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1 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 12. SIECLE. » pp. 187-190
Dans le Traité de la conversion des Mœurs, Chap. II. Quant à la vue des Spectacles vains, que sert-elle au corps, ou
des choses de néant, et d'estimer si peu cette gloire que nul œil n'a vue , que nulle oreille n'a ouïe, que nul esprit humai
lièrement ceux qui sont déshonnêtes, de peur que l'incontinence de sa vue ne soit un témoignage de l'impureté de son âme ;
egardent point la vanité; car il savait bien qu'il est certain que la vue cause une infinité de maux ; ce que le Prophète J
2 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295
destinée pour cette démarche, & que monsieur D’Alzan n’avait pas vue J’ai fait une nouvelle toilette : ensuite je me s
n devais attendre ; ensuite il nous a demandé si nous ne m’avions pas vue  ? Mademoiselle *** a répondu, qu’on nous avait di
en me regardant. — Le voila. — Qui la retient ? Craindrait-elle votre vue  ? — Non, je vous en assure. — Quoi ! l’auriez-vou
ait-elle votre vue ? — Non, je vous en assure. — Quoi ! l’auriez-vous vue  ? — Oui ; j’étais avec elle chez votre oncle, &am
déguisement : Madame… — Je vous jure, que je suis celle que vous avez vue sur le Théâtre… — Est-il vrai-- ? J’ai soupiré. M
3 (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PREFACE. » pp. -
onne, que je n’ai voulu offenser personne, que je n’ai eu personne en vue . Ce que j’ai dit, j’ai dû le dire ; la matière l’
que je n’ai point eua, faire des applications que je n’ai point eu en vue . Tant pis. D’avance je proteste contre. a. [ND
4 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PRÉFACE. » pp. -
e de les combattre dans l’idée de les détruire : j’ai donc tourné mes vues d’un autre côté ; j’ai cru que du moins il était
du Public, avant que de m’expliquer ouvertement ; et c’est dans cette vue que j’ai donné mes Observations sur la Comédie et
quelques unes de celles que je rejette tout à fait. Comme je n’ai en vue que le bien de la République, je m’expose volonti
5 (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21
e vocation applique aux saints ministères, ne soient souillées par la vue des mouvements qui peuvent laisser des impression
ansent secrètement, soit qu’ils se divertissent de cette manière à la vue du monde, ce qu’ils font est toujours prohibé, et
toujours vrai, que l’Ecclésiastique qui assiste à la Danse, expose sa vue , et ses oreilles, qui sont consacrées à Dieu par
6 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — I. Fin principale de l’Incarnation du Verbe. » pp. 5-6
st, & de rentrer dans les fers de l’Ange superbe. Il tremble à la vue du péché, dont cet affreux état est la juste puni
deurs de Satan, & les moyens de s’en garantir. C’est dans la même vue qu’ils lui remettent si souvent devant les yeux l
7 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224
femmes des Montagnons allant, d’abord pour voir, et ensuite pour être vues , voudront être parées ; elles voudront l’être ave
re modestes, se gardent bien de porter les yeux l’un sur l’autre : la vue collée sur le plancher de la salle, ils marcheron
la danse et la musique leur inspire : on leur prescrirait d’avoir la vue toujours fixée sur le Seigneur Commis, comme le S
lle des hommes, vous paraissent moins dangereux pour les mœurs que la vue d’un spectacle décent, où la Magistrature aurait
tte vérité, jetez les yeux sur nos soldats. Tels qui frémiraient à la vue d’un retranchement ou d’une palissade, attaquent
8 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XII. Des Spectateurs. » pp. 355-358
de disposer le lieu de la Scène de façon qu’il soit à la portée de ma vue , & que les Acteurs puissent naturellement se
nt ceux qui représentent des Artisans. Leur boutique est èxposée à la vue  ; ainsi il se trouve avec vraisemblance des témoi
9 (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Punctum Unicum. » pp. 5-6
x d’une femme bien ajustée3. Donc il défend de vous ajuster pour être vue  ; et comme si vous aviez juré de lui désobéir, vo
, vous allez au bal tout exprès pour voir de ces femmes, ou pour être vue . Malheur à vous qui vous levez le matin pour vous
10 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274
 ; j’ai rendu devant elle deux des Rôles que j’avais appris : je l’ai vue satisfaite, enchantée. — Dès aujourd’hui, me dit-
seule timidité sans doute me fit des Partisans : enfin j’ose lever la vue … Ma sœur,… vis-à-vis de moi… dans l’Orquestre, en
d’être le premier objet capable de la toucher, qui se fût offert à sa vue , on dit qu’elle l’aima éperdûment. Elle était bel
que le tiers de sa vie, il n’avait pas le temps de se rassasier d’une vue si chère. Il fut constant pour elle jusqu’à l’arr
11 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Treizième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 254-259
attraits ; je n’ai pu m’empêcher de chercher à l’approcher ; je l’ai vue  ; j’ai su l’attendrir ; moi ! chercher à attendri
remords de ma Complice à supporter. Ah ! Des Tianges, faut-il l’avoir vue  ! Non, jamais ! jamais, je le jure, jamais je ne
