u roman de H. de Régnier a dû valoir à Casanova toute une phalange de
lecteurs
nouveaux. Ceux qui ne se sont pas contentés de fe
éparée et dont l’effet ne pouvait être douteux. Nous renvoyons ici le
lecteur
au texte des Mémoires. Il y verra comment Casanov
t occupe la fin du tome VI des Mémoires. § Nous ne croyons pas que le
lecteur
ait attendu la fin de cette analyse pour éprouver
: Le jour où je connus cette femme fut un jour néfaste pour moi, mes
lecteurs
pourront en juger. C’est vers la fin de septembre
sse, l’étreinte définitive dont l’attente énervée tient en haleine le
lecteur
pendant plus de cent pages. La scène de la séduct
joue le rôle du galant coiffeur, tout un ensemble de détails dont un
lecteur
attentif se rendra compte aisément et qu’il serai
temporaine ; sans paraître trop profond, ce qui aurait bouleversé les
lecteurs
paisibles du journal, il les tenait au courant de
Milan a surtout pour but de renouer des relations cordiales avec ses
lecteurs
habituels. Dans ces Note letterarie, l’auteur nou
entièrement la pensée de M. Oliva, lequel n’a pas su prévoir que les
lecteurs
d’un livre ne peuvent pas s’en tenir aux à peu pr
d’un livre ne peuvent pas s’en tenir aux à peu près qui suffisent aux
lecteurs
d’un journal. L’auteur donne, par exemple, un rés
son du sujet, le chapitre ne me semble pas suffisant, et il laisse le
lecteur
légèrement désappointé. Il fallait dire quelque c
pression, il fait des parenthèses, il amuse, il plaît. C’est tout. Le
lecteur
ne lui demande pas de détruire une école ou de dé
niversellement connus qui soient aujourd’hui : aux yeux du commun des
lecteurs
, il passe pour un grand savant. Son nom est attac
rée ? La lecture d’un livre de Lombroso édifie bientôt à cet égard le
lecteur
, s’il est attentif et intelligent. Troublante lec
de nous dire quel est au juste l’objet de son étude, de donner à ses
lecteurs
la possibilité de suivre sa pensée. Il ne songe p
l est le problème central du cas Lombroso. II La psychologie du
lecteur
moderne est encore à faire : psychologie complexe
eur moderne est encore à faire : psychologie complexe, en vérité ! Le
lecteur
moderne n’est pas un type simple, unique. C’est u
unique. C’est un être multiforme, ondoyant et divers, un Protée ? Le
lecteur
moderne s’appelle légion ! Le lecteur d’autrefois
oyant et divers, un Protée ? Le lecteur moderne s’appelle légion ! Le
lecteur
d’autrefois appartenait à une élite, c’était un h
ne lit aujourd’hui, mais lisant mieux. Le grave, le calme, le profond
lecteur
de jadis, celui qui méditait sur les grands in-fo
oublié. Le journalisme et la neurasthénie l’ont tué ! Aujourd’hui le
lecteur
capable de lire une œuvre scientifique ou littéra
les salons. Les livres de ces « vulgarisateurs » ont beaucoup plus de
lecteurs
que ceux des vrais savants : ils forment la princ
cultés ; ils ne dédaignent pas non plus de distraire et d’amuser leur
lecteur
, et celui-ci les quitte, content d’eux et de lui-
faction de ses désirs matériels la plus grande source de bonheur ? Le
lecteur
de journaux aime d’instinct Lombroso : il sent en
dégénérés, les médiocres sont les seuls hommes sains. Quelle joie le
lecteur
de journaux doit-il éprouver lorsque sa situation
tration correspondante se trouvent toujours ensemble sous les yeux du
lecteur
; il n’y a d’exception que pour le chant XXXIV de
uilibrées, disposées de manière à assurer leur unité ; où l’esprit du
lecteur
a lieu de se plaindre, l’œil du spectateur trouve
de cette manière ; en gentilhomme à la Nietzsche, il fait part à ses
lecteurs
des aventures qui égaient sa vie ; peu à peu, grâ
d’Annunzio étaient trop longs ; on ne badine pas avec la patience des
lecteurs
, même lorsqu’ils se posent en intellectuels ; ces
le Fuoco, dans son essence purement intellectuelle, a froissé plus de
lecteurs
qu’on ne peut croire ; c’est le poème de la mégal
