r l’amour que raisonnablement je dois te porter, ensuite parce que tu
sais
abréger ou prolonger la vie des hommes.” M. Pél
omancie et méprisé la hâblerie des spirites du xve siècle, mais il a
su
mettre sa propre intelligence dans ses figures et
insignifiantes. Son roman a été donc une révélation, que le public a
su
apprécier. Amor di sogno expose le cas psychologi
doarda a un élan de passion : « Ne me demandez rien ! dit-elle. Je ne
sais
, je ne sais… Je comprends que je mourrais loin de
élan de passion : « Ne me demandez rien ! dit-elle. Je ne sais, je ne
sais
… Je comprends que je mourrais loin de vous !… » M
r tous d’accord en général et tous en désaccord en particulier. Je ne
sais
pas ce qu’ils ont dit, pour rester d’accord, à mo
et, il y a bien une vingtaine d’années, le Mefistofele de Boïto avait
su
séduire mon intransigeance wagnérienne. J’ai cons
x. On jurerait presque qu’il croit que c’est arrivé. Et, au fond, qui
sait
? La blague est un jeu quelquefois traître. Le pl
ant que Paillasses, ont abusé de la complaisance des reporters. Je ne
sais
plus où j’ai lu que c’est dans une réunion ultra-
re encore de ce monde. Enfin il y a M. Ganne, dont la Marche lorraine
sut
fasciner jusqu’à l’auteur de Cavalleria rusticana
ir. Sans doute, il y a mieux, mais c’est moins cher. Et puis, il faut
savoir
se contenter de peu, à l’Académie Nationale de Mu
faiblesse qui se veut tolérée est lâche. Il faut mourir noblement et
savoir
souffrir sans se plaindre l’injure dont on aurait
ruauté et en obscurantisme inconscient. Ils brûlèrent et tuèrent sans
savoir
, au hasard, incapables d’ailleurs de soupçonner c
y, dans la tête de Lavoisier. L’Église ici est fort supérieure ; elle
savait
ce qu’elle faisait. Elle se montra d’ailleurs bie
pondit sans faiblesse et sans vanterie. Dut-il se rétracter ? On n’en
sait
rien. C’est peu probable, car ses affirmations av
car ses affirmations avaient été indirectes et de pure hypothèse. On
sait
qu’il ne proféra point la phrase de mélodrame : E
e était de cacher au vulgaire les secrets de la nature. Que le peuple
sache
ou ignore les véritables mouvements des astres, c
ertes aux mains du peuple. « Après, vous m’apprendrez l’Almanach pour
savoir
quand il y a de la Lune, et quand il n’y en a poi
inateur qui, en une série d’abstruses et suggestives lithographies, a
su
fixer les plus terrifiantes hallucinations d’un c
es. Cette cloche est suspendue à une grosse poutre qui s’appuie on ne
sait
où ; deux épouvantables mains de squelette tirent
semblera pas extraordinaire d’affirmer que non seulement son œuvre ne
saurait
être goûtée au premier contact, mais qu’elle est
us caractéristiques dans chaque nation. Selon M. Pica, la question de
savoir
si « oui ou non, il existe un style véritablement
qui, « libérés des timides réticences et des préjugés conventionnels,
sauront
rendre l’art nouveau toujours plus vivant et plus
rendre l’art nouveau toujours plus vivant et plus original ». Qu’ils
sachent
seulement ne pas perdre leur temps et leur talent
seulement ne pas perdre leur temps et leur talent à rénover ce qui ne
saurait
être rénové, la règle essentielle des arts appliq
is trop longtemps, nous avons été trop souvent en contact pour ne pas
savoir
notre fort et notre faible. Nous sommes des frère
tout l’ensemble des faits qui se rattachent à la vie du Dante. On ne
savait
déjà pas grand’chose, maintenant on ne sait plus
la vie du Dante. On ne savait déjà pas grand’chose, maintenant on ne
sait
plus rien. Le voyage à Paris est révoqué en doute
ète de Béatrice. Placé si haut par l’admiration de ses fidèles, il ne
saurait
, sans risquer de perdre son caractère, être ramen
, il est absolument immoral de lui mettre sous le nez un Géant. Je ne
sais
pas pourquoi cette manière de résoudre le problèm
dame qui laisse quelque peu à désirer du côté des mœurs, quoiqu’elle
sache
écrire des vers admirés sinon admirables. Le poèt
gnore profondément ce que tous les littérateurs habitués de sa maison
savent
par expérience. Une nuit qu’il revient à l’improv
t de chaumière en chaumière, en quête de mots vifs et descriptifs. Il
sait
exploiter cette vie naïve, il goûte les rythmes p
t ans de vagabondages. Il revint dans sa ville natale, ainsi qu’on le
sait
d’après des documents renfermés dans les archives
nce et plus blanc, couverts de la belle écriture de Casanova qu’on ne
saurait
confondre. Le manuscrit est lié en douze paquets,
consécutives qui n’aient pas été touchées. Herr Brockhaus (dont je ne
saurais
suffisamment reconnaître la courtoisie) eut l’ama
du monde ; pour une couronne, rectifie l’infatigable Laforgue. Il ne
savait
que lui dire devient : dans cet état de perplexit
s que de Casanova lui-même. II Pendant plus de soixante ans, on
sut
que Casanova vécut les quatorze dernières années
89, le Casanova inédit prit fin, et n’a jamais, autant que je puis le
savoir
, été continué ailleurs. Hors la publication de ce
possible de composer un dystique latin de la plus grande beauté sans
savoir
ni la langue latine ni la prosodie. Il faut exami
t être dit que par un sot, et cela est impossible, car toute l’Europe
sait
que mon frère n’est pas un sot. » Ici comme si s
devient abstrait et scrutateur, et il rédige deux pages, pleines d’un
savoir
curieux et insolite, sur le nom du Paradis : « L
e, et toujours heureuse, bien que vieille maintenant. » On n’a jamais
su
ce qu’il advint de ces lettres et pourquoi elles
Casanova comme d’« un homme connu en littérature, un homme de profond
savoir
». Dans la première édition, qui est de 1774, il
La vérité est le seul Dieu que j’ai jamais adoré », dit-il ; et nous
savons
maintenant combien véridique était cette affirmat
les, si j’ose dire. Il en résulte un singulier méli-mélo auquel on ne
saurait
toutefois refuser une certaine homogénéité, due s
hez de braves paysans lombards qui firent de lui un petit porcher. On
sait
moins son purgatoire dans une sorte de maison de
llon décoratif en vigoureux relief à la Della Robbia, L’artiste qui a
su
voir cela, certes, est déjà à la hauteur de Mille
Cette pièce est unique dans son œuvre. Cependant il paraît, — on l’a
su
après la catastrophe du Schafberg, — que, dans l’
le, se serait gardé comme du feu d’une telle mise en place. Mais nous
savons
déjà, par d’autres œuvres, que le feu des soleils
bête retournant un peu son museau vers la croupe de son petit… Qui a
su
démêler une telle expression d’amour maternel dan
on rôle de jalon ; mais nul mieux que lui ne montre le peintre qui ne
saurait
rien apprendre de plus, le peintre dont la peintu
mps. Une grande préoccupation domine peu à peu toutes ses pensées. Il
sait
qu’il a coûté la vie à sa mère, qu’elle ne s’est
tient, — et nous sommes les premiers à comprendre qu’on y tienne, — à
savoir
explicitement la pensée de l’artiste, nous n’adme
— lui qui ne fit jamais d’études, — que des études préparatoires. On
sait
le reste : il s’attelle au triptyque de la Nature
rès des siècles innombrables : C’est moi, c’est moi qui reviens pour
savoir
! Car j’ai vu beaucoup de choses, comme vous voye
ccable. Aligi veut la convaincre de mensonges. Mais Mila est forte et
sait
vouloir mourir, et sait invoquer le droit du sacr
nvaincre de mensonges. Mais Mila est forte et sait vouloir mourir, et
sait
invoquer le droit du sacrifice. Elle dit qu’elle
e lui a fait croire avoir tué son père, tandis qu’elle, elle seule, a
su
attirer Lazaro sur la montagne et a su le frapper
tandis qu’elle, elle seule, a su attirer Lazaro sur la montagne et a
su
le frapper de mort, devant l’Ange muet. L’Ange mu
doive mourir. Et lorsque Mila se sacrifie pour sauver Aligi, elle ne
sait
que lui souhaiter le Paradis. Mila est plus consc
uhaiter le Paradis. Mila est plus consciente. Elle se sent indigne et
sait
être humble. Elle est encore une incarnation de l
ureur, suffirait à la gloire d’un fabricant de mélodrames. D’Annunzio
sait
éteindre une lampe avec beaucoup d’adresse. Les d
es que tu avais, Tu n’en as plus qu’une, et encore… — Parions que je
sais
qui vous attendez, dit-il en souriant. — Parions…
saints, qu’est-ce ensuite ? une corne, rien. Dis-moi, mon petit veau,
sais
-tu au moins la formule par laquelle on défend qu’
re à sa soif et manger à sa faim ? En as-tu entendu parler ? Si tu le
sais
, tu feras fortune, même avant d’avoir reçu les or
oie profonde. Zio Félix surtout se sentait heureux : il souriait sans
savoir
pourquoi, il pensait au jour où Antine dirait sa
que je me suis abaissé, dit Antine, et il rougit, mais sans que l’on
sût
s’il regrettait de s’être abaissé à jouer avec so
personne ? — Ce bandit. — Et pourquoi faire ? — Pour la chose que tu
sais
, mon agneau. — Quelle chose ? — Ce sort. — Oh ! a
Oui, j’irai avec toi. J’irai parce que je dois y aller, parce que je
sais
que vous tous, là-bas, vous me volez. Il est gran
les lèvres avec effort, je me suis enivré. Que dirait mon père, s’il
savait
? Et il eut honte ; non pour son père, mais pour
attention. On ne doit pas médire de son prochain, mais il faut que tu
saches
que don Elia n’est pas une compagnie qui te convi
si jeune ! Il deviendra sérieux. — Il restera longtemps ici ? — Je ne
sais
pas ; je crois que non. — Chère sainte Varvara, f
un peu, Antine, après-demain je m’en vais, n’est-ce pas ? Mais tu ne
sais
pas encore pour quelle raison je suis venu ici. —
que c’est, deux ou trois amandes ? Je m’en fiche profondément. Tu ne
sais
toujours pas pourquoi je suis venu. Devine un peu
peu. . — Pour t’amuser. — Allons donc ! Devine, devine. — Mais… je ne
saurais
… — Eh bien ! je vais te dire, moi. Je suis venu c
onté. Je ne serai pas toujours un propriétaire pour rire, et alors je
saurai
ce que j’ai à faire. Ton père m’a prêté sans inté
comme les usuriers, mais c’est lui qui de tous est le plus en sûreté.
Sais
-tu combien je lui dois ? Devine. — Cent lire 9 ?
, un peu émue, dans le silence toujours plus profond de la nuit. — Je
sais
à quoi tu penses, Antine. Tu penses : « À quoi pe
on. Ne sois pas hypocrite avant l’heure. Que veux-tu ? Tu ne peux pas
savoir
, toi, comme on sent le besoin d’argent quand on n
de grosses dépenses. Tu me diras : mais comment dépenses-tu ? Je n’en
sais
rien moi-même, mais j’ai toujours besoin d’argent
ait comme cela ; je suis un caractère gai, pas mauvais au fond, tu le
sais
, bon comme le pain, et je ne hais personne, pas m
s : quand ce serait le plus galant homme du monde, tous le méprisent.
Sais
-tu combien j’ai dépensé à cette stupide fête de s
ve, à côté de son humble famille qui l’aimait simplement. Lui n’avait
su
goûter ni ce calme ni cette tendresse : cette ten
ni ce calme ni cette tendresse : cette tendresse, il n’avait pas même
su
la comprendre ; mais, dans les derniers jours, il
teries favorites ; il la jugeait très bonne. — Parlez, Zio Pera. — Tu
sais
, mon petit renard, elle a réussi, la chose. Comme
. Vous verrez que, prêtre, il ne le sera jamais, non, non, non. Je le
sais
, moi : c’est un sot. Son père est malin, qu’une b
sira pas. Pendant son voyage, et au pays, Antine chercha prudemment à
savoir
si l’ennemi d’Antonio Francesco était malade. Il
peine présente. Don Elia, qui m’aime comme un frère, et qui — vous le
savez
peut-être, — a été le premier à m’ouvrir les yeux
longuement dès que je serai installé dans une nouvelle résidence. Je
sais
que la loi me soumet encore à vous. Faites donc c
une colère froide. Puis, à son habitude, il regretta sa violence. Qui
sait
? pensait-il, — peut-être s’est-il repenti : et p
ais même plus que mon devoir ! C’est toi, mon agneau, qui n’as jamais
su
faire le tien, que l’aigle te crève un œil ! — Po
peut-être. Il dit qu’il se fera soldat. Il a perdu ses couleurs, vous
savez
, Zio Félix ; et pourtant Cagliari est la plus bel
bien, ma petite fleur, même en dormant il te hait. Il est féroce, tu
sais
, — il a dans sa poche un couteau long comme ça. M
de son innocent Minnai. Était-ce une réalité ou une vision ? Il ne le
sut
pas ; mais à peine les eût-il vus qu’il sentit gr
jeunes hommes : celui auquel arrive un disciple adroit, non dénué de
savoir
, mais sans la mâle volonté d’un Bellini et sans r
tés des deux précédentes monographies, et allie à la compétence et au
savoir
de M. H. Cook l’enthousiasme et la compréhension
toute façon quel tableau est plus giorgionesque que celui-là ? On ne
saurait
mieux dire. Un bon document nous eût tirés d’emba
Pâris et les deux bergers, qui fut parmi ses premiers travaux. Je ne
sais
ce qu’est devenue la seconde de ces peintures et
. Giorgione ouvre tout à fait à Venise l’ère de la Renaissance. Je ne
saurais
m’attarder ici, dans les limites d’une chronique,
l’heureuse recherche d’allitérations et d’onomatopées dont lui seul a
su
vraiment enrichir la poésie italienne contemporai
nde. Après avoir chanté la Nuit d’une façon presque métaphysique, il
sait
revenir à lui-même, et réduire la vision du monde
pathétiques abandonnés seuls à la fatalité de leur force, et l’on ne
savait
pas que la sœur dévouée était une compagne de cré
Ils ne désespèrent pas de conquérir la gloire et même la fortune. Ils
savent
que le théâtre en vers est par excellence le théâ
tulle Mendès a victorieusement relevé, avec quelle virtuosité vous le
savez
, le défi des contempteurs du théâtre en vers et f
t dans l’œuvre, c’est cette modestie quasi timide et, pourtant, on ne
sait
pourquoi, souveraine, ce volontaire effacement qu
et, malgré tout, baignés de lumière. Païen subtil, humaniste sans le
savoir
et dont le latinisme conserve je ne sais quelle c
subtil, humaniste sans le savoir et dont le latinisme conserve je ne
sais
quelle couleur d’italianisme francisé par la Rena
ns dieux, seul de l’antique Olympe, Homme et bête, ô grand Pan, tu ne
saurais
mourir. Je vois ton corps velu qui s’agite et qui
Notre sensibilité, aiguisée par le temps admirable où nous vivons, ne
saurait
se contenter longtemps encore de la seule express
s mime avec une justesse, avec une exactitude merveilleuses. Nulle ne
sait
comme elle se servir de ses mains, de ses yeux. O
é sous le boisseau… C’est l’idée de la vengeance de sa mère, qu’elle
sait
assassinée par celle qui est aujourd’hui à sa pla
e poème est le cycle d’une vie, vie devenue parfaite, dès que l’homme
sait
suivre son âme dans ses angoisses, sait s’envelop
nue parfaite, dès que l’homme sait suivre son âme dans ses angoisses,
sait
s’envelopper dans leurs flammes comme dans un voi
se renouveler. En Italie, Gabriele d’Annunzio, lui seul d’ailleurs, a
su
faire de beaux vers libres Aujourd’hui, M. Alfred
e à se noyer dans les grandes harmonies de l’univers que la musique a
su
révéler à son âme attentive. F. Nietzsche : La
initif des travaux de Giovanni Camerana, pour pouvoir le connaître et
savoir
si l’appellatif de grand poète que ses admirateur
s, car il est impossible qu’il ne s’en soit pas aperçu. Tous ceux qui
savent
lire en auraient été frappés. Non seulement on re
disent assez sur ses relations littéraires et sur ses lectures. Nous
savons
d’ailleurs qu’il entretenait alors des relations
trouvais mauvais. Je les entends maintenant comme du français, je ne
sais
pourquoi, et j’y trouve des choses ravissantes. I
qu’il fait et le plus ou moins d’élasticité de l’air22. Or, veut-on
savoir
comment Lamartine traduisait alors les sonnets du
le cerveau d’un vivant est fausse et mauvaise. Dieu seul et le poète
savent
comment naît et se forme la pensée. Les hommes ne
te. Muette, elle pense à la suprême heure de l’homme du destin, et ne
sait
quand un pied mortel viendra sur sa poussière san
aient très arrêtées. Quant au titre Il Crucifisso, qu’il donna, on ne
sait
pourquoi, au canevas du Crucifix, il ne prouve ri
on pays en réveil, contribua beaucoup au renouveau de la critique. Il
sut
le premier regarder l’œuvre de Dante en historien
ours davantage à l’horizon du monde civilisé, et ils conçoivent je ne
sais
quelle humiliation à se sentir isolés au milieu d
ac. Elle devient telle qu’elle amène des scènes d’anthropophagie. (On
sait
d’ailleurs que ce vice n’est nullement primitif ;
sel) et Labriola, qui ressemble, avec infiniment plus de talent et de
savoir
, à mon révolutionnaire Estomacreux, donnaient en
r dans des conditions que lui, vétéran des guerres coloniales, devait
savoir
funestes. Il gagna contre toute vraisemblance, ma
ttend là sa préparation bienheureuse. Et comme un écrivain moderne ne
saurait
point concevoir le roman d’une âme sans la lutte
int Élias et sainte Barbe. 8. Voir Mercure de France, n° 186. 9. On
sait
que la lire équivaut au franc. 10. Bergame. Inst
eure à la française et à l’italienne : au reste, j’en parle sans rien
savoir
et sur des fragments de Dryden et d’autres. » Le
méthodique et minutieux d’où nul écrivain ne sortirait indemne. Je ne
sais
pas comment on leur enseigne la critique à l’Écol
mode, qu’un engouement des salons mondains de la Restauration, on ne
saurait
s’expliquer qu’il ait duré si longtemps, qu’il du
Quinault : « Le flot fut attentif ! » etc., etc. Rien de tout cela ne
saurait
m’émouvoir ni même me surprendre, et il ne faut p
ts : il faut écrire comme on respire, parce qu’il faut respirer, sans
savoir
pourquoi… » (Corresp., t. II, p. 50 et 52.) 50
ctor Hugo. La grammaire n’est pas faite pour nous. Nous ne devons pas
savoir
de langues par principes. Nous devons parler comm
de mes jours j’aurais pris le parti de faire cesser ma détention. Je
savais
que je réussirais à m’échapper ou à me faire tuer
g de six et large de trois, attira mes regards ; je m’en emparai sans
savoir
encore ce que j’en ferais, et je le cachai dans m
n, 15 jours après Pâques, Casanova, qui s’était fabriqué une lampe au
su
de Laurent, fait sous son lit un trou de dix pouc
vulgarités. À ces gens-là, on peut conter toutes les bourdes, ils ne
savent
pas — ils croient. Mais tout homme qui a tenu un
ant un commerce épistolaire va s’établir entre les détenus, et ne pas
savoir
qu’un prisonnier, sans force quand il est isolé,
pour cette science, et il avait le droit d’être incrédule, puisqu’il
savait
les dupes qu’il faisait en composant et dictant l
ence capitale sur sa vie. Il a fait de la cabale dans sa prison, pour
savoir
le jour où il en sortirait. Lors de son premier v
r avoir le colloque avec les démons de toutes les classes. « Ceux qui
savaient
que j’avais ces livres me croyaient un grand magi
songe à envoyer son instrument dans le dos d’un livre. Il est bon de
savoir
qu’en Italie les livres, généralement, sont relié
lequel il était à califourchon. Des maçons y travaillaient, et chacun
sait
que le plâtre, une fois délayé, se solidifie, pre
ne maîtresse, qui, s’il n’est pas tolérant et volontairement aveugle,
sait
qu’il va être abandonné — j’aimais tant l’enfant
un serrurier, à un débardeur du port, à un ouvrier quelconque, qui ne
sache
pas lire, il vous rira au nez, haussera les épaul
avait rien au monde. De fait, il y avait demeuré quelque temps, je ne
sais
sous quelle figure et avec quelle fortune. Londre
ue le parti catholique qui, ayant aujourd’hui pénétré dans les loges,
sait
à quoi s’en tenir, feint d’en avoir grand-peur, e
rveilleux talent, afin de rendre son récit piquant et intéressant. Il
sait
corser son intrigue, il la travaille comme un rom
ser et faire rire son lecteur. Quant à lui, il garde son sérieux ; il
sait
, et il l’a écrit quelque part, que, pour faire pl
ettre, par respect pour la magistrature de leur pays ; mais, pour qui
sait
lire entre les lignes, voici une phrase du travai
oser l’évasion par cet endroit ; puis ils ont été introduits, nous ne
savons
comment, dans les locaux décrits. Mais Casanova,
es Archives. Il en aurait été, à ce qu’assure Mutinelli, enlevé on ne
sait
quand, ni par qui. Tandis qu’on trouve le procès
l monte à 3 991 livres vénitiennes, réduites par l’expert à 3 236. Et
savez
-vous quelle date porte cette facture ? Celle du 2
a certainement rien changé. A-t-il pénétré dans ces locaux, nul ne le
saura
; il n’a jamais violé son secret de son vivant et
bauchée), il l’avait fixée à la veille de Saint-Augustin, parce qu’il
savait
qu’il n’y aurait personne à la Bussola, par laque
etèrent à l’assaut de la Rome patricienne, avec les effets que chacun
sait
. Si la place ne me manquait, je pourrais montrer
es, rédigées elles-mêmes d’après l’ouvrage de M. Alfred Merlin. Je ne
sais
si le tableau complet donné par celui-ci offre le
rsions d’un érudit et d’un curieux ; les promenades d’un voyageur qui
sait
voir et comprendre, familier des choses d’art com
aumes. Il a été et il demeure le vatès de la Sicile. Tout Sicilien le
sait
. Tout Sicilien, de l’élite ou du peuple, connaît
es qui décorent les cathédrales spirituelles du génie des nations. On
sait
que les littérateurs et les journalistes ne les a
lorence, le Marzocco, que j’ai lu cette significative constatation, à
savoir
que les chansons épiques de M. d’Annunzio ont tou
me livre de l’immortel ouvrage du curé de Meudon, que le savant homme
savait
tout peut-être, excepté ce qui touche à la Marine
outes les paperasses et lettres qu’il était parvenu à conserver, Dieu
sait
comment, au milieu de son existence de bâton de c
il se fait tard et je me sens toute prête à dormir, mais, comme vous
savez
que ce n’est pas tout à fait moi qui vous écris,
a qui fut assurément indigne de la passion d’un tel ange. Nous devons
savoir
un gré infini à M. Aldo Ravà de nous avoir donné
e ce pittoresque extérieur qu’il a presque perdu. Rares sont ceux qui
savent
assez bien la langue pour s’entretenir avec le pr
que de l’extérieur6 ; ils ont lu les règlements qui les régissent et
savent
par ouï-dire que les désordres y sont fréquents (
, il les regarde de son haut, avec une condescendance dédaigneuse. On
sait
que l’Italien a deux formes de politesse où nous
ande, obéissant aveuglément aux principes qui la dominent, il n’a pas
su
adapter ses méthodes d’action aux besoins d’un pe
L’élite ne pourrait-elle aller au peuple, lui apporter l’aide de son
savoir
, contribuer à le rendre conscient ? Hélas ! ceux
e joie et de grâce. Parmi le désordre de notre joie moderne, Renoir a
su
trouver encore et cueillir les simples fleurs de
e le commerce de Misua avec l’Italie devait être très florissant : on
sait
que l’Afrique envoyait beaucoup de blé à Rome. Su
s : réserves partant de mon sentiment, en ces choses, plus que de mon
savoir
. Qui donc, en France, pourrait, contredire utilem
abord, payer à cette œuvre le tribut de justice qui lui est dû. Je ne
sais
si le Moyen-Âge, l’« âme du Moyen-Âge », se fait
urcroît, M. Gauthiez n’aime pas non plus la théologie. Mais ce que je
sais
, c’est que l’on y trouve pleinement, dans ce livr
un vrai Florentin, que M. Gauthiez. Florence ou Île-de-France, on ne
sait
lequel des deux ciels a mis en lui le plus profon
ans les campagnes toscanes, pas à pas, en se chantant le Poème, qu’il
sait
par cœur et qui, pour lui, sourd, en quelque sort
ne le chargèrent même d’une mission importante auprès de Venise. L’on
sait
que c’est au retour de cette mission qu’il mourut
