es Latins. Les Grecs n’ont fait aucun usage de ce terme, qui nous
vient
directement des Latins. Ils se contentaient peut-
& à la sortie de ses Acteurs. Ils entreront à propos, lorsqu’ils
viendront
sur le Théâtre pour quelque motif déterminé. Il f
ccompagne afin de tâcher de l’adoucir. Voilà donc des personnages qui
viennent
occuper la Sçène sans blesser en rien la vraisemb
ur cela considérer deux choses. Prémièrement, que l’Acteur qu’on fait
venir
à l’aide d’un Messager, ne soit pas trop éloigné
fait faire le message ; autrement, on demanderait pourquoi il le fait
venir
avec une telle promptitude, & pourquoi il ne
nt le caractère est un des mieux travaillés de la Pièce ; qu’Alworthy
vienne
tout-à-l’heure, c’est pour affaire pressée ; s’il
un endroit public. Il est encore tout simple qu’un nouveau personnage
vienne
apprendre une nouvelle intérèssante, ou s’instrui
coure à les amener ; & qu’il soit même impossible qu’un autre fut
venu
à la place de celui-ci. Il n’est pas moins né
l’on sache. Remarquez que lorsqu’au milieu d’une conversation il nous
vient
une pensée, ou contraire ou confirmative à ce que
tacle favori ; encore une fois, enchaînez vos Scènes avec art, faites
venir
& disparaître vos Acteurs à propos & avec
les Adelphes. Je crois pourtant que cette dernière Pièce n’est point
venue
jusqu’à nous dans le même état que Térence l’a éc
th. 9. « Comme Jésus parlait aux troupes, un Prince de la Synagogue
vint
à lui, et l’adorant lui dit : Seigneur, ma fille
de la Synagogue vint à lui, et l’adorant lui dit : Seigneur, ma fille
vient
présentement de rendre l’esprit ; mais venez, tou
dit : Seigneur, ma fille vient présentement de rendre l’esprit ; mais
venez
, touchez-la de votre main, et elle vivra. Jésus s
emnitatem : Les rues de Sion pleurent, parce qu’il n’y a personne qui
vienne
à la grande solennité. » On ne parlait plus de pi
, et que la pensée d’une malheureuse impossibilité ne les empéchât de
venir
à lui. Ce sont les termes dont il se sert. Il ne
tissement, plusieurs âmes souffraient les agonies de la mort. Un jour
viendra
que vous souffrirez comme elles, et lorsque vous
a jamais. Ah ! si vous faisiez sérieusement ces réflexions après être
venus
du bal et de la comédie, si vous les faisiez, mes
belle, agréable, charmante, et pour être du nombre de celles à qui on
vient
rendre des hommages comme à des divinités visible
t, de theatro adulteri revertuntur11 . Une infinité de personnes qui
viennent
à la comedie sans peché, s’en retournent avec l’a
; on se propose de ne me voir qu’au Théâtre : on renonce au projet de
venir
pour moi chez mon amie… Mais, cette amie, chère A
c’est mon épouse elle-même qui doit vous recevoir. Et le voici qui
vient
lui-même : cachons tout ceci………… à midi. Tout va
… Oh ! c’est trop plaisant ! Je l’ai fait : voici ce que je me dis :
Venez
, Mademoiselle ; je vous attens ce soir à neuf heu
!… A cinq heures, suivant l’ordre que j’en avais donné, Agathe est
venue
me prendre chez monsieur de Longepierre. Elle m’a
Je demeurais toujours ensevelie sous le voîle : monsieur D’Alzan est
venu
timidement auprès de moi, & m’a fait beaucoup
encore aperçue ; le son de ma voix la frappe ; elle se dégage, &
vient
à moi, en me donnant tous ces noms charmans que n
ous lui avons appris. Nous entendons neuf heures. — Madame D’Alzan ne
vient
pas, disait à tout moment celui qui l’avait devan
voici un trait. Il étoit en guerre avec un Prince voisin, un jour on
vint
lui dire que son ennemi étoit entré dans ses Etat
se déshonorer en se montrant à ces spectacles. A leur place, il fait
venir
les plus petites bourgeoises, il en devient amour
ns une maison de campagne voisine de Nanci. Chaque soir il la faisoit
venir
in cognito sur la brune, & le lendemain il la
e nocturne ; il voulut que cette entrée se fît au flambeau. La Déesse
vint
au milieu de la nuit, comme Proserpine fut reçue
cles étoit si connue à la Cour de France, que toutes les fois qu’il y
vint
négocier quelque affaire, ce qui arriva souvent,
en fit de même à son fils légitime, le Prince de Vaudemont. Ce Prince
vint
à Paris conclure quelque traité avec Louis XIII.
pendant après la prise de Besançon où ce Prince avoit combattu, étant
venu
visiter Louis XIV, il en reçut toute sorte de civ
& de désespoir. On fit malignement courir le bruit, & on fit
venir
jusqu’à lui par des lettres anonymes, que le Prin
par des billets de loterie il distribuoit des bijoux aux Dames : Je
viens
, dit-il en souriant, d’acquérir le plus riche bi
mp; les Napolitains s’étant revoltés contre l’Espagne, l’inviterent à
venir
se mettre à leur tête, & le déclarerent Génér
voyant sans espérance, eut peur, & se retira promptement. Le Duc
vint
à Paris se consoler, avec des couronne de myrthe,
e de l’Europe, avant de se fixer à Rome où elle finit ses jours. Elle
vint
en France. Louis XIV lui fit à Paris une réceptio
x que son Capitaine, & tous deux s’en revinrent comme ils étoiens
venus
, aussi foux l’un que l’autre. Le Prince dit l’Écr
sse, une fille de dix ans, une des plus belles creatures de la ville,
vint
à moi en rougissant, me fit une révérence de bonn
nt son placet sur les balustres de l’Autel. A dix heures du soir elle
vint
chez moi, & me fit dire par un valet de chamb
mpêche qu’on n’y donne ce sens. Deux Ivrognes et après eux Polyphème
viendront
demander d’être guéris. Esculape les rejettera pa
ppliquant les remèdes de la Médecine spirituelle que Jésus Christ est
venu
apporter au monde. Car c’est de mon âme que je vo
ejeté par son Père, parce que l’état misérable, où il se trouvait, ne
venait
que de son dérèglement. Il est donc clair que la
orté toutes les guérisons miraculeuses qu’il faisait des corps ? D’où
vient
donc que votre Héros ne veut point entreprendre d
e. De madame D’Alzan. Lundi 23. N on, mon adorable Adelaïde, ne
venez
pas seule ; ce mariage, les embarras qui l’accomp
je rendais étaient dans mon cœur, & je les rendais bien. Elle est
venue
m’embrasser, en me comblant d’éloges. Il a fallu
ctrice remplace aujourd’hui Mademoiselle ***, elle m’ennuiera. — D’où
vient
ne pas la voir, cette nouvelle Actrice ; l’encour
lée ! — Mon-dieu ! Madame, me dit-il en entrant, vous n’êtes donc pas
venue
?… L’Actrice nouvelle ; j’ai besoin de vous voir
F*** demeurait dans un château à deux lieues de la Ville ; le mari y
venait
tous les jours ; mais comme il ne possédait sa fe
a Ville où il fesait sa résidence. Le Directeur du Théâtre avait fait
venir
cette jeune Actrice de M… où ses talens commençai
i manquait. Elle était inconnue ; son mari dépuis sa nouvelle passion
venait
plus rarement ; elle osa former le projet, &
e & ses premiers sentimens de tendresse, & ce goût vif, qu’il
venait
d’éprouver pour un nouvel objet : son retour fut
otentiaire qu’à Munster ? M. votre Frere est revenu chargé de palmes,
venez
-y couronnée des myrthes de la paix. Ce n’est pas
i reçut fort mal ses avis, & se brouilla avec lui. Le mari la fit
venir
à Munster, où il étoit Plénipotentiaire : il fall
u Chapitre de Liége qui regarda comme une cérémonie ecclésiastique de
venir
rendre hommage à une femme. Ce fut une fête conti
ec une dignité & une bonté qui gagnoient tous les cœurs. Son mari
vint
au-devant d’elle, & le Vicomte de Turenne, qu
mple. Charmés de sa beauté, ils interrompoient leurs conférences pour
venir
l’admirer. Pour guérir sa mélancolie, un des plén
ladie dont un bal & une comédie ne soit le remede : elle voulut y
venir
, se trouva guérie, & fit prier la Reine de l’
Longueville se donne tant de mouvement pour si peu de chose : qu’elle
vienne
si elle veut. Elle y vole, & y recueille une
ndre aux femmes. Les gentilshommes de province furent appellés, &
vinrent
en foule, tout se ligua contre un tabouret &
fut si grand, qu’il fallut y renoncer. Le Prince fut assez sage pour
venir
à pied & faire tenir sa femme debout, & l
cain & Jupiter à l’Opéra. Bientôt cependant l’Impératrice romaine
vient
à son tour rendre hommage à la Reine, qui la reço
uirent à travers champ, traverserent plusieurs provinces, & enfin
vinrent
se divertir à Bordeaux, où le Parlement & les
la la fête & ferma la scène : la décoration changea si bien qu’on
vint
à ses pieds abjurer les plaisirs, & demander
Il y eut des combats à Orléans & à Etampes : le Duc de Lorraine y
vint
danser un menuet, & s’en retourna. Mlle. de M
les fêtes que l’Aréopage & l’Hôtel-de-Ville lui donnent. La Reine
vient
avec une armée faire le siége de Bordeaux, on le
reçu avec mepris. Les Princes sortent de prison, & il fuit ; ils
viennent
à la Cour, & il quitte le royaume : les deux
la prison des Princes, il en fait autant à leur retour ; la noblesse
vient
en foule des provinces, s’assemble dans la grand’
t pas de son goût : mais elle, qui en faisoit ses délices, refusa d’y
venir
, & aima mieux s’aller confiner dans une provi
partemens de l’Hôtel de Longueville, fit un demi-tour à droite, &
vint
rendre hommage au Louvre ; on avoit fait exiler M
t rendre hommage au Louvre ; on avoit fait exiler Mazarin, & l’on
vint
le féliciter & remercier le Roi de son retour
r le Roi de son retour ; le Parlement avoit mis sa tete à prix, &
vint
se prosterner à ses pieds ; on l’avoit déclaré re
d’aller à Moulins auprès de sa tante qu’on estimoit, & ensuite de
venir
avec lui dans son Gouvernement. Le temps, ses pro
que les humiliations de son frere, lorsqu’à la paix on lui permit de
venir
demander pardon au Roi, & faire la cour au Mi
, la paix, firent de toutes parts naître des spectacles ; Mazarin fit
venir
l’Opera, qui dans un prélat n’est pas moins singu
tres : ce fut un voyage de quelques mois, où on ne fit qu’aller &
venir
; les armées françoises allerent comme un torrent
é que la Comédie & la Tragédie sont l’école des mœurs. Les hommes
viennent
s’y instruire en s’amusant. On leur doit les prog
; leur ignorance se dissipe-t-elle ? les Arts amènent la Comédie, qui
vient
achever de les éclairer. Dans les beaux siècles d
ira tout-à-fait. Un Auguste, un François I, un Médicis, un Louis XIV,
viendront
alors lui rendre son éclat : elle le conservera p
rieux, &c, &c ; valent d’éxcellens traités de morale ? Qu’ils
viennent
aux représentations des Ouvrages de nos grands Ma
ction, nous font rire de nos propres égaremens. La Tragédie en pleurs
vient
nous dépeindre les plus grands crimes des humains
ni de honteux dans leur emploi. Que peut-il y avoir de dèshonorant à
venir
réciter en public les Ouvrages des Hommes de géni
ire, ne peut réussir qu’au grand dommage des autres Théâtres, qu’elle
vient
peut-être éffacer : elle ne leur est point si dis
sur toutes les classes et particulièrement sur la plus nombreuse, qui
vient
y chercher le délassement de ses travaux, plaisir
vante justifiée 6 trop réservée dans sa conduite. Les fortes émotions
vinrent
remplacer les effets d’une gaîté souvent licencie
des scènes extraites des ouvrages courus, affublées d’un grand titre,
vinrent
s’installer sur le terrain occupé aujourd’hui par
e bien la chose, j’aurai soin de sa vieillesse, autrement…. Le garçon
vînt
servir, mon séducteur, que je prie mes lecteurs d
escendait la chaussée de la Courtille, s’abordèrent en ces termes : «
viens
donc, Pierre, la répétition est arrêtée pour toi
ie du siècle, frappe ma vue ; parbleu, me dis-je, voilà de quoi faire
venir
l’eau à la bouche d’un gastronome qui cherche l’a
la place du génie… J’allais continuer sur ce ton, quand la réflexion
vint
me calmer ; je vis bien que le Montparnasse, de n
es charlatans. Je n’avais pas fait trente pas, qu’une bonne d’enfants
vint
me prier de lui dire ce qu’on donnait le soir mêm
doit mettre à la portée d’ tout l’ monde ; Montrouge et les Gobelins
viennent
ici, jouir à peu d’ frais, d’ tout c’ que Paris a
it appelée à d’honnêtes fonctions ; un démon, jaloux de sa perte, est
venu
placer un théâtre sur une route du cercle de ses
à sa voisine la Gaîté, à son voisin l’Ambigu ? Est-ce parce qu’il est
venu
après eux ?… Mais le Gymnase ne l’a pas devancé d
rideau portait encore la légende : Sicut infantes audinos. k — « D’où
venez
-vous ? » me répondit-il. « Cette légende modeste
e pas aux dégoûtants tableaux, tirés du crime commis à Rodez70 ; on y
vient
, non pas pour s’amuser, mais parce qu’il faut pas
e qui convenait à c’ théâtre qui, d’ premier pour le mélodrame, est d’
venu
l’ dernier pour le vaudeville ; mais du reste, l’
s actionnaires… » J’allais en apprendre davantage, lorsqu’un équipage
vint
réclamer l’office du porteur de médaille, qui me
t de mieux à Paris, où les petits soupers étaient alors en vogue ; on
venait
faire la digestion aux jeux de nuit de Nicolet.
