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1 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
1er janvier 1901, p. 286-288 [287]. Flegrea, la revue italienne bien connue , dirigée à Naples par M. Riccardo Forster, publie
Mais Brockhaus était un homme trop avisé pour acheter au hasard, sans connaître la provenance de la marchandise. Comment le manus
que Le Polemoscope, ou le Passe-Temps, nous renonçons volontiers à la connaître . Mais il y a les Mémoires publiés. Cette publicat
solument que l’un des plus beaux monuments de la passion humaine soit connu dans son intégralité. Il y a même une lacune dans
s. Il y a les « Très-jeunes », désormais, que les cercles littéraires connaissent parfaitement et que le public et la critique conn
littéraires connaissent parfaitement et que le public et la critique connaîtront demain ; c’est toute une pléiade d’auteurs, quelq
épées et des poignards : Non ti fidar di me se cuor non hai… J’en ai connu un, de ces Très-jeunes, il y a deux ans à Bologne
tant d’intérêt dans les cénacles artistiques de Rome ? Personne ne le connaît , personne ne l’a vu : il vit à l’écart, en refusa
r M. Sedelmeyer. N’allez pas croire à une révélation : ce Raphaël est connu , c’est la Grande Madone Colonna, celle qui fut d’
sse de terribles misères qu’il devient le grand peintre qu’il fut. On connaît fort peu de choses sur la vie de Segantini et M. 
chette, 15 fr. M. Eugène Müntz est peut-être l’homme de France qui connaît le mieux l’art italien des grandes époques du Moy
ifier cette impression générale ; l’architecture italienne n’a jamais connu la grandeur et la beauté des lignes. — C’est dire
re et autres édifices romains de Capri, par G. Weichardt, de qui l’on connaît déjà les travaux consciencieux sur Pompéi. C’est,
io Zena avec son Apostolo. M. Remigio Zena, que j’ai eu le plaisir de connaître personnellement à Milan il y a six ou sept ans, a
nt puérile, — est le décor du roman de Remigio Zena. Celui-ci, qui le connaît bien, car il y a des liens de famille et d’habitu
art et d’histoire si important qu’en Italie on rougirait de ne pas la connaître et de ne pas pouvoir en citer les passages les pl
Traités ne sont pas si populaires que la Vie, et ils méritent d’être connus à fond, car ils éclairent eux aussi toute cette é
i nul mieux que lui en France n’est maître de l’instrument formel. Il connaît l’histoire de la langue française, de ses vicissi
s-Albert comme un des souverains les plus distingués que j’aie jamais connus … Sous une apparence de froideur, il cachait un cœ
s que la nature du roi Victor était commune. » Et le comte de Reiset connaissait Victor-Emmanuel qui prince royal, venait chez lui
bourg. Il est à souhaiter qu’un second volume de souvenirs nous fasse connaître ce qu’il y vit. Celui-ci a un double intérêt ; il
laume — l’inoubliable grand-père — est piquante et n’était plus guère connue de notre temps. Les Revues. Memento [extrait]
s du ministère et il fait appeler deux des chefs les plus en vue pour connaître leur pensée s’ils en ont une. L’entrevue se passe
2 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
t de la race des conducteurs d’hommes. Il ne lui manquait que de bien connaître sa doctrine. » … Vincenzo Peruggia est un idéal
où l’on achète à bon compte les doctrines de tradition, puisqu’il ne connaît pas les usines qui transforment en articles tout
îtres. Ils sont semblables — j’en suis certain — à ceux que nous vous connaissons en France. Vincenzo Peruggia, on vous a trompé :
Joconde (Comœdia, 4 janvier) Voici déjà l’opinion d’un peintre qui connaît son métier. M. Anquetin écrit dans Comœdia : Ava
’Annunzio, dont le goût obstiné pour l’ancienneté décorative est trop connu à Paris et ailleurs. La poésie italienne n’avait
en 1904. F.-T. Marinetti, qui avait fait son baccalauréat à Paris et connaissait très bien le magnifique essor poétique français d
tait surtout animé, dans la création de Poesia, par le désir de faire connaître en Italie la grande poésie moderne étrangère, — e
le eut son rôle important dans l’évolution de notre lyrique. Elle fit connaître tant bien que mal les meilleurs poètes d’avant-ga
x Italiens ébahis trois ou quatre jeunes poètes d’ici que personne ne connaissait et qui se montrèrent tout de suite doués d’une se
e pour la fondation du Futurisme. Les idées qu’il contient sont assez connues , même en France, et il est inutile de les résumer
ragement. Ils jouissaient déjà d’une enviable renommée et ils étaient connus par leur farouche indépendance. Leur conversion c
t de la poésie futuriste quelque chose qui se détache de toute poésie connue , au moins dans ses moyens. Marinetti, obsédé par
es, Ardengo Soffici et Giovanni Papini. Ils sont l’un et l’autre bien connus en France, où le premier a longtemps vécu. Le sec
stères qui ne sont ni dans le ciel ni sur la terre. Shakespeare. J’ai connu un homme tellement peureux que, bien que bon cath
mêler de mes affaires. — Ce Wellseley… — A le plus vif désir de vous connaître , repartis-je. Il a même une grâce à solliciter de
l ferait ma joie ! Où puis-je te mener ? — À la Piazzetta… Si Antonio connaissait les sentiments que tu nourris à son égard, contin
, on annonce la mort soudaine de Stella- Lucente, nous serons trois à connaître le coupable : Aurora, toi et moi. Mais nous ne no
plus vif désir de m’être présenté ? Pourquoi insiste-t-il ?… Il ne me connaît pas, je ne le connais pas. Oh ! oh ! C’est bien s
re présenté ? Pourquoi insiste-t-il ?… Il ne me connaît pas, je ne le connais pas. Oh ! oh ! C’est bien simple. Il a vu Aurora.
tement, de faire le portrait de sa femme et cela vous émerveille ! Je connais mon Antonio, je l’observe, je le regarde vivre av
bonne humeur, sa gaieté, sa verve étaient inaltérables. Enea l’avait connu à Paris, et l’avait invité à passer quelques sema
avait prétexté une migraine pour demeurer seule. Il était anxieux de connaître l’impression que lui avait produite Wellseley. El
monter personne, ordonna Antonio. Et se tournant vers John-Arthur : —  Connaissez -vous Mme Nina Ceschini ? — Je l’ai aperçue à Pari
son cœur, avec son imagination, avec sa chair ! Il est nécessaire de connaître ses sentiments, ses rêves : Qu’espérer d’un passa
plus naturellement du monde, Antonio appela son gondolier : — Tu dois connaître des musiciens, Beppo, dit-il. Et Wellseley remarq
ent de paupières, de répondre affirmativement. — Des musiciens ? j’en connais , Seigneur. — Tu me les amèneras. — Vous pouvez y
s noms. — Joachim Peter et Emmanuel Delphino, répéta Beppo. — Tu nous connais depuis dix ans, si cela te semble suffisant. Nous
irent, surpris, les deux jeunes adeptes du tango. — Comment ? Vous ne connaissez pas la furlana ? Et le pape, tout guilleret, fais
du vol — accompli par un ouvrier anciennement employé au Louvre, qui connaissait admirablement le musée et les usages du personnel
llis vers 1860, n’existent plus aujourd’hui. À l’heure actuelle, nous connaissons les argots suivants, enregistrés, en grande parti
réponds de ces hommes ? demanda-t-il. — Je vous en réponds. — Tu les connais depuis longtemps, n’est-ce pas ? — Depuis dix à d
e ce fût, dans son état actuel. Monsieur Stella-Lucente est seul à le connaître  ! — Et, si je voulais, si j’insistais ? — Madame,
amais eu la curiosité de voir votre portrait ? Ne désirez-vous pas le connaître , hein ? — Pas avant qu’il ne soit achevé ! — Est-
insolent avec Nina ? — Pas précisément. Comme elle essayait de… — Je connais l’histoire. La Ceschini n’aime pas Wellseley, ne
nio. — Et je me garderai bien de dire à Wellseley, ajoutai-je, que je connais ce détail ; cela le contrarierait. La Ceschini a
trois jours. Attendez que le vieil Ugo soit retourné chez lui. Beppo connaît des capitaines de tartanes. Nous nous cacherons à
en convenir, ne possède pas un trésor pareil. Je puis dire que je ne connaissais pas Raphaël jusqu’à présent, et que la Madone de
elles de l’auteur sont des documents de premier ordre et de plus font connaître que le talent de l’auteur acquiert d’année en ann
une part compliquer le contrôle si l’on désire distinguer l’inédit du connu , et d’autre part éliminer de la reconnaissance pu
teurs avisés et très au courant qui ont tout lu ou tout feuilleté. Il connaît très peu la poésie italienne et encore moins la p
du Peuple, sur la « Chanson de Naples ». Le directeur des Marges qui connaît Naples mieux que personne, à preuve son dernier r
de l’article nécrologique, le baron de Cramer-Klett, qui a intimement connu l’illustre représentant de la politique de Léon X
moins de la classe qui mène les affaires, s’est transformée. On avait connu , vers 1904 et 1905, une Italie soucieuse de trava
nc-Lamy sur Venise et la Côte d’Azur d’un coloris agréable, mais très connu . Musées et collections. Au Musée du Louvre : l
et les héritiers du commandeur Crespi. Cette collection Crespi était connue  ; son propriétaire vivait à Milan. Il l’avait ins
s et aux « Souvenirs », authentiques ou apocryphes. Mais, comme on ne connaissait que la version allemande, Tournachon-Molin fit tr
huit premiers volumes de Brockhaus, et toutes les éditions françaises connues , Méline, Rozez, Garnier, Flammarion, sont identiq
ndre à Gouyn… » — L’enseigne Casanova était en garnison à Corfou ; il connaissait à merveille la ville et les environs ; l’infatiga
arfois, facile toujours, la lecture des Mémoires, Laforgue les a fait connaître à l’Europe entière, a attiré sur eux l’attention
ais les idées qu’il a émises à diverses reprisés, dans des écrits peu connus , n’étaient pas absolument neuves : c’étaient en s
Wagner. Il insiste sur ce point : Que le sujet contienne une action connue , grande, intéressante et assez merveilleuse, pour
de l’Orfeo. Ce serait donc la traduction du Mercure qui l’aurait fait connaître d’abord. 23. Dans sa Lettre à M. D., un des Dire
3 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
nie en blanc majeur de Théophile Gautier (un poète que vous n’avez pu connaître et qui tournait joliment le vers), c’est une créa
conduit. Mes frères casanovistes, c’est grâce à cela que nous pouvons connaître ce modèle de vertu et de charmes qu’il nous cacha
phie et votre talent d’écrivain. Il est une petite œuvre de vous, peu connue et qui m’a été livrée comme exemplaire unique (c’
et qui m’a été livrée comme exemplaire unique (c’est une erreur, j’en connais six) par un homme d’un grand mérite, M. Charles H
r et en os, indiscutable, un être que vous aviez jugé déjà, dont vous connaissiez l’égoïsme et le manque d’initiative ; ce trait de
rel, que, depuis quelque temps, je me repentais de ne m’être pas fait connaître à Naples sous mon nom véritable. Je le regrettais
e regardait un peu, de la façon dont on regarde quelqu’un que l’on ne connaît point, Carrera lui demanda la permission de lui p
e, hier, au Caffetuccio. J’aime beaucoup les Français. D’ailleurs, je connais un peu la France… commença le marquis. Je le rega
nt réellement passés, elle n’était jamais arrivée. M. di Baiano ne me connaissait que depuis hier soir, et par Carrera. J’étais stu
lle m’était venue à l’esprit, en effet, que, maintenant que nous nous connaissions publiquement, nous pouvions nous battre sans scan
sa fille. Il s’interrompit : — Au fait, monsieur le Vicomte, vous ne connaissez point ma fille Adelina. Je m’en vais vous présent
rciant de l’honneur. Il appuya sur un bouton. La vieille femme que je connaissais bien pour l’avoir souvent rencontrée dans la rue
données à Paris, et comme il me citait un air de Pergolèse que je ne connaissais pas, sa fille se mit au piano et commença de le j
devoir ! Et c’était un autre que moi, maintenant, qui, s’il l’aimait, connaîtrait le danger et l’aventure ! Voilà ce qu’on me retir
n’entrerais plus la nuit, dans sa chambre, comme un voleur. Et je ne connaîtrais plus l’incertitude du lendemain, toutes ces crain
Étais-je fixé au juste sur les intentions du marquis ? Est-ce que je connaissais le fond de sa pensée ?… J’étais loin, en somme, d
il n’avait reparlé des circonstances dans lesquelles nous nous étions connus  ; c’était toujours par Carrera, soi-disant, qu’il
lles avec un Français s’était tout de suite répandu dans la ville. Je connaissais bien les Napolitains, et je savais à quel point i
nouvel amour. Elle n’était plus l’amante furtive et secrète que je ne connaissais qu’à demi. À présent je la possédais tout entière
’adorais, et elle, cette créature nouvelle que je venais seulement de connaître . C’était la même et c’était une autre que mon ima
souvenir inoubliable. Je n’imagine pas qu’autre vie que la mienne ait connu des minutes plus pleines, un épanouissement plus
pothéose. Je ne voulus pas voir mourir la belle saison, là où j’avais connu un bonheur si éclatant, un épanouissement si parf
u une des figures les plus attachantes du xvie  siècle…, les plus mal connues  » aussi. Il demeure l’homme des postures, non pas
vre de l’Arétin, son théâtre, que Molière et Corneille semblent avoir connu , ses ouvrages religieux qui eurent une vogue cons
vres M. Apollinaire ne nous donne pas les sonnets luxurieux, qui sont connus , qui sont même les seules œuvres vraiment connues
luxurieux, qui sont connus, qui sont même les seules œuvres vraiment connues de l’Arétin. Ceux qui les ignorent encore les tro
vre du Divin Arétin, à la Bibliothèque des Curieux, ouvrage que je ne connais pas d’ailleurs. On trouvera ici d’amples extraits
type encore idéal, et l’un des plus anciens portraits qui nous soient connus est celui de Périclès. D’ailleurs, on ne représen
ral, et milanais en particulier, c’est-à-dire quelques salles de café connues et fréquentées pêle-mêle, à Rome, à Florence ou à
s. Coupée au premier coup, la tête sauta. Au jet véhément du sang, on connut la puissance de cette vie… La geste du Tribun de
, et il a campé devant nos âmes émues une figure de Dante que nous ne connaissions guère. Après l’admirable « médaille » de Cola di
fier dans l’immense spectacle de la vie sociale les différences, et y connaître les inutilités humaines : cette fièvre, inutile p
is quelque temps est étonnamment peuplée d’oiseaux. Les Romains y ont connu un Columbarium promontorium. Voici, à peine détac