si profonde qu’elle est son sang même et la chair de sa chair. Je ne
sais
… Dante, il se peut, est, d’une part, demeuré fidè
elle, sous sa forme scolastique, soit, en effet, très attirante. J’en
sais
, cependant, qui, dans un sujet comme « Dante », s
et mi-psychologique, qu’il développa ensuite, de la manière que l’on
sait
, dans ses romans. On trouve à présent que la litt
Italiens ne connaissent pas les langues étrangères, encore que je ne
sache
pas une petite ville d’Italie où un Français, un
ncrète. Nous lisons : « grande bataille ! 10 hommes tués ». Hé ! nous
savons
ce que cela veut dire ; notre pays est du midi et
emble un peu à Bizerte. » Tobruk, c’est sur le chemin de la Syrie. Je
sais
: le Banco di Roma a créé une succursale à Tripol
était celle destinée à Jérusalem… Il y a place pour vos banques, vous
savez
. Merci à M. Mesnil de son appréciation sur nos mé
réponse à M. Mesnil, qui, estimant qu’il n’y a pas de frontières, ne
saurait
s’en offusquer, et je me dis, Monsieur, votre trè
et talent la langue et la prosodie, serre le texte de très près et a
su
rendre, grâce à des alliances de mots hardies et
i plus de personnages qu’on ne rencontre pas dans l’édition belge. On
sait
que les premiers éditeurs de Leipsick, au lieu de
nobles et le clergé n’avaient pas des sentiments assez généreux pour
savoir
faire quelques sacrifices nécessaires au roi, à l
t la République, vraie reine publique, gouvernement affreux et qui ne
saurait
convenir aux peuples modernes, trop riches, trop
des deux jolies filles de son hôtelier, qui ont soupé avec lui, — et
savez
-vous pourquoi ? Parce qu’il pense à la pauvre Cha
e rendant aussitôt chez le ministre Comte d’Aranda, qui, seul, aurait
su
le véritable motif de son arrestation, il en reço
ête noire de Casanova, y apparaît, introduit dans la citadelle, on ne
sait
trop en vertu de quelle puissance, pour décider d
’était pas de borner là ma course de la journée ; mais mon lecteur le
sait
, la bonne chère a toujours eu des charmes séduisa
sexe y est beau, et on y fait excellente chère à prix fort modéré. On
sait
que les vins y sont exquis et à bon marché. Que p
parti d’une enfant malade, désespérée, sur le point d’accoucher ? Il
savait
qu’il serait jugé assez immoral, par ailleurs, po
réoccuper si le drôle y a jamais songé ; mais il était intéressant de
savoir
ce que cet enfant aurait pu devenir. La pièce sui
u vol parmi ces paperasses, pourrait être une arme dont des plaideurs
sauraient
tirer parti et nous mettre dans de grands embarra
t, il reste une bonne biographie, pleine de renseignements utiles. On
sait
la naissance très humble, les débuts obscurs, len
842-843]. M. Eugène Montfort, qui connaît merveilleusement Naples, et
sait
nous le faire voir et nous le faire comprendre, n
se décèle par une quantité de signes légers, presque impalpables. On
sait
qu’elle est ici ou qu’elle est là, on le devine q
ncipal rôle. J’ignorai qu’il fût de la Camorra, ou du moins, je ne le
savais
pas d’une façon certaine ; je ne dis pas cela du
Il m’a rendu service une fois et voici dans quelles circonstances. On
sait
qu’il y a à Naples une foule de petits fondeurs q
. Il portait une décoration ridicule que lui avait donnée le pape, il
savait
que cette cochonnerie, suivant son expression, es
dres du roi de France ; c’était de la vanité et de la sottise ; il le
sait
et l’avoue. Il faisait des embarras, jouait au gr
dans un bagne, mais on se détourne avec dégoût du mouchard. Casanova
savait
, sur ce point, l’opinion tellement faite que lui,
jusqu’à l’année 1797. — Qu’on ne cherche pas. Le mystificateur qui a
su
faire croire à son évasion des Plombs, telle qu’i
ction publique ». Félicitons chaudement le Conseil des Musées d’avoir
su
retenir cette œuvre magnifique, acquise d’ailleur
s certainement le milliard sera bien dépassé au bout de l’année. Nous
savons
, par notre propre expérience, ce que durent ces g
lettre veut éviter de froisser nos amis d’au-delà des Alpes que nous
savons
susceptibles un peu trop parfois, surtout quand c
élite consciente qui a gardé les meilleures qualités du peuple et qui
sait
les devoirs qu’elle a envers lui. C’est ce que me
éterminée par une coterie de gens mal intentionnés. Ceux qui voudront
savoir
ce que pèsent l’honnêteté et « l’indépendance » d
tre les mains que de très vieux manuels d’histoire ignorent encore, à
savoir
que le rôle que les rois jouent aujourd’hui dans
isqu’il était resté inconnu jusqu’à ce jour. Il serait intéressant de
savoir
s’il s’en trouve d’autres exemplaires dans les bi
ce qui est noir. Sous la forme sokeret, ce serait la roche noire (on
sait
d’ailleurs que, dans les langues sémitiques, les
nt cela n’impose pas qu’on la voie toujours sous le même angle). Nous
savons
, en second lieu, qu’il dure dix-sept jours et dix
poète dit en propres termes que ces derniers, race à demi sauvage, ne
savaient
rien de la rame ni des nefs. Dépossédés par la fo
ux époques de basse latinité, il s’écrivait Iscla 26. D’autre part on
sait
que, dans les noms d’origine phénicienne, la préf
sept nuits d’une navigation ininterrompue, Ulysse est arrivé, nous le
savons
, en vue de la terre des Phéaciens. Au matin du di
de son ascension, il utilise le tunnel établi au xve siècle. Mais on
sait
par l’histoire que, en le creusant, Alphonse d’Ar
67-171 [170-171]. À la galerie Sedelmeyer des Tiepolo. Di Tiepolo. On
sait
qu’il y eut deux Tiepolo, J.-B. Tiepolo et Domeni
enre psychologique individuel et le genre psychologique collectif. On
sait
, ou plutôt on commence à apprendre, que ce dernie
on vraiment consciente, d’une patrie digne d’être une nation et de le
savoir
, d’un pays capable donc d’avoir un style dépensée
Ercole Rivalta. La Scalata. Bontempelli e Invernizzi. Rome Je ne
sais
si M. Ercole Rivalta connaît un roman français, d
la protection d’un « commandeur de la couronne ». M. Rivalta n’a pas
su
évoquer son temps. Tout en ayant les plus belles
plus profondes préoccupations littéraires, et que notre génération ne
saurait
plus s’intéresser à ses œuvres. Celles-ci ne la t
ondre à la question. Il faut constater un fait comparatif, dont on ne
saurait
, d’ailleurs, tirer de conclusions : certains sent
ommes recèle un hommage à l’élévation de la passion maternelle. On ne
saurait
davantage déduire de la considération de la faibl
sa cuisinière ; voilà qui aurait de quoi nous surprendre, si nous ne
savions
combien ce sexe s’éloigne de penser autrement que
ait à faire peindre pour, les hôtelleries « l’escu de ses armes », se
savait
sans doute bon gré d’être là52. Ces monts, d’aill
de à l’extrême cap de la vie, dans le furtif orient du bonheur, on ne
sait
quel pressentiment obscur encore, plus beau que l
r — à la fois très heureusement et très tristement particulier. On ne
saurait
donner, disons-nous, cette explication, au moins
g. et 50 planches ; 20 fr.) Programme magnifique et très ample qui ne
saurait
être épuisé en un. seul volume ; aussi, cette foi
p. 443-448 [444-445]. Monsieur le Directeur, M. Ricciotto Canudo fait
savoir
, par une note publiée dans le dernier numéro du M
fet, la lumière de Salerne, d’Agrigente et de Syracuse. M. de Bonne a
su
mêler à la compréhension de l’art grec l’émotion
térêts économiques et financiers, un fait d’impérialisme arrogant. On
sait
comment le cabinet Giolitti, sentant son corps ex
lequel il était à califourchon. Des maçons y travaillaient, et chacun
sait
que le plâtre, une fois délayé, se solidifie, pre
g de six et large de trois, attira mes regards ; je m’en emparai sans
savoir
encore ce que j’en ferais, et je le cachai dans m
rément qu’il avait affaire à une bonne et forte porte de chêne. Qu’en
sait
-il ? N’est-il pas plus rationnel, au contraire, d
geôlier. Le terrible tribunal des Inquisiteurs d’État a obtenu, Dieu
sait
par quels moyens, l’aveu du coupable. Nul doute q
iquèrent couramment sans arrière-pensée. » Ce qui veut dire qu’on ne
sait
rien sur la vie de Bazzi surnommé le Sodoma, sauf
de probabilités assez fortes. M. Hauvette n’ajoute rien à ce que l’on
savait
de la vie du peintre, rejette de l’œuvre du Sodom
ur que l’on prenne garde de le prévenir que ses dons de traducteur ne
sauraient
s’adapter tout à fait à la « poésie » de l’auteur
nde et cachée de son inspiration a jeté malgré lui, là où lui-même ne
sait
. De ces « coins d’âme » magnifiques, les livres d
l’œuvre dite philosophique de l’auteur de Sagesse et Destinée. On ne
saurait
donc l’accuser sérieusement d’avoir été ému par l
tous ses livres, au Martyre de Saint-Sébastien. Sa dernière œuvre ne
saurait
pas révéler une « conversion ». M. d’Annunzio ne
le sans plaisir l’hommage offert par les étudiants de Milan, de je ne
sais
quel groupement, à l’Empereur d’Allemagne, en sou
nt, mais insensiblement, une évolution se dessine et s’accomplit dans
su
manière ; sa pensée peu à peu s’affine et bientôt
in la plume pour écrire Otello (1887) et enfin Falstaff (1893). On ne
saurait
guère refuser à ces deux ouvrages le titre de che
aboutissement vraiment prodigieux. Cependant leur maîtrise sereine ne
sait
encore et toujours que chanter la claire mélodie
r de vivre en de gracieux paysages qu’égaie un babil d’oiseaux. On ne
saurait
reprocher à Verdi d’être resté foncièrement itali
us contraires de la littérature italienne, le Tasse et Manzoni. Je ne
sais
si l’on peut trouver autre chose de commun entre
ivre uniquement avec sa propre personne. Les « libérés » de la raison
savent
être, veulent être éperdument seuls. Le Tasse fut
urrait le satisfaire. Il se sentait né pour de grandes joies, mais il
savait
toujours que, toutes les fois qu’il tendrait les
sme français est indiscutable. Les romantiques d’au-delà des Alpes le
savaient
fort bien, car ils savaient toute l’étendue, la v
e. Les romantiques d’au-delà des Alpes le savaient fort bien, car ils
savaient
toute l’étendue, la vigueur et la beauté du cerve
sacré et par conséquent tout ce que l’on craint. Encore maintenant on
sait
qu’il ne faut pas prononcer en vain le nom de Die
qu’elle ne s’ouvrirait plus jamais, et que je ne verrais rien, ni ne
saurais
rien de ce qui m’inquiétait, lorsque, deux jours
ause de la « maison d’en face ». Je donnerais bien quelque chose pour
savoir
si cette chambre est habitée !… En attendant, je
oi. J’appris qu’en bas logeait un ingénieur, et en haut un avocat. Je
sus
le nombre exact de leurs enfants, et l’âge de ceu
arfums enivrants à respirer. Elle devait être impatiente de vivre, de
savoir
, d’aimer ; elle devait éprouver des défaillances
Je ne pensais ni à ce que je tenterais, ni aux suites, à rien. Je ne
savais
qu’une chose : c’est qu’elle était là, à côté, en
lait que j’étais près d’elle, que je respirais son parfum, et qu’elle
savait
que tous ses mouvements étaient parfaits, et qu’e
u’elle n’avait jamais vu ?… N’importe : je l’eusse voulu rencontrer ?
Sait
-on les combinaisons favorables qui peuvent se pré
nt-là, elle avait quitté Naples pendant deux jours ?… Eh ! comment le
savoir
?… Mais à quoi me décider ? Certes, cette existen
e à l’écart. Cela me donnait de l’audace. Je me disais : il suffit de
savoir
manœuvrer, de continuer à l’intéresser.. L’après-
nt le mur du jardin qui était derrière sa maison. J’aurais bien voulu
savoir
si ce jardin communiquait avec la maison, ou s’il
elle de corde ? J’essayais de deviner la topographie de la maison, de
savoir
sur quoi la porte de sa chambre ouvrait, si la ch
heures. Maintenant j’étais complètement au fait de ses habitudes. Je
savais
qu’à cette heure-là elle allait au bain. J’avais
issements de bains de mer du Pausilippe et de Santa Lucia. Mais je ne
sais
pourquoi, et par quel fâcheux hasard., je n’ai ja
oucher ; elle avait éteint. J’attends quelques instants ; puis, je ne
sais
quelle idée me poussant, j’allume à mon tour ma l
l attentif de leurs bonnes anglaises. Vers le soir, à un moment où je
savais
qu’elle n’était jamais à la maison, j’allais pren
llement des épaules, qui me fit frémir moi-même tout entier, et je ne
sais
comment je me retins de ne pas baiser ses cheveux
ays j’étais, et elle murmura : « Un diable de Français ! » Quand elle
sut
que je venais de Paris, elle s’assombrit et rêva
ntenant que je la connaissais, je ne formais plus aucun projet. Je ne
savais
plus rien de mon existence à venir ; toute ma vie
e et de la prosodie nouvelles. Nulle part ailleurs qu’en France on ne
saurait
retrouver l’usage et le sens de ces grands boulev
nthologie futuriste prend immédiatement dans cette littérature. Je ne
sais
si des haines, des parti pris, des rancunes indiv
nord que dans le midi de l’Italie, et c’est dans le Nord, comme l’on
sait
, que l’activité économique est la plus intense.
ecque et romaine, l’île s’est rappelée Pithecussæ, puis Ænaria ; pour
savoir
comment expliquer l’oubli séculaire de l’appellat
les inflexions de leurs lèvres moqueuses conviennent à des dieux qui
savent
tout et méprisent doucement les vulgarités humain
espire, ce creux de la gorge où l’on voit courir le sang, il a, je ne
sais
, par quel mystérieux artifice, jeté sur toute sa
n lui donne une panoplie et un Gradus ad Parnassum. Vincenzo Peruggia
sait
le lien étroit entre la terre et les œuvres des h
art. Il veut rendre à l’Italie les chefs-d’œuvre italiens. Mais il ne
sait
pas quels sont les chefs-d’œuvre. Idéaliste pur,
’action politique est la sœur du rêve des marchands d’esclaves. Il ne
sait
pas quels sont les chefs-d’œuvre, parce qu’il ne
esclaves. Il ne sait pas quels sont les chefs-d’œuvre, parce qu’il ne
sait
pas quelles œuvres servent à la propagande. Au fo
a droit à ses tableaux. …………………………………………………………………………………………………… Il ne
sait
pas. Il se promène au Louvre. Quel est le plus ch
chefs-d’œuvre ? Quel est le plus italien des chefs-d’œuvre ? Comment
savoir
… ? Ah ! savoir… savoir… Il n’y a donc pas en Ital
? Quel est le plus italien des chefs-d’œuvre ? Comment savoir… ? Ah !
savoir
… savoir… Il n’y a donc pas en Italie de journaux
st le plus italien des chefs-d’œuvre ? Comment savoir… ? Ah ! savoir…
savoir
… Il n’y a donc pas en Italie de journaux qui acco
hommes et les œuvres ne sont que trois aspects d’une même réalité. Il
sait
qu’un avertissement mystérieux lui révélera l’œuv
iteur a précisé son admiration : Il préfère la Joconde et au moins il
sait
pourquoi : « Ce tableau… Ah ! quelle fortune pour
rtume — lo presi nel culo. » Voici des anecdotes sur Baudelaire. On
sait
que, durant son séjour à Dijon, Charles Baudelair
ue la pauvrette rentrait à la maison, ramenant un prêtre « levé » qui
sait
par quels artifices : « Très bien, observa l’aute
cule de dire plag pour plagio. Quand on le fait, on a l’air de ne pas
savoir
se tirer d’un mauvais pas poétique, ce qui est l’
quelques quatrains de l’Almanach : Boucher, c’est cette chose. Qui
sait
faire ses affaires ; Sur la porte il écrit bœuf.
ent, et raccompagna jusqu’au seuil de ses appartements. — Cette brute
sait
jouer le galant homme, murmura Mondella. Ses mani
ne énigme ! grommela Stella-Lucente. — Je vais vous révéler ce que je
sais
. Je m’installai commodément dans un fauteuil ; je
ant, et que je retrouvais, ensuite, à Londres ou à Paris. — Ce que je
sais
, repris-je, c’est, d’abord, que Nina Ceschini est
ité, répondis-je. — Crois-tu ? demanda Paolo. — Une pareille femme ne
saurait
se toquer d’un individu pareil ! L’as-tu bien exa
ra le bienvenu, répliqua, sèchement, Antonio. Il aurait bien voulu en
savoir
davantage sur le peintre, mais Paolo m’ayant rapp
ley ? Comment est-il physiquement ? » Cela seul intéresse Antonio. Il
sait
que sa femme porte un cœur irrité, qui ne s’est j
e appartenait à une vieille famille vénitienne sans fortune. Il avait
su
la troubler. Il était beau en uniforme, et sa rép
i auraient pu lui plaire. — Il recevait, d’ailleurs, comme un roi. Il
savait
faire admirer, sans forfanterie aucune, les œuvre
œur bat. Il ouvre doucement la porte. Il ignore ce qu’il va faire. Il
sait
que tout ce qu’il va dire sera maladroit, inutile
usez-moi, si je me présente moi-même. Notre ami est à Vérone… — Je le
sais
. Vous êtes peintre, Monsieur ? Sans attendre la r
anges ! Je gage qu’en ce moment il est intrigué par lui-même, il veut
savoir
comment il vous supportera. Je suis aussi certain
t pas aimable sans motif ; il l’excède avec ses attentions. Il désire
savoir
comment elle compte poser. Elle songe, quelques i
Quant à Tebaldo, il passe pour être mon amant… lui ! » Aurora n’avait
su
que répondre… Une gondole glisse le long de la si
l’esquisse que j’avais ébauchée, et je. me levai… pour… pour je n’en
savais
rien… le jeter par la fenêtre… le chasser ou part
à Venise. Cette invitation entraîna celle du violoniste Lowsky. On ne
savait
rien de lui, si ce n’est qu’il n’abandonnait jama
sion. — Tout cela me paraît étrange. Elle reprit son livre. — Vous ne
savez
pas ce que je crois, Aurora ? Eh bien ! voici : m
rait des paroles exaltées, mais une colère qui se déchargeait. Aurora
savait
tout cela. Aussi écoutait-elle le discours d’Anto
Elle s’approcha d’Aurora, les sourcils contractés, frémissante. — Je
sais
… je sais ce que signifient certaines expressions
pprocha d’Aurora, les sourcils contractés, frémissante. — Je sais… je
sais
ce que signifient certaines expressions sur les f
us de Lowsky ? — Comme de moi-même. — Morga, vous me plaisez. — Je le
sais
! Les hommes à qui vous avez parlé, comme vous ve
son de vous, de Lowsky, de Morga et de cet immortel ouvrage ! — On ne
saurait
trop se méfier avec un homme comme Stella-Lucente
couples, accablés du souci de ne rater aucune de leurs évolutions, ne
sauraient
penser à rien autre chose qu’aux divers mouvement
aient qu’on les traite avec trop de cruauté. Il leva donc, comme vous
savez
, l’interdiction contre le tango, exigeant toutefo
sants de la comédie italienne. Les vers de M. Camille de Sainte-Croix
savent
être, selon les cas, poétiques ou plaisants et on
ui, de concert avec le directeur de la Galerie des Offices — qu’on ne
saurait
assez remercier de la sagacité et de l’esprit d’i
qui connaissait admirablement le musée et les usages du personnel et
savait
comment enlever le tableau qu’il avait lui-même e
ue l’harmonie n’était pas la voix des parfums. Et ces hommes^ elle ne
savait
pas qui ils étaient. Beppo l’avait bien rassurée,
. — Existe-t-il un modèle, homme ou femme, qui ne soit pas curieux de
savoir
ce qu’on a tiré de sa beauté ? — Aurora n’a jamai
penchant vers Aurora : — Je suis l’ami de Wellseley, Madame, et je ne
sais
pas si vous posez de profil, de face ou de trois-
ite porte du palais, et se rendit chez Wellseley, sans s’inquiéter de
savoir
si elle était suivie. C’était un matin d’une limp
nt une semaine, jadis… Pardonnez-moi. Mais… Elle l’interrompit : — Je
sais
que, parfois, l’on croit aimer, et je sais aussi
Elle l’interrompit : — Je sais que, parfois, l’on croit aimer, et je
sais
aussi que je ne dois pas être jalouse… Ils eurent
e. — Pourquoi ? Nina va écrire à Antonio qu’elle nous a surpris. — Je
saurai
nier. — Vous pourrez donc mentir ? — Maintenant o
Il lui annonça qu’Antonio déjeunait dehors. Où et avec qui ? Ugo n’en
savait
rien. — Mais, si vous le voulez, Aurora, nous pas
, en même temps qu’à vous, et lui explique tout ce qu’il faut qu’elle
sache
. Si, par ordre du Signor Antonio, je l’appelle, e
aveugle, parce qu’ils s’aiment ; et que je préfère les perdre que la
savoir
à lui. Il replia la lettre. — Je suis allé chez
lettre. — Je suis allé chez la Ceschini. Je lui ai demandé ce qu’elle
savait
. Ah ! ah ! elle m’apprit qui étaient ces deux mus
io ? demandai-je, lorsque nous fûmes seuls. — Non, en tous cas, je le
saurai
. — Comment ? — Je pars pour Mantoue. — Vous ne pa
était avec elle d’une cruauté terrible, à tort ou à raison, je ne le
savais
pas ! Elle s’est évanouie contre moi : et, quand
onio, je me suis proposé comme domestique. J’ai été accepté, car j’ai
su
plaire au vieil Ugo, dont la cervelle se détraqua
lasciano traccia nell’ombra, gli specchi non ànno riflessi, non cade
su
loro dell’ombra una macchia, neppure la macchia d
ardant l’eau du fleuve — qui coule tranquille au-dessous. » Comme on
sait
, Palazzeschi appartient au groupe futuriste depui
e manque d’occasion d’apprendre le physique, le bête de la musique, à
savoir
jouer du piano et noter des idées, ont beaucoup d
in Rolland, la vie de Haydn a donné lieu à une longue controverse. On
sait
que Stendhal s’est servi, pour l’écrire, d’un ouv
rement des xviie et xviiie siècles. — La fondation de Venise, on le
sait
, ne remonte guère qu’au ixe siècle et à l’expédi
ix et la bannière pour faire sortir d’Italie la collection Crespi. On
sait
qu’une loi très sévère, la loi Pacca, existe en I
intégralement retraduite ? » Et alors, sur la recommandation d’on ne
sait
qui, il chargea le professeur de langue française
et que l’on désignait en Provence sous le nom de Roux de Corse, je ne
sais
plus au juste pourquoi. Il lança un manifeste emp
— par effraction — dans la catégorie des écrivains que l’histoire ne
saurait
plus ignorer, quitte à les reléguer dans la secti
cilité lumineuse », outrant l’enthousiasme jusqu’à s’écrier : « Je ne
sais
quelle grâce des Sévigné, des Choisy et des Bussi
précieuses. Cela ne remplacera jamais le texte autographe, hé ! je le
sais
de reste…, mais à quoi bon récriminer ? Tant pis
ue cinq ou six ans avant Orfeo, avec Calzabigi, dont la Dissertazione
su
le Poesie drammatiche del Sig. Abate Pietro Metas
leurs glorieux souvenirs communs, et surtout à tous les Français qui
savent
la gloire de la pensée de l’art de l’Italie dans
gloire de la pensée de l’art de l’Italie dans les siècles passés, qui
savent
le prix de son activité présente. Nous répétons a
élégant, impassible, avec sur le visage une froideur que nos yeux ne
savent
pas scruter : ils glissent sur quelque chose de l
ouvre en 1911, a été enfin ouverte au public le 4 juin dernier. On ne
saurait
d’ailleurs être trop étonné de cette lenteur d’in
réplique qu’il envisage le même objet dans la science de la peinture,
savoir
: invention et mesure : invention de la matière q
s de sentiment et de raffinements de sensation, que le dessin seul ne
saurait
ni ne pourrait exprimer. « Chéret. — Avec les pol
plus persuasive encore la modernité de Chéret, c’est ce fait qu’il a
su
se servir et profiter de ce besoin toujours plus
cture, rendait-elle déjà une vive et sûre personnalité d’artiste, qui
sait
voir, avec une nette perspicacité d’observateur,
oir, avec une nette perspicacité d’observateur, la figure humaine, et
sait
la reproduire, en une synthèse efficace, par l’ac
tantôt pénétrant, tantôt malicieux, de la créature humaine, dont il a
su
— (comme il nous le fait voir dans cette exquise
lance une œillade insolente à quelque vieux Monsieur. Mais M. Chahine
sait
aussi exprimer le charme de visages plus aristocr
esprits de son temps, Léonard n’appartient pas à l’humanisme : il ne
savait
pas le grec et connaissait mal le latin, comme il
ils allèguent que je ne suis pas humaniste. Stupide engeance ! Ils ne
savent
pas ceux-là que je pourrais leur répondre comme M