Dieu. Il ne faut que vous écouter. Le Génie de la Ville, dites-vous,
viendra
accompagné de divers âges, de différents états, e
n placera dans le temple le Génie du Prélat, aux pieds de qui Hercule
vient
quitter sa massue, Orphée sa Lyre, Argus sa Bague
, puisque ceux du second ordre, Hercule, Orphée, Argus, Esculape, lui
viennent
faire hommage en mettant chacun à ses pieds le Sy
il ne s’écarte guères de la Vérité ni de la Nature ; & de là lui
viennent
ses principales beautés ; aussi ne cherche-t-il p
Soyons en certains, le grand amour que nous avons pour ce Spectacle
vient
encore une fois, de ce que nous y trouvons presqu
tire son principal mérite. Un des panégyristes de l’illustre Boileau
vient
appuyer mon sentiment3 ; « ce n’est que dans le V
de Sparte, était persuadé de cette vérité. Un jour on le pressait de
venir
entendre certain Grec qui contrefesait admirablem
lle et plus raisonnable et aurait moins choqué les gens de bien. D’où
vient
donc que ce qui saute aux yeux de tout le monde n
ent donc que ce qui saute aux yeux de tout le monde ne vous est point
venu
dans l’esprit ? Est-ce que M. le Cardinal Grimaud
tes vos triomphes, et la piété faisait son exercice continuelle. D’où
vient
donc, Mes Pères, que la mort d’un si saint Pasteu
dmirer : Ou si le démon de science, Et la plus haute intelligence Lui
viennent
encor inspirer. Serait une mer sans rivage, Dans
, Ravis par les doctes paroles, Qui font un Zephyr si doux : Orphée y
vient
quitter sa lyre, Glorieux encor de lui dire, J’ai
Ainsi cette fleur sans pareille, Ce Parnasse, et Ciel de merveille,
Vint
illuminer nos […]l D’une flamme si pure et belle
sion, à la disposition des ordonnances, à la discipline du palais, ne
vienne
principalement du ridicule qu’on lui donne au spe
er des habits dont il vient de se moquer avec le parterre. Oserait-on
venir
en robe à la comédie ? On se ferait siffler. Il f
es vertus morales, dont le nom est devenu un éloge et un proverbe, ne
venait
que rarement à la comédie, et uniquement pour en
mposer aux Acteurs et les réformer. A ce prix on y verrait avec fruit
venir
des Magistrats. Un jour que Caton y parut, on vit
pas de le ramener, s’en alla. Sur quoi Martial dit plaisamment : Que
veniez
-vous faire à un spectacle, si peu fait pour un Sé
à un spectacle, si peu fait pour un Sénateur ? était ce la peine d’y
venir
pour s’en retourner ? « Cum nosses licentiam, cur
t point fait pour eux, que si par hasard quelqu’un s’oublie jusqu’à y
venir
une ou deux fois, ce ne peut être qu’en cachette
’étant dans ma loge à m’habiller en Prêtresse de Diane, un jeune Abbé
vint
m’y trouver, et sans respect pour mon habit blanc
r les bulles des Papes, sur les ordonnances des Evêques, un homme qui
vient
d’apprendre la discipline ecclésiastique et les r
et d’un jardin délicieux, dans lesquels l’Auteur se promène, et fait
venir
ce qui lui plaît. Après avoir parlé de la parure,
en même tems les abus qu’on en fait. Presque toutes ces machines nous
viennent
des anciens. Aristote appelle les reconnoissances
nt. Ses malheurs partent d’une source si respectable ! Ceux d’Electre
viennent
d’un coup si barbare que l’ame en frissonne. Cett
s vues chacune une fois. Telle est notre destinée. Une génération qui
vient
après vingt autres, ne goûte plus ce qui faisoit
cette Princesse croyant son courroux calmé, avoit une raison de l’en
venir
remercier. Danaüs est venu sur la Scène, sans s’a
courroux calmé, avoit une raison de l’en venir remercier. Danaüs est
venu
sur la Scène, sans s’attendre à ce qu’on vient lu
r remercier. Danaüs est venu sur la Scène, sans s’attendre à ce qu’on
vient
lui annoncer. Il n’avoit donc pas besoin de se mu
mais le patétique de la situation eût disparu. Un confident de Danaüs
vient
lui dire que les portes du Palais sont forcées. B
uelque goutte, ne lui dit rien de son projet, & lui recommande de
venir
le retrouver dans quelques heures. Le Grand-Prêtr
u en songe lui cause des soupçons. Mathan envoyé bientôt par elle, le
vient
demander de sa part à Josabet, qui allarmée songe
leur montre leur Roi, & leur fait prêter serment de fidélité. On
vient
dans ce moment annoncer que la montagne sur laque
tir avec le jeune Roi pour aller combattre, Abner envoyé par Athalie,
vient
lui offrir la paix à condition qu’on lui livrera
a donné connoissance. Le Grand-Prêtre ayant répondu que si elle veut
venir
, accompagnée seulement de ses principaux Officier
mp; environnent Athalie, qui attend le secours de son Armée ; mais on
vient
annoncer que son Armée a pris la fuite au nom de
Grand-Prêtre est connu par le premier Vers qu’il prononce. Abner lui
vient
annoncer des périls qui le menacent : Athalie méd
; il répond tranquillement à celui qui tremble pour lui, D’où vous
vient
aujourd’hui ce noir pressentiment ? Voilà un
rès-éloignés, & ne pleure point sur ce même Enfant lorsqu’Athalie
vient
à main armée pour le lui arracher. Un tel caract
la sienne à son Confident. Il a trouvé ses deux Fils à Nymphée : qu’y
viennent
-ils faire ? L’un & l’autre à la Reine ont-
d’Athalie, elle le croit perdu : Ah ! de nos bras sans doute elle
vient
l’arracher. Quand elle lui essaye le Diadème,
adème, elle s’attendrit & pleure : lorsqu’elle apprend qu’Athalie
vient
avec son Armée, sa foi s’affoiblit, & dans sa
ser une plainte harmonieuse, miserabile carmen, au rossignol à qui on
vient
d’enlever ses petits. La Nature n’invite ni les o
n’arrive jamais à un chœur Tragique. On comprend tout d’un coup d’où
vient
cette différence. L’objet de la Comédie est d’ins
e, ce que je prouve encore par l’Opera même. Les Plaisirs en personne
viennent
chanter & danser devant Renaud, & l’ennui
p; en déclamant il prenoit toujours ceux de la Nature. Dans ce que je
viens
dire sur la différente impression que font sur no
emond, où l’esprit a si peu à faire, c’est une nécessité que les sens
viennent
à languir : c’est en vain que l’oreille est flatt
annuntiabit omnia. » « Je sais que le Messie, qui est le Christ doit
venir
, lorsqu’il sera venu il nous enseignera toutes ch
« Je sais que le Messie, qui est le Christ doit venir, lorsqu’il sera
venu
il nous enseignera toutes choses. » Dans saint Je
me s’écrie tout-à-coup ; « Mais aujourd’hui, malheureux que tu es, on
vient
nous enlever nos meubles ! » voila ce qui s’appel
’il n’est point là de nœud, puisque le nœud se forme des accidens qui
viennent
troubler, renverser les desseins du principal Per
du moins en partie, sur les désagrémens, sur les embarras du ménage.
Venons
maintenant aux moyens dont un Poète habile doit s
ène, qu’ils soient toujours en mouvement, qu’ils aillent & qu’ils
viennent
. La gravité de leur caractère ne les empêche pas
charge de M. Richard, doit être au moins à la suite du Roi lorsqu’il
vient
chasser dans les lieux de son district. La du
du nouveau genre. Le dénouement des Pièces du nouveau genre doit
venir
promptement. Que les Auteurs qui se destinent à t
es prie de lui accorder leur pratique, puisqu’il en est même deux qui
viennent
le faire travailler. Qu’on doit suivre l’éxem
mp; ses bouts de Manche, pour aller au Chateau ; le compère la Bride,
vient
le visiter : il boivent Bouteille ensemble, sorte
Il faut prendre garde, recommande Corneille, que le dénouement ne
vienne
pas par un simple changement de volonté, mais par
irement que les fruits d’une heureuse et parfaite tranquillité. De là
vient
que dans leurs Ordonnances, il n’est fait mention
ans le silence : ils sont Provençaux, et tous ceux de ces professions
venaient
en effet de cette Province, et se répandirent dan
qu’il aurait acheté pour son usage. C’est de là vraisemblablement que
vient
cet ancien Proverbe populaire, payer en monnaie d
celles des Jongleurs ou « Jongleresses, qui auraient été louées pour
venir
jouer dans une assemblée, d’en envoyer d’autres e
eptus es. Nimium ipse est durus, præter œquum bonumque. Ter. Il
vient
souvent me crier aux oreilles, vous aimez trop la
mière pensée, la réflexion constante d’un sage, que le mécontentement
vient
à désabuser de cette chimère de perfection, qui l
ue vous voyez encore clairement la vérité, et que le mal de tout ceci
vient
principalement de ce que vous ne voulez pas dire
ment. Ici toutes vos qualités, tous vos avantages, toutes vos vertus,
viennent
s’offrir à mon esprit pour augmenter mes regrets
s les plus ingénieux, les idées les plus heureuses, leur sont souvent
venus
des femmes ; qu’ils ont éprouvé cent fois que d’u
qu’une femme qui aimait beaucoup son mari, ayant appris un jour qu’il
venait
d’être assassiné par son beau-frère, chez qui ell
des qualités sublimes que vous ne vouliez point voir en elles, soient
venu
déranger l’ordre de vos offençantes idées. Tout c
clavage l’irrite, et des injures expriment l’hommage de son cœur. Que
venez
-vous faire ; Madame ? Qui vous appelle en ces lie
: abandonnée à mon génie, je n’ai consulté que lui ; j’ai su que vous
veniez
vous promener ici, j’ai volé sur vos traces… Mépr
il voit tout ce que je viens de peindre, il se rappelle tout ce qu’il
vient
d’entendre, il sent qu’il doit quelque chose à la
pas aussi en vrai Idolâtre, quand il dit au sujet de Pauline. « Je
viens
sacrifier ; et c’est à ses beautés Que je viens i
et de Pauline. « Je viens sacrifier ; et c’est à ses beautés Que je
viens
immoler toutes mes volontés. » Ces mots de sacr
où il y a de la paille, de peur que lorsqu’on y pense le moins, il ne
vienne
à tomber une étincelle de feu dans cette matière
x moments. La beauté se passe, Le temps l’efface, L’âge de glace,
Vient
à la place, Qui vous ôte le goût de ces doux pass
rendre, Que me demandes-tu ? » Que si une Damoiselle ainsi élevée
vient
à se marier, elle est tellement occupée d’elle-mê
et à l’Opéra ; et l’on appelle cela vivre à la grandeur. Que si l’on
vient
à examiner quelle est la source et la première ca
est celui qu’on voit dans l’Ecole des Femmes, où une vieille sorcière
vient
faire des compliments à une Damoiselle de la part
d’un jeune muguet, qui se disait transporté d’amour pour elle, et lui
vient
demander la permission de la venir voir dans sa c
ansporté d’amour pour elle, et lui vient demander la permission de la
venir
voir dans sa chambre. « Puisque sans ce secour
t puisqu’il est ainsi ;Acte II. Scene V Il peut tant qu’il voudra me
venir
voir ici. » Ce jeune Plumet ne manque pas de v
qu’il voudra me venir voir ici. » Ce jeune Plumet ne manque pas de
venir
. Il la cajole. « Il lui dit qu’il l’aimait d’un
ut si célebre par la piété qui y régnoit, que le fils du Roi d’Aragon
vint
si faire Moine. Après la mort de son pere, à la p
s. L’Archidiacre n’eût pas souffert qu’on y eût manqué. L’heure étant
venue
, le Chapitre, en vertu d’une délibération prise l
élégant, & à la derniere mode de Paris & de Versailles. Qu’on
vienne
après cela nous chicaner sur la légitimité &
ses pour l’attirer, ne fût-ce que pour quelques jours, ainsi fit-elle
venir
la célebre Gaussin, dont la conversion édifiante
Bellecourt, acteur qui joue avec succès, dans le haut comique. On est
venu
l’entendre avec le plus vis empressement, la sall
ris & Londres, dont Marseille se fait honneur d’être le singe, on
vient
d’y construire un Vauxhal Cirque, ou Colisée, com
n y a ajouté depuis des opéras bouffons, par des acteurs qu’on a fait
venir
d’Italie, & on tire une Loterie, nouvel agrém
r on n’en sait ni on n’en peut fixer le nombre, il dépend de ceux qui
viennent
au Vauxhal, & qui veulent en prendre. Ce tour
iscours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles «
Venez
à moi, vous tous qui êtes fatigués et qui êtes ch
fardeau, mais la douceur et la consolation ! Jésus-Christ n’est point
venu
bouleverser la société, mais la régénérer : ce n’
point en aggravant le fardeau de la loi de Moïse qu’il a voulu faire
venir
les hommes à lui : « Venez à moi, vous tous qui ê
eau de la loi de Moïse qu’il a voulu faire venir les hommes à lui : «
Venez
à moi, vous tous qui êtes fatigués, qui êtes char
uses et jamais vaincues, si ce n’est par la trahison…e. Un jubilé est
venu
couvrir la France d’une douleur amère, concentrée
urquoi Jésus, s’il ne s’était chargé de nos péchés, aurait-il dit : «
Venez
à moi, vous tous qui êtes fatigués, et je vous so
ice et sa bonté, mesuré ses forces. Ainsi, chaque nuit de chaque jour
vient
apporter au travail de chaque jour le soulagement
jour le soulagement qui lui est nécessaire, et un sommeil bienfaisant
vient
chaque nuit étendre sur ses membres fatigués un b
e, seul monument qui s’élève au milieu de leurs toits de chaume ; ils
viennent
y chercher quelque ombrage contre ce soleil dont
. C’est là que l’ouvrier, l’artisan, le petit marchand, le prolétaire
viennent
avec leurs familles déposer le fardeau de leurs p
gnes de ses mains ; A se donner lui-même en spectacle aux Romains ; A
venir
prodiguer sa voix sur un théâtre ; A réciter des
que les voix de ces hommes et de ces femmes (comme ils les appellent)
viennent
religieusement, spontanément s’unir à nos cantiqu
’ils répètent avec nous ces paroles si consolantes de votre Fils : «
Venez
à moi, vous tous qui êtes fatigués et qui êtes ch
re cette loi. C’est la nature de l’homme. Pourquoi donc un Théologien
vient
-il aujourd’hui, contre une expérience universelle
ières dignités de l’Eglise font si bien d’assister à la Comédie, d’où
vient
qu’il dit de lui, « qu’étant Prêtre, et devant l’
qu’il ne les tire pas de sa conscience ; et il m’avouera que si elles
venaient
à cesser, les Comédiens pourraient faire fond sur
mes faibles qui croient toujours du mal où il n’y en a pas ? Qu’elles
viennent
ici apprendre à avoir des scrupules à propos. On
éologien croit sans doute parler à des gens de l’autre Monde. Mais ne
vient
-il pas des gens à la Comédie, qui ont travaillé t
ens à la Comédie, qui ont travaillé tout le jour ? Oui, ce Partisan y
vient
après avoir travaillé pour s’enrichir, à la ruine
travaillé pour s’enrichir, à la ruine d’une Province. Ce Magistrat y
vient
peut-être avec celle dont il a jugé le procès : l
le public n’est point invité à manger de la viande en Carême, comme à
venir
tous les jours à la Comédie, il en conclut que la
ntribue, de quelque manière que ce puisse être à notre guérison, d’où
vient
