. Histoire des Jeux de Théâtre et des autres divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés depuis l’Empereur Auguste, jusqu’à l
. Histoire des Jeux de Théâtre et des autres divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés depuis la conversion de Constantin j
. Histoire des Jeux de Théâtre et des autres divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés depuis la démolition des Temples au
nt l’Histoire des Jeux de Théâtre, et autres divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés, depuis l’extinction de l’Idolâtrie
'idée du vice selon sa naturelle difformité, nous ne pourrions pas en
souffrir
l'image. C'est pourquoi un des plus grands poètes
qui est que le Théâtre est maintenant si chaste que l'on n'y saurait
souffrir
les objets déshonnêtes, est ce qui la condamne ma
re de cet exemple que l'on approuve en quelque sorte tout ce que l'on
souffre
et ce que l'on voit avec plaisir sur le Théâtre,
et ce que l'on voit avec plaisir sur le Théâtre, puisque l'on ne peut
souffrir
ce que l'on a en horreur. Et par conséquent y aya
l'idée du vice dans sa naturelle difformité, nous ne pourrions pas en
souffrir
l'image. C'est pourquoi un des plus grands poètes
qui est que le Théâtre est maintenant si chaste que l'on n'y saurait
souffrir
les objets déshonnêtes, est ce qui la condamne ma
re de cet exemple que l'on approuve en quelque sorte tout ce que l'on
souffre
et que l'on voit avec plaisir sur le Théâtre; pui
uffre et que l'on voit avec plaisir sur le Théâtre; puisqu'on ne peut
souffrir
ce que l'on a en horreur. Et par conséquent y aya
sible qu’il ne parle ainsi que par une pure tolérance ; il tolère, il
souffre
ces sortes de plaisirs, mais il ne les permet pas
isirs, mais il ne les permet pas : il y a bien de la différence entre
souffrir
et permettre ; Dieu souffre même le péché, mais i
pas : il y a bien de la différence entre souffrir et permettre ; Dieu
souffre
même le péché, mais il ne le permet pas. Que si o
e lieu, dans le temps que j’étais à ce divertissement, plusieurs âmes
souffraient
les agonies de la mort. Un jour viendra que vous
urs âmes souffraient les agonies de la mort. Un jour viendra que vous
souffrirez
comme elles, et lorsque vous serez dans ces agoni
’est pas pour eux que Saint François de Sales a cette tolérance. S’il
souffre
que ceux qui sont capables de faire ces réflexion
apables de faire ces réflexions aillent au bal et à la comédie, il ne
souffre
pas la même chose aux autres. Ainsi quelle a été
-dessus de nous en gravité et en sagesse, que notre théâtre n’en a pu
souffrir
la simplicité. J’apprends même que les Anglais se
ieux parmi eux, était rejeté par leurs philosophes. Platon ne pouvait
souffrir
les lamentations des théâtres qui « excitaient, d
s que par des soupçons ou par des idées confuses : et néanmoins il ne
souffre
pas que la tragédie fasse paraître les hommes « o
’est-il pas souvent trop ressemblant ? La bonne police ne devrait pas
souffrir
qu’on livrât cette profession auguste à la risée
énérosité, de rapine et de profusion, de dissolution et de franchise,
souffrit
cet avilissement dans un Sénat qu’il avait intérê
our de l’argent. Les Parlements, ni même les Cours inférieures, ne le
souffriraient
pas ; mais devrait-on souffrir qu’ils fréquentent
même les Cours inférieures, ne le souffriraient pas ; mais devrait-on
souffrir
qu’ils fréquentent assidûment le spectacle, qu’il
ui les déshonorent, avec des Actrices qui les corrompent ? devrait-on
souffrir
qu’ils montent sur le théâtre pendant le pièce, s
pose à mille folles dépenses, qu’une femme et des enfants à qui on le
souffre
et l’inspire, diminuent tous les jours un patrimo
onserver la décence et les marques de la dignité. Les connaît-on, les
souffrirait
-on à la comédie ? Nous l’avons dit, un habit grav
n’est pas approuver le crime. » Ainsi en bien des villes d’Italie on
souffre
des femmes publiques sans approuver leur désordre
ouffre des femmes publiques sans approuver leur désordre. S. Louis en
souffrait
dans Paris, et on ne soupçonnera pas qu’il les ap
que les Casuistes, décide que les Magistrats ne peuvent en conscience
souffrir
les Comédiens dans leur ville, et doivent empêche
a dévote imprudence Despreaux art. Poét[ique]. chan[t]. 3.. Aussi de
souffrit
-on pas longtemps ces sortes de jeux, et lorsque q
s Théâtres, obtint qu’on les rendit moins dangereux, ne voulut jamais
souffrir
qu’on représentât des Histoires saintes et le sav
lait encore mieux permettre aux Comédiens des sujets profanes, que de
souffrir
qu’ils en représentassent de saints. Ainsi par le
cipline des Protestants de France, ils la portent même jusqu’à ne pas
souffrir
que dans les Collèges on représente jamais des pi
édie, c’est à-dire, que ceux qui fréquentent le Théâtre, ne sauraient
souffrir
qu’on y exposât la fin pour laquelle tout est écr
incompatible avec ce qu’on cherche à la Comédie, puisqu’on ne saurait
souffrir
que l’on y exposât ce que l’Ecriture veut que nou
x qui veulent jouir des plaisirs du siècle, à consoler les Justes qui
souffrent
pour Jésus-Christ, et à exciter l’espérance dans
l’Ecriture qu’ils mêleront dans leurs pièces, loin de les redresser,
souffrira
toujours quelque corruption, parce que, comme dit
rement dans l’esprit des gens du monde ; enfin parce qu’on ne saurait
souffrir
sur le Théâtre l’Ecriture expliquée et entendu co
onnes destinées aux divertissements publics, n’est-ce pas assez qu’on
souffre
les Comédiens, faut-il même que les Comédiens ose
egardait comme une chose indigne, que dans un temps de disette on eût
souffert
à Rome un aussi grand nombre de danseurs et autre
que c’est autoriser ceux que la Religion condamne. Mais enfin si l’on
souffre
ces sortes de personnes pour éviter de plus grand
s, le saint Pape Pie V. saint Charles, et quelques autres Saints, ont
souffert
qu’il y eût des femmes de mauvaise vie dans les g
aire cesser le mal, elle fait publier par ses Ministres, que ce qu’on
souffre
est un mal. Comme elle enferme beaucoup de paille
e, il n’est pas permis de les joüer, de les entendre, ny mesme de les
souffrir
. Je parleray de la composition dans le Discours d
s le Discours de la lecture ; je repete qu’il n’est pas permis de les
souffrir
qu’aprés qu’elles auront esté corrigées par des p
es livres pernicieux produisent ; & nous pouvons dire de ceux qui
souffrent
ces corruptions publiques ce que Tertullien disoi
eureuse victime des flâmes eternelles. La patience des Magistrats qui
souffrent
les Comedies pernicieuses n’est pas plus innocent
ne s’attachoient qu’aux édifices, les Magistrats ne le pourroient pas
souffrir
en bonne conscience, c’est la suite de la premier
u’une méchante action, quelle misericorde en peuvent esperer ceux qui
souffrent
les sources d’un nombre presque infiny de crimes
amp; la vigilance qu’ils sont obligez d’avoir pour les peuples, s’ils
souffrent
ce qui peut troubler leur repos, nuire à leur san
t pas moins obligez de reformer les dépenses, quand le public en peut
souffrir
du prejudice. Le transport des bleds, des vins, d
qu’ils agissent ; les Magistrats en sont coupables, parce qu’ils les
souffrent
; les Acteurs les commettent par leurs paroles, l
, parce qu’ils ne se sont pas opposez à cette persidie ; il leur fera
souffrir
des peines eternelles, parce qu’ils ont endure de
nous le quittions avec la mesme perfidie ? Dieu condamne Jerusalem à
souffrir
tous ces malheurs, parce que Jerusalem a commis t
commettons point de crimes. Puissances de l’Eglise & du monde, ne
souffrez
point qu’on en commette ; ne commettez point vous
s & les meres n’ont pas assez de charité pour leurs enfans, s’ils
souffrent