phrase plus de bois vert que sur les bûchers de l’inquisition. On ne
sait
qu’admirer le plus, de l’indépendance d’un tel es
irer le plus, de l’indépendance d’un tel esprit ou du silence qu’il a
su
garder. « Si nous doutons de ce qui passe par no
’amour, que, selon ma raison, je dois te porter, ensuite parce que tu
sais
abréger ou prolonger la vie aux hommes (4), enfin
out de la chose qui doit être aimée. Si tu ne connais pas Dieu, tu ne
saurais
l’aimer ; si tu l’aimes pour le bien que tu atten
assionnalité que cette recherche de l’intensité en philosophie : nous
savons
cependant que l’erreur habite aux extrémités et q
ne prédestination parmi les hommes, elle se manifeste par le désir de
savoir
: et le savoir est de telle vertu « que l’acquisi
on parmi les hommes, elle se manifeste par le désir de savoir : et le
savoir
est de telle vertu « que l’acquisition d’une conn
avant. Que devient le prêtre et le moine « qui par inspiration divine
savent
tous les secrets » ? Ils passent au second plan e
l’homme aspire sans cesse à retourner vers son mandataire. « Et vous
savez
que ce désir et cette quintessence sont les compl
les. « Qui ne refrène la volupté s’assimile aux bêtes (120). » On ne
saurait
trop remarquer chez un artiste qui servait César
on ne rencontrait quelques hommes inventeurs sages et savants, je ne
sais
où on verrait la supériorité ? Dans le légitime i
baiser les pieds de cet ange à forme humaine ? Les cardinaux veulent
savoir
si son invocation a produit quelques cures et, gr
’air. Donc l’esprit infus dans l’air serait bientôt démembré. Quant à
savoir
si un esprit peut parler, il suffit de définir la
ent te louer, comment exprimer ta noblesse ? Quel génie, quel langage
saurait
décrire ta véritable opération, œil, fenêtre du c
lisme et le poncif. La beauté est cachée : une imitation littérale ne
saurait
la découvrir. En outre, le corps humain doit être
ue, et qui est tombée dans les sales rouages de la politique, nous ne
savons
à qui nous fier. L’égalité des deux testaments, l
nt point au trirègne de la foi, de la raison et de la science, qui ne
saurait
orner dignement aucun front. Chacune de ces couro
eux, parce que la sensibilité seule la perçoit. Un élève de chimie en
sait
plus que Lavoisier et refera l’expérience de tous
ée, il accepta de n’être, devant la postérité, qu’un peintre. Mais il
savait
que son œuvre était bonne, il ne la renia pas, il
oires, qui appartient à la Maison d’Édition Brockhaus, de Leipzig. Je
sais
pertinemment qu’une importante édition, chargée d
i tue sa femme infidèle, ou d’une femme qui vitriole son amant. Je ne
sais
pas si c’est l’âge, mais la passion me paraît déc
ysionomie, ses gestes, son attitude, il continue bien son rôle. Je ne
sais
si M. Mounet-Sully, qui assistait à cette premièr
, Et les toits reflétés comme dans un miroir. Au centre où je ne
sais
quel frénétique espoir Suscite vers les cieux l
joindre, ô palais de porphyre, Au néant, les bras fiers qui vous ont
su
construire ; Déjà votre paroi cède et craque en
s, Mon Destin s’illumine et se précise en moi. Je t’aime d’avoir
su
, d’une main forte et belle, À ta gloire, ployer
rée, Du Ciel et de l’écume a formé sa couleur. Le tendre Bellini
sait
le chemin du cœur ; Le Titien nous porte aux voû
historique de cette corruption, l’illusion de ceux qui y voient on ne
sait
quel fait énorme et quel typique et exceptionnel
r du Petit Temps qui y a trouvé des renseignements peut être inédits (
sait
-on jamais) sur l’envers du théâtre de Victor Hugo
ux connues n’avaient jamais été considérées avec méthode. Ce que l’on
savait
ne permettait pas d’établir clairement un plan d’
a jeté une ombre sur le maître. C’est une injustice que la critique a
su
réparer tout récemment. I La statue du Colle
s travaux d’orfèvrerie ; il finira par le Colleone. III Nous ne
savons
presque rien de sa vie. Il vécut à Florence et fi
vite, contrairement à ce qu’ont soutenu la plupart des critiques. On
sait
qu’il ne se maria jamais. Les nombreux enfants de
paupières baissées qui alanguissent le regard et lui donnent un je ne
sais
quoi équivoque, mystérieux, ces visages dont, apr
de l’Hôpital18. Figures arrondies, bien vivantes auxquelles l’artiste
sait
donner une finesse qui nous touche mieux que cell
pris. Il n’en cherche pas de plus parfaits. Verrocchio, au contraire,
sait
que l’art est perfectible dans ses moyens d’expri
ilie en disant : « J’ai eu tel maître et j’ai appris de lui ce que je
sais
», ne devient pas un maître de l’avenir. Léonard,
es de son temps subirent de quelque manière son influence. Si nous ne
savons
presque rien de précis sur sa vie, nous pouvons,
nt le nom de Ferrari, Francesco, Eusebio, Defendente et Gaudenzio. On
sait
peu de chose du premier. En 1480 on le trouve à G
était un des auteurs les plus célèbres de l’Italie contemporaine. On
savait
que c’était un auteur populaire, nullement artist
erronées, que M. Gabriel de Mun s’est efforcé de faire la lumière. On
sait
que Victor-Amédée Ier devint et resta, par les tr
res, des traces de parenté avec Browning et avec Tennyson. Mais on ne
saurait
tirer argument de prétextes aussi légers et aussi
aperçu dans ses tableaux « une recherche de beauté émotionnelle », il
sut
se dérober à toute discipline et à toute obligati
temps et de tous les pays, estime la première nécessité d’un poème, à
savoir
: qu’il doit constituer, avant tout, un chant. Le
comme l’unique inspiratrice, émanation de Dieu, comme le guide qui ne
saurait
égarer, comme le guerdon suprême dont l’accueil f
aute signification d’incorruptible beauté, de tendresse et de candide
savoir
. Si elle est morte, ravie, toute jeune, à l’extas
Trouvera à chaque pause quelque chose sue Ou quelque nouvelle chose à
savoir
! » (Hélas ! Nous deux, nous deux, dis-tu ! Oui
eige. Ainsi avec la femme bien-aimée s’est identifié l’amour, on ne
saurait
plus les disjoindre ; ils ne sont plus séparables
ut s’ensevelir dans la patience inéluctable, attendre la fin qu’on ne
saurait
éviter et écouter en son cœur s’éveiller la voix,
qu’au temps où avec toi enfin j’atteindrai le rivage Du pâle flot qui
sait
de toi ce que tu es, Et où je boirai dans le creu
agonistes, ainsi que nous le constatons aujourd’hui. Du reste, on ne
saurait
pas trop en vouloir à cet adaptateur d’Alfieri, d
té de quelques minuscules cénacles, seront livrés au grand public. On
saura
alors que les spectacles pour collégiens en vacan
néral, en révélant en même temps la tendance nouvelle du Poète qui ne
sait
plus demeurer solitaire et superbe, et s’adresse
ge sa puissance. Cet homme, certes très jeune, est un grand poète. Il
sait
que le sentiment de l’art est dans l’abstraction,
renseignements nouveaux sur l’incinération des restes de Shelley. On
sait
que le poète périt dans le naufrage d’une petite
en savant. Il pouvait dire : Je crois que… Il ne pouvait dire : Je le
sais
. Il n’en savait rien. » Tome LXXIV, numéro 2
pouvait dire : Je crois que… Il ne pouvait dire : Je le sais. Il n’en
savait
rien. » Tome LXXIV, numéro 265, 1er juillet
elle l’a dépassée. Beaucoup d’hommes de talent écrivent, mais ils ne
savent
pas se servir de leur talent. En d’autres temps,
e. » Cela n’empêchera pas que, s’ils font de beaux poèmes, chacun les
saura
et les récitera ! Gloire plus belle que celle d’ê
s précédents, chacun six planches grand-aigle d’une perfection qui ne
saurait
être surpassée. […] Titien (avec les magistrales
emy. Tome LXXIV, numéro 268, 16 août 1908, p. 685-690 [687‑688]. On
sait
que les Mémoires de Benvenuto Cellini ont été tra
le caractère d’un vrai document d’histoire parisienne que l’éditeur a
su
donner à ces Mémoires ainsi présentés. À côté, ce
es Mémoires, il se dégage de ceux-ci une vérité d’impression qu’on ne
saurait
négliger quand on veut se faire une idée de la co
éalisme obligatoire, ses couleurs peuvent être pures, gaies, elles ne
sauraient
avoir la richesse ni la souplesse voulues pour ég
és… Mais il ne faut rien exagérer. Pinturicchio, malgré sa facilité,
sait
aussi, quand il le veut, traiter admirablement le
air ironique de son éternel monocle. Et cette élégance qui passe, qui
sait
glisser, sans jamais appuyer, qui sait être légèr
cette élégance qui passe, qui sait glisser, sans jamais appuyer, qui
sait
être légère, ailée, tout en laissant une trace im
« progrès » des individus, des sociétés, des civilisations, mais qui
sait
voir beaucoup de choses avec des yeux nouveaux.
t Brutus. Puis, en levant les yeux, il aperçoit le maître de ceux qui
savent
, Socrate et Platon, et, présence inquiétante, cel
s il commence ainsi : « Marsile Ficin donne au genre humain le salut,
savoir
la connaissance et le respect de soi. » Il commen
our prix de l’absolution, la liberté de Florence : et vraiment, il ne
sait
pas ce qu’il demande ! Il avait salué les Françai
an ; le moine qui tente de renverser un pape cesse d’être moine et ne
saurait
prétendre au nimbe. Le pontificat de Léon X est u
int Paul et que l’Écriture fût traduite dans toutes les langues. » On
sait
que Paul III eut l’intention de donner le chapeau
une bête d’Apocalypse. L’esprit est faible, affreusement borné, il ne
sait
pas l’histoire, ignore totalement la littérature
de purifier les rites, en les supprimant. Le protestantisme n’a plus
su
écrire, dès qu’il s’est agi de faire œuvre de pai
uge qu’étant prématurée elle serait un élément de trouble, et nous ne
savons
que depuis une vingtaine d’années le nom du vérit
darité dogmatique, parce que la science en accroissement perpétuel ne
saurait
accommoder son activité avec l’immuabililé du dog
es deux sentiments se trouvent ici groupés dans un même aphorisme, on
sait
qu’ils se manifestent dans l’œuvre entier du phil
le Dante était guelfe, et il l’a prouvé avec quelle vaillance, on le
sait
, dans les batailles de Campaldino et de Caprona,
pour la construction de maisons et d’église, il ne reste guère, on le
sait
, que des décombres et il faut beaucoup de bonne v
ut plus à se roidir contre le destin, en payant d’exemple ? Nul ne le
sait
. Napoléon, qui a déploré cette conduite, disait :
part du temps qu’à l’organisation de véritables foires aux tragédies,
savent
combien tout cela est inutile, dangereux, encombr
attentif comme M. A. Maurel qui, lorsqu’il hésite même et se cherche,
sait
toujours mener le visiteur au point précis d’où i
lé de Vérone après 1438 comme partisan du marquis de Mantoue, et nous
savons
d’autre part que le peintre Pisanello avait subi
vement de la Renaissance, sur la signification de ce mouvement, on ne
saurait
dire dans son rapport avec l’Art lui-même, mais d
entretiens frivoles. Tu me diras tes jours ; ton destin traversé ; Je
saurai
les moments divins de ton passé, Puis les travaux
ivins de ton passé, Puis les travaux souvent payés d’ingratitude : Je
saurai
ta féconde et dure solitude. Tu me réciteras, nés
e mythe d’Auguste », le mythe du vainqueur irrésistible, Auguste, qui
savait
à combien peu avaient tenu les choses, réglait av
rtant des instruments à employer pour gouverner. La question était de
savoir
si l’empire serait gouverné, comme les monarchies
Auguste, d’autre part, vieillissant, — finissaient par s’émousser. On
sait
que l’opinion fut hostile à Tibère, que, malgré l
une fois réapparaître la Rome véritable, la Rome classique, celle qui
savait
simplifier partout les gouvernements fastueux, ac
démon, gravait à l’eau-forte, faisait des vers exquis, avait tout lu,
savait
tout, avec cela, s’habillait comme Brummell et ne
sme, de la haute culture et du raffinement intellectuel. Jamais on ne
saura
combien de collégiens, entre 1894 et 1900, auront
s autres Alliés pourrait être envisagé, en attendant que les Albanais
sachent
vivre d’une vie indépendante et pacifique. To
a des artistes qui vont plus loin dans la création et d’autres qui ne
savent
se détacher complètement de la réalité de vision.
té dé neutralisme, publia le 10 septembre un article anonyme que l’on
sut
bientôt dû à la plume du sénateur Rolandi-Ricci,
yauté, leur intelligence, aussi par le silence patriotique qu’ils ont
su
garder, méritent le respect de ceux qui sont anim
on oublie, entre autres choses, l’armée piémontaise dont le fantassin
savait
très bien pourquoi il marchait. Il est vrai, pour
professeur de Naples se trompe : le Mercure, non moins que la France,
sait
fort bien que l’Italie mène, comme sa sœur latine
ülow, revint à Rome avec le programme anti-interventionniste que l’on
sait
. Mais ce programme allait, en général, contre le
c en éprouva certainement un décisif accroissement d’exaspération. On
sait
le reste : le soulèvement impressionnant de l’opi
ntraint l’Italie à l’alliance défensive avec les empires centraux (on
sait
désormais que les pactes de la Triplice, en ce qu
l l’introduira dans son prochain roman. Des écrivains respectables ne
surent
pas résister à cet usage, offensant ainsi non seu
de théâtre et jusqu’aux acteurs français parcourent nos scènes ; nous
savons
que le théâtre et de roman ne suffisent pas à nou
si, quoique nous en rapportions rarement un livre d’impressions. Nous
savons
que la France est le creuset de toutes les expéri
s morales, sociales, et politiques — bonnes et mauvaises, — mais nous
savons
aussi qu’elle est saine, solide et passablement c
ait content dans un coin, les amies de son petit monde littéraire lui
savaient
gré de ne pas gêner, par une activité encombrante
’il s’était fait dans son petit monde littéraire, ses concitoyens lui
savaient
gré de le voir passer continuellement au milieu d
lés aussi qui attendent la fin comme l’accomplissement des prophéties
savent
que le songe est vain. Que les Allemands et leurs
ucteur n’a pas tout anéanti en lui. Quelque chose soupire, vers on ne
sait
quoi, et qui est comme caché dans la partie la pl
ier, en dehors du désir qui m’étreint toujours plus fortement ? Je ne
sais
pas et n’en ai nul souci. Tout mon être n’est qu’
n frémissement, auquel je m’abandonne, sans demander rien d’autre. Je
sais
que je ne suis pas seul. C’est là toute la certit
il peut s’élever contre la sauvagerie de la guerre actuelle ; mais on
sait
que l’église Santa Formosa, toujours à Venise, a
rature a perdu avec Scipio Slataper (1888-1915) un écrivain qui avait
su
s’affirmer avec un petit livre âpre et savoureux,
harmonieux. Les voies de transport aérien donnent le vertige et on ne
saurait
trop en admirer l’ingéniosité. Quant à ces canons
es conquises, les armes et les munitions, les prisonniers, etc. On ne
saurait
trop louer de telles publications qui aident les
yens de locomotion. Au lieu de Divinité vous dites Vélocité ; sans le
savoir
les Allemands ont bien fondé la religion de la Fé
o ! » et cette exclamation quasi pantagruélique éveilla en vous je ne
sais
quel sentiment religieux qui transfigura la bécan
semblable à Godeau qui rut le premier Académicien à trépasser ? Je ne
sais
. Il est en tout cas le premier mort d’entre les f
qui vient ; l’esprit militaire m’a régénéré. » L’esprit militaire ne
saurait
régler toutes nos aspirations ; il ne peut domine
ure : d’ailleurs n’est-ce pas une plus grande aptitude à aimer que de
savoir
jusqu’à quelles profondeurs descendent en nous l’
ouffert avant de triompher sur leurs faiblesses mondaines, et qui ont
su
cueillir les fleurs du contentement parmi les bui
en vérité, pour un homme positif, y a-t-il rien de plus ridicule ? Il
savait
de quelles splendeurs rayonnent de telles âmes qu
critiques quand il a voulu expliquer, ou, pour mieux dire, quand il a
su
avouer ses incertitudes et ses illusions mystique
ogazzaro. Voyez ses héros : ils souffrent, ils s’attristent de ne pas
savoir
quel est ce mystérieux océan d’aspirations où som
ien qu’ils sont dans l’attente, qu’ils espèrent vivre ailleurs, je ne
sais
où : une petite barque se balance, au lointain, q
mélancolie ; ils le subissent dans l’action, mais leur vie intérieure
sait
le parer de voiles à larges plis ; pauvres idéali
ules étreintes durables, — apparaît au lecteur le moins initié. Je ne
sais
pas d’esquisses plus fines, de tableaux plus harm
ses plus fines, de tableaux plus harmonieux que ceux dont Fogazzaro a
su
embellir l’idée du mariage et du foyer. Bien qu’i
l’absolu. Il a remis en valeur la splendide aptitude des âmes qui ont
su
approfondir, à travers le mirage des faits, la su
peuvent trouver austère cette conception. Et pourtant, se connaître,
savoir
sa mesure, même aujourd’hui, n’est-ce pas la meil
nco Maironi, dans le Piccolo mondo antico, s’opposent, mais comme ils
savent
parfois s’unir ! Ah ! combien ces deux êtres s’él
prière… Au contraire, Luisa Maironi n’est pas une rêveuse et elle ne
saurait
trouver le calme dans l’adhésion à un dogme. Elle
sse est pleine du pardon à l’égard des fautes et des crimes, et je ne
sais
rien de plus exaltant que son influence sur ceux
ent nos pères, qui firent aussi de l’histoire, — parfois même sans le
savoir
. Pascoli ne voit pas seulement la projection d’un
aternel, dans un geste d’abnégation. Il n’aimait point la guerre ; il
savait
qu’elle constitue une grande partie de l’histoire
ue une grande partie de l’histoire, et, partant, de la tradition ; il
savait
aussi qu’elle met en valeur l’esprit de sacrifice
e social. Qui osera trouver méprisable une telle philosophie ? Et qui
sait
si, là-bas, en luttant contre l’Autrichien, quelq
alie. — Vous critiquez sévèrement M. d’Annunzio, lui ai-je dit, et je
sais
que son activité, en ce moment, a le don de vous
travers l’aviateur blessé. Mais laissons cela. Je voudrais seulement
savoir
de vous ce qui vous choque dans le romancier ? —
se tourmenter les uns les autres, à cause du « petit acte » que vous
savez
, tous ces personnages qui mettent du raffinement
ainsi, en un dialogue entre les deux principaux personnages : « Je ne
sais
que faire de mon temps, dirait le monsieur, et j’
alanguit et où l’âme se sent trop seule. Moi-même je mettrai tout mon
savoir
à te torturer en te rendant jaloux. Oh ! ce sera
de l’âme italienne contemporaine une fin uniquement italienne, et ne
saurait
admettre aucune concession à l’internationalisme.
du tsar. Il faut, dit M. Corradini, il faut, quand c’est nécessaire,
savoir
atteindre, au-delà de la mort, un but caché dans
ent, que devant soi-même. « Il y a dans l’aventure d’être pendu je ne
sais
quoi qui corrige la platitude d’une destinée », d
ue pendant des mois dans l’impossibilité de tenter une avancée, on ne
saurait
se prononcer : lesquels furent les plus grands et
euse toujours, dans les tranchées. M. Barzini confirme ce que nous en
savons
; il ne nous apporte rien de nouveau, quoique sa
digner ? Comme contraste à cette morale perverse et répugnante, on ne
saurait
trop recommander le chapitre consacré, moins à la
ction des membres du jury au concours de la Ville de Paris lorsqu’ils
surent
que le lauréat auquel ils venaient, si judicieuse
hétique dont j’aurais pu tirer des avantages considérables si j’avais
su
me le rappeler. Mais quant à la Francesca, le gar
défaut d’origine, vis-à-vis duquel toutes les beautés dont le poète a
su
parsemer son œuvre, ne pouvaient pas atteindre le
dur et opiniâtre, les haines de plusieurs imbéciles dont personne ne
saurait
plus rappeler le nom, les polémiques vigoureuses,
rise le moment actuel. Vis-à-vis de cette nouvelle orientation, je ne
sais
pas trop quel sort est réservé au livre, traqué c
nant, grâce à un jeune et ingénieux chartiste, M. Henri Longnon, nous
savons
exactement qui était Cassandre. » Elle s’appelait
oute à son habitude d’attendre le soleil pour aller se coucher, et il
savait
les rendre avec une originalité savoureusement pi
nt nombreuses, choisies, variées, et d’une beauté d’exécution dont ne
saurait
trop faire l’éloge. Les Revues Charles-Henry
ent avec la foule autour de l’orchestre de la place Saint-Marc. On ne
saurait
soupçonner qu’elle loue à la nuit son joli petit
meux la Divine Comédie, il les a doués de passions violentes, et il a
su
éviter les banalités fâcheuses qui auraient pu le
dans Francesca, charmante, tendre et passionnée. M. Pierre Magnier a
su
, dans Paolo, faire preuve de grandes qualités. Et
débuté par des chefs-d’œuvre dans l’illustration de ses livres. Je ne
sais
s’il est possible de voir quelque chose de plus p
» de son maître Delage ? Excellente recommandation : voilà un œil qui
sait
voir, un esprit qui sait raisonner. Ne soyons pas
Excellente recommandation : voilà un œil qui sait voir, un esprit qui
sait
raisonner. Ne soyons pas très surpris de ces manq
nous présenter des constructions qui n’existent plus, ayant très bien
su
rendre le grand caractère architectural et même l
bonnaire, et on y retrouve toute la manière dégagée de M. Ojetti, qui
sait
voir et raconter d’une façon on ne pourrait plus
nt en même temps le talent d’un auteur et la faiblesse de n’avoir pas
su
ou voulu élaguer son arbre. Loin donc de m’appuye
assions des personnages qu’on me fait défiler sous les yeux. Si je ne
savais
pas que Jules César a été un homme extraordinaire
prendre, un art dans lequel M. Silvagni est passé maître, et c’est de
savoir
raconter et de contraindre le lecteur à se passio
uova Antologia, Natura ed Arte, La Lettura, marchent bon train. On ne
sait
rien de la Rivista d’Italia, où un tas d’illustre
peut-être, quelques bons arguments. Je ne me fais aucune illusion, et
sais
parfaitement qu’ils ne pèseront d’aucun poids dan
e paix fournisse une occasion de les faire passer en France. » On ne
sait
ce que le vieux Mansart pensa de la proposition d
rguillier. […] M. Eugène Müntz a parfaitement résumé tout ce que nous
savons
de Raphaël et de sa carrière courte, éblouissante
rt. Tome XLIV, numéro 154, octobre 1902, p. 251-259 [253-254]. Je ne
sais
pas si M. Fr. Blei voudrait envelopper dans sa ch
d Nay, et The New Canterbury Tales, seront sans doute très heureux de
savoir
qu’ils peuvent maintenant se procurer l’introuvab
s essais : chacun d’eux est indispensable aux autres. Sans eux, on ne
saurait
comprendre l’auteur dans son subséquent développe
sme d’une préférence personnelle n’a pas présidé à cet assemblage. On
sait
telle collection plus intéressante encore par la
ne du temps » le rassurait. Les amateurs, entre les plus éclairés, ne
savent
pas tous que les « audaces contemporaines », si p
tant moins compréhensifs, cherchent à justifier une admiration qui ne
sait
plus où prendre les sûres références de la vraie
tant plus sublimement divin que plus modestement humain. Mais la Mère
sait
qui est le Fils ; elle le tient avec un respect i
ne très belle, très décorative et très rare chose. § Mon intention ne
saurait
être de tout dire, et pourtant j’aurais aimé m’ar
và a intitulé sa publication : Lettres de femmes à Casanova. Or, vous
savez
que lettres de femmes, cela veut dire lettres d’a
ue fois que vous avez à vous repentir de vos écarts amoureux. Et Dieu
sait
si cela vous est arrivé souvent ! Vrai, ce n’est
figure de votre Manon en costume de novice traverser le jardin ; nous
savons
qu’elle n’a pas persisté et qu’elle s’est mariée.