eulement avec les traits décrits par Homère, mais aussi avec les noms connus du grand aède : Scoglio Colombo est la traduction
l’archipel Toscan, située au-dessous d’Elbe, une île aujourd’hui peu connue  : Pianosa. Elle se détache nettement de toutes le
ctuel et la baie contiguë. Et, en fait, l’histoire ne lui en a jamais connu d’autre. Placé sur la côte orientale, et en plein
ne d’elles, située à quelque distance au nord de l’anse sableuse, est connue sous le nom de Grottone (la grande caverne). Une
riles59. 3° Au-delà commence le site infernal proprement dit. Nous en connaissons plusieurs particularités topographiques. On y ren
re en œuvre. L’Océan tyrrhénien a donc baigné là les dernières terres connues des navigateurs tyrrhéniens ; comme l’Océan grec
x plus vieilles traditions gréco-sardes, ou plutôt sardo-phéniciennes connues par les auteurs, on remarque que certaines légend
e érudition pour tout ce qui regarde Dante et son œuvre ; de même, il connaît admirablement les travaux de ceux qui l’ont précé
leurs cœurs. Or George Sand., à l’époque où elle parcourt Venise, ne connaît point ces particularités. En outre, rien ne l’a p
384]. Je veux dire tout de suite à M. Jean Lucas-Dubreton, uniquement connu de moi par son livre, La Disgrâce de Nicolas Mach
doctrinaire comme celui d’Artaud de Montor. Je ne sais si Stendhal a connu cet écrit : si, l’ayant connu, il n’en a rien dai
aud de Montor. Je ne sais si Stendhal a connu cet écrit : si, l’ayant connu , il n’en a rien daigné penser, il a eu raison. Ma
peut-être. Mais M. Lucas-Dubreton, lui, ne s’étonne guère : comme il connaît son Machiavel, il ne cherche pas loin l’interprét
, p. 854-859 [856]. La Galerie Excelsior contribue à nous faire mieux connaître feu Fattori, que les organisateurs décorent du ti
on peintre comme le furent aussi Morelli ou Crémona qui nous sont peu connus … et puis il y a les Futuristes qui ne nous laisse
leur voix narquoise, les heures qui nous séparent… Que ne vous ai-je connue au temps heureux du solstice estival, où la nuit,
, dans l’azur ! Je vous croyais à jamais repus… et, pourtant, vous ne connaissiez pas le paysage — la plaine blanche… la petite oas
Dans le numéro d’octobre 1903 Mr Arthur Symons, le poète anglais bien connu , parlait longuement du séjour de Casanova au chât
gigantesquement imprimée, une réclame pour un vermouth de Turin bien connu . Le port de Tripoli est une grande rade naturelle
ue. À Constantinople ils l’entourent de tous les soins possibles. Ils connaissent les sources par leurs noms et propagent leur gloi
s études. » Ainsi l’établissement d’instruction israélite n’était pas connu sous son appellation générique. On accolait à son
ces rives africaines à une œuvre d’expansion civilisatrice. J’ai bien connu en Crète ainsi qu’à Salonique vos officiers, et j
in Islam, l’effort péninsulaire allait porter ses fruits. Tripoli peu connue était pour beaucoup comme un pays de rêve où le t
r itinéraire une économie de près de 500 kilomètres. « Si vous voulez connaître la physionomie de notre effort militaire et civil
moraux entre le public des deux pays. 3. Plus spécialement, de faire connaître en France l’Italie contemporaine. Un Office d’étu
ec l’Italie, enfin, la Revue mensuelle France-Italie destinée à faire connaître exactement, en France, le mouvement politique, éc
hégémonie française. Plus que jamais on en veut à la France de ne pas connaître assez bien l’Italie ; plus que jamais on voit dan
ns ont consacré une partie de leurs travaux et de leur talent à faire connaître les grands exploits européens. Ces deux volumes s
plan de cette biographie était fait, j’ai eu la très grande chance de connaître personnellement plusieurs des survivants de la pé
xandre Sévère. Citons, dans ces deux morceaux, parmi les choses moins connues ou même inconnues, la longue inscription donnant,
représente le nombre des serviteurs de Livie il serait intéressant de connaître les attributions des serviteurs d’Auguste : cela
-382 [379-380]. Il n’y a guère que les étrangers pour nous faire bien connaître Paris ! Voici Trismat, jeune et pauvre Italien, q
ille que de diriger le temple de la musique ; mais après tout s’il la connaît mieux que moi (j’entends au sens de la Bible), je
bon, et il mettait au service de son cœur un esprit ingénieux. On lui connaît deux vertus fort rares chez un auteur : la modest
es chez un auteur : la modestie et le dévouement à ses émules. On lui connaît aussi la vertu suprême : il savait admirer. Nul n
ture des jeunes — la seule, en ce moment, qui mérite l’honneur d’être connue et appréciée à l’étranger. La mort a pris beaucou
ole, qui n’ont pas lancé de manifeste littéraire, qui peut-être ne se connaissent même pas, mais qui se ressemblent beaucoup et que
ellent, en bloc, les poètes crépusculaires. Guido Gozzano est le plus connu , bien qu’il ne soit pas le plus nouveau. Il a déb
rcer l’effrayante ignorance artistique de nos compatriotes en faisant connaître et admirer la peinture française moderne, de Cour
nseigné, sur les Français du vingtième siècle. M. Piero Jahier a fait connaître parmi nous l’œuvre de Paul Claudel et a traduit l
chocolat et le café, par exemple, ont étendu le domaine du goût. J’ai connu naguère un nommé Giovanni Moroni, personnage sans
anni Moroni resta longtemps rêveur. J’essayai à plusieurs reprises de connaître ses souvenirs, ses impressions sur les années qui
orto Pezzo : si pour Homère il signale la baie, c’est que les marines connues de lui arrivent, ordinairement par le nord ; ce s
je en italien, le plus court pour la maison de Napoléon ? » — « Je ne connais pas. Monsieur ; ce nom-là n’existe pas ici. » Je
uovo itinerario di Sardegna de Cuggia (2 vol., Ravenne), les ouvrages connus de la Marmora et du chanoine Spano, et surtout av
4 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
oquence : “Mais ils ne disent pas, ces censeurs, quel est le moyen de connaître l’opérateur de tant de choses admirables et comme
mour naît de la grande connaissance de ce qu’on aime. Et ce que tu ne connais pas ou que tu connais mal, tu ne pourras l’aimer,
connaissance de ce qu’on aime. Et ce que tu ne connais pas ou que tu connais mal, tu ne pourras l’aimer, et si tu l’aimes pour
nt à cette pleïade d’écrivains, que nous n’avons pas eu le bonheur de connaître personnellement, qui, selon l’expression de F.-D.
fort et sans regret. Il est dominé par la littérature française qu’il connaît d’une manière étonnante : on n’a lu de lui que tr
. Hewlett font revivre une des plus belles époques de l’Italie ; pour connaître à présent l’Italie actuelle, il faut suivre Katha
e français Odilon Redon, l’artiste le plus bizarrement macabre que je connaisse , ce vigoureux dessinateur qui, en une série d’abs
a tête osseuse et ricanante du spectre vengeur. « Afin de faire mieux connaître le singulier artiste français, il ne sera peut-êt
qu’il croit que la meilleure propagande en sa faveur est de la faire connaître au public. Et c’est ce qu’il a fait dans ce volum
lus vive à notre égard, est le fond de la nation italienne. Nous nous connaissons depuis trop longtemps, nous avons été trop souven
littéraire. Ses personnages sont des hommes de lettres italiens bien connus  ; trop connus, même, car le public et la critique
es personnages sont des hommes de lettres italiens bien connus ; trop connus , même, car le public et la critique ont immédiate
s modernes Il était encore enfant lorsque son père fut assassiné ; il connut la misère et la faim ; mais, loin de haïr les hom
ne. De temps à autre, soudainement, il plane sur ce petit monde qu’il connaît si bien et où est son royaume ; dans ce recueil d
é une centaine des allusions que fait Casanova à des personnages bien connus , démontrant la parfaite exactitude de toutes sauf
ement véridiques lorsque les faits sont tels qu’ils ne pouvaient être connus que de Casanova lui-même. II Pendant plus d
devait trouver quelque chose. L’existence de manuscrits à Dux n’était connue que de quelques personnes et même la plupart d’en
nnue que de quelques personnes et même la plupart d’entre elles ne la connaissaient que par ouï-dire ; c’est ainsi que me fut réservé
esque imperceptible. Ce fut le seul moment de ma vie dans lequel j’ai connu avec évidence la véritable trempe de mon âme ; et
ujet des Charpillon et se terminant par ces mots : « Mon écriture est connue . » Ce n’est qu’à la fin que je mis la main sur d
n Mémorial d’un Mondain, Lamberg parle de Casanova comme d’« un homme connu en littérature, un homme de profond savoir ». Dan
témoignage c’est qu’ils ne nous disent rien que nous n’ayons déjà pu connaître , si nous avions simplement cru Casanova sur parol
ut comme si je retrouvais un vieil ami, qui m’était déjà parfaitement connu , avant d’entreprendre mon pèlerinage à Dux.
te-lui cette          Lettre !…… Mais, outre M. Massenet, M. Puccini connaît aussi Gounod et Meyerbeer. Il doit même avoir ent
ait des chapitres 4 et 5 », dit-il, et jusqu’ici nul n’a prouvé avoir connu cet extrait avant M. Symons, ni avoir publié les
re et la pensée de Segantini. § Le point de départ d’abord. Qui ne le connaîtrait pas estimerait peut-être à sa juste valeur le poi
de l’Ave Maria a trasbordo, une œuvre symbolique au premier chef. On connaît le tableau. M. de la Sizeranne l’a décrit à la Re
ction italienne de M. Illica, alors que ses compositions étaient déjà connues , et il n’est nullement besoin d’avoir pénétré les
n’est nullement besoin d’avoir pénétré les arcanes du bouddhisme, de connaître la philosophie du Nirvânah, pour goûter ces allég
5 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
Shakespeare regarda la vie avec son terrible regard de souffrant qui connaît toutes les souffrances, il fut parfois troublé pa
ce les dominait. Ils obéissaient aux impulsions de leurs âmes, ils ne connaissaient pas d’avance la face de leur destinée réelle. Seu
s âmes, qui engloutit la volonté une et multiple de l’être capable de connaître en les accomplissant toute la portée de ses actes
de. Dans ses pérégrinations mélancoliques à travers le monde, Ibsen a connu l’esprit de la véritable tragédie contemporaine,
lus menus détails, il fait de l’art, de l’art pur et orgueilleux, qui connaît son rôle devant la vie universelle, la vie des in
existe en Italie. — M. Pierre Gauthiez a longuement habité Milan ; il connaît bien les choses dont il parle et l’on peut se fie
, le fit apprécier largement par les poètes de sou âge. Les jeunes le connurent peu ou mal. L’Italie littéraire officielle le méc
es. De M. Domenico Milelli je ne parlerai pas sans angoisse, car j’ai connu le sort misérable de cet homme doué cependant d’u
Methuen and Cie, exacte reproduction de l’Hypnerotomachia Poliphili ( connu vulgairement sous le nom de Songe de Poliphile),
que discutable en maint endroit peut-être, mais on sent que l’auteur connaît à fond ce dont il parle, ce qui n’est certes pas
icien dont on commence enfin, grâce aux Chanteurs de Saint-Gervais, à connaître autre chose que le nom mélodieux, est des plus at
bien servir à démontrer que les paroles absentes étaient suffisamment connues pour qu’il parût inutile de les transcrire, et ce
série de conférences sur le Vinci, avec le concours de conférenciers connus , étrangers et italiens ; la série a été commencée
nt d’une volonté féconde de vie, d’une profonde joie de vivre, et qui connut les premières angoisses de notre précise volonté
t qui connut les premières angoisses de notre précise volonté de tout connaître , de tout savoir, de tout transposer en une joie e
celui, très réel, d’avoir trouvé en Italie deux écrivains de talent, connus déjà par leurs œuvres personnelles, tour à tour p
urs. MM. Angelo Sodini et Pasquale de Luca ont pris la tâche de faire connaître le dernier poète du merveilleux anglo-saxon à leu
ques bons livres ont paru dernièrement, romans et poèmes, d’écrivains connus et inconnus, qui répètent les formules des aînés
oisis de la “Jeune Belgique”. Il fit l’éloge de tous nos poètes qu’il connaissait fort bien, de nos prosateurs, de nos polémistes. 
un livre “l’Italie d’hier” à Pica, pour le remercier de l’avoir fait connaître au-delà des Alpes ? De Wyzewa, dans la “Revue Ind
, numéro 214, 15 mai 1906, p. 282-290 [282-284]. M. Edmond Michotte a connu Richard Wagner et Rossini. Il a assisté à la visi
ses par où la pluie devait pénétrer à flots. « Les portraits que nous connaissons de Beethoven rendent assez bien la physionomie d’
ssi abandonner ce second projet. On me répondit généralement : « Vous connaissez peu Beethoven. Le lendemain du jour où il sera pr
outes, ils doivent traîner la domination de leur rêve de liberté. Ils connaissent la nécessité qui impose à l’eau « de couler perpé
der sa limpidité ». Leur marche dans les terres de leur race leur fit connaître les joies de l’amitié. Duccio della Bella, le pro
connaître les joies de l’amitié. Duccio della Bella, le protagoniste, connut aussi l’amour. Il vécut avec rudesse et avec puis
, sauva plusieurs fois son jeune ami, Duccio della Bella. Et celui-ci connut mille morts, connut la vie de la capitale, les dé
is son jeune ami, Duccio della Bella. Et celui-ci connut mille morts, connut la vie de la capitale, les déboires et les révolt
elque grande joie, Duccio della Bella, le jeune homme qui avait voulu connaître la vie, qui était parti avec son rêve pour vivre
e calabrais mort de misère, dont il publiera ensuite la Trilogie très connue . Dans la même collection est annoncée la publicat
étranger qui critique, efface ou éclaire. Il est donc intéressant de connaître Stendhal corrigeant Stendhal. À la Bibliothèque N
: non en l’amusant, mais en lui rendant quelque service. Il faut donc connaître la passion dominante de l’homme qui a le pouvoir,
importance très réelle. Du fait que Romain Colomb ne semble pas avoir connu l’exemplaire de Rome, car les intentions que Sten
ve man. L’intéressant travail de M. Nino Tamassia nous permet donc de connaître quelques-unes des âmes, dont la figure historique
iccola fonte. Remo Sandron, Palerme Cependant je serais curieux de connaître l’appréciation de M. Sighele sur une pièce de M. 
