/ 330
1 (1675) Traité de la dévotion « Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre ; troisième source de l’indévotion. » pp. 58-65
Chapitre III. De la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre  ; troisième source de l’indévotion. Cet amour
che de cet amour, c’est la trop grande sensibilité aux plaisirs de la terre . Ces plaisirs sont de deux sortes, les uns sont s
moins propre à la dévotion, que celui dans lequel il entre un peu de terre et de mélancolie. Le premier ressemble à une mati
e pouvoir partager entre ces deux joies, celle du ciel et celle de la terre , mais cela ne se peut. La loi mettait au rang des
es. » C’est pourquoi Salomon crie, vanité sur tous les plaisirs de la terre , desquels il avait fait expérience à ses dépens ;
isposer à la dévotion. Renonce, renonce âme dévote aux plaisirs de la terre , choisis des plaisirs spirituels : Que les sainte
2 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24
Italie, ce Roi reconnu de toutes les nations pour le plus grand de la terre , appelé et conduit de Dieu par la voix de ses mer
i règne sur nous comme les intelligences au Ciel, et le Soleil sur la terre , d’où il me faudroit élever pour chercher dans le
t s’il était possible qu’à l’imitation d’un nombre d’âmes, qui dès la terre vivent au Ciel, nous voulussions dénoncer la guer
érite. S’il en pouvait advenir autrement, ils seraient dissipés en la terre par les Zéphyrs de l’haleine de cette fleur céles
litude des pierres précieuses vous offense, elles ont leur être en la terre , et votre origine est au ciel, si ce n’est de cel
est une pierre de prix : Voyez que dans ma main elle sera brute en la terre , sans être en œuvre ; donnez-lui sa vraie feuille
second Anthée vous reprenez nouvelles forces, non pas en touchant la terre , mais en vous élevant au ciel, où vos propos nous
s siècles passés, gloire du présent, envie des futurs, ornement de la terre , Merveille du ciel, miracle de nature, Temple sac
un livre blanc où nous pouvons graver ce qui la doit remplir, ou une terre capable de recevoir l’ivraie et le bon blé ; elle
d nous voyons cet Oracle du monde, dont le nom est porté par toute la terre  : qui avec un port de Vestale, et les façons de M
3 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
t un orient d’en-haut qui va du Ciel éclairant et échauffant toute la terre et il n’y a aucune condition tant soit elle déplo
ssons, les pierres, et les grands chemins aussi bien que sur la bonne terre , c’est la source du paradis terrestre dont les ru
r le plus pur de tous les métaux s’engendre dans les entrailles de la terre parmi des ordures. Dieu choisit ses Elus en tous
eux qui portent les flambeaux des lettres et de la piété par toute la terre se servent des Représentations dans leurs Collège
à votre Majesté par tout ce qu’il y a de plus saint au ciel et en la terre , par les plaies de mon Sauveur et le vôtre, par l
insigne piété qui vous relève autant sur toutes les Princesses de la terre que votre Majesté est élevée sur les têtes de ses
entre les Anges sur un pécheur qui vient à la pénitence. Il y eut en terre une grande réjouissance entre les personnes dévot
4 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
grandeur par leur élévationbl. « Si on abaisse ses regards vers la terre , on la voit entremêlée de plaines, de vallons et
les nuages y déchargent leurs eaux condensées, après avoir abreuvé la terre . C’est là que les fontaines ont pratiqué leurs so
t les ondes ; cette multitude innombrable d’animaux qui vivent sur la terre  ; l’homme enfin, le chef-d’œuvre des mains de Die
t glissée dans son cœur ; la plus excellente créature qui vive sur la terre est dominée par les êtres inférieurs qui sont cha
e : une seule famille est jugée digne de vivre et de perpétuer sur la terre la race infortunée des mortels. Tandis que l’ambi
pareillement pour lui donner passage ; lorsqu’il veut entrer dans la terre promise, le fleuve remonte vers sa source. La pui
5 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148
se prosterne plus profondément. Une personne prosternée est couchée à terre tout de son long ; on ne peut être prosterné étan
noux sur un prié-Dieu, ni le faire plus profondément, sans creuser la terre . 3.° Il y a je ne sais combien d’évanouissemens &
furieux, enragé, dans le plus violent délire, brave le ciel & la terre , blasphême, jure, &c. veut persuader à cette
e comme mari & femme, & d’aller, je ne sais où, travailler la terre , pour gagner la vie, la nourrir avec sa famille d
vant l’autre, levent les mains, les yeux au ciel, se penchent vers la terre , marchent avec précipitation, se promenent lentem
est une absurdité. La tombe sous les pieds d’Euphemie est à niveau de terre , ou élevée. Si elle est à niveau, la pierre sépul
’a pas même pu, car elle vient de tomber sur ses genoux, assurément à terre , & qu’elle a été aussi-tôt enlevée avec viole
lasphême contre l’Eglise. Dieu que pour mon supplice De ses crimes la terre a rendu le complice, Ce Dieu que le mensonge &
Dieu s’applaudit de toi. La nature indignée & jalouse de Dieu. La terre gronde. La terre tremble, s’ouvre, ne gronde pas.