que celui qui est venu pour nous guérir ne l’a po
ère que ce puisse être à notre guérison, d’où vient que celui qui est
venu
pour nous guérir ne l’a point mise au nombre de s
la retraite aux Spectacles ? Si la Comédie nous peut-être utile, d’où
vient
que l’Eglise, fidèle interprète des sentiments de
erprète des sentiments de son Epoux, la déteste et la foudroie ? D'ou
vient
que le Peuple de Dieu ne l’a point connue, ou l’a
a point connue, ou l’a laissée là contre le partage des Païens ? D’où
vient
enfin qu’on n’en voit point d’autre fruit que les
te en nous aucun mauvais désir. Il y a bien des degrés avant que d'en
venir
à une entière corruption d'esprit et de cœur ; et
ilement. Il y a souvent longtemps que l'on commence à tomber quand on
vient
à s'en apercevoir. Les chutes de l'âme sont longu
oit cette espece de tragédie à deux ou à quatre personnages, d’où est
venu
l’expression proverbiale faire le diable à quatre
oit ouvrir la porte aux plus grands désordres. De là, peut-être, sont
venus
tous le contes de sabbats, des sorciers, des diab
e génie, qui vous ont fait hommage de leurs veilles. La scéne lirique
vient
d’offrir à vos yeux les ressources de l’architect
avantages ; il est tems que les manes de Corneille, Racine, Moliere,
viennent
(de l’autre monde) le contempler & vous dire
ns les broussailles, on se met en embuscade pour le surprendre, on en
vient
aux mains, on combat, & sans doute on remport
des batailles feintes ; tantôt on appelle l’ennemi à grands cris, on
vient
donner l’alerte, on emporte des chevelures, on li
ctateurs qui ne veulent point être vus. C’est un appas pour engager à
venir
au spectacle, ceux dont l’état leur en interdit l
terdit l’entrée, ou plutôt un piege pour se mocquer d’eux quand ils y
viennent
; car malgré les grilles, c’est le secret de la C
tté parfaitement ; c’est aujourd’hui un très-beau théatre. Garrik est
venu
à Paris, & y a vu certains usages qu’il a vou
à la comédie de Paris, en quelque tems de la réprésentation que l’on
vienne
, qu’on ne paye à la porte la même somme. Les Angl
mise par force ? Peut-on penser qu’il entende parler du crime, qu’il
vienne
au Couvent faire le procès à une Vestale, sans s’
de la piece. Comment ce fou d’Olvide a-t-il su l’heure d’Ericie pour
venir
la surprendre, & disposer ses amis, ce souter
te apparence que chaque soir la grande Vestale avec toutes les autres
vienne
mettre en faction chacune de celles qui doivent p
Carmelites. Tout le détail historique marque la même ignorance. Faire
venir
des esclaves rallumer avec des flambeaux le feu s
présentoit des matieres seches & combustibles. C’étoit un feu pur
venu
du ciel. Le Sénat ne se mêloit point des affaires
ver toute la maison, on avertit le Grand Prêtre, on le fait lever, il
vient
au Temple, parle à la prévenue, fait son informat
vaillant champion la relève au plus vîte avec ses amis qu’il dit être
venus
pour le seconder ? Point du tout encore : Il la l
s pour lequel il a forcé sa fille à être Vestale, & de chagrin il
vient
se faire Capucin, sans être connu de personne, &a
el inférieur indocile avoue des bienfaits ? Du moins un supérieur qui
vient
d’être nommé, n’en aura de long-temps, & les
yrans quels droits auront-ils, … Quels bienfaits de vos droits sont
venus
m’avertir ? Comme si avoir donné la vie, cultiv
comment gagner du terrein. A la comédie française où la petite piéce
vient
dedommager du serieux de la grande, les valets, l
ien, & d’une actrice qui peuvent impunément dire tout ce qui leur
vient
dans l’esprit, pour faire rire le parterre. Tel a
de contrefaire les gens, l’art de coudre des conversations qu’on fait
venir
, comme on veut, les comédies naissent sous la plu
ve minor nec sit quinto productior actu. Les Auteurs sont invités de
venir
à Parme, & sont surs d’être accueillis avec b
e peut disconvenir être très-brillant, au dela des monts, dont il est
venu
en France sous les auspices d’un Cardinal Italien
Italien, à qui pour avoir donné quelqu’opera à Louis XIV. & fait
venir
en France des Comédiens Italiens, on ne prodiguer
u’on se fit honneur d’entretenir auprès de lui, à grands frais. De là
vint
le goût du Cardina pour les Lettres & les Sav
sporter à Rome la décoration du théatre & les habits, & y fit
venir
les Acteurs pour en donner le divertissement à sa
jeune, une abstinence, & un voluptueux, ou un petit-maître qui ne
vient
point à l’Eglise ; entre Léon X. qui parle ex Cat
faire présent à la France. Après avoir brillé au-delà des Monts, elle
vint
faire les délices de Paris & de la Cour, &
lque différence. C’est de la Grece & de l’Asie que la comédie est
venue
, & delà elle s’est repandue dans les Gaules &
urope, ont été jouées en Italie, pour les Médicis. C’est delà qu’elle
vint
en France ; deux Reines Italiennes, & un Mini
amp; de leurs compatriotes. Riccoboni pretend que l’usage des masques
vient
des anciens Attellanes qu’on jouoient à Rome, tou
n’avons pas des Rustiques. Nous nous contentons de faire quelque fois
venir
sur le théatre quelque gros paysan, comme on fait
quelque fois venir sur le théatre quelque gros paysan, comme on fait
venir
des gros valets avec le stile selon la grossieret
cela n’est que pour la populace, qui en rit aux éclats. Pour l’opera
venu
d’Italie en France avec la bénédiction du dévot C
des grandes choses qui rendront ce siecle l’admiration des siecles à
venir
, Corneille, n’en doutez point, le Grand Corneille
om d’un autre, & avoit encore le mérite de la modestie. D’où peut
venir
cette outrecuidance dans les Poëtes, ces hommes c
pensent beaucoup louer en comparant quelqu’un à eux-mêmes. Mais d’où
vient
cette foiblesse aux Grands de souffrir des éloges
stoire Orientale morcélée, avec quelques anacronismes pour faire tout
venir
sous les yeux de Cyrus. M. Freret les a relevés &
u. Il parle du Théatre, il ne pouvoit guere s’en défendre, en faisant
venir
son Héros à Athenes, mais ce n’est qu’en passant,
’histoire du peuple le plus fertile en grands hommes (les Romains qui
vinrent
après Cirus à mille lieues de la Perse). L’autre,
die ; encore moins le Christianisme, qui n’existoit pas alors, qui ne
vint
que long-temps aprês, & qui n’est pas sans do
x encore, les Grecs n’ont point vu de comique qui les égale, tout est
venu
après eux). Il travailloit avec une facilité d’au
il paroît par ses ouvrages, que la taverne & les propos d’ivrogne
viennent
orner à tout moment, cet homme, assez médiocre Ou
& des mascarades variées par la diversité des habits de gens qui
viennent
des quatre coins du monde pour offrir des hommage
able. Le Duc Hamilton étoit très-aimable par les qualités du cœur. Il
vint
deux fois en France, toujours attaché à les Rois,
oser une loi gênante, & mettre des entraves à l’esprit pour faire
venir
& ajouter à des mots des idées burlesques, c’
trois ou quatre mois les Chefs-d’œuvres seront épuisés. Il en faudra
venir
à Scapin, à George Dandin, au Mariage forcé, &
ypocrene & arrosé de ses eaux, le bureau de je ne sais quel arbre
venu
des Indes. Corneille, gêné, embarrassé, n’avoir p
, formerent un mortier que le tems a durci comme une pierre. Ces eaux
viennent
partie des pluies abondantes qui suivent les érup
hétique que l’embrasement & la découverte de cette grande ville !
Venez
, & voyez ce que le péché mérite & ce que
chef des Troyens, qui, forcé par le destin de s’éxiler de sa patrie,
vint
aborder aux rivages de Lavinium. » M. de Voltaire
re modeste & naïve d’on ne s’avise jamais de tout ? « Je vais, je
viens
. » L’Auteur pouvait s’élever, mais n’a eu garde d
popée, on les fait aussi intervenir dans les Drames bouffons. Mercure
vient
au bruit du tonnerre annoncer à un pauvre Buchero
Prière. Ô Mon Dieu, mon divin Sauveur,
viens
remplir mon âme de ces douceurs que tu communique
les cieux sur la terre ; élargis mon cœur, fais-en un petit paradis,
viens
y répandre une si grande abondance de ta lumière
écouvre sa nombreuse postérité, dans la sombre succession des temps à
venir
; au fond de ce divin miroir, Abraham aperçoit le
ant prié, présente le manche, aussitôt le fer, nageant sur les flots,
vient
lui-même occuper sa première place. « Parcourez
r le peuple indocile, de le menacer de la part du Très-Haut, qui fait
venir
enfin contre lui toutes les forces de l’Assyrie e
rpation d’Hérode. C’est sous le règne de ce dernier que Jésus-Christ,
vient
au monde. Contemplons les merveilles de sa naissa
que les choses d’ici-bas ne dépendent point de Dieu, que le monde est
venu
par hasard et s’en retournera de même. Les poètes
liaison de Scenes, avec un Chœur, qui sans s’intéresser à l’Action ne
vient
que pour débiter des lieux communs de Morale. Ces
erie. Comme il étoit plus aisé de ne point rimer, que de savoir faire
venir
naturellement des Rimes, on se dispensa de rimer.
disoit en voyant sa Maîtresse couchée sous un arbre, Approchez, &
venez
voir le Soleil couché à l’ombre. Un Poëte Espagno
content de mourir pour sa Maîtresse, qu’il disoit à la mort, O mort,
viens
me saisir furtivement, que je ne sache pas que tu
mort, O mort, viens me saisir furtivement, que je ne sache pas que tu
viens
, de peur que le plaisir de mourir ne me rende la
sorties des Enfers, & pourquoi elles y retournent, un Astrologue
vient
dans un Monologue étaler toutes ses connoissances
ant la mort s’approcher, elle invoque l’Ombre d’Antoine, pour qu’elle
vienne
au-devant de la sienne, lui montrer le chemin des
ophe est le triomphe de l’Amour. Antoine qui s’est jetté sur son épée
vient
mourir entre les bras de Cléopatre, qui va le sui
puisse m’obliger. A tout coup je m’emporte. Il faudra que j’en
vienne
à quelque grand éclat. Que la foudre sur l’heur
de aucune bien-séance. Les deux amans transis, Marianne & Valère,
viennent
dans une scène aussi fastidieuse que longue, se b
on commence par enseigner, offrir, mettre en action le péché, pour en
venir
au foible & tardif correctif de quelque mot d
ge, Et pour être dévot, on n’en est pas moins homme, Et lorsqu’on
vient
à voir vos célestes appas, Un cœur se laisse pr
tout. 14.° Combien d’autres indécences ! Une servante dévergondée qui
vient
avec la gorge découverte (comme sont toutes les A
me autoriser par les armes du ridicule les parures indécentes : Il
vient
nous sermoner avec des yeux farouches, Et jeter
discipline, Et priez que toûjours le ciel vous illumine. Si l’on
vient
pour me voir, je vais aux prisonniers Des aumôn
ieu qu’autant que le mariage est exécuté ; comment l’Huissier peut-il
venir
saisir le bien donné, avant le mariage ? Moliere,
, & en obtienne aussi-tôt audience, un ordre & un Exempt pour
venir
chez Orgon ; qu’il ait une expédition de la donat
amp; l’Empereur. Il passa par mécontentement de l’un à l’autre, &
vint
mourir obscurément dans sa terre d’Auvergne. Fils
nsa l’être. Tandis que ses Agens négocioient pour lui aux Diettes, il
vint
sur la frontiere, pour être à portée. Il y tint t
rince ne manqua pas au rendez-vous. Il prend aussi-tôt la poste, pour
venir
à l’Opéra, & quand l’Opéra fut joué s’en reto
lles savaient bien qu’il n’y avoit pas des coups à donner. Tout Paris
vint
voir cette comédie guerriere : on attaqua dans le
s’évada, & fit fort bien. On lui auroit fait un mauvais parti. Il
vint
d’abord à la Cour dans cet équipage, & demand
res à danser, à chanter du Bourgeois Gentilhomme, en ces termes : Je
viens
présenter à Votre Majesté une nouvelle merveille
s s’y débitent par des rendez-vous ou des mariages, & les meres y
viennent
les étaler, & leur chercher des partis. On y
utes leurs ordonnances. J’y ai vu bien des Officiers, qui n’y étoient
venus
qu’avec un mal, & qui bien loin d’en guérir,
ince qu’on lui étoit infidelle, qu’il pouvoit le voir de ses yeux. Il
vient
à cette chambre, & voit en effet cette statue
eaux de vin de Hongrie, pour régaler les Seigneurs de ces nations qui
viennent
rendre visite aux Seigneurs Polonois. En temps de
Mars, sujet très-libre, où le feu n’entre pour rien. Mais on l’y fit
venir
bien ou mal, & il y fit presque tout. D’abord
aimable & le Forgeron le plus hydeux ? Quelque Guerrier téméraire
vient
-il troubler la félicité de cet auguste mariage ?
it le prix, demeurait le Chef des autres, sous le titre de Roi ; d’où
vient
, selon quelques-uns, que ces pièces prirent le no
qu’autrement, ainsi et par la manière que dit est, puissent aller et
venir
, passer et repasser paisiblement, vêtus, habillés
de Paris, et à tous nos autres Justiciers et Officiers présents et à
venir
, ou à leurs Lieutenants, et à chacun d’eux, si co
, sans les molester, ne souffrir et empêcher, ores et pour le temps à
venir
; et pour que ce soit chose ferme et stable à tou
le Tombeau des Rois. C’est dans ce monument que les Dieux de la Terre
Viennent
en pâlissant déposer leur tonnerre ; Fastueux Mau
d’un Abbé Poupin, Empruntant l’air, le ton, le geste et la figure, Tu
viens
en manteau court prendre place au Mercure. Et to
ur t’aller retrouver, saura tromper sa mère. Mais quel nuage affreux
vient
obscurcir le jour ? Tout annonce l’horreur, je n
Tout annonce l’horreur, je ne vois plus l’amour ; C’est Armideaa qui
vient
d’esprits environnée, Un poignard à la main, de s
d du haut des Cieux : l’avenir y préside ; C’est lui que sur son sort
vient
consulter Armide. « En vain tu hais Renaud, lui d
de la France, & la légereté, si souvent reprochée à notre Nation,
vinrent
troubler un si bel ordre ; les guerres sanglantes
des droits que les Loix accordent au dernier des Citoyens. D’où peut
venir
, & tant d’indocilité, & tant d’ingratitud
ions funestes à leur repos, & d’oublier si parfaitement ce qu’ils
viennent
d’apprendre, qu’il ne leur en reste aucun souveni
, en second lieu, qu’on ne peut vous imputer tous les reproches qu’on
vient
d’entendre, mais uniquement à l’art que vous prof
res à faire une vive impression. Si, dans cette derniere recolte, ils
viennent
à rencontrer des graines dangereuses, ils sauront
si intéressans, ils verront, avec douleur, approcher le temps où l’on
viendra
les arracher de leur paisible retraite pour les f
a des hommes, la Prudence seule aura droit de commander. Les exemples
viennent
ici à l’appui du raisonnement. Depuis que l’on co
us que votre satisfaction, c’est à l’Eglise qu’il faudroit se rendre.
