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1 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [M] » pp. 426-430
jusqu’à la destruction totale de l’espèce. La Danse Religieuse & Sacrée , est la plus ancienne de toutes, & la source
aulois, les Espagnols, les Anglais, les Allemands eurent leurs Danses sacrées . Dans toutes les Religions anciennes, les Prêtres
de l’ancienne Loi, le Sacerdoce de la Loi nouvelle formait des Danses sacrées … Chaque Fête avait ses Hymnes & ses Danses ;
les droits qu’y a l’humanité sont imprescriptibles. Aussi les Danses sacrées se sont-elles conservées long-temps : dans le mil
anser en rond & à chanter des Cantiques à son honneur. Les Danses sacrées , donnèrent dans la suite, l’idée de celles que l’
2 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre I. Que les Spectacles des Anciens ont fait partie de la Religion Païenne. » pp. 2-35
solennelle partie de la Religion Païenne ; tout y était mystérieux et sacré , soit de la part de ceux que l'on croyait les avo
vait ravis. D'où vient que Saint Augustin parlant des Jeux funéraires sacrés aux Divinités infernales, et qui furent renouvelé
que les Magistrats y ajoutèrent avec le temps. Julius Pollux appelle sacrés tous les Jeux pour lesquels il y avait des couron
avait des couronnes. Saint Denis l'Aréopagite appelle ces cérémonies, sacrées et les Jeux divins ; et Saint CyprienCypr. de Spe
car les solennités sont sanctifiées quand le jour se passe en festins sacrés , quand on donne quelques Jeux en l'honneur des Di
3 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
e. Les verges étoient la punition de la négligence à conserver le feu sacré , & par respect pour la Prêtresse coupable, c’
i dans l’histoire Ecclésiastique. Quoi qu’il en soit de son érudition sacrée & profane, qui paroît médiocre, du moins igno
e condamne les professions forcées. 5.° Les Vestales gardoient le feu sacré chacune à son tour, & pour une plus grande sû
n faction chacune de celles qui doivent pendant la nuit garder le feu sacré  ; mais on vouloit faire une scène. 6.° Que signif
gnorance. Faire venir des esclaves rallumer avec des flambeaux le feu sacré , est une fausseté ridicule. On ne confioit pas ce
se servoit que de lampes ; on n’employoit pas même les lampes. Le feu sacré ne se rallumoit qu’aux rayons du soleil, dans des
utels brisés Tombent anéantis sous ces toits embrasés, Que de ce feu sacré les flammes vengeresses De l’injuste Vesta consum
ion ! l’autorité paternelle, de toutes la plus ancienne & la plus sacrée , n’a de droit que les bienfaits ; l’injustice bri
4 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132
re IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. QUi croiroit que le Sacré Collége ne fût pas à l’abri des attentats du théa
ce semble tomber sur un religieux si peu attaché à son saint état. Le Sacré Collége, qui n’y étoit pas intéressé, & qui n
ence que cette comédie a été faite en France & envoyée à Rome, Le Sacré Collége, qui, tout occupé de la grande affaire de
à ce tribunal à faire le procès au prêtre florentin, tout au plus au Sacré Collége, comme exerçant l’autorité souveraine pen
e qui en troubloit la paix, & renversoit toutes les intrigues. Le Sacré Collége exerce l’autorité spirituelle pendant la
, elle avoit beaucoup d’esprit, & fut très-belle. Elle ne mêla le sacré au profâne que dans les comédies qu’elle fit joue
ravaux mêmes innocens & utiles. Rien n’oseroit toucher au produit sacré de la corruption des mœurs. L’entreprise de la sa
e. Mais tout fut réparé en l’abandonnant ; il se livra entierement au sacré ministere, il y eut de très-grands succès, &
ontificaux. A table, au jeu, à la promenade, on voit autour d’elle le Sacré Collége empressé à lui plaire, qui vaut bien celu
5 (1760) Lettre à M. Fréron pp. 3-54
e, ou plutôt aux Conquérants, vous ferez bien ; ne lisez que ses Odes sacrées , vous ferez encore mieux. Vous Auteurs, à qui le
de vos passions vous permettra d’être attentif à la voix d’un Orateur sacré , n’allez plus qu’au sermon, vous ferez encore mie
plus touché de la Morale de nos pièces de Théâtre, que des principes sacrés développés dans une harangue Apostolique : ce ser
e croire qu’il avait puisé les pensées de son Ouvrage dans les Livres Sacrés , ou dans les sermons des Prédicateurs qu’il avait
nne et content de sa manière de penser, on laisse tonner les Orateurs sacrés , mais on s’éloigne de leurs foudres, ils ne prêch
resset dit : qu’il voit sans nuages et sans enthousiasme que les Lois sacrées de l’Evangile et les maximes de la Morale prophan
daleuse ; je réponds à cela qu’il faudrait donc bannir de l’éloquence sacrée ces peintures énergiques et frappantes du crime q
sions : il en est de beaucoup plus utiles, il en est dont l’objet est sacré , tous ceux qui sont à portée d’exercer celles-ci,
ai ni l’Enthousiasme ni le Zèle Apostolique qui convient à un Orateur sacré , sans quoi je consacrerais mes talents à Dieu. Je
mme. Quel doit donc être l’état du cœur d’un homme qui aspire au nœud sacré de l’hymen, sinon une disposition prochaine à tou
ion ! Mais puisque le Zèle Apostolique n’autorise pas même un Orateur Sacré à peindre trop sensiblement certains vices, j’exh
mieux sera peut-être le premier à s’interdire l’entrée de la Tribune sacrée , pour ne pas éprouver la satisfaction trop flatte
6 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
crainte de rencontrer aucun scandale. Au contraire ils ont des pièces sacrées et Saintes qu’ils représentent souvent au milieu
le divertissement a été un coup du ciel un trait du Saint Esprit. Une sacrée fureur qui élevant le courage de Rosoria au-dessu
s misérables, et Protectrice des persécutés, voici aux pieds de votre sacrée et Royale Majesté une chétive créature qui implor
uste prière, que votre cœur pitoyable l'a exaucée et que votre bouche sacrée va prononcer son entérinement. Non madame je n’ab
7 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119
ils verront si les Mahométans trouvent bon que ce qu’ils ont de plus sacré serve d’amusement. Les Indiens, les Chinois, les
e sont aussi esprit et vie pour ceux qui les écoutent. Cette fontaine sacrée jaillit à la vie éternelle, car ce n’est pas seul
era assez téméraire pour livrer aux profanateurs du parterre le dépôt sacré de la vérité, et jouer tour à tour indifféremment
de fois les impies ont-ils pris droit de l’expression de l’épithalame sacrée de Salomon dans les Cantiques, pour débiter plus
s à Paris parce qu’on s’y était trop scrupuleusement attaché au texte sacré , sans y ajouter aucun ornement. Il est vrai que c
d’en faire une sur un sujet pieux. Faut-il qu’un homme si bigarré de sacré et de profane fût Prêtre et Religieux ! Il fut in
ntifes, consacrés et ordonnés par Dieu même. Un petit colet est moins sacré et moins indécent sur un Acteur que la tiare d’Aa
8 (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20
ais tous ces secours ne pouvoient rien pour ma tranquillité. Les noms sacrés & vénérables dont on abuse pour justifier la
bel-esprit, je vois, sans nuage & sans enthousiasme, que les Loix sacrées de l’Evangile & les maximes de la Morale prof
’Amiens, & d’en consigner l’engagement irrévocable dans ses mains sacrées  : c’est à l’autorité de ses leçons & à l’éloq
9 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
t pas un léger obstacle aux prétentions des Poètes : par le ministère sacré la Religion se conserve, les vérités éternelles s
e se joue sous des dehors religieux et symboliques de chaque fonction sacrée  : l’abus frappe par là davantage, le mépris de la
s, ni toutes les autres circonstances ne compatissent avec des choses sacrées . Représenter l’Eglise dans une Comédie, c’est le
l’on arrange les choses comme on voudra, que l’on manie le caractère sacré avec toutes les précautions imaginables et toutes
rédit fut marié à la fille de Potiphar, Prêtre d’Héliopolis. Le Texte sacré dit que Pharaon la lui fit épouser : ce qui prouv
Il y a eu en Angleterre des personnes du premier rang dans les Ordres sacrés . Odo frère de Guillaume le Conquérant était Evêqu