de toi. La nature indignée & jalouse de Dieu. La terre gronde. La terre tremble, s’ouvre, ne gronde pas. Va, le suprême e
l. L’amour qu’attend la foudre. La foudre n’attend pas. Répand sur la terre embrasée les flammes de la foudre. La foudre n’a
6 (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IX. Spectacles de la Religion. » pp. 180-195
uand j’ai creusé les mers, mesuré l’étendue, posé les fondemens de la terre  ? où est la base de l’univers ? qui en supporte l
rrir, le Jourdain qui arrête ses ondes pour lui ouvrir l’entrée de la terre promise. Vous verrez dans la religion Chrétienne,
nt où une parole toute puissante fit sortir du néant le ciel & la terre . La scène tragique y va puiser ses plus beaux tra
oire de Salomon ? Vous faut-il des prodiges dans le ciel & sur la terre , pete tibi signum à Deo. L’histoire & la fabl
étoiles qui du plus haut des cieux brillent d’un si vif éclat ; cette terre avec ses montagnes, suspendue au milieu des airs
le poisson se joue dans les abymes, l’homme cueille les fruits de la terre . Que tous ces ouvrages d’une main divine, & m
angor. S. Chrysostome (Hom. 17. ad Rom.) prétend que le ciel & la terre forment deux théatres, & se donnent mutuellem
aces qu’il répand, le bonheur & la gloire auxquels il invite ; la terre , par les hommages qu’elle offre & la vertu qu
rable dans ses Saints ! quel zèle dans ses Apôtres, qui parcourent la terre pour annoncer sa divine parole ! quelle constance
7 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IX. Suite de la Rosiere. » pp. 213-230
République de Genes. Après avoir servi l’Etat, goûté le repos dans sa terre , s’efforce de faire passer dans ses vassaux l’amo
l’amour dont il est rempli pour la vertu. Il a fondé un prix dans ses terres a l’imitation de la Rosiere de Salenci, il est an
ance. Il fit substituer ceux-ci : De l’ouvrier actif qui cultive sa terre , citoyen estimé, les soins industrieux, dont lui-
êtablie depuis peu par le Comte & la Comtesse de Roule dans leur terre de Rouville en Beausse à l’instar de celle de Sal
onstamment la vertu dont le prix est bien au dessus des trésors de la terre . Le Curé introduisit la Rosiere dans l’Eglise &a
x de septembre, pour demander à Dieu la conservation des fruits de la terre  : ut fructus terræ dare & conservare digneri
r recours à Dieu pour obtenir la rosée du ciel & la graisse de la terre , à reconnoitre ses bienfaits, à lui en rapporter
u se contenter d’enseigner différentes méthodes pour bien cultiver la terre , & qui n’en est bien peu où l’on invite l’Agr
8 (1675) Traité de la dévotion « Prière. » p. 68
sois tout entier à toi. Fais descendre en ma faveur les cieux sur la terre  ; élargis mon cœur, fais-en un petit paradis, vie
e trône où tu auras placé mon âme, elle regarde tous les palais de la terre comme des cabanes.
9 (1733) Traité contre les spectacles « AVERTISSEMENT. » pp. 143-144
ent qu’ils ont fait dans le Baptême aux vanités et aux plaisirs de la terre  ; mais surtout à l’idolâtrie, de laquelle il mont
rant aux chrétiens, qu’ils ne doivent chercher d’autre plaisir sur la terre , que celui d’une bonne conscience ; et en les exh
10 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A la signore Isabelle » pp. 25-
qui laissent couvrir de poussière ce qu’ils ont formé du limon de la terre  ; et les vôtres tous divins reluisent d’une grâce
ers, qui ont dépouillé le Parnasse de ses fleurs, et fait une Iris en terre pour recevoir l’image de votre Soleil, qui se tir
11 (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33
s et qui tendraient à détourner toutes leurs pensées des choses de la terre pour les concentrer sur l’avenir qu’il promet à c
oublé leur fanatisme. Dans leur délire, l’existence de l’homme sur la terre n’a plus été pour eux qu’une existence passagère,
n du Christ, et déserté sa morale pour se partager les royaumes de la terre , et ont ainsi sacrifié sur les hauts lieux et ado
tous été les témoins. Instruisez-vous, grands qui vous gouvernez la terre  ! h Un roi que le remords poursuit, dévore, et q
es amollissent ton cœur, et le rattachent aux biens périssables de la terre . « La maison du seigneur est déserte, et tu te
us sage, plus hardie, a-t-on jamais adressée à ceux qui gouvernent la terre , que celle prononcée par Joad, aux pieds du jeune
s prétendent avoir reçu de lier dans le ciel ce qu’ils ont lié sur la terre , les prêtres veuillent par leur malédiction antic
alheureux comédiens en un mot ! L’anathème les saisit d’avance sur la terre . Leurs corps sont repoussés des églises romaines,
e auprès de son fauteuil de mort. Sa cendre n’a pas trouvé un coin de terre pour y reposer. Mais dans ce moment suprême, deux
scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et, après qu’il l’est de
lège modifie. h. [NDE] Lire: Instruisez-vous grands qui gouvernez la terre ou Instruisez-vous, vous qui gouvernez la terre.
nds qui gouvernez la terre ou Instruisez-vous, vous qui gouvernez la terre . i. [NDE] Louis-Philippe. j. [NDE] murmurateur
12 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XVI. » pp. 69-70
as. La Renommée, dites-vous, partira pour aller annoncer par toute la terre , la joie de la Ville, le mérite du Héros, et les
assez singulier, pour être publiés par la Renommée sinon par toute la terre , au moins en beaucoup de lieux. Mais ne doutez po
13 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129
res de l’église, et pour les admettre aux honneurs de la sépulture en terre sainte. Le clergé italien n’admet donc point le r
c., a adopté pour principe invariable que l’autorité des rois est sur terre , inférieure à l’autorité sacerdotale, et que cett
r à leurs fins. Cette prétention odieuse, impie et hérétique, qui sur terre place la tiare au-dessus de la couronne, et dont
14 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209
champ, mais peu-à-peu, c’est une sémence qui demeure quelque tems en terre , & qui produit à la fin des fruits de mort,
à sa grandeur par leur élevation. Si l’on abaisse ses regards vers la Terre , on la voit entremêlée de Plaines, de Vallons &am
Nuages y déchargent leurs eaux condensées, après en avoir abreuvé la Terre  ; c’est là que les Fontaines ont pratiqué leurs s
nt les ondes, cette multitude innombrable d’Animaux qui vivent sur la terre , l’Homme enfin, ce Chef-d’œuvre des mains de Dieu
t glissée dans son cœur ; la plus excellente Créature qui vive sur la terre , est dominée par les êtres inférieurs qui sont ch
une seule Famille est jugée digne de vivre, & de perpétuer sur la terre la race infortunée des Mortels. Tandis que l’ambi
ent pareillement pour lui donner passage, lorsqu’il veut entrer en la terre promise ; le Fleuve remonte vers sa source : la P
15 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « Stances à Madame Isabelle, sur l’admiration où elle a tiré la France » pp. -
t en essence, Et comprit en soi l’univers. A l’instant pour orner la terre , Des vives beautés qu’il enserre, Il lui voulut d
tins L’arrêt, que pour bannir la guerre, Ce chef d’œuvre des Cieux en terre Rendrait les Oracles certains. Qu’elle aurait to
16 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre II. Des Naumachies. » pp. 100-111
si pompeux, qu’il y courut des Spectateurs de tous les endroits de la terre  : & d’afluence des curieux fut si grande, qu’
n mesme lieu & presque en mesme temps des combats de Mer & de Terre . Il fit élever sur des Tonneaux flotans une espec
rivez & si bien instruits à l’eau, qu’ils y combatoient comme sur terre . Theod. Mars.Il est certain que Domitian en donn
17 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149
rce que dans l'une l'homme y apprend sa fin et celle des choses de la terre , et dans l'autre il en perd l'idée : « J'ai regar
naturel du plaisir et la vanité de tous ceux qu'on peut goûter sur la terre , qui afflige une âme frustrée des fruits de tous
vanité, et nous bien convaincre qu'il n'est point de joie pure sur la terre , qu'elle se trouve encore moins dans les plaisirs
utume, la folie des passions. Tout est, à la vérité, spectacle sur la terre , affaires d'Etat, abaissement, élévation des homm
ante naïveté de son style, nous dit : « Quel dommage de semer dans la terre de notre cœur des affections si vaines et si sott
eté, de curiosité, en tournant une manivelle, fait parcourir toute la terre dans un quart d'heure. Voyez ces mains, ces pieds
nt et si cher l'a répandu par un juste retour sur toute la face de la terre . Mais vous n'êtes pas équitable, la bonne morale
18 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre II. Charles XII. » pp. 32-44
sa. Les Comédiens, sans argent & sans crédit, abandonnerent cette terre maudite : le trône de Thalie fut renversé à Stock
n Roi dans son camp, vêtu en soldat, buvant de l’eau, couchant sur la terre , ne regardant point de femmes, travaillant sans c
rement défait, de lui envoyer offrir la paix & le passage sur ses terres jusqu’en Suede, d’aller audevant de lui, de le dé
e, les cris perçans d’un peuple immense font retentir les airs sur la terre & sur l’onde, les échos en mugissent au loin.