qu’ils s’engagent en ces dangers où ils ne pourro
Magistrats, & de tous ceux qui approuvent, qui fomentent, ou qui
souffrent
ces débauches publiques ? Puissances du monde, le
ssances du monde, vous n’avez pas assez de zele pour l’Estat, si vous
souffrez
des entreprises qui ruinent, ou qui menacent ceux
grins secrets ; nous causeroient-ils ces peines que nous avons à nous
souffrir
nous-mesmes, ces méchantes humeurs qui nous rende
on, un Scipion, plusieurs autres Magistrats Romains, ne vouloient pas
souffrir
qu’on bâtist des theatres, parce qu’ils les consi
ander à ceux qui s’émancipent d’ordinaire des loix de l’honesteté. Ne
souffrez
point que les Comediens inspirent au public ce qu
éfendent de joüer la Comedie dans le temps des Offices divins, ils ne
souffrent
pas qu’on joüe les jours de Feste, qu’aprés que l
s l’empescher. Nous pouvons ajoûter que les Puissances ne peuvent les
souffrir
sans desobeïr à Dieu, sans éloigner ses graces, s
seulement les noms des fausses divinités des Païens, et il ne pouvait
souffrir
que les Maîtres d’Ecole enseignassent les Poètes
ur obéir, et là où il nous le défend, s’il ne faut pas obéir, il faut
souffrir
, De sorte que la devise d’un vrai Chrétien à l’ég
devise d’un vrai Chrétien à l’égard des Puissances, est d’obéir ou de
souffrir
. C’était celle des premiers Chrétiens, qui ne se
jours vont au spectacle, la transgressent, et qu’on ne devrait pas y
souffrir
parmi des Chrétiens les représentations théâtrale
inairement les bateleurs, à la honte des Magistrats municipaux qui le
souffrent
, dresser leur théâtre dans une place en face de q
nstrumente musicali. » D’où il est aisé de conclure qu’on ne doit pas
souffrir
que les Organistes, Musiciens, ou instruments du
? en est-il aucun qui aille donner ses leçons les jours de fête ? le
souffrirait
-on ? Le théâtre change-t-il la nature de l’œuvre
n n’y a jamais employé que des esclaves, tandis que l’esclavage a été
souffert
, et depuis qu’on l’a aboli, on n’y a jamais vu qu
mateurs s’ils voudraient se déshonorer jusqu’à se faire Comédiens, ou
souffrir
que leurs femmes, leurs enfants, leurs parents s’
lieu cité, décide que le Seigneur justicier et le Juge pèchent, s’ils
souffrent
les spectacles dans leur paroisse les jours de fê
, interdisez-lui les paroles inutiles ; faites jeûner votre cœur, n’y
souffrez
que de pieux mouvements ; faites jeûner votre esp
st-il fait pour être pieux ? une Actrice veut-elle l’être ? peut-elle
souffrir
qu’on le soit ? un spectateur y va-t-il par piété
tradictions fâcheuses, que l’entreprise de la réformation des mœurs a
souffertes
en tant d’occasions. Le Théâtre est une chose à p
mœurs, ni à la saine morale, depuis qu’on en a retranché et qu’on n’y
souffre
plus les grossièretés ; et la plus commune opinio
de près leur entreprise ; et, s’ils n’avaient pas la constance de la
souffrir
patiemment, ces mêmes Comédiens, si bien intentio
mais il ne l’est point. Vous-mêmes élevez jusqu’au Ciel ceux qui ont
souffert
courageusement. Un Mutius Scévola, qui ayant manq
ourments, montrent un visage assuré devant les bêtes farouches, enfin
souffrent
la douleur sans gémir, par la patience que Dieu i
u inspire. Cependant vous savez bien qu’il n’y a personne qui veuille
souffrir
des peines sans sujet, ni qui les puisse endurer
er leur jeu. « Il viendra un temps où les hommes ne pourront plus
souffrir
la saine doctrine. » rend="i">II Ep. de S. Pa
xacte, une raison sévère les ennuient et les rebutent. Ils ne peuvent
souffrir
son langage qu’autant qu’il est tempéré par un la
s les espèces de dédommagements qui leur importent le plus sans faire
souffrir
leur orgueil, si ce n’est peut-être dans la peint
se, c’est que les femmes, qui parent les spectacles, ne veulent point
souffrir
qu’on leur parle d’autre chose que d’amour. C’est
aim et soif, qui est travaillée de pauvreté et de misère : Et Dieu le
souffre
et le dissimule, ou il ne veut pas secourir les s
ci des supplices, des tourments, des Croix, non plus à adorer, mais à
souffrir
, des feux que vous craignez et que vous prédisez
tte créature. Un Chrétien qui sait ce qu'il doit à Dieu ne doit point
souffrir
dans son cœur aucun mouvement, ni aucune attache
des sentiments, non seulement d'estime, mais de tendresse ; et elles
souffrent
sans peine qu'on le leur témoigne par ce langage
te créature. Un Chrétien qui sait ce qu'il doit à Dieu, ne doit point
souffrir
dans son cœur aucun mouvement, ni aucune attache
c des sentiments non seulement d'estime, mais de tendresse ; et elles
souffrent
sans peine qu'on la leur témoigne par ce langage
issait dans une lumière si éclatante, que les yeux avaient peine à le
souffrir
: Il était porté dans un char de flammes, ou sur
xcuse et les tolère, il faut pourtant se souvenir que les Peuples qui
souffrent
la faim ne peuvent souffrir la bonne chère du Mon
pourtant se souvenir que les Peuples qui souffrent la faim ne peuvent
souffrir
la bonne chère du Monarque qui les gouverne. Il f
u, et par intérêt, pour ne pas déplaire à leur Prince, n’auraient pas
souffert
ces indécences prétendues, dont on veut se faire
faire une excuse pour sauver nos comédies, et que même les Païens n’y
souffraient
guère ; dans ces temps en un mot, où le spectacle
tion de quelque chose de funeste et de tragique qu’on ne voudrait pas
souffrir
? Cette douleur fait le plaisir (c’est le chef-d’
excutiebantur. » J’étais une brebis égarée et infirme qui ne pouvait
souffrir
le bercail : « Infelix pecus aberrans à grege suo
heure elle se joue d’un scélérat de la lie du peuple ; mais qui peut
souffrir
qu’on s’en prenne à ce qu’il y a de plus distingu
. La véritable piété, qui seule peut faire votre véritable gloire, ne
souffre
pas une engeance infâme que le Censeur a chassé d
senter ce qu’ils devraient punir ! (Ajoutons, quels Magistrats qui le
souffrent
!) « Deorum probra in theatris spectanda proposui
pour les faire distinguer par leurs excès. On pourrait de même ne les
souffrir
qu’aux Comédiens, ce serait peut-être un moyen de
d effet. L’horreur qu’on a pour les Comédiens est si grande, qu’on ne
souffre
pas même leur portrait ni leur statue dans un lie
voisinage, en jetant les meubles par les fenêtres. Si on ne doit pas
souffrir
leur tableau, à plus forte raison l’original. La
théâtre fuient du moins et détestent la société des Comédiens, et ne
souffrent
pas que leurs enfants et leurs domestiques les fr
u’on leur donne, est bien employé ; si les parents et les maris qui y
souffrent
leurs enfants et leurs femmes, doivent être bien
doivent être bien tranquilles ; si le Magistrat doit les protéger, et
souffrir
qu’on les étale publiquement sur un théâtre avec
» (Let. 21. ibid.). « Je soutiens que deux ou trois cents Courtisanes
souffertes
à Rome sont moins pernicieuses à l’Etat que les f
un Prince de l’Eglise. Richelieu le sentait, et cependant ne pouvait
souffrir
d’être blâmé ; il lui fallait partout des admirat
e qu’il ne continue à l’être, et que Dieu n’en soit offensé. On ne le
souffre
qu’à condition pour eux impossible qu’on n’y repr
Empereurs chrétiens, qui avaient purgé le théâtre, ne l’auraient pas
souffert
, les Comédiens ne l’auraient pas osé. Les Païens
al à une montagne qu’il n’approchera de la Divinité. Mais la religion
souffre
de ces sottises : en se familiarisant avec l’impi
nt, à la place de Dieu, de l’Eglise, de la morale évangélique. Le Roi
souffrirait
-il qu’on traitât ses sujets de Majesté, qu’on leu
Divinité ! Dieu est trop grand pour être le jouet de l’homme. Tout en
souffre
, on s’accoutume à regarder comme indifférent ce q
ce n’est plus un jeu, ce sont les vraies Divinités du cœur. Revenons.
