/ 282
1 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81
168. art. 2 et 3. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, articles 2 et 3]. , on oppose deux articles
IIae, question 168, articles 2 et 3]. , on oppose deux articles de la question de la modestie extérieure, et on ditPage 4 et sui
est bien certain, que ce n’est pas ce qu’il a dessein de traiter. La question qu’il propose dans l’article second est à savoir
un terme qu’il nous faudra bientôt expliquer. Au troisième article la question qu’il examine est à savoir s’il peut y avoir de l
168. art. 2 et 3. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, articles 2 et 3]. Page 4 et suiv. [« Lettre
2 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16, question 4, article 2 in corpore]., qui est le même que no
traire à la prétention de notre auteur. Saint Thomas traite ici trois questions dont les deux premières appartiennent au sujet de
t se réduit comme on voit, à bien peu de choses. Mais dans la seconde question où il s’agit en particulier des spectacles, il dé
. q. 168. art. 4. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 4]. dans la question de la somme que
Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 4]. dans la question de la somme que nous avons déjà tant citée, artic
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16, question 4, article 2 in corpore]. Ci-dessus, n. 23.ad I
. q. 168. art. 4. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 4]. Object. I. [ibid., objection 1].
3 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XI. Si on a raison d’alléguer les lois en faveur de la comédie. » pp. 46-48
39. 3. ad. 3. q. 96. 2. c. [saint Thomas, Somme théologique, Iª IIae, question 39, article 3, ad. 3, question 96, article 2. c.]
nt Thomas, Somme théologique, Iª IIae, question 39, article 3, ad. 3, question 96, article 2. c.].k L’Église même, dit saint Au
39. 3. ad. 3. q. 96. 2. c. [saint Thomas, Somme théologique, Iª IIae, question 39, article 3, ad. 3, question 96, article 2. c.]
nt Thomas, Somme théologique, Iª IIae, question 39, article 3, ad. 3, question 96, article 2. c.].k Epist. ad Aur, 22. n. 5. O
4 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion : passage exprès de Saint Thomas, et conciliation de ses sentiments. » pp. 88-92
Ibid. art. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 2. c.]., dont « la première et la pr
7. art. a. ad. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 87, art 2, ad. 2]., dit-il, le gain qui provient
Ibid. art. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 2. c.]. Ibid. a. 2. q. 87. art. a.
7. art. a. ad. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 87, art 2, ad. 2]. z. [NDUL] Convaincre, avec un
5 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
68. art. 2. ad. I. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIªIIae, question 168, article 2, ad. 1]. : par où il entend toujo
plaisanterie fût défendue ; mais on a pu voir que ce n’est pas cette question que Saint Ambroise propose, et on sait d’ailleurs
. 168. art. 4. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 4, c.].« ces sortes de délectations
68. art. 2. ad. I. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIªIIae, question 168, article 2, ad. 1]. Lib. 3. in Epist. ad. Ep
. 168. art. 4. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 4, c.]. ap. [NDUL] Thomas s’appuie
6 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
t atteint le vrai but que la Comédie doit se proposer. Quand dans une question quelconque, on a établi un principe vrai ou suppo
n quelconque, on a établi un principe vrai ou supposé tel, toutes les questions qui naissent de la premiere, doivent se résoudre
il est parti. Il s’agit donc pour donner la solution de cette seconde question de se rappeller le principe établi au commencemen
nner de l’horreur : de cet examen naîtra la décision de cette seconde question . Le caractere dominant des François, si je ne me
nt jamais eue. Je devrois peut-être pour l’examen de cette importante question , faire passer en revue tous les Auteurs qui ont t
par le portrait des excès auxquels cette folie peut conduire. Il est question maintenant d’examiner comment Moliere fait parler
7 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223
, dont l’approbation & la permission lui avoient été refusées. La question touchant l’Excommunication encourue par le seul f
r l’un ou par l’autre avec autant de sagesse que de lumieres ;) cette Question , disons-nous, est soutenue affirmativement &
constances ils croyent donc devoir proposer à la Cour que le Livre en question sera lacéré & brûlé par l’Exécuteur de la Hau
atiere sur ce mise en délibération : LA COUR, ordonne que le Livre en question sera lacéré & brûlé par l’Exécuteur de la Hau
8 (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864
in-4°. p. 384. Ce traité n’est que la réponse d’un Théologien à trois questions , qui font tout le plan de son Ouvrage. Tout y est
une Edition des Œuvres de D.P. Calderon de la Barca ? Voilà les trois questions dont il s’agit. Le but de l’Auteur dans cette con
leur personne, ni à leur intention. Pour établir d’abord l’état de la question , D. Ramire distingue dans la Comédie son essence,
extes qu’employent les partisans de la Comédie ; passons à la seconde question  : peut-on autoriser ce Spectacle ? On peut aiséme
tions la même abondance de doctrine. L’Auteur entre dans la troisième question par une exposition de la doctrine qu’on lui oppos
9 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70
. p. 384.   C e traité n’est que la réponse d’un Théologien à trois questions , qui font tout le plan de son Ouvrage. Tout y est
ne Edition des Œuvres de D. P. Calderon de la Barca ? Voilà les trois questions dont il s’agit. Le but de l’Auteur dans cette con
leur personne, ni à leur intention. Pour établir d’abord l’état de la question , D. Ramire distingue dans la Comédie son essence,
extes qu’employent les partisans de la Comédie ; passons à la seconde question  : peut-on autoriser ce Spectacle. On peut aisémen
tions la même abondance de doctrine. L’Auteur entre dans la troisième question par une exposition de la doctrine qu’on lui oppos
10 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Lettre premiere. » pp. 2-17
ui se défie de ses propres lumieres : Pour décider définitivement la question , vous avez agi prudemment de vous en rapporter au
on éloquence impétueuse & féconde le promene souvent à côté de la question  : si l’on retranchoit les récapitulations, les pr
vangeliques : sa proposition n’est point exclusive, comme l’Auteur en question voudroit le supposer ; il n’y avoit eu pour lors