19 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II. Excellentes raisons qui ont porté les Pères de l’Eglise à condamner les Comédies, et à les défendre aux Chrétiens. » pp. 12-28
a vérité essentielle, il doit aussi être la voie des Chrétiens sur la terre , pour devenir dans le Ciel leur vie, leur nourrit
ens de Babylone. Les premiers se regardent comme des étrangers sur la terre , et des Voyageurs, qui tendent sans cesse au Ciel
oyens de Babylone au contraire ne songent qu’à se bien établir sur la terre eux et leurs enfants ; parce qu’ils la considèren
t dire ce que Jésus-Christ disait lui-même, tandis qu’il était sur la terre  : « Il faut que je fasse les œuvres de celui qui
de celle des plus honnêtes Païens, que le Ciel l’est au dessus de la terre . Que sera-ce donc si l’on voit souvent qu’elle n’
20 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VII. De l’inconséquence de quelques prêtres ignorants envers les Comédiens, et de leur fanatisme mis en opposition avec l’autorité du pape et avec la conduite éclairée du haut clergé et des ecclésiastiques sensés en France. » pp. 134-140
au temps de Molière dont le cadavre éprouve le refus de sépulture en terre sainte de la part du curé de Saint-Eustache, tand
éâtre, et si des prêtres leur refusent les prières et la sépulture en terre sainte, ils se trouvent, ainsi que nous l’avons d
21 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192
qu’en soit la disproportion, on se sert de l’image des plaisirs de la terre pour peindre les délices du ciel. Les termes trôn
ons à cette pieuse pratique. Ce nom tout puissant, auquel le ciel, la terre & les enfers doivent fléchir le génou, opéroi
une croix, pour expier les péchés du monde ! spectacle du ciel, de la terre , des enfers, de Dieu-même. L’enfer en frémit, le
es enfers, de Dieu-même. L’enfer en frémit, le ciel en est étonné, la terre sauvée, Dieu appaisé. Spectacle de tous les siécl
héroïques vertus, qui ébranle l’univers, éclipse le soleil, couvre la terre de ténébres, fait parcourir en un instant à la lu
des femmes. Pour punir la corruption des peuples. Dieu envoye sur la terre les guerres, les famines, les maladies, & tou
dies, & toute sorte de fleaux. L’histoire en est pleine, toute la terre en est le théatre. Mais les Prophêtes ne permette
hrétienne, dont le luxe avoit si fort ébranlé les fondemens. Toute la terre d’un pôle à l’autre a souvent vu ces tragiques sc
num. Ces gens qui s’estimoient tant, sont méprisés comme des pots de terre  : Reputati sunt vasa terrea. Ils sont ensevelis
on. Il y a des modes qui réalisent la tête de l’ancienne Déesse de la terre , qu’on voit sur les médailles couronnée de tours 
22 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
s de Religieux ? Ne sçauroit-il se divertir sans scandaliser toute la terre  ? s’il veut prendre part à nos plaisirs & à n
s & ces Idolatres de leur tems. Aussi ceux-là ont attiré toute la terre à Jesus-Christ par l’odeur de leur sainteté, &
z en preparant ainsi le poison, que vous présentez ensuite a toute la terre , je ne parle point des pechez des autres, dont on
23 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
le même Satan, pour décourager le peuple d’Israël, du voyage vers la terre promise ; il porta les espions (que Moïse avait e
itté l’entreprise commencée, si Josué, qui était allé visiter la même terre , aussi bien que les autres, n’eût dit tout le con
ne le serve volontairement, gaiement, et franchement. Les Rois de la terre demandent de tels valets, pourquoi non pas Dieu ?
