168. art. 2 et 3. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, articles 2 et 3]. , on oppose deux articles
IIae, question 168, articles 2 et 3]. , on oppose deux articles de la
question
de la modestie extérieure, et on ditPage 4 et sui
est bien certain, que ce n’est pas ce qu’il a dessein de traiter. La
question
qu’il propose dans l’article second est à savoir
un terme qu’il nous faudra bientôt expliquer. Au troisième article la
question
qu’il examine est à savoir s’il peut y avoir de l
168. art. 2 et 3. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, articles 2 et 3]. Page 4 et suiv. [« Lettre
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16,
question
4, article 2 in corpore]., qui est le même que no
traire à la prétention de notre auteur. Saint Thomas traite ici trois
questions
dont les deux premières appartiennent au sujet de
t se réduit comme on voit, à bien peu de choses. Mais dans la seconde
question
où il s’agit en particulier des spectacles, il dé
. q. 168. art. 4. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 4]. dans la question de la somme que
Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 4]. dans la
question
de la somme que nous avons déjà tant citée, artic
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16,
question
4, article 2 in corpore]. Ci-dessus, n. 23.ad I
. q. 168. art. 4. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 4]. Object. I. [ibid., objection 1].
39. 3. ad. 3. q. 96. 2. c. [saint Thomas, Somme théologique, Iª IIae,
question
39, article 3, ad. 3, question 96, article 2. c.]
nt Thomas, Somme théologique, Iª IIae, question 39, article 3, ad. 3,
question
96, article 2. c.].k L’Église même, dit saint Au
39. 3. ad. 3. q. 96. 2. c. [saint Thomas, Somme théologique, Iª IIae,
question
39, article 3, ad. 3, question 96, article 2. c.]
nt Thomas, Somme théologique, Iª IIae, question 39, article 3, ad. 3,
question
96, article 2. c.].k Epist. ad Aur, 22. n. 5. O
Ibid. art. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 2. c.]., dont « la première et la pr
7. art. a. ad. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
87, art 2, ad. 2]., dit-il, le gain qui provient
Ibid. art. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 2. c.]. Ibid. a. 2. q. 87. art. a.
7. art. a. ad. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
87, art 2, ad. 2]. z. [NDUL] Convaincre, avec un
68. art. 2. ad. I. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIªIIae,
question
168, article 2, ad. 1]. : par où il entend toujo
plaisanterie fût défendue ; mais on a pu voir que ce n’est pas cette
question
que Saint Ambroise propose, et on sait d’ailleurs
. 168. art. 4. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 4, c.].« ces sortes de délectations
68. art. 2. ad. I. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIªIIae,
question
168, article 2, ad. 1]. Lib. 3. in Epist. ad. Ep
. 168. art. 4. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 4, c.]. ap. [NDUL] Thomas s’appuie
t atteint le vrai but que la Comédie doit se proposer. Quand dans une
question
quelconque, on a établi un principe vrai ou suppo
n quelconque, on a établi un principe vrai ou supposé tel, toutes les
questions
qui naissent de la premiere, doivent se résoudre
il est parti. Il s’agit donc pour donner la solution de cette seconde
question
de se rappeller le principe établi au commencemen
nner de l’horreur : de cet examen naîtra la décision de cette seconde
question
. Le caractere dominant des François, si je ne me
nt jamais eue. Je devrois peut-être pour l’examen de cette importante
question
, faire passer en revue tous les Auteurs qui ont t
par le portrait des excès auxquels cette folie peut conduire. Il est
question
maintenant d’examiner comment Moliere fait parler
, dont l’approbation & la permission lui avoient été refusées. La
question
touchant l’Excommunication encourue par le seul f
r l’un ou par l’autre avec autant de sagesse que de lumieres ;) cette
Question
, disons-nous, est soutenue affirmativement &
constances ils croyent donc devoir proposer à la Cour que le Livre en
question
sera lacéré & brûlé par l’Exécuteur de la Hau
atiere sur ce mise en délibération : LA COUR, ordonne que le Livre en
question
sera lacéré & brûlé par l’Exécuteur de la Hau
in-4°. p. 384. Ce traité n’est que la réponse d’un Théologien à trois
questions
, qui font tout le plan de son Ouvrage. Tout y est
une Edition des Œuvres de D.P. Calderon de la Barca ? Voilà les trois
questions
dont il s’agit. Le but de l’Auteur dans cette con
leur personne, ni à leur intention. Pour établir d’abord l’état de la
question
, D. Ramire distingue dans la Comédie son essence,
extes qu’employent les partisans de la Comédie ; passons à la seconde
question
: peut-on autoriser ce Spectacle ? On peut aiséme
tions la même abondance de doctrine. L’Auteur entre dans la troisième
question
par une exposition de la doctrine qu’on lui oppos
. p. 384. C e traité n’est que la réponse d’un Théologien à trois
questions
, qui font tout le plan de son Ouvrage. Tout y est
ne Edition des Œuvres de D. P. Calderon de la Barca ? Voilà les trois
questions
dont il s’agit. Le but de l’Auteur dans cette con
leur personne, ni à leur intention. Pour établir d’abord l’état de la
question
, D. Ramire distingue dans la Comédie son essence,
extes qu’employent les partisans de la Comédie ; passons à la seconde
question
: peut-on autoriser ce Spectacle. On peut aisémen
tions la même abondance de doctrine. L’Auteur entre dans la troisième
question
par une exposition de la doctrine qu’on lui oppos
ui se défie de ses propres lumieres : Pour décider définitivement la
question
, vous avez agi prudemment de vous en rapporter au
