Domenica (23 décembre). — Vittorio Pica, Letterati belgi. Revue de la
littérature
française de Belgique depuis 1870. Il est questio
egna Internationale. — Cette nouvelle revue fait une grande part à la
littérature
française. Nous relevons dans la table du tome Ie
la Culture des Idées. Tome XXXVII, numéro 135, 1er mars 1901
Littérature
. Philippe Monnier, Le Quattrocento. Essai sur l’h
que, transcendantal ; l’ex-prêtre vit paisible, donnant des leçons de
littérature
aux élèves d’un Institut et écrivant quelque livr
piciers. Une inauguration typique Bien qu’il ne s’agisse pas de
littérature
, je ne peux pas passer sous silence un événement
leur rapporterait !… Tome XXXVIII, numéro 137, 1er mai 1901
Littérature
Henri de Régnier. Tome XXXVIII, numéro 137, 1
59-563. Voilà assez longtemps que nous nous appelons les jeunes de la
littérature
italienne. Sans faire tort à personne et tout en
eurs, journaux, public, et nous les avons habitués à compter avec une
littérature
italienne moderne ; lorsque les Très-jeunes seron
de France, et qu’il paraissait absurde d’attendre quelque chose d’une
littérature
nationale. Il y avait d’Annunzio, Fogazzaro et pl
qu’on les rencontrera tous dans dix ans. Quoique les conditions de la
littérature
italienne soient extrêmement plus favorables que
l n’a publié que des plaquettes, qui, dans le mouvement fébrile de la
littérature
moderne, ne suffisent pas à répandre son nom dans
dront l’adopter. » Tome XXXIX, numéro 139, 1er juillet 1901
Littérature
. Pierre de Bouchaud, La Sculpture à Rome, de l’An
. Pierre de Bouchaud, c’est marquer qu’on y trouva des impressions de
littérature
et d’art autant que des nouveautés d’érudition. L
un petit nombre à peine doit survivre. Après Mefistofele, et, pour la
littérature
, le Libro dei versi qui à son heure n’avait fait
es qui nous donnèrent, à ne nommer que les plus fameux, D’Annunzio en
littérature
, Scarfoglio dans le journalisme, Michetti dans la
elles et des plus mûres promesses de notre critique d’art et de notre
littérature
. Ce jeune homme est un mélange de contradictions
talienne. Bref, il n’est autre que le marquis Gaspare Invrea, mais en
littérature
on doit soigneusement l’ignorer : sous son pseudo
re 1901, p. 528-534 [533]. La Nouvelle Revue (15 septembre). […] — La
littérature
actuelle en Sicile, par M. G. Dejob. […] La Fr
’on puisse faire d’un diamant est de l’appeler un solitaire.” Dans la
littérature
, Barbey d’Aurevilly est bien un solitaire. Il n’a
s raisonnable et plus équitable que la froideur de nos professeurs de
littérature
devant l’auteur inimitable, après tout — des Diab
ins italiens les plus distingués et les mieux instruits de la récente
littérature
française. Cette étude, bien comprise, renferme l
rvieto, de Adolfo Albertazzi, de Mario Morasso, etc. Alors quand la
littérature
d’Italie n’est pas provinciale ou particulariste,
écrivains italiens songent à l’Europe : ils écrivent pour Paris. Leur
littérature
— si l’on excepte Fogazzaro, Verga, la Serao — re
e des idées, pas de souci de continuer ou de violer la tradition. Une
littérature
dont l’individualisme sans principes se développe
n intéressante et précisément sur ce sujet : Y a-t-il aujourd’hui une
littérature
italienne ? M. Ojetti a parlé le premier ; puis M
e de la pastorale italienne et l’influence de l’Aminta sur toutes les
littératures
de l’Europe au xviie siècle. En l’an 1700 l’Ital
elle du récit, de la confession, l’auteur est resté dans le ton de la
littérature
objective, — analysant une situation donnée avec
ole des critiques « scientistes », de ceux pour qui tout phénomène de
littérature
et d’art est une monstruosité pathologique, de ce
. […] — 3° Anthologie-Revue de France et d’Italie, recueil mensuel de
littérature
et d’art ; — direction et rédaction, 19 via Ponta
-Orland. « Étant donné qu’en Italie on professe pour la langue et la
littérature
françaises un goût très marqué ; que la plupart d
ieux, publiait, — au Corriere della Sera de Milan des articles sur la
littérature
contemporaine ; sans paraître trop profond, ce qu
es. Les deux dames respectables, plus amies des prêtres que la grande
littérature
, enfermèrent les documents parmi leurs frusques e
et autres, poètes, romanciers, critiques, pratiquant et détendant une
littérature
d’art et d’idée. Il est très apprécié en Allemagn
Tome II, numéro 14, février 1891 La
littérature
« Maldoror » [extrait] Remy de Gourmont. Tome
ime moderne, de M. Taine. […] Tome II, numéro 16, avril 1891
Littérature
italienne R. G. [Remy de Gourmont]. Tome II, n
souple et clair, émergeant de la selva oscura, du vague taillis de la
littérature
cisalpine, où quelques bons bûcherons — quelques
de patrie et l’appelle « la carcasse d’un idéal putréfié » 3. […]
Littérature
italienne R. G. [Remy de Gourmont]. Tome II, n
di Savoia, duca d’Aosta. Tome III, numéro 19, juillet 1891
Littérature
italienne R. G. [Remy de Gourmont]. Tome III,
se l’enquête Huret et fait preuve d’une amusante inconnaissance de la
littérature
française contemporaine. Sur Verlaine : « Le frèr
as dupe du ridicule aphorisme souvent, à cette heure, proféré, que la
littérature
actuelle se caractérise par « trop de talent !» —
Tome XIII, numéro 62, février 1895 Essais de
littérature
italienne. Giosuè Carducci Augusto Ferrero. T
es modérés, autant dans le champ de la politique que dans celui de la
littérature
. En ces dernières années, on le sait, Giosuè Card
article du professeur Guillaume Ferrero sur La Maladie mystique et la
Littérature
. « En dépit des machines, dit M. Ferrero, de la
isme était devenu presque proverbial, comme la France et l’Italie. La
littérature
et l’art en sont même pénétrés de telle sorte que
rnière partie de l’article de M. Ferrero est au moins inattendue : la
littérature
mystique ou « morbide » est un dérivatif qui sauv
les âges grossiers et ignorants où n’existait pas le dérivatif de la
littérature
, ont été une des causes les plus puissantes des t
leurs penchants anormaux. » Écrivez donc, Messieurs les malades de la
littérature
, symbolistes, préraphaélites, parnassiens, tolsto
[…] Le Convito, — c’est une nouvelle revue de grand luxe et de belle
littérature
que, sous la direction de M. d’Annunzio, publie à
Supérieure d’Alger. C’est à cet Institut que professe la langue et la
littérature
hébraïques Salvatore Minocchi, auteur de travaux
es religions orientales. Il a démissionné en 1904 pour s’adonner à la
littérature
et n’a pas encore, je crois, de successeur. La ch
Tome LXXXIII, numéro 302, 16 janvier 1910 Le Machinisme dans la
Littérature
contemporaine [extrait] Émile Magne. Tome LXXX
urgisse l’érudit suffisamment informé dans les quatre ou cinq grandes
littératures
de l’Europe occidentale pour composer le livre qu
Roland, G. L. Passerini tr. Soc. T. Ed. Coop. Città di Castello La
littérature
italienne vient de « s’enrichir » de deux traduct
i désigne un apport considérable de richesse dans le patrimoine d’une
littérature
, est ici parfaitement à sa place. Les Italiens, q
arfaitement à sa place. Les Italiens, qui, pour leur connaissance des
littératures
et des philosophies étrangères, utilisent général
grammairiens italiens vers l’étude des sources de la langue et de la
littérature
nationales. Au xixe siècle, plus qu’en tout autr
idéologiques et sectaires, ou bien les types humains des romans de la
littérature
provençale, impressionnaient les esprits cultivés
remplir, de ses accents, de ses descriptions et de ses cris, toute la
littérature
. En vain Pascal et Bossuet, nos plus grands écriv
, égratigne, attaque, discute, dogmatise et pérore ; bref, fait de la
littérature
. Il lui fallait du bruit, de la réclame : il est
ciotto Canudo. Tome LXXXV, numéro 311, 1er juin 1910, p. 558-561. La
littérature
italienne vient d’alléger doublement dans la même
cune tradition nationale, ils ondoient entre le loisir de faire de la
littérature
un peu neuve, et toute la réminiscence patriotiqu
si matériels et acharnés que les siens vont s’engouffrer au nom de la
littérature
. La génération des Rovetta ne finit pas avec lui.