nous rapprochons des derniers temps, nous compterons dans les Ordres sacrés un nombre presque infini de personnes de qualité 
une sorte de tache. Mais la loi est bien éloignée de faire d’un Ordre sacré une dégradation ignominieuse : la gloire d’une fa
dmis ? De plus, pourquoi s’en prendre à tout le Corps et au caractère sacré  ? Le Sacerdoce est-il un crime ? et le dévouement
10 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
uvelle fidelité, où vôtre voix ne servoit qu’à entonner des Cantiques sacrés , où l’on ne mangeoit que pour vivre, où l’on ne f
as sobres & mediocres, que pour serrer plus étroitement les nœuds sacrés d’une commune charité, où l’on ne parloit que de
ant, ô étrange corruption ! qui les observe comme il faut ces verités sacrées  ? qui les croit d’une obligation si étroite ? &am
onneur : on est presque embarrassé dequoi l’on s’accusera au Tribunal sacré de la Pénitence, quoi qu’on soit chargé de mille
11 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148
rrêter ces impiétés, & bannir de la scène tout vestige des habits sacrés . Cette loi a été long-temps observée, & il en
cœur, dans mon cœur, & vous, vous son épouse, ces murs, ces murs sacrés , ce Dieu, ce Dieu jaloux, &c. cette répétitio
liens sont rompus. Je déteste mes vœux. Mon serment, mon vœu le plus sacré est de t’aimer. Il veut faire apostasier Euphemie
. De l’homme naturel reprenons tous les droits. Il ne connoît rien de sacré que le mariage. L’hymen est une loi suprême, le p
utés des cachots des Religieux. Tu connois les transports de ces ames sacrées , & d’encens & de fiel à la fois enivrées.
ute : Tous les sujets des pieces qui conduisent à employer des termes sacrés ou mystiques, doivent être bannis du théatre. Les
12 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
exemple efficace qui gagne tous les cœurs, et rallume partout le feu sacré de l’amour de la Patrie. Le dernier des Citoyens,
et du barreau : selon les principes les plus solides de la rhetorique sacrée et profane, 1784.
13 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
arces obscènes. On voyait en effet des prêtres, malgré leur caractère sacré et respectable, partager le blâme attaché à ceux
la morale chrétienne et évangélique, mais encore les droits les plus sacrés de la légitimité. Les mesures fixes que je réclam
14 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
ladroits ?), pour exprimer leur gratitude envers Dieu. Ainsi la danse sacrée est la plus ancienne & la source des autres.
ondamnation de la danse théatrale n’étoit pas de son rôle. Il appelle sacrées les danses du peuple les jours de fête, comme si
r du public de faire de la danse une partie du culte, & une chose sacrée . La religion est trop sérieuse pour s’occuper de
nuisibles. L’Eglise voyant les désordres & les crimes de la danse sacrée , fut obligée, pour extirper le mal, d’oser avec o
es seront-elles plus exemptes de désordre que ne l’ont été les danses sacrées  ? mériteront-elles moins les anathèmes de tous le
s mieux la danse profane, publique & particuliere, que les danses sacrées . Au milieu de la description de celles de tous le
, la vérité lui arrache bien des aveus. Soit qu’on ait porté la danse sacrée des Payens dans la société, comme il le croit, ou
15 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117
as rechercher l’imitation comme dans la musique théâtrale. Les chants sacrés ne doivent point représenter le tumulte des passi
pour préférer dans les églises la musique au plain-chant. Les hymnes sacrées doivent toujours être chantées pour louer Dieu, p
16 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174
s. Je n’ai garde de l’arracher aux flammes. Mon zèle pour la personne sacrée des Rois me les ferait plutôt allumer, et bien lo
nne, Le ciel nous en absout alors qu’il nous la donne, Et dans le sacré rang où la faveur l’a mis, Le passé devient jus
iture, Athalie soit celle où l’on a le plus fidèlement suivi le texte sacré , on y a ajouté des circonstances qui ne servent q
e) soit emmenée, Et que sa sainteté n’en soit pas profanée. Allez, sacrés vengeurs de vos Princes meurtris, De leur sang
s’amuse ; religion, mœurs, gouvernement, rien ne l’arrête, rien n’est sacré pour lui que son plaisir. On croit que le sieur B
er l’autre. Choisissez du trépas de César ou du vôtre. Rien n’est sacré pour moi, dès qu’il s’agit de vous. Loin de ten
lui avaient conféré le pouvoir souverain ; ce qui rendait sa personne sacrée . Ce trait ne fait pas l’éloge de Cicéron, lequel,
es. Le bien public est né de l’excès de ses crimes. Sur ton autel sacré , Mars, reçois nos serments. Si dans le sein de
. Les autels, les serments, tout enchaîne Séide : J’ai mis un fer sacré dans sa main parricide. Et la religion le rempl
n Roi Tyran quand il aime le crime : Ce nom dans un Tyran n’est plus sacré pour moi. Que ces timides cœurs dont la prudent
17 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
, ne peut être ni incertain ni éloigné. Le principe est vrai, il est sacré  : (aux Heb. 13. v. 8.) la conséquence est juste 
ples prosternés devant les préjugés reçus comme devant les Crocodiles sacrés de Memphis, ni enfin nous enseigner qu’il faut d
Va, le nom de Sujet n’est pas plus grand pour nous, Que ces noms si sacrés & de Pere & d’Epoux. Cela est vrai, auss
: Va, le nom de Sujet n’est pas si grand pour nous Que ces noms plus sacrés & de Pere & d’Epoux. Car ils ajoutent au
tous les dons, & semblables à ces insensés dont parle un Ecrivain sacré , dirons-nous toujours : retirez-vous de nous, n
& les Démons tous ensemble ? Des voix profanes, & des paroles sacrées  ! Sont-ce des prieres ou des blasphêmes ? C’est à
a tabernacula tua , faites par ces ames qui, séparées par état de ces sacrés tabernacles, ou en tiennent éloignés tous leurs p
du cœur humain, pour qui est une même chose & le profane & le sacré  ! Nous l’avouons pourtant, Seigneur, vous voulez
et digne de lui . Sera-ce donc en vain (p. 21.) que tant de sources sacrées couleront autour de nous, que tant de vives lumiè
faut que polir ces pierres brutes, & déjà je crois voir le cizeau sacré de la Religion dans la main de la Justice. Justic
é supprimés depuis par M. Corneille. *. Les fureurs de Saül : Poëme sacré , mises en musique par M. de Mondonville, & ch
18 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VII. De l’idolâtrie du Théâtre. » pp. 143-158
ièce. Depuis ce temps-là on voit distinguer dans les Auteurs les jeux sacrés qui se donnaient en l’honneur des Dieux, et les j
ateurs du vrai Dieu, détruisaient les hauts lieux, coupaient les bois sacrés , anéantissaient les idoles. Les Empereurs Chrétie
hants, leurs danses, leurs discours, leurs attitudes, exhalent le feu sacré dont elles sont embrasées. Que leur sacerdoce est
ents, le sacrifice du cœur et de la conscience, et à faire du langage sacré de la religion le jargon aussi ridicule qu’impie
19 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique ; des erreurs et des crimes du clergé et des anathèmes fulminés par les conciles contre les prêtres et les séculiers qui attentent à l’autorité et à la vie des souverains. » pp. 331-345
même qu’ils deviendraient tyrans, sont au contraire considérés comme sacrés dans leur personne et dans leur autorité : 1° « P
ins des affaires publiques, et remplira beaucoup mieux les devoirs du sacré ministère. Ce n’est qu’avec la plus grande vénéra
20 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 6. SIECLE. » pp. 180-181
. S. ANASTASE SINAITE PATRIARCHE D'ANTIOCHE, dans le Traité de la sacrée Communion. Notre aveuglement est grand, notre
21 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XII. Son opposition aux vœux du Batême. » p. 25
e n’aimer que ce qu’il hait ? I. Pier. 2. 11.On a juré sur les Fonds sacrés de fuir l’impureté, les dissolutions, l’orgueil &
22 (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1
ugement qu’ont porté sur les spectacles les Auteurs tant profanes que sacrés , depuis Auguste jusqu’à Justinien. 137 V. PART. C