on éloquence impétueuse & féconde le promene souvent à côté de la
question
: si l’on retranchoit les récapitulations, les pr
vangeliques : sa proposition n’est point exclusive, comme l’Auteur en
question
voudroit le supposer ; il n’y avoit eu pour lors
avoit fort envie d’innocenter. Ce sujet ne touche par aucun bout à la
question
des Spectacles ; mais en parcourant les délits qu
2. q. 168. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 2. c.]. . Il faudrait donc pour tir
2. q. 168. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 2. c.]. Eph.V.4. [Epître de saint P
n second lieu j’éprouve une vive satisfaction à vous entretenir de la
question
qui s’est agitée entre nous et à vous faire juge
ntroverse d’autant plus difficile encore, que vous étiez réduit à des
questions
extrêmement laconiques, et que, par les longs dév
mares, je commence par le théâtre. Mon intention a été de. traiter la
question
suivante : Une personne qui va au spectacle comme
qui protègent le plus notre sainte religion. Je viens maintenant à la
question
des bals. C’est là que vous paraissez vous croire
ie, me juger avec bonté, et prononcer dans votre haute sagesse sur la
question
que tous deux nous avons débattue. Il était d’aut
iter des avantages que la faiblesse de vos arguments me donne dans la
question
: peut-être en avez-vous de plus convaincants à p
ous trois m’ont assuré que vous aviez tort. Je ne leur ai fait aucune
question
sur le premier objet de votre libelle : les matiè
si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêmes, c’est faire une
question
trop vague ; c’est examiner un rapport avant que
nt rien pour le cœur ni pour l’esprit : on peut donc alors avancer la
question
et conclure en faveur des spectacles. La Tragédie
là, rien qui ressemble au commentaire de Bossuet ». Il y est pourtant
question
de « l’ancien différend » entre poésie et philoso
là, rien qui ressemble au commentaire de Bossuet ». Il y est pourtant
question
de « l’ancien différend » entre poésie et philoso
n des gens trouveront que personne n’a mieux touché au but dans cette
question
que M. le Franc. 2 Les louanges qu’elle a reçues
sseur de troisième, qui s’étoit proposé sérieusement d’examiner cette
question
, Racinius an Poëta ? an Christianus ? Ces Lettres
p; sur quoi, M. P., vous pourrez proposer vos difficultés. Premiére
question
. Vous commencez d’abord, M. P., par nous faire
blique du vice, & le triomphe du démon dans le monde. Seconde
question
. Il faut avouer, M. P., que les auteurs que v
le aux jeux & aux gens de théatre. C’est dans sa seconde Seconde,
question
168. Voici comme il y parle. « Officium histrion
puisqu’au contraire il les réprouve avec tant chaleur. Troisiéme
question
. Nous n’avions pas été chercher les choses dan
qui ne sera jamais regardé que comme un véritable abus. Quatriéme
question
. Toutes les autorités que vous rapportez, M. P
si modeste, & où vous ne reconnoissez aucun danger. Cinquiéme
question
. Je ne sai pas à mon tour ce que les comédiens
lut des comédiens est en danger par une telle profession. Sixiéme
question
. Tant d’autorités nous épouvantent, M. P. : &a
i les rend si odieux à toute l’Eglise & aux Saints ? Septiéme
question
. Vous finissez, M. P., de solides réponses par
loi au contraire paraît dire qu’il faut en faire métier ou habitude :
question
superflue ; qui peut compter les pièces que joue
illam ignominiosam exarcuerint ». Ce qui pourrait servir à décider la
question
de Panorme, dont nous venons de parler. Cependant
nous de plus dans tout cet ouvrage ? Ces procès ont fait naître deux
questions
de droit importantes. 1.° Les Comédiens de provin
serait une profanation dans les contractants et dans le Ministre. 2.°
Question
plus délicate. Lorsque le demandeur en cassation
n peut voir ces deux plaidoyers de Messieurs Cochin et Laverdi, où la
question
est savamment traitée pour et contre, et où l’on
ppelé Scaramouche, fournit une autre aventure de théâtre et une autre
question
de droit, rapportée tout au long, T. 4. Plaid. 47
Comédien pouvait le faire présumer, dit M. Daguesseau. C’est une des
questions
de la cause, s’ils étaient unis par un engagement
ugea une pension alimentaire. M. l’Avocat général traite savamment la
question
de droit, et démontre ce grand principe qu’il n’y
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16,
question
4, article 2, réponse à la sous-question (quaesti
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16,
question
4, article 2, réponse à la sous-question (quaesti
ntation. JE terminerai ce quatrième Livre après avoir éxaminé une
question
très curieuse, & qu’il est important de résou
s Auteurs célèbres qui ont écrits des Drames décide tout d’un coup la
question
. Ces grands génies auraient-ils mis tous leurs so
hommes ». Qu’après un très long discours, il laisse la décision de la
question
imparfaite. Si ces Messieurs avaient tant soit pe
e point dans une longue Dissertation, pour ne faire qu’embarrasser la
question
et la rendre plus difficile à décider, comme a fa
ain, dont l’excommunié est le sujet. Je ne m’étendrai point sur cette
question
, qui cependant, mériterait d’être d’autant plus é
ce, aux prérogatives, et à la dignité de l’autorité temporelle. Cette
question
tient aux plus hautes considérations, puisqu’elle
cause de sa profession de comédien. L’excommunication dont il est ici
question
, est celle qui serait portée par une loi canoniqu
contre des accusés non encore convaincus, le supplice horrible de la
question
, bientôt il renouvellerait les rigueurs de la Sai
pétition de principe, la supposition pour vrai, de ce qui n’est qu’en
question
. Cette supposition est entièrement contraire à la
e il ne se trouvera pas qu’il juge en aucune manière de ce qui est en