12 (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE IV. Détail des péchés qu'on commet en allant aux Spectacles. Réponse à ceux qui demandent s'il y a péché mortel, et si tous ceux qui y vont, sont également coupables. » pp. 76-81
es, qui avec leurs parures immodestes ne songent qu'à voir, et à être vues . Le péché est encore plus grand pour les personne
ble piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu'il conçoit à la vue des dangers qui l'environnent. Si au contraire il
13 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XI. Les Grecs ont-ils porté plus loin que nous la perfection de la Tragédie ? » pp. 316-335
té un objet odieux : un Poëte Grec n’eût pas épargné aux Athéniens la vue d’un Fils empoisonnant sa Mere. Il ne falloit pa
e Martyrs. Des Innocens dans les tourmens faisoient pleurer, & la vue de leurs bourreaux faisoit frémir : la Religion c
l’Histoire profane, & nos Poëtes durent avoir en les traitant des vues que ne pouvoit avoir un Poëte Grec. Un Poëte Fran
ureux pour la Tragédie : c’est le sujet qu’Aristote avoit toujours en vue . Et ce même Sujet qui nous a toujours plu, montre
14 (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41
our donner du passetemps au peuple.Outre plus si tu veux détourner ta vue pour contempler les villes et cités, tu les trouv
a mort de leurs enfants, en les contemplant ainsi mourir. Détourne ta vue maintenant, pour considérer les divers spectacles
15 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Sixième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 40-72
y a-t-il à rire du tableau vivant des ridicules ; à s’attendrir à la vue des misères humaines ; à se livrer à l’admiration
a-t-il point de si vif, & qui nous enrichisse d’idées plus que la vue . Mais plus ce sens est actif, plus il a besoin de
ce qu’elle dit, & dans les moindres choses, ils lui prêteront des vues , des desseins ; ils jugeront toutes ses paroles à
légitimer par leur consentement une union tout-à-fait opposée à leurs vues . En jouissant de la Représentation, on approuve r
doivent occuper parmi les Citoyens, place que le préjugé, de fausses vues & la jalousie leur ont ôtée, & vous verre
xercice instructif, honnête, utile, comme l’on voit des gens, que des vues criminelles conduisent seules dans nos Temples :
16 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35
n invention l’est aussi en systeme de doctrine, qu’il accommode à ses vues , & tire habilement parti de ses dogmes. Le Ta
me la précaution est absolument nécessaire. Le danger est le même. La vue de l’homme est pour la femme une tentation aussi
ue de l’homme est pour la femme une tentation aussi dangéreuse que la vue de la femme l’est pour l’homme. Hélas ! chacun d’
s soin de nous couvrir le corps ? Nous nous contentons de cacher à la vue ce que la nature a destiné pour la conservation d
e le démon impur, préserve d’un monstre prêt à dévorer, & rend la vue aux aveugles. Dieu a donné à chacun des hommes un
tota. Une prairie, diaprée de mille fleurs, saisit l’odorat & la vue . Le cœur s’épanouit & respire un air de plais
ettre le monde entier. Elle peut dire comme César : Je viens, je suis vue , j’ai vaincu. Que le regne de la beauté est peu d
ui est une vertu défiante & timide, qui rougit & tremble à la vue du moindre danger, qui craint le bruit & le g
17 (1758) Sermon sur les divertissements du monde « SERMON. POUR. LE TROISIEME DIMANCHE. APRÈS PAQUES. Sur les Divertissements du monde. » pp. 52-97
ui s’attacheront fidèlement et constamment à le suivre ? et selon nos vues humaines, ne devait-il pas, ce semble, renverser
rs dans la douleur ? Oui, mes chers Auditeurs, il le devait selon nos vues humaines, c’est-à-dire, selon les vues faibles et
iteurs, il le devait selon nos vues humaines, c’est-à-dire, selon les vues faibles et bornées de la fausse prudence de la ch
vues faibles et bornées de la fausse prudence de la chair : mais les vues de la sagesse divine sont bien supérieures aux nô
justifient ou s’efforcent de les justifier. Chacun prononce selon ses vues , et donne ses décisions. Pour moi, mes chers Audi
que ç’a été la morale de gens foibles et instruits, bornés dans leurs vues et timides ou précipités dans leurs décisions : o
qui ne soit immolé à l’amour, fût-ce l’intérêt le plus cher selon les vues humaines, qui est celui de la gloire ; où la gloi
idérer ce que je dis dans une pure spéculation et selon les premieres vues , on se persuadera que j’exagere et que je pousse
18 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VIII. Du Stile. » pp. 287-319
ue sens a la faculté de l’ouie ; ainsi, le toucher, l’odorat & la vue seront frappés des sons d’une belle voix : voilà
lle lorsqu’on les attend le moins : on finit enfin, par les perdre de vue l’un & l’autre. Pour moi, je suis persuadé qu
Remarques sur le Roi & le Fermier. Par-tout où je fixe la vue , En proie au chagrin qui me tue, Je sens que mon
due Veut choisir & ne le peut pas. Quoi, par-tout où il fixe sa vue , son ame veut choisir & ne le peut pas ! quel
ment ; je suis incertain de ce que je dois faire, je ne puis fixer ma vue ni mes résolutions nulle part ? Le nouveau Théâtr
19 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « Avertissement de l’Éditeur, En forme de Table des Matières. » pp. 7-16