sé de la pensée et du langage, d’un heureux épanouissement, en pleine
littérature
moderne, des bourgeons séculaires de la langue ;
toujours nourri des fruits les plus beaux et les plus opulents de la
littérature
française, depuis qu’il naquit à la Poésie, et qu
u temps et une éclosion plus récente dans les domaines nouveaux de la
littérature
sont nécessaires aux Chants « du grand Midi » nie
st la même. Les régions de langue italienne sont assez liées par leur
littérature
basée sur le triangle d’expression littéraire qui
Méli ressemble peu à celui du vénitien Goldoni ou du romain Belli. La
littérature
dialectale, surtout en Italie, où les dialectes s
te orientation psychologique générale est éminemment populaire. Toute
littérature
dialectale est forcément populaire. Elle est basé
le élévation, est inévitablement réaliste. Le caractère même de toute
littérature
réaliste n’est-il point celui du dédain pour tout
guglia. Salvatore di Giacomo : Assunta Spina Au surplus, cette
littérature
fait partie du folklore. À ce point de vue, il es
litude. Il s’enferma loin des manifestations par trop bruyantes d’une
littérature
et d’une philosophie qui se voulaient nouvelles,
uvre d’Alfredo Oriani se ferme, pour l’histoire de la pensée et de la
littérature
italiennes, un cycle de cent ans, qu’un autre gra
les plus profonds d’un grand poète avec les Antiques est une étude de
littérature
comparée, qui est à la fois l’œuvre remarquable d
dernièrement que l’université de Birmingham a besoin d’une chaire de
littérature
grecque, puisque les hommes ne sont pas nés pour
dans la ville unique. Cette foi s’est répandue, s’est exprimée en une
littérature
copieuse qui a renforcé l’enthousiasme lui-même.
de lettres. S’ils étaient pris par la couleur, nous le sommes par la
littérature
. S’ils étaient hypnotisés par les lignes, nous le
étaient aussi des ressources magnifiques pour alimenter dix années de
littérature
. Une fresque de la Mort et de la Volupté, voilà d
e croit de la sensibilité supérieure (!) se rue vers l’Adriatique. La
littérature
vénitienne reflue des artistes vers l’élite : dés
dèrent avec une sorte d’effroi tragique dans un décor aussi chargé de
littérature
et, anxieusement, s’interrogent à toute minute po
usqu’à l’inceste, depuis le crime passionnel jusqu’à l’homosexualité,
littérature
de faux malades et de moribonds à la manque, écri
titudes littéraires on a commis en votre nom !… Heureusement toute la
littérature
française contemporaine ne se compose pas de ces
vec les auteurs du Voluptueux Voyage ce que nous pourrions appeler la
littérature
satirique vénitienne. Il ne sied pas seulement qu
’une exquise amoralité, un peu trop grandes lectrices peut-être de la
littérature
de Willy, mais si naïvement corrompues qu’on leur
ureux et tous les poètes, vrais ou faux, tous les concierges épris de
littérature
et tous les vrais gens de lettres y surgissent, y
et la cité tragique où l’on goûterait, avec quelle volupté chargée de
littérature
! quelque « bonheur dans le crime » même si l’on
époque, la toile de fond devant laquelle il se sera débité le plus de
littérature
depuis vingt ans, l’accessoire indispensable à to
clare incapable. Tome LXXXVIII, numéro 322, 16 novembre 1910
Littérature
. Memento [extrait] Jean de Gourmont. Tome LXXX
1910, p. 309-313 [313]. […] Ce que doit la France à l’Italie dans la
Littérature
, par Umberto Maspes (Paris, 1909). Petit catalogu
M. Maspes nous promet, en compensation, un autre essai : « Ce que la
littérature
italienne a reçu de la littérature française. » [
tion, un autre essai : « Ce que la littérature italienne a reçu de la
littérature
française. » […] Les Théâtres. Odéon : les Pl
st une impression de fin du monde. Il n’y a de pareil dans toutes les
littératures
qu’un morceau de M. Rosny, intitulé « Tornadres »
tentent d’ébaucher une histoire de la « conscience de l’art » dans la
littérature
romantique ; si Frédéric Nietzsche a composé en u
re qu’il s’est créée dans sa revue la Critica. Mais ses leçons sur la
Littérature
italienne au xixe siècle sont œuvre de chronique
eu son nouveau printemps, et c’est pour cela, peut-être, que toute sa
littérature
, sa philosophie, son art, contemporains, ne sont
son nom, — éclata comme un coup de foudre dans le ciel endormi de la
littérature
. Le Futurisme ? C’est la religion nouvelle de ceu
s Bardoux sur John Ruskin et le mouvement idéaliste et social dans la
littérature
anglaise au xixe siècle, en même temps que parai
nos revues, nos maisons d’éditions s’ouvraient aux productions de la
littérature
italienne avec une cordialité spontanée. C’est Pa
ieux des œuvres étrangères — avait déjà fait le meilleur accueil à la
Littérature
italienne d’aujourd’hui, de M. Maurice Muret12. N
lle parallèlement d’aussi intelligentes et probes études sur la jeune
littérature
française, par exemple sur les romans riches d’un
ort par lequel l’Italie s’attache de plus en plus à se construire une
littérature
nationale, aspirant à réaliser, après son unité p
tion à l’originalité nationale fait déjà la noblesse artistique de la
littérature
italienne ; une préoccupation constante d’élever
ser. Catholique, morale, humanitaire ou purement esthétique, toute la
littérature
italienne palpite, si l’on peut dire, d’une inten
t superficielle et accidentelle, — elle arrive à présenter avec notre
littérature
, pour son ardeur à la beauté et à la vérité par l
ille. Cette concordance, cet accord entre les deux pays latins par la
littérature
, il appartient à Jean Dornis de les préciser et d
substantiel, l’effort d’une race travaillant à sa renaissance par une
littérature
originale qu’il révèle aux jeunes générations d’o
ent-ils se refuser à élargir leur programme pour la propagation de la
littérature
et de l’art contemporains ? Au moment où l’on méd
apparaît, quand on lit le livre de M. Maurice Muret, que la nouvelle
littérature
italienne s’embarrasse encore de dandysme sous qu
s gloutonnes des Germains dépeintes par Taine dans ses origines de la
Littérature
anglaise le génie démocratique hérité des Hellène
« types » dans trois séries de livres : de philosophie, de morale, de
littérature
. Cent dix-sept écrivains et penseurs, philosophes
Nuova Antologia, Rome. Tome LXXIX, numéro 286, 16 mai 1909
Littérature
. Gaspard Vallette : Reflets de Rome. Rome vue par
ie de le lire. Avec lui on se reposera des vaines complications d’une
littérature
malsaine et factice. En se trempant dans ce flot
lui démontra d’abord que toute cette histoire, c’était surtout de la
littérature
; que George Sand et Musset s’y étaient peut-être
ion. Ce n’est pas que cet Innocent III 26 ne soit le bienvenu dans la
littérature
historique française : il y manquait plutôt, et i
ne place relativement importante lui est réservée dans les manuels de
littérature
. Ces essais de naturalisation offrent un sujet d’
reuse Crétoise, femme de Thésée, n’est pas tout à fait celle de notre
littérature
classique. Des chevaux et des flammes, la grande
and poète, M. Pascoli, ne se retrouve pas non plus dans l’innombrable
littérature
que les aînés et les jeunes déversent sur le marc
Et la particulière force de caractère, qui, de tout temps, quoique la
littérature
en ait dit, a été l’apanage du sexe dit faible, s
mble devoir renouveler, et renouvellera, ce vieil organisme, gorgé de
littérature
jusqu’à en étouffer, du lyrisme masculin. L’Itali
me métaphysique de la création, absolument inattendus au milieu d’une
littérature
par définition de race plus sensorielle, ou sensu
belles formes antiques auxquelles il vouait toute l’exaltation de sa
littérature
, tandis qu’il les louait en phrases hésitantes em
té ouvert par l’Enfant de Volupté. Depuis les Fiancés, de Manzoni, la
littérature
italienne contemporaine n’avait pas cueilli en Fr
et de ne retenir que les plus « sérieuses », celles qui, au moins en
littérature
(car pour la musique les justiciers sont déjà nom
une énergie idéale et expressive nouvelle, dans le sens général de la
littérature
, soit une signification d’âme collective neuve et
’âme collective neuve et intéressante, dans le sens particulier de la
littérature
représentative d’un pays. Dans ce corps littérair
tinuée même à travers les siècles d’épuisement ou d’imitation, que la
littérature
italienne a traversés, sans que ses grands écriva