peux pas entrer dans l’analyse des détails, peu intéressants pour des
lecteurs
français, et qui d’ailleurs pour tous ces poèmes
delinquente, I, 345. 14. I, p. 538. 15. Je certifie de nouveau aux
lecteurs
(précaution nécessaire, car la chose paraît à pei
nnes qui ne sont pus pour déplaire aux érudits, mais dont l’ordinaire
lecteur
pourrait s’impatienter ; à cela, on répond que Mr
Hewlett écrit certainement pour être là, mais il n’écrit pas pour le
lecteur
… Katharine Hooker : Wayfarers in Italy, cr. 8°
use et discutable en soi-même ; je prévois si bien les objections des
lecteurs
que je ne m’arrête pas à les exposer pour mon com
s, dont chaque strophe se compose à son tour de vingt et un vers. Mes
lecteurs
français peuvent se passer d’une analyse du poème
agnifique renommée de poète, et qui le fit préférer par bon nombre de
lecteurs
à M. d’Annunzio même. Mais désormais M. Pascoli,
vait vécu et quand il ne put plus vivre. Ses Mémoires transportent le
lecteur
à travers l’Europe, donnant, sur maintes affaires
raduellement forme. L’un de ces brouillons est intitulé : Casanova au
Lecteur
, un autre, Histoire de mon Existence, et un trois
c beaucoup moins de malice, dans les Mémoires (vol. III, p. 327). Les
lecteurs
des Mémoires se rappellent le duel de Casanova av
d fut attiré par ce nom : Charpillon, qui, comme s’en souviennent les
lecteurs
des Mémoires, est le nom de la harpie par qui Cas
de tableaux qui avait précédé et d’avoir fait passer sous les yeux du
lecteur
ce qui demeurera la plus grande gloire de Seganti
s, Casanova lui-même a senti le besoin de se ménager le crédit de ses
lecteurs
par une ingénieuse déclaration ; quand il a pris
heures j’eus le plaisir d’intéresser la plus brillante compagnie. Mes
lecteurs
connaissent cette histoire dont l’intérêt naît de
té plus sensible qu’il ne veut l’avouer. Enfin, quand il présente aux
lecteurs
ses Mémoires écrits en français, bien que sa lang
er sur nos belles Des mémoires un peu fidèles, Il plairait plus à son
lecteur
. Près d’elles il est en faveur, Et magna pars de
u long. Ici, dans une prison, sa présence s’admet parfaitement, et le
lecteur
a immédiatement l’image de ces pièces rondes qui
ne pourrait prendre pied ! C’est se jouer beaucoup de la crédulité du
lecteur
. Cette ouverture était celle faite en soulevant l
ui forme une des pages les plus émouvantes du récit, et qui laisse le
lecteur
terrifié et haletant sur les dangers que court l’
it. Ensuite, c’est que, dès que son parti était pris d’émotionner son
lecteur
par des situations dramatiques et invraisemblable
t de lui-même et chargeant la situation pour amuser et faire rire son
lecteur
. Quant à lui, il garde son sérieux ; il sait, et
lus perspicaces devaient s’arrêter. III L’imbroglio paraîtra au
lecteur
déjà assez compliqué. Mais voici qui ne devait pa
venture avec Esther est de celles qui demeurent dans l’esprit, de ses
lecteurs
. Manon Baletti cependant veille pour lui envoyer
our qu’une publication de ce genre soit éditée et trouve un public de
lecteurs
dans une petite ville des Abruzzes. Le traducteur
est un véritable imbroglio, tant les différences sont grandes, et le
lecteur
jugera avec nous, en constatant non seulement des
intention n’était pas de borner là ma course de la journée ; mais mon
lecteur
le sait, la bonne chère a toujours eu des charmes
ins quelque délit, qu’il va de lui-même au-devant de l’incrédulité du
lecteur
par cette phrase : « Ce récit est vrai de tout po
767, où l’auteur, afin de prouver la véracité de son récit, invite le
lecteur
à chercher le nom d’une femme qu’il ne nomme pas,
lui demander les moyens de pénétrer avec fruit à la Citadelle. Que le
lecteur
nous permette un hors-d’œuvre plaisant. Nous avio
anova comme espion du tribunal aurait peut-être peu d’intérêt pour le
lecteur
si leur découverte par Armand Baschet n’éclairait
mmées), contées d’une façon aussi originale, sont un attrait pour les
lecteurs
passionnés des merveilleux conteurs : Boccace, Ba
uantenaire pour les femmes devient crapuleuse, et va exciter chez son
lecteur
, s’il ne la cache pas, un mouvement de dégoût et
, il allait nuire à l’attrait de son livre, et le faire fermer par le
lecteur
qu’il avait tant intéressé jusqu’alors, et qui, c
s avant de finir : Dix ans plus tard, il me fut utile, ainsi que mes
lecteurs
le verront, dans le tome suivant qui sera peut-êt
du cadre de ces chroniques littéraires que de pousser l’attention du
lecteur
vers les conditions actuelles de la péninsule eng
itulée : Marthe et Marie. Je vous prie de vouloir bien signaler à vos
lecteurs
que j’ai traité avec M. Gabriel d’Annunzio pour u
u long. Ici, dans une prison, sa présence s’admet parfaitement, et le
lecteur
a immédiatement l’image de ces pièces rondes qui
de l’édition originale de la Fuite (p. 265) : Deux mots encore à mon
lecteur
et j’ai fini. Le nommé Andreoli, qui m’ouvrit nat
monde. On n’échappe guère à sa destinée qui est de vouloir plaire aux
lecteurs
, sinon de chercher à se mieux vendre chez son lib
ouvent de M. d’Annunzio. Mais cet écrivain est impitoyable envers ses
lecteurs
, comme envers lui-même. Il ne chôme jamais. Et si
ières lignes de la préface, sobre et noble, nous rassurent : « Que le
lecteur
ou l’aimable lectrice ne croie pas que je prétend
éface, sobre et noble, nous rassurent : « Que le lecteur ou l’aimable
lectrice
ne croie pas que je prétende faire ce à quoi je n
roque du romantisme sur une charpente vraiment humaine qu’il prend le
lecteur
au piège de ses reflets chatoyants ; cela vit, mo
ce genre d’ouvrages, c’est qu’il s’adresse indistinctement à tous les
lecteurs
, à celui qui est à Florence, parce qu’il lui appr
yrique et des forces esthétiques innovatrices. 1. En France, un
lecteur
qui commettrait l’imprudence de fourrer sa canne
lla parmi Camoens, le Tasse et Milton ! Il y aura peut-être quelques
lecteurs
, déclare-t-il négligemment, qui s’étonneront que
l’Énéide. On peut même dire que ce genre, plus agréable au commun des
lecteurs
, est cependant très inférieur au véritable Poème
gique de la sexualité, compréhension qui échappe naturellement à tout
lecteur
superficiel ou lourdement traditionaliste. Dans U
extrait] […] Das literarische Echo (1er mai) fait connaître à ses
lecteurs
, par la plume de Mme Hélène Zimmern, l’écrivain i
pression de violente originalité rythmique, à laquelle l’attention du
lecteur
est perpétuellement enchaînée, et par laquelle el
nunzio a du génie et c’est justement pour cela qu’il embête un peu le
lecteur
français très habitué aux conventions littéraires
. De là un air d’ennui et de lassitude qui se communique peu à peu au
lecteur
. Rien de cela avec M. André Lebey. Son récit est
mais j’ai le vague soupçon qu’il y a des milliers et des milliers de
lecteurs
qui prennent un plaisir fou aux aventures mi-reli
cette manière une région presque inconnue à la grande majorité de ses
lecteurs
, en se montrant poète bizarre, hardi, spirituel,
ter à la première de Francesca, jouée à Rome le 9 décembre passé. Les
lecteurs
des principaux journaux parisiens ont été renseig
e et les femmes des Césars ; un sujet à enivrer le plus apathique des
lecteurs
. M. Silvagni affronte courageusement un thème ple
ni est passé maître, et c’est de savoir raconter et de contraindre le
lecteur
à se passionner à ce qu’on lui expose. L’étude es
ratives chez les Chinois, la poudre sans fumée, etc. Je crois que les
lecteurs
de cette revue seront proposés au plus tôt pour l
n qui s’intitule pompeusement La Badia de Fiesole doit communiquer au
lecteur
l’atmosphère dont s’imprégna le traducteur. Sauf
mezzo, à respirer encore un peu d’air frais, et à rendre compte à mes
lecteurs
, — ils m’auront oublié et ils auront bien fait, a