avoit fort envie d’innocenter. Ce sujet ne touche par aucun bout à la question des Spectacles ; mais en parcourant les délits qu
11 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de Saint Thomas : passage de ce saint docteur contre les bouffonneries. » pp. 85-87
2. q. 168. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 2. c.]. . Il faudrait donc pour tir
2. q. 168. 2. c. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 2. c.]. Eph.V.4. [Epître de saint P
12 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
n second lieu j’éprouve une vive satisfaction à vous entretenir de la question qui s’est agitée entre nous et à vous faire juge
ntroverse d’autant plus difficile encore, que vous étiez réduit à des questions extrêmement laconiques, et que, par les longs dév
mares, je commence par le théâtre. Mon intention a été de. traiter la question suivante : Une personne qui va au spectacle comme
qui protègent le plus notre sainte religion. Je viens maintenant à la question des bals. C’est là que vous paraissez vous croire
ie, me juger avec bonté, et prononcer dans votre haute sagesse sur la question que tous deux nous avons débattue. Il était d’aut
13 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12
iter des avantages que la faiblesse de vos arguments me donne dans la question  : peut-être en avez-vous de plus convaincants à p
ous trois m’ont assuré que vous aviez tort. Je ne leur ai fait aucune question sur le premier objet de votre libelle : les matiè
si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêmes, c’est faire une question trop vague ; c’est examiner un rapport avant que
nt rien pour le cœur ni pour l’esprit : on peut donc alors avancer la question et conclure en faveur des spectacles. La Tragédie
14 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71
là, rien qui ressemble au commentaire de Bossuet ». Il y est pourtant question de « l’ancien différend » entre poésie et philoso
là, rien qui ressemble au commentaire de Bossuet ». Il y est pourtant question de « l’ancien différend » entre poésie et philoso
15 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  AVERTISSEMENT DE. L’ÉDITEUR. » pp. -
n des gens trouveront que personne n’a mieux touché au but dans cette question que M. le Franc. 2 Les louanges qu’elle a reçues
sseur de troisième, qui s’étoit proposé sérieusement d’examiner cette question , Racinius an Poëta ? an Christianus ? Ces Lettres
16 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
p; sur quoi, M. P., vous pourrez proposer vos difficultés. Premiére question . Vous commencez d’abord, M. P., par nous faire
blique du vice, & le triomphe du démon dans le monde. Seconde question . Il faut avouer, M. P., que les auteurs que v
le aux jeux & aux gens de théatre. C’est dans sa seconde Seconde, question 168. Voici comme il y parle. «  Officium histrion
puisqu’au contraire il les réprouve avec tant chaleur. Troisiéme question . Nous n’avions pas été chercher les choses dan
qui ne sera jamais regardé que comme un véritable abus. Quatriéme question . Toutes les autorités que vous rapportez, M. P
si modeste, & où vous ne reconnoissez aucun danger. Cinquiéme question . Je ne sai pas à mon tour ce que les comédiens
lut des comédiens est en danger par une telle profession. Sixiéme question . Tant d’autorités nous épouvantent, M. P. : &a
i les rend si odieux à toute l’Eglise & aux Saints ? Septiéme question . Vous finissez, M. P., de solides réponses par
17 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
loi au contraire paraît dire qu’il faut en faire métier ou habitude : question superflue ; qui peut compter les pièces que joue
illam ignominiosam exarcuerint ». Ce qui pourrait servir à décider la question de Panorme, dont nous venons de parler. Cependant
nous de plus dans tout cet ouvrage ? Ces procès ont fait naître deux questions de droit importantes. 1.° Les Comédiens de provin
serait une profanation dans les contractants et dans le Ministre. 2.° Question plus délicate. Lorsque le demandeur en cassation
n peut voir ces deux plaidoyers de Messieurs Cochin et Laverdi, où la question est savamment traitée pour et contre, et où l’on
ppelé Scaramouche, fournit une autre aventure de théâtre et une autre question de droit, rapportée tout au long, T. 4. Plaid. 47
Comédien pouvait le faire présumer, dit M. Daguesseau. C’est une des questions de la cause, s’ils étaient unis par un engagement
ugea une pension alimentaire. M. l’Avocat général traite savamment la question de droit, et démontre ce grand principe qu’il n’y
18 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de Saint Thomas. » pp. 82-84
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16, question 4, article 2, réponse à la sous-question (quaesti
Thomas d’Aquin, Commentaire des Sentences, livre IV, distinction 16, question 4, article 2, réponse à la sous-question (quaesti
19 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363
ntation. JE terminerai ce quatrième Livre après avoir éxaminé une question très curieuse, & qu’il est important de résou
s Auteurs célèbres qui ont écrits des Drames décide tout d’un coup la question . Ces grands génies auraient-ils mis tous leurs so
20 (1691) Nouveaux essais de morale « XXI. » pp. 186-191
hommes ». Qu’après un très long discours, il laisse la décision de la question imparfaite. Si ces Messieurs avaient tant soit pe
e point dans une longue Dissertation, pour ne faire qu’embarrasser la question et la rendre plus difficile à décider, comme a fa
21 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
ain, dont l’excommunié est le sujet. Je ne m’étendrai point sur cette question , qui cependant, mériterait d’être d’autant plus é
ce, aux prérogatives, et à la dignité de l’autorité temporelle. Cette question tient aux plus hautes considérations, puisqu’elle
cause de sa profession de comédien. L’excommunication dont il est ici question , est celle qui serait portée par une loi canoniqu
contre des accusés non encore convaincus, le supplice horrible de la question , bientôt il renouvellerait les rigueurs de la Sai
pétition de principe, la supposition pour vrai, de ce qui n’est qu’en question . Cette supposition est entièrement contraire à la
22 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Avis » pp. -
e il ne se trouvera pas qu’il juge en aucune manière de ce qui est en question , sur la Comédie qui en est le sujet : car, pour l
au particulier de tout ce qu’elle contient, ce qui est le point de la question , et s’attache simplement à combattre une objectio
23 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