age de l’ancienne Rome ; au lieu que c’est malgré elle, qu’elle s’est vue obligée de recourir au Grec ; & je sais qu’el
surpasse toutes les autres Salles de Spectacle que nous avions encore vues en France*. Il ne reste donc qu’à desirer, pour l
. Je préférerais donc cet emplacement, pour l’ornement, la beauté des vues & la salubrité que procurerait son dégagement
20 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50
oit, à ce qu’on sent. On se remplit, on se pénètre à loisir des mêmes vues , des mêmes penchants que font paraître les person
pas les spectateurs à se livrer à l’amour, la magie du spectacle, la vue des actrices et des femmes qui remplissent les lo
ent à cette funeste passion ? Peut-on dire qu’on est indifférent à la vue des actrices qui possèdent si bien l’accent du cœ
rencontre par hasard dans la place publique, a souvent, par sa seule vue , allumé la passion dans l’âme de celui qui jette
21 (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21
se proposer, et c’est ce que les premiers poètes tragiques avaient en vue sur toute chose. » Cette déclaration de principes
recettes sont uniquement ce que leurs nourrissons mercantiles ont en vue , et, comme les marchands de remèdes secrets, la m
se l’Athénée des Arts agréer mes faibles efforts à remplir ses hautes vues de morale. Ainsi que cette réunion distinguée d’h
par tous ceux qui ont un peu étudié l’histoire. Les moines, dans des vues qu’ils ont pu croire utiles alors, ont évidemment
22 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre X. Des Décorations. » pp. 336-344
particulière, & qui soit extrêmement opposée à celle qu’on a déjà vue  ; qu’un horrible désert remplace, par éxemple, un
e Comédie-mêlée-d’Ariettes, le dit quelques fois assez ; & que la vue d’ailleurs nous en instruit. Mais il est des cas
23 (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519
ceux qui regardent, et qui agissent commettent un même péché ; où la vue devient contagieuse et criminelle ; où ceux qui s
inspirations de la grâce ; c’est perdre l’intégrité qui nous donne la vue de Dieu ; c’est n’avoir plus la confiance de nous
24 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84
en a horreur, l’éducation honnête qui en éloigne, n’ont jamais eu en vue que la licence des femmes qui découvre autre chos
u serpent ébranlèrent la premiere femme dans le Paradis terrestre, la vue d’un fruit délicieux acheva de perdre son innocen
emmes qu’au vice qui leur sont le plus défendus. Lorsqu’elles se sont vues attaquées sur des amusemens innocens, elles ont c
pas de femme, il n’y a point de Comédienne, c’est tout dire, à qui la vue d’elle même ne cause des remords. Elle ne se pare
cœur comme César, & ne dit que trop vrai : Je suis venue, on m’a vue , j’ai vaincu ; mais c’est par mes graces que je t
! qui peut plus sûrement, plus promptement produire cet effet, que la vue des nudités ? Sera-t-on donc innocent en les expo
25 (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Avis au lecteur. » p. 
ie. Daignez les lire avec le mème esprit qui les a dictées, & mes vues seront remplies.
26 (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — [Introduction] » p. 2
quera pas de matiere. La vertu pourroit-elle n’être pas effrayée à la vue des innombrables désordres que cause de toutes pa
27 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IV. La Comédie considérée en elle-mesme. » p. 8
s dehors les plus sombres, & toujours couverte de ridicule. Cette vue seule ne devroit-elle pas décider pour toujours c
28 (1675) Traité de la comédie « XXXV.  » p. 331
choses séculières, par un aveuglement beaucoup plus heureux que cette vue misérable que le péché nous a procurée. C'est cet
29 (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE IV. La Tragédie est-elle utile ? Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. » pp. 63-130
nder ce qui cause le plus d’émotion : si un ennemi tue son ennemi, la vue du sang en causera ; mais si un fils tue son pere
yant conduire son fils au supplice ne pleura point, & pleura à la vue d’un ami réduit à demander l’aumône. La grande do
la Crainte, & la Pitié par la Pitié, en nous apprivoisant avec la vue de nos maux : ce qui nous rend plus courageux pou
& si rares, à supporter les maux de la vie. Il est certain que la vue des vanités humaines, des revers de la fortune &a
tueux, comme dit Quintilien, natura nos ad mentem optimam genuit ? La vue du crime, quand nous n’y sommes point encore fami
es Poëtes : on pourroit même demander s’ils ont quelquefois une autre vue que celle de nous amuser. Les premiers Poëtes Tra
age & d’Impiété. Les Grands Poëtes Tragiques d’Athenes avoient en vue dans leurs Piéces les affaires publiques. Les max
liere à la Piéce qui en fait le fondement, & que le Poëte a eu en vue quand il a construit sa Fable. Depuis le commence
pectacles qu’ils trouvent établis dans une Ville, à avoir toujours en vue l’utilité publique : leur Art seroit très-méprisa
30 (1675) Traité de la comédie « XXX.  » p. 324
ns celui de Jésus-Christ. Si on regardait la vie Chrétienne par cette vue , on connaîtrait aussitôt combien la Comédie y est