23 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56
apprennent que ces deux Poèmes ne furent au commencement qu'un Hymne Sacré en l'honneur de Bacchus, chantée et dansée par de
eux, et nommément ceux du Théâtre. Quant à la célébration de ces Jeux sacrés , QuintilienQuintil. l. 3 c. 8. dit qu'elle commen
24 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE III. De la comédie et des comédiens chez les païens et chez les chrétiens. » pp. 101-112
fanatiques et superstitieux, qui autrefois déshonoraient le caractère sacré dont ils étaient revêtus. Cette publication ne dé
igne du poste qu’il occupe, ou il est innocent et alors son caractère sacré lui impose l’obligation de prouver publiquement e
25 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184
tacles de l'Eglise : Nous y voyons Jésus-Christ reposant sur la Table sacrée ; nous y entendons l'Hymne que les Séraphins chant
26 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
reconnaître publiquement, afin de leur interdire l'entrée de ces Jeux sacrés , non pas pour les laisser toujours dehors, mais p
t-il si grand qu'il mérite qu'on leur interdise l'entrée de ces lieux sacrés  ? Mais y a-t-il de crime plus énorme que le leur 
issement de nos promesses, et de ne point nous rendre indignes de ces sacrés mystères. SAINT JEROME, Sur le premier Ver
27 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XV. Devoir des parens & des maîtres. » pp. 34-35
? Se repentiroient-elles de les avoir consacrées à Dieu sur les Fonts sacrés  ? Voudroient-elles les immoler au démon ? Immola
28 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
mpes : Vous ne vous trouvez, ni aux festins solennels, ni aux combats sacrés  ; vous avez en horreur les viandes où les prêtres
29 (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167
u suprême législateur, ils ne sauraient cependant enfreindre ses lois sacrées  ; et s’ils s’en écartent jamais, comment les rapp
rance pour nous éclairer sur le danger d’arrêter le cours des oracles sacrés  ? Et n’est-ce pas moins pour les Romains que pour
des larmes de la véritable pitié ; où tous les cœurs, embrasés du feu sacré de la charité chrétienne, oubliaient leur propre
e doctrine et d’édification 19. »  « Ainsi va refleurir “l’éloquence sacrée , cette richesse des temps modernes, et qui, en pa
s lettres. On peut comparer ces maisons d’étude et de paix, retraites sacrées et inaccessibles, à des vaisseaux richement charg
oles salutaires, que le gouvernement destine à la culture des lettres sacrées , si les esprits tournés vers d’autres objets moin
par ses mains prêtre du Dieu vivant, Je puis interpréter ses volontés sacrées . Si d’un zèle brûlant vos âmes pénétrées Se livre
vénération, tant que ceux qui sont spécialement attachés à son culte sacré , seront présentés au public comme des personnages
santeries barbares le triste appareil de la mort. Les droits les plus sacrés , les plus touchants sentiments de la nature sont
ou à la dépravation du siècle. Pleins de la lecture de nos écrivains sacrés , dont à chaque page de leurs chef-d’œuvres on ret
frayé se plaindre avec amertume et s’écrier, que j’attente aux droits sacrés du génie, en rappelant indiscrètement le despotis
e ministère de l’orateur appelé à l’honneur d’en préparer les oracles sacrés  ? et qu’avec raison l’illustre et judicieux d’Agu
s au désir de priver les accusés de toute la latitude de leurs droits sacrés , qu’au peu de respect et de considération qu’insp
nce n’était pas pour lui moins utile à méditer profondément. Monument sacré de la volonté de nos anciens souverains, il était
ra, et n’y a-t-il pas conscience à se jouer ainsi des choses les plus sacrées  ! Certes, c’était une bien sage disposition que c
es s’éteignaient autour d’elles, on y a conservé précieusement le feu sacré , pour y rallumer au besoin le flambeau des scienc
ans son esprit la volonté du législateur humain. Que peut-il avoir de sacré , et quelle sorte de jouissance peut-il se refuser
astes chez les Indiens, et enseignant la doctrine des Védas ou livres sacrés . On dit aussi brachmane, brame (Littré). s. NDE
30 (1759) Lettre à M. Gresset pp. 1-16
titre aujourd’hui si flatteur, qui fait regarder nos vérités les plus sacrées comme des erreurs populaires, et le catéchisme du
et osent publier leurs railleries impies et punissables de ses dogmes sacrés . Brisez, Monsieur, ces plumes hardies, écrasez le
31 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre I. Que les Danses ne sont pas mauvaises de leur nature. » pp. 1-5
ite d’être bien considérée, que nous ne lisons jamais dans les Livres sacrés , qu’il se soit fait aucune assemblée d’hommes et
32 (1715) La critique du théâtre anglais « privilège du roi. » pp. 502-504
s ; de Rome et de France ; et l’Opinion des Auteurs tant profanes que sacrés touchant les Spectacles : de l’Anglais de M. Coll
33 (1825) Des comédiens et du clergé « Sommaire des matières » pp. -
utorité pour y ramener les prêtres qui s’en écartent. Sa personne est sacrée , et nul n’a le droit d’y attenter, sans encourir
34 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
ique. Chap. V. Rédargution ac de ceux qui emploient des matières sacrées pour sujets de jeux comiques et tragiques ; ou qu
ur sujets de jeux comiques et tragiques ; ou qui se servent des lieux sacrés , pour les jeux des Comédiens. C’est chose ass
héâtres. On dira, peut-être, qu’on n’y a représenté que des histoires sacrées , tirées des livres saints. Mais Mariana28 confess
se contiennent ès termes de la modestie, et ne représentent ès lieux sacrés que des histoires sacrées ? Il répond, et à mon j
de la modestie, et ne représentent ès lieux sacrés que des histoires sacrées  ? Il répond, et à mon jugement, avec raison, que
tes, et d’ailleursal sans reproche, peuvent représenter des histoires sacrées en formes de Comédies ou Tragédies dedans les Tem
s que cela est contraire à la Majesté de la Religion, et injurieux au sacré Ministère institué de Dieu pour édifier notre foi
e en quelques lieux, où se jouent ès Temples des comédies de matières sacrées  ; combien que la loi n’excepte rien, et qu’il n’y
faire d’exception, pource qu’il y a plus de péché à manier les choses sacrées indignement, et impurement ; qu’à traiter des cho
ntre les jeux comiques et tragiques, mêmes hors les lieux et matières sacrées . Peut-être, s’en trouvera-t-il peu, en quelqu
ues en S. Augustin, entre ceux qui ne pouvaient être admis aux ordres sacrés , est marqué celui, « qui in scena lusisse dignosc
s qui semblent avoir fait quelque faute légère contre le commandement sacré , ont été toutefois punis très sévèrement. Afin qu
35 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVIII. Autorité des loix. » pp. 45-47
la sainte Table comme des pécheurs publics : on les exclud des ordres sacrés comme des persones infâmes : par une suite infail
36 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25
avec une application tranquille aux Exercices spirituels auxquels ces sacrés lieux ont été dédiés. Il ajoute même, que l’on ne
37 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109
nt ; ils s’en font avec Moliere, victime & profanateur de ce lien sacré , un prétexte scandaleux, pour éloigner du mariage
hypotheques des créanciers. La bénédiction apprend à respecter, comme sacré , une union qui, quand elle ne seroit pas un vrai
nt conjugal le contrat le plus profane. Rien certainement n’est moins sacré , moins public, moins annoncé, moins exposé aux ye
38 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
e doutez point que l'autorité des Pères de l'Eglise n'ait interdit la sacrée Communion aux Comédiens e aux Farceurs; d'où vous
39 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28
avait déjà pris son pli. 2°. Comme la tragédie avait quelque chose de sacré dans son origine, d’abord ces acteurs furent rega
choisie des Pères de l’Eglise grecque et latine, ou Cours d’éloquence sacrée , 1834, p. 400, note 1. o. [NDE] Romains, 3,8.
