découvris que la philosophie était la grande chose des livres et des
sciences
, et je me l’imaginai sous les traits d’une dame n
aginai sous les traits d’une dame noble. » XII. — Par ciel j’entends
science
, selon la similitude. Aux sept premiers ciels cor
ls correspondent le Trivium et le Quadrivium. À la huitième sphère la
science
naturelle ou physique et la métaphysique ; à la n
e sont suaves, et se manifestent par l’étoile soir et matin, comme la
science
par la parole et par l’écrit. Le soleil et l’arit
étaphysique. Le ciel empyrée, par sa paix, est l’emblème de la divine
science
. Salomon appelle toutes les sciences reines, conc
paix, est l’emblème de la divine science. Salomon appelle toutes les
sciences
reines, concubines, esclaves, la science de Dieu
Salomon appelle toutes les sciences reines, concubines, esclaves, la
science
de Dieu étant sa colombe et sa belle. La comparai
Dieu étant sa colombe et sa belle. La comparaison des cieux avec les
sciences
explique comment j’entends par le troisième ciel,
sement n’est pas moins vil que leur naissance. XII. — Parallèle de la
science
et des Richesses. XIII. — Si Adam fut noble, nous
cette flamme, trouve une voie naturelle creusée par le travail de la
science
, et y entraîne les âmes vers les splendeurs de la
plus rationnelle conception de la vie morale. En fait, d’un côté, la
science
, qui à cette heure n’est plus le privilège d’un p
arer cette dissolution, soit en faisant connaître les conquêtes de la
science
positive, soit en propageant une morale sociale r
y ait une mystique de la nature, comme il y a une physique : rite et
science
, intuition et expérience. III. Une théorie de l’a
est le devenir naturel et l’humanité le fragment. » Mais l’Art et la
Science
, c’est-à-dire la Foi et la connaissance la répand
de la série biologique à la découverte duquel marchent les Arts, les
Sciences
, les Religions. — Le Dieu d’une Époque industriel
t-il besoin ici de discuter ? Mieux vaut citer : Le poète dit que sa
science
est invention et mesure qui forment simplement le
n de matière et mesure dans les vers, qui révèlent ensuite toutes les
sciences
. Le peintre réplique qu’il envisage le même objet
es sciences. Le peintre réplique qu’il envisage le même objet dans la
science
de la peinture, savoir : invention et mesure : in
le raisonnement ne triompha que partiellement de la révélation, et la
science
ne fut jamais que le troisième pouvoir spirituel.
lheureusement pour l’unité doctrinale, la charité du pasteur comme la
science
du docteur décident de leur prestige. On n’obéit
cadémie de Milan, où, à propos de peinture, il traitait de toutes les
sciences
, suivant sa définition de l’artiste qu’il veut «
ne vingtaine d’années quelle place Léonard occupe dans l’histoire des
sciences
. Malgré que Geoffroy Tory l’ait appelé un véritab
vraie maîtresse (187). » Pour lui sont vaines et pleines d’erreur les
sciences
« qui n’aboutissent pas à une notion expérimental
s dans les choses certaines. « Là où on ergote, il n’y a pas de vraie
science
: car la vérité n’a qu’un seul terme, et, ce term
uvé, le litige se trouve aboli. S’il renaît, c’est qu’il s’agit d’une
science
bavarde et confuse (144). » À la fin du quinzièm
a faire la preuve de son génie. Sa philosophie désormais s’appelle la
science
; il sort de la bibliothèque où il se nourrissait
i ne croit plus aux affirmations de la foi et qui ignore celles de la
science
. Léonard répond : « La Vérité c’est la vie. » Il
us des autres, l’honore et en fait l’échelon des hautes fonctions. La
science
ne peut mentir et Léonard a vu juste, en cherchan
l en résulte de l’excitation, joie et sérénité (85). » Les hommes de
sciences
nous ont déshabitués d’entendre ces expressions t
arler douteux, sophisme, parler confus, le faux pour le vrai, théorie
science
sans pratique ». S’il y a une prédestination parm
iment trop simple (150). » Léonard n’admet pas comme véritables « les
sciences
qui commencent et finissent dans l’esprit, car l’
soires ; l’imagination ne trouve là aucun tremplin pour son essor. La
science
, plus austère que la mystique, se substante de pr
vois-tu pas que le trésor n’honore pas son accumulateur comme fait la
science
qui toujours témoigne en faveur de son créateur,
qui la généra et non filiâtre comme le pécune (66). » Pour le maître,
science
est synonyme de conscience. L’honneur de l’homme
ec autant de plaisir que celui qui appela la mécanique le paradis des
sciences
. Mais en voyant le mot « égalité » salir les acte
e pour l’esprit. Tentative hardie, certes, et que nul n’a reprise. La
science
a vu les mêmes passions que la foi s’agiter à son
prétendait pas les éteindre. On se trouve fort gêné pour magnifier la
science
, à notre époque où elle est devenue un parti, et
emplin pour sa féconde curiosité : il apportait l’imagination dans la
science
et la poésie dans l’observation, ce rêveur de l’h
trouvons dans les manuscrits de Windsor une réfutation complète de la
science
occulte : « C’est le plus stupide des discours hu
une recherche où la folie et la scélératesse prospèrent plutôt que la
science
et la vérité et où les risques dépassent trop les
e de nos sens. Pour mieux la glorifier, il invente une hiérarchie des
sciences
d’après leur degré de communicabilité et il démon
son génie pourvu qu’il ne le persuade pas violemment à autrui. « Les
sciences
imitables sont celles où le disciple se fait l’ég
ù le disciple se fait l’égal du maître, telles les mathématiques. Les
sciences
inimitables, comme la peinture, ne s’enseignent p
uvelant les motifs et les arguments de la foi. « On doit diviser les
sciences
en deux séries : celle qui traite de la quantité,
artiste apporte la clarté de sa formule en esthétique comme en toute
science
. Cette clarté disperse sans combat les ombres que
s, la Révélation, qui veut conserver ses antiques empiétements, et la
science
, usurpatrice, insupportable, vociférante et tyran
et ne prétendront point au trirègne de la foi, de la raison et de la
science
, qui ne saurait orner dignement aucun front. Chac
lus d’autre champ d’activité pure que l’expérience, en l’étendant aux
sciences
historiques. Ce sont elles qui enseignent désorma
imposer aux arts, manifestations de la qualité, le même idéal qu’aux
sciences
estimatives de la quantité et de l’espèce. Lorsqu
e constitue le patrimoine de la civilisation, et évolue avec elle. La
science
progresse incessamment : l’art apparaît et dispar
a Race des Pauvres, qui fut très discutée. M. Niceforo a apporté à la
science
anthropologique une série de recherches, toute un
quelquefois contradictoires. De même que des savants ont compromis la
science
en cherchant à la réduire en formules, les critiq
. Étudier la nature, modeler scrupuleusement ses formes avec toute la
science
des écoles : voilà qui ne suffit pas encore. Il f
s qu’on peut voir en lui un savant aussi bien qu’un artiste, toute sa
science
, à mesure qu’elle s’augmente, a une action de plu
20, si admirable, rappelle la manière de Botticelli avec un peu de la
science
de Verrocchio. Que de mystères encore ! On a parl
son époque si active, si amoureuse des arts, de l’érudition et de la
science
. Peut-être, à Santa-Maria del Fiore, fut-il témoi
, dont M. Enrico Ferri est le plus bruyant et le plus intéressant. La
science
et l’intuition individuelles sont à la base de se
es grandes qualités de psychologue qui considère la psychologie comme
science
positive. On ne doit pas méconnaître les qualités
la pensée du xixe siècle, pour atteindre la Synthèse idéale, que la
science
positive d’ailleurs n’a pas encore atteinte, faut
s-mêmes, ou, plutôt, et au lieu de nous faire analyser, comme fait la
science
, à l’aide de comparaisons extérieures et palpable
ique. Nous éprouvons quelque peine à nous représenter, aussi bien les
sciences
positives que les spéculatives, sous des aspects
ent fin à la guerre, il n’hésita pas à les sacrifier à l’Autriche.