u « conteur épique » Arioste à Manzoni, conteur romantique, toute une
littérature
ne peut offrir que le spectacle de quelques espri
este de Roland, est le prototype national d’une série humaine, que la
littérature
canalise bien ou mal, et contribue à perpétuer. E
poète à vingt ans, il est conteur pendant toute sa vie. Cependant, la
littérature
contemporaine italienne a ravagé ces domaines enc
ui vaille d’être remarqué ; des autres il restera des œuvres, dont la
littérature
italienne peut sans doute être fière. Luciano
particulier, en quelque sorte exclusif, absolu, du « récit », que la
littérature
moderne, entraînée par les courants psychologique
aîne qui se déroule, à l’instar de la vie. Le « conte » de toutes les
littératures
offre le paradigme parfait du récit ; mais le con
s maisons d’éditions s’acharnent à répandre de mauvais exemples d’une
littérature
en général très faible, mais en particulier vraim
la force de son épanouissement lyrique, révèle le poète que la jeune
littérature
italienne compte parmi ses meilleurs. Et les deux
uccès digne et réconfortant à mille recherches psychologiques dont la
littérature
s’enrichit chaque jour. Nul n’a suivi l’orientati
et sans écho, Seule trouble le silence La rame unique dans l’eau…
Littérature
dramatique. F.-T. Marinetti : Poupées électriques
qui s’acharnent violemment non à être de demain, mais à créer à leur
littérature
un lendemain de triomphe fougueux. L’art de M. Pa
’art de M. Paolo Buzzi, qui appartient à l’extrême-gauche de la jeune
littérature
italienne, c’est-à-dire à la petite phalange de j
t à l’élan irrésistible et entraînant, l’admirable communion des deux
littératures
maîtresses de la race se révèle en dehors de tout
de toute contrainte, libre, belle et significative. L’influence de la
littérature
française, que les ancêtres littéraires plus immé
d’étincelles non encore éteintes la littérature-mère provençale et la
littérature
italienne à peine née. L’élan lyrique de M. Buzzi
littérateur plus qu’un grand poète, demeurera comme une gloire de la
littérature
italienne, dont il fixa la langue, la prose et la
e des services moins bruyants et plus féconds pour la diffusion de la
littérature
italienne. M. Guillaume Apollinaire a fait paraît
eille, et précéda de deux siècles Alfieri, l’inspiré de Corneille. La
littérature
française manquait d’un ouvrage digne de l’Arétin
lien contemporain, 1908, Ollendorff, éditeur. 12. Maurice Muret : la
Littérature
italienne d’aujourd’hui, Perrin, éditeur. 13. Su
ttérature italienne d’aujourd’hui, Perrin, éditeur. 13. Sur la jeune
littérature
, les étrangers consulteront avec fruit l’Antholog
e MM. Léautaud et Van Bever (Éditions du Mercure de France, 1909), la
Littérature
contemporaine, de Vellay et Le Cardonnel (Éd. du
oraine, de Vellay et Le Cardonnel (Éd. du Mercure, 1906), la Nouvelle
Littérature
, 1895-1905, de MM. Casella et Gaubert (Sansot, 19
de France, 1908. 22. [NdE] Critique française : Jean de Gourmont, «
Littérature
. Ce qu’ils lisent. Cent-dix-sept réponses à l’Enq
ap, Serlon de Wilton, Philippe de Grève, mais la majeure partie de la
littérature
goliardique est anonyme. Les clercs vagabonds cha
orrado Corradini a traduit en vers élégants un choix de cette bizarre
littérature
, mais il faudrait le texte ; ce latin a son charm
ment, mais sans enthousiasme, reconnaissant son influence, en art, en
littérature
et même en politique. […] Tome X, numéro 52,
-383 [383]. […] Un des écrivains italiens qui connaissent le mieux la
littérature
française dans ses dernières manifestations, M. F
doit-elle pas avant tout être peinture, et peinture surtout plus que
littérature
! Goya, Rembrandt, Daumier étaient de grands pein
onie ne peut pas naître de deux choses opposées. Or, sans dire que la
littérature
et la peinture n’ont aucune connexion, je puis au
ou aux artistes de son pays et de son siècle ; mais il avait sur les
littératures
étrangères une érudition et une compétence vraime
empresse d’interroger sur les grands noms et les grandes œuvres de la
littérature
italienne. Sur ces sujets littéraires, Casanova s
ltaire n’en continua pas moins à « déraisonner avec esprit25 » sur la
littérature
italienne ; là même où son érudition était incont
En un siècle qui surpassa presque le nôtre dans l’engouement pour les
littératures
étrangères et le culte des raretés exotiques, Vol
soleil de l’art contemporain ! L’Italie est fatiguée de se nourrir de
littérature
française, et de servir par là aux intérêts des é
a Mort. La femme de Un Amour et de Un Inceste, toute nouvelle dans la
littérature
, est celle dont la volonté est à tout moment plus
ibilla Aleramo d’avoir su créer un type de femme très complet, que la
littérature
italienne n’avait pas, analysé avec une subtilité
nous passerons à l’examen des œuvres dont l’hiver, ce printemps de la
littérature
en tout pays, nous a régalés. Je me bornerai comm
nommée européenne, nous sert les paralipomènes de ses recherches ; la
littérature
lui doit déjà une Physiologie de l’Amour et ces d
a Préface à l’Amore, que ses Amori degli uomini ont été admis dans la
littérature
scientifique de tous les pays ; ça me prouve une
de nommer M. Antonio Fogazzaro ; on le regarde comme le chef de cette
littérature
qui s’oppose au sensualisme de M. d’Annunzio ; so
nouveauté de moyens et de types ; surtout, pas une idée. Contre cette
littérature
, une tasse de thé bouillant est très recommandabl
et vicit… son prix, dans un clin d’œil. L’enquête du Marzocco sur la
littérature
et l’art italien à l’étranger a rassemblé des rép
ortance, quel rang, quelles tendances on attribue, à l’Étranger, à la
littérature
et à l’art italien. En général, d’après l’enquête
enne est très peu cultivée à l’Étranger, et qu’on ne connaît de cette
littérature
que les œuvres traduites ; de là, une incertitude
tous les interrogés citent les noms de d’Annunzio, Fogazzaro, pour la
littérature
, de Segantini, Michetti, Sartorio, pour l’art, de
musique. Mais l’opinion étrangère est énormément plus favorable à la
littérature
italienne, — dont on remarque avec plaisir la vig
aux jeunes un élan heureux, si l’on pense spécialement que lorsqu’une
littérature
est riche, puissante, nourrie, l’étude de sa lang
qu’on reste tranquille ! Les mots ne coûtent rien, et, après tout, la
littérature
politique de M. Ferrero n’a été jusqu’à présent q
comparer, c’est le détruire. Lui-même, d’ailleurs, ne considérait la
littérature
que comme un épisode de sa vie d’action. Un duel,
vant il y a trente-cinq ans en Calabre, recueillait sur les mœurs, la
littérature
, les traditions de cette province. Plusieurs de c
t a déclaré qu’il veut être et qu’il sait être le maître absolu de la
littérature
italienne, mais qui a affirmé aussi que depuis la
. Shakespeare : Roi Lear, tr. Antonio Cippico. Fr. Bocca. Turin La
littérature
italienne s’est enrichie aussi d’une autre tragéd
raduction de M. Antonio Cippico. Ce jeune poète, tout en donnant à la
littérature
de son pays des œuvres originales, sait l’enrichi
le Piccole morte, qui le place parmi les poètes les plus hardis de la
littérature
nouvelle. — Luigi Siciliani : Rime della lontanan
tes est présente et agissante, alors naît le drame, qu’alimente notre
littérature
théâtrale et romancière. Le tragique ne se révèle
sse entièrement nous guérir de notre penchant grotesque à faire de la
littérature
avec quelque triste et banal épisode de la vie co
assez synthétiques pour que leur mort soit une perte immense pour la
littérature
italienne. Mais leurs noms évoqueront dans cette
pour la littérature italienne. Mais leurs noms évoqueront dans cette
littérature
certains mouvements poétiques, certaines excellen
aire officielle le méconnut. Il chanta dans les rythmes de l’ancienne
littérature
qu’il renouvela parfois, comme dans les Bordatini
lque grande affirmation qui, après Carducci, aurait étonné les autres
littératures
. Il y a eu de belles et fortes œuvres, mais cette
eil de nouvelles : Les Tentations, et un roman : Cendres. C’est de la
littérature
régionale. Cette littérature n’est pas d’aujourd’
ions, et un roman : Cendres. C’est de la littérature régionale. Cette
littérature
n’est pas d’aujourd’hui. Elle est vieille comme l
arut unifier selon une formule simplement italienne les tendances des
littératures
