s utiles aux bonnes mœurs, c’est-à-dire, aux mœurs désirables dans la
société
; le Roi nommera les quatre premiers, ces quatre
sions une partie des frais des spectacles lorsqu’ils sont utiles à la
société
, et c’est aux spectateurs à payer l’autre partie
distinction précieuse vient toujours des talents les plus utiles à la
société
, et surtout de la pratique de la justice et de la
furieux désir des plaisirs des sens si nuisibles dans leur excès à la
société
, que le ressort ou le désir des plaisirs de la di
plus précieuse qui tend toujours au plus grand bonheur de cette même
société
. Quand les poètes comiques auront pris soin de je
es ces choses étaient égales pour le bonheur et pour le malheur de la
société
, et comme si le but de la raison n’était pas d’un
aison n’était pas d’unir toujours dans les spectacles l’utilité de la
société
au plaisir du spectateur. Les spectacles peuvent
s du Magistrat de Police, et qu’ils tendent toujours à rendre dans la
société
la vertu respectable et aimable, les vices honteu
que c’est un mauvais emploi de l’art et de l’esprit par rapport à la
société
que de rendre les crimes et les criminels moins d
ement de l’employer au préjudice des bonnes œuvres. Il est utile à la
société
de mettre les méchants, les injustes, les scéléra
un Bureau pour diriger les spectacles vers les mœurs désirables de la
société
, si par les prix qu’elle distribuera aux Poètes q
s les cœurs des Citoyens, et par le perfectionnement de nos mœurs, la
société
deviendrait tous les jours plus douce, plus tranq
CHAPITRE II. Théatres de Société. Les théatres de
société
, cette imitation du spectacle public, ce nouvel e
les jours sur le théatre public, le sien n’eût plus été un théatre de
société
, c’est-à-dire qu’il est plus permis d’être sans m
société, c’est-à-dire qu’il est plus permis d’être sans mœurs dans la
société
que sur le théatre public, & pourvu qu’on rép
r des objets les plus infames. Ai-je tort de dire que les théatres de
société
sont plus dangereux que le théatre public, de l’a
x, dise : Cette jolie piece complette le premier volume du théatre de
société
de M. Collet, & en fait désirer le suite ? So
te un vaudeville très-libre. Cette piece est faite pour un théatre de
société
: on promet plusieurs volumes de pareilles pieces
les pieces. Plaise au ciel qu’ils ne paroissent pas ! Ces théatres de
société
sont devenus si fort à la mode à Paris & dans
orme du plaisir (c’est son poison). Rien n’anime (ne dissipe) plus la
société
, ne forme plus le goût (du désordre), ne rend les
e ? Cahusac (de la danse, L. 4. chap. 4.) blâme fort ces théatres de
société
, il en fait remonter l’origine au temps de Tibère
u ces impertinences. Voici quelques traits singuliers des théatres de
société
: Clément. Lett. 80. On a fait à Bath, ville d’An
septembre 1765). Les Chevaliers ont fait bâtir à Malthe un théatre de
société
pour l’opéra & pour la comédie. L’Entrepreneu
vous êtes une héroïne de chasteté ; le théatre public, le théatre de
société
vous voient braver tous les orages. Je vous admir
nté : le scandale est une scène réelle. Celui qui commettroit dans la
société
ce qu’on représente sur le théatre, seroit un sca
lui qui peint en action sur le théatre ce qui est un scandale dans la
société
, ne donne pas moins le scandale. Ce n’est pas le
plutôt la certitude du n’aufrage qu’elles y ont fait. Les théatres de
société
ont moins que d’autres le titre de la prescriptio
Princes y sont assidus, toutes les maisons riches ont des théatres de
société
, les grands, les femmes y jouent, la magistrature
; ses richesses. En même temps qu’il s’élève par-tout des théatres de
société
, il s’est formé dans plusieurs villes des société
out des théatres de société, il s’est formé dans plusieurs villes des
sociétés
de théatre. Les Gazettes de 1767 & le Journal
oyens de la ville de Toulouse, amateurs des beaux arts, ont formé une
société
d’actionnaires avec privilège exclusif pour l’éta
es plus distinguées dans l’épée & dans la robe. Le fonds de cette
société
consiste en trente actions de douze cents livres
es actionnaires n’ont besoin d’exclure personne. Pour les théatres de
société
, ils sont toujours également libres ; depuis ce b
lle heureuse perspective pour les bonnes mœurs ! Les profits de cette
société
sont aussi considérables que les droits d’entrée
des Marchands, jaloux de l’honneur & du profit, a formé aussi sa
société
d’actionnaires. Ces citoyens zélés ont fait des o
une dans nos mœurs. » Au lieu de spectacles, Genève a des cercles ou
sociétés
de douze ou quinze personnes qui louent à frais c
ôt chez l’autre ; les hommes, sans être fort sévèrement exclus de ces
sociétés
, s’y mêlent assez rarement…. Mais dès l’instant q
dès l’instant qu’il y aura une comédie, adieu les cercles, adieu les
sociétés
. Voilà, dit M. Rousseau, la révolution que j’ai p
le gouvernement s’en mêle. Il convient aussi que les femmes dans leur
société
, se livrent volontiers au plaisir de médire, mais
vie, peut-être une heure de dissipation est-elle un larcin fait à la
société
. Mais à qui le persuaderez-vous ? Et si la sociét
n larcin fait à la société. Mais à qui le persuaderez-vous ? Et si la
société
se relâche elle-même de ses droits ; si elle vous
nts sont pleins ? Je sais qu’il n’y a que l’homme qui broute, dont la
société
n’ait rien à exiger ; mais elle n’attend de perso
avait raison. » Ce barbare ne savait pas que le premier besoin d’une
société
est d’être en paix avec elle-même ; qu’il y avait
nsulte. Il y a partout des passions nationales et constitutives de la
société
; tel était l’amour de la domination chez les Rom
nvie, l’amour effréné, l’orgueil tyrannique, tout ce qui attente à la
société
, tout ce qui lui nuit, tout ce qui peut lui nuire
ien ni mal, comme des passions nationales dont je viens de parler. La
société
qui les adopte, se les rend personnels, et il n’e
étrangères ou nuisibles au génie du gouvernement et au maintien de la
société
, je n’en vois point, comme je l’ai dit, que le th
tort. 1°. La grossièreté n’est bonne à rien ; nous la rejetons de la
société
et du théâtre. 2°. Le sage est un personnage fort
nt lui ! Les méchants sont haïs sur la scène ; sont-ils aimés dans la
société
? » J’observe, 1°. que si tous les hommes aiment
stres ? Le gigantesque qui est ridicule au théâtre, le serait dans la
société
: j’en conviens. Mais ceux qui ont excellé dans l
qu’il y aurait de la folie à vouloir transporter sérieusement dans la
société
. » O vous, qui regardez la justice et la vérité c
Monsieur, cette vertu douce et modeste, et sur le Théâtre et dans la
société
, nos hommages iront au-devant d’elle : nous la re
nève comme ici, c’est-à-dire, sensibles à l’estime et au mépris de la
société
, n’aimant point du tout à se donner en dérision,
conséquent infructueuse : aussi ne serait-elle pas soufferte dans une
société
toute composée de vrais amis. Mais tant qu’il y a
e doit agir et penser sur la scène que comme il pense et agit dans la
société
. Mais l’action théâtrale ne dure que deux heures,
le caractère de l’avare à se développer en deux heures, comme dans la
société
il se développerait en six mois. Ce n’est là que
tre y réunit les traits les plus forts du même vice, répandus dans la
société
, tous copiés d’après nature. « Qu’importe la véri
autres, vices des dupes. Quand les premiers attentent gravement à la
société
, ils sont odieux et terribles : le ridicule fait
célérat hypocrite ; la manie de l’érudition et du bel esprit dans une
société
d’honnêtes femmes, à qui des pédants ont tourné l
us les défauts opposés aux qualités de l’homme aimable, de l’homme de
société
; après avoir joué tant d’autres ridicules, il lu
me la bonté, respecte la vertu, et regarde les vices répandus dans la
société
, comme un poison qui circule dans le sein de la n
ttent les vaines prétentions, passent légèrement sur les épines de la
société
, et s’épargnent les chagrins et les dégoûts d’un
soit susceptible… Cette contemplation continuelle des désordres de la
société
, le détache de lui-même pour fixer son attention
elativement aux hommes. Que lui importe la guerre des vautours, si la
société
n’a plus de colombes ? Dira-t-on que le Misanthro
que Française. Une différence non moins sensible dans les mœurs de la
société
, dont la comédie est le tableau, y a fait substit
au théâtre ? Il trouve même indécent qu’elles soient admises dans la
société
. « Les Anciens, dit-il, avaient en général un trè
e soin que de contribuer, autant qu’il est en lui, aux douceurs de la
société