duquel j’ai eu l’honneur de présenter la silhouette il y a un an aux
lecteurs
du Mercure. R. Quaglino : Dialoghi d’esteta (M
ium semble être ceci, que Victor Hugo plaît à un plus grand nombre de
lecteurs
que Verlaine. Victor Hugo, et M. de Roberto allèg
ression obscure, Symbolistes, ont dérouté pendant bien des années des
lecteurs
pourtant attentifs et curieux ; ils crurent que V
r Hugo », le monstre se trouva adouci et comme aplani : le peuple des
lecteurs
passa sans peur la main sur son dos devenu doux c
uand on y rencontre la naissance d’un enfant dont il parle, et que le
lecteur
n’a trouvé auparavant qu’un baiser sur la bouche,
sicographes, qui sont et resteront sans doute ses derniers et uniques
lecteurs
. On y trouve maints renseignements utiles pour la
uïe : trente-deux éditions n’ont pas suffi à épuiser l’admiration des
lecteurs
. C’est le poète qui s’est le mieux « vendu » dans
ssez disparates ; mais rapidement l’enchaînement apparaît aux yeux du
lecteur
, qui s’aperçoit que l’auteur s’est laissé guider
tres nuls il réussit à créer une émotion qui semble nouvelle même aux
lecteurs
de Dickens et Dostoïevski. Le dénombrement des fl
kkan Yosano, Nobutsuna Sasaki, Isamu Yoshii) tout à fait inconnus aux
lecteurs
de l’Occident : Poesie Giapponesi. Il paraît qu’a
in à écrire la phrase citée ci-dessus, c’est ce dont je fais juge les
lecteurs
de notre Mercure. M. Cochin me paraît être dans l
it des « minoritaires », de déformer les événements aux yeux de leurs
lecteurs
. Lorsqu’est survenue la révolution russe, ils ont
vent une ligne politique déterminée, et non ceux qui exposent à leurs
lecteurs
toutes les tendances. La Tribuna est à ce point d
ent « échoppé » par la censure : le numéro du 4 novembre offrit à ses
lecteurs
une première page entièrement blanche. MM. Lazzar
retour d’Italie des troupes françaises à Solférino. Il sera facile au
lecteur
de retrouver à quelle date cette rencontre a eu l
quelque peu en arrière, pour nous livrer à quelques réflexions. Si le
lecteur
veut bien se reporter à la chronique que nous écr
e idée précise des événements qu’ils prétendent révéler. Peut-être le
lecteur
nous saura-t-il gré d’apporter quelque clarté à c
maison se dit andare a casa et jamais alla casa. Et maintenant que le
lecteur
juge. En vous remerciant, Monsieur le Directeur,
omplètement Turati. En lisant l’article documenté de la Victoire, vos
lecteurs
diront si j’ai exagéré. Qu’il nous suffise d’en r
re des procédés de polémique de M. Piérard a suffisamment éclairé les
lecteurs
, pour qu’ils comprennent que j’ai toutes les rais
ffre involontairement de causer de nouveau quelques instants avec les
lecteurs
du Mercure de France de ces questions italiennes
cissements nécessaires nous seront connus, nous commenterons pour nos
lecteurs
cet événement, qui fait le plus grand honneur à l
iothèque du British Museum où le père Secchi dévisagea rapidement les
lecteurs
; il s’arrêta devant l’un deux et lui dit : « Bo
erdi et sur les temps présents M. Camille Bellaigue entretient les
lecteurs
de la Revue des Deux Mondes (1er août) d’Arrigo B
passagère de l’art de l’auteur. L’interprétation n’intéresse guère le
lecteur
français. Elle a mérité les éloges de critiques a
, passe en revue les croyances des « sauvages », bien qu’il laisse au
lecteur
italien le soin de comparer la teneur et le mécan
i de la salle Favart. Naguère, en février 1903, je dus entretenir les
lecteurs
du Mercure de cette partition que, sur les compét
e succès le plus légitime. Mais ici le texte seul suffit à retenir le
lecteur
. Dire que le livre est mis au courant de toutes l
e et chevalier du soleil ont perdu leur prestige pour des générations
lectrices
de l’Assommoir : pour ceux qui ne se désaltèrent
à examiner ce qui est en rapport immédiat avec Venise, et ne donne au
lecteur
que des explications insuffisantes concernant les
les deux livres. — Au moins pouvait-il prévenir, car il semble que le
lecteur
a un peu le droit, se grattant la tête, de trouve
e et Floche, toutes deux d’une exquise amoralité, un peu trop grandes
lectrices
peut-être de la littérature de Willy, mais si naï
t exemplaires numérotés sur Chine ! C’est la cité rêvée de toutes les
lectrices
de province, le phare éblouissant vers lequel se
inci d’après ses manuscrits ont paru dans le Mercure de France et les
lecteurs
de cette revue n’ont pas oublié ces belles et ori
98, 16 janvier 1914, p. 361-368 [367]. Roman du bon vieux temps où le
lecteur
aimait à trembler devant des tableaux un peu pous
ion est resté presque toujours méconnu. Je tâcherai de renseigner les
lecteurs
du Mercure sur la véritable signification du Futu
et que son horreur inspirera la haine de la jalousie. Et maintenant,
Lecteur
bénévole, écoute ma chronique : * La première scè
qualité de l’héroïne, sur laquelle la suite de mon récit édifiera le
lecteur
. Je sentis que j’avais, effectivement, été trop l
our le mal ne demeurent pas oisifs en ce monde. Quant à moi, bénévole
Lecteur
, je te promets, pour bientôt, une nouvelle histoi
, qui lui objecta qu’une traduction de l’italien ne trouverait pas de
lecteur
. C’est alors que Stendhal intercala quelques réfl
anthropologique et politique. On instituera le « lectorat » avec des
lecteurs
indigènes pour les principales langues étrangères
ce nom, dans son orthographe casanovienne, défectueuse, suffise à un
lecteur
avisé pour lui suggérer une restitution définitiv
, disons-le franchement, les Mémoires auraient rebuté des milliers de
lecteurs
, et Sainte-Beuve n’en eût certes pas vanté « la f
torique, en effet ; ce ne sont pas ces pièces justificatives que tout
lecteur
est en droit d’attendre. Je peux croire qu’il s’a
et phonique de son ami d’Annunzio ; peu de chose, sans doute, mais un
lecteur
attentif ne s’y trompe pas. Ce sont des nuances,
ccès, en pensant justement qu’il suffit quelquefois d’avoir un gentil
lecteur
qui nous comprenne et nous admire… mais il ne fau
s admire… mais il ne faut pas pousser les choses au point que ce seul
lecteur
soit l’auteur même… M. Lucini n’en est pas encore
concerne cette richesse de la conception de M. Ferrero, j’avertis le
lecteur
de ne se contenter absolument pas de l’analyse né
ut. Cette analyse ne veut être qu’une suggestion destinée à donner au
lecteur
(à supposer qu’il en ait besoin) le désir d’ouvri
ts qui veulent avant tout des enfants sains et heureux. Je renvoie le
lecteur
à un ouvrage paru avant la guerre et reconnu exce
, et elle suffit à notre joie intellectuelle. Tout écrivain — et tout
lecteur
— a le droit de préférer la poésie d’un site ou l
sation du couple, poésie des seules étreintes durables, — apparaît au
lecteur
le moins initié. Je ne sais pas d’esquisses plus
us voilée, plus mystérieuse, surtout moins accessible au vulgaire des
lecteurs
, et c’est d’ailleurs ce qui a déconcerté bien des
« Je ne voudrais pas laisser paraître ce petit livre sans avertir le
lecteur
qu’il n’y trouvera rien qui se rapporte aux événe
ai maintenant de le traduire, de lui attribuer son véritable sens. Le
lecteur
sait au moins que Dante n’était ni un maniaque de
mmentaire des Canzones n’aurait pu accomplir sa mission en latin. (Le
lecteur
est prié d’entendre par le latin l’orthodoxie rom
rose pour les accommoder à la paresse et à l’ignorance croissantes de
lecteurs
plus nombreux. De cette origine le roman garde la
hes fébriles, anxieuses, dont il se dégage encore aujourd’hui pour le
lecteur
une impression pénible. Et cependant le cabinet d
sifs de Rome, il suppose des avantages à peu près semblables chez ses
lecteurs
, ce qui peut bien, on en doit convenir, ne pas êt
La Nuova Antologia (1er janvier). M. Giovanni Papini présente aux
lecteurs
italiens Rodolphe Eucken. L’article de M Papini,
e, à la fin d’une rapide revue du roman contemporain d’outre-mont, le
lecteur
sera-t-il d’avis qu’un événement du même caractèr
nt n’est pas écrit réellement en une langue synthétique. Il offre aux
lecteurs
internationaux le plaisir vague de tout recueil p
tistique, à quelque genre qu’il appartienne, exerce avant tout sur le
lecteur
un charme égal à celui d’un tableau, d’une sculpt
est-à-dire son ordre factice, peut bien venir du souci de trouver des
lecteurs
, mais qu’il vient plus sûrement encore d’une cert
ique de M. Gabriel d’Annunzio, semble devoir révéler immédiatement au
lecteur
que l’évocation de la malheureuse Crétoise, femme
e Mme de Saint-Point. La poétesse française aussi étonna ses premiers
lecteurs
par sa hardiesse harmonieuse et par un profond mé
x ou trois peintres très honorables de qui j’ai naguère entretenu nos
lecteurs
. La section italienne, en ce Salon, s’est défendu
phie et de la poésie. La revue Cœnobium, qui a posé ce problème à ses
lecteurs
, le problème de la synthèse mystico-scientifique,
s’impose. L’émotion qui en prolonge et en brise les rythmes gagne le
lecteur
. Cette émotion tient souvent lieu de pensée. Elle
il a été question plus haut. 45. Giovanni-Angelo Papio, de Salerne,
lecteur
à l’Université d’Avignon, puis professeur à Bolog
e de la Tragédie qui passionne notre esprit méditerranéen, et que les
lecteurs
du Mercure ont connue dans les termes précis de s
feu follet qui passe, quand le soleil chaque jour nous éblouit ! § Le
lecteur
a dû éprouver un étonnement extrême aux textes si
belle. Et ce qui lui fait surtout du tort, à mon gré, en irritant le
lecteur
qui ne cherche que la poésie dans un livre de poè
iviez, le genre de style, l’idiome, la légèreté du sujet et celle des
lecteurs
que vous aviez en vue… » En France, au xve sièc
la fin, sur les deux vers rimant entre eux, qui reposent l’esprit du
lecteur
en le charmant. Elle est parfaitement mélodique,
ses apparences très simples, d’un prosateur, M. Luciano Zuccoli. Les
lecteurs
du Mercure connaissent depuis fort longtemps ce f
ouloureux, deux types qui composent une seule navrante douleur que le
lecteur
garde pendant longtemps dans les archives obscure
t libre-pensée, tout a été accompli par les humanistes. Je supplie le
lecteur
de ne pas céder au mouvement d’une intransigeance
e plus fidèle de la haute culture en l’an 1250. La théologie, pour le
lecteur
de Saint-Louis, ne forme qu’une partie de la scie
sa faveur qu’aux sciences sacrées : cela aurait-il empêché un moine,
lecteur
de Tauler, de dire que nous appartenons tous au s
be, il ment avec ampleur et sur un mode biblique qui étourdit même le
lecteur
averti : il faut le surprendre, par exemple, dans
franchir de toutes les règles qui ne sont pas purement musicales. Les
lecteurs
du Mercure savent que dans La Néva notre ami Loui
s poètes, mais je suis ces derniers. Le troisième sens est moral : le
lecteur
doit le chercher et se l’appliquer. Quand Jésus m
M. Rodocanachi de son désintéressement. Mais on peut craindre que le
lecteur
, obligé de faire lui-même un travail de restituti
raphie critique précède l’œuvre choisie de chacun de ces conteurs. Le
lecteur
ne les lira guère, tenté d’abord par ces histoire
e italienne. Et je commence par rechercher si les sept années que les
lecteurs
du Mercure ont vu notées par la critique de M. Zu
planches répètent l’état actuel et des plans superposés permettent au
lecteur
de reconnaître la disposition définitivement étab
éveloppe la phalange orchestrale. Souvent ces vers suscitent dans le
lecteur
des visions plastiques et colorées, rouges et noi
taine affectation de singularité. À quoi bon, disait-il, avertir ses
lecteurs
qu’on a médité ! Est-ce donc là quelque chose de
d, l’abbé Prévost et l’avocat Gerbier. Edward Young surtout avait des
lecteurs
passionnés dans la société bourgeoise et lettrée.
y. Tome LVII, numéro 200, 15 octobre 1905, p. 589-595 [589-590]. Nos
lecteurs
se souviennent sans doute de la critique que nous
œuvres, précédées d’un avertissement par lequel elle donnoit advis au
lecteur
qu’elle avoit heureusement trouvé un exemplaire d
question de nos jours. Le beau livre de Mr Orbaan reconstruit pour le
lecteur
la Rome de cette époque. Tome XCI, numéro 335
lle gloire peut être plus digne du maître florentin que de forcer son
lecteur
à évoquer la figure et le génie de son immortel a
ps ajoute : « Baudelaire a imité de Longfellow (mais en prévenant le
lecteur
) un poème qu’il a intitulé le Calumet de paix. Ce
sulte une étude vaste et intégrale, intéressante pour toute espèce de
lecteurs
; pour les profanes, parce que son style clair et
rimée, avec laquelle Mme Grazia Deledda sévit encore une fois sur ses
lecteurs
, que je ne sais quel hasard éditorial lui a procu
franc et si haut qu’une singulière ivresse de l’inspiration saisit le
lecteur
. C’est un lyrisme qui fond parfaitement le sentim
dont, au lendemain de son entrée au Louvre, nous avons entretenu les
lecteurs
du Mercure 60. C’est une œuvre magistrale, dont l
où l’on peut extraire maintes pages de gracieuse poésie à l’usage des
lectrices
qui préfèrent les Sonates de Mozart à la douche,
owski ont trouvé un public très large en Pologne ; ils ont trouvé des
lecteurs
bénévoles en Allemagne : je suis sûr que ces œuvr
on point de vigueur réelle et d’intensité véritable. Quand les jeunes
lecteurs
auront vu ce poète de la volonté et de la raison
orcent à m’arrêter devant les Alpes italiennes et à prendre congé des
lecteurs
de cette chronique. Pendant ces dix dernières ann
cation tout au moins, je suis un Méditerranéen (cela est bien égal au
lecteur
, mais, par ce temps de vacances, il me passera qu
r la partie relative aux séjours à Paris, procure à l’histoire et aux
lecteurs
aimant que leur plaisir ne soit pas frelaté le bé
je me bornerai à signaler — pour donner une espèce d’orientation aux
lecteurs
— les groupements où sont réunis, à cette heure-c
et souvent elle a réussi à imposer ses vues. Je rappellerai, pour les
lecteurs
français, les batailles victorieuses pour la scul
, sera mensuelle pendant la durée des hostilités, afin d’offrir à ses
lecteurs
une consultation internationale sur la guerre. I
riété de l’expression, vivacité du style, tout concourt à captiver le
lecteur
et à fixer dans son esprit une impression synthét
lanaises et dont l’esprit excessif de dénigrement risque de mettre le
lecteur
en défiance. Un livre d’art n’est pas un article
ggestif, qui explique à posteriori le sujet, et ne le révèle point au
lecteur
distrait : Le Cantique (Il Cantico). C’est le der
15. Stendhal est à Milan, mais il a l’innocente manie de dérouter son
lecteur
. 16. C’est à peu près le titre même de Lanzi. 1
frère, il songe aussi à être utile à sa sœur. C’est peut-être le seul
lecteur
à qui il pense, à ce moment-là. Même conception d
eurs de nos critiques patentés. J’ai cru donc qu’il intéresserait les
lecteurs
du Mercure de France de savoir ce que pense un de
▲