régionales. Mais celles-ci demeurent. Parmi les j
ons des lagunes et des bouches du Po : Da Comacchio ad Argenta. La
littérature
judiciaire : Les Mémoires de Linda Marri. Roux et
diciaire : Les Mémoires de Linda Marri. Roux et Viarengo. Turin La
littérature
judiciaire s’enrichit d’un fort volume : Les Mémo
ues. Mais, pourtant, si tous les condamnés se mettaient à faire de la
littérature
… Ce livre a été publié par les soins de Mme Luigi
rand cabaliste anglo-saxon de la Science littéraire, plutôt que de la
Littérature
scientifique, peut compter parmi ses succès celui
puis bien des années déjà une vigoureuse propagande en Italie pour la
littérature
et l’art de notre pays. Dans son article, l’auteu
vité et un enthousiasme qui lui ont fait une place très haute dans la
littérature
de son pays et ont fait estimer son nom dans le m
e une partie considérable de son activité à l’art, à la science, à la
littérature
; comme dans le monde ancien l’Égypte, c’est la F
mœurs, le plaisir et l’action, l’art et la guerre, l’industrie et la
littérature
, le nationalisme et le cosmopolitisme, la traditi
nthropologie criminelle. Tome LXI, numéro 216, 15 juin 1906
Littérature
dramatique. Iwan Gilkin : Savonarole, dr. en 7 sc
ophiques, mais psychiatriques, sur la suggestion littéraire et sur la
littérature
des procès. Suit une statistique d’un intérêt vag
uctions des procès en Italie et en France ». Le volume a pour titre :
Littérature
tragique. Quoique M. Scipio Sighele emploie natur
ntier son esprit, qui est sans doute un des plus cultivés de la jeune
littérature
italienne. Memento Dans une des très belles
23, 1er octobre 1906, p. 446-449 [449] Au cours d’une enquête sur les
littératures
étrangères, dans le Siècle, M. Gustave Kahn, aprè
n que, dans cette excursion hors de France que nous faisons parmi les
littératures
, nous pouvons peut-être en trouver d’aussi grands
p. 622-627. M. Giuseppe Giacosa M. Giuseppe Giacosa est mort. La
littérature
dramatique italienne a perdu un de ses plus grand
ne éternité harmonieuse et extériorise littérairement un « type », la
littérature
des auteurs les plus favorisés par le public, qui
figurait un grand poète-musicien, Boïto, cherchaient à renouveler la
littérature
en remuant avec toutes les ressources de l’ironie
’où vint cette volonté soudaine ? Est-ce pour se faire un nom dans la
littérature
ou dans l’art ? Mais le livre même, je viens de l
est le succès d’argent. Beyle en est hanté. Non pas qu’il confonde la
littérature
avec un commerce : il en a une conception plus no
e, Nietzsche résume la tendance irrésistible qui pousse les nouvelles
littératures
, la nouvelle métaphysique, la nouvelle esthétique
t exalte dans tout l’œuvre de Rodin, et qui anime admirablement notre
littérature
d’avant-garde et toutes les recherches esthétique
c et la critique méfiants devant la production périodique de certaine
littérature
consacrée aux pratiques religieuses de quelques i
ut pas s’imposer à notre imagination, assez pour qu’il restât dans la
littérature
, d’où il jaillit, comme un type humain puissammen
ernes, trop imposantes, trop vastes, pour qu’on puisse les aborder en
littérature
sans avoir le cerveau d’un philosophe et l’âme d’
concours de romans L’Italie intellectuelle, qui veut se créer une
littérature
nationale, à laquelle le théâtre se refuse encore
ont plus des visions littéraires générales, inspirées par les autres
littératures
, que régionales ou nationales. Je ne connais jusq
aisaient presque chaque jour reconduire à leur bord par la police.
Littérature
. Mario Schiff : La Fille d’alliance de Montaine,
un Pascoli ou d’un d’Annunzio. Mais les manifestations lyriques de la
littérature
italienne les plus récentes, pour diverses qu’ell
de cet art absurde ou affreux, représenté d’une manière vile dans la
littérature
contemporaine. C’est de l’art qui veut être natio
eilleurs, et d’où sans doute surgiront les bons poètes nouveaux d’une
littérature
en effervescence, on peut en citer, depuis les «
us, des motifs qui furent repris fréquemment ces dernières années.
Littérature
Jean de Gourmont. Tome XC, numéro 329, 1er mar
lcoolique de Mlle T. Combe ». Au bout de cette seconde enquête sur la
littérature
féminine, voici quelques-unes des conclusions de
a faites et l’on attend le livre que seront les Îles dans la mer.
Littérature
. Stendhal : Journal d’Italie, publié par Paul Arb
dit-il de l’Angleterre. Que les malheureux forçats de l’art et de la
littérature
ne s’imaginent pas que Stendhal n’avait, en visit
ons ». Science sociale. Vilfredo Pareto : le Mythe vertuiste et la
littérature
immorale, M. Rivière, 3 fr. Henri Mazel. Tome
o a raison, dans son amusant petit livre sur le Mythe vertuiste et la
littérature
immorale, de se moquer des maniaques de vertu qui
omme rien, dans l’esprit de ses contemporains et dans les modes de la
littérature
ne changea à la suite de ses dernières œuvres ; d
ais. Cette constatation pourra servir un jour d’appendice au cours de
littérature
méditerranéenne poursuivi par quelques écrivains
ité Nouvelle de Bruxelles, et consacré à « l’identité évolutive de la
littérature
française et de la littérature italienne à traver
onsacré à « l’identité évolutive de la littérature française et de la
littérature
italienne à travers les siècles »… Échos. L’o
cher sur un fumier. Au secours, messieurs les poètes, au secours !
Littérature
. Émile Gebhardt : Souvenirs d’un vieil Athénien,
ire injure, et c’est commettre une grave injustice. Désormais notre
littérature
compte en même temps qu’une grande œuvre un grand
pas plus que nous l’héritier de Rome ? À travers l’histoire, les deux
littératures
, l’italienne et la française, se mêlent si intime
. Dante se demande s’il n’écrira pas sa comédie en provençal… Puis la
littérature
italienne, seconde venue, dépasse la nôtre en gra
. 872-876 [874]. Paul Heyse, qui remporta l’an passé le prix Nobel de
littérature
, est assez peu connu en France, mais le grand pub
ins, Villa Borghèse, Ou s’empourprer les tiens, ô Villa Pamphili.
Littérature
. Paul Berret : Le Moyen-Âge dans la Légende des S
ort vers la réconciliation volontaire et parfaite du théâtre et de la
littérature
, ne troublent sans doute point le travail copieux
Giovanni Saragat (Toga-Rasa) : Popolo Antico, S.T.E.N., Turin La
littérature
régionale continue du reste, en Italie, à tenir l
rature régionale continue du reste, en Italie, à tenir la place d’une
littérature
nationale dont on ne voit pas encore la promesse.
fixe ». En attendant que de son influence naisse et s’épanouisse une
littérature
italienne vraiment nationale, les écrivains régio
re Popolo antico. Un livre de lecture facile, qui se rattache à cette
littérature
pour chemin de fer que les éditeurs appellent « l
u traducteur, et à faire souhaiter qu’il continue à découvrir dans la
littérature
anglaise des fragments connus ou inconnus ayant l
Celle dont le « mystérieux sourire » a suscité un tel débordement de
littérature
mêlé de tant de divagations57 et à qui, paraît-il
Tome XCIII, numéro 343, 1er octobre 1911, p. 645-652. Un cours de «
Littérature
méditerranéenne » à l’Université Nouvelle de Brux
rée en prenant l’initiative d’un cycle de conférences consacrées à la
Littérature
méditerranéenne, et plus particulièrement aux rap
ittérature méditerranéenne, et plus particulièrement aux rapports des
littératures
française et italienne à travers les siècles. Ce
ppartenant à ce qu’il est convenu d’appeler pour le moment « la jeune
littérature
». Un cours de « littérature méditerranéenne » ét
venu d’appeler pour le moment « la jeune littérature ». Un cours de «
littérature
méditerranéenne » était dans les vœux de Gabriel
ur l’échange séculaire d’énergie, volontés et modes, des deux grandes
littératures
néolatines. Quelques siècles de puissance littéra
ent affirmé par Gabriel Tarde. La tâche confiée au premier cours de «
Littérature
méditerranéenne » est celle de l’illustration de
lignes, organisateur du cours, on entendit parler de la Femme dans la
Littérature
italienne, par Mme Valentine de Saint-Point ; de
es deux premières parues en librairie sont celle sur la Femme dans la
Littérature
italienne, et celle sur l’Humanisme. Valentine
celle sur l’Humanisme. Valentine de Saint-Point : La Femme dans la
Littérature
italienne, E. Figuière, Paris Pour la première