Souffrirait
-on à la Cour, tolérerait-on dans un Etat policé,
, des Bonzes, des Pagodes, de l’Empereur : les Athéniens ne purent le
souffrir
, les Magistrats s’armèrent de leur autorité pour
res, que nos Casuistes tolérants. Il est vrai que les spectacles sont
soufferts
dans les pays protestants, comme dans les catholi
si fidèle à la discipline établie par les synodes, qu’elle n’a jamais
souffert
la comédie. Le Dictionnaire encyclopédique (verb.
uitième partie de la place qu’occupent les choses qui y sont. « On ne
souffre
point de Comédie à Genève : ce n’est pas qu’on y
mes que nous honorons le plus. Si les Comédiens étaient non seulement
soufferts
à Genève, mais contenus d’abord par des règlement
au-dessous de moi-même. Les maux du corps épuisent l’âme : à force de
souffrir
, elle perd son ressort. Un instant de fermentatio
arceurs pour Pédagogues. Comme si les Grands du Monde, qui ne peuvent
souffrir
qu’on leur donne un mot d’avis, quoiqu’on le fass
i causait les fréquentes infidelités du peuple Juif. Ils ne pouvaient
souffrir
ce culte sérieux et modeste si digne de la Majest
indignation la terre de son bâton, déplora le malheur des hommes qui
souffraient
un tel désordre, et dit ces belles paroles qui de
es qui devraient confondre tous les partisants de la Comédie : « Nous
souffrons
et nous approuvons la fausseté dans les divertiss
des choses funestes et tragiques, qu’ils ne voudraient pas néanmoins
souffrir
? Car les Spectateurs veulent ressentir de la dou
i de ses passions ; quoique d’ailleurs on appelle misère le mal qu’on
souffre
en sa personne, et miséricorde la compassion qu’o
njustice, l’imprudence ; soumettez tous ces vices à votre raison ; ne
souffrez
pas qu’aucun vous entraîne : Et vous qui louiez c
in il défend par un Statut exprès à tous les Maîtres d’Hôtelleries de
souffrir
que les gens de mauvais commerce, que les femmes
écédées en grande angoisse ; mille milliers d’hommes et de femmes ont
souffert
de grands travaux en leurs lits dans les Hôpitaux
royez-moi, si l’on faisait ce que ce grand Saint ordonne à ceux qu’il
souffre
aller à la Comédie, les Théâtres seraient bientôt
ù il y ait ces mots : Ci-gît honorable homme. Mais ce que je ne puis
souffrir
, par le desir que j’ai de leur salut, est que vou
out entier celui qui en est chargé ; il remplit tout son temps, et ne
souffre
plus qu’il soit le maître de son imagination, pou
ntends les Comédiens Français se récrier, et dire que leur Théâtre ne
souffre
point de pareilles ordures : Je le veux. Mais s’i
s, les larmes, et toutes les marques de transport, exprime ce qu’elle
souffre
, de la manière la plus touchante ; tantôt s’en pr
la Comédie. Ce qui fait voir qu’il n’y a pas un temps où on les doive
souffrir
approcher des Sacrements, puisqu’on n’aurait pas
s scandaleuses de jeu, sans distinguer les personnes qui y vont : qui
souffrent
qu’on s’y emporte en jurements et en d’autres exc
l y en a qui se ruinent en jouant plus gros jeu que leur bien ne peut
souffrir
; que ces personnes-là, dis-je, ne sont pas moins
t des choses funestes et tragiques qu'ils ne voudraient pas néanmoins
souffrir
? Car les spectateurs veulent ressentir de la dou
e ses passions, quoi que d'ailleurs on appelle misère le mal que l'on
souffre
en sa personne ; et miséricorde, la compassion qu
ui m'étais égarée en quittant votre troupeau, parce que je ne pouvais
souffrir
votre conduite, je me trouvais comme tout couvert
plus avant dans mon cœur et dans mon âme : car je n'eusse pas aimé à
souffrir
les choses que j'aimais à regarder ; mais j'étais
tourne à la louange de la Religion Chrétienne ; car quelle diminution
souffrent
-ils de leur félicité, sinon à l'égard des choses
qu'il nous a fait des leçons d'impiété, alors qu'il vivait, et qu'il
souffrait
tant de peines et tant d'injures pour nous ? Nous
aine parité entre le malheureux & nous ; c’est la même nature qui
souffre
, & dans l’Acteur, & dans le Spectateur. A
la douleur, parce que la douleur est le sentiment de la personne qui
souffre
; mais qui reste au point où elle doit être, pour
ant : on sent avec lui les malheurs de l’humanité, on est pénétré, on
souffre
autant que lui. Aristote se plaignait de la molle
état mitoyen, la proximité du malheureux & de ceux qui le voient
souffrir
serait un motif de plus pour s’attendrir. Cependa
rend la comédie profitable. On peut voir par là que les plus sévères
souffrent
les vices, puisqu’ils ordonnent de les punir, et
, puisqu’ils ordonnent de les punir, et que Don Juan doit être plutôt
souffert
qu’un autre, puisque son crime est puni avec plus
e chose à redire, puisqu’il condamne la paysanne. Il ne peut pas même
souffrir
ses révérences : cependant cette paysanne, pour ê
triomphé à la honte des hypocrites, et ceux qui n’auraient pas dû la
souffrir
à cause de leur profession l’ont admirée, ce qui
lesdits Maîtres, Gouverneurs et Confrères, et à chacun d’eux fassent,
souffrent
et laissent jouir pleinement et paisiblement de n
âce, congé, licence, don et octroi dessus dits, sans les molester, ne
souffrir
et empêcher, ores et pour le temps à venir ; et p
bouffonnerie déplut dans la suite aux gens sages ; la Religion ne put
souffrir
plus longtemps cette idée de dévotion, qu’une pie
leur devoir. » XXVIII. Les Momeries et Batelleries ne seront point
souffertes
, ni faire le Roi boitc, ni le Mardi gras ; sembla
plesses, marionnettes. Et les Magistrats Chrétiens exhortés de ne les
souffrir
, d’autant que cela entretient la curiosité, et ap
eux qui manquent, et sans considérer qu’il n’est pas plus blâmable de
souffrir
les impiétés qu’on pourrait empêcher que d’ambiti
tôt le possédé que l’agréable bouffon ? Il me semble que vous pouviez
souffrir
de semblables défauts sans appréhender que votre
urait inféré de là que vous aviez l’âme si tendre que vous n’aviez pu
souffrir
sans compassion que son maître, qu’on traînait je
valet vous donne de vous plaindre de lui : n’est-il pas vrai que vous
souffrez
furieusement de le voir à table tête à tête avec
et pour leurs amis. Il est vrai qu’on leur a quelquefois reproché de
souffrir
sur leur terrain cette comédie licencieuse, de lo
Florence, etc., de louer des maisons aux femmes publiques. Elles sont
souffertes
par la Police, le propriétaire n’est cause de rie
prétendait que M. Vincent, Supérieur de S. Lazare, ne devait pas les
souffrir
. Jamais en effet ni la fréquentation ni la toléra
dans celle de S. Vincent on mît au nombre de ses défauts de les avoir
souffert
sur son terrain. L’Avocat du Saint répondait, com
èce qui n’eût été vue, corrigée et approuvée par le Supérieur, on n’y
souffrait
pas même le mot d’amour, il ne s’y dansait jamais
y fera des réflexions sur la mort, le jugement et l’enfer ; qu’on n’y
souffrira
ni masque, ni rouge, ni mouche, ni gorge découver
Histoire des jeux de Théâtre et des autres divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés depuis l’Empereur Auguste jusqu’à la
il leur prescrivit des règles, et leur laissa une liberté dont il ne
souffrait
pas qu’ils abusassent. Dès qu’il sut qu’un Acteur
olère de Dieu les tremblements de terre qui la renversaient. Elle en
souffrit
un terrible sous Trajan l’an 164 de l’Ere d’Antio
is tout au plus quelques pièces de monnaie de cuivre101. Ce Prince ne
souffrit
jamais les divertissements scéniques à sa table10
débauchées. Car Tertullien se récriant avec sujet contre le Sénat qui
souffrait
une telle infamie, leur dit De spectac[ulis]. c.
e la Tragédie moderne par le traité qu’il en a fait, aurait peut-être
souffert
l’ancienne, qui n’est pas si dangereuse. » Mais v
si fâcheuses. On était très réservé à la Comédie. Si on avait aimé ou
souffert
des impuretés sur le Théâtre, on en aurait eu une
Histoire des jeux de Théâtre et des autres divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés depuis la conversion de Constantin j
rs, et ordonne d’ôter ceux qu’on pourrait y avoir placé ; elle ne les
souffre
qu’à l’entrée du Cirque ou du Théâtre, parce qu’i
Histoire des jeux de Théâtre et des autres divertissements comiques
soufferts
ou condamnés, depuis la démolition des Temples au
scours l’Impératrice Eudoxie épouse d’Arcadius, à cause qu’elle avait
souffert
des jeux dans un lieu qu’on pouvait voir de l’Egl
as d’en détourner ceux qui les consultaient par lettres. S. Jérôme ne
souffre
pas qu’on appelle dans les maisons des chœurs de
sser aux Empereurs et de leur demander trois choses. La 1e. de ne pas
souffrir
aux jours de Fêtes, les anciennes réjouissances v
es rues, et que les femmes pieuses ne pouvaient aller à l’Eglise sans
souffrir
des insultes et des railleries sur le chemin. « M
cratissimum diem injuriis lascivientibus appetatur. » La 2e. qu’on ne
souffrit
pas non plus les spectacles du Théâtre les dimanc
sed contentiosa posteritas fecit esse ludibrium. » Pourquoi donc les
souffrir
? il prévient cette objection, en disant qu’il fa
i peu de temps avant l’avènement de Justinien à l’Empire avait encore
souffert
un furieux tremblement de terre Procop[o]. L. 2.
