/ 42
1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
découvris que la philosophie était la grande chose des livres et des sciences , et je me l’imaginai sous les traits d’une dame n
aginai sous les traits d’une dame noble. » XII. — Par ciel j’entends science , selon la similitude. Aux sept premiers ciels cor
ls correspondent le Trivium et le Quadrivium. À la huitième sphère la science naturelle ou physique et la métaphysique ; à la n
e sont suaves, et se manifestent par l’étoile soir et matin, comme la science par la parole et par l’écrit. Le soleil et l’arit
étaphysique. Le ciel empyrée, par sa paix, est l’emblème de la divine science . Salomon appelle toutes les sciences reines, conc
paix, est l’emblème de la divine science. Salomon appelle toutes les sciences reines, concubines, esclaves, la science de Dieu
Salomon appelle toutes les sciences reines, concubines, esclaves, la science de Dieu étant sa colombe et sa belle. La comparai
Dieu étant sa colombe et sa belle. La comparaison des cieux avec les sciences explique comment j’entends par le troisième ciel,
sement n’est pas moins vil que leur naissance. XII. — Parallèle de la science et des Richesses. XIII. — Si Adam fut noble, nous
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
cette flamme, trouve une voie naturelle creusée par le travail de la science , et y entraîne les âmes vers les splendeurs de la
plus rationnelle conception de la vie morale. En fait, d’un côté, la science , qui à cette heure n’est plus le privilège d’un p
arer cette dissolution, soit en faisant connaître les conquêtes de la science positive, soit en propageant une morale sociale r
y ait une mystique de la nature, comme il y a une physique : rite et science , intuition et expérience. III. Une théorie de l’a
est le devenir naturel et l’humanité le fragment. » Mais l’Art et la Science , c’est-à-dire la Foi et la connaissance la répand
de la série biologique à la découverte duquel marchent les Arts, les Sciences , les Religions. — Le Dieu d’une Époque industriel
3 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
t-il besoin ici de discuter ? Mieux vaut citer : Le poète dit que sa science est invention et mesure qui forment simplement le
n de matière et mesure dans les vers, qui révèlent ensuite toutes les sciences . Le peintre réplique qu’il envisage le même objet
es sciences. Le peintre réplique qu’il envisage le même objet dans la science de la peinture, savoir : invention et mesure : in
le raisonnement ne triompha que partiellement de la révélation, et la science ne fut jamais que le troisième pouvoir spirituel.
lheureusement pour l’unité doctrinale, la charité du pasteur comme la science du docteur décident de leur prestige. On n’obéit
cadémie de Milan, où, à propos de peinture, il traitait de toutes les sciences , suivant sa définition de l’artiste qu’il veut « 
ne vingtaine d’années quelle place Léonard occupe dans l’histoire des sciences . Malgré que Geoffroy Tory l’ait appelé un véritab
vraie maîtresse (187). » Pour lui sont vaines et pleines d’erreur les sciences « qui n’aboutissent pas à une notion expérimental
s dans les choses certaines. « Là où on ergote, il n’y a pas de vraie science  : car la vérité n’a qu’un seul terme, et, ce term
uvé, le litige se trouve aboli. S’il renaît, c’est qu’il s’agit d’une science bavarde et confuse (144). » À la fin du quinzièm
a faire la preuve de son génie. Sa philosophie désormais s’appelle la science  ; il sort de la bibliothèque où il se nourrissait
i ne croit plus aux affirmations de la foi et qui ignore celles de la science . Léonard répond : « La Vérité c’est la vie. » Il
us des autres, l’honore et en fait l’échelon des hautes fonctions. La science ne peut mentir et Léonard a vu juste, en cherchan
l en résulte de l’excitation, joie et sérénité (85). » Les hommes de sciences nous ont déshabitués d’entendre ces expressions t
arler douteux, sophisme, parler confus, le faux pour le vrai, théorie science sans pratique ». S’il y a une prédestination parm