faits et des raisonnements susceptibles de fixer mon opinion sur une question intéressante : L’état des comédiens sous le point
intéressante : L’état des comédiens sous le point de vue religieux ; question d’ordre social qui se reproduit sans cesse, et qu
ndre aux faits que l’auteur a réunis pour appuyer son système dans la question . Après avoir retracé l’état des comédiens chez le
24 (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248
Lettres, qui est reçu dans le Monde sans contestation. La plus grande question est pour les Pièces de Théâtre, qui étant prononc
puter davantage là-dessus, et qu’on peut tout d’un coup retrancher la Question en remontrant, Qu’en ce qui est des Histrions et
u’ils disent, que pour le présent on n’a garde de les abolir : Il est question pourtant de faire cesser le bruit et les plaintes
25 (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62
veux émouvoir une grande tourmente en un petit ruisseau ; que n’étant question ici que de Jeux et de Passe-temps, il n’était pas
ue n’étant question ici que de Jeux et de Passe-temps, il n’était pas question d’un préambule si sérieux. Quelque autre usant d’
istinction des choses, n’a lieu qu’en la Théoriquej, car quand il est question de la Pratique et exécution, nulle action n’est p
ctions du Chrétien. Ces fondements posés, il sera aisé de vider notre question  ; à savoir, S’il est permis de jouer Comédies, Tr
ation qu’il sait lui être convenable. Examinons donc, et pesons cette question , non pas aux fausses balances de notre fantaisie 
s sophistiquesx, etc. Il serait trop long, et hors du centre de notre question de discourir comment, et pourquoi les Chrétiens p
l’abolissant totalement, en tant qu’en eux estap : Mais quand il est question , de rendre raison de cette interprétation, ou d’e
l y a des circonstances, qui doivent être bien considérées : Il était question de conserver l’honneur d’une Vierge, non de donne
ctance, précepteur d’un fils de l’Empereur Constantin, traite la même question , et y donne la même résolution. Il ditLib. 6, ca.
me de la Discipline de nos Eglises réformées ; mais ayant éclairci la question de droit par l’Ecriture sainte, et montré celle d
s les controverses entre protestants et catholiques, elle désigne les questions sur lesquelles les autorités ne se prononcent pas
Dieu unique. bx. [NDE] l’interdiction de se travestir, dont il est question depuis la p. 15. by. [NDE] par les arguments do
26 (1768) Observations sur la nécessité de la réforme du Théatre [Des Causes du bonheur public] «  Observations sur la nécessité de la réforme du Théâtre. » pp. 367-379
adoptons pas ses principes dans toute leur étendue. Il agita aussi la question délicate de la danse, & la permit avec des mo
teurs pourront s’intéresser à quelques traits que je vais ajouter. La question du Théâtre a beaucoup exercé les Écrivains. On a
mmencement du XVe siecle, ne peut pas non plus servir à décider cette question relativement à nos mœurs****. D’ailleurs le Théât
27 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VI. Des Actes ou des divisions nécessaires au Poème dramatique. » pp. 90-106
yons combien d’Actes il est à propos de prescrire à ses Poèmes. Cette question importante ne sçaurait être traitée avec assez de
quels ils fesaient des remarques. Le Vers d’Horace dans lequel il est question des Actes,16 fait pourtant croire avec raison que
d’Ariettes peuvent être restreints. L’éclaircissement de cette grande question , apprendra aux Poètes du nouveau Spectacle s’ils
28 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116
. q. 168. art. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 2]. qu’on ne cesse de nous alléguer
. q. 168. art. 2. [saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, IIª IIae, question 168, article 2]. Ci-dessus, n. 25.ak ai. [NDUL]
29 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
nière assez claire et assez précise, en parlant de notre religion. La question concernant la cause des comédiens, se trouve rédu
facile à comprendre. Il ne faut que de la bonne foi pour saisir cette question , afin de prononcer si les acteurs de comédie, eu
30 (1643) La discipline des Eglises prétenduement réformées « [FRONTISPICE] »
que les autres Infidelles. Avec un ample recueil des Observations et Questions faites par les Synodes Nationaux sur la pluspart
31 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
Spectacles : le coup-d’œil que je dois y jeter, vers la fin, sur huit questions importantes, achevera de montrer, que je ne suis
 Si les Représentations théâtrales sont utiles aux mœurs » ; voila la question qu’un certain Auteur nommé Cicéron 1, a, dit-on,
; agréables pour toutes les conditions ». 2. La réponse à la première question , résout aussi celle-ci : les Spectacles, s’ils so
t purement matériels ; les autres (& c’est de ceux-ci dont il est question ) satisfont la vue par les décorations d’un Théâtr
de bonnes loix (comme je le prouverai en deux mots, en répondant aux questions 6 & 7,) que de bonnes loix, dis-je, suffisent
32 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « AVERTISSEMENT. »
int ici une affaire personnelle, tout le public est intéressé dans la question dont il s’agit, et il n’y a personne qui n’y pren
33 (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Avertissement. »
n ne pouvait les résoudre, sans en venir au fond, et sans examiner la question principale, qui est celle de la Comédie même ; ce
34 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
t après lui S. Thomas, il n’y a rien de si facile que de résoudre les questions morales et les cas de conscience, quand on les co
ifférent ; mais il n’y a rien de si malaisé que de résoudre ces mêmes questions en particulier et en hypothèse, parce qu’une acti
35 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Sommaire »
Art, duquel on tâche de raisonner en Philosophe. Il est trop souvent question de l’Opéra-sérieux dans cet Ouvrage, pour l’avoir
36 (1644) Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. Discours quatriesme « Responce à deux questions, ou du charactere et de l’instruction de la Comedie. » pp. 100-132
Responce à deux questions , ou du charactere et de l’instruction de la Comed
amp; impetueux. Il ne tonnoit pas deuant le Peuple, quand il n’estoit question que de faire nettoyer les ruës de la Ville, ou de
auoit pû d’vn point de Morale, s’alloit jetter à corps perdu dans vne question de Physique, la patience échapa tout d’vn coup au
rû vous rien découurir qui vous fust caché. I’ay trouué dans les deux questions que vous m’auez proposées, dequoy m’esgayer, &
37 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
