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1 (1764) Comédie pp. 252-254
a Comédie. Le mari, parce qu’il se rendrait ridicule à ses amis, s’il refusait d’y aller avec eux : la femme, parce que son mari
à Pâques à la Communion, à la vue de tout le monde, son Curé la lui a refusée . L’a-t-il pu en conscience ? R. Puisque ce Comédi
uisque ce Comédien est connu publiquement pour tel, son Curé a dû lui refuser la Communion, après néanmoins lui avoir demandé p
t de vouloir persévérer dans sa profession, et par conséquent il a dû refuser à son corps la sépulture Ecclésiastique ; puisqu’
2 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
cré, de tout bénéfice ecclésiastique, nous allons voir qu’elle leur a refusé tous les sacrements sans exception. 1.° La pénite
oléré le métier de Comédien. 2.° Le baptême. On ne peut sans doute le refuser aux enfants des Comédiens, on ne le refuse pas à
On ne peut sans doute le refuser aux enfants des Comédiens, on ne le refuse pas à ceux des hérétiques et des plus grands scél
on de s’y présenter ; y croient ils ? en ont-ils l’idée ? 4.° On leur refuse le mariage. Les Conférences de Paris sur le Maria
age (Tom. 1. L. 2. T. 4. N. 3.) y sont expresses. « Les Curés doivent refuser la bénédiction nuptiale aux Comédiens, comme à de
ne croyait pas trop canoniques les agréables services d’une Actrice, refusait de payer le legs. Enfin après bien des négociatio
tres Baladins qui pendant six semaines inondent sa paroisse. L’Eglise refuse de les admettre au nombre des Chrétiens, pendant
moyens absolus qui portent sur la nullité radicale de l’acte, on lui refuse toute audience. La loi peut-elle souffrir qu’on a
Quelques jours après il s’en repent, désavoue la qualité de père, et refuse celle de tuteur. Un mois après il change de langa
10. qui filii sint legitim. et tous les Jurisconsultes.) 5.° On doit refuser la sainte communion aux Comédiens à la vie et la
ratur an indulgeri possit. »Il résulte de ces dispositions qu’on leur refusait les sacrements pendant la vie, et qu’on ne les le
cautions, sur leurs dispositions et l’approbation de l’Evêque. 6.° On refuse aux Comédiens même la sépulture ecclésiastique. C
tuels sont également unanimes en ce point. Personne n’ignore qu’on la refusa au célèbre Molière, ce Héros du théâtre, ce qui o
’orgueil et l’impiété de cette engeance perverse : « Se peut-il qu’on refuse la sépulture à un homme à qui on doit des autels 
3 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
x publique. Un comédien meurt ; le curé de la paroisse qu’il habitait refuse de recevoir dans son église la dépouille mortelle
xcès répréhensibles, que se fondent les membres du clergé actuel pour refuser la sépulture chrétienne aux comédiens morts sans
oscrit quelques bateleurs du huitième siècle, qu’au dix-neuvième nous refusons d’invoquer la miséricorde divine, dans nos temple
uis cette époque jusqu’au grand homme à qui le curé de Saint-Eustache refusa la sépulture chrétienned, tinrent tous directemen
ée, un ecclésiastique se rend coupable d’un véritable délit lorsqu’il refuse les prières publiques à un comédien. Mais il semb
fession, en général, les idées qui règnent de nos jours. En effet, on refuse d’admettre le corps de l’illustre auteur de Tartu
4 (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750
’est une coutume si générale parmi les gens de qualité, qu’il ne peut refuser à ses amis de les y accompagner, sans leur paraît
re aujourd’hui les Comédiens comme des gens excommuniés et qu’on leur refuse les Sacrements et la Sépulture Ecclésiastique. To
s ceux qui assistaient aux Divins Offices ; Ignace son Curé, la lui a refusée , dont Lucinius s’est fort scandalisé. Ce Curé a-t
ucinius s’est fort scandalisé. Ce Curé a-t-il pu en conscience la lui refuser en public, malgré le scandale qu’il prévoyait bie
omédien est connu publiquement pour tel, Ignace a pu et a même dû lui refuser la Communion, après néanmoins lui avoir demandé p
t faite, est mort sans recevoir les Sacrements, ce Curé les lui ayant refusés . Sur quoi l’on demande deux choses. La première,
r quoi l’on demande deux choses. La première, si le Curé a pu les lui refuser , le voyant prêt de mourir. La seconde, si étant m
ourir. La seconde, si étant mort en cet état, le Curé peut sans péché refuser à son corps la sépulture Ecclésiastique ; princip
ques le trouveraient à propos ; c’est-à-dire, qu’encore qu’on ne leur refusât pas l’absolution, quand ils donnaient des marques
a Profession de Comédien : et que par une suite indispensable il a dû refuser à son corps la sépulture Ecclésiastique ; puisqu’
Romain, et par plusieurs autres. D’où il s’ensuit qu’on doit donc la refuser aux Comédiens, qui meurent sans donner des marque
5 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
me, ce que vous défendez à Paris ? M. le vicaire de telle paroisse ne refuse-t -il pas l’absolution à sa pénitente qui est allée
Voilà pourquoi vous permettez au roi et à ses courtisans, ce que vous refusez à tout autre citoyen ; s’accuse-t-on au tribunal
res de l’Église ! M. Harlay de Champvallonq, archevêque de Paris, lui refuse une messe ! Louis XIV lui-même, le superbe Louis 
vêques seuls, s’aveuglant sur les vrais intérêts de la religion, leur refusent les prières de l’Église ; au mépris de la charité
ort inexact : Molière a été victime du curé de S. Eustache, qui avait refusé les sacrements, mais François de Harlay a autoris
le. u. [NDE] Le texte est sans doute altéré. Le sens voudrait : « ne refusons point à la cendre (des comédiens)… les devoirs qu
6 (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « [Lettre] » pp. 1-4
vise : Vitam impendere vero , que vous vous êtes appropriée, mais ne refusez pas aux autres Ecrivains l’avantage d’être admis
esque tous les Ecrivains que vous réprouvez ? Sur quel fondement leur refusez -vous la pureté d’intention & le désintéressem
7 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199
oin de l’excommunication pour être en droit, pour être même obligé de refuser les sacrements aux Comédiens. La qualité de péche
devant Dieu, et dans l’extérieur devant les hommes. Un Ministre peut refuser les sacrements à un pécheur public, quoiqu’il ne
l, même le plus secret, excommunie devant Dieu ; et le Confesseur qui refuse l’absolution, en ce sens aussi excommunie le péni
de droit notoirement pécheresses publiques, et dès lors doivent être refusées à tous les sacrements, quoiqu’elles ne soient pas
par la jurisprudence moderne du royaume, il faut, pour être obligé de refuser la communion à un excommunié, une dénonciation pu
ment reconnu qu’indépendamment de toute excommunication, on a dû leur refuser , et on leur a refusé en effet tous les sacrements
ndamment de toute excommunication, on a dû leur refuser, et on leur a refusé en effet tous les sacrements, en vertu de leur pé
elon les Interprètes, une vraie excommunication : les sacrements sont refusés aux pécheurs, le commerce de la vie ne l’est qu’a
aire de décence et d’édification, savoir si l’Eglise fera mieux de le refuser  ; ce que S. Thomas déclare avec raison être plus
8 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
tinencek ceux qui condamnent ces ébattements, et d’injustice ceux qui refusent l’entrée de nos bonnes villes aux comédiens qui l
rien » (Tite-Live, XXIV, 24). k. [NDE] Erreur de jugement. l. [NDE] Refusent . m. [NDE] = ce qui règle la vie de la cité. n.