iment trop simple (150). » Léonard n’admet pas comme véritables « les sciences qui commencent et finissent dans l’esprit, car l’
soires ; l’imagination ne trouve là aucun tremplin pour son essor. La science , plus austère que la mystique, se substante de pr
vois-tu pas que le trésor n’honore pas son accumulateur comme fait la science qui toujours témoigne en faveur de son créateur,
qui la généra et non filiâtre comme le pécune (66). » Pour le maître, science est synonyme de conscience. L’honneur de l’homme
ec autant de plaisir que celui qui appela la mécanique le paradis des sciences . Mais en voyant le mot « égalité » salir les acte
e pour l’esprit. Tentative hardie, certes, et que nul n’a reprise. La science a vu les mêmes passions que la foi s’agiter à son
prétendait pas les éteindre. On se trouve fort gêné pour magnifier la science , à notre époque où elle est devenue un parti, et
emplin pour sa féconde curiosité : il apportait l’imagination dans la science et la poésie dans l’observation, ce rêveur de l’h
trouvons dans les manuscrits de Windsor une réfutation complète de la science occulte : « C’est le plus stupide des discours hu
une recherche où la folie et la scélératesse prospèrent plutôt que la science et la vérité et où les risques dépassent trop les
e de nos sens. Pour mieux la glorifier, il invente une hiérarchie des sciences d’après leur degré de communicabilité et il démon
son génie pourvu qu’il ne le persuade pas violemment à autrui. « Les sciences imitables sont celles où le disciple se fait l’ég
ù le disciple se fait l’égal du maître, telles les mathématiques. Les sciences inimitables, comme la peinture, ne s’enseignent p
uvelant les motifs et les arguments de la foi. « On doit diviser les sciences en deux séries : celle qui traite de la quantité,
artiste apporte la clarté de sa formule en esthétique comme en toute science . Cette clarté disperse sans combat les ombres que
s, la Révélation, qui veut conserver ses antiques empiétements, et la science , usurpatrice, insupportable, vociférante et tyran
et ne prétendront point au trirègne de la foi, de la raison et de la science , qui ne saurait orner dignement aucun front. Chac
lus d’autre champ d’activité pure que l’expérience, en l’étendant aux sciences historiques. Ce sont elles qui enseignent désorma
imposer aux arts, manifestations de la qualité, le même idéal qu’aux sciences estimatives de la quantité et de l’espèce. Lorsqu
e constitue le patrimoine de la civilisation, et évolue avec elle. La science progresse incessamment : l’art apparaît et dispar
a Race des Pauvres, qui fut très discutée. M. Niceforo a apporté à la science anthropologique une série de recherches, toute un
quelquefois contradictoires. De même que des savants ont compromis la science en cherchant à la réduire en formules, les critiq
. Étudier la nature, modeler scrupuleusement ses formes avec toute la science des écoles : voilà qui ne suffit pas encore. Il f
s qu’on peut voir en lui un savant aussi bien qu’un artiste, toute sa science , à mesure qu’elle s’augmente, a une action de plu
20, si admirable, rappelle la manière de Botticelli avec un peu de la science de Verrocchio. Que de mystères encore ! On a parl
son époque si active, si amoureuse des arts, de l’érudition et de la science . Peut-être, à Santa-Maria del Fiore, fut-il témoi
, dont M. Enrico Ferri est le plus bruyant et le plus intéressant. La science et l’intuition individuelles sont à la base de se
es grandes qualités de psychologue qui considère la psychologie comme science positive. On ne doit pas méconnaître les qualités
la pensée du xixe  siècle, pour atteindre la Synthèse idéale, que la science positive d’ailleurs n’a pas encore atteinte, faut
s-mêmes, ou, plutôt, et au lieu de nous faire analyser, comme fait la science , à l’aide de comparaisons extérieures et palpable
ique. Nous éprouvons quelque peine à nous représenter, aussi bien les sciences positives que les spéculatives, sous des aspects