Science
sociale. Nééra : Les Idées d’une femme sur le fém
tes les plus importantes ou aux hypothèses les plus ingénieuses de la
science
. Tel texte, sur la combustion, fait penser à Lavo
un chapitre de ses Promenades philosophiques (2e série) consacré à la
Science
de Léonard de Vinci, M. Remy de Gourmont, qui rel
me le remarque M. Remy de Gourmont, « les anciens textes relatifs aux
sciences
sont très difficiles à lire froidement ; dès qu’i
ell et de Lodge nous ramènent à un dynamisme universel et guident les
sciences
physiques vers des conclusions auxquelles est déj
imite la forme dialoguée et tente d’élever la foi à la hauteur de la
science
, Pierre Lombard qui assura le triomphe de la scol
éologie, pour le lecteur de Saint-Louis, ne forme qu’une partie de la
science
divine ; de la théodicée il passe à la cosmologie
étudie l’œuvre des six jours ; puis l’homme et les œuvres de l’homme,
sciences
et arts. Car, pour lui, les sciences contribuent
’homme et les œuvres de l’homme, sciences et arts. Car, pour lui, les
sciences
contribuent à ramener l’homme déchu vers Dieu et
iginaux qui étendent les connaissances humaines, qui agrandissent une
science
, qui enrichissent un art, qui conçoivent ou expri
l se fût entouré de théologiens et qu’il n’eût donné sa faveur qu’aux
sciences
sacrées : cela aurait-il empêché un moine, lecteu
me une fois trouvé, le litige se trouve détruit à jamais : les vraies
sciences
sont celles que l’expérience a fait pénétrer par
ude phénoménale s’isolât de toute solidarité dogmatique, parce que la
science
en accroissement perpétuel ne saurait accommoder
iomphe de la culture sur l’orgueil de la lignée, enthousiasme pour la
science
et le passé scientifique des hommes, libération d
iomphe de la culture sur l’orgueil de la lignée, enthousiasme pour la
science
et le passé scientifique des hommes, libération d
r en style convenable, il faut un art constant et être versé dans les
sciences
. Le vers est celui de onze syllabes, celui des do
i on pense au papegay (perroquet des maçons) et au gay savoir ou gaie
science
, l’art des Galls ou coqs. Pietramala (mauvaise p
e solennité. « La poésie, dit-il, est une théologie. Les traces de la
science
éternelle sont voilées dans l’Écriture-Sainte com
te chose, sous l’impulsion providentielle, tend à sa perfection et la
science
est la perfection de l’homme. Aussi le désir de s
e. » Est-il besoin de commenter ce premier chapitre ? Dante donne la
science
comme suprême perfection, formule rationaliste qu
le sens des Canzones. Ce sens a pour but de conduire les hommes à la
science
et à la vertu. L’amour nous porte à magnifier l’o
ru à ma génération intellectuelle, et m’a introduit dans la vie de la
science
qui est la suprême perfection. Ce n’est pas seule
ensi, des développements de M. Tommaso Tommasina sur le Devenir de la
science
, enfin, sous la signature Natano il Savio, une pé
semble, il y a deux grandes preuves. En philosophie, la critique des
sciences
, de leurs méthodes et de leurs limites, et les ét
in d’évoluer comme aspiration et aussi comme crainte. Les progrès des
sciences
, qui sont intimement liés à l’évolution religieus
vérité et en nous faisant sentir plus vivement nos impuissances, ces
sciences
nous reconduisent, d’une certaine manière, dans l
us n’allons pas vers la conception religieuse rêvée par des hommes de
science
, une conception où le surnaturel ne gênerait plus
t pour réserver l’avenir à la religion catholique. Psychiatrie et
sciences
médicales. Le Régicide Lucheni, par Ladame et Rég
du point terminus de ses aspirations. Umberto Savelli est un homme de
science
. Il est un de ces héros modernes, qui parcourent
selon la norme parfaite de sa logique ternaire, préparent l’homme de
science
, et le montrent tout aguerri pour sa réalisation.