r. Ses lettres peuvent se résumer en une seule phrase courte, elle ne
sait
dire que celle-là : Je vous aime bien, aimez-moi
, il se fait tard et je me sens toute prête à dormir, mais comme vous
savez
que ce n’est pas tout à fait moi qui écris, je do
rès du lit de sa petite amie qui a une variole en suppuration. Or, je
sais
par métier quelle en est la pestilence, et on com
ma brochure. Je vous la rappelle : Mais le point qui importe est de
savoir
si la fuite nocturne sur les toits et à travers l
vous donne un carré de montre sans la monture, vous pouvez renoncer à
savoir
l’heure autrement que par le soleil ; si je donne
atiques ; tout est de l’invention de Casanova en Hollande ; Dieu seul
sait
si le banquier Hope a eu une postérité féminine.
ette résolution d’emmener avec vous et quand même cet homme, que vous
saviez
ne pouvoir être pour vous qu’un embarras ou un da
ut de suite, comme si elle me reconnaissait ; j’étais celui dont elle
savait
l’existence loin d’elle, et qu’elle attendait. J’
e. Jamais je n’avais ressenti un bonheur comparable à celui-là. Je ne
savais
où j’allais, et je ne cherchais pas à le savoir.
ble à celui-là. Je ne savais où j’allais, et je ne cherchais pas à le
savoir
. Je jouissais de chaque minute, je la buvais. Je
infinis ; tout, pour moi, devenait l’occasion d’un départ pour je ne
sais
quel monde de poésie. Un mot, un geste, une coule
t peur de se trahir ; si sincère, si naturelle, si spontanée, elle ne
savait
pas mentir, elle ne savait point tromper. Sans ce
ncère, si naturelle, si spontanée, elle ne savait pas mentir, elle ne
savait
point tromper. Sans cesse elle tremblait de se dé
lles on l’avait élevée, ni son éducation, ni sa foi religieuse ! Elle
savait
qu’elle serait déshonorée, que toute cette sociét
moi, je réfléchis, ou, plutôt, je m’efforçai de réfléchir. Car je ne
savais
plus. J’étais abandonné à mes sentiments et j’agi
eux qui disaient cela ne l’auraient plus jamais répété, s’ils avaient
su
de quelle façon Lina et moi nous nous aimions. Pe
doute. Je ne désire pas plaisanter. Quant à vous tuer, ma foi, je ne
sais
plus. Je verrai tout à l’heure. Per Bacco ! êtes-
ans la maison, — (il dit cela sans me choquer, à la française) — vous
savez
sans doute qui je suis : Marchese di Baiano, colo
— Carrera, Giovanni Carrera… À six heures, il va au Caffetuccio, vous
savez
, Piazza Vittoria… Demain, soyez donc avec lui. Je
de cette nuit s’était représentée à mon esprit, et je m’efforçais de
savoir
si cela s’était passé réellement ou en songe. C’é
uprès d’elle, le premier, à son chevet, rester là, condamné à ne rien
savoir
!… Quand elle avait ouvert les yeux, quand elle s
ssit avec nous, demeura quelques minutes, fut charmant, s’inquiéta de
savoir
si je me plaisais à Naples, et, quand il partit,
l avait un fils et une fille, l’un et l’autre d’une grande beauté. Je
savais
mieux que lui que Lina était belle ; mais je l’éc
e se compliquait, elle devenait émouvante. Je ne pouvais plus du tout
savoir
comment elle finirait. J’étais de plus en plus li
nctivement, je cherchais à comprendre le plan de la construction pour
savoir
de quel côté se trouvait l’appartement de Lina. C
et baisant respectueusement la main de Mlle di Baiano. X Je ne
savais
que penser ; je n’avais jamais vu personne mentir
e signifiait cela ?… Et n’avais-je pas tout à craindre d’un homme qui
savait
si parfaitement dissimuler ?… Comment serais-je j
. L’idée du mariage, au contraire, me glaçait ; j’y distinguais je ne
sais
quelle contrainte du sentiment, je ne sais quel e
it ; j’y distinguais je ne sais quelle contrainte du sentiment, je ne
sais
quel essai de régulariser, de canaliser la passio
t de même, ce n’était pas le mariage bourgeois, puisque les autres ne
sauraient
jamais l’histoire vraie de mes relations avec Lin
était-il pas fâché de se délivrer de l’embarras d’une fille ? Je n’en
sais
rien, ma foi, et aujourd’hui encore, après des an
ite répandu dans la ville. Je connaissais bien les Napolitains, et je
savais
à quel point ils sont bavards et moqueurs, tout o
ses sourires, comme toutes les nuances de sa voix, maintenant je les
savais
. Elle m’avait ravi de mille manières neuves, et c
dans le palais Bianca Capello sur le Grand Canal. Il y a là, comme on
sait
, plusieurs morceaux de grande valeur, notamment l
peu de place à la personnalité de l’artisan, l’œuvre littéraire ne se
saurait
comprendre en dehors du poète qui l’enfanta, du m
chés de se plier à l’adaptation nécessaire, Faust, Stellio Effrena ne
savent
ni l’un ni l’autre conserver la femme qu’ils ont
« n’ayant plus sa vieille maison et pas encore la maison nouvelle, ne
sait
ni où travailler, ni où reposer, ni où vivre, ni
nces du Sauveur, dont la valeur religieuse lui échappe, et dont il ne
sait
saisir que le seul symbole charnel. Ils l’ont fr
luxueuse des visions de la ville des doges par Henri de Régnier, qui
sut
trouver, dans le somptueux décor convenu des coin
stoire Auguste, retracent la vie et le destin. Mais surtout, pour qui
sait
rapprocher, malgré le temps, les époques et la di
ipales des Gaules par Gênes, par Suze et le Petit Saint-Bernard. — On
sait
aussi, par les publications précédentes, le charm
ntraire, le Vrai, le Vrai absolu peut commencer justement là où notre
savoir
finit. » Un des grands mérites, solitaires et mé
ouvenirs de son long et laborieux séjour dans sa ville florentine. On
sait
— ou l’on ne sait pas, en France — que M. d’Annun
ng et laborieux séjour dans sa ville florentine. On sait — ou l’on ne
sait
pas, en France — que M. d’Annunzio joue devant le
e ? Pourquoi a-t-il poursuivi un tel grand travail de dilettante ? Je
sais
que M. d’Annunzio n’est plus à l’âge où l’on se r
des Géants, la terre de Circé et les régions Infernales ? Il faut le
savoir
; et pour cela soumettre les renseignements d’Hom
jouté une démonstration indépendante que je ne puis refaire ici18. On
sait
que, parti de chez Éole pour sa chère Ithaque, Ul
e point est, comme tout le reste, de faible altitude, Ulysse, nous le
savons
déjà, a vu l’île se découper de toutes parts sur
ma tin le héros s’est rendu compte du phénomène, mais sans arriver à
savoir
dans quelle partie du ciel il se passait. « Caus
soit ! dit-il le quatrième jour. Vous le voyez, pauvres amis, nous ne
savons
où est le Nord, où est l’aurore, ni où disparaît
lui à une même région. Ainsi l’on prévient une objection possible, à
savoir
: que la navigation « surnaturelle » d’un jour au
e de la déesse infernale pour christianiser une dévotion païenne : on
sait
que, aux premiers siècles de l’ère chrétienne, ce
t actuel des lieux, San Pietro répond très suffisamment à ce que nous
savons
de Perséphoneia. Mais la vaste plaine de vingt à
lampes et bustes d’Astarté en terre cuite. Et la question se pose de
savoir
si Perséphoneia ne se placerait pas mieux à Monte
en son livre, George Sand, par négligence ou par inaptitude, n’a pas
su
tirer du métier d’art, intimement mêlé à la trame
es du meilleur monde ont la mauvaise habitude de lire des romans pour
savoir
surtout ce qu’on portera cette année, elles ont f
non plus. Sous le rapport critique, je le regrette d’ailleurs : on ne
sait
jamais trop de choses, on n’étend jamais trop son
30, un pauvre essai doctrinaire comme celui d’Artaud de Montor. Je ne
sais
si Stendhal a connu cet écrit : si, l’ayant connu
sous la République, Machiavel étant en place, cette étude eût pu, qui
sait
? aboutir à la fixation de quelque « statut des f
en manière de leçon, la reprise même de Lucie de Lamermoor, et chacun
sait
que le Barbier est un chef-d’œuvre. […] La Cur
érablement, en quantité sinon en qualité de production. Certes, on ne
saurait
saluer l’avènement, ni la naissance, ni la promes
s éperdus qui font penser tour à tour à un délire de puissance qui ne
sait
s’exprimer et à un délire d’impuissance qui ne pe
. Francis de Croisset, M. Meyerhold lui ressemble parfaitement. Il ne
sait
pas un mot de français. Malgré cela, il parvient
Courbet comme aïeux et créé par les grands artistes français que l’on
sait
, et si l’Italie y a part capitale, ce ne serait q
blonde ou brune, et quel goût, sur votre bouche, a votre âme. Mais je
sais
que je vous reconnaîtrai tout de suite, parmi la
lui disais : « Je vous aime !… Mes lèvres ont envie de vous !… Quand
saurai
-je comment sont vos seins, vos jarretières, vos b
lle, le canal dormait, lisse et clair comme un miroir. Maintenant, je
sais
qu’elle est brune et qu’elle se teint les cheveux
te l’utilité de l’établissement de l’industrie dans la Péninsule ; je
sais
aussi que la bourgeoisie lombarde, qui domina en
farouches révolutionnaires, après des rois soi-disant négligents, ont
su
respecter la beauté de la Joconde, on est écœuré
tif de chacun d’eux il y avait au moins une toile qui prouvait qu’ils
savaient
admirablement leur métier de peintre avant de se
ôt dans cette Afrique du Nord où, au temps jadis, les Romains avaient
su
établir des colonies prospères et riches. Le géné
il est possible de féconder ce pays, dont les indigènes n’ont jamais
su
tirer parti. La présence de ruines romaines, vill
. Je suis revenu d’Azizié vers Tripoli sur un camion militaire. On ne
saurait
croire quels services peut rendre ce mode de comm
milieu d’un tourbillon de poussière nous entrâmes dans l’oasis. Je ne
sais
si partout aux environs de Tripoli la terre sablo
au Comité essaiera de réaliser le programme qu’il s’est tracé. On ne
saurait
trop admirer un tel programme. Il est, depuis des
it se voir en France à l’égard de l’Italie, ni d’aucun antre pays. On
sait
d’ailleurs que l’Italie, depuis deux ans, est dan
y. On l’a remplacé, mais, qu’on m’en croie, on n’a pas fait mieux. Je
sais
: il faut bien que le commerce marche, le commerc
uteur tous les ans. Et le commerce marche : les parents des élèves en
savent
quelque chose ! Passons. Pour l’Histoire romaine
douces et légères semaines du printemps oriental, j’associais, je ne
sais
pourquoi, en une même sensation, le bonheur physi
ualité même de la vie, ressuscitée ! Le plaisir, la magie, dont on ne
sait
ce qu’elle est le plus : philosophique ou artisti
st-elle ? » — « Monsieur, pouvez-vous m’indiquer la Via Selecta, vous
savez
cette rue où on pouvait se promener seul, se recu
les données topographiques, semblent un peu réduits. Au fait, cela ne
saurait
être une critique, car mon jeune homme ignorait p
impression éprouvée par mon spectateur ; mais à la réflexion, cela ne
saurait
, disons-nous, constituer une critique. Toutes les
ture, condamné à mort, ainsi que ses quatre co-accusés, et, quoiqu’on
sût
« l’Italie tendrement émue pour celle noble tête,
a été publiée, mérite cependant qu’on s’y arrête encore un moment. On
sait
que c’est M. Aldo Ravà qui, le premier, fit paraî
à prendre cette mesure. Avec un tel diable, — même en terre, — on ne
sait
jamais. Ce serait à voir. M. Gaston Capon a, pour
le fit naître à Paris, en 1313, d’un Toscan et d’une mère dont on ne
sait
rien, sinon qu’elle était probablement parisienne
e dévouement à ses émules. On lui connaît aussi la vertu suprême : il
savait
admirer. Nul n’a plus fait que lui pour la gloire
que les Muses gardent quelques sourires pour ses humbles travaux. Il
sait
les limites de son art ; il en sait aussi le méri
ires pour ses humbles travaux. Il sait les limites de son art ; il en
sait
aussi le mérite. Il proteste contre le grief d’im
volontaire comme le représentant de l’esprit et de l’art italiens. Je
sais
qu’on voulait rédiger une protestation en règle :
e d’innombrables adeptes et fervents dans le monde entier. Casanova a
su
s’attirer autant de commentateurs que naguère Vol
ubliés, annotés pour la plus grande gloire de notre aventurier qui ne
saurait
désormais être taxé d’imposteur, au point de vue
discréditer à jamais aux yeux des sincères casanovistes. Nous croyons
savoir
que l’Édition du Manuscrit original se prépare ac
quinze volumes. À quel tome s’arrêtera-t-elle ? Personne encore ne le
saurait
déterminer. Les lettrés allemands, aussi bien que
pas long : « Elle pleurait, elle pleurait, elle pleurait… Hier, vous
savez
, hier ? sanglotait-elle… Hé bien, voilà… J’avais
e des cafards qui revenait chaque mois. Ma mère les réunissait, je ne
sais
comment, dans un vieux tonneau et j’étais alors a
ans lequel s’est miré Torlonia, l’homme le plus riche de l’Italie. Et
sachez
que lorsqu’on se mire on devient comme la personn
aire pour moi une sorte de génie que j’aimais croire tutélaire. Je ne
sais
pourquoi je l’avais appelé Maldino. Je forgeais d
a éclata de rire, baissa les yeux et répondit en rougissant : — Je ne
sais
pas lire. « À ce moment mon père rentra, il était
maman ? — Elle est à la maison, dit mon père, tu lui écriras quand tu
sauras
écrire et tu reviendras quand tu seras grand. — M
éon. J’avais rencontré un édifice (sous-préfecture ou municipe, je ne
sais
trop) faisant parade de deux grandes plaques de m
ière des bibliothèques. Elle en sort si fraîche et si vivante qu’elle
sait
aussitôt nous charmer et nous émouvoir. Il ne fau
. Une part légitime de l’ovation revient, certes, à Mlle Legrand, qui
sut
chanter en tragédienne au lieu de se croire au co
ver du nouveau. Il interroge et triture la substance sonore, et il ne
sait
que faire de ce qu’il obtient, car, en ce temps d
ne cherche pas, et il trouve sans le vouloir. Et, ce qu’il trouve, il
sait
s’en servir aussitôt, parce que c’est l’œuvre spo
le a laissé de son passage une empreinte certaine, la langue. Reste à
savoir
comment cette empreinte s’est marquée. Qui a lati
urs eu d’étroites relations avec l’Italie, mais c’est une question de
savoir
si elle a été plus influencée par l’Italie qu’ell
d’intérêt à lui-même, et pas assez au monde extérieur ; et puis, qui
sait
? Cet Italien se trouvait peut-être mal à l’aise
ard bien inspiré, vient de renouveler à M. Carré son privilège, on ne
saurait
assez proclamer ce que notre musique doit à son i
lque droit de douter de l’entière sincérité du polémiste, et ce qu’on
sait
de l’homme n’est pas pour en dissuader. L’épître
gluckiste, comme la carrière lui réussit toujours brillamment, on ne
saura
jamais au juste quelle influence eut le succès su
e qui absorbe presque totalement son activité. Mais, jeune encore, il
sut
se soustraire au danger de lire et de publier sim
peut-être même des érudits consciencieux, trouvant la besogne prête,
sauront
gré à M. Rodocanachi de son désintéressement. Mai
un livre qui, malgré tout, est de grande valeur, et dans lequel on ne
saurait
reprendre que la forme ingrate dans laquelle il e
rchie italienne. Il a cherché à dégager ce caractère à part ; et l’on
sait
qu’il est toujours intéressant d’écouter ceux qui
nt d’écouter ceux qui se renseignent dans les pays qu’ils traversent,
savent
voir et traduire clairement des impressions, — qu
e est une vulgarisation agréable et succincte de ce que l’érudition a
su
découvrir ou préciser sur la question. Tome L
les tortures de la Croix ! Pensez donc. À Paris, un auteur dramatique
sait
pour qui il écrit ; c’est-à-dire qu’il sait qu’il
ris, un auteur dramatique sait pour qui il écrit ; c’est-à-dire qu’il
sait
qu’il écrit pour les Parisiens et Parisiennes, pu
Pour quel théâtre écrira-t-il ? À quel public devra-t-il s’adresser ?
Savez
-vous combien l’on compte de scènes italiennes qui
indications, il est pénible de rester sans cesse dans l’indécision de
savoir
ce qui reste intact de la pensée du Maître et ce
pour l’eau qui cache, en elle plus de mystères que l’imagination n’en
saurait
inventer, et qui engourdit la volonté malade de s
de la bonne, c’est Martin qu’est r’venu, Martin celui à ma femme, tu
sais
ben, Martin des « Deux Sœurs », qu’était perdu.
ontre, une promenade à la campagne, où elle s’offrit à lui, où lui ne
sut
pas la prendre. Pareillement, dans la Veglia fune
a : — M’aimez-vous ainsi ? Mais Emidio n’ouvrit pas la bouche ; il ne
sut
que répondre. Il aurait voulu tomber à genoux. Et
aîtresse d’un jeune homme, dont elle a eu un fils. Du jour où elle se
sut
enceinte, commencèrent pour elle l’angoisse et le
ndes ». Brusquement, l’enfant lui fut arraché, porté et caché elle ne
savait
où. Elle ne le revit plus : vainement elle demand
a et en elle surgit l’impérieux besoin de connaître son fils, qu’elle
sait
vivant et qu’elle n’a pas revu, depuis le jour où
rrées par notre maître-conteur, pas plus que le Lys dans la Vallée ne
saurait
jamais effacer la délicieuse historiette de la re
ritiques représentes cependant un travail important et complet : nous
savons
qu’il est réalisé, et au besoin nous le consulter
n curieux tableau de la Curie romaine et des réformes qu’Innocent III
sut
y apporter. Deux portraits sont placés en tête du
crits florentins, parmi lesquels les Strozzi, perdent tout espoir. On
sait
les attaches de Lorenzino avec les Strozzi, qui s
e scientifique, dans cet ordre de sujets, est peut-être unique. On ne
saurait
trop signaler, nous ne disons pas sa science des
is cela permet mieux de lire, dans le sentiment voulu, ce texte où le
savoir
se dérobe sous l’art. Cet art ne serait-il point
le, en attendant, aux visiteurs de Rome. C’est un guide, et l’on doit
savoir
gré à la maison Hachette, qui s’est fait une spéc
magnifiques. Ses successeurs continuèrent l’œuvre entreprise et l’on
sait
comment les Romains, en adoptant l’architecture g
é n’est qu’un renseignement sur l’étendue des facultés humaines. Nous
savons
par lui ce dont les hommes sont capables. Mais au
ils ont fait appel et la nature de la source de leurs émotions. Nous
savons
par eux qu’ils ont vécu, aimé, souffert comme nou
t imposé, l’œuvre mauvaise en outre devient néfaste. Par contre, nous
savons
qu’en fait d’achats officiels, il est de traditio
ts. Manzoni écrivit alors un roman historique, « Les Fiancés », où il
sut
résumer la vie italienne (et non l’âme italienne)
d’aucune étude. Est-ce à cause de sa complexité et de sa variété ? On
sait
que l’Italie est la terre classique des argots, q
n temps, où l’érudition n’avait pas encore fait de tels progrès qu’on
sût
distinguer entre les originaux de l’art grec et l
perbe spécimen de notre fabrique de faïences Saint-Porchaire, dont on
sait
la beauté et la rareté des productions, fut payé
ubliques ont été enlevées et mises en lieu sûr. Malheureusement on ne
saurait
arriver à protéger aussi efficacement les édifice
olo qui décorait cette dernière et qui a été complètement détruit, en
savent
quelque chose. Aujourd’hui Venise est menacée enc
entiers, en s’abstenant de désigner les passages incriminés. Or je ne
sache
pas qu’elle ait jamais songé à condamner en bloc
us voulons plutôt raconter — ce qui n’a pas été fait encore, que nous
sachions
— comment la retraite commença. Quelques jours av
alors qu’avant la retraite, les autorités militaires, redoutant on ne
sait
quelles manifestations fâcheuses, n’avaient jamai
llait chercher non à se faire tuer mais à battre l’ennemi. Nous avons
su
gré, toutefois, à nos amis italiens de leur effor
elà les Alpes. Henri VII, duc de Luxembourg, empereur d’Allemagne, ne
sut
pas même réaliser l’idéal restreint que lui indiq
l’idéal restreint que lui indiquait l’auteur du De Monarchiâ : il ne
sut
point soumettre l’Italie au pouvoir impérial et,
Saint-Jean de Latran et mourut, misérablement empoisonné, sans avoir
su
seulement comprendre la tâche héroïque à laquelle
des défenseurs, par la grandeur des conséquences en jeu. Il s’agit de
savoir
si l’ennemi réussira à descendre dans la plaine,
e des événements qu’ils prétendent révéler. Peut-être le lecteur nous
saura-t
-il gré d’apporter quelque clarté à ce sujet ? § L
son pouvoir. Ce succès révélait remplacement de nos troupes que l’on
savait
entrées en ligne à l’extrême droite du barrage, a
her de déborder le Grappa par la vallée du fleuve. Les Anglais, on le
sut
plus tard, occupent, au sud-est du dispositif, la
t d’Italie ; l’ennemi peut y amener encore de nouveaux effectifs ; il
sait
combien il peut compter, même en cas d’un succès
rre disait à un de ses pairs : « Il nous manque un César Borgia, vous
savez
: c’est “le Prince” de Machiavel. » Son collègue
supérieure, c’est un artiste en machinations infernales, personne ne
sait
mieux ourdir un crime et en perpétrer l’exécution
ut aussi net que possible. De plus le « groupe de Défense nationale »
sut
imposer sa volonté aux séances publiques : la dis
document unique, L’Italie jouerait facilement un grand rôle. Si elle
sait
et si elle veut, disait le Resto del Carlino (12
t le coup décisif plus au Nord, en un endroit où les Austro-Allemands
savaient
qu’il n’y avait que deux brigades pour leur résis
our le public français, ce n’était là qu’une confirmation de ce qu’il
savait
déjà, grâce au journal de M. Clemenceau : en tête
». Or quiconque possède les premiers éléments de la langue italienne
sait
que : aller à la maison se dit andare a casa et j
lités socialistes ? Les décisions du Congrès socialiste de Florence ?