ent fin à la guerre, il n’hésita pas à les sacrifier à l’Autriche. Science sociale. Nééra : Les Idées d’une femme sur le fém
tes les plus importantes ou aux hypothèses les plus ingénieuses de la science . Tel texte, sur la combustion, fait penser à Lavo
un chapitre de ses Promenades philosophiques (2e série) consacré à la Science de Léonard de Vinci, M. Remy de Gourmont, qui rel
me le remarque M. Remy de Gourmont, « les anciens textes relatifs aux sciences sont très difficiles à lire froidement ; dès qu’i
ell et de Lodge nous ramènent à un dynamisme universel et guident les sciences physiques vers des conclusions auxquelles est déj
imite la forme dialoguée et tente d’élever la foi à la hauteur de la science , Pierre Lombard qui assura le triomphe de la scol
éologie, pour le lecteur de Saint-Louis, ne forme qu’une partie de la science divine ; de la théodicée il passe à la cosmologie
étudie l’œuvre des six jours ; puis l’homme et les œuvres de l’homme, sciences et arts. Car, pour lui, les sciences contribuent
’homme et les œuvres de l’homme, sciences et arts. Car, pour lui, les sciences contribuent à ramener l’homme déchu vers Dieu et
iginaux qui étendent les connaissances humaines, qui agrandissent une science , qui enrichissent un art, qui conçoivent ou expri
l se fût entouré de théologiens et qu’il n’eût donné sa faveur qu’aux sciences sacrées : cela aurait-il empêché un moine, lecteu
me une fois trouvé, le litige se trouve détruit à jamais : les vraies sciences sont celles que l’expérience a fait pénétrer par
ude phénoménale s’isolât de toute solidarité dogmatique, parce que la science en accroissement perpétuel ne saurait accommoder
iomphe de la culture sur l’orgueil de la lignée, enthousiasme pour la science et le passé scientifique des hommes, libération d
iomphe de la culture sur l’orgueil de la lignée, enthousiasme pour la science et le passé scientifique des hommes, libération d
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
r en style convenable, il faut un art constant et être versé dans les sciences . Le vers est celui de onze syllabes, celui des do
i on pense au papegay (perroquet des maçons) et au gay savoir ou gaie science , l’art des Galls ou coqs. Pietramala (mauvaise p
e solennité. « La poésie, dit-il, est une théologie. Les traces de la science éternelle sont voilées dans l’Écriture-Sainte com
te chose, sous l’impulsion providentielle, tend à sa perfection et la science est la perfection de l’homme. Aussi le désir de s
e. » Est-il besoin de commenter ce premier chapitre ? Dante donne la science comme suprême perfection, formule rationaliste qu
le sens des Canzones. Ce sens a pour but de conduire les hommes à la science et à la vertu. L’amour nous porte à magnifier l’o
ru à ma génération intellectuelle, et m’a introduit dans la vie de la science qui est la suprême perfection. Ce n’est pas seule
ensi, des développements de M. Tommaso Tommasina sur le Devenir de la science , enfin, sous la signature Natano il Savio, une pé
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
semble, il y a deux grandes preuves. En philosophie, la critique des sciences , de leurs méthodes et de leurs limites, et les ét
in d’évoluer comme aspiration et aussi comme crainte. Les progrès des sciences , qui sont intimement liés à l’évolution religieus
vérité et en nous faisant sentir plus vivement nos impuissances, ces sciences nous reconduisent, d’une certaine manière, dans l
us n’allons pas vers la conception religieuse rêvée par des hommes de science , une conception où le surnaturel ne gênerait plus
t pour réserver l’avenir à la religion catholique. Psychiatrie et sciences médicales. Le Régicide Lucheni, par Ladame et Rég
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
du point terminus de ses aspirations. Umberto Savelli est un homme de science . Il est un de ces héros modernes, qui parcourent
selon la norme parfaite de sa logique ternaire, préparent l’homme de science , et le montrent tout aguerri pour sa réalisation.