: dans cet état, dis-je, il est naturel que les f
sse invite à l’oisiveté ; celle-ci à la dissipation : le cercle de la
société
s’étend, et les hommes y appellent les femmes. Ma
à ce que je prétends. La pudeur naturelle interdit-elle aux femmes la
société
des hommes ? Voilà ce que je nie, et ce que M. Ro
le dise, à la bonne heure ; mais un Philosophe peut-il le penser ? La
société
sans doute à multiplié les lois de la pudeur, et
règnent, et qu’elles exercent sur la scène le même empire que dans la
société
. Est-ce un mal ? Nous le verrons. A l’égard des l
essentiel au goût des Arts ? Tout cela est-il relatif aux mœurs de la
société
, qui est l’objet de notre dispute ? Faut-il être
nc le sexe le plus flexible à la règle, le plus docile aux lois de la
société
, et par conséquent elles seraient faites pour en
nseigne cette éloquence persuasive et conciliatrice qui convient à la
société
; et le don de gagner les cœurs est sans comparai
ir et l’honneur les appelleront aux drapeaux. Voyons quel est dans la
société
en général, le vice de leur domination ; et si l’
r à cette règle. M. Rousseau admet, dans les sentiments de l’homme en
société
, une moralité inconnue aux bêtes ; et quoiqu’il f
orales, et voir en quoi le théâtre qui le favorise, est nuisible à la
société
. D’abord, observons dans l’amour des sentiments t
. Cet amour inspiré par la nature, n’est honnête dans les mœurs de la
société
, qu’autant qu’il se mêle confusément, et comme à
ter pour être comblé sans obstacles, l’amour ne sera, dans l’homme en
société
, que ce qu’il est dans l’homme sauvage : c’est ce
tent pas des plaisirs permis, que le vice n’ait que le superflu d’une
société
tumultueuse et surabondante, et que l’hymen toujo
mais celui qui en est vivement affecté au Spectacle, le sera dans la
société
, il ne le sera de même que par des qualités sembl
sibilité naturelle est plus que suffisante pour remplir l’objet de la
société
, il serait dangereux sans doute de l’irriter par
erse donc le plan économique des familles, et l’ordre politique de la
société
, l’empire de la coutume et de l’opinion. La socié
e politique de la société, l’empire de la coutume et de l’opinion. La
société
exige dans les alliances certains rapports que la
cherchera, dites-vous une Cénie, une Constance ; mais est-ce dans la
société
des femmes perdues qu’il ira la chercher ? Le sup
, je crois que c’est remplir l’intention de la nature, et celle de la
société
, que d’attirer sur ces chastes objets les vœux in
elui qui s’isole le plus. Cet homme-là ne fait que s’anéantir pour la
société
. Or, le néant n’est pas ce qu’il a de pire. Il es
protégés, récompensés par l’état, accueillis, considérés même dans la
société
la plus décente, lorsqu’ils y apportent de bonnes
agents d’iniquités, les hommes les plus utiles et les plus chers à la
société
, des magistrats intègres, des administrateurs et
ière stable, la sécurité et le bonheur dans une grande division de la
société
, dans toutes les administrations nationales, côté
et tombent en corruption ; ainsi, dans notre révolution politique, la
société
ayant subi un grand bouleversement, les hommes dé
uivante m’a depuis long-temps affecté, dans le cas actuel surtout. La
société
veut qu’à l’âge de raison tous ses membres jouiss
ends ses plaintes amères ; il parle au nom de la nature, il accuse la
société
d’être trop méfiante d’un côté, et trop confiante
on, la religion prend une part très active dans les révolutions de la
société
humaine. Tout à la fois sujet de concorde ou de d
ble. De là aussi des sectateurs toujours nouveaux, réformateurs de la
société
religieuse, ennemis irréconciliables des abus, su
u’il appelle histrionatus ars, comme nécessaire et indispensable à la
société
: « Necessarius ad conversationem vitæ humanæ »(a
oyens qui peuvent nous conduire au vice ; devenant ainsi inutile à la
société
et à soi-même, et ressemblant parfaitement à ces
et les prétendus bienfaiteurs du genre humain ! Hélas ! que serait la
société
si elle ressemblait à de tels hommes ! 1. [NDA]
souvent d’une sorte de mépris ce qui vraiment est le plus utile à la
société
; c’était, dis-je, assez pour moi d’examiner l’in
re que je commençasse par considérer l’influence de la Chaire dans la
société
civile. En l’examinant donc sous son véritable po
que des talents particuliers y appellent, un véritable lustre dans la
société
. L’influence du Barreau est le troisième et derni
du juste, j’ai vu qu’il n’y avait de bien que ce qui était utile à la
société
et conforme à l’ordre, de mal, que ce qui leur ét
d’ardeur à se faire reconnaître légalement et authentiquement ! Cette
société
à jamais déshonorée par l’immoralité de ses princ
e leurs brochures modernes, on y verra que cette infâme et audacieuse
société
, s’annonce très ouvertement pour être un ordre to
ce là le langage de prêtres chrétiens ? Mais ne sait-on pas que cette
société
anti-chrétienne se moque également de la religion
s partisans les plus dévoués des emplois publics et importants. Cette
société
ambitieuse et sans cesse agissante a tout osé, ca
t d’autorité, bouleverse tout, au risque de porter le trouble dans la
société
et d’en ébranler l’autorité souveraine. Il faut p
t un jour servir à condamner tout écrivain, qui déplairait à l’infâme
société
de Loyola. En effet, il n’est pas une page, une l
férentes formes, déjà elles portent le trouble et le désordre dans la
société
pour y favoriser une secte désorganisatrice. On n
les jésuites sont parvenus à introduire dans toutes les classes de la
société
. p. [NDE] Jean, 18, v. 36. q. [NDE] La phrase
ssion. Voilà un délassement bien important à l’Etat ! Les cercles des
sociétés
ne suffisent pas, il y règne trop de frivolité &a
poignée de fainéant, qui ne veulent rien faire, ni être rien dans la
société
, il faille que le public entretienne des théatres
appeler licencieuses. Les Comédiens viennent peu sur les théatres de
société
, & ils sont surement plus libres que le théat
est la seconde ?). L’homme de théatre est admis dans les plus nobles
sociétés
; ses vains talens lui tiennent lieu d’ayeux &
eprésenta une piece à son profit, par souscription, sur un théatre de
société
. Les billets étoient à un louis. L’assemblée fut
e rang, que diriez-vous de la confusion qu’a jeté le théatre dans nos
sociétés
? O nobles Romains, vous rejetâtes avec indignati
s parût sur le théatre public. Il se dédommageoit sur les théatres de
société
& dans les Atellanes. Il avoit acquis la bril
ée, & étoient chargés d’entretenir à perpétuité le spectacle. Ces
sociétés
sont composées de tout ce qu’il y a de plus disti
lir les rôles. Ils s’exercent & s’y préparent sur des théatres de
société
. Ce sera un nouveau fleuron à leur couronne. Les
n tour l’Actionnaire se contente des restes. Cette pieuse & noble
société
a essuyé un petit orage. Le Commandant de la prov
entendre qu’on avoit empiété sur ses droits. Le Prince a favorisé la
société
roturiere, & lui a donné les patentes. Dans c
eux patentes ; & on en a donné de nouvelles au nom du Prince à la
société
noble. Il s’est réservé sept actions à distribuer
orer leurs patentes de son auguste nom, ne pouvoit être trop payé. La
société
fit assigner le Lieutenant au Sénéchal ; la cause
ceur et la consolation ! Jésus-Christ n’est point venu bouleverser la
société
, mais la régénérer : ce n’est point en aggravant
contre leurs désirs, et même contre les passions qui sont l’âme de la
société
, et qu’ils cherchassent à amortir ces passions pa
s et de douleurs, et les plus fervents ont cherché un asile contre la
société
jusque dans les déserts. Comme si, pratiquer la m
e Jésus, morale qui n’est que l’accomplissement des devoirs envers la
société
, ne s’opposait pas à cet isolement volontaire auq
s semblables, pouvait permettre l’affranchissement des devoirs que la
société
exige de tous ses membres. De là, cependant, les
loi de Jésus-Christ. » Et nous ajoutons : « Vous êtes membre de la
société
pour laquelle vous avez été créés : si cette soci
tes membre de la société pour laquelle vous avez été créés : si cette
société
vous impose des devoirs, en échange elle vous pro
es jouissances, toutes les distractions dans toutes les classes de la
société
sont soumises au même contrôle, à la même animadv
exigences, les commandements de ces prêtres sont subversifs de toute
société
humaine et contraires aux intentions de Jésus-Chr
essairement à l’absurde. Parmi les délassements que nous présente la
société
civilisée ; parmi les distractions qui peuvent re
e Louis XIV. Les spectacles sont devenus dès lors un besoin tel de la