onheur, elle applique cette volonté à l’observation synthétique de la
littérature
d’au-delà des Alpes. La femme italienne y est con
on intégralité, pourra être appréciée l’influence de la femme dans la
littérature
italienne. Mme de Saint-Point discute longuement
nous l’avons dit, le premier essai très complet sur la femme dans la
littérature
italienne. Il est accompagné de poèmes de Dante,
iaud, qui est un des plus profonds penseurs dont s’honore notre jeune
littérature
, et qui est peut-être l’esprit le plus lucide par
Vita Nova, de certains poèmes de Pétrarque, et la première chaire de
littérature
grecque créée à Florence par cet incomparable et
e la race. Vincenzo Gerace : La Grazia, R. Ricciardi, Naples La
littérature
spiritualiste s’enrichit, en Italie, d’un roman,
tée idéale est grande, la Grâce, de M. Vincenzo Gerace. J’entends par
littérature
spiritualiste non point celle qui est consacrée à
sectaires mal préparés des loges théosophiques et autres du monde. La
littérature
spiritualiste est celle qui répond par des cris e
et progressive est cette inquiétude, dans l’âme contemporaine. Toute
littérature
qui réagit contre la domination tyrannique des au
ns nouvelles. Le roman de M. Vincenzo Gerace tranche nettement sur la
littérature
chère aux écrivains italiens, dont une partie tou
evardière parisienne, fade ou épicée. M. Vincenzo Gerace apporte à la
littérature
ce que Fogazzaro ne sut y apporter, un souci réel
et fait longuement réfléchir ceux, tout au moins, qui demandent à la
littérature
de l’émotion qui fasse penser, du sentiment, des
Deledda : Nel deserto, Treves, Milan La Grazia nous repose de la
littérature
vaine, insignifiante, mal comprise et plus mal ex
Le nouveau recueil de M. Capuana est parfaitement à sa place dans la
littérature
provinciale, pleine de chrétienne humilité, qui j
énérations qui l’entouraient une nouvelle vision des classiques de la
littérature
. Un à un, il avait choisi dans l’histoire littéra
ù elle façonne, depuis quinze ans, tous les esprits plus jeunes de la
littérature
italienne. Carducci n’a eu donc qu’un disciple, u
ts per excessum, résument à eux seuls les plus fiers mouvements de la
littérature
italienne contemporaine. Pascoli est à part. Il a
ble et de triomphe méditerranéen. Et lorsque Carducci constate : « la
littérature
italienne contemporaine n’est autre que la reprod
ienne contemporaine n’est autre que la reproduction et la copie de la
littérature
française » et qu’il se plaint qu’on peut y remar
sort lui a été favorable. Et voici apparaître sur les horizons de la
littérature
une force nouvelle, un romancier-poète d’exceptio
renouvelle toute la philosophie, toute l’esthétique et toute la jeune
littérature
du monde, et qui tend à la nouvelle affirmation m
effet, à chaque civilisation correspond toujours une esthétique. § La
Littérature
a devancé les arts plastiques en exprimant une es
e. Plus tard je n’ai trouvé dans ce nouveau point de contact entre la
littérature
et la peinture qu’une confirmation et une certitu
mois de notre guerre, le 20 juillet 1915. Il avait fait des essais de
littérature
contemporaine vraiment perspicaces et fins. Son d
trouve aucun motif logique à faire la guerre, qui n’intéresse pas la
littérature
et ne lui apportera, dit-il, aucun changement, co
, et ce livre, son seul livre, suffit à lui assurer une place dans la
littérature
italienne. Slataper s’était occupé aussi avec gra
s, tyranniques. L’influence de la France est grande, mais plus sur la
littérature
et sur l’art que sur tout le reste, et une critiq
xerce constamment. Celle de l’Allemagne, très faible en art, nulle en
littérature
, a été prépondérante et oppressive sur l’enseigne
oyait ses romans, bons ou mauvais, et les chefs-d’œuvre de toutes les
littératures
traduits dans sa langue si claire et accueillante
ait de remarquables essais sur Goethe, qui lui valurent une chaire de
littérature
allemande à l’Université de Rome. La guerre n’a p
enlève rien. Il ne change absolument rien dans le monde, même pas la
littérature
. Tous les écrits sortis depuis la guerre, en Fra
Tout est resté comme auparavant ; ce qu’on écrit est une suite de la
littérature
d’hier et nulle part il n’y a autant de rhétoriqu
part il n’y a autant de rhétorique, autant de plaqué, que dans cette
littérature
de guerre… Et en Italie, d’Annunzio a-t-il écrit
bre 1916, p. 512-519. Renato Serra Moins que partout ailleurs la
littérature
n’a chômé en Italie, pendant la guerre. Dans les
elle a résisté dans les livres et les revues. Je ne parle pas de la «
littérature
de guerre » toujours débordante et, en général, m
ernier livre, Le Lettere (Roma, Bontempelli), sorte de révision de la
littérature
italienne actuelle, lui assura une renommée qu’il
e, même dans les erreurs, de son jugement. Dans les derniers temps la
littérature
française l’attirait de plus en plus ; il avait p
que partout comme un des écrivains les plus personnels de la dernière
littérature
; même le grand public commence à lire ses livres
la demi-douzaine de ceux qui comptent. Scipio Slataper La jeune
littérature
a perdu avec Scipio Slataper (1888-1915) un écriv
a Malgré les pertes qu’elle a essuyées dans les derniers temps, la
littérature
est toujours florissante. Des jeunes, des nouveau
érébrale mais, en somme, rien de bien nouveau et qui se détache de la
littérature
préexistante. Corrado Govoni apparaît encore dans
vaillamment sur le champ de bataille, où il a été blessé, et dans la
littérature
, où il commence à être discuté, d’arriver aux pre
littéraires par M. G.-A. Borgese, critique sicilien et professeur de
littérature
allemande à l’Université de Rome. On dit qu’il a
nne à la volonté de puissance préconisée par Nietzsche ? En art et en
littérature
peut-être, mais non en politique, puisque M. Corr
Byzantins », épigramme inconsciente qui avait naguère tenté M. Pica,
Littérature
d’exception rend fort mal le sentiment littéraire
leur valeur et ce qu’elles renferment de beauté singulière. Toute la
littérature
digne de nom, en somme, est exceptionnelle ; tout
e, normal. Normal, est-ce normal qu’a voulu dire M. Pica ? Il y a une
littérature
normale ? C’est difficile à comprendre. Suppose-t
que X. Doudan, ou Beckford, ou Fromentin ? Inexplicable logiquement,
Littérature
d’exception se comprend, si l’on n’a souci que du
. Et ces études en effet sont de l’histoire presque autant que de la
littérature
, l’histoire des talents en même temps que l’analy
de Huysmans et même de France et de Barrès. C’est qu’il connaît notre
littérature
, oui, mieux que nous-mêmes. Il la voit et la suit
mière. Avec M. Pica en Italie et M. Symons en Angleterre, la nouvelle
littérature
française a ses deux meilleurs critiques, ceux qu
style, pour la hardiesse aussi avec laquelle il défend, en art et en
littérature
, le droit à la lumière des beautés nouvelles.
e nous a façonné, et qui encombre désormais toutes les branches de la
littérature
. Comme je considère l’art comme tout à fait indép
out bon israélite (M. Lombroso l’est) s’est cru obligé de donner à la
littérature
sur l’Affaire. On y lit, p. 103, que « les Juifs,
partout ; ici, puisque le texte réfuté analysait dans le Mercure 2 la
Littérature
d’Exception de M. Pica ; en Italie, puisque c’est
laire, et c’est en ce sens que M. Pica pourrait maintenir son terme «
littérature
d’exception » ; mais à condition de ne plus lui d
utations. Je suppose que, dans l’état actuel de l’Europe, un livre de
littérature
véritable, d’art sincère, ne peut pas conquérir u
public lettré », de plus en plus gâté par les journaux et la mauvaise
littérature
, n’a plus le goût assez sensible pour différencie
es. Autour de la Cène, de sa ruine et de ses restaurations, toute une
littérature
s’est élevée, au milieu de laquelle brille partic
théâtre chez les anciens et les étrangers, des variétés, des pages de
littérature
, enfin de fort belles gravures sur bois. Échos
ssé à côté de son sujet. […] Tome VII, numéro 40, avril 1893
Littérature
italienne. Note sur Gabriele d’Annunzio R. G. [
œurs contemporaines ; un tel genre de poème n’est pas inconnu dans la
littérature
italienne, et Dante en donna un exemplaire qui pa
duisit, même dans les premiers siècles de la conquête, presque aucune
littérature
laïque ; les poètes, les orateurs sont chrétiens.
r. Est-ce pour cela que les jeunes négligent le roman, cette forme de
littérature
superbe, libre, indépendante ? Est-ce pour des ra
ent compromis l’originalité. La découverte des sources, en matière de
littérature
contemporaine, tend à devenir une affligeante man
r au génie de sa race des idées ou des images éparses dans les autres
littératures
européennes. Naturellement on ne s’est pas privé,
ant, sont un démenti nouveau à ce mot plus spirituel que juste : « En
littérature
, quand on dépouille un homme, il faut avoir soin
and on dépouille un homme, il faut avoir soin de l’assassiner. »
Littérature
Jean de Gourmont. Tome LII, numéro 179, novemb
un peu trop en discrédit et devenus un peu trop intermittents dans la
littérature
d’érudition : le style, la couleur, le don de vie
. Zuccoli ont abouti à quelque grande manifestation d’art italien, de
littérature
vraiment et synthétiquement italienne, telle qu’e
en recherchant sans profondeurs esthétiques les utiles lauriers de la
littérature
théâtrale ou du roman facile ; mais d’autres, com
ivin Léopardi, les belles lettres italiennes étaient pauvres, étaient
littérature
, étaient tâtonnements sans discipline. Le roman h
xagérèrent et déclarèrent Manzoni déchu de sa domination sur toute la
littérature
italienne du xixe siècle. Ils nièrent aussi la p
parition du vieux romantique sur le marché turbulent, chaotique de la
littérature
, peut produire une impression bizarre ; l’impress
diteur. Mais l’avertissement que Manzoni « retrouvé » apporte dans la
littérature
italienne est celui de la Tradition. Manzoni a ét
rand poète « social », épris d’humanitarisme, comme il en est né à la
littérature
et à l’art de tous les pays, dans la période l’ef
isme de d’Annunzio, comme toujours, est fatigant et vain à force de «
littérature
», par l’exagération de ce « pathos esthétique »
l’injustice, et c’étaient celles des hommes les plus éminents dans la
littérature
et dans les sciences ; en Italie, silence sur tou
faux savants, artistes ratés, « marchands d’orviétan et marchands de
littérature
». Ce sont eux que les étrangers de culture moyen
éresseront en aucun moment. Ceux, en revanche, qui, indifférents à la
littérature
du boulevard, ou même aux petites modes paperassi
ttérature du boulevard, ou même aux petites modes paperassières de la
littérature
d’érudition, gardent le culte des Grandes Lettres
avec un particulier plaisir, depuis Boccace. Dans toute période de la
littérature
italienne, même alors que le lyrisme fait défaut,
la manière que l’on sait, dans ses romans. On trouve à présent que la
littérature
italienne a besoin de clarté, de simplicité, d’un
composer, car il existe un véritable « musée des personnages » où la
littérature
des amours provinciales a groupé le curé, le sacr
vité. L’amour des villes est, si l’on peut dire, plus policé, dans la
littérature
tout au moins, est exclusif aussi, il représente
pas à ces recueils qui n’apportent d’ailleurs rien à la marche d’une
littérature
. Depuis quelques années, vigoureusement poussée p
turo Farinelli, de Turin, soumet à une âpre critique l’histoire de la
littérature
italienne du père Jésuite Alexandre Baumgartner,
d’autant plus valables que, par sa connaissance de la langue et de la
littérature
italiennes, l’auteur est remarquablement qualifié
Jules César et son roman Patria lontana, tout en s’efforçant vers la
littérature
de la collectivité, n’apparaissent pas non plus v
rle point de la valeur intrinsèque, spirituelle et formelle, des deux
littératures
qui s’efforcent, mais de leur valeur morale, de l
n ayant les plus belles possibilités d’en sortir, il reste dans cette
littérature
de portraits, paysages et natures mortes, de tabl
de Sérao. Le Songe d’une nuit d’amour. Tallandier En attendant, la
littérature
italienne médiocre et braillarde continue à émouv
uoi M. Maurice Muret s’occupe, en journaliste bon à tout faire, de la
littérature
italienne, dont il semble connaître surtout les m
ornis sentent le besoin de donner de temps en temps des livres sur la
littérature
italienne qu’ils connaissent et représentent d’un
dans la peinture une foule d’œuvres délicieuses ou sublimes. Dans la
littérature
, au contraire, il n’a formé l’objet particulier d
ération de la faible place que le sentiment maternel tient dans notre
littérature
l’opinion qu’il n’en remplit pas une plus grande
estime où le monde grec ne cessa pas de tenir l’amour, tandis que la
littérature
hébraïque nous montre au début du livre de Jonas
stingués. G. HÉRELLE. Tome XCVIII, numéro 363, 1er août 1912
Littérature
. Memento [extrait] Jean de Gourmont. Tome XCVI
orme de Schweizer Jahrbuch. Sa matière est entièrement empruntée à la
littérature
suisse. […] nous y trouvons les lettres inédites
tes. « Il faut détruire la syntaxe, déclare le manifeste technique de
littérature
futuriste, en disposant les substantifs au hasard
hénomènes et obtenir un maximum de désordre, détruire le “je” dans la
littérature
, c’est-à-dire toute la psychologie. Il convient d
perdu la tête, parce que ceux-là seuls qui stagnent sont dangereux en
littérature
. Ils font bloc et obstruent l’horizon pour ceux q
re futuriste offert en échantillon aux amateurs dans son manifeste de
littérature
ultra-moderne. C’est toujours très difficile de s
l est difficile aux littérateurs de ne pas s’occuper sans cesse de sa
littérature
. À l’instar de M. Massenet, de M. Saint-Saëns, de
ances de la partie la plus fervente et la plus féconde de notre jeune
littérature
, deviennent chez M. d’Annunzio des Chansons guerr
t que le poète l’ait écrit, à cause de certaines pages d’une si belle
littérature
, un sentiment d’amertume nous pousse à regretter
oétique, du moins aura-t-il une place honorable dans l’histoire de la
littérature
danoise, mais plutôt grâce à ses premières œuvres
sourire ironique, la réflexion, le clin d’œil du metteur en scène.
Littérature
. Bibliographie Verlainienne. Contribution critiq
ure. Bibliographie Verlainienne. Contribution critique à l’étude des
Littératures
étrangères et comparées, par Georges A. Tournoux,
nes des plus opposées, deux des personnages les plus contraires de la
littérature
italienne, le Tasse et Manzoni. Je ne sais si l’o
ce poète italien qui put rêver et réaliser le renouveau complet de la
littérature
italienne, esprits et formes. Et puisqu’il nous a
teur d’un autre renouveau littéraire, bien plus « important » pour la
littérature
italienne que ne le fut le Tasse, dont la vie fut
Vol. in-18, 3,50. […] Tome C, numéro 369, 1er novembre 1912
Littérature
. Alfredo Niceforo : Le Génie de l’Argot. Essai su
es noms, ni des œuvres, au milieu de ce moment auroral de la nouvelle
littérature
italienne. Il y eut d’autres poètes, d’autres ten
nt les jeunes. Le phénomène de notre temps est indéniable. Jamais les
littératures
, les arts n’ont évolué avec une si extraordinaire
aissent d’autres paradigmes à leur soif de renouveau, que l’art et la
littérature
d’avant-garde de la Rive-Gauche. En Italie, un ho
nt la place que l’Anthologie futuriste prend immédiatement dans cette
littérature
. Je ne sais si des haines, des parti pris, des ra
plus récentes, le Cubisme et le Futurisme, comme on peut parler de la
littérature
collective, en prose et en poésie françaises, qui
son esprit une impression synthétique d’une grande netteté. Point de
littérature
en chambre, point d’enthousiasme à froid, point d
’en dominer l’ensemble. Il y aurait toute une étude à faire sur cette
littérature
extemporanée, qui requiert de la part des auteurs
Luigi Barzini l’un des représentants les plus éminents de ce genre de
littérature
. Depuis le commencement de la guerre, Barzini a s
ure qu’il a mis chaque chose au point. Aucun enjolivement, rien de la
littérature
à la Barrès, qui fait passer avec virtuosité auto
oute parce que c’était le dernier et que, prise à doses réitérées, la
littérature
diplomatique devient singulièrement fastidieuse.
éricains comme un peuple de marchands enrichis, sans un art, sans une
littérature
, sans une idéalité qui lui appartînt. Un confére
rions pas submergés à l’heure qu’il est par une marée puante de basse
littérature
et nous n’assisterions pas à la campagne de haine
tranquillement dans sa revue, la Critica, des études d’histoire de la
littérature
, comme si rien ne se passait. Les agités, les dés
Giornale d’Italia du 4 septembre, on ne trouverait pas dans toute la
littérature
des quinze dernières années plus de deux ou trois
amas de ruines glorieuses », continue en ces termes : Cette médiocre
littérature
n’est plus de saison même pour la Grèce. L’olivie
u-dessus des tendances contemporaines, confirmées et acceptées, de la
littérature
italienne. Il plane au-dessus de l’art social à g
dernier romantique, ou plutôt du premier grand néo-romantique, que la
littérature
méditerranéenne, italienne ou française, nous ait
rer dans quelque grand effort si possible les esprits dispersés de la
littérature
nouvelle. Parmi les publications de la Vita Lette
il est parlé plus haut, les autres recherches caractéristiques de la
littérature
française se répètent en Italie. Ici comme là, il
Vergini Folli, chante librement l’amour de la vie, faisant à la jeune
littérature
italienne un apport féminin d’insouciance et de v
Nuova mort subitement à vingt-cinq ans, qui laisse des études sur la
littérature
française contemporaine, et particulièrement sur
ettre apologétique, le faisait prévoir : il est tout pénétré de notre
littérature
et de la plus récente. Il m’a paru que ses vers,
littéraire européenne ! Dans l’Emporium, importante revue d’art et de
littérature
qui paraît mensuellement à Bergame, M. Vittorio P
ou à quelque jeu innocent comme tous les jeux. M. Zùccoli connaît la
littérature
française actuelle et souvent le laisse voir. Pou
a aucune valeur et celui de Ginguené s’appelle non pas Histoire de la
littérature
italienne mais Histoire littéraire d’Italie, et n
e de la sensualité italienne, la beauté du métal corinthien. La jeune
littérature
peut remercier M. Brunetière d’avoir cru nécessai
’égoïsme des « arrivés » écrase un peu partout, un nouveau journal de
littérature
et d’art s’est fondé. Son titre est un titre de g
irations, par le dogme laid de l’intérêt commun. Mais en ce moment la
littérature
régionale italienne se développe puissamment. M.
des conférences et des récitations de poèmes, à répandre en Italie la
littérature
symboliste, vient de créer une revue universelle
forme populaire du classicisme latin. Ce souci d’amour plutôt que de
littérature
, cette compréhension des liens invisibles et puis
blic ne pouvait que se détourner. Dans cette période fâcheuse pour la
littérature
française, on a perdu le sens de la beauté en per
in, le romantisme a régénéré le classicisme. Cela est la preuve qu’en
littérature
il n’y a pas d’écoles, mais seulement des courant
s de résignation et de mortification de l’esprit humain telles que la
littérature
des premiers romantiques et Manzoni la prêchaient
a chose n’était pas, d’ailleurs, sans précédent dans l’histoire de la
littérature
française. Au xvie siècle, par exemple, les poèt
herche érudite passe devant l’art. Et ce n’est pas la poésie, mais la
littérature
qui la moule, en lui apportant, par une expérienc
tique en Italie. Éditions de La Critica. Naples Dans les Études de
littérature
, d’histoire et de philosophie (Studi di Letteratu
re et réalisa presque une histoire des civilisations vue à travers la
littérature
. Cet homme fut Francesco de Sanctis ; son nom, di
ir été, dans les siècles, anecdotique d’abord, puis historique. La
littérature
à l’usage des enfants en Italie : une traduction
le Men. R. Carabba, Ed. Lanciano De la critique des critiques à la
littérature
pour enfants, le chemin est court et étrange… M.
d’italianisme, ce qui lui donne un aspect souvent bien grotesque. La
littérature
pour les enfants n’a pas eu en Italie de trop exc
les enfants n’a pas eu en Italie de trop excellents écrivains. Cette
littérature
est presque toujours insupportablement ennuyeuse,
e ans beaucoup de bien aux boys anglais, peut-être. Mais en Italie la
littérature
pour enfants ne manque pas de pitoyables spécimen
que et doux Pie X. Tome LVIII, numéro 203, 1er décembre 1905
Littérature
dramatique. F. T. Marinetti : Le roi Bombance, tr
13. Cf. son ouvrage : Du sentiment considéré dans son rapport avec la
littérature
et les arts. 14. Il écrivait à Aymon de Virieu,
mémoire, car, depuis que le monde est monde, j’entends depuis que les
littératures
existent, ces sortes de pirateries ont toujours é
ttérateurs ont apprécié, naguère, le beau livre de critique française
Littérature
d’exception, où il étudiait et expliquait les œuv
omprendre l’amour du réel, il faut oublier cette immense et splendide
littérature
qui, par tant de génies et pendant de si longs si
t en quelque sorte significatif. Depuis le revirement classique de la
littérature
italienne et la révélation d’une éloquence lyriqu
chant XI du Paradis). Tome LXXII, numéro 257, 1er mars 1908
Littérature
Jean de Gourmont. Tome LXXII, numéro 257, 1er
italienne. Contre l’action fort amoindrissante exercée par une telle
littérature
sur la sensibilité générale, il fut un homme en I
vue de la réalisation, elle a sans doute une place importante dans la
littérature
italienne. Car Edmond de Amicis reste un admirabl
Londres, ayant pour ressources d’y donner des leçons de langue et de
littérature
italiennes. Sa maison était ouverte à tous les ré
r la poésie « la situation à laquelle son grand développement dans la
littérature
anglaise lui donne un droit absolu ». Mais le jou
a attiré l’attention des lettrés sur un grand poète italien et sur la
littérature
tragique de la patrie de Dante. Les Italiens se s
l’avons rencontré plusieurs fois le long des chemins tragiques de la
littérature
occidentale : chez les Grecs et chez Shakespeare.
gne des Grecs, nous rapproche immédiatement du grand initiateur de la
littérature
psychologique occidentale. Tous les grands fantôm
plaît de parler de quelques jeunes poètes, parmi les meilleurs de la
littérature
italienne contemporaine. Francesco Chiesa, Liri
ternazionale », Roma. Tome LXXIII, numéro 264, 16 juin 1908
Littérature
. Casimir Stryenski et Paul Arbelet : Soirées du S
irique anticlérical. Tome LXXIV, numéro 266, 16 juillet 1908
Littérature
Jean de Gourmont. Tome LXXIV, numéro 266, 16 j
Crespi, Cervesato, etc. Tome LXXIV, numéro 268, 16 août 1908
Littérature
. Ovide : L’Art d’aimer, le Remède d’Amour, Les Am
auté et la noblesse de l’inspiration et l’efficacité de la forme. Les
littératures
contemporaines, en générai très médiocres, appell
sente. Mais parmi les plus hautains, les plus purs poètes de la jeune
littérature
italienne, M. Paolieri est sans nul doute un gran
ce est identique à la lumière de Paris et à celle d’Athènes. Et si la
littérature
française, surtout celle du Midi, est dominée, d’
l’esprit de Versailles, par l’eurythmie stylisée du grand siècle, la
littérature
purement florentine est dominée par l’esprit du Q
ue, et simplement documentaire, le dernier volume de l’Italie dans la
littérature
française de Carlo Del Balzo, l’écrivain politici
, affreusement borné, il ne sait pas l’histoire, ignore totalement la
littérature
ecclésiastique et les sources de la Bible ; mais
ntier du philosophe. Tome LXXV, numéro 271, 1er octobre 1908
Littérature
dramatique. Raoul Lafagette : La grande Lorraine,
e transforme ici dans l’œuvre de ses enfants. » Il y a dans toute la
littérature
moderne trois œuvres seulement où l’image de Veni
uglément les impositions, l’effort vers la tragédie, de la plus jeune
littérature
française, ne demeurera point stérile. Il y a que
Une revue italienne, Minerva, constate l’abus des adjectifs dans la
littérature
contemporaine qui contraste avec la sobriété des
pes littéraires du quartier Montparnasse. Il connaît admirablement la
littérature
française moderne et la poésie populaire arabe. R
rne. Il ne ressemble à personne : faut-il lui demander davantage ?
Littérature
savante Malgré la guerre, la littérature qu’on
i demander davantage ? Littérature savante Malgré la guerre, la
littérature
qu’on peut appeler « savante » ne chôme pas en It
es jours mêmes les premiers volumes d’une collection d’études sur les
littératures
étrangères, dirigée par M. Arturo Farinelli, le c
, l’histoire de l’idée de la vie comme rêve et illusion à travers les
littératures
et les philosophies anciennes et modernes, depuis
ine, nous arrivent les premiers volumes d’une histoire nouvelle de la
littérature
italienne. Chaque volume contient un essai sur un
depuis cinquante ans autour des écrivains les plus marquants de notre
littérature
. Bien qu’il ne rentre pas dans les lettres, je ne
des temps moins accablants. Je le suivrai volontiers. De toute cette
littérature
de guerre où s’exercent tant de plumes à l’aveugl
, 1er novembre 1917, p. 147-151. Mort de Giovanni Boine La jeune
littérature
italienne vient de perdre un écrivain de talent :
nifestations du modernisme italien, — il était passé franchement à la
littérature
avec un petit roman (Il Peccato, Firenze, La Voce
evue — patauge M. Luciano Gennari qui, dans un volume d’essais sur la
littérature
, française de nos jours, Poesia di Fede e Pensier
res génies catholiques. Suivant M. Gennari, les foyers de la nouvelle
littérature
française sont les Cahiers de M. Vallery-Radot et
le cardinal Merry del Val, ex-secrétaire d’État du Pontife défunt.