40 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17
econnaître publiquement, afin de leur interdire l’entrée de ces Lieux sacrés , non pas pour les laisser toujours dehors ; mais
est-il si grand, qu’il mérite qu’on leur interdise l’entrée des lieux sacrés  ? Je ne vous déclarerai pas leur crime par mes di
41 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XI. Si on a raison d’alléguer les lois en faveur de la comédie. » pp. 46-48
la sainte table comme des pécheurs publics : on les exclut des ordres sacrés comme des personnes infâmes : par une suite infai
42 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
epaissant vos oreilles de la plus douce harmonie qui puisse sortir du sacré concert des plus excellents Poètes, et vos yeux d
43 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 7-8
rédication ou des images, des cérémonies de l’Eglise et des personnes sacrées  ; on y mêle les paroles même de la Bible, on prof
44 (1757) Article dixiéme. Sur les Spectacles [Dictionnaire apostolique] « Article dixiéme. Sur les Spectacles. » pp. 584-662
la sainte table comme des pécheurs publics, on les exclue des Ordres sacrés comme des personnes infâmes ; & par une suite
u nombre des pompes que nous avons abjurées en naissant dans les eaux sacrées du Baptême ; le desir de voir & d’être vû, la
git que d’un amour vertueux & légitime qui n’aboutit qu’à un lien sacré  : quelque sévére, disent-ils, que l’on soit, on n
omme le meurtrier de Naboth, il ose tout tenter, sans respecter ni le sacré , ni le profâne. Tantôt applaudissant à cette vert
e représente que des inclinations honnêtes qui se terminent à un lien sacré , & qu’on éloigne par là ce qu’elles peuvent a
a mort ceux qui s’exercent dans cet art contagieux, elle les passe au sacré banquet comme des pécheurs publics ; & si l’E
s. Quelque authentique que soit là-dessus le témoignage des Ecrivains sacrés , celui d’un homme du monde ne semble-t-il pas l’ê
is, qu’ils font partie de nos devoirs mêmes. Balancerez-vous entre le sacré & le profane ? & craindrez-vous de préfér
re mémoire jusqu’au souvenir des images du théâtre, ouvrez les Livres sacrés , & dites avec le Prophéte : Seigneur, les méc
eur laisse un lien qui les rend pour toujours incapables du Ministere sacré , l’Eglise qui même après leur mort les exclut de
Si je passe des exemples généraux aux particuliers, parmi les Auteurs sacrés j’entends un Augustin qui se cite lui-même en tém
45 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « II. Point. » pp. 201-218
ne dont la vue devrait causer un plaisir toujours nouveau, les livres sacrés vous en fournissant encore de beaucoup plus admir
t non daretur turpis præda nugatilibus ». Substituons donc ces objets sacrés aux profanes, ces chastes délices aux impures, ra
46 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
es il avait renoncé dans son baptême, et violé les promesses les plus sacrées , qu’il avait faites à Jésus-Christ et à son Eglis
omme le meurtrier de Naboth, il ose tout tenter, sans respecter ni le sacré ni le profane. C’est là que, s’accoutumant à rega
47 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
tères, et qui fait raillerie de ce qu’il y a de plus saint et de plus sacré dans la Religion. Il est vrai qu’il y a quelque c
e, à la dérision de toute l’Église, et au mépris du caractère le plus sacré et de la fonction la plus divine, et au mépris de
e, à la dérision de toute l’Église, et au mépris du caractère le plus sacré et de la fonction la plus divine, et au mépris de
48 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
és exécutées avec fureur, quelquefois même la Religion, les Personnes sacrées et les Puissances tournées en ridicule, etc. En v
49 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
igion chrétienne, n’ont droit aux prières de l’église et aux honneurs sacrés , qu’autant qu’ils se soumettraient aux pratiques
50 (1731) Discours sur la comédie « Préface de l'Editeur. » pp. -
res du Théologien, lui font voir qu’il est peu versé dans l’antiquité sacrée et profane. Il n’était pas possible qu’un écrivai
51 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
& 3. Dans les Représentations des Tragédies à Athenes, tout étoit sacré . Elles étoient faites à l’honneur des Dieux, dans
des couronnes, & tout homme qui portoit une couronne, étoit comme sacré  ; c’est pour cette raison que la profession de Co
52 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86
as honte d’employer les expressions les plus respectables et les plus sacrées , pour abuser de la confiance des hommes faibles e
s, les titres et les qualifications les plus respectables et les plus sacrées , comparés aux choses et aux personnes qui en sont
, semblent avoir épuisé les dénominations et les expressions les plus sacrées et les plus vénérées, pour en décorer le titre de
53 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95
rle dans le fumier. Tous les deux ont tort : le mélange monstrueux du sacré et du profane est un sacrilège ; mais avec cette
humaines mise en action par des fous et des libertins ? Le mélange du sacré avec le profane ne convient pas mieux aux romans
parole par la corruption de la personne. Jeter l’ordure sur les vases sacrés , ou les vases sacrés dans l’ordure ; quel des deu
ion de la personne. Jeter l’ordure sur les vases sacrés, ou les vases sacrés dans l’ordure ; quel des deux est le plus crimine
54 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
Vertu en danger, de M.V. 357 L’OPINION DES auteurs tant profanes que sacrés , touchant les Spectacles, 399 Le sentiment des P
55 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
orreur qu’on a pour la révolte, la fait même regarder comme un devoir sacré , et enhardit à réaliser ce qu’on ne voit qu’en pe
56 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
Démon a corrompu la sainteté pour les rendre criminelles. Nos Livres sacrés ont condamné tous les Spectacles, en condamnant l
he? » Et ailleurs. « Tu quittes ce Calice adorable, et la Fontaine du Sacré Sang, pour courir aux lieux que le Diable occupe 
57 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
rivière de Cidne qui puisse éclaircir, dérouiller, repolir le couteau sacré à Apollon, toutes les autres le lavent sans effet
s, ornement de la terre, Merveille du ciel, miracle de nature, Temple sacré  : qui ouvrant ses lèvres de roses nous fait voir
58 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58
elques tentatives qu’ils aient employées, l’autorité de son ministére sacré , & son crédit auprès des Puissances, furent t
59 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
ité. Qu’on vienne, à ton exemple, en de savantes veilles, Des volumes sacrés étaler les merveilles. De Joseph, dans les fers,
60 (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -
arbare et ignorant, où les spectacles publics représentaient nos plus sacrés mystères d’une manière qui rendait ridicule ce qu
61 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
, n’étant point coupables de prévarication contre une chose sainte et sacrée , ni une injure faite au Sacrement et contre son c
62 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120
acteurs, musiciens, peintres, sculpteurs, graveurs, ne distinguent ni sacré , ni profâne, ni vice, ni vertu, ni nudité, ni déc
