ntellectuel, car il s’acharne aux recherches et il pousse la fidélité
historique
jusqu’à des scrupules enfantins. Il a sous la mai
eu recours s’il n’avait pas assumé la tâche de créer, sur des données
historiques
, une version qui lui fût personnelle de l’aventur
eure de Fouquet sa somptuosité d’autrefois. Marcel Niké : Florence
historique
, monumentale, artistique, Firmin Didot, 7 fr. 50
e passage du Rubicone jusqu’à la mort, est le fruit de longues études
historiques
et archéologiques ; on le sent, je dirais même qu
ir s’émotionner davantage. C’est dire que le défaut de cette tragédie
historique
est la froideur. Les personnages, parfaitement st
ces humbles chroniques, M. Silvagni a déjà publié en 1895 un tableau
historique
complet sur Napoléon et son temps, dont je me rap
on temps, dont je me rappelle avoir lu les éloges dans maints travaux
historiques
français. Après 1895, M. Silvagni a été emporté l
es études, M. Silvagni nous donne aujourd’hui la mesure de son talent
historique
et littéraire avec ce livre sur l’Empire et les f
à définir avec précision la grandeur morale de l’Empire, sa nécessité
historique
, et à contrôler scrupuleusement la narration des
er Rodin. § Et je le sens bien tout de même qu’elle a son importance,
historique
, et esthétique, et de psychologie générale, cette
érature dramatique. Cœcilia Vellini : Comédienne et Carmélite : étude
historique
sur Marie-Jeanne Gauthier, de la Comédie-Français
e pourrait plutôt s’expliquer comme une phase et un épisode du moment
historique
dans lequel nous sommes, c’est-à-dire du mouvemen
uvoir monarchique démontrent clairement la réalité de ce grand moment
historique
. L’autorité ecclésiastique reste encore ferme et
olie soupçonneuse et sombre, tristement illustrés par de grands faits
historiques
: Beethoven devenu sourd, Rubens paralysé des mai
dans le drame de cape et d’épée et dans ce qui est encore le Théâtre
historique
, absurde et enfantin. En des temps plus proches d
d’âme de tout un moment de l’Histoire. Et nos tragédies ou nos drames
historiques
, à côté de leur tragique devancière, semblent fai
minent encore le Théâtre, tous les théâtres : romantiques, réalistes,
historiques
, mystiques, avec une telle insolence dominatrice,
. Il faut qu’ils soient synthétiquement représentatifs de leur moment
historique
, que chacun de leurs gestes soit plein de signifi
ychologie du peuple florentin d’après les œuvres de sa grande période
historique
. On goûtera de même les pages où il retrace la ph
indique ses propres œuvres. Memento Deux livres de réel intérêt
historique
et littéraire : Dr Cirillo Berardi : Perché oggi
ruisant de plus en plus l’étrange légende qui crut marquer d’une tare
historique
de « décadence » ce siècle adorable et nerveux, q
Italiens de s’émouvoir aux expressions du dernier rêveur de l’au-delà
historique
, est digne donc d’être signalée avec la plus gran
ucques, Prato, Arezzo ou Pistoie, toutes pittoresques, ayant un passé
historique
, apportant par leur physionomie, leurs édifices,
moment où la signification psychologique et par conséquent la portée
historique
en était le plus flagrante, c’est-à-dire durant l
davantage : il écrivit le De Ofjiciis, grand document de psychologie
historique
, mais ne prit garde à la formidable question prat
nce, depuis la Société de la… par laquelle un pied plat tutoie un nom
historique
, il n’est pas trop sûr de faire l’aimable avec de
de 1826, contiennent parfois quelque révélation du plus grand intérêt
historique
. À la page 41 on lit : Je n’ai pas parlé d’un v
es chroniqueurs de l’Ordre et étrangers à l’Ordre ; après l’évocation
historique
qui est en même temps un très beau poème de M. Ém
ît. Toute discussion sur son authenticité est sans doute d’un intérêt
historique
très réel, mais ne pourra plus changer l’aspect q
de rêves, et les rêves n’ont rien à craindre du scalpel de l’anatomie
historique
. Thomas de Celano a peut-être menti. Mais la subs
nous permet donc de connaître quelques-unes des âmes, dont la figure
historique
qu’on appelle saint François était naturellement
t rivages méditerranéens, et mérite une place dans toute bibliothèque
historique
contemporaine. Tome LXIII, numéro 223, 1er o
simisme est purement moral, c’est-à-dire jaillissant de l’observation
historique
, des considérations générales sur les relations d
mbre… 150 pages de Lanzi13, qui, au milieu de son bavardage critique,
historique
, et timide, sent bien les arts, en sa qualité d’I
e il l’a dit, « sous l’immédiate dictée de son cœur ». L’introduction
historique
, si pleine de vues pénétrantes, fut ainsi composé
juxtaposant de gigantesques fabriques à leurs palais et à leurs dômes
historiques
; et Gênes, qui rivalise avec Marseille, et qui m
oute ruinée qu’elle fût par les guerres civiles, elle gardait un rôle
historique
qui restait un des facteurs indispensables de l’É
onc républicaine ? C’est qu’il était indispensable que l’aristocratie
historique
le secondât dans la tâche de gouverner l’empire,
té de l’Allemagne une difficulté particulière à dégager son existence
historique
et à marquer ses limites. » Et encore, ce qui est
dent. L’invasion romaine ne fut que la première des grandes invasions
historiques
dont les éléments vinrent successivement se fondr
Lorenzino de Médicis, 1514-1548) ; Fontemoing Les dernières études
historiques
que Florence ait inspirées, chez nous, avant les
embles, est fort difficile à obtenir dans la haute région des visions
historiques
. Voici un livre digne entre tous de la gagner.