d’un amour farouche et malheureux, est dans tout son éclat l’homme de science victorieux. Il a atteint le But. De M. Alfredo Ba
tis, professeur à la Faculté de Turin, a publié à la Bibliothèque des Sciences Modernes de Bocca frères, à Turin, son Histoire d
7 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
re ceci ou cela, chercherai-je plus de talent, plus de grâce, plus de science ou en ceci ou en cela ? Telles sont les embarrass
s vides et laids, de rondeurs sans signifiance. Il faut l’amour et la science qu’a un Ingres des œuvres du maître très divin po
a parce tous se fondaient en un, parce que les esprits possédés d’une science simple et claire fonctionnaient dans un système a
re Lui et de parler hautement à l’âme. Si Raphaël, si Vinci ont de la science et de la grâce, il n’en manque point, lui qui se
érités de détail, Stendhal s’écriait : Que manque-t-il à Raphaël ? la science moderne ! Qu’aurait fait Raphaël de Gall et de La
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
st peut-être pas une maladie sans remède, mais elle est tenace, et la science en viendra à bout d’autant plus difficilement que
i, Dogme et rituel de la haute magie, la Clef des grands mystères, la Science des Esprits ; Du Potet, la Magie dévoilée, ou pri
la Science des Esprits ; Du Potet, la Magie dévoilée, ou principe de science occulte ; Cahagnet, Sanctuaire du spiritualisme ;
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
a rien autre chose qu’une philosophie, c’est-à-dire une branche de la science qui — en confessant son impuissance à expliquer l
impose à nous au milieu des luttes nombreuses qui se livrent entre la science et la religion, la philosophie et la théologie, l
sé théologique, dogmatique, liturgique, ecclésiastique ; parce que la science , la critique, la philosophie, la recherche histor
10 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
i a réjoui ma vie. » Tome CXIX, numéro 446, 16 janvier 1917 Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome C
p. 557-564 [557-560]. M. R. Dalla Volta, Directeur de l’Institut des Sciences Sociales de Florence, dans une première étude « s
la Revue des nations latines, analyse un mémoire lu à l’Académie des sciences morales et politiques de la Société royale de Nap
nt. Il vient de publier le premier volume d’une histoire générale des sciences qui comprendra une vingtaine de volumes et sera l
une œuvre fondamentale qui marquera une date dans l’histoire de cette science . Elle ne compte pas moins de 1700 pages remplies
nner une méthode rigoureusement scientifique à une doctrine qui de la science avait seulement le nom et qui était toute imbibée
odes intellectuelles, par une imprégnation de nos universités, par la science allemande, dont le prestige fut si grand et si so
rès d’ordre matériel, que de nos maîtres à courte vue jugèrent que la science de ceux qui travaillaient dans des laboratoires s
d le groupement des penseurs, des savants, de tous ceux qui, dans les sciences , les lettres, dans les organisations collectives
vue de la psychologie féminine, mais encore à celui de l’histoire des sciences . L’héroïne, Lilli Villepreux, est d’ailleurs une
Rignano : Pour une quadruple entente scientifique, Revue générale des Sciences , 30 janvier 1917 Bien qu’on conspue l’ancienne
ne Scientia et intitulé : Pour une quadruple entente scientifique. La science , comme l’industrie et le commerce, doit échapper
l’Allemagne faisait tous ses efforts pour monopoliser à son profit la science . Tous ces innombrables Archiv, Jahrbücher, Zeits
ger à collaborer en vue de créer, dans les principales branches de la science , des « Archives », « Annuaires », « Périodiques »
s, de lancer des idées fécondes, et non de chanter les louanges de la science de tel ou tel peuple, plus ou moins privilégié. L
vidente de cette 4e dimension, en sachant d’avance, cependant, que la science géométrique ne pourrait que soutenir des convicti
ajoute que, si j’aime chercher souvent un appui sur les vérités de la science , c’est que je vois là un excellent moyen de contr
e, et d’ailleurs aucun de nous ne saurait négliger les notions que la science met à notre portée pour intensifier notre sens du
e portée pour intensifier notre sens du réel. Cette sympathie pour la science existait aussi à l’époque de Paolo Uccello, de An
ndt, Greco et Cézanne. Et on peut désormais abandonner le champ de la science géométrique, qui nous a démontré la possibilité d
i que je le disais tout à l’heure, je ne prétends pas trouver dans la science autre chose qu’une confirmation, un soutien ; mai