9 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
e comme manifestement infâmes : les Evêques les plus saints leur font refuser publiquement les Sacrements ; nous avons vu un de
et autres personnes scandaleuses mis au nombre de ceux à qui on doit refuser publiquement la Communion. Il est donc impossible
10 (1670) Du delay, ou refus de l’absolution [Les Instructions du Rituel du diocèse d’Alet] « Du delay, ou refus de l’absolution. » pp. 128-148
plus ordinaires ausquels le Confesseur est obligé de differer, ou de refuser l’absolution ? Il y en a cinq. Le premier est, lo
presente. Quelles sont les personnes ausquelles on doit differer, ou refuser l’absolution, pour estre engagées dans les occasi
ngagé dans une eternité malheureuse. Et il doit demeurer ferme à leur refuser l’absolution, jusques à ce qu’ils ayent entiereme
nd-on par le peché d’habitude pour lequel le Confesseur est obligé de refuser , ou de differer l’absolution ? On entend un peché
au dernier jour de la quinzaine de Pasque, lorsqu’il juge luy devoir refuser l’absolution ? Il seroit à souhaiter que l’on obs
à Dieu, & à son ministere dans cette occasion, demeurant ferme à refuser , ou differer l’absolution, & faisant entendre
11 (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276
ificium instaurando, etc. » On voit, d’après cela, que Mgr Bouvier ne refuse l’absolution qu’aux consuétudinaires, c’est-à-dir
ayant été consultés, en 1694, sur la matière, ont décidé qu’on devait refuser l’absolution : « 1° actoribus qui scenicos ludos
ative à ces derniers. Faut-il en conclure que l’on ne doit point leur refuser l’absolution ? C’est ce que l’on ne peut admettre
Continuons. Quelques pages plus haut, l’auteur avait dit : « On doit refuser l’absolution à ceux qui sont dans l’occasion proc
cordera les secours de la religion. Dans le cas où il s’obstinerait à refuser la déclaration qu’on lui , il serait évidemment i
ectacle, il est tombé et a manqué à sa parole, le confesseur doit lui refuser l’absolution jusqu’à ce qu’il ait été éprouvé pen
véritablement disposé à fuir entièrement les spectacles, il doit lui refuser l’absolution, jusqu’à ce que, par des preuves rée
12 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
l’abjuration, et qui, lorsqu’un acteur vient à mourir subitement, lui refuse les prières à l’église et la sépulture en terre s
rt subitement sans confession, et auquel on ne peut reprocher d’avoir refusé ou méprisé les secours spirituels de l’église, ne
autres citoyens qui professent la religion chrétienne. Le prêtre qui refuse les prières de l’église et la sépulture à un acte
nels, dignes de la mort et des plus cruels supplices, parce qu’ils se refusent à croire certaines vérités révélées et incontesta
son intention, ou du moins d’après son raisonnement, que quiconque se refuserait de croire aux vérités de notre religion, devenues
13 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
ses sont nulles. Des enfans qui n’ont pas eu par espect le courage de refuser quand on leur a arlé de mariage, auront ils celui
raison d’exhérédation. Parmi nous on peut déshériter, non un fils qui refuse de se marier, mais un enfant qui se marie contre
nditions ou de la naissance, ne sont pas des raisons suffisantes pour refuser leur consentement. Cette loi est singuliere en A
la bénédiction, &c. & tout cela pour rien ; car si quelqu’un refuse mal-à-propos d’accomplir le mariage, on l’exhorte
la Marche de Brandebourg ; leur foiblesse est excusable, si le mari a refusé de les satisfaire par le devoir conjugal. On a ch
14 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
’ils ne devaient pas jouer cette Comédie, l’absolution même ayant été refusée à une des femmes qui monte avec eux sur le Théâtr
ordres qu’ils ont de la représenter. On demande donc si on doit leur refuser l’absolution à tous jusqu’à ce qu’ils se corrigen
se souvenant qu’ils sont les dispensateurs des Mystères de Dieu, ont refusé l’absolution, ont très bien fait, puisqu’ils ont
15 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
ssèrent leur vie dans un célibat de libertinage ; mais celle-là ayant refusé de se marier, celle-ci dans un long veuvage après
de tous ces projets ; Elisabeth survécut à Marie, monta sur le trône, refusa la main de Philippe, & détruisit la religion
es, Philippe ne devoit pas demander, elle devoit tout uniment pour la refuser , non pas jouer la comédie, fait espérer par les p
n bâtard, il est vrai, mais Elisabeth ne prit pas ce prétexte pour le refuser , & il lui eût peu convenu d’avoir de la délic
ui eût peu convenu d’avoir de la délicatesse sur cet article, elle le refusa pourtant ; le père, le fils & le frère se bri
agne lui eut sauvé la vie. Acte quatrième. Divers mariages. Elle en a refusé jusqu’à vingt-quatre ; ce seroit une pièce bien e
à tout le monde, & qu’il en coûta la vie à plusieurs de ceux qui refusèrent de la reconnoître. Une femme à la tête de l’Églis
der du secours & lui offrir la souveraineté de leur Pays, elle le refusa , & répondit avec un air affecté de justice :