passant mainte assertion péjorative de Paulin Paris, dont la critique
historique
, ici, ne fut pas toujours irréprochable. Relative
mpagné de plans et de figures nombreuses, et qui comporte à côté d’un
historique
des monuments et des fouilles, un itinéraire déta
rver les manufactures nationales, les bâtiments civils, les monuments
historiques
et les musées ! Or, il me semble qu’il y a dans c
s qualités les plus fières et les plus belles de sou pays. Son pathos
historique
a lentement soulevé les esprits, les engouements
, étaient littérature, étaient tâtonnements sans discipline. Le roman
historique
de l’écossais Walter Scott troubla les esprits. M
sais Walter Scott troubla les esprits. Manzoni écrivit alors un roman
historique
, « Les Fiancés », où il sut résumer la vie italie
étail et en synthèse les caractères de ce mouvement destiné à devenir
historique
. Je rappellerai ici que M. Corradini, avec MM. le
es buts, on donne un nom et une direction aux inquiétudes d’un moment
historique
. L’Italie attendait une voix généreuse et impétue
dans le livre de M. André Lebey, outre ses qualités de forte peinture
historique
, c’est la façon dont il est écrit et composé. Bea
r l’itinéraire de ses déplacements, en donnant, chaque fois qu’un nom
historique
lui vient sous la plume, une notice de dictionnai
e classique ou se rapetisser par l’influence des dernières recherches
historiques
: nous le voyons, au contraire, sous une lumière
la France ; il a essayé de ramener l’attention sur des petites villes
historiques
, dédaignées des touristes parce que leurs Manuels
les choses véritables de l’antiquité est à peu près celui d’un roman
historique
à l’histoire réelle. M. Weichardt, toutefois, a u
rdt, toutefois, a utilisé tout ce qu’il a pu réunir de renseignements
historiques
et archéologiques sur Capri, et sa restauration n
rte, enrichis par quelques centaines d’illustrations et par les notes
historiques
et philologiques de MM. A. Jahn Rusconi et A. Val
. Si le sentiment et l’esprit religieux étaient réellement des formes
historiques
de croyance et d’orientation pratique de l’âme hu
apparente dissolution, laquelle n’est réelle que pour quelques formes
historiques
, relativement récentes, d’état de la pensée et de
d’abord du sentiment religieux, puisqu’il précède l’idée dans le sens
historique
et dans le sens psychologique. Le sentiment relig
aux lettres, à la philosophie et aux beaux-arts dans le développement
historique
d’un peuple, dans le tableau général d’une époque
s semble-t-il, une preuve nouvelle pour la vraisemblance et la valeur
historique
des Mémoires. Voltaire voulut témoigner, par une
rrières de la vie réelle, et abîme les dramatis personœ de tout drame
historique
dans un rêve de mort et de gloire. C’est dans ce
out regretter qu’il nous soit présenté un Carducci vu dans une vision
historique
semblable à celle désormais scolastique des criti
qu’ici n’est pas de mise l’aut, aut de la logique. Dans les questions
historiques
et pratiques, aut s’applique souvent à l’excès. A
que ; parce que la science, la critique, la philosophie, la recherche
historique
et la politique combattent la théologie, le dogme
one des signes extérieurs, derniers, des totaux triomphants d’un fait
historique
. Et il y a la manière toute intérieure, une sorte
ragique, qui évoque des états d’âme anciens, plus que des conclusions
historiques
. L’une se borne continuellement à chanter la « gl
ce de grand lyrisme. Tandis que Carducci, tout gonflé par le « pathos
historique
» de Hugo, fut et demeure lourdement pathétique,
lui de son maître. Cependant, l’œuvre de Carducci a une signification
historique
qu’il ne faut point méconnaître. En renouvelant l
utre aspect de la vie intérieure de son pays, un aspect qui n’est pas
historique
, mais symbolique, quoique le symbole soit choisi
emière grande lutte de la nouvelle Foi, se complique ici d’un élément
historique
dont le symbole est grand : la lutte de dominatio
creusant un inutile fossé entre la critique esthétique et la critique
historique
. M. de Rinaldis franchit d’un bond de fossé, et m
sion esthétique une manifestation isolée du génie humain. La critique
historique
, trop étroite, et la critique esthétique, trop la
ccidentale renaissait encore une fois, depuis le Moyen-Âge. Les faits
historiques
, et les attitudes intellectuelles des siècles sui
une chose nécessaire qu’on accepte sans raisonner, mais comme un fait
historique
, produit d’une certaine civilisation contingente
ont très agréablement variées. D’un intérêt littéraire, artistique ou
historique
sont : […] Venice and the Renaissance, […] Græco-
Dans la Nouvelle Revue M. Henry Lapauze commence un important travail
historique
, admirablement documenté, sur l’Académie de Franc
II, numéro 282, 16 mars 1909, p. 320-325 [325]. […] Revue des Études
historiques
(janvier-février 1909) : Comte L. de Baglion : «
lis et les notes du prince est abondant et pittoresque ; précédé d’un
historique
rapide des précédentes tentatives d’exploration,
que, pour Ruskin, les Pierres de Venise « devaient fournir la preuve
historique
et matérielle de l’intime réaction qu’exerce un n
rarement à la pierre d’Italie, de grandes compositions mythologiques,
historiques
ou religieuses, des portraits, des études d’anima
t pas que cet Innocent III 26 ne soit le bienvenu dans la littérature
historique
française : il y manquait plutôt, et il y occupe,
en vers qui, loin d’être des « tragédies », ne sont que des « drames
historiques
» où le manque de souci esthétique ou profondémen
ions ancestrales de d’Annunzio sont entièrement dégagées de ce pathos
historique
, assez souvent scolastique et insupportable, de C
du reste le texte de ce livre, qui est plutôt une dissertation qu’un
historique
, et reproduisent de très nombreuses peintures et
n tous points admirable, de M. Alfredo Oriani, ou les reconstructions
historiques
, fougueuses et riches, de M. Edoardo Calandra.
ro 300, 16 décembre 1909 Histoire. Pierre de Bouchaud : Périodes
historiques
de Bologne ; Bernard Grasset, 3 fr. 50 Edmond B
nes du Moyen-Âge. Il a fixé, avec une clarté complète, ces « périodes
historiques
» de Bologne. On dirait que ce livre, qu’il a fal
hique avec les innombrables spéculations de la pensée sociologique et
historique
. Cette confusion toute moderne de la philosophie
tre un manque de mémoire de sa part. Constatant de plus que la vérité
historique
de circonstances racontées par l’écrivain est au
de controverses, où l’on sent l’ancien séminariste, de points de vue
historiques
, d’événements arrivés vraiment à l’auteur, de pei
discrète : « Comment réussit-il à s’enfuir ? C’est un petit problème
historique
qui ne manque pas d’importance, et sur lequel les
vrier 1912, p. 609-614 [611-614]. De cette série d’études de critique
historique
romaine, Hommes et choses de l’ancienne Rome, nou
ucoup de morceaux pareils pour discréditer la méthode du matérialisme
historique
, dont il procède. À propos des œuvres de M. Ferre
l’avons retenue, — cette dernière accuse bien ce que le matérialisme
historique
a d’excessif et maintes fois d’à côté. Dans le ca
: batailles, révoltes, conquête et pillage ; grands faits et figures
historiques
: le siège de Syracuse, l’empereur d’Allemagne Fr
s de toute la légende, de toute l’histoire légendaire, de toute l’âme
historique
rêveuse de la Péninsule. Les rythmes ordonnés sel
la preuve que les personnages des Mémoires sont bien des personnages
historiques
: Casanova laissa au château de Dux, en Bohême,
lheureusement dotés d’une culture presque exclusivement littéraire et
historique
. Ils avaient l’esprit hanté par les souvenirs du
Rome. Pourquoi a-t-on fait de Rome la capitale ? par simple souvenir
historique
, parce qu’elle avait été la capitale de l’Empire
la première apparition marquée de Dante était sa première apparition
historique
, à la victoire de Campaldino, remportée sur les G
Dante écrivit le De Monarchiâ. Ceci va nous conduire au point de vue
historique
en ce qui concerne la Divine Comédie, et, de là,
ans la théologie et le mysticisme ? Avec ce sentiment, doublé du sens
historique
et du sens poétique, ce fils de la prosaïque et p
croyant, pourvu qu’il atteigne à quelque degré suffisant de sympathie
historique
, n’est pas nécessairement un mauvais psychologue
rendu. En France, un tel travail est unique. Au surplus, point de vue
historique
, point de vue théologique, ceci est, ici, seconda
dans l’esprit de l’auteur et aussi des pensées profondes, des aperçus
historiques
, des prévisions qu’on ne voit aucune raison d’avo
le passé, non moins utiles à connaître, pour se former une conception
historique
précise, que les grands faits bruyants et à éclat
protesté, lui aussi, contre le culte du passé, contre la superstition
historique
, ne s’est-il pas proclamé lui-même un esprit « no
stition historique, ne s’est-il pas proclamé lui-même un esprit « non
historique
» ? Mais M. Marinetti reproche à Nietzsche le ret
rès avoir regardé de près, après avoir suivi et compris les principes
historiques
et moraux du nationalisme français, il les a appl
son temps que celle de Voltaire ; il devança ce temps par sa théorie
historique
du fétichisme, qui a pris aujourd’hui le pas sur
l’expression de la vie des ports, en lui offrant l’exemple de cet air
historique
, si conforme au goût du temps, dont les ruines en
Déluge un cataclysme naturel auquel son tragique extrême et sa valeur
historique
et religieuse lui permettaient d’attribuer une im
es affectives, la conscience, le phénomène religieux, le matérialisme
historique
, le socialisme. Seules les premières rentrent dan
ome XCIX, numéro 366, 16 septembre 1912, p. 387-394 [392-393]. Revue
historique
, juillet-août 1912. J. Calmette : « La Politique
Tome XCIX, numéro 367, 1er octobre 1912, p. 602-609 [609]. […] Revue
historique
de la Révolution Française et de l’Empire, juille
emy. Tome C, numéro 370, 16 novembre 1912, p. 364-370 [369]. — Revue
historique
(septembre-octobre 1912). […] Paul Matter : « Les
ales, il en est certainement d’autres d’un réel intérêt artistique ou
historique
et que souvent des questions de mode ont fait éca
emy. Tome C, numéro 372, 16 décembre 1912, p. 820-826 [826]. — Revue
historique
(novembre-décembre 1912). […] Paul Matter : « Les
, Institut italien des arts graphiques, in-8 avec planches et introd.
historique
par M. Corrado Ricci), véritable modèle du genre,
l endroit à telle époque parce que cela ne concorde pas avec tel fait
historique
rappelé par vous, on cherche des minuties, des dé
discutant des moyens dans le langage ridicule que nos romanciers dits
historiques
prêtent à un Richelieu, à un Mazarin ou à Philipp
raits antiques, — recueil de planches donnant les principales statues
historiques
des époques grecque et latine, d’après les collec
semblable magie du style. M. d’Annunzio se conforme même au principe
historique
qui imposait une passion vive à tout chroniqueur
lemy. Tome CI, numéro 376, 16 février 1913, p. 813-820 [820]. Revue
Historique
de la Révolution française et de l’Empire (octobr
occidentale, me semble très juste au point de vue psychologique sinon
historique
, mais je n’aperçois pas l’abîme qui séparerait le
stique. On démolit en ce moment, sur le Palatin, une fort belle villa
historique
, qui a été expropriée par le Gouvernement italien
mi-imaginative — à Machiavel semble perdre de sa valeur comme leçon d’
historique
véridicité à l’adresse de l’époque de 1830, si l’
tion », œuvre plus désintéressée ; l’œuvre, simplement, de la science
historique
, d’historiens scientifiques tels que Macaulay (jo
César Borgia. Elles sont écourtées, pour ce qui est des explications
historiques
. À cet égard, M. Ch. Benoist est plus complet75.
l, sur l’étude des mœurs italiennes, sur l’humanisme, sur les exposés
historiques
(écourtés), etc. Qu’il me suffise d’avoir rempli
ur de L’Italie économique et sociale, 1861-1912, a préféré la méthode
historique
. Cette méthode a des avantages. Elle permet de dé
et c’est un chapitre bien intéressant que celui où M. Lémonon fait l’
historique
de ces coopératives. Mais, en travers de ce mouve
ent beaucoup plus d’études critiques, d’exposés théoriques, d’examens
historiques
que d’œuvres purement littéraires. Ces publicatio
langue classique, — le goût de l’anoblissement du réel, de la poésie
historique
, du vers bien frappé, l’acceptation de la rhétori
ésent, — j’y aurais le bonheur de suivre des « traces antiques ». Cet
historique
et d’ailleurs anodin désir, je l’ai senti se rani
lles-mêmes semblent quelque « fabrique » faisant le fond d’un tableau
historique
. Pour l’écolier imaginatif qui apprend là-bas l’H
emiers œillets de la saison, avec les primes délices de l’imagination
historique
éveillée dans l’étude d’une civilisation qui en é
’était, dans le silence des jours brûlants, la Paix Romaine… Griserie
historique
, évocation, fascination ! Mystère de l’âme et des
à son tour, lui fait lier deux idées ; c’est quand la notion du passé
historique
se crée et s’ajoute tout à coup au sentiment du p
e en Histoire. Elle seule est précieuse dans la pratique des sciences
historiques
, et c’est elle seule que les sciences historiques
atique des sciences historiques, et c’est elle seule que les sciences
historiques
doivent servir. C’est ce que je me répétais devan
ture française, moins de traces que le goût italien. Mais ces preuves
historiques
de l’importance de Boccace peuvent fournir une ju
rchives Nationales. Casanova est entré dans le Domaine de l’Érudition
historique
et littéraire. Il n’est plus permis de douter d’u
mpanie) et qui constitue comme les précédents une série de promenades
historiques
, — cette fois dans l’Italie méridionale, dont les
t d’âme de plusieurs générations aboutissant à une grande réalisation
historique
. Mais dans une sorte d’identité de volonté littér
mps solide et simple, par une science harmonique très sûre. La vérité
historique
est saisie dans son essence éternelle, dans sa pu
qu’il l’a fait connaître, bien que, en définitive, le saint François
historique
ne diffère que par l’intensité du saint François
ace, mais le personnage de Robespierre y joue un rôle scrupuleusement
historique
. On ne sent pas, dans ce drame, l’approche de l’E
resque tous inédits, qui éclairent d’une manière lumineuse la période
historique
dans laquelle brille la figure de Confalonieri. L
acclamation. Toutefois, le souci de l’avenir politique, économique et
historique
de l’Italie impose aux ministres qui gouvernent,
ur italien. Après s’être d’abord lancé dans une abondante explication
historique
, il a dû s’arrêter au milieu d’une phrase, faute
tte limite pour le Trentin. Faut-il au contraire invoquer des raisons
historiques
et tenir compte du recul subi par l’élément itali
riens de la Grande Guerre, cette condition, que l’objet de la science
historique
est une question de psychologie. À l’étranger.
le mécanisme précis et fin de sa critique aux sujets philosophiques,
historiques
, sociologiques les plus divers, non sans dévoiler
lle-là ? Et est-il nécessaire de l’agrémenter de bévues théoriques et
historiques
? Je crois entendre Gargano me riposter : « Oui,
nthropologiques. Le sentiment ethnique est un produit essentiellement
historique
, en évolution continue. Houston Stewart Chamberla
de régénérer l’humanité en la reconduisant au germanisme. L’évolution
historique
a fait que la même race, en Bohême, s’est partagé
peut démontrer, par des exemples individuels, ce que vaut l’évolution
historique
; Treitschke, le plus grand historien de la doctr
ance « psychologique » (pardon !) de la Sainte), « des renseignements
historiques
ou la moindre clarté sur les faits réels ». Faits
phénomènes économiques une action trop déterminante dans l’évolution
historique
des peuples pour ne pas leur attribuer l’importan
y. Tome CXXII, numéro 458, 16 juillet 1917, p. 315-320 [320]. Revue
Historique
(mars-avril 1917). […] Émile Haumant. Un problème
isse pas penser que le nouveau musée puisse s’ouvrir dans le mausolée
historique
et l’on croit qu’un autre emplacement sera défini
, des volumes et des arguments, ethniques et linguistiques d’un côté,
historiques
et stratégiques de l’autre, n’a cependant jamais
x-ci annulèrent ce programme, pour ne faire étudier que des questions
historiques
, scientifiques ou sociales, sans rapports avec le
e dernier ambassadeur italien à Constantinople. Au cours des journées
historiques
qui décidèrent l’avenir de l’Italie, elle ne modi
Tome CXXIV, numéro 467, 1er décembre 1917, p. 503-507 [506]. Revue
Historique
(juillet-août 1917). […] Bulletin historique : Hi
p. 503-507 [506]. Revue Historique (juillet-août 1917). […] Bulletin
historique
: Histoire d’Italie. Période moderne, par Julien
influence n’y était pas étrangère, il y vit un sujet à dissertations
historiques
et sociales. Quand les organes bourgeois invoquèr
467, 1er décembre 1917, p. 566-576 [570-571]. Voici un petit document
historique
qui vaut la peine d’être signalé, que tous les jo
y. Tome CVII, numéro 402, 16 mars 1914, p. 364-369 [369]. […] Revue
historique
de la Révolution française et de l’Empire (novemb
que Stendhal n’a pas, en empruntant à Carpani quelques renseignements
historiques
, outrepassé les droits d’un écrivain consciencieu
ents entiers, tous les renseignements biographiques, tous les exposés
historiques
, toutes les analyses musicales, tous les jugement
n’a pas beaucoup moins emprunté à la partie esthétique qu’à la partie
historique
des Haydine. N’est-il pas incroyable, dit-il, que
ns déjà de très bonnes études sur l’Italie, a présenté un remarquable
historique
de l’Art et des artistes qui travaillèrent à Veni
gua Mr W. K. McClure, qui a rassemblé, dans un intéressant volume, un
historique
de la guerre. Il arriva à Tripoli le 19 novembre
s de choix, remarquables par leur beauté, leur rareté ou leur intérêt
historique
. Elles commencèrent d’être rassemblées par les an
hèlemy. Tome CIX, numéro 408, 16 juin 1914, p. 809-815 [815]. Revue
historique
de la Révolution Française et de l’Empire (janvie
aul Marmottan : Les Anglais en Toscane (nov.-déc. 1813). […] Bulletin
historique
: Les études napoléoniennes en Italie, premier Em
Tome CX, numéro 409, 1er juillet 1914, p. 141-146 [146]. […] Revue
historique
(mai-juin 1914). […] A. de Boicard : La suzeraine
rait être qualifiée de plus complète en ce sens que les personnalités
historiques
, désignées par des initiales dans l’édition origi
ous paraissent excessifs quand il s’agit de littérature plus ou moins
historique
, il y aurait lieu, à mon avis, de tenter une nouv
France que l’opéra étoit le grotesque de la poésie » ? — « Les sujets
historiques
pèchent par une trop grande sévérité, et il est b
re champ d’activité pure que l’expérience, en l’étendant aux sciences
historiques
. Ce sont elles qui enseignent désormais les grand
r la corruption romaine, — par suite, pour discerner le peu d’intérêt
historique
de cette corruption, l’illusion de ceux qui y voi
t on ne sait quel fait énorme et quel typique et exceptionnel facteur
historique
, — pour mettre ici les choses au point, disons-no
troupe Silvain a donné devant des invités le Saül incriminé. Voici l’
historique
rapide de l’événement. Le public ne s’est pas pro
. Voilà donc la figure très complexe qu’Alfieri créa de la souvenance
historique
et de la souvenance littéraire de l’Occident, et
retrouvons avec plaisir ce travail bien fait, abondant en indications
historiques
et topographiques et qui sera de la plus grande u
de qui elle s’est consacrée. L’idéalisme — soit dans son élaboration
historique
et que nous pourrions dire classique, soit dans s
intéressantes, vrai commentaire perpétuel du texte sous les rapports
historique
et archéologique. Cette partie des Mémoires de Ce
eur rédacteur doive nécessairement fort diminuer la valeur proprement
historique
de ces Mémoires, il se dégage de ceux-ci une véri
pas sans montrer ses institutions et ses personnages ; la comparaison
historique
en étendant l’horizon cérébral le peuple d’une mu
0, 16 septembre 1908, p. 313-318 [318]. […] — Au sommaire de la Revue
Historique
(Alcan, le n° 6 fr.), juillet-août 1908 : E. Rodo
toire de la papauté du xiiie au xve siècle » […] — Revue des Études
historiques
(Alph. Picard, 2 fr. 5o), mai-juin 1908 : Comte d
pulsion. En est-il donc ainsi ? La Renaissance n’est-elle pas un fait
historique
? N’est-elle pas, au double point de vue des Mœur
n de Nietzsche pour la Renaissance ? Le Protestantisme est-il un fait
historique
? Est-il niable qu’il soit l’expression d’un pouv
e trop paresseuse, et pour la conserver capable de remplir son devoir
historique
, il fallait qu’elle fît campagne… Il fallait que
administrateurs. Il fallait, en un mot, qu’elle remplît « son devoir
historique
». M. Ferrero insiste sans cesse sur ce point, da
notamment, observe M. Ferrero, en une remarquable page de psychologie
historique
, par toute cette jeune génération qui, n’ayant pa
le qui avait poussé la génération précédente vers les grandes sources
historiques
de la tradition et obligé Auguste à gouverner sel
gro et d’Albanie. Mais notre sœur latine a, elle aussi, ses souvenirs
historiques
dont le poids l’entraîne, et elle voudrait se con
ome CXIII, numéro 423, 1er février 1916, p. 516-520 [520]. […] Revue
historique
de la Révolution française et de l’Empire (janvie
Ce sont là des pages de tout premier ordre, des pages de philosophie
historique
. Je ne vois pas le moyen d’user d’autres mots apr
ée en Europe. On ne donnera jamais assez d’importance à cet événement
historique
. Il explique l’intolérance que les Italiens montr
oir l’amitié franco-italienne. Méfions-nous de la force des souvenirs
historiques
comme principes ! « Sans doute, conclut l’auteur,
qui, avec son Institut français de Florence et ses excellents travaux
historiques
, a tant contribué à améliorer les rapports entre
istinction et les gens cultivés n’en font pas non plus. Nos souvenirs
historiques
nous offrent des images et des formules nombreuse
source de bonté divine. Mais le divin est ailleurs. Le christianisme
historique
n’a pas vaincu cette épreuve. « Le Christ vivant
t entrepris de comprendre, après les teutonneries érudites de l’école
historique
et les teutonneries philosophiques de Croce, la p
nt tous les critiques européens contemporains. Après 1870, la méthode
historique
allemande a sévi en Italie comme ailleurs, mais a
ection Morrisson. M. Thomas Whitburn, conservateur honoraire du Musée
historique
des portraits, à Guildford, déclara sur l’honneur
onne pas une restitution suffisante du tombeau impérial, mais un long
historique
de ses premiers siècles ; ce fut à l’époque d’Aur
ensifs et par ailleurs stériles jusqu’ici, à l’avantage d’une culture
historique
à quoi s’accoutumerait sans y songer le plus gran
es constituent de précieux prétextes à la vulgarisation d’une culture
historique
, mais, si la Comédie et l’Odéon les pratiquent as
G. Ludwig s’était, pendant de longues années, consacré aux recherches
historiques
et, dès 1881, P. Molmenti avait publié une premiè
ge, et bien digne de nos méditations, car le triangle de l’expérience
historique
a l’Égypte et la Grèce pour base et le Christiani
309, 1er mai 1910, p. 126-133 [133]. […] Dernier sommaire de la Revue
Historique
(mars-avril 1910) : […] Georges Bourgin, « Santa-
des impressions de la ville éternelle, où se mêlent des réminiscences
historiques
et littéraires. Tome LXXXV, numéro 310, 16 ma
ecteur que des explications insuffisantes concernant les grands faits
historiques
et leur répercussion sur le monde. Mais laissons
auts ne le rattachaient pas à toute son œuvre, et surtout au « pathos
historique
» persistant et affaiblissant de sa race qui se s
e note M. Aldo Ravà, interrompait souvent l’exécution de ses tableaux
historiques
et mythologiques pour se reposer dans la peinture
ie que visitent coutumièrement les étrangers. Mais Bologne a un passé
historique
précieux et il y reste nombre d’œuvres remarquabl
nion s’ajoutaient aussi quatre pièces hors de pair : […] deux armures
historiques
complètes, celles du connétable de France Anne de
l’on fait dans toutes les grandes villes. En dehors de ces arguments
historiques
, il est affligeant de constater une fois de plus
et des sozial-demokrates allemands qui trouvent dans le matérialisme
historique
une justification des pires extravagances impéria
ne. M. C. Marabini, qui fut des combattants de la légion, a retracé l’
historique
de son organisation et de ses quelques jours de c
e aussi en descriptions et constatations curieuses comme en souvenirs
historiques
. Il a du coloris, de l’abondance, — parfois exces
vait réussi à faire décréter par la Commission centrale des monuments
historiques
que durant deux années le tableau ne pourrait êtr
il 1915 est maintenant connu de tout le monde et certaines fantaisies
historiques
ont fait leur temps. Ce traité a été conclu à l’i
uerre nous a fait vivre une vie si intense que les mois ont la valeur
historique
de dizaines d’années, et les années de siècles, e
nt du point de vue logique, mais aussi, et gravement, du point de vue
historique
, et mis en lumière combien était offensante pour
te ni découragement subit, et aux différentes phases de son évolution
historique
on constate, semble-t-il, le même miracle de géné
notre langue ». Sa réponse est la suivante : « Ce processus d’amnésie
historique
qui peu à peu s’est manifesté parmi nous, est cer
na, de Charles Henry et de tous ceux qui ont confronté avec la vérité
historique
les récits touffus du célèbre aventurier vénitien
s l’ensemble la scène est exacte et rien ne peut en altérer la valeur
historique
et l’intérêt documentaire. D’ailleurs, Casanova l
. Mémoires, IV, 469-471. 17. Section I. 18. Section V. 19. Revue
historique
, septembre-octobre 1907.
nde du masque de fer est fort antérieure à l’époque de cette anecdote
historique
. Elle semble remonter aux temps de la Chevalerie
n. Combien d’autres Matthioli la Bastille n’a-t-elle pas vus ? Raison
historique
pour laquelle il ne peut pas être le Masque de fe
représentent en même temps les gardiens les plus purs des traditions
historiques
nationales. Leur art, dérivé de celui de Carducci
cardi oublie sa passion patriotique, sa passion politique, sa passion
historique
, lorsqu’il « ne se souvient plus », et qu’il chan
nspiration carduccienne est encore ici trop évidente. Le « pathétique
historique
», qui la caractérise y est trop vif, pour que l’
éfendis mon projet. Enéa attaqua, avec véhémence, les reconstitutions
historiques
. — Tout y est prévu, réglé… sans surprise ! Oui,
esure, retardée par la folie de Charles VI. Je ne parle pas des faits
historiques
brutaux et bien connus, guerre civile et guerre é
traits de cette sympathique figure11. Memento [extrait] Revue
historique
, mars-avril 1911. G. Bloch : « La Plèbe romaine »
epolo : Antoine et Cléopâtre (à M. W.-C. Alexander), […]. Des notices
historiques
accompagnent la reproduction de chaque planche et
cles dramatiques de langue française » nous donnera Savonarole, drame
historique
en 7 tableaux, de M. Ivan Gilkin, le poète dont v
lemy. Tome XCII, numéro 339, 1er août 1911, p. 593-599 [598]. Revue
historique
(mai-juin 1911) : « La Plèbe romaine », fin, par
s tragiques en deçà des Alpes, ni au renouveau pur et simple du drame
historique
repris par quelques pâles poètes. Le succès tout
grandes aspirations nationales et de race. Sa contribution aux études
historiques
, toujours méticuleuse et très copieuse, s’est app
récit alerte, élégant et précis aboutit à la plus vivante restitution
historique
. Le plaisir passionné qu’y prit manifestement l’é
fut la remarquable représentation en juillet de Savonarole, le drame
historique
du poète Ivan Gilkin. Vous avez dit les mérites l
ume doit être beaucoup plus ennuyeux que les autres : 1° à cause de l’
historique
peu intéressant ou obscur des églises ; 2° à caus
ische Spaziergaenge et Gregorovius. Ils peuvent y trouver des détails
historiques
et pittoresques, des descriptions archéologiques
façon remarquable. En quelques pages le savant allemand nous refait l’
historique
de la domination sarrasine et normande sur la gra
drid, 1896. 10. Mercure de France de juillet 1903. 11. La critique
historique
du rôle des d’Orléans, de celui des Bourguignons
S. W. La cotisation est de 25 francs par an. 13. Bulletin du Comité
historique
, t. II, Paris, 1850, p. 119-125. Communication de
, p. 18. 49. Acte I, p. 18. 50. Acte I, p. 1. 51. Nyrop. Grammaire
historique
de la langue française, 2e éd., t. I, p. 33. 52.
nne bibliographie de ces récents travaux dans le Bulletin de la Revue
Historique
(novembre-décembre 1911), sous la signature de M.
idé de demander à son gouvernement la démolition immédiate du clocher
historique
de San Siro, à Gênes, pour éviter un désastre imm
er juin 1905, p. 419-423 [419] Il est mal aisé de trouver un ouvrage
historique
plus étayé, plus manifestement documenté. On pour
térêt qui s’attache à l’étude précise et très détaillée d’une période
historique
déterminée et formant drame avec péripéties et dé
sincèrement rendu au grand tragique grec. Ensuite il écrivit un drame
historique
, Lassalle, et un drame de paysans : la Terre. Le
ude, et deviennent messies ou apôtres. Leurs rôles sont immédiatement
historiques
. Chacun de leurs gestes est un signe de l’avenir
, les tableaux psychiques de leur race : ils semblent remplir un rôle
historique
. I Primogeniti de M. Antonio Beltramelli, un rec
public. Une première partie du livre est occupée ainsi par un résumé
historique
, subdivisé par périodes et règnes et qui concerne
ns le grand nombre des tombeaux, mausolées, statues dont l’importance
historique
, comme ceux de la maison d’Anjou, est souvent de
avec un esprit sûr et parfaitement moderne. Son ouvrage est à la fois
historique
et esthétique, et Histoire et Esthétique y sont é
hysique, après avoir été, dans les siècles, anecdotique d’abord, puis
historique
. La littérature à l’usage des enfants en Itali
ixe un des points les plus curieux et les plus importants de la thèse
historique
de l’auteur touchant le développement de Rome et
ait point penser à de grandes entreprises extérieures. « L’importance
historique
de Lucullus consiste, d’après moi, en ceci que, l
e mariage d’amour comme l’avenir le meilleur à réaliser. Reprenant un
historique
déjà fait par de nombreux écrivains, cet auteur n
rôle. Les épisodes que M. de Roberto nous raconte n’ont aucune valeur
historique
, en effet ; ce ne sont pas ces pièces justificati
ologie napoléonienne de M. Ferrero montre qu’il a puisé à des sources
historiques
fort peu sérieuses, et les inexactitudes fourmill
ou, dans un tableau des sociétés militaires, à citer comme une source
historique
les Mémoires… de d’Artagnan ! Je ne veux pas nier
ia d’un’ anima (pour l’histoire d’une âme), qui, à l’aide des sources
historiques
les plus importantes, nous donne une excellente b
e Walls, 150 pages de Lanzi qui, au milieu de son bavardage critique,
historique
et timide, sent bien les arts en sa qualité d’ita
la proposition de M. l’abbé Bossebœuf. Car à plus d’un titre l’ombre
historique
de Ludovic le More plane sur le tombeau inconnu d
grand animateur de toute son inspiration. Ce caractère est le pathos
historique
, analogue au pathos esthétique, qui anime, et meu
e, et meut, en beauté et en désordre l’œuvre de d’Annunzio. Le pathos
historique
de Carducci est celui de Victor Hugo ; cela est a
ithètes franchement laides de la Préface, il y a une foule de vérités
historiques
et esthétiques qui doivent être prises en considé
il y a l’autorité de M. Hochart, lequel étudie spécialement les temps
historiques
qui sont le sujet du pseudo-Tacite. Tome II,
Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907, p. 502-506 [506]. D’une étude
historique
et doctrinale sur le Procès de Galilée, par M. Ga
millénaire insoupçonnée, semble devoir changer plus d’une orientation
historique
. La maison d’Auguste, maintenant que la villa Mil
rsonnifiait depuis les temps les plus reculés la grandeur et l’esprit
historiques
du pays. Le gouvernement italien, qui avait les m
t, Littérature d’exception se comprend, si l’on n’a souci que du sens
historique
des mots, et si l’on se reporte à quelques années
à-dire ses négations, que l’auteur distingue en négations abstraites,
historiques
et sentimentales, non sans s’arrêter longuement s
dans les productions de ses rêves ; s’il n’y avait pas de témoignage
historique
précis, nous croirions que c’était là sa dame idé
d’une vraie bataille, peut dédommager l’auteur des longues recherches
historiques
, fatigantes et minutieuses, que l’étude du temps
e sorte de Virgile roumain. Remarquons ensuite une tentative de sujet
historique
, une page sombre, d’une horreur et d’une grandilo
— que, dans l’arrière-fond de sa pensée, le maître préparait un cycle
historique
dont, s’il s’était réalisé, la filiation eût pu s
beautés de la ville consiste en cette teinte ancienne, cette rouille
historique
dont les maisons se revêtent comme d’un deuil, et
uméro 131, 1er novembre 1900 Archéologie, voyages. Les Monuments
historiques
au Grand Palais [extraits] Charles Merki. Tom
e génie des individus et des peuples. Elle le conduit à une intuition
historique
d’une intensité et d’une profondeur presque sans
ez le critique d’art et chez le critique littéraire. C’est une vérité
historique
qui fait la valeur de son esthétique, et qui fait
par heu ! On verrait à tort, sous ce symbole biblique, une intention
historique
. Dante noie sa pensée dans un flot de citations e
Giovanni Episcopo, par Gabriele d’Annunzio. […] Revue des Questions
historiques
(janvier-mai). M. Beurlier disserte savamment sur
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