nt l’Histoire des Jeux de Théâtre, et autres Divertissements Comiques
soufferts
ou condamnés depuis l’extinction de l’Idolâtrie d
plus saintes fonctions des Patriarches : Photius fut assez lâche pour
souffrir
et pour approuver même qu’on jouât ainsi l’Eglise
isent les spectacles, elle ne peut pas porter cette tolérance jusqu’à
souffrir
qu’ils autorisent des jeux où l’irréligion se mon
tels spectacles, les Evêques croyaient aussi alors qu’on n’en devait
souffrir
aucun les jours de Fêtes et les Dimanches. Nicéph
s, et de faire des présents à ces baladins ; les Laïques pieux ne les
souffraient
jamais dans leurs maisons ; c’est pourquoi les Em
dite Confrérie et au profit d’icelle. » Le Parlement ne voulant point
souffrir
d’autres Jeux que ceux de ces Confrères de la Pas
erre. Le Concile d’Exeter tenu en 1287. ordonna aux Curés de ne point
souffrir
dans les Cimetières l’exercice de la Lutte, des d
astiques n’assisteraient jamais aux Jeux de Théâtre290 ; qu’on ne les
souffrirait
point les jours de Fêtes291 ; et qu’on exhorterai
sustinere vellent. » Apud Surium 4., Nov. lib. 5. pag. 120. qu’on ne
souffrirait
aucune pièce qui n’eût été examinée et trouvée co
ans les Cimetières. Dans le Chapitre de Confratriis, il veut qu’on ne
souffre
point d’Histrions, de Mimes et des Jeux : « In is
rance. ch. 14. art. 28.. « Les Momeries et Bateleries ne seront point
souffertes
, ni faire le Roi boit, ni le Mardi-gras : semblab
uplesse et Marionnettes. Et les Magistrats Chrétiens exhortés, ne les
souffrir
, d’autant que cela entretient la curiosité, et ap
te l’horreur qu’il a des Comédies jusqu’à ne point approuver qu’on en
souffre
dans un Etat. IX. Sentiments de Casuistes et Cano
., il exhorte les Magistrats à considérer s’ils peuvent en conscience
souffrir
tous ces spectacles, et il fait remarquer aux nou
tolérer en gémissant, les spectacles. 3°. Que l’Eglise n’a jamais pu
souffrir
que les jeux se représentassent les jours destiné
aient-ils pas leurs spectacles ? Les Evêques les toléreraient-ils, et
souffrirait
-on qu’ils s’autorisassent du nom du Roi ? Réponse
rdisant absolument on craint de plus grand maux. Ainsi les Magistrats
souffrent
quelquefois des choses qu’ils n’approuvent nullem
avait fait des Statuts si sévères contre les femmes de mauvaise vie,
souffrit
néanmoins qu’avant sa mort, il y eut à Paris, de
aint Pape Pie V. bannissant de Rome les plus fameuses Courtisanes, en
souffrit
quelques-unes Vie de Pie V. page 84., qu’il les r
âché de réparer le scandale qu’ils ont donné par leur profession. Les
souffrir
de cette manière c’est faire assez connaître qu’o
dies de cinq actes, et à ne faire aucune pièce toute Française. On le
souffre
néanmoins en certaines occasions ; mais j’ai ouï
expressément de prendre les habits d’un autre sexe. Si cette loi peut
souffrir
quelque explication en certaines rencontres, ce n
e, on ne peut se dispenser de dire que c’est un mal et un abus que de
souffrir
les spectacles aux jours de Fête et aux jours des
’Oxford, répondant à Eucratius qui lui avait demandé, si l’on pouvait
souffrir
dans la Communion de l’Eglise, un Comédien qui av
onter, il décide nettement que c’est une chose indigne de l’Eglise de
souffrir
un exercice si infâme : car si la Loi maudit les
vice ; il blâme le goût du peuple, que le gouvernement ne devoit pas
souffrir
, & qui a été toûjours reprouvé par les gens s
que son escuelas publicas de peccados. Il veut que les Magistrats ne
souffrent
pas non plus les mascarades, charivaris, bals noc
s orages passagers. Tibère, Vespasien, Tite, Trajan, les Antonins, ne
souffrirent
point ces excès ; ils étoient tombés d’eux-mêmes
i non seulement par leur vertu, leur dignité, leur science, ce qui ne
souffre
pas même de comparaison, mais par leur esprit, le
Platon, Aristote, lui ont été très-opposés, que Sparte ne l’a jamais
souffert
. Ces nuages sont bien épais, les rayons du Mercur
mal, pourquoi en exclurre les femmes ? Si elle est un mal, pourquoi y
souffrir
les hommes ? Quelle fatalité ! les théatristes mê
inconséquence des François, comme des Romains, est de fréquenter, de
souffrir
le théatre que leur religion & leurs loix pro
Sainte étoit condamnée. Il suit de-là que l’on approuve tout ce qu’on
souffre
sur le Théâtre ; on ne hait donc pas les galanter
que l’on en a fait est si flatteur, qu’on ne s’en lasse point, on ne
souffre
plus guères de Spectacles où elle ne se rencontre
l’ennemi qui m’oblige Laisse-moi m’affranchir de cette indignité, Et
souffre
que ma haine agisse en liberté. La veuve de Pomp
ce, le Gouverneur de Milan (la Ligurie) ni son père ne l’auraient pas
souffert
dans leur gouvernement, et le crédit que ce Saint
chatus est in corde. » Gardez-vous d’écouter les douces paroles ni de
souffrir
les caresses empoisonnées d’un femme de mauvaise
» Il cite une foule d’exemples de saintes Vierges qui ont mieux aimé
souffrir
la mort, et même se la donner, que de perdre la v
novices au combat, ne le sont pas à la victoire ; à peine en état de
souffrir
, elle fait recueillir des palmes : « Nondum idone
de Religieuses. Je loue son zèle, mais ces mélanges sont peu goûtés.