rôle différent. Ces guerres fournissent bien des scènes, des secours refusés d’obord, & ensuite accordés, des généraux de
. Cette grâce qu’on accorde aux plus coupables, lui fut inhumainement refusée , elle disposa de sa sépulture, distribua à ses do
l’Europe, des guerres de Religion où elle entra, des mariages qu’elle refusa firent toute sa célébrité, & les Sectaires qu
16 (1777) Il est temps de parler [Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Gresset, Parfaict] « Il est tems de parler. » pp. 27-36
’à bien considérer, pourquoi craindre les décrets d’un aréopage qui a refusé Mérope, qu’on a obligé de recevoir la Métromanie 
s le tripot Comique existe, il s’est arrogé le droit d’accepter ou de refuser les Piéces, cela suffit pour le combattre. Cette
ns le tripot Comique a le droit, quoique mal acquis, d’accepter ou de refuser les Drames ; & l’Homme de Lettres ressemble à
17 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224
talens ; mais bien frivoles, encouragé par le public, & toujours refusé par les comédiens, se plaint sur un ton tragique
s comédiens [tant est grande la modestie des Lucreces !] l’ont encore refusée , malgré l’approbation. L’auteur, qui a consulté d
, graces, emplois, dignités, c’est par elles que tout s’obtient ou se refuse  ; d’elles dépend le gain des procès & le succ
Courtisannes, où les actrices se sont si bien reconnues, qu’elles ont refusé de la représenter. Ce refus a réveillé l’attentio
Les actrices n’ont pas eu tort de se fâcher contre Palissot, & de refuser de jouer sa piece. Les Dames accoutumées à recevo
de libertinage & d’irréligion. Les comédiens seroient louables de refuser ces pieces par ce motif : mais ils se sont expliq
Natalie, drame en quatre actes, contre le précepte d’Horace, qu’on a refusé , méritoit quelque grace de Nosseigneurs du Thalie
lus à l’avenir en prendre de pareilles, & ordre de jouer la piece refusée  : & par un crime de rébellion & de leze-m
e jugement des pieces, la liberté d’entacher, flétrir les auteurs, de refuser leurs ouvrages, de leur fermer la carriere, de dé
e des comédiens sont inexcusables, de s’obstiner pendant trente ans à refuser la représentation d’une piece reçue, & de la
raisons valables, dont l’examen & la décision nous seront soumis, refuser celui qui lui aura été destiné , art. 53. Les Co
décence n’étoit pas de jouer la comédie des Courtisannes, mais de s’y refuser  ; qu’une plaisanterie maligne s’appliqueroit infa
18 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59
comme Comédiens . Celui d’Auch, imprimé à Paris en 1701, ordonne de refuser la sépulture ecclésiastique aux Comédiens qui me
édiens comme des gens manifestement infames, & ordonnent de leur refuser publiquement la Communion . Celles de Grenoble en
s s’expriment… « L’Eglise Romaine excommunie les Comédiens & leur refuse la sépulture Ecclésiastique, s’ils n’ont point re
es, qui nous sont aujourd’hui nécessaires, & à l’état desquels on refuse l’estime publique. Il y a lieu de croire, qu’on r
en second lieu, qu’à l’exemple de la nation Angloise, au lieu de leur refuser la sépulture ecclésiastique, il faudra leur assig
besoin d’explication. 5°. On ne peut, sans une injustice scandaleuse, refuser l’absolution, pour des actions indifférentes, &am
e peut être revoquée en doute. Il n’est pas moins certain, qu’on doit refuser l’absolution, selon l’intention de l’Eglise, à ce
rent à la Comédie… ou qui y assistent de leur plein gré, on doit leur refuser l’absolution, s’ils ne veulent pas se corriger, &
tent n’est pas disposé à fuir entierement les spectacles, il doit lui refuser l’absolution « jusqu’à ce que, par des preuves… n
cteurs, qu’elle les met au nombre des personnes infames, qu’elle leur refuse les Sacremens & la terre Sainte, s’ils meuren
19 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54
’on apprît que presque tous les Clercs et Ecclésiastiques qu’il avait refusé d’admettre aux ordres ou de recevoir dans son Sém
quant un grand nombre de cas dans lesquels les Confesseurs doivent ou refuser , ou différer l’absolution. Car ils pourront sans
20 (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163
ts de la scène, et, sacrifiant jusqu’à la cupidité, il finit par leur refuser les secours onéreux1 des sacrements, en dédaignan
is, parce qu’ils n’ont rien fait pour le mériter, et que l’enfer même refuse d’admettre parmi les siens, parce qu’il n’aurait
21 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
sage économie : tel fils a insulté et volé son père, parce qu’il lui refusait les choses nécessaires à la vie ; tel autre a man
son père prudent, en qui il voyait un autre Harpagon, parce qu’il lui refusait de l’argent, ne voulant pas contribuer à ses excè
envers sa mère qui, ayant ou prévoyant des besoins plus urgents, lui refusait le prix d’une parure dont elle pouvait se passer,
en fait, ou qu’une maladie l’a changé, affaibli et vieilli ; quand il refuse de fournir toutes les choses nécessaires à la coq