société
, que, sous Louis XVI, des églises ont été ou comm
qu’ils reconnaissent que votre morale s’adresse aux hommes vivant en
société
, et non à l’homme s’isolant de la société à laque
dresse aux hommes vivant en société, et non à l’homme s’isolant de la
société
à laquelle il appartient, afin qu’ils ne proscriv
, Tartuffe, I, 1. p. [NDE] Racine, Esther, III, 9 q. [NDE] police =
société
civile. r. [NDE] Racine, Phèdre, IV, 6. s. [NDE
est d’attaquer de front tous les genres d’injustice qui troublent la
société
, et d’en arrêter les désordres par la seule force
xamen de la Chaire, sous le rapport de sa véritable influence dans la
société
civile. DE LA CHAIRE. Si les noms de Pythago
mpus, jusqu’à la racine de ces passions funestes qui désorganisent la
société
. Mais, non content de conserver entre le souvera
e deviendront les mœurs et le sort de cette classe si précieuse de la
société
? N’est-il pas évident qu’en butte à tous les pré
ire l’espérance du laboureur, plus de malfaiteurs conspirer contre la
société
? Pour arrêter le cours de ces désordres, dira-t-
les à remplir ; si la victoire, sur les passions qui désorganisent la
société
, est leur plus beau triomphe ; si enfin, dans tou
ne aux hommes une sorte d’ascendant, et quelque considération dans la
société
? J’abandonne ces tristes réflexions aux hommes f
un empire absolu, j’y consens ; mais lorsqu’ils sont rentrés dans la
société
, ce prestige qui les environne ne saurait s’y per
ent, puisque j’indiquerai les moyens de le rendre vraiment utile à la
société
. Je sais tout ce qu’on peut objecter pour ou con
e corruption des mœurs de ce peuple, les grands n’avaient pas d’autre
société
intime que celle des hommes de théâtre, ces derni
out, n’ont que trop justifié les murmures de la vraie philosophie. La
société
civile y gagnera d’autant plus, qu’à vrai dire, i
lui qui le cultive au rang qu’il peut raisonnablement occuper dans la
société
. Que le théâtre, tel qu’il est de nos jours, affa
t se montrer sans réserve comme sans danger ; dans l’état civil et en
société
, il faut qu’il soit en partie couvert d’un voile
ndividus ; tout ce qui présente ou des vices ou des ridicules dans la
société
, est de mon domaine ! Non, et c’est s’abuser que
nt, mériter notre estime. Son art peut donc devenir bien funeste à la
société
. Ecoutons encore Jean-Jacques sur ce point vraime
tant de plaisir au théâtre, pour en trouver de si différents dans la
société
? Cependant le tableau séducteur fait son effet.
ut-être un peu du paradoxe et de l’hyperbole, j’oserai dire que si la
société
, malgré sa corruption, peut encore offrir à nos p
exemple n’est pas d’un grand poids et d’une grande importance dans la
société
. Mais ce qui se rencontre souvent, ce sont des je
vie, placer ses plus tendres affections dans la dernière classe de la
société
. Que leur montre-t-elle encore, cette pièce si co
est-il jamais trouvé qui démentant une bravoure si fastueuse dans la
société
, n’aient, aux approches d’une bataille rangée, lo
encore dans l’art d’aimer, et si originalement placée au milieu d’une
société
de francs libertins, développe si naïvement les a
donner à Fanchon des vertus moins gigantesques, de la placer dans une
société
moins familière, et qui, au fond, rende ses mœurs
objet aimable. » Ce que la raison désavoue, ce que l’intérêt de la
société
réprouve, ce que la morale et les lois défendent
us brillants, qu’il serait si facile de faire tourner au profit de la
société
. Et où en serions-nous, grand Dieu ! si quelques
ommun, à ce que l’ignorance ou l’immoralité n’usurpent jamais dans la
société
, comme sur la scène, un empire abusif. Au milieu
souveraine, conservatrice, par sa nature, des mœurs et du repos de la
société
, qu’appartient non moins évidemment celui de s’op
cher de le commettre, c’est alors que le théâtre, vraiment utile à la
société
, sera réellement l’école des mœurs : c’est alors
its violés. De si belles prérogatives, de si hautes destinées dans la
société
civile, ont dû naturellement inspirer, dans tous
reux pour renoncer à l’éclat d’une réputation qui serait funeste à la
société
; voilà les sentiments qui animent le véritable j
pour y dévoiler publiquement les plaies honteuses qui déshonorent la
société
. Jamais son ministère ne lui semble plus noble et
u marche avec intrépidité vers le bien public. Que lui importe que la
société
lui prodigue ou lui refuse de vains applaudisseme
t de la fraude, qui toujours conspirent contre l’intérêt commun de la
société
, et que, par la nature de son ministère, il en ga
’en proclamer la sagesse, intéresse puissamment tous les ordres de la
société
, puisque sans elle il n’y a plus qu’oppression et
lairé, mais je le dis par le sentiment d’un véritable intérêt pour la
société
, non, il n’y a rien que je voie avec plus de dépl
barreau ne roulent que sur cette morale. Ce sont toutes actions de la
société
civile qu’on y examine, pour voir si elles sont c
uste et puissant ministère, en se touchant de si près, rend donc à la
société
des services essentiels, et elle n’a pas moins d’
son état, soit par ses propos soit par ses licences, peut nuire à la
société
toute entière, en accréditant une fausse morale q
fait est vrai (et quand il ne le serait pas, il peut le devenir), la
société
n’a-t-elle pas une grande obligation à l’auteur d
conseiller d’Etat. 53. NDA Quel est véritablement dans l’Etat et la
société
l’homme le plus redoutable, ou de celui qui se co
l’arrêter. Or, on sent assez ce qui doit arriver de désordres dans la
société
, avant qu’il ait pu l’apercevoir. Qu’on me dise d
’on n’a presque rien dit sur ce qui le rend principalement utile à la
société
, savoir, sur le but qu’il doit se proposer de cor
le il doit tendre. Faire une guerre ouverte aux vices qui désolent la
société
, inspirer aux spectateurs des sentimens de vertu,
traient. » Page 108. « Je n’ai rien retenu de leurs mœurs, de leurs
sociétés
, de leurs caractères, (des Montagnons). Aujourd’h
up. Il ne faut qu’établir dans son espèce les premiers rapports de la
société
, pour donner à ses sentiments une moralité toujou
rtu : elle seule fait le lien des hommes : le crime les désunit : une
société
qui subsiste, présente nécessairement l’idée d’ur
but : M. Rousseau met ces Montagnons, dont il a oublié les mœurs, la
société
et le caractère, au-dessus de tous les peuples de
urs à un amusement sans conséquence, que nous nous procurons dans nos
sociétés
? XXXI. Il se peint lui-même, s’écrierait ici le
ction a son prix ; » voilà leur principe ; c’est le fondement de leur
société
. XXXIV. Preuve admirable de leur solidité, que le
eilleux ; tandis qu’une autre portion les abhorre comme séparés de la
société
par l’infamie, et de l’Eglise par l’excommunicati
-Royal. Une dispute très vive s’éleva entre cet excellent Poète et la
société
qui avait formé son esprit et ses talents. Parmi
de Roscius, et non pas contre. Il s’agit dans la cause d’un traité de
société
, dans lequel Fannius accusait Roscius de l’avoir
et les Femmes de Théâtre devraient au moins cacher aux regards de la
société
, ce que leur conduite pourrait avoir d’irrégulier
e la Consultation suppose faussement qu’elle est déjà. Le corps d’une
société
de Comédiens, sous la protection du Roi, devrait
rivain célèbre, en parlant du relàchement des mœurs et de l’esprit de
société
qu’a produit le théâtre, il y a peu de maris jalo
s de même nature on peut ajoutera ceux-là ! C’est aussi cet esprit de
société
, répandu en torrent, ou sans mesure ni ménagement
ngénu du plus éloquent panégyriste de Molière, a produit l’abus de la
société
et de la philosophie, qui est cause que la jeunes
s l’anathême, qui contribue déjà au relâchement de cette partie de la
société
, est très-préjudiciable dans tous les cas à la fo
s dévots et des gens d’église qui trompent, quelle autre classe de la
société
ne fourmille pas de menteurs et de trompeurs ? Si
endant d’être produits ou simplement nommés en scène comme faisant la
société
de ces infâmes, et partager publiquement leur inf
te espèce que la loi ne peut atteindre, serpentent long-temps dans la
société
, et rusent paisiblement, font, comme on dit, tout
peu à peu à la justice et à l’humanité leur empire sur les cœurs. La
société
jouirait ainsi des avantages de cette autre légis
nt que par leurs talents, et par leur influence ou ascendant sur leur
société
soient adjoints au conseil d’administration génér
és, qui sont censés affecter indistinctement toutes les classes de la
société
