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1 (1574) Livre premier. Epître dixième. Cyprien à Eucratius son frère « Epître dixième. » pp. 30-31
oneste Eucratius de retirer de cette vilaine et déshonnête manière de vivre , un bateleur qui était parmi son peuple, pour sui
et corrompt la Jeunesse. en son art déshonnête, et vilaine manière de vivre , et comme maître et conducteur d’enfants, non pou
is appris à sa ruine et damnation, à savoir si un tel personnage doit vivre et communiquer avec vous. Quant à moi, je ne suis
tant qu’il te sera possible, de sa méchante et damnable condition de vivre , pour le rappeler au chemin d’innocence, et à l’e
ous, pour recevoir par-deça ce qui lui sera nécessaire, tant pour son vivre , que pour s’entretenir : et que hors de l’Eglise
râce. Annotation. E n son art déshonnête et vilaine manière de vivre .) Le temps passé on a eu en grande abomination te
2 (1664) Traité contre les danses et les comédies « INSTRUCTION, et avis charitable sur le sujet des Danses. » pp. 177-198
t Dimanches. Le grand saint Charles Borromée Archevêque de Milan, qui vivait au siècle passé, en plusieurs endroits de ses act
e ici en passant le sentiment sur ce sujet d’un grand personnage, qui vivait il y a plus de trois cents ans, c’est de François
croient être plus parfaites de savoir bien danser, que de savoir bien vivre . »  Voila le jugement de ce grand homme sur les d
heureux ceux qui pleurent car ils seront consolés, Malheur à ceux qui vivent dans des joies, car ils seront accablés de triste
5 et demandant un peu de soulagement, il lui fut répondu qu’il avait vécu dans les délices pendant sa vie, et que maintenan
ices : ce qui a fait dire autrefois à S. Augustin, que quiconque veut vivre Chrétiennement, il faut faire état de vivre dans
ustin, que quiconque veut vivre Chrétiennement, il faut faire état de vivre dans un continuel martyre. 4. La danse est une oc
3 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100
son Livre la connaissance & les règles certaines. Si Aristote vivait , il eut écrit sur le nouveau Drame. Il ferait
rait à souhaiter pour la gloire de l’Opéra-Bouffon que ce grand homme vécut de notre tems, ou que son prodigieux sçavoir se t
aurait point fait une Poétique en faveur de la Tragédie, si lorsqu’il vivait , les Euripide & les Sophocle n’avaient été gé
éloquence d’un Sçavant qu’on place au rang des Bienheureux, quoiqu’il vécut dans l’idolatrie ? Le Lecteur s’étonne peut-être
4 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XX. Spectacles condamnés par les saints Pères et par les saints conciles. » pp. 168-178
rtisans du monde, que ceux-ci se réjouiront, tandis que les chrétiens vivront dans la tristesse. Pleurons donc, conclut ce Père
’âme ; le cœur et l’esprit en sont infectés. Le saint abbé Nilus, qui vivait dans le cinquième siècle, dit aussi26 qu’une pers
ublics, où la volupté siégeait comme sur son trône. Saint Ephrem, qui vivait dans le sixième siècle, avertissait les fidèles d
re des démons et leur grande fête27. » Saint Isidore de Séville, qui vivait au septième siècle, appelle le théâtre un lieu de
s, et le commerce odieux des femmes galantes28. » Saint Bernard, qui vivait dans le douzième siècle, n’a pas laissé de condam
5 (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469
nt de rendre l’esprit ; mais venez, touchez-la de votre main, et elle vivra . Jésus se leva, et le suivit accompagné de ses Di
outes sortes de conditions, et la faire entrer dans l’âme de ceux qui vivaient à la Cour, aussi bien que de ceux qui vivaient da
dans l’âme de ceux qui vivaient à la Cour, aussi bien que de ceux qui vivaient dans les Cloîtres ; pour insinuer cette piété dan
dans les Cloîtres ; pour insinuer cette piété dans l’âme de ceux qui vivaient dans le monde, il lui fallait prendre des mesures
gréable. Et qu’est-ce qu’il en arrive ? une fille Chrétienne qui aura vécu dans la modestie, croyant qu’il lui est permis de
6 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VII. Quelle doit être la Comédie après la réformation du Théâtre. » pp. 69-85
] Héliodore d'Emèse est un auteur écrivant en langue grecque et ayant vécu au IIIe ou au VIe siècle ap JC. f. [NDE] Histoir
ne Thessalien. g. [NDE] Achille Tatius est un auteur grec qui aurait vécu au IIe siècle ap JC. Il est l'auteur de Leucippé
t un philosophe, un historien, un politique et un écrivain grec ayant vécu au premier siècle ap JC. i. [NDE] Riccoboni pour
à Ranuce Farnèse Ier ou Ranuce Franèse IIe, deux ducs de Parme ayant vécu respectivement au XVIe et au XVIIe siècle.
7 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — V.  » p. 459
préservé de la corruption qui s'y rencontre. Que si les personnes qui vivent dans la retraite et dans l'éloignement du monde,
s pointes du péché, à quels désordres ne s'emporteront point ceux qui vivent dans les plaisirs, et qui ont le cœur rempli de t
8 (1675) Traité de la comédie « VI.  » pp. 280-282
réservé de la corruption qui s'y rencontre. Si donc les personnes qui vivent dans la retraite et dans l'éloignement du monde,
s pointes du péché, à quels désordres ne s'emporteront point ceux qui vivent dans les plaisirs, et qui ont le cœur rempli de t
9 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
rêter sur aucun objet qui puisse corrompre la pureté de son âme, doit vivre en ange dans la maison d’argile qu’il habite : un
son baptême, a renoncé à la chair ; qui s’est engagé par là à ne pas vivre selon les sens, à ne pas flatter les désirs corro
d’embrasser la croix de Jésus-Christ et de mourir au monde, de faire vivre son Sauveur en lui, et de continuer sa vie sur la
ouver dans des assemblées où règne l’esprit du monde, où on apprend à vivre comme lui, à se conformer à ses maximes, à ses co
Ceux qui sentent ce besoin sont-ils autrement constitués que ceux qui vivaient du temps de saint Louis, qui s’en passaient bien 
10 (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25
; qu’ils soient propres, qu’ils soient honnêtes, & qu’ils sachent vivre  ? Nullement, vous ne seriez pas raisonnable de co
illent même proprement, qu’ils voïent les honnêtes gens, & qu’ils vivent honnêtement avec eux : Mais qu’ils s’habillent en
eut ajoûter à ce danger d’étre seduits par le demon, le peril où nous vivons continuellement d’étre surpris par la mort. Le Sa
ems, où vous pensiez moins à mourir que lors-que vous oubliez méme de vivre en Chrétiens, & par consequent si Jesus-Chris
11 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre VIII. Les spectacles favorisent les duels. » pp. 93-95
es duels. « Sans ternir votre fer d’un indigne attentat, Laissez vivre et vivez pour le bien de l’Etat. » de La Monnaie.
« Sans ternir votre fer d’un indigne attentat, Laissez vivre et vivez pour le bien de l’Etat. » de La Monnaie. « Quel
12 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33
ssaires aux besoins des pauvres de toute une ville ? Dans quel siécle vivons -nous ? Les membres de Jesus-Christ mourront de fa
e Jesus-Christ mourront de faim ; des hommes réprouvés par son épouse vivront dans les délices, & on se croira innocent ! N
13 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
je préfère… que j’ai toujours préférée ; elle sans qui je ne saurais vivre … l’avoir trahie… m’être privé de mes droits à sa
solution s’affaiblit ; le charme renaît… Non, je ne suis pas digne de vivre … Quand je vois Ursule… Ursule, & mon fils que
14 (1705) Pour le Vendredy de la Semaine de la Passion. Sur le petit nombre des Elûs. Troisiéme partie [extrait] [Sermons sur les Evangiles du Carême] pp. 244-263
ir dans vôtre Baptême, c’est à dire, que vous avés promis de ne point vivre selon les sens : vous vous êtes engagés à regarde
voit qu’à entonner des Cantiques sacrés, où l’on ne mangeoit que pour vivre , où l’on ne faisoit ensemble quelques repas sobre
e, qui le demandés, si vous voulés entrer dans ces voies. Or ceux qui vivent de la maniere que je viens de dépeindre, ne compo
t suivre de regle que l’impieté & le libertinage, tous les autres vivent comme vous agissent comme vous, se conduisent com
15 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32
elle se détermine tout à coup à prendre aussi l'habit religieux, pour vivre auprès de lui, l'enlever à son état, « et oser êt
son amant parmi les Religieux qui chantent, et se fait Religieux pour vivre avec lui : « … Près de lui je vivrai, L'air qu
tent, et se fait Religieux pour vivre avec lui : « … Près de lui je vivrai , L'air qui vient l'animer, je le respirerai. »
idèle. « Mon époux ; il renaît, et je meurs chaque jour. » De le voir vivre . « Que la raison, l'honneur de mon âme était loin
à brûler des plus coupables feux, Morts pour le genre humain pensent vivre pour eux. » Le Clergé séculier et régulier est
donc fou, libertin et hypocrite, et à charge à la société ? Il croit vivre pour lui en travaillant à son salut et mourant au
mminge à la Couronne, où les deux branches prétendues de cette maison vivent dans leurs terres jusqu'à mettre le Comte en pris
ilosophie moderne ? auprès d'Adelaïde, ou à la Trappe ? Ce Roman fait vivre Adelaïde au pied des Pyrénées, et élever dans un
16 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106
c’est que le mariage ? Crois-tu que nous eussions jamais si doucement vécu ensemble ta mère & moi, si nous avions été ma
bienséance, plus précieuse que modeste, qui tue la joie, & laisse vivre le libertinage que Moliere auroit proscrit &
e pas leurs divinités ? C’est là leur religion, leur paradis. Peut-on vivre sans le théatre ? Il faut du moins en avoir l’ima
nié par la premiere poste de Rome ! Que les honnêtes gens ont peine à vivre  ! Il n’est rien de plus insolent que ces affiches
fasse précéder les présens. Que faire ? A Rome les Auteurs faisoient vivre les Comédiens, en France les Comédiens font vivre
s Auteurs faisoient vivre les Comédiens, en France les Comédiens font vivre les Auteurs. Lett. 30. Quand on jouoit Zaïre Volt
17 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209
ugir de votre confraternité. Si vous avez de l’honneur, ayez honte de vivre avec tant de personnes qui font gloire d’en manqu
de personnes qui n’entrent jamais dans aucune Eglise, parce qu’elles vivent sans Religion : dans quelles dispositions de cœur
ntraîne, & nous avons pour nous autoriser plusieurs personnes qui vivent chrétiennement. Ecoutons encore Tertulien, Mademo
sons qui fendent les ondes, cette multitude innombrable d’Animaux qui vivent sur la terre, l’Homme enfin, ce Chef-d’œuvre des
espéce dans les eaux du déluge ; une seule Famille est jugée digne de vivre , & de perpétuer sur la terre la race infortun
18 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466
: et encore que ces choses fussent en usage parmi eux, pendant qu’ils vivaient dans les ténèbres du Paganisme, ils étaient toute
notre offense plus griève [grave] et plus criminelle, que quand nous vivions encore dans le Paganisme : car nous préférons les
19 (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67
e cette femme débauchée, il couroit le plus grand risque, si elle eût vécu , il connoissoit la foiblesse de son maître. Le jo
en dispenser, point de prétexte qui excuse, on doit plutôt cesser de vivre que de cesser de servir Dieu : Hæc testamenta pr
, enseignent une morale relâchée, approuvent la comédie ! Et ceux qui vivent mal, qui aiment les spectacles ; les condamnent c
e faites pas ce qu’ils font. Les mauvais condamnent la comédie, & vivent mal ; vivez donc bien, & n’allez pas à la com
ce qu’ils font. Les mauvais condamnent la comédie, & vivent mal ; vivez donc bien, & n’allez pas à la comédie ; les b
c bien, & n’allez pas à la comédie ; les bons l’approuvent, & vivent , bien, allez-y & vivez mal. Cette contradicti
la comédie ; les bons l’approuvent, & vivent, bien, allez-y & vivez mal. Cette contradiction avec l’Evangile, & d
ic un ouvrage excellent contre la comédie ; aussi Gacon ne put-il pas vivre long-tems dans cette célebre Congrégation, on s’e
20 (1687) Instruction chrétienne pour l’éducation des filles « CHAPITRE XIII. Des jeux, des spectacles, et des bals, qui sont défendus aux Filles Chrétiennes. » pp. 274-320
is pourquoi blâmer la comédie ? il n’y a point de mal, on y apprend à vivre dans le monde ; mais prenez garde qu’il n’y a rie
in sur lui, et le châtiant jusqu’a l’effusion du sang, il le réduit à vivre selon les lois de l’esprit, de peur, dit-il, qu’e
ent en ruine, quand il n’y a plus de fondement. Cependant l’erreur où vivent la plupart des personnes du monde sur ce point, m
amertumes, des peines et des douleurs. Mais, répondrez-vous, toujours vivre sans plaisir, ce n’est pas vivre, j’aimerais auta
eurs. Mais, répondrez-vous, toujours vivre sans plaisir, ce n’est pas vivre , j’aimerais autant mourir, car la vie Chrétienne
tombeau ; il est coupable et condamné à la mort dès qu’il commence de vivre  ; la sentence est déjà prononcée, mais l’exécutio
21 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34
e les malheurs d’une guerre à la faiblesse des troupes, au défaut des vivres , à la supériorité de l’ennemi ; on se trompe, abs
es Sénateurs, errants et fugitifs dans toute la terre, attendant pour vivre quelque aumône des gens charitables, arrachent le
r. Il n’osa plus se montrer dans le public. « Hélas ! disait-il, j’ai vécu trop d’un jour. Ah ! faut-il qu’après avoir passé
i tant de bassesse, qu’il est indigne de servir la patrie, indigne de vivre  : « Militem qui artem ludicram fecisset, capite p
22 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXIX. Nouvel abus de la doctrine de Saint Thomas. » pp. 102-108
nt l’esprit et entretiennent la société entre ceux avec qui ils ont à vivre  » ; ce qui ne dit rien encore, et se réduit comme
i nécessitas exposcit » ; comme serait dans la chasse s’il en fallait vivre  : tout cela conformément aux canons, à la doctrin
23 (1662) Pédagogue des familles chrétiennes « [FRONTISPICE] »
Enfans et Domesti-ques, et à toutes sortes de Personnes qui veu-lent vivre selon Dieu. Recueilly par un Prestre du Seminaire
24 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXI.  »
l est visible que ceux qui fréquentent les Comédies ne sont pas et ne vivent pas dans l'esprit du Christianisme.
25 (1777) Des divertissements du Carnaval « Des divertissements du Carnaval. » pp. 92-109
 ? Ignore-t-on que pour être véritablement Chrétien, il faut toujours vivre en Chrétien ? Dieu ne veut point de notre cœur, s
airement dans une espèce de folie, dès qu’on cesse de raisonner et de vivre en Chrétien. II. Mais quel mal y a-t-il, di
dans l’année où le précepte de se mortifier, d’éviter les dangers, de vivre en Chrétien, de mener une vie pure et exemplaire,
26 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212
s le livre des trois siecles. Abeille arrivant à Paris, dabord pour vivre vous chantates des Messes à juste prix, puis au t
ille, ses talens naturels auroient pu le rendre utile ; il aima mieux vivre & mourir dans son Epicurisme & sa philoso
, elle lui fut infidele & fit d’autres amans, continua à sêduire, vécut & mourut actrice, admirée dans son art, mépri
ter un mêtier scandaleux, de contracter un mariage légitime & d’y vivre en honnête femme. C’est une grace qui n’est pas a
ent, & continuent de jouer ; d’autres sortent de la troupe, & vivent dans le mariage comme elles avoient vécu sur le t
ortent de la troupe, & vivent dans le mariage comme elles avoient vécu sur le théatre. Il en est qui, contre la volonté
ctent des mariages ou plutôt des concubinages, ou après avoir quitté, vivent dans un célibat prétendu, c’est-à-dire, dans le l
27 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123
en nous malgré nos vices, & qui prouve que nous sommes faits pour vivre en société ; ce n’est pas seulement aux incidens,
lle fait agir ; ses Personnages sont copiés d’après des originaux qui vivent parmi nous : on croit voir agir & entendre pa
28 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241
tourner dès hier, on voudrait partir aujourd’hui ; on ne saurait plus vivre sans te voir. Ne va pas te mettre dans la tête, q
n de femmes ont dû la conquête d’un époux infidèle, à la nécessité de vivre quelque temps dans des lieux différens ! Nous avo
29 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE III. Qu'une Mère est très coupable de mener sa fille aux Spectacles. Que c'est une erreur de croire que la Comédie soit destinée à corriger les mauvaises mœurs. Que rien au contraire n'est plus propre à les corrompre. » pp. 65-75
erer. » Conf[essiones]. Lib.disait S. Augustin, la sûreté de ceux qui vivent dans les usages du monde par état, et par vocatio
vivent dans les usages du monde par état, et par vocation, consiste à vivre dans la vigilance Chrétienne, et à prendre toutes
30 (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -
contraire à circuler par tout votre corps : vivant tranquilles, vous viviez en santé, vous étiez gais et vigoureux. Depuis la
pour tromper les hommes, et leur faire croire qu’ils sont faits pour vivre seuls dans les forêts ? Il se dévoile lui-même, q
31 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
Croix, de n'être plus vivants à eux-mêmes ni au monde, mais de faire vivre Jésus-Christ en eux. On ne considère pas que la v
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
croix, de n'être plus vivants à eux-mêmes ni au monde, mais de faire vivre Jésus-Christ en eux. On ne considère pas que la v
33 (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267
dées qui nous restent de ce que nous avons vu & entendu. Ceux qui vivent dans la retraite, ne laissent pas de trouver de g
acrement, nous nous engageons par une promesse solemnelle, de ne plus vivre à nous, ni au monde, mais de faire vivre Jesus-Ch
messe solemnelle, de ne plus vivre à nous, ni au monde, mais de faire vivre Jesus-Christ en nous, & nous en lui ; de mani
34 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — VII.  » p. 461
domos luteas consumentur velut a tinea. » Ce qui marque que ceux qui vivent de la vie des sens et dans les plaisirs du monde
35 (1675) Traité de la comédie « XIV.  » pp. 294-295
'en demeure encor le courage et le sang. Dans mon sort ravalé je sais vivre en Princesse, Je fuis l'ambition, mais je hais la
36 (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877
intérieures. Comme l’âme Chrétienne doit avoir ses récréations, et vivre avec joie sans mélancolie. §. I. Ruse du Diable
, « Que l’air était fort mauvais en ce pays-là, qu’on n’y pouvait pas vivre longuement, que les habitants étaient des géants
de chasser la mélancolie, de se recréer, et se débander l’esprit, et vivre toujours en joie. Je prends la preuve de cette vé
oi un désir de la vertu, voyant le plaisir, et la joie, avec laquelle vivent ceux qui l’aiment, et qui la pratiquent, expérime
on qu’on a avec elle est exempte d’amertume, de dédain, et de dégoût, vivre avec elle est être en joie continuelle. »25 3. D
la médiocrité en icelle, retranchant les deux extrémités ; l’une est vivre avec une austérité trop grande, sans vouloir conv
t arrivé à quelques bonnes âmes que je ne puis nommer, parce qu’elles vivent encore) vous sortirez de ces lieux-là, avec la do
37 (1715) La critique du théâtre anglais « AVERTISSEMENT DU TRADUCTEUR. » pp. -
femme et ne pouvant la suivre Pleure, se désespère, et veut cesser de vivre … … … … … … … … … … … … Mais on suppose en vain c
tion traduit dans une langue qu’il leur est nécessaire de savoir pour vivre en un pays étranger avec quelque plaisir et quelq
38 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163
ima mieux éprouver si elle mourrait en désobéissant que d’obéir et de vivre . Ils ne savent pas que cette curiosité est déjà u
danger réel de s’y brûler, parce qu’on en a retiré des personnes qui vécurent encore plusieurs années après ? Est-il prudent d’
39 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312
ndant il n’est que trop vrai qu’il y a des personnes qui ne sauraient vivre sans Procès, qui les cherchent, et qui sur des pr
lheureusement en tout pays on trouve des parents et des frères qui ne vivent pas en bonne intelligence et même qui se détesten
40 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIV.  » p. 469
'en demeure encor le courage et le sang. Dans mon sort ravalé je sais vivre en Princesse, Je fuis l'ambition, mais je hais la
41 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67
membres, incapable de remplir les devoirs du mariage, & réduit à vivre de quelques pensions viageres mal payées, & d
ortalité : le nom de femme devoit mourir avec elle, celui de ma femme vivra éternellement. Voilà jusqu’où s’abaisse la femme
s se fait un saint devoir, Et, s’il ne fait du bien, penseroit ne pas vivre . SILVIE.         A la comédie pourtant,        
42 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre III. Que les anciens Pères de l'Eglise défendirent aux Chrétiens d'assister aux Jeux du Théâtre, parce que c'était participer à l'Idolâtrie. » pp. 57-89
vait point de crime plus énorme pour ceux qui faisaient profession de vivre sous l'Evangile ; aussi n'y eut-il jamais d'actio
us croyez, si vous espérez, si vous aimez autre chose qu'eux, il faut vivre autrement qu'eux ; car, l'Apôtre dit, qu'il n'y a
l'Idolâtrie. On mit en doute s'il leur était loisible d'acheter et de vivre de ce qui avait été consacré aux faux Dieux par c
43 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 2. SIECLE. » pp. 81-106
vous courez avec lui. Plût à Dieu qu'il nous fût possible de ne point vivre en ce monde parmi ces gens-là: mais au moins nous
e soupirez qu'après les Comédies ? Nous sommes si éloignés de pouvoir vivre sans volupté, que même nous devons trouver de la
des Païens; qui nous tend victorieux des Démons; qui fait que nous ne vivons que pour Dieu ? Ce sont là les voluptés des Chrét
44 (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346
e soûpirez qu’après les Comédies ? Nous sommes si éloignez de pouvoir vivre sans plaisir, que même nous devons trouver du pla
s païens ; qui nous rend victorieux des demons ; qui fait que nous ne vivons que pour Dieu ? Ce sont là les voluptez des Chrêt
ascarades en France, en Allemagne & en Angleterre, où les peuples vivent plus simplement, & n’y entendent pas tant de
induerit. Mais comme ces deux Ecrivains ont esté du même temps, que Vivez a vêcu en Espagne, & Polydore-Virgile en Angl
les ou de Bathe, on en doit bien plûtôt croire ce dernier que non pas Vivez . Quoi qu’il en soit, voici le jugement que Polydo
ême celui qui ne s’éloigne pas du peché, mais qui en est proche, doit vivre dans l’apprehension, car il arrive souvent qu’il
ïent estre plus parfaites de sçavoir bien danser, que de sçavoir bien vivre . » Le second est Jean-Loüis Viveza, que nous avo
45 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « X. Différence des périls qu’on cherche et de ceux qu’on ne peut éviter. » pp. 44-45
inue-t-il, faire un pas, lire un livre, entrer dans une Eglise, enfin vivre dans le monde, sans rencontrer mille choses capab
46 (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3
use affluence et sont l’objet d’un si étrange empressement. Mais nous vivons dans un temps où une discussion libre et un exame
47 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29
r est défendu de loger à l’hôtel, où il seroit de la décence qu’elles vécussent en communauté sous les yeux d’une femme vertueuse
faire mener une vie douce & aisée passe pour infame. Après avoir vécu dans les meilleures compagnies, & servi de ma
cices réguliers, leurs chapitres fréquens. Quelle pauvreté ! elles ne vivent que du travail du corps & de ce que leur donn
’entendre les protestations & de s’en voir l’objet. On ne sauroit vivre sans sentimens, c’est l’aliment du cœur d’une fem
uleurs effroyables qu’elle souffroit avec joie ; elle n’eût désiré de vivre que pour prolonger sa pénitence ; dans ses dernie
48 (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Mlle de Guise » pp. -1
ment, Retenu en tes douces gênesc, Mourir enlacé de tes chaines C’est vivre au vrai contentement. Je n’aurai donc jamais en
49 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » p. 10
non, mais vous êtes chrétien, et en cette qualité vous êtes obligé de vivre , d’agir et de parler comme lui ; vous êtes son se
50 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVI. Des périls auxquels on s’expose en allant au bal. » pp. 97-118
st pour cela que David qui avait appris à se défier de soi-même, et à vivre dans une parfaite circonspection, par une expérie
ne pussent pas être si sujettes à cette sorte de péchés que ceux qui vivent dans les villes, et principalement ceux qui y mèn
51 (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80
, Athalie,  Phedre, Roxane, Iphigénie,  Heureux enfans de mes loisirs Vivent chez les François, font encor leurs plaisirs. J
52 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IX. Qu’il faut craindre en assistant aux comédies, non seulement le mal qu’on y fait, mais encore le scandale qu’on y donne. » pp. 41-43
qui s’imaginent avoir rempli tous les devoirs de la vertu lorsqu’ils vivent en gens d’honneur, sans tromper personne, pendant
53 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
oint de Religion qui puisse établir ce dogme affreux, Que nous devons vivre dans l’angoisse, & ne manger qu’un pain arros
important & sublime de nous attendrit. Nous en sacrifions tant à vivre inutiles, malheureuses… Ne verra-t-on prospérer q
ibles & débiles en sortant du cabinet de leurs Auteurs, n’eussent vécu qu’un jour, sans les demoiselles L**** & T** 
s ; qui force les hommes dont elle s’est une fois rendue maitresse, à vivre dans la terreur, l’angoisse, les gémissemens ; qu
54 (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127
ue pour la première Philosophie, laquelle prescrit la manière de bien vivre , enseigne les mœurs et affections, commandant ave
louent la vertu, et dressent les jeunes gens à bien et vertueusement vivre . Toutefois on les prise moins, pour autant qu’ils
ur fort affectionné à la Poésie. j. [NDE] Forme ancienne du passé de vivre  : il vécut.
ectionné à la Poésie. j. [NDE] Forme ancienne du passé de vivre : il vécut .
55 (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264
que le Misanthrope de Théâtre, ayant à parler de ce qu’il voit, doit vivre dans le monde ; et par conséquent tempérer sa dro
joie qu’inspirent les vrais mouvements de la Nature, le parti d’aller vivre heureux et ignorés dans un coin de le terre ; qu’
uence de l’objet du même établissement, est que, nul homme ne pouvant vivre civilement sans honneur, tous les états où l’on p
à l’extrême. A cela près, tout est semblable. Les deux sexes aiment à vivre à part ; tous deux font cas des plaisirs de la ta
honneur qu’on leur porte. Chez tous les anciens peuples policés elles vivaient très renfermées ; elles se montraient rarement en
ui rend la réserve moins nécessaire, introduisit une autre manière de vivre que favorisèrent les livres de chevalerie, où les
s entraîne celui des Acteurs ; surtout dans un métier qui les force à vivre entre eux dans la plus grande familiarité. Je n’a
and les maux de l’homme lui viennent de sa nature ou d’une manière de vivre qu’il ne peut changer, les Médecins les prévienne
n que, si quelques Genevois possèdent d’assez grands biens, plusieurs vivent dans une disette assez dure, et que l’aisance du
soupe, mais rarement : parce que le Genevois est rangé et se plaît à vivre avec sa famille. Souvent aussi l’on va se promene
s trouverons que les deux sexes doivent se rassembler quelquefois, et vivre ordinairement séparés. Je l’ai dit tantôt par rap
on : car ce sexe plus faible, hors d’état de prendre notre manière de vivre trop pénible pour lui, nous force de prendre la s
plupart, descendons de ces nouveaux venus ; mais les premiers Romains vivaient en hommes49, et trouvaient dans leurs continuels
réduit la dépendance du Sexe. Si les Barbares dont je viens de parler vivaient avec les femmes, ils ne vivaient pas pour cela co
les Barbares dont je viens de parler vivaient avec les femmes, ils ne vivaient pas pour cela comme elles ; c’étaient elles qui a
pas pour cela comme elles ; c’étaient elles qui avaient le courage de vivre comme eux, ainsi que faisaient aussi celles de Sp
utuellement et se familiarisent décemment avec le vice. La manière de vivre , plus conforme aux inclinations de l’homme, est a
ablement corrompues ne sauraient supporter longtemps cette manière de vivre , et quelque chère que leur pût être la médisance,
de la Nature, qui donne différents goûts aux deux sexes, afin qu’ils vivent séparés et chacun à sa manière51. Ces aimables pe
bonne opinion d’elles. Je ne sais ce qu’elles ont dit, mais elles ont vécu ensemble ; elles ont pu parler des hommes, mais e
ants d’une même ville ne sont point des Anachorètes, ils ne sauraient vivre toujours seuls et séparés ; quand ils le pourraie
e lieu ; les parties qui se lieront pour s’y rendre ; les manières de vivre qu’on y verra dépeintes et qu’on s’empressera d’i
t un Théâtre, qu’il s’engage à le remplir toujours de son génie, et à vivre autant que ses Pièces. Je serais d’avis qu’on pes
a moitié de nos Citoyens épars dans le reste de l’Europe et du Monde, vivent et meurent loin de la Patrie ; et je me citerais
de la puissance impériale, je ne gémirais pas maintenant d’avoir trop vécu  ! 12. [NDA] C'est du beau moral qu’il est ici q
56 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVI. Il y a des divertissements plus utiles et plus décents que les spectacles. » pp. 138-149
ons qui fendent les ondes ; cette multitude innombrable d’animaux qui vivent sur la terre ; l’homme enfin, le chef-d’œuvre des
inelle dans les eaux du déluge : une seule famille est jugée digne de vivre et de perpétuer sur la terre la race infortunée d
57 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183
p; le rang qu’il tenoit à la Cour de Zénobie, parussent l’autoriser à vivre en courtisan. Le détail que fait le Concile de se
au lieu de la sueur, du travail, de la pâleur, de la pénitence, vous vivez dans le faste & dans les délices, vincula ca
règlement de ces maudites délices ? Les trois quarts de la Chrétienté vivent tous les jours de fiel & de larmes, abandonné
ns l’éclat de leurs habits, & sont toujours dans les mignardises, vivent dans les parfums exquis, sans se soucier de l’aff
la Bretagne, & ne revint à Paris qu’après la mort du Cardinal, il vécut & mourut dans la plus haute estime ; entr’aut
58 (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45
a point eu de siècle plus fécond en bien et en mal que celui où nous vivons , il n’y en a point eu aussi où l’on ait tant fait
s plaisirs « innocents », tels que sont ceux de la Comédie. « Il sait vivre  » : et au fond rien ne lui paraît plus élevé que
eprésenter dans leurs Comédies : et les sérieux promettaient de faire vivre la vertu à force d’en faire voir l’éclat dans leu
anses, de Spectacles, c’est assez pour appuyer le Théâtre, et laisser vivre sans remords les Comédiens. DitesPage 30. que les
assif ». Nos prédicateurs qui parlent comme les Pères ne « savent pas vivre  ». Cette femme émeut un libertin ; Cela se peut.
59 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114
t du Duc d’Orléans il obtînt son rappel en France, & on le laissa vivre & mourir tranquillement dans le sein de sa fa
e éducation fort grossiere. Celui-ci étoit un homme poli, accoutumé à vivre avec les grands & dans la meilleure compagnie
un Poëte comique. Il connoissoit le monde, au milieu duquel il avoit vécu  ; il avoit de la sagacité pour sonder les cœurs &
ns de l’Opéra sont comme les Poëtes, ou des gens voluptueux qui n’ont vécu que pour leur plaisir, ou de vils & bas mercé
60 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54
Comédie étant devenue toute honnête, ceux qui la représentent et qui vivent honnêtement d’ailleurs, doivent sans difficulté ê
n’avait rien qui pût blesser le monde. Sont-ce là les gens qu’il dit vivre si honnêtement ? appelle-t-il vivre honnêtement e
de. Sont-ce là les gens qu’il dit vivre si honnêtement ? appelle-t-il vivre honnêtement employer son esprit et mettre tout so
en de faire quelque figure dans le monde ? Est-ce là ce qu’il appelle vivre honnêtement ? certes c’est un langage tout-à-fait
61 (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81
demeure au moins le courage et le sang. Dans mon sort ravalé je sais vivre en Princesse ; Je suis l’ambition, mais je hais l
es qui lui plaisent, les cajoler, et en abuser. En un mot, il prétend vivre dans un entier libertinage. Son père a grand tort
oit se souvenir de son nom et de sa naissance, corriger ses mœurs, et vivre en homme de bien. Oui, ma foi, il faut s’amender,
de la table au jeu, aux visites, et à l’Opéra ; et l’on appelle cela vivre à la grandeur. Que si l’on vient à examiner quell
62 (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XI. Que les Poèmes Dramatiques n'ont point été condamnés. » pp. 230-236
it lire ordinairement les Comédies de Terence au chevet de son lit, a vécu dans un désordre condamné par les Canons, et que
63 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
et tous ces appareils de la vanité, ou s'occupent ceux qui ne peuvent vivre sans quelque amusement ; Mais c'est un dérèglemen
64 (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  piété et bienfaisance d’un comédien.  » pp. 365-370
elle avait eu une sœur qui était morte dans un couvent, après y avoir vécu dans la plus grande austérité, pour expier la fai
65 (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 1 : Livre II, chap. 3] » pp. 104-105
lu en quelques Homélies de Pierre Chrysologue Evêque de Ravenne, qui vivait y a onze ou douze cents ans, qu’ès Calendes ou pr
66 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82
s de mari jusqu’à ce que le Ciel m’en donne un. Il faut donc que vous viviez aussi long-temps que Mathusalem, puisque le chemi
s c’étoit une franche coquette qui vouloit jouir de sa liberté, & vivre dans le libertinage d’un célibat volontaire, en é
qui sanctifie la Religion ; la Religion est sainte pour tous ceux qui vivent pieusement ; elle est pernicieuse pour quiconque
Protestant n’étoit qu’un enfant : quel garant de la vérité ! Sa sœur vécut & mourut Catholique. Le Protestantisme n’étoi
e d’Elisabeth lui survécut plusieurs années. D’ailleurs sa mère avoit vécu & étoit morte Catholique, il étoit Protestant
autre seroit accablée . Elle est morte en Comédienne comme elle avoit vécu . Qui croiroit que tant d’ambition, de vanité, de
vanité, de politique eussent abouti à la satiété de regner, & de vivre , & qu’un précipice se fut trouvé au bout d’un
67 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71
assemblées détestables de personnes forcées par leur famille, qui n’y vivent qu’en désirant la mort, n’y meurent qu’en détesta
, la beauté, leur offrent de plus flatteur. Elles y sont heureuses, y vivent , y meurent saintement. Il peut s’y glisser des vu
Cénobites ne faisoient pas de vœux. Il se trompe. Un Anachorete qui a vécu seul dans le désert peut n’avoit point fait de vœ
nautés réglées personne n’y a été admis qu’il n’ait promis à Dieu d’y vivre soumis & fidele à ses règles. Les plus ancien
ffe. Il n’est, dit-il, que trop d’esprits lâches & corrompus, qui vivent sans principes, & parlent sans courage. Sourd
ondition, une jeune fille qui a été élevée religieusement, a toujours vécu pieusement, tout-à-coup se livre à des fureurs do
s, dont cependant elle ne doit avoir lu aucun, puisqu’elle a toujours vécu dans une grande piété. On y a répandu une vivacit
68 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
privés et conditionnels, faciles à rompre ; c’est-à-dire, qu’ils ont vécu en concubinage avec celles qui leur plaisaient, t
t à leur goût pour les jeunes ils en ont pris pour maîtresses, et ont vécu avec elles dans un commerce doublement illégitime
nnêteté, pourraient encore fréquemment trouver des partis avantageux, vivre heureuses et honorées, servir d’exemples encourag
les supporter en silence, vu qu’ils sont unis à l’humaine nature ; de vivre d’accord, par conséquent, avec les fourbes, les f
a suivie aussi et qu’il suivrait probablement encore aujourd’hui s’il vivait . Imitez le, adoptez ici sa méthode si persuasive
69 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50
s m'avez commandé de vaincre, et j'ai vaincu, Vous m'avez commandé de vivre et j'ai vécu : Aujourd'hui vos rigueurs vous dema
ndé de vaincre, et j'ai vaincu, Vous m'avez commandé de vivre et j'ai vécu  : Aujourd'hui vos rigueurs vous demandent ma vie,
s armes que la chair fait cette cruelle guerre à l'esprit qui ne peut vivre qu'en mortifiant les passions de la chair : elles
70 (1726) Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat « Projet pour rendre les spectacles plus utiles à l’Etat » pp. 176-194
cheux et désagréables pour plusieurs des personnes avec qui ils ont à vivre . Mais pour diriger les Poètes eux-mêmes, et leurs
ses grands plaisirs de se sentir distingué parmi ceux avec qui il a à vivre  ; ainsi quand les bons Comiques nous auront bien
71 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatrième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 28-32
à chaque pas ! Quoi ! nous, tranquilles casanières, nous ne pourrons vivre dans la sécurité ! Il y aura des femmes dont l’ét
72 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PREFACE CONTENANT L’HISTOIRE DU DIX-SEPTIEME SIECLE, SUR LA COMÉDIE. » pp. -
Ouvrages pour et contre la Comédie, et parce que c’est celui où nous vivons , je me contenterai d’en rapporter l’Histoire, san
73 (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84
e font violence ; cet Evangile qui est le testament d’un Dieu qui n’a vécu que pour nous donner l’exemple, et dont la vie se
tromper les hommes, à séduire la jeunesse, à mépriser des parents, à vivre dans le crime, à flatter les passions, à honorer
outent, et vous trouverez dans le plus grand nombre des personnes qui vivent sans espérance et sans foi. Il est tout naturel q
as troubler les plaisirs, ni la fausse sécurité dans laquelle on veut vivre , on cherche avec avidité, soit dans les livres de
74 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77
aient rassemblés eurent fait connaissance avec leur nouvelle façon de vivre  ; ils établirent des jours de réjouissances. Les
aisantes. Je m’en rapporte là-dessus aux connaisseurs en ce genre qui vivent dans nos campagnes ». Pour revenir à nos deux mei
75 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [E] » pp. 399-406
s de raison. Gens des Villes, pour connaître le Paysan, il faut avoir vécu long-temps avec lui son égal. Il se communique pe
le portrait de ces indignes égoïstes, si communs dans vos villes, qui vivent pour eux-seuls, & voient l’univers dans leur
76 (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106
rut chrétiennement. Pour justifier sa conversion, il faut, disoit-il, vivre à la porte de l’Eglise, & mourir à la sacrist
on, & tournoit tout en ridicule. Il amusoit Louis XIV. Il faisoit vivre grand nombre d’Acteurs, d’Actrices & d’ouvrie
 ; on ne pouvoit sans l’imiter, l’approcher & lui plaire. Moliere vécut toujours fort simplement. Il l’avoit fait par néc
ve la boutique où il est né, la troupe de campagne avec laquelle il a vécu , le jargon de province dont il amusoit la populac
upérieur à toutes les fêtes bourgeoises, qui n’ont pas quatre jours à vivre . Aussi est-il bien plus cher ; le Camus, Architec
77 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183
l’Auteur, ils se trahissent sans y penser ; car le véritable Mercure vivait en Egypte, où une grande partie des sciences fleu
du Monastère de notre Dame de Pompose, dans le duché de Ferrare ; il vivait vers l’an 1024. Il est aussi l’inventeur de plusi
ir arrêté les progrès de la musique Italienne. L’Abbé d’Aubignac, qui vivait du tems de Louis XIV, s’èxprime de la sorte : « l
changerait bientôt d’avis, il s’èxprimerait d’une autre manière, s’il vivait de nos jours. Si cet Ecrivain s’est trompé, s’il
sont changées ! On ne croit pas maintenant que les Français puissent vivre sans musique. Pensée d’un Auteur moderne, au
78 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
aveuglement de l’esprit. Cette dissipation continuelle dans laquelle vivent les partisans des Trétaux, ne leur permettant pas
si elle est toute faire, elle se dissipe aisément par des gens qui ne vivent que pour le plaisir, qui ne s’adonnent qu’au libe
à peine supporter des corps qui tombent en ruine Quand une fois on a vécu pour l’amour, dit une personne de beaucoup d’espr
pour l’amour, dit une personne de beaucoup d’esprit, on ne peut plus vivre que pour lui : je crois, Monsieur, qu’on peut har
si contraires au bien de l’Etat & de l’humanité en général. Nous vivons dans un siecle bien supérieur au sien, par les lu
rieur au sien, par les lumieres que nous avons acquises depuis ; nous vivons , de plus, sous un Roi devant qui la Vérité peut,
ces affreux qu’une politique mal entendue a creusés sur ses pas. Nous vivons encore sous des Ministres & des Magistrats, d
c, traînent sur leurs pas des errans & des vagabonds, qui souvent vivent crapuleusement à leurs dépens, & des sots qu’
former sur l’exemple, & d’après les maximes de ceux avec qui nous vivons  : ces impressions influent sur le reste de la vie
Grand, Roi de Macédoine. Le 2.e celui d’Auguste, Empereur Romain, qui vivait l’an sept cent & tant, de la Fondation de Rom
79 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
ns raison. Ils répandent un nouvel agrément sur la Parure, & font vivre une foule d’ouvriers. Enfin les moindres actions
80 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13
ue parle Job, lorsqu’il dit, expliquant la conduite, et la manière de vivre des pécheurs, « qu’ils se réjouissent au son du T
81 (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIII. Si l’on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. » pp. 52-57
t le sensible : on ne sait pas bien ce qu’on veut, mais enfin on veut vivre de la vie des sens et dans un spectacle où l’on n
82 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
Senatore ? Tu non potes ? Ille potuit. » Il faut donc, ajoutez-vous, vivre comme des solitaires et des misanthropes. D’aille
83 (1753) Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies et les mascarades [Missionnaire paroissial, II] « Treiziéme conférence. Sur les danses, les comédies & les mascarades. » pp. 268-287
ères, par le Seigneur, de laisser toutes ces folies, & de ne plus vivre comme les gentils qui suivent dans leur conduite
oncé à Satan, à ses pompes, & aux maximes du siécle, pour ne plus vivre que de la vie de Jésus-Christ & imiter sa sai
84 (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107
u’il écrit à Zenas et Sérénus baille une règle et institution de bien vivre au Chrétien, et lui permet d’user d’ébat et raill
u’il écrit à Zenas et Sérénus baille une règle et institution de bien vivre au Chrétien, et lui permet d’user d’ébat et raill
85 (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76
s m’avez commandé de vaincre, et j’ai vaincu, Vous m’avez commandé de vivre et j’ai vécu : Aujourd’hui vos rigueurs vous dema
ndé de vaincre, et j’ai vaincu, Vous m’avez commandé de vivre et j’ai vécu  : Aujourd’hui vos rigueurs vous demandent ma vie,
s armes que la chair fait cette cruelle guerre à l’esprit qui ne peut vivre qu’en mortifiant les passions de la chair : elles
86 (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190
es, et par la connaissance de l’aveuglement dans lequel elles avaient vécu . C'est à ces personnes à qui je me suis adressé o
vous pensez de le pratiquer. Une jeune personne qui aura jusqu’alors vécu dans l’innocence, s’apercevra bien que depuis le
et la corruption de l’homme n’a pas inventées parmi les personnes qui vivent dans le désordre, il y en a toujours quelqu’une q
t-il en faire parade ? ou plutôt ne voit-on pas tous ceux qui veulent vivre avec quelque réserve et quelque honneur s’en sépa
’au lieu de bannir de leur cœur l’impiété et les désirs déréglés pour vivre librement dans la piété et dans la justice, ils r
cause des excès, mais parce qu’il voyait qu’en cela les Chrétiens ne vivaient pas conformément à leur état et à leur vocation ;
t qu’on ne fait pas difficulté de s’habiller selon sa condition et de vivre à son aise, pourvu qu’on le fasse avec une honnêt
isqu’on ne fait pas difficulté de s’habiller selon sa condition et de vivre à son aise. Mais en cela va-t-on contre les décla
t-ils déclamé contre ceux qui s’habillent selon leur condition et qui vivent à leur aise ? il n’y a que vous qui le puisse dir
e consiste-t-il à s’habiller selon sa condition, et l’intempérance, à vivre à son aise ? Non sans doute, en tout temps on a t
amais déclamé contre ceux qui s’habillent selon leur condition et qui vivent à leur aise, pourvu qu’on ne s’abuse pas et qu’on
habiller modestement, honnêtement et richement selon sa condition, et vivre sans mollesse, sans excès et sans délicatesse à s
s’habillent honnêtement et modestement, selon leur condition, et qui vivent à leur aise sans mollesse, sans excès et sans dél
87 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
t lorsqu’il se trouve beaucoup de gens dans la Capitale qui peuvent y vivre sans rien faire : ces dangereux frelons y corromp
88 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
ident qu’elle peut s’exercer sans péché, et que les Comédiens peuvent vivre du gain de leur Profession : mais, à dire vrai, u
89 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE V. Du principal motif de la Réformation du Théâtre. » pp. 49-58
ion que mérite une chose de cette importance, presque tous les hommes vivraient conformément aux sages institutions que la Loi no
90 (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175
e le réprocher. Ah ! de mon cœur au moins rien ne peut t’arracher, Tu vivras à jamais dans ce cœur qui t’adore. (Quelle horreu
& dernier honneur, Ta vertu franche & peu farouche, A jamais vivra dans mon cœur. Que dis-je ! dans mon hermitage Je
sont à lui, c’est le radotage d’un vieux pécheur qui meurt comme il a vécu  ; il appelle précieux les contes de Marot & d
es, Qui courez à la gloire au milieu des sifflets,             Et qui vivez bien misérables Dans le visible espoir de ne mour
91 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117
é, les nobles se rapprocherent de ceux avec qui ils étoient forcés de vivre , & perdirent beaucoup, les nouveaux admis gag
9 mai 1771) c’est que la moitié de ces hommes entassés pêle-mêle, ne vivent qu’en procurant au public des amusemens dangereux
défense étoit bien sévere, puisque le temps du jubilé dure six mois. Vivre six mois en chrétien, sans avoir sous les yeux le
ui fait végéter & sentir la matiere. Ce feu qui fait sentir & vivre la matière. Tout se meut, s’organise, & sent
le, dans une liberté entiere & les plus grandes familiarités, qui vivent comme des anges & ne font que se prêcher les
tout étonnés. Son ame est sans idée, & n’a que des désirs ; vous vivez , vous aimez & j’aime. En bonne philosophie,
92 (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62
fâcheux, ou ne vous méprise comme un homme de rien qui ne saurait pas vivre , car c’est un vice d’être fâcheux à tout le monde
éfendue d’elle-même : de là vient qu’il n’est pas non plus défendu de vivre de cet artHistrionatus Ars, etc. in 3. p. summ. i
n ne fait point de difficulté de s’habiller selon sa condition, et de vivre à son aise, pourvu qu’on le fasse avec une honnêt
Comédie étant devenue toute honnête, ceux qui la représentent, et qui vivent honnêtement d’ailleurs, doivent sans difficulté ê
On ne peut faire un pas, lire un Livre, entrer dans une Eglise, enfin vivre dans le monde, sans rencontrer mille choses capab
ou pour entretenir la société entre ceux avec qui l’on est obligé de vivre . » D’où l’on peut inférer, qu’à la vérité les Chr
93 (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493
e cabaret. M. le Chevalier Ventre-de-Tonne sait à peu près aussi bien vivre que Mademoiselle son héritière ; il salue ainsi l
anière sur le mérite d’une aussi infâme profession, et lui demande le vivre et le couvert chez elle, gratis, Epist. Dedic.« J
ue médiocrement : et je commence par Théophile Evêque d’Antioche, qui vivait dans le second siècle. Lib. 3. de Autol.« Il nou
a modestie, qui sommes élevés dans le sein de la vertu, et obligés de vivre en règle ; à Dieu ne plaise que nous salissions n
uvres par la vue de ces représentations criminelles. » Tertullien qui vivait vers la fin de ce même siècle, est éloquent sur l
nous formons du plaisir ? Si nous ne voulons point nous dérégler pour vivre dans le plaisir, ainsi qu’il vous plaît de le déf
ésirs soient semblables à ceux de l’Apôtre, qui souhaitait de ne plus vivre , et d’être avec Jésus-Christ ? Réglons-nous donc
vous faites du plaisir. Car est-il au fond un bonheur plus pur que de vivre dans l’amitié de notre Dieu, que de reconnaître e
st merveilleux de prendre ainsi le genre humain par son faible, et de vivre aux dépens de sa folie sans qu’il s’en aperçoive 
jours le meilleur pour eux. Mais il faut bien que les Poètes aient de vivre , dira-t-on, et dans la nécessité extrême, tous le
94 (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500
ette licence de nos Poètes modernes, 3 L’obscénité ; contre le savoir vivre aussi bien que contre la Religion, 7 Le Théâtre A
95 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101
haginois et qu’ils se furent enrichis des dépouilles de la Grèce, ils vécurent dans le luxe ; ils perdirent également le courage
96 (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171
fleurs immortelles que la libérale main de Dieu nous a données. Nous vivons aussi sans appréhension par la grâce que sa bonté
97 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200
s ne soupirez qu'après les agitations des spectacles. Ne pouvons-nous vivre sans quelque plaisir, nous dont le plus grand pla
elque plaisir, nous dont le plus grand plaisir doit être de cesser de vivre  ? quels sont nos désirs, que ceux de l'Apôtre, de
ns, opérer des guérisons miraculeuses, être instruit de nos mystères, vivre uni à Dieu ; voilà les délices, les spectacles de
98 (1639) Instruction chrétienne pp. -132
i en font métier en public, doivent être entretenus en cette façon de vivre  ; et si les enfants de Dieu, obéissant à sa parol
lesquels meurent souvent de faim et de froid, tandis que telles gens vivent délicieusement à table d’hôte ; et reçoivent des
faire approuver leurs ordures ès Théâtres, si la façon et coutume de vivre ne les eût favorisés ». Dont il conclut, « Que do
nt puni les acteurs de telles fables. Que dirait à présent Solon s’il vivait  ? Or comme ainsi soit que les spectacles soien
. Pour ce, dit-il, qu’il appert que ceux qui suivent cette manière de vivre , étant lâches et paresseux, donnent publiquement
femmes conversant sans honte avec tout le monde, et ne sont pas crues vivre pudiquement et chastement »52. En un Canon tiré d
ant, que renonçant a toute impiété et aux mondaines convoitises, nous vivions , religieusement et justement, en ce présent siècl
te. Premièrement si Dieu nous exauce par sa miséricorde, (car nous ne vivons jamais si bien, que nous méritions d’être exaucés
er seulement en ivrognerie, en luxure, en méchancetés, en rapines, et vivons en toutes sortes de débauches, comme si Dieu nous
99 (1634) Apologie de Guillot-Gorju. Adressée à tous les beaux Esprits « Chapitre » pp. 3-16
monde qui n’envie la condition paisible et tranquille de ces gens qui vivent innocemment de leur labeur, les uns apportant leu
i ne les estimerait gens pleins de grand loisir ? Que si la joie fait vivre selon la confession de tous ceux qui viennent à l
100 (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88
poussière du Cirque, et la place des Combattants. Ne pouvez-vous donc vivre sans les joie du monde ; vous pour qui la mort do
e harmonie et ce concert de bonnes œuvres dans lesquelles nous devons vivre . Et Cicéron au lieu déja cité, dit que comme nous
rassa la vie solitaire du désert aussitôt aprés son Baptême ; qu’il y vécu quelque temps avec S. Basile, et qu’il goûta tell
nstruction à tous les hommes : O mortels ! qui n’êtes rien, et qui ne vivez que pour mourir ; jusques-à quand vous amuserez-v
que leur état est aussi bon que celui des personnes qui travaillent à vivre dans une exacte piété, et dont vous ne parlez pas
et les actions de sa vie, qu’après avoir durant trois années entières vécu dans une très étroite abstinence, passant les jou
eux dont l’infâmie est connue, comme les femmes débauchées ; ceux qui vivent dans un commerce criminel d’impureté ; les Comédi
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