e des préceptes appropriés à celui des aiguilles et du pot au feu, et refuse de se consacrer à son ménage et à sa famille, en
elles en ont bien joui depuis ces inspirations ; quand on les leur a refusées , elles les ont prises) ; si on fait ces rapproche
leçons pour l’amélioration des hommes. Ils peuvent d’autant moins se refuser à cet aveu qu’il leur est impossible de dire qu’i
22 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 9
que le même Tertullien, comme nous avons vu, dit que plusieurs païens refusaient de se faire chrétiens, plutôt de crainte d’être p
23 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. —  CHAPITRE V. Tribunal des Comédiens. » pp. 128-140
uent les rangs à leur gré, & comment se faire rendre justice. Ils refusent de jouer, ce qui ne leur a pas plus. Et joueroien
té, & qui prononce souverainement, & souvent tout de travers, refuse de bons ouvrages, & au contraire en soutient
illeures choses perdent leur prix. Que sera-ce si l’actrice menace de refuser ses faveurs ? Un auteur à genoux, que ne fera-t-i
24 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XII. Son opposition aux vœux du Batême. » p. 25
elligence avec elle ; & de le forcer de lui désobéir & de lui refuser son ministére : voilà ce qu’on a promis. Qui oser
25 (1704) Des Bals et Comedies « Des Bals et Comedies. » pp. 31-33
d'être punis, que les auteurs. Nous enjoignons à tous Confesseurs de refuser l'absolution à ceux qui après en avoir été averti
26 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
utes les vertus, ou en tenoit lieu. Le gros de la nation au contraire refuse de voir autre chose que le talent dans l’homme qu
sieurs Chevaliers s’en sont honneur, quelques Dames, il est vrai, ont refusé de faire leur cour : ce sont des hiboux qui ne mé
autorité dans sa troupe. Le Président qui a tout obtenu, peut-il rien refuser  ? Mais tout se fait avec décence & dignité. S
ans lui en rien dire, il le sur, les blama hautement, & menaça de refuser l’absolution ; il ne savoit pas que les Religieus
e Docteur in utroque. Les Professeurs de Verone qui n’avoient pas osé refuser leur classe à une famille puissante rougirent d’a
ctacle, avec la même inscription à Voltaire vivant, je doute qu’il la refuse , il y a même bien de l’apparence qu’il a mis une
27 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155
plus sûr de confondre l’orgueil de nos Philosophes du jour qui osent refuser du génie aux Dames ? C’est alors que vous changer
ra pas de ce que l’éducation peut produire chez les Dames ; vous leur refuserez les talents des hommes après avoir lu les ouvrage
ordez au Sexe, l’esprit, l’aptitude aux sciences mêmes, mais vous lui refusez le génie, ce n’est qu’à la seule Sapho et à une a
ordez ce feu qui embrase l’âme, ce feu qui consume et dévore, pour en refuser la moindre étincelle à toutes les autres femmes.
n que l’on donne aux hommes, qu’on pourra décider si la nature leur a refusé une faveur qu’elle a accordée à un très petit nom
t donc de la raison. Croyez-vous qu’elle eût à elle seule ce que vous refusez à tout son sexe ? Détrompez-vous par l’expérience
28 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
és avec lumière ou non, & auxquels l’amour propre n’a garde de se refuser , tournent les yeux du jeune-homme sur le Théatre.
ent la différence de ces Comédiens aux notres Leur pardonneroit-on de refuser d’entendre ceux-ci, parce qu’ils sont inférieurs
29 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE V. » pp. 82-97
ugle qui l’entraîne dans le précipice avec lui ? Cependant quoiqu’il refuse de s’expliquer, & qu’il décline la dispute, n
à ces principes, Mademoiselle, qu’un petit détail ; on ne doit pas le refuser à votre instruction ; mais de peur que vous ne so
30 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CONCLUSION » pp. 113-114
Eglise les juge si criminels, qu’elle ordonne à ses ministres de leur refuser les Sacrements, même à l’article de la mort, s’il
31 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
recte. Sur le refus d’y renoncer, le Confesseur se crut obligé de lui refuser l’Absolution. Il consulta le cas en Sorbonne ; et
s Comédiens : néanmoins les mêmes Docteurs ont décidé qu’on doit leur refuser l’Absolution, si les uns et les autres ne veulent
ses de Paris, qui observent exactement leurs Rituels qui ordonnent de refuser le Viatique aux Comédiens, s’ils ne promettent de
des cas réservés ; surpris néanmoins que les Confesseurs leur eussent refusé l’absolution, s’ils ne promettaient par écrit de
32 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
ues, les confitures, et quelques autres plaisirs innocents de la vie, refusait de l’aller voir, et trouvait qu’il eût terni sa r
ite la comédie au peuple, c’est un effet de leur courtoisie qu’ils ne refusent à personne. Peut-être les adversaires de GUILLOT-
l attend tous ses critiques, vos objections, et votre argent qu’il ne refusera jamais venant de mains si belles et si libérales.