; mais je ne doute pas qu’elle n’encourage plus e
aisons et par des faits que dans un temps ordinaire, à l’âge de notre
société
, au degré d’avancement où en sont maintenant les
bases, revues ou éclairées, et au retour du repos et du bonheur de la
société
dont on voudrait souvent pouvoir s’éloigner aujou
e vous le demande, dis-je, comment envisagez-vous l’état actuel de la
société
? y respirez-vous librement ? ne vous trouvez-vou
ous la ravir ? faites-vous quelqu’affaire, un marché, un contrat, une
société
quelconque, sans craindre d’être trompés, sans l’
ge, de leurs actions, les variations des principes et de l’esprit des
sociétés
ou des cercles et coteries, en un mot, le mouveme
idémies qui marchent à sa suite ; constituant au milieu de l’état une
société
particulière sans liens fixes, sans domicile et s
s domicile et sans patrie, déchue des honneurs et des avantages de la
société
générale, vagabonde comme les Zigeiners et les Ta
mité publique, vu l’importance d’une bonne éducation par rapport à la
société
civile, n’est rien en comparaison d’un système qu
, vous respectiez la jeunesse. C’étoit chez vous un crime odieux à la
société
, toujours sûr de la vengeance des dieux, d’initie
e de religion, de morale, de décence étant mise à part, le bien de la
société
générale étoit étrangement compromis dans cette f
te depuis long-temps, ne promet plus rien d’utile ou d’honorable à la
société
. Mais que dans l’essor de la première jeunesse, d
eureux ; qui met le trouble et la confusion dans tous les états de la
société
. Que de témoins de toute autorité et de toutes le
nfiance publique et envahir la possession de l’Etat13, porter par une
société
toujours funeste avec les histrions, dans l’encei
des promenades et des divertissemens honnêtes se nourrit l’esprit de
société
et d’amitié, où la pensée trouve un asyle ; où l’
Quinault était modernej. Sentiment de Michel Montaigne, Ch. V. de la
société
. Il n’est point de si doux apprêt, ni de sauce s
doux apprêt, ni de sauce si appétissante que celle qui se tire de la
société
. Qui a ses mœurs établies en règlement au-dessus
nous intéresse autant que si nous contemplions véritablement dans la
société
les événemens dont nous ne sommes témoins qu’au T
algré nos vices, & qui prouve que nous sommes faits pour vivre en
société
; ce n’est pas seulement aux incidens, aux malheu
médie étant l’image simple & peu ornée de ce qui se passe dans la
société
, doit plaîre nécessairement aux Spectateurs, qui
cruautés du fanatisme sanguinaire. C’est par de telles raisons que la
société
des jésuites veut à tout prix se charger d’instru
; mais quant à celle des gens riches, appelés à jouer un rôle dans la
société
, elle ne consent à lui communiquer les sciences q
aine et rendent meilleures et plus heureuses toutes les classes de la
société
. Les ministres des anciens cultes religieux, sava
rquoi dans les temps anciens, ainsi que les casuistes relâchés que la
société
de Jésus a vomis dans des temps plus modernes, il
se action, qui, dans aucune hypothèse, ne peut faire le bonheur de la
société
, ni devenir un bienfait politique, et encore moin
des sectaires qui propagent par système dans toutes les classes de la
société
, l’immoralité religieuse, l’immoralité politique
de sa communion. Que le pape chasse les jésuites qui n’offrent qu’une
société
dangereuse, ou plutôt une secte désorganisatrice
u jusqu’où cela a été, surtout dans la classe la plus nombreuse de la
société
, après que ce frein naturel, déjà privé de l’appu
arice, et que sous ce seul rapport elle a déjà été très-nuisible à la
société
: cette méthode simple, dis-je, susceptible de co
des enfants adultérins, des bâtards, qui n’avaient pas d’état, que la
société
ne savait à quel rang placer ; qui déshonoraient
due, par la voie des spectacles, jusque dans les derniers rangs de la
société
. « Mais la corruption, à son comble portée, Dans
ndée dans le Misantrope envers les agents de tous les désordres de la
société
, des plus grands maux qui accablent les hommes ;
’après avoir ridiculisé les délassements et les plaisirs honnêtes des
sociétés
les plus décentes de son temps, et avoir renvoyé
e, subissent la même peine que des hommes pervers qui scandalisent la
société
par des vices honteux. On voit que ces assemblées
rtain nombre de maisons opulentes, rendez-vous habituels de ce que la
société
avait de plus brillant dans les deux sexes ; elle
libertins, de femmes perdues ou insensées, qui croyaient gouverner la
société
lorsqu’ils en sapaient les fondements et préparai
ge de mieux entre les deux situations, et que l’auteur ait conduit la
société
, un instant, à plus de perfection, et de ce bonhe
De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs
sociétés
. C’est au Collége où la jeunesse reçoit les p
vers ; on en fait dans le monde, on les répand, on s’insinue dans les
sociétés
. Quelques vers à l’honneur des membres mettent en
à la mort de quelque Prince, & la pièce est faite ». Il vole à sa
société
; quelques Bourgeois qui ont appris l’art du Théa
ontinuité des occupations rend triste et sauvage : à la douceur de la
société
, dont ces moments de liberté et de plaisir resser
ficile ; reste donc vingt millions de journées par an perdues pour la
société
, encore même ne compté-je pas les Acteurs, Danseu
rateurs embarrassés de leur loisir et de leurs talents, à charge à la
société
, qui les nourrit, et qu’ils ne servent pas. A la
nne qui ne soit comptable de son temps et de ses talents à Dieu, à la
société
, à sa famille, et ne se rende coupable en les pri
r, ni aucun genre de citoyen, mais des hommes frivoles, à charge à la
société
. Qu’on compte, de bonne foi, dans quelque ville q
lus opposée à la nature d’un état que tout doit rendre public dans la
société
pendant toute la vie, publication d’ailleurs néce
religion renferme le Judaïsme, le Mahométisme, l’Idolatrie, comme les
sociétés
chrétiennes. Laisseroit on en Prusse épouser une
t des familles est le même ; pour l’honneur, les biens, la paix de la
société
, il est bien plus grand. Il y a des enfans du pre
humain pour sa conservation & sa propagation, pour la paix de la
société
, l’union des familles, l’éducation des enfans, l’
ersistent un an, on l’accordera. Ne sont-ils pas les maîtres de leur
société
& de sa durée ? L’adultere est le prétexte le
religieuses qui sont autant de foyers d’intrigue et d’ambition ? Ces
sociétés
secrètes, sont d’autant plus dangereuses, qu’affe
de toutes les congrégations de Loyolag, répandues dans l’univers. Ces
sociétés
secrètes, sèment de toutes parts le désordre et l
donnerait-il de commettre les plus grands crimes pour l’intérêt de la
société
de Jésus, et sous le spécieux prétexte de venger
et les particuliers les plus obscurs. Malheureusement cette horrible
société
n’en a fourni que de trop nombreux exemples ! Les
, nomment et changent à leur gré. Ceux-ci en devenant créatures de la
société
de Jésus, sont pour ainsi dire congréganistes obl
ns du temps des croisades. Voir Jean-Antoine Gazaignes, Annales de la
société
des soi-disants jésuites, Paris, 1769. g. [NDE]
tre inconvénient : c’est que la Lecture vous isole, vous sépare de la
société
; & c’est une chose qu’on ne doit jamais perd
perdre de vue dans quelque tems que ce soit. Un homme fait doit à la
société
& ses travaux & ses récréations. Quand il
e aussi analogue à notre goût, à notre caractère, notre nature que la
société
: outre qu’on ne peut trouver son compte a s’en é
n quelque sorte d’interméde. Quel amusement prétent-on attacher à ces
sociétés
singuliéres & relevées cependant avec tant d’
Spectacles : il en devient plus délicat & plus sensible. Dans la
société
, faute d’exercice, communément il s’endurcit : un
ssant sur nos mœurs, sur notre génie, sur notre caractére ? Est-ce la
société
qui nous fournit des leçons pareilles ? C’est le
ns pareilles ? C’est le rendez vous de tous les vices : seroit-ce une
société
choisie ? C’est une espéce de phantôme, & d’a
, il n’est capable au contraire que de les embellir. Et comme dans la
société
communément elles s’aigrissent, il est singulier
-ce pas là de ces effets favoris. L’amour n’est dangereux que dans la
société
; parce qu’on ne l’y connoît que par son inconvén
ifférence, cette espéce d’engourdissement dont nous ne sommes dans la
société
que trop attaqués, viennent échouer au Spectacle
éâtre, qui dans le commerce échouroient ? Le cours des choses dans la
société
n’est pas aussi docile qu’il l’est dans la marche
oint tout l’amusement est aux Spectacles & l’inconvénient dans la
société
