à fréquenter ces assembl
n éternelle ? Tout délassement n’est pas défendu.Ce n’est pas que je
prétend
de défendre tout délassement ; ce seroit outrer l
ne le soit aussi ; & enfin, que s’il étoit aussi mauvais qu’on le
prétend
, les Loix n’auroient garde de le tolérer, de le p
as là à quoi je dois d’abord m’arrêter ; je dois plutôt vous dire que
prétendre
que les spectacles n’excitent les passions qu’ind
nt ; il faudroit changer la nature des choses pour avoir raison de le
prétendre
: tant que son principal but sera de vous remuer
e doit plus mettre de différence entre les unes & les autres : je
prétends
au contraire que l’image d’une inclination légiti
té, il trouve le secret de vous le faire boire sans répugnance. Qu’on
prétende
après cela prévenir le péché, en ne représentant
e hasarde à dire que si les spectacles étoient aussi mauvais qu’on le
prétend
, les Loix n’auroient garde de les tolérer, de les
produire des fruits de mort. Voilà ce qu’on peut répondre à ceux qui
prétendent
pouvoir assister aux spectacles, parce qu’ils ne
n proposant simplement deux questions. Le théâtre est-il, comme on le
prétend
, indifférent en soi ? Je l’examinerai dans la pre
tés à quelque fin véritablement honnête : aussi est-ce bien là ce que
prétend
le monde. Preuves de la premiere Soudivision. Lo
dans les Conciles, c’est dans tous les Saints Docteurs, qui tous ont
prétendu
qu’ils étoient véritablement condamnés dans l’Ecr
e motif qui décide de la nature d’une action morale.Par où donc enfin
prétend-t
-on se justifier ? C’est, dit-on, le motif qui déc
cipe, & je veux bien examiner en eux-mêmes les motifs par où l’on
prétend
rendre le théâtre licite. Ces motifs sont de se f
n ont donné les régles, non pas dans les Ouvrages de ceux qui les ont
prétendu
suivre. Depuis combien de temps en effet le fréqu
la vertu dans les cœurs, que le zele saint qui nous enflamme ? On le
prétend
, on nous le dit : Seigneur, décidez entre nous.
êmes régles. Pour moi en condamnant aujourd’hui vos spectacles, je ne
prétends
justifier ni la mollesse & l’incrédulité de v
e théâtre est le plus sûr écueil de l’innocence ; à moins que vous ne
prétendiez
que l’innocence peut compatir avec la mollesse d’
pour faire entrer dans l’ame du spectateur la folle passion du Héros
prétendu
que l’on feint enflammé ; & tout cela mis sou
pression de la passion qui est représentée. C’est bien aussi ce qu’on
prétend
, & on n’y réussit que trop bien. Ici la joie
es jeux, les fêtes, les spectacles de la Grece. Et vous, avant que de
prétendre
contrebalancer le poids de ces exemples par l’exp
en le faisant aboutir au mariage. Ce n’est que dans ce siécle qu’on a
prétendu
justifier la comédie. Le métier de comédien est d
ique veut s’opiniatrer à demander entrée dans notre République, &
prétend
nous prouver par raisons qu’on ne la peut exclurr
si avec le plaisir, nous trouvons encore en elle cette utilité qu’ils
prétendent
. Et comment n’y gagnerions-nous pas ? Que s’ils n
rceau qui suit, ne parlant que de la Tragédie excellente καλλίςης, ne
prétend
pas parler de ce qui est essentiel à la Tragédie,
résenter un homme entiérement innocent, opprimé par des méchans : ils
prétendent
au contraire que la compassion la plus grande est
général ; mais comme je l’ai fait remarquer, de la plus belle. Il ne
prétend
pas qu’on ne doit jamais mettre sur le Théâtre un
ἠϑικον la peinture des mœurs. Longin en se servant de ces deux mots,
prétend
qu’Homere a fait son Odyssée dans la vieillesse,
onne à Aristote, on a coutume de citer un passage de Marc Aurele, qui
prétend
que les premieres Tragédies furent introduites po
nte toutes ces leçons, & Aristote suivant le sens qu’on lui donne
prétend
que la Poësie fait plus que l’Histoire : en nous
les Passions qu’elle excite, M. Maffei, dans la Préface de sa Merope,
prétend
qu’il faut supprimer le τοιοῦτων de sa définition
raisonnement si peu conforme à la morale chrétienne & humaine, il
prétend
prouver la nécessité des Spectacles, dont la Nati
stophane, appelle une de ses Piéces un Ouvrage tout plein de Mars. Il
prétend
que sa Tragédie des Perses a inspiré à ses Citoye
ici ce que longtems après, un de nos Poëtes Tragiques a avoué4. Si on
prétend
que les Tragédies ne peuvent pas être d’un grand
fin de cet Article ce que j’ai dit au commencement. Je n’y ai jamais
prétendu
justifier les Représentations publiques. On dit o
lles de sa Famille, avoient été suivies. M. de Cambray (Let. à l’Ac.)
prétend
que si nous avions une Tragédie qui n’inspirât qu
Excommunication des Comédiens : en vain par l’organe de votre Avocat,
prétendez
-vous en faire porter tout le poids aux Farceurs,
Mais la foi de Corneille & de Racine n’a jamais été suspecte, on
prétend
même qu’ils ont eu l’un & l’autre des alterna
mante, qui se tue dès qu’il apprend le vœu de son pere. On n’a jamais
prétendu
justifier le vœu de Jephté : c’étoit un insensé,
dictoire à lui-même ! Si les spectacles sont aussi innocents qu’il le
prétend
, si bien loin d’y courir aucun risque pour l’inno
veut aller au spectacle. Il faut du moins savoir ce que c’est. On ne
prétend
pas s’en faire une habitude. Je réponds que si le
goûtée une fois, elle rappelle sans cesse. Combien en est-il, qui ont
prétendu
de même n’y aller qu’une seule fois, ou par curio
des Romains prêtèrent à ce terme une signification moins étendue. On
prétend
que les plus anciens commentateurs ne l’employère
es de réduire les Drames en général au nombre fixe de trois Actes. Il
prétendait
que l’èxposition, l’intrigue & le dénouement
au sujet du nombre des Actes. Je ne sçais par quelle singularité nous
prétendons
qu’une Tragédie n’ait jamais moins de cinq Actes.
ongs en trois, à plus forte raîson seraient-ils insoutenables si l’on
prétendait
les augmenter. Qu’on ne pense pas se sauver à l’a
III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le
prétend
l’auteur de la Dissertation. La première chose
ement à son salut, et si le théâtre Français est aussi honnête que le
prétend
la dissertation, il faudra encore approuver que c
Paphnuce ; et c’est à quoi se réduit cette preuve si décisive, qu’on
prétend
tirer de Saint Thomas à l’avantage de la comédie.
rtains jongleurs, joculatores, qui divertissaient le peuple, et qu’on
prétend
à la fin que Saint Louis abolit, par la peine qu’
bonne grace. L’autre trait du P. Drexellius, de Infern. C. 8. Ce Père
prétend
que tous ceux qui ont été au bal, & sont mort
trois amans dont elle a eu des enfans, entr’autres Archéloüs, dont on
prétend
que sont venues les Sirenes, qui ont hérité des g
hanteuses sont de vraies Sirenes, qui s’emblent nager ou voler (on ne
prétend
pas que j’excepte celles de l’opera). La nudité d
le plus grand éloge des danses continuelles des Lacédémoniens, qu’il
prétend
que Lycurgue ordonna par une sage politique, pour
os. L. 3. de Virgin. L’Auteur donne beaucoup d’étendue à la danse. Il
prétend
que c’est en général l’art des gestes. Il y renfe
Cahusac la fait monter sur le théatre, c’est-à-dire sur son trône. Il
prétend
qu’elle n’est en France qu’à son berceau, que cel
de Chrétiens spectateurs s’en repaître journellement ? Enfin Cahusac
prétend
que les mimes & pantomimes (les plus excellen
, comme des forcénés, &c. Il a une idée, que je crois fausse ; il
prétend
que le chant ou les instrumens n’ont été mêlés à
e illumination éclaire toutes ces salles ; le Mercure de juillet 1769
prétend
qu’il y a cinq mille lampions, sans compter une i
être permise, ou si elle doit être absolument défendue. Ce Théologien
prétendu
(je l’appelle ainsi, parce que le Père Caffaro Th
olâtrie. Je ferai voir le contraire dans cet Ouvrage. La Lettre de ce
prétendu
Théologien ayant paru à Paris durant le Carême, p
ée et affichée par tout où besoin sera, afin que personne n’en puisse
prétendre
cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messi
x de cette Ville et Faubourgs que besoin sera, afin que personne n’en
prétende
cause d’ignorance, et exécutée nonobstant opposit
ée et affichée par tout où besoin sera, afin que personne n’en puisse
prétendre
cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messi
laissent pas de faire chanter sur leur théâtre des Musiciens, qu’ils
prétendent
n’être pas externes, sous prétexte qu’ils sont à
eau, lesdites Religieuses, et tous autres, puissent pour raison de ce
prétendre
aucuns dépens, dommages et intérêts à l’encontre
e Paris, l’Ordonnance de Sa Majesté ci-dessus, à ce que personne n’en
prétende
cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messi
és de cette Ville de Paris, l’Ordonnance ci-dessus, à ce que nul n’en
prétende
cause d’ignorance. Ce fut fait et donné par Messi
certains endroits, et de vous moins ennuyer par les réflexions que je
prétends
faire sur toutes les parties de cette Lettre, et
boulineurs dans les armées. Et c’est justement ainsi que Tertullien a
prétendu
que les Spectacles étaient interdits dans le prem
ectatione ludi constituunt. » Notre Docteur adopte cette réponse, et
prétend
qu’elle peut être appliquée à tout ce que l’on ob
uelle est proprement le dénouement de sa Pièce, et le moyen par où il
prétend
concilier les Scolastiques modernes avec les Conc
à l’autre : et parce que notre Docteur, à qui le temps est précieux,
prétend
que ce serait le perdre que de faire cette compar
mné la Comédie ancienne ; notre Docteur en demeure d’accord : mais il
prétend
en même temps qu’il ne reste rien dans la Comédie
la Comédie.» Avant que d’en venir à l’examen de ce que notre Docteur
prétend
trouver dans Tertullien et dans saint Cyprien en
ts, avoue que ce n’est point un mal de danser et de chanter ; mais il
prétend
que cela n’excuse point les Chrétiens qui assiste
en, et à reveiller l’esprit du monde. Quoi ! saint François de Sales
prétend
que des Spectacles et des poupées de dévotion son
iquée par Albert le Grand, dont il rapporte les paroles, et par où il
prétend
justifier la Comédie dans les sens de l’Ecriture
ssuyer ses larmes. Mais qui lui a donné une puissance si bénigne ? Il
prétend
la tenir de Dieu même : « Il n’obligerait pas, di
oqueurs dans la chaire de pestilence, (car c’est ainsi que Tertullien
prétend
que David a traité la Comédie,) il y a même de l’
sion avec les jeunes gens que l’on exerce dans les Collèges, et qu’il
prétend
que les uns ne sont pas plus infâmes que les autr
et d’Ecclésiastiques, ne font point de difficulté de jouer, et qu’ils
prétendent
que toutes ces Censures des Pères de l’Eglise, ne
il n’y a rien dedans qui blesse les Mœurs et le Christianisme, ils ne
prétendent
point la censurer : et, quand ils ne le diraient
r, qui n’est pas moins abondante en paradoxes que les précédentes. Il
prétend
donc premièrement que la circonstance des temps e
nt envie ? Ce sont là cependant les riches conclusions que le Docteur
prétend
tirer de la doctrine de saint Thomas : comme si s
un temps où ils doivent en se reposant imiter son exemple. Le Docteur
prétend
se tirer de tous ces inconvénients, en disant qu’
Thomas et Albert le Grand demandent dans l’usage des jeux, le Docteur
prétend
qu’elle est admirablement bien gardée dans les Co
ils ne doivent pas s’y rencontrer ; ce qui ne prouve rien de ce qu’il
prétend
, non plus que si je lui disais que les Comédies s
e notre Docteur, ni approuver sa douce Morale. Tout ce qu’il pourrait
prétendre
en Italie, suppose qu’il y jouât, ce serait peut-
tit, ils l’ont dépeinte comme l’ennemie et la rivale de la vertu. Ils
prétendent
qu’elle soit incompatible avec les plaisirs les p
condition, lorsqu’on change de terme ou de ton pour en parler ? Je ne
prétends
point ici prouver que les vers de Monsieur de Mol
puis que je ne blâme une insulte si condamnable et si mal fondée. Il
prétend
que Monsieur de Molière est un scélérat achevé, p
çu que les gens bien sensés ne sont point de son sentiment, lorsqu’il
prétend
que vous soyez impie, qu’il va vous prendre par u
ts moyens d’éclairer la multitude. Ce n’est pas, mes frères, que nous
prétendions
faire l’apologie sans restriction de tout ce qu’o
que « la charité s’étendait à tout et à tous », pourquoi vos évêques
prétendraient
-ils la restreindre à quelques-uns ? D’ailleurs, i
sévérité des mœurs françaises et la licence des mœurs italiennes. Que
prétendez
-vous donc par vos lois prohibitives ? Maintenir l
loire que lui. » Saint Antoinen s’exprime encore plus clairement. Il
prétend
que la profession de comédien servant au divertis
pour avoir raison d’une parole peut-être indiscrète, ou d’un affront
prétendu
. Et voilà ce qui a inondé la France d’un déluge d
ut appeler Christianæ Theatrales. Il faut donc que les vertus dont il
prétend
parler, et dont il dit que la Comédie est l’Ecole
que Dom Juan ne veut se lier nulle part, il se moque du mariage ; il
prétend
passer sa vie à dresser continuellement des piège
des filles qui lui plaisent, les cajoler, et en abuser. En un mot, il
prétend
vivre dans un entier libertinage. Son père a gran
t faire. C’est sous cet abri favorable de l’hypocrisie, que cet impie
prétend
mettre ses affaires en sûreté. Je ne quitterai pa
onné sa foi ; mais que c’est lui qui la lui a arrachée, et qu’elle ne
prétend
pas être obligée de se soumettre à toutes ses vol
s anciennes étaient moins condamnables que celles de ce siècle, on ne
prétend
pas pourtant qu’elles soient excusables en elles-
a toujours paru comme une école raisonnable de la vertu, & moi je
prétends
au contraire qu’elle donne au vice des leçons int
ormité, cacher sa laideur sous les ornemens de la Poësie. Corneille a
prétendu
justifier le Théâtre par le discredit de sa Théod
chants de Syrene, qui vous attirent pour vous dévorer. En effet, que
prétend
Corneille dans le Cid, sinon que l’on ait pour Ch
-Esprit, et pour l’obtenir, adressons-nous à Marie. Ave Maria. Je ne
prétends
rien exagérer, Chrétiens, et ce n’est pas mon des
norance de l’esprit de l’homme n’est jamais plus présomptueuse, ni ne
prétend
jamais mieux philosopher et raisonner, que quand
e générale aux points particuliers, surtout à celui que je traite. Je
prétends
qu’il y a des divertissements dans le monde, qui
té insoutenable, et où nul chrétien de bon sens ne tombera jamais, de
prétendre
que ces hommes de Dieu se soient tous égarés, qu’
t point blâmable, puisque ce n’est pas là ce que j’avance. Quand vous
prétendez
que le jeu, j’entends certain jeu, est indifféren
de la soutenir ; on ne les a pas actuellement ces moyens, à ce qu’on
prétend
, mais pourtant on a de quoi jouer. Parce qu’il fa
le voulez, ne va point à des excès remarquables ; mais Dieu néanmoins
prétend
avoir droit de vous les défendre, et en effet il
oi les loix de la conscience ont moins, ce semble, à réformer ? Or je
prétends
néanmoins, et vous en êtes aussi instruits que mo
e que j’en puis dire. Mais que j’attaque jusqu’à la promenade, que je
prétende
qu’il y ait sur cela des mesures à garder et des
ien à craindre dans les bals & dans les danses, comme le Monde le
prétend
, le Saint Esprit prendroit-il tant de soin pour n
t tâcher de les réfuter. Dem. Vous entreprenez beaucoup, quand vous
prétendez
qu’on doit s’abstenir des danses, des bals, &
t institutis, nullius debet esse momenti. Telle est la coûtume qu’on
prétend
justifier. C’est un abus que les Saints Pères ont
ent occasion au prochain d’offenser Dieu. Ils ont beau dire qu’ils ne
prétendent
pas consentir au péché de ceux qui s’en servent,
t en général sur les choses extraordinaires et merveilleuses dont ils
prétendaient
avoir été témoins pendant le cours de leurs longs
ouvement rétrograde, si contradictoire avec leur conduite passée, ils
prétendraient
frapper d’anathème ceux qui jouissaient de leur p
pas dûe, se fondent sur l’esprit de discussion & d’analyse qu’ils
prétendent
lui être nécessaires ; sur l’intelligence qui doi
ns, est une preuve de la supériorité qu’ils ont sur les autres. Et on
prétend
qu’après une attention si sérieuse, un choix si r
ence égale à celle qui caractérise les vrais hommes à talens, nous ne
prétendons
pas l’en dépouiller absolument. Nous l’avons insi
& donner du corps à l’harmonie. Diodore, & après lui Kircker,
prétendent
que la musique instrumentale, la prémière de tout
ce Terpandre, avança un sistême bien bizarre & bien étonnant. Il
prétendit
que le mouvement des sept planettes était mélodie
x qui se distinguoient dans les Sciences. Si quelque mal-adroit osait
prétendre
aux couronnes qu’elle distribuait, & qu’il fu
aient jusques aux nues. Les Platoniciens & les Pythagoriciens ont
prétendu
que c’était faire tort à la musique de lui donner
ier raisonnement du divin Platon, il prouve que je n’ai point tort de
prétendre
qu’ils la regardaient comme l’unique source de la
épublique de Platon sans savoir la musique. Timagène & Quintilien
prétendent
qu’elle est agréable aux essences immortelles. Le
ait détruire la Pierre, dont l’opération est si dangereuse, puisqu’on
prétend
qu’il y a des gens qui ne sauraient entendre le s
; c’est du moins ce qu’on lit dans un célèbre Voyageur. Quelques-uns
prétendent
que le faux Prophète des Musulmans ordonna lui-mê
aux sons de leur guittare, les charmes qu’ils adorent. Certain Auteur
prétend
avec raison, qu’il ne faut qu’une chanson amoureu
urs années, il s’en dégoûta, épousa la Princesse de Cantecroix, &
prétendit
que son mariage avoit été fait par force, se dégo
qu’il ne forma point de schisme & de nouvelle religion, comme ce
prétendu
chef de l’Eglise Anglicane, pour se venger du Pap
la femme de campagne craignant avec raison pour son état, engagea son
prétendu
mari à faire casser son premier mariage. Le Duc n
onfident du Duc & son Agent dans le département de ses amours. Il
prétend
que sa principale maîtresse traversa l’armée en h
ouronne de myrthe, de celle qu’il avoit manqué deux fois à Naples. Ce
prétendu
Roi de Naples avoit en tête ce Jean d’Autriche, b
e ne pas l’aimer , sur-tout quand on pense comme lui. Malgré ce génie
prétendu
extraordinaire pour la guerre, il ne réussit qu’à
des Théâtres. L’époque des Spectacles ne me paraît pas juste. On
prétend
qu’ils ne furent connus qu’environ deux cens ans
on avis ; il date de bien loin la naissance des Spectacles, puisqu’il
prétend
qu’ils ne la doivent qu’à la Nature. Voici une pa
ur le Père de la Tragédie, se serait-il barbouillé de lie, s’il avait
prétendu
débiter des maximes sérieuses ? Ce qui a port
s dans un état digne de pitié, s’ils l’avaient élevée au point que je
prétends
. Les troubles qui agitèrent le Royaume, causés en
u reste, les Mystères ont commencés plutôt que quelques Auteurs ne le
prétendent
; mais je ne m’éfforcerai point de le démontrer :
par attaquer les Indulgences, et finit par abolir la Messe. Vous avez
prétendu
que la culture des Sciences et des Arts est nuisi
s enfants qui souffrent. Mais ce n’est pas seulement un jouet qu’on a
prétendu
leur donner, ce sont des leçons utiles déguisées
able ; vous lui attribuez même un effet absolument contraire, et vous
prétendez
le prouver. Je conviens d’abord avec vous, que le
guérir ? Vous convenez que c’est l’objet de nos Tragédies ; mais vous
prétendez
que l’objet est manqué par les efforts même que l
hommes. Philinte m’a toujours paru, non pas absolument comme vous le
prétendez
, un caractère odieux, mais un caractère mal décid
Mais je m’aperçois, Monsieur, que je donne des leçons à Molière. Vous
prétendez
que dans cette scène du sonnet, le Misanthrope es
aller au sermon » 15. Ce discours me surprend dans votre bouche. Vous
prétendiez
un moment auparavant, que les leçons de la Tragéd
t en soutenant avec vous que la pudeur leur est naturelle ; ce serait
prétendre
que la nature ne leur a donné ni besoins, ni pass
e qu’à troubler le bonheur dont ils jouissent. Personne, Monsieur, ne
prétendra
le contraire ; des hommes assez heureux pour se c
aisé de répondre en deux mots à vos autres objections. Je n’ai point
prétendu
qu’il y eût à Genève un spectacle tous les jours
avoit beaucoup coûté, & il imagina le conte de la méprise de son
prétendu
valet-de-chambre qui le brûla : l’ouvrage n’est p
eure, cette piece suppose du talent. Mais qu’est-ce que le Traducteur
prétendu
d’un poëme que personne n’a vu, un Cassendiste qu
ns imprudens. Ils léveront le masque séducteur, sous lequel les vices
prétendent
cacher leur difformité. Ils prouveront que le but
e. Ces dignes Pasteurs détruiront tous les prétextes, par lesquels on
prétend
justifier ces prophanes amusemens. Ils feront voi
’il y eût personne qui le voulût conseiller à un Monarque. La Musique
prétend
être plus spirituelle que la Peinture, et elle pr
eur raisonnement, sont incertaines et douteuses. Mais les Astrologues
prétendent
qu’ils ne se peuvent tromper, parce que leurs pri
sonne ; mais ceux qui se montrent contraires à la liberté du théâtre,
prétendent
que, dans ce cas, leur application est dangereuse
la nécessité de la concurrence pour les progrès de l’art dramatique,
prétendent
qu’on doit se borner à l’érection d’un autre gran
que Théophraste étoit étranger. Il est inutile de répondre à ceux qui
prétendent
que les troupes seroient trop fatiguées par la ga
rvation d’un abus, parce que l’on a contracté des dettes, et que l’on
prétend
qu’elles sont hypothequées sur la jouissance de c
’autres propriétés, dont la valeur immense ne peut se calculer23. Ils
prétendent
que, si d’autres comédiens se permettent de jouer
s comptent donc bien peu sur leurs talens, sur cette tradition qu’ils
prétendent
posséder seuls, s’ils ne se croient pas en état d
erté, et de l’usage de ses facultés intellectuelles, pour prevenir un
prétendu
délit qu’il auroit pu commettre ; on le punissoit
es auteurs vivans, afin d’en devenir propriétaires, et qu’on les voit
prétendre
être les héritiers des auteurs, on a envie de s’é
t plus quand on a un autre intérêt que celui de la justice. Le public
prétend
-il conserver ses droits en abusant ? prétend-il q
de la justice. Le public prétend-il conserver ses droits en abusant ?
prétend
-il qu’on veuille lui plaire, si l’unique moyen d’
es suffoque, & ne les aiguillonne point. Quand on n’a plus rien à
prétendre
, on doit jouir dans une molle oisiveté. C’est ain
EMENT. Si cette Lettre n’est pas signée, ce n’est pas que l’on ait
prétendu
abuser du titre d’Anonyme, pour attaquer impunéme
ris de leur Ambroisie, c’est à dire des douceurs de l’espérance, vous
prétendez
donc consacrer vos veilles à l’Opéra-Bouffon ? Le
reux volumes, il s’éfforce de faire connaissance avec les Héros qu’il
prétend
faire revivre : Les Auteurs de notre Opéra doiven
aret mérite d’être observée ; il agit autrement que chez lui. Comment
prétendez
-vous saisir toutes ces nuances, si vous ne le sui
nnent à la vertu d’eutrapelie, ces jeux innocens eux-mêmes, S. Thomas
prétend
que ceux qui sont obligés de faire pénitence pour
as de la partie-inférieure, pourvu que son esprit demeure uni à Dieu,
prétende
que la comédie n’altère point en lui cette sublim
de piété : Nec permittendum misceri cantiones, balatas verba vana. Il
prétend
que les Musiciens & les amateurs de la musiqu
t au grand nombre, qui y pèche réellement, & au petit nombre, qui
prétend
ne pas y pécher, parce qu’il le met dans un dange
i favorable qu’on pense, & réduit presque à rien la liberté qu’on
prétend
se donner ; qu’ils ont contr’eux les plus grands
de l’Excommunication des Comédiens, tandis que en Italie, à ce qu’on
prétend
, ils n’encourrent pas cette censure : ce moyen us
utent sans être avoués, ils ne seront pas pensionnés. Est-ce que l’on
prétend
les réduire à mourir de faim ? Cette considératio
Pastorale & l’Opéra-Sérieux, Drames qu’il devait connaître. S’il
prétend
qu’il n’y a que trois sortes de personnages au Th
gramme du Chevalier de Cailly au sujet d’Alphana que quelques Sçavans
prétendaient
venir d’Equus ; il termina leur dispute par ce ba
oit-on encore faire un dernier effort pour soutenir le Théâtre, &
prétendre
que la nécessité où nous sommes de prendre quelqu
rive. Il lui demande d’abord « si la nouvelle qu’il a apprise » de ce
prétendu
mariage « est véritable ». À quoi, dans la terreu
semblé hors de propos à quelques-uns dans cette pièce ; mais d’autres
prétendent
au contraire, qu’il représente très naïvement et
qu’il la doit aimer, qu’elle ne sait comment le blâmer. Bien des gens
prétendent
que l’usage de ces termes de dévotion que l’Hypoc
ns laquelle les Poètes, qui étaient les Théologiens du paganisme, ont
prétendu
purger la volonté des passions par la Tragédie, e
et l’âme de toutes les autres Vertus. Je sais que le principe que je
prétends
établir a ses modifications comme tous les autres
naturels de la galanterie du tête-à-tête, qui est la dangereuse ; je
prétends
, dis-je, que ce caractère de ridicule, qui serait
onvient pas à sa mortification apparente et ne fait pas l’effet qu’il
prétend
; ce qui le rend ridicule, comme vous venez de vo
ent ridicule, comme il était nécessaire pour en tirer le fruit que je
prétends
. Vous me direz qu’il paraît bien par tout ce que
orce de la prévention, que je croirais prouver suffisamment ce que je
prétends
, en vous faisant simplement remarquer que les rai
première impression ne laisserait pas de produire tout l’effet que je
prétends
, comme je l’ai prouvé ; mais il est même faux qu’
cule sur l’esprit humain, comme de cette force procède l’effet que je
prétends
. Car la connaissance du défaut de Raison d’une ch
enons d’en examiner tous les traits. Ils sont tellement à ce que vous
prétendez
, particuliers au Héros, que les autres Génies n’y
dicules. Nos Erostrates modernes, cherchant sans pudeur la célébrité,
prétendent
créer un homme nouveau : ils nous ont effrayés pa
ement ? Quand commencerez-vous à nous être utiles en effet ? Vous qui
prétendez
nous faire accroire tant de choses extravagantes
douzième siècle, la musique était toujours mêlée à la déclamation. On
prétend
que ce fut Sixte IV. qui donna le prémier à l’Ita
ci, mais ils en citent un autre intitulé les Amours d’Hercule, qu’ils
prétendent
le plus ancien, dont les paroles étaient Italienn
parterre de l’Opéra-Sérieux. Les uns tiennent pour Lully, les autres
prétendent
qu’il n’était qu’un écolier en comparaison de Ram
a plus-part des règles des autres Pièces de Théâtre. Ceux qui ont
prétendu
que ses Poèmes n’étaient susceptibles d’aucune rè
des Dieux opèrent les prodiges les plus étonnans ? On a donc tort de
prétendre
que les Drames de l’Opéra ne sont fondés que sur
de goût. Je n’adopte pourtant point le sentiment de M. Rousseau, qui
prétend
que la danse étant par des gestes l’imitation de
des aventures amoureuses, dont le dénoument est toujours heureux : on
prétend
que le nom d’Opéras-Balets, qui tire son origine
le & sublime dont ils sont écrits. Je sais qu’il est des gens qui
prétendent
que le stile des Opéras-sérieux peut être poètiqu
cènes presque aussi cruelles dont le détail serait de trop ici. Je ne
prétends
pas cependant autoriser le mépris que l’on a géné
remords justifiants du Publicain leur Confrère. Tout excommunié qu’on
prétend
que je suis, je ne troquerais certainement pas mo
s en font souvent des incrédules au lieu d’en faire des justes. Je ne
prétends
point faire croire que ma profession édifie quoiq
étends point faire croire que ma profession édifie quoiqu’elle puisse
prétendre
à cet avantage pour l’avenir. Il me suffit qu’ell
ls sont capables ; mais un particulier comme moi, qui n’a pas lieu de
prétendre
à ce degré sublime d’utilité, et de capacité, un
r sans-doute, nous autres Comédiens, à examiner les professions qu’on
prétend
moins susceptibles de reproches, j’use donc de ce
e quelque chose à la perfection poétique de la Scène Française, je ne
prétends
pas en faire conclure qu’il manque quelque chose
? qui peut donc mieux offenser la pudeur que le vice à découvert ? On
prétend
que je n’ai cité ces derniers mots de Mr. Roussea
e qui éclaire toute l’horreur de la conduite du Conquérant ? Pourquoi
prétendez
-vous encore qu’« il n’y a que la raison qui ne so
ttez-moi de ne pas convenir de ce que vous dites, à moins que vous ne
prétendiez
que le Théatre suit et; embellit les nobles senti
petit à petit, et; ce changement, bien loin de prouver, comme vous le
prétendez
, qu’il faut absolument suivre et; embellir les mœ
, il falloit ne plus le flater dans ses défauts. Au reste, quand vous
prétendez
que les chefs-d’œuvres de ce grand homme tomberoi
; peu susceptible des beautés de l’original. « La Poétique du Théatre
prétend
, dites-vous, purger les passions en les excitant
sque Polifonte vient me dire : Un Soldat tel que moi peut justement
prétendre
A gouverner l’Etat quand il l’a sçu défendre. Q
prouvé à la représentation de votre piéce. Plaisanterie à part, je ne
prétends
pas que votre joli petit Opéra soit ennuyeux, mai
que sa mort et; celle de ses conjurés en est la juste punition. Vous
prétendez
que dans cette Piéce Caton fait le personnage d’u
d à son ennemi. Timeo Danaos vel dona ferentes. V. Æn. « Il n’a point
prétendu
, à votre jugement, former un honnête homme, mais
la piéce bien présente quand vous en avez entrepris la censure. Vous
prétendez
que le Misantrope dit : « qu’il a conçu une haine
s de droiture, l’urbanité et; la douceur. Au surplus tout ce que vous
prétendez
que Moliere auroit dû faire pour conserver le vér
ouer ? Encore une fois, ce n’est point la vertu du Misantrope qu’on a
prétendu
tourner en ridicule, ce sont tous les défauts qui
e, à proportion du pouvoir que nous avons eu de la multiplier ? Je ne
prétends
assurément pas justifier par-là le libertinage, i
imosité, ou mauvaise foi. Quant à l’ignorance, vous êtes connu, je ne
prétends
pas vous faire un fade compliment en vous disant
métier dont l’exercice pourra mettre celui qui l’a embrassé à même de
prétendre
à un dégré de gloire aussi éminent que celui d’êt
blic, et; non dans le particulier. Vous les gêneriez beaucoup si vous
prétendiez
les obliger à faire parade d’une honnête simplici
avec beaucoup d’attention, Monsieur, l’espece de révolution que vous
prétendez
devoir être produite par l’introduction d’une Com
time, mais j’avouerai de bonne foi, que malgré l’art avec lequel vous
prétendez
dérober leurs inconvéniens, ils ne laissent pas d
s, elle subsiste en un mot, telle qu’elle est, parce qu’on n’a rien à
prétendre
dans ses États, et; que quiconque voudroit vous i
1 On appelloit autrefois les Évêques Præsules, et; le docte Scaliger
prétend
que ce nom ne leur avoit été donné, que parcequ’i
mérite à être versificateur, que Poëte. Cependant des Auteurs connus
prétendent
que la Poésie de style, est-ce qu’il y a de plus
s prouver que leurs raisonnements sont plus spécieux que solides. Ils
prétendent
que la Poësie de style fait seule la destinée des
dont la valeur n’est n’y arbitraire, n’y dépendante des Loix. Nous ne
prétendons
point qu’un homme qui n’auroit pas la moindre idé
ion & de toute sorte d’états sont dans l’habitude d’y aller, sans
prétendre
commetre le moindre mal. Qui vous a donc appris,
rloit, à celle que nous condamnons. Je sai quel est l’endroit où vous
prétendez
que ce saint Docteur est si favorable aux jeux &a
donc évident que ce saint Docteur en parlant de la sorte, n’a jamais
prétendu
justifier la comédie, telle que l’ont condamnée l
est donc bien éloigné d’être aussi favorable aux comédiens qu’ils le
prétendent
, & de croire qu’on puisse en conscience rien
Princes, ni des Arrêts de la part des Magistrats qui la défendent, le
prétendu
usage en ce cas sera toujours un véritable abus q
pêchaient pas de songer à plaire aux Dames ; malgré sa galanterie, il
prétendait
passer pour savant en Hébreu, en Arabe et en Syri
poétiques ». Il s’enhardit dans la suite, et s’en faisait gloire. On
prétend
qu’il offrit une bonne somme à Corneille pour se
d’escrime, et assure que par politesse « il baise le fleuret dont il
prétend
lui porter une botte franche ». Enfin il lui offr
it le moins les attendre : « La qualité de Poète que le grand Armand
prétendait
réunir à tant d’autres, le rendit jaloux du Cid.
bien des erreurs sur la morale ; mais ce n’est pas ce que l’Eminence
prétendait
, elle voulait une critique, non une censure doctr
e. Il est vrai qu’en nous faisant une imputation si gratuite, vous ne
prétendez
pas nous faire une injure : &, si je compare
pour nous ; & que l’homme qui, conduit par ses propres lumières,
prétend
nous donner une définition exacte de cet Etre sup
t tout en mouvement pour harceler M. Collier ; et il n’y eut point de
prétendu
bel esprit qui ne lui lançât son trait de Satire.
ar conséquent une infinité de termes français doivent répondre. Je ne
prétends
pas néanmoins que ma traduction soit tout à fait
’elle pût être d’aucune utilité pour les mœurs, comme quelques uns le
prétendent
. En effet, quelque air de sagesse et de modestie
eux, qu’il renonça dans le moment, et pour toujours, à sa passion. On
prétend
que Cratès de Thebes ne connaissait que trois rem
andale arrive. » Nous devons prier Dieu pour l’Auteur de la Lettre du
prétendu
Théologien, qui a causé un si grand scandale : Ma
orme indiquée & desirée]. Mais notre ambition ne va pas jusqu’à
prétendre
corriger notre siècle. [Adelaïde. Rien ne me
es Drames du nouveau Théâtre, sont en général assez mal écrits, je ne
prétends
pas lui faire perdre l’estime de ceux qui veulent
i tout ce discours & cette défiance ? Qui vous dit qu’avec-eux je
prétends
M’allier43 ? La construction du Vers suivant me
ompagnie qu’à cause de notre Opéra-Bouffon. Voici deux passages de ce
prétendu
rival de Racine qui prouvent que dans l’autre siè
cette apostrophe ? Insensés, qui remplis d’une vapeur légère53… On
prétend
que le grand Rousseau éxcellait dans le choix des
romoteur de la foi fit beaucoup de difficulté sur ces spectacles ? Il
prétendait
que M. Vincent, Supérieur de S. Lazare, ne devait
foire S. Germain, sur la représentation de leurs pièces. Les premiers
prétendaient
qu’il n’était pas permis aux autres de faire des
couvrent par-dessus les leurs. D’abord il se moque avec raison de ce
prétendu
secret, comme si les Novices et les domestiques d
les pièces les plus comiques, soit imprimées, soit de leur façon ? On
prétendait
par ce moyen amuser innocemment la jeunesse, l’en
avantage, je ne saurois comprendre comme l’irreligion a pu adopter ce
prétendu
philosophe qui la déshonore, qui la combat 1°. A
nt ! LISETTE. Et, si vous me fâchez, c’est même un archévêque. ! Je
prétends
m’en donner de la bonne façon. SILVIE.
, Mon rôle même j’y jouerois. SILVIE. C’est par dévotion que je
prétends
m’y rendre. LISETTE. Mais sous les yeux de qui
èces qu’on écrira pour le nouveau Théâtre ; et, dans le cinquième, je
prétends
abolir entièrement la danse des femmes. Examinons
isément le contraire, et ne soient pas révoltés par mon système. Sans
prétendre
qu’il arrive dans les hommes une métamorphose si
fierté à tout Ecrivain qu’elle anime ; je crois qu’il m’est permis de
prétendre
à cette gloire, ainsi que vous. Je ne pense pas,
gles de la religion chrétienne. Mais le caractère de ce siècle est de
prétendre
allier ensemble la piété et l'esprit du monde. On
M. Rousseau a choisis. « Je sais, dit-il, que la poétique du théâtre
prétend
faire tout le contraire, et purger les passions e
s prouver que la Tragédie allume en nous les mêmes passions dont elle
prétend
inspirer la crainte, et qu’elle nous conduit aux
on générale devient inutile ; ce que M. Rousseau n’a certainement pas
prétendu
. A l’égard du Théâtre, rappelons-nous ce qui s’es
ête homme ; s’il a voulu se peindre lui-même dans Alceste, il n’a pas
prétendu
s’exposer à la risée du public ; s’il fait aimer
re a voulu humilier, pour flatter le goût de son siècle. Si Molière a
prétendu
faire briller Philinte aux dépens d’Alceste, jama
en dise M. Rousseau, n’être ni fourbe ni brutal. Molière n’a donc pas
prétendu
ni pu prétendre dégrader la vérité et la vertu, e
seau, n’être ni fourbe ni brutal. Molière n’a donc pas prétendu ni pu
prétendre
dégrader la vérité et la vertu, en les faisant un
ux mœurs de la scène comique Française, à moins que l’amour, comme le
prétend
M. Rousseau, ne soit même dans les personnages ve
re de régler les droits, il est clair que les femmes n’avaient rien à
prétendre
. Or, comme dans un état républicain tout homme pa
vertu factice, et un devoir de convention ; ce n’est pas là ce que je
prétends
. La pudeur naturelle interdit-elle aux femmes la
au commerce des femmes ce qui a des causes bien plus réelles. Vous ne
prétendez
pas sans doute que les femmes amollissent le labo
un seul. C’est donc nous supposer une âme déjà bien corrompue que de
prétendre
qu’elle analyse ses émotions composées, pour en e
irs passés nous sont encore présents. Comment donc M. Rousseau a-t-il
prétendu
que l’amour reste, et que l’objet s’efface ? Fera
a main de sa vertueuse amante : voilà donc les circonstances que vous
prétendez
qu’il oublie, pour ne conserver que l’impression
n’y a que la sagesse stoïque, ou l’insensible froideur. Voyez si vous
prétendez
faire de tous les hommes des Stoïciens, ou des ma
n, où ses études continuelles l’attachent ; qu’elle puisse d’ailleurs
prétendre
dans son état à tous les avantages que l’estime p
adinage qui donne l’échange à quelqu’un, en se moquant de lui : on ne
prétend
pas lui faire tort, ce ne sont pas des injures gr
eur expérience. Je dis plus, qu’on s’en rapporte au théatre même, qui
prétend
ne faire que jouer, representer ce qui se passe d
trouve dans les comédies, le plus fidel portrait des femmes, & il
prétend
que pour ne pas blesser leur délicatesse, on empr
dire de la Dévotion des Femmes, comme de la Religion Protestante, le
prétendu
Sexe devot, comme les prétendus Réformés, mais co
ssant. 2. Toujours ainsi que vous il produit quelque ouvrage, 3. On
prétend
qu’il fait plus on dit qu’il se répend. 4. Il mû
ns de la tolérance sont fausses, nous l’avons vu ailleurs ; le danger
prétendu
des désordres que pourroit occasionner la cessati
gion chrétienne. Mais il s'est trouvé des gens dans celui-ci, qui ont
prétendu
pouvoir allier sur ce point la piété et l'esprit
ation si infâme, « tum turpis et infami contagione fœdari ». Qu’il ne
prétende
pas abuser de notre charité jusqu’à vouloir nous
pas indigne. Quelques critiques modernes en ont douté, ce que nous ne
prétendons
pas examiner ici. Il est du moins certain que c’e
tus occupavit : totum illud diabolus et angeli ejus repleverunt. » Il
prétend
qu’il y avait des foyers ménagés derrière le théâ
elle dans tous les temps. Il la croit funeste même à la Cour, d’où il
prétend
que le bon ordre doit la faire bannir. C’était le
, ne l’entretiennent-ils pas ? « Desidiam prorogant Histriones. » Ils
prétendent
nous désennuyer : ces amusements sont pires que l
en même temps les noms de tous ceux qui lui ont fait savoir qu’ils y
prétendaient
. C’est la coutume que les Pères Confesseurs ont i
i, que l’on ose improuver les respectables décisions des Conciles. On
prétend
seulement faire voir les motifs qui ont occasionn
commencerent à s’établir en France, c’est-à-dire, comme plusieurs le
prétendent
, sous le regne de Charles le Chauve, dans le neuv
es Piéces eussent auparavant été présentées au Juge ; & Riccobini
prétend
, que ce Saint Archevêque n’a pas dédaigné d’appro
Chaire de Vérité, peut, comme tous les autres Membres des Académies,
prétendre
à inspirer la politesse & l’honneur. Dans le
; le Devin de Village, décide bien plus sévèrement encore : puisqu’il
prétend
qu’elles sont pernicieuses ; destructives pour le
qui doit la débiter : mais, par cette raison même, c’est à lui, s’il
prétend
au mérite solide d’être un Citoyen utile, estimab
ortables aux yeux des femmes sensées, plus courus des folles ; ils ne
prétendent
que cela. Une Comédie qui ne corrige pas le vice,
t la balance gardera-t-elle l’équilibre ? Mais, diront les Misomimes,
prétendez
-vous que des Baladins… Je ne veux rien qui soit c
ue par l’égoïsme sacerdotal, et par le machiavélisme politique. On ne
prétend
pas dire qu’il faille exciter le peuple à se livr
n bien commun qui appartient à tous les citoyens ; chacun a droit d’y
prétendre
selon les circonstances dans lesquelles il se tro
ls la perfidie est une action vertueuse et qui en trompant les hommes
prétendent
servir le ciel. Comment pourrait-on en effet se f
ns dans ce bas monde, et que c’est à tort qu’on voudrait l’accuser de
prétendre
avoir le droit de disposer de la vie, et de la co
ies, ou que de leur temps il s’y passait des choses déshonnêtes. S’il
prétend
par ce qu’il appelle idolâtrie qu’il s’y faisait
dues de toutes les Comédies d’autrefois, en comparaison desquelles il
prétend
que les nôtres, ou plûtôt les siennes, sont confo
is de peur qu’il ne semble que j’en veuille excuser quelques-unes, je
prétends
comme tous les gens sages ont prétendu, et parmi
ille excuser quelques-unes, je prétends comme tous les gens sages ont
prétendu
, et parmi les Païens et parmi les Chrétiens, que
’il savait n’être pas véritables ? Ce Comédien lui répondit, comme le
prétend
notre Apologiste, qu’il n’y avait point de mal à
les joue à présent. Le premier moyen par lequel l’Auteur de la Lettre
prétend
le prouver, est parce que ce grand Docteur dit,2æ
affections. » Ensuite pour empêcher les fâcheuses impressions, qu’il
prétend
avec raison demeurer dans l’âme après ces sortes
à présent soient si réformées, si modestes, et si bien réglées que le
prétend
celui qui leur a composé une nouvelle Apologie :
plaise que je veuille autoriser ce que l’Église a condamné ; mais je
prétends
que si on fait plus de quartier à ceux qui commet
lle ne peut les empêcher tous. Jamais, par exemple, les Souverains ne
prétendirent
punir les mauvais desirs quand il n’en a paru auc
i travaillent pour la Comédie, on ne peut point les condamner. Ils ne
prétendent
coopérer qu’à une chose bonne en elle-même, et qu
par d’autres raisons comme de surcroît » ; et sur ce que quelques-uns
prétendaient
, que l’Ecriture ne parlait point des Spectacles,
sainte Assemblée34. « Comment ces gens-là, dit ce Père, pourront-ils
prétendre
d’approcher des lieux saints et participer aux bi
it trouvé qu’une simple vanité, comme les défenseurs de la Comédie le
prétendent
. On ne peut pas douter que du temps de saint Bern
re trois réflexions. La première est, qu’il n’est pas vrai, comme le
prétendent
ceux qui prennent la défense de la Comédie, que l
e ceux qui entreprennent la défense de la Comédie et de la justifier,
prétendent
que ce grand Prélat ne la condamne que pour les F
touchant, afin qu’elles puissent exciter dans l’âme l’effet que l’on
prétend
; afin que les sujets que l’on choisit puissent p
ges, on en devrait blâmer l’usage comme celui des Comédies. Ceux qui
prétendent
excuser les personnes qui vont à la Comédie, dise
ponsable du scandale que vous avez donné aux autres. » Enfin ceux qui
prétendent
qu’en allant à la Comédie, elle ne leur fait aucu
ce retranchement de choses immodestes que l’on a fait, à ce que l’on
prétend
, dans la Comédie, la rend plus dangereuse et plus
re XXI. Si les Comédiens épurent les mœurs. Des bienséances qu’ils
prétendent
avoir introduites sur le Théatre C’ est peu d
n des talens qu’il n’a pas, & un titre qui ne lui est pas dû ; on
prétend
qu’il épure les mœurs, & il s’en flatte lui-m
de ce Saint. Il est temps de la dépouiller de l’autorité qu’elle a
prétendu
se donner par le grand nom de Saint Thomas et des
violent les lois ; et on demanderait à l’autorité spirituelle si elle
prétend
avoir le droit de lancer un anathème dont l’effet
et des comédiens, pour le plaisir et l’instruction du public, ont-ils
prétendu
se damner, eux et leurs sujets, par la fréquentat
l’infamie dont cette honteuse production sera à jamais flétrie. Je ne
prétends
pas dire que cet écrit ne contienne quelques réfl
de s’affectionner à ces malheureux spectacles. Je sais bien que l’on
prétend
qu’il faut faire beaucoup de distinction entre le
encore plus clairement combien est imaginaire la différence que l’on
prétend
mettre entre les comédies de ce temps-ci, et les
, et à l’attacher à la créatureIbid. ; 7. parce qu’il est ridicule de
prétendre
en pouvoir faire un bon usage, et les rapporter à
spectacles de nos jours sont exempts de crime, comme quelques-uns le
prétendent
, on ne peut au moins disconvenir, que ce ne soit
ingénieux, & de plus persuasis. Je sçay, qu’un Critique célebre
prétend
, que Tertullien fit son Traité des spectacles, lo
’il n’y ait rien là que d’innocent, & leurs raisons, c’est qu’ils
prétendent
; Que l’Ecriture ne les a pas condamnez. Que les
es, parce, disent-ils, que tout cela est accompagné d’immodestie. Ils
prétendent
, que les voix & les instruments qui animent &
non manducet. Et si la nourriture même ne leur est pas dûë, osent-ils
prétendre
au plaisir ? Mais,5. poursuit-on, du moins ce pla
e des Clercs. Les Laïques ont toujours disputé sur la liberté qu’ils
prétendent
avoir d’assister à ces sortes de divertissements
té, l’éclat de ses fonctions de vicaire de Jésus-Christ sur la terre,
prétend
à une supériorité directe sur les rois. Cette sup
ralement embrassée et établie par les premiers Maîtres de l’art : ils
prétendent
, ces Maîtres (mais en ce point je ne sais si leur
s Maîtres (mais en ce point je ne sais si leur avis est bien sûr) ils
prétendent
, dis-je ; que lorsque le Héros de la Pièce doit s
ue. N’est-il pas clair, après ces réflexions, que les Poètes Grecs ne
prétendirent
jamais affaiblir la compassion dont les Spectateu
trophe. D’un autre côté, si les Tragédies (comme quelques Modernes le
prétendent
) devaient toujours être nommées du nom de l’Acteu
iques qui blâment la philosophie et les lumières qu’elle répand ; qui
prétendent
que les hommes s’égarent et tombent dans le fossé
e avancer et entreprendre de prouver à mon tour et à ma manière, sans
prétendre
le faire mieux que mes prédécesseurs, mais, pour
etomberions dans la barbarie dont nous sommes à peine sortis. Si l’on
prétend
, à cause des taches qu’on voit dans le Soleil, qu
De simples ridicules deviennent souvent des vices dangereux. On
prétend
que la Comédie ne corrige les hommes que de quelq
andale et par les menaces du châtiment. A moins donc que M. Dryden ne
prétende
que le Paganisme et le Christianisme ne diffèrent
ne Comédie l’admettait ; Aristophane en est une preuve. Je sais qu’on
prétend
que le Chœur fut banni de ce qu’on appelle la nou
ornes qu’un Poète ne doit jamais franchir. Mais, quel principe que de
prétendre
établir pour base de la Comédie, le plaisir ? pri
n que le Ciel ne soit obligé de pardonner à une belle personne. Et de
prétendre
ici qu’il faut passer à Torrismond ces extravagan
u’on s’est avisé de l’avoir. Pour ce qui est de Molière en France, il
prétend
n’avoir point poussé la Satire au-delà du faux Ma
ité nécessaire anéantit la Religion, et par la loi du plus fort qu’il
prétend
établir, ébranle les fondements de la société et
s suffrages, il s’en tient à celui des amateurs de la Comédie : je ne
prétends
pas aussi le réformer par cet écrit, mais seuleme
nos jours jouent sans scandale, et d’une manière qui soit licite. Je
prétends
que non : et si je le prouve, il faudra que le Ré
. Si, dis-je, le Théologien avait pensé à cela, il aurait eu honte de
prétendre
excuser la Comédie par les circonstances des temp
uvelles découvertes qu’il eût faites. Pour l’honneur des Comédiens il
prétend
que les Cabaretiers dont on fait aujourd’hui « d’
sur la Comédie, en 1732, dit, « que notre Théatre, tout épuré, qu’on
prétende
qu’il soit, est très-dangéreux à fréquenter ; par
us récens Apologistes des Théatres ; Mr. Nougaret, un des plus zélés,
prétend
qu’ils sont l’école des mœurs, dans son livre int
’est-à-dire une nation corrompue, & c’est pour ces raisons, qu’il
prétend
, qu’il nous faut d’autres plaisirs, que ceux du c
r. Louis Racine à Mr. de Valincourt. Notre Théatre, tout épuré qu’on
prétende
qu’il soit, est très-dangéreux à fréquenter ; dit
t laisser une libre carriere au désordre, sous prétexte de dévotion ?
Prétendra-t
-on, qu’ils facilitent le crime, pour détourner le
contraires à l’esprit du Christianisme. Il est donc palpable, que ce
prétendu
raisonnement ne peut sortir de la bouche d’un fid
. Multi vocati, pauci electi. Mais dès qu’on blame leur conduite, ils
prétendent
la justifier par celle du plus grand nombre. Ce n
d Théatrum insaniæ ; mendax est. Noli imitari turbas concurrentes. Le
prétendu
Philosophe n’ayant rien à répliquer à des vérités
u prononce une sentence de mort contre son indigne Ministre, & le
prétendu
innocent. Voilà, Madame, dit le brave Chevalier,
oint confessée d’un péché honteux ; donc il n’est point péché. Par ce
prétendu
raisonnement, ne feroit-on pas bientô : disparoit
le Ciel, de punir des crimes, qu’il fait commettre aux hommes, qu’on
prétend
même n’être pas libres ; comme dans Phedre &
t scandaleux, et les Modernes ont bien fait de le proscrire ; mais le
prétendu
amour honnête, que les Modernes ont introduit, ne
dispositions des loix ecclésiastiques contre les Comédiens, l’Auteur
prétend
aussi s’en dégager, en disant qu’elles ne regarde
s & inévitables de la société civile. Telle est la décision de ce
prétendu
Casuiste, qui proteste qu’il ne s’est arrêté ni à
Sales, & de S. Charles Borromée, de même qu’à la différence qu’on
prétend
trouver entre le sentiment des Peres de l’Eglise
nd aux passages de S. Thomas & de S. François de Sales, dont on a
prétendu
se servir en faveur de la Comédie. Traité de la
à ces émotions toujours si dangereuses. Et quant à l’avantage que le
prétendu
Théologien a tiré de la foiblesse que certains Ec
siastiques ont d’aller aux Spectacles, il le réfute par l’aveu que ce
prétendu
Théologien a lui-même fait qu’il se feroit un scr
ne le fait pas toujours ». Discours sur la Comédie. Paris, 1694. Le
prétendu
Théologien, Défenseur de la Comédie, est réfuté d
Auteur de ces Discours. Le premier est une réfutation de la Lettre du
prétendu
Théologien qui avoit entrepris la défense de la C
iques, il n’en est pas moins vrai que notre Théatre, tout épuré qu’on
prétende
qu’il soit, est très-dangereux a fréquenter ; par
rlai, Archevêque de Paris, 1694. Ce Religieux y désavoue la Lettre du
prétendu
Théologien qu’on lui avoit attribuée. Cette rétra
de Dijon ; mais cette Académie, en le couronnant, n’a pas sans doute
prétendu
approuver l’indécence avec laquelle l’Orateur y a
si foiblement, qu’il se mettoit dans le cas de rendre les armes à son
prétendu
adversaire. C’est en effet la conclusion de sa Ré
Pour prouver que les Jeux scéniques ne sont pas aussi innocens que le
prétendent
leurs défenseurs, Dom Ramire remonte à leur origi
le désordre & le scandale étoient aussi énormes que D. Ramire le
prétend
, comment les tolere-t-on ? Comment ont-ils passé
rnement civil pouvoit présenter sur quelques objets. L’avantage qu’on
prétend
pouvoir tirer de ces irrégularités, est souvent c
t donné lieu à de nouveaux désordres. Les tempéramens mêmes dont on a
prétendu
user pour les concilier avec les bonnes mœurs ; s
ivant les principes de S. Thomas, dont les Apologistes des Spectacles
prétendent
pouvoir s’autoriser, il est évident que les Théat
s, au lieu de chercher à nous corriger, nous nous applaudissons de ce
prétendu
avantage ». Nous ajouterons ici, pour fortifier c
tolérât les Théatres : mais il ne les croyoit pas tolérables dans le
prétendu
état de pureté dont M. Fagan se contente. On trou
orales propres à réformer le vice. Il ajoute, en répondant à ceux qui
prétendent
qu’il ne se trouve point de défense expresse dans
urs, à l’art dramatique, en ont parlé avec éloge ; mais ils n’ont pas
prétendu
faire l’apologie des Théatres publics, tels qu’il
été ci-devant parlé p. 251 de nos Lett. & 201 de ce vol. « Je ne
prétends
point, dit Werenfels, plaider la cause de ces vil
. trag. M. Dorat, dans cette description ingénieuse, n’a sans doute
prétendu
caractériser que ceux qui ne font pas honneur à l
e Blanc, Auteur de la Tragédie des Druides, a bien protesté qu’il n’a
prétendu
attaquer que le fanatisme, le plus grand ennemi d
se perd par sa fatuité. Contre un juste Public, un Auteur révolté, Se
prétend
bel-esprit, malgré son ignorance. Le Maître de Mu
tion des objets les plus capables d’irriter les sens. Il alla jusqu’à
prétendre
excuser la foiblesse de ceux qui se livrent à l’i
nestes de la corruption de nos Théatres. « Cette école, dit il, qu’on
prétend
être destinée à inspirer la vertu, est devenue ce
de l’action ? Avec de pareils remedes, on rend incurable le mal qu’on
prétend
guérir ». Nos jeux de Théatre ne sont pas seuleme
assion de l’amour des Pieces qu’on écrira pour le Théatre réformé. Je
prétends
aussi abolir entiérement la danse des femmes. Mai
e mépris des gens honnêtes ; que c’est ridiculement que des personnes
prétendent
relever la profession de Comédien, sous prétexte
vec raison, comme un Ouvrage fait dans le plus grand délire. L’Auteur
prétend
qu’il faut nécessairement que le François change
squelles tout devroit inspirer le plus grand respect ? En fin peut-on
prétendre
de bonne foi que ce soit pour prendre des leçons
er de respect aux vieillards, en se vantant de les surpasser. Mais ce
prétendu
Vaudeville étoit comme consacré par le vœu d’une
de la Danse, c’est-à-dire de son ancienneté. Les érudits en antiquité
prétendent
que ce fut d’un nommé Andron, Sicilien, que les G
étif raisonneur, mais fidele interprete des pensées du Public215 ; je
prétends
que nous n’avons pas assez des Théatres actuels,
une qui fût plus réelle & plus utile dans les objets, & l’on
prétend
que ce qui y contribua le plus, fut la traduction
eurs bayonnettes, dans le Parterre, & se réunissent au centre. On
prétend
qu’on cria d’une loge de faire feu. On dit aussi
enir ? Y auroit-il à espérer quelques biens auxquels je ne puisse pas
prétendre
? ou, ce qui seroit bien plus terrible, aurois-je
s nous soumettent impérieusement à leurs décisions tranchantes, &
prétendent
nous donner pour les vrais principes des choses,
l’esprit droit & le cœur pur, s’ils étoient humains, comme ils le
prétendent
, ils recevroient à mains jointes une Religion qui
pour terminer les différents des Particuliers. Il y fait voir que le
prétendu
point d’honneur & le duel dont nous avons eu
les Antagonistes qu’elle avait de son tems. « Comment, s’écrie-t-il,
prétend
-on persuader à des Spectateurs que sans changer d
que je ne passe que deux heures à considérer telle Pièce ; & vous
prétendez
me faire croire que j’y emploie un jour entier !
qu’on s’imaginerait la devoir, ou à d’autres causes étrangères. Je ne
prétends
point que l’action allat bien avant dans la nuit.
efforts pour justifier l’usage des maximes dans le poëme tragique. Il
prétend
qu’on n’y doit pas moins instruire que toucher &a
int ce que c’est que de flatter le crime, et à mon avis, quiconque le
prétend
L’Anglais dit : Complimenter le crime, c’est n’a
qui le flatte, comme il mange ce qui lui plaît. Quelques Auteurs ont
prétendu
que chaque Nation, & même chaque homme avoit
cité avec éloge par les beaux esprits. Pasquier dans ses recherches
prétend
qu’un des grands maux que les Croisades ont fait
, la hauteur vertu, l’orgueil décence, la volupté politesse. Pasquier
prétend
que c’est encore l’origine de la poésie galante,
elle faisoit des amans par-tout, jusques chez les Mahométans où l’on
prétend
qu’elle fut aimée de Saladin, allumant par-tout l
de Londres est encore moins décent, & l’Anglois, plus sincère, ne
prétend
ni se justifier lui-même, ni excuser ses Actrices
x Reuchlin ou Fumée à qui cet honneur soit dû, comme les Allemands le
prétendent
. On seroit étonné de voir la sainteté d’une si vé
ssemblées, uniquement occupées des affaires de religion, n’ont jamais
prétendu
avoir inspection sur la police. Quoique l’Église
rédiction d’Horace ! De quel âge de la comédie, de quels saints Pères
prétend
-on parler, quand on la dit si différente de la nô
r venir à votre but qui est de venger la poésie d’un affront que vous
prétendez
qu’elle a reçu. « Le crime du Poète (dites-vous à
n de Notre-Seigneur en Tragédie r », mais quoiqu’il en soit, si vous
prétendez
vous servir de cet exemple, il faut vous résoudre
e plus grand que vous faites à ceux de Port-Royal, et par lequel vous
prétendez
les rendre coupables des mêmes choses qu’ils cond
t par là que vous commencez et que vous finissez votre lettre. « Vous
prétendiez
, lui dites-vous,ai prendre la place de l’Auteur
) sans contredire le fond, veut rendre leurs intentions suspectes. Il
prétend
que « Nicole ne composa son traité que pour se ve
itations, de placets, de protections, Molière, à la faveur de quelque
prétendu
changement, obtint la liberté de la représenter.
l’irréligion. C’est la plus scandaleuse de toutes ses pièces. Il y a
prétendu
comprendre, dans la juridiction de son théâtre, l
l’emporte cent fois sur le bien ? et dans quelle bouche place-t-on ce
prétendu
bien ? dans celle du maître, homme d’esprit, homm
▲