e tordent des ceps de pinot, une femme, un homme et cinq enfants : le
feu
d’Anne Padoue et de Jean Gellée… Et la vie résign
ux ; au sortir du village, au tourne-bride, c’est la tuilerie avec le
feu
vif de ses terres et l’étoile rouge de son four,
du soleil dans le ciel se pose, magistralement ; autour du disque en
feu
, des nuages se lisent, à peine perceptibles dans
ournaise ; puis, d’autres sont, quoique peu indiqués ; l’orange et le
feu
des rayons se décomposent plus franchement en s’é
gurés : « Celui qui peut dire combien il brûle est dans un bien petit
feu
. » Mais M. Brisset entend être un traducteur comp
, avait amassé des feuilles et des sarments, et, après y avoir mis le
feu
, restait à deux doigts de la flamme, la regardant
, disait Hippolyte à Tysandre, nous lui ferons chanter les beautés du
feu
. Tysandre, couchée à plat ventre, avait jeté sa c
ria Stérope aux autres femmes, nous lui ferons chanter les beautés du
feu
. Celle-ci était grosse de partout : elle avait de
hé ! répétèrent Cypris et Dircé, Polybie et Mélanie. — Entretenons le
feu
, qu’il ne s’éteigne pas. Apportez du bois. Alors,
, tandis que les tisons produisaient un bruit sourd en tombant sur le
feu
. Bicornide, la jeune femme aux yeux longs, apport
uccédait une obscurité complète et momentanée ; de subites langues de
feu
, traversant la fumée, éclairaient les corps nus,
droite et à gauche, s’élargit, s’éleva, retomba ; enfin elle céda, le
feu
apparut décidément à l’extrémité feuillue du tron
toire… — Évohé ! hurlèrent-elles en se relevant. — Évohé ! Évohé ! Le
feu
se rallume. Évohé ! Vive le feu ! Puis elles form
en se relevant. — Évohé ! Évohé ! Le feu se rallume. Évohé ! Vive le
feu
! Puis elles formèrent la chaîne en se prenant le
és par quelque catastrophe. Dans le motif X, consacré à cette cité de
feu
où le regard ne découvre que les sépulcres des hé
n guide, en marche dans l’enceinte du sable enflammé sous la pluie de
feu
, rencontrent des ombres qui les regardent « ainsi
par les physionomies et les attitudes des réprouvés brûlant dans les
feux
éternels qu’il pouvait donner une idée de ces fla
visibles, au milieu des flammes. On n’y voit, par conséquent, que des
feux
, sauf dans la XXVIIe où se tordent quelques vague
es flammes que repousse le vent. Là, brillent dans la soif et dans le
feu
les âmes des luxurieux (XXVI), et celles-là aussi
des âmes qu’elles revêtent. Le nom de Piero se lit sous une langue de
feu
dans le motif XXIV. On le retrouve dans le XXV av
aux, des fleurs, du vent, des oiseaux, des regards, des pierres et du
feu
, et il se montre entouré d’une suite de jeunes in
pendant on craint que l’excès des soins ne refroidisse entièrement le
feu
que l’on connoissoit dans cet artiste. La peine s
ue, travaillant avec un peu plus de hardiesse, il retrouve ce premier
feu
et cette heureuse facilité qu’il avoit et qu’il s
: « Je n’y ai point à appréhander que le sr Flagonard refroidisse le
feu
qu’il a naturellement pour son talent : il est vr
ain gai. Elle jette sur le papier une vie intense : c’est du sang, du
feu
ou seulement la tiédeur de l’aurore ; et nul plus
passage de Marseille… Flagonard a beaucoup de talan, mais le trop de
feu
et peu de patiance remporte à ne pas travailler a
e volontaire de quelques ouvriers accourus pour empêcher qu’on mit le
feu
au bois de la cloison, découvrit patiemment, plan
numéro 136, 1er avril 1901 Les Romans. Gabriele d’Annunzio : Le
Feu
, Calmann Lévy, 3.50 Rachilde. Tome XXXVIII, n
Tome XXXVIII, numéro 136, 1er avril 1901, p. 182-194 [183-186]. Le
Feu
, par Gabriele d’Annunzio. Si le poète Stelio Effr
é. Je n’ai pas la prétention d’analyser ici les œuvres de l’auteur du
Feu
, ni de donner de lui une idée nouvelle. Je dois m
très habitué aux conventions littéraires françaises. Qu’est-ce que le
feu
? Voici, au sens ordinaire du mot, l’histoire du
Qu’est-ce que le feu ? Voici, au sens ordinaire du mot, l’histoire du
feu
: tout ce qui brûle, consume et purifie. L’art, l
’imagine que le devoir du poète et du romancier est de faire luire le
feu
sacré très haut. Pour atteindre ce noble but, il
e. Sur le fronton du temple de l’Art on pourrait écrire en lettres de
feu
le mot qu’on grave sur les lames des épées et des
e XXXII, numéro 118, 1er octobre 1899 Savonarole et l’épreuve du
feu
Jacques Mesnil. Tome XXXII, numéro 118, 1er o
uent, il se perfectionnait et s’assouplissait sans rien perdre de son
feu
naturel. Quand il revint à Florence, il n’y était
du haut de la chaire le proclama hérétique, le défia d’entrer dans le
feu
pour prouver la vérité de ses prophéties et de ce
ection nulle et voulait le faire déposer par un concile. L’épreuve du
feu
, cet absurde « jugement de Dieu », fut bien accue
ines de Saint-Marc s’offrirent aussitôt spontanément à entrer dans le
feu
pour prouver la vérité et la sainteté des doctrin
eur franciscain se récusa, protestant qu’il ne voulait entrer dans le
feu
qu’avec Savonarole11. Mais l’on décida un autre f
Ils ne voulaient point consentir à ce que Fra Domenico entrât dans le
feu
avec le Saint-Sacrement, alléguant que si l’hosti
discussions inutiles ? Pourquoi n’était-il pas lui-même entré dans le
feu
? C’était sur lui qu’on faisait retomber toute la
à l’endroit même où le bûcher avait été élevé le jour de l’épreuve du
feu
. Ceux qui gardaient au fond de leur cœur quelque
ne. M. Angelo Conti est-il vraiment le frère idéal du protagoniste du
Feu
? A-t-il vraiment joué dans la vie de d’Annunzio
taines cadences même de son style, remémorent les visions ardentes du
Feu
. Le style de ces évocations de paysages héroïques
bons incendiaires aux doigts carbonisés », prochainement mettront le
feu
aux bibliothèques pour délivrer l’humanité de « c
était simple et austère et où l’amour de l’art était enflammé par le
feu
du ciel. Il détermine, comme l’a dit Carlyle, une
t l’appétit de jouir de la volupté les travaille et les consume. § Le
feu
de l’amour brûle de loin comme de près, car la vu
mille catene, e mille chiavi. Pétrarque vit le dieu sur son char de
feu
attelé de quatre chevaux blancs. Il avait son arc
l’examinant mieux, on découvrait de la finesse dans son sourire et du
feu
dans son regard… Sans être éclairé dans les arts,
raphe énigmatique tirée des paroles mêmes de Phèdre : « Qui dompta le
feu
avec le feu ? qui éteignit le flambeau avec le fl
tique tirée des paroles mêmes de Phèdre : « Qui dompta le feu avec le
feu
? qui éteignit le flambeau avec le flambeau ? qui
mène la tragédie. C’est elle qui veut que tout s’accomplisse dans le
feu
et dans la mort, ainsi que nous le voyons dans l’
a Œdipe. Et la créature de luxure est évoquée au milieu des orages du
feu
, qui embrase le navire sur lequel les cadavres de
ogique de la luxure se révèle par quelques grands poètes en images de
feu
. La tragédie de d’Annunzio est toute une image de
es en images de feu. La tragédie de d’Annunzio est toute une image de
feu
, dont les flammes souples et immenses prennent de
Hippolyte, à laquelle elle propose la triple énigme : « Qui dompta le
feu
avec le feu ?… », pour ensuite la tuer de sa long
laquelle elle propose la triple énigme : « Qui dompta le feu avec le
feu
?… », pour ensuite la tuer de sa longue épingle,
is maintenant que la tramontane souffle, que je suis mal vêtu et sans
feu
, on pourrait me piquer dans le dos avec autant de
chit chaque jour. Nul n’a suivi l’orientation idéale et expressive du
Feu
. Les jeunes écrivains s’affirment surtout par la
fants, qui sautaient autour avec une joie extrême, nous lançaient des
feux
d’artifices entre les jambes en l’honneur de la M
la revolutione del sanguine nel anteporta del cuore », et aussi « le
feu
détruit sans cesse l’air qui le nourrit ». Cet ho
rps. Ainsi, l’eau voulut s’élever au-dessus de l’air : avec l’aide du
feu
elle se vaporisa ; mais l’air resserra ses molécu
blasphème, et qu’il faut être vraiment stupide pour s’intéresser à un
feu
follet qui passe, quand le soleil chaque jour nou
et Prométhée, sage comme Zeus lui-même, n’a pas donné aux mortels le
feu
qu’il avait conquis. Pour la paix des esprits, po
ation, précisément parce que cette vie fut vécue et brûlée à tous les
feux
de la Saint-Jean et alimentée de philosophie épic
salue, ô mer aux flots d’azur ! Et vous aussi, sommets des Alpes au
feu
pur, Et toi, morne archipel de l’éparse lagune !
XI Admirez ce que peut la gamme des couleurs : Dévoré d’un
feu
sombre et vêtu d’un poil rude, Saint Jean, pour
n regard noble et grave étincelle de pleurs. Son front s’épure au
feu
de la céleste étude, Sa main transfigurée et ple
é, En te voyant parée et belle de la sorte, Qui pourra s’étonner du
feu
que je te porte, Et qui me blâmera de l’avoir pu
e Venise étalent à nos yeux ; En vain on les désire, époint de mille
feux
, Elles restent toujours à l’abri des atteintes.
ara que suspect. Ses disciples offraient de soutenir par l’épreuve du
feu
que l’Église a besoin d’être régénérée, que l’exc
les autres monstres de son espèce ; sauf dans les pillages, sorte de
feux
attribués à ses soldats outre la solde, il prenai
ait ce magnifique éloge : « Éminemment noble et brillant au milieu du
feu
et du désordre des batailles, le bruit du canon l
emble exercer sur des esprits enthousiastes la même fascination qu’un
feu
d’artifice bien composé, bien distribué, bien rég
vitres et formant le seul bruit que j’entende avec celui de mon petit
feu
. Je vais lire un volume d’Ossian qui fait tout mo
e sa petite coquine de femme de chambre, qui était le noble objet des
feux
de M. Turenne, l’avait trahie, etc., etc. Si j’av
ons d’Angleterre ont été dispersées à Londres, en juillet dernier, au
feu
des enchères : la collection du comte de Pembroke
orence ou en Sicile et où des Anglais et des Sénégalais auraient fait
feu
sur la foule ! On a dit que le gouvernement et le
de, embrassèrent leur femme et leurs enfants, puis allèrent mettre le
feu
aux dépôts de vivres voisins. Des détachements co
s jeunes bersagliers de 18 ans, qui pour la première fois allaient au
feu
, se lancèrent dans l’île avec une impétuosité qui
trouvèrent de la neige, et pour Noël furent envoyées dans la zone de
feu
. Elles eurent bientôt l’ordre d’attaquer au bois
sera au moins de 37 millions après la guerre, les pertes d’hommes au
feu
ayant été (relativement aux autres pays belligéra
s de la 4e armée sont envoyées à ce moment en soutien sur la ligne de
feu
. Le 25, après une journée de répit, l’ennemi atta
ier contingent de troupes franco-anglaises est envoyé sur la ligne de
feu
. L’ordre du jour du G. Diaz, qui annonce leur ent
o Barbera On a célébré à Florence le centenaire de la naissance de
feu
l’éditeur Barbera. Il arriva de Turin, sa ville n
rs des violences et des désaccords. Elle pacifie Sienne, éteignant le
feu
de la vendetta qui dévore les familles principale
faut songer que l’action est propre aux Saints d’Italie. » Natures de
feu
, ces saints, d’un feu d’autant plus vif, actif et
on est propre aux Saints d’Italie. » Natures de feu, ces saints, d’un
feu
d’autant plus vif, actif et industrieux, qu’il de
devient, par le renoncement, plus subtil et spiritualisé, Natures de
feu
. Il y a là-dessus une page prodigieuse dans la vi
rûlantes étoiles, au ciel non moins noir de la nôtre, où luisent d’un
feu
terne les astres froids du rationalisme métaphysi
ner, mais peut-être le fait-elle pour m’éprouver, ou pour rallumer un
feu
nouveau et plus ardent, si plus ardent il peut êt
. Votre, bien torturé, MICHELAGNIOLO BUONARROTI, Vieux souvenir d’un
feu
qui n’a pas été reconnu. Traduit de l’italien pa
n’y ait pas eu en Italie de succès de librairie analogue à celui du «
Feu
» de Barbusse. Les œuvres de Luigi Barzini ont be
es illusions disparaissent avec rapidité, consumés qu’ils sont par le
feu
de la guerre, qui, brûlant ce qu’il y a de plus m
eur psychologique, avec lequel on n’avait pas compté. La puissance du
feu
de l’adversaire exaspère une troupe, exalte ses m
rêtée, c’est désagréable et faux, mais il y a un fond de tentures, de
feu
et d’étoffes assez joliment réussi. Les chairs so
aussi, immobiles dans les vastes arsenaux bruissants, étincelants de
feu
dans la profondeur des forges où se trempe votre
teau ne frappe plus l’acier nouveau qui résonne ; que s’éteignent les
feux
des arsenaux î Silence et douleur ! Il est mort.
ns sa mansarde, travaille au coin de son… froid, car il n’a « plus de
feu
». À Mimi, dont la « chandelle est morte » il ouv
e plus contrôler l’intérêt. Depuis, j’ai suivi de loin les efforts de
feu
Ponchielli et parcouru sans joie les oratorios ho
ois un poème de tournoyante lumière et de chaleur, fixer les derniers
feux
au zénith du soleil disparu derrière une terre dé
nes paysannes, M. Jules Breton, par exemple, se serait gardé comme du
feu
d’une telle mise en place. Mais nous savons déjà,
lle mise en place. Mais nous savons déjà, par d’autres œuvres, que le
feu
des soleils couchants est une gloire d’entre tout
; si l’on supprime, selon la convenance normale, tout le génie et le
feu
nouveaux dont resplendit ce tableau ; si l’on enl
ti conseilla fort habilement à son nombreux parti de faire la part du
feu
et d’accepter la guerre populaire à l’Autriche po
e tout ce qui est nécessaire à la rapide et violente concentration de
feux
d’artillerie. Ainsi surgit tout le long de notre
ns de vie un peu tumultueuses. Je me rappelle la surprise indignée de
feu
Gebhart, il y a quelques années, contre les emplo
du poing. Ou qu’on nous donne ce que nous voulons, ou nous mettons le
feu
aux poudres. Elle ignore que l’art diplomatique s
. Cette loi a subi d’ailleurs, au cours de cette guerre, l’épreuve du
feu
. Un Conclave et deux Consistoires ont pu être ten
qu’il écrivit ; et puis un jour, quand en arriva l’ordre, il alla au
feu
; ses soldats se cachaient derrière des rochers p
e croire et de prier. Sans la foi, sans la prière, tu aurais donné le
feu
que tu as dans l’âme à ce qui est sûrement vrai,
’objets de ménage jetés pêle-mêle, pots de terre, bassinoire, pelle à
feu
, une seringue ; la forme qu’il décrit en ferait v
h. Tome XCV, numéro 349, 1er janvier 1912, p. 173-180 [180]. […] Le
Feu
(décembre). […] — « Le Giorgione », par M. H. Bér
vour manigançait des alliances et se préparait à tirer les marrons du
feu
. Victor-Emmanuel et son ministre favorisaient Gar
rseillaise, archange altier du temps nouveau, plane lorsque vomit ses
feux
le bronze et tonne, au-dessus des forêts profonde
que l’on détruit par des moyens simplement civilisateurs ; il faut le
feu
pour cautériser la gangrène qui vous ronge. L’éd
larges synthèses lyriques de ses génies. Et l’œuvre de Pascoli est un
feu
de joie et de douleur très vaste et très haut. De
Pascoli est un feu de joie et de douleur très vaste et très haut. Des
feux
follets, parfois, souvent, se détachent du foyer
page crépusculaire où les eaux lentes semblent marcher en ourlets de
feu
tandis que les murs et les tours s’éloignent en b
re des âmes. Les physionomies qu’a modelées, et quelquefois usées, le
feu
de la passion perdent en régularité, en symétrie
es C’est, au contraire, dans un écrin de velours sombre, quelques
feux
d’étoiles ravis à l’éternel artifice de l’amour e
’objets de ménage jetés pêle-mêle, pots de terre, bassinoire, pelle à
feu
, une seringue ; la forme qu’il décrit en ferait v
ohn et de Gounod, moins convaincu pourtant peut-être qu’ébloui par le
feu
de ses admirations expansives. Il eut ici meilleu
e creux démesuré des os. D’autres chants sont intitulés : l’Orgie du
feu
, Au charbon, etc. L’électricité exalte naturellem
oite, le long de la ruelle qui allait jusqu’à la colline, la fleur de
feu
, de place en place, des réverbères ; puis, plus l
formes, étouffe ses foyers, cherche des lignes nouvelles, allume des
feux
nouveaux, s’acharne à la création, des nouveaux r
tte sur notre table de travail un gros volume à couverture couleur de
feu
. C’est l’Anthologie des poètes futuristes. Les po
37, janvier 1893, p. 93-96 [95]. […] M. Ugo Valcarenghi, qui dirigea
feu
la Cronaca d’Arte, a fait à Milan, le 10 décembre
s », dit Aristote. La volonté démagogique passait comme un souffle de
feu
et de mort, sur les rues d’Athènes, sur l’Hellade
beau. Sa personnalité disparaît ; son individualité rayonne comme un
feu
central que les vents de la passion de tous ses c
la nature, répandant vainement sa volonté héroïque comme une nuée de
feu
sur l’esprit d’une génération irréligieuse. Ibsen
pour une élévation suprême de l’homme, mais pour une destruction. Le
feu
de la barque de la sublime courtisane Pantéa (dan
épisode où eut lieu ce revirement de la foule : la fameuse épreuve du
feu
— devant laquelle l’adversaire avait le droit de
par la notoriété de M. d’Annunzio : Certes, l’Enfant de volupté, le
Feu
apparaissent comme les réalisations des rêves d’u
nicipe leur retiraient leurs dernières subsistances, ils mettaient le
feu
aux châteaux ou détruisaient les bureaux de l’oct
généreux, qu’on donne volontiers aux œuvres scéniques de l’auteur du
Feu
. Le drame a été joué à Rome et à Naples, et final
amatique ; mais il est impossible de lui donner dans un écrit tout le
feu
que lui communique une narration bien faite2. » E
siteurs d’État étaient le produit le plus contestable, Casanova prend
feu
contre les critiques imprudents : il ne peut adme
hœurs qui ondoient sur son rythme, comme sur la crête des houles d’un
feu
implacable, semblent de temps à autre se recourbe
orte close. Ils veulent la belle proie. Le soleil et le vin, les deux
feux
immenses des terres méridionales, embrasent la vo
l’inconnue enchanteresse ses yeux remplis de rêve. Cette femme est le
feu
central des grandes flammes de haine. Il s’élance
ais, dans toute sa vie, il n’avait éprouvé pareille chose. C’était un
feu
intérieur qui le consumait. On eût dit que le foy
hommes. Ainsi, les porteurs du flambeau antique se transmettaient le
feu
sacré, sans regarder derrière eux, les yeux ardem
e, le soleil qui se répand partout, les astres, l’eau, les nuages, le
feu
… Qu’il vive un siècle ou quelques courtes années,
ehors de ce chef-d’œuvre de joliesse, l’Embarquement pour Cythère, de
feu
Émile Veyrin, les Bouffes-Parisiens ont monté des
ui s’exhale dans la leur comme le parfum de l’encens s’exhale dans le
feu
. Le poème est le cycle d’une vie, vie devenue par
lamme devant quelque image : j’en ai vu un superbe, brillant de mille
feux
, une fois, dans le sous-sol d’un café, là où se t
es, une pierre admirable : une pierre d’or vierge éclatante, comme du
feu
solidifié. Et, par ma foi, il devint amoureux de
s officielles ou sur le point de le devenir. C’est l’ouvrage connu de
feu
César Lombroso : Hypnotisme et Spiritisme. On doi
ueur rougeâtre illuminait l’atelier : Giorgio Barbarelli ravissait au
feu
ses couleurs ! — Il aurait pris des couleurs à
hors de la ligne. Il l’aborde, le coule. Une grenade éclate et met le
feu
à bord de sa galère. Il monte alors sur la partie
t votre pierre d’or ne jetteront-elles pas toujours les plus limpides
feux
quand les frappera la lumière ? Pauvre Béatrice
d une flamme d’un rouge sang jaillira vers le ciel dites : « Voilà le
feu
qui consume la dernière maîtresse de Giorgio ! »
. Je vous promets que sa chair ardente produira de belles flammes. Le
feu
était son élément. Elle meurt dans les flammes, c
son verre qu’elle offrait à la clarté des candélabres et admirait les
feux
des pierreries qui coloraient le vin. Elle attend
es d’une couverture. Il grelottait. J’appelai Lorenzo pour allumer du
feu
. Giorgio refusa de se coucher. Il déboutonna son
cantilène populaire, des complaintes et des conversations au coin du
feu
. La prosodie des autres est la classique. Le plus
le nouveau préfet Fabien à marcher sur des charbons ardents, mais le
feu
ne l’atteint point. Sur la mort de Sébastien, qui
en et le génie français, réalisant ainsi la parole de Stellio dans le
Feu
: « Il faut que ton âme toute vive touche l’âme
ce œuvrante. La parole de celui que Gabriel d’Annunzio appela dans le
Feu
le « Doctor Mysticus » a une importance qui ne do
pathétique du récit, la pièce la mieux montée et la plus brillante du
feu
d’artifice, je vous cède tout cela, et retournons
gadin ne soit pas soupçonné. Vous l’adoriez, vous vous seriez jeté au
feu
pour loi, vous flattiez sa folie pour le rendre h
superbe ; c’était un fruit poussé au bord de la mer sous un soleil de
feu
; c’était le sentiment royal, effréné, qui devait
is, il y avait fête sur la mer, le golfe était alors tout brillant de
feu
, couvert de barques illuminées, retentissant de m
ation du surnaturel. De cet ordre sont, par exemple, la pluie d’or en
feu
dont Méphisto arrose la foule et le brasier de la
spirito di parte des farouches chroniqueurs florentins. Mais le noble
feu
qui le brûle dedans ne laisse rien apparaître, ho
59 [856]. La Galerie Excelsior contribue à nous faire mieux connaître
feu
Fattori, que les organisateurs décorent du titre
érable d’indigènes : arabes, berbères, nègres, population nomade sans
feu
ni lieu, et que la faim chassait de l’oasis et du
ue cette sombre et ardente figure, ravagée par la pénitence et par le
feu
intérieur qui couve sous cette enveloppe charnell
s. « Je me revois surveillant la combustion dans une cheminée, sur un
feu
de bois, d’une pomme de pin pignon et faisant ens
Hugo ; c’est ici que se forma cette parole, qui plus tard, torrent de
feu
sacré, devait courir à travers les veines des peu
christianisme que l’Église avait cru exterminer, par le fer et par le
feu
, en Occitanie. Le cardinal du Puget voulut exhume
uccès qu’elle obtint établit qu’elle aurait heureusement affronté les
feux
d’une autre rampe. C’est un art gracieux, léger,
s le parcourûmes à moitié, toujours poursuivis du Dôme, noyé dans les
feux
du soleil couchant, et nous redescendîmes à la po
ngue rue appelée Il Borgo de la Porta Romana. Je sais de loin que les
feux
d’artifice se succèdent hors Milan, partout où s’
es, les montagnes jusqu’à leurs prodigieux sommets tout éclatantes de
feux
brûlant durant la nuit, de transparents et de tem
re de France, etc., — il faut être reconnaissant envers la mémoire de
feu
M. Hayem, qui a ruiné définitivement ces légendes
rime et qu’on puisse bien plus aisément trouver le bonheur au coin du
feu
et les pieds dans ses pantoufles ! Ne protestons
se en scène est fastueuse. L’interprétation est bonne. M. Saléza a du
feu
et de l’intelligence ; mais la voix manque d’ampl
it un Satan compris dans le sens prométhéen de Lucifer, le porteur de
feu
, le principe de la lumière, le souffle primordial
s espérances inutiles, et n’a d’autre plaisir que celui d’allumer son
feu
avec quelque lettre passionnée et parfumée. » Le
les épreuves grâce à un talisman donné par une prisonnière menacée du
feu
inquisitorial. Les Journaux R. de Bury [Remy
imprécations gutturales. Le petit bâtiment évoluait avec aisance, ses
feux
verts et rouges étincelaient, et, peu à peu, la n
ia, s’arrêta au café Florian. Minuit, La lagune apaisée reflétait des
feux
rouges et verts. Les îles formaient des taches so
te de miracle : un orage éteint le bûcher et le prêtre qui y a mis le
feu
est frappé par la foudre. La forme engoncée où se
gré de violentes tendances au patois (songer aux mots tels que : eau,
feu
), a gardé une forme nettement latine, il le doit
er dans la prose extraordinairement abondante et riche de l’auteur du
Feu
des morceaux de Nietzsche, de Péladan, de Dostoïe
’arrêter devant cet épisode malheureux. Elle prie sa mère de jeter au
feu
le portrait, pour qu’aucun nuage ne puisse ternir
rd’hui ses magnifiques élans de passion ; je voudrais qu’un peu de ce
feu
vienne enflammer nos esprits un peu affaiblis par
▲