ieuses. Deux serpents sur la muraille équivalent à l’objurgation bien connue  : Défense de déposer… Près d’une peinture représe
t à fait remarquable par l’élégance et la clarté du style, fera mieux connaître en France l’esthéticien anglais, plus généralemen
et publier ce livre à moitié fait ? Rien absolument ne nous permet de connaître la vraie pensée de Beyle, à cette date de 1812. M
un plan écrit alors par Stendhal29. De tous les chapitres que nous en connaissons , il lui restait seulement à faire la moitié de la
n marché, et l’amour pour rien. Mais, après deux ans d’attente, Beyle connaît son illusion. — Or, il faut vivre ; Beyle a 1 600
nisations, était encore celle de l’intérieur. À dater de 1898, elle a connu les phénomènes d’évolution économique qui sont in
us, dans le Petit Temps, du grand poète italien. Carducci n’est guère connu en France que de nom et M. Carrère s’en étonne. I
s, d’une certaine cruauté : Étranges anomalies de la Renommée ! Nous connaissons de l’Italie, en France, un tas de râcleurs de gui
briel d’Annunzio, et des disputes nombreuses qu’elle a engendrées. On connaît le succès de Plus que l’Amour, un succès assez re
econde fois, après la chute de sa tragédie la Gloire, M. d’Annunzio a connu l’ivresse de la débâcle. Le défaut du drame n’est
l de leur esprit » ; de cette maladie nietzschéenne, que Nietzsche ne connut jamais, et dont ses œuvres ne contiennent aucunem
les auteurs, la majorité de la critique et du public discute sans en connaître vraiment le premier mot. Ainsi que Schopenhauer r
mé Angelina Pietragrua plus que l’art et la psychologie. Si l’on veut connaître la qualité de son goût et l’étendue de ses connai
6 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
rontière militaire qui nous a été imposée après la guerre de 1866 est connue  : le saillant du Trentin pénétrant dans la plaine
. Les causes politiques qui ont amené l’Italie à la guerre sont assez connues , causes particulières austro-italiennes et causes
r d’idées contradictoires. De certains jeunes d’aujourd’hui, les plus connus , il serait assez malaisé de suivre la déjà longue
everde ne fussent point extraites du Couronnement de Poppée, que nous connûmes , il n’y a guère, sur la scène du Théâtre des Arts
i réglait (ou déréglait) la marche de la civilisation en Europe. Elle connaissait le même développement économique, la même substit
ail, en 1910, dans l’Essai précité. À ces deux dates, ou nous ne nous connaissions pas, mon cher ami Guglielmo Ferrero et moi, ou no
e Romaine. Que la même idée se soit présentée à deux hommes qui ne se connaissaient pas, ou qui n’avaient encore jamais eu de convers
ssible, à cause de la langue ; l’opinion anglaise peut nous être plus connue  ; mais la langue française est pour nous comme un
n de condamner toutes les impressions littéraires sur l’Italie ; nous connaîtrions bien mal les mœurs de nos diverses régions dans l
talie s’est décidée à la guerre et comment elle la mène. Quoiqu’il ne connaisse à fond que certains courants et en néglige certai
l de l’Italie dans ces dernières années est sûre et documentée. Je ne connais aucun livre qui plus que celui-là soit un antidot
s virtuoses de l’impressionnisme esthétique. Et les Italiens, comment connaissent -ils la France ? Bien mieux. Nous pouvons l’affirm
lemande dans les nations d’Europe. En Italie, ce fut une invasion. On connaît la méthode. Une banque allemande à enseigne itali
ose d’échanger de grandes troupes théâtrales, chargées de mieux faire connaître en France les œuvres des artistes italiens, et, e
avec la sérénité d’un ancien, avec l’angoisse réfléchie d’une âme qui connaît le monotone passé et les immuables destinées des
universitaire qu’il avait remaniée pour la publication. Il avait fait connaître , le premier en Italie, le dramaturge Hebbel. Mais
rrivé : il faudra parler longuement de cet écrivain qui mérite d’être connu et apprécié dans cette France qu’il aime d’un amo
ette France qu’il aime d’un amour ancien et profond et dont il a fait connaître en Italie les poètes et les peintres les plus ava
nati À ses côtés, Carlo Linati semble presque un ancien. Il se fit connaître , il y a quelques années, par un roman autobiograp
ait nommer des « poètes moralistes ». C’est un homme tourmenté qui se connaît très bien et qui a la conscience de l’acuité de s
M. Rosso di San Secondo (Ponentino, Milano, Treves) qui s’était fait connaître avec les Élégies à Maryke. Rosso di San Secondo,
rmont et Romain Rolland. Les revues Les Revues littéraires bien connues La Voce (Firenze, Direct. G. de Robertis) et la R
èrement et soient pourvus des moyens matériels nécessaires pour faire connaître à des peuples de langue et de culture différentes
e le journaliste a notées. C’est en plus un livre original et je n’en connais point beaucoup d’autres du même genre sur les jou
e religion ! vous êtes le premier du xxe  siècle. Et au xixe je n’en connais qu’un seul : Joseph Smith, fondateur du mormonism
out cas le premier mort d’entre les futuristes dont le nom est un peu connu . Peintre tout d’abord, il montra ses ouvrages dan
à l’œuvre, des regrets, des amertumes à étudier et à décrire, il faut connaître ces luttes entre le devoir et la passion dont l’â
ction, les problèmes les plus douloureux dont un esprit religieux ait connu la hantise ? La vie réelle, les croyances qu’elle
ux océan d’aspirations où sombre leur pensée quand ils essaient de se connaître  ; ils mettent dans leurs passions et dans leur rê
héros, alors même que les passions y projettent leurs tristes lueurs, connaît toujours, à de certaines heures, la délicieuse fr
nt d’être un saint, avait eu assez de défaillances mondaines pour s’y connaître , — saint Augustin n’a-t-il pas écrit que certaine
e les impulsions de l’instinct et les formules absolues du devoir. On connaît la thèse : Daniele Cortis aime sa cousine Elena,
e. D’aucuns peuvent trouver austère cette conception. Et pourtant, se connaître , savoir sa mesure, même aujourd’hui, n’est-ce pas
elle ne saurait trouver le calme dans l’adhésion à un dogme. Elle ne connaît pas de plus sûr point d’appui que la réalité, dès
re. Il a consacré à formuler ce rêve les pages les plus fortes que je connaisse . Le rêve de M. Corradini, depuis l’intervention,
égant palais de la « Ca’ d’oro » à Venise, dont la jolie façade, bien connue de tous les touristes, mire dans les eaux du Gran
préraphaélitisme anglais et de l’impressionnisme français, ce dernier connu trop tard, mais assez profondément pour que la je
es parts, les récits écrits ou de vive voix se sont multipliés ; nous connaissons tout de cette abnégation longue, de cette énergie
7 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
les manuscrits nombreux du maître italien ; chacun pourra maintenant connaître l’essentiel de la pensée du Vinci en lisant les t
eule en rivale de la Révélation. Partant du phénomène, elle marche du connu à l’inconnu, avec une sûreté incontestable : en p
bservation jusqu’à la promulgation de la méthode expérimentale. On ne connaît que depuis une vingtaine d’années quelle place Lé
Léonard n’appartient pas à l’humanisme : il ne savait pas le grec et connaissait mal le latin, comme il appert des pages de lexiqu
let n’aurait pas appelé Léonard le frère italien de Faust, s’il avait connu les manuscrits ou même, si, conscient des antinom
i à cette question : « Quel est le devoir du chrétien ? », répond : «  Connaître Dieu, l’aimer, le servir et par ces moyens acquér
s ensemble, forment le tout de la chose qui doit être aimée. Si tu ne connais pas Dieu, tu ne saurais l’aimer ; si tu l’aimes p
de la nature au-dessus des rites coutumiers, « car c’est le moyen de connaître l’opérateur de tant de merveilles et la vraie faç
ges de l’ordre expérimental. « Ô contemplateur, je ne te loue pas de connaître les choses, qu’ordinairement et par elle-même la
iddité d’un élément : mais une grande partie de leurs effets nous est connue (200). » Aussi ne comprend-il pas qu’on veuille a
n nobis, Domine ; car les choses certaines sont à la fois communes et connues , de telle sorte qu’on ne trouve aucune gloire à l
cience est synonyme de conscience. L’honneur de l’homme consiste à se connaître soi et le monde. « ¨Ô profonde erreur de ceux qui
va un jour à l’entrée d’une caverne, « attiré par son ardent désir de connaître la grande complication de formes étranges qu’élab
ation et non plus un créateur de civilisation. L’Amoureuse dont on ne connaît que le chiffre, Ph., qui a laissé un livre de sou
ous silence les prémisses de son raisonnement, inutiles à lui-même et connues de son auditoire Aussi sommes-nous arrêtés dans l
es limites. D’après Humboldt, personne au seuil du seizième siècle ne connaissait le corps humain aussi bien que le Vinci. « Sauf l
es gens qu’on envoie à Rome ou en voyages, comme le prix des artistes connus et les fortunes qu’ils ramassent, forment un ense
s qui doivent être crues. Si les vénérables prélats des Congrégations connaissaient les Vedas et l’Avesta, ils abandonneraient la déf
de nos jours. Au quinzième siècle, l’histoire n’existait pas : on ne connaissait de l’Orient qu’Israël et les Sarrazins. L’Égypte,
lation de Boèce nous plaçons sur le même rayon la Bagatvat-Gita. Nous connaissons les formes du passé mieux encore que les idées et
n profil, comme Léonard. La qualité s’incarne dans un homme ; elle ne connaît ni passé, ni futur, elle est, tandis que l’expéri
s de la nature. M. F.-T. Marinetti, dans sa revue Poesia, nous a fait connaître ces poètes divers, nous a présenté en quelque sor
tait l’indifférence du Tout : mais l’intime essence de l’être m’était connue . Comment vit-on et meurt-on à l’ombre du Tout et
eforo, Professeur à l’Université de Lausanne, dont le public français connaît les travaux, vient de faire paraître un livre : R
impression séparée. Assurément Botticelli est l’un des peintres assez connus pour que le texte puisse au besoin se passer de l
rticulière au talent remarquable de l’écrivain, M. Émile Gebhart, qui connaît parfaitement le quattrocento et a montré Botticel
aliennes, tirées de Rome, Naples et Florence, un des livres les moins connus de Stendhal, et peut-être le plus curieux au poin
re visite à l’armée des vainqueurs de Lodi et d’Arcole. Il brûlait de connaître « Buonaparte », le rival de Moreau. Le jeune géné
urd. L’existence du journal de Desaix aux archives de la Guerre était connue depuis longtemps : M. A. Chuquet a rendu un réel
n belles héliogravures de peintures ou d’œuvres d’art inédites ou peu connues , conservées principalement en Angleterre. L’album
s grecs, dépositaires de la tradition byzantine. Les époques le mieux connues n’avaient jamais été considérées avec méthode. Ce
plus à inspirer la piété. Leurs œuvres ne sont plus des ex-voto. Sans connaître l’art antique, on se familiarise avec les connais
ulpteur, son souci du réalisme lui fait éviter le bas-relief. On n’en connaît qu’un de lui, fait pour l’autel du Baptistère de
erre, au métal, l’apparence de la vie. Il représente une humanité qui connaît la souffrance et pour laquelle vivre est une tâch
rtiste, de lui prêter fort longue vie. Eusebio Ferrari nous est mieux connu . Son père Bernardino, qui était de Pezzana, s’éta
la mort de Edmond De Amicis n’est pas passée inaperçue en France. On connaissait cet écrivain, qui était un des auteurs les plus c
geoise la tumeur pathétique, celle qui se manifeste par les symptômes connus du larmoiement et du frisson de la pitié. Poètes
omphe inéluctable du pathétique. Nul ne peut se vanter de ne point le connaître , à moins d’avoir cette âme puissamment seule, et
ette politique de Richelieu avec la Maison de Savoie, politique assez connue dans ses grandes lignes, mais restée obscure dans
de leur influence. D’après l’unanime témoignage de tous ceux qui ont connu Rossetti, il n’a jamais subi aucun ascendant, et
esse il en parlait, et, comme, en dépit de l’absurdité du système, il connaissait , évoquait, déclamait à merveille le souverain poè
portance essentielle, cependant, s’il n’était hors de doute, pour qui connaît un peu sa biographie, que Rossetti était à la foi
re de Rossetti est marquée de quelques tares. Il a aussi, avant de se connaître et de se posséder tout entier, tenté l’impossible
rait guère l’attention de Rossetti ; il est peu sorti de Londres, n’a connu la campagne que par des séjours très brefs à Kelm
e chose étrange ! Quelle chose étrange, être ce que l’homme ne peut connaître Que comme un secret sacré ! L’écran même du ciel
offraient ceci de particulier qu’aucun d’eux ne rappelait la manière connue du peintre, ce « faire » qui lui est si personnel
s, qui se remuait, tâchait de causer autrement que sous le masque (on connaît cette coutume de précaution du gouvernement vénit
p. 520-525 [523-524]. Les idées d’une femme sur le féminisme sont à connaître quand cette femme est Nééra, une des plus célèbre
n homme de lettres qui collabora occasionnellement avec Walter Scott, connut , entre autres, le poète Wordsworth et de Quincey,
fficiles à lire froidement ; dès qu’ils semblent effleurer une vérité connue , notre pensée complète le balbutiement du vieil a
s’est passé : lorsque Dante fit paraître sa Vita nuova, il était peu connu comme écrivain, le public, de tendance crédule, d
s poètes et autres composeurs. » Cependant, cette Fiammetta, la moins connue des trois « dames de beauté de ce temps », fut sa
du silence des textes, on peut croire, ou plutôt on doit croire qu’il connut Florence, les fresques de S. Maria Novella, de S.
ands poètes ceux qui semblent les plus talentueux parmi tous. Nous en connaissons , de la génération qui précéda la nôtre, qui ne mé
simples, d’un prosateur, M. Luciano Zuccoli. Les lecteurs du Mercure connaissent depuis fort longtemps ce fier ironiste et savant
dans la philosophie pure. Vincent de Beauvais, qui mériterait d’être connu , même à côté de saint Thomas, a tenté dans son Mi
la connaissance de Dieu, et les perfections de l’univers préparent à connaître celles infinies de son auteur ; en analysant ces
jeté dans un cachot par Boniface VIII et l’Évangile Éternel qu’on ne connaît que par sa condamnation, destiné à prendre la pla
nitiateurs à la philosophie. Boccace, le même dont les Contes sont si connus , a commenté l’Alighieri, en termes solennels : « 
ont revendiqué, comme ils revendiquent les Albigeois dont personne ne connaît la doctrine. Quand on s’arrête devant frère Jérôm
l’image ou plutôt la caricature contre Rome. Les amateurs d’estampes connaissent le pape-âne et le moine-veau. Le pape-âne avec la
xpérience a fait pénétrer par les sens et qui, sur de vrais principes connus , procède méthodiquement et, par une suite réguliè
zsche. Or, son hostilité fondamentale à l’égard du Protestantisme est connue au même titre que son admiration pour la Renaissa
Memento L’Italie a perdu deux de ses écrivains minores les plus connus  : G. Chiarini et A. G. Barrili. Les études critiq
exagéré la vertu de l’épée romaine dans ce dénouement, Auguste, lui, connaissait « le secret d’Actium », et, tandis que, pleine d’
y a lieu de s’affranchir, quelquefois, et de laisser les salons. Nous connaissons déjà plusieurs « héros littéraires » qui figurent
8 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
édaigneuse : Monsieur le Président, vous parlez de choses que vous ne connaissez pas. On comprend donc maintenant le trouble que d
traversé plusieurs escaliers, Casanova se trouve dans une salle qu’il connaît  ; c’est la Chancellerie ducale : Je vois sur un
lié avec d’autres ministres étrangers : Smith, Murray. Ces relations, connues du tribunal, pouvaient à juste titre éveiller les
omination autrichienne, et sur ce Casanova, dont le nom était à peine connu de ses compatriotes, au point que Foscolo, à l’ap
celle de Gaetano Lechi. Ce sont les trois seules évasions des Plombs connues en un siècle et demi. On pourrait donc conclure q
à l’âge qu’il avait, 31 ans, pouvait bien y avoir pénétré déjà et en connaître les dispositions ; 2° La partie la plus intéressa
icile. Tout Sicilien le sait. Tout Sicilien, de l’élite ou du peuple, connaît son nom, son âme, sa volonté lyrique et sa fougue
ue coup, porté dans le chêne dur de l’inspiration, créait des modelés connus . Et malgré la brièveté de son souffle lyrique, Ca
912, p. 850-854 [850-853]. M. Octave Uzanne est l’homme de France qui connaît le mieux Casanova et qui est le plus capable de l
récieuses d’une trentaine de femmes environ, dont plusieurs nous sont connues par ce que nous en apprend l’aventurier lui-même
fut longtemps la maîtresse attitrée de celui qu’elle idolâtre ; elle connaît la fatuité arrogante de son amant, sa duplicité,
vir généreusement ces Déesses. Il est impossible aux yeux de ceux qui connaissent les délicatesses féminines d’admettre que l’auteu
sa théorie des volumes aient atteint les futuristes qui naturellement connaissent Rosso. Ils connaissent les cubistes français et o
aient atteint les futuristes qui naturellement connaissent Rosso. Ils connaissent les cubistes français et ont quelque point de con
meyer à Paris : lamentable éparpillement comme l’histoire de l’art en connaît trop et dont le caractère criminel n’apparaît, en
nt le musée. À cette occasion, un autre historien d’art milanais bien connu , qui s’est particulièrement occupé de Luini, M. L
lie soit un des pays les plus visités de l’Europe, c’est un des moins connus , c’est même le moins connu de ceux que traverse l
s visités de l’Europe, c’est un des moins connus, c’est même le moins connu de ceux que traverse le courant central de la civ
igés par l’intérêt, qui aiment la science pour elle-même, ont soif de connaître , cherchent loyalement à se rendre compte des phén
respire autour d’eux une atmosphère plus pure. J’ai eu le bonheur de connaître l’un de ces hommes : ceux qui, comme moi, ont été
ue le paysan devait vivre en paysan et le bourgeois en bourgeois ; je connais peu de formules qui expriment d’une façon aussi r
italien. L’accusation est d’autant plus plaisante que la bourgeoisie connaît très mal le peuple en Italie et se préoccupe auss
t son développement intellectuel. À l’exception des spécialistes, qui connaît chez nous les noms de Murri, d’Albertoni, de Golg
accréditées, par exemple sur l’ancien cours du Tibre : la dépression connue sous le nom de fiume morto, qui était le lit du f
ué saint Dominique, ce champion du « catholicisme intégral », et l’on connaît son admiration pour saint Bernard. — D’autre part
ous les conteurs, garde dans les nouvelles paysannes des allures déjà connues , celles de la violence dans l’exclusivité. L’amou
Nous passerons, si vous voulez bien, sur ce fait que les Italiens ne connaissent pas les langues étrangères, encore que je ne sach
ure. Tome XCVI, numéro 355, 1er avril 1912, p. 665-672 [668-669]. On connaît le Ça ira de Giosuè Carducci, superbe poème plein
e la bibliothèque de Dresde, la forme française de cette œuvre si peu connue est telle que bien des pamphlétaires modernes l’e
lus tard, ses ouvrages en se servant de la langue de ce pays, dont il connaissait l’histoire dans ses menus détails, mieux qu’un Fr
rneri devient Varnier ; le comte de la Pérouse, le navigateur qu’il a connu , se trouve orthographié sous trois formes différe
nseiller du roi et commissaire au Châtelet. Si quelqu’un est tenté de connaître le nom de la mère, je viens de lui en procurer le
nts sur une foule de petits faits du siècle passé, non moins utiles à connaître , pour se former une conception historique précise
n historique précise, que les grands faits bruyants et à éclats, bien connus de tout le monde. Nous partîmes donc en 1897, po
voir Casanova, ou son complice, s’il se présentait. M. Ponsignon, qui connaissait les Mémoires, partagea notre gaieté lorsqu’il eut
dature du cardinal Rampolla. En réalité, le cardinal Sarto était très connu , on avait pris de lui une idée simple et forte, e
éro 356, 16 avril 1912, p. 841-844 [842-843]. M. Eugène Montfort, qui connaît merveilleusement Naples, et sait nous le faire vo
les. On sait qu’elle est ici ou qu’elle est là, on le devine quand on connaît bien cette cité extraordinaire — mais allez donc
icile l’instruction du procès qui se juge aujourd’hui à Viterbe… J’ai connu il signor Rapi, le professeur, celui qui, dans ce
ui exécutent des copies ou des surmoulages en bronze du Musée, et qui connaissent , ma foi, admirablement leur métier. C’est même un
n caractérisée par le « d’annunzianisme ». En France, Pascoli est peu connu . M. Muret, très peu au courant des véritables éta
força à donner ses premières résonances, qui furent des sanglots. On connaît l’anecdote. Le poète adolescent, perdu avec sa pe
cette sincérité géorgique que la très littéraire poésie de Virgile ne connut pas, c’est pour cela que les générations en plein
n homme tel que le Prince de Ligne des phrases comme celle-ci : J’ai connu Casanova homme célèbre par son esprit, ses ouvrag
la quitter, va-t-il pouvoir intéresser ? Il était assez artiste pour connaître l’écueil. S’il continuait, il allait nuire à l’at
, tactique qu’on pourrait rapprocher de celle de M. Georges Sorel. On connaît la théorie sorellienne des mythes guerriers ou im
e français, ce qui paraîtra infiniment comique à tous les gens qui me connaissent de près ou de loin. Je me suis toujours senti cit
ie sociale épars dans le poème, on voit apparaître un type d’ailleurs connu  : celui du commerçant maritime en pays neufs et l
ra au retour par les côtes d’Europe ? Le poète montrerait ainsi qu’il connaît les deux grands itinéraires de la Méditerranée, l
comment l’utiliser ? Ni Hypéreia ni les Cyclopes ne désignent rien de connu dans le monde ancien. Une hypothèse bien simple à
taient en relations avec les Géants. Or, les seuls Géants que Strabon connaisse en Europe habitent précisément les Champs Phlégré
blancs. La scène qui suit, une des plus belles de l’Odyssée, est trop connue , et surtout trop en dehors de toute question topo
i émettre le mot romantisme, car il précède l’époque romantique et ne connut point le renouvellement du pittoresque auquel pro
lia. Perrella. Naples Le nom de M. Enrico Corradini n’est pas très connu en France, Cependant, cet écrivain, qui appartien
ta. Bontempelli e Invernizzi. Rome Je ne sais si M. Ercole Rivalta connaît un roman français, de peu louable mémoire consacr
naliste bon à tout faire, de la littérature italienne, dont il semble connaître surtout les milieux et les personnes qui l’honore
nner de temps en temps des livres sur la littérature italienne qu’ils connaissent et représentent d’une manière toute superficielle
n dans laquelle il marquait, outre l’économie du sage, un trait assez connu de la psychologie des vagabonds), « on se pleigno
qu’ils dominaient la contrée et que, comme des héros fabuleux, on les connaissait d’autant moins qu’on les apercevait de toutes par
l est remarquable, pour le dire en passant, que dans l’état singulier connu sous le nom de fièvre de canon, expérimenté par G
Il suit de ces qualités que l’esprit antique, par une cristallisation connue , conçoit le beau paysage comme serein, noble, sou
ul Casanoviste la conteste, le docteur Guède, « l’homme de France qui connaît le mieux Casanova et ses Mémoires 61 »… … Pour M.
enier, c’est-à-dire cinquante pieds. Personne, pas même M. Guède, ne connaîtra probablement jamais l’endroit précis où l’échelle
traversé plusieurs escaliers, Casanova se trouve dans une salle qu’il connaît . C’est la chancellerie ducale. « … Je vais à la p
cupant de détruire la syntaxe prouve d’une façon péremptoire qu’il la connaît . On ne châtie bien que les personnes intimement é
tembre 1912, p. 135-139 [135-137]. M. Rignano, le savant italien bien connu , est un « théoricien » ; il travaille en biologie
doma. Le Sodoma, lui aussi, serait classé beaucoup plus haut si on le connaissait , si ses peintures de la Farnésine, à Rome, étaien
chaque page sa biographie du Sodoma. Mais, d’autre part, Vasari a pu connaître notre peintre ; il a en tout cas recueilli sur so
tions nouvelles apprennent, hélas ! à s’en éloigner, M. d’Annunzio ne connaît pas le repos. Voici, en attendant les autres roma
iotes par la publication d’un volume de Poesie varie, inédites ou peu connues , tirées de ses manuscrits et de quelques journaux
s. Le volume est précédé d’un court avant-propos de sa sœur Marie. On connaît la vie étrangement, mélancoliquement paisible, du
les comme Pénélope et aussi ardentes que Phèdre ; son enthousiasme ne connaît pas plus d’obstacles que Gusman. On put s’en pers
e incendiaire de Rome, et Tibère à l’orgie charnelle de Capri, et que connut le Mahomet de Voltaire. Mais cet excès de force é
naviguent partout, Mâts montés au sommet du navire Invisible, Qui ne connaît point de confrères, Qui lancerait à un navire frè
Et pourquoi eus-je envie de découvrir les gens qui y logeaient et de connaître leur existence ?… Parce qu’elle était fréquemment
cat. Je sus le nombre exact de leurs enfants, et l’âge de ceux-ci. Je connus que la fille aînée de l’avocat était mariée à un
e singulière. Je m’étais découvert des facultés d’espion que je ne me connaissais pas encore. Puisque les volets fermés m’avaient s
, sur cette terre de flamme, éternellement durer. Il fallait enfin la connaître , il fallait lui parler. Quand je sortais, je rega
enter. Qu’elle soit occupée, par exemple, à parler à quelqu’un qui me connaisse , et me présente à elle ; c’était bien improbable,
me présente à elle ; c’était bien improbable, puisqu’à Naples, je ne connaissais guère plus d’une dizaine de personnes. Mais il y
it donc, à son tour de ma fenêtre obstinément fermée Évidemment, elle connaissait les habitudes de la maison : les locataires qui a
marqué, car j’observais qu’elle croisait souvent des personnes qui la connaissaient . Je ralentis le pas, et la laissai peu à peu s’él
talie ? J’allais repartir ?… Je lui déclarai que maintenant que je la connaissais , je ne formais plus aucun projet. Je ne savais pl
cheveux.. Alors, je lui racontai ce que j’avais fait depuis que je la connaissais , je ne lui cachai rien. Je lui dis comment, en vo
t été les propos de quelques groupes allemands d’avant-garde : ils ne connaissent d’autres paradigmes à leur soif de renouveau, que
ue contemporaine, et toute la joie d’un monde qui a dompté les forces connues de la nature pour accroître sa puissance, l’inqui
evé au-dessus de tous les faux désirs, en ne me laissant que celui de connaître l’art lui-même. D’un autre côté, mon penchant pou
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
de tous les hommes aujourd’hui vivants, c’est certainement moi qui le connais le plus intimement et c’est avec moi qu’il est le
nversation du Démon est la plus profitable et la plus agréable que je connaisse  ; c’est une de celles qui font comprendre le mond
erg. Je n’ai jamais rencontré d’être plus indulgent que le Diable. Il connaît si parfaitement les iniquités, les malhonnêtetés,
il a fermé son livre, m’a pris le bras et s’est mis à me dire : « Je connais depuis des siècles ce petit livre : c’est la Bibl
. Je sentis alors que je n’aimerais jamais, que je ne pourrais jamais connaître les égarements et les ardeurs de la passion. Je s
uits entières, enveloppé dans mon manteau, l’apparition d’une lumière connue , j’écrivis des lettres insensées, je me forçai à
t exister quelque part, que je devais rencontrer, qui devait me faire connaître l’amour immortel. Et il y eut des femmes qui m’ai
De nombreux cœurs de femmes souffrirent par ma faute, mais aucune ne connut , même dans les larmes et les sanglots des abandon
vies de ces dernières années. Je suis comme tu étais alors, et je ne connais de toi rien de plus que ce que tu connaissais alo
me tu étais alors, et je ne connais de toi rien de plus que ce que tu connaissais alors. Tu comprends mon envie de savoir et d’écou
r, cherchant à se rappeler les choses qu’ils virent, les hommes qu’il connurent , les sentiments qui les agitèrent, les songes qui
10 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
! On a dit que le gouvernement et le commandement suprême auraient dû connaître le mauvais moral d’une partie de la IIe armée. On
mme une des plus belles choses de cette guerre. Et voici un trait peu connu de l’héroïque folie garibaldienne qui trouve à se
Il est des jusqu’au-boutistes civils qui manquent de décence, mais je connais des embusqués de la Révolution et du Baiser-Lamou
il semble qu’avec le séjour de Montélimar, tous ces Italiens, dont on connaît le caractère plutôt entreprenant, avaient fait de
est classé dans la liste des livres proscrits, indiqués au catalogue connu sous le nom d’Index du concile de Trente (Index t
é ainsi les deniers laissés par un riche parent de Hambourg. Elle est connue maintenant sous le nom de « Villa des Roses ». Al
illeurs, de faire apprécier les qualités de ce peuple italien, si mal connu et souvent si injustement décrié au Nord des Alpe
talie, il manquait notamment à M. Piérard une condition essentielle : connaître l’italien. Il nous raconte que les soldats demand
é qui écrase littéralement la thèse de M. Mesnil. Je sais que d’Arsac connaît au moins aussi bien l’Italie que mon contradicteu
obie : sa sympathie pour les idées et les partis d’extrême-gauche est connue de tous ceux qui l’ont fréquenté naguère à Bruxel
itoire de Gabriele d’Annunzio. L’attitude austriacante du Vatican est connue de tous. Les cas de Mgr Baumgartner, l’ami de l’e
inal et une première variante, regardée comme une œuvre d’atelier. On connaît le sujet de ce tableau : Vénus est étendue nue, a
ntièrement gratuite ainsi que celle de tous les collaborateurs que je connais (il faut croire que le gouvernement allemand subs
me portée. » 2° Le traité de Londres du 26 avril 1915 est maintenant connu de tout le monde et certaines fantaisies historiq
), d’excuser la véhémence de mes expressions. Il y a plus : j’ai fait connaître ici même et j’ai ensuite traduit les deux admirab
ans lequel furent impliquées quelques-unes des personnalités les plus connues de la haute finance et de la haute industrie mila
t a produit d’ailleurs les meilleurs résultats. Les orateurs les plus connus ont discouru un peu partout pour convaincre le pe
tiques ont appelé le Piranèse, était chez nous célèbre, mais fort mal connu . De quelques phrases de Théophile Gautier, interp
angwyn. Comme tous les artistes dont la vie n’est pas universellement connue , Piranesi avait sa légende. Elle est, dans ce liv
quelques autres encore. Mais il fait œuvre d’historien. Par lui nous connaissons les origines de la guerre en Italie. Nous voyons
elle des socialistes, celle des conservateurs deviennent claires ; on connaît toute l’ambition des nationalistes. Et l’on sent
secrétaire d’État au ministère des Pensions. C’est un des hommes qui connaissent le mieux l’œuvre de Vinci à laquelle il s’est ado
hirba, journal de la 5e armée, auquel collabore Ardengo Soffici, bien connu du public français, et qui donne des caricatures
élès dont la première représentation fut un des plus grands désastres connus au théâtre. Il devait trouver sa revanche plus ta
tre-torpilleurs. Dès que les éclaircissements nécessaires nous seront connus , nous commenterons pour nos lecteurs cet événemen
tries se multiplient au point qu’au témoignage de M. de Monzie, on en connaît aujourd’hui d’internationales. Mais que dire de l
n et Dorothée, et Manzoni, dans les Fiancés. Les Bersaglieri On connaît le corps des Bersagliers, ces soldats italiens do
on cerveau aussi bien que du cœur et du cerveau de M. Sonnino ». Nous connaissions d’ailleurs les actes du gouvernement italien à l’
e silence de la mort était tombé sur lui une semaine avant de mourir. Connaissez -vous l’admirable buste du maître exécuté par Gemi
fiquer des manuscrits, lettres, souvenirs, livres et autres documents connus sous la dénomination d’Archives des Médicis. Ce s
jet en a été partiellement inspiré au poète Forzano par le roman bien connu de Ouida : Zoccoletti (Les petits sabots). L’acti
odie de la Cavalleria et d’une autre œuvre qui mériterait d’être plus connue  : L’ami Fritz ! Un thème comme celui de Lodoletta
mpte parmi les meilleurs. Avec ce livre, il nous offre le moyen de le connaître dans son ensemble. Le choix n’est pas tout à fait
que l’auteur soit catholique, et une nouvelle édition des essais bien connus même en France de M. Benedetto Croce sur le Mater
8-189]. La découverte de fresques importantes à Spolète mérite d’être connue . Elle intéresse tous ceux qui s’occupent des étud
e couche de chaux dans la petite église des Saints Jean et Paul, déjà connue pour une belle peinture dans la crypte souterrain
if et tranquille. Dans ce portrait, qui diffère de ceux qui sont déjà connus , il faut voir sans doute le plus beau portrait du
es horaires à des écoles qu’elle ignore, dans des villes dont elle ne connaît pas les coutumes ni les habitudes… et des occupat
ccepté le fait accompli. 12. C’est M. Morgari, le zimmerwaldien bien connu , qui a remplacé M. Lazzari comme secrétaire du pa
ils le font uniquement du point de vue économique, et ne veulent pas connaître les « facteurs sentimentaux » dont le Docteur Haa
ses Mémoires, sonnet sur la mort de Mme de Nevers (1618), et qui est connu , d’ailleurs, comme traducteur des Nouvelles de Ce
11 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
egard distrait, cela ne pénètre pas. Canaletto, discrètement, aime et connaît bien sa ville, il en traduit avec une ferveur et
anciens, on s’en rend compte au Musée de l’Académie, fut parfaitement connu des vieux et prodigieux Carpaccio et Bellini. Les
plus pressé que de vous raconter la chose. En une minute, La Verdure connut l’incident. — Cela n’a aucune importance, ajouta
auteur. Il n’y a pas en Italie une personne de culture moyenne qui ne connaisse par cœur l’épisode de la Francesca dans la Divine
and public et le dénouement était obligé et les épisodes parfaitement connus . Ce qui est invention ne pouvait pas trouver plac
les soupirs gâtaient l’effet du fond. L’homme gâte le paysage, c’est connu . Puis il y avait les toilettes de Francesca, d’ap
du xixe  siècle après Leopardi, et son plus fier artiste. Car il n’a connu que le travail dur et opiniâtre, les haines de pl
te Angiolo Orvieto un petit chef-d’œuvre du genre. Cet écrivain était connu et sérieusement apprécié par ses vues personnelle
a confié la direction de la Nuova Antologia à M. Giovanni Cena, fort connu en littérature par ses poésies. Le nouveau Direct
La Mandragore. Le conte que La Fontaine tira de la comédie en a fait connaître l’intrigue. Cette intrigue est assez curieuse et
et Ephrem Vincent (5 avril) Le théâtre d’Angelo Beolco n’est guère connu que de quelques curieux : il semble, à en juger p
ans notre histoire littéraire ; et j’oublie une foule d’auteurs moins connus , qui sont encore à leur premier « fiasco » ou, to
’étonnant esprit d’observation dont cet élégant gamin était doué ; il connaissait tous les milieux, les plus hauts et les plus bas,
re se laisse aller à dessiner des figures idéales… On ne pourrait pas connaître l’auteur d’un portrait si l’on ne voyait ce que n
rt peu renseigné sur le caractère de ce conquérant. D’ailleurs, c’est connu que rien n’est plus malaisé que de porter un juge
mps d’écrire toute une bibliothèque ! Jolanda, une autre autrice bien connue en Italie, tente le roman passionnel avec Alle s
fresque de la cathédrale de Parme, serait une révélation pour qui ne connaîtrait de ce peintre prodigieux que sa manière aimable,
to Bracco ; le choix est heureux, et Le Triomphe vaut la peine d’être connu . Le principal personnage en est, physiologiquemen
e influence. Ingres et Delacroix, ses amis, l’écoutaient. Personne ne connut mieux que lui l’Antiquité et la Renaissance. C’es
12 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
nier le poète Olindo Guerrini mourait à Bologne. Guerrini était moins connu , en Italie, par son œuvre poétique que grâce à un
lindo Guerrini, qui mourut le mois dernier, dans un âge avancé et qui connut quelque célébrité grâce à la supercherie littérai
la suite, eut beau faire, aucun des livres de Guerrini-Stecchetti ne connut le succès de Postuma. Tome CXIX, numéro 447,
hambardement opéré par l’influence wagnérienne dans le Sérail dont il connaissait si bien tous les détours. Je me faisais ces réfle
lement la pratique des hommes et des choses d’Italie. Autant qu’il le connaît , il aime ce pays ; et ses pages sont animées d’un
tant d’autres sujets, imprègnent et égarent l’opinion publique. Nous connaissons encore mal — et c’est un plaisir d’être instruit
s. On trouvera dans cette seconde partie du livre des vues qu’il faut connaître pour bien comprendre les événements qui se déroul
tte Italie dont nous avons tous été les pèlerins passionnés. Ce décor connu et aimé, ce décor de paix et de souvenir, est étr
t à fait à me justifier à moi-même. Mais les raisons que la raison ne connaît pas ne sont-elles pas peut-être les meilleures, p
Ensuite, il n’est guère niable qu’il puisse être très intéressant de connaître la manière dont l’œuvre d’un maître défunt est co
injustice, le ranger parmi les plagiaires. Les meilleures et les plus connues entre ses poésies — par exemple le Guado — sont b
te qui s’est le mieux « vendu » dans l’Italie moderne et comme ici on connaît très bien Heine et Musset, les plagiats, s’ils ex
t semblable à celui de la mouche du coche. Mais d’Annunzio était déjà connu à l’étranger et on s’est plu à imaginer le Barde
(Le foglie dell’Alloro. 1898-1913. Bologna, Zanichelli). M. Lipparini connaît bien sa langue, la métrique et les classiques anc
it des amis dans les groupes littéraires du quartier Montparnasse. Il connaît admirablement la littérature française moderne et
re un an plus tard dans son n° du 5   1916. Pour des raisons que l’on connaîtra plus tard, elle est déclinée ; mais lorsque le ca
dernier lieu font preuve de plus de clairvoyance que les autres. Nous connaissons l’importance à tous points de vue de l’élément it
, inclinaient le génie latin devant la pensée allemande, les Français connaissaient à peine ce qui se publiait en Italie ou en Espagn
rière glorieuse. Or, l’affaire Donizetti est déjà ancienne, également connue dans le monde judiciaire et dans le monde dramati
us recréons les objets chaque fois que notre œil les regarde pour les connaître . Elle est donc relative à la psychologie de l’art
pures sont les lignes qui renferment les formes géométriques que nous connaissons  ; c’est-à-dire que 2 points dans l’espace sont le
lémentaires étant privé de rimes. Cette forme poétique est encore peu connue en France. Tome CXXI, numéro 456, 16 juin 191
ont, au demeurant, sur leur art des idées arrêtées et l’un d’eux, qui connaît les caractéristiques de tous ses films admis chez
t 1917, p. 702-706 [705]. M. Vittorio Pica, le critique italien bien connu , un des plus subtils des écrivains d’outre-monts,
tration. C’est des artistes dont il parle celui qui nous est le moins connu . Il nous présente en lui un visionnaire violent e
la collection Pembroke, — l’un des trente-trois Mantegna actuellement connus , nous apprend notre confrère Vauxcelles. Au temps
nnier de nous avoir aimablement accordé l’autorisation de faire ainsi connaître , autrement que par des extraits trop hâtivement c
; elle n’a ni père ni mère et est au couvent de San Martino. Je ne la connais pas et ne sais que te dire à ce sujet. MICHELAGNI
laquelle tu me parles de la fille de Carlo di Giovanni Strozzi. J’ai connu Giovanni Strozzi quand j’étais enfant ; c’était u
nt ; c’était un homme de bien, je n’ai rien d’autre à t’en dire. J’ai connu aussi Carlo. Je crois que ce pourrait être une bo
us. Au sujet de ton mariage, je ne peux rien te dire, parce que je ne connais aucun Florentin, et encore moins d’autres. Je sui
talogne, mais surtout en Provence. Le patois valdôtain n’est pas très connu , il n’a eu ni poète, ni prosateur célèbres. Ce n’
bligation imposée aux Valdôtains, qui ont toujours parlé français, de connaître désormais l’italien. L’émigration et la conscript
somme les gens qui interprétaient contre l’Église la pensée de Dante connaissaient fort mal cette pensée et encore moins la théologi
te phrase, je n’ai pu m’empêcher de me répéter à moi-même les vers si connus du 19e chant de l’Enfer, où Dante répond en ces t
. Il y a de grandes maisons de crédit qui ont demandé des économistes connus de véritables « consultations » sur les résultats
pris comme sous-secrétaire d’État à l’intérieur M. Valenzani, dont on connaît l’intimité avec le député de Dronero ? § Si beauc
mai 1915, elle représentait les théories neutralistes, et elle était connue pour ses excellentes relations avec M. Giolitti e
nemie. La manœuvre ne fut pas poursuivie pour des raisons que nous ne connaissons pas : sans doute insuffisance des effectifs, épui
er ultérieurement son enveloppement. Les troupes de la deuxième armée connaissaient depuis plusieurs jours la présence des divisions
e le front italien entre Plezzo et Tolmino. Ce qu’il est important de connaître (pour mieux peser les responsabilités), c’est la
lles des intransigeants, et celle des opportunistes. Dès que l’Avanti connut les premiers résultats de l’offensive austro-alle
rge de la diriger pour se trouver la seule coupable. Sans toujours en connaître exactement, elle a l’instinct obscur de sa situat
t de placer dans leurs armes les boules de Médicis.) 59. Michel-Ange connut Cavalieri, gentilhomme romain faisant de la sculp
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
devient sainte et libre. » La nature veut que nous allions du mieux connu au moins connu : si le littéral n’est pas entendu
et libre. » La nature veut que nous allions du mieux connu au moins connu  : si le littéral n’est pas entendu, l’allégorique
nt ainsi. XIV. — Certains fous prétendent que noble vient de noscere, connaître . En ce cas, les choses les plus connues seraient
que noble vient de noscere, connaître. En ce cas, les choses les plus connues seraient les plus nobles, l’aiguille de Saint-Pie
’un discours coordonné à faire sentir la singularité de l’ouvrage, Je connais mal les huit in-8 de Rossetti, mais son titre seu
e bien penser à l’extérieur. Un autre moyen de le pénétrer consiste à connaître les auteurs qu’il cite, Cicéron (le Songe de Scip
14 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
rées par les autres littératures, que régionales ou nationales. Je ne connais jusqu’ici que le schéma du roman Per il figlio vo
tit respect familier dans le menu peuple napolitain. Ils sont réputés connaître à l’avance les numéros qui sortiront à la loterie
a di Chiaia. La fête de Saint Janvier, avec le miracle bi-annuel, est connue . Il y a des fêtes de quartiers, dont la plus bell
il. Il sait bien, lui, ce que désire le signor ! bella ragazza… Il en connaît , lui, ah ! il connaît une ragazza, une jeune fill
ce que désire le signor ! bella ragazza… Il en connaît, lui, ah ! il connaît une ragazza, une jeune fille jolie comme les ange
avé de son bâton. Il porte le bras droit dans une brassière noire… Il connaît les longues attentes immobiles. Il guette. Il tir
ettes. Il y a cinquante ans qu’il fait la place Saint-Ferdinand. Il a connu le temps des Bourbons. Il a vu construire la Gale
l’auteur des Essais, et par le culte qu’elle voua à Montaigne, on ne connaît guère les œuvres personnelles de la fille d’allia
XIX, numéro 328, 16 février 1911, p. 856-861 [861]. […] Le jour où on connaîtra Josquin, Palestrina, qui eut la chance d’avoir un
e soldat réduit à l’inaction par des blessures cruelles, comment j’ai connu Giorgio Barbarelli et pourquoi je l’ai aimé.   C’
es couleurs. Il a su trouver, dans des cavernes dont les génies seuls connaissent les routes, les usines où les esprits créateurs c
ne pouvons pas le faire descendre une troisième fois. Carlo, toi qui connais le quartier, va acheter le pain, les œufs, et tou
e pendant quelques instants, ce qu’il fit volontiers, car il désirait connaître l’auteur du coffret et du guerrier au manteau ver
une des rares certitudes qui l’affranchissent à ses yeux, c’est de se connaître éphémère. Mais il est aussi le disciple de M. Mau
En rapprochant le texte des Mémoires de Casanova d’autres documents connus , historiquement classés, M. Édouard Maynial, dans
exte exempt de toute tache et de toute fantaisie. Ce que nous voulons connaître , ce qu’il nous faut consulter, ce ne sont pas les
ourd’hui à la Troisième Campagne d’Italie, celle de 1805-06, la moins connue , la plus oubliée, parce que les événements dont e
doctrines officielles ou sur le point de le devenir. C’est l’ouvrage connu de feu César Lombroso : Hypnotisme et Spiritisme.
, que les enfants surpassent parfois les femmes, en beauté ! — Titian connaît -il ce tableau ? — Pas encore… — À propos… Il hési
-là ! Je rapportai ces phrases à Giorgio. — Sois heureux, ton nom est connu dans Venise… — On m’a écrit des lettres et envoyé
possible d’imprimer une telle majesté à la maquette d’Andréa. — Tu ne connais pas l’âme du bronze ! — Nul architecte ne rivalis
ssez comique. La voici telle que Barbarelli me la conta :   — Vous ne connaissez pas Nina, Seigneur ?… Évidemment non !… C’est une
rtir les chairs des déesses nues. * À cette époque de sa vie, Giorgio connut véritablement le bonheur. On le regardait comme l
s que tu prises chez une femme, compléta Ridolfi… — Nous te la ferons connaître , promit Antonio. — Volontiers…   Antonio Veradrin
ppelait cette femme la Maurina à cause de sa chair brune et on ne lui connaissait pas d’autre nom. Elle ne se coiffait pas à la vén
au Duc seul. On les a choisies, en raison des détails nouveaux ou peu connus qu’elles donnent, dans la volumineuse corresponda
mystérieux, si l’on peut dire, comportent toujours quelque fait très connu , quelque point de départ positif. Dans le cas du
Procès de Foucquet » et « la Conspiration du chevalier de Rohan » (ou connaît la connivence de celui-ci avec les Hollandais, lo
de communications secrètes, où l’on voit, d’une part, Bismarck faire connaître certaines vues à Victor-Emmanuel, en ce qui conce
tion, Ridolfi répondit par une plaisanterie : — D’épouvantable, je ne connais que la peste et elle ne s’attaque pas aux peintre
de Ridolfi… Nous étions gais, pleins de santé et de joie !… Vous avez connu la Maurina vivante. Je ne vous parlerai donc pas
elle : faire l’amour, et des promenades en gondole, la nuit. * — Vous connaissez , maintenant, Seigneur, la créature dont j’étais é
et je courais dans ses bras ! Jamais elle ne manifestait le désir de connaître mes peintures. Un soir, comme nous nous promenion
aussi bien que le corps ! Je ne lui avais pas dit qui j’aimais. Il ne connaissait pas la Maurina. Je lui appris qui elle était et l
e San Silvestro… et, avant de rentrer, je reprenais les vêtements que connaissait la Maurina… — Je l’avais oublié, reprit Morto. Po
ndes œuvres consacrées ; elle divulgue aussi la beauté d’œuvres moins connues , mais souvent aussi intéressantes que les plus cé
d’un néoromantisme, qui se souvient de Baudelaire, qui n’est pas sans connaître les « poèmes obscènes » de Verlaine, et qui rempl
iolence et la vulgarité, de détruire toutes les valeurs sentimentales connues , sans toutefois les « transmuer », sans toutefois
mais toute une conception lyrique de sentiment et d’expression, déjà connue et classée. L’originalité de la vision même en es
r mémoire ; et les trois femmes qui sont évoquées dans les Idylles ne connaissent pas davantage la douceur des songes paisibles ; e
de Charles VI. Je ne parle pas des faits historiques brutaux et bien connus , guerre civile et guerre étrangère, mais de la di
ge. La croyance à la sorcellerie s’exaspéra. S’il est un temps qui en connut les transes, c’est celui-ci. Ce que l’on a gardé
aron Carra de Vaux sur Léonard de Vinci ; on y trouvera l’essentiel à connaître sur la multiple activité artistique, scientifique
à la Haye, à Saint-Pétersbourg et deux fois à Berlin ; en outre, il a connu personnellement le chancelier allemand et trois d
mplifier par leurs procédés habituels. Gabriele d’Annunzio les a-t-il connus  ? Oui, en partie, mais après avoir conçu sa pièce
arce qu’il sait, c’est parce qu’il est érudit comme le fut Dante, qui connut toutes les « Sommes » de son temps, que M. d’Annu
ure, les cycles des cieux. ………………………………………… — On peut tout prédire et connaître par les tables des mouvements, par la combinaison
e glorifie, avec le brandon de Sodome. » Et le Déchu qui par la faute connaissait la douceur des seins pâles, me marqua de son sein
t quasiment littérale. » Maurice Maeterlinck n’était pas encore très connu en 1894. C’est peut-être pour cette raison que Ga
, qui remporta l’an passé le prix Nobel de littérature, est assez peu connu en France, mais le grand public n’ignorait du moi
es Leonello, des Borso, des Ercole I, des Alfonso I et II que Ferrare connut les heures de triomphe, de puissance et de gloire
n certain âge qui désirent servir l’association, soit, en lui faisant connaître les opérations à faire, soit en lui procurant les
terranéenne : Fiamma, de MM. F. Pastonchi et G. Antona-Traversi On connaît les conditions générales du théâtre italien conte
ée générale de la tragédie rappelle ainsi une œuvre très noble et mal connue de M. E. A. Butti, où un gentilhomme vit dans un
rand maître vénitien contient la reproduction de toutes ses peintures connues  ; c’est donc un recueil extrêmement précieux. Ici
e et un heureux choix d’illustrations contribue à nous le faire mieux connaître . E. Bertaux : Donatello (254 p. in-16, 24 grav
ettis à des obligations et bénéficient de privilèges qu’il importe de connaître . Les obligations portent à la fois sur les biens
reçurent encore la dignité équestre. Quant à leur salaire, nous ne le connaissons guère dans l’ensemble. Nous savons seulement que
suis contente de la trouver pas trop grande, elle sera plus facile à connaître . Deux jours plus tard, elle commence à aimer Rom
nombre de points obscurs ou controversés. Mais M. de La Laurencie ne connaît pas seulement l’existence et les productions de L
sses en Italie, est, à la fois, dit-il, le plus singulier et le moins connu des ouvrages de Landor. Il ne figure pas dans les
qu’il continue à découvrir dans la littérature anglaise des fragments connus ou inconnus ayant l’intérêt et la valeur de celui
resplendir comme un cuivre tout neuf le S. Jean-Baptiste que j’avais connu tout noir. Quel que soit, en dehors de la curiosi
outre les noms de ces artistes médiocres, il se croit obligé de faire connaître la page des plates histoires qui en parlent. Par
x, vingt et que toutes ces pattes ont un mouvement triangulaire. Nous connaissons Bella Sguardo, c’est même la joie de nos salons q
xtrêmes entre les heures de garde et celles de nuit. Conserver, c’est connaître la restauration, ses recettes ; c’est surveiller
propos de lui. On en parlé, lorsque, ce qui est très fréquent, on ne connaît point Ruskin, qui fut ensemble un vulgarisateur p
u surplus, on parle de Ruskin, à propos de Angelo Conti, lorsqu’on ne connaît point l’œuvre lent, laborieux, mais profondément
sobre ; la forme d’une limpidité que la poésie italienne n’avait plus connue après l’épanouissement lyrique de Gabriel d’Annun
après M. Malaguzzi Valéri, le mystérieux peintre milanais dont on ne connaît jusqu’ici aucune œuvre certaine. M. J. Mesnil pré
celui-ci doit attendre la décadence italienne du siècle suivant pour connaître , avec les Terborch, les Vermeer de Delft, les Pie
de la langue française, 2e éd., t. I, p. 33. 52. Voyez l’étude bien connue de M. Paul Meyer sur l’Expansion de la langue fra
15 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
t à la période où l’art grec approche de son apogée. Cette tête, bien connue des archéologues (Furtwængler l’a signalée comme
ingente et passagère. Rien de ce qui constitue l’État tel que nous le connaissons aujourd’hui, l’État-caserne, n’existait en Italie
(au xve  siècle nul n’eût osé ambitionner le titre de prince) devait connaître à fond les hommes, savoir tous les moyens de se l
genre d’émulation supérieur à celui qu’on observe de coutume. On n’y connaissait guère le luxe de mauvais goût des parvenus qui en
s furtifs par des portes entrebâillées dans la maison des riches pour connaître leurs fêtes. Les spectacles les plus magnifiques
rdre économique ou moral entre deux parties de la population que nous connaissons aujourd’hui. À présent, la situation est, à des n
osse, mécaniquement, d’après des modèles dessinés par des gens qui ne connaissent rien à la fabrication, pour un public qui désire
étaient reléguées au second plan et il nous est difficile de les bien connaître et d’estimer la part d’influence qu’elles ont eue
nt au milieu d’elle l’exilé d’un jardin de délices mortes. Il veut la connaître , il l’observe, il sent que ses mystères vont s’éc
t dans toute la pureté de sa forme le corps nu qu’ils désiraient tant connaître et qu’ils avaient si peu d’occasions d’étudier. I
neveu de Véronèse. Décorateur infatigable, Tiepolo reste pourtant mal connu à Paris, et là encore une lacune serait à combler
r judicieusement Ruskin et son œuvre, au moment où l’on commence à le connaître en France, car on ne s’est guère occupé de lui qu
Club, fondée en vue de la publication d’œuvres d’art inédites ou peu connues , conservées principalement en Angleterre4. L’albu
ie dangereuse de son ingratitude et de ses ignorances, en lui faisant connaître la France d’aujourd’hui dans sa variété laborieus
ccelli16. Les uns et les autres eussent certes beaucoup gagné à mieux connaître la science française ; presque tous ceux qui ont
y, Mmes Cousturier, Marval, Brémond, Delvolvé, Druon, pour leur faire connaître les œuvres vigoureuses des Seyssaud et des Bouche
iétés de propagation on élargira son terrain d’enquête littéraire, on connaîtra une vie plus complexe, seule fortifiante, seule b
II, numéro 284, 16 avril 1909, p. 712-720 [718]. Tout le monde lettré connaît M. F.-T. Marinetti, et a pris plaisir à rencontre
liens, qui généralement, par nécessité littéraire indéniable, doivent connaître la langue française, qu’aux Français et aux litté
seur, et par conséquent bien plus général qu’on ne le croit. Tel, qui connaît quelques titres immortels de livres dont le charm
et combien l’œuvre évoquée par ce nom est mal, pour ne pas dire peu, connue , en France autant qu’en Italie… Mais M. Ferrière
e Rome est la création de ces hommes de génie qui nous apprirent à la connaître et à l’aimer : ce sont eux qui ont vraiment retro
e l’œil saisit sans peine et tout d’abord ; en un quart d’heure on le connaissait , et il inspirait la confiance sinon l’admiration.
 parisienne ! » — et puis quelque peu hardie… et sommaire. Je pensais connaître , moi aussi, la psychologie des trois héros du rom
mer, cette autre incarnation de Pagello. « Tout de même George Sand a connu Pagello de beaucoup plus près que l’honorable con
utume d’envelopper la lassitude de ses amours. Je lui avais déjà fait connaître que j’avais sondé profondément son cœur plein de
Alfred qu’il avait béni leurs premiers baisers. Ceux-là qui l’avaient connu lui rendaient pleine justice, — et lui, dans une
e s’étonnait encore un peu. Mais survinrent ceux qui ne l’avaient pas connu , les collecteurs de documents, les chroniqueurs s
n de Rome au Moyen-Âge (751-1252), Champion, 7 fr. La période, peu connue , durant laquelle M. Louis Halphen a étudié l’admi
tiriques auxquelles n’échappa pas même Goldoni. En Angleterre, il est connu comme l’auteur de charmantes relations de voyage
er un compte exact de ce qui s’y passait en son absence, d’en vouloir connaître au jour le jour les grandes et les petites nouvel
te. Elle voudrait bien m’emmener avec elle, car la comtesse désire me connaître . Ah ! il vaut mieux pour moi n’être pas connu. Je
comtesse désire me connaître. Ah ! il vaut mieux pour moi n’être pas connu . Je fais rire tout le monde, sauf ceux de chez mo
n peut trouver ailleurs de meilleure. Rien de plus naturel et vous ne connaissez pas le séjour idéal pour la saison caniculaire. C
at et à Monsieur Fabrizio, et cela bien que je ne l’aie jamais vue ni connue . Car c’est moi qui raccommode les pots cassés dan
étaire au Musée d’art industriel de Prague, elle est, en réalité, peu connue . On accueillera donc avec joie la publication que
ttre en état de vertu on risquerait souvent les plus bas enfers. Nous connaissons tous Petruccio et nous avons tous dans le cœur un
s toutes les hôtelleries. Déjà, aux choux-fleurs, qui n’avaient guère connu la fleur, et dont les côtes saillaient sous une s
maître des maîtres de la guerre. En fait d’Italiens à Waterloo, on ne connaît guère que le jeune Fabrice del Dongo que la fanta
e multipliaient de leur côté, sur les grands boulevards. Tout élégant connaît aujourd’hui les moteurs italiens, la cuisine ital
Annunzio, qui est sans contredit un très grand poète, n’est nullement connu comme tel en France. Le théâtre non plus n’a pas
e représentation large et puissante de l’âme italienne. Ces écrivains connaissent assez bien leur métier de conteurs. Mais il exist
étier de conteurs. Mais il existe en Italie de nombreux écrivains qui connaissent admirablement leur métier de conteurs. C’est la g
ute être fière. Luciano Zuccoli : Farfui Le public français ne connaît M. Luciano Zuccoli que par les chroniques qu’il s
l’œuvre d’antres conteurs, d’autres romanciers italiens, ne soit pas connue dans un pays où quelques maisons d’éditions s’ach
e. On s’arrache les élucubrations séniles de M. Fogazzaro, mais on ne connaît pas la prose étonnante, en tous points admirable,
et, passionnel et moral, de toute une race, la ligurienne, dont on ne connaît que l’indomptable activité séculaire. E. A. Ma
aire une encyclopédie aussi complète que possible de tout ce que nous connaissons sur l’art ancien. Urbain Mengin : Benozzo Gozz
l’heure actuelle, l’un des écrivains qui peuvent le mieux nous faire connaître cette vie si pou connue et souvent épique des Rép
écrivains qui peuvent le mieux nous faire connaître cette vie si pou connue et souvent épique des Républiques italiennes du M
nt j’ajoute celui-ci, qui a le mérite d’être tout frais et encore peu connu . Dans ses Souvenirs, publiés tout dernièrement pa
16 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
 : Poemi Conviviali, Bologne, Zanichelli Un autre grand Poète, peu connu à l’étranger comme Carducci, et comme M. d’Annunz
tranger, publie une réponse de M. G. Papini à un positiviste des plus connus d’Outre-Mont, M. E. Régalia. M. Papini fait l’exp
du drame. Et tandis que les chœurs obéissent à leur fatalité sans la connaître , les protagonistes forment comme un petit monde à
s ma main. Pourtant Mila est triste. Cette créature de débauche, qui connaît toutes les hideurs des violents qui l’ont eue, se
ient lumière et joie, devient la beauté qu’elle, la femme de tous, ne connaît pas. Elle dit à la Madone : Toutes les veines de
ombien plus mal ! et répond à ses supplications : La fille de Jorio connaît ses chemins ; et son âme s’était déjà acheminée a
enfant. Maintenant elle accomplit le geste de pitié que le Christ ne connut point. Le chœur des femmes chrétiennes était féro
ourra rien me dire, et, s’il me parle, je le laisserai chanter. Je le connais bien, cet homme-là ! Quand j’étais enfant, il m’e
nges. Zio Félix avait une confiance illimitée dans les berbos : il en connaissait un nombre infini, et il avait la réputation de ré
te-cinq lire un étudiant à Naples vit en monsieur. Là, personne ne te connaît , tu vas, tu dépenses ce que tu veux, tu vis modes
agne qu’on trouve de l’argent. Mais laissons cela. Pera m’a dit qu’il connaît une personne, un bandit, qui certainement me rend
t tendre des choses simples, des gens simples, de la terra patrum. Il connaît et il veut le culte campagnard des outils du labe
ellent tempérament de poète. Cela est d’autant plus appréciable qu’on connaît le dévouement de Mme Pascoli ; l’on aimait l’harm
e Flambeau sous le boisseau (La Fiaccola sotto il maggio) il vient de connaître un insuccès théâtral en même temps qu’un grand su
utes les vies qui l’entourent dans un nœud qu’elle tient dans sa main connue les Érynnies tenaient les serpents qu’elles agita
nt du poète s’affirma dans toute sa bonne rudesse, dans son besoin de connaître le sens caché des choses et des actes, la philoso
pe d’apôtre des temps modernes, tour à tour exalté et méconnu, et mal connu presque toujours, vient d’imposer sa silhouette a
la victoire, puisèrent leur force dans la Giovane Italia. Garibaldi y connut la mission de sa vie, et, par la voix prophétique
révolution qui aboutit à la réalisation d’une « Patrie italienne » ne connut presque pas la joie d’avoir une patrie, et vécut
perbe qui, dans l’histoire italienne, n’a d’égale que celle Dante, ne connut point de déboires. Comme pour Manfred, de Byron,
ciateur et le Messie de l’Italie renouvelée. Son œuvre énorme est peu connue , mais en lui les Italiens pourront toujours puise
spontanéité si sûre et si vigoureuse qu’ils nous donnent le désir de connaître plus entièrement, pour la mieux apprécier, l’œuvr
n recueil définitif des travaux de Giovanni Camerana, pour pouvoir le connaître et savoir si l’appellatif de grand poète que ses
te dernière catégorie. M. Antonio Beltramelli, que le public français connaît déjà, écrit ses nouvelles, en montrant les plus b
fatal », l’autre l’événement fatidique. Pour mieux marquer ce rapport connu , M. Ferrero a usé d’une méthode nouvelle. Il a ét
notes sur les œuvres qui subsistent, les artistes dont les noms sont connus ou mentionnés et qu’il est possible de comprendre
latins du siècle d’Auguste, d’Ovide, entre autres, dont tout le monde connaît les Amours et les Tristes. Lamartine, en choisiss
pour une revue qu’il rêvait de publier à Paris avec Joubert, Fontanes connaissait Young aussi bien qu’Ossian dont il rapporta en Fr
il composa son ode fameuse sur l’Homme (septembre 1819), Lamartine ne connaissait pas encore lord Byron — car ce n’était pas le con
amartine ne connaissait pas encore lord Byron — car ce n’était pas le connaître que d’avoir simplement lu Manfred. Il ne commença
ait avoir l’étoffe d’un homme d’action, — et la suite montra qu’il se connaissait assez bien de ce côté — il craignait que ses poés
ilde Serao, publie un article de M. Alberto Lumbroso, l’écrivain bien connu , à propos de la récente Histoire de l’affaire Dre
te toute la sincérité de sa poésie, dans ces évocations de l’histoire connue , dans celles de la nature vue ou rêvée. C’est cet
une strophe, où la nature parle : Ce n’est pas vous, ô mortels, qui connaissez la joie infinie de ce qui passe pour suavement fa
e : Elvire et Azor. Lamartine l’avait-il lue ? C’est possible, car il connaissait son dix-huitième siècle sur le bout du doigt, mai
Pétrarque en langue italienne appartient à M. Émile Ollivier, dont on connaît le culte pour Lamartine. Il lui a été légué avec
17 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
anciens manuscrits de Tacite (au commencement du xve  siècle on n’en connaissait aucun, et ceux que l’on connut étaient d’une écri
mmencement du xve  siècle on n’en connaissait aucun, et ceux que l’on connut étaient d’une écriture contemporaine), il y des d
emier à avoir eu en main un manuscrit d’Ammien Marcelin ; Tacite, qui connaissait certainement le golfe de Jaïes, n’aurait pas comm
dernier livre d’un humoriste très distingué et depuis longtemps bien connu en France. L’idée seule de ce Don Chisciottino, c
lle en Italie, mais les Barbares tiennent une grande place ; les plus connus sont : D’Annunzio, Marradi, Ferrari, Olindo Guerr
18 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
la moyenne des journalistes. Mais les personnes qui ont le bonheur de connaître l’italien à fond éprouvent en plus un véritable p
r. Moi qui ai passé en Belgique les premiers mois de la guerre et qui connais le peuple belge, je puis certifier que tout ce qu
Étant incapable de pénétrer ce qui se passe dans l’âme d’autrui il ne connaît pas sa propre âme et refuse aux autres les vertus
onsidérable dans la lutte même. Qui ne lit que des récits du front ne connaît que des épisodes du conflit. Nos journaux, qui di
a propagande systématique des Allemands avaient contribué à créer. On connaît les procès qui furent l’épilogue du voyage en All
de ses intérêts ; elle ne s’est laissé influencer par personne, elle connaît le monde, elle est majeure. Elle prend l’attitude
que non seulement par les journaux avancés, mais même par des organes connus pour leurs tendances conservatrices comme le Marz
rzini2. Parmi les nombreux récits de guerre publiés jusqu’ici je n’en connais aucun qui approche par la puissance d’évocation,
s sur l’activité déployée par les Allemands aux États-Unis pour faire connaître et apprécier leur culture, opposée à l’inertie de
evé du leur les œuvres italiennes de Puccini et de Leoncavallo. Je ne connais pas cet individu, mais il ne peut avoir qu’une âm
l’amplification la plus enflée, la plus vide, la plus insipide que je connaisse , à Guglielmo Ferrero, qui, dans le Secolo, s’en p
chez eux ou se casent en quelque poste sans danger, un type que nous connaissons aussi et dont j’ai mentionné à plusieurs reprises
e l’Europe sont en campagne, engagés dans la plus grande lutte qu’ait connue l’histoire de la civilisation humaine et l’on ne
pe, assiégés par la barbarie la plus atroce que l’Histoire ait jamais connue , la barbarie teutonne. Et il n’est pas besoin de
e les auteurs de la plus horrible, vile, basse félonie de peuples que connaisse l’Histoire, et ce ne sera que raison que leurs ac
19 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
ne âme ingénue comme celle d’un enfant, — mais d’un enfant qui aurait connu l’ardeur de la vie et la douceur du rêve. » — C’e
ouplesse, une beauté nerveuse qui ajoute à sa puissance, et, si on ne connaissait l’intangible probité de l’interprétateur, on sera
ntiquité à la rescousse. S’il partagea leur succès et, de son vivant, connut comme eux la gloire locale, il fut le plus attaqu
euses traditions romaines ; c’est par elle que l’antiquité nous a été connue . Mais elle n’est pas notre sœur, le langage excep
ous offre l’affiche la plus abondante et la plus variée qu’ait jamais connue notre invraisemblable patience ou indolence paris
hyte un enthousiasme plutôt tiède. Mais, de plus, jusqu’au jour où il connut Calzabigi, Gluck n’avait fait que de la musique i
t je dois parler est Antonio Beltramelli, un esprit sauvage, que j’ai connu à Rome il y a trois ans. Il a abandonné Rome depu
abandonné Rome depuis quelque temps pour revenir à sa Romagne, qu’il connaît intas et incate, et il publie d’un coup un roman,
lles est inspiré, au contraire, de cette sentimentalité brusque qu’on connaît chez les fils de la forte Romagne ; et les deux l
secret des vrais poètes et qui échappe malheureusement à ceux qui ne connaissent pas profondément la langue dont le poète se sert.
de partie des collections commencées en 1471 par Sixte IV et que nous connaissons sous le nom de Musée du Capitole ne fut bâti qu’a
livre qui restera précieux à consulter pour la période encore si mal connue du Moyen-âge romain, et nous ne relèverons que qu
— Oui, à pied… — Ousque vous allez donc ? — J’allais-t’ici. — Vous y connaissez qué-qu’un ? — Ça s’peut ben. … Il mangeait lentem
souvenir, la mère se réveilla et en elle surgit l’impérieux besoin de connaître son fils, qu’elle sait vivant et qu’elle n’a pas
le point de vue. M. Lebey, réunissant et rapprochant tous les textes connus , conclut au doute. La trahison, dans les idées de
rance… ». M. Lebey a déroulé dans tous ses détails, dont certains peu connus , ou même inconnus, ou mal présentés jusqu’ici, — 
e, les plus belles et les plus fécondes années de la vie humaine ? Je connais par mon expérience personnelle, par toutes les co
bassement émotive que le vulgaire larmoyant résume ainsi : « L’auteur connaît le cœur humain. » Dans l’élan terrible de son org
ni, par G. Desnoiresterres, un livre documenté, impartial et trop peu connu . 3. Histoire du pape Innocent III et de ses con
20 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
de ses murailles qui ont vu des sièges et des batailles innombrables. Connu sous le nom de château ou tour de Crescentius jus
ts plus propres à tenter que d’autres les estomacs indélicats dont on connaît la multitude, il y aurait pourtant moyen souvent
l à travers Napoléon, mais lui a dédié des pages que l’historien doit connaître . Toutefois, nous pardonnera-t-on le vœu que bient
nrichie d’un grand nombre d’illustrations : qui voudra désormais bien connaître Carpaccio devra se référer à cet ouvrage. Rap
r M. Iginio Cocchi, a une importance littéraire aussi très grande. On connaît les travaux de M. Comparetti, dans la traduction
’à Canova, la sculpture italienne est riche et Lord Balcarres, qui la connaît admirablement, la classe, la commente, en expose
numéro 308, 16 avril 1910, p. 634-651 [640-643, 647-648]. […] Nous ne connaissons pas de formes supérieures à la nôtre ; et notre e
, il a celui de ses ailes : étranger à la vie organique, sa bouche ne connaît que le sourire et la parole, il n’a pas d’âge, et
ourg et en générai de l’Île-de-France. Nos sculpteurs du Moyen-Âge ne connaissaient ni la théorie de l’androgyne, ni le canon de Poly
n seraient capables. Il n’y a guère de gens qui puissent se vanter de connaître l’œuvre complet de Gluck en ses moindres détails
ux musiciens assez célèbres dans leur pays pour que nous les dussions connaître . À vrai dire, nous connaissions déjà Don Perosi,
ans leur pays pour que nous les dussions connaître. À vrai dire, nous connaissions déjà Don Perosi, lequel fut découvert il y a douz
s misère encore qu’en Italie. Non, tu n’as pas idée de ce que nous en connaissons , c’est impossible de froide tristesse et de dégoû
ment. J’étouffai pourtant les battements redoublés [de mon cœur] pour connaître entièrement Mlle Marchioni33. 6 septembre. Toute
et d’ennuis. Ennui, Misère au-dessus de toutes les misères, je ne te connais pas. Hier, tu aurais été contente. Mars était Rei
la délicieuse nature morte les Gantelets, de Jacopo de Barbarj, bien connue des visiteurs de cette galerie, le Portrait de fe
été dont le but si louable est, comme nous l’avons déjà dit, de faire connaître , par de belles reproductions, les chefs-d’œuvre d
même alors que nous nous apercevons que la pensée exprimée nous était connue et qu’elle ne sort pas de la manière d’être, de s
cation nocturne qui finit sur cette phrase : « C’était comme une nuit connue , qui revenait dans le cycle des années, de très t
dain. Le héros latin avait accepté l’offrande de la jeune fille qu’il connaissait à peine, comme une offrande pour la destinée, com
que cette mention peut signifier. J’ignore le futurisme et même je ne connais aucun futuriste. J’ai lu la préface de l’auteur d
nal clair de lune d’hôtel meublé », mais une école chasse l’autre. Je connais en France certains naturistes qui furent aussi ha
 160-165 [160-163]. Quel artiste charmant que ce Pietro Longhi si mal connu en France ! Ce n’est guère qu’à Venise même, au m
e flatteries et de compliments, de séductions et de madrigaux ; il en connaît les caractéristiques, les usages, les qualités, l
près, l’appréciation de M. Aldo Ravà. Avec de pareils sujets, Longhi connut vite la faveur du public. Il eut pour ami Goldoni
’il n’y avait de véritable amour exaspéré. Le pays ensoleillé, qui ne connut jamais son indépendance, et fut tour à tour fécon
t des campaniles, Tombaient les angélus tendres et pénétrants. J’ai connu la Cité des Fleurs, l’auguste Dôme, Le fleuve aux
e de sa vie intérieure. En tout cas, jamais comme aujourd’hui elle ne connut des admirateurs aussi fanatiques, aussi délirants
de toute sa génération. Et chacun sera d’accord avec lui pour désirer connaître cette merveille où la vie est décuplée en face de
1. On sait combien sont rares les œuvres de la Renaissance : l’on ne connaissait jusqu’ici, de cette époque, que la célèbre Tête d
l’Epoca Napoleonica (Roma, 1902, t. VI-VII, Fratelli Bocca),les moins connus Stendhaliana, réimprimés p. 437-472 de Attraverso
21 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
i la suavité du rythme certain des nombres, car, seuls, les Grecs ont connu toute la Beauté ; trois jeunes filles, sœurs de l
lque bruit s’est fait autour de son nom. Des curieux d’art veulent le connaître . Le maître Rodin offre spontanément l’échange de
nt d’autres coins inexplorés. Il faut se concentrer, méditer, se bien connaître , prévenir les influences, garder son allure et se
ère série fut Odilon Redon, H. de Groux, Goya, Félicien Rops. M. Pica connaît l’art d’aujourd’hui mieux que personne, mais n’y
r ou impair ou à quelque jeu innocent comme tous les jeux. M. Zùccoli connaît la littérature française actuelle et souvent le l
sychologique, ces trois tons adroitement emmêlés par un romancier qui connaît son métier, écrit proprement d’un style calme, ap
tice de M. Pica, il n’y a, au contraire, aucune objection à faire. Il connaît Verlaine, l’aime et le juge comme il faut. Ces pa
remercier M. Brunetière d’avoir cru nécessaire d’user, pour la faire connaître , de cet amalgame exotique, d’ailleurs chef-d’œuvr
22 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
révélation d’un moyen-âge bien inattendu, — mais d’ailleurs amplement connu de tous les érudits moyenâgistes. La Fata e l
e de laborieuses indications de sources, le reste était partiellement connu par d’autres biographies et notamment par une trè
uligneront ces observations : L’acte à Venise étant supprimé, nous ne connaissons pas Desdémone, si bellement sculptée en le noble
igue vite et tend à baisser. Le rôle est d’ailleurs écrasant et je ne connais qu’un Tamagno capable de le remplir. Madame Rose
0, décembre 1894, p. 382-383 [383]. […] Un des écrivains italiens qui connaissent le mieux la littérature française dans ses derniè
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
exposer une vérité avouée par M. Souflot et par tous les artistes qui connaissent Rome et le genre d’étude que les architectes y do
la satisfaction de savoir son fils à l’Académie, lui donnera lieu de connaître le plaisir que vous prenez à lui faire du bien. J
« Cet Italien était d’une salacité qui surpassait tout ce que l’on a connu en France dans ce genre. » Le mot salacité, qui é
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
âche délicate. Il rappelle en son livre non seulement tout ce qui est connu de la vie des premiers Vénitiens, mais encore il
is c’est surtout comme dessinateur que l’artiste nous est aujourd’hui connu  ; ses deux cahiers de dessins, celui du British M
ieux Antonio da Negroponte, dont on ignore toute la vie et dont on ne connaît qu’une œuvre, mais d’une exquise beauté, la Madon
es plans dans des œuvres comme sa Sainte-Claire. Sa première peinture connue est la Madone de Montefiorentino ; celle de la ga
25 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ont quatre. Il y a toute une littérature de Valcarenghi ; personne ne connaît son public ; et toutefois il ne manque ni de tale
Salvezza La Salvezza, roman, par Guglielmo Anastasi. — Si je me connaissais en fait de femme, j’aurais probablement des obser
e musiciens, d’imprésarios, de critiques, de journalistes, qu’il doit connaître à ravir ; il nous semble revoir et entendre bon n
la détruit encore ; on le dépasse, on l’abandonne, on l’oublie. Il ne connaît que ces préoccupations et ces surménages ; l’amou
i bon, si je peux me réjouir d’avoir enfin rencontré un romancier qui connaît toutes les ressources de son art, et qui, à mon a
enfants au xixe  siècle, par M. Legouvé. L’œuvre est (ou a été) trop connue en France pour que je puisse m’y arrêter : la tra
Sera ; Quo vadis illustré, Quo vadis commenté, Quo vadis discuté… Je connais des personnes incapables de faire du mal à une mo
e. Lombroso est certainement l’un des hommes les plus universellement connus qui soient aujourd’hui : aux yeux du commun des l
ans préciser, ne dit absolument rien. Voilà Lombroso médecin. Veut-on connaître Lombroso expérimentateur ? — Il prétend avoir con
ence humain. — Est-ce toi, Stazia ? reprit Orphée. — Et mon nom ne le connais -tu pas ? demanda Stérope, en se dressant hors du
nter ? Vos continuelles orgies ont rendu vos voix rauques, et vous ne connaissez rien autre qu’une licence effrénée. Osez-vous esp
absolue dans son peuple, comme si ce peuple était un personnage bien connu , toujours le même, indissoluble, sans multiplicit
occuper de politique, n’avait aucune idée de cet anarchiste ; tous le connaissaient , la Belgique, la Suisse, les États-Unis, la Holla
étrables. Las enfin, le voilà qui regarde moins haut, — et son œil ne connaît plus la courbature, l’éblouissement : il s’est to
ce cette figure qu’on avait quelque peu travestie. Saint-Non n’eût dû connaître Fragonard, car le temps prévu de son séjour venai
. 551-556. E. A. Butti : La Corsa al Piacere E. A. Butti, qu’on connaît en France par ses romans (l’Automate, traduit par
ment jailli sur le fond mystique que tous les amis de E. A. Butti lui connaissaient , peut avoir cependant ce résultat de le faire dev
, une de ces vieilles âmes douces et confiantes, que l’on croit avoir connues et qu’on n’oublie jamais ; elle appartient à un m
ttention du monde sur cette Italie dont parlent si mal ceux qui ne la connaissent qu’à travers les romans… russes ou les articles d
la révélation d’un poète. Giovanni Pascoli, que les savants étrangers connaissent bien, car il est seul, depuis bon nombre d’années
e nous serons tentés de nous adresser désormais, en France même, pour connaître à fond notre compatriote. Sa critique est complèt
nuscules figures, dont l’une est celle de S. Bernard, chargé de faire connaître au poète les principaux de ces personnages. 32.
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
hement, en affirmant que, lorsqu’il écrivit son hymne, en 1863, il ne connaissait pas encore Baudelaire. L’esprit des deux poètes e
pour s’affirmer surtout antichrétienne. Aujourd’hui nous commençons à connaître le sens véritable de ce que deux ou trois générat
le, dont le premier pôle est incontestablement le grand et encore mal connu Mazzini. Pendant longtemps encore toutes les forc
de bravoure… Les sujets des Mai sont héroïques ou religieux. On n’en connaît qu’un seul qui soit emprunté à l’histoire moderne
. Adolphe Lacuzon. L’Exil de M. Paolo Buzzi est un roman-poème. Nous connaissons en France quelques talents d’élite, aussi, parmi
ter un drame psychopathologique et M. V. Morello, un journaliste plus connu sous le pseudonyme de Rastignac, a fait représent
27 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
Poictevin ou de Huysmans et même de France et de Barrès. C’est qu’il connaît notre littérature, oui, mieux que nous-mêmes. Il
l 1899, p. 241-247 [241-244]. Il y a six mois personne, en France, ne connaissait don Lorenzo Perosi, et, révélé aux Parisiens dans
ins arbitraire qu’elle peut sembler tout d’abord. C’est en effet sans connaître une seule note de son œuvre, sans avoir compulsé
e un jeune maître. Ce livre est sans doute remarquable, et son auteur connaît bien toutes les ruses et toutes les finesses de l
ive  siècle découverte et déblayée sur le Cælius par le P. Germano et connue sous le nom de Maison des Martyrs […]. Art anc
ement, dont l’étude patiente fait découvrir, sous les génies que l’on connaît , d’autres créateurs, — tandis que ceux-là même qu
ues ne sont pas trop favorables au poète. Comme homme politique on ne connaît de lui que son discours électoral : une oraison p
imitation et, phénomène qui n’est même plus surprenant, puisqu’il est connu et nécessaire, des poètes verlainiens fêtés et va
oberto prend pour le programme d’un drame populaire. Il faut bien peu connaître Mallarmé pour ne pas y voir, au contraire, le pro
ue mission secrète. Sa « légende » constitue, avec les anecdotes bien connues qui l’entourent, une des vies les plus brillantes
ions éthérées des soleils couchants d’Italie ; c’était celui que l’on connut plus tard sous le nom de Pérugin. Verrocchio étai
ler l’effet du mystère subtil et gracieux qui plane sur l’œuvre. Nous connaissons tous le visage et les mains de cette femme, assis
illustre, et l’évêque grec, l’Odyssée à la main, dit aux Français : «  Connaissez par ce livre ce que nous avons été. » Dans ses in
28 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
re la vie et l’œuvre d’un poète populaire, le curé don Pietro Zenari, connu sous le pseudonyme de Mario Zocaro, dont la maiso
en le prototype de la Vita nuova de Dante ; mais Dante n’a sans doute connu Hermas qu’à travers l’imitation qu’en a faite Boè
(nominalisme du moyen-âge) ; entre Platon et Aristote, également mal connus par les traditions et par des bribes de textes in
ont que d’obscures copies de ces formes éternelles, et on ne peut les connaître que par leur ressemblance avec les immuables type
s la combinaison générale de ses attributs, ainsi toutes les effigies connues des Dieux du Paganisme, qu’étala par défi l’emper
sentiment de la nature ensoleillée, de ce pays que Verga nous a fait connaître . Les expressions vespro dorato, via luminosa, div
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
nécessaires, sont pour lui dire que, puisqu’il est vénitien, il doit connaître le comte Algarotti. Puis il poursuit : « Si vous
e compte des jours, pour justifier en partie son silence ? Aussi bien connaissons -nous tous la valeur réelle de cette expression :
eus le plaisir d’intéresser la plus brillante compagnie. Mes lecteurs connaissent cette histoire dont l’intérêt naît de la situatio
propres sentiments de sympathie pour son ami vénitien que curieux de connaître l’impression que celui-ci produit sur ses compatr
s son entretien avec Casanova, d’une façon assez inattendue : « Je ne connais pas Albergati, déclare-t-il, mais il m’a envoyé l
ttent à l’abri du soupçon de partialité ; et il se fait fort de faire connaître à toute l’Europe les mensonges et les bévues d’Am
30 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
emplaire des œuvres de Pogge où j’ai découvert cette lettre, très peu connue et non traduite en français, est un incunable à l
mpris saint François et il l’a aimé. On peut même dire qu’il l’a fait connaître , bien que, en définitive, le saint François histo
i et M. Corradini, à propos desquels nous puissions avoir le désir de connaître la pensée de M. Capuana. Ugo Ojetti : L’arte m
une pièce de théâtre et il n’a pas ajouté une ligne aux figures trop connues de la Révolution. Son drame est beau. Alessand
ement qui lui convient, est un des jeunes écrivains italiens les plus connus , parmi les Pascoli, Ojetti, Corradini. et autres,
31 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
émie, pour être classé parmi les suivants de l’auteur de l’Intrus. Je connais , par exemple, un jeune romancier d’un talent vif
parfaite, profonde, exquise de la langue ; on doit comparer, on doit connaître les sources de certains mots anciens, que M. d’An
aveugle ; il a un penchant pour la femme, en homme de science qui en connaît toutes les faiblesses physiques et morales, mais
appe ici comme une note choquante : l’Italie se vante de maîtres trop connus pour la magie des sons et des rythmes ; elle ne p
e la langue italienne est très peu cultivée à l’Étranger, et qu’on ne connaît de cette littérature que les œuvres traduites ; d
icité qui serait le comble de l’orgueil méprisant. Mais M. Ferrero ne connaît que l’Empereur à la capote grise et au petit chap
, (Milan, Treves), que, pour le titre de la Ville Morte les Parisiens connaissent tant et mieux que les compatriotes de l’auteur. C
omo Leopardi, le prince de nos poètes modernes. Avide d’amour, il n’a connu que des amourettes insignifiantes et incomplètes 
il veut l’être, et veut surtout qu’on le sache bien. Aussi, quoiqu’il connaisse ce qui se passe au-delà des Alpes et en ait fait
e avait traduit les Annales Abyssines qui sont probablement le fatras connu sous le nom de Chronique d’Axoum, la ville sacrée
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
Italie, semblent vraiment suivre les mouvements et les désordres que connut la poésie française il y a quinze ou vingt ans… P
ages auront une saveur toute particulière. Car l’inconnue, dont on ne connaît jusqu’ici que le chiffre Ph., avoue avoir été de
un fragment du livre inédit — croyait, les premiers jours, que je ne connaissais pas son identité. Je le rencontrais souvent, mais
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
ne peut même pas excuser chez un Italien lettré. Sur Pétrarque, qu’il connaissait peut-être mal et qu’il ne comprenait pas plus que
« l’enfant chéri, le peintre de la nature26 ». À vrai dire, il ne le connaissait pas depuis fort longtemps. C’est son ami Albergat
ance : « M. de Voltaire, avait-il dit, est un homme qui mérite d’être connu , quoique, malgré les lois de la physique, bien de
M. Henry Austruy. Et Unique vit toujours selon sa pensée, sans jamais connaître de déceptions, car elle a ce dogme de vie : sans
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
s la galerie de ses bonnes ou de ses mauvaises fortunes. § Elle était connue , à ce moment de sa vie, sous le nom de la Charpil
font, en termes différents, une réflexion identique : Le jour où je connus cette femme fut un jour néfaste pour moi, mes lec
nnels, de lettres, de confidences, cette Histoire des femmes que j’ai connues , dont l’auteur, en la dissimulant sous le voile é
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
rès de l’humanité doivent préparer cette dissolution, soit en faisant connaître les conquêtes de la science positive, soit en pro
ssements. On parle pour ce travail d’un jeune écrivain qui s’est fait connaître par de savantes et originales études sur la Renai
36 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
es de G. Carducci. Les revues et les feuilles quotidiennes n’ont fait connaître de G. d’Annunzio, en général, que les romans. Sa
onales chantent dans ses vers avec une magnifique ampleur que l’on ne connaissait guère plus depuis le Dante. C’est bien ici, je cr
e pape Pie IX ne furent point ménagés par cette muse fougueuse qui ne connaissait d’obstacles ni de brides. Aussi fut-il lui-même e
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
parce qu’elle fut la sienne. Pour une certaine catégorie de gens qui connaissent les coulisses et les dessous du théâtre politique
a pas de meilleur ami que soi-même. Qui se blâme lui-même avoue qu’il connaît son vice et sa méchante nature : mieux vaut se ta
tère du maître et la connaissance exacte de ses amis. Or, le latin ne connaît le vulgaire de chaque peuple, ni par conséquent s
les reflets du grand mythe dans la littérature grecque, que Léopardi connaissait profondément. De toute façon, cette conception ha
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
es frappe contre sa poitrine et s’y acharne, il a assez souffert pour connaître la valeur de la solitude, et il sait remplir d’ac
M. Alfredo Baccelli, homme politique et poète, que le public français connaît par ses conférences à la Société de géographie, i
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
jà. Memento [extrait] […] Das literarische Echo (1er mai) fait connaître à ses lecteurs, par la plume de Mme Hélène Zimmer
hilosophique des Italiens. Bruno est même, — quoique encore assez mal connu , — un des plus grands métaphysiciens de l’Occiden
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
nt indispensable de toutes les sociétés humaines, telles que nous les connaissons . Même là où l’uniformité paraît le plus fortement
x), d’apprendre le français, puis également l’allemand. Dante, que je connais à mémoire, je l’ai relégué sous le lit. — En outr
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXI »
sont presque toujours ouverts. Le premier est celui de Saint-Charles, connu de tout le monde ; les autres sont les théâtres d
42 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LX »
t. Il a raison. L. Durante fut son maître et il mourut à 25 ans. Vous connaissez ce grand homme. Ses chefs-d’œuvre sont : le Staba
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Introduction] »
[Introduction] On connaît le Journal de Stendhal, exhumé de la Bibliothèque
44 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »
ement. C’est, au reste, le plus pittoresque et le plus commode que je connaisse pour venir composer une tragédie. Ce matin j’ai p
45 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
ns demain à 9 heures, si cela me convient. Il entre dans la loge sans connaître ces dames et y fait 10 minutes de conversation. C
46 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
que Machiavel invoqua pour le parfait Prince. Comme statisticien, il connut la vérité du principe, simple et immense, qui fut
47 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
no vient de traduire, pour la première fois, les Fleurs du mal. On ne connaissait encore, en italien, que les Poèmes en prose que R
48 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
sionne notre esprit méditerranéen, et que les lecteurs du Mercure ont connue dans les termes précis de sa réalisation à traver
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