. Mais il n’en est pas de même de tout ce qui inte
se joue au Collége. L’application du Malade imaginaire à l’état de la
société
, est ridicule, il n’y a aucun rapport de l’un à l
tre une doctrine opposée à toutes les loix de la Réligion & de la
société
. Moliere qui ne s’embarrassoit guerre des unes ni
. V. L. 5, C. 4, de la médisance. Ce seroit mettre le trouble dans la
société
, servir la vengeance ; l’orgueil & la maligni
ans compter les théatres du centre de la Ville, & les théatres de
société
. Le dernier Evêque de Cahors (du Guesclin) homme
pour le porter, il touche à sa maturité. Ce fut d’abord un théatre de
société
, sous le nom très modeste & très-juste, de co
yer à l’entrée : depuis une troupe de comédiens a pris la place de la
société
, & la générosité, la noblesse ont cédé la pla
re, & un petit Sénéchal ; on s’est avisé de dresser un théatre de
société
, dont cinq ou six Dames, autant de Chanoines &
Il appelle encore les Jeux de Théâtre des Pompes, des Conciles et des
Sociétés
diaboliques, et poursuit. « Quand je pense que vo
s impies, et se jettent volontairement dans les rets de Satan. Quelle
société
de Jésus avec Bélial ? Comment donc souffrez-vous
ce du Temple de Dieu avec les Idoles, et qu'il ne faut point avoir de
société
avec les Démons. Or les Démons prennent plaisir à
à cette superstition, commet un sacrilège, parce qu'il entre dans la
société
de ceux dont le culte religieux et les Fêtes lui
orrige les hommes que de quelques ridicules, assez peu importans à la
société
. Je soutiens que quand même elle n’aurait que ce
n moi, trouver que le Théâtre fait un grand bien aux mœurs & à la
société
, en nous reprenant, même pour des ridicules très-
ieusement, deviennent des vices repréhensibles & qui troublent la
société
. Il ne me serait pas difficile de prouver ce que
s Arts est nuisible aux mœurs ; on pouvait vous objecter que dans une
société
policée cette culture est du moins nécessaire jus
nui qui rendent nécessaires les délassements ou les distractions ? La
société
serait d’ailleurs trop malheureuse, si tous ceux
manderait un trop long examen ; mais vous conviendrez du moins que la
société
, l’intérêt, l’exemple, peuvent faire de l’homme u
estion avant que de vous répondre. Voudriez-vous bannir l’amour de la
société
? Ce serait, je crois, pour elle un grand bien et
s ; enfin dans toutes, cette vérité si utile, que les ridicules de la
société
y sont une source de désordres. Et quelle manière
ulu nous apprendre, que l’esprit et la vertu ne suffisent pas pour la
société
, si nous ne savons compatir aux faiblesses de nos
sans adulation comme sans humeur, d’oublier en ce moment combien leur
société
est aimable et dangereuse ; relisons Epictète ava
Enfin ne nous arrêtons pas seulement, Monsieur, aux avantages que la
société
pourrait tirer de l’éducation des femmes ; ayons
e) porte toujours à s’y livrer. Je me bornerai donc à convenir que la
société
et les lois ont rendu la pudeur nécessaire aux fe
, ce qui n’est tout au plus que le vice obscur et méprisé de quelques
sociétés
particulières. Au reste vous ne devez pas ignorer
théatre, alors très-licencieux, ne faisoit que parler le langage des
sociétés
(& les sociétés le sien). La licence devoit m
-licencieux, ne faisoit que parler le langage des sociétés (& les
sociétés
le sien). La licence devoit moins être imputée au
guerre de la… & du…), & n’accéderont jamais à des traités de
société
& de partage où on ne jouit qu’à son tour au
oûte que barbarisme signifie encore une secte de gens qui vivent sans
société
, sans former de corps ni religieux ni politique,
te secte est une chimère ; il n’y a point de secte sans liaison &
société
, & il n’y a point de peuple au monde sans rel
t les spectacles, sont des athées, des bêtes féroces, qui vivent sans
société
, sans religion. Cet arrêt lui-même seroit un peu
cette maxime générale, que l’exemption du ridicule est tout ce que la
société
exige de nous ; & moi je pense au-contraire q
de marier & de donner des états à ses enfans ; qui fait tort à la
société
en accumulant des richesses qui devroient circule
ces essentiels, c’est-à-dire, ceux dont les suites sont funestes à la
société
, & laissera aux Théâtres de la foire saint Ge
ucs de Langres, et pairs ecclésiastiques, reçoivent des brevets de la
société
de la Mère Folle de Dijon, qui sont dignes des Ri
; prennent leur origine dans les confrères de la Passion de N.S.J.C.,
société
de pèlerins qui s’était réunie pour jouer les sai
7, 81. L. Langres, les évêques de Langres donnent des statuts à la
société
connue sous le nom de Mère Folle à Dijon, et en r
ostasie des Fidèles ; on ne saurait plus les accuser d'entrer dans la
société
des Idoles, que l'on ne voit plus au Théâtre qu'a
eurs Peuples, quand les Fidèles y purent assister sans entrer dans la
société
des Idolâtres. ConstantinZozime. ayant embrassé l
Du Mensonge. L’un des traits de malignité le plus pernicieux à la
société
, c’est l’esprit de mensonge. Dès que le théatre p
s. Les intérêts de la vérité ne sont pas moins blessés que ceux de la
société
, par le déguisement qui trompe, que par la crédul
très-souvent dans la religion par l’erreur & l’impiété ; dans la
société
, par la calomnie, la tromperie, la flatterie même
uxe, ne pense que magnificence ; un homme nourri de volupté, dans une
société
licentieuse, ne pense qu’impureté. De quoi s’occu
s d’excommunications qui sont fondées sur le droit naturel, que toute
société
doit avoir, de bannir de son corps ceux qui en vi
ls il doit compte de sa conduite lorsqu’elle porte le trouble dans la
société
, il frappe, il damne, il couvre de mépris et d’op
ins, des cordeliers, des augustins, demander l’aumône par placet, aux
sociétés
théâtrales, et la recevoir de nos comédiens bienf
mposer silence aux courageux adversaires, des infâmes casuistes de la
société
ignacienne, qui n’ont cessé et ne cessent encore
t de son siècle, il attaqua sans pitié les vices et les travers de la
société
partout où il les trouva. Il parodia les ridicule
l’égoïsme de Philinte, du manteau de la bienveillance. L’action de la
société
sur l’écrivain me paraît évidente ici. Molière, e
es. Le théâtre n’est certainement pas en ce moment l’expression de la
société
. Nos mœurs sont douces ; on trouve sans doute que
tre, en se gravant dans la mémoire, ne finissent pas par corrompre la
société
? Les auteurs, pour se justifier, ne peuvent pas
e quelques jeux en tant qu’ils relâchent l’esprit et entretiennent la
société
entre ceux avec qui ils ont à vivre » ; ce qui ne
eut se permettre en particulier pour le relâchement de l’esprit et la
société
, il lui défend tous les spectacles publics et tou
Officier de l’Ordre royal de la Légion-d’honneur ;Membre de plusieurs
Sociétés
savantes, etc. A PARIS, Chez p. dupont, libraire
rsonne qui n’y prenne part : elle regarde également la Religion et la
société
civile. Cela ne saurait être indifférent : si tou
ciété royale académique des Sciences de Paris, et de plusieurs autres
Sociétés
savantes. PARIS,J. ANDRIVEAU, libraire, Boulevard
Livre seconda. L’ordre et le bonheur de la
société
humaine roulent sur deux pivots que la bonne poli
la dette, c’est une inconséquence frappante. Elle est commune dans la
société
humaine : l’usure, la médisance, l’impureté, ne s
& de l’Empire : sur la terre, sur la mer, dans le commerce de la
société
, sur les tribunaux, dans les armées ; qu’il n’y a
e l’Empire. Vous mêmes, Messieurs, quel rang leur donnez-vous dans la
société
? Nous le savons, à vos amusements voluptueux, su
a beauté de son esprit, non-seulement l’amour & les délices de la
société
par la bonté de son cœur, mais un modele de Chris
mme une source intarissable de perfidie & de mauvaise foi dans la
société
; ce ne sera pas cet illustre Philosophe qui, tra
e former les mœurs. Ils en reviendront, dites-vous, plus propres à la
société
, pleins d’horreur pour ces vices qui déshonorent
in de vos propres familles. Allez à présent, sur-tout, allez dans vos
sociétés
particulieres les donner devant vous, & pour
mortel ? Le théatre ne cause-t-il pas encore tous les désordres de la
société
, l’infidélité dans les mariages, les troubles, le
omédiens, pratiquez ce que vous louez. Vous rougiriez d’être de cette
société
, les loix même payennes ont déclaré les Comédiens
donc vous qui en favorisant le théatre, renversez tout l’ordre de la
société
, non pas moi qui le combats. Faut-il donc détruir
Ils nous faisoient sentir par là qu’il n’est rien de plus cher que la
société
d’une honnête femme & des enfans bien élevés.