Souffrirait
-on à la Cour, ni même dans un Etat policé, qu’on
e Majesté mérite tous ces éloges ; mais je ne puis comprendre qu’elle
souffre
qu’ils soient chantés par une troupe de faquins,
oserait-on s’y montrer avec des haillons ? Le théâtre lui-même ne le
souffrirait
pas dans les grands rôles. Alexandre se respectai
u théâtre à l’esprit de Dieu soit bien entière, puisqu’on n’y saurait
souffrir
que les faits y paraissent avec leurs vraies coul
la trompèrent dans le séjour de l’innocence ? « Eritis sicut Dii. »
Souffrirait
-on au théâtre des décorations qui représenteraien
la vérité. Ce tableau, fût-il de Raphaël ou de Michel-Ange, ne serait
souffert
que comme les grotesques de Callot, c’est-à-dire
as de l’usage ordinaire de ces habits, mais je suis persuadé qu’on ne
souffrirait
pas qu’un Comédien parût dans le monde habillé en
la vertu, s’ils la pratiquaient, s’ils la connaissaient. La vertu ne
souffre
ni fard ni nudité ; quelle Actrice y renoncerait
squerie éclate, mais encore leur interest, & le plaisir public en
souffrent
. Pour le second, c’est une coupable timidité de n
otection particuliere du Roy & de ses Magistrats : & loin d’y
souffrir
l’insolence de ces Breteux, qui ne sont Braves qu
l’embaras du Spectacle, c’est de tenir de Theatre vuide, & de n’y
souffrir
que les Acteurs. Le monde qui s’y trouve, ou qui
protestans proscrivent les images des Saints, du moins leur morale ne
souffre
pas des images obscénes, & les votres le sont
arures. Un libertin fait ainsi peindre ses maîtresses, l’ont-elles pu
souffrir
? Je dois croire que le peintre fut infidele ; se
qu’ils produisent. Il en est comme des gens vertueux, dont on ne peut
souffrir
les exemples & la présence : on n’aime que so
désespérée, son défenseur même la condamne. C’est un grand mal qu’on
souffre
, pour en éviter un plus grand ; quel éloge pour l
, non sunt facienda mala ut eveniant bona ; les courtisannes d’Italie
souffertes
par la police, comme un mal inévitable, sont moin
ne faut ni l’ouvrir, ni l’étudier. Elle s’offre d’elle-même ; peut-on
souffrir
que ces infamies soient tournées en ornemens typo
ncile fait la même défense pour les images de dévotion, où on ne doit
souffrir
rien d’indécent, & il ordonne aux Evêques dan
ter des Eglises tous les tableaux & les statues immodestes. On ne
souffre
que la nudité du Crucifix, à laquelle le monde es
m ænæa vaccæ similitudinis irritamento. Juvenal recommande de ne rien
souffrir
d’indécent sous les yeux des enfans ; respectes l
rgeait ses propres enfants ; il faut avoir l’âme barbare pour pouvoir
souffrir
un spectacle si horrible. La cruauté qu’Ulysse ex
, qui étaient si fort au goût des Anciens, ne seraient pas maintenant
souffertes
sur notre Théâtre, et il faut les dérober aux yeu
ne sauraient l’attendrir ; il n’est point touché des maux qu’il fait
souffrir
aux autres, et il goûte une joie barbare, quand i
nt languissants ; l’âme, se trouvant toujours dans la même situation,
souffre
une contrainte qui la gêne : on se lasse enfin de
destinée soit heureuse, ou malheureuse. La qualité des personnes qui
souffrent
, leurs vertus, leur sexe, leur âge, les dispositi
rs vertus, leur sexe, leur âge, les dispositions de ceux qui les font
souffrir
, la nature des peines qu’elles endurent ; tout ce
us apprennent le détail de ces actions barbares, dont nous ne pouvons
souffrir
la vue. Je crois, Madame, qu’il est inutile de vo
s de Justinien ; car les Comédiens vivent en honnêtes gens ; ils sont
soufferts
et estimés des plus grands Seigneurs de la Cour,
n’altérât la pureté des mœurs. Solon disait à ce propos, que si l’on
souffrait
la fausseté dans les spectacles, on la verrait bi
UE. Vous ne sauriez nier, qu’il n’y ait bien des choses qui se sont
souffertes
sur le Théâtre des Anciens, et qui se souffrent e
s choses qui se sont souffertes sur le Théâtre des Anciens, et qui se
souffrent
encore aujourd’hui sur celui des peuples étranger
ance des règles, ou le peu de soin de polir leurs Ouvrages, leur fait
souffrir
toutes les extravagances que nous voyons sur leur
. Mais de bonne foi, vous qui ne voulez point d’Amour, pourriez-vous
souffrir
un Personnage aussi peu galant que l’est Achille
écouter un homme qui parle d’amour, puisqu’une Princesse si fière le
souffre
bien, et tout ce que la Morale Chrétienne lui ava
s tirez ; puisqu’enfin mon dessein était de vous faire voir qu’on peu
souffrir
la Tragédie, et que même c’est un divertissement
it Οὐδὲν παρὰ τὸν Διόνυσονv.. » En effet les honnêtes gens ne peuvent
souffrir
qu’un grand homme néglige le soin de sa gloire et
is on peut feindre un Héros Chrétien, et le mettre dans l’occasion de
souffrir
pour la Religion, quand il n’est dans une Pièce q
faire mourir. Si l’histoire en parle, et s’il est vrai que ce Héros a
souffert
pour la foi, on peut changer la nature de ses sou
r à Rome pour exercer leurs jeux : Mais l’Empereur Sévère, ne pouvant
souffrir
ces Ennemis des bonnes mœurs, fit publier un Edit
ses annales, écrivant contre l’Empereur Claudius, fulmine de ce qu’il
souffrait
l’exercice des Mimes, qui infectaient dans Rome,
fforce de persuader au Vulgaire, que ceux de la Religion réformée, ne
souffrent
aucunement ce divertissement parmi eux, en quoi i
uelque chose contre la gloire de Dieu, ou les bonnes mœurs, on ne les
souffre
pas représenter. Mais quant au regard des Comédie
châtier ; la liberté qui nous est aussi naturelle que la vie ne peut
souffrir
de contrainte, dit S. Augustin ; un peu de douceu
et se moque de celui qui s’y laisse prendre, et ne prévoit pas qu’il
souffrira
un jour des mêmes passions qu’il a allumées pour
de les irriter. Il ne faut que voir avec quelle rampante bassesse on
souffre
dans les foyers, dans les coulisses, sur le théât
et qu’ils sont souvent faits avec dignité. Les mêmes raisons lui font
souffrir
dans le sanctuaire des oraisons funèbres, qui que
éloges qu’on lui donne, mais je ne puis comprendre comment elle peut
souffrir
qu’ils soient chantés par une troupe de faquins d
grands amateurs voudraient de pareilles obsèques ; leurs familles le
souffriraient
-elles ? A peine laisse-t-on aux Comédiens la libe
aux Ministres de l'Enfer. Et certes il n'y avait point d'apparence de
souffrir
que des âmes qui venaient de se purifier de leurs
les rets de Satan. Quelle société de Jésus avec Bélial ? Comment donc
souffrez
-vous d'être par la vanité de ce Spectacle Enfants
mnables voluptés ? Tu les entends blasphémer le Nom de Dieu, et tu le
souffres
patiemment, tu les vois aller aux Spectacles, et
ssance, et qu'ils ne s'en informeraient point. Tertullien ne pouvait
souffrir
que les artisans pressés par la nécessité de leur
pénible et fâcheux; c'est dans ce chemin rude qu'il faut marcher, et
souffrir
beaucoup de peines et d'afflictions pour entrer d
es regardent; car il n'y a rien de plus impudique que l'œil, qui peut
souffrir
de voir ces ordures. Dans L'Homélie 38. Sur le
ors qu'ils disent chez vous des paroles peu honnêtes ? Vous ne pouvez
souffrir
rien de sale dans vos enfants ni dans vos femmes
te sorte d'insultes, et est prêt à tout dire, à tout faire, et à tout
souffrir
. On y voit des femmes qui ont essuyé toute honte,
. Voilà bien des titres à la Divinité. La Majesté Prussienne ne peut
souffrir
la Chaussée & son comique larmoyant. Elle n’a
étoient une flatterie si fade & si outrée, que la foiblesse à les
souffrir
, à les écouter, à y laisser applaudir, étoient bi
autres ? ses erreurs sont-elles de plus énormes forfaits ? Il ne peut
souffrir
qu’on parle contre l’irréligion & tous ces sy
arge, contre les mœurs & la probité, devroient les faire chasser.
Souffrir
des fripons & des coquins, c’est pousser loin
ers. L’univers ne fut pas Déiste, il fut dupe. Messieurs les Saints,
souffrez
par bienséance Que je vous place ici selon le tou
plaintives ombres, Qui passant sans retour dans des demeures sombres,
Souffriront
sans espoir d’éternels châtimens. La crainte &
les autres ne trouvent point désagréable ? Et pourquoi n’avez-vous pu
souffrir
que l’Auteur des lettres ait dit, en passant, que
? Il me semble que la vérité et la Politique devaient vous obliger de
souffrir
cela patiemment. Car enfin, puisque tout le monde
alut, vous ne trouvez pas étrange qu’on vous damne, et vous ne pouvez
souffrir
qu’on ne vous estime pas. Vous renoncez à la Comm
nce, et toujours il veut faire sentir aux autres les mouvements qu’il
souffre
lui-même, il est fâché quand il ne réussit pas da
vez pas oublié, mes frères, quelle peine et quelle fatigue nous avons
souffertes
, et comme nous vous avons prêché l’Evangile de Di
’est retiré chez vous pour pleurer ses crimes. Comment donc avez-vous
souffert
qu’il ait tant fait de traductions, tant de livre
la que ce grave Magistrat était bien éloigné de les fréquenter et d’y
souffrir
les arbitres de la justice : « Scenica arti spect
Cours souveraines, qui doivent le service de leurs charges, lesquels
souffrent
de grandes incommodités tous les jours, à cause q
l’esprit de frivolité et le goût du vice ont pris le dessus, qu’on a
souffert
, après bien des oppositions des voisins, et des g
les abolir, et la double raison de la discipline et de la police, les
souffre
et les fait protéger, sans les approuver, puisque
es ; on ne leur doit aucune audience, et ce n’est que par grâce qu’on
souffre
qu’ils prennent dans leurs écritures la qualité d
tabli, qu’il y est devenu une loi : une Actrice modeste ne serait pas
soufferte
dans la troupe, et n’oserait paraître sur la scèn
s. Une demi-année se passe à déclamer des vers. L’ordre du collège en
souffre
, les études sont interrompues, la dissipation s’i
il, défendue par la loi de Dieu, que l’Université avait quelque temps
souffert
, je ne sais pourquoi, et qu’on a sagement interdi
été défendu de tout temps comme contraire aux bonnes mœurs. Si on en
souffre
quelqu’uneh dans les collèges, ce n’est qu’une to
une improbation tacite qui imprime une tache à ce qu’on est obligé de
souffrir
malgré soi. On ne le tolère que rarement : permet
liments d’un Prélat, aussi bon courtisan qu’habile docteur, pouvaient
souffrir
quelque adoucissement ; mais je n’ai pas besoin d
e cadet de ses Gardes ». Mais la passion aveugle les meilleurs cœurs.
Souffrirait
-on aujourd’hui ce qu’il applaudissait, des scènes
ra comme un ressort secret de quelque grand événement. Les mœurs n’en
souffrirent
pas moins, et le théâtre s’autorisait de plus en
) homme pieux et sévère, lui écrivit qu’elle ne pouvait en conscience
souffrir
la comédie, surtout l’Italienne, comme plus libre
libre et moins modeste. Cette lettre troubla la Reine, qui ne voulait
souffrir
rien de contraire à ce qu’elle devait à Dieu. Ell
ons justice au Clergé de France, jamais sa morale sur cet article n’a
souffert
le moindre nuage. Cette prétendue décision de que
dit mot. Au tort réel que ces Messieurs & ces Dames ont osé faire
souffrir
à nos Sophocles, Euripides, Plautes & Térence
teurs, plus encore les Actrices. J’honore les talens, mais je ne puis
souffrir
qu’ils soient les juges, ou plutôt les tyrans des
s pour rien dans tout ceci, cette cause n’est pas la mienne ; mais je
souffre
de voir des Histrions tyrans despotes, juges souv
rer en lice avec vous sur ce raisonnement, je vous prie, Monsieur, de
souffrir
que je fasse mes conditionsb. Regardez notre disp
pas permis de se défendre. A présent que nos qualités sont établies,
souffrez
qu’avec mon clinquant et mon oripeau je tâche à s
plus loin que je ne croyais, Monsieur, et votre patience aura plus à
souffrir
que vos arguments d’un fatras de paroles qui se s
Prophète Osée qu’il a ces solennités en horreur, et qu’il ne les peut
souffrir
: Et le Prophète Amos ajoute qu’il les rejette, «
urs d’assister à aucune sorte de spectacles, et il n’en faut pas même
souffrir
. Le Concile de Tolède parle encore bien clairemen
i-là semble commettre une mauvaise action, qui pouvant la défendre la
souffre
sans rien dire par lâcheté de cœur, et par défaut
ers Romains qui étaient si grands politiques eurent de la peine à les
souffrir
, et ils ne se seront peut-être pas oubliés à les
n cela ? Beaucoup très certainement : car je ne sais comme l’on peut
souffrir
ces grands fainéants ou valets travestis, suivis
C’est sur quoi ils ont exagéré davantage, n’ayant pu raisonnablement
souffrir
, Tert. de spect. c. 4. que les fidèles employass
de, ornée de diamans & de broderie. Il n’y a pas de piece qui fût
soufferte
sur le Théatre françois, si on n’en élaguoit la m
, habile mathématicien, parlant & écrivant bien, & ne pouvant
souffrir
qu’on doutât de sa religion. Quelqu’un lui en par
en lui souhaitant la bonne année par des farces ; & le pere qui a
souffert
ces exercices, ces assemblées d’acteurs & d’a
; approuvé ces vers galans, & les a fait mettre au Mercure, qui a
souffert
les assiduités de ce poëte amoureux, les parens &
la danse, la déclamation, l’indécence des actrices ; pourvu qu’on n’y
souffre
point d’immodesties en peinture, en sculpture, qu
it dans ses leçons un fonds de religion & de bonnes mœurs, qui ne
souffrit
dans toute sa vie que des momens d’éclipse. Il fi
& font en effet. Le zele égare le pasteur, & le troupeau en
souffre
. L’Abbé Coyer est fait pour les redresser. Voici
alère Maxime, Alex. ab Alexand. Génial. Dier.(L. 5. C. 16.). Ils ne
souffraient
qu'à regret le théâtre dans leur ville ; mais ne
défendu aux Etudiants de fréquenter le théâtre, et aux Régents de le
souffrir
(C. 1. de Stud. libéral. L. 14. Cod. Theod. et
discipline. Pour le jeune Clergé, on n'en doute pas ; quel Séminaire
souffrirait
que ses élèves allassent à la comédie ? Le fameux
ens un conseil bien différent. Il leur recommande fortement de ne pas
souffrir
que leurs enfants aillent à la comédie, de les ch
n s'y accoutume. Il faut que votre ville soit bien corrompue, si elle
souffre
de si grands désordres : « Simul ac consuevit mal
elle éloigne du bien, elle enseigne le mal. Une ville bien policée ne
souffre
pas une si grande source de corruption : « Duo a
dice de tous les devoirs, l'imprudence et le crime des parents qui le
souffrent
, et se repentiront, mais trop tard, d'avoir ainsi
gmatique des Jeux de Théâtre et des autres Di-vertissements Comiques
soufferts
ou con-damnés depuis le premier Siècle de l’E-gli
té Sparte, ne fut citée en exemple de bonnes mœurs, et Sparte, qui ne
souffrait
point de théâtre, n’avait garde d’honorer ceux qu
ie à faire agir et parler des gens qu’on ne peut écouter ni voir sans
souffrir
. Il me semble qu’on devrait souffrir d’être conda
’on ne peut écouter ni voir sans souffrir. Il me semble qu’on devrait
souffrir
d’être condamné à un travail si cruel. S’il est v
is que non. La nature et l’expérience nous apprennent qu’un homme qui
souffre
a de l’humeur, et que l’humeur corrompt tous les
t fait, qui vous donne ces sentiments furieux : c’est le mal que vous
souffrez
, qui, s’emparant de votre esprit comme de vos sen
Ciel n’avait pas voulu faire un aussi grand présent aux mortels. Zima
souffrait
toujours. Une douleur continuelle aigrit son sang
s autres, peuvent lui faire plus de mal, par le plus grand mal qu’ils
souffrent
. C’est ainsi qu’un malade se plaît à aggraver enc
n est le crime des autres, et ne m’offense pas. Mais, pour vous-même,
souffrez
que la vérité et le plaisir osent la balancer auj
tte raison cessa à la chute du paganisme. Les Empereurs Chrétiens n’y
souffraient
plus rien d’idolâtrique ; il ne fut plus toléré q
bâtir sous le nom de théâtre, par la crainte des Censeurs, qui ne le
souffraient
qu’à regret. Il éluda leur sévérité en le bâtissa
la gravité Romaine, la sévérité des Censeurs, n’auraient eu garde d’y
souffrir
la dissolution et la débauche. Le théâtre était i
du péché, il voudrait tout immoler. Comment un vrai Chrétien peut-il
souffrir
, louer, aimer, représenter l’une et l’autre idolâ
n être touché. Ainsi l'esprit s'apprivoise peu à peu. On apprend à la
souffrir
et à en parler, et l'âme s'y laisse ensuite douce
être touché. Ainsi l'esprit s'y apprivoise peu à peu. On apprend à la
souffrir
et à en parler; et l'âme s'y laisse ensuite douce
parce que celui qui donne occasion à quelque dommage que le prochain
souffre
, est lui-même, suivant le Droit, la cause du domm
in souffre, est lui-même, suivant le Droit, la cause du dommage qu’il
souffre
. » « Væ iis qui sunt in causa efficaci tantorum m
sont si étranges que les oreilles chastes et pieuses ne sauraient le
souffrir
. Hélas ! est-il possible que l’on tolère dans l’E
e fils je me trouvai la femme, Le moindre des tourmens que mon cœur a
soufferts
, Egale tous les maux que l’on souffre aux Enfers
e des tourmens que mon cœur a soufferts, Egale tous les maux que l’on
souffre
aux Enfers : Et toutefois, ô Dieu ! un crime invo
peut comprendre leurs discours que par conjecture, & le Poème en
souffre
. Comme le quinqué, par éxemple, n’est pas toujour
te qu’une espèce de charivari. Il est beaucoup de gens qui ne peuvent
souffrir
les chœurs de l’Opéra-Sérieux ; parce que la mult
. Quand même elles ne les exciteraient que par hasard, on ne doit pas
souffrir
qu'un Chrétien s'expose pour un vain divertisseme
itée. Y a-t-il quelqu’un assez aveugle, ou assez endurci pour pouvoir
souffrir
sans horreur l'impiété de ce langage ? et ceux qu
lippe III. Roi d’Espagne à les exterminer de son Royaume, et à ne pas
souffrir
qu’ils pervertissent ses sujets « Exturbet eam pr