31 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXX.  » p. 491
le cœur de Jésus-Christ. Si on regardait la vie chrétienne par cette vue , on connaîtrait aussitôt combien la Comédie y est
32 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXV.  » p. 495
es choses séculières, par un aveuglement beaucoup plus heureux que la vue malheureuse que le péché nous a procurée. C'est c
33 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XIII. De l’éducation des jeunes Poëtes, de leurs talents & de leurs sociétés. » pp. 204-218
grande lumière. L’Auteur s’est fait connoître, s’est placé, & ses vues sont remplies, au moins dans la partie essentiell
x feront pour nous ce que nous faisons pour nos peres, sans perdre de vue ce que leur posterité fera en leur faveur. Le dég
34 (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VII. » pp. 115-130
ridicule. Il y a long-tems qu’on en juge ainsi ; car c’est dans cette vue que les Athéniens accorderent aux Poëtes comiques
pour paroitre aimable : une passion qui causeroit de l’horreur étant vue en son état naturel, devient intéressante par la
35 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 3. SIECLE. » pp. 107-119
aire pas moins de mal en secret, qu'on en a appris en public, et à la vue pour ainsi dire des Lois, on commet tous les crim
allument dans leurs cœurs le feu de l'impureté, qui s'enflamme par la vue . Chacun selon son sexe se représente à son imagin
36 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XII.  » p. 467
voir représenter : et c'est ce qui oblige les Poètes de dérober à la vue des spectateurs tout ce qui leur peut causer cett
37 (1675) Traité de la comédie « XII.  » pp. 291-292
voir représenter : et c'est ce qui oblige les Poètes de dérober à la vue des spectateurs tout ce qui leur peut causer cett
38 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXIII.  » p. 493
ne peut subsister sans une crainte salutaire, que l'âme conçoit à la vue des dangers dont elle est environnée. Elle ne peu
39 (1675) Traité de la comédie « XXXIII.  » pp. 328-329
e piété sans le secours d'une crainte salutaire, qu'elle conçoit à la vue des dangers dont elle est environnée. Elle ne peu
40 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -
instruire les jeunes Poètes dramatiques, pouvais-je mieux remplir mes vues qu’en vous proposant pour éxemple ? Qu’ils lisent
41 (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre » pp. 1-48
i a pas accordés : outre qu’il y a des choses qui ne veulent pas être vues souvent, et il est nécessaire que le temps en fas
amne sans le connaître, et que l’on censure ses Pièces sans les avoir vues  ; mais je trouve que sa plainte est aussi injuste
ons sans même connaître ce qu’il attaque : « ma comédie, sans l’avoir vue , est diabolique, et diabolique mon cerveau ». Cet
ons sans même connaître ce qu’il attaque : « ma comédie, sans l’avoir vue , est diabolique, et diabolique mon cerveau ». Cet
42 (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 4. SIÈCLE. » pp. 120-146
onde ? C'est pourquoi détournons nos yeux des vanités, de peur que la vue de ces folies n'imprime de mauvais désirs dans no
passe par hasard dans la place publique, blesse souvent par la seule vue de son visage celui qui la regarde avec trop de c
ment de vos péchés, étant toujours comme ivre et hors de vous, par la vue malheureuse de ces Spectacles ? Vous y courez ave
43 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — Avis de l’Éditeur, Sur les Notes suivantes. »
embrasser ; mais la tâche était au-dessus de ses forces ; elle s’est vue elle-même dans la nécessité de ne faire que l’eff
44 (1697) Lettre à Mme la Marquise de B. « A MADAME LA MARQUISE DE B… » pp. 302-316
fournissent de quoi tomber naturellement dans des Scènes qu’on a déja vues , il me semble que je ne vois rien qui n’ait du ra
dont le Ciel m’ait pourvue J’ignore en quel endroit je dois fixer ma Vue . Toi, qui vois d’un même œil toutes les Nations,
45 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre V bis. Le caractère de la plus grande partie des spectateurs force les auteurs dramatiques à composer licencieusement, et les acteurs à y conformer leur jeu. » pp. 76-85
au théâtre comme vers un port, ils y respirent quelques moments à la vue des naufrages étrangers ; puis ils se replongent
pour lesquelles on a de l’horreur, ils ont grand soin de dérober à la vue des spectateurs tout ce qui peut leur causer cett
46 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35
e cœur de la jeunesse la plus innocente. Si cette malheureuse passion vue de loin dans deux personnes qui s’aiment, et dont
 ; outre qu’ils ne devraient jamais traiter cette passion que dans la vue d’instruire les Spectateurs ; ils pourraient enco
47 (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484
e ces spectacles, ayant la tête pleine de toutes les folies qu'on y a vues . L'on ne se peut pas procurer à soi-même l'esprit
48 (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316
de ces lectures, ayant la tête pleine de toutes les folies qu'on y a vues . L'on ne se peut pas procurer à soi-même l'esprit
49 (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386