33 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -
une nécessité de bienséance, qui ne permettait pas à l'Auteur de rien refuser aux honnêtes désirs d'une des plus belles et des
34 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — VII. Le mariage dans les Comédies n’est que le voile de ce vice. » pp. 13-14
llégue ne remédieroit à rien. Il n’est pas possible, ce semble, de se refuser à ces conséquences. Or est-ce ainsi que l’expéri
35 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473
secret vous déclare innocent. A l'erreur du public c'est peu qu'il se refuse , Vous êtes criminel tant que l'on vous accuse, Et
36 (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299
secret vous déclare innocent. A l'erreur du public c'est peu qu'il se refuse . Vous êtes criminel dès là qu'on vous accuse. Et
37 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — A SA MAJESTÉ IMPERIALE ELISABETH PREMIERE, IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES. » pp. -
taient bannis. Des vues si pures me font espérer que Votre Majesté ne refusera pas sa protection à mon Ouvrage, et qu’elle recev
38 (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48
morale se croit en droit d’exterminer dans ce bas monde quiconque se refuse à croire des mystères et des dogmes révélés. Ce f
de l’éducation de la jeunesse, la secte jésuitique a pour principe de refuser la connaissance des sciences à la classe du peupl
condamnent les peuples à l’ignorance : A peine sortis des bancs, ils refusent eux-mêmes, de s’instruire d’une manière plus appr
avilis et rançonnés. Les souverains et les gouvernements doivent donc refuser leur confiance à de pareils conseillers, à des êt
39 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121
de Voltaire, c’est-à-dire, une de nos meilleures piéces, fût d’abord refusée  ? Elle fut jouée par les Petits Comédiens, &
l que nous avons obligation de l’avoir vu représenter. Mélanide a été refusée . Le Philosophe Marié, pendant trois ans, resta en
40 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la discipline ecclesiastique, et des obligations imposees par les saints conciles dans la vie privee des pretres.  » pp. 341-360
e serait une chose tout à fait indigne d’un évêque ou d’un prêtre, de refuser de suivre les règles que l’Eglise, où est le sièg
ce serait une chose tout à fait indigne d’un évêque ou d’un prêtre de refuser de suivre les règles de l’Eglise ; Or, il est man
41 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
xcusa le mieux qu’il pût dans le prologue : « Ai-je pu, s’écriait-il, refuser quelque chose au maître du monde, à qui les Dieux
ser quelque chose au maître du monde, à qui les Dieux même n’ont rien refusé  ? » Et pour se venger, il lança dans le cours de
teurs et aux Actrices des caresses indécentes, bien sûr de n’être pas refusé par des gens qui ne s’embarrassaient pas plus que
42 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — article » pp. 419-420
; nous ne balançons point à bannir du Théâtre celui à qui la nature a refusé tous ces secours à la fois. Une voix ingrate, des
43 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
e, remplir le devoir Pascal comme un autre ; et, à sa mort, on ne lui refusera pas la sépulture Chrétienne. Les Spectacles inqui
44 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Charles IV & Charles V. » pp. 38-59
la Duchesse d’Orléans, que la Duchesse fit enfermer. Pour lui, on lui refusa la porte de l’Hôtel d’Orléans. A Bruxelles il dev
r Louis XIV, & lui céda certaines places. Il s’en repentit, & refusa d’exécuter son traité. Il fut dépossédé par un Pr
. Elle fut si confuse & si repentante de sa foiblesse, qu’elle se refusa à tous les desirs de Philippe IV. Elle quitta le
emanda des livres dans la prison, on lui en donna de dévotion, il les refusa , & n’en voulut que de comédie & d’histoir
45 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »
e métier de Comédiennes, 105. son zèle à décrier les Spectacles, 160. refuse les présents du Préfet Symmaque, 294 Ammien Marce
e n’a point fait de mal à la galanterie, 29 Biel (Gabriel) veut qu’on refuse l’Eucharistie aux Histrions, 202 Boileau Despréau
46 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Mêlanges Dramatiques. » pp. 8-39
iasmées du du mérite de leurs époux : la Moliere s’écrioit, quoi, on refuse la sépulture à un homme à qui on doit des autels 
un homme à qui on doit des autels ! Elle oublioit qu’elle lui avoit refusé l’autel de son amour, l’avoit accusé d’infidélité
t un trait de charlatanerie pour imposer silence aux auteurs qui sont refusés ou retardés, comme l’ont été Piron, Mercier, &
a Cour a témoigné une si grande sensibilité pour ce malheur, qu’ elle refusa d’aller ce jour-là à la Comédie où elle étoit att
pour obliger un confesseur à l’interdire à son pénitent, & à lui refuser l’absolution, jusqu’à ce qu’il l’ait quittée, quo
47 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [I] » p. 418
elle est moins honorée ; l’Eglise Romaine les excommunie, & leur refuse la sépulture Chrétienne, s’ils n’ont pas renoncé
48 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64
lic, parce qu’il a le droit de le faire, et qu’on n’en a aucun de lui refuser tous les éclaircissements qu’il demande, voilà po
es, c’est-à-dire de donner à ses Héros des Vertus que l’histoire leur refuse , et qui sont communes dans sa Patrie, me paraît l
s, ou un sage sans préjugés qui ayant reçu un affront d’un spadassin, refuse de s’aller faire égorger par l’offenseur : qu’on
uoi l’on n’oserait pas mettre sur la scène un homme sans préjugé, qui refuserait d’exposer sa vie pour se venger d’une insulte. Le
ccès sur la scène, et l’on y peut faire admirer un vaillant homme qui refuse d’exposer pour sa cause personnelle une vie néces
tte un sage sans préjugés, qui, ayant reçu un affront d’un Spadassin, refuse de s’aller faire égorger par l’offenseur, et qu’o
ous le suivions ? Mario - Nous serions plus Sauvages que lui, si nous refusions de nous y rendre ; […] » ay. [NDE] Pour ces deu
49 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 3-4
chement, que, comme dit Tertullien (de Spectaculis, c. 2.), plusieurs refusaient de se faire chrétiens, plutôt par crainte d’être
50 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
e représentera comme un homme qui se laisse mourir de faim, & qui refuse la nourriture nécessaire à ses enfans & à ses
ui l’amour de l’argent éteint toute humanité ; qui quoique très-riche refuse de marier & de donner des états à ses enfans 
51 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — SECONDE PARTIE. Si les Comédies Françoises ont atteint le vrai but que se propose la Comédie. » pp. 34-56
e, c’est par ses actions & sa conduite : un homme de cette trempe refusera de rendre service à ses semblables, parce qu’il l
porte contre elle, & sur le soupçon bien fondé de sa perfidie, il refuse l’offre de sa main. Rien en cela que de naturel :
52 (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7
e lendemain ils demandèrent à dire la messe. Ce qu’on ne put pas leur refuser . Comme ils la disaient, M. de Bagnolsm entre dans
us, Monsieur, qui entrez maintenant en lice contre Desmarets, nous ne refusons point de lire vos Lettres. Poussez votre Ennemi à
53 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  AVERTISSEMENT. DU LIBRAIRE. » pp. -
sprit fait pour entendre & suivre l’une & l’autre, ne peut se refuser à l’évidence de vos principes, & à la justess
54 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XV. Des nouveautés & de leur nombre. » pp. 2-7
onne-t-il pour courir après les caresses d’un minois ignoble qui n’en refuse à personne ? Pourquoi ce favori de Plutus, errant
55 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre prémier. Qu’on ne doit pas se figurer que la composition des nouveaux Drames soit aisée. » pp. 116-120
ne Comédie-mêlée-d’Ariettes, qu’à en écrire les Sçènes. On ne saurait refuser d’ajouter foi aux discours de ce Poète chansonnie
56 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE V. Que la circonstance d'aller aux Spectacles un jour de Fête, et de jeûne est une circonstance aggravante. Que ceux qui les fréquentent ne sont pas disposés à approcher des Sacrements. » pp. 83-87
al de la Pénitence ? R. Il a été délibéré en Sorbonne qu'on doit leur refuser l'absolution,Le 20. Mai 1694.s'ils ne veulent pas
57 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « AU LECTEUR. » pp. -
l plaît, à quoi bon affecter une inutile modestie ? Dois-je cependant refuser à l’amour propre un tribut qui lui est dû, et; qu
58 (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204
sir de faire des Sabots, et quelques autres plaisirs que vous ne vous refusez pas à vous-mêmes, sont fort propres à faire mouri
autres ; je prévois même que je ne vous écrirai pas davantage ; je ne refuse point de lire vos Apologies, ni d’être spectateur
59 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. Que le Musicien doit seconder le Poète, & que le Poète doit s’entendre avec le Musicien. » pp. 292-296
e consulter sur la coupe, la marche d’une Ariette ; & de ne point refuser de suivre en tout ses avis. Le Compositeur, de so
60 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61
êts de donner suivant la Maxime de votre P. Bauny, « qu’on ne doit ni refuser , ni différer l’Absolution à ceux qui tombent et r
61 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54
fidelle. Cependant ces déclamations lèvent les scrupules. Pourquoi se refuser ce que se permet tout le monde ? a-t-on à rougir
ù le père fournit décemment le nécessaire à ses enfans, & ne leur refuse que le superflu qu’ils voudroient pour leur vanit
& plus attentifs sur le sort de leur famille, & plus fermes à refuser ce qu’ils avoient recherché avec le plus d’ardeur
isonnable, il est cent enfans insensés ; pour un mariage mal à propos refusé , il en est cent follement contractés par les enfa
62 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre III. Du Triomphe. » pp. 112-160
ette sorte, & par les seuls suffrages du Peuple, apres avoir esté refusé par le Senat. Mais il y a encore une observation
e le nombre de ceux qui ont joüy du Triomphe, & de ceux qui l’ont refusé . Selon le mesme Lipse, il y a eu depuis le commen
estre pas surpris de voir des Ames assez fieres ou assez bizares pour refuser un si glorieux prix de leurs merites & de leu
ent au merite. Val. l. 2. c. 3. Ros. l. 10. c. 19.Cn. Fulvius Flaccus refusa le Triomphe que le Senat luy avoit accordé. Mais
63 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
ces troupes ; on présenta la liste des pièces au P. Missionnaire, qui refusa de choisir, disant qu’« il ne convenait ni à sa p
art des femmes et des filles, élevées dans des principes de religion, refusèrent des rôles, et ne voulurent pas y assister, surtou
onna un mandement pour défendre la comédie, et fit prêcher contre, et refuser l’absolution. Cette affaire eut des suites : on p
64 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
croient se pouvoir permettre des plaisirs que les gens de bien ne se refusent pas. » D. Y a t-il péché mortel ? R. Saint Augu
65 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
tendraient avoir le droit d’anathématiser la profession théâtrale, et refuser aux acteurs, les prières de l’église, et la sépul
66 (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16
pérer qu’elle fera excuser ma démarche respectueuse et que vous ne me refuserez pas votre bienveillante attention. Probablement v
e d’Athènes, et que Platon mérita le blâme des philosophes pour avoir refusé de danser à un bal que donnait un roi de Syracuse
67 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63
cident a des beautés ; mais comment est-il amené ? Pour Zaïre, il l’a refuse absolument. Nérestan au désespoir de ce double re
urs y ont eu, a fourni à ces nouveaux maîtres une raison de plus pour refuser leurs Pieces. Il est inutile de s’étendre sur cet
68 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XVIII. Prétention des Comédiens au titre d’homme à talens, mal fondée. » pp. 19-44
remble devant lui, comme devant un Juge souverain, qui lui accorde ou refuse grace à son gré. Veut-il s’absenter ? Il est obli
s espérons que l’on conviendra enfin que nous sommes fondés à leur en refuser la qualification. Les Romains avoient des Comédie
69 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CINQUIEME PARTIE. — Tragédies à rejeter. » pp. 235-265
omme dont les passions sont si vives, l’ayant détesté comme Amant, le refuse comme mari. Si l’amour condamnable de Ladislas re
e et par l’action qui y est représentée, il n’y a personne qui ne lui refusât son suffrage pour le Théâtre de la Réformation.
70 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
à la probité que le vol de 50000 écus ? C’est un don volontaire, j’ai refuse beaucoup mieux, je n’ai de lui que ce qu’il m’a d
oit le Martyre de Sainte Cécile (cette même piece à laquelle il avoit refuse d’aller) devant le Roi, la Reine, & toute la
a résolution que le Chapitre prendra. On se détermine avec peine à le refuser . Là dessus on ouvre un avis, d’instituer pour lui
71 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. Des différens genres qu’embrasse le nouveau Théâtre. » pp. 14-20
er les Poèmes dont le genre serait un peu relevé. Leur dessein est de refuser tous ceux qui seraient bas, trivials, & qui n
72 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
ste à vouloir excommunier les gens de théâtre, et si des prêtres leur refusent les prières et la sépulture en terre sainte, ils
73 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153
t devant les yeux l’exemple récent d’Elisabeth d’Angleterre qui avoit refusé vingt-quatre mariages & joué la virginité pen
somptif aux acclamations de toute la nation, celui-ci fit semblant de refuser , recula de quelques pas, protesta qu’il seroit in
it désigner le successeur de Charles s’il mouroit sans enfans ; on le refusa , la pension réservée paroissoit trop forte, on vo
. Les François ne se firent pas prier, ils sont trop galans pour rien refuser aux Actrices, les Savans sur-tout se firent honne
e la Suède sans laisser rien transpirer ; elle craignoit qu’on ne lui refusât sa pension, ce ne fut qu’à Bruxelles qu’elle fit
74 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187
ps de moderer la violence d’une passion insensée ; enfin il le porte, refuse la dissolution, confirme le mariage, & par co
ara par ses bulles, & Pasquin par ses bons mots. Le Roi de France refusa ses Ambassadeurs, & ne voulut pas la reconnoî
nneur fut accordé à la Comtesse d’Artois, au sacre de S. Louis il fut refusé aux Comtesses de Flandre & de Champagne, &
ou l’espérance d’obtenir de nouvelles graces, on n’avoit garde de lui refuser , ou de presser le payement. Le Chevalier Nanton,
a Cour. Il déclare Elizabeth bâtarde & incapable de lui succeder, refuse de la voir dans sa derniere maladie. Ces revers r
ment imputé à Marie, périt par son ordre sur un échaffaud. Elle avoit refusé la grace qu’on lui demanda pour la Reine d’Ecosse
75 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
a pas offert aux Comédiens, ou s’ils l’ont rejeté, ou si le Censeur a refusé son approbation, quel Censeur Catholique la donne
e précautions pour conserver la liberté, & il est si facile de se refuser à des vœux, que ces malheurs n’arrivent pas. Les
une Religieuse mourante. C’est une impie endurcie dans son péché, qui refuse obstinément les secours abondans que lui offre da
la maintenir. Les mariages rejetés ou arrêtés, les charges données ou refusées , la Cour, l’Eglise, le service, le commerce, les
t son salut, qu’elle en parle à son Abbesse, à son Supérieur, qu’elle refuse de faire ses vœux, elle est dans l’ordre. Mais se
st bien plus raisonnable de demander qui peut être assez insensé pour refuser de changer a la mort, après une vie passée dans l
76 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
e ne lui rendre aucune visite. D’un autre côté, on pourrait ne pas se refuser la satisfaction de lui faire quelques présens.… d
77 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
u'il veutApolog. c. 38. rendre raison aux Païens pourquoi les Fidèles refusaient d'assister à leurs Spectacles, il dit en un mot.
olique. » Et ailleurs après avoir fait l'éloge des trois Enfants qui refusèrent d'adorer la StatueDe temp. barb. tract. 5. de Nab
78 (1759) Lettre de M. d'Alembert à M. J. J. Rousseau « Chapitre » pp. 63-156
rétienne, et par cette raison grands adversaires de la Comédie, ne se refusaient pas dans leur solitude, comme l’a remarqué Racine
aites, et auxquelles toute l’austérité de votre Philosophie n’a pu se refuser . Or si on ne peut, et si on ne doit peut-être pas
se faire illusion ni sur les succès, ni sur les chutes ; et pourquoi refuserions -nous à un Acteur accueilli et désiré du public, l
on des femmes ; ayons de plus l’humanité et la justice de ne pas leur refuser ce qui peut leur adoucir la vie comme à nous. Nou
distraire de nos maux, et à nous consoler dans nos peines : pourquoi refuser à la plus aimable moitié du genre humain, destiné
79 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
roit d’exciter notre sensibilité, de nous attacher fortement, si nous refusons à l’orateur chrétien une oreille attentive ? Orga
oit aurez-vous aux récompenses d’une autre vie, si dans celle-ci vous refusez de prendre pour modèle un Dieu né dans la plus af
dégénérés, Flétrissant les aïeux qui les ont illustrés ? Le sort m’a refusé , je ne veux point le taire, D’un long amas d’aïeu
une ressource honnête et décente dans le produit d’un bénéfice qu’il refuse avec mépris ? Est-ce encore pour l’édification du
ment les rigueurs de la pénitence et celles du célibat. Certes, je ne refuserai point à beaucoup de ces productions le tribut d’é
r, l’indépendance et la liberté de son état le rassurent. Il sait que refuser une juste défense au malheureux, c’est devenir co
i l’avocat ne saurait, sans trahir la plus sainte de ses obligations, refuser son ministère dans les rares et grands événements
mportance. Pénétré de ses devoirs, le véritable avocat ne saurait lui refuser un appui tutélaire, parce que, d’accord avec la l
rs le bien public. Que lui importe que la société lui prodigue ou lui refuse de vains applaudissements ? la récompense de l’ho
a joie pure de faire son devoir lui tient lieu des hommages qu’on lui refuse  ; et si, enivrée de plaisirs et d’amusements, la
e et souvent par le désespoir. Dans une telle nécessité, puis-je leur refuser ma voix ? » Avec combien de raison et de justice
Que peut-il avoir de sacré, et quelle sorte de jouissance peut-il se refuser dans la vie, puisque les sens sont tout pour lui,
80 (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189
lorsqu’il verra une mere tendre se plaindre du mépris de sa fille qui refuse de la reconnoître, et; croyez-vous que ce même mo
, rentra avec précipitation chez lui pour ordonner à son Suisse de ne refuser sa porte à qui que ce fût, pas même aux souguenil
ffet. Bien des gens donnent l’aumône à ce misérable ; d’autres la lui refusent . La dureté des uns ne doit point décourager le me
si Moliere se seroit bien gardé de le tourner en ridicule, s’il n’eut refusé le commerce que des méchans ou des flateurs. Mais
r à son ami le conseil qu’il lui a cru salutaire à cet égard. S’il le refuse c’est qu’il est si excessif dans ses idées et; da
es plaisirs, le luxe et; toutes les douceurs de la vie. Si on les lui refuse chez lui, il ira bien-tôt les chercher ailleurs.
unesse de Genève aime les Spectacles et; en demande, pourquoi les lui refuser  ? Si les vieillards s’opposent encore à ce qu’ell
price des autres Nations, à six mille livres dans un pays où l’on lui refusera les considérations dont sa façon de penser et; d’
que la bonté divine a bien voulu accorder aux hommes ; pourquoi leur refuser en France ce que toute l’Italie leur accorde ; ce
brave Officier du Royaume, peut, sans blesser le point d’honneur, le refuser , en se contentant de dire à celui qui le lui prop
oit les avantages dont j’ai parlé. On seroit, je pense, plus occupé à refuser de très-bons sujets qu’à en chercher. Pour parven
e et; domestique… que toute femme qui se montre se déshonore ». C’est refuser la pureté des mœurs à toutes celles qui ne vivent
81 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58
silence si criminel ? Nos prédécesseurs en pareille circonstance ont refusé de faire une Procession générale, jusqu’à ce que
82 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148
d’un crédit qu’ils usurpèrent ? De quel droit, suivant leur caprice, refusent -ils la sépulture et les prières de l’église, à de
83 (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322
] Après une rapide défense concernant les fautes d’impression, Nicole refuse donc de répondre aux remarques que sa corresponda
84 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
r & Grand Vicaire dans le Diocese d’Usez ; il eut la bonne foi de refuser un Bénéfice considérable ; les principes de vertu
; qu’il se menage dans sa vieillesse, parce que ses organes blasés se refusent à ses transports ; qu’en vieux pécheur toujours E
e vos Tragédies. Eh bien , lui répondit Voltaire, les Comédiens l’ont refusé . A ces mots, l’Abbé s’enflamma, court au Théatre
que deux Prélats donnent pour une espece de saint, qui, par vertu, a refusé des Evêchés. Sunt multa fucis illita quæ luce pu
85 (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247
t qu’on regarde tous les comédiens comme gens excommuniés ; elle leur refuse les derniers Sacremens à la mort, quand ils ne pr
nce, & la sépulture ecclésiastique après leur mort, quand ils ont refusé de le promettre. Les pasteurs les dénoncent publi
ition à cet égard, l’auroit permis. De-là il s’ensuit qu’on peut leur refuser après leur mort la sépulture ecclésiastique, puis
86 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
antis pas les faits qu’il rapporte, mais il y auroit de la cruauté de refuser à ceux qui en ont le goût la liberté d’y suppléer
es Etats. Les Cardinaux, : Regibus æqui parantur. Pouvoient-ils s’y refuser  ? Le torrent des queues a entraîné les Evêques, a
s le tapis, le carreau, le fauteuil ; il y auroit de l’humeur de leur refuser la queue. Les Dignitaires des Chapitres, les Curé
87 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74
é publique ait mis le sceau à ces actions religieuses, et qu’elle ait refusé de le mettre à nos dissolutions profanes ? Les no
ent leurs lettres le 27 juillet pour être enregistrées ; elles furent refusées , et « défenses à eux faites de présenter et plus
e présenter, ni obtenir des lettres, qui sans doute leur auraient été refusées  ; mais ils s’en consolèrent aisément par la liber
88 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
ères et de croyances : elle autorise les prêtres de chaque religion à refuser , s’ils le jugent à propos, leurs prières et l’adm
89 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390
gles, ni un rafinement de plaisanterie souvent puérile n’ont pu faire refuser à Lopez de Vega une des premières places parmi le
sibles : leurs vices sur-tout, ont je ne sais quoi d’imposant, qui se refuse à la plaisanterie : mais les situations les mette
90 (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229
ont pour ainsi dire, devenus Chrétiens une seconde fois, en ce qu’ils refusent de se trouver dans ces lieux, qu’ils ne savent qu
it devoir être cause de notre perte, et que pour ce sujet- la il nous refuse  : « Qu’ils pleurent tant qu’ils voudront, qu’ils
91 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63
piège pour les uns et pour les autres, qui croient pouvoir ne pas se refuser ce que des dévots de profession se permettent. D.
92 (1731) Discours sur la comédie « Lettre Française et Latine du Révérend Père François Caffaro, Théatin ; à Monseigneur L’Archevêque de Paris. Imprimée à Paris en 1694. in-quarto. » pp. -
ntestables, quand elle met les Comédiens au nombre de ceux à qui elle refuse dans la maladie le Viatique, à moins qu’ils ne ré
93 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
urquoi des confesseurs les défendent-ils à leurs pénitents ? Pourquoi refusent -ils l’absolution à ceux qui persistent à les fréq
nnaissant les vrais principes de la morale chrétienne sur la comédie, refusent de s’y conformer, pourquoi nous opposer leur cond
aisance pour les y conduire, je ne suis point assez ridicule pour m’y refuser . D’ailleurs que j’aille, ou que je n’aille point,
94 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
lus jeune ? Pour Bathylle, dites-vous, la presse est trop grande ; il refuse plus de femmes qu’il n’en agrée. Mait vous avez D
fête. La le Maure, Actrice de l’opéra, eut ordre de s’y rendre ; elle refusa d’y aller, si on ne lui envoyoit un carrosse du R
Impériale, elle n’avoit point de voyage à faire. Ainsi M. d’Alembert refusa d’aller en Russie instruire l’héritier de la cour
95 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
de faire & de vendre des masques ; il faut quitter ce métier, ou refuser l’absolution. C’en est un encore, quoique moins g
les convives, pour danser (ce que nous appelons bal masqué) Platon le refusa absolument, au risque de la colère du Prince, ne
apeliers, brodeurs, plumaciers, valentins, vendeurs de masques, de ne refuser & bailler à crédit leurs denrées aux Masques
96 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152
s louent, comme ils peuvent, des appartements. Tous les honnêtes gens refusent de pareils locataires, mais il s’en trouve toujou
e garder le prix qu’elle a reçu de son crime. Quelques Auteurs le lui refusent  ; le plus grand nombre d’après S. Antonin et S. T
aurait vendu sur le pied d’Acteur, n’est pas censé valoir moins, s’il refuse de jouer, ni le vendeur tenu à aucune garantie ;
97 (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420
ues conciles. Les droits communs à tous les hommes devroient-ils être refusés à des hommes entretenus par le roi, dévoués à l’a
France, ils sont excommuniés, & la sépulture chrétienne leur est refusée , s’ils n’ont pas, avant la mort, renoncé à leur p
98 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
eté de leurs mœurs. Susanne résiste à d’infames vieillards, Joseph se refuse aux poursuites d’une femme impudique, Jean-Baptis
u qui tombe du ciel sur la victime & sur ses ennemis, cette pluie refusée pendant trois ans, qui tout à coup inonde les cam
99 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
l’autre est démontrée. Nous n’avons pas été assez heureux pour qu’on refusât nos Piéces, parce que nous n’en avons jamais fait
100 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre II. Du Théâtre Moderne, & de celui des François. Celui-ci comparé au Théâtre Grec. » pp. 25-38
public à donner à leurs productions, des applaudissemens qu’ils leur refusent  !
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