n temps, plus propre et nécessaire à la manutention de la paix que la
société
, occasion qu’il contraignitac ses citoyens de man
démonien à la manducation duquel l’honnête familiarité et la paisible
société
suivies des graves discours de ces doctes personn
édité par H. Boyer « L’ancien théâtre à Bourges », in Mémoires de la
société
historique, artistique, littéraire et scientifiqu
rsule ne fut plus Florise qu’aux yeux de son heureux époux. L’aimable
société
vit Mademoiselle *** : on la chérit, on l’estima,
eu seulement que les Ministres de l’Eglise usent envers elle & sa
société
, d’une autorité arbitaire. Enfin, on tire une f
amp;c. On annonce qu’elle ne peut manquer de parvenir à établir sa
société
en titre d’Académie, & que dès l’instant elle
sentant dans les maisons particulieres : il y avoit des diableries de
société
, comme il y a des théatres de société, & des
: il y avoit des diableries de société, comme il y a des théatres de
société
, & des proverbes infernaux que jouoient les j
exions sur les Congréganistes, considérés comme espions obligés de la
société
des jésuites non encore reconnue en France. Page
fluence et de la corruption exercées sur les ministres d’Etat, par la
société
monastico-politique des jésuites ou pères de la f
prêtres, est inscrit positivement, dans les constitutions de l’infâme
société
des jésuites. Page 111 Eloge des bons prêtres dep
embres d’un ordre tout à la fois monastique et politique. Page 156 La
société
des Jésuites anti-chrétienne se moque également d
émontrer cette vérité. Est-il rien de plus important au bonheur de la
société
que la religion et les lois ? le Prince n’est-il
, que l’art du Théatre fait un huitieme art libéral. Il forme dans la
société
un état distingué, qui a ses officiers, ses sujet
Quelle gloire pour le Théatre & pour Moliere d’occuper les trois
sociétés
littéraires les plus savantes du monde ! Quelle g
sée dans les Journaux, jouée avec applaudissement sur des Théatres de
société
, & qui a aussi des beautés & des scenes d
ravent, les insultent, s’établissent enfin malgré eux, ce qui dans la
société
est un des plus pernicieux exemples. Il eut une q
pieces sont tombées, & ne se jouent plus même sur les Théatres de
société
& sur les Théatres de province, tout indulgen
, & ne pas faire consister la vertu dans un vernis superficiel de
société
commode, qui autorise le désordre. Né avec un esp
avec une bonne foi & une franchise très-commode pour le Poëte. La
société
n’étoit point encore une arene où l’on se mesurât
à qui d’entr’eux réussirait le mieux. Il se forma sur cela certaines
Sociétés
ou Académies, où l’on jugeait de la réussite ; et
lques-uns, que ces pièces prirent le nom de Chant Royal. L’une de ces
Sociétés
commença à mêler dans ces pièces différents événe
risque de se déshonorer, en la rendant méprisable et pernicieuse à la
société
. Quelque sensible que je paraisse à la perte de l
el autre genre de Poésie pourrait-on imaginer qui fût plus utile à la
société
, et plus propre à y soutenir les bonnes mœurs que
s efflavit animam. » On est à plaindre dans la littérature et dans la
société
, comme dans la religion, quand toute la vie ayant
ces, qu'ils soient du moins propres et décents. C'est un vice dans la
société
: la familiarité est une liberté d'agir et de par
ts d'estime, de respect, de confiance, que nos intérêts et ceux de la
société
demandent que nous conservions les uns pour les a
étienne ; mais qui peut adoucir bien des maux dans la nature & la
société
. L’illusion est nécessaire à notre bonheur. Volta
rmées, des tribunaux, de la chaire, du barreau, des accadémies, de la
société
. Ciceron prenoit, dit on, leçon de Roscius, mais
trée dans le monde, son cœur ne tarde pas d’être de moitié dans cette
société
, il ne peut que s’y former à la dissipation, à la
me ni au barreau, ni à la Cour, ni à la chaire, ni à l’armée, ni à la
société
du beau monde. Quintilien, L. 10. C. 1., qui ne f
les devoirs de la Réligion doivent être communs à chaque membre de la
société
. Leur gouvernement tient à la République de Plato
l. de viagere. Cet homme valoit mieux que ses écrits. Il étoit de la
société
la plus douce. Ses derniers momens ont été ceux d
les yeux de l’impartialité plusieurs des usages et des plaisirs de la
société
, que l’empire d’une longue indulgence semble avoi
e ? pourquoi enfin ne peut-on l’exercer sans s’exclure soi-même de la
société
des Fidèles, sans se rendre indigne de la récepti
! Vous avez pour la profession de comédien le plus juste mépris : la
société
elle-même, d’accord sur ce point avec la religion
iodiques, & qu’on soit en quelque sorte obligé de se bannir de la
société
, lorsqu’on n’est pas en état d’y rendre compte du
passion si funeste par les ravages qu’elle cause quelquefois dans la
société
& par les crimes qu’elle y occasionne ; l’amo
; elle n’use pas toujours du droit qu’elle a de les retrancher de sa
société
. Et qu’importe qu’ils passent pour être membres d
and, bien naturalisés François, connoissent parfaitement le monde, la
société
, les mœurs, les modes, les cercles, le persistage
nouement ; les hommes à la mode, les liaisons du jour, les acteurs de
société
, &c. La préface peint très-bien l’état actuel
e dans son histoire du Concile de Trente l. 1. c. 24. on trouve : La
société
& la politique parlent pour le théatre. Le pe
grotesques, grand nombre de particuliers qui ont fait des théatres de
société
ont offert à Thalie de pareils sacrifices, de ce
priser les hommes. Votre état est venu de là. A force de calomnier la
société
, ses membres, les arts qui l’embellissent, vous v
auses de sa mort par les fantaisies de son appétit. On sent que cette
société
ne peut que lui être fatale. Des hommes qui ont q
isez tant les femmes, que parce que vos chagrins, vos réflexions, vos
sociétés
ont nourri l’enfance d’un premier préjugé. Zima f
ous convenir ; d’un citoyen qui, porté à s’occuper des intérêts de la
société
, a vu qu’elle gagnerait beaucoup à lire vos écrit
nité premiere. L’homme de Théâtre s’est vu admis dans les plus nobles
Sociétés
de la Cour & de la Capitale ; ses vains talen
riez-vous de la confusion que le Théâtre a jettée dans l’ordre de nos
Sociétés
? O nobles Romains ! vous qui repoussâtes avec in
veut, qui l’exige de toi. Adelaïde des Tianges. Nous avons ici une
société
fort aimable : mais… Ursule y manque.