u rencontrer les bases de l’une des hypothèses les plus élevées de la science moderne ? Tout raisonnement mis à part, il n’est
goissants, urgents ; elle bouleverse les principes fondamentaux de la science militaire, — arrête la bataille le long d’une lig
é à conserver pour la postérité les monuments de la plus nouvelle des sciences . Le musée de l’Aéronautique sera donc constitué à
l s’en va à 34 ans. Tome CXXIII, numéro 464, 16 octobre 1917 Science sociale. Guglielmo Ferrero : Le Génie latin et le
us dépendre en rien de l’Allemagne, ni dans son industrie, ni dans sa science . L’opposition brutale que la guerre a fait naître
ard des empoisonneurs de la conscience nationale le fondement de leur science administrative. Et tout cela arrive parce que, d’
11 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
une conférence de l’artiste : Les arts plastiques d’avant-garde et la science moderne, dont voici l’argument : 1° Origine physi
La philosophie en général et surtout la philosophie scientifique, la science en général et surtout cette dernière époque de la
tifique, la science en général et surtout cette dernière époque de la Science qui commence par la loi de constance originelle d
e celui de Picasso et Braque n’avait pas moins son équivalent dans la Science , malgré qu’Apollinaire se soit plu à me classer p
l faut sortir du champ de l’art plastique et rentrer dans celui de la science mécanique. En ce cas, le mouvement peut être abso
niversalité dérive du sens direct de la vie que nous possédons par la science et la philosophie scientifique. § Une de mes prem
e vision claire, réaliste, irréligieuse du monde que nous devons à la Science est un fait accompli qu’on ne pourra plus détruir
Puissance et de réprimer les erreurs qui courent sur le compte de la science allemande » et qu’il n’a plus témoigné de sympath
bourses gouvernementales, en Allemagne et en revenaient apôtres de la science allemande et du germanisme. S’ils étaient sans gr
e et il n’y a pas un Français qui ne la trouvera de son goût. « La science futuriste » Tandis qu’il se fait pape et pape
pape de la vélocité futuriste, d’autres futuristes s’en prennent à la science et donnent en plein dans l’absurde. Leur manifest
à la science et donnent en plein dans l’absurde. Leur manifeste « la science futuriste »s’intitulerait plus justement la curie
rdonnées, aux intuitions contradictoires des adeptes de cette bizarre science , c’est l’ignorance absolue : « La fin suprême de
e bizarre science, c’est l’ignorance absolue : « La fin suprême de la science serait, hypothétiquement, de ne nous faire plus r
ourdes ou Sainte maison de Lorette, que de marier la religion avec la science dans le cabinet d’une voyante. Umberto Boccion
pensé à la possibilité pour le dogme d’accepter certaines lois de la science moderne : évolution, darwinisme, etc. C’est ce qu
voue encore à son mari : « Dieu existe, il est puissant, il est toute science , ainsi que tu le crois. Mais peu lui importe que
12 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
me la musique est identique à la religion. La musique, compliquant de science son expression et de haute philosophie ses concep
insulte à la mémoire de l’illustre poète, le professeur répond que la science ne manque point de respect aux génies en mettant
et l’attitude de l’enfant qui se retourne dénote chez le peintre une science incontestable. Vittore Crivelli a moins d’accent 
spirer à quelque grande conquête dans le domaine de la pensée, art ou science , pour couronner solennellement enfin l’édifice bi
ornes montagneuses. Ainsi Wells, le grand cabaliste anglo-saxon de la Science littéraire, plutôt que de la Littérature scientif
appartient à cette catégorie de mystiques de la philosophie ou de la science — non du sentiment — qui se manifestent en œuvres
, elle consacre une partie considérable de son activité à l’art, à la science , à la littérature ; comme dans le monde ancien l’
an Francisco d’Assisi), et dans un style simple et poétique, avec une science et une conscience assez sûres du temps du divin P
» de Dostoïevski. Un de ses disciples, M. Scipio Sighele, applique sa science aux héros de M. d’Annunzio, qui ne diffèrent pas
Crime et Châtiment. M. Sighele étudie ces êtres au point de vue de la science dite positive, et conclut que les « dégénérés » d
r là dans quelques phrases heureuses, qui soulignant des traits de la science précise et de l’expérience d’hospice, leur silhou
ère nouvelle quelques secrets de leur intéressante psyché. Mais si la science et l’expérience de M. Scipio Sighele peuvent être