ui les font demeurer dans leurs professions criminelles. Or la raison
souffre-t
-elle qu’on fasse son divertissement du péché des
tte même Vesta dont il venge l’honneur par le sang de sa fille. Il le
souffre
, il lui applaudit, il le caresse, lui prend les m
aractere bas & sans vrai-semblance ! Le Brutus de Voltaire eût-il
souffert
que ses enfans maudissent les Dieux & la Répu
uple policé & chrétien de pareilles horreurs devroient-elles être
souffertes
? Mais c’est un fou qui parle ; mais celui qui co
r, de se plaire à lui voir faire ces outrages ? Mais le Magistrat qui
souffre
qu’on les expose sur la scene, qu’on en frappe le
œur, ce Magistrat est-il plus sage ? Est-il rien de moins sage que de
souffrir
un danger évident, d’ébranler la religion, &
mœurs des hommes qui estoient soüillez des mesmes vices ne l’eussent
soufferte
; saint Isidore de Damiéteb, parce que les Comédi
le & fâcheux. C’est dans ce chemin rude qu’il faut marcher, &
souffrir
beaucoup de peines & d’afflictions pour entre
leur discipline. a « Les Momeries & Bastelleries ne seront point
souffertes
? ni faire le Roi boit, ni le mardi-gras ; sembla
plesses, marionnettes. Et les Magistrats Chrêtiens exhortez de ne les
souffrir
, dautant que cela entretient la curiosité, &
ce déguisement est un dereglement étrange, que la nature même ne peut
souffrir
. Car pourquoi, ô homme, ne voulez-vous pas paroît
es d’insultes, & est prest à tout dire, à tout faire & à tout
souffrir
. » Je ne dois pas omettre ici ce que Jean Loüis
ule des assistans excuse quantité de choses que la pudeur ne pourroit
souffrir
ailleurs. Les attouchemens que l’on croit illicit
les personnes de probité qui y estoient, parce qu’elles ne pouvoient
souffrir
la danse. Jamais on n’a vû danser aucune Dame Rom
e la faire aimer. L’esprit s’y apprivoise peu à peu ; on apprend à la
souffrir
, à en parler, & l’ame s’y laisse aller. On la
l’idée de l’amour dans sa naturelle difformité, nous ne pourrions en
souffrir
la laideur. Mais les portraits flatteurs qu’on no
que donnent les Comedies & les Romans, qu’il y a de la lâcheté à
souffrir
une injure. Bien loin de détester cette impressio
e soient contraires à la raison, et par conséquent à la vertu, qui ne
souffre
rien de déréglé. Platon même, quoique Païen, veut
ours au plus grand nombre il faut s’accommoder. Et qu’il vaut mieux
souffrir
d’être au nombre des foux. Ma foi, je l’enverro
en nous ; Mais c’est pain béni certe à des gens comme vous. Vous
souffrez
que la vôtre aille leste & pimpante, Vous s
vous. Vous souffrez que la vôtre aille leste & pimpante, Vous
souffrez
qu’elle coure, aime l’oisiveté, Et soit des dam
roit qu’à l’exception de Moliere (c’est toûjours Baile), elle n’avoit
souffert
que des gens de qualité ; & la seule instruct
un grand respect pour votre mère, souvenez-vous de tout ce qu’elle a
souffert
& risqué pour vous, en vous portant dans son
u’elle leur découvre ses agréments et sa beauté, et ils ne la peuvent
souffrir
; lorsqu’elle les découvre à eux-mêmes, parce qu’
e, qui gâta tellement l’esprit du premier Angeh, que Dieu ne le peuti
souffrir
un moment en sa présence. Il faut avouer que votr
isent pas pour les apaiser. Je n’ose pas vous parler des offenses que
souffre
la pudeur ; j’ai cru néanmoins qu’il n’était pas
erez pas de répondre, qu’on prend bien garde à ces excès, et qu’on ne
souffre
pas de semblables familiarités. Et moi je dis apr
pporteront : mais la liberté des Enfants de Dieu mérite bien que vous
souffriez
cette peine pour l’obtenir : le Ciel ne se donne
che légale du déshonneur ? sa sage délicatesse, son zèle, sa religion
souffrirait
-elle cette profanation et ce scandale ? Ceux que
quand ils le font offrir, on ne les invite pas à le présenter, on ne
souffre
pas qu’ils le fassent donner par d’autres, comme
ste de ce célèbre Musicien. Il est surprenant que ces Religieux aient
souffert
dans leur Eglise ni le corps, ni le buste, ni le
pas deux avis là-dessus ; les Casuistes même relâchés qui pourraient
souffrir
qu’on aille à la comédie, n’ont jamais toléré le
té radicale de l’acte, on lui refuse toute audience. La loi peut-elle
souffrir
qu’on aille aux pieds des autels vouer un engagem
t faire une partie si essentielle des plaisirs publics, qu’on ne peut
souffrir
de Spectacles où non-seulement elle ne soit, mais
forment en naissant les belles passions. » Et l'humilité de théâtre
souffre
qu'elle réponde de cette sorte en un autre endroi
ntreprise, partie de son ministère, et a la témérité non seulement de
souffrir
que sa Lettre soit jointe au recueil des Comédies
, et ne peuvent pas toujours discerner entre le bien et le mal, qu’il
souffre
que l’Ecriture le discerne pour eux, qu’ils s’en
t-on la tolérer ? L'illustre Prélat qui gouverne ce grand Diocèse, la
souffrirait
-il ? Tous les joursPage 38. à la Cour les Evêques
u corps politique, d’avec ce que la Religion que nous professons peut
souffrir
? On peut dans l’ordre civil permettre un mal don
de. Mais la Religion est toute pure et toute sainte ; elle n’a jamais
souffert
et ne souffrira jamais aucun mal. Les doux mots d
igion est toute pure et toute sainte ; elle n’a jamais souffert et ne
souffrira
jamais aucun mal. Les doux mots de « remède », et
déreglement de son siécle & du nôtre ; l’indulgence des parens à
souffrir
les galanteries d’une fille, la scandaleuse liber
es discours : la Scéne Françoise est aujourd’hui très-châtiée, on n’y
souffre
plus rien qui soit capable d’allarmer les oreille
r de lui me serait une gêne. Mais quand j’aurai vengé Rome des maux
soufferts
, Je saurai le braver jusques dans les enfers.
la religion du serment, et toutes les conjurations n’y manquent pas.
Souffrirait
-on qu’on avançât que le Pape peut délier les suje
st votre grâce, il nous l’y faut trouver. Je ne vous parle point de
souffrir
sans murmure. Justifions sur lui la mort de son
flammes. » La Cour peut-elle entendre ce langage, le Ministère le
souffrir
, la Magistrature le tolérer, une Nation fidèle à
as un tyran de gouvernement, qui abuse de son autorité, et qu’il faut
souffrir
patiemment, Athalie, quoiqu’idolâtre, ne persécut
voix aujourd’hui plus soumis qu’un esclave, Enfin à votre tour vous
souffrez
qu’on vous brave, Et vous abandonnez le soin de
r. Quoi ! Denis vit encor, ce tyran sanguinaire ! Lâches, et nous
souffrons
que le soleil l’éclaire ? Au cœur des malheureu
-même. Varus et ses Romains dans ce camp égorgés … Je ne puis rien
souffrir
qui me gêne ou me brave, Et ne connais pour maî
e Tyran périra, Petus vous l’a promis. Les Dieux ont trop longtemps
souffert
la tyrannie, Toujours plus insolente, et toujou
forment en naissant les belles passions. » Et l'humilité de théâtre
souffre
qu'elle réponde de cette sorte en un autre endroi
les spectacles. « Depuis plusieurs années, dit-il, j’avois beaucoup à
souffrir
intérieurement, d’avoir travaillé pour le Théatre
uses, on étoit très-réservé à la Comédie. « Si l’on avoit aimé &
souffert
des impuretés sur le Théatre, on en auroit eu une
z encore ce qu’ils disent des nôtres : le Comique obscêne est encore
souffert
sur nos Théatres, par une sorte de prescription.