question
, sur la Comédie qui en est le sujet : car, pour l
au particulier de tout ce qu’elle contient, ce qui est le point de la
question
, et s’attache simplement à combattre une objectio
faits et des raisonnements susceptibles de fixer mon opinion sur une
question
intéressante : L’état des comédiens sous le point
intéressante : L’état des comédiens sous le point de vue religieux ;
question
d’ordre social qui se reproduit sans cesse, et qu
ndre aux faits que l’auteur a réunis pour appuyer son système dans la
question
. Après avoir retracé l’état des comédiens chez le
Lettres, qui est reçu dans le Monde sans contestation. La plus grande
question
est pour les Pièces de Théâtre, qui étant prononc
puter davantage là-dessus, et qu’on peut tout d’un coup retrancher la
Question
en remontrant, Qu’en ce qui est des Histrions et
u’ils disent, que pour le présent on n’a garde de les abolir : Il est
question
pourtant de faire cesser le bruit et les plaintes
veux émouvoir une grande tourmente en un petit ruisseau ; que n’étant
question
ici que de Jeux et de Passe-temps, il n’était pas
ue n’étant question ici que de Jeux et de Passe-temps, il n’était pas
question
d’un préambule si sérieux. Quelque autre usant d’
istinction des choses, n’a lieu qu’en la Théoriquej, car quand il est
question
de la Pratique et exécution, nulle action n’est p
ctions du Chrétien. Ces fondements posés, il sera aisé de vider notre
question
; à savoir, S’il est permis de jouer Comédies, Tr
ation qu’il sait lui être convenable. Examinons donc, et pesons cette
question
, non pas aux fausses balances de notre fantaisie
s sophistiquesx, etc. Il serait trop long, et hors du centre de notre
question
de discourir comment, et pourquoi les Chrétiens p
l’abolissant totalement, en tant qu’en eux estap : Mais quand il est
question
, de rendre raison de cette interprétation, ou d’e
l y a des circonstances, qui doivent être bien considérées : Il était
question
de conserver l’honneur d’une Vierge, non de donne
ctance, précepteur d’un fils de l’Empereur Constantin, traite la même
question
, et y donne la même résolution. Il ditLib. 6, ca.
me de la Discipline de nos Eglises réformées ; mais ayant éclairci la
question
de droit par l’Ecriture sainte, et montré celle d
s les controverses entre protestants et catholiques, elle désigne les
questions
sur lesquelles les autorités ne se prononcent pas
Dieu unique. bx. [NDE] l’interdiction de se travestir, dont il est
question
depuis la p. 15. by. [NDE] par les arguments do
adoptons pas ses principes dans toute leur étendue. Il agita aussi la
question
délicate de la danse, & la permit avec des mo
teurs pourront s’intéresser à quelques traits que je vais ajouter. La
question
du Théâtre a beaucoup exercé les Écrivains. On a
mmencement du XVe siecle, ne peut pas non plus servir à décider cette
question
relativement à nos mœurs****. D’ailleurs le Théât
yons combien d’Actes il est à propos de prescrire à ses Poèmes. Cette
question
importante ne sçaurait être traitée avec assez de
quels ils fesaient des remarques. Le Vers d’Horace dans lequel il est
question
des Actes,16 fait pourtant croire avec raison que
d’Ariettes peuvent être restreints. L’éclaircissement de cette grande
question
, apprendra aux Poètes du nouveau Spectacle s’ils
. q. 168. art. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 2]. qu’on ne cesse de nous alléguer
. q. 168. art. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae,
question
168, article 2]. Ci-dessus, n. 25.ak ai. [NDUL]
nière assez claire et assez précise, en parlant de notre religion. La
question
concernant la cause des comédiens, se trouve rédu
facile à comprendre. Il ne faut que de la bonne foi pour saisir cette
question
, afin de prononcer si les acteurs de comédie, eu
que les autres Infidelles. Avec un ample recueil des Observations et
Questions
faites par les Synodes Nationaux sur la pluspart
Spectacles : le coup-d’œil que je dois y jeter, vers la fin, sur huit
questions
importantes, achevera de montrer, que je ne suis
Si les Représentations théâtrales sont utiles aux mœurs » ; voila la
question
qu’un certain Auteur nommé Cicéron 1, a, dit-on,
; agréables pour toutes les conditions ». 2. La réponse à la première
question
, résout aussi celle-ci : les Spectacles, s’ils so
t purement matériels ; les autres (& c’est de ceux-ci dont il est
question
) satisfont la vue par les décorations d’un Théâtr
de bonnes loix (comme je le prouverai en deux mots, en répondant aux
questions
6 & 7,) que de bonnes loix, dis-je, suffisent
int ici une affaire personnelle, tout le public est intéressé dans la
question
dont il s’agit, et il n’y a personne qui n’y pren
n ne pouvait les résoudre, sans en venir au fond, et sans examiner la
question
principale, qui est celle de la Comédie même ; ce
t après lui S. Thomas, il n’y a rien de si facile que de résoudre les
questions
morales et les cas de conscience, quand on les co
ifférent ; mais il n’y a rien de si malaisé que de résoudre ces mêmes
questions
en particulier et en hypothèse, parce qu’une acti
Art, duquel on tâche de raisonner en Philosophe. Il est trop souvent
question
de l’Opéra-sérieux dans cet Ouvrage, pour l’avoir
Responce à deux
questions
, ou du charactere et de l’instruction de la Comed
amp; impetueux. Il ne tonnoit pas deuant le Peuple, quand il n’estoit
question
que de faire nettoyer les ruës de la Ville, ou de
auoit pû d’vn point de Morale, s’alloit jetter à corps perdu dans vne
question
de Physique, la patience échapa tout d’vn coup au
rû vous rien découurir qui vous fust caché. I’ay trouué dans les deux
questions
que vous m’auez proposées, dequoy m’esgayer, &
Les spectacles. S ont-ils bons ou mauvais de leur nature ?