jamais entra dans l’esprit humain, savoir, que tous les devoirs de la
société
sont suppléés par la bravoure, qu’un homme n’est
scène, prononcer avec grâce ; à quoi vous servent ces talents pour la
société
? Passe-t-on des coulisses aux fleurs de lis, des
n’avait pas sans doute, appris ce beau dédommagement dans la célèbre
société
qu’il quitta. Que disons-nous de plus pour faire
damnent dans tous les orateurs, dans tous les genres, et même dans la
société
, la prononciation du théâtre : Nimia in oratore
prits forts ; dans les sciences, la vanité des demi-savants ; dans la
société
, la hauteur et l’indépendance. Une mauvaise éduca
mais. Il y est même ordinairement applaudi. Serait-ce un bien dans la
société
de voir manœuvrer des voleurs, parce qu’il y a de
s du ridicule, s’allie-t-elle avec les sentiments que l’intérêt de la
société
demande que nous conservions les uns pour les aut
tion légale en France ; leurs privilèges sur les autres classes de la
société
, quant à la noblesse ; Leurs droits à exercer leu
mp; après lui les Italiens, les théatres de province, les théatres de
société
, & le corps des Maîtres à danser, ne se soien
e activité qu’y jette le désir de plaire, tout cela est borné dans la
société
, assez lent & assez uniforme ; l’effet dépend
fait tout valoir ; c’est la coquetterie parfaite. Bien plus, dans la
société
, quoiqu’on puisse être en contraste avec d’autres
utres, plus ou moins belle, & gagner dans la comparaison, dans la
société
on ne figure proprement avec personne ; mais dans
s possible qu’avec le tems, les Spectacles n’eussent pas lieu dans la
société
humaine : mais de quelle espèce devaient-ils être
uses… Ne verra-t-on prospérer que les Etablissemens destructifs de la
société
! Les injustes censures qui avilissent l’art de l
squ’impossible que ceux qu’on avilie, qui font un état à part dans la
société
, se respectent eux-mêmes. Dès que la considératio
les, déraisonnables, contraires à la nature, & destructives de la
société
. Les Ministres les plus avoués de cette Religion
clination, les agrémens d’un commerce sûr, les délices que procure la
société
d’une femme rendre, honnête, délicate & ingén
us-mêmes. Un libertin peut quelquefois être un homme fort agréable en
société
; mais il est rare qu’un débauché (& en consc
ent concevoir, pour des femmes honnêtes, des gens habitués à ne faire
société
qu’avec les complices de leurs déréglemens ? C’es
, pour parvenir à ses fins, la base sur laquelle pose l’édifice de la
société
humaine. L’indiscrétion, la fourbe, le parjure, l
goût & de bonnes mœurs, tandis que le lieu, les Pieces, & la
société
font, des Salles du Rempart, des écoles de mauvai
sage nous accoutume de bonne heure à nous modifier selon les loix des
sociétés
particulieres, dont chaque homme est membre35, sa
forme à la raison universelle, à la nature des choses, aux loix de la
société
, si la droiture naturelle était inaltérable, &
ction. La Comédie attache l’homme vicieux & l’homme ridicule à la
société
qu’ils corrompent & qu’ils ennuyent. Eloge de
e crime du Théatre, que les désordres de quelques membres d’une autre
société
quelconque ne sont le crime de cette même société
membres d’une autre société quelconque ne sont le crime de cette même
société
. Tâchons, & rien n’est plus facile, en les pi
l’ornement d’un Etat, elles sont le gage le plus sûr du bonheur de la
société
, et le plus ferme appui de la puissance de ceux q
e tels hommes sont le plus beau present que le Ciel puisse faire à la
société
: la Nature avare, ne les montre que dans ces tem
es hommes, voudroit le bonheur de chaque Citoyen, & l’éclat de la
société
entière. Mais le bonheur de chaque Citoyen dépend
s ; & plus chaque Citoyen est heureux dans son intérieur, plus la
société
entière est puissante & respectable au-dehors
s remplis par des fripons ou des imbécilles. On les a réunis dans des
sociétés
littéraires, pour les retenir plus aisément sous
onnable d’interdire au Théâtre la représentation d’un seul état de la
société
, s’il en est un seul dont la représentation soit
es qui ont pour objet la correction des mœurs & la peinture de la
société
, l’on peut raisonnablement oublier certaines prof
rimer tous les maux, mais seulement ceux qui attaquent directement la
société
Ep. ad Aur. 22. N. 5. L’Eglise , dit S. Augusti
e différents caractères, de vices incompatibles, ou phénomène dans la
société
, auquel, au reste, on doit appliquer ce que j’ai
us dangereuse est la peinture à faux, dramatique, de l’homme et de la
société
, ou cette infidélité des tableaux vivants qui son
gue, ou se perpétue en augmentant, reste avec ses découvertes dans la
société
qu’elle infecte et désole de plus en plus. C’est
aux offices sérieux de la dévotion, aussi aux exercices et jeux ; la
société
et amitié s’en augmente. Et puis on ne leur saura
éprochables. Les Atellanes corrompirent tout. C’étoient des pieces de
société
, représentées par les jeunes gens dans les maison
ie du sexe, l’éducation de la jeunesse, deux objets si importans à la
société
, rendent donc indispensable la suppression, du mo
y assistent & leur laissent voir représenter sur les théatres de
société
les pieces de Moliere, & même des parades plu
idées, comme contraire aux mœurs, de mauvais exemple, pernicieux à la
société
. Il faut voir ce détail dans le livre ; nous nous
public. On pourra donc en conséquence négliger tous les devoirs de la
société
avec cette excuse ; décréditer, trahir, opprimer
s du spectacle, sans trahir les devoirs de la reconnaissance et de la
société
? Pourquoi ne pas puiser dans les pièces de mille
cité ; il me fit un envieux, un faquin que nous avions banni de notre
société
pour des raisons très importantes, faquin que je
sortant de la Comédie, ne mérite assurément celle de personne dans la
société
. « Les anciens, dites-vous, avaient des héros et
tiquité, qui regardiez les Lettres comme le plus solide fondement des
sociétés
, comme l’œil universel de la sagesse, le thrône d
êmes. Qui fait douter si les Comédiens sont dévoués aux plaisis de la
société
, ou si elle l’est aux leurs ? C’est elle, en comb
brêches, par le vaux-hal, les boulevards, le colisée, les théatres de
sociétés
, le théatre des petits-appartemens & singulie
observation singuliere sur la décadence du goût & de l’esprit de
société
, qu’il attribue à la mémorable révolution que cau
gens riches. On vit alors se multiplier tout-à-coup ces alliances, la
société
changea de composition, les mœurs changerent avec
il se cache. Les moyens s’offrent en foule, mauvais livres, tableaux,
sociétés
, courtisannes, femmes coquettes, libertins, artis
it leurs maux & les rend incurables. Les innombrables théatres de
société
semblent y suppléer ; le vice les a fait éclorre
tte a annoncé une piece du comique larmoyant jeudi dernier 1776. Une
société
d’amateurs s’étoit cotisée pour avoir un spectacl
& la sienne après le déluge, étoient instruits & vivoient en
société
, & toute leur postérité après eux. Entraînés
un jeu pour lui. La loi sans crédit, les supérieurs sans autorité, la
société
sans regle, la vertu sans agrément, défigurée, hi
s Marquis postichés sont tout à fait peuple ; la généalogie & les
sociétés
du poëte, loin d’ennoblir, dégradent la piéce, &a
es François, les Italiens ? sans compter les innombrables théatres de
société
, les deux Foires, le Vauxhal, les Boulevards, les
umains ; lectures frivoles ou férieuses ; vie solitaire ou repandue ;
société
grave ou dissipée, &c. chacun a ses ennemis &
e ; mais c’est toujours un grand danger pour les mœurs, & pour la
société
que d’affoiblir cette répugnance, & de famili
à tout ce qu’il traite. C’est un mauvais caractère dangereux pour la
société
, dont il seroit utile de corriger les hommes ; ma
une aisance qui leur est propre : cet esprit mauvais déplaît dans la
société
, & ne merite aucune confiance. Socrate avec s
ertinage, qu’on y trouve tous les dangers : de-là on le porte dans la
société
, & par un reflux inévitable, ce même libertin
propos honnêtes, des sentimens qui le sont le moins, la liberté de la
société
est portée au plus haut degré. La loi générale de
, qui prétend ne faire que jouer, representer ce qui se passe dans la
société
, & l’on aura du sexe français des idées plus
t donc pas le même pour tous, non plus que le jeu, la bonne chere, la
société
des femmes. Il en est comme des alimens & des