l y avoit absolument renoncé, & ne s’occupoit plus que des sujets sacrés , & qu’enfin il reçut les derniers Sacremens d
e plus que Racine. Santeuil est supérieur à lui-même dans les poësies sacrées , & c’est sur-tout par les peintures du Val-de
ut que le Tailleur costumier possede à fond la Mythologie, l’Histoire sacrée & profâne, ancienne & moderne, les mœurs,
63 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94
couloient à grands flots sur la toile, & enivroient de leurs eaux sacrées tous les Voltairistes ; les neuf muses, la divine
ces feuilles malignes, qui avoient osé blasphémer tant de fois ie nom sacré d’Arouet ; que ne peut-elle lui immoler de même l
usique, pour faire entendre ses oracles ; elle s’assit sur le Trepied sacré , couvert de la peau du serpent Pithon, & tout
64 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
ARTICLE IV. La profanation des Fêtes et des Dimanches, et celle des sacrés Temps de l’Avent et du Carême, doit rendre les Co
iter à la pénitence, ils ne font aucun scrupule de profaner les temps sacrés de l’Avent et du Carême, qui ont toujours été par
t, ou à la honteuse profanation des Fêtes, des Dimanches et des temps sacrés du Carême et de l’Avent ; soit enfin par rapport
65 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175
enu veuf, ou fût-il séparé de sa femme, ne peut être admis aux ordres sacrés ni posséder des bénéfices : « Qui Meretricem duxi
ans la suite, quittant le monde, ils voulaient entrer dans les ordres sacrés , ils étaient censés irréguliers, comme nous l’avo
crements. Nous venons de voir l’exclusion des Comédiens de tout ordre sacré , de tout bénéfice ecclésiastique, nous allons voi
66 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
on entre dans tous les mouvements et les saintes passions du chantre sacré , qu’on prie avec lui, qu’on gémit, qu’on se réjou
s rituels y sont formels, ils sont encore irréguliers pour les ordres sacrés , et la sépulture Ecclésiastique leur est déniée a
67 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
pectacles, nous le retrouverons bientôt dans les engagements les plus sacrés .(Paroles de Solon à Thespis) Inspiré sans doute
la main d’un grand maître soit plus sensiblement empreinte, et où le sacré caractère de la vertu l’emporte plus sensiblement
68 (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -
d serviteur de Dieu avait un déplaisir si sensible de voir violer les sacrés Canons, qu’il a fait pénitence durant tout le cou
entinum, session 25 de reform. ap. 18., que tous doivent observer les sacrés Canons exactement, et sans aucune distinction, au
ib. 5. epist. 10. et lib. 6. epist. 9.. Et comme selon les règles des sacrés Canons, les revenus des Bénéfices doivent être em
’Eglise de Paris, il y aurait trouvé une Ordonnance, qui exclut de la Sacrée Communion les Comédiens, comme étant notoirement
rières publiques : que les Théâtres auraient été plus Saints, et plus sacrés que les Temples : et que les Acteurs des Jeux, et
iciens, et les Ministres du Cirque, qui étaient employés aux Jeux des sacrés solennités, n’étaient point notés d’infamie : Mai
ise n’a jamais approuvé qu’on représentât des Comédies dans les lieux sacrés  ; Et le Parlement même ne souffre pas qu’on les r
ligion, pourquoi les Pantomimes n’osèrent-ils pas se trouver aux Jeux sacrés que Néron faisait célébrer. « Encore que les Pant
ne leur fut pas néanmoins permis de se trouver à ces Jeux qui étaient sacrés . » Le Peuple Romain croyait-il que ces Jeux des
Saturn. C. 16. : « Les Fêtes comprennent les sacrifices, les festins sacrés , les Jeux et les fériesm… C’est une sacrée solenn
es sacrifices, les festins sacrés, les Jeux et les fériesm… C’est une sacrée solennité, lorsqu’on offre les sacrifices aux Die
ffre les sacrifices aux Dieux, ou lorsque le jour se passe en festins sacrés , ou lorsqu’on célèbre les Jeux en l’honneur des D
l’appuyer. Dissertation pag. 3. « Tout y était mystérieux, et sacré , soit de la part de ceux que l’on croyait les avo
Il faudrait qu’il montrât que les Théâtres étaient plus saints, plus sacrés que les Temples ; et que les Acteurs des Jeux et
udis mora. » Varro lib. 4. de ling. Lat. , c’est-à-dire la cérémonie sacrée de la procession solennelle, et des sacrifices,
uod mala inveterata discutiar. » Seneca Epist. 96., qui est une chose sacrée , est tué par un autre homme par divertissement et
» Dissertation. pag. 47. « Quant à la célébration de ces Jeux sacrés , Quintilien dit Quinti. lib. 3. capit. 8. qu’elle
e est comme une espèce de Temple, où l’on rend aux Dieux ces honneurs sacrés « Et nihilominus eadem illa religio, cum Theatrum
la Dissertation fait dire à Quintilien, « Que la célébration des Jeux sacrés commence toujours par l’honneur des Dieux ». Qui
 : Ou bien l’on exprime par des noms honnêtes ce qu’on dit des choses sacrées , sous le voile pieux de quelques fictions ; et c’
S. August. lib. 6. De Civitate Dei cap. 7.,tâchent par des cérémonies sacrées de donner quelque apparence d’honnêteté aux fable
e de la Théologie civile, où elles étaient accompagnées de cérémonies sacrées  : Secondement que les représentations des Comédie
jouissances publiques des villes, comme faisant partie des solennités sacrées . Il est encore constant qu’elles n’étaient des ac
 ? Et le Dieu de l’impureté est-il d’une autre manière dans les lieux sacrés où l’on l’adore ; qu’il ne l’est sur les Théâtres
détestables, et indignes de la Majesté divine ; mais que ces mystères sacrés que célèbrent les Prêtres, et non pas les Acteurs
s Théâtres ; les Temples, des Scènes ; les mystères et les cérémonies sacrées des Pontifes, des vers des Poètes : comme si ces
et ce qui se faisait dans les Théâtres ; comme des choses honnêtes et sacrées , d’avec des choses honteuses et infâmes : Et S. A
tullien montre qu’il entend par ces appareils la pompe des cérémonies sacrées  : « Les Jeux, dit-il « Communis origo ludorum utr
ectacul. cap. 7., de l’un et de l’autre genre, c’est-à-dire, les Jeux sacrés , et les Jeux funèbres, ont une origine commune :
ges qu’on y porte, par les chariots, par les carrosses, par les chars sacrés , par les sièges, par les couronnes, par les dépou
les dépouilles, ou reliques. Combien outre cela y a-t-il de mystères sacrés , combien de sacrifices devant, au milieu, et aprè
. Dei. cap. 9., tâchent de distinguer les mystères, et les cérémonies sacrées des Pontifes, d’avec les vers des Poètes ? » Troi
nt, parce que les Jeux et les Spectacles, les sacrifices, les festins sacrés , et les féries faisaient séparément partie des fê
m feriæ observantur. » Idem., comprennent les sacrifices, les festins sacrés , les Jeux, et les féries…. C’est une solennité sa
es, les festins sacrés, les Jeux, et les féries…. C’est une solennité sacrée , lorsqu’on offre des sacrifices aux Dieux ; ou lo
fre des sacrifices aux Dieux ; ou lorsque le jour se passe en festins sacrés  ; ou lorsqu’on fait des Jeux à l’honneur des Dieu
t ces coutumes des Païens, aient part à ce qui est offert sur l’Autel sacré  ; car quelle union, et quel accord y a-t-il entre
eu grand tort de faire transporter les statues, et les autres choses sacrées , des Temples des Païens, dans le Cirque que les G
-il si grand, qu’il mérite qu’on leur interdise l’entrée de ces lieux sacrés  ? Mais y a-t-il de crime si énorme que le leur ?