Question
agitée dans tous les temps, & sur laquelle on
s, répond le Théatin, c’est précisément donner en preuve l’état de la
question
. La comédie n’est, ni ne sçauroit être prohibée p
desirer l’occasion de pouvoir le quitter. » Le P. Porée, traitant la
question
des spectacles, soutient qu’ils pourroient être u
omédie & des comédiens, n’a point traité pleinement le fond de la
question
; il s’est étendu sur l’historique. Il a montré c
II. A quoi il faut réduire cette
question
. Il semble que pour ôter la prévention que le n
ent abolie en Orient, avant la fin du sixieme. Il n’y étoit donc plus
question
d’Idolatrie dans les spectacles. Mais les Concile
mp; suivantes, je priai la Dame de me dire, comment il pouvoit y être
question
d’Idolatrie ? La Dame ne répondant pas à ma quest
l pouvoit y être question d’Idolatrie ? La Dame ne répondant pas à ma
question
, je lui en fis une autre. Celui dont vous êtes l’
doive exclure. Quelles horribles maximes ! Et quand il n’y est point
question
de coquetterie &c, de quoi y parle-t-on ?… De
n &c &c. Une coquetterie perpétuelle, un Théatre, où il n’est
question
que d’intrigues d’amour, & où le public ne ve
elle des partisans du spectacle ? Permettez que je vous fasse ici une
question
… Ces arbitres, ces hommes immortels &c &c
Je suis surpris, lui dis-je, qu’un homme instruit me fasse semblable
question
: car… tout Chrétien fait, que l’Eglise toujours
ités aussi palpables, crut se tirer d’embaras en me faisant une autre
question
. La voici… Cinquieme objection. MAis si
ur bien sentir l’inconséquence de votre réfléxion ? Daignez peser les
questions
suivantes… 1°. Parceque même parmi les personnes
dit depuis la page 62 jusqu’à 94. Je pris la liberté de finir, par la
question
suivante… Depuis quand a-t-on le talent de former
cesseurs des Apôtres, que vous devez écouter comme J.C.… jugera cette
question
? Voyez toute la premiere lettre. Cela ne mérite-
? Permettez encore, que j’aie l’honneur de vous faire ici une petite
question
. Quel mal fait-on en donnant un repas d’amitié, o
res, un sujet de gourmandise & d’ivrognerie. Satisfaite sur cette
question
, elle me fit aussi-tôt la suivante… Mon Confesseu
les Papes les condamnent-ils &c &c ? Qu’on me réponde à cette
question
, j’ai déja répondu à la prémiere, pag. 98, 99 &am
’article « Genève », 1759. Anonyme, Lettre II [et III] sur cette
question
, 1701 • Anonyme : Lettre II [et III] sur cette
sur cette question, 1701 • Anonyme : Lettre II [et III] sur cette
question
: S’il est permis de jouer, à l’opéra, à la coméd
RESERVE KH-159-4 (cf. Notice). Autre édition • Lettre II sur cette
question
: S’il est permis de jouer, à l’opéra, à la coméd
, tome IV, seconde partie. PDF : Google. Balzac, « Réponse à deux
questions
», 1644 • Balzac, Jean-Louis Guez de (1595-165
1644 • Balzac, Jean-Louis Guez de (1595-1654) : « Responce à deux
questions
ou du charactere et de l’instruction de la Comedi
6, in-4º, viii-543 p. PDF : Gallica. Réédition • « Response à deux
questions
, ou du charactere et de l’instruction de la Comed
p. [n. p.] 218 p. PDF : Gallica. Édition moderne • « Réponse à deux
questions
ou Du caractère et de l’instruction de la Comédie
théâtres secondaires sur les mœurs du peuple, prix proposé sur cette
question
par l’Académie des sciences, belles-lettres et ar
les Sixième et Neuvième Commandements du Décalogue, et de toutes les
questions
matrimoniales qui s’y rattachent directement ou i
s pénitents sur le 6e commandement ». Delpla, Discours sur cette
question
…, 1814 • Delpla, A. : Discours sur cette quest
scours sur cette question…, 1814 • Delpla, A. : Discours sur cette
question
: Quels sont les moyens de faire concourir le thé
le. • Anonyme [Jacques Joseph Duguet], « Premiere lettre. Réponse aux
questions
propres sur les Spectacles », p. 1-15, Lettres su
xxxvi-256 p. PDF : Google. Réédition • Mémoire à consulter sur la
question
de l’excommunication, que l’on prétend encourue p
onsulter, 1761 • Lerident (....-....) : Mémoire à consulter sur la
question
d’excommunication que l’on prétend encourue par l
f.). PDF : Google. Rééditions • [sous le nom de l’abbé Parisis] :
Questions
importantes sur la comédie de nos jours. Par M. l
e, 1636 • Renaudot, Théophraste (1586-1653) : Seconde Centurie des
questions
traitées ez conférences du Bureau d’adresse depui
les spectacles publics des Comoedies et Tragoedies, où est décidée la
question
, s’ilz doibvent estre permis par le Magistrat, et
jeux comiques et tragiques, contenant instruction et résolution de la
Question
: assavoir si tels esbats et passe temps sont per
que les autres Infidelles. Avec un ample recueil des Observations et
Questions
faites par les Synodes Nationaux sur la plupart d
çois-Marie Arouet dit (1694-1778) : diverses lettres en réaction à la
question
de l’excommunication des comédiens et à l’affaire
ne consiste qu’en une seule & simple representation. Il n’est pas
question
de mouvement, comme au Balet, de dexterité comme
ter des Ouvrages que son Père s’est reproché d’avoir faits ? & la
question
sera-t-elle décidée par un homme qui, dans les lo
n s’efforce depuis long-tems de réduire en problème théologique cette
question
: si c’est un péché d’aller à la Comédie. On ne m
amp; qui mérite d’être connue. On agitoit un jour devant Louis XIV la
question
de la Comédie. M. Bossuet, Evêque de Meaux, entra
t en effet tout ce qu’on sauroit dire de part & d’autre sur cette
question
. M. Bossuet reconnoît de bonne foi que l’affirmat
sse de raisonnement. M. Bossuet a composé un Ouvrage exprès sur cette
question
. Il la traite en Evêque, c’est-à-dire, en Docteur
tes les vertus, jugeroit indignes d’elle. Il ne s’agit point, dans la
question
présente, de projets de récréation pour des Relig
tique impartial & sans préjugé, les Scènes de Corneille où il est
question
d’amour, & les comparer à celles de Racine qu
Tragédies de Racine, & qui n’ont pas comme celui dont il est ici
question
, le défaut d’approcher un peu trop du comique ; e
souvent sous les yeux des vérités que nous ne voyons pas. Dans toute
question
littéraire, on ne prend jamais que les extrêmes.