Sait
-il qu’après l’article de Turati dans la Critica S
cle très documenté qui écrase littéralement la thèse de M. Mesnil. Je
sais
que d’Arsac connaît au moins aussi bien l’Italie
’une religieuse du Sacré-Cœur dont le couvent est sur le Janicule. On
sait
que cet ordre foncièrement français doit sa fonda
édois en 16489. Le critique de la Strassburger Post 10 avoue qu’on ne
saurait
, en tout cas, « la compter parmi les chefs-d’œuvr
numéro de votre revue. M. Piérard, à court d’arguments, — car il n’a
su
me répondre sur aucun point et n’a pu ni prouver
ans l’histoire. Mais un interventionnisme capitaliste et bourgeois ne
saurait
avoir la même portée. » 2° Le traité de Londres
le « parecchio » préconisé par Giolitti. La majorité des députés fit
savoir
à celui-ci qu’elle était avec lui. Mais le minist
inetiers qui se sont associés pour faire monter le blé ? Je veux tout
savoir
, sans quoi tu seras de nouveau roué. » À ces paro
ntre de jeunes peuples désireux de reconquérir leurs droits, l’Italie
sait
qu’elle a avant tout à abattre l’ennemi, l’Austro
qu’il « n’unira jamais ses forces à celles des gens qui n’ont jamais
su
empêcher l’Allemagne de vaincre, ou qui ont, par
t les Anglais. Nous apprenons par quelle adresse juridique M. Sonnino
sut
rompre l’alliance avec l’Allemagne et l’Autriche
ance sa magnifique noirceur sur les cinq ou six noirs du vêtement que
sut
rendre l’habile pinceau de Sébastien del Piombo.
sé à l’église de la Madonna del Sasso, à Locarno, où se trouve, on le
sait
, le fameux Ensevelissement du Christ de Ciseri, e
arrivé à un rédacteur du Corriere della Sera de situer à Rieka je ne
sais
quel événement rapporté par sa chronique. Ce fut
ttrocento, citée par Carducci, célèbre la gloire de l’humble héros :
Su
, su, Venzon, Venzone, Su fideli et bon furlani, S
cento, citée par Carducci, célèbre la gloire de l’humble héros : Su,
su
, Venzon, Venzone, Su fideli et bon furlani, Su le
ucci, célèbre la gloire de l’humble héros : Su, su, Venzon, Venzone,
Su
fideli et bon furlani, Su legittimi italiani, Fat
l’humble héros : Su, su, Venzon, Venzone, Su fideli et bon furlani,
Su
legittimi italiani, Fate, che il mondo risuone Ne
a montagne ; Mais ils furent jetés à bas Par les quarante de Venzone,
Su
, su, su, Venzon, Venzone. Saint-Marc, regardant
ntagne ; Mais ils furent jetés à bas Par les quarante de Venzone, Su,
su
, su, Venzon, Venzone. Saint-Marc, regardant du
ne ; Mais ils furent jetés à bas Par les quarante de Venzone, Su, su,
su
, Venzon, Venzone. Saint-Marc, regardant du haut
t : Je vous recommande L’État et mon lion Qui las se repose sur vous.
Su
, su, su, Venzon, Venzone ! Venzone changé en De
Je vous recommande L’État et mon lion Qui las se repose sur vous. Su,
su
, su, Venzon, Venzone ! Venzone changé en Deusch
ous recommande L’État et mon lion Qui las se repose sur vous. Su, su,
su
, Venzon, Venzone ! Venzone changé en Deuscheldo
tion insuffisante, restent timides et dispersées. » Le tout était de
savoir
si on voulait faire des concessions assez importa
la construction du chemin de fer en question. Mais, d’après ce qu’on
sait
, leurs facultés d’adaptation aux colonies sont ég
x colonies sont également très grandes. La louve du Capitole On
sait
que la municipalité romaine conserve toujours dan
le de Tarente. Ainsi à Tarente, il y a des loups ! Qui l’eût cru ? On
savait
qu’on y dansait la tarentelle, qu’il y avait la m
s aspirations tchécoslovaques, faisait négliger les Yougoslaves. Nous
savions
, dès les premiers jours du conflit, le Giornale d
che-Hongrie pour conquérir leur liberté et leur indépendance » ; nous
savions
aussi que « les paroles si éloquentes prononcées
s actes du gouvernement italien à l’égard des Tchécoslovaques et nous
savions
que si ces actes ne portent pas la signature de M
sera ni intransigeante, ni avare, ni immodérée, ni oppressive ; elle
saura
concilier ses propres intérêts vitaux avec les in
des Machiavels de Vienne ne peuvent servir que leurs oppresseurs. Ils
savent
aussi qu’on ne peut libérer, une nation sans libé
e l’Italie, voisine immédiate de l’Empire des Habsbourg. Nous croyons
savoir
qu’on le reconnaîtra et qu’une déclaration plus n
pour me sauver, pour entrer dans un autre élément, pour gagner je ne
sais
quel rivage, ou pour être englouti avec mon farde
in que la petite et gracieuse Arcadie de l’auteur de la Cavalleria ne
saurait
présenter matière à des développements musicaux b
edici et dirigée au ministre de l’Instruction Publique : On voudrait
savoir
si, avant la réouverture des classes, le Ministre
q., et notre écho ici même (Mercure du 16 juin 1917, p. 766). 20. On
sait
peut-être qu’on employait indifféremment en Itali
e de la Canzone del Carroccio faiblit à chaque instant ? S’il n’a pas
su
choisir tous les sujets de ses évocations, pour q
une poétesse française encore récemment à la mode semble avoir imité,
sait
être épique sans cris, et chanter amours et haine
les Slaves du Sud, quelques compensations. L’annexion de la Bosnie ne
saurait
sérieusement choquer un État qui dépeça jadis la
celui-ci, bien avant le 5 octobre, lui notifia ses intentions, il se
sait
chancelant, menacé depuis des mois. Un formidable
nt défilé devant eux. Puis a commencé la scène la plus stupide que je
sache
: Deux pauvres diables de passagers, qui n’avaien
, elle se perd comme une goutte de miel dans un verre d’eau ; si elle
sait
s’assigner une limite égale à ce qu’elle peut, el
nfond trop souvent Romantisme et Sentimentalisme. Mais Mme Martegiani
sait
que les éléments essentiels du romantisme ne sont
é ambitionner le titre de prince) devait connaître à fond les hommes,
savoir
tous les moyens de se les attacher, user d’une pr
l’état florentin. Usant quand il le fallait des moyens violents, ils
surent
se débarrasser de leurs adversaires et réserver à
repose sur une connaissance profonde du caractère florentin, dont ils
surent
exploiter à leur profit les qualités comme les dé
cle, durent beaucoup à la popularité qu’ils avaient acquise et qu’ils
surent
habilement entretenir. Ainsi tout favorisait à Fl
in de grands seigneurs, ont des maîtresses et des enfants au vu et au
su
de tout le monde. Pas plus que les laïques, ils n
acles d’Oberammergau (es hat auch den läulernden Einfluss der Neuzeit
su
nutzen gewusst), malgré l’éclat médiéval qu’ils o
e où il fonde la théorie de la corruption dans l’histoire romaine. On
sait
qu’une des originalités de ce puissant historien
sont arrivées les anciennes, veulent avancer plus loin encore, jouir,
savoir
, posséder davantage. Memento [extrait] […]
ovico Madruzzo, sont traités merveilleusement. Notre regret de ne pas
savoir
au Louvre ces deux chefs-d’œuvre s’augmente de ce
Nous sommes plus familiers avec son beau-frère Francesco Guardi ; on
sait
en effet que la sœur aînée de celui-ci, Cécilia,
délicieux Château dans un parc avec ses personnages comme seul Guardi
sait
les traiter, nous sommes suffisamment avertis par
t des rapports probables avec les anciens Égyptiens. Mais ce qu’on ne
saurait
trop vanter dans cet ouvrage, c’est la beauté en
. « Grand débat entre Rhodope, Mélite et Rhodoclée : il s’agissait de
savoir
laquelle des trois a les plus belles cuisses, et
d’Este, de Cécile de Gonzague mérite toute notre admiration. On n’en
saurait
dire autant de ses imitateurs, et si Matteo de’ P
et Caradosso conservent encore un grand sens du caractère, si Melioli
sait
de son côté traduire excellemment les volumes, la
s abondent qui montrent que le médailleur, si intéressant soit-il, ne
saurait
venir qu’après le peintre. Il est donc à regrette
Ary Leblond. Tome LXXVIII, numéro 284, 16 avril 1909, p. 588-603. On
sait
communément que l’influence de la France, prépond
ure sur la Kultur allemande comme sur toute anglomanie. Certes, on ne
saurait
nier ce que comporte de déséquilibre financier, d
a Littérature italienne d’aujourd’hui, de M. Maurice Muret12. Nous ne
sachons
pas que dans la péninsule on ait, en quelques moi
moristes Luigi Pirandello et Alfredo Panzini. Nous serions curieux de
savoir
quel livre italien recueille parallèlement d’auss
Péladan, l’an dernier, exalta l’idéalisme de M. Previati comme ne le
saurait
faire, certes, aucun esthéticien de Breslau ou de
êmes de la composition. L’enquête de la revue Cœnobium portait, on le
sait
, sur trois questions. À tout écrivain, tout pense
rmédiaires, des œuvres éphémères, telles que le « libre cénobite » en
saurait
choisir pour la condensation livresque qu’on lui
iques absolument remarquable. Il est un des rares poètes italiens qui
sachent
se servir éloquemment des allitérations et des as
tissimi e fischi ! All’ombra di tristi lentischi, li gnomi in arcione
su
grilli cavalcano. M. Cavacchioli m’apparaît comm
À la fin du recueil, où serpente une puissante et libre sexualité qui
sait
noblement appeler vulve la vulve, et où s’entrela
est venu chercher le sens du vrai qui lui manquait : « Son art, qui a
su
concevoir la beauté abstraite, veut trouver sur l
dans l’étude de la forme humaine, « qui est le non plus ultra de tout
savoir
et de toute activité humaine… ». La contemplation
lation qui se trouva offerte aux visiteurs de la nouvelle galerie. On
sait
ce qu’était l’ancienne : la réunion au hasard d’œ
core : « Il était de ce petit nombre d’êtres qui vivent sans bruit et
savent
gré aux autres de ne pas s’apercevoir de ce qu’il
étractai-je aussitôt. « M. Doumic, diable ! s’il affirme, c’est qu’il
sait
, c’est qu’il est sûr ! parbleu, M. Doumic n’est p
ené Doumic a-t-il lu que Pagello fût stupide ? § Où il l’a lu ? Je le
sais
: c’est dans un article de Francisque Sarcey publ
nne amie et son généreux rival. Un rayon en venait jusqu’à lui. Il se
savait
à la base de la douleur qui avait soufflé au poèt
ption se transforma rapidement en certitude ; elle fut rééditée je ne
sais
combien de fois, et M. Brivois l’a retrouvée, agr
utes et réduit à néant la collaboration de Stendhal. Il était bon de
savoir
à qui revenait la gloire de cette bévue : il n’y
urces rythmiques et que, même sans être soutenu par un mètre fixe, il
saurait
ordonner des paroles harmonieuses dans la langue
par Phèdre. Car la grande amoureuse livrée à sa passion incomparable
sait
être sacrée comme une déesse, a conscience de la
le genre qu’il s’octroie le droit d’apprécier et de classifier. Je ne
sais
si l’œuvre de M. d’Annunzio est « théâtrale ». Ce
de l’œuvre de M. d’Annunzio, œuvre que les auteurs italiens n’ont pas
su
exécuter et que les publics milanais et romains n
’ont pas su exécuter et que les publics milanais et romains n’ont pas
su
apprécier, a ceci de commun avec les autres œuvre
serait impertinent, mais on peut bien dire, puisque tout le monde le
sait
, qu’elles y sont encore belles27. C’était donc, a
e en violons, torches, gâteaux et confitures ! Aussi je voudrais bien
savoir
si, oui ou non, vous venez par deçà, car, si vous
son affaire. Je mangerai bien, dit-il, mais je dormirai mal ; je ne
sais
où reposer dans ce Palais. Et il continuait par
r et presque, de faire l’amour pour entendre si douce harmonie. Je ne
sais
quel soir après souper, comme le chevalier Grivet
pays, surtout les demoiselles. Ceci sans flatterie ; je suis, vous le
savez
, la franchise même, et la louange n’est pas mon f
oments, mais il se moquait de lui comme je ferais de quelqu’un qui ne
saurait
pas ce que c’est que l’amour. Madame de Mondragon
sa sœur l’appelle. Certes j’en éprouve un grand déplaisir. M. Lorenzo
sait
à merveille combien cette gente dame me voit volo
re trésor et certes je vous en suis grandement obligé. Je sers, je le
sais
, un prince qui m’aime. Il est vrai qu’il est bien
prendre à l’extravagance des temps et à la sottise des princes qui ne
savent
pas vivre en paix. Plût à Dieu, s’écrie-t-il pla
quera pas de société. Lorsque la baronne, qui se trouve en Languedoc,
saura
que ces dames sont ici, elle accourra à tire d’ai
nseigneur le vice-légat63 alla à Viviers chanter sa messe, comme vous
savez
. Je ne le suivis pas, car je n’aurais pour rien a
n office de la Vierge. J’en avais un seul que je lui ai envoyé. Je ne
sais
s’il se moque de moi. Quand sa courtisane, qu’il
de cinq cents écus. Elle est ici à Avignon chez une personne — je ne
sais
laquelle — qui est à l’armée du Christ. Ce matin
endre. Mais maintenant vous voyez la France courir à sa perte et vous
savez
parfaitement que cet État de l’Église ne peut all
eras tout. Le raisonnement est subtil, la perspective admirable. Qui
sait
? Tout n’est peut-être pas perdu. Je ferai ce qu
e marais et de l’atmosphère malsaine des environs de Rome, l’auteur a
su
dégager une idylle tragique dont le héros est vie
rtèrent quelques aperçus de vraie psychologie féminine. Mais nulle ne
sut
s’élever à la hauteur, ni acquérir l’importance,
oluptés ne cherche pas à dissimuler le plus sacré des instincts. Elle
sait
chanter sa volonté de joie, elle sait aspirer à u
plus sacré des instincts. Elle sait chanter sa volonté de joie, elle
sait
aspirer à une vie joyeuse et féconde, où les attr
e, et les uns et les autres expliqueront harmonieusement la vie. Elle
sait
penser ainsi à la rivale supposée : Elle m’est i
. Cependant, Mlle Térésah apparaît plus douée que sa devancière. Elle
sait
être ironique et même fière. Et dans de longs poè
conquêtes et des grands conquérants, émeuvent le très jeune poète qui
sait
les évoquer avec une surprenante sobriété et un r
ne fiasque d’Orvieto et se mit à copieusement noyer sa mélancolie. Il
savait
le charme du vin dans la solitude et la consolati
pires folies. Elle s’appelait Totila. De son corps merveilleux, elle
savait
, avec une intelligence exercée, tirer le meilleur
la mélancolie que lui causait sa triste vie de prisonnière. Mais elle
savait
surtout, tendre et réservée, se taire, charme rar
lui ferait chèrement expier sa fugue ? Ah, pour cela non ! Il voulait
savoir
, il saurait, et pas plus tard qu’à l’instant même
chèrement expier sa fugue ? Ah, pour cela non ! Il voulait savoir, il
saurait
, et pas plus tard qu’à l’instant même ! Il était
ataloguée plus tard au trésor du prince-duc, puis volée, perdue on ne
savait
pas comment, oubliée aussi ! Deviendrait-elle la
èrent. Ah ! le mystère d’une demoiselle de Gubbio ! jamais plus on ne
saurait
son âme, ni par quelle fatalité elle avait échoué
nt encore à cette infection qui gâtait le plaisir de la promenade. Il
savait
que Gubbio était non seulement une des plus pitto
aperçu alignées, et comme sortant du moule, dix, quinze, vingt… il ne
savait
plus ! trente peut-être demoiselles de Gubbio ! A
elles s’était sans doute trouvé l’être charmant dont il n’avait point
su
apprécier la rareté. Les trente demoiselles de Gu
sonnage et des œuvres très nombreuses qu’il s’est trouvé inspirer. On
sait
la merveilleuse légende de saint François, — le p
ent pour les pauvres gens, mais pour les bêtes, pour les plantes ; on
sait
le récit délicieux des Trois Compagnons, le maria
utte s’expliquent, bien qu’elles n’aient pas eu une base sérieuse. Il
savait
Ney fortement engagé aux Quatre-Bras, réclamant d
fédération méditerranéenne de demain, est bruyamment exploité, on le
sait
, par tous les organisateurs de banquets officiels
italiens. Sur la route ouverte par d’Annunzio, les bons marchands ont
su
déverser les « chefs-d’œuvre » littéraires. D’aut
ans l’ombre énigmatique de sa marche fatale, où elle se perd. Et l’on
sait
que d’Annunzio a repris son labeur de romancier a
au monde un art qui serait le leur, propre, exclusif, et le vrai : on
sait
les efforts récents des « Divisionnistes italiens
Après tout ce qui a été dit et écrit sur le désastre de Messine, il a
su
trouver de nouveaux accents d’éloquence, des beau
son dernier recueil, Aéroplanes, que la poésie nouvelle d’Outre-Monts
sait
exprimer les aspirations ardentes et les paroles
qui en face de leurs semblables mous et vils, égoïstes et misérables,
savent
concevoir un cri de lyrisme comme le cross d’un b
ifiante et vaine tradition lyrique de « l’éternité de Rome ». Mais il
sait
sourire dignement du grotesque du petit monarque
u milieu des autres mille qui encombrent et enlaidissent Paris. Je ne
sais
s’il s’agit là encore de l’exploitation méthodiqu
la bataille de Dreux. 35. Cecco est un diminutif de Francesco. Je ne
sais
de quel messire François veut parler Garganello.
« Monseigneur révérendissime vice-légat, dit Louis de Pérussis, monté
sus
ung cheval du règne, marchoit la nuict par la cit
ni le temps ni les lieux. Et cependant, par le seul ton du récit, il
sait
nous faire vivre continuellement dans ce passé mé
l’aréopage abonné imposait, méprisant, sa loi au grand public. Je ne
sais
si de Boigne vécut assez pour entendre du Wagner.
t animées d’une belle chaleur latine, douce à mon cœur, si douce ! on
saura
peut-être plus tard à quel point. À l’étranger
iques et à la différence des races une influence sur la guerre, on ne
saurait
davantage, sans altérer la nature des faits, allé
raves dissensions internationales ne manquaient pas ; il suffisait de
savoir
en profiter. L’Allemagne, qui se croyait militair
s, quelle aubaine ! Et là, certes oui, il est « irrésistible ». On ne
sait
préférer entre ces trois chefs-d’œuvre. On perçoi
a-t-il, pour Verdi, des « traditions » bien sûres ? Peut-être. On ne
saurait
celer pourtant que celles dont les chefs d’orches
usical. Mais son pire méfait fut peut-être le niais traînando dont il
sut
pesamment abîmer la gracieuse et alerte chanson.
use ainsi au drame leur sollicitude incontinente. Évidemment, il faut
savoir
chanter pour jouer du Verdi, mais il faut avant t
oir que l’Italie, qui faisait seulement son entrée en Asie Mineure, «
saurait
rattraper le temps perdu ». Le 5 mai 1915, à Quar
e inquiétude à ce sujet… Du côté de la Tripolitaine, ces derniers ont
su
profiter de leur alliance avec l’Angleterre pour
inimitié des Slaves à côté de celle des Germains. Nos alliés italiens
savent
que nous sommes prêts à respecter leurs ambitions
oints de vue de l’élément italien dans les ports dalmates ; mais nous
savons
aussi qu’il n’en est pas de même au-delà. Nous tr
e plus en plus la forme de la concurrence économique. Les nations qui
sauront
prendre au lendemain de la guerre les meilleures
taphysique humanitaire et rationaliste, à La Haye ou à Washington, ne
saurait
nous offrir le plus lointain équivalent. Tant il
esque dans aucune lettre de Catherine » (elles sont nombreuses, on le
sait
, et l’auteur en donne de fréquents extraits, très
’un catholique français puisse avoir sur cette question, il suffit de
savoir
qu’elle y épuisa, en faveur d’Urbain VI, c’est-à-
mont]. Tome CXX, numéro 452, 16 avril 1917, p. 729-734 [732-734]. On
sait
quelle ardente germanophile est soudain devenue M
ait compris, alors, le danger de cette brutalité germanique, qu’on ne
saurait
mieux définir aujourd’hui. Tome CXXI, numéro
a paix, c’est parce que, en face des Latins et des Slaves, elle avait
su
, tout en demeurant politiquement ou administrativ
ertain nombre de ses chroniques scientifiques du journal Le Temps. On
sait
avec quel talent l’éminent directeur du Muséum ex
dynamiques, infinies. « Le monde est notre représentation. » Car nous
savons
que tout ce qui existe, existe par notre pensée,
ois là un excellent moyen de contrôle, et d’ailleurs aucun de nous ne
saurait
négliger les notions que la science met à notre p
ction. Jusqu’ici la perspective italienne a été notre base, mais nous
savons
désormais qu’elle ne permet pas au peintre d’expr
emple, de sauver la rime en la ramenant à ses origines orientales. On
sait
que les poètes orientaux aimaient la rime au poin
e peut sans se faire tort… Le point est de bien jouer son rôle, et de
savoir
à propos feindre et dissimuler. » « Un prince doi
la ville, sont très favorables au projet. De la part de l’État il ne
saurait
y avoir que des objections d’ordre financier. San
me maître d’école dans un village. Il n’y a pas qu’en France que l’on
sache
utiliser les compétences. Tome CXXII, numéro
tés dans la grande croisade pour le droit des nations ; il a donc, en
sus
de son mérite technique, un intérêt documentaire
ystèmes de câbles, tirés par des couples de torpilleurs, etc… — On ne
saurait
trop admirer, on le voit, le génie malfaisant don
é de Belgique, comme eux-mêmes l’avaient été d’Italie. En 1815, on ne
sait
comment, le Calvaire du Louvre, la Résurrection e
et de faire en sorte que ce soit une chose admirable. Pourtant je ne
sais
si je pourrai le servir vite et bien ; d’abord pa
ttendre encore quatre mois et faire ainsi d’une pierre deux coups. Je
sais
que tu me comprends, cela suffit. Dis-lui de ma p
par affection pour toi, je le laisserais pérorer tant qu’il voudrait.
Sache
que la lame que j’ai envoyée et que tu as reçue e
bon visage et dis-lui que je l’ai donnée à un de mes amis. Il suffit.
Sache
qu’ici elle m’a coûté dix-neuf carlins plus treiz
porte bien et que je le préviendrai avant de couler ma figure. Il le
saura
de toute façon. Recommande-moi à Granaccio19 quan
a voie ordinaire comme le veut la raison. Défendez-vous comme vous le
savez
et le pouvez et l’argent qu’il faudra dépenser ne
lettre de ma maladie de la pierre qui est très douloureuse, comme le
sait
celui qui en a été atteint. Depuis on m’a fait bo
ra. Pour l’aumône dont je t’ai parlé, il n’y a rien à ajouter, car je
sais
que tu chercheras consciencieusement. Celle malad
ni mère et est au couvent de San Martino. Je ne la connais pas et ne
sais
que te dire à ce sujet. MICHELAGNIOLO BUONARROTI.
ut prendre de toute manière un parti. Voici ce que j’ai décidé. Si je
savais
ce que j’ai à faire et le prix donné, je n’hésite
ns d’autres lettres. Maintenant agissez avec prudence et habileté. Je
sais
que vous me voulez du bien. Je vous prie d’arrang
ens entièrement à votre disposition, avec tout ce que j’ai, ce que je
sais
et ce que je peux. Les affaires d’ici vont très b
, aux Huit40, et de leur demander la punition de cette volerie. Je ne
sais
si cela peut se faire. J’espère que la magnificen
moi avec eux, mon très cher Gherardo, et plus que tous, ceux que vous
savez
vous aimer davantage, se sont grandement réjouis
ler en détails de choses qui pour moi sont importantes. Au jour je ne
sais
lequel, en février selon ma servante. Votre fidèl
orisée que bonne par elle-même. Si jamais, comme je l’ai déjà dit, je
savais
être certain qu’une chose quelconque pût plaire à
pour ne pas vous ennuyer, et Pierantonio, le porteur de cette lettre,
saura
et voudra bien suppléer à ce qui manque. En ce pr
ardent il peut être. Mais qu’il en soit comme vous voulez. Ce que je
sais
, c’est qu’à cette heure je ne peux pas plus oubli
é le don que j’ai fait de moi-même ; quant à l’autre contrat que vous
savez
, je ne sais maintenant ce qu’il faut en penser. J
j’ai fait de moi-même ; quant à l’autre contrat que vous savez, je ne
sais
maintenant ce qu’il faut en penser. Je me recomma
pourtant était à mille coudées au-dessus de ses compatriotes, — il ne
saurait
être accordé à l’Allemagne qu’elle eût une supéri
é d’Aoste. Le félibrige contribua à mettre ce dialecte en honneur. On
sait
que ce grand mouvement dialectal en Provence a se
f et écrit brièvement dans un style dépouillé de toute rhétorique. On
sait
qu’il dicte lui-même ses communiqués depuis le se
devint à la fois Et la terreur du monde, et l’arbitre des rois ! On
sait
que le passage ci-dessus, presque tout entier, es
n’y eut pas d’à-coups dans l’application. Le Commissariat des vivres
sut
atténuer ce que les nouvelles mesures pouvaient a
son indépendance pour se laisser gouverner à « la manière forte », il
sut
taire accepter les réformes qu’exigeait la situat
a nation. Les Méridionaux ont l’espérance d’autant plus tenace qu’ils
savent
l’héroïque conduite de leurs compatriotes sur le
s du front italien en 1916 ont été parmi les plus remarquables. On ne
saurait
trop insister sur l’importance « d’impressions »
euple à admirer et à aimer son armée nationale. La presse étrangère a
su
, elle aussi, rendre aux fantassins du Carso et au
uvait rencontrer à chaque instant les obstacles les plus imprévus, il
sut
réunir autour de lui des hommes politiques de tou
uer une pareille lutte, du moment qu’il s’agissait tout simplement de
savoir
qui l’emporterait, de l’Allemagne ou de l’Anglete
euxième armée). Un combat semble s’être livré en cet endroit. Nous ne
savons
rien sur son importance. Le premier novembre, les
e pouvoir. Nous n’avons pas chez nous d’affaire Almereyda ; mais nous
savons
que des membres de l’entourage du ministre, à qui
ligieuse conscience d’hommes qui défendent des choses sacrées, et qui
savent
qu’ils possèdent toute la puissance leur permetta
use, — et malgré ce qu’ils ont fait dire à la presse intéressée, nous
savons
qu’ils n’en rêvent que le massacre et le pillage.
sans possibilité de doute. 4. Delacroix disait qu’un peintre devait
savoir
dessiner un homme tombant du 6e étage. 5. La déf
vue, « pas mal d’eau a coulé sous les ponts et pas mal de peintres en
savent
beaucoup plus long qu’ils n’en savaient auparavan
ponts et pas mal de peintres en savent beaucoup plus long qu’ils n’en
savaient
auparavant ». Ce qui est d’ailleurs tout à fait l
ivrer cette rude bataille : démontrer que même sans M. d’Annunzio ils
savent
écrire, ils peuvent s’exprimer, ils ont le talent
une famille aristocratique… » ! J’ai dit que la critique étrangère ne
sait
pas se soustraire à cette fascination ; j’en ai e
Annunzio a époussetés et réexposés dans sa vitrine étincelante. On ne
sait
rien de tout cela, on ne sait distinguer une expr
osés dans sa vitrine étincelante. On ne sait rien de tout cela, on ne
sait
distinguer une expression du xive siècle d’une p
lace à tous, on classera les œuvres et les auteurs à leurs rangs ; on
saura
distinguer l’influence de l’un et de l’autre, l’i
tiste comme un quid medium entre l’improvisateur et l’ignorant ; Dieu
sait
s’il y en a ! Ce premier volume, M. de Roberto le
otre-Dame, à la Madonna, si la souplesse et la nouveauté du rythme ne
savent
pas le faire pardonner. En se promenant par le vi
. Le poète nous transporte avec un élan tout à fait remarquable et il
sait
se faire aimer. G. Rovetta : L’Idolo Je dé
, Anne devine ce que voudraient cacher ceux qui lui sont chers ; elle
sait
le mutuel amour d’Alexandre et de Blanchemarie :
été admirable dans le rôle d’Anne : dès l’ouverture du rideau, elle a
su
, par le son même de la voix, pour ainsi dire, sug
nterprété le personnage de Blanchemarie ; elle a été dramatique, et a
su
, comme il fallait, garder toujours une attitude é
— mais le peintre, en dépit de ces réalités qui s’imposaient à lui, a
su
le rendre formidable et impressionnant quand même
le lui tenait au cœur cette Izotta, cette petite créature. Elle seule
savait
le calmer alors qu’il rentrait farouche dans sa R
e, parce que, malgré ses efforts les plus évidents, M. Ojetti n’a pas
su
encore s’arracher à une certaine imitation formel
ur attentif ne s’y trompe pas. Ce sont des nuances, à peine, ce je ne
sais
pas quoi, que Nietzsche appelait le tempo : chaqu
e appelait le tempo : chaque auteur a son tempo, comme en musique, et
sait
le varier. Machiavel était inégalable pour dire d
ngtemps les jolies Égyptiennes (les Égyptiennes sont toujours jolies)
sauront
arracher le froc à M. Ojetti en présence des Pyra
faudrait être assez païen pour constater que rarement un personnage a
su
disparaître si à propos de la scène, à l’heure mê
n rôle allait perdre toute signification. À la prochaine crise, et on
sait
si une crise politique se fait attendre en Italie
positif : la critique l’absorbait tout entier et de sa critique on ne
saurait
même extraire un principe. Dernièrement, Cavallot
re de Cécile, vierge et martyre, et patronne de la musique sans qu’on
sache
pourquoi — n’est donc plus ici qu’un épisode ; mê
ulace de Rome ; qu’il y avait parmi eux des patriciens, des hommes de
savoir
et de jugement, lesquels ne devaient point accept
du moi est donc un phénomène isolé, et, surtout, inavoué par ceux qui
savent
le pratiquer sérieusement ; ni César Borgia, ni N
blement doué pour les études d’âme et pour le drame passionnel, qu’il
sait
traiter avec souplesse, en choisissant heureuseme
e : en effet, tout le roman ne tient que deux cent trente pages, mais
savoir
être bref et pourtant significatif, c’est un secr
de vie, survient tout à coup. Comme en pleine idylle, M. Corradini a
su
choisir des couleurs riantes, pleines de lumières
iche, flexible, cristalline. Il est donc à souhaiter que M. Corradini
sache
se soustraire aux habitudes d’une paresse toute t
ité et guidé les pauvres muscles de ce compagnon du tiers-point. Nous
savons
pourquoi il a tué l’impératrice d’Autriche : « Je
au qu’il faudrait rechercher pour Versailles s’il n’y était, et je ne
sais
quelle « figure du Roy à cheval » autour de laque
heureuses, comme l’Aulularia, et pour les productions nouvelles qu’il
sut
faire apprécier par les spectateurs d’élite que s
son édifice, murmure, égaré, la grande parole humaine : Chi sa ? Qui
sait
?… En quelques lignes, voilà la pièce de M. Butt
vient, pâle et avili, à la maison du père. C’est ça, donc, ce qu’il a
su
faire, c’est de la sorte qu’il a réalisé l’idéal
t, je vais partir ; je reviendrai plus tard pour voir ce que tu auras
su
faire : mes villas, mes fermes, mes établissement
ur est une névrose entre experts, c’est-à-dire entre blasés, gens qui
savent
ce que parler signifie. L’amour-passion, ça ne se
et le ciel, la mort et l’espoir, un couple d’amants qui, par hasard,
savent
jusqu’où peut aller la passion. J’ai demandé à un
ré Lebey a voulu analyser sa rêverie et la fortifier de tout ce qu’on
sait
sur le héros, de façon à se l’imaginer plus exact
omment le manuscrit avait-il quitté Dux ? Il est assez indifférent de
savoir
si la suite des mémoires a été perdue ou si elle
son cœur, il pense avec sa tête, il voit les choses à sa manière ; il
saura
vite rendre ses sentiments et ses sensations, c’e
aura vite rendre ses sentiments et ses sensations, c’est-à-dire qu’il
saura
s’emparer de cet instrument délicat et précieux q
Ceccardi, au vagabondage près, est un poète de premier ordre ; on ne
sait
jamais où il peut se trouver, où il a arrêté sa m
ès des hommes de lettres et des gourmets littéraires : je voudrais le
savoir
apprécié par tous ceux qui aiment la poésie chez
thérianisme et aussi de ce qu’elle avait choisi Rome comme séjour. On
savait
sans doute déjà à la cour pontificale la vérité s
ns ; il semble aujourd’hui, tant les matières sont diverses, qu’on ne
saurait
avoir de compétence que sur un petit nombre de su
ne dont parle M. Müntz demeureront toujours inconnus à quiconque n’en
saurait
avoir la vue directe. On goûtera les formes heure
esse roumaine Nicoletta Brancovenu, une adorable gamine arrivée on ne
sait
d’où avec sa mère, menace d’être fatale à l’apôtr
petite princesse Brancovenu non seulement se plaît à aimer, mais elle
sait
étaler précocement une science de séduction exqui
eri, est une publication d’ordre supérieur qui témoigne du goût et du
savoir
des deux compilateurs. Cette autobiographie franc
pe les vaincus, c’est que, se souvenant du précepte machiavélique, il
sait
qu’il faut achever les blessés pour les mettre ho
sée étrangère et exprimer leur jugement dans une langue étrangère. On
sait
avec quelle bravoure M. Zuccoli affronte ce dange
ous une apparence de froideur, il cachait un cœur très aimant, et qui
savait
souffrir sans jamais se plaindre… Non seulement l
ec le Prince de Muringie, en obéissant à la raison d’État, bien qu’il
sache
que ce mariage n’exerce aucun attrait sur la jeun
xte à des démonstrations et à des meetings. Le ministère maladroit ne
sait
pas céder à temps, d’où un malentendu sourd et da
isme, son futurisme et sa sympathie pour la France. Ses amis de Paris
savent
apprécier son énergique propagande. Tome CXI,
ue nous nous approchons de Bruxelles. Bruxelles est obstinée. Elle ne
sait
pas ce que c’est que la guerre, elle n’a rien vu,
Ils ne se font aucune illusion sur leurs intentions réelles : ils les
savent
envahissants, autoritaires, ou, comme ils disent
l’extraordinaire inconscience des Allemands, qui font le mal sans le
savoir
, sont véritablement surpris qu’on leur reproche l
re qu’il ne peut considérer les choses que de son point de vue. Il ne
sait
se rendre compte de la manière de sentir et de pe
les imprimés et dont le bon sens supplée souvent à l’insuffisance du
savoir
. Einaudi ne dissimule point son admiration pour
portés du collège. Il est vrai que son aimable interlocuteur, s’il ne
savait
point parler d’autre langue que le grec, employai
vouer M. Piermarini. — Allons, je vois que vous n’avez pas l’air d’en
savoir
beaucoup plus long que moi-même ! s’est écrié le
s intéressants que cette guerre engagée quelque part à propos d’on ne
sait
pas quoi ? Cette guerre engagée quelque part à p
e sait pas quoi ? Cette guerre engagée quelque part à propos d’on ne
sait
quoi ! Tout commentaire gâterait la merveilleuse
s de juin 1914, auxquelles nous devons en grande partie, comme chacun
sait
, la neutralité bienveillante que l’Italie observa
ribaldi, accouru à l’aide de la jeune république, fut reçu comme l’on
sait
. Une certaine rivalité et une certaine méfiance n
ouissent de la protection des lois à l’égal des ouvriers français. On
sait
qu’en Tunisie la colonie italienne, qui est très
talie est devenue officiellement l’amie de la France, les Français ne
sauraient
prendre de mauvaise part que les Italiens leur si
de la science, les organisateurs de l’industrie. La France n’a rien
su
opposer de sérieux à cette propagande : avec une
ne nouvelle historiographie ; ce nous fut impossible ; parce que nous
savions
que ce ne sont point là des dons qui tombent du c
en France non moins qu’en Allemagne) par quelques savants éminents, à
savoir
: employer les concepts scientifiques à soutenir
soient. Donc, pour M. Gargano, tous ces gens qui partent en guerre ne
savent
pourquoi et demandent que le philosophe les justi
lités des Anglais qui frappent le plus en ce moment les Italiens, qui
sauront
se les assimiler comme ils se sont assimilé certa
voir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on en peut écrire à ce jour. On
saura
, sans doute, diverses autres choses, plus tard :
t la seule chose qui nous importe aujourd’hui et nous ne voulons rien
savoir
d’autre. — Y a-t-il philosophie plus belle et plu
ute la matière du côté de ses ennemis ». Il importe moins en somme de
savoir
pourquoi une guerre a été déchaînée que de reconn
de laquelle la presse française a fait le silence hermétique que l’on
sait
, a préoccupé non seulement les journaux socialist
manifestations militaires de cette énergie ont produit sur le monde,
savent
qu’ils ont acquis par là le droit de parler franc
tres malheureux envoyés de la zone des armées dans l’intérieur. On ne
sait
où les caser ; il n’y a pas de travail ; tous ces
. Tome CXII, numéro 420, 1er décembre 1915, p. 743-774 [766-768]. On
sait
qu’il existait à Bruxelles avant la guerre un Bur
ou trois exceptions de Liebknecht, Rosa Luxemburg et Clara Zetkin ne
sauraient
influencer le jugement — apparaît désormais d’iné
imitant en cela et même surpassant en hypocrisie leur Kaiser, lequel
sut
si bien tromper le monde qu’il y a deux ans il av
tal » de Karl Marx, traduction James Guillaume, P. V. Stock, 1,50. On
sait
combien la lecture des gros volumes de Karl Marx
as fui ! Il en a vu bien d’autres. Que peut-il lui arriver ? Rien. Il
sait
d’ailleurs que son air lamentable désarmera tout
offrir la preuve de son infidélité. Il parut triste : elle en voulut
savoir
la raison. Il la lui dit avec assez de peine. — «
ta est moins divinement sensuelle mais aussi tendre que Bilitis. Elle
sait
chanter ainsi à Aphrodite sa jalousie : Plusieu
dinier. Elle cueille un grand panier de roses. Encore vierge, elle ne
sait
pas les peines que tu donnes aux mortels ; ni les
inon de mouvements rythmiques, et souvent le poète écoute son âme qui
sait
adorer, qui sait être croyante et tendre. Mari
s rythmiques, et souvent le poète écoute son âme qui sait adorer, qui
sait
être croyante et tendre. Marino Moretti : Scri
écria : — Où avez-vous donc déniché ces cahiers ? Je le renseignai. —
Savez
-vous ce que c’est ? dit-il, d’une voix exaltée. —
ifié. Et, par ma foi, il devint amoureux de ce caillou acheté à je ne
sais
quel prince des régions lointaines. Il lui fit co
ire concurrence à ton maître ? — Oui. — Tu es un orgueilleux. — Je ne
sais
pas ce que je suis, mais je sais ce que je sens…
Oui. — Tu es un orgueilleux. — Je ne sais pas ce que je suis, mais je
sais
ce que je sens… — Que sens-tu ? — Que Zuccatto a
te de colère. Malgré nos questions, c’est là tout ce que nous pûmes
savoir
. Nous avions la certitude que Barbarelli mentait
ignit, pendant toute sa vie, avec du soleil mêlé à ses couleurs. Il a
su
trouver, dans des cavernes dont les génies seuls
e meilleur esprit comique. Il me renseigna sur Barbara et, dès que je
sus
ce qu’elle était : une fille publique fort amoure
pas un homme ? Non ! elle l’enlaça avec une fureur terrible et je ne
sais
ce qui serait arrivé, si Fabiani, écartant la ten
Quelle que soit son ignorance des choses de la République, le peuple
sait
que nulle cité, au monde, ne songerait à rivalise
ille pas de tenir chez Bellini. — Je m’en doute, répliqua Ziorzio, je
sais
que je dois tirer profit de ses leçons. — Tu aura
omme si je l’avais tenu dans mes mains, battre le cœur d’un homme. Je
sais
ce que signifient ces mots : amour, jalousie, gra
son sang, quand il s’agit de rendre la République triomphante ? Je ne
sais
quel démon tracassait l’âme magnifique, mais sans
ses bagages, que les Vénitiens pillèrent (16 juillet 1495). Mais qui
saura
jamais par quelles manœuvres déloyales Sforza con
car elle avait reconnu qu’il était succulent à certains signes que ne
savent
pas distinguer les princesses. — Les filles du pe
our être représentée par un peintre. — Et pourquoi ?… — Parce qu’elle
sait
qu’elle est belle et ne se trompe point. — Tu as
phe durent être exactement rapportées par Casanova. Mais, comme on le
sait
, le texte de ces Mémoires est tronqué : le manusc
mme de laboratoire est bientôt remplacée par une crédulité dont on ne
saurait
marquer les bornes. Ce livre en fournira les preu
né d’admirables peintures pour Sant’ Orsola Mais Titian est têtu, il
sait
ce qu’il veut… vous jugerez la façon dont il dess
ableau ? — Pas encore… — À propos… Il hésita, puis : — Quand Titian a
su
que je vous considérais comme mon protecteur, il
t. Aime et admire ce vieillard illustre à qui tu dois beaucoup, tu le
sais
. — J’ignore l’ingratitude, Seigneur, et je vous l
la sorcière qui t’a présenté au démon ? Exaspéré, Titian résolut de
savoir
à quoi s’en tenir sur le secret du Giorgione. Il
leurs, les flammes des charbons et celles du soleil. — Palma, comment
sais
-tu cela ? — Vous me soupçonnez de m’être dissimul
quement, il tourna bride et se dirigea vers Venise, au galop. * Je ne
sais
s’il faut admirer ou blâmer l’orgueil de ce Barth
, le poitrail aux beaux muscles. Une discussion s’engagea alors, pour
savoir
si l’art du sculpteur l’emportait sur celui du pe
telligence et de beauté paraît une insolence aux gens communs et d’un
savoir
médiocre qui ont besoin de la vanité, du faux org
et il s’en montrait fort heureux. Les manières polies de Cadorin qui
savait
— quoiqu’il gardât sa dignité — flatter les homme
frirai à la divine lumière du soleil des nudités ternes ; quand je ne
saurai
plus traduire les nobles attitudes que prennent,
point. Peu après, Giorgio convia, de nouveau, ses amis et ceux qu’il
savait
violemment hostiles à sa manière, et il leur mont
nts, à l’angle d’une toile afin de la bien éclairer. — Giorgio, tu ne
sais
pas ce que tu as fait là… sans cela, tu ne serais
mné. Titian demeurait toujours muet. Ridolfi l’apostropha : — Tu veux
savoir
, ô Titian, pourquoi ces femmes sont nues et ces h
x d’or massif. On devinait à son accent, qu’elle était Sicilienne. On
savait
qu’elle avait appartenu à des portefaix et à des
s suites de cette tyrannie ont compté dans l’histoire de l’Europe. On
sait
comment le marquis de Saint-Maurice fut mêlé aux
rt, il y a, de-ci de-là, à glaner dans ce livre. Victor-Emmanuel, qui
sut
toujours si bien utiliser son monde, depuis Napol
es fresques que vous admirez tant… — Excuse-nous, Giorgio, nous ne le
savions
pas !… Ils le savaient parfaitement, mais ils esp
dmirez tant… — Excuse-nous, Giorgio, nous ne le savions pas !… Ils le
savaient
parfaitement, mais ils espéraient exciter la jalo
a Ridolfi, un soir. — Amoureux, certes, je le suis ! De qui ? Je n’en
sais
rien. Pour l’instant, ces perdrix à la broche ont
ils te faisaient travailler. Tu ne touches plus tes pinceaux… — Qu’en
savez
-vous, Seigneur ? Il venait de terminer un Apollon
un hôpital quelconque… et, d’ailleurs, ils m’y enverront demain. Ils
savent
que la peste est entrée ici… puisqu’ils ont enlev
es nouvelles ou assister à mon départ… J’ai très sommeil… car vous ne
savez
pas, ma maîtresse est tombée malade, près de Cast
d’elle ! Je résolus que la Maurina vivrait avec moi et que nul ne le
saurais
* — Je me rendis dans une taverne et je remarquai
la voile demain. Tout se passa, comme nous l’avions combiné. Vous le
savez
Seigneur, puisque vous avez assisté à la rixe apr
on isolée entourée d’un jardin. La Maurina ignorait qui j’étais. Elle
savait
, cependant, que je m’appelais Giorgio Barbarelli,
de la création. Elle acceptait naturellement son existence d’esclave,
savait
les hommes plus jaloux de leur maîtresse que de l
sans prolonger, à l’aide de mensonges, des liaisons ennuyeuses. Je ne
savais
pas souffrir. La Maurina, que j’aimais follement,
ieux et tes adversaires. — Mais cette existence l’inquiète. Elle veut
savoir
où je vais. Elle attend mon retour. Jadis elle s’
deux avec elle. Cette triple trahison me paraissait trop noire ! Vous
savez
, Seigneur, comme le cœur humain s’habitue diffici
moi te raconter cette chose… — Parle devant ce Seigneur. Il doit tout
savoir
… Et, comme s’il s’expliquait cette catastrophe à
eait sur les gens qui te recherchaient, sur leur fortune. Elle voulut
savoir
pourquoi vous déménagiez si souvent ; pourquoi el
ence d’homme libre et heureux métamorphosée par son seul aspect !… Tu
sais
donc qu’il fallait obéir. Si un géant m’avait riv
ine… et celui-là me possédera… et je m’arrangerai pour que Giorgio le
sache
.… Il te rendra responsable… Deux fois coupable, Z
ade…… Des courriers avaient annoncé que la peste régnait à Venise. On
savait
que nous en venions. On nous chassa. Je sortis, p
écrivain qu’on ne rencontre pas toujours chez les critiques d’art. Il
sait
dégager les caractères généraux d’une époque ou d
’un centre de production et éviter la sécheresse des énumérations. Il
sait
tout à la fois parler excellemment de l’architect
lui-même en italien son volume Destruction, paru à Paris en 1904. On
sait
que la vigueur et l’élan de ces « poèmes lyriques
rres classiques. Sans doute l’ombre de Chateaubriand le suit, mais il
sait
voir et regarder lui-même, et mêler à ses rêverie
stiquement et se prépare avec conscience ù son rôle de professeur. Il
sait
la majesté des dieux et des autels qu’il visite e
s autels qu’il visite et ne veut être qu’un pieux pèlerin : « Si vous
saviez
, écrit-il, quelle joie de se promener à mon âge e
et belle collection. L’Arundel Club de Londres, qui s’est, comme l’on
sait
, donné pour tâche de reproduire les plus beaux ta
ent d’uy en arrière estre preservéz de ladicte maladie,.. l’on mectra
sus
le jeu et mistère du glorieux amy de Dieu monsieu
ma Adonis-Thamuz, époux de l’Ishtar babylonienne18. C’est parce qu’il
sait
, c’est parce qu’il est érudit comme le fut Dante,
lèvres pour chanter, et lui qui dansait jadis, si léger que ses pieds
savaient
éviter les flèches, il consacre maintenant des ge
y exprime mieux, qu’on parcoure la monotone réponse de Marcellien :
Sachez
de vray que mon penser, tout mon vouloir et mon d
Ô Archer, Archer sans merci, et tu les prends, et tu les prends ! Je
sais
. Je traîne à mes épaules une grappe lourde de vi
lle, son Racine…43, ou son d’Annunzio pour les développer. Le poète a
su
nous épargner les grotesques interventions des dé
omne de Victor Hugo, daté de mai 1830. Et alors on a supposé (vous le
savez
mieux que qui que ce soit, monsieur le Directeur,
que je n’ai pas le mérite d’avoir inventée, mais que j’ai adoptée, à
savoir
une sorte de doublement spirituel fait par Victor
é et croit fermement qu’on devra finir par trouver autre chose. Et je
sais
également que d’autres, et non des moins autorisé
revues littéraires et dans l’Intermédiaire des Curieux ; mais, que je
sache
, elle n’a jamais trouvé une solution satisfaisant
is dans quelle œuvre du poète ? Voilà le point. Pour lors, on n’a pas
su
encore les dénicher. Dernièrement encore j’ai vu
di Palmira, a invisibili fili eran sospese. Due dromadari, aventi in
su
la schiena. Otri forati, ed una campanella, di fi
forati, ed una campanella, di fino argento sotto la mascella spargean
su
i marmi essenza di verbena. Page 74 de la Tenta
didi nelle vesti, placidi come iddii, vivono. Un’aria calda li nutre.
Su
l’erbe d’intorno. rapidi i Leopardi piegano i dor
qu’il a choisis nous sont généralement familiers. Néanmoins, il faut
savoir
gré à M. Victor Tissot d’avoir réuni, sous le tit
’occupant aucune chaire à l’Université, ne briguant pas — tant que je
sache
— la carrière officielle dans le monde des scienc
ue je sache — la carrière officielle dans le monde des sciences, il a
su
garder toute son indépendance d’esprit et de juge
rier : Ferrara, Ferrara, corpo di Dio, ti auro ! le prince Alphonse I
sut
protéger son domaine aussi bien par les bouches d
avec les illustrations de D.-G. Rossetti S.T.E.N., Turin Et je ne
sais
s’il ne faut point considérer aussi comme une con
Bernin, que défend avec beaucoup de conviction M. Marcel Raymond. On
sait
que le Bernin fut appelé à Paris en 1664 pour tra
ur effet de refouler de plus en plus le travail libre, qui, chacun le
sait
, était couvert, dans le monde latin comme dans le
imitée impérativement, d’où il ne doit point sortir, à laquelle il ne
saurait
se soustraire, et qu’il lui est interdit de troqu
des collèges d’artisans, dès la période royale, et cette existence ne
saurait
faire doute pour ceux qui ont étudié les rares do
ve attribuait à tout ce qui relevait de la religion, l’affirmation ne
saurait
surprendre. En tout cas, l’État serait sorti de s
nt les clients qui se séparaient des gentes, et à une époque qu’on ne
saurait
spécifier, les affranchis devinrent eux aussi mem
doit assumer la fonction, car celle-ci doit être exercée et l’État ne
saurait
sans péril tolérer le chômage. On serait tenté de
nt à leur salaire, nous ne le connaissons guère dans l’ensemble. Nous
savons
seulement que Constantin donna à ceux d’Orient un
que rôle énorme qu’elles tinssent dans la société impériale, elles ne
sauraient
à aucun égard se comparer à nos syndicats moderne
nous mettre le corps comme les lépreux du temps des Croisades. Il ne
sait
pas son bonheur d’avoir vu la mer, pour la premiè
es femmes y sont très fraîches, belles et bonnes ; pour ma part, j’en
sais
quelque chose. L’Empereur étant pour arriver à Mi
ce d’un vol, exécuté dans des conditions d’audace extraordinaires. On
sait
déjà par les journaux comment il a dû être perpét
éventuel de l’administration des Domaines. Bien que le Louvre — on ne
sait
trop pour quelles causes — n’ait généralement pas
homme d’énergie et d’initiative, d’une intelligence très large, d’un
savoir
artistique étendu, et qui trouve dans le gouverne
aint-Point, poétesse même dans la prose de ses romans, ainsi qu’on le
sait
, le reste dans cette exégèse de la Femme intellec
er celles qui, par la joie ou par la douleur qu’elles leur donnèrent,
surent
selon leur fatalité, orienter, faire éclore, exal
après la conciliation, dans la péninsule italienne. M. Paul Vulliaud
sait
affirmer, avec une raison dont l’évidence égale l
outes les lumières qu’elle procure sans en chercher les ombres. On ne
sait
plus vivre gracieusement depuis qu’on a peur et a
aborieux, mais profondément idéal, de ce « promeneur solitaire », qui
sait
concevoir l’esprit de toutes les religions comme
compréhension des harmonies immobiles des arts plastiques, sous je ne
sais
quel prétexte pratique d’ordre littéraire ou indu
la plus féconde des énergies humaines, l’énergie de l’Inquiétude. On
sait
combien grave et progressive est cette inquiétude
icée. M. Vincenzo Gerace apporte à la littérature ce que Fogazzaro ne
sut
y apporter, un souci réel de la vie intérieure tr
ures, le temps que dure le roman, sur un chemin mou et brûlant. Il ne
savait
pas qu’il marchait sur la fange inévitable de l’h
Mme Grazia Deledda sévit encore une fois sur ses lecteurs, que je ne
sais
quel hasard éditorial lui a procurés, paraît-il,
and même, à cause des êtres et des paysages que le vénérable écrivain
sait
mettre en mouvement avec une verve très sûre. Le
io Scaglione : Alte acque ardenti, Ode, R. Carabba, Lanciano Je ne
sais
si, en parlant de M. Emilio Scaglione, je « révèl
» put saisir. Pourquoi ce ne fut-il qu’un instant ? Pourquoi je ne
sais
de paroles qui en refassent l’écho ? Je retournai
, installé dans les bâtiments de l’ancien archevêché. C’est, comme on
sait
, sinon un des plus importants, du moins, un des p
es tripolitaines, de se renseigner assez vite sur l’Italie, car il ne
saurait
s’agir ici d’entrer dans une critique des récents
publiés sur Crispi, certains indices d’intrigues « murattiennes ». On
sait
d’autre part que les prétentions de la famille Mu
72 [668]. Florence, 21 novembre 1911. Cher Monsieur, Tandis que je ne
saurais
trouver assez de mots pour louer l’extrême finess
, en réalité, un abandon de territoire. Sur le sol d’Afrique, elle se
savait
plus forte que l’Empire ottoman, qui ne disposait
iévreuse et il engendre un puissant symbole : « Car le mot, qu’on le
sache
, est un être vivant. » 28. Acte II, p. 32. 29
ureur des Euménides domptées par la logique souveraine de l’homme qui
sait
vouloir. Et le chœur prit chez Euripide cette att
ces, il fut parfois troublé par la fureur tragique, mais jamais il ne
sut
communiquer son trouble à la foule. L’individu re
ieux humain, ainsi que je l’expliquerai plus loin. Ibsen, lui seul, a
su
préciser le plus hautement possible les lignes de
Héroïque à la Wagner. Malheureusement, Maeterlinck lui-même n’a plus
su
suivre sa voie. Il s’est égaré dans de vagues rec
prévoit la catastrophe, en proclame la mort5. La musique de Wagner a
su
la première dévoiler sur la scène, par l’enchevêt
es conducteurs, la chaîne toute puissante des causes et des effets, a
su
dramatiser le déterminisme le plus absolu6. Tout
F. T. Marinetti, l’un des trois directeurs de Poesia, désire que l’on
sache
, en France, que le lauréat du concours poétique o
leurit plus clair et plus vivace. C’est à peine à présent si l’écho
sait
leur nom Maudit. Rien ne survit de leur gloire, s
t se fier à ses indications. Il est seulement regrettable qu’il n’ait
su
se garder aux dernières pages de son livre d’appr
x ne pouvait être plus heureux et nous tenons à dire d’abord que nous
savons
gré à l’auteur de tant de choses charmantes sur l
nchise ; mais nous avouerons qu’ici nous ne nous entendons plus. Nous
savons
ce qu’il pouvait dire, et ce qu’il y avait à dire
olonna, édité en 1455 par Aldo. Un théâtre « stable » à Rome On
sait
que, contrairement aux habitudes nomades des trou
devient instructif et, en d’assez heureuses conclusions, M. Dauriac a
su
noter le « romantisme » de Rossini. Il a raison,
’air de constituer un petit chef-d’œuvre du genre « monographie ». Le
savoir
de l’auteur est européennement reconnu, mais le m
nt en rien mon admiration pour le beau livre de Michel Brenet et n’en
sauraient
qu’imparfaitement évoquer l’intérêt et la portée
emières angoisses de notre précise volonté de tout connaître, de tout
savoir
, de tout transposer en une joie et en une force d
ndent assez bien la physionomie d’ensemble. Mais ce qu’aucun burin ne
saurait
exprimer, c’est la tristesse indéfinissable répan
Carpani, c’est qu’il le veut ainsi. Il est misanthrope, bourru et ne
sait
conserver aucune amitié. » Le même soir, j’assist
in du jour où il sera propriétaire d’une maison il la revendra. Il ne
saura
jamais s’accommoder d’une demeure fixe, car il ép
en même temps un guide idéal dans les chemins de sa vie assoiffée de
savoir
, il forme de tous ses désirs un type parfait, un
e la jeune créature d’amour qui l’avait mis au monde, il s’en va sans
savoir
où, comme un vagabond, meurtri par sa douleur, ex
ssion était accomplie, et il s’en alla loin, toujours plus loin, sans
savoir
où, sûr de ne plus s’arrêter que dans la pause de
ne diffèrent pas énormément de ceux de Dostoïevski ou de Tolstoï ; on
sait
quelles analogies il y a entre Giovanni Episcopo,
r consiste l’histoire, et, sans remonter jusqu’à notre révolution, on
sait
de quelle hâte ses singes, dès la première ombre
oir après coup. César disparu, pensons-nous, la question se posait de
savoir
si la République allait être restaurée ou non, et
ge, les Italiens de 1830 aimeront passionnément la liberté, mais sans
savoir
comment s’y prendre pour l’établir. Ils feront d’
and j’allais chez les gens à argent de France et d’Angleterre, qui ne
savent
trop ce que c’est que mon nom les Bentivoglio, se
, pas très jeune, pas très belle, qui rêve d’une extase infinie et ne
sait
pas s’y résoudre (car il faut un certain entraîne
racinée, comme un lierre tenace, sur la petite plante d’Assise ! » On
sait
que les deux parties de la biographie de saint Fr
pour composer son saint François selon les besoins de l’Église. Je ne
sais
si nos grands évocateurs de ces âges lointains, t
s fait de saint François un héros, tel que l’Église même et Celano ne
surent
le concevoir. Nous nous rapprochons de Dante qui
ésumant dans sa Biographie les éléments divins que M. Nino Tamassia a
su
retrouver et isoler un à un, Thomas de Celano a m
enter ; les artistes d’aujourd’hui n’ont pas besoin d’intuition : ils
savent
. Shakespeare écrivait lorsque la psychiatrie et l
ogie expérimentale. Et M. Sighele appelle cela la nouveauté qu’on ne
saurait
nier dans l’Art. En d’autres termes, il paraît qu
novissima et immoralissima. M. Sighele n’a pas lu M. Seillière. Il ne
sait
pas non plus quelle est l’importance et la signif
les cendres étaient en infime quantité. Beaucoup, au contraire, on le
sait
aujourd’hui, furent surpris, ont été asphyxiés da
res du peintre et du sculpteur et montre quelle fut son influence. On
sait
qu’Andrea de Cione, qui prit le nom le son maître
s de ce genre et les divertissantes attaques de M. Gauthiez contre on
sait
quelle École empêchent de prendre son livre tout
dégagé ce charme particulier que les maîtres précédents n’avaient pas
su
voir et que les maîtres qui l’ont suivi n’auraien
et s’oppose de plus en plus à notre conscience des relativités. Nous
savons
que, retenus entre la terre et le soleil, toutes
vira de guide, un guide fait à sa façon et pour lui : il est, nous le
savons
, prompt à s’irriter contre le cicerone, homme ou
début de novembre 1811, il part de Paris le 23 juillet 1812.) Or nous
savons
, par sa lettre à Crozet (de Rome, le 30 septembre
oint un oisif, mais souvent fort occupé, et aux ordres d’un homme qui
savait
faire travailler ceux qui l’entouraient ; si l’on
ent pages ont été écrites par lui « en 3 jours ». Ainsi fit-il, on le
sait
, pour un chapitre perdu de la Chartreuse. Quelque
ait pas en attendre bien sérieusement la réputation ou la gloire : il
savait
trop lui-même comment il l’avait faite, et que l’
le livre même, je viens de le dire, dément cette prétention. Puis on
sait
les vrais espoirs de Beyle. Il nous le répétait t
Le luxe, pour ma vanité, serait un vrai jugement, en conscience… On
sait
que cette opération commerciale devait échouer mi
de ses disproportions, — et de la voir inachevée, — maintenant qu’ils
savent
comment elle fut faite. C’est à la vérité une his
omique que celle du livre de Stendhal. Il le commença presque sans le
savoir
et sans le vouloir, un jour de voyage en Italie.
. Le climat peut servir d’excuse dans une certaine mesure. Mais il ne
saurait
tout expliquer, encore moins tout légitimer. Au c
budget sans péril pour sa personne et pour son bon renom ; mais il ne
saurait
abolir les versements officieux ; M. Sonnino en a
st de ces Septentrionaux que viendra pourtant, — à une heure qu’on ne
saurait
prévoir, — la libération économique, intellectuel
pendait la constitution intime de l’État romain. La question était de
savoir
si l’empire serait gouverné, comme les monarchies
n peuple, c’est à peine, hormis quelques cercles de lettrés, si Paris
sait
épeler son nom ! J’en ai dit les raisons littérai
s forte que le sort ; et par cela même il est toujours trop riche. Il
sait
être un vainqueur, de même qu’il sait être un vai
il est toujours trop riche. Il sait être un vainqueur, de même qu’il
sait
être un vaincu. Or Corrado Brando, qui a un grand
vaincu. Or Corrado Brando, qui a un grand rôle d’explorateur, n’a pas
su
vaincre et s’accommode mal de son sort de vaincu.
nifestations de l’instinct pur. Malheureusement M. d’Annunzio n’a pas
su
inventer une belle fable pour représenter cet ins
a qualité de son goût et l’étendue de ses connaissances, il suffît de
savoir
ce qu’il admira à Florence plus que tout le reste
8 décembre 1811 (Souv. d’égot., p. 309) : « Je me suis aperçu que je
savais
beaucoup moins bien l’italien que je me le figura
parce que je n’ai jamais pu les regarder plus d’un instant, et je ne
sais
pas non plus de quelle couleur sont ses cheveux,
ant un petit livre relié de noir, et riait à part lui, comme lui seul
sait
rire. Je me suis approché ; à peine m’a-t-il vu,
ble, du ciel et de la terre, des êtres animés et des esprits. Et vous
savez
, mon cher ami, que connaissance est puissance et
vois dans vos yeux que vous voudriez me demander quelque chose et je
sais
ce que vous voudriez me demander : Comment se fit
Vous ne vous souvenez plus de la route du Paradis terrestre, mais je
sais
que quelques graines de cet arbre s’en sont échap
s bleu marin, sous mon chapeau à la plume noire et solitaire, nul n’a
su
voir. Séductions, baisers, fuites nocturnes, esca
ours renouvelée de mes désillusions. Désormais je suis vieux et je ne
saurai
jamais ce qu’est l’amour. Dans aucun chemin, la f
troites, de murs silencieux un peu noircis par la pluie. Tout cela je
savais
le trouver dans la petite ville où, pendant cinq
é. Je tendis la main à l’homme qui me la serra et je lui dis : — « Je
sais
que tu es moi — un moi passé depuis longtemps, un
je revois ici comme je le quittai, sans changement perceptible. Je ne
sais
, ô moi du passé, ce que tu veux du moi présent, m
, ce que tu veux du moi présent, mais, quoi que tu me demandes, je ne
saurai
peut-être pas te le refuser. » L’homme me regarda
temps ne s’écoule pas, sans bouger, sans rien faire, à t’attendre. Je
savais
que tu reviendrais. Tu avais laissé la partie la
en de plus que ce que tu connaissais alors. Tu comprends mon envie de
savoir
et d’écouter. Prends-moi de nouveau pour compagno
ui peu à peu devint de la répulsion. Pendant quelques jours encore je
sus
résister à mon envie de l’insulter ou de le fuir
et le plus grand de tous, Jacques Callot. Claude ne put, ou mieux ne
sut
approcher de lui. C’est au malheureux caractère r
éjà un privilège merveilleux si, dans de terribles vicissitudes, elle
sait
imiter le fleuve qui réjouit Genève, d’abord azur
olument impuissant à déraciner ce genre de sport, c’est la loi. Je ne
sais
pas trop si la lecture de ce livre diligent conse
laire Giannino. Rien de plus fin et de plus vrai que cette pièce, qui
sait
dire tout, tout faire comprendre, et qui ne s’arr
ravé la pruderie de son public, et il l’a vaincu par la grâce dont il
sait
tout présenter de la manière la plus irréprochabl
se crée un public choisi. Il faut surtout féliciter M. Forster, qui a
su
soustraire sa revue aux influences étroites des é
rise inégalable et ont cette particulière éloquence de la chair qu’il
sait
relever d’un autre désir supérieur et noble qui l
n autre désir supérieur et noble qui lui est propre, — et que seul il
sait
exprimer dans ces belles batailles d’amour. Mais
il un véritable savant ? A-t-il les qualités essentielles du savant :
sait
-il observer les phénomènes patiemment, minutieuse
mplètement ? Est-ce un expérimentateur intelligent et consciencieux ?
Sait
-il interpréter les faits, les critiquer, les coor
tout ; mais c’est la meilleure preuve de ce que j’affirmais tantôt, à
savoir
que le crime pour Lombroso est un concept puremen
ent limitée d’objets sur la nature desquels aucun doute ne s’élève, à
savoir
des corps humains. Au contraire, celui qui étudie
anémies spinales, de vertiges (il faut bien noter le vertige que nous
savons
être souvent l’équivalent de l’épilepsie) ; il ne
tion aucune comme base de son diagnostic11. Or, le vertige est, on le
sait
, un symptôme tout à fait banal : il existe dans u
ce me poise, Né de Paris emprès Ponthoise. Or d’une corde d’une toise
Saura
mon col que mon cul poise. qui est une preuve cu
uments » que Lombroso emploie sont de cette force : en réalité, il ne
sait
pas lire, ses citations sont incomplètes ou altér
atan involontaire entre autres est une trouvaille : Lombroso n’aurait
su
mieux se caractériser en deux mots. Quelle incons
es plus attentivement que les livres d’autrui. En résumé, Lombroso ne
sait
ni lire, ni observer, ni expérimenter, ni raisonn
des journaux. Il est effrayant de songer que la majorité des gens qui
savent
lire — non seulement dans les milieux populaires,
oyens d’abrutissement les plus puissants de notre civilisation. On ne
saurait
trop insister sur ce point que, par le fait du jo
elligences médiocres et des gens désireux de se procurer ce vernis de
savoir
qui suffit à faire passer un homme pour érudit da
journalistes, il n’est inquiétant que par ses effets actuels : il ne
saurait
avoir de conséquences lointaines, tous ces gens n
architecture, de la sculpture et de la peinture en Italie. L’auteur a
su
caractériser chaque artiste et son œuvre par quel
r se passionner pour ces lointaines histoires, et qu’il est habile de
savoir
nous y intéresser ! Lettres tchèques. Memento
a démarche incertaine la faisait ressembler à une petite fille qui ne
saurait
pas encore marcher. Soutenue par ses compagnes, e
t dans un état lamentable, tant il manquait de sens pratique, on n’en
saurait
conclure que le désir de gagner de l’argent ait p
le Dante. En réalité, Sandro était un presque inculte, mais avide de
savoir
et en désir de s’intellectualiser28. Comme tous l
favoris avait tout pour plaire aux délicats de Florence. Ce que l’on
sait
pertinemment, d’ailleurs, c’est que l’un d’eux, m
ur trouve à se satisfaire. Et comment en aurait-il été autrement ? On
sait
avec quel tact Botticelli peintre arrangeait ses
ésente un prodigieux exemple d’équilibre de vides et de pleins. On ne
saurait
donner avec plus d’harmonie le spectacle de la co
encore une fois, considérer ces dessins comme une préparation ; on ne
saurait
admettre que le maître au trait charmeur n’ait pa
un manuscrit de la Divine Comédie, dont il était possesseur, et l’on
sait
, par Lanzi, sa partialité pour Dante48. Mais, si
e, une patrie de miraculeuse beauté, Venise, est en danger. » Il faut
savoir
gré à cet écrivain de son avertissement et nous h
seulement à pied, mais en voiture, — et surtout à bicyclettes ! » On
sait
que Venise est déjà reliée à la terre ferme par u
des nues, à cette nouvelle, et ne comprendront guère. C’est qu’ils ne
savent
pas que “l’affreux Lido”, comme disait Musset, es
ce n’est pas une grande actrice… Quoi donc ? Un grand acteur ?! Je ne
sais
pas si M. Marcel Prévost a pris la peine de relir
ié de l’an 1900 n’a pas été favorable à notre grand écrivain. Il faut
savoir
, — d’ailleurs on le saura sans doute, parce que r
favorable à notre grand écrivain. Il faut savoir, — d’ailleurs on le
saura
sans doute, parce que rien de ce qui touche à M.
uche à M. d’Annunzio ne peut échapper aux peuples civilisés — il faut
savoir
que l’auteur du Fuoco était député. Il jouissait
ville molle, sceptique et parfumée, avait été fondée pour lui ; il ne
sait
encore précisément si c’est Florence qui projette
ntrait à la Chambre pendant que M. d’Annunzio restait dehors. § Je ne
sais
pas trop comment l’auteur du Fuoco pourra mettre
nécessaire au bonheur de la Nation, on lui tourne le dos, parce qu’on
sait
, d’après l’histoire, qu’il n’y a eu en ce monde r
aire. Et pendant que le Roi Humbert mourait, personne au Ministère ne
savait
où le Prince Royal, devenu Roi à son tour par ce
ans voyager sur aucun yacht, et ils auraient donné quelque chose pour
savoir
où le Prince débarquait. Deux jours s’écoulèrent
e, assassiné au milieu de la populace, cet autre Roi qui voyage on ne
sait
où, ces télégrammes qui reflètent le désarroi des
e choix ne pourrait tomber que sur trois élèves peintres qui restent,
savoir
: le sieur Fragonard, depuis un an ou deux dans l
à Versailles, il s’en allait là-bas avec un incontestable acquis, un
savoir
étendu déjà, mais fait des traditions mourantes d
par le lumbago et les rhumatismes, et de cette figure si simple il a
su
tirer les effets les plus plaisants. La mère du p
ti. Quant à l’évolution philosophique de l’auteur, il nous suffira de
savoir
qu’il y a deux ou trois ans à peine, M. Butti aur
re, la pensée de Taine ne s’est jamais franchement décidée et n’a pas
su
s’élever non plus à un point de vue supérieur de
jugements littéraires avec ceux qu’il a formulés dans ses œuvres. On
sait
quelle importance Voltaire attribuait aux lettres
erlocuteur en défaut, comme d’ailleurs il le reconnaît lui-même. Nous
savons
que Pétrarque et Dante firent aussi le sujet d’un
aire sentir : Il me parla da Dante et de Pétrarque, et tout le monde
sait
ce qu’il pensait de ces grands génies ; mais il s
descendus du haut rang où l’approbation des siècles les a placés. On
sait
généralement que Voltaire n’était pas tendre pour
ce qu’on ne le lit guère. Il y a de lui une vingtaine de traits qu’on
sait
par cœur : cela suffit pour s’épargner la peine d
très rarement, un sûr moyen de séduction. Goldoni s’y trouva pris et
sut
exploiter ingénieusement cette admiration bénévol
mme d’être ce jour-là frondeur, railleur, goguenard et caustique ; il
savait
que je devais partir le lendemain35. » C’est fort
un côté l’homme que j’ai lu, et de l’autre celui que j’entends, je ne
sais
auquel je courrais39. » Boufflers avait subi tout
me on l’aurait souhaité. Il voulut plaire et ne plut pas, n’ayant pas
su
s’oublier quand il le fallait. Peut-être, dans le
uvement de renaissance tragique, si développé en France, comme chacun
sait
, depuis dix ans, trouve, dans la dernière tragédi
nes et aînés, sont encore moins remarquables, et de toute façon je ne
saurais
parler de leur art que je n’aime pas, et qui ne m
milieux féministes italiens. Et on doit à Mme Sibilla Aleramo d’avoir
su
créer un type de femme très complet, que la litté
age. Adam parla avant Ève. « Nulle personne dont l’esprit est sain ne
saurait
hésiter sur la première parole qu’il prononça, je
eut des hommes qui lui soient assimilés, consimiles viros ; il faut
savoir
proportionner l’ornement à la matière et ne point
et ne point parer d’or et de soie une femme hideuse à moins qu’on ne
sache
séparer au besoin l’ornement du sujet, car, la sé
enant de le traduire, de lui attribuer son véritable sens. Le lecteur
sait
au moins que Dante n’était ni un maniaque de la t
m, et malgré soi on pense au papegay (perroquet des maçons) et au gay
savoir
ou gaie science, l’art des Galls ou coqs. Pietra
ges profonds décernés à Frédéric de Sicile, à son fils Manfred ; nous
savons
que le parti des noirs ou gibelin est celui de l’
ie romaine, en forme dialectique et à visage découvert. Tout le monde
sait
que Dante était un gibelin, mais on se borna à vo
fection et la science est la perfection de l’homme. Aussi le désir de
savoir
se manifeste-t-il en lui, chaque fois qu’il est b
t sur ceux qu’ils voient broutant de l’herbe et des glands ; ceux qui
savent
offrent libéralement leur précieuse richesse aux
préparatoire qui accompagne une telle nourriture. Sans ce pain, on ne
saurait
la goûter. « Nul ne doit s’asseoir à mon banquet
at. Car les Canzones ne veulent pas qu’on les traduise. Que chacun le
sache
: nulle œuvre harmonisée (dont les mots ont un se
ur temps. Et tous les trois, chacun à sa manière, ont été ce que nous
savons
qu’a été le plus fameux — et d’ailleurs le plus g
i-ci ait pu être injuste à l’égard du délicieux Fra Angelico, cela ne
saurait
diminuer le mérite d’artistes comme Verrocchio ou
la musique est faite aussi pour être entendue, et que la lecture n’en
saurait
révéler tous les secrets. Sans nier certes les in
e, une étude : Max Klinger et la peinture trop ambitieuse, dont on ne
saurait
dire s’il faut en admirer d’abord l’ironie sangla
us pas à ce marchand milanais de nous avoir cédé le livre qu’il avait
su
remarquer dans les archives d’une « famille noble
et la médaille, d’un style et d’une beauté incomparables, dont je ne
sais
d’analogue dans l’œuvre entier du Pisan. § Après
rand honneur aux siens. Élève de l’universel Victorin de Feltre, elle
savait
à huit ans les éléments de la langue grecque, ain
ni, les deux artistes incomparables, et enfin l’auteur. D’Annunzio ne
sut
pas résister à la tentation de recevoir en person
es électeurs en tremblent encore… Quant à son art dramatique, nous en
savons
quelque chose. Je suis loin d’affirmer qu’on ne p
s dire : Verlaine serait classé parmi ces génies malheureux qui n’ont
su
plaire que trop tard, quand presque tous les sour
des mots jetés sur des pages. Aurait-elle jamais été écrite ? On n’en
sait
rien, mais il est certain que, réalisée, elle eût
ent sur la blanche surface d’un mur, ayant pris dans le passage je ne
sais
quel air plus doux et plus pensif. Il perdait bea
ses expériences remplissent treize volumes de manuscrits, et ceux qui
savent
juger le représentent comme anticipant de beaucou
a lumière obscure de la partie de la lune qui n’est pas éclairée ; il
sut
que la mer avait autrefois couvert les montagnes
n images, et réussit dans de telles transformations, n’a pas toujours
su
trouver le mot magique, et nous présente dans la
tatue de François Sforza comme d’une cible pour leurs flèches ? on ne
saurait
dire : mais ce qui est sûr c’est que cette statue
u en quatre mois et comme par magie que cette image fut fixée ? on ne
saurait
le dire. La figure, qui s’élève ainsi étrangement
elle s’assied ; comme le vampire elle est morte maintes fois et elle
sait
les secrets du tombeau ; elle a visité les mers p
ques ; d’abord celle de la forme exacte de sa religion, puis celle de
savoir
si François Ier assistait à ses derniers moments.