, et dans leur mémoire ? Qu’ils ne se souviennent jamais des mystères sacrés et épouvantables que nous célébrons dans ces lieu
ut ce qui s’y passe de plus auguste, à nos plus secrètes prières, aux sacrés mystères que nous y célébrons avec tremblement, e
avertissements, vous avez aussi oublié le respect que vous devez à ce sacré temps de Carême, pour vous engager dans les filet
int de faire telles choses en quelques villes, et même dans les lieux sacrés . » Nous voyons donc par là que l’Auteur de la Di
es Palefreniers qui servaient auprès des chevaux employés aux courses sacrées , bien qu’ils fussent de la plus méprisable condit
es sortes de gens, qu’à cause du service qu’ils rendaient aux combats sacrés . « Il semble, dit la loi « Et utile videtur, ut n
les chevaux, et tous leurs autres ministres, qui servent aux combats sacrés , ne soient point estimés infâmes. » Ainsi comme c
ens et de ministres du Cirque : les uns étaient employés aux jeux des sacrées solennités, et les autres exerçaient cette profes
ou pour le profit. Ceux qui étaient employés aux jeux des solennités sacrées , n’étaient point notés d’infamie, comme la loi At
u les chevaux, et tous leurs autres ministres qui servent aux combats sacrés , ne soient point estimés infâmes. » Mais ceux qu
scendaient en l’Arène pour le gain ; car quant aux Ministres des jeux sacrés , à qui on donnait aussi en général le nom de Cond
ale Parisiense de Sacram. Eucharist. P, 108., doivent être admis à la sacré Communion, excepté ceux auxquels pour quelque jus
neuvième peine dont ces Histrions sont punis, est d’être privés de la sacrée et sainte Eucharistie à l’heure de la mort, selon
. Et le Poète Théodecte ayant voulu mêler quelque chose de ces livres sacrés dans une de ses Tragédies, devint aveugle par une
ces…. La neuvième peine, dont ils sont punis, est d’être privés de la sacrée et sainte Eucharistie à l’heure de la mort selon
isiense de sacramento Eucharistia. pag. 108., doivent être admis à la sacrée Communion, excepté ceux auxquels pour quelque jus
de ce qu’ils y trouvent d’utile à soutenir les dogmes de la doctrine sacrée . C’est en cette manière qu’il est permis d’appren
siense de sacramento Eucharistia. pag. 108., doivent être admis à la sacrée Communion, excepté ceux auxquels pour quelque jus
de vénération qu’il n’en fait paraître dans sa Dissertation pour ces sacrés Oracles, que Dieu n’a pas donnés à son peuple pou
Iudaic. lib. 12. cap. 2., ayant voulu mêler quelque chose des livres sacrés dans une de ces Tragédies, devint aveugle par une
nes de la modestie, de sorte qu’ils ne représentent que des Histoires sacrées seulement, d’une manière qui réponde à leur digni
as mêler le Ciel avec la terre, ou plutôt avec la boue, et les choses sacrées avec les profanes. On a un extrême soin qu’il n’y
 les Comédiens représentassent des fables profanes, que des histoires sacrées  ; parce que je suis persuadé qu’ils ne les saurai
eri prohibemus. » Concil. Rhemens. Provinc. 2. mens. Iul. 1456.. « Ce sacré Concile ordonne et enjoint d’exterminer entièreme
rt. 2. cap. 61., s’il est permis de représenter des jeux dans un lieu sacré  ? On répond qu’il n’est point permis, principalem
l’Eglise n’a jamais approuvé qu’on jouât des Comédies, dans les lieux sacrés  ; comme elle a approuvé les représentations histo
nt permises, en aucune manière ni dans les Eglises, ni dans les lieux sacrés  : et cela est conforme aux ordonnances du Synode
représentés en aucune manière ni dans les Eglises, ni dans les lieux sacrés , parce que cela est défendu par le Canon Cum deco
D’ailleurs si les Comédies ne blessaient point l’honnêteté des lieux sacrés , de sorte qu’il fût permis de les jouer dans les
illes. Ces Spectacles encore qu’ils ne représentassent que des choses sacrées , ne pourraient produire presque rien de bon ; mai
rir que les Comédiens profanent la sainteté des Eglises, et des lieux sacrés par la représentation infâme des pièces de Théâtr
plus par des Acteurs, la Passion de notre Sauveur, ni dans des lieux sacrés , ni dans des profanes, mais que les Prédicateurs
de représentations par des Acteurs, ont été bannies de tous les lieux sacrés de la Chrétienté. Dissertation pag. 242.
r pas ? N’est-ce pas te confondre, ou d’un double adultère De ce lien sacré profaner le mystère ? ERGASTE. Un ami travesti, v
la main, Et qui levez mon bras, et qui percez mon sein, Et vous urne sacrée où repose la cendre De celui qui m’a fait tant de
les Comédiens représentassent des fables profanes, que des histoires sacrées  ; parce que je suis persuadé qu’ils ne les saurai
t-il si grand qu’il mérite qu’on leur interdise l’entrée de ces lieux sacrées  ? Mais y a-t-il de crime plus énorme, que le leur
siastiques, et qu’il ne serait pas permis de les jouer dans les lieux sacrés  ; ni dans les temps de pénitence comme dans le Ca
èles soient détournés des offices Divins, des saintes prières, et des sacrées prédications, par les charmes, dont le Diable se
nt accoutumé de représenter, afin que des yeux consacrés aux mystères sacrés , ne soient point infectés de la contagion de ces
rendre la peine de le lire, d’avertir dans leurs sermons, ou dans les sacrées confessions, ou dans les entretiens particuliers,
écoutent, commettent un péché mortel La première preuve est tirée des sacrés Canons, et des lois civiles. Quant à ce qui regar
ée des sacrés Canons, et des lois civiles. Quant à ce qui regarde les sacrés Canons et les Décrets de l’Eglise, il y en a deux
mme croît par le souffle des vents, redoublent les ardeurs de l’amour sacré qu’ils ont dans le cœur, au milieu des tentations
mme croît par le souffle des vents, redoublent les ardeurs de l’amour sacré qu’ils ont dans le cœur au milieu des tentations.