les ailes ils volaient en haut, avec les pieds ils marchaient sur la terre  : voilà la figure des deux sortes de récréations,
ivines. L’extérieure et corporelle qu’on prend en quelque chose de la terre . Les oiseaux de Paradis, sont presque toujours en
et leur béatitude avec eux, et quoiqu’ils soient dans cette misérable terre , parmi tant de pécheurs, ils ne perdent néanmoins
nt cette action unie à la semblable que les Saints ont fait çà bas en terre , et par laquelle ils ont mérité le Paradis ; et u
en la présence de Dieu. »80 « Je jouais devant lui sur le rond de la terre  »,81 dit la Sagesse divine, nous apprenant, que n
Dans le Ciel, vos récréations seront en lui, et avec lui ; çà-bas en terre , il vous a permis les jeux récréatifs s’accommoda
24 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IX. Des entreprises de la puissance spirituelle ecclésiastique, contre la puissance temporelle séculière. » pp. 149-173
droits des souverains et qui font tous leurs efforts pour usurper sur terre une puissance temporelle et soumettre les gouvern
ne espèce de suzeraineté terrestre au-dessus de tous les trônes de la terre  ; d’avilir les couronnes et les placer au-dessous
eil et d’acharnement, que le père spirituel de la chrétienté, est sur terre au-dessus de tous les gouvernements, et qu’il peu
erdoce, disent-ils, a reçu de Dieu le pouvoir de déposer les rois sur terre , et de mettre sur les trônes de véritables chréti
25 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « Préambule » pp. -
consentira-t-on à m’entendre ? me pardonnera-t-on d’oser, moi, ver de terre , signaler aussi comme moyen puissant d’accélérer
uère un écrivain sensible : la vérité semble pour jamais exilée de la terre , la fourberie prend le langage de la bonne foi, l
nstruction et sans prévoyance, qui gémissez sur tous les points de la terre civilisée, où vous avez été outragés, trompés, dé
26 (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8
réceptes pompeux, Consacrer à l’amour des hymnes et des jeux ; Sur la terre et le ciel lui donner la victoire, Et charmés de
vertu stoïque. Tes héros ne sont pas de ces audacieux Qui ravagent la terre , et menacent les cieux. Ici, l’amour masqué d’une
27 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239
s soyez-vous ô Dieux ! qui moissonnez ce qu’il y a de meilleur sur la terre . Maudit soit votre temple ! Encore plus maudits s
sujet ? Pourquoi en appeler à toutes les Puissances du Ciel et de la terre , afin de rendre une telle mort croyable ? Ce tas
n chez le Notaire. « Que cela soit notoire jusqu’aux extrémités de la terre . Bien plus, que cela passe au-delà même de la voû
rai qu’on ne détrône pas le Tout-puissant, ainsi qu’un Monarque de la terre , et que le bonheur de l’Eternel subsiste indépend
el que les Prêtres ouvrent aux Chrétiens, ne vaut-il pas mieux que la terre de Canaan ? L’Eucharistie n’est-elle pas infinime
ança jamais à le reconnaître et à l’honorer. Dès que les Grands de la terre furent convertis à la Foi de Jésus-Christ, ils ne
esses attirent de la considération : les Prélats y jouissent de leurs terres avec les mêmes droits que les gens de qualité qui
se de son nom, est-elle inférieure à celle que prêtent les Rois de la terre pour le soutien de leurs intérêts ; Les Royaumes
28 (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325
rité pour reprimer des insolences qui ne respectent ny le Ciel, ny la terre , & qui ne sont pas moins injurieuses à Dieu,
s alimens & les forces du peché, des pestes qui menacent toute la terre . Ces Oracles de l’Eglise nomment ces Comedies la
servé mes Commandemens, je vous abandonneray aux Infidelles comme une terre ingrate ; vous serez un sujet d’execration &
cez contre l’Asie, contre l’Afrique, contre l’Europe, contre toute la terre , comme contre Jerusalem, n’ont-ils pas esté execu
sie, se servit de plusieurs subtilitez pour faire accroire à toute la terre qu’il n’enseignoit point ce que ses ennemis luy i
e, que tout ce que nous pouvons nous imaginer de plus agreable sur la terre . Cur tam in gratus es, ut tot, & tales volu
de religion. Il se croyoit à l’abry des censures du ciel & de la terre sous ce voile de pieté ; il s’estimoit à couvert
r representer d’impur sur le theatre, se garentir des reproches de la terre par le temple d’une Déesse qui authorisoit par sa
iderées ; il sembloit dire aux plus sages du Senat, & de toute la terre , qu’ils ne pouvoient censurer sans injustice, san
ions precedentes. L’Auteur est peut-estre vivant, reconnu de toute la terre pour Saint, pour orthodoxe ; ses ouvrages precede
dans le Ciel, aprés luy avoir rendu des services si agreables sur la terre . La seule consideration de l’honesteté publique n
29 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141
te, d’en charger leurs oreilles, où, selon Martial, elles portent des terres entieres (le prix, la valeur des terres), il faut
on Martial, elles portent des terres entieres (le prix, la valeur des terres ), il faut encore en couvrir leurs souliers. Elles
ité des pieds. Déchaussez-vous, disoit Dieu à Moïse & à Josué, la terre où vous êtes est une terre sainte : Solve calcea
ous, disoit Dieu à Moïse & à Josué, la terre où vous êtes est une terre sainte : Solve calceamenta de pedibus tuis, terr
re, comme quand on dit, les nuages sont la poussiere de ses pieds, la terre lui sert de marchepied, il marche sur l’aile des
; ne pensions faire aucun péché. Ceux qui contemplent une Divinité en terre , celle du ciel ne peut en être offensée. Peut on
30 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105
les promoteurs du théatre ont la plupart dévoré les biens, envahi les terres , enlevé les meubles, fait fondre les vases sacrés
ds politiques qui tiennent la balance de l’Europe, qui regnent sur la terre & sur l’onde, donnent des loix à l’Asie &
politique tirer parti de tout ; c’est à-peu-près, comme dans bien des terres , un droit seigneurial d’avoir une forge banale, u
guerre, (le premier Septembre 1775.) Les nobles cadets du service de terre , pour célébrer cette paix, ont fait élever un amp
rterre immobile, est Ptolomée qui fait tourner le soleil autour de la terre  ; & la Czarine faisant voltiger son amphithéa
er son amphithéatre autour du soleil, c’est Copernic qui ordonne à la terre de voltiger autour du soleil. Si on ne veut pas s
31 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211
urir subitement, lui refuse les prières à l’église et la sépulture en terre sainte. Nous allons examiner le même délit, sous
x, où il jouirait de la béatitude éternelle, son corps profané sur la terre , par le ministre du Dieu même qui lui aurait pard
aura préjugé de ses desseins et il en aura consommé la vengeance sur terre , tandis que le pardon aura placé l’âme dans le ci
ésuites parviendraient à obtenir l’exécution des lois d’Etat, qui sur terre anticiperaient l’enfer et rempliraient dès ce bas
32 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120
étoient que celles d’un simple particulier : il revendiquoit quelques terres que sa Maison avoit achetées, & il s’empara d
rne au grand Philosophe, qui n’a pas même des titres apparens sur les terres usurpées, & qui, vassal de la Pologne, &
arquis de Brandebourg, &c. dont aucun ne pensoit à lui donner des terres . Cette guerre est une suite ennuyeuse de combats,
mparer, toujours inutilement ; la Pologne l’a toujours chassée de ses terres . Enfin le Grand Maître Albert lui a procuré la Pr
de rendre. On demande de privilege pour la forme, & un genoux en terre , on s’empare du fonds. Le premier de nos ancêtre
tes les religions : je ne m’embarrasse d’aucune. 2°. La moitié de mes terres est en friche, le reste porte peu, point de rivie
nnui de plusieurs, & vous donneront dans vos Etats & dans les terres étrangeres un air de simplicité, de franchise qui
33 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « epigraph » p. 