Venez
-y donc goûter la divine parole ; un moment de mor
-il pas un assez grand crime ? Ils en sont coupables, & ils osent
venir
dans ce lieu saint. Ce mot vous étonne ? C’est ce
e gravés dans votre cœur ; à plus forte raison avec quelle répugnance
venez
-vous à l’Eglise, avec quel ennui entendez-vous la
é des bienfaits de Jesus-Christ, imiteroit les travaux des Mages, qui
viennent
d’un pays éloigné l’adorer dans la crêche & l
ont une si grande mollesse, qu’elles ne peuvent faire deux pas, &
venir
à l’Eglise, sans se faire porter (& elles ont
(des Comédiens) Verberones, serviles abjecti homines, vous invitent à
venir
entendre ces infamies, vous vous en réjouissez, v
t-ce nous qui renversons ? C’est le théatre qui a tout renversé. D’où
viennent
les corrupteurs du mariage, que de la scène ? c’e
y étaient exercés, et qui à l’envi tâchaient d’emporter le prix. D’où
vient
aussi que l’esprit de Dieu11 en tire des similitu
e la personne d’un Roi, et un tout autre personnage qu’il n’est, d’où
vient
que ce même nom est attribué à ceux qui font les
e l’autre sexe : et les femmes et filles extraordinairement parées, y
viennent
, non seulement21 « pour voir, mais aussi pour êt
les, oient et voient ce qui ne leur est ni convenable ni décent. D’où
vient
que quelqu’un a bien dit qu’elle a pris son nom,
nt le mot pour rire, et les entremets de bouffonneries, ne feront pas
venir
l’eau à leur moulin : savent assaisonner les tris
et pour l’action, donneraient un contentement innocent à ceux qui les
viendraient
ouïr : et leur feraient quitter le désir et affec
et pour le plus souvent, sont les adultères et larcins amoureux, d’où
vient
que la coutume de regarder et ouïr, apporte aussi
s et cependant leurs jeux sont mêlés avec le service des Dieux ? D’ou
vient
qu’on rejette le comédien, par lequel est honoré
ons Apostoliques livre VIII. chap. XXXII. où il est parlé de ceux qui
viennent
pour être baptisés : « Si quelque Comédien s’appr
publique servant de maquerellage aux vices, celle qui peut-être était
venue
pudique au spectacle, s’en retourne impudique. En
plus mauvais exemple, par le mépris de vos ordonnances. Il en faudra
venir
à ce que le comique faisait dire à un bon valet,
e, l’hirondelle et la grue, ont pris garde au temps, qu’elles doivent
venir
; mais mon peuple n’a point connu le droit de l’E
os desseins et nos entreprises s’en vont à néant. Tous les jours nous
viennent
nouvelles de pertes nouvelles. Et cependant il se
assistants paillardent en leur âme. Et ceux, qui, peut-être, étaient
venus
purs à ces spectacles, s’en retournent adultères
paillardent pas seulement quand ils retournent, mais aussi quand ils
viennent
, d’autant qu’en cela même que quelqu’un désire un
ceux qui font ces choses, pour lesquelles l’Apôtre dit que Christ est
venu
? Où sont ceux qui fuient les désirs mondains ? O
e Royaume qu’il leur sera donné d’obtenir ? Jésus Christ, dit-il, est
venu
, pour se nettoyer un peuple agréable, sectateur d
ennité Ecclésiastique, non seulement ceux qui se disent Chrétiens, ne
viennent
point à l’Eglise, mais si quelques-uns, qui ne l’
ennent point à l’Eglise, mais si quelques-uns, qui ne l’ont pas su, y
viennent
, et qu’ils entendent qu’on fait des jeux, ils lai
paravant. Il faut donc considérer l’un et l’autre, c’est-à-dire, d’où
vient
qu’encore les lieux et les logements de ces jeux
e peut ? Prenez-moi les habitants de quelque ville que ce soit, s’ils
viennent
à Ravenne ou à Rome, ils font partie du peuple Ro
, esquels l’opulence a cessé d’être, mais la méchanceté demeure. D’où
vient
qu’à la façon des autres hommes nous n’avons pas
uche, tellement que ce que nous péchons et ne nous amendons point, ne
vient
que de notre inclination au malgq, non de ce que
é, tant plus grande soit la faute de celui qui le fait. Et de là, est
venu
, que nous lisons en la loi, que ceux mêmes qui se
nous sommes corrompus par une si grande prospérité des biens qui nous
viennent
, et sommes tellement empirés par une grande insol
omprendre : sachant bien que, s’ils n’y mêlent (…), ils ne feront pas
venir
… ac. Rédargution : réprimande, blâme. ad. Servi
mprendre : le fait que [« ce que »] nous péchons sans nous amender ne
vient
que de notre propension au mal. gr. Qui défaille
Je crois vous devoir mander, avant que fermer ma lettre, ce que je
viens
d’apprendre. Vous connaîtrez par là que j’ai perd
qui l’a poursuivie partout et ne lui a laissé aucun lieu de retraite,
vient
enfin de connaître que Molière est vraiment diabo
ue c’est un diable incarné ; et, pour le punir comme il le mérite, il
vient
d’ajouter une nouvelle pension à celle qu’il lui
i elle écoutait tout indifféremment et disait de même tout ce qui lui
venait
à la bouche, si son air était lascif et ses geste
udrait que cette pauvre fille fût aussi innocente que le jour qu’elle
vint
au monde. Je crois toutefois qu’il y trouverait e
plumes, qu’il lui passait la main sur le dos ; qu’il l'appelait pour
venir
manger dans le creux de sa main, qui eût dis-je i
fectuosités n’y sont pas bien ordinaires ; de cent petits animaux qui
viennent
au monde, il n’y en a souvent pas un qui soit mon
plus obligés à lui obéir ; ils se croient plus que hommes, quand ils
viennent
à des excès de malice et de brutalité, où les bêt
du goût et de la saveur aux viandes, mais il en faut peu, il ne peut
venir
à l’excès qu’il ne gâte plus qu’il ne profite : C
t commun, aussi n’est-il pas de l’invention des hommes ; mais il nous
vient
du secret mouvement de la nature, qui ne buttee q
produit tantôt par le récit naïf de quelque jolie Histoire qu’il fait
venir
à propos ; tantôt par quelque point de Chronologi
un honnête entretien la même personne ne parle pas toujours, chacun y
vient
à son tour, et cette aimable variété fait comme u
leurs peines domestiques sans qu’il leur en coûtât rien : De là sont
venus
ces petits bois si bien alignés, ces jarsk, ces p
rcé d’outre en outre de la lance de cet enragé ; mais comme il le vit
venir
à soi, il gauchit, et lui fit porter le coup dans
ersuadé, et se tenait si ferme dans ses pensées qu’il ne voulut point
venir
voir le malade, que sur le soir, de peur de paraî
raître trop crédule ; on lui confirma cela de tant d’endroits qu’il y
vint
avec la même curiosité, que s’il eût dû voir un m
ans mes filets :« In meo illam inveni. » Tertull. Apolog. pourquoi
venait
-elle au théâtre ; je ne l’ai prise que sur mon fo
s portent le coup de la mort, et personne ne s’en défend : Après cela
viennent
les voix ou les instruments, qui frappent l’oreil
i puisse donner occasion de tomber au péché ? Tant de mauvaises idées
viennent
à la foule, elles se représentent à notre esprit
s d’un Curé d’Allemagne, nommé Rupert : Quoiqu’il s’en fasse, je n’en
viendrai
point à l’imprécation qu’il fit sur quelques-uns
ces d’Isaac et de Rebecca ne feint point de dire que cette coutume ne
vient
point de Dieu.« Nusquam diabolica pompa, nusquam
ant tous les premiers temps il ne s’est point parlé de bal, qui n’est
venu
que depuis la corruption des siècles. On peut dir
ois personnages ; d’autres n’en font qu’un : C’est-à-dire que les uns
viennent
en divers actes et en postures différentes, et qu
r en quelque faute, elle leur en fait toujours porter la peine : D’où
vient
que quoique ses commencements soient de faveur, s
s pour soulager les besoins de notre indigence. Quelquefois elle fait
venir
sur le théâtre un amant passionné : mais elle en
elle le fait aimer : Ce désordre ne lui est point naturel, il ne lui
vient
que du dehors, mais elle semble en donner l’occas
tant habere criminosos. » D. Petr. Chrysol. serm. 155. où en était
venu
le débordement des Tragédies de l’ancienne Rome ;
ni pensée, qui pût flatter le vice. Ils ne feignaient point de faire
venir
sur le théâtre toutes les impuretés de Mars, de V
ivertissements prennent le nom et la place des emplois, où on ne peut
venir
sans pervertir la nature et l’usage des choses. C
voguera à travers des plus furieuses tempêtes sans danger : il verra
venir
les Corsaires sans frayeur, et si vous voulez il
une seule vue on peut pénétrer la suite de toutes les années. On fait
venir
par ordre, et comme à divers actes la naissance e
rques honorables de sa dignité : Nicephorus. lib. 12. c. 34. Ils n’en
vinrent
pas à une si haute servilité, qu’après avoir mûre
cidia mellis de libacunculo venenato. » Tertull. de spectac. c. 17.