t aux bals qui se font aujourd’hui. Il faut maintenant passer à la
question
de fait, et voir si les raisons qui rendent la da
it permis de donner ou contribuer quelque chose pour tels vanités.
Question
1. P ourquoi le B.P.S. François a si étroitem
ire des Théâtres : trois objets qu’embrassera la Note [A]. II. Il est
question
de la Comédie en particulier sous la Note [B]. II
recs la supériorité dans la Tragédie ? Je ne ferai que proposer cette
Question
. Ce petit Traité où il est si souvent parlé du Th
e. Demande. On supplie Messieurs les Docteurs de décider les
questions
suivantes. 1°. Peut-on admettre aux Sacrements un
re dit, combien est frivole et mauvaise l’excuse que les Comédiens en
question
apportent pour justifier leur long séjour parmi l
ême par rapport au licite ; c’est, comme l’a remarqué, en traitant la
question
de la comédie, un habile homme de nos jourse ; c’
order avec les mœurs et la Religion. Les Italiens ne font point cette
question
; ils n’excommunient pas ceux qui leur donnent du
, abstraction faite de tout ce qui a été dit pour et contre sur cette
question
, m’ont mis à portée de comparer les temps, d’appr
s, qui en ont parlé dans le même sens, qui ont combattu la comédie en
question
à sa naissance, et l’ont jugée dangereuse unanime
avants, pourrait plaire aux gens du monde, eux qui voudraient que les
questions
les plus difficiles fussent terminées en quatre m
ger à la hâte d’ouvrages comme les vôtres, et surtout à l’égard de la
question
que vous entamez sur la Tragédie et sur la Comédi
st de vous qu’on peut dire, « dat veniam corvis »cm . Vous faites des
questions
au Public mais vous lui dictez ses réponses ; ell
ns les circonstances du délit : ce comique-là disparaît dès qu’il est
question
de prononcer, et la sentence n’en est pas moins s
e. En qualité de Juge, il reprend très fort son sérieux, quand il est
question
de prononcer sur le Compte d’Angélique : il ne vo
as, ce n’est là qu’une dispute de mot, qui ne fait rien au fond de la
question
. Il s’agit d’examiner si Alceste est un galant ho
morale et de la doctrine, à approuver les pièces ou les rejeter. Ces
questions
n’ont pas lieu en France ; l’autorité royale a to
leux dont l’approbation et la permission lui avaient été refusées. La
question
touchant l’excommunication encourue par le seul f
par l’un et par l’autre avec autant de sagesse que de lumière, cette
question
, disons-nous, est soutenue affirmativement, et dé
Roi, a dit que l’exposé qui venait d’être fait à la Cour du livre en
question
, ne justifie que trop la sensation que la distrib
u de droit, constatée par des actes publics, et par quels actes ? Ces
questions
ne seront jamais pleinement décidées, parce que l
ar les Comédiens ? Voici les principes nécessaires pour décider cette
question
. Je les rapporte, mais en peu de mots, parce que
re régulière. Il en est a jure, ordonnées par la loi. Il ne peut être
question
que de celles-ci : je ne sache pas qu’on ait jama
n ne peut ni lui donner ni recevoir de lui. C’est ici que commence la
question
de S. Thomas à l’occasion des dîmes. On distingue
e la légitimeté du plaisir qu’ils procurent. 75 On y répond aux huit
questions
par lesquelles monsieur Rousseau commence sa Lett
[M] est une dissertation sur la Danse. 425 Dans la Note [N], il est
question
d’un nouveau Théâtre Éphébique, établi depuis un
a pratique en est déjà selon vous très vicieuse. Venons au fond de la
question
. Sur ce que vous dites qu’une chose qui peut prod
s assez sensibles pour s’attendrir à cette chaste représentation : la
question
est de savoir si le fruit en reviendrait à leurs
y satisfait jusqu’au scrupule. Elle se retire avec la Fille dont est
question
, nommée Mariane, et le Frère de cette fille nommé
a scène précédente, que Panulphe gouverne absolument l’homme dont est
question
, il est fort naturel que son Beau-frère prenne un
Monsieur Panulphe » : elle, bien empêchée pourquoi on lui fait cette
question
, hésite : enfin, pressée et encouragée de répondr
en particulier faire aucun méchant effet – ce qui est le point de la
question
– la condamnent toutefois en général, à cause seu
le, et que cela ne se peut sans quelque longueur et sans examiner des
questions
un peu trop spéculatives pour cette Lettre, je ne