Pour le Roy Lovis qui fait trembler la Terre , Et ne trembla jamais, Qui sçait se faire craindr
34 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390
nt pas pour y placer des Prédicateurs. Nous avons vu Solon frapper la terre avec colere en s’écriant que de pareils amusemens
ans l’horreur de la guerre, Centaures, ni Geans, fiers Enfans de la terre , Ce que tout l’Univers n’osa jamais tenter, U
35 (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44
s les Diables, & il lui fait dire : Dyables meschans destinez en terre estre, Clos a jamais dans le centre terrestre, Vi
demourons seuls enchaynez en fers. . . . . . . . . . . . . . . » Sur terre auons des ennemis peruers » Encontre nous machina
es es cieulx il monta devant tous » En les laissant tous douze sur la terre , » Lesquels present nous meinent dure guerre » En
36 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18
nts humains ne sont pas si solides et inébranlables que le ciel et la terre , ni le ciel et la terre qu’une seule parole ou sy
si solides et inébranlables que le ciel et la terre, ni le ciel et la terre qu’une seule parole ou syllabe de l’Écriture ; Fa
37 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — II. Ce qui rend à irriter la concupiscence combat directement cette fin. » p. 7
ne tend qu’à éteindre le feu que Jesus-Christ est venu jetter sur la terre . Contra Jul. c. 4. n. 4.
38 (1640) Traité des Spectacles des Gentils « SAINCT CYPRIAN DES SPECTACLES. » pp. 155-193
s heures partagent si iustement. Qu’il jette en après les yeux sur la terre , dont la masse est comme vn point enuironnée du C
e Ciel il verra l’air auec ses regions, qui eschauffe & vegete la terre , qui a vn soin particulier de sa nourriture &
les parties du mõde frequentées par diuer habitans, les hommes sur la terre , les oyseaux dans l’air, & les poissons sous
a le diable qui auoit reduit sous sa dominatiõ toute l’estenduë de la terre habitée, captif aux pieds de Iesvs-Christ, &
39 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
Pères, est un citoyen du ciel qui, exilé pour quelque temps dans une terre étrangère, ne doit soupirer qu’après cette patrie
a voie de Dieu pour y atteindre ; et qui, ne jugeant des choses de la terre que par le rapport qu’elles ont avec l’éternité,
nde, de faire vivre son Sauveur en lui, et de continuer sa vie sur la terre , peut-il se trouver dans des assemblées où règne
40 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222
de ministres qui se prétendaient investis de la puissance divine sur terre , comme représentants immédiats de Dieu. C’est d’a
le mépris des richesses. Si le premier pape saint Pierre revenait sur terre avec les dehors de la pauvreté et de la simplicit
41 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217
dans l’Affrique. Elle pese vingt-cinq à trente livres, & traîne à terre plusieurs pieds. La laine en est plus fine &
n le craignoit à Paris il n’y a pas longtemps, donner en passant à la terre un grand coup de queue, qui renverseroit les sall
ominos, qui descendent à la verité fort bas, mais ne trainent point à terre . Qu’on parcoure l’ouvrage du P. Moulinet, qui a d
ueue. Chaque Ministre a son habit propre. Il ne descend qu’à fleur de terre . Aube, surplis, rochet, chasuble, dalmatique, cha
mer dans les pavillons & les girouettes des vaisseaux, & sur terre dans les drapeaux & les étendards de l’armée.
42 (1607) Recit touchant la comédie pp. 2-8
ions et attentats exécrables contre celui qui domine au ciel et en la terre . Les théâtres abandonnés, les jésuites après l’or
rai, tout-puissant, juste et miséricordieux Seigneur du ciel et de la terre veuille ouvrir les yeux aux disciples des jésuite
43 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Madame de Nemours  » pp. -
estes dont l’influence passe sur tous les Eléments, et s’arrête en la terre pour sa nécessité. Faites ainsi en la mienne, Mad
44 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -
’aura faveur ni lumière que celle qu’il tirera de vous, qui portez en terre les grâces du Ciel où il éclairera ses ténèbres :
45 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Idée des spectacles novveavx. Livre II. — Chapitre IV. Des Feux de-Ioye. » pp. 184-185
t il s’agit. Par exemple, vn Combat de Mer, autrement qu’un Combat de Terre . Vne Ville prise, autrement qu’une Bataille gagné
46 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIV. » pp. 66-67
nt un chœurb de musique qui lui répondra. Ensuite il descendra sur la terre et dansera an milieu des Muses. Il faut bien se
47 (1675) Traité de la dévotion «  Méditation. » pp. 66-67
édés en espérance, pourrais-je être sensible aux vains plaisirs de la terre  ?
48 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — V.  » p. 459
quanto magis super omnem domum gaudii civitatis exultantis ? » Si la terre de mon peuple dit le Seigneur, est couverte de ro
49 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VI. » pp. 98-114
nnages ? C’est mêler ce qu’il y a de plus précieux avec la boue de la terre . La vengeance n’est pas moins opposée à l’esprit
t-être n’intéresseroient pas, s’ils vivoient encore parmi nous sur la terre  : tandis que l’on est tranquille sur sa propre de
50 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XII. Du Dimanche et des jours des Fêtes. » pp. 54-66
age de six jours. « Dieu a fait, est-il dit dans l’Exode, le ciel, la terre , la mer, et toutes les autres choses qui y sont c
arole de saint Grégoire, « C’est une chose plus tolérable de fouir la terre , ou de labourer un jour de Dimanche, que de danse
51 (1697) Satire à Mgr Bossuet « SATIRE A MONSEIGNEUR JAQUES BENIGNE BOSSUET. EVEQUE DE MEAUX. » pp. 46-48
moralités le public se rira. Jésus-Christ dira-t-il, aux riches de la terre Pendant toute sa vie a déclaré la guerre. Cependa
52 (1677) L’Octavius « Paragraphe XII du texte latin » pp. 42-46
t mal polis, s’il ne vous est pas donné de connaître les choses de la terre , à plus forte raison de discourir de celles du Ci
53 (1675) Traité de la comédie « VI.  » pp. 280-282
quanto magis super omnem domum gaudii civitatis exultantis ?  »Si la terre de mon peuple, dit le Seigneur, est couverte de r
54 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
doles ? Qui a formé ces métaux, si ce n’est celui qui a créé aussi la terre  ? Cependant leur a-t-il donné l’être, afin qu’on
urd’hui dans le cirque près des premières limites, un autel bâti sous terre et consacré au Dieu Consus avec cette inscription
qu’on nomme l’Euripe. Consus, comme j’ai déjà dit, demeure caché sous terre proche des Termes. Ce n’est pas tout : les limite
Le rouge fut consacré à Mars, et le blanc aux zéphyrs ; le vert à la terre ou au printemps, et l’azur au ciel, ou à la mer,
n lieu profane ; de l’éclat du ciel, comme l’on dit, à l’ordure de la terre . Ces mains que vous avez élevées vers le Seigneur
t quel spectacle plus éclatant que celui, où toutes les nations de la terre assemblées verront, et plus tôt qu’on ne pense, p
t antiques monuments de l’orgueil humain seront anéantis, et toute la terre avec ses habitants sera consumée par un déluge de
55 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664
x, font, mais ce n’est que par feinte, revenir les Ames des hommes en terre , les faisant sortir du creux des Enfers. Les Trag
56 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
mes réduits à vous invoquer, à regretter ce temps où vous couvriez la terre de vos folies et de vos crimes. D’un bout du mond
après vous le Christianisme a répandues avec tant de profusion sur la terre , et qui s’éteignent à mesure qu’il s’éteint lui-m
rage décidée, ne se calma que lorsque le Christianisme étendit sur la terre l’empire de l’innocence et des mœurs. Comparez da
s, et pour employer une image d’Homère, la chaîne d’or qui suspend la terre au trône de l’éternel. « Si je considérois le thé
la croissance et de l’énergie vitale…. Voyez l’état de nos armées de terre et de mer. Jamais on ne vit plus littéralement ce
57 (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. La Rosiere de Salenci. » pp. 10-37
our insinuer qu’il a voulu en faire un droit seigneurial attaché à sa terre . Grossier anachronisme enfanté par la vanité &
e plus imposant. Non, la vertu n’est point encore bannie de dessus la terre  ; il existe un lieu où elle est couronnée. Faut-i
t les douceurs de la propriété ; chacun d’eux attache à la portion de terre qui lui appartient, la cultive en paix ; & le
e respectable imagine de donner tous les ans à celle des filles de sa Terre qui jouiroit de la plus grande réputation de vert
lle part les droits de Seigneur, ni ne concourent avec eux dans leurs terres . Si M. de Mortfontaine a couronné & doté une
58 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, condamnée par les principes de ce philosophe.  » pp. 61-63
n pleurs ». Et la raison qu’il en rend, c’est qu’il n’y a rien sur la terre ni dans les choses humaines, dont la perte mérite
59 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 2 : Livre VI, chap. 7] » p. 590
e peut attendre que toute bonne chosei de la venue des bonnes ames en terre qui apparaissent visibles par le congé de Dieu à
60 (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84
Dieu, & que c’est lui qui a établi toutes celles qui sont sur la terre . Mais tant que celles-ci seront débitées avec d
& de leurs instructions ? Ils auront beau regarder les Rois de la Terre comme les dépositaires de l’autorité de Dieu même
’est-ce donc d’y perpétuer l’inimitié, sinon (p. 7.) nous montrer la terre n’offrant de toutes parts que le vaste, le dégout
parmi nous (p. 10.) le culte des temples de Venus & d’Astarté . Terre , vous ne vous entrouvrez pas sous nos pieds ! Cie
eds ! Ciel, vous ne lancez pas vos foudres sur nos têtes ! Ciel & terre , suspendez les effets d’un juste courroux ; déja
ons, la retraite de tout esprit impur qui fait boire aux Grands de la terre , qui nous fait boire à tous le vin de sa prostitu
ours rodant autour de nous pour nous dévorer , fera toujours de cette terre une vallée de larmes où nous ne pouvons (Phil. 2
it tous ensemble au fond de leurs cœurs : faisons cesser de dessus la terre tous les jours de fêtes consacrés à Dieu… (v. 23.
la Maison de David, demandez la paix de Jérusalem  : c’est pourquoi, terre des François, à cause que tes habitans sont mes
61 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
de grandes chutes, là le Ciel est taché par des regards impurs, et la terre souillée par des mouvements de lasciveté. La même
! Et ailleurs il assure, « qu’il vaudrait mieux labourer et bêcher la terre , que de danser un jour de Fête ». Saint Chrysosto
62 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152
sont de justes peines de notre péché : mais nous n’avons point sur la terre depuis le péché, de vrai sujet de nous réjouir :
te de Jésus-Christ et de ses martyrs ; que ses conquêtes par toute la terre et le règne de sa vérité dans les cœurs ; que les
63 (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68
rs des murmures et des jurements, vers le cimetière, pour rendre à la terre un peu de cette poussière anathématisée. Le soir
aux peuples émerveillés les événements anciens ou récents dont cette terre sacrée avait été le théâtre. C’est à eux qu’il fa
64 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
mer des justes ; voilà l’unique but des mystéres qu’il a opéré sur la terre . Mais un Chrétien qui désire sincérement de conse
65 (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Privilege du Roy. » pp. -
, vendre & distribuer en aucun lieu de nostre Royaume, Païs & Terres de nostre obeïssance, sans le consentement dudit
66 (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200
le qui a quelque racine telle que le blé, mais que la fraîcheur de la terre produit en un moment, et que la chaleur du soleil
iques de lubricité, où la grande Babylone mère des fornications de la terre fait boire le vin de sa prostitution, ils les déc
ans la joie, aux Disciples d’un Dieu homme qui n’a jamais pris sur la terre le moindre divertissement, à qui le rire a été in
67 (1775) Voyage en Italie pp. 206-208
dans le chemin de la Nature, occupé journellement de la culture de la terre , qui fournit enfin à tous les vrais besoins, amus
68 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  dénombrement du clergé de france avant et depuis la révolution.  » pp. 346-350
a dignité, l’éclat de ses fonctions de vicaire de Jésus-Christ sur la terre , prétend à une supériorité directe sur les rois.