d’un amour farouche et malheureux, est dans tout son éclat l’homme de
science
victorieux. Il a atteint le But. De M. Alfredo Ba
tis, professeur à la Faculté de Turin, a publié à la Bibliothèque des
Sciences
Modernes de Bocca frères, à Turin, son Histoire d
re ceci ou cela, chercherai-je plus de talent, plus de grâce, plus de
science
ou en ceci ou en cela ? Telles sont les embarrass
s vides et laids, de rondeurs sans signifiance. Il faut l’amour et la
science
qu’a un Ingres des œuvres du maître très divin po
a parce tous se fondaient en un, parce que les esprits possédés d’une
science
simple et claire fonctionnaient dans un système a
re Lui et de parler hautement à l’âme. Si Raphaël, si Vinci ont de la
science
et de la grâce, il n’en manque point, lui qui se
érités de détail, Stendhal s’écriait : Que manque-t-il à Raphaël ? la
science
moderne ! Qu’aurait fait Raphaël de Gall et de La
st peut-être pas une maladie sans remède, mais elle est tenace, et la
science
en viendra à bout d’autant plus difficilement que
i, Dogme et rituel de la haute magie, la Clef des grands mystères, la
Science
des Esprits ; Du Potet, la Magie dévoilée, ou pri
la Science des Esprits ; Du Potet, la Magie dévoilée, ou principe de
science
occulte ; Cahagnet, Sanctuaire du spiritualisme ;
a rien autre chose qu’une philosophie, c’est-à-dire une branche de la
science
qui — en confessant son impuissance à expliquer l
impose à nous au milieu des luttes nombreuses qui se livrent entre la
science
et la religion, la philosophie et la théologie, l
sé théologique, dogmatique, liturgique, ecclésiastique ; parce que la
science
, la critique, la philosophie, la recherche histor
i a réjoui ma vie. » Tome CXIX, numéro 446, 16 janvier 1917
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome C
p. 557-564 [557-560]. M. R. Dalla Volta, Directeur de l’Institut des
Sciences
Sociales de Florence, dans une première étude « s
la Revue des nations latines, analyse un mémoire lu à l’Académie des
sciences
morales et politiques de la Société royale de Nap
nt. Il vient de publier le premier volume d’une histoire générale des
sciences
qui comprendra une vingtaine de volumes et sera l
une œuvre fondamentale qui marquera une date dans l’histoire de cette
science
. Elle ne compte pas moins de 1700 pages remplies
nner une méthode rigoureusement scientifique à une doctrine qui de la
science
avait seulement le nom et qui était toute imbibée
odes intellectuelles, par une imprégnation de nos universités, par la
science
allemande, dont le prestige fut si grand et si so
rès d’ordre matériel, que de nos maîtres à courte vue jugèrent que la
science
de ceux qui travaillaient dans des laboratoires s
d le groupement des penseurs, des savants, de tous ceux qui, dans les
sciences
, les lettres, dans les organisations collectives
vue de la psychologie féminine, mais encore à celui de l’histoire des
sciences
. L’héroïne, Lilli Villepreux, est d’ailleurs une
Rignano : Pour une quadruple entente scientifique, Revue générale des
Sciences
, 30 janvier 1917 Bien qu’on conspue l’ancienne
ne Scientia et intitulé : Pour une quadruple entente scientifique. La
science
, comme l’industrie et le commerce, doit échapper
l’Allemagne faisait tous ses efforts pour monopoliser à son profit la
science
. Tous ces innombrables Archiv, Jahrbücher, Zeits
ger à collaborer en vue de créer, dans les principales branches de la
science
, des « Archives », « Annuaires », « Périodiques »
s, de lancer des idées fécondes, et non de chanter les louanges de la
science
de tel ou tel peuple, plus ou moins privilégié. L
vidente de cette 4e dimension, en sachant d’avance, cependant, que la
science
géométrique ne pourrait que soutenir des convicti
ajoute que, si j’aime chercher souvent un appui sur les vérités de la
science
, c’est que je vois là un excellent moyen de contr
e, et d’ailleurs aucun de nous ne saurait négliger les notions que la
science
met à notre portée pour intensifier notre sens du
e portée pour intensifier notre sens du réel. Cette sympathie pour la
science
existait aussi à l’époque de Paolo Uccello, de An
ndt, Greco et Cézanne. Et on peut désormais abandonner le champ de la
science
géométrique, qui nous a démontré la possibilité d
i que je le disais tout à l’heure, je ne prétends pas trouver dans la
science
autre chose qu’une confirmation, un soutien ; mai
u rencontrer les bases de l’une des hypothèses les plus élevées de la
science
moderne ? Tout raisonnement mis à part, il n’est
goissants, urgents ; elle bouleverse les principes fondamentaux de la
science
militaire, — arrête la bataille le long d’une lig
é à conserver pour la postérité les monuments de la plus nouvelle des
sciences
. Le musée de l’Aéronautique sera donc constitué à
l s’en va à 34 ans. Tome CXXIII, numéro 464, 16 octobre 1917
Science
sociale. Guglielmo Ferrero : Le Génie latin et le
us dépendre en rien de l’Allemagne, ni dans son industrie, ni dans sa
science
. L’opposition brutale que la guerre a fait naître
ard des empoisonneurs de la conscience nationale le fondement de leur
science
administrative. Et tout cela arrive parce que, d’
une conférence de l’artiste : Les arts plastiques d’avant-garde et la
science
moderne, dont voici l’argument : 1° Origine physi
La philosophie en général et surtout la philosophie scientifique, la
science
en général et surtout cette dernière époque de la
tifique, la science en général et surtout cette dernière époque de la
Science
qui commence par la loi de constance originelle d
e celui de Picasso et Braque n’avait pas moins son équivalent dans la
Science
, malgré qu’Apollinaire se soit plu à me classer p
l faut sortir du champ de l’art plastique et rentrer dans celui de la
science
mécanique. En ce cas, le mouvement peut être abso
niversalité dérive du sens direct de la vie que nous possédons par la
science
et la philosophie scientifique. § Une de mes prem
e vision claire, réaliste, irréligieuse du monde que nous devons à la
Science
est un fait accompli qu’on ne pourra plus détruir
Puissance et de réprimer les erreurs qui courent sur le compte de la
science
allemande » et qu’il n’a plus témoigné de sympath
bourses gouvernementales, en Allemagne et en revenaient apôtres de la
science
allemande et du germanisme. S’ils étaient sans gr
e et il n’y a pas un Français qui ne la trouvera de son goût. « La
science
futuriste » Tandis qu’il se fait pape et pape
pape de la vélocité futuriste, d’autres futuristes s’en prennent à la
science
et donnent en plein dans l’absurde. Leur manifest
à la science et donnent en plein dans l’absurde. Leur manifeste « la
science
futuriste »s’intitulerait plus justement la curie
rdonnées, aux intuitions contradictoires des adeptes de cette bizarre
science
, c’est l’ignorance absolue : « La fin suprême de
e bizarre science, c’est l’ignorance absolue : « La fin suprême de la
science
serait, hypothétiquement, de ne nous faire plus r
ourdes ou Sainte maison de Lorette, que de marier la religion avec la
science
dans le cabinet d’une voyante. Umberto Boccion
pensé à la possibilité pour le dogme d’accepter certaines lois de la
science
moderne : évolution, darwinisme, etc. C’est ce qu
voue encore à son mari : « Dieu existe, il est puissant, il est toute
science
, ainsi que tu le crois. Mais peu lui importe que
me la musique est identique à la religion. La musique, compliquant de
science
son expression et de haute philosophie ses concep
insulte à la mémoire de l’illustre poète, le professeur répond que la
science
ne manque point de respect aux génies en mettant
et l’attitude de l’enfant qui se retourne dénote chez le peintre une
science
incontestable. Vittore Crivelli a moins d’accent
spirer à quelque grande conquête dans le domaine de la pensée, art ou
science
, pour couronner solennellement enfin l’édifice bi
ornes montagneuses. Ainsi Wells, le grand cabaliste anglo-saxon de la
Science
littéraire, plutôt que de la Littérature scientif
appartient à cette catégorie de mystiques de la philosophie ou de la
science
— non du sentiment — qui se manifestent en œuvres
, elle consacre une partie considérable de son activité à l’art, à la
science
, à la littérature ; comme dans le monde ancien l’
an Francisco d’Assisi), et dans un style simple et poétique, avec une
science
et une conscience assez sûres du temps du divin P
» de Dostoïevski. Un de ses disciples, M. Scipio Sighele, applique sa
science
aux héros de M. d’Annunzio, qui ne diffèrent pas
Crime et Châtiment. M. Sighele étudie ces êtres au point de vue de la
science
dite positive, et conclut que les « dégénérés » d
r là dans quelques phrases heureuses, qui soulignant des traits de la
science
précise et de l’expérience d’hospice, leur silhou
ère nouvelle quelques secrets de leur intéressante psyché. Mais si la
science
et l’expérience de M. Scipio Sighele peuvent être
oriques, aujourd’hui n’importe qui peut le trouver dans les livres de
science
, et peut faire de l’art scientifique, ce qui veut
a vie à travers la plus incertaine des certitudes, la moins fixe : la
science
. Avec des théories et des « certitudes » pareille
s. Il n’oubliera point aussi, je pense, le type moderne de l’homme de
science
, le fils d’Ahriman, diraient les Perses, pour leq
proches peut-être justes. Mais la belle construction de l’œuvre et sa
science
de l’homme en font un tel écrivain que, dans cett
tini, de Padoue, gendre du professeur Murri, une des célébrités de la
science
italienne. L’auteur du meurtre, Tullio Murri, éta
ent historien a traité ce vaste sujet avec la nouveauté de vues et la
science
incontestable qui lui appartiennent. Il a success
des autres critiques s’acharnait de son côté, sans d’ailleurs trop de
science
ni de subtilité, contre le personnage principal d
rique, non dans sa signification surannée appliquée exclusivement aux
sciences
et à la sagesse occultes, mais dans une acception
alliance de cette république. Dans une dernière partie est exposée la
science
politique en Italie avant Machiavel. Cette scienc
tie est exposée la science politique en Italie avant Machiavel. Cette
science
avait d’abord été théologique ; au quinzième sièc
, elle devient humaniste. Mais les humanistes condensent seulement la
science
de l’État en lieux communs empruntés de l’antiqui
mbrasse actuellement le mouvement entier des arts, des lettres, de la
science
et de la politique. Ces modifications profondes n
pauvreté ; avec un sujet admirable, c’est une lecture ennuyeuse ; la
science
n’y fait pas défaut, mais l’expression ; je dirai
e pénible impression à ceux qui, n’ayant plus d’autres recours que la
science
, la voudraient sérieuse. Vanité : la science, vue
d’autres recours que la science, la voudraient sérieuse. Vanité : la
science
, vue en certains savants, est une parade assez vu
ensive ; celle de M. Vignon est vénéneuse de toute l’influence que la
science
a acquise sur les intelligences depuis trente ans
e à dresser l’homme au sommet de la pyramide animale. Il n’y a pas de
science
; il n’y a que des savants. Il y a M. Delage et M
homme d’un seul livre n’est souvent qu’un sot, et l’homme d’une seule
science
n’est souvent qu’un maniaque. Archéologie, voy
ût 1902, p. 467-471 [470]. Le Dr Vignon, préparateur à la faculté des
Sciences
, fort de l’appui de plusieurs illustres savants,
ut doyen des deux Académies des Inscriptions et Belles-lettres et des
Sciences
morales et politiques. 4. Il va de soi que des
s, la main appuyée sur le bouc-licorne couché à ses pieds, symbole de
science
et de pureté ; dans le lointain un cippe avec ces
essabit turtur ab ulmo… Tome XXX, numéro 114, 1er juin 1899
Science
sociale. L’Antisémisme, par Lombroso (Giard et B
, toute sa saveur de mystère, malgré l’aisance naturelle du style.