am. Eucharist. pag. 108. : « Tous les fidèles doivent être admis à la sacrée communion, excepté ceux auxquels pour quelque jus
vez pas douter que l’autorité des Pères de l’Eglise n’ait interdit la sacrée communion aux Comédiens, et aux Farceurs : d’où v
69 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXII. Passages de Saint Ambroise et de Saint Jérôme sur les discours qui font rire. » pp. 124-131
nterie, non point de la conversation, mais seulement « de la doctrine sacrée , a doctrina sacra »a. a. q. 168. art. 2. ad. I. [
70 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
stie, tous y portent le Baptême, qui subsiste en eux par le caractere sacré , qui fut imprimé dans la substance de leur ame. C
bienfaits ! A quel usage on met vos graces ! On veut que vostre chair sacrée & que vostre sang précieux justifient des œuv
ecque. Ce n’est pas à nous, dit-il, qui sommes entrez dans une milice sacrée pour y combattre sous les enseignes de Jesus-Chri
que le pécheur raconte ses justices, ny qu’il parle de son Testament sacré avec une bouche profane : Psal. 49. 16. Jesus-Chr
71 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139
& de faire l’éloge de ce débutant. Rien dans le sanctuaire n’est sacré pour cet Ecrivain, sur-tout si la galanterie s’y
’Evêché. Il falloit une permission du Roi pour entrer dans les Ordres sacrés . On n’étoit damné ou sauvé qu’à proportion du bie
de persuader à l’imbécille Pepin le Bref, le premier Roi qui ait été sacré , qu’en se faisant oindre d’une huile sanctifiée,
s enfans savent, que long-temps avant Pepin le Bref, Clovis avoit été sacré par S. Remi ? & comment ne respecte-til pas u
72 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Livre second. » pp. 2-7
de ne proposer son théâtre que comme un accompagnement de cet édifice sacré . Par là, il désarma l’autorité des Magistrats, qu
73 (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43
fondes de nos faibles esprits forts, je vois sans nuages que les lois sacrées de l’Evangile et la morale profane, le sanctuaire
! » Voyez avec quel scandale cet homme renverse les rapports les plus sacrés . « Et tourne en dérision les respectables droits
illustres, hommes du monde, lois ecclésiastiques et civiles, autorité sacrée et profane, tout condamne le théâtre, tout parle
74 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE IV. Suite des Masques. » pp. 82-109
is la plaisanterie fort mauvaise. Il envoya s’informer d’où venoit le sacré Collège. Il apprit que c’étoit la fête des Boulan
Pape & les Cardinaux. Il n’en fallut pas davantage pour mettre le sacré Collège en déroute, chacun se sauva comme il put.
s de faire peu de cas d’un habillement que les saints Pères appellent sacré , qui par la figure, la qualité, la couleur de l’é
75 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340
plus portées à maintenir le respect dû à la religion et au caractère sacré de ministre des autels, que les ecclésiastiques e
s lois et ordonnances civiles qui suppriment ces sortes d’alliance du sacré au profane. Je me servirai pour faire sentir au c
procession imposante et respectable qui nourrirait l’esprit et le feu sacré dans l’âme des fidèles, sans obscurcir leur vue p
les ecclésiastiques eux-mêmes des choses les plus saintes et les plus sacrées  ? Un carme déchaussé d’Orléans, nommé frère Arno
le contrat irrévocable, en présence de la sur-adorable Trinité, de la sacrée Vierge Marie, mère de Dieu, mon glorieux père Sai
t commis sur une femme de sa paroisse ? donc que les prêtres n’ont de sacré que leur caractère, et que, du moment où ils s’ou
76 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Avertissement. » pp. -
aractère de Chimene est un mêlange d’attachement aux devoirs les plus sacrés , & de tendresse pour Rodrigue. Ce n’est qu’en
77 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE I. Que les Spectacles sont des plaisirs défendus. Preuves de cette défense tirées de l'Ecriture sainte, des Pères de l'Eglise, des Conciles, des Rituels, et des Lois civiles. » pp. 43-53
la sainte Table comme des pécheurs publics. On les exclut des Ordres Sacrés comme des personnes infâmes, et on leur refuse la
78 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
 ; coutume ancienne. Car dès les premiers temps on divisa les jeux en sacrés et en funèbres. Les premiers furent institués en
nument attirerait un jour à sa mémoire, le métamorphosa en une maison sacrée . Ainsi ayant invité publiquement tout le monde à
presque la même origine que les précédents : aussi les divise-t-on en sacrés et en funèbres ; c’est-à-dire, qu’ils sont dédiés
est que de passer de l’église de Dieu au temple du diable ; d’un lieu sacré à un lieu profane ; de l’éclat du ciel, comme l’o
79 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71
l créa des Cardinaux, & marcha en procession à leur tête. Tout ce sacré college étoit ivre d’eau-de-vie, (& le Czar a
p; tous les efforts aboutirent à tourner en dérision le Pape & le sacré Collége, plus maussadement que les Anglois qui br
ras qui a excellé. Il y reste toujours un grand défaut, le mélange du sacré & du profane, des plaisanteries jusques dans
80 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
asteurs éclairés, N’élance plus des Anathêmes, N’a plus de ces Tyrans sacrés , De ces Algoisits en robe. Qui damnoient la moiti
? C’est toujours par rapport à la grand-œuvre de ses contes, Archives sacrées de la pudeur. L’amour qui te doit ses succès &am
ité y pratique tout ce qui est honnête & respecte pour ce qui est sacré , (excepté la décence & la religion.) Le Jou
81 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185
atténué le respect inviolable, que les peuples doivent à la personne sacrée des rois. De là naîtraient des pensées, des disco
82 (1705) Traité de la police « Chapitre III. Du Théâtre Français, son origine, et qu’il n’a été occupé pendant plus d’un siècle, qu’à la représentation de pièces spirituelles, sous le titre de Moralités. » pp. 437-438
nses, d’y représenter aucun Mystère de la Passion, ni autres Mystères sacrés  : il les confirma au surplus dans tous leurs priv
83 (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566
ouvent implicitement condamnés56 par ce premier précepte de la Morale sacrée  : « Régnez sur vos sens & sur vos passions ;
nt revêtus, à un plus grand assujettissement à l’observation des loix sacrées . Ils croyoient que rien n’honore tant la Religion
on assure qu’il n’a cessé d’y aller que lorsqu’il fut dans les Ordres sacrés  ; qu’il y avoit reçu des leçons pour se former à
Moliere 86. Mais il ignore donc que les prieres & les Cérémonies sacrées des obseques des Chrétiens, n’ont toujours été ce
bilité, seroit-il décent de faire de nos Mysteres & de nos Dogmes sacrés un sujet de divertissement ? N’est-il pas vraisem
s, væ qui dicitis malum, bonum, & bonum, malum 89. Et les Chaires sacrées , dit le P. Porée, continuerent de tonner contre l
Graces effrontées Qui du Dieu des Vers rebutées, N’entrent point au sacré Vallon ; Et les Muses toujours pudiques, Chassent
e vol. Triumpho Sagrado de la concientia ; c’est-à-dire, le Triomphe sacré de la conscience, par D. Ramire. A Salamanque, 17
larité de mœurs & de conduite qui honore la très grande partie du Sacré College & de la haute Prélature. « Les Evêque
ndales qu’ils ne peuvent abolir, comme le dit cette Strophe d’une Ode sacrée  : Ustos zelo domûs tuæ Da malis obsistere ;
our le Théatre. Il se fonde sur le respect dû à la majesté des textes sacrés , qu’on ne sçauroit faire servir aux passe-temps s
rofond dans la philosophie, la théologie, l’éloquence, les antiquités sacrées & profanes, il a enrichi sa Nation de plusieu
Rome & de France ; & l’Opinion des Auteurs tant profanes que sacrés touchant les Spectacles ; traduit de l’Anglois de
de placer le lieu de la scene de ses Drames dans des Monasteres ? Le sacré sera toujours défiguré dans les Poëmes Dramatique
& de faste ; enfin c’est pour les Citoyens, [indifférens au culte sacré & aux grands Mysteres de la Religion chrétien
ais tous ces secours ne pouvoient rien pour ma tranquillité. Les noms sacrés & vénérables dont on abuse pour justifier la
bel esprit ; je vois sans nuage & sans enthousiasme que les Loix sacrées de l’Evangile, & les maximes de la morale pro
’Amiens, & d’en consigner l’engagement irrévocable dans ses mains sacrées  ; c’est à l’autorité de ses leçons & à l’éloq
er du péril. Ces événemens nous rappellent cette maxime du Philosophe sacré  : Extrema gaudii luctus occupat : souvent les ple
ent de sa sagesse ne voient pas seulement dans les mœurs les intérêts sacrés de la Religion ; ils pensent encore avec les Sage
des opinions, qui produit l’anarchie des mœurs. Dès que les principes sacrés de la foi ont été ébranlés, on a vu les sentimens
’elles soient ; aux fausses interprétations qu’ils donnent des Textes sacrés , le plus souvent sans les entendre ; aux conséque
les esprits des liens les plus sûrs de la société, qui sont les nœuds sacrés de la Religion ? Seneque, avec son stoïcisme hypo
r le talent singulier qu’il a eu d’y fixer d’abord la vérité du texte sacré , d’y lever toutes les difficultés de la Lettre, d
nte ; l’Examen important, attribué au Lord Bolinbrooke ; la Contagion sacrée  ; l’Examen critique des anciens & nouveaux Ap
84 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128
la combattre. Toutes les pieces qui conduisent à employer des termes sacrés ou mystiques, doivent être bannies du théatre : l
s les parens, pour ne suivre que la passion, & à profaner ce lien sacré . La derniere ressource de Fagan est de faire l’ap
85 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE II. Des Spectacles des Communautés Religieuses. » pp. 28-47
e de gens pieux et réglés ; une profession livrée au vice, et un état sacré dévoué à la religion et à la vertu. Cet historien
vrir des livrées du vice, et faire un mélange indécent et ridicule du sacré et du profane. 5.° Que ces récréations toutes mon
86 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE IV. » pp. 78-112
l consulta la Sorbonne, dont voici la décision : « Les Docteurs de la sacrée Faculté de Théologie de Paris, soussignés, qui on
diens sont plus coupables, parce qu’ils ont osé profaner une Histoire sacrée . L’Auteur de cette Pièce ne pourra effacer que pa
87 (1758) Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres « Lettre à Monsieur Rousseau sur l'effet moral des théâtres, ou sur les moyens de purger les passions, employés par les Poètes dramatiques. » pp. 3-30
lutôt il n’en doutait point. Il savait qu’une erreur ancienne devient sacrée  ; qu’avec de l’esprit, on peut faire goûter aux h
n de ceux qu’ont employés tous les Philosophes, et tous les Ecrivains sacrés et profanes. C’est donc à l’examen de ces causes
88 (1579) Petit fragment catechistic « Que les jeux des théâtres et les danses sont une suite de la science diabolique, opérante par philaphtie et amour de soi-même contraire à la foi opérante par charité, fondement de la Cité de Dieu. » pp. 20-26
re permis aux femmes débauchées, se titrer de la confrérie de la très sacrée et très pure vierge Marie mère de Dieu. De quoi q
89 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
ous les vices enfin où se livre un jeune homme qui ne connaît rien de sacré , quand il s’agit de satisfaire sa passion. On pou
90 (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)
es », col. 40-61, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intég
P. Beauregard », in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés , deuxième série, tome LXXI (IV de la seconde séri
al », col. 79-96, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intég
rectement ou indirectement ; suivi d’un abrégé pratique d’embryologie sacrée . Ouvrage mis à la hauteur des sciences physiologi
doyen de Sainte Geneviève, M. l’abbé Froppel, professeur d’éloquence sacrée , M. l’abbé Moreau, vicaire de Saint-Vincent de Pa
 », col. 206-228, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intég
 », col. 719-733, in Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés du premier et du second ordre et collection intég
p. 150-153. Réédition • « Spectacles », p. 210-219, in Bibliothèque sacrée ou Dictionnaire universel, historique, dogmatique
t du parlement de Paris interdisant les représentations de « Mystères sacrés  » mais autorisant les profanes, 17 novembre 1548]
91 (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62
es il avait renoncé dans son Baptême, et violé les promesses les plus sacrées qu’il avait faites à Jésus-Christ et à son Eglise
ais tous ces secours ne pouvaient rien pour ma tranquillité. Les noms sacrés et vénérables dont on abuse pour justifier la com
u bel esprit ; je vois, sans nuage et sans enthousiasme, que les Lois sacrées de l’Evangile et les maximes de la morale profane
92 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
pitié au moment où on lui rappelle le respect qu’elle doit aux nœuds sacrés du mariage ; et tout cela se faisant de manière à
textes à l’inconstance, des titres pour mépriser ses devoirs les plus sacrés . Les satires, dans un sens philosophique, qui fon
déjà en trop petit nombre, et rendre ridicule peut-être jusqu’au mot sacré de Bienfaisance ! en temps de guerre, pendant le
93 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
le public, le Duc d’Orléans ? Cependant ces excès sont rares dans le sacré Collége, il faut lui rendre justice, le plus gran
cclésiastiques ; il est vrai que la plupart n’ont pas reçu les ordres sacrés , c’est un sacrilege & un scandale de moins. L
mber ni sur l’Eglise, ni sur l’Evêque, qui les initia dans les Ordres sacrés , qui, sans doute, n’auroit pas ordonné des Comédi
94 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
ises ; & que ces deux figures n’ont point été bannies de ce Livre sacré , dont toutes les expressions sont si sublimes &am
e, tous les sujets de Piéces qui conduisent à employer des termes, ou sacrés ou mystiques, doivent être bannis du Théâtre. C’e
95 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VII. De la Dévotion des Comédiens. » pp. 160-179
s contraires à la pudeur, sont séverement châtiés. Ils ont des pieces sacrées qu’ils jouent dans les Eglises, si graves & s
endans des divertissemens publics, ne sont pas ce mélange ridicule de sacré & de profane ; mais leur théatre est-il une m
96 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48
tout le détail de ces Jeux s’appelloit Chorege, & tout paroissoit sacré dans ces Jeux, parce qu’ils se représentoient dan
es Atheniens. Quoi qu’il en soit, dans les Spectacles tout paroissoit sacré , & nous avons une Oraison de Démosthene contr
97 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
ent. C’est assez pour condamner un abus que l’on trouve dans le Texte sacré , des Lois et des enseignements qui y soient contr
ents de la Comédie étaient condamnés par l’Écriture, quoique le Texte sacré ne prononce point le mot de Comédie. Elle a toujo
point d’autre effet que de porter au mal. C’est pourquoi ces exemples sacrés ne doivent point être rapportés pour excuser nos
monde, qu’aussitôt qu’il eut trouvé jour pour renoncer aux fonctions sacrées de l’Épiscopat, il s’enfuit dans la solitude pour
Très-Saint Sacrement de l’Eucharistie. OnPag. 108. doit admettre à la sacrée Communion tous les Fidèles,Ed. l’an 1654. excepté
98 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
ssée à l’Académie Françoise. Le Prélat dit dans le même discours : Le sacré & le profane, le sérieux & le comique, la
99 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
euples émerveillés les événements anciens ou récents dont cette terre sacrée avait été le théâtre. C’est à eux qu’il faut remo
100 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168
é : et afin qu’on sache d’abord à quelle intention se prépare ce lieu sacré , la Scène s’ouvre par des coquetteries, et par de
saintes Lettres. N’est-ce pas là véritablement prostituer l’éloquence sacrée  ? Au reste, je ne comprends pas à quel dessein l’
tête. » Pourquoi donner ce tour impertinent à un trait de l’histoire sacrée  ? et loger Samson une seconde fois dans la maison
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