onner leur cloche ; des « lunes » électriques s’allument. Personne ne
sait
, parmi les humains de Baltimore, qu’il y a là les
OR Ce détail n’est pas consigné dans le livre de M. Ojetti. Il ne l’a
su
lui-même qu’en développant longtemps après une ph
se serait longtemps maintenue dans une sphère aussi poétique » ? Nous
savons
par Stendhal lui-même qu’en juin 1821 il s’enfuit
ux de celle-ci revêtue d’un caractère surnaturel. L’homme médiocre ne
saurait
se rendre compte du pouvoir que possède l’homme v
le, reconnurent-ils le moyen de ruiner sûrement son pouvoir ? L’on ne
saurait
l’affirmer d’une manière absolue. Mais on est por
raculeux de sa mission. Il était certainement visionnaire, mais il ne
savait
quelle portée attribuer à ses visions ; devait-il
sonnement s’essouffle en vain à en pénétrer le secret, M. Leoncavallo
sait
, mieux que tout autre, par l’abondance de ses ges
tionaliste convaincu, en demeurant absolument, foncièrement italien ;
sachons
-lui gré enfin d’avoir courtoisement déclaré qu’il
iscours déjà fameux, non seulement a déclaré qu’il veut être et qu’il
sait
être le maître absolu de la littérature italienne
que cette fatalité, que le poète, merveilleux exégète de son œuvre, a
su
voir, ne peut pas révéler la face qui exprime à l
l’assassinat commis par Brando. Brando meurt vraiment de ne pas avoir
su
vivre. Il est, je le répète ici, le vaincu dont l
su vivre. Il est, je le répète ici, le vaincu dont la volonté n’a pas
su
à tout instant être plus forte que le sort. Il ne
volonté poétique de d’Annunzio est trahie par les personnages, qui ne
savent
pas « inventer leur vertu » pour vivre en perfect
, tout en donnant à la littérature de son pays des œuvres originales,
sait
l’enrichir de ces traductions d’Eschyle, de Nietz
l’histoire comparée des religions au Portugal ? Je l’ignore ; mais je
sais
qu’en Espagne il n’y en a pas, et rien ne permet
M. Leoncavallo Les desseins de M. Carré sont impénétrables. On le
savait
, aux prescriptions de son cahier des charges, en
traire. Hélas ! On n’abuse que de ce qu’on a, et M. Augé de Lassus ne
saurait
forcer son talent ; c’est de toute évidence. Rare
uand Stendhal, qui venait, dans son premier ouvrage, publié, comme on
sait
, sous le pseudonyme, si savoureusement philistin,
s, 1814, in-8°) de plagier effrontément Le Haydine | ovvero | lettere
su
la vita e le opere | del celebre maestro | Giusep
’avait trouvé », tout en déguisant adroitement ses « emprunts »… ? On
sait
assez, aujourd’hui, comment le beau développement
ouvrage de MM. G. Ludwig et Pompeo Molmenti sur Vittore Carpaccio. On
sait
qu’il s’agit là d’un des plus remarquables travau
« pays de Kalev » ou du « pays des rochers », révélé au monde, on le
sait
, par le patient amour du rhapsode moderne Lönröt,
s du buste et que nous avions manifestée ici. Mais, une fois, l’on ne
saurait
juger de la valeur d’une œuvre d’après de simples
ais la génération qui se plut à cette fable plastique éblouissante en
savait
plus long que Boileau enfermé dans son goût comme
es mûres, deux jeunes personnes tombent sur les bras de Sandro qui ne
sait
plus à quelle coupe s’enivrer. Cela finit par un
l les a recherchées et comprises ; il a noté de délicieux paysages et
su
écrire, par exemple à propos des Rois Normands et
deux Iphigénie, Orphée, Alceste et Armide. M. Tiersot, qui paraît les
savoir
par cœur, n’est pas moins familier avec les plus
68]. En relatant l’histoire de The Navy of Venice, Mme Alethea Wiel a
su
traiter de façon très attrayante un sujet des plu
stant arrêtée au passage. L’effet est vraiment très curieux, et je ne
sais
guère de musique jouissant d’une aussi singulière
ularité, exerce son pouvoir tyrannique dans tous les domaines qu’elle
sait
s’assurer. Cela n’est pas particulier à l’Italie,
hologie italienne, parue chez Sansoni à Florence, ces lignes qu’on ne
saurait
déclamer sans l’appui sonore d’une bien frissonna
ome, et satisfaire ainsi ce désir sourdement et tendrement caressé. «
Sais
-tu ce que je regrette de cette belle Rome ? la tr
uments, quelque informe qu’en soit leur transcription, on ne peut que
savoir
gré à Marceline de nous les avoir donnés. Elle ne
consiste la gravité de l’engagement et le mérite de le remplir. Je ne
sais
quoi de triste me serra le cœur à ce récit de not
son beau voyage, le redisant avec cette action et ce prestige que tu
sais
qu’elle a quand elle développe un sentiment dont
supplice de Jésus-Christ et de sa mère, sur lesquels ils pleurent. Ne
savoir
pas dessiner est un supplice continuel devant ces
re des trépassés. A l’animà di… Eterna pace ! Inevitabile fata. Je ne
saurais
me faire au son des cloches, qui déchirent l’air
ur humide, dans la longue rue appelée Il Borgo de la Porta Romana. Je
sais
de loin que les feux d’artifice se succèdent hors
u « pathos historique » persistant et affaiblissant de sa race qui se
sauraient
trop, la composition « musicale » de sa prose suf
us êtes futuriste ? » vont s’écrier mes meilleurs ennemis. Non, je ne
sais
pas du tout ce que cette mention peut signifier.
ême valeur, devrait à elle seule sauver la face du futurisme. Oui, je
sais
, il y a le manifeste contre les gondoles de Venis
é arrive. Un mouvement d’étonnement de sa maîtresse, lorsque, sans le
savoir
, il apprend à celle-ci que le jeune greffier est
s un nouvel essor au théâtre dialectal toscan. La chance l’a aidé. On
sait
d’ailleurs que le dialecte toscan est celui qui s
reste, dans toute la péninsule. Les Italiens en effet n’en ont jamais
su
imaginer, et à côté des murs de bicoques qu’ils o
e nue, percée de trois portes. — Pourtant les églises d’Italie, on le
sait
, sont surtout intéressantes par la décoration int
de Beauveset. Mais M. Nozière a le talent plus léger que ceux-ci. Il
sait
conter avec grâce. Il porte dans les sujets les p
ristée semble exprimer non un deuil, mais une conscience critique qui
sait
admirer ; la révélation est celle d’un des plus p
de la mode, mais aussi à la phalange d’écrivains et d’artistes qui ne
savent
honorer un des leurs que si la suggestion collect
ses sans signification. Cependant l’écrivain qui dès ses débuts avait
su
s’élever au rôle de contempteur de toutes les ori
rofondément et spontanément panthéiste du lyrisme pascolien, l’auteur
sait
donner à ces emprunts une valeur toute particuliè
particulier sous lequel toute une génération va la considérer. Chacun
sait
que cette note, c’est l’esprit sec, la sensibilit
age de Venise enfiévrée, lézardée et croulante. Nulle part on n’avait
su
évoquer avec cette force les ombres du passé qui,
gé de littérature et, anxieusement, s’interrogent à toute minute pour
savoir
s’ils vivent encore et comment ils vivent. Épouva
rononcés, certains gestes accomplis devant elle en leur donnant je ne
sais
quelle ampleur précise qui les grave à jamais au
Abel Hermant au début d’un de ses derniers livres, les Affranchis. On
sait
que cet excellent peintre de caractères, qui veut
des traits qu’il réunit fatigue à la longue, mais il n’empêche qu’il
sait
camper des types contemporains. On ne trouvera de
et Duquesne sont de merveilleux acteurs fantaisistes, et Mlle Sylvie
sait
avec grâce, comme il convient, donner l’illusion
te initiative les éloges qu’elle mérite. Le musée de Rouen est, on le
sait
, un des plus beaux de France : les écoles ancienn
ieux Moustier, revint à M. Caillot pour 14 100 francs. […] 1. On
sait
combien sont rares les œuvres de la Renaissance :
avais paré mon esprit et mon cœur de leurs joyaux les plus rares : je
savais
que les choses anciennes vous regardent et vous j
de changement, depuis le Giotto jusqu’à Verocchio et ses élèves ? Je
sais
tout le plaisir qu’il y a à étaler une touche gra
j’ai foi. » Par toi je m’écarterai du vulgaire et de l’éphémère : je
sais
la marche ascendante des Êtres, l’évolution des C
ignant à l’huile ou à l’eau, si doués fussent-ils en apparence, n’ont
su
donner, par le pinceau, que des à peu près d’expr
ui a déjà souffert comme un vieillard, qui a jugé la farce humaine et
sait
que le mieux est de s en gausser pour s’y résigne
’aucune patine, le maître peintre qu’a voulu rester Rosso sculpteur a
su
rendre saisissable par la mise en valeur l’éclat
bronzes au Salon des Champs-Élysées et au Salon des Indépendants. Il
sut
même par quelques découpures de journaux qu’il n’
montais va-t-il crever sur le trottoir, vagabond et famélique ? Il ne
sait
demander. Il n’ose. Mais le voilà sauvé. M. Rouar
s de création pure, où trouve-t-on l’artiste ingénu et sublime qui ne
sache
s’inspirer que de la Nature et que de lui-même et
la sincérité d’un enthousiasme touchant la Renaissance latine ; vous
savez
, ayant lu Tolstoï, Nietzsche, Ibsen, et les Franç
nt lu Tolstoï, Nietzsche, Ibsen, et les Français et les Anglais, vous
savez
qu’il n’y a pas plus, à cette heure, d’esprit lat
ujours prêts à passer les Alpes, que des barbares armés de lances ont
su
faire dégringoler du haut de sommets moins majest
autre cause ; beaucoup plus pratiques, qu’on ne le croit et avides de
savoir
à un degré ignoré de notre siècle de lassitude, l
se indéfinie, écoutant avec soin ce que disent l’un et l’autre, il ne
sait
lequel des disputeurs favoriser, il n’ose clore d
’ai cru donc qu’il intéresserait les lecteurs du Mercure de France de
savoir
ce que pense un des bons critiques d’Italie des t
de Théocrite ne seront jamais des barbares. Il est possible qu’ils en
sachent
sur beaucoup de choses bien moins long que nous,
ur ferez jamais prendre des lanternes pour des étoiles. Si peu qu’ils
sachent
, c’est assez pour nous pénétrer. Ne sont-ils pas
iagnostic de quelque curiosité maladive du public parisien. Or Daudet
sait
que la moitié du public européen, grâce aux chron
devenir, si l’on veut, un moment de l’action dramatique, mais qui ne
saurait
, comme semble le prétendre M. Maeterlinck, consti
inures ? Le plaisir de les contempler les consolait de leurs maux. Ne
savait
-on pas que l’Image du Bon-Pasteur, dont s’ornait,
aissait, ayant, en plus, ce qu’elle tenait de l’esprit grec, ce je ne
sais
quoi d’ergoteur, qui caractérise, par exemple, le
yzance. Les Moines, invoquant Jésus, l’eurent donc vite soulevé. L’on
sait
quelle répression les empereurs iconoclastes exer
nter ses premières affirmations aux hommes, sous le bénéfice de je ne
sais
quel air doucement légendaire, choisit excellemme
tion de la vie plus harmonieuse et plus pure. C’est un idéaliste ; il
sait
que la nature n’est que le vêtement et le prétext
asse, A. Lemerre M. de Bouchaud étudie avec beaucoup de soin et de
savoir
l’origine de la pastorale italienne et l’influenc
urs ne marquent pas entièrement la pensée de M. Oliva, lequel n’a pas
su
prévoir que les lecteurs d’un livre ne peuvent pa
l fallait dire quelque chose de l’homme, de sa vie, de ses œuvres. On
sait
qu’entre la vie de Frédéric Nietzsche et ses théo
igi Capuana : Gli « Isms » contemporanei Mais surtout nous devons
savoir
gré à M. Oliva de nous avoir épargné l’excès des
romans, nouvelles, pièces de théâtre, il s’en trouverait bien. Il ne
sait
entraîner, ni par la magie du style, ni par la fo
les critiques de l’Exposition de Venise on a établi des prix ; je ne
sais
pas si M. Ojetti est parmi les concurrents ; on n
peintres italiens et étrangers qui ont figuré à cette Exposition ; il
sait
varier la forme de cette impression, il fait des
blic et la critique remarquent en elle un changement, que personne ne
sait
définir. C’est de la perfection sans doute ; mais
ette que j’avais tant aimée ! Où était-elle alors ? Je n’avais jamais
su
de ses nouvelles et je n’en avais jamais demandé
de me trouver moins digne de la posséder que je ne l’étais alors. Je
savais
encore aimer, mais je ne trouvais plus en moi la
elui que se disputent certains salons, auxquels un peu de scandale ne
saurait
déplaire et qui ne sont pas fort difficiles sur l
sa séduction naturelle et la grâce de son esprit impertinent qui ont
su
lui ménager des suffrages plus difficiles. § L’en
va lui-même n’insiste pas sur cet épisode capital de sa vie ; et nous
savons
cependant quelle importance il lui attribuait en
ant quelle importance il lui attribuait en général et quels effets il
savait
en tirer. Mais ce sont choses dont il n’aime pas
je voudrais le voir comme moi libre et heureux, et la superstition ne
saurait
se combiner avec la liberté. » Mais Casanova insi
s, de soldats vaillants, de citoyens zélés, et qu’elle ne pourrait le
savoir
qu’en conservant les traditions et les institutio
Pompée, et ceci pour sa propre sauvegarde, par une politique qu’on ne
saurait
qualifier d’anti-sénatoriale (il est vrai qu’il s
t été longtemps agitées (lesquelles ne semblent pas encore résolues),
savoir
: celle du Beau antique et du Beau chrétien (ou m
équilibre comme à sa connaissance. Cet aveuglement a produit ce qu’on
sait
de pires balivernes, de poncifs vides et laids, d
sont point en dehors de nous, mais en nous, car il n’y a pas, que je
sache
, de gens qui aillent demander aux autres leur col
cireurs de bottes qui se mettent du « métier de la Peinture » ? On ne
saurait
assez les exécrer. Le malheur est qu’ils se sont
ia, la scène d’Othello, portent l’empreinte d’un grand musicien qui a
su
créer une atmosphère sonore d’une sombre et doulo
eule, ni l’opéra, mais l’un est l’autre. Imaginez un Talma qui aurait
su
chanter comme il disait. C’est en vérité cela, l’
pour son existence. M. Guglielmo Ferrero. Historien (Turin). Je
sais
trop bien par expérience quelle difficulté il y a
urin). Je sais trop bien par expérience quelle difficulté il y a à
savoir
ce qui s’est passé, pour me hasarder à prédire ce
rt aux négociations patientes de notre ambassadeur, M. de Lesseps (on
sait
que c’est à la suite de ses déboires d’alors que
bien voulu renvoyer en quelque sorte dos à dos le pape et le roi. On
sait
que Mentana mit fin à ces velléités (1867). Notre
physionomie complexe de Rome à travers l’histoire et les œuvres. Il a
su
voir, pénétrer et exprimer dans son caractère de
çais (Bordeaux, Féret et fils, 1907, in-8, 71 p., av. 5 planches). On
sait
que cette collection Campana, achetée en 1861 par
musée avec renvoi aux nos du catalogue, il sera désormais possible de
savoir
immédiatement où a passé telle œuvre. Cet utile t
Mercure. Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907, p. 378-384 [381]. On
sait
que le monde savant et le monde artiste font depu
e souvenir que ce n’était pas l’usage du pays. Elle m’a demandé si je
savais
tout ce qui s’était passé. Comme quoi elle s’est
i s’était passé. Comme quoi elle s’est horriblement compromise, qu’on
savait
le rendez-vous du bain d’Alamani, que sa petite c
ouer que cette phrase ne prouve encore que mon amour pour elle. Je ne
savais
pas trop ce que je faisais. J’ai pris le chocolat
de la Renaissance, trad. M. Schmitt, 2 vol. Paris, Plon, 7 fr. On
sait
en quelle estime Frédéric Nietzsche tenait le sav
fut le tour des Odi Tiberine, signées du vrai nom du poète, où je ne
sais
pourquoi la critique s’obstine à ne pas reconnaît
s critiques italiens nous affirment maintenant qu’on ne pourra jamais
savoir
sur quel livre est mort Pétrarque, car l’histoire
e médecin et l’ami de Pétrarque, le lendemain de la mort du poète. On
sait
que Pétrarque, vieux et fatigué, souffrait d’une
evait avoir une influence considérable sur son développement. « Je ne
saurais
dire ce qui resterait de moi, écrivait-il près de
te Allemand avait peut-être une supériorité sur le grand Français. Il
savait
regarder sans préjugés d’école, et, guidé par son
Fra Angelico, Ghirlandajo, le Pérugin, Francia, et, qui mieux est, il
sait
en parler avec intelligence. Cet Allemand d’autre
étroitement liée à la renaissance méditerranéenne de demain, elle ne
saurait
encore le comprendre. Le double mouvement françai
lutte âpre et son triomphe composent les trois étapes d’un homme qui
sait
vouloir, qui sait surtout se donner. Et lorsque l
triomphe composent les trois étapes d’un homme qui sait vouloir, qui
sait
surtout se donner. Et lorsque l’hostilité des hom
e, il a assez souffert pour connaître la valeur de la solitude, et il
sait
remplir d’activité infatigable son silence. Puis
vous est jaloux de moi, il pourrait vous arriver malheur… » — « Je le
sais
, dit Luciette, qu’importe ! » Mais l’homme timide
es règles qui ne sont pas purement musicales. Les lecteurs du Mercure
savent
que dans La Néva notre ami Louis Dumur a tenté, l
ue Nel memoro pensiero ed altri colli ! E aperto il libro gli sfuggia
su
l’erba. Au lac d’Arqua Au lac d’Arqua (des rosea
-même, pour obtenir la charge de portraitiste de Lionel d’Este. On ne
saurait
guère contester aujourd’hui que l’effigie magistr
er ordre. Un Quirizio da Murano, non plus qu’un Antonio da Murano, ne
sauront
faire preuve d’une égale puissance, mais celui-là
contemporains, et il mourut dans les Marches vers 1493, sans avoir pu
savoir
comment, par les successeurs d’Alvise, Cima da Co
ment entamé une réputation qu’elle ne songeait plus à ménager ; on la
savait
capricieuse, sensuelle et vénale. La chronique de
cédés : Il n’est pas question de marchander ; il s’agit seulement de
savoir
si vous vous croyez le droit de m’insulter et si
u public, attire vivement l’attention des artistes et des savants. On
sait
que la villa Mills était construite sur l’emplace
obtiendrons les ouvrages, et ces Romains, avec leur goût antique, ne
sauront
où se placer. C’est pourquoy il est important aux
t sera un soulagement pour M. Boucher qui, joint à la satisfaction de
savoir
son fils à l’Académie, lui donnera lieu de connaî
ique que dans celui de la littérature. En ces dernières années, on le
sait
, Giosuè Carducci s’est rapproché de la cour. Il e
nutile de raconter à ce propos toutes les histoires que tout le monde
sait
, de Marc-Aurèle, de Jules Romain, etc. […] To
e que les Parnassiens font dans l’affaire, et si M. Guillaume Ferrero
sait
au juste ce que sont les Symbolistes… […] Jour
a à mort l’impératrice. Lucheni ne cesse de répéter que Martinelli ne
savait
rien et il ajoute « qu’il regrette davantage l’em
n d’horreur qui me parcourut les os, à la vue du misérable ; il ne se
savait
pas regardé, il tournait comme une hyène en cage…
ésumant l’orgueil italien des premiers livres du Poète, sa joie de se
savoir
non indigne de la tradition romaine, et la fierté
dépasse toutes les frontières, et sans que les principaux acteurs le
sachent
ou le veuillent, de tous les pays qui furent dits
a révolution nationale, meurt, parce qu’il voulut trop vivre et il ne
sut
vivre. Il se plie sous le choc de deux amours qui
’excellents chanteurs. On cite Caffarelli, Lzeziello et Farinelli. On
sait
que ce dernier devint ministre de Philippe V, roi
(Mensonge infâme, pour tout ce qui n’est pas repas d’ostentation. On
sait
que les 3/4 des maisons vivent de minestra verde
Mercure. Tome LXV, numéro 230, 15 janvier 1907, p. 380-384 [382]. On
sait
que l’Autriche dispute à l’Italie la gloire d’avo
i. La bonne musique m’eût ranimé : je n’y ai entendu que de mauvaise,
savoir
: la Vestale, de Fioraventi, et la Camilla, de Pa
avec elle dans les rues à la lueur des lumières des boutiques. Je ne
sais
comment elle a été amenée à me dire avec ce natur
qu’il a fait de mieux pour le théâtre. — Gluck se forma à Naples. On
sait
que son genre n’est pas l’expression. Ses ouvrage
paraît que c’est un homme aimable. Il a eu longtemps Mme Miller. Il a
su
s’amuser, chose assez rare parmi messieurs les Ro
s. On voit ces mœurs dans l’opéra de la Molinara, où un baron, qui ne
sait
pas trop bien écrire dicte une déclaration d’amou
aut rester à ses pieds. Cela pourrait flatter son amour-propre, je ne
sais
si elle fait le raisonnement nécessaire pour cela
ur Saint-Ambroise, j’ai quitté la voiture et pris la portantine. Vous
savez
le reste. Me voici, à 4 1/2, solitaire dans mon a
huya se perd l’oiseau… Il fait beau. Et la fleur qui se redresse le
sait
. Musées et collections. Luini au Musée Brera
mais ce défaut semble voulu, l’auteur ayant prouvé maintes fois qu’il
sait
se restreindre et se délimiter. Peut-être a-t-il
▲