et dont il ne peut être responsable. Mais que ce public déploie à la vue du plus révoltant spectacle qui fut jamais, tous
dres qui troublent l’harmonie de la santé ? Que diroit Montaigne à la vue d’un phénomène inconnu jusqu’à ce jour ? Sinon qu
ulement pensé à les entrevoir ? A-t-on seulement soupçonné que, toute vue de religion, de morale, de décence étant mise à p
ouvelle voie menace d’engloutir de citoyens, plus elle doit fixer les vues et les opérations de l’autorité…. Que des adultes
qui doit leur donner la honte ou le néant. C’est là où s’arrêtent les vues et les efforts du zèle circonspect. La vérité éga
50 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — A SA MAJESTÉ IMPERIALE ELISABETH PREMIERE, IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES. » pp. -
une Ecole de vertu, si le vice et la mollesse en étaient bannis. Des vues si pures me font espérer que Votre Majesté ne ref
51 (1768) Des Grands dans la Capitale [Des Causes du bonheur public] « Des Grands dans la Capitale. » pp. 354-367
modestie inspire le recœuillement ; sa piété ranime la ferveur. A sa vue , le crime sent des remords ; & peut-être cet
ion. Richelieu s’occupa de réformer la Scene. Fenelon avoit les mêmes vues  ; ainsi les Saints, les Politiques, les Sages ont
52 (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Jugement sur la Comédie du Festin de Pierre. CAS II. » pp. 805806-812
bauche, de nourrir les vices et le libertinage ? y a-t-il rien qu’une vue si dangereuse ne puisse émouvoir ; les sens, les
nt toujours ignorer ? n’est-ce pas là que s’allume une passion que la vue et les regards enflamment de plus en plus ; car c
53 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Douzième Lettre. De madame d’Alzan. » pp. 250-253
r…& j’y réussirai. Ah ! qu’il est facile de plaire, lorsqu’on est vue pour la première fois ! Tout est pour nous : nos
54 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129
es maximes, la religion et ses lois, dont on ne peut ni suspecter les vues , ni soupçonner la vertu, ni méconnaître les lumiè
leurs promesses, il ne laisse représenter aucune pièce qui n’ait été vue et approuvée par le Magistrat : « Nous serions de
ais un modèle de sainteté, mais par grandeur d’âme, étendue d’esprit, vues profondes de politique ; il en méprisait jusqu’à
e. Peu de gens se conduisent par la raison, et agissent par de bonnes vues  ; on regarde la volupté comme le souverain bonheu
55 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233
ans donner lieu à la compassion des Spectateurs de s’affaiblir par la vue de quelque défaut, suivant qu’ils soutiennent que
, encore une fois, ce n’était que l’ordre du Destin qu’ils avaient en vue . N’est-il pas clair, après ces réflexions, que le
ue par l’impression qu’elle m’a faite à la lecture, ne l’ayant jamais vue représentée : mais, si une longue expérience peut
iffère guère de la représentation. Créon peut-être déterminé par des vues d’intérêt et de politique à s’attacher Jason, en
56 (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435
ssé par les paroles qu’on y a entendues, ni par les actions qu’on y a vues , parce que tout y était fort honnête, et fort ret
ue commettent et font commettre dans leur Ville, ces sortes de gens ; vue que non seulement ils le peuvent empêcher, mais d
57 (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202
es & le son agréable de la voix, & à ceux qui jouissent de la vue & de l’ouïe, par le parfait accord de ces deu
lui étoit plus facile, puisqu’il les savoit par cœur, & les avoit vues jouer ; il y en a de bonnes. Il est généralement
tentif aux objets de l’autre, & en juge bien mieux. Un sourd a la vue plus perçante, un aveugle l’oreille plus fine, il
anse, au marcher, au toucher, au parler, au chanter, en l’ouïe, en la vue , en ornemens, mensonge & vanité. Le bal n’est
vid, Salomon. Il tente l’homme par les femmes, par l’attouchement, la vue & l’ouïe ; au bal par l’attouchement des main
58 (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195
re interdit quelquefois à ses enfans sa maison & sa table dans la vue de les corriger, comme un Pasteur sépare du troup
on cœur : Jam mœchatus est in corde. Si une femme négligemment parée, vue par hasard dans la rue, blesse mortellement ceux
laisir l’image du crime : la boue ne nuit pas tant à vos veux, que la vue de ces objets nuit à votre ame. Tout cela vous af
59 (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38
sur les moyens de procurer le bonheur du Genre humain, qui dans cette vue a laissé de très bons Mémoires qu’il faudra revoi
t trop cher, pour souffrir ce qui y met obstacle. C’est par ces mêmes vues que ses Pasteurs ne cesseront jamais de tonner co
féroces, comme les appelle M. Rousseau, qui ne frémissent point à la vue du fer meurtrier qu’ils projettent d’enfoncer dan
60 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre III. L’amour profane est la plus dangereuse de toutes les passions. » pp. 29-31
’a d’autre objet que ce qui peut flatter les sens, on perd souvent de vue les principes qui doivent assujettir la conduite
61 (1580) De l’institution des enfants « De l’institution des enfants. Essais, I, 26 [fin] »