oriques, aujourd’hui n’importe qui peut le trouver dans les livres de science , et peut faire de l’art scientifique, ce qui veut
a vie à travers la plus incertaine des certitudes, la moins fixe : la science . Avec des théories et des « certitudes » pareille
s. Il n’oubliera point aussi, je pense, le type moderne de l’homme de science , le fils d’Ahriman, diraient les Perses, pour leq
proches peut-être justes. Mais la belle construction de l’œuvre et sa science de l’homme en font un tel écrivain que, dans cett
tini, de Padoue, gendre du professeur Murri, une des célébrités de la science italienne. L’auteur du meurtre, Tullio Murri, éta
ent historien a traité ce vaste sujet avec la nouveauté de vues et la science incontestable qui lui appartiennent. Il a success
des autres critiques s’acharnait de son côté, sans d’ailleurs trop de science ni de subtilité, contre le personnage principal d
rique, non dans sa signification surannée appliquée exclusivement aux sciences et à la sagesse occultes, mais dans une acception
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
alliance de cette république. Dans une dernière partie est exposée la science politique en Italie avant Machiavel. Cette scienc
tie est exposée la science politique en Italie avant Machiavel. Cette science avait d’abord été théologique ; au quinzième sièc
, elle devient humaniste. Mais les humanistes condensent seulement la science de l’État en lieux communs empruntés de l’antiqui
14 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
mbrasse actuellement le mouvement entier des arts, des lettres, de la science et de la politique. Ces modifications profondes n
pauvreté ; avec un sujet admirable, c’est une lecture ennuyeuse ; la science n’y fait pas défaut, mais l’expression ; je dirai
e pénible impression à ceux qui, n’ayant plus d’autres recours que la science , la voudraient sérieuse. Vanité : la science, vue
d’autres recours que la science, la voudraient sérieuse. Vanité : la science , vue en certains savants, est une parade assez vu
ensive ; celle de M. Vignon est vénéneuse de toute l’influence que la science a acquise sur les intelligences depuis trente ans
e à dresser l’homme au sommet de la pyramide animale. Il n’y a pas de science  ; il n’y a que des savants. Il y a M. Delage et M
homme d’un seul livre n’est souvent qu’un sot, et l’homme d’une seule science n’est souvent qu’un maniaque. Archéologie, voy
ût 1902, p. 467-471 [470]. Le Dr Vignon, préparateur à la faculté des Sciences , fort de l’appui de plusieurs illustres savants,
ut doyen des deux Académies des Inscriptions et Belles-lettres et des Sciences morales et politiques. 4. Il va de soi que des
15 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
s, la main appuyée sur le bouc-licorne couché à ses pieds, symbole de science et de pureté ; dans le lointain un cippe avec ces
essabit turtur ab ulmo… Tome XXX, numéro 114, 1er juin 1899 Science sociale. L’Antisémisme, par Lombroso (Giard et B
, toute sa saveur de mystère, malgré l’aisance naturelle du style. Science sociale. Le militarisme et la Société moderne, p
Mais c’est un sujet qu’il faut laisser aux beaux vers de Shelley. La science de cet âge était toute de divination et de clairv
s’y retrouve encore, avec cette confiance dans la possibilité pour la science de trouver des chemins de traverse et des voies d
n. Aussi le voyons-nous souvent en relation intime avec des hommes de science  : avec Fra Luca Paccioli, le mathématicien, avec
s entre lui et l’Allemand il y a cette différence qu’avec toute cette science curieuse l’Allemand se serait imaginé qu’on n’ava
e combien il peut y avoir de danger pour l’artiste à posséder trop de science  ; comment Goethe qui, dans les Affinités Élective
magique, et nous présente dans la seconde partie de Faust un amas de science sans aucune valeur artistique. Mais Léonard ne tr
é la part du rêve. Tome XXXII, numéro 120, 1er décembre 1899 Sciences . Une chaire de médecine au xve  siècle, par Ferr
16 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
mer d’azur ! § Visite médicale à bord. Deux ou trois piteux hommes de science , laids comme leur science elle-même, en casquette
cale à bord. Deux ou trois piteux hommes de science, laids comme leur science elle-même, en casquette, en redingote, en boutons
ques et qu’il est tenté de rapporter à des puissances invisibles. Les sciences occultes, astrologie, nécromancie, ont grand succ
la conquête, par l’agriculture et l’industrie, par la religion et la science . C’est par l’action de cette force que les famill
s, la vie de la physionomie, une incomparable largeur de facture, une science absolue du clair-obscur y sont réunies. J’ignore