’est particulièrement pour un homme amoureux, qui est le cas de notre
question
. Il est peu d’honnêtes gens qui ne soient convain
suis,Monsieur,Votre, etc. Le 20 août 1667. b. [NDE] Le « fond de la
question
» désigne le nœud de la polémique autour du Tartu
de conscience. En fait, l’auteur de la Lettre aborde « le fond de la
question
» dans la relation de la pièce, où il rend compte
té insérées dans le 39me Volume des Mémoires de cette Académie. Cette
question
y est traitée & discutée d’une maniere d’auta
à faire. Nous verrons bientôt qui a droit de faire ce choix. Il n’est
question
ici que des nouveautés. Rien de plus commun que
e, dans son sermon sur les divertissements du monde, se propose cette
question
qu’il résout de même : « Les Spectacles profanes
le caractère le plus inséparable de la Foi… Et de là, voilà bien des
questions
résolues. Vous nous demandez sans cesse si les Sp
de la Religion et des Mœurs ? Pour ne rien laisser à désirer sur la
question
des Spectacles, nous allons citer des autorités q
ouis Racine : « On s’efforce de réduire en problème théologique cette
question
: si c’est un péché d’aller à la Comédie. On ne m
ne laissera rien à désirer à quiconque voudra examiner plus à fond la
question
sur les Spectacles. 29. I. Cor. XV. 33. 30. Tus
embres de l’Eglise, ont en commun, comme la priere, les Sacremens. La
question
ne roule pas sur l’existence des peines ecclésias
seul fait : pourquoi les monitions sont-elles requises, lorsqu’il est
question
d’une sentence personnelle ? C’est pour tenter la
a jejunia observent & suis observare doceant. Mais dès qu’il est
question
de l’interruption du negoce & des procédures
lequel Fannius accusait Roscius de l’avoir trompé. Jamais il n’y est
question
du droit de Bourgeoisie Romaine. Mais Cicéron se
, préviennent contre la Cause même. En voilà, je crois, assez sur une
question
de fait que l’on pouvait décider en peu de mots,
re pour guide. On trouvera peut-être que je décide trop hardiment une
question
qui occupe & qui divise depuis tant de siècle
oses bonnes et honnêtes, que pour offenser la chasteté. Mais s’il est
question
de parler des autres où l’on fait profession de f
le peuple, et de gagner par là de quoi subsister. Il n’est point ici
question
de son origine, qui sûrement vient des Païens : i
ntageux de décider cette classe moyenne et mixte. Sous les tyrans, la
question
n’est pas douteuse ; il est de la politique de ra
as en Sorbonne ; et les Docteurs consultés crurent devoir examiner la
question
de la Comédie à fond. Pour y réussir ils forment
nt pas être confondus avec ces gens-la. Mais afin de ne pas faire une
question
de nom, il suppose que saint Thomas ait entendu l
e Théâtre de leurs Collèges. On voit ensuite les Réponses à plusieurs
questions
: entre autres on répond que le Cardinal Tolet et
quence de l’Athénien. Je me restreins donc à l’examen d’une seule des
questions
discutées par vous, à savoir « si les Spectacles
vant de vous opposer des raisonnements, je commencerai par réduire la
question
à des faits. Les Poètes dramatiques ont-ils trouv
à leur succès ; et c’est à ce point seul, que je prétends ramener la
question
. Il suffit de montrer des pièces qui soient et ag
e n’aurai garde d’oublier ce qui a rapport à la Musique. Il doit être
question
de cet art agréable dans un ouvrage où l’on voudr
avons eu tous ensemble sur mon Projet. Ils serviront de Réponse à la
question
que tu me fais au commencement de ta dernière.
e que ce soit. Il est néanmoins encore nécessaire d’expliquer deux
questions
importantes qui regardent l’autorité des Evêques,
avec une certaine étendue : mais ce sujet est entièrement hors de la
question
que je me suis proposé d’éclaircir. Je n’ai voulu
quelle de ces deux parties fait la destinée des ouvrages d’esprit. La
question
est, je crois, décidée en faveur de la premiere,
d effet que quand les pensées ont un grand éclat ; les deux premieres
questions
énoncées plus haut seront décidées. Entrons dans
s traités excellents qui ont été publiés sur ce sujet, et c’est cette
question
qui fait la matière des Cas suivants proposés à M
on ne pouvait les résoudre sans en venir au fond, et sans examiner la
question
principale, qui est celle de la Comédie même ; ce
produisit tous ces Ouvrages qui parurent alors sur cette matière.