Littérature
valdôtaine Un peu partout maintenant on s’est
udie, on les cultive. Plusieurs provinces dans tous les pays ont leur
littérature
dialectale ; poésie, prose, grammaire, dictionnai
te à tous les éclatants faits d’armes. Il n’y a pas en Italie la même
littérature
de combattants qu’en France. Rien de comparable à
igaro, 3 janvier) Le sourire de la Joconde a fait surgir toute une
littérature
qui vient encore de s’accroître, à propos de sa d
les de notre temps, l’Italie était sans contredit la plus arriérée en
littérature
et dans tous les arts en général. Notre plus gran
ouvert une sensibilité toute nouvelle et moderne et il croyait que la
littérature
italienne devait se mettre au courant des autres
romans, essais, contes — leur avaient assuré une place à part dans la
littérature
la plus hardie et leur collaboration à la Voce av
uturisme. Lacerba devint bientôt l’organe très suivi et répandu de la
littérature
futuriste. L’adhésion de Papini et de Soffici au
nico. Quant à Nina, elle possède des idées fort avancées en art et en
littérature
. Elle a cité des noms de peintres et de poètes qu
Pensée de France (20 janvier) : […] M. J. Jallia : « La Langue et la
littérature
françaises dans les vallées vaudoises du Piémont.
ccompagne ces pages. […] Tome CIX, numéro 405, 1er mai 1914
Littérature
. Stendhal : Vies de Haydn, de Mozart et de Métast
musicien manqué « que les circonstances contraires ont tourné vers la
littérature
» : « Le hasard, écrit-il dans la Vie de Henri Br
sse aimant la musique. » Sans doute la musique est plus souple que la
littérature
et même que la poésie pour noter les sons de l’âm
s à placer les États-Unis dans une position honorable vis-à-vis de la
littérature
dantesque, et cette dernière contribution est dig
, une de pédagogie, deux de philologie classique (remplaçant celle de
littératures
latine et grecque.et de grammaires latine et grec
grecque), une de philologie gréco-italique ou indo-iranienne, une de
littérature
italienne, une de philologie romane, une de philo
pules professionnels qui nous paraissent excessifs quand il s’agit de
littérature
plus ou moins historique, il y aurait lieu, à mon
en, la musique du chevalier n’avait-elle plus besoin du soutien de la
littérature
. Armide, assez discutée au début, puis la seconde
pas seulement un politicien et un avocat de premier ordre, mais notre
littérature
lui doit des poèmes, des comédies, des études adm
auts, qu’on l’oublie sans effort et sans regret. Il est dominé par la
littérature
française qu’il connaît d’une manière étonnante :
e soubrette pseudo-Louis XV. Tome XLV, numéro 159, mars 1903
Littérature
. Lucie Félix Faure, Les Femmes dans l’œuvre de Da
nseur et écrivain d’avant-garde, que se montre toujours, en art ou en
littérature
, en philosophie ou en sociologie, l’illustre séna
rt, est digne de Shelley. Tome XLVII, numéro 164, août 1903
Littérature
dramatique. Gabriele d’Annunzio : Les Victoires m
réputation, n’ont jamais obtenu, de ceux qui étudient sérieusement la
littérature
et l’histoire, la justice qui leur est due. Et ce
uns ont une valeur considérable ; l’un des plus fameux ouvrages de la
littérature
tchèque, l’« histoire de l’Église » de Skala, exi
l d’un Mondain, Lamberg parle de Casanova comme d’« un homme connu en
littérature
, un homme de profond savoir ». Dans la première é
, car rarement coup d’œil plus incisif a été jeté sur l’état de notre
littérature
dramatique. […] Échos. « Les Latins » Mercur
s le public, qui probablement se disait que « tout le reste n’est que
littérature
». Puisque je suis en train de faire, plutôt que
léricaux, en général, mais je les adore lorsqu’ils jugent d’art et de
littérature
; c’est aux cléricaux que nous sommes redevables
la direction de la Nuova Antologia à M. Giovanni Cena, fort connu en
littérature
par ses poésies. Le nouveau Directeur, dont le go
à Milan qui vont paraître prochainement avec un programme d’art et de
littérature
assez aristocratique. Cette floraison, provoquée
stave Soulier. […] Tome XLIV, numéro 156, 1er décembre 1902
Littérature
dramatique. Cœcilia Vellini : Comédienne et Carmé
ait être signée P.-L. Courier, le pamphlétaire le plus glorieux de la
littérature
française. Je vous en adresse devant vous, pour s
lus vraiment poétiques peut-être que les décors déjà tant chantés.
Littérature
. Collection des Plus Belles Pages : L’Arétin, No
trange misanthrope amant de la société, que l’on puisse concevoir. La
littérature
italienne a perdu de son côté l’espoir de l’œuvre
rtuoses qui emboîtèrent le pas à M. d’Annunzio. Lorsque le sort de la
littérature
italienne nouvelle sera affermi, on suivra la tra
eur, israélite de race, a mis à profit sa connaissance profonde de la
littérature
talmudique. Son idée centrale, que le christianis
eurent en combattant. » Tome CII, numéro 380, 16 avril 1913
Littérature
. Lettres de femmes à Casanova, recueillies par A
ans j’ai suivi les évolutions, les involutions, les révolutions de la
littérature
italienne, et j’en ai marqué ici les étapes, les
des lecteurs de cette chronique. Pendant ces dix dernières années, la
littérature
italienne s’est développée considérablement, en q
ant-garde ont une énorme peine à intéresser l’esprit des Italiens, la
Littérature
est, il faut le remarquer, plus heureuse. De ces
de Carducci, d’où d’Annunzio — nourri, au surplus, et très nourri, de
littérature
française parnassienne, symboliste et enfin vers-
t rien, sinon qu’elle était probablement parisienne. Mais toute notre
littérature
, du quinzième au dix-neuvième siècle, témoigne de
est pas d’auteur étranger plus étroitement mêlé à l’histoire de notre
littérature
. Shakespeare, dont la renommée eut deux phases éc
nce si directe, et le goût espagnol laissa, tout compte fait, dans la
littérature
française, moins de traces que le goût italien. M
s contes d’un si souriant réalisme : cela nous reposera de l’actuelle
littérature
spiritualiste. Tome CV, numéro 391, 1er octob
iovanni Papini. Tome CV, numéro 392, 16 octobre 1913, p. 857-861. [
Littérature
italienne] Je me dispense des préambules usuel
ace, être vraiment renseigné sur les forces réelles et vivantes de la
littérature
italienne. Il croit, qu’on ne pourra pas le taxer
lles qui surgiront en Italie. Il portera surtout son attention sur la
littérature
des jeunes — la seule, en ce moment, qui mérite l
bés bientôt, comme leurs confrères et amis, dans la fabrication de la
littérature
de rapport. Il y a aussi, à leurs côtés, les four
sant, ne méconnaît les « belles pages » que d’Annunzio a données à la
littérature
italienne. Mais presque tout le monde, aujourd’hu
presque pas. Depuis dix ou quinze ans, ils n’appartiennent plus à la
littérature
militante. Restent les jeunes. Je mets de côté le
ibertin a exercée sur le plus parfait de nos conteurs. Par-delà notre
littérature
réaliste et romantique, l’auteur de la Femme et l
t fortifie son inspiration par une connaissance sûre et détaillée des
littératures
classiques ; les mémoires du xviiie siècle lui s
nts, dans le Christianisme primitif (1886), dans Jésus-Christ dans la
littérature
contemporaine étrangère et italienne (1903), dans
t quelques esprits et semble pouvoir créer en Italie une intéressante
littérature
de la vie intérieure. Un de ces trois livres est
douard Rod, Revue indépendante, août 1884, et qu’il n’a de sens qu’en
littérature
italienne, où il désigne un groupe de romanciers
urs ordinaires. Et si, par la même occasion, j’indique aux curieux de
littérature
étrangère un auteur très fort — comme on dit en s
et l’autre sombrent, comme deux et deux font quatre. Il y a toute une
littérature
de Valcarenghi ; personne ne connaît son public ;
r la galerie entière. Tome XXXIII, numéro 123, 1er mars 1900
Littérature
[extraits] Robert de Souza. Tome XXXIII, numé
elle éditoriale C’est à nous, maintenant, de subir l’invasion des
littératures
du Nord. Je ne me rappelle pas un succès qui puis
s, d’informations provenant presque toujours de gens incompétents, de
littérature
de bas étage, le tout aussi mal écrit que possibl
habilement préparée. Tome XXXV, numéro 127, 1er juillet 1900
Littérature
. Pierre de Bouchaud : Michel-Ange à Rome (Lemerre
ieu des platitudes de la politique quotidienne ces spécimens de haute
littérature
. Revues et journaux Notre éminent confrère
nquetil Duperron (1771), soit dans les reflets du grand mythe dans la
littérature
grecque, que Léopardi connaissait profondément. D
nv.-juin Paris. Souv. Égot. — Journal Amateur de théâtre. Projets de
littérature
dramatique juillet-déc. Grenoble et Claix. Jou
s caractéristiques, pouvait-il entretenir un Italien lettré, sinon de
littérature
italienne ? Le Dante, l’Arioste, le sonnet, Merli
dans la via Condotti. Tome CXXVI, numéro 475, 1er avril 1918
Littérature
. Memento [extrait] Jean de Gourmont. Tome CXX
, La vecchia Europa e la nuova, Milan, Treves Dans le fatras de la
littérature
guerresque on peut relever aussi le livre de Mari
no, et le professeur A. Galletti, qui lui a succédé dans la chaire de
littérature
italienne à l’université de Bologne, a consacré u
▲