emps plus réglés que ceux qui se font en présence d’un chacun et à la vue même du magistrat. Et trouverais raisonnable que
62 (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27
é, & depuis sa correction il est l’école des mauvaises mœurs. Les vues sages des anciens ont été entierement abandonnées
tierement abandonnées. Il est un vice différent des autres, dont la vue , les objets, le souvenir sont funestes, lors même
ent entrée au vice dans la jeunesse la plus innocente. Cette passion, vue de loin dans des personnes qui s’aiment, dont mêm
bien distinguer les charitables moniteurs qui agissent par de bonnes vues , de ceux qui sont conduits par l’intérêt, la vani
63 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466
que fait un Artiste intelligent, inventeur d’un ouvrage au-dessus des vues communes ; & rien de plus naturel que la curi
omme qui cherche à s’instruire, à acquérir de nouvelles lumières : la vue d’une machine quelconque, inutile en elle-même, a
e du dernier des Baladins. Mais qui choisirons-nous pour exécuter ces vues nouvelles ? Il est certain que nous ne pouvons je
d’une conduite dérèglée, est, à la vérité, un scandale continuel ; sa vue seule réveille la lubricité : mais fût-elle la ve
64 (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91
besoin de peintres qui leur en fassent remarquer les attraits ; si la vue de ces peintures les porte à faire plus d’attenti
e femme fait désirer d’en connaître le modèle à ceux qui ne l’ont pas vue  ; il est donc probable que le Théâtre peut opérer
'est-il pas vrai que Cartouche n’est comparable dans l’étendue de ses vues et de ses projets ni à Catilina ni à Cromwell ? C
oute opposée à la vôtre. M. de Crébillon vous a obligé, à la première vue et sans vous connaître ; vous payez son service d
65 (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre premier. Remarques Littéraires. » pp. 11-51
rotesques, des divers excès où font tomber les vices. Il fit dans ces vues la vie d’une courtisanne, depuis son entrée dans
, les sentimens étudiés, &c. aulieu de détourner du vice, par ces vues comme le peintre, on l’enseigne, on le saisit, on
i l’ont illustrée . Il a donc manqué son but & perdu son objet de vue , jusqu’au sieur du Belloi, qui l’a redressé par s
uses, les descriptions les plus lascives, & qu’on ne perde pas de vue les objets les plus indécens. Mais Colardeau &
esquisse du poëme. La création du couple humain, son étonnement à la vue du spectacle de la nature, sa premiere sensation,
re, l’homme que pour l’aimer. Quelle religion a donné au Créateur des vues si basses ? Que signifie ce galimatias, mon être
66 (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — PREMIERE PARTIE. Quelle est l’essence de la Comédie. » pp. 11-33
ivresse aux yeux de celui qu’on vouloit garantir de ce vice. La seule vue de l’état affreux où réduit l’ivresse, est donc c
t pas de même laisser subsister les vices. La Comédie a donc perdu de vue le point capital qui devoit fixer toute son atten
67 (1761) Epître sur les spectacles « Epître sur les spectacles » pp. 3-14
un char élégant mollement étendue , Quelle Divinité se présente à ma vue  ! Un vernis répandu sur des panneaux dorés, D’un
envolant disparaît dans la nue, Un Parterre aussitôt le remplace à ma vue  ; Du grand Servandoniab magique illusion, Effet
68 (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83
te que le mal soit connu, pour y remédier, & que j’entre dans vos vues , toutes dirigées vers le bien public, en vous pré
, qui connaissant le prix de l’argent & qui, ne perdant jamais de vue les peines qu’il leur en coûte à le gagner, saven
es enfans de ces Bourgeois : (souvenez-vous, Monsieur, que je n’ai en vue dans cette Lettre, que les intérêts des enfans de
on, Critique toujours judicieux, modeste, & intéressant, avait en vue , lorsqu’il disait31 : « Les Spectacles ont répand
aut des Spectacles pour le Peuple. 4.° Ces Spectacles sont utiles aux vues de la Police, pour la recherche des mauvais sujet
ivons encore sous des Ministres & des Magistrats, dont toutes les vues sont dirigées vers le bien public, dont l’intérêt
jection n’est pas la moins spécieuse. Ces Salles, dit-on, servent aux vues bien intentionnées de la Police. 1.° C’est dans c
blic, se déchaînent contr’eux : mais les vrais Citoyens, qui n’ont en vue que le bien, de la Patrie, s’élèvent au-dessus de
s Ministres & des Magistrats laborieux, qui secondent si bien ses vues . Nous verrons, avec l’application au travail, l’a
le, Monsieur, si mes raisons vous paraissent convaincantes, & mes vues utiles, j’aurai l’honneur de vous envoyer, le plu
ontradictoires de ces derniers, ne se fixeront à rien d’utile ; leurs vues bornées, leurs idées rétrécies ne produiront rien
69 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — IX. La Comédie donne des leçons de toutes les passions. » pp. 18-21
e que les leçons qu’on y donne ne laissent aucune trace, & que la vue seule du divertissement étouffe tout autre sentim
70 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Seizième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 278-281
m’avait charmé ; mais Inès vient de faire couler mes larmes ; je l’ai vue des mêmes yeux que Dom Pèdre. Permettez-vous à un