Questions
concernant la Comédie. CAS I. I. La Comédie
oit. Car premièrement c’est avec beaucoup de fondement que dans cette
question
l’on récuse l’autorité des Pères des cinq premier
aint Thomas. Il est vrai que ce Saint Docteur dans le lieu cité de la
question
168. marque de certaines conditions qui pourraien
vrait suffire pour abolir entièrement les spectacles, examinons-en la
question
par d’autres raisons, comme de surcroît. » Et sur
se récompenser de leurs peines. Saint Thomas au lieu déjà cité de la
question
168. semble admettre cette espèce de pacte, lorsq
pectacles, et non de ceux qui les représentent. Et quand il en serait
question
, cela ne prouverait pas que la Comédie fût permis
u’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise. On répond à la seconde
question
, ou demande de l’exposé ; que si la Comédie est m
ues, ne le sont jamais pour des Théologiens ? Vous me direz qu’il est
question
de faits et non de louanges, et que le Philosophe
ectures, ou par le témoignage d’autrui, ou sur l’aveu des Pasteurs en
question
. Or dans les matières de pur dogme et qui ne tien
ville, et un Etat pauvre, à se charger d’un spectacle public. Que de
questions
je trouve à discuter dans celle que vous semblez
si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêmes, c’est faire une
question
trop vague ; c’est examiner un rapport avant que
nu pour ceux qu’on y fait aimer ? Mais ce n’est pas de cela qu’il est
question
; c’est d’agir conséquemment à ses principes et d
bien est nul : reste le mal, et comme celui-ci n’est pas douteux, la
question
me paraît décidée ; mais passons à quelques exemp
ion qui tend à justifier cette Pièce, c’est qu’il n’est pas seulement
question
d’étaler des forfaits, mais les forfaits du fanat
e nous appartienne pas. Il me semble qu’en traitant les caractères en
question
sur cette idée, chacun des deux eût été plus vrai
issent donner du poids et du prix à leurs leçons ; mais revenons à ma
question
. De l’usage antique et du nôtre, je demande leque
; mais ces changements seront-ils avantageux ou nuisibles ? C’est une
question
qui dépend moins de l’examen du Spectacle que de
il faut premièrement savoir si les mœurs y sont bonnes ou mauvaises ;
question
sur laquelle il ne m’appartient peut-être pas de
es instruments propres à diriger l’opinion publique ; c’est une autre
question
qu’il serait superflu de résoudre pour vous, et q
public, il fallait des Juges d’une grande autorité sur la matière en
question
; et, quant à ce point, l’instituteur entra parfa
ite où est le mal que les cercles soient abolis… Non, Monsieur, cette
question
ne viendra pas d’un Philosophe. C’est un discours
alités de ce qu’on aime, cela n’arrive que trop souvent ; mais est-il
question
d’amour dans tout ce maussade jargon ? Ceux mêmes
les considérations que j’avais à proposer au public et à vous sur la
question
qu’il vous a plu d’agiter dans un article où elle
incapables. Si le sage Plutarque s’est chargé de justifier l’usage en
question
, pourquoi faut-il que je m’en charge après lui ?
ant d’avoir trop vécu ! 12. [NDA] C'est du beau moral qu’il est ici
question
. Quoi qu’en disent les Philosophes, cet amour est
est pas fanatique ; c’est un fourbe qui, sachant bien qu’il n’est pas
question
de faire l’inspiré vis-à-vis de Zopire, cherche à
16 « Du jeu » (qu’on trouve chez Rey à Amsterdam). Voilà l’état de la
question
bien posé. Il s’agit de savoir si la morale du Th
é et l’injustice, et, pour y parvenir plus sûrement, je diviserais la
question
, et j’en séparerais ce qui est de droit, d’avec c
olique. Les théologiens qui, jusqu’à présent, ont voulu traiter cette
question
de la réunion des schismatiques à l’église de Rom
part soumis à l’empire des préjugés, n’ont jamais bien envisagé cette
question
difficile dans son véritable point de vue ; ils n
ieux. Il n’est pas nécessaire de m’en occuper. Ce reproche sort de la
question
que je me suis proposée, et je n’en ai dit que qu
cette raison, déjà si forte, n’est ici que secondaire, puisqu’il est
question
d’une chose rigoureusement juste. Il faut poser d
ne pour être libres ? XXVII. Et quelles loix devroit-on poser ? cette
question
n’entre point dans le plan de mon ouvrage, &
les plus évidentes, quand ils ont répondu d’un air froid, qu’il n’est
question
, sur ce point, que des intérêts des Gens de Lettr
ultitude. Mais le temps de la justice vient tôt ou tard, & sur la
question
que j’ai traitée dans cet ouvrage, le temps de la
es pièces de Théâtre ; nous pourrions nous dispenser de traiter cette
question
, parce qu’elle n’est pas nécessaire pour l’éclair
ersonnes qui parlent après l’expérience, nous pouvons conclure que la
question
est terminée, et qu’on ne doit plus penser à lais
les faire déclamer dans plusieurs Collèges, de quoi il n’est pas ici
question
. Je ne cite cet article que pour montrer que ceux
out à fait dans cette réflexion, et je conviens encore que s’il n’est
question
que de fournir aux Chrétiens les plus grands suje
es. Un éxemple me fera mieux comprendre. On propose ainsi en forme de
question
un mot de plusieurs sillabes. Ma prémière partie
une procédure très-longue & très-minutieuse, jusqu’à mettre à la
question
tous les esclaves des prévenus, plutôt pour les a
on fasse la dégradation d’un Evêque ou d’un Prêtre. Jamais il n’a été
question
de lui mettre un voile noir, qu’on ne connoissoit
: Il faut servir les Dieux, & chérir les parens, car il n’est pas
question
d’aimer Dieu. Aux mortels aveuglés l’accès en est
ser le Théâtre ? S’il ne fallait que l’autorité pour décider cette
question
, une foule d’Ecrivains de tous les pays et de tou
ouvrage, dit ces belles paroles, bien dignes d’elle : « Il n’est pas
question