tion théatrales ne conviennent ni à la chaire, ni au barreau, ni à la
société
, ni aux assemblées, ni à la Cour, ni à la guerre
un mérite, on ne la conserve, & qu’on ne porte le théatre dans la
société
. Il en est ainsi de la danse théatrale, elle ne f
qu’elle trouve dans le fumier, & de ce recueil concluroit que la
société
de ces voleurs & de ces courtisannes est util
ie en vertu, la tolérance, la licence en politesse, en agrément de la
société
. Cette doctrine est insinuée avec adresse dans to
amusemens à mesure que leurs connoissances s’agrandirent. Dès que les
sociétés
furent formées, dès que les hommes devinrent sens
Je pense que la Comédie, formée grossiérement dans les Peuplades, ou
sociétés
des hommes de la campagne, aura passé dans le sei
die & le Poème épique étaient d’une aussi grande conséquence à la
société
que le sont, par exemple, la Médecine & l’inv
e sans reméde. Le lien le plus doux, & le plus fort des hommes en
société
, est l’art de se communiquer mutuellement leurs p
l le serait de voir un homme, nourri dans la débauche, se plaire à la
société
des honnêtes femmes. On va, dit-on, se délasser à
ins redoutable à la vertu, et qu’il produirait même un bien réel à la
société
, si, en y laissant les traits enjoués et les sail
se tranquillise sur sa démarche, qu’elle considère comme un devoir de
société
. Elle ignore donc qu’il n’est jamais permis de fa
u l’héroïne. L’on sape ainsi la base de la famille, du mariage, de la
société
et de la Religion. Il n’est point jusqu’à l’horre
ste naufrage. Le théâtre est l’école de l’immoralité ; le fléau de la
société
et des familles. On le tolère à Rome comme un mal
le théâtre, tout parle de ses fruits amers pour la Religion, pour la
société
et la famille. En présence de cette nuée de témoi
le théatre public, nous leur élevons dans les maisons des théatres de
société
, nous leur laissons apprendre les arts empoisonné
icence de leur vie, le désordre de leur immodestie, le danger de leur
société
. Si on est encore assez aveugle pour les défendre
e théatre Italien, celui de la Foire, des Boulevards, les théatres de
société
, ne le sont pas moins. Il ne restera plus que la
’elles, tout y est galant, ingénieux, intéressant. Il leur faut de la
société
: la compagnie y est des plus brillantes, la Cour
se faisant aimer de tout le monde ; cette espèce de phénomène dans la
société
ne dissimule pas ses défauts. Il raconte, dans se
lquefois sur le théatre public, & fréquemment sur les théatres de
société
, qui commençoient à s’établir. Sa mère en avoit u
Comtesse, qui pendant ces trois ans avoit en chez elle un théatre de
société
, où elle avoit représenté une infinité de pieces,
, &c. Ne sont-ce pas là de vrais masques, plus pernicieux dans la
société
que ceux qui couvrent le visage ? décoration pass
ssaire au mérite le plus solide. Déjà ils ont été introduits dans des
sociétés
analogues à leur condition, c’est-à-dire dans des
seule des soixante et onze pièces que Fuzelier a brochées seul, ou en
société
pour les treteaux, moyennant quelques pistoles qu
occupés ; les voilà de plus, transportés du desir de réaliser dans la
société
ces fictions théâtrales. Consultez les registres
à l’âge avancé, &c. &c. A présent c’est à vous à observer la
société
, vous verrez bientôt si je déclame ou si je calom
s s’applaudissent d’une intelligence, qui fait naître souvent dans la
société
des scènes comme Molière en a si bien tracé dans
it pas moins cause de sa mort. Sur cent épreuves de ce genre, dans la
société
, on n’en voit pas deux réussir ; ce n’est qu’au t
ce prix, est souvent funeste dans ses suites ! Il peut semer dans la
société
le germe de la scélératesse, ou en affermir la ré
iles et méprisables d’une partie de ses membres, tienne enfin dans la
société
, le rang que ses vertus lui assignent ! Que nos p
riages et des successions, 2.° dans leurs liaisons passagères avec la
société
, leur décoration, leur habitation, leurs honneurs
’action la plus contraire à l’honnêteté publique, par l’infamie d’une
société
si déshonorante. Cicéron, dans ses Philippiques l
n les plus indulgents pour le théâtre fuient du moins et détestent la
société
des Comédiens, et ne souffrent pas que leurs enfa
infiniment pernicieuse ; la plupart des pièces sont licencieuses : la
société
, la seule vue de ces femmes est un souffle empest
itre XXVIII. Des Spectacles. IL est plus d’une manière dans la
société
d’instruire les hommes, de corriger les abus, de
r, &c. représentées avec décence. b. « Quoi de plus odieux à la
société
, dit un Auteur moderne, que de voir tous les jour
prisés, et regardés comme des gens qui tenaient le dernier rang en la
société
civile. Et ce qui conserva des personnes dignes d
t employés à des ministères abjects qui les rendissent indignes de la
société
des personnes d'honneur et de qualité ; et je ne
satisfaire sa passion. Ce sont les besoins les plus pressans de cette
société
libertine qu’on appelle le monde. Taconet la sert
e pieces pieuses. Le métier de Poëte n’est pas une profession dans la
société
, encore moins celui de Poëte Dramatique ; il n’es
angueur dont se plaignent les étrangers. Quel agrement peut avoir une
société
qui n’est ni embellie, ni animée par les femmes ?
Pour multiplier ses plaisanteries, Molière trouble tout l’ordre de la
société
; il renverse scandaleusement tous les rapports l
us les défauts opposés aux qualités de l’homme aimable, de l’homme de
société
, après avoir joué tant d’autres ridicules, il lui
upable complaisance, les vices d’où naissent tous les désordres de la
société
. « Une preuve bien sûre qu’Alceste n’est point
us au nombre de vos citoyens. Si vous voulez parvenir à cette céleste
société
, fuyez la société des démons. Il est indigne d’un
s citoyens. Si vous voulez parvenir à cette céleste société, fuyez la
société
des démons. Il est indigne d’un honnête homme de
une engeance infâme que le Censeur a chassé de vos tribus, et dont la
société
vous couvre de confusion : « Bene, quod histrioni
amp; le faux bel esprit, & qui a été le premier Législateur de la
société
& du goût ; si les personnes les plus considé
dre la vertu ridicule ? Qui peut entendre appeller legislateur de la
société
& du goût , celui qui a été le corrupteur de
celui qui a été le corrupteur de l’un & de l’autre, en tendant la
société
libertine, & le goût frivole ? Après tout, il
il s’en fait de tous côtés ; en France, théatres publics, théatres de
société
, salles de spectacles, coliesées, vauxhal, académ
e Bal, manufactures de fard, troupes d’acteurs, lottereis d’amateurs,
sociétés
d’actionnaires, imprimeurs, colporteurs, libraire
il n’est question là que de quelques ridicules qui intéressent peu la
société
, & non de la correction des vices, dont le th
nconséquences sont l’apanage de l’homme ; elles sont communes dans la
société
humaine. L’usure, la médisance, l’impureté ne son
il met la tolérance du théatre, comme l’un des plus grands maux de la
société
. On donne, dit-il, des spectacles, on y fait paro
oûtent les ames pieuses, des couronnes qu’elles se préparent, de leur
société
avec les Anges, de l’honneur même qu’elles se fon
r les contrefaire, & on finira par les imiter ; & bien-tôt la
société
ne sera plus qu’un amas de Comédiens. Puis se tou
édiens, dit Tite-Live, liv. 39, ayant été appellés dans les premieres
sociétés
de Rome, perdirent les mœurs. Plutarque avoue que
ces, amollit la nation, & fait oublier les premiers devoirs de la
société
. Malgré toutes les preuves qui démontrent évidemm
isque rien n’est plus opposé à la religion, à la vertu, au bien de la
société
, que d’entretenir dans l’homme cette passion meur
mortel. C’est une cruauté : on prive par là de toute la douceut de la
société
, souvent de la fortune, de l’état, d’un établisse
attente sur l’autorité dans ceux qui l’exercent, sur les droits de la
société
, en troublant la paix par les divisions qu’elle y
t à la cour et parmi le peuple, nos pèlerins parvinrent à s’ériger en
société
, sous le titre de confrères de la passion de Notr
ndre, s’il est possible, tel que les bonnes mœurs et les égards de la
société
me paraissent l’exiger : c’est ce que je ne pouva
raitée d’une manière qui blesse les bonnes mœurs et les devoirs de la
société
. Si malheureusement il est commun de trouver des
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