s sur la Comédie, pag. 21. Quoiqu’on veuille dire, que le Théatre ne
souffre
plus rien que de chaste, & que les passions y
on. MAis si les spectacles sont si contagieux, pourquoi donc les
souffre-t
-on ? Mais, Mr., lui répliquai-je… 1°. Si les piéc
ux qui s’exerçoient à ces jeux meurtriers, d’où vient donc, qu’on les
souffrit
, & qu’ils ne cesserent que lorsqu’en 1568, He
ux mœurs, & si opposés à l’esprit du Christianisme, pourquoi donc
souffre-t
-on ces écoles de saran, & ces réceptacles d’o
aux deux sexes, étoit si opposé à la pudeur, pourquoi donc a-t-il été
souffert
pendant tant de siécles, malgré toutes les réclam
rase pas les coupables sous le poids de sa justice, & pourquoi il
souffre
, & semble dissimuler les désordres de ses cré
ement certain, que Dieu est infiniment Saint ; & que cependant il
souffre
nos ingratitudes. Pour croire ce fait, je n’ai pa
la sainteté du Christianisme, quand même j’ignorerois pourquoi on les
souffre
. 7°. Théodoric, Roi d’Italie, avouoit, que ce n’é
périence ne nous permettent pas de douter. L’Eglise, dit S. Augustin,
souffre
quelque fois des choses, qu’elle condamne : Eccl
les spectacles sont mauvais, dit-on sans cesse, pourquoi le Pape les
souffre-t
-il ? Mais je vous le demande à mon tour, si les s
les règles sévères qu’on vient d’entendre de leur bouche, auraient pu
souffrir
les bouffonneries de nos théâtres, ni qu’un chrét
s rend plus vifs, c'est l'impression fausse qu'il y a de la lâcheté à
souffrir
une injure. Or on ne peut nier que les Comédies,
rend plus vifs, c'est la fausse impression qu'il y a de la lâcheté à
souffrir
une injure. Or on ne peut nier que les Comédies,
itée ? Y a-t-il quelqu'un assez aveugle ou assez endurci pour pouvoir
souffrir
sans horreur l'impiété de ce langage ? Et ceux mê
des gens qui auraient sujet de se plaindre, s’il le faisait. Ils ont
souffert
avec patience qu’on ait répondu à M. Desmarets, e
res. Il vous a touché par où vous étiez le plus sensible. Le moyen de
souffrir
que l’on maltraite ainsi impunément les faiseurs
rt-Royal, de ne juger des choses que selon leur intérêt ? « On a bien
souffert
, dites-vous, que M. le Maître ait fait des traduc
et où l’on « justifie sa conduite » par « leurs exemples » ? On peut
souffrir
des gens qui trouvent dans « les Pères » tout ce
ipline de Saint Athanase et de l’Eglise d’Alexandrie, dont la gravité
souffrait
à peine dans le chant ou plutôt dans la récitatio
uccès heureux ; et le Spectateur en conclut avec raison, que les maux
soufferts
par les Amants, pour arriver à ce succès favorabl
t point détourner de la vertu, de même la représentation des maux que
souffrent
les Amants, ne détournera point de l’amour, et qu
e lever cette utile barriere, il est de l’intérêt public de ne pas le
souffrir
. Les Romains aimoient si fort la pudeur qu’ils en
, annonce une pureté mourante, ou déjà peut-être éteinte, qui ne peut
souffrir
le joug, & veut pouvoit en liberté franchir t
hasteté ne doive soutenir tous les assauts, sacrifier tous les biens,
souffrir
tous les tourmens & la mort la plus cruelle m
s ornent les fastes, & font la gloire du Christianisme, & ont
souffert
la mort plutôt que de souffrir la plus legere tâc
la gloire du Christianisme, & ont souffert la mort plutôt que de
souffrir
la plus legere tâche. Les triomphes de la pureté
, ne sont-ils pas des outrages ? Si les supérieurs ne doivent pas les
souffrir
, doivent-ils s’y exposer ? doivent-ils eux même s
nces, pâtes y sont proscrites, jusqu’à la poudre des cheveux ; on n’y
souffre
pas même l’usage du tabac, ni en poudre ni en fum
e. La massue d’Hercule, dit-il, sentoit mauvais ; ce héros ne pouvoit
souffrir
les parfums : Herculis clava fœtè olebat, unguen
hé mérite toutes les peines ; elles servent à l’expier. Il y a plus à
souffrir
qu’à jouir dans la vie, pour gagner un bonheur ét
de luto fæcis. On compare ce tourment des damnés à celui que faisoit
souffrir
le cruel Mezence : il attachoit une homme vivant
te la Théologie reconnoît que dans l’enfer, outre la peine du dam, on
souffre
la peine des sens, & que dans le Paradis outr
s voir la triste consommation des cheses prédites du Fils de l’homme.
Souffrirons
-nous tranquillement que notre bon Maître soit mép
ouvrage de ses réformateurs. La confiance & l’estime du public en
souffrent
, & cet état si saint & si utile se dépeup
rme une décoration comique ou plutôt tragique, puisque la religion en
souffre
, & que le contraste de la rigueur édifiante d
uroit fait cette faute griève, & contre le supérieur qui l’auroit
soufferte
, sous peine de suspense de son emploi pendant six
s anciens statuts, nommément contre le supérieur indulgent qui auroit
souffert
ce désordre. Ce désordre lui-même n’est plus soum
à les faire perdre à tout le monde ? Non, le Dieu de sainteté ne peut
souffrir
rien d’impur : le démon au contraire en triomphe
r ! quelle honnête femme souffriroit qu’on l’en entretînt, & elle
souffre
qu’on le regarde, elle l’offre à tous les regards
aut ni mémoire, ni exercice ; on se montre & tout est fait. On ne
souffre
pas au théatre, dit-on, des tableaux indécens. Su
qu’une femme immodeste ? Quelle contradiction ! une honnête femme ne
souffrira
pas qu’on lui fasse connoître des désirs & de
es personnes avancées en âge, dans des Communautés Religieuses, qu’on
souffre
habillées comme nous ! En fait-on mieux ? sont-ce
l ordonné. Elles ne se réjouissent de nos ennuis et afflictions, ains
souffrent
et compatissent d’une commune condoléance avec no
& qu’on n’y voit jamais des gestes que l’honnéreté chrétienne ne
souffre
pas, & que cependant l’Ange de l’Ecole veut q
ns de Rome : & cette personne, plus heureuse que saint Jerome, ne
souffre
rien, quoi qu’elle se trouve présente à ce danger
grand. Une tolerance donc suppose toujours un mal : c’est ainsi qu’on
souffre
dans quelques Roiaumes, aussi bien qu’à Rome &
sion. Je finis, Madame, & s’il y a encore quelqu’un qui a peine à
souffrir
, qu’on lui dise, qu’il ne lui est pas permis de f
t qui soit plus dangereuse ? Quoiqu’on veuille dire que le Théâtre ne
souffre
plus rien que de chaste, et que les passions y so
mme toutes les plus vertueuses Princesses du Théâtre ? Je pense qu’il
souffrirait
assez impatiemment dans les unes, ce qu’il respec
rement la pureté. Cependant combien y a-t-il de pères et de mères qui
souffrent
sans scrupule que leurs enfants se remplissent l’
et Mères ce que vous devez inspirer de bonne heure à vos Enfants. Ne
souffrez
jamais qu’on fasse ou qu’on dise en leur présence
r. » Il appelle encore la danse un misérable théâtre, où les danseurs
souffrent
de notables ruines, et les spectateurs y font de
s, de sueur et de sang, lui déclara les douleurs extrêmes qu’il avait
souffertes
pour elle, et lui témoigna qu’il n’était pas cont
s de personne ; de ce qu’on y voit un jeune homme s’y bien former, et
souffrir
en son corps toutes sortes d’abominations, dans l
Pèresl, ces matières délicates traitées hardiment dans une langue qui
souffre
tout, ne pourraient se rendre dans la nôtre sans
ien, auquel il n’est pas même permis de penser aux vices, pourra-t-il
souffrir
des représentations impures, où après avoir perdu
ouer la Comédie, on n’aurait pas traité les Comédiens d’infâmes. Mais
souffrez
que je vous demande à mon tour, s’il y a péché à
œurs en bannit entièrement les Jeux de hasard : saint Cyprien ne peut
souffrir
que la même main qui a l’honneur de servir aux Sa
nt nous avons parlé, on ne laisse pas d’y jouer la Comédie, qui y est
soufferte
et peut-être approuvée. Si elle était mauvaise, p
aient fort circonspects sur cette matière, et qu’ils ne voulaient pas
souffrir
, quand ils acceptaient une Pièce qu’il y eut rien
ue je n’ai eu ni le temps ni l’esprit de la rendre plus courte : mais
souffrez
, Monsieur, que je vous réponde avec un AncienPlin
ble du Dieu qui précipite les impudiques dans l’étang de feu & de
souffre
? Œuvres tom. 7. Paris. 1748. Refl. sur la Comé
entir… Cela n’est pas possible : moi seule je puis connaître ce qu’on
souffre
loin d’une amie telle que vous. O ma sœur ! je ne
s son appartement ; s’enferme, y reste accablé. C’est trop le laisser
souffrir
: prêtons-nous à sa faiblesse. La démarche sera r
r les vices par ce côté, est les prendre par leur endroit faible : on
souffre
aisément une réprimande, mais une raillerie fine
qui les rend si vifs, c’est qu’on s’imagine qu’il y a de la lâcheté à
souffrir
une injure. Les théâtres, qui ne cessent de le ré
dans le quartier des Chevaliers. Aucun de ses confrères ne voulut l’y
souffrir
. Il n’osa plus se montrer dans le public. « Hélas
Saturn. L. 2. C. 7.). On ne blâma pas moins Auguste d’avoir seulement
souffert
que des Chevaliers parussent sur le théâtre. Suét
Le Maréchal de Saxe avait aussi peu de délicatesse : non seulement il
souffrait
que les Officiers jouassent des rôles, mais il av
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