dans les pièces de théâtre de satisfaire les libe
e prenait condamnation). « Il demeura quelque temps à réfléchir » (la
question
est délicate). « Puis il me dit : Madame, je croi
ien est nul, reste le mal ; et comme celui-ci n’est point douteux, la
question
me paraît décidée. » Page 49. « Tout en est mau
des instruments propres à diriger l’opinion publique, c’est une autre
question
qu’il serait superflu de résoudre pour vous, et q
néanmoins avec d’autant plus de confiance, que j’ai cherché la loi en
question
; je l’ai lue, & dans les termes qui l’exprim
nt. Pour procéder avec plus de méthode, je diviserai cette importante
question
en six questions principales : 1°. Tous les homme
r avec plus de méthode, je diviserai cette importante question en six
questions
principales : 1°. Tous les hommes ont-ils indisti
de théâtre ? Je ne conçois pas qu’on puisse seulement faire cette
question
à un peuple vraiment libre. M. de Chenier a établ
lentes idées. Pourquoi se perdre dans un étalage d’érudition ? est-il
question
d’exemples et de citations, quand il faut des pri
es à de vils histrions. Dans tous les Journaux économiques, c’est une
question
fort longuement traitée, si les priviléges exclus
éges & la communication ; le Théatre s’est avisé de traiter cette
question
par rapport à lui. Les sentimens sont partagés :
utés, en érige qui veut, sans que l’Hôtel s’en plaigne. Il n’est donc
question
que des Théatres publics. N’est-ce pas assez, n’e
ais démenti. Il faut donc répéter, d’après M. le Kain, que toutes ces
questions
de décence, élevées à l’occasion de ma piece, son
çais, enregistré au Parlement le 7 septembre 1761 ; est d’avis que la
question
proposée par le Consultant, intéresse visiblement
t Auteur devoit-il s’attendre en effet que dans une piece où il étoit
question
de jouer les Courtisannes, la plupart de ses juge
. Aristote en a dit quelque chose. Le croirait-on ? Il en est
question
dans la Poétique d’Aristote ; il est, je crois, l
e des deux, insipides & sans goust. Il se fait ordinairement deux
questions
sur ces Instrumens, qui ont embarassé les plus ha
t de dire beaucoup de choses inutiles que de resoudre precisément une
question
& que de satisfaire nostre curiosité. Car ils
i, la cour sous correction doit lever les défenses. Joint qu’il n’est
question
de ludis pertinentibus tantum ad ornatum urbis ve
[NDE] Il a été partout proclamé publiquement. bq. [NDE] Il n’est pas
question
de jeux qui ne visent qu’à l’ornement de la ville
ecture des bons Livres, vous pouvez vous satisfaire pleinement sur la
question
que vous me proposez. Mais comme vous ne m’interr
e, et s’il est permis à un Chrétien d’y aller. Il me semble que cette
question
est vidée il y a longtemps, et qu’il n’y a person
emière Partie contient quatre Chapitres, et chaque Chapitre plusieurs
questions
. Dans le 1. Chapitre il expose les raisons justif
ersonnages de la Commedia dell’arte (Beltrame, Scapino). L’ouvrage en
question
est : La supplica. Discorso famigliare a quelli c
ce de la scène sur les mœurs en France ? J’essaierai de résoudre une
question
aussi grave, aussi éminemment morale et politique
autres motifs que je ne discuterai pas puisqu’ils sont étrangers à la
question
de ce mémoire, les modèles de nos maîtres restère
uand elle est honnête. Je ne prétends point ici néanmoins traiter les
questions
qui pourraient naître de ce discours, et dont il
onc deux choses adsolument impossibles à concilier ? Cette importante
question
fait le sujet d’une prétendue conversation (*) su
iroient, ne pouvoit avoir rien que de vil. En France c’est encore une
question
de savoir si nous avons eu réellement des Spectac
u tems perdu en observations, on est tout surpris de voir qu’il n’est
question
que de reprendre la route tracée, & de marche
ont paru pour & contre les Spectacles, qui n’ont point décidé la
question
. (*). Lettre à M. Dalembert. (a). Patimur mul
es Gardes-Chasses, des Savetiers &c. Ma nouvelle réponse, à cette
question
embarrassante, ne ressemblera nullement à celle q
tirer de peine, dans une des plus difficiles, mais des plus curieuses
Questions
qu’un Théologien puisse traiter. En effet, Monsie
rrassé à moins, et que ce n’est pas une petite affaire de décider une
Question
dont les sentiments sont si partagés : Car dites-
épens de ceux qui les auraient suivis. Nous aurions bientôt décidé la
Question
, si l’Ecriture Sainte s’en expliquait de quelque
parce que c’est quelque chose d’assez délicat, et que le point de la
Question
consiste à les bien accorder ensemble, je veux bi
ornes d’une simple Lettre, et pour ne rien laisser d’irrésolu dans la
Question
dont il s’agit, d’examiner les précautions avec l
icile ; & je n’ai garde de prétendre la bien expliquer. Sur cette
Question
aussi bien que sur la Musique des Anciens, on peu
avoue que je puis me tromper, & il peut se tromper aussi. Sur une
question
qui est obscure, & n’est que curieuse, l’erre
’y ai rien pu comprendre dès l’entrée. Ce Dialogue commence par cette
question
: Lorsque je prononce pone Verbe ou ponè Adverbe
et déplacées : « Vitium est immane donare Histrionibus. » C’est une
question
célèbre en morale, si une femme publique peut en
rompues pour séduire les autres, crime qui n’a jamais été toléré. Ces
questions
ne sont pas étrangères au théâtre, chacun en fait
(Tom. 15.), en rapporte beaucoup d’autorités, et traite au long cette
question
, à l’occasion d’une danseuse de l’Opéra dont il f
onte, à nous démoraliser, on pourrait jeter un nouveau jour sur cette
question
, et achever de rendre sensible le défaut radical
n’étaient pas plus d’accord que les modernes sur ce point. La grande
question
des dangers et de l’utilité des théâtres avait dé
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