Les spectacles. S ont-ils bons ou mauvais de leur nature ? Question agitée dans tous les temps, & sur laquelle on
s, répond le Théatin, c’est précisément donner en preuve l’état de la question . La comédie n’est, ni ne sçauroit être prohibée p
desirer l’occasion de pouvoir le quitter. » Le P. Porée, traitant la question des spectacles, soutient qu’ils pourroient être u
omédie & des comédiens, n’a point traité pleinement le fond de la question  ; il s’est étendu sur l’historique. Il a montré c
38 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « II. A quoi il faut réduire cette question. » p. 4
II. A quoi il faut réduire cette question . Il semble que pour ôter la prévention que le n
39 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145
ent abolie en Orient, avant la fin du sixieme. Il n’y étoit donc plus question d’Idolatrie dans les spectacles. Mais les Concile
mp; suivantes, je priai la Dame de me dire, comment il pouvoit y être question d’Idolatrie ? La Dame ne répondant pas à ma quest
l pouvoit y être question d’Idolatrie ? La Dame ne répondant pas à ma question , je lui en fis une autre. Celui dont vous êtes l’
doive exclure. Quelles horribles maximes ! Et quand il n’y est point question de coquetterie &c, de quoi y parle-t-on ?… De
n &c &c. Une coquetterie perpétuelle, un Théatre, où il n’est question que d’intrigues d’amour, & où le public ne ve
elle des partisans du spectacle ? Permettez que je vous fasse ici une question … Ces arbitres, ces hommes immortels &c &c
Je suis surpris, lui dis-je, qu’un homme instruit me fasse semblable question  : car… tout Chrétien fait, que l’Eglise toujours
ités aussi palpables, crut se tirer d’embaras en me faisant une autre question . La voici… Cinquieme objection. MAis si
ur bien sentir l’inconséquence de votre réfléxion ? Daignez peser les questions suivantes… 1°. Parceque même parmi les personnes
dit depuis la page 62 jusqu’à 94. Je pris la liberté de finir, par la question suivante… Depuis quand a-t-on le talent de former
cesseurs des Apôtres, que vous devez écouter comme J.C.… jugera cette question  ? Voyez toute la premiere lettre. Cela ne mérite-
 ? Permettez encore, que j’aie l’honneur de vous faire ici une petite question . Quel mal fait-on en donnant un repas d’amitié, o
res, un sujet de gourmandise & d’ivrognerie. Satisfaite sur cette question , elle me fit aussi-tôt la suivante… Mon Confesseu
les Papes les condamnent-ils &c &c ? Qu’on me réponde à cette question , j’ai déja répondu à la prémiere, pag. 98, 99 &am
40 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
’article « Genève », 1759. Anonyme, Lettre II [et III] sur cette question , 1701 • Anonyme : Lettre II [et III] sur cette
sur cette question, 1701 • Anonyme : Lettre II [et III] sur cette question  : S’il est permis de jouer, à l’opéra, à la coméd
RESERVE KH-159-4 (cf. Notice).   Autre édition • Lettre II sur cette question  : S’il est permis de jouer, à l’opéra, à la coméd
, tome IV, seconde partie. PDF : Google. Balzac, « Réponse à deux questions  », 1644 • Balzac, Jean-Louis Guez de (1595-165
1644 • Balzac, Jean-Louis Guez de (1595-1654) : « Responce à deux questions ou du charactere et de l’instruction de la Comedi
6, in-4º, viii-543 p. PDF : Gallica.   Réédition • « Response à deux questions , ou du charactere et de l’instruction de la Comed
p. [n. p.] 218 p. PDF : Gallica. Édition moderne • « Réponse à deux questions ou Du caractère et de l’instruction de la Comédie
théâtres secondaires sur les mœurs du peuple, prix proposé sur cette question par l’Académie des sciences, belles-lettres et ar
les Sixième et Neuvième Commandements du Décalogue, et de toutes les questions matrimoniales qui s’y rattachent directement ou i
s pénitents sur le 6e commandement ». Delpla, Discours sur cette question …, 1814 • Delpla, A. : Discours sur cette quest
scours sur cette question…, 1814 • Delpla, A. : Discours sur cette question  : Quels sont les moyens de faire concourir le thé
le. • Anonyme [Jacques Joseph Duguet], « Premiere lettre. Réponse aux questions propres sur les Spectacles », p. 1-15, Lettres su
xxxvi-256 p. PDF : Google.   Réédition • Mémoire à consulter sur la question de l’excommunication, que l’on prétend encourue p
onsulter, 1761 • Lerident (....-....) : Mémoire à consulter sur la question d’excommunication que l’on prétend encourue par l
 f.). PDF : Google.   Rééditions • [sous le nom de l’abbé Parisis] : Questions importantes sur la comédie de nos jours. Par M. l
e, 1636 • Renaudot, Théophraste (1586-1653) : Seconde Centurie des questions traitées ez conférences du Bureau d’adresse depui
les spectacles publics des Comoedies et Tragoedies, où est décidée la question , s’ilz doibvent estre permis par le Magistrat, et
jeux comiques et tragiques, contenant instruction et résolution de la Question  : assavoir si tels esbats et passe temps sont per
que les autres Infidelles. Avec un ample recueil des Observations et Questions faites par les Synodes Nationaux sur la plupart d
çois-Marie Arouet dit (1694-1778) : diverses lettres en réaction à la question de l’excommunication des comédiens et à l’affaire
41 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre VIII. De la Mascarade. » p. 196
ne consiste qu’en une seule & simple representation. Il n’est pas question de mouvement, comme au Balet, de dexterité comme
42 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  LETTRE A M. RACINE, Sur le Théatre en général, & sur les Tragédies de son Père en particulier. » pp. 1-75
ter des Ouvrages que son Père s’est reproché d’avoir faits ? & la question sera-t-elle décidée par un homme qui, dans les lo
n s’efforce depuis long-tems de réduire en problème théologique cette question  : si c’est un péché d’aller à la Comédie. On ne m
amp; qui mérite d’être connue. On agitoit un jour devant Louis XIV la question de la Comédie. M. Bossuet, Evêque de Meaux, entra
t en effet tout ce qu’on sauroit dire de part & d’autre sur cette question . M. Bossuet reconnoît de bonne foi que l’affirmat
sse de raisonnement. M. Bossuet a composé un Ouvrage exprès sur cette question . Il la traite en Evêque, c’est-à-dire, en Docteur
tes les vertus, jugeroit indignes d’elle. Il ne s’agit point, dans la question présente, de projets de récréation pour des Relig
tique impartial & sans préjugé, les Scènes de Corneille où il est question d’amour, & les comparer à celles de Racine qu
Tragédies de Racine, & qui n’ont pas comme celui dont il est ici question , le défaut d’approcher un peu trop du comique ; e
souvent sous les yeux des vérités que nous ne voyons pas. Dans toute question littéraire, on ne prend jamais que les extrêmes.
43 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XV. Application de la doctrine précédente aux danses et aux bals qui se font aujourd’hui. » pp. 94-96
t aux bals qui se font aujourd’hui. Il faut maintenant passer à la question de fait, et voir si les raisons qui rendent la da
44 (1638) L’Image du Vray Chrestien. Chapitre IV « Chapitre 4. » pp. 106-108
it permis de donner ou contribuer quelque chose pour tels vanités. Question 1. P ourquoi le B.P.S. François a si étroitem
45 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — Avis de l’Éditeur, Sur les Notes suivantes. »
ire des Théâtres : trois objets qu’embrassera la Note [A]. II. Il est question de la Comédie en particulier sous la Note [B]. II
46 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7
recs la supériorité dans la Tragédie ? Je ne ferai que proposer cette Question . Ce petit Traité où il est si souvent parlé du Th
47 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
e. Demande. On supplie Messieurs les Docteurs de décider les questions suivantes. 1°. Peut-on admettre aux Sacrements un
re dit, combien est frivole et mauvaise l’excuse que les Comédiens en question apportent pour justifier leur long séjour parmi l
48 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VI. Ce que c’est que les mariages du théâtre.  » pp. 25-27
ême par rapport au licite ; c’est, comme l’a remarqué, en traitant la question de la comédie, un habile homme de nos jourse ; c’
49 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
order avec les mœurs et la Religion. Les Italiens ne font point cette question  ; ils n’excommunient pas ceux qui leur donnent du
50 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
, abstraction faite de tout ce qui a été dit pour et contre sur cette question , m’ont mis à portée de comparer les temps, d’appr
s, qui en ont parlé dans le même sens, qui ont combattu la comédie en question à sa naissance, et l’ont jugée dangereuse unanime
51 (1731) Discours sur la comédie « Lettre à Monsieur *** » pp. -
avants, pourrait plaire aux gens du monde, eux qui voudraient que les questions les plus difficiles fussent terminées en quatre m
52 (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275
ger à la hâte d’ouvrages comme les vôtres, et surtout à l’égard de la question que vous entamez sur la Tragédie et sur la Comédi
53 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
st de vous qu’on peut dire, « dat veniam corvis »cm . Vous faites des questions au Public mais vous lui dictez ses réponses ; ell
ns les circonstances du délit : ce comique-là disparaît dès qu’il est question de prononcer, et la sentence n’en est pas moins s
e. En qualité de Juge, il reprend très fort son sérieux, quand il est question de prononcer sur le Compte d’Angélique : il ne vo
as, ce n’est là qu’une dispute de mot, qui ne fait rien au fond de la question . Il s’agit d’examiner si Alceste est un galant ho
54 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50
morale et de la doctrine, à approuver les pièces ou les rejeter. Ces questions n’ont pas lieu en France ; l’autorité royale a to
leux dont l’approbation et la permission lui avaient été refusées. La question touchant l’excommunication encourue par le seul f
par l’un et par l’autre avec autant de sagesse que de lumière, cette question , disons-nous, est soutenue affirmativement, et dé
Roi, a dit que l’exposé qui venait d’être fait à la Cour du livre en question , ne justifie que trop la sensation que la distrib
55 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
u de droit, constatée par des actes publics, et par quels actes ? Ces questions ne seront jamais pleinement décidées, parce que l
ar les Comédiens ? Voici les principes nécessaires pour décider cette question . Je les rapporte, mais en peu de mots, parce que
re régulière. Il en est a jure, ordonnées par la loi. Il ne peut être question que de celles-ci : je ne sache pas qu’on ait jama
n ne peut ni lui donner ni recevoir de lui. C’est ici que commence la question de S. Thomas à l’occasion des dîmes. On distingue
56 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
e la légitimeté du plaisir qu’ils procurent. 75 On y répond aux huit questions par lesquelles monsieur Rousseau commence sa Lett
[M] est une dissertation sur la Danse. 425 Dans la Note [N], il est question d’un nouveau Théâtre Éphébique, établi depuis un
57 (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292
a pratique en est déjà selon vous très vicieuse. Venons au fond de la question . Sur ce que vous dites qu’une chose qui peut prod
s assez sensibles pour s’attendrir à cette chaste représentation : la question est de savoir si le fruit en reviendrait à leurs
58 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
y satisfait jusqu’au scrupule. Elle se retire avec la Fille dont est question , nommée Mariane, et le Frère de cette fille nommé
a scène précédente, que Panulphe gouverne absolument l’homme dont est question , il est fort naturel que son Beau-frère prenne un
Monsieur Panulphe » : elle, bien empêchée pourquoi on lui fait cette question , hésite : enfin, pressée et encouragée de répondr
en particulier faire aucun méchant effet – ce qui est le point de la question – la condamnent toutefois en général, à cause seu
le, et que cela ne se peut sans quelque longueur et sans examiner des questions un peu trop spéculatives pour cette Lettre, je ne
’est particulièrement pour un homme amoureux, qui est le cas de notre question . Il est peu d’honnêtes gens qui ne soient convain
suis,Monsieur,Votre, etc. Le 20 août 1667. b. [NDE] Le « fond de la question  » désigne le nœud de la polémique autour du Tartu
de conscience. En fait, l’auteur de la Lettre aborde « le fond de la question  » dans la relation de la pièce, où il rend compte
59 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
té insérées dans le 39me Volume des Mémoires de cette Académie. Cette question y est traitée & discutée d’une maniere d’auta
60 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
à faire. Nous verrons bientôt qui a droit de faire ce choix. Il n’est question ici que des nouveautés. Rien de plus commun que
61 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
e, dans son sermon sur les divertissements du monde, se propose cette question qu’il résout de même : « Les Spectacles profanes
le caractère le plus inséparable de la Foi… Et de là, voilà bien des questions résolues. Vous nous demandez sans cesse si les Sp
de la Religion et des Mœurs ? Pour ne rien laisser à désirer sur la question des Spectacles, nous allons citer des autorités q
ouis Racine : « On s’efforce de réduire en problème théologique cette question  : si c’est un péché d’aller à la Comédie. On ne m
ne laissera rien à désirer à quiconque voudra examiner plus à fond la question sur les Spectacles. 29. I. Cor. XV. 33. 30. Tus
62 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE III. » pp. 29-67
embres de l’Eglise, ont en commun, comme la priere, les Sacremens. La question ne roule pas sur l’existence des peines ecclésias
seul fait : pourquoi les monitions sont-elles requises, lorsqu’il est question d’une sentence personnelle ? C’est pour tenter la
a jejunia observent & suis observare doceant. Mais dès qu’il est question de l’interruption du negoce & des procédures
63 (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32
lequel Fannius accusait Roscius de l’avoir trompé. Jamais il n’y est question du droit de Bourgeoisie Romaine. Mais Cicéron se
, préviennent contre la Cause même. En voilà, je crois, assez sur une question de fait que l’on pouvait décider en peu de mots,
64 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
re pour guide. On trouvera peut-être que je décide trop hardiment une question qui occupe & qui divise depuis tant de siècle
65 (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643
oses bonnes et honnêtes, que pour offenser la chasteté. Mais s’il est question de parler des autres où l’on fait profession de f
66 (1764) Comédie pp. 252-254
le peuple, et de gagner par là de quoi subsister. Il n’est point ici question de son origine, qui sûrement vient des Païens : i
67 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
ntageux de décider cette classe moyenne et mixte. Sous les tyrans, la question n’est pas douteuse ; il est de la politique de ra
68 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
as en Sorbonne ; et les Docteurs consultés crurent devoir examiner la question de la Comédie à fond. Pour y réussir ils forment
nt pas être confondus avec ces gens-la. Mais afin de ne pas faire une question de nom, il suppose que saint Thomas ait entendu l
e Théâtre de leurs Collèges. On voit ensuite les Réponses à plusieurs questions  : entre autres on répond que le Cardinal Tolet et
69 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
quence de l’Athénien. Je me restreins donc à l’examen d’une seule des questions discutées par vous, à savoir « si les Spectacles
vant de vous opposer des raisonnements, je commencerai par réduire la question à des faits. Les Poètes dramatiques ont-ils trouv
à leur succès ; et c’est à ce point seul, que je prétends ramener la question . Il suffit de montrer des pièces qui soient et ag
70 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
e n’aurai garde d’oublier ce qui a rapport à la Musique. Il doit être question de cet art agréable dans un ouvrage où l’on voudr
71 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
avons eu tous ensemble sur mon Projet. Ils serviront de Réponse à la question que tu me fais au commencement de ta dernière.
72 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIX. Si un Evêque peut défendre qu’on ne danse les jours des Fêtes, ou même en quelque temps de l’année que ce soit. » pp. 146-153
e que ce soit. Il est néanmoins encore nécessaire d’expliquer deux questions importantes qui regardent l’autorité des Evêques,
73 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
avec une certaine étendue : mais ce sujet est entièrement hors de la question que je me suis proposé d’éclaircir. Je n’ai voulu
74 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121
quelle de ces deux parties fait la destinée des ouvrages d’esprit. La question est, je crois, décidée en faveur de la premiere,
d effet que quand les pensées ont un grand éclat ; les deux premieres questions énoncées plus haut seront décidées. Entrons dans
75 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806
s traités excellents qui ont été publiés sur ce sujet, et c’est cette question qui fait la matière des Cas suivants proposés à M
on ne pouvait les résoudre sans en venir au fond, et sans examiner la question principale, qui est celle de la Comédie même ; ce
produisit tous ces Ouvrages qui parurent alors sur cette matière. Questions concernant la Comédie. CAS I. I. La Comédie
oit. Car premièrement c’est avec beaucoup de fondement que dans cette question l’on récuse l’autorité des Pères des cinq premier
aint Thomas. Il est vrai que ce Saint Docteur dans le lieu cité de la question 168. marque de certaines conditions qui pourraien
vrait suffire pour abolir entièrement les spectacles, examinons-en la question par d’autres raisons, comme de surcroît. » Et sur
se récompenser de leurs peines. Saint Thomas au lieu déjà cité de la question 168. semble admettre cette espèce de pacte, lorsq
pectacles, et non de ceux qui les représentent. Et quand il en serait question , cela ne prouverait pas que la Comédie fût permis
u’elle ne soit toujours défendue par l’Eglise. On répond à la seconde question , ou demande de l’exposé ; que si la Comédie est m
76 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
ues, ne le sont jamais pour des Théologiens ? Vous me direz qu’il est question de faits et non de louanges, et que le Philosophe
ectures, ou par le témoignage d’autrui, ou sur l’aveu des Pasteurs en question . Or dans les matières de pur dogme et qui ne tien
ville, et un Etat pauvre, à se charger d’un spectacle public. Que de questions je trouve à discuter dans celle que vous semblez
si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêmes, c’est faire une question trop vague ; c’est examiner un rapport avant que
nu pour ceux qu’on y fait aimer ? Mais ce n’est pas de cela qu’il est question  ; c’est d’agir conséquemment à ses principes et d
bien est nul : reste le mal, et comme celui-ci n’est pas douteux, la question me paraît décidée ; mais passons à quelques exemp
ion qui tend à justifier cette Pièce, c’est qu’il n’est pas seulement question d’étaler des forfaits, mais les forfaits du fanat
e nous appartienne pas. Il me semble qu’en traitant les caractères en question sur cette idée, chacun des deux eût été plus vrai
issent donner du poids et du prix à leurs leçons ; mais revenons à ma question . De l’usage antique et du nôtre, je demande leque
; mais ces changements seront-ils avantageux ou nuisibles ? C’est une question qui dépend moins de l’examen du Spectacle que de
il faut premièrement savoir si les mœurs y sont bonnes ou mauvaises ; question sur laquelle il ne m’appartient peut-être pas de
es instruments propres à diriger l’opinion publique ; c’est une autre question qu’il serait superflu de résoudre pour vous, et q
public, il fallait des Juges d’une grande autorité sur la matière en question  ; et, quant à ce point, l’instituteur entra parfa
ite où est le mal que les cercles soient abolis… Non, Monsieur, cette question ne viendra pas d’un Philosophe. C’est un discours
alités de ce qu’on aime, cela n’arrive que trop souvent ; mais est-il question d’amour dans tout ce maussade jargon ? Ceux mêmes
les considérations que j’avais à proposer au public et à vous sur la question qu’il vous a plu d’agiter dans un article où elle
incapables. Si le sage Plutarque s’est chargé de justifier l’usage en question , pourquoi faut-il que je m’en charge après lui ?
ant d’avoir trop vécu ! 12. [NDA] C'est du beau moral qu’il est ici question . Quoi qu’en disent les Philosophes, cet amour est
est pas fanatique ; c’est un fourbe qui, sachant bien qu’il n’est pas question de faire l’inspiré vis-à-vis de Zopire, cherche à
16 « Du jeu » (qu’on trouve chez Rey à Amsterdam). Voilà l’état de la question bien posé. Il s’agit de savoir si la morale du Th
77 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
é et l’injustice, et, pour y parvenir plus sûrement, je diviserais la question , et j’en séparerais ce qui est de droit, d’avec c
olique. Les théologiens qui, jusqu’à présent, ont voulu traiter cette question de la réunion des schismatiques à l’église de Rom
part soumis à l’empire des préjugés, n’ont jamais bien envisagé cette question difficile dans son véritable point de vue ; ils n
78 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
ieux. Il n’est pas nécessaire de m’en occuper. Ce reproche sort de la question que je me suis proposée, et je n’en ai dit que qu
79 (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45
cette raison, déjà si forte, n’est ici que secondaire, puisqu’il est question d’une chose rigoureusement juste. Il faut poser d
ne pour être libres ? XXVII. Et quelles loix devroit-on poser ? cette question n’entre point dans le plan de mon ouvrage, &
les plus évidentes, quand ils ont répondu d’un air froid, qu’il n’est question , sur ce point, que des intérêts des Gens de Lettr
ultitude. Mais le temps de la justice vient tôt ou tard, & sur la question que j’ai traitée dans cet ouvrage, le temps de la
80 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
es pièces de Théâtre ; nous pourrions nous dispenser de traiter cette question , parce qu’elle n’est pas nécessaire pour l’éclair
ersonnes qui parlent après l’expérience, nous pouvons conclure que la question est terminée, et qu’on ne doit plus penser à lais
les faire déclamer dans plusieurs Collèges, de quoi il n’est pas ici question . Je ne cite cet article que pour montrer que ceux
out à fait dans cette réflexion, et je conviens encore que s’il n’est question que de fournir aux Chrétiens les plus grands suje
81 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
es. Un éxemple me fera mieux comprendre. On propose ainsi en forme de question un mot de plusieurs sillabes. Ma prémière partie
82 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
une procédure très-longue & très-minutieuse, jusqu’à mettre à la question tous les esclaves des prévenus, plutôt pour les a
on fasse la dégradation d’un Evêque ou d’un Prêtre. Jamais il n’a été question de lui mettre un voile noir, qu’on ne connoissoit
: Il faut servir les Dieux, & chérir les parens, car il n’est pas question d’aimer Dieu. Aux mortels aveuglés l’accès en est
83 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
ser le Théâtre ? S’il ne fallait que l’autorité pour décider cette question , une foule d’Ecrivains de tous les pays et de tou
ouvrage, dit ces belles paroles, bien dignes d’elle : « Il n’est pas question dans les pièces de théâtre de satisfaire les libe
e prenait condamnation). « Il demeura quelque temps à réfléchir » (la question est délicate). « Puis il me dit : Madame, je croi
84 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « REMARQUES. SUR LE LIVRE DE J.J. ROUSSEAU, CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 21-65
ien est nul, reste le mal ; et comme celui-ci n’est point douteux, la question me paraît décidée. » Page 49. « Tout en est mau
des instruments propres à diriger l’opinion publique, c’est une autre question qu’il serait superflu de résoudre pour vous, et q
85 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE II. » pp. 18-28
néanmoins avec d’autant plus de confiance, que j’ai cherché la loi en question  ; je l’ai lue, & dans les termes qui l’exprim
86 (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42
nt. Pour procéder avec plus de méthode, je diviserai cette importante question en six questions principales : 1°. Tous les homme
r avec plus de méthode, je diviserai cette importante question en six questions principales : 1°. Tous les hommes ont-ils indisti
de théâtre ? Je ne conçois pas qu’on puisse seulement faire cette question à un peuple vraiment libre. M. de Chenier a établ
lentes idées. Pourquoi se perdre dans un étalage d’érudition ? est-il question d’exemples et de citations, quand il faut des pri
87 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
es à de vils histrions. Dans tous les Journaux économiques, c’est une question fort longuement traitée, si les priviléges exclus
éges & la communication ; le Théatre s’est avisé de traiter cette question par rapport à lui. Les sentimens sont partagés :
utés, en érige qui veut, sans que l’Hôtel s’en plaigne. Il n’est donc question que des Théatres publics. N’est-ce pas assez, n’e
ais démenti. Il faut donc répéter, d’après M. le Kain, que toutes ces questions de décence, élevées à l’occasion de ma piece, son
çais, enregistré au Parlement le 7 septembre 1761 ; est d’avis que la question proposée par le Consultant, intéresse visiblement
t Auteur devoit-il s’attendre en effet que dans une piece où il étoit question de jouer les Courtisannes, la plupart de ses juge
88 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108
. Aristote en a dit quelque chose. Le croirait-on ? Il en est question dans la Poétique d’Aristote ; il est, je crois, l
89 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99
e des deux, insipides & sans goust. Il se fait ordinairement deux questions sur ces Instrumens, qui ont embarassé les plus ha
t de dire beaucoup de choses inutiles que de resoudre precisément une question & que de satisfaire nostre curiosité. Car ils
90 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82
i, la cour sous correction doit lever les défenses. Joint qu’il n’est question de ludis pertinentibus tantum ad ornatum urbis ve
[NDE] Il a été partout proclamé publiquement. bq. [NDE] Il n’est pas question de jeux qui ne visent qu’à l’ornement de la ville
91 (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « letter » pp. 472-482
ecture des bons Livres, vous pouvez vous satisfaire pleinement sur la question que vous me proposez. Mais comme vous ne m’interr
e, et s’il est permis à un Chrétien d’y aller. Il me semble que cette question est vidée il y a longtemps, et qu’il n’y a person
92 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41
emière Partie contient quatre Chapitres, et chaque Chapitre plusieurs questions . Dans le 1. Chapitre il expose les raisons justif
ersonnages de la Commedia dell’arte (Beltrame, Scapino). L’ouvrage en question est : La supplica. Discorso famigliare a quelli c
93 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
ce de la scène sur les mœurs en France ? J’essaierai de résoudre une question aussi grave, aussi éminemment morale et politique
autres motifs que je ne discuterai pas puisqu’ils sont étrangers à la question de ce mémoire, les modèles de nos maîtres restère
94 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250
uand elle est honnête. Je ne prétends point ici néanmoins traiter les questions qui pourraient naître de ce discours, et dont il
95 (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71
onc deux choses adsolument impossibles à concilier ? Cette importante question fait le sujet d’une prétendue conversation (*) su
iroient, ne pouvoit avoir rien que de vil. En France c’est encore une question de savoir si nous avons eu réellement des Spectac
u tems perdu en observations, on est tout surpris de voir qu’il n’est question que de reprendre la route tracée, & de marche
ont paru pour & contre les Spectacles, qui n’ont point décidé la question . (*). Lettre à M. Dalembert. (a). Patimur mul
96 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132
es Gardes-Chasses, des Savetiers &c. Ma nouvelle réponse, à cette question embarrassante, ne ressemblera nullement à celle q
97 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
tirer de peine, dans une des plus difficiles, mais des plus curieuses Questions qu’un Théologien puisse traiter. En effet, Monsie
rrassé à moins, et que ce n’est pas une petite affaire de décider une Question dont les sentiments sont si partagés : Car dites-
épens de ceux qui les auraient suivis. Nous aurions bientôt décidé la Question , si l’Ecriture Sainte s’en expliquait de quelque
parce que c’est quelque chose d’assez délicat, et que le point de la Question consiste à les bien accorder ensemble, je veux bi
ornes d’une simple Lettre, et pour ne rien laisser d’irrésolu dans la Question dont il s’agit, d’examiner les précautions avec l
98 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381
icile ; & je n’ai garde de prétendre la bien expliquer. Sur cette Question aussi bien que sur la Musique des Anciens, on peu
avoue que je puis me tromper, & il peut se tromper aussi. Sur une question qui est obscure, & n’est que curieuse, l’erre
’y ai rien pu comprendre dès l’entrée. Ce Dialogue commence par cette question  : Lorsque je prononce pone Verbe ou ponè Adverbe
99 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
et déplacées : « Vitium est immane donare Histrionibus. » C’est une question célèbre en morale, si une femme publique peut en
rompues pour séduire les autres, crime qui n’a jamais été toléré. Ces questions ne sont pas étrangères au théâtre, chacun en fait
(Tom. 15.), en rapporte beaucoup d’autorités, et traite au long cette question , à l’occasion d’une danseuse de l’Opéra dont il f
100 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « La criticomanie — Autres raisons à l’appui de ce sentiment, et les réponses aux objections. » pp. 154-206
onte, à nous démoraliser, on pourrait jeter un nouveau jour sur cette question , et achever de rendre sensible le défaut radical
n’étaient pas plus d’accord que les modernes sur ce point. La grande question des dangers et de l’utilité des théâtres avait dé
/ 282