71 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XIII. » pp. 62-65
autres. » C’est Saint Augustin qui parle, mes Pères, mais il avait en vue tous ces Pasteurs qui négligent les besoins des â
72 (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104
nquer d’étendre les conséquences et les applications de ces nouvelles vues . Ils ont reconnu des Harpagons dans tous les degr
, l’envisager et le supporter comme un attribut de l’humanité, que la vue d’un fourbe, d’un voleur (et sans doute d’un hypo
e des Précieuses, imprimé deux ans après. Molière ne les avait pas en vue dans cette satire, dit-on ; il est permis d’en do
aussi haut et de généraliser la question, quand même je n’eusse eu en vue que cette démonstration particulière ; il était n
combien de faux bienfaisants, ou d’hommes poussés uniquement par des vues secrètes d’intérêts particuliers, ont servi l’hum
73 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre III. Origine des Théâtres. » pp. 22-49
nneur. Le comique leur parut indigne d’une telle source. Mais si leur vue s’était portée jusques dans les siècles reculés,
is elle ne parvint pas tout-à-coup au mérite éclatant où nous l’avons vue dans les ouvrages d’Aristophane & de Ménandre
fermés, que son éclat s’évanouit, & qu’on le perd entiérement de vue . Le luxe énorme, la méchanceté de la plus-part de
74 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIII. La Comédie considérée dans les Acteurs. » pp. 26-29
on le penser autrement quand on est témoin de leur insensibilité à la vue des ouvrages qui lui sont faits ? N’est-ce pas à
75 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. Si la Musique Française est plus agréable que la Musique Italienne. » pp. 287-291
bleau de Rubens, il ne faut point être Peintre ; il suffit d’avoir la vue juste. On admire les Ouvrages de M. de Voltaire,
76 (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61
Quatre Fourbes viennent danser auprès d’Argus pour l’amuser, dans la vue de lui faire enlever ses moutons lorsqu’il sera l
77 (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre X. Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs, bien loin de les réformer. » pp. 185-190
conçoive pour une action impure dont on voit la représentation, cette vue est seule capable de porter à la commettre. « Dis
78 (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44
l’exemple proposé n’en est que plus frappant. Quoi ! Alype tombe à la vue d’un Spectacle qui ne présente rien que d’affreux
79 (1541) Affaire du Parlement de Paris « Arrêt du Parlement de Paris autorisant, après avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) » pp. 167-166
avis du Roi, les représentations, sous conditions (25 janvier 1542) Vues par la cour les lettres patentes du Roi données à
80 (1620) L’Honneur du théâtre « Prologue » pp. 39-42
onne attention. Et puisque la vertu cherche le jour, et désire d’être vue  ; serions-nous méprisables d’étaler notre marchan
81 (1802) Sur les spectacles « RÉFLEXIONS DE MARMONTEL SUR LE MEME SUJET. » pp. 13-16
titude de citoyens, dont la profession même exige le plus souvent des vues nobles, des sentiments honnêtes, un esprit cultiv
82 (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre XII. Des Machines & du merveilleux. » pp. 179-203
onnoissance à la dixième représentation, comme de dix reconnoissances vues chacune une fois. Telle est notre destinée. Une g
dès que rien ne reveille plus leur appetit. Je veux néanmoins que la vue habituelle des reconnoissances, produise encore l
83 (1632) Les Leçons exemplaires de M.I.P.C.E. « Livre III, Leçon X. LA COMEDIENNE CONVERTIE. » pp. 461-479
Roi en cette sorte d’exercice c’est des plus excellentes que l’on ait vues il y ad longtemps : mais entre tous les personnag
des yeux si parlants des actions si agréables qu’ils ravissent par la vue et l'ouïe tous ceux qui les considèrent. La fille
84 (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIV. La fréquentation des spectacles ne peut se concilier avec la vie et les sentiments d’un véritable chrétien. » pp. 118-132
rie céleste, pour laquelle il est destiné ; qui, ne perdant jamais de vue la perfection à laquelle il est obligé de tendre,
entiment naturel qui accompagne la lecture d’un événement profane, la vue d’une peinture immodeste ou d’une statue indécent
85 (1607) Prologue de La Porte, Comédien
exercerm. Et afin qu’on sache que je n’en parle pas ignoramment et à vue de paysn, comme on dit, je vous veux montrer comm
françaises. n. [NDE] Sans savoir vraiment, en improvisant (mod. « à vue de nez »). o. [NDE] Boyer ajoute le « eis » qui
86 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre prémier. Déssein de cet Ouvrage. » pp. 2-7
qui daigneront lire cet ouvrage, comprendront assez quelles sont mes vues , & ceux qui voudront s’en épargner la peine,
87 (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — CHAPITRE IV.  » pp. 109-114
leurs divers amusemens, vous vous appercevrez qu’ils remplissent des vues bien opposées ; ils servent à faire naître la joi
88 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [Q] » pp. 444-446
és. Mais il faut, outre un talent & un tel particulier, avoir des vues utiles ; en un mot, il faut être homme-de-bien, p
89 (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146
l’appareil de la comédie, les décorations agréables et enchantées, la vue des Actrices, leurs parures, leur enjouement, leu
90 (1667) Lettre sur la Comédie de l'Imposteur « Lettre sur la Comédie de l’Imposteur » pp. 1-124
s derrière le théâtre ; au lieu qu’ici elles naissent divinement à la vue des Spectateurs, de la délicatesse et de la force
qu’elle a découvert, en lui disant que « les âmes pudiques par cette vue sont blessées, et que cela fait venir de coupable
qui leur est très utile, en ce que le peuple, que ces gens-là ont en vue , et sur qui les paroles peuvent tout, se préviend
u représenter la pièce, ou du moins de s’en remettre à ceux qui l’ont vue  : car bien loin que ce que je viens d’en rapporte
la connaissance de la Vérité et de la Vertu : et quand il vient de la vue de l’ignorance et de l’erreur, c’est-à-dire de ce
rellement avide de joie, se laisse ravir nécessairement à la première vue des choses qu’elle a conçues une fois comme extrê
de cette première impression ; et qu’il est quelques instants, où la vue d’un objet qui a paru extrêmement ridicule dans q
91 (1751) Nouvelles observations pp. 393-429
s cher aux Chrétiens. II. OBSERVATION. Il ne faut pas perdre de vue que la Comédie est un plaisir. Un des plus honnêt
ssion des Vieillards, les poursuites maussades des sots amoureux, les vues intéressées des Parens, ont toujours dû paroître
amp; sur-tout à un aussi grand Philosophe que Moliere. C’est dans des vues aussi utiles à la société, qu’il a peint la stupi
92 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99
x que j’ai faits dans le premier §, on connaît assez quelles sont mes vues , lorsque je soutiens, dans celui ci, l’utilité de
u’une Française lui abandonne de bon cœur : l’autre n’a sans doute en vue que de conserver à sa bicocque de Genève, dont je
les autres (& c’est de ceux-ci dont il est question) satisfont la vue par les décorations d’un Théâtre, le jeu des Acte
93 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Cinquième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 33-39
ez rendu malheureuse, sans associer à mes peines une victime, dont la vue me ferait mourir de honte. D’Alzan, tout-à-l’heur
94 (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE IV. Du Clergé considéré comme protecteur et fondateur des Comédiens du troisième âge en France, et comme en ayant lui-même exercé la profession. » pp. 113-119
Ils ne font pas attention que tous ces anciens conciles n’avaient en vue que d’excommunier les histrions, les jongleurs et
95 (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. —  De la Comédie.  » pp. 267-275
ître tout le poid, toute la faiblesse et même l’indignité. Dans cette vue on doit traiter la passion d’amour de la même man
96 (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104
suite de mouvemens faits en cadence sur une figure réguliere, dans la vue de s’amuser, ou de marquer sa joie ; le public ne
prendre ? Les théatres publics déjà établis étoient beaucoup pour les vues de l’Empereur ; mais on y étoit accoutumé, il fal
; sa politique. Elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire perdre de vue le seul objet dont elle auroit toujours dû l’occu
des tables de jeux, des marchands de bijoux, des rafraîchissemens, la vue de la campagne, &c. Tous les plaisirs sont ré
97 (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32
uvent jamais plaire, sous le plus habile pinceau. Qui soutiendrait la vue des dissections anatomiques, des opérations de ch
t que l'autre, aux yeux de la vertu, et infiniment plus dangereux. La vue des monstres ne les fait pas aimer, l'image du cr
périence que la société des gens tristes inspire la tristesse, que la vue des objets affligeants répand l'amertume. On a be
la Trappe. Des points de reticence (…) à tout moment qui fatiguent la vue dans la lecture, fatigueraient dans la déclamatio
98 (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246
les colonnes. Enfin les jeux et les spectacles ne se passent qu’à la vue du ciel, qui est aussi l’ouvrage de Dieu. Ignoran
le, se fait un plaisir dans l'amphithéâtre de repaître ses yeux de la vue d’un corps, dont les membres tout déchirés, et mi
s corps. Ajoutez enfin tant de poètes tremblants de frayeur, non à la vue d’un Minos, ou d’un Rhadamante ; mais devant le t
t alors que les superbes cochers du cirque frapperont davantage notre vue , élevés sur un char de feu, et tout environnés de
es pénétreront de toutes parts. Il est vrai que j’attacherai moins ma vue à ces misérables, qu’à ces monstres d’inhumanité,
99 (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Septième Lettre. De madame Des Tianges. » pp. 282-286
dame Des Tianges. C’EST bien sans le vouloir, Madame, que je me suis vue prête à porter le trouble dans votre famille. Tro
100 (1804) De l’influence du théâtre « PREFACE. » pp. -
uelques vérités utiles. C’est à ce titre que, rempli d’espérance à la vue des miracles qui chaque jour se développent à nos
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