vient
que les Sages n’ont point considéré ces illustres
se dédire, ne les empêche pas toujours de mal faire. Quand elles n’en
viendraient
pas là, il est toujours dangereux de leur laisser
nous fait croire qu’ils sont sortis d’une même origine ; mais qui est
venu
le premier ? est-ce la joie ? est-ce le Jeu ? C’e
que pour servir à la joie : c’est seulement un petit secours qui lui
vient
pour l’aider à se défaire de la mélancolie, et qu
un peu de joie il adoucissait l’amertume des affaires fâcheuses, qui
viennent
à la foule dans la Cour des plus grands Princes :
la ruine et à la destruction des jeux de hasard. Quoiqu’ils ne soient
venus
que les uns après les autres, et qu’ils aient écr
sent pas mauvaises, le tout n’en valait rien. Tout le désordre du jeu
vient
originairement du désir de gagner : C’est lui seu
oue. Celui-làGilberius Cogn. lib. 1. narrationum. le montra bien, qui
vint
jusqu’à ce haut point de frénesie, que faisant so
xion qu’il était chargé ; de trois postes qui étaient dedans, deux se
vinrent
rendre dans les deux yeux de notre Cavalier, la t
que ceux-là mêmes qui font les lois les rompent, et n’ont garde d’en
venir
jusqu’à la punition, parce qu’ils sont les premie
r leur faire entendre que la momerie ne lui plaît point, que de faire
venir
leur Roi, qui s’en était voulu mêler, sur le bord
s condamnent à une bonne amende, mais sait-on bien en France d’où est
venu
le nom de masque et ce qu’il signifie ? je crois
. Masque est un vieil mot de Lombardie qui se donne aux âmes qui nous
viennent
troubler la nuit : aux bêtes qui dévorent les pet
e pour attirer l’ardeur des hommes à les poursuivre ; si les poissons
venaient
à bord sitôt qu’ils sont appelés, si les oiseaux
tit coup de sifflet, si les biches et les sangliers étaient dressés à
venir
au premier son du cor, la Chasse ne serait pas ag
pour le contentement de son maître, ayant arrêté la proie, il la lui
vient
mettre entre les mains, et lui déférer tout l’hon
était en sentinelle pour épier tout ce qui passait, ne manque pas de
venir
sur les traces de son ennemi, rencontrant les mul
ue les mules qui lui ont été laissées ont une semelle de plomb ; d’où
vient
que quand il pense marcher, il ne peut lever le p
sseur fait mine de s’en laver les yeux : cet oiseau qui observe tout,
vient
après pour en faire autant, et se colle si étroit
b. NDE Dans l'Odysée, Homère nomme ainsi une drogue qu'Hélène faisait
venir
d'Egytpe pour lui faire oublier son pays. c. NDE
dans sa mythologie, traite avec raison de conte puerile ; cette fable
vient
d’être rajeunie dans un poëme en huit chants, ave
Cet auteur, homme d’esprit, qui respecte la Réligion & la vertu,
vient
d’en donner un extrait en pere qui aime ses enfan
sa beauté naturelle. Tout cela nous apprend, dit-on, que le fard est
venu
des enfers, que c’est Proserpine qui le donne, qu
ais on est monté sur ce ton ; tout est dit. La fortune de cette fable
vint
d’abord dans le tems d’Appulée, où le Paganisme é
le remede & le correctif, le beau côté de morale du libertinage,
venu
après coup, quand tout le mal est fait. Comme ces
ut abandonné pendant 40 ans. Ce ne fut qu’en 1716 que Louis XV. étant
venu
loger aux Tuilleries, on la racommoda pour y donn
s, les passions, les chagrins y feront encore bien du ravage, un tems
viendra
que vous ne pourrez plus soutenir la vue de votre
raîcheur & de jeunesse : c’est une espece d’enchantement, on fait
venir
des pays les plus éloignés, les drogues, les liqu
lectus, sicut carnis ad vomitum sus. Ulysse instruit de l’aventure,
vient
furieux au Palais de Circé, il est reçu comme on
ent que suivre le conseil, où plutôt l’ordre de Mercure ; car ce Dieu
vint
avertir Ulysse que Circé lui offriroit sa couche,
iner la santé par des excès outrés. Cette philosophie peu scrupuleuse
vient
du ciel. Un Dieu l’enseigne & la donne sous l
ner la personne qu’il aime, ou se rendre suspect à sa partie, si elle
vient
à connoître l’intrigue. Un plaideur persuadé de l
silence succéde à la joie à laquelle on se livroit : je ne suis pas
venu
, dit le Prélat, pour troubler vos plaisirs ; mai
par hazard, s’assit à son côté, il se lia si bien avec elle, qu’il en
vint
au dernier crime. Rien , dit il, n’est plus prop
s, nos sermons un étalage de bel esprt pour gagner les suffrages ? Ne
venez
-vous à l’Office que comme au spectacle pour votre
oir en quelle année Calderon avoit composé sa piece, & s’il étoit
venu
en France ; on ne se souvint pas de l’année de la
ut joué ; mais avant son impression, on lui marqua que Calderon étoit
venu
à Paris, y avoit fait des vers à l’honneur d’Anne
e à un étranger qui lui ressembloit extrêmement : votre mere est-elle
venue
à Rome ? Non, répondit-il, mais mon pere y est ve
re mere est-elle venue à Rome ? Non, répondit-il, mais mon pere y est
venu
souvent. Ce plagiat n’a jamais été éclairci. On d
s Italiennes. Catherine de Médicis & le Cardinal Mazarin ont fait
venir
des troupes Italiennes à Paris ; personne n’y a f
n ont fait venir des troupes Italiennes à Paris ; personne n’y a fait
venir
des troupes Espagnoles, cependant les Italiens ne
leurs femmes & de leurs filles, ils leur laissoient la liberté de
venir
à ces pernicieuses écoles prendre des leçons de v
i toujours s’y rassemble, nous les laissons pêle mêle avec le premier
venu
que le libertinage y amène, nous les excusons, no
es ne sont nulle part si libres, si répandues, si exposées au premier
venu
; elles sont ailleurs renfermées dans un quartier
vaise vie, à moins qu’elles ne soient publiquement livrées au premier
venu
. Ainsi toute fille qui n’est entretenue que par u
pèce d’ivresse pour les femmes, que l’enchantement du théatre ! Qu’on
vienne
déclamer contre lui ; les anathèmes de l’Eglise,
quelque opéra. La légèreté des femmes voltige d’objet en objet : ils
viennent
ici tous & les mieux choisis s’offrir en foul
mp; l’abus qu’elles en font. Lorsque Madame Infante Duchesse de Parme
vint
à Versailles, il se fit une grande fête. La le Ma
yoit un carrosse du Roi & des Pages ; le carrosse & les Pages
vinrent
la chercher. Arrivée à la Cour, elle déclare qu’e
, ou troubla-t-il son repos ? je n’entre point dans ce mystere. Etant
venue
dans la salle du concert, elle chercha des yeux N
François ; ce qui n’est pas sans vrai-semblance. Ce Prince, autrefois
venu
à Paris, pouvoit avoir pris du goût pour les spec
’accorder entre eux, prient le Dieu qui a fait naître le différend de
venir
le terminer. Ce Dieu que vos Génies invoquent, ne
ayant appris ce qui s’est passé, suivi de la Religion et de la Piété,
vient
supplier Apollon de faire un choix qui lui soit a
il n'eût point été nécessaire au commencement que les Pantomimes sont
venus
danser à Carthage, que le Héraut du Théâtre eût p
maux : et j'estime que nos anciens JongleursIoculatores., dont le nom
vient
du Latin, qui signifié Joueurs, et qui dansaient
tonnant, et presque d'incroyable en ces Histrions, est que les femmes
venaient
même toutes nues sur le Théâtre, y faisant des sa
honteuses et les plus horribles actions qu'ils y représentaient. D'où
vient
que les honnêtes femmes en détournaient quelquefo
es Représentateursa des Poèmes Dramatiques. Les Lydiens et Lydiennes,
venus
originairement de Lydie, à ce qu'aucuns croyent ;
la connaissance, et ne lui en inspirait le goût ? et quelle troupe y
viendrait
, si ce goût et ces connaissances ne lui avaient p
tion des mauvaises compagnies, crainte de leur ressembler, et on fait
venir
des Acteurs danser sur le théâtre, aider à exerce
er celle de son confrère, et féliciter les familles d'un succès qu'il
vient
d'anathématiser. L'Evangile a beau crier, faites
es Régents. La compagnie y est mieux choisie, des amis et des parents
viennent
écouter les jeunes gens ; ce ne sont pas les libe
urs, pour vouloir goûter des plaisirs auxquels on a renoncé, et faire
venir
chez soi ce qu'on ne peut décemment aller cherche
ntations théâtrales ; ce qui devait tourner à leur gloire, ne pouvait
venir
que de leur inspiration : « Dæmones prospicientes
la corruption du cœur. » Cette réflexion très vraie, très chrétienne,
vient
très à propos dans la vie de S. Polyeucte. S'atte
entrée dans les villes, et qu'il ne sorte pas du vestibule quand ils
viennent
au Temple. Lorsque le Magistrat touche la porte d
rquoi le souffrir dans les Colléges, & s’il est indifférent, d’où
vient
l’improuver dans les Comédiens ? La profession de
u’on ne sçauroit exécuter sans crime ! Si vous louez un Acteur ; d’où
vient
n’oseriez-vous embrasser sa profession ? Si vous
découvre sa nombreuse postérité dans la sombre succession des tems à
venir
; au fond de ce divin miroir, Abraham apperçoit l
er ce Peuple indocile, de le ménacer de la part du très-Haut qui fait
venir
enfin contre lui toutes les forces de l’Assirie &
jusqu’à l’usurpation d’Hérode. C’est sous son Regne que Jesus-Christ
vient
au monde. Contemplons les merveilles de sa Naissa
s choses d’ici-bas ne dépendent point de Dieu, & que le monde est
venu
par hazard, & s’en retournera de même. Les Po
touchée, Mademoiselle, surtout en le rapprochant des principes que je
viens
d’établir. Vous avez dû sentir tout le vice &
ère, arrivée dans le canton, mettant en humeur tous les esprits, sera
venue
ensuite égayer malignement les Spectacles bacchiq
les Fêtes ont enfantés la Danse & les bons mots ; de la Danse est
venue
la Musique ; & des bons mots sont nés les Spe
teurs, pour faire connaître toute son évidence. La Tragédie n’est
venue
qu’après la Comédie. Les Auteurs de Poétique
pluspart de nos connaissances, & sur-tout celles du Théâtre, nous
viennent
d’au-delà des Alpes ; il faut en convenir, malgré
es Belles-Lettres fleurissent de toutes parts : le goût, la politesse
viennent
embellir la France ; & les Spectacles brillen
l’ouvrage de leurs Ministres. L’excellent Comique en France n’est
venu
qu’après la Tragédie. Il me paraît que notre
r genre n’ont eu besoin que d’un seul homme de génie. Je demande d’où
vient
cette différence dans les Lettres & dans les
soient, ne parloient que de leurs amours. A ce titre ils étoient bien
venus
, même dans les cours des souverains du temps, alo
e prouve par un drame allemand intitulé : Goëls à la main de fer, qui
vient
d’être imprimé à Leipsick. Cependant le théatre g
auteur & l’amour aiment les bosquets) Procris, amante de Céphale,
vient
le chercher ; &, en attendant, s’abandonne à
-même, il la prend entre ses bras, il est inconsolable : mais l’Amour
vient
à son secours, il agite son flambeau : ce Dieu to
la légereté qu’il inspire efface toute sensibilité, celle même qu’il
vient
d’exciter. Dans le Journal du mois de mai 1768, d
te que donne la richesse, dont tout le monde est enthousiasmé, il vit
venir
le cheval d’Alcibiade dont tout le monde admiroit
qu’on donne comme autant d’effets du nouveau regne, le chansonnier en
vient
au comédiens. Désormais l’acteur, loin de tranch
’étoit fait comédien par libertinage, comme bien d’autres ; la troupe
vint
jouer dans la ville ; son fils fut reconnu, elle
lienne ne fit d’abord que voyager en France. Les premiers acteurs qui
vinrent
à Paris, appellés Gelori, jouerent aux Etats de B
e Piémont, eurent le même sort. Louis XIII. permit à une cinquieme de
venir
en France, elle ne réussit pas mieux. Le cardinal
. Le cardinal Mazarin en appella une sixieme qui s’en retourna. Il en
vint
une septieme qui s’unit aux comédiens françois, &
, génies, pluie de feu, foudre, tremblement de terre ; on a même fait
venir
une épisode des amours de Bacchus & d’Ariadne
lac ; puisque le matérialiste en abuse, pour faire voir que l’on peut
venir
par le méchanisme des organes. Ovide attribue à V
, se livrant eux-mêmes à toute ivrongnerie et luxure. De là jadis est
venu
le commencement et progrès de tout erreur. De là
par envie, faites droit à l’orphelin, et justice à la veuve, et puis
venez
disputer et vous plaindre de moiChap. 33 Esaïe. [
erti d’en fuir aucuns, comme une espèce d’idolâtrie qui dépend et qui
vient
des anciennes observations et coutumes des Gentil
e licites ou illicites, et surtout y fuir les occasions de mal qui en
viennent
comme d’avarice, d’immodérée et folle dépense, de
rinité, p. 96v). b. [NDE] esquels = auxquels. c. [NDE] L’expression
vient
du surnom de Roger de Collerye (1468-1536), secré
ui revenoient chaque siécle, où les hérauts crioient, en y invitant ;
venez
voir ce que vous n’avez jamais vu, & ce que v
eurs, par ses deux belles qualités, les autels enfin, après cent ans,
viennent
d’être érigés, ou plutôt projettés & proposés
elle vertu est rare dans un poëte comique. Le Concierge de la comédie
vient
ensuite, & se plaint amérement de la supressi
morts comme lui, pour les avoir tous dans ses enfers, & les fait
venir
l’un après l’autre au tribunal de Pluton, accuser
ie en habit de deuil, comme veuve de Moliere, & Momus en médecin,
viennent
, par ordre de Jupiter, découvrir s’il y a sur la
pour la gloire de Moliere à son apothéose ; chaque piéce personnifiée
vient
à son tour. Le Misantrope fait une sortie contre
riage forcé, les faunes, les satyres de Melicerte ; il faloit y faire
venir
à la file, tous les comiques antérieurs & pos
als de théatre de deux especes ; bal & théatre choisi, où l’on ne
vient
que pour prier ; bal & théatre public ouvert
p; on s’est amusé. Quelquefois des personnes qui ont fait une partie,
viennent
masquées uniformément, selon quel un dessein marq
couronné par le premier acteur ; il pria l’assemblée de vouloir bien
venir
à sa piéce, de l’honorer de son respectable suffr
d III, nous irons par reconnoissance, cueillir les trois Roses Ils y
vinrent
en effet, en grand nombre ; mais ils eurent beau
esse de la Cour, instruite de cette circonstance, fit prier l’Abbé de
venir
chez-elle, & lui dit que s’intéressant à sa r
ces jeux soient permis par les Magistrats, qui sont les premiers à y
venir
, etc. » Bodin pouvait ajouter que Solon fit tout
pompe qu’on vient de voir, les font mieux sentir ; les passions qu’on
vient
d’éprouver, rendent plus impatient. Un homme de t
us en apprend une anecdote singulière. Panard le Chansonnier, dont on
vient
d’imprimer les rhapsodies en quatre volumes, (si
nt un jour en public à Ausbourg, des Luthériens déguisés en Comédiens
vinrent
dans la salle offrir de jouer une farce pour les
e branches tortueuses qui ne pouvaient s’arranger ensemble. Après lui
vient
Erasme, qui s’efforce d’ajuster ensemble ces bran
ces branches, et ne pouvant y réussir s’en va tout en colère. Luther
vient
ensuite, qui prend dans la cheminée des tisons em
une épée, comme pour l’éteindre, et l’allume encore davantage. Enfin
vient
Léon X, qui prend une bouteille pleine d’eau pour
s, de chanteurs ; il obligeait tout le monde, jusqu’aux Sénateurs, de
venir
à la comédie, et souvent d’y jouer. Les Comédiens
e sous les lois d’un Avocat ou d’un homme apostolique que le Comédien
vient
s’exercer ? C’est encore moins aux enseignements
erait pas un meilleur Avocat : que revêtue d’une robe de palais, elle
vienne
plaider au Parlement, elle plaindra sa partie com
d’autres collèges, et même des Communautés Religieuses où des maîtres
viennent
tous les jours en donner des leçons, et du déguis
quer de s’amollir et de se dissiper. Mais les femmes et le peuple n’y
viendront
pas. Sans doute : aussi ne doivent-ils pas y veni
le peuple n’y viendront pas. Sans doute : aussi ne doivent-ils pas y
venir
, et par ces sages règlements a-t-on cherché à les
e, formée à l’école du plaisir, et devenue si différente d’elle-même,
vient
lui marquer sa reconnaissance. Au défaut de parol
’Evangile et le monde sont deux ennemis irréconciliables : « Qui veut
venir
après moi, doit renoncer à soi-même, porter la cr
sa silence, & dit, en montrant ces trois ecclésiastiques, je suis
venu
ici pour avoit l’œil sur la conduite de mon clerg
différemment occupée, fut fort surpris de la voir à cette heure ; je
viens
vous demander justice, dit-elle, on m’a enlevé me
r. Un plaisant la vit, & alla ramasser une troupe de poliçons qui
vinrent
chanter ses louanges, avec des huées, & à cou
ance, à l’honneur de Moliere, Corneille, Racine. L’Académie Française
vient
d’y préluder, en donnant l’Eloge de Moliere, pour
émonie, & prendre le jour & l’heure de la reception ; le jour
venu
, les officiers de chaque chambre, les huissiers à
trefait tout le monde, avec la plus grande facilite. Un aveugle étant
venu
dans une compagnie où il se trouva, il contrefit
rouvera plus de gens disposés à copier ses intrigues, que de ceux qui
viendront
profiter de ses leçons. Vous qui connoissez si bi
sister à cet acte de Tabarin, & cederent la place aux Dames qui y
vinrent
en foule avec leurs Cavaliers, parées de tous les
la mort, les maladies, les voyages, les affaires qui empêcheront d’y
venir
, autant de billets perdus, & c’en est bien la
gagne toutes les absences, c’est voler le public & le comédiens à
venir
. 2°. Les Entrepreneurs du Vauxallh ne voyant plus
ligieux pour vivre avec lui : « … Près de lui je vivrai, L'air qui
vient
l'animer, je le respirerai. » Bien plus, pour l
e soustraise à la juste vengeance de son frère que le téméraire était
venu
déshonorer et assassiner dans la maison : « Com
la trahir, pour ne pas troubler la piété de son amant. Eh ! pourquoi
vient
-elle s'enfermer au grand hasard d'en être à tout
en réjouissants ? jusqu'à Molière, qui dans le Festin de Pierre, fait
venir
un mort, ouvrir l'enfer, y engloutir son héros. V
-delà de la mer, jusqu'à ce que des Moines, la pioche à la main, sont
venus
étaler un cimetière sur la scène. Il est vrai que
x de la plupart des spectateurs, le vice n'est point un monstre. D'où
vient
que les bouffonneries licencieuses des farces de
e peine, qu'il rendrait stupide, si le changement de la décoration ne
venait
dissiper ces sombres nuages. Heureusement ce somb
ment ce sombre est rare, il est peu goûté, il est peu connu. La farce
vient
bientôt après essuyer ces larmes exprimées avec d
monologue postiche de huit vers, pour donner le temps à d'Orvigni de
venir
annoncer la mort d'Eutime, pendant lequel il faut
e, qu'on crie au secours, qu'on l'emporte dans sa cellule, que l'Abbé
vienne
, que d'Orvigni prenne des ailes pour reparaître s
valier de Cailly au sujet d’Alphana que quelques Sçavans prétendaient
venir
d’Equus ; il termina leur dispute par ce badinage
t venir d’Equus ; il termina leur dispute par ce badinage : Alphana
vient
d’equus, sans doute, Mais il faut avouer aussi Qu
Alphana vient d’equus, sans doute, Mais il faut avouer aussi Que pour
venir
jusques ici, Il a bien changé sur la route. Ce q
i porte bien des gens à la condanner sans la connêtre. Apres j’ay deü
venir
aux Autheurs qui soûtiennent le Theâtre depuis qu
uliere, sur laquelle leur établissement est fondé. C’est le centre où
viennent
aboutir toutes leurs resolutions ; & ces fins
ans l’Ode sçauante qu’il à mise au iour sur la prise de Mastric. Sans
venir
aux mains, la guerre produit assez d’autres maux,
ouurages a áquis vne gloire dont s’entretiendront tous les siecles à
venir
. Encore vne fois la fin de la Comedie est bonne.