69 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159
de gémissemens, & qui les tiennent ensevelis, inconnus à toute la terre (la clôture religieuse qu’on veut rendre odieuse)
i-tôt la tombe avec de grosses pierres qu’on couvroit d’un monceau de terre . Est-ce là cette condamnation, cette exécution pr
emps, ni bornes, ni distance, & perce également l’épaisseur de la terre & le cristal des airs. On dit le vague de l’a
-t-il pu pénétrer dans le Temple ? On le fait ridiculement creuser la terre , comme le mineur : & où aboutira ce souterrai
70 (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351
riront dans le combat. Les portes de Sion seront dans le deuil, et la terre sera toute désolée. » Que penseraient les hommes
événements que dans l’Histoire d’un peuple que Dieu conduit dans une Terre promise par des miracles continuels, et qu’il con
réjouir au son de ces chants ? N’est-ce pas là pour les Chrétiens une terre étrangère ; puisque c’est une terre de gens excom
-ce pas là pour les Chrétiens une terre étrangère ; puisque c’est une terre de gens excommuniés ; et ne doivent-ils pas dire
s]. 136. ; « Comment chanterons-nous le Cantique du Seigneur dans une terre étrangère ? Quomodo cantabimus canticum Domini in
71 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « JUGEMENT DE M. DE VOLTAIRE, SUR LES SPECTACLES. » pp. 78-81
s charmes d’un art qui ne fut inventé autrefois que pour instruire la Terre et pour bénir le Ciel, et qui par cette raison fu
72 (1765) Apologie du théâtre français pp. 1-4
us, et menace les cieux ; Des hommes si profonds quittent trop tôt la Terre . ***  C’est un Molière exquis plein de sages ma
73 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
Il répondit, qu’il y était entré, parce qu’il l’avait trouvée sur ses terres , et dans le lieu de son domaine. En effet, c’est
el, ce vaisseau d’élection choisi pour porter l’Evangile par toute la terre , ce grand S. Paul est rempli de grâces et de béné
on l’avait lapidé ; il s’est trouvé mouillé, fatigué, couché à plate terre dans le fort de l’hiver, et au milieu de toutes c
a mer, et qui renversent quelquefois les arbres et les maisons sur la terre . Voilà des exemples mémorables de la puissance de
74 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118
en Société et non pas les disperser dans les glaces du Canada ou des terres Australes ; cet Auteur respectable dis-je, a trou
rurale ridicule, et qu’on ne l’ait dégoûtée par-là du séjour sur ses terres . Il se trompe selon moi ; le vrai motif de ce dég
emeurant à la Cour ou dans la Capitale ; allons-y donc, affermons nos terres , achetons au prix de la moitié de notre revenu le
lesse ne peuvent que lui en savoir gré. Ce n’est pas d’être sur leurs terres qu’il les reprend ; c’est d’y être fainéants, org
75 (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14
rs et le Tombeau des Rois. C’est dans ce monument que les Dieux de la Terre Viennent en pâlissant déposer leur tonnerre ; Fas
même. » Aux ordres du Destin, esprits, obéissez. Démons, rentrez sous terre , affreux chaos, cessez, Armide a vu Renaud ; Rena
76 (1731) Discours sur la comédie « PREFACE » pp. -
se ne peut se dispenser de tolérer des maux. Tant qu’elle sera sur la terre , toujours semblable à un champ semé de froment3,
ité terrestre qui travailleront à étendre tout ce qui appartient à la terre  ; mais les membres de la Cité sainte doivent comb
77 (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11
omparer à des engrais, sollicitent en vain les siècles inféconds : la terre est plus obéissante1. Les longs intervalles de te
n jour ; il est prouvé aujourd’hui qu’en confiant successivement à la terre des graines de différentes espèces, elle répond c
78 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur de Nemours » pp. -
a voix d’un Oracle Qui dit, c’est un autre miracle Pour trouver en terre les Cieux. Ha ! ce sont les doctes pucelles, Sai
79 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XX. Silence de l’Ecriture sur les spectacles : il n’y en avait point parmi les Juifs : comment ils sont condamnés dans les saintes Ecritures : passages de saint Jean et de saint Paul. » pp. 72-75
ient délasser à l’exemple de ses Patriarches, après avoir cultivé ses terres ou ramené ses troupeaux, et après les autres soin
80 (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37
riage un homme de cet état ; un autre ne vouloir pas leur accorder la Terre sainte ; et dans les Statuts d’un Prélat bien plu
81 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
quatrième, lorsqu'elle dit à César. « C'est là que tu verras sur la terre et sur l'onde Le débris de Pharsale armer un autr
st pour cela que l'Ecriture nous apprend que la vie de l'homme sur la terre est un combat continuel, parce qu'il n'a pas plus
i danse le Dimanche fait un plus grand péché que celui qui laboure la terre . Je ne pense pas que selon cette règle on puisse
82 (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258
luence religieuse pour augmenter leurs richesses et leur autorité sur terre . Page 16 L’apôtre saint Paul place la charité ava
ir les dangers de l’influence du parti religieux, qui veut placer sur terre l’autorité spirituelle au-dessus de l’autorité de
té évangélique. Page 218 Si le premier pape saint Pierre revenait sur terre avec les dehors de la pauvreté, il serait à crain
83 (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  PRÉFACE. » pp. -
cet infâme Zoïle. Enfans chéris des neuf Sœurs, il est encore sur la terre un Pithon éclos de la fange ; sage moteur de tant
84 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
me par ses applaudissemens à braver les foudres du ciel ; & de la terre  ; & on ne frémit pas ! Où est donc la foi ? O
85 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « III. » pp. 12-16
casion de joie si publique et si solennelle leurs yeux baissés contre terre , sans qu’ils les détournassent jamais de côté ou
86 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
abli l’état d’un admirable empire, subjugué la meilleure partie de la terre , conservé l’excellente dignité d’un noble gouvern
87 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « V. Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage.  » pp. 19-24
, VI, 25. [Luc, chapitre VI, verset 25]. . Ceux qui ont laissé sur la terre de plus riches monuments n’en sont pas plus à cou
88 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 7-8
al. Et ailleurs il dit expressément, qu’il vaudrait mieux labourer la terre un jour de fête que d’y danser, et il appelle la
89 (1833) Discours sur les spectacles « [Discours sur les spectacles] » pp. 3-16
rbe Louis XIV, sollicite vainement de l’arrogant pontife une place en terre sainte pour Molière ; il n’obtient qu’un refus in
sé les sacrements, mais François de Harlay a autorisé l’inhumation en terre consacrée. s. [NDE] Chatel forme ce néologisme s
90 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
ts, et lors il n’y aura plus ni comédiens ni comédie. Car, puisque la terre en sa circonférence n’est qu’un théâtre, et les c
emblez à ceux. am. [NDE] Comprendre : et puisque les citoyens de la terre ne sont que les acteurs. an. [NDE] Boyer transc
91 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
os Rois qui surpassent en grandeur et en piété tous les Princes de la terre , se sont montrés très sévères en ces rencontres,
rte son insolence jusqu’au Trône de Dieu, et le Valet donne du nez en terre , et devient camus avec son raisonnement : le Maît
ure jamais impunie, et que si elle échappe quelquefois aux feux de la Terre , elle ne peut éviter ceux du Ciel ; qu’un abîme a
92 (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172
uis mille fois plus éloigné de son mérite, que le Ciel ne l’est de la terre . Je ne prononceray pas mon Discours, comme il a é
a prononcé contre elles. Mais, poursuivoit-il, comme si le sein de la terre n’estoit pas assez vaste pour contenir le sang ve
ntretenir les sentiments guerriers du peuple le plus belliqueux de la terre  : jusques là qu’on prétendoit par cette même rais
utre sexe. Cieux, étonnez-vous sur ce prodige, Jer. 2. 12. puisque la terre ne s’étonne pas. Ceux qui ont juré dès le premier
veuglent au lieu de l’éclairer. Ceux qui devroient estre le sel de la terre , l’affadissent au lieu d’y répandre leur sagesse.
93 (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504
il se veut rendre à son nid, et ne point laisser aucune trace sur la terre ou sur la neige, qui puisse découvrir au Veneur l
rde qu’elle enflait les joues en jouant de la flûte, elle la jeta par terre , et ne put jamais être persuadée de reprendre un
l lui plaît : Nous pouvons aller où nous voulons sans craindre que la terre nous manque : Les grands chemins nous mènent touj
, ou nous voyons des bois, des vignes, des prairies, des maisons, des terres labourées, des montagnes, des vallées ; ici un ch
de ? pouvait-il avoir un fondement, ou un plancher plus solide que la terre  ? pouvait-il être plus richement couvert que du C
ug. in Ps. 91. Proposez-lui deux personnes, dont l’une a cultivé la terre un jour de fête, l’autre est allée au bal : Deman
a parole fut aussitôt ratifiée dans le Ciel, qu’elle fut prononcée en terre . Toute l’année se passa à danser jour et nuit san
le faste et l’arrogance des orgueilleux ; c’était pour représenter en terre qu’elle peut être la joie des Bienheureux dans le
ps qu’il perdit Pharaon, s’il nous remettait dans la possession de la Terre Sainte, et de tous les lieux sacrés, où Jesus-Chr
rand accroissement au genre humain, et qui l’ont répandu par toute la terre  : Pendant tous les premiers temps il ne s’est poi
les choses étaient en leur lieu : Elle donne toutes les mesures de la terre  ; elle en montre la figure, elle loge chaque nati
oilà sa police et la façon de son gouvernement. La mer couvre tant de terre , sa plus haute profondeur n’est guère que d’une l
ure ; car tout y est contagieux, et personne ne touche sans danger la terre où le serpent à répandu son venin. Si on fait jus
se ; j'écris mes rétractations, je tâche de les répandre par toute la terre , mais les âmes qui sont perdues par ma faute, ne
ole ne serait pas plutôt sortie de la bouche du blasphémateur, que la terre ouvrirait son sein pour l’engloutir. IlThom. Cant
estra sunt, vos autem Christi, Christus autem Dei. » 1. Cor. 3. La terre est pour les plantes ; celles-ci sont pour les an
celles-ci sont pour les animaux, et les animaux pour les hommes : La terre ne se peut plaindre si les plantes tirent leur su
aisait venir d'Egytpe pour lui faire oublier son pays. c. NDE bolus: Terre argileuse colorée, qui était employée autrefois e
94 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
ens utiles. On osait dédaigner ceux qui font éclore les trésors de la terre , & l’Ouvrier qui nous procure les commodités
95 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112
d’une voix de tonnerre ; Je chante le vainqueur des vainqueurs de la terre . Voici le début d’Homère dans l’Iliade. « Déesse
96 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « IV. » pp. 17-22
i joignaient le culte du vrai Dieu qu’ils appelaient le Dieu de cette terre à celui des fausses divinités de leur pays ; Qu’i
97 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XIII et dernier. De l’utilité de l’art théâtral, et des dangers attachés à la profession de Comédien, sous le rapport des mœurs. » pp. 223-228
, et refuser aux acteurs, les prières de l’église, et la sépulture en terre sainte. Je suis bien éloigné de pallier la vérité
98 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180
oses saintes, &c. S’il vous faut des spectacles, le ciel & la terre , l’histoire, les cérémonies de la religion, les s
es tout différens, tout opposés. Le ciel n’est pas plus éloigné de la terre . Pour les livres qui traitent des mystères sublim
99 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
on opulence se tiendra toûjours humble & detaché des choses de la terre , qui compatira aux besoins de ses freres. Qui pou
tous les plaisirs, les honneurs, les richesses, les possessions de la terre seront anéanties, & que vous seul demeurerés.
100 (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211
ez des plaisirs plus purs et de plus beaux spectacles : le ciel et la terre vous en offriront ; l’éclat de ces astres, qui pe
es sombres ténèbres de la nuit ; cette vaste mer et ses abîmes, cette terre et l’émail de ses campagnes, les innombrables tro
/ 330