Science
sociale. Le militarisme et la Société moderne, p
Mais c’est un sujet qu’il faut laisser aux beaux vers de Shelley. La
science
de cet âge était toute de divination et de clairv
s’y retrouve encore, avec cette confiance dans la possibilité pour la
science
de trouver des chemins de traverse et des voies d
n. Aussi le voyons-nous souvent en relation intime avec des hommes de
science
: avec Fra Luca Paccioli, le mathématicien, avec
s entre lui et l’Allemand il y a cette différence qu’avec toute cette
science
curieuse l’Allemand se serait imaginé qu’on n’ava
e combien il peut y avoir de danger pour l’artiste à posséder trop de
science
; comment Goethe qui, dans les Affinités Élective
magique, et nous présente dans la seconde partie de Faust un amas de
science
sans aucune valeur artistique. Mais Léonard ne tr
é la part du rêve. Tome XXXII, numéro 120, 1er décembre 1899
Sciences
. Une chaire de médecine au xve siècle, par Ferr
mer d’azur ! § Visite médicale à bord. Deux ou trois piteux hommes de
science
, laids comme leur science elle-même, en casquette
cale à bord. Deux ou trois piteux hommes de science, laids comme leur
science
elle-même, en casquette, en redingote, en boutons
ques et qu’il est tenté de rapporter à des puissances invisibles. Les
sciences
occultes, astrologie, nécromancie, ont grand succ
la conquête, par l’agriculture et l’industrie, par la religion et la
science
. C’est par l’action de cette force que les famill
s, la vie de la physionomie, une incomparable largeur de facture, une
science
absolue du clair-obscur y sont réunies. J’ignore
on, Junon l’action, Vénus la volupté. Et l’on voit Pâris mépriser les
sciences
et les gentils ébats de l’esprit que Minerve offr
implistement méthodique à l’imitation de l’instruction militaire : la
science
superficielle et réduite à une nomenclature, la d
où prospère aujourd’hui dans toute sa vigueur de méthode nouvelle la
science
de la statistique, ne peut manquer de constater l
ur à la spiritualité et de reconstituer la foi avec les données de la
science
, chez une Mathilde Serao inspirée d’un persévéran
uns et les autres eussent certes beaucoup gagné à mieux connaître la
science
française ; presque tous ceux qui ont fait leurs
onsidération des valeurs extrinsèques par une fausse assimilation des
sciences
expérimentales et même sociales avec les sciences
se assimilation des sciences expérimentales et même sociales avec les
sciences
abstraites. Ainsi, notamment, dans la statistique
complexe où tout ne peut être encore mesuré par des chiffres, à cette
science
en la rapprochant, si l’on peut dire, de la physi
e expansion mondiale : l’approfondissement des essais de Guyau par la
science
des néo-lamarkiens peut seul rendre à l’esthétiqu
res des philosophies anciennes, cherche le vrai et qui, au-dessus des
sciences
de l’âme, dont les lois complexes et implacables
se rendre compte de son harmonie, par la forêt des i dressée avec une
science
très sûre : Or sibili e zirli, fratrilli e stril
M. Goloubew a mis à étudier cet art charmant un amour attentif et une
science
extrême. En dehors d’une brève introduction, chaq
u mythe hellénique, Pascoli en a découvert à nouveau la poésie que la
science
scolastique, plus puissante que le noble et fécon
écrépits, qui le cachaient et le cachent. Elle a compris que toute la
science
de l’âme est dans la conscience et dans l’intelli
raînée par les courants psychologiques qui de la philosophie et de la
science
se sont déversés sur elle, semble avoir confiné h
’aspiration contemporaine à la conciliation de la philosophie avec la
science
. Novalis avait remarqué que la séparation de la p
nce vers d’autres synthèses que celles promises et non données par la
science
. Un absolu revirement général de la pensée vers l
on entre philosophie et poésie, en même temps qu’entre philosophie et
science
. Cette volonté est déjà suffisamment exprimée par
conciliation de la philosophie avec le mysticisme, la création d’une
science
intégrale de l’être, qui, se basant inéluctableme
cience intégrale de l’être, qui, se basant inéluctablement non sur la
science
, mais sur la mentalité scientifique moderne, s’ép
de construction religieuse. La conciliation de la philosophie avec la
science
ne peut que servir partiellement à cette création
ément dans le même sens. Quelques érudits, qui ne juraient que par la
science
allemande, quelques économistes pour qui la prosp
a numismatique et il avait une confiance complète à cet égard dans la
science
de Giolitti, qui est apparemment en politique un
es historiens de la Grande Guerre, cette condition, que l’objet de la
science
historique est une question de psychologie. À
méricain s’est habitué à les considérer comme les distributeurs de la
science
, les organisateurs de l’industrie. La France n’a
gissent après la guerre un nouvel art, un nouveau style, une nouvelle
science
, une nouvelle philosophie, une nouvelle historiog
illicite de se prévaloir d’une autorité acquise dans le domaine de la
science
pour se donner de l’importance en tant que citoye
ou aggraver les raisons de conflits entre les peuples. Les hommes de
science
et les philosophes feraient mieux de se taire dan
s de tous les pays. L’élaboration de l’art, de la philosophie, de la
science
, est la tâche des différentes nations ; un peuple
Les Revues. Revue universelle : M. Péladan écrit sur le Vinci et les
sciences
occultes Charles-Henry Hirsch. Tome XLV, numér
ier 1903, p. 209‑216 [212‑215]. Étudier Léonard de Vinci à propos des
Sciences
occultes, cela devait séduire le curieux esprit d
intelligence de Léonard très près d’avoir subi la séduction de ces «
sciences
» qu’elle discutait passionnément, réfutait et ra
M. Péladan parle « du caractère déraisonnable que, de tout temps, la
science
occulte a revêtu, pour sa plus grande déconsidéra
t surtout contre les mauvais occultistes et qu’il existe pour lui une
science
occulte pure, une vérité en soi, que le Vinci eût
rs un grand désastre, quand un créateur d’art perd ses soins dans les
sciences
. » La faculté de créer est suprême. Toutes les d
age avec ses têtes rayonnantes d’âme et d’infini. On peut comparer la
science
à une pyramide : chaque pierre disparaît sous la
lle. » En donnant les dessins et les opinions du grand homme sur les
sciences
occultes, je conclus que le titre de mage ne lui
ne d’insister. On n’avait pas, en ces temps-là, le prosélytisme de la
science
; et bien au contraire, la tendance était de cach
homme. » À côté de ces excursions fantaisistes dans le domaine de la
science
, il est des choses plus sérieuses comme la note s
au Portugal, grâce à Leite de Vasconcellos (qui s’est occupé aussi de
science
générale des religions), à Pereiva et aux collabo
olitiques italiens au xixe siècle, puis des interactions entre notre
science
et le mouvement moderniste actuel. Il n’y a plus
nsulter la liste des élèves qui ont suivi les cours de la Section des
Sciences
religieuses de l’École des Hautes Études, et il v
d’enseignement est toujours une arme : la création de la Section des
Sciences
Religieuses à notre École des Hautes Études et la
haire. L’argument a été utilisé en Italie, où, plus que chez nous, la
science
des religions et le mouvement moderniste ont conv
êtes gens, savants ou non, voient l’idéal dans des compromis entre la
science
et la religion, c’est là affaire personnelle. Mai
la religion, c’est là affaire personnelle. Mais l’ethnographie comme
science
ne pourra jamais s’entendre avec la religion : el
talité médiévale par les philosophes et les penseurs hébreux, dont la
science
remontait aux vastes sources babyloniennes, et s’
principales où la méditation de Léonard puisa ses éléments, toute la
science
du moyen-âge est évoquée, montrant les racines pa
l Gaultier sur l’Art de Saint-Sulpice et, de M. C.-G. Chavannes, avec
Science
et Foi, un essai de synthèse où s’exprime le souc
, etc. Tome LXXXIV, numéro 307, 1er avril 1910 Ésotérisme et
sciences
psychiques. Memento [extrait] Jacques Brieu. T
de son inconscience pathétique, après avoir éloquemment défendu la «
science
sévère » de l’amour sans limites qu’elle devait r
rui, ne retirent aucun profit du grain qui vient à pousser… » Et la «
science
sévère » d’Isabelle apparaît bien être parfois ce
et dans l’évolution spirituelle du protagoniste l’auteur accorde à la
science
. Le style n’en est point littéraire. La pensée n’
immortalité de l’âme. C’est un livre de vulgarisation populaire de la
science
. Mais ce qui m’importait de signaler, c’est, malg
Tome LXXXVII, numéro 317, 1er septembre 1910 Ésotérisme et
sciences
psychiques. Paul Vulliaud : La Pensée ésotérique
eut pas gouverner sans commettre, en effet, des crimes dit d’État.
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome L
e mur pour y accrocher sa montre ; bien des membres de l’Académie des
sciences
morales et politiques n’ont touché un marteau ni
n et de Casanova, et les liens intimes qui les unissaient. Il est une
science
singulière, très oubliée aujourd’hui, mais très p
pirations et leurs règles de conduite. Casanova, très savant dans les
sciences
exactes, très instruit, très lettré, très voltair
ien qu’affirmant vingt fois dans son livre son incrédulité pour cette
science
, et il avait le droit d’être incrédule, puisqu’il
ernier séjour dans cette ville, était un fervent adepte de la fameuse
science
, et ce devait être une heureuse trouvaille qu’un
elés par l’accusé comme témoins à décharge, c’est-à-dire des hommes à
sciences
exactes. Or, aux insistances du président, qui le
tion actuelle de l’histoire romaine se ressent, plus encore que de sa
science
, de l’humeur d’un temps, — le nôtre, — dominé par
ts idéalistes, moins étroitement dirigés par l’intérêt, qui aiment la
science
pour elle-même, ont soif de connaître, cherchent
s gens menant une vie simple et sobre et se dédiant tout entiers à la
science
. Je les ai trouvés en général aussi intelligents
pables de pensées plus larges et possédés d’un plus grand amour de la
science
. Les hommes qui inspirent de tels sentiments rend
s catholiques, qui voulaient atteindre en Murri le rationalisme et la
science
et qui ne se faisaient aucun scrupule d’inventer
t celles des hommes les plus éminents dans la littérature et dans les
sciences
; en Italie, silence sur toute la ligne, pas un Z
tends ici par élite des intellectuels les gens qui aiment l’Art et la
Science
, non pour ce qu’ils peuvent procurer d’honneur ou
erne produit infiniment plus de travaux de valeur dans le domaine des
sciences
que dans celui des arts et des lettres et que c’e
r. Qui donc, en France, pourrait, contredire utilement M. Gauthiez en
science
dantesque ? Ces pauvres et hésitantes réserves, j
esprits égarés par le monde, vers une conception unique, totale, des
sciences
dites exactes et des sciences spirituelles. C’est
vers une conception unique, totale, des sciences dites exactes et des
sciences
spirituelles. C’est un gros volume, luxueusement
ne les a pas ménagés, ce qui rend facile la lecture de ces pages.
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
éaciens ; les Phéaciens, « illustres navigateurs dont les nefs ont la
science
et les pensées des hommes », et qui, au dire de Z
ux cratère, au milieu duquel une pointe émergeante, devenue de par la
science
un maréographe, est le reste évident d’un cône d’
possible de ne pas conclure que l’identification est certaine39 ?
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
poursuit la solution d’un problème plus utile à l’enchaînement de la
science
qu’à l’élévation de son esprit, et dont sa person
lité de donner cette explication, car, comme dit l’école, il n’y a de
science
que du général, et Jean-Jacques est un cas partic
e beauté, vous trouverez une immortelle raison de vivre heureuse.
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
marquable plaidoyer en faveur des « théoriciens ». Ils ont édifié les
sciences
physiques ; c’est à eux à édifier les sciences bi
». Ils ont édifié les sciences physiques ; c’est à eux à édifier les
sciences
biologiques et sociologiques. L’important dans l
gard même les branches les plus diverses et les plus lointaines de la
science
et de franchir ainsi les larges abîmes qui n’ont
e ces rapports, — à rentrer simplement en activité. Ésotérisme et
sciences
psychiques. Dr Marc Haven : Le Maître Inconnu : C
r rang. N’y a-t-il pas en effet dans l’œuvre du Sodoma, avec toute la
science
et l’habileté des beaux maîtres de son temps, un
physiologiste moderne, qui a fait de la psychologie une branche de la
science
positive physiologiquement contrôlable, l’arracha
e de clairvoyance. Tome LXXXIX, numéro 326, 16 janvier 1911
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome L
ique ne venait déranger les rêveries de l’auteur ; tableaux de mœurs,
sciences
héroïques, légendaires ou champêtres, souvenirs c
’antiquité des objets de vitrine fabriqués par Lorenzo Silvestri.)
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome L
les poètes et les philosophes de la Grèce et de Rome, des traités de
science
, sans m’occuper du texte, uniquement pour toucher
ec de nobles lignes et de chaudes couleurs l’inspirerait mieux que la
science
. — Lorsque tu seras amoureux, Ziorzio, je te fera
é au pays de la bamboche ; il était dans son milieu. Ésotérisme et
sciences
psychiques. César Lombroso : Hypnotisme et Spirit
les plus sûres. Dès qu’il aborda l’étude des phénomènes spirites, sa
science
s’évanouit et une crédulité infinie s’y substitua
d’admiration au « Berger » n’étaient point dues au hasard ; mais à la
science
et aux dons du Giorgione. Il ne songeait pas à fo
llini et surtout à Gentile, ajouta plus de mollesse et de charme à la
science
de ses compositions. L’illustre Zuan lui-même ass
e susceptible « d’un nombre très grand et indéfini de solutions ».
Science
sociale. Vilfredo Pareto : le Mythe vertuiste et
hipe. Il n’y a donc plus d’honnêtes gens en France ? Ésotérisme et
sciences
psychiques. Memento [extrait] Jacques Brieu. T
Allemands et des Anglais. Le peuple, à Rome, ne semble propre ni aux
sciences
, ni aux arts, ni à l’industrie. Le Romain est né
savant. Elle est la vision de celui qui, autant par l’artifice de sa
science
que par celui de son imagination, a longtemps véc
nt pas — tant que je sache — la carrière officielle dans le monde des
sciences
, il a su garder toute son indépendance d’esprit e
de la Rome papale qui, pendant deux siècles, fut le foyer d’art et de
sciences
de la vie intense et des intrigues amoureuses, fi
des xve et xvie siècles qu’à leur propre penchant pour l’art et la
science
. C’est en poursuivant son rêve de grandeur et du
esseur par la richesse de sa documentation et par la profondeur de sa
science
. Je n’aurais qu’à lui faire un seul reproche : il
leur psychologique des témoignages et les catégories sociales. […]
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
ire : M. Péladan, sur la Joconde et le Saint Jean de Vinci, et sur la
science
du conservateur de musée Charles-Henry Hirsch.
il traite de la Joconde et du Saint Jean. C’est un article de foi, de
science
, que celui de ce grand esthéticien, paru dans la
amoureuse de l’esthéticien, pour entrevoir toute la profondeur de sa
science
de la beauté de l’art, toute la fraîcheur printan
unication papale »… Tome XCIV, numéro 346, 16 novembre 1911
Science
sociale. Henri Joly : L’Italie contemporaine, enq
a beauté : grandeur du style, recherche aiguë du caractère expressif,
science
du modelé, gravité du coloris, qui fait penser au
ourraient bien vivre après, se réaliser peu à peu dans les époques de
sciences
positives, se fabriquer morceau par morceau au fu
ualité. Qu’en faut-il conclure ? Je crois que la prudence des gens de
science
a l’horreur de la conclusion. En ma qualité d’ign
peintre qui l’inspira, et cela suffit amplement à nous satisfaire.
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
G. Gentile. Elle comprend déjà trois volumes, dont l’Encyclopédie des
Sciences
Philosophiques de Hegel, précédée d’une préface p
poursuit de son côté l’intéressante publication de sa Bibliothèque de
Sciences
et Lettres. Dans cette collection, a paru dernièr
compliquée, et assez intéressante. D’autres, enfin, cherchent dans la
science
et dans la connaissance moderne de l’être, quelqu
ée par un sentiment rythmique en même temps solide et simple, par une
science
harmonique très sûre. La vérité historique est sa
t avec emportement ; enfin, il s’agissait de choses scientifiques. La
science
avant tout ! Il y a des occasions où tous sentent
insupportable de devenir des savants : c’est généralement, lorsque la
science
est un peu cochonne. Et les deux volumes cités ré
ifique de tous les pays ; ça me prouve une fois de plus qu’en fait de
science
je ne suis pas connaisseur. Mais avec les paralip
gazza n’est pas aveugle ; il a un penchant pour la femme, en homme de
science
qui en connaît toutes les faiblesses physiques et
ette campagne qui a été la négation journalière de Machiavel et de sa
science
infaillible. Le poète nous transporte avec un éla
e, le Bain des femmes de Van Eyck. Il semble qu’il y ait mis toute sa
science
: c’est véritablement un morceau de maître où on
arquable dans sa jeunesse, et qui, le lâche, vous a abandonné pour la
science
. Ce travail, c’est la lettre à Snetlage, que pers
onomes. Sauf le respect que nous devons à ces premiers ancêtres de la
science
, ce n’est là qu’un conte à dormir debout. N’empêc
joutant à un tri arbitraire des documents, arrive à gâter beaucoup de
science
. Garé de ces chimères par la sévérité de noire mé
avec les œuvres des contemporains et des maîtres subséquents de cette
science
de l’amour. Néanmoins, il s’est parfois écarté de
peine de se documenter. Elle espère que l’imagination suppléera à la
science
. Les Maîtres mosaïstes démontrent malheureusemen
riptions, la pauvreté de la langue égale la pauvreté du sentiment. La
science
qui fortifierait et enrichirait l’une, la foi qui
flé de romantisme. Elle feint assurément de posséder tout au moins la
science
. À l’entendre elle s’est soigneusement renseignée
nt scientifique. G. Sarton : Isis, revue consacrée à l’histoire de la
science
, Wondelgem-lez-Gand, 30 francs par an [extrait]
. George Sarton consacre une nouvelle revue, Isis, à l’histoire de la
Science
. Le premier numéro (février 1913) comprend les ar
’azur qui m’isole, Aux clartés, aux cyprès, aux roses de Fiesole.
Science
sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome C
de invention », œuvre plus désintéressée ; l’œuvre, simplement, de la
science
historique, d’historiens scientifiques tels que M
tirer profit à ne pas en manquer une seule. Le lamentable état de la
science
du chant dans notre capitale suffirait à excuser,
erpénétrable, en est-il de même des formes ? Je ne le pense point. La
science
qu’on peut évoquer pour dire leur pénétrabilité n
Anti-gracieux ne puisse être construit que par un homme de talent, de
science
et de verve, et, comme je le disais plus haut, se
les italiennes un moyen rapide de s’assimiler les connaissances et la
science
de leurs nouveaux maîtres. Les Indigènes, eux aus
ome CIV, numéro 387, 1er août 1913, p. 617-622 [622]. […] Journal des
Sciences
militaires : […] L’armée italienne dans la guerre
u réalisme en Histoire. Elle seule est précieuse dans la pratique des
sciences
historiques, et c’est elle seule que les sciences
ans la pratique des sciences historiques, et c’est elle seule que les
sciences
historiques doivent servir. C’est ce que je me ré
n nom, un nom charmant de femme, évoque cet émerveillement de la gaie
science
, cet appétit des ciels lumineux. Or, Marguerite d
ésar, a la passion du pouvoir absolu, et qui, bien plus que lui, a la
science
insidieuse des moyens à longue portée. Ce portrai
ut à fait d’accord avec l’écrivain : « L’art (quadrivium) annexait la
science
, et n’était-ce pas là conception plus valable et
plus valable et efficacement féconde que la conception présente où la
science
non seulement se sépare de l’art, mais prétend au
eurs propres recherches et la connaissance qu’ils avaient acquise des
sciences
naturelles, qui, plus tard, mal employées, « empl
it M. Ferrero, de la civilisation industrielle et des progrès que les
sciences
accomplissent sans relâche, le mysticisme déborde
n qui gerbera les charmes de son corps fraîchement épanoui. » Avec la
science
de l’harmonie des lignes, j’aurai chanté tout le
e l’inspiration des grandes pensées s’est tarie : notre époque est de
science
, le scalpel a tué l’âme, seul l’amphithéâtre refa
i la sculpture n’a-t-elle été le plus souvent considérée que comme la
science
des traits arbitrairement figés, des formes enser
liberté individuelle, il n’y a qu’un culte pour la Raison et pour la
Science
, et il élève ses fils, un jeune homme et une jeun
reproches, et comme il veut espérer, comme il ne peut pas croire à la
science
dont le dernier mot lui dirait que sa Mathilde n’
ons de littérature et d’art autant que des nouveautés d’érudition. La
science
y est sûre, l’information étendue ; mais ces élém
non seulement se plaît à aimer, mais elle sait étaler précocement une
science
de séduction exquise. Bref, après une série d’épi
ardé comme le fondateur de la musique moderne parce qu’on lui doit la
science
du contrepoint. Il était de Messine et mourut ver
ous par son caractère d’évidence, de certitude, ou bien a-t-il mis la
science
au service de certaines opinions courantes, a-t-i
nette au point de vue du droit en vigueur, mais au point de vue de la
science
(que ce soit la psychologie, l’anthropologie ou l
n voit que la psychologie, comprise à la manière de Lombroso, est une
science
des plus simples et que les mystères de notre méc
iller la défiance contre certains systèmes pullulant surtout dans les
sciences
abstraites ou incertaines, grâce à des hommes non
es ; il s’adresse aux « vulgarisateurs » qui se chargent de mettre la
science
à la portée des intelligences médiocres et des ge
i, tant ils portent l’empreinte de son style, tant ils manifestent sa
science
de décorateur et sa verve. D’autre part, on relèv
la Monarchie… Le Roi donnant une poignée de main à l’ouvrier : quelle
science
d’État, mon Dieu, quel sujet magnifique pour une
’après le même mode. Louis XIV, « voulant se procurer dans toutes les
sciences
et les arts les plus habiles gens du monde, avoit
ivait lui-même à Prévost-Paradol en 1852, à « faire de l’histoire une
science
, en lui donnant, comme au monde organique, une an
t lié à celui de l’art, les chefs-d’œuvre sont pour elle un trésor de
science
et d’argent… Sans doute l’automobilisme et la pol
lyrique de cette sorte, c’est-à-dire épris des réalités, maître d’une
science
aussi étendue du vers, un poète qui ne sacrifie p
paraît-il, rendra un hommage à ce qu’on appelle « les victoires de la
Science
», en montrant les superstitions les plus ancienn
eurs, ne s’est pas dépensé en considérations sur l’état général de la
science
touchant l’histoire romaine, chose qu’il eût au m
e ajouter d’après lui. Si les conclusions de l’auteur passent dans la
Science
, c’est tout juste si l’on ne dira pas Lucullus co
l n’avait pas rougi. Tome LVII, numéro 199, 1er octobre 1905
Science
sociale. Enrico Ferri : La Sociologie criminelle,
, sous l’impulsion de Lombroso et de ses élèves, la philosophie et la
science
du droit pénal semblaient se renouveler de fond e
n mort : il faut aller vers l’Avenir. Quel avenir donc ? Un Avenir de
science
et de liberté croissante, un Avenir où l’homme se
a mènent infailliblement à sa décadence. On en peut dire autant de la
science
, utile et féconde quand elle reste dans sa sphère
ter du fini. La civilisation la plus brillante, les découvertes de la
science
la plus avancée ne feront jamais qu’étourdir un m
peut être fait en moins de trois années par un homme studieux; 3° la
science
des architectes consiste certainement dans le goû
i Focillon nous montre que chez cet artiste puissant, l’intuition, la
science
, l’habileté, le sens du pittoresque concouraient
Sébastien del Piombo. Tome CXXVII, numéro 480, 16 juin 1918
Science
sociale [extraits] Henri Mazel. Tome CXXVII,
esthétique, qui, l’auteur a raison, a bien son droit de cité dans la
science
des sociétés humaines. Illemo Camelli : Du soc
urée. Oublieuse de Galilée, oublieuse du Vinci, elle a substitué à la
science
la micrologie. Négligeant de rechercher tout ce q
aux progrès du Septentrion ! Telles sont les maximes qu’au nom de la
science
l’école italienne inocule aux enfants. Il y a pir
que des affirmations aussi délétères constituent le dernier mot de la
science
et de la nouvelle pédagogie. « Vainement » — s’éc
langage sur les lèvres d’un éducateur de la jeunesse et au nom de la
science
et que l’on ose faire passer toute cette contreba
nous en tiendrons qu’à ce qui est écrit dans ces livres : que ce soit
science
, ignorance ou pédagogie. Une chose est sûre : qua
iérarchie des attributs nouveaux, que la poésie, la philosophie et la
science
doivent lui assigner. Cependant les Odes Barbares
paraîtront dans la lumière, où la pensée humaine, art, philosophie et
science
, se sublime dans ses teintes d’aurore nouvelle, o
a vérité pure et simple. En effet l’arbre défendu était l’arbre de la
science
, l’arbre de la sagesse, non seulement du bien et
maîtres désabusés, aux classiques barbes blanches, j’avais étudié les
sciences
les plus germaniques et les plus fantastiques. Je
au Collège de France, à l’École d’Anthropologie, au Collège Libre des
Sciences
sociales, à l’École des Hautes Études sociales, d
a, de Bari. Elle publie des collections diverses de philosophie et de
science
, et c’est dans une de ses collections qu’a paru l
. — Il Bello e il Giudizio estetico, par G. Lavini : incapacité de la
science
à définir le beau (22 août) ; Giorgio Eliot, la s
« le parti anticlérical ». En revanche, l’auteur de ce précis met la
science
de Hurter au courant, notamment pour les luttes d
peut-être unique. On ne saurait trop signaler, nous ne disons pas sa
science
des sources, mais encore, ce qui est à la fois pl
elet ; peu de liaisons ; abondance de réflexions incidentes. Bien des
sciences
voisinent ici, insuffisamment fondues dans l’ense
) : L’idealità nella vita, où M. Lenzoni démontre l’impuissance de la
science
à établir une vraie vérité ; de la comtesse Lara,
termine son étude, que je n’ai fait que résumer ici. Ésotérisme et
sciences
psychiques. Ernest Bozzano : Des phénomènes prémo
. Ernest Bozzano : Des phénomènes prémonitoires, in-18, « Annales des
Sciences
psychiques », 5 fr. Jacques Brieu. Tome CIX, n
n des chaires et par l’adaptation de l’enseignement aux progrès de la
science
et aux nécessités modernes. Voici le projet qui v
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