lans & sensibles d’vn amour qui tend au crime, quoy que l’on n’en
vienne
pas jusqu’à l’effet. On pourroit se tromper, de c
en en gratifier la troupe du Marais, où le Roy suiui de toute la Cour
vint
voir cette merueilleuse Piece. Tout Paris luy a d
arlé a serui de modele pour d’autres qui ont suiuy. Bapiste Lully est
venu
depuis, qui par l’agreable meslange de machines d
où l’on veut de la regularité. Toutes les fois qu’on Roy sort, &
vient
à parêtre sur le Theatre, plusieurs Officiers mar
, & le denoûment heureux ; car c’est l’eceuil où plusieurs Poëtes
viennent
echoüer ; si les Scenes sont bien liées, les vers
ement, & quelquefois au delà méme de ce qu’il souhaitte ; il faut
venir
au detail & donner cette satisfaction à ceux
nquer ; & à l’Hostel de Bourgogne, quand vn Acteur ou vne Actrice
vient
à mourir, la Troupe fait vn present de cent pisto
ui ne pourroient croître sans que le Corps en soufrist. Mais il faut
venir
au detail des choses, & donner quelque ordre
z, & les peuples dans vne áprehension continuelle que l’Ennemy ne
vienne
joüer chez eux de sanglantes Tragedies. Sans parl
fait bande à part, elles ont leurs interests separez, & n’ont pû
venir
encore à vne étroite alliance. Quoy que leurs mœu
ceux qui l’ecoutent. 25. Leur conduite dans leurs affaires. Ie
viens
à l’œconomie generale & à l’ordre que les Com
mp; de satisfaire toutes les personnes qui leur font l’honneur de les
venir
voir. 29. Ordre qui s’obserue dans leurs Hoste
reduits separez pour s’habiller, & ne trouuent pas mauuais qu’on
vienne
alors les voir, sur tout quand ce sont des gens c
ils meritent l’áprobation vniuerselle des honnestes gens. Ils tems de
venir
à l’établissement des Troupe de Paris, & aux
s apres luy donna de ses ouurages. Mais lors qu’vne troisiesme Troupe
vint
se poster au Palais Royal, & qu’elle y eut fa
fois de se nuire l’vn l’autre par de petits stratagemes ; mais ils ne
viennent
iamais à vn grand éclat. Quand vne Troupe promet
40. Ionctiõ des deux Troupes du Palais Royal & du Marais. Ie
viens
à la rupture des deux Troupes du Palais Royal &am
mp; méme qui hors du Theâtre sont souuent auec les Princes & bien
venus
à la Cour, ne meritent pas pour la gloire de leur
les plus capables pour remplir les Theâtres de Paris ; & elles y
viennent
souuent passer le Caresme, pendant lequel on ne v
il suit presque la méme regle pour toutes les deux. Le discours qu’il
vient
faire à l’issue de la Comedie a pour but de capti
qui doit suiure celle qu’on vient de representer, & l’inuite à la
venir
voir par quelques eloges qu’il luy donne ; &
es repetitions. Si quelqu’vn de ceux qui sont auec luy sur le Theâtre
vient
a s’égarer, ils le remettent dans le chemin, mais
; ce qui arriue souuent. Le Receueur au Bureau distribüe à ceux qui
viennent
à la Comedie les billets dont il est chargé, &
ilité, ayant ordre d’en vser enuers tout le monde, pourueu qu’on n’en
vienne
à aucune violence. L’Hostel de Bourgogne ne s’en
i que tous les desordres ont esté bannis, & que le Bourgeois peut
venir
auec plus de plaisir a la Comedie. Les Decorateu
etirer d’entre les aîles du Theâtre de certaines petites gens qui s’y
viennent
fourrer, & qui outre l’embarras qu’elles caus
quantité, non plus que le temps où on les doit employer. Quand le Roy
vient
voir les Comediens, ce sont ses Officiers qui fou
diesse necessaire à l’Orateur, il y a du plaisir à l’écouter quand il
vient
faire le compliment ; & celuy dont il sceut r
ces intrigues galantés, ces nudités, ces gestes, ce fard, ce luxe ne
viennent
que du vice, ne portent qu’au vice, n’entretienne
z-y de près ; le cœur y est bien plus touché que l’esprit, le plaisir
vient
sur-tout du vice qu’on y a délicatement répandu,
non en tresses en or, en perles, en vêtement somptueux ; quand elles
viennent
à l’Église qu’elles ayent la tête couverte, rien
l’abondance du cœur ; les femmes sont meurtrières d’ames quand elles
viennent
à l’Église elles ouvrent leurs coffres & arch
étoit que la pitié ; mais quand les scènes de Psiché & de l’amour
vinrent
, elle ne le fut pas moins, & il n’étoit plus
sottises des hommes, on les suit en gros & confusément, quand on
vient
au détail, on est surpris de l’étendue de cette p
ppartemens, on les mène à la promenade, on cause sur une terrasse, on
vient
dîner, on se rend à une bibliothèque, puis dans u
ce langage est sincère, ni l’indécence s’il ne l’est pas ; mais d’où
vient
cet abus sacrilège si généralement répandu de la
mp; voici le point : On en rit si fort en mains lieux, Que les larmes
viennent
aux yeux ; Ainsi en riant on le pleure, Et en ple
provinces pourront donc se passer de théatre ? Quelle hyperbole ! Il
vient
à Paris des gens de quatre ou cinq nations voisin
rs ? Les étrangers qui abordent à Paris sont des gens de province qui
viennent
y chercher le bon air, y prennent la corruption,
mieux. Riccoboni a raison de les appeler licencieuses. Les Comédiens
viennent
peu sur les théatres de société, & ils sont s
ent des Thérèses, au rouge près, du moins autant de Magdeleines. D’où
vient
qu’on ne la joue plus, & qu’à S. Cyr même on
e, y fut applaudi, de là à Paris ; il a fait sa fortune à l’opéra. Il
vient
souvent dans son pays prendre les eaux, & voi
t la lettre la plus pressante pour l’engager à lui faire l’honneur de
venir
passer quelque jour à sa maison de campagne. Le g
un autre Caton qui veille sur eux. Vous n’ôteriez pas tout le mal. Il
vient
pourtant de dire qu’un mot des Grands purgera la
les Romains, vous rejetâtes avec indignation cet infortuné, lorsqu’il
vint
prendre son rang parmi vous, que diriez-vous de n
lettre foudroyante, où il lui dit ingénieusement : Votre conduite ne
vient
que d’ignorance & de bassesse. Dans le fonds
olet. Nicodême que M. Gigot, marchand de vin, appelle Nigaud de même,
vient
d’acquérir le titre de fermier du château. Se voy
elle nomme Finette ; au dernier acte, l’Olive, dans ses vrais habits,
vient
jouer des airs de mandoline, sous les fenêtres d’
parée, arrangée avec art, où le riche libertin et le viellard dégoûté
vinssent
acheter à ses parens l’innocence d’une fille de d
réprimande qui fut faite à Caton aux jeux de Flore. Il falloit ne pas
venir
ici, ou il falloit t’y tenir caché. Mais je suis
qui sont tombés ou qui tomberont dans leurs lacs, s’offrir au premier
venu
, conclure sans façon leur marché ? Le sentiment q
isqu’au sortir delà, ils sont plus disposés que s’ils n’y étoient pas
venus
, à donner l’essort à leur pétulance. Tous ces aig
esse). S’ils arrivent innocens, ils s’en retournent pervertis ; s’ils
viennent
corrompus, ils s’en vont plus corrompus encore ;
pudeur. Mais comment un homme (je peins les faits) qui tous les jours
vient
publiquement savourer l’infamie, qui, a la face d
pecte plus lui-même, repecteroit-il encore quelque chose ? Il doit en
venir
par dégrés jusqu’à étendre à toutes les femmes le
e rendrais-je pas coupable si, en m’élevant contre les Spectacles, je
venais
vous en rappeler le souvenir ? Non, mes Frères, n
avez malheureusement oublié, et qui seul mérite d’être aimé. Ah ! ne
venez
donc plus nous dire que les Spectacles peuvent s’
justice du Seigneur a creusés. Qu’un Païen livré au culte des Idoles
vienne
nous faire l’apologie du Théâtre, dit Saint Berna
mateurs des Spectacles espèrent-ils donc que vous leur direz un jour,
venez
mes bien-aimés, venez recevoir des Couronnes immo
espèrent-ils donc que vous leur direz un jour, venez mes bien-aimés,
venez
recevoir des Couronnes immortelles, parce que vou
certaines. Lorsqu’on fréquente le Théâtre, dit Saint Chrysostome, on
vient
à l’Eglise avec dégoût, on n’y entend qu’avec pei
désir que l’on a que toutes ces choses soient vaines et frivoles, on
vient
malheureusement à bout de s’en convaincre. Tel a
et l’on finit par n’en plus recevoir ; mais, afin que les remords ne
viennent
pas troubler les plaisirs, ni la fausse sécurité
nativement du Bal au Salut, de la Sainte Table au Théâtre où l’on ose
venir
avec les lèvres encore teintes du sang de Jésus-C
gne des leçons qu’on lui avoit données. Quand l’heure de sa mort fut
venue
, dit Brantome, elle fit venir Julien son Valet d
données. Quand l’heure de sa mort fut venue , dit Brantome, elle fit
venir
Julien son Valet de chambre, qui jouoit très-bien
ce qu’il fit, & elle-même lui aidoit de sa voix ; & quand ce
vînt
tout est perdu, elle réitera deux fois, & se
honneur allant au siege de Rouen. Il y fut mortellement blessé, &
vînt
mourir quelques jours après à S. Jean d’Angeli. C
eneral, le sang froid dans la mêlée, & fut impénétrable, La Reine
vint
elle-même renforcer ses troupes, & caressa le
comploterent d’enlever le Roi, la Reine & la galante Cour, &
vinrent
avec deux mille chevaux, couverts du casque de Ma
; aucun ne mit pour elles l’épée à la main. Heureusement les Suisses
vinrent
à leur secours, mirent en sureté le Roi, la Reine
porter pendant deux mois le titre de Souverain des Pays-bas. Ensuite
vint
le regne d’Henri IV & de Louis XIII, après qu
qui la défendoient, s’est enfin fixée à demeure à Paris. La Reine fit
venir
d’Italie une troupe de Comédiens qu’elle avoit fo
le succès. L’Opéra que le Cardinal Mazatin, autre Italien, fit aussi
venir
d’au-de-là des monts pour endormir Louis XIV, por
les faire tomber dans une double ivresse. De là vraisemblablement est
venue
par une galanterie renversée, presqu’aussi dangér
Monluc son confident, Evêque de Valence, Calviniste declaré. Quand on
vînt
lui dire que les Catholiques avoient perdu la bat
un fonda Florence, & l’autre Boulogne en Italie. Du Florentin est
venu
le pere de Cathérine, & sa mere du Boulonnois
al de Biron lui dit : Il n’est pas en votre puissance, ni de Roi qui
viendra
jamais, si ce n’est que Dieu la fit ressuciter.