on, Junon l’action, Vénus la volupté. Et l’on voit Pâris mépriser les sciences et les gentils ébats de l’esprit que Minerve offr
implistement méthodique à l’imitation de l’instruction militaire : la science superficielle et réduite à une nomenclature, la d
où prospère aujourd’hui dans toute sa vigueur de méthode nouvelle la science de la statistique, ne peut manquer de constater l
ur à la spiritualité et de reconstituer la foi avec les données de la science , chez une Mathilde Serao inspirée d’un persévéran
uns et les autres eussent certes beaucoup gagné à mieux connaître la science française ; presque tous ceux qui ont fait leurs
onsidération des valeurs extrinsèques par une fausse assimilation des sciences expérimentales et même sociales avec les sciences
se assimilation des sciences expérimentales et même sociales avec les sciences abstraites. Ainsi, notamment, dans la statistique
complexe où tout ne peut être encore mesuré par des chiffres, à cette science en la rapprochant, si l’on peut dire, de la physi
e expansion mondiale : l’approfondissement des essais de Guyau par la science des néo-lamarkiens peut seul rendre à l’esthétiqu
res des philosophies anciennes, cherche le vrai et qui, au-dessus des sciences de l’âme, dont les lois complexes et implacables
se rendre compte de son harmonie, par la forêt des i dressée avec une science très sûre : Or sibili e zirli, fratrilli e stril
M. Goloubew a mis à étudier cet art charmant un amour attentif et une science extrême. En dehors d’une brève introduction, chaq
u mythe hellénique, Pascoli en a découvert à nouveau la poésie que la science scolastique, plus puissante que le noble et fécon
écrépits, qui le cachaient et le cachent. Elle a compris que toute la science de l’âme est dans la conscience et dans l’intelli
raînée par les courants psychologiques qui de la philosophie et de la science se sont déversés sur elle, semble avoir confiné h
’aspiration contemporaine à la conciliation de la philosophie avec la science . Novalis avait remarqué que la séparation de la p
nce vers d’autres synthèses que celles promises et non données par la science . Un absolu revirement général de la pensée vers l
on entre philosophie et poésie, en même temps qu’entre philosophie et science . Cette volonté est déjà suffisamment exprimée par
conciliation de la philosophie avec le mysticisme, la création d’une science intégrale de l’être, qui, se basant inéluctableme
cience intégrale de l’être, qui, se basant inéluctablement non sur la science , mais sur la mentalité scientifique moderne, s’ép
de construction religieuse. La conciliation de la philosophie avec la science ne peut que servir partiellement à cette création
17 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
ément dans le même sens. Quelques érudits, qui ne juraient que par la science allemande, quelques économistes pour qui la prosp
a numismatique et il avait une confiance complète à cet égard dans la science de Giolitti, qui est apparemment en politique un
es historiens de la Grande Guerre, cette condition, que l’objet de la science historique est une question de psychologie. À
méricain s’est habitué à les considérer comme les distributeurs de la science , les organisateurs de l’industrie. La France n’a
gissent après la guerre un nouvel art, un nouveau style, une nouvelle science , une nouvelle philosophie, une nouvelle historiog
illicite de se prévaloir d’une autorité acquise dans le domaine de la science pour se donner de l’importance en tant que citoye
ou aggraver les raisons de conflits entre les peuples. Les hommes de science et les philosophes feraient mieux de se taire dan
s de tous les pays. L’élaboration de l’art, de la philosophie, de la science , est la tâche des différentes nations ; un peuple
18 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
Les Revues. Revue universelle : M. Péladan écrit sur le Vinci et les sciences occultes Charles-Henry Hirsch. Tome XLV, numér
ier 1903, p. 209‑216 [212‑215]. Étudier Léonard de Vinci à propos des Sciences occultes, cela devait séduire le curieux esprit d
intelligence de Léonard très près d’avoir subi la séduction de ces «  sciences  » qu’elle discutait passionnément, réfutait et ra
M. Péladan parle « du caractère déraisonnable que, de tout temps, la science occulte a revêtu, pour sa plus grande déconsidéra
t surtout contre les mauvais occultistes et qu’il existe pour lui une science occulte pure, une vérité en soi, que le Vinci eût
rs un grand désastre, quand un créateur d’art perd ses soins dans les sciences .  » La faculté de créer est suprême. Toutes les d
