DU
SEXE
DEVOT. Sans rechercher curieusement l’origine
yable. Mais ne parlons que de ce qui est absolument le propre de leur
Sexe
: Quelles obligations n’ont-elles pas à Jésus-Chr
e amende pécuniaire à ses parents. Jésus-Christ a délivré encore leur
Sexe
de l’esclavage du Sérail, où pour une femme qui a
dre et fidèle piété ne leur ait justement mérité la louange d’être le
Sexe
dévot ? Nous parlons encore ainsi tous les jours
onne réputation, que celles des siècles précédents ont acquise à leur
Sexe
; comme de certains sots, qui se croient être de
noms des femmes Grecques, et Romaines qui ont le plus deshonoré leur
Sexe
, et leur siècle. L’on a tant couru au Théâtre It
bien loin, et que je charge trop l’instruction du procès de ce pauvre
Sexe
. Pas trop, Agathon, pas trop, la partie est plus
ur moi, je crois, que quelque préjugé favorable que vous ayez pour le
Sexe
, vous ne pouvez pas vous dispenser de le condamne
penser de le condamner du moins, à n’être plus appelé que le prétendu
Sexe
dévot : Et certainement il doit en être aussi sat
a Religion Prétendue Réformée, on en eût autant pour la conversion du
Sexe
prétendu dévot. L’entreprise est grande ; qui ser
ait abondamment à la rigueur des lois de Moïse pour conserver dans ce
Sexe
l’honnêteté des mœurs, est maintenant si violemme
dit que dans une ville d’Espagne extrêmement déreglée, une partie du
Sexe
, laquelle s’était préservée de cette corruption,
bien établi. La complaisance respectueuse que les hommes ont pour le
Sexe
, non seulement par un instinct naturel, mais enco
l’entreprise, serait à mon sens, que ce qu’il reste de saint parmi le
Sexe
, fût assez fort pour le bien guérir de la maladie
igne par son intercession procurer toutes les grâces nécessaires à ce
Sexe
, dont elle est la gloire et l’exemple. Ora pro de
s Casuistes, décident unanimement, 1.° que de changer les habits d’un
sexe
à l’autre est un péché grief. 2.° C’est un péché,
f. 2.° C’est un péché, quoique moindre, de se masquer sans changer de
sexe
: un pere ne peut pas le permettre à ses enfans,
ves, &c. & dit qu’il étoit honteux de prendre ceux d’un autre
sexe
: Quod nisi turpiter non potest fieri. Les Romain
rcule chargé de le tuer. Flattés d’une douce espérance, environnés du
sexe
charmant qui fait le bonheur de la vie, nous requ
L’ordre de la providence fut toujours de distinguer les espèces, les
sexes
& les individus par des traits qui les rendis
& diversifier ainsi ses ouvrages. Dieu réprouve la confusion des
sexes
, des personnes, par des déguisemens, sur-tout dan
s, le secret, la licence, l’impunité, les attraits confondus des deux
sexes
, un état où l’on n’est connu de personne, dit S.
même une occasion d’une infinité de mauvaise pensées que l’habit d’un
sexe
différent dont on est couvert, qui semble peindre
eur théologie alloit plus loin encore. Comme la Divinité n’a point de
sexe
, les premiers idolâtres, embarrassés sur le choix
dites, & enfin les multipliant à l’infini, ils en firent des deux
sexes
: Eadem Venus mal æstimabatur & fœmina. Macro
tachoient une sorte de charme, de talisman, aux habits d’un différent
sexe
qui avoient servi au culte des Dieux, quand on le
agiques les Magiciens & Magiciennes déguisoient très-souvent leur
sexe
, comme on le peut voir dans l’Ane d’Or d’Apulée,
moi, je pense que le vrai charme, le vrai talisman du déguisement de
sexe
, que le libertinage a travesti en culte & en
i en culte & en superstition, c’est que les habits d’un différent
sexe
, quand on les manie, quand on les porte dans des
ellement, & que le goût, les discours, les gestes, l’imitation du
sexe
souffle, attise, sont le vrai charme. Ne sont-ce
n’est pas sans vrai-semblance, que le mélange & la confusion des
sexes
dans la même personne étoit une invitation au cri
ns, qui fit tomber le feu du ciel sur la ville de Sodome, comme si le
sexe
étoit prêt à tout & propre à tout, comme on d
au plaisir, au luxe, à l’élégance de la toilette, à la délicatesse du
sexe
, c’est devenir femme, c’est une vraie mascarade.
rrorib. p. 6. dit des Prêtres efféminés de Vénus ; ils dégradent leur
sexe
par les ornemens des femmes, la délicatesse des h
ns, les goûts différens que la providence a sagement départi à chaque
sexe
, qui l’enchaînent naturellement à ses devoirs, so
’il doit prendre conseil, et n’y aurait-il aucun moyen d’honorer leur
sexe
, à moins d’avilir le nôtre ? »dw Point de Pyrrh
mes vertueux, c’est un fait ; j’en suis fâché pour vous et pour notre
sexe
; mais il n’est que trop certain que le mérite et
les, il convient de les faire parler raison ? Mais c’est avilir notre
sexe
, mais pourquoi s’avilit-il lui-même ? C’est rendr
les femmes étaient différentes d’elles-mêmes, ce serait avilir notre
sexe
encore plus qu’il ne l’est que d’employer cette v
aurons bientôt autant de femmes illustres que d’hommes, et que notre
sexe
n’aura pas à se négliger s’il veut conserver touj
e un coup, rendons justice aux femmes et rougissons. Vous accordez au
Sexe
, l’esprit, l’aptitude aux sciences mêmes, mais vo
era sûrement du génie, quand on sera moins prévenu que vous contre le
sexe
, pourquoi dis-je, ont-elles leur part de ce feu q
être petit en tout, un Monarque imbécile de faire des sottises. « Le
Sexe
faible, hors d’état de prendre notre manière de v
de la raison aux hommes, puisqu’ils n’ont pas la force de résister au
sexe
le plus faible, et de s’empêcher de devenir femme
. Croyez-vous qu’elle eût à elle seule ce que vous refusez à tout son
sexe
? Détrompez-vous par l’expérience ; vous entendre
-mêmes, comment pourraient-ils inspirer le goût de la sagesse au beau
sexe
? Voici quelque chose de singulier et qui ne doit
toyens pour Conseillers, qui n’aura que des femmes de l’un et l’autre
sexe
à gouverner sera assurément le plus petit des Roi
quand elles se battent, elles se battent bien. L’inconvénient de leur
sexe
est de ne pouvoir soutenir les fatigues de la gue
e feu M. Poisson : jugez Monsieur si je devrais être l’avocat du beau
sexe
; vous n’êtes, peut-être, pas plus beau Garçon qu
NDE] J.-J. Rousseau, op. cit., p. 187-188. Rousseau écrit : « Car ce
sexe
plus faible […] » en. [NDE] Ibid., p. 160 : «
ce qu’on en est tyrannisé. L’amour qui se rapporte à l’union des deux
sexes
a donné lieu à beaucoup d’événements, dont le réc
nt des scandales qui tombent de si haut. L’attrait qui porte les deux
sexes
à s’unir l’un à l’autre, depuis la dégradation de
ceux qui abusent des inclinations que la nature leur inspire pour le
sexe
, doivent confirmer tout homme sensé, qu’il n’est
presque leur essence, que les hommes ont réglé la forme de vie que le
sexe
devait tenir. C’est par cette raison que les femm
la Danse ont été les premiers écueils, où la modestie et la pudeur du
sexe
ont fait naufrage. Sans chercher une époque plus
i-dire, une Chaire publique où l’on débiterait, aux personnes de tout
sexe
, et de tout âge, les maximes de la plus saine mor
ntroduire des femmes sur le théâtre. Les païens mêmes croyaient qu’un
sexe
consacré à la pudeur, ne devait pas ainsi se livr
s encore exprimer les cris, les emportements, et les faiblesses de ce
sexe
: ce que ce philosophe trouvait si indigne, qu’il
rs en général pour être le propre d’un Rustique ; et dans l’esprit du
sexe
en particulier, pour être l’attribut d’un insigne
aient qu’hypocrisie et que grimace ? Suppositions trop injurieuses au
sexe
pour les admettre ! Ce serait traiter les Dames à
s y entendent finesse. En un mot quiconque dit des infamies devant le
sexe
, ou s’imagine par là plaire aux femmes, ou bien n
rement. Nos Dramatiques mettent des obscénités dans la bouche même du
sexe
: les personnages et les pièces que je me suis co
yrique complet de leur vie. Mais après tout, c’est représenter mal le
sexe
et faire violence à sa modestie naturelle que d’a
xact observateur de la nature, garde toujours avec soin ce décorum du
sexe
.Euripid. Hippolit. Lorsque Phèdre est possédée d’
eur bon sens. Encore une fois, la modestie est le caractère propre du
sexe
; c’en est l’ornement ; c’en est le rempart : ell
fféremment, et les femmes du commun et les femmes de qualité, tout le
sexe
en un mot sous les mêmes traits de libertinage. V
comparaison de nos Poètes. Premièrement. Plaute déshonore rarement le
sexe
par des discours semblables à ceux dont nous veno
libertins reconnus se permettent rarement des extravagances devant le
sexe
. Il n’y a guère dans Plaute que quatre exemples d
ises toutes crues sans égard ni à l’assemblée, ni à la qualité, ni au
sexe
. Chez eux les hommes de distinction en disent aux
chant. Térence a cette délicatesse qu’il n’entamerait pas aux yeux du
sexe
un discours peu honnête : Chrémès rougit de redir
es preuves ; leurs paroles sont mesurées à la modestie inséparable du
sexe
, et non à leur profession.Eunuch. Thaïs la premiè
tcher nous en dira davantage ; c’est dans son Prologue de l’Ennemi du
sexe
où le Poète parle en personne, et déclare franche
résentations théatrales, & ne vouloit pas y exposer la vertu d’un
sexe
fragile, dont la modestie est le plus bel ornemen
ré la délicatesse, la pudeur, la timidité, la pitié naturelle de leur
sexe
, elles faisoient leurs délices des affreux combat
le ridicule, tout cela n’est plus, & je ne crois pas que le beau
sexe
regrette ce cruel triomphe. Mais pour le théatre,
ement pour les arts de goût, pour la danse, la musique, la parure, un
sexe
l’emporte sur l’autre. Le progrès du théatre sur
toient nos ancêtres, lorsque des femmes sans pudeur, la honte de leur
sexe
, formoient un corps distingué des autres femmes,
tiere si propre à être façonnée, les change tout à coup en entier. Le
sexe
modeste & timide le dispute aux hommes les pl
ra bien-tôt les mêmes prérogatives ; il est vrai que comme à Paris le
sexe
a plus de liberté, on y a moins besoin de leurs s
u. Nos petites maîtresses semblent avoir pris à tâche de décrier leur
sexe
; les femmes de théatre sont les respectables mod
t des femmes, & assorti au caractere & aux foiblesses de leur
sexe
; il flatte, il favorise toutes leurs passions, i
ene persiffloit continuellement les Atheniens, nos agréables des deux
sexes
sont de vrais persiffleurs, & persiffleuses,
beaux. Dans un siècle si vain, dans un monde frivole Où la beauté du
sexe
est la premiere idôle ; Où les femmes de plaire o
en un mot ; ils ont ; sans exception, respecté (flatté, idolâtré) le
sexe
; il n’ont mis sur la scéne que des défauts leger
le pardon, devant des spectateurs Français, si fort indulgens pour le
sexe
, par une suite de la galanterie nationnale. Les h
est cent fois plus énorme que toutes les hérésies. Le foible pour le
sexe
est à Paris plus général, plus vif qu’ailleurs, i
es ; aussi sont-elles en général plus dévotes, elles en ont le nom de
sexe
dévot, quoique ce ne soit souvent qu’une dévotion
e la France, où la politesse, la mode, ou plutôt la foiblesse pour le
sexe
leur donne un plus grand empire, la licence &
ouer, representer ce qui se passe dans la société, & l’on aura du
sexe
français des idées plus justes, qu’avantageuses :
la Dévotion des Femmes, comme de la Religion Protestante, le prétendu
Sexe
devot, comme les prétendus Réformés, mais comment
On ne trouve plus dans la Société cette politesse, ce respect pour le
sexe
, cette délicatesse Française qui annoblissoit l’a
outes les vérités chrétiennes, de blasphémer, de dire des infamies au
sexe
même, de violer toutes les lois de l’amitié, de d
ctions. Pour réussir en cette matière il faut avoir égard à l’âge, au
sexe
et à la condition des personnes, afin de ne leur
eût été beaucoup plus sage et beaucoup plus dans le caractère de son
sexe
. Mais nos Poètes qui se guindent ainsi contre le
e notre Théâtre envers les personnes de qualité de l’un et de l’autre
sexe
. Premièrement les femmes y sont apostrophées avec
t ni de petites gens ni des misanthropes qui disent des brutalités au
sexe
, mais des hommes de rang et d’un caractère à ne p
ée autrement : il n’était pas nécessaire d’insulter pour cela tout le
sexe
, et encore moins de condamner par un insigne blas
omme sensé dans l’idée de M.C.au n’en est pas plus gracieux envers le
sexe
. Belinde P. 35. serait curieuse de savoir « où il
autres, et n’aura pas aisément son pareil en brutalités à l’égard du
sexe
: mais son langage l’exempte d’être cité. Le Rel
femmes pour les forcer contre la vraisemblance à médire de tout leur
sexe
. Je n’en rapporte qu’un exemple. Berinthie prend
amais aucun ait pris la liberté d’examiner, ni se soit apperçu de son
sexe
, ni elle-même ait eu la plus légère distraction q
même de futilités ! Ces pieces sont scandaleuses, surtout tirées d’un
sexe
à l’autre, ou pour quelque mauvais dessein, comme
uence. D’abord un reste de pudeur fit garder une partie des habits du
sexe
, on ne se mit qu’en amazone, moitié homme & m
es déguisemens flattent le goût du vice, réveillent l’idée d’un autre
sexe
, enhardissent à secouer le joug de la pudeur. Ces
car peut-être les femmes ne sont-elles pas si complaisantes pour leur
sexe
, & goûtent plus les Acteurs. Le goût naturel
n sent aisément que la délicatesse, la sensibilité, la tendresse d’un
sexe
, la force, le courage, l’élévation de l’autre, so
onnages, & doivent mieux réussir, & qu’ainsi transportés d’un
sexe
à l’autre ils en sont mieux exécutés. Une femme h
elui des furies. L’indécence de ces confusions, de ces déguisemens de
sexe
, affecte peu les Comédiens ; les intérêts de la v
t que l’on exagère leurs débauches qui sont telles, dit-on, que notre
sexe
ne peut suffire à leur lubricité, et que les Saph
savoir ce que deviennent à la fin ces enfans de l’un & de l’autre
sexe
? je vous dirai qu’ils se promenent quelque tems
ne bonne mere entende, seulement une fois, ces femmes, la lie de leur
sexe
, commenter à leur manière ces pièces dissolues, s
fût-ce que le labourage ou le mousquet. Pour les jeunes personnes du
sexe
, l’Enfant Jesus est un meilleur asyle que l’école
s, libertinage, en voilà les principaux, et ils sont communs aux deux
sexes
(avec les différences que les deux sexes comporte
et ils sont communs aux deux sexes (avec les différences que les deux
sexes
comportent nécessairement) et des individus ils s
nominations qui ne conviennent qu’à ses maîtresses. Du mépris pour le
sexe
naissent l’éloignement de toute galanterie, la br
e si justement nommée honteuse, y consume en secret la fleur des deux
sexes
; ensorte que les trois quarts de ceux qui sont l
nnes, on trouvera constamment que dans toutes les villes à théatre le
sexe
est beaucoup plus libre que dans les autres. Il e
oit honneur aux Dames Romaines, & marquoit le cas infini que leur
sexe
faisoit de la chasteté, espece de prodige dans un
euple idolatre, dans une religion impure, dont les Divinités des deux
sexes
n’offroient que des horreurs. Aucune histoire ne
mmunautés des Religieuses ne font pourtant pas moins d’honneur à leur
sexe
que les Vestales, & les Prêtresses de la Pudi
mpus sur cet article que parce qu’ils abusent de leur supériorité, le
sexe
le plus fort en accusant le plus foible. Il est i
les historiens qui ont fait des mascarades ou des métamorphoses d’un
sexe
à l’autre, les ont satyrisés l’un par l’autre, ma
la pudeur, aussi-bien que celle de la chasteté, est commune aux deux
sexes
. Mêmes principes, mêmes raisons, même danger pour
ché est commis devant Dieu ; la loi de la pureté ne distingue pas les
sexes
, & quoique la conséquence des enfans étranger
connoissoit ses devoirs & ses intérêts dans sa conduite auprès du
sexe
! mais la passion aveugle se porte à elle-même le
de se masquer & de se vêtir d’un habit différent de celui de son
sexe
, comme cela arrive dans les danses & les comé
i recommande aux fidéles, d’avoir chacun l’extérieur convenable à son
sexe
, & dit que c’est une chose honteuse de faire
se masquer pendant le carnaval, en prenant des habits conformes à son
sexe
, quoiqu’ils ne soient pas convenables à notre éta
t le carnaval, quoiqu’ils ne prennent que des habits conformes à leur
sexe
, mais qui ne sont point convenables à leur état ;
es mères s’empressent de conduire leurs enfants de l’un et de l’autre
sexe
. Quelles atteintes mortelles ne peuvent pas donne
e du risque, il ne l’est pas moins de mettre en sûreté la modestie du
sexe
, et de contenter la délicatesse des honnêtes gens
er la scène, lorsque Christine y monta ; avec tous les défauts de son
sexe
, une vanité, un luxe, une licence poussée plus lo
s demander, & en obtint une partie jusqu’à sa mort. Elle joua le
sexe
. Le penchant d’un sexe pour l’autre est naturel à
tint une partie jusqu’à sa mort. Elle joua le sexe. Le penchant d’un
sexe
pour l’autre est naturel à tout le monde, mais ce
leur union. Il est rare que ce goût aille jusqu’à vouloir changer de
sexe
, & affecter les apparences d’un sexe différen
e jusqu’à vouloir changer de sexe, & affecter les apparences d’un
sexe
différent. Tel étoit le goût décidé de cette Rein
i-même, comme s’il y avoit un Être qui tient le milieu entre les deux
sexes
; elle devoit aimer les arbres qui ne sont point
on tein, chantoit & dansoit mal, n’avoit aucune des grâces de son
sexe
, son air plein de hauteur & de fierté, de mau
lus hardie à mépriser toutes les bienséancss de son rang & de son
sexe
, elle ne portoit qu’avec peine le joug du peu qu’
couroit le monde en aventurière, & avoit tous les défauts de son
sexe
, sans en avoir les agrémens. Tous les savans ou s
ris du spectacle unique d’une Reine qui abdique sa couronne & son
sexe
, courant le monde habillée en homme, vit, parle,
ucation, 99 Rien de plus grossier que de jurer surtout en présence du
sexe
, 99, et suiv. L’impiété de nos Poètes modernes c
ent, 287 Jusqu’où nos Poètes rampent, 289 Leur rusticité à l’égard du
Sexe
, 292 La liberté qu’ils se donnent à l’égard des S
effet naturel de ces sortes de Pièces est donc d’étendre l’empire du
Sexe
, de rendre des femmes et de jeunes filles les pré
’il doit prendre conseil, et n’y aurait-il aucun moyen d’honorer leur
sexe
, à moins d’avilir le nôtre ? Le plus charmant obj
ou des filles publiques. Ils avaient une telle idée de la modestie du
Sexe
, qu’ils auraient cru manquer aux égards qu’ils lu
voir des hommes, philosophes, grâce aux Auteurs, elles écrasent notre
sexe
de ses propres talents, et les imbéciles Spectate
ande lequel est le plus honorable aux femmes, et rend le mieux à leur
sexe
les vrais respects qui lui sont dus ? La même cau
ature. Dans tout état, dans tout pays, dans toute condition, les deux
sexes
ont entre eux une liaison si forte et si naturell
, mais elles ont toujours le même degré de bonté, modifié dans chaque
sexe
par les penchants qui lui sont propres. Les Angla
ù vient cette apparente opposition ? De ce que le caractère de chaque
sexe
est ainsi renforcé, et que c’est aussi le caractè
de porter tout à l’extrême. A cela près, tout est semblable. Les deux
sexes
aiment à vivre à part ; tous deux font cas des pl
ils sont, de toutes les nations du monde, celle où les mœurs des deux
sexes
paraissent d’abord le plus contraires. De leur ra
de la famille et du ménage sont leur partage, que la dignité de leur
sexe
est dans sa modestie, que la honte et la pudeur s
les démonstrations en seraient-elles différentes ? Pourquoi l’un des
sexes
se refuserait-il plus que l’autre aux penchants q
chose. Elle est la sauvegarde commune que la Nature a donnée aux deux
sexes
, dans un état de faiblesse et d’oubli d’eux-mêmes
des atteintes qu’il ne peut plus repousser. A l’égard de la pudeur du
sexe
en particulier, quelle arme plus douce eût pu don
en de la Nature, il en serait le destructeur et le fléau. Si les deux
sexes
avaient également fait et reçu les avances, la va
st pas honteux à l’homme, le serait-il à la femme ? Pourquoi l’un des
sexes
se ferait-il un crime de ce que l’autre se croit
t dépravée ; parce qu’elle foule aux pieds un sentiment naturel à son
sexe
. Comment peut-on disputer la vérité de ce sentime
n’en rendît-elle pas l’éclatant témoignage, la seule comparaison des
sexes
suffirait pour la constater. N’est-ce pas la Natu
stie ; partout on est convaincu qu’en négligeant les manières de leur
sexe
, elles en négligent les devoirs ; partout on voit
avilissent par cette odieuse imitation, et déshonorent à la fois leur
sexe
et le nôtre. Je sais qu’il règne en quelques pays
au commencement. Il n’y avait aucune assemblée commune pour les deux
sexes
; ils ne passaient point la journée ensemble. Ce
rait que c’était une exception. Que n’a-t-on pas dit de la liberté du
sexe
à Sparte ? On peut comprendre aussi par la Lysist
in dégénérer en grossièreté. C’est ainsi que la modestie naturelle au
sexe
est peu à peu disparue, et que les mœurs des viva
œurs ? A-t-on besoin même de disputer sur les différences morales des
sexes
, pour sentir combien il est difficile que celle q
ture, consultons le bien de la Société ; nous trouverons que les deux
sexes
doivent se rassembler quelquefois, et vivre ordin
et nous y perdons à la fois nos mœurs et notre constitution : car ce
sexe
plus faible, hors d’état de prendre notre manière
is des manières toutes contraires : lâchement dévoués aux volontés du
sexe
que nous devrions protéger et non servir, nous av
nôtre dans la vie indolente et lâche où nous réduit la dépendance du
Sexe
. Si les Barbares dont je viens de parler vivaient
autres, n’en usurpent pas moins tous les droits. La société des deux
sexes
, devenue trop commune et trop facile, a produit c
est préférable encore à ce style plus recherché dans lequel les deux
sexes
se séduisent mutuellement et se familiarisent déc
-je, la destination de la Nature, qui donne différents goûts aux deux
sexes
, afin qu’ils vivent séparés et chacun à sa manièr
isez cercles et coteries, ôtez toute barrière de bienséance entre les
sexes
, remontez, s’il est possible, jusqu’à n’être que
aux autres et laisser subsister longtemps les associations. Les deux
sexes
réunis journellement dans un même lieu ; les part
comme un crime la plus innocente gaieté, où les jeunes gens des deux
sexes
n’osent jamais s’assembler en public, et où l’ind
te commode et honorable, destinée aux gens âgés de l’un et de l’autre
sexe
, qui ayant déjà donné des citoyens à la patrie, v
honnêtes, serait moins tentée d’en chercher de plus dangereux. Chaque
sexe
se livrerait plus patiemment, dans les intervalle
sonnes, ainsi que celle des cœurs. Qu’un homme insulte à la pudeur du
sexe
, et attente avec violence aux charmes d’un jeune
quand elles se battent, elles se battent bien. L’inconvénient de leur
sexe
est de ne pouvoir supporter les fatigues de la gu
ou Tragédie, qui se joue en public ; on se déguise, on contrefait le
sexe
, tant par les habits, que par les gestes : Or qua
loir par tels déguisements, confondre, ou changer, et contrefaire les
sexes
, n’est autre chose, que remuer les bornes de l’or
e : Si le premierar ; tous ceux qui portent habits convenables à leur
sexe
, Judaïsent ; et n’y aura plus de vrais Chrétiens,
lement toute confusion, jusques à la moindre, qui se commet, quand un
sexe
s’attribue quelque chose qu’il a ordonné à l’autr
Cæs. az : Item de la Papesse Jeanne, de qui l’accouchement montra le
sexe
, que le vêtement avait cachéMar. Scot. Mart. Polo
mps de persécution, pour mieux se préserver des outrages, auxquels ce
sexe
-là est sujet ; Il faut prudemment distinguer entr
isement, et qu’il est sanctifié, quand la distinction faite entre les
sexes
en la Création, est observée, tant en l’office, q
ntion du Législateur, qui fait la défense égale, pour l’un et l’autre
sexe
. Mais tant y a, que quelque allégorie que les Anc
t toutefois il infère incontinent, du déshonneur pour l’un et l’autre
sexe
; de la confusion aux œuvres de Dieu, de la contr
iers commencements, il n’appert point, qu’il y ait eu déguisements de
sexe
, par les habits ; et ne fut la chose rédigée en a
que temps, de déguiser les habits ; mais qu’on essaiera de changer le
sexe
tout à fait, à l’exemple de NéronDio in Ner fa ,
Turcs, Chinois, Sauvages, Maures, Indiens ; pour tous les états, les
sexes
, les âges, les enfans, les vieillards, les femmes
plus grands dangers des danses théatrales, c’est le mélange des deux
sexes
; chacun y développe ses propres beautés, & a
r l’exemple du peuple de Dieu, étoient plus décentes : nul mélange de
sexe
. La sœur de Moyse, après le passage de la mer Rou
l y dansa). Connoît-on en France, souffriroit-on cette séparation des
sexes
, même dans l’intérieur des familles ? Elle seroit
re, L’Auteur est femme, & vous êtes François. La danse d’un
sexe
est pour l’autre le plaisir le plus vif & la
principalement y voyant les adorations qu'on y rend à celles de leur
sexe
, dont elles voient l'image et la pratique dans le
palement prenant plaisir aux adorations qu'on y rend à celles de leur
sexe
, dont elles voient l'image et la pratique dans le
n tout homme participe au gouvernement, ou aspire y participer, notre
sexe
y conserve avec soin son ancienne prérogative. Ma
effet naturel de ces sortes de pièces est donc d’étendre l’empire du
sexe
. Pensez-vous, Monsieur, (demande-t-il à Monsieur
’il doit prendre conseil, et n’y aurait-il aucun moyen d’honorer leur
sexe
sans avilir le nôtre ? » Prendre conseil d’une fe
s avilir le nôtre ? » Prendre conseil d’une femme, c’est avilir notre
sexe
! Il est donc bien établi, dans l’opinion d’un Ph
venir que par réflexion : quoique la disposition habituelle des deux
sexes
n’engage les femmes qu’à nous attendre, sans leur
lié les lois de la pudeur, et quelque capricieux que soit l’usage, le
sexe
doit s’y conformer : mais dans ce qui n’est pas p
cette bonne réputation qui semble être attachée à l’honnêteté de leur
sexe
; et les réduisant à une oisiveté qu’il croyait l
e est l’image, voyons si vous n’êtes pas injuste d’envelopper tout le
sexe
dans un mépris universel. Vous êtes indigné qu’au
femme ; quels sont les vices qu’elle a essentiellement attachés à ce
sexe
, les délices du nôtre ; quels sont les pièges qu’
: les femmes réduites à des affections tranquilles, seraient donc le
sexe
le plus flexible à la règle, le plus docile aux l
, dites-vous, et sous ce nom sans doute vous comprenez la femme. « Ce
sexe
hors d’état de prendre notre manière de vivre tro
courage, elles préfèrent l’honneur à la vie : l’inconvénient de leur
sexe
est de ne pouvoir supporter les fatigues de la gu
l’âme et le soutien. Voici ce qu’en pense M. Rousseau. « Si les deux
sexes
avaient également fait et reçu les avances, le pl
éterminé, présente à la séduction un cœur vide. Et ce que je dis d’un
sexe
doit s’entendre de tous les deux. Le vice de notr
n encore de cette vivacité de sentiment, qui, mutuelle entre les deux
sexes
, fait le charme de leur union. Voilà ce qui manqu
n : point du tout ; car le rôle de Zaïre attendrit également les deux
sexes
. Une Zaïre moins belle toucherait moins avec le m
s disposer à se rendre heureux : je crois, en un mot, qu’attendrir un
sexe
pour l’autre, c’est tirer l’homme de la classe de
oux, le plus vertueux qui puisse rapprocher, unir, enchaîner les deux
sexes
, c’est le nœud intime d’une affection mutuelle, e
stle. C. Dameret. Sparkish. P. M. le Digne. S. Worthy. P. L’Ennemi du
Sexe
. Woman-Hater. C. La Femme de la Campagne. Country
de France, était, avant la révolution, de 412.419 individus des deux
sexes
; il se monte aujourd’hui à environ 50.000 ecclés
lle abomination ne doit être permis aux Chrétiens : Le déguisement du
sexe
, par les habits, est appelé abomination devant Di
e qui s'est fait autrefois ; les hommes de quelque âge, et de quelque
sexe
qu'ils soient entendant réciter ce qui s'est déjà
urs le feu de l'impureté, qui s'enflamme par la vue. Chacun selon son
sexe
se représente à son imagination dans ces Spectacl
e est sage ! qu’elle est expresse ! langage, sujet, habit, mélange de
sexe
, caractère de rôles, rien n’échappe au prudent lé
. Ainsi écarte-t-on le danger des spectacles ordinaires : mélange des
sexes
, parures, nudités, attitudes efféminées, discours
u’on n’y introduise aucun personnage de femme ni jamais l’habit de ce
sexe
. » On trouve cent traits de cette sagesse dans le
n latin, même dans les intermèdes, nul rôle de femme, nul habit de ce
sexe
, nul déguisement ? n’en joue-t-on que très rareme
ent pas souffert ; mais parce que les Comédiens de l’un et de l’autre
sexe
ne s’étudiaient qu’à se servir de paroles et de g
impudicitiæ ». Car enfin si un seul regard jeté sur une personne d’un
sexe
différent, même dans l’Eglise, est capable d’avoi
. parlant des vêtements dont chacun doit se servir par rapport à son
sexe
et à son état, que c’est une action vicieuse et c
t y avoir entre les habillements ordinaires qui sont propres aux deux
sexes
, et qu’il ne spécifie pas le changement qui s’en
ême ? « A quel dessein y voit-on voler tant de jeunes gens des deux
sexes
, les uns presque perdus par l’indulgence cruelle
ntre l’humeur d’un peuple et le genre de ses spectacles ; où les deux
sexes
sont frivoles, voluptueux, il faut que le théâtre
s, comme une suite et comme une conséquence de cette modestie dont le
sexe
fait profession ; aussi voyons nous que, dans tou
r dans leurs habillemens toute la modestie et toute la décence que le
sexe
et la société exigent : il n’en est pas de même d
rter à la morale & à l’exemple d’une Muse qui fait honneur à leur
sexe
, du moins ne récuseront-elles pas à titre de sévé
ront dans toutes les attitudes & tous les jours aux yeux des deux
sexes
entremêlés & enthousiasmés : Possedi servos &
sur le théatre & dans les loges, tout étale la volupté. Les deux
sexes
y paroissent toujours ensemble ; leur mélange, le
sentiment est éteint. 4.° On en éloigne le sentiment, en montrant le
sexe
méprisable par mille défauts & ridicules, on
s importans, les plus fréquemment remplis. Toute la jeunesse des deux
sexes
qui vole au spectacle, en est la plus curieuse, l
re. Vénérable & divin Ho-am-si, c’est toi qui a voulu que notre
sexe
passât ses jours dans une rigoureuse & perpét
e conformer à tes volontés. Je sai que nous sommes nées esclaves d’un
sexe
fait pour nous dominer, je sai aussi que je ne do
s général de tout ce qu’il y a de suspect ou de dépravé dans les deux
sexes
? Ne sont-elles pas une occasion continuelle aux
la froide retenue n’imposent point de gêne à la joie ingénue, où les
sexes
, les rangs, les âges confondus suivent en se joua
s, les âges confondus suivent en se jouant la Folie & Momus. Les
sexes
confondus, la décence & la retenue bannies, l
ent respectables. Voilà l’illustration des nobles actrices. Régnez,
sexe
charmant, régnez sur l’univers ; c’est sur-tout a
urs, où sans décence & sans retenue tous les âges, les rangs, les
sexes
confondus, suivant en se jouant la Folie & Mo
re Duchesne, moins délicate, quoique la pudeur soit le partage de son
sexe
& celui d’une veuve chrétienne, vient d’impri
ie qu’on y étale sous les plus belles couleurs, flatte la vanité d’un
sexe
, dégrade la dignité de l’autre, & asservit l’
nie qu’on y étale sous les plus belles couleurs flatte la vanité d’un
sexe
, dégrade la dignité de l’autre, et asservit l’un
dans l’esprit. Les femmes, flattées des adorations qu’on rend à leur
sexe
sur le théâtre, s’habituent à être traitées en ny
a nature. Electre est à mon avis encore plus cruelle, à raison de son
sexe
, à qui la pitié et; la douceur sont des vertus pe
otre morale Anti-comédienne. J’ignore si vous avez à vous plaindre du
sexe
; au cas que cela soit, de quelque nature que pui
voir subjugués par leur despotisme, mais vous craignez d’avilir notre
sexe
en honorant le leur ! « Le plus charmant objet d
emme vertueuse et; aimable ? Tout ce que vous dites pour humilier ce
sexe
n’en diminuera pas sans doute le mérite, et; ne c
des Élizabeth, des Médicis, des Marie Therese, qui, à raison de leur
sexe
, l’emportent sur nos plus grands hommes ; combien
et; de nos adorations. Est-il bien honorable pour nous de ravaler un
sexe
au pied duquel nous sommes tous les jours ? Que s
je soutiens qu’il n’est pas plus excusable dans l’un que dans l’autre
sexe
; j’ajoûte même, en tirant une conséquence de l’o
r le métier de suborneurs dont nous faisons hautement profession ? Le
sexe
toujours craintif, et; plein de candeur, quand no
autoriser les mauvaises mœurs, quand je semble excuser les écarts du
sexe
. Ce seroit, diriez-vous, indubitablement une mora
que si le libertinage est absolument méprisable dans l’un et; l’autre
sexe
, il faut l’éviter avec soin de part et; d’autre.
re. Quatriemement, il ne seroit pas permis aux Comédiens de différent
sexe
de demeurer dans la même maison. Chaque hôte sero
rs adorateurs de leurs appas ? Si lorsqu’une femme, à la honte de son
sexe
, vient au milieu d’un Amphithéatre, ou dans les c
usser le mérite de la pudeur que la nature a donné en partage au beau
sexe
. Je suis de votre sentiment à cet égard, je la re
plus grande utilité que vous y remarquez, est de rassembler les deux
sexes
séparément. Les hommes, par ce moyen, ne contract
l donc nécessaire qu’une femme dise du mal si elle n’en fait pas ? Ce
sexe
est-il si fort enclin à la malice qu’il ne trouve
ésentations des piéces Théatrales. Ils rassembleront l’un et; l’autre
sexe
, c’est ce que vous ne voulez pas. Vous n’empêcher
mœurs dures, pour éloigner une fréquentation trop sensuelle des deux
sexes
, et; pour conserver ce ton rustaud que vous indiq
alimatias, définition louche. L’amour est le penchant mutuel des deux
sexes
pour operer une des plus nobles fins du Créateur
pas plus le regne des femmes que celui des hommes : la résistance du
sexe
le plus foible, balance l’avantage que la puissan
ertu : elles vous ont fait concevoir une idée peu avantageuse de leur
sexe
, & vous en avez tiré des conséquences à votre
de nous attendrir sur la scene, & de nous donner, ainsi qu’à leur
sexe
, des leçons de vertu. Cette vertu qui vous est si
i vous est si précieuse, que tout le monde aime, est commune aux deux
sexes
: il est dans le monde plus d’une Constance, &
rtifié dans nos villes de l’Europe civilisée par le commerce des deux
sexes
, ne produit point chez nous les excès auxquels le
sés aux mêmes inconveniens que vous reprochez au Theatre, où les deux
sexes
se trouvent également réunis. Comme tout plaisir
r le tribut d’éloges qu’on peut rendre aux grâces et à la beauté d’un
sexe
qui n’a pas besoin de tant d’art pour nous séduir
re les seconds. Notre Spectacle est le grand miroir moral où les deux
sexes
se voient au naturel ; tantôt jeunes, charmans ;
lle cause de la dépravation des mœurs, parmi les jeunes gens des deux
sexes
qui se destinent au Théâtre. Il est presqu’imposs
onnues & deshonorées, ne gardent plus de mesures, & que notre
sexe
, dont la modestie & la décence sont le caract
es jeunes Beautés l’art innocent de la parure. Interdire la parure au
sexe
des Grâces ! eh ! que prétendent donc ces tyrans
sont peut-être par leurs gestes, leurs attitudes, leur changement de
sexe
, plus licencieux sur le théâtre que chez eux. Les
i d'autant plus criminelles, que sans distinction d'âge, d'état et de
sexe
, elles se montrent à tout le public. Un crieur (l
e toute hypocrisie approuve-t-il qu'on contrefasse la voix, l'âge, le
sexe
, les passions, les vices, les vertus ? Il donne s
dans les spectacles que les parures recherchées, le mélange des deux
sexes
, et les partis que l'on y prend pour ou contre :
tre ? n’est-ce pas à cette école séduisante, que la jeunesse des deux
sexes
& les personnes d’un âge mûr, doivent aller é
tune. Celle de la santé. Les rixes & les duels. Le mépris pour le
sexe
. La fatuité qui nous attire la haine & le mép
utenant que le mal vénérien prêté & rendu par les sujets des deux
sexes
qui abondent aux Spectacles Forains, fait mourir
Trétaux n’en serait certainement pas meilleure. VII. Mépris pour le
sexe
en général. Quelle estime peuvent concevoir, pour
s dispositions pour le Théatre, les perdent ; les jeunes personnes du
sexe
, qui y montent, ne servent qu’à recruter… Nul goû
s ! J’ai questionné à ce sujet plus de deux cents jeunes personnes du
sexe
, Ouvrieres, Marchandes de Modes, & autres fil
ais ni aux Italiens, que vous trouverez les jeunes personnes des deux
sexes
, réunies par pelotons, former des groupes scandal
bertinage, qui chaque jour y attire cette affluence de monde des deux
sexes
, qui se communiquent mutuellement la lepre de tou
plutôt qu’il ne se dit. Cette circulation de mauvais sujets des deux
sexes
, qui se forment dans ces Salles du Boulevard, fom
le libertinage, & qu’en fournissant ainsi à la jeunesse des deux
sexes
, les moyens de s’élancer dans ses gouffres, nous
érable équivoque pour perdre une jeune personne de l’un ou de l’autre
sexe
. On veut deviner, on étudie, on s’applique, on tr
ils sont donc uniquement faits pour les gens de mauvaise vie des deux
sexes
. Mais, Monsieur, dites-moi, je vous prie, quel pe
s qui pour l’ordinaire n’ont que le merite de leur naissance, de leur
sexe
, de leur jeunesse & de leur beauté, demandent
ui s’éloignait de la décence. Les rôles de femmes et les habits de ce
sexe
y étaient inconnus, et l’usage en était très rare
ue l’habitude ne nous permet pas de sentir, c’est le mélange des deux
sexes
dans les spectateurs, dans les acteurs, dans les
nt pas moins opposés. Il est encore des provinces en France où chaque
sexe
a sa place marquée dans l’Église, & on avoit
au monde tout l’avantage qu’il voudroit en tirer pour l’autoriser. Un
sexe
dont la pudeur fait la gloire, dont l’immodestie
iles à la jeunesse. Sans sortir des bornes de la paisible modestie du
sexe
, & donner dans les bruyans mouvemens du spect
de leur attachement, & un devoir & un mérite. La modestie du
sexe
, l’éducation de la jeunesse, deux objets si impor
mp; enseigner la politesse & les égards respectueux qu’on doit au
sexe
. Mais ce vice s’y montre toujours à découvert, &a
imens qu’on doit à sa patrie, & ceux qu’inspire la bienséance. Le
sexe
en général y est offensé ; de pareils exemples pe
tira, aux dépens du public, un théatre le double plus grand, les deux
sexes
y seront placés séparément, cinq range de loges q
nt une aîle du Bâtiment, & les Jeunes-filles une autre : les deux
Sexes
auront des Maîtres pour les mêmes Sciences, &
ourriture saine & agréable. Tous les jours quatre Elèves des deux
sexes
assisteront aux Représentations publiques ; les F
ramatique de la Capitale : on leur enverra les jeunes Elèves des deux
sexes
dont elles auront besoin, soit de ceux & cell
tte : elle eut tous les talens de son état ; toutes les vertus de son
sexe
: Jeunes Actrices, qui nous charmez par vos attra
t que la concupiscence est une source fatale d’impureté, que les deux
sexes
portent au milieu d’eux en naissant. Nous entrons
e, dit ce Saint, ce sortes d’attouchements trop libres entre les deux
sexes
, vont subitement frapper le cœur, et y causent de
privautés, auxquelles la danse donne occasion par le mélange de deux
sexes
, ne donnent-ils pas un juste sujet de craindre po
de Jésus-Christ, ou renoncer à sa succession et à son Paradis. Votre
sexe
semble avoir eu plus de part à la Croix de Jésus-
ope ; & l’on apprend par lui, que ce mêlange raisonnable des deux
sexes
, dura tant que la trop grande inégalité des fortu
ain : nous avons permis, nous avons fait une loi du commerce des deux
sexes
; l’expérience, venue à notre appui, nous a conva
se même vous assurer, que l’avantage qui résulte du commerce des deux
sexes
, sera plus sensible encore, dans nos grandes Vill
souvent ; mais, comme l’on sain, les illusions de l’imagination d’un
sexe
abandonné à lui-même, sont plus dangereuses que l
ans un Spectacle public, les Loges à l’année : on y voit que les deux
sexes
pourront s’y réunir aux Loges, afin qu’un mari jo
laisent assez : on n’y trouve pas le style règlementaire ; mais votre
sexe
n’est pas obligé de le connaître comme monsieur D
de mon Règlement, où je propose de faire de nos Jeunes-gens des deux
sexes
les plus honnêtes, nos Acteurs & nos Actrices
ue des Exercices enfin, que feront en public les Jeunes-gens des deux
sexes
, en présence de leurs parens & de leurs Conci
Tous les desordres qui pourraient résulter du commerce entre les deux
sexes
sont prévus : les Acteurs & les Actrices ne s
ien de filles charmantes, retenues chez elles par la modestie de leur
sexe
, deviennent le partage d’un malôtru qui ne sent n
plaisir qu’il soit capable de goûter ? Le vrai mérite, dans les deux
sexes
, trouvera donc, par ce moyen, un établissement di
ges. Oui… vous avez raison ! Adelaïde. Les Jeunes-gens des deux
sexes
qui manqueront à l’honnêteté publique, seront pun
s femmes parurent sur le Théâtre, elles y jouirent des droits de leur
sexe
: elles plurent. Les Actrices Romaines firent des
ctacle d’une débauche complette, par une troupe de Comédiens des deux
sexes
, qu’il força de se prostituer les uns aux autres
nt dire, mais dans les Fêtes spectaculeuses, ses Jeunes-gens des deux
sexes
étaient ses Acteurs. 2. C’est de l’Etrurie que l
tre présente Ordonnance, et particulièrement les personnes de l’autre
sexe
que la pudeur devrait en détourner avec plus de s
lus vain, de plus frivole, de plus oisif, de plus libre dans les deux
sexes
. Est-ce-là une assemblée où l’on puisse se confon
es Dames n’y trouvoient que des Acteurs & des Spectateurs de leur
sexe
, auroient-elles le même empressement à s’y rendre
lus vain, de plus frivole, de plus oisif, de plus libre dans les deux
sexes
. Est-ce-là une assemblée où l’on puisse se confon
es Dames n’y trouvoient que des Acteurs & des Spectateurs de leur
sexe
auroient-elles le même empressement à s’y rendre*
mœurs. A-t-on besoin même de disputer sur les différences morales des
sexes
, pour sentir combien il est difficile que celle q
qu’elles attirent, et par tous ceux qu’elles jettent, elles que leur
sexe
avait consacrées à la modestie, dont l’infirmité
ne seroit que par tant de regards qu’elles attirent ? Elles, que leur
sexe
avoit consacrées à la modestie, & dont l’infi
t, et instruisant, comment le mâle se déguisera en femelle, et que le
sexe
soit changé par art, et qu’on plaise au diable, q
1°. Parce que c’en est un de prendre d’autres habits que ceux de son
sexe
. 2°. Parce qu’il est défendu à un Religieux de qu
de Médicis, qui l’a fait bâtir, a voulu que les Spectateurs des deux
sexes
fussent placés séparément les uns des autres17. C
oit, ajoute Saint Augustin, que la rencontre de l’un & de l’autre
sexe
, sans parler de ces criminelles afféteries de fem
sentent : sans tout cela, dis-je, quand il n’y auroit que la vue d’un
sexe
toujours dangereux, qui affecte de venir y montre
exercices pour courir au théâtre ; l’oisiveté & le mollesse d’un
sexe
produisit la délicatesse & la sensibilité dan
i parle donc ainsi ? Est-ce un Chrétien, soit de l’un soit de l’autre
sexe
, qui vertueux sans affectation, pénétré de sa foi
s consolations de la piété ; à ces personnes de l’un & de l’autre
sexe
que l’on voit, tantôt prosternées aux pieds des s
i, mes Frères, à votre propre témoignage : j’en appelle sur-tout à ce
sexe
à qui la pudeur est si naturelle, & en qui el
y faire éclater les désirs & les feux dont ils sont dévorés ? le
sexe
le plus tendre & le plus étroitement obligé a
neste passion. Mais ce penchant qui entraîne avec tant de violence un
sexe
vers l’autre, pour être presque universel, n’est
Platonique, si différent du penchant naturel & physique des deux
sexes
l’un pour l’autre, de cet amour moral, le seul qu
péché originel, cet amour pur, dégagé de la chair & du sang, d’un
sexe
à l’autre, est bien rare, s’il n’est une chimère,
d’éloges une retenue édifiante qui fait l’honneur & la gloire du
sexe
. Une Actrice est-elle jalouse de cet honneur &
ls seront pris ? Mais vous, êtes-vous une héroïne sans foiblesse ? le
sexe
le plus fragile, le plus aisé à séduire, qui aime
es Chrétiens ces jeux, et ces imitations de déguisements d’habits, de
sexes
, de paroles et de gestes, et qui en font métier e
ée. Là retrouvent hommes et femmes, jeunes gens de l’un et de l’autre
sexe
: et les femmes et filles extraordinairement paré
sainte, mais aussi la plus saine Philosophie, recommande au regard du
sexe
plus faible. S. Pierre veut38 « qu’on leur porte
s faible. S. Pierre veut38 « qu’on leur porte respect, » comme « à un
sexe
plus fragile » : C’est-à-dire qu’on se garde de f
nner du plaisir aux spectateurs ? Est-ce un exemple convenable à leur
sexe
et à leur condition ? L’Apôtre43 ne veut pas que
ues, cachées sous ce voile. Car l’habit convenable à chacun selon son
sexe
, est requis pour la conservation de la pudicité.
e pouvait pas faire preuve de sa chasteté puisqu’elle dissimulait son
sexe
». Et Hérodote qui disait, que « la femmedépouill
il n’y a rien si ordinaire que ce déguisement, et cette confusion de
sexe
quant aux habits,47 La loi de Dieu qui condamne c
er aux jeunes hommes la manière de contrefaire la femme, changeant le
sexe
par son art, combien que lui-même eût cessé de se
ntrefait ou imité, en présence de toutes sortes de personnes, de tout
sexe
et de tout âge. Chap. X De la circonstance des
nt le personnage d’amantes avec tous les malheureux avantages de leur
sexe
. Que si on ajoute à ces sentiments de Saint Anton
ar, sans parler du concours et des rendez-vous de la jeunesse de tout
sexe
, à qui la comédie est une occasion de désordre, j
y voit toujours une vive representation de l’attache passionnée d’un
sexe
pour l’autre, & le plaisir qu’ont les femmes
adorations qu’elle a vu rendre sur le théâtre à des personnes de son
sexe
, se rebutte de son mari, qui n’a point pour elle
Ah ! n’espérez pas me surprendre ; je vous connais, je connais votre
sexe
… Si vous le connaissiez, vous ne le fuiriez point
ertu ; il a craint ma pénétration ; jamais il n’osa me parler pour un
sexe
qui n’est fait que pour mon mépris… Non, Zima, il
jalouse de votre estime, pour vouloir que vous méritiez celle de son
sexe
, par un désaveu de vos outrages ! C’est le vœu d’
r sur la Scène, on voit dans les Collèges, dans les Couvents des deux
sexes
, parmi les Bourgeois, les Seigneurs et les Prince
shabillent et la servent dans sa maladie, s'avisent de soupçonner son
sexe
, que sa jeunesse, sa délicatesse, son teint, sa b
e toute l'austérité de la Trappe, si supérieure à la faiblesse de son
sexe
et à la corruption de son cœur, sans avoir ni le
armi ces Religieux, l'appelle, lui parle, et déclare publiquement son
sexe
, son amour, ses folies, ses crimes, par un discou
gieux ? « Et ce vœu de mon cœur, ce vœu de la nature(l'union des deux
sexes
) N'a-t-il pas précédé mes serments odieux (les vœ
qu'on en veut. Il n'est point de comédie où quelque jeune personne du
sexe
ne soit l'objet des poursuites criminelles, et qu
atorze ans) que de vagues impressions de cette passion qui attache un
sexe
à l'autre. Ce fut à la comédie qu'elle commença à
ont gâté depuis vingt ans et continuent à dépraver les mœurs des deux
sexes
. Le P. Porée Jésuite, l'un des plus distingués in
Prédicateurs, de s'accoutumer à parler en public, que la fragilité du
sexe
, la vivacité des passions, la vanité et la tendre
foi nous oblige d’éteindre ; les jeunes gens de l’un & de l’autre
sexe
s’y assemblent & s’y placent confusément ; le
mme, pourquoi vous déguisez-vous en homme ? La nature a revêtu chaque
sexe
d’habillemens qui leur sont propres. » Ce déguis
ute sorte de feinte, il n’approuvera point qu’on déguise sa voix, son
sexe
, son âge, ni qu’on represente des amours, qu’on e
lent point estre connus. Ils déguisent souvent leur visage & leur
sexe
, à la façon des voleurs, des personnes débauchées
s, qui sont deux demons également dissolus, l’un en ce qui regarde le
sexe
, & l’autre en ce qui concerne le luxe & l
t dépucelée ? Les mâles sont efféminés : tout l’honneur et vigueur du
sexe
masculin est corrompu par un tel déguisement : et
leur horreur, tant de se baigner dans le vin sans regard à l’âge, au
sexe
, ni au lieu, que faire festins tables par les rue
s faisait attendre à l’avenir, de cette rare Isabelle, honneur de son
sexe
, regret des siècles passés, gloire du présent, en
ont rire; vous y entendez parler d'un Anubis impudique, d'une Lune de
sexe
masculin, et d'une Diane qui a été fouettée; On y
s, qui sont deux Démons également dissolus, l'un en ce qui regarde le
sexe
, et l'autre en ce qui regarde le luxe et la débau
ublic & en particulier, tous les Fidéles de l’un & de l’autre
sexe
, de l’obligation où ils sont de s’abstenir de div
ée que « par accident », par tous les discours où une personne de son
sexe
parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, e
hristianisme. Lactance Firmien y condamne le changement d'habits d'un
sexe
à l'autre : il nous avertit aussi que le sens de
de ne pas en manquer ; il s’était même établi des courtiers des deux
sexes
qui en procuraient, qui en faisaient commerce ! e
s femmes n’avaient rien de plus précieux que les prérogatives de leur
sexe
; elles préféraient à de plus doux plaisirs les j
d’un commerce pur régnait dans ces assemblées composées de l’élite du
sexe
, de femmes douées des plus belles qualités de l’â
s habituels de ce que la société avait de plus brillant dans les deux
sexes
; elles étaient autant d’écoles de bon ton, de po
e d’animaux, soit à mains soit à pattes, un égal penchant à s’unir au
sexe
pour lequel il est fait, à quoi bon vouloir tant
x & des oreilles généralement tous les cœurs de tout âge, de tout
sexe
, de toute condition ? Des hommes qui nous présent
isparoître du milieu de nous jusqu’à l’ombre même de la pudeur . Beau
Sexe
, à qui nous avons assigné cette pudeur pour appan
dans ces lieux où des fronts d’airain foulent aux pieds cette vertu ?
Sexe
charmant, à qui la nature a donné sur nous un si
’amour & de la volupté rafinée, qui proposent d’en débarrasser le
sexe
, & qui l’en débarrassent ? Non, non, le con
e, envain pour nous tant de millions de Martyrs de tout âge, de tout
sexe
, de toutes conditions auront scellé de leur sang
’on n’y introduise aucun personnage de Femme, ni jamais l’habit de ce
sexe
. » Nous croyons devoir exhorter les Régents qui s
oire le bien que font ces prix, l’émulation qu’ils inspirent aux deux
sexes
pour le travail & la vertu. Voici les vers qu
La vertu est le plus solide & le plus brillant appanage de votre
sexe
; elle seule peut donner du prix & du lustre
orrompent les mœurs, sur-tout de la jeunesse de l’un & de l’autre
sexe
. Si ce n’est, dit-il, les statues des Dieux dont
les traits d’un amour volage & d’une volupté insatiable, les deux
sexes
depuis l’enfance jusqu’à leur établissement, dans
la sagesse d’écarter également les piéges que le démon tend aux deux
sexes
: le théatre au contraire affecte de les multipli
es jardins des payens, les statues partageoient les hommages des deux
sexes
; les hommes s’attroupoient autour de Venus, de F
fontaine, &c. & des femmes en Angleterre. Cette différence de
sexe
est conforme au caractere des nations. Les angloi
mme une vaste biblotheque, seroit partagé en deux corps pour les deux
sexes
, & distribué en plusieurs appartemens, garnis
égendes à nos poëtes femelles : il faut faire grace à la foiblesse du
sexe
. Disc. 12. Dans un grand éloge de la danse, il n
il fait le détail. Voilà , dit-il, qui est bien propre à inspirer au
sexe
la discrétion & la décence , & à former u
sans cesse dans les affaires les passions & les fantaisies de son
sexe
, elle corrompit les victoires & les succès le
t-ils qu’elle n’écoutait que ses passions & les fantaisies de son
sexe
? qu’elle corrompit les victoires, & qu’elle
doit sa naissance : en un mot. Thrône où siégait la Vertu. « Les deux
sexes
ont entre eux une liaison si forte & si natur
cessairement celui des Acteurs, & que dans tous les pays les deux
sexes
ont entre eux une liaison si naturelle que les mœ
bien faits & vigoureux. L’habitude chez eux faisait la sureté du
sexe
, ainsi que chez les Sauvages, mais il n’est pas m
me chose ? Les Femmes seraient vertueuses si les Hommes l’étaient. Ce
sexe
naturellement crédule lorsqu’il aime, se laisse a
de mauvaise vie. Eut-on jamais cru que la mal-propreté aurait mis le
sexe
à couvert de la médisance ? Revenons à l’aviliss
je double le salaire, j’aurai dans ma manche tous les Saints des deux
sexes
, passés, connus, inconnus. L’Hérésiarque Augustin
s pour débander et délasser son esprit ; mais avec quelqu’un de votre
sexe
, mais honnêtement et modestement, rarement et par
oujours extrêmes ; la cruauté n’épargne ni l’âge, ni le mérite, ni le
sexe
; elle s’étend jusques aux derniers degrés d’une
s d’une éducation chrétienne, tant de personnes de l’un et de l’autre
sexe
se laissent entraîner par le torrent du monde, on
sphèmes et d’horreurs. C’est un monstre moral. Parmi les personnes du
sexe
, qui figurent dans les pièces de théâtre de Victo
mères ont l’imprudence de conduire leurs enfans de l’un et de l’autre
sexe
. Or, quelles atteintes mortelles ne doivent pas d
tte foiblesse n’est pas également à craindre dans tout âge, dans tout
sexe
, & dans toutes sortes d’états ; ainsi ceux à
mp; quoyque ces assemblées soient composées de personnes de different
sexe
, il est rare qu’on y voye rien qui soit ouverteme
le ; que doit-on penser de tant de personnes de l’un & de l’autre
sexe
, qui passent les nuits dans une sale de bal, &
eurs à l’excès, & il y en a grand nombre de l’un & de l’autre
sexe
, pour qui chaque jour il faut moins de farine en
pour le rendre propre, enlever au menton de l’homme l’attribut de son
sexe
, &c. Ces fonctions sont purement méchaniques.
que la moitié de la vie, de tous les libertins, de tout état, de tout
sexe
, jusques dans le Sanctuaire. Qu’on parcoure toute
me des images ou livres (licencieux) & de l’assemblage des deux
sexes
, sur-tout des jeunes gens, c’est-à-dire, feu cont
e, qu’elle assembla les plus belles femmes, & que connoissant son
sexe
moins difficile à conduire que les hommes (peu de
e rend pas à Dieu plus de culte. Une femme qui écrit met toujours son
sexe
sur les autels : les jolies femmes se croyant de
elles une belle émulation de vertu, & il y a peu d’endroits où le
sexe
soit aussi modeste. Annoncée par ce témoignage pu
s même d’un vice grossier, encore moins d’une foiblesse de la part du
sexe
: on a même égard à la bonne réputation de la fam
egereté, la facilité, l’amour du plaisir, la vanité, sur-tout dans le
sexe
rendent absolument nécessaire la vigilance des pa
fut le moindre des dons qu’elle reçut de la nature ; supérieure à son
sexe
par l’assemblage de tous les talens qui forment l
e Pologne, qui l’avoit épousée par procureur, emploi convenable à son
sexe
. La dame de Guebriant étoit sa dame d’honneur, ch
reaux de velours ; une troupe de bateleurs & de sauteurs des deux
sexes
amuserent, en attendant la piece réguliere. On re
tte foiblesse n’est pas également à craindre dans tout âge, dans tout
sexe
, & dans toutes sortes d’états ; ainsi ceux à
mp; quoyque ces assemblées soient composées de personnes de different
sexe
, il est rare qu’on y voye rien qui soit ouverteme
le ; que doit-on penser de tant de personnes de l’un & de l’autre
sexe
, qui passent les nuits dans une sale de bal, &
vous votre femme, après avoir vu au théatre outrager & rendre son
sexe
méprisable ? Vous avez honte, vous vous repentez
s airs efféminés, s’étudie à paroître une fille, & à démentir son
sexe
. Le vieillard rase sa pudeur avec ses cheveux, pr
'on n'y introduise aucun personnage de femme, ni jamais l'habit de ce
sexe
. » Rat. Stud. Societ. Jes. Tit. reg. Rect. art. 1
ne serait que par tant de regards qu’elles attirent ; elles que leur
sexe
avait consacrées à la modestie ; dont l’infirmité
te Pièce est représentée : les jeunes personnes de l’un et de l’autre
sexe
n’effaceront jamais de leur esprit ni de leur cœu
e en travers, vis-à-vis la chaire. Il ne souffroit point que les deux
sexes
se mêlassent. Un petit maître, un de ces importan
s des salles de spectacle. Chez les Grecs & les Romains, ces deux
sexes
étoient separés au spectacle. Ces Payens étoient
ponpon, ce sont des affaires d’Etat ; c’est l’occupation générale du
sexe
. Point de femme qui d’abord ne passe en revue la
e seul. L’impureté ne se repaît que de la beauté des femmes. Un autre
sexe
ne peut en être l’objet infâme, qu’autant qu’il e
es caractères et les mœurs des nations, des âges, des conditions, des
sexes
et des personnes y sont gardées: si l'action, le
ent de la Comédie ne faisant aucune peine à la pudeur attachée à leur
sexe
, elles ne se défendent pas d'un poison aussi dang
assez heureux pour l’obtenir. C’est le foible de la nation ; chez le
sexe
c’est une fureur : une femme le matin à la toilet
le de remède. C’est là que les femmes étalent toute la vanité de leur
sexe
, toute l’industrie de leur esprit aussi inventif,
n’honorent que le Dieu de Cythère. 6.° La beauté est le patrimoine du
sexe
. Sa portion légitime dans l’héritage ; les femmes
tenoient séparées des hommes dans l’imphitéatre ; ils croyoient qu’un
sexe
consacré à la pudeur ne devoit pas se livrer aux
s même qu’on n’y trouvoit pas cet indécent & périlleux mêlange de
sexe
, que diroient ils aujourd’hui de cet amas de dang
vanités, ses charmes & ses immodesties, par l’assemblage des deux
sexes
, avec tout ce qu’ils ont de séduisant, & de t
pas se scurir. Il doit trouver dans son ame toute la virilité de son
sexe
qu’il a perdu. Il a mis en effet dans son style
donne toutes pour des prostituées. Ce n’est pas un éloge flatteur du
sexe
, mais une balance à laquelle Dorat pese le mérite
s, d’inconsequence, de medisances, un mensonge convenu entre les deux
sexes
, rien de si sot que nos jeunes gens, rien de si r
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