l’une à ceux qui arrivaient de la campagne, & l’autre à ceux qui
venaient
du Port ou de la Place publique. C’était à-peu-pr
uguste ; & dans le premier Acte de Brutus, deux Valets de Théâtre
viennent
enlever l’Autel de Mars pour débarrasser la Scène
ant de son Lutrin. « Pour comble de misère, un tas de faux Docteurs
Vint
flatter les péchés de discours imposteurs, Infect
t pas approuvé vos mauvaises maximes et votre conduite relâchée. Mais
venons
au Prélude. 4. [NDA] I. Pet. 5. 5. [NDA] De
nos désirs, Et de tous les côtés, ce ne sont que délices. *** Ici
vient
se mêler un héros dans nos Scènes, Qui, par son t
les rênes. *** Et là de grands Danseurs formés dès leurs bas âges,
Viennent
vous délasser, varier vos plaisirs ; Et tous unis
3. La grande bannière de Corpus Domini. Après un certain intervalle
viennent
: « 24. Le guet à pied et les chevaliers du cro
e troupe de petits danseurs, qui imitent après eux, les danses qu’ils
viennent
d’exécuter ; « 31. La petite âme, qui est figuré
; Judas ouvre la marche, il a en main la bourse des trente deniers ;
viennent
ensuite les Apôtres et les Evangélistes sur deux
re ou masque bien caractérisé. Tout son jeu consiste à faire aller et
venir
sa faux sur le pavé et l’approcher des pieds à to
ur précède le parlement. Elle marche dans le même ordre qu’elle y est
venue
, et étant arrivée dans la métropole, avec ses tam
es ! On conviendra que jamais sur nos théâtres, rien de semblable ne
viendra
offenser la vue, ni la raison des spectateurs ; e
Dieppe remportèrent une victoire signalée sur les Anglais qui étaient
venus
mettre le siège devant cette ville ; mais cette v
publier par toute la terre l’Assomption de la sainte Vierge, dont ils
venaient
d’être les témoins. Ceux-ci répondaient chacun pa
es chanoines, et les habitués sortaient de l’église en procession, et
venaient
dans le petit cloître : il y a au milieu du préau
ité qui convient à son caractère et à la cérémonie ; de jeunes filles
viennent
ensuite, portant l’image de la sainte Vierge. Le
oir voyagé quelque temps en Palestine, traversa la mer à pied sec, et
vint
se réfugier à Vérone, où il mourut. On en conserv
n avait chanté tierce, la procession commençait autour du cloître, et
venait
s’arrêter au milieu de l’église, au milieu des de
rophètes de l’Ancien Testament, tels que Moïse, Aaron, Daniel, etc. ;
venait
ensuite Balaam monté sur son ânesse, qui s’efforç
es mutuellement, et même poussaient les choses quelquefois jusqu’à en
venir
aux mains. Parmi les statuts en quarante articles
lises se rencontraient, elles se chantaient pouilleaf, et l’on en est
venu
quelquefois aux mains. Il fallait que cet abus fû
rès s’être livrés à ces divertissements profanes, dans le lieu saint,
venait
ensuite la débauche, qui a fait nommer, ainsi que
re, et par bémol, almanachs vieux et nouveaux, présents, absents et à
venir
, salut, pistoles, ducats, portugaises, jacobus, é
’adressèrent à quelques personnes qui les protégeaient, et les firent
venir
aux matines. Au commencement l’esprit fit tapage.
aint a inspiré à son Église, et que celle qui lui est opposée ne peut
venir
que des hommes, ou peut-être d’une source encore
, et non pas actif, sur le vain prétexte, qu’on n’oblige personne d’y
venir
. C’est un scandale actif de la part des Comédiens
it fréquent dans nos Gaules parmi les Druides. La malheureuse coutume
vint
ensuite d’honorer la Pompe funèbre des Grands qu’
aient plus des assemblées de Religion qui eussent demandé qu’on y fût
venu
dans un esprit de piété ; mais des assemblées de
ne point de faire des actes d’irreligion h. Les Saints Pères qui sont
venus
après, se sont conduits par son esprit : ils n’on
spectentur ut ipsæ Ille locus casti damna pudoris habet. Elles
viennent
ici par un penchant de cœur Dans le desir ardent
eulent ressentir de la douleur, et cette douleur est leur joie ? D’où
vient
cela, sinon d’une étrange maladie d’esprit ? puis
oit porter des Comédiens : car une troupe de ces sortes de gens étant
venus
à Paris, en l’année 1584. et ayant dressé un Théâ
ication et défense. Quatre ans aprés, d’autres Comédiens étant encore
venus
à Paris, le Parlement leur défendit de jouer, à p
orelle s’il y échet, quelques permissions qu’ils ayent impétrées. IV.
Venons
à la quatrième raison que l’Approbateur des Coméd
e temps-là étaient bien peu de chose en comparaison de ce qu’ils sont
venus
depuis : Cependant en même temps qu’il parle comm
-ils les portes du cœur, au moyen de quoi si quelque serpent sur cela
vient
à souffler aux oreilles quelques paroles lascives
scives, quelque muguetterie n, quelque cajolerie ; ou quelque basilic
vienne
à jetter des regards impudiques, des œillades d’a
sit toujours malgré les oppositions les plus grandes, qui semblent ne
venir
à la traverse que pour en faire mieux goûter la d
eule, quoiqu’elle soit en présence de trois ou quatre cens personnes,
vient
se soulager comme en secret d’une passion furieus
ent des parents et des rivaux, les entrevues échappées qui paroissent
venir
du hasard, les déclarations d’amour ; enfin l’heu
Comédie ne représentant jamais de passions calmes et modérées ; d’où
vient
qu’on fait toujours les Amants se plaindre des Di
la Comédie les Dimanches ? Je ne crois pas que cette pensée lui soit
venue
dans l’esprit. Est-ce qu’il ne faut jouer la Comé
it-il, me donna la vertu pour compagne : c’est de ce mariage que sont
venus
mes enfans que tout le monde admire. Et ailleurs
sa supériorité, en voulut davantage. Ils se brouillerent, & on en
vint
aux coups de bâton. Tel fut le démêlé de Lafontai
l’esprit éveillé & le discours plus sain que les autres nations,
viennent
d’en étrenner l’Arétin, auquel, sauf, une façon d
a brûlé bien de l’encens sur son autel. Un si grand nombre de gens
viennent
me visiter, que les marches de mon escalier en so
s assailli de gens de guerre, de prêtres, de moines. Tous les passans
viennent
à moi, comme si j’étois un caissier royal ; le so
y voit, ni cyprès, ni épines, ni orties ; mais mais toutes les fleurs
viennent
lui rendre hommage, il n’y manque que le lys de l
elle est l’Académie qui ne paie par des complimens ceux qu’un nouveau
venu
vient de lui faire ? Le cœur eut beaucoup de part
’oubli qu’elle méritoit ; & quelques années après, le Tasse étant
venu
à Florence avec la protection du Grand-Duc, l’Aca
elui-ci. Voici quatre vers que Voltaire lui écrivit, pour l’inviter à
venir
réciter son poëme chez une Dame qui ne rougissoit
de Cythere, Gentil Bernard est averti, que l’Art d’aimer doit samedi
venir
souper chez l’Art de plaire. Quel dommage qu’on
on, qui d’une douce passion a fait un art abominable. C’est d’où nous
vient
en sa faveur ce monstre de coquetterie, & ce
Obizon V. Marquis d’Est, & lui avoit donné onze enfans ; d’où est
venue
toute la Maison d’Est, Duc de Ferrare. Celle-ci s
réprimande son fils. Quand mon pere a commencé à me gronder, il m’est
venu
dans l’esprit de l’observer avec soin, pour peind
nt à cette belle œuvre, la célèbrent par leurs chants, & disent :
Venez
, tendres amours, couronnez ces amans, & régne
l’instinct pour le plaisir : c’est tout l’homme. Quatre petits Amours
viennent
leur reprocher leurs manieres vives & brusque
udeur eût combattu. C’est un corsaire qui arbore le pavillon ami pour
venir
sans résistance à l’abordage, c’est une amorce où
s. La corruption des mœurs leur en ouvrit les portes, & les y fit
venir
en foule ; mais un reste de décence leur y fit as
toute faite par les Acteurs. Dans quel état & dans quel dessein y
vient
on ? Une salle de spectacle est un champ de batai
t un monstre d’indécence. Ce n’est pas tout que de s’y montrer : qu’y
vient
faire cette Actrice ? qu’y entend-elle ? qu’y dit
ne soient tous des libertins. Aussi que sont-ils tous ? En quel état
vient
-on s’étaler sur la scène ? dans l’état le plus sé
amp; plus retenu. Grands & petits, bourgeois & peuple, tout y
vient
pour son plaisir, y est pêle mêle, sans distincti
it cens vers, avec une exacte continuité d’action ; je doute qu’on en
vint
jamais à bout. Quand on le pourroit, on n’y mettr
on mêler sa voix aux violons, sans perdre tout-à-fait de vûe ce qu’on
vient
d’entendre ? Si l’on en conserve quelque idée, N’
on. Quoi ! Quand Mitridate ordonne la mort de Monime, quand Agamemnon
vient
d’abandonner sa fille au couteau de Chalcas, on n
ois diables, les grandes par quatre & quelquefois plus ; d’où est
venu
le proverbe, faire le diable à quatre : car quatr
ent de grandes fourches, jettoient feux & flammes : ainsi fait-on
venir
Pluton, les Euménides, Vulcain, & c. C’est le
s temples, & la parure des actrices leur plus bel ornement. De-là
vient
la diversité des attributs & des figures des
érêt qui font que les âmes bien nées plaignent les malheureux ? Qu’on
vienne
au contraire nous apprendre une avanture toute si
a soigneusement si son sujet est vraisemblable ; les principes que je
viens
d’établir pourront peut-être l’éclairer ; il éloi
igneur sera la prémière. Est-il dans la vraisemblance, qu’un Seigneur
vienne
avec une meute, un train & une suite considér
du mépris de sa nation & de sa maison, elle bâtit un théatre, fit
venir
à grand frais & soudoya des troupes de Comédi
ante, que ses persécuteurs lui firent mener, l’objet qui l’avoit fait
venir
en Suêde, pour expliquer sa philosophie à la Rein
’en débite journellement dans les boutiques des Barbiers par ceux qui
viennent
s’y faire raser, comme dit Horace : Omnibus &
scendre du trône comme elle, ni personne de l’y faire remonter ; elle
vint
pourtant en Suede après ce refus, pour se faire p
-pauvre & très-mesquine ; elle fut reçue comme un particulier qui
vient
demander des graces. On s’arrangea avec elle pour
ions dont on lui paya une partie, elle s’en retourna comme elle étoit
venue
. Si Christine n’avoit point connu le théatre, ell
indigne qui l’auroit déshonoré, ou quelque Prince étranger qui seroit
venu
gouverner l’État & enlever ses finances ; on
e son sexe, sans en avoir les agrémens. Tous les savans ou soi-disans
vinrent
à Paris lui rendre visite, elle les accueillit av
’il n’y en eut point qui le méritassent mieux que lui. Quand la Reine
vint
à l’Académie, elle fut fort, étonnée de ne pas l’
ize quartiers, mais la probité, & les lumières . Quand Christine
vint
à l’Académie, on demanda si les Académiciens sero
it deux Jésuites habiles pour achever de l’instruire, qu’ils devoient
venir
en Suède déguisés en Marchands, pour ne point don
tout le parterre, ne fut-il composé que des cannibales, s’il faisoit
venir
un Mathurin donner l’absolution à cet amant infor
-elle mauvaise odeur ? Non, sachez, mon fils, que l’argent d’où qu’il
vienne
ne sent jamais mauvais. Le nouvel impôt du Pala
leur zèle, il vousut bien employer ces termes ; Madame de Maintenon y
vint
ensuite avec toutes les Dames : nouveaux éloges,
te, mais non de la galante contribution que ses troupes avoient levé,
vint
à Sarfines avec M. le Dauphin & les Officiers
vir par les Dames ? Comment a-t-elle pu choisir un Couvent, y laisser
venir
toutes les Religieuses, les laisser mêler avec le
i, dit-il, y avions chacun notre maîtresse, Actrice de l’opéra, qui y
vinrent
jouer. Le Public disoit que nous avions fait dépe
e Condé possédera le théatre de la nation, & verra toute l’Europe
venir
rendre hommage à la mémoire de Condé, aux jeux de
alles pour la noblesse, & d’autres pour la bourgeoisie, on y peut
venir
en masque, on y peut même tenir la banque au moye
stances des Polonois qui l’aimoient ; il quitta même sa patrie, &
vint
à Paris dans le centre du plaisir, comme Amedée,
é, Sire (Cazimire Abbé de St. Germain), à qui tout bonheur je désire,
vint
aussi aux Italiens bien aimés de nos citoyens ; c
des apparitions ridicules de revenans sous la figure d’une statue qui
vient
au milieu de la débauche d’un repas. Ces drames n
e : au second acte, l’heure de la prière ordonnée par l’Alcoran étant
venue
, l’Ambassadeur & toute sa suite s’acquittèren
comment. C’est une critique ingénieuse de bien des pièces où l’amant
vient
en effet je ne sais comment. Elisabeth, Reine d’A
ieusement distinguées des hommes : Mais l’on peut aussi demander d’où
vient
que la dévotion, ce sentiment vif et ardent de la
aste : Mais un nouveau Dictionnaire qui n’est que trop à la mode, est
venu
nous ôter ce reste de pudeur, et les personnes qu
partout, et nos Églises seraient presque désertes : Car si elles n’y
venaient
pas ; combien de Cavaliers et de prétendus Abbés,
: seules rescapées de la destruction de Sodome, les filles de Loth en
viennent
à s'unir avec leur père. e. Bassette : jeu de ca
près de quatre vingts ans a le mieux soutenu la majesté du trône ; il
vient
terminer ses jours, déposer ses lauriers & so
LISETTE. Je sai ce qu’il en faut penser. Elles n’ont qu’à
venir
, nos révérendes meres ; De leurs sermons
C’est bien vraiment chez nous qu’on garde le silence. Maman n’a qu’à
venir
me faire la leçon, Qu’il faut fuir l’opéra, le ba
ent modele. LISETTE. Après-tout, pourquoi tant gronder ? Il
vient
dans un couvent. N’est-ce pas sa famille ?
victime, Qui peut jamais lui faire un crime, Quand il
viendra
tenir son coin Dans un délassement modéré, légiti
par les Démons, s'ils sont faits pour eux, et si tous les ornements y
viennent
d'eux, ils sont assurément de ces pompes des Démo
davantage, l'Orchestre et le Cirque sont maintenant déserts, et tous
viennent
ici pour chanter les louanges de Dieu. » Les Con
z-vous d'être par la vanité de ce Spectacle Enfants des Hommes ? D'où
vient
que vous Idem in Psal. 118. hom. 18. avez le cœur
et sans réalité, comme Saint Paul dit que l'Idole est un néant. D'où
vient
que le mot Hébreu Bethaven, est différemment inte
able, auxquels nous avons renoncé, et celui-là retourne à lui qui les
vient
voir, il n'y rencontre pas le divertissement, mai
s, il ait été poussé de quelque puissante considération pour le faire
venir
en poste de Lyon à Paris, dans la plus fâcheuse s
l’homme et dans ses actions, mais aussi dans ses discours : De là est
venu
que l’Eloquence pour persuader avec plus de force
isir ? Que si la joie fait vivre selon la confession de tous ceux qui
viennent
à la Comédie, et au rapport des plus experts méde
que insolent se fait paraître durant la Comédie qu’on ne doive jamais
venir
à l’Hôtel de Bourgogne ? Au reste GUILLOT-GORJU d
e vous la perdiez ou non, pourvu que vous ne perdiez point l’envie de
venir
à l’Hôtel de Bourgogne, où il attend tous ses cri
lque nouvelle flamme, Que nouveau signe on le verrait, Ainsi comme il
vint
ravir Lede, En Vénus trouver le remède Au doux fe
intes, divines, immortelles, Les chastes vierges, les neuf sœurs, Qui
viennent
en notre Province, Admirer et chérir un Prince Qu
lutôt cette vaine félicité produit-elle de malheurs ? C'est de là que
vient
l'aveuglement du cœur, selon ce qui est écrit : O
uple, ceux qui vous appellent heureux, vous trompent. C'est de là que
viennent
les peines fâcheuses des soupçons, et les crue
nasius ou Chef-d’œuvre d’un Inconnu, ou à l’occasion d’un mot on fait
venir
tout ce qu’on veut. Si Moliere revenoit au monde,
& il connoissoit trop les hommes pour en espérer quelque succès.
Vient
-on au Théatre pour étudier ? Le parterre, les log
édien, une Actrice sont-ils faits pour les débiter ? Une coquette qui
vient
étaler ses charmes, un libertin qui voltige pour
un oracle ? Chaque Auteur imprime son caractere à ses ouvrages. De là
vient
la variété infinie des discours, des traités, des
rterent leur mytologie avec leurs idées & leur langage. De là est
venu
, dit-on, le nom de Vauxhall, lieu agréable, palai
philosophes grandeurs, Vous tous tristes suppôts de la mélancolie,
Venez
dissiper vos humeurs Dans le palais de la Foli
s ont leurs places, La coquette y trouve des glaces, Et la vanité
vient
exprès D’un coup d’œil soutire à ses grâces,
s ont besoin d’artifice, Ou qu’une ride, hélas ! avertit du retour, Y
vient
montrer encor, graces au demi jour, Tout l’éclat
Tout l’éclat du bel âge, & l’air presque novice. Combien d’Agnès
viennent
adroitement, Malgré l’œil vigilant d’une duegne
e amour, toi qu’on y revere, Dieu du plaisir & père du bonheur,
Viens
regner chez Torré, c’est la ton sanctuaire. Co
emble être fait pour la félicité ! Quitte Paphos, abandonne Cytère,
Viens
au Vauxhall déposer tous tes traits, Qu’il soit
ue n’y voyant que des choses communes, ils concluent qu’elles doivent
venir
aisément dans la tête d’un Auteur. Je ne crois pa
ots se présentaient au bout de leur plume ; les rimes les plus riches
venaient
les trouver en foule, comme pour les narguer. Ils
ns que vous savez. Il ne pouvait se modérer, se contenir : il allait,
venait
; il levait les yeux au ciel ; la joie brillait s
fixe au jour de votre arrivée. si je puis le filer jusques-là… Il me
vient
une pensée : Mademoiselle *** ne s’informe pas de
it pas besoin d’en parler à la maison d’Israël pour laquelle il était
venu
, où ces plaisirs de tout temps n’avaient point de
ble divertissement dans sa famille parmi ses enfants : c’est où il se
vient
délasser à l’exemple de ses Patriarches, après av
n Théatre de voleurs.Après avoir écarté les rivaux, le Sieur la Harpe
vient
enfin à Voltaire, le seul pour lequel il écrit. C
it arrivé dépuis. Comment un jeune homme étranger, qui n’étoit jamais
venu
dans ce pays, & n’y avoit point de connoissan
des étrengers qui achêtent la noblesse, attachée au Capitoulat, &
viennent
passer une année à Toulouse, plus occupés de poli
jette de tous côtés, Belles Lettres, Poësie, histoire, jusqu’à faire
venir
Gregoire VII & Alexandre VI, qui n’eurent jam
Auteur, qu’on y a semé sans doute à dessein pour faire croire qu’elle
vient
d’un Ecolier de droit. Ce libelle est appelé deli
vec sa queue, & regardant ses plumes avec complaisance. De là est
venu
le mot se pavaner, pour exprimer la vanité d’un h
ui doivent veiller toute la nuit pour être prêtes à servir le premier
venu
. A la Chine, où la police est plus severe, les mœ
rui comme une ressource certaine pour nous. Nous sommes par-tout bien
venus
, depuis les Rois jusqu’au moindre Artisan. Il est
aire décrier la religion & tout ce qui y a rapport. On ne la fait
venir
que dans cette vue. Les papiers publics ont annon
ur façon. Cette Troupe est aux gages du Prince. Beaucoup de masques y
vinrent
danser. Le plus singulier est une comédie jouée à
ues en place. Un Pasteur des âmes, l’esprit plein des futilités qu’il
vient
d’entendre, serait-il bien en état d’administrer
chœur, du bréviaire à Racine ! Un Prédicateur prêchera-t-il ce qu’il
vient
d’entendre ? un Confesseur défendra-t-il ce qu’il
éfend à tous les Evêques, Prêtres, Diacres, Sous-diacre et Clercs, de
venir
à aucun spectacle : « Interdicimus Episcopis, Pre
dame de Maintenon pressant beaucoup M. Hébert, Curé de Versailles, de
venir
à la représentation de la tragédie d’Esther par l
qui s’adressaient à lui de fuir ces dangereux spectacles. Ce trait ne
vient
pas d’une main suspecte à Thalie, c’est le Jésuit
ournit l’occasion, on l’invite, on le presse, on le force presque d’y
venir
? On lui en inspire le goût dès le collège, on lu
t eulx deux, qui sont incertains Ou le signe est, n’en quelle espece,
Viendront
tirer chascun sa piece, Et celluy auquel escherra
hans destinez en terre estre, Clos a jamais dans le centre terrestre,
Viendrez
vous point a mes cris & aboys, Sortez au feu
que complaindre me doibs : Haro, haro, nul de vous je ne veoys, Si ne
venez
desesperer m’en voys. Dyables mauldicts, Dyabless
: Prince denfer tes cris as faict estendre Si tresavant qu’ils sont
venus
descendre Jusques au fons des noires regions Nos
éatre. On distribuera de l’argent aux pauvres, & des billets pour
venir
danser ; à envisager avec les yeux de la réligion
ms ; il n’y avoit point encore de corps de comédiens. Les Italiens ne
vinrent
que sous le regne suivant, d’Henri III, il y eut
mpereur & l’Impératrice Reine Apostolique, qui n’y étoient pas, y
vinrent
dès qu’ils eurent appris la nouvelle, sans doute
en prennent les habits, & en jouent les rôles. Mais cette défense
vint
à contre tems pour la France ; c’étoit le tems de
t soulever les peuples, se mit à leur tête, & le détrona ; Pierre
vint
en Guyenne, où les Anglois regnoient, ils lui fou
irent des troupes, & le rétablirent dans ses Etats. Henri chassé,
vint
en France, obtint un pareil secours, donna batail
Roi le poignarde, & Henri son frere, le poignarde lui-même, &
vient
ensuite se poignarder de désespoir. C’est un duel
d’Ormesson (exilé pour les affaires du Parlement) a la permission de
venir
voir chaque semaine son fils, qui est malade, &am
vec le bon sens. Dans l’éloge de Gaussin & le Couvreur, l’univers
vient
encore faire les frais, mais bien mieux que dans
z-vous, m’a-t-il répondu, l’invention d’une mode une bagatelle ? Vous
venez
d’un pays barbare, d’où le bon goût est exilé ; i
filiæ eorum compositæ circum ornatæ ut similitudo templi , d’où est
venue
la façon proverbiale de parler : parée comme un a
l’histoire. Il y avoit dans ses états quelques Nains en petit nombre,
venus
apparemment des Lapons qui sont à l’extrêmité du
ujourd’hui assez communes dans la Russie. Les Nains pendant son règne
vinrent
à la mode, chaque grand pour lui faire sa Cour en
ttre à genoux devant l’Empereur, & bûrent à sa santé ; les autres
vinrent
ensuite faire de même au bruit des timbales, des
ne règle, & toutes les mitigations ont commencé par l’abandonner.
Vient
-on à se relâcher dans la vertu, on recherche la p
jolerie ; mais que répondront-elles au jugement de Dieu, si les Anges
viennent
à tordre leurs habits, & en faire distiller l
, fondatrice de Long Champ. Cette vie n’a pas été inutile à celui qui
vient
d’en donner une de cette Princesse à l’occasion d
pus naturæ corrigere . Ezéchiel XXIII. 44. dit que les Chaldéens sont
venus
en Judée, & voyant des femmes fardées n’euren
n’est pas nécessaire pour l’éclaircissement du second siècle que nous
venons
d’achever, ni du troisième que nous allons commen
pire. L’amour dont parle l’Ecriture, est celui qui, selon saint Paul,
vient
« d’un cœur pur, d’une bonne conscience, et d’une
ffrir à Jésus-Christ cette action, et se rendre témoignage qu’ils n’y
viennent
qu’en son esprit, pour son amour et pour sa gloir
elui qui aime le danger, périra dans le danger ; que le jour terrible
viendra
comme un voleur qui marche sans bruit, ou comme u
our bien sainte, est une preuve qui n’est que trop forte de ce que je
viens
d’avancer. Comme si on y faisait un aveu, que le
vous informiez de ce que j’ai dessein de faire, et jusqu’à ce que je
vienne
moi-même vous dire de mes nouvelles, qu’on ne fas
de Dieu par la mort d’Holopherne ; il faut encore que l’amant insensé
vienne
exposer ses craintes et ses soupçons, et que Judi
même ouvrage, et l’on voit assez par ce que nous venons de dire, d’où
vient
que les paroles de l’Ecriture ont été souvent app
parole, pour en aller perdre le fruit au son des instruments ; et ne
venez
pas faire le pénitent dans l’Eglise, si vous voul
ue Italienne. C e Chapitre est presque la conclusion de ce que je
viens
d’écrire dans l’autre. Je suis persuadé que le Le
cite simplement, font paraître l’harmonie plus délicieuse lorsqu’elle
vient
tout-à-coup à se faire entendre. Les intervales d
de votre Prélat, qu’Orphée sa douceur. Vous dites que Quatre Fourbes
viennent
danser auprès d’Argus pour l’amuser, dans la vue
le sommeil n’a fait qu’à demi, l’intérêt dont Mercure est le Symbole
vient
l’achever par sa flûte. Si c’est ainsi, mes Pères
ites jusqu’à l’époque de leur destruction. Assurément il n’est jamais
venu
à la pensée du clergé de France de frapper les di
des hommes chargés quelquefois des rôles les plus profanes. Ce que je
viens
d’exposer sommairement sur les prêtres qui ont jo
ne à la liberté de la presse. Que dirait donc M. de Sénancourt, si je
venais
à réclamer contre un scandale évidemment nuisible
chacun se plaise dans son état. » « Le manège et l’esprit d’intrigue
viennent
d’inquiétude et de mécontentement : tout va mal q
tenir longtemps à leurs fenêtres, elles descendirent ; les maîtresses
venaient
voir leurs maris, les servantes apportaient du vi
« Nous le sommes maintenant, A l’épreuve à tout venant. « Ensuite
venaient
les enfants, qui leur répondaient en chantant de
licite loin d’empêcher son contraire, le provoque : en un mot, ce qui
vient
par réflexion, n’éteint pas ce que l’instinct pro
pressions de l’amour sensuel : le remède des réflexions ou du mariage
vient
trop tard : déjà le faible du cœur est attaqué s’
pour amuser, ou plutôt pour instruire ceux qui sont censés pouvoir y
venir
chaque jour ; il est clair que le menu Peuple ne
argent à la Comédie : c’est donc donner des leçons à des gens qui ne
viennent
point les entendre ». Réponses. Cette obj
le ébranler fortement son ame. Notre Opéra éxcite aussi dans ceux qui
viennent
l’admirer un enthousiasme violent, qui les contra
s & la populace. Dès que le goût se relacha, dès que la frivolité
vint
s’emparer des têtes Françaises, toujours prêtes à
n de leurs violons tout un Peuple éclairé ; ils lui font croire qu’il
vient
entendre une Pièce de Théâtre, tandis qu’on repaî
cite, loin d’empêcher l’illicite de se soulever, le provoque ; ce qui
vient
par réflexion n’éteint pas tout ce que l’instinct
r aux impressions de l’amour : le remède des réflexions ou du mariage
vient
trop tard. Déjà le faible du cœur est attaqué, il
nçons, nous nous contenterons de rapporter le suivant. Un jeune homme
venait
d’épouser une jeune personne qui avait été élevée
a vus si bien représentés sur le théâtre. » C’est là qu’un chrétien
vient
apprendre à commettre des crimes qu’il a sous les
s retirez qu’avec mille blessures mortelles. N’est-ce point de là que
viennent
le renversement des maisons, la perte de la sages
; enchanté du plaisir, ébloui de l’éclat, plein des grands airs qu’on
vient
d’admirer et de goûter, de quel œil voit-on la pe
le piquant assaisonnement du burlesque, des équivoques, des lazzi, ne
viennent
le réveiller. Le peuple ne va point au Misanthrop
leur proscription. L’origine du Majuma est fort obscure. Suidas fait
venir
ce mot du mois de Mai, aux premiers jours duquel
’eût fait la loi qu’après la fête, pour la réformer. Baronius le fait
venir
d’un bourg de la Palestine, dépendant de Gaze, où
par la licence et par l’espérance du gain, des troupes de Bateleurs y
venaient
donner des farces ; ce qui ne fit qu’augmenter la
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