age avec ses têtes rayonnantes d’âme et d’infini. On peut comparer la science à une pyramide : chaque pierre disparaît sous la
lle.  » En donnant les dessins et les opinions du grand homme sur les sciences occultes, je conclus que le titre de mage ne lui
ne d’insister. On n’avait pas, en ces temps-là, le prosélytisme de la science  ; et bien au contraire, la tendance était de cach
homme. » À côté de ces excursions fantaisistes dans le domaine de la science , il est des choses plus sérieuses comme la note s
19 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
au Portugal, grâce à Leite de Vasconcellos (qui s’est occupé aussi de science générale des religions), à Pereiva et aux collabo
olitiques italiens au xixe  siècle, puis des interactions entre notre science et le mouvement moderniste actuel. Il n’y a plus
nsulter la liste des élèves qui ont suivi les cours de la Section des Sciences religieuses de l’École des Hautes Études, et il v
d’enseignement est toujours une arme : la création de la Section des Sciences Religieuses à notre École des Hautes Études et la
haire. L’argument a été utilisé en Italie, où, plus que chez nous, la science des religions et le mouvement moderniste ont conv
êtes gens, savants ou non, voient l’idéal dans des compromis entre la science et la religion, c’est là affaire personnelle. Mai
la religion, c’est là affaire personnelle. Mais l’ethnographie comme science ne pourra jamais s’entendre avec la religion : el
talité médiévale par les philosophes et les penseurs hébreux, dont la science remontait aux vastes sources babyloniennes, et s’
principales où la méditation de Léonard puisa ses éléments, toute la science du moyen-âge est évoquée, montrant les racines pa
l Gaultier sur l’Art de Saint-Sulpice et, de M. C.-G. Chavannes, avec Science et Foi, un essai de synthèse où s’exprime le souc
, etc. Tome LXXXIV, numéro 307, 1er avril 1910 Ésotérisme et sciences psychiques. Memento [extrait] Jacques Brieu. T
de son inconscience pathétique, après avoir éloquemment défendu la «  science sévère » de l’amour sans limites qu’elle devait r
rui, ne retirent aucun profit du grain qui vient à pousser… » Et la «  science sévère » d’Isabelle apparaît bien être parfois ce
et dans l’évolution spirituelle du protagoniste l’auteur accorde à la science . Le style n’en est point littéraire. La pensée n’
immortalité de l’âme. C’est un livre de vulgarisation populaire de la science . Mais ce qui m’importait de signaler, c’est, malg
Tome LXXXVII, numéro 317, 1er septembre 1910 Ésotérisme et sciences psychiques. Paul Vulliaud : La Pensée ésotérique
eut pas gouverner sans commettre, en effet, des crimes dit d’État. Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome L
20 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
e mur pour y accrocher sa montre ; bien des membres de l’Académie des sciences morales et politiques n’ont touché un marteau ni
n et de Casanova, et les liens intimes qui les unissaient. Il est une science singulière, très oubliée aujourd’hui, mais très p
pirations et leurs règles de conduite. Casanova, très savant dans les sciences exactes, très instruit, très lettré, très voltair
ien qu’affirmant vingt fois dans son livre son incrédulité pour cette science , et il avait le droit d’être incrédule, puisqu’il
ernier séjour dans cette ville, était un fervent adepte de la fameuse science , et ce devait être une heureuse trouvaille qu’un
elés par l’accusé comme témoins à décharge, c’est-à-dire des hommes à sciences exactes. Or, aux insistances du président, qui le
tion actuelle de l’histoire romaine se ressent, plus encore que de sa science , de l’humeur d’un temps, — le nôtre, — dominé par
ts idéalistes, moins étroitement dirigés par l’intérêt, qui aiment la science pour elle-même, ont soif de connaître, cherchent
s gens menant une vie simple et sobre et se dédiant tout entiers à la science . Je les ai trouvés en général aussi intelligents
pables de pensées plus larges et possédés d’un plus grand amour de la science . Les hommes qui inspirent de tels sentiments rend
s catholiques, qui voulaient atteindre en Murri le rationalisme et la science et qui ne se faisaient aucun scrupule d’inventer
t celles des hommes les plus éminents dans la littérature et dans les sciences  ; en Italie, silence sur toute la ligne, pas un Z
tends ici par élite des intellectuels les gens qui aiment l’Art et la Science , non pour ce qu’ils peuvent procurer d’honneur ou
erne produit infiniment plus de travaux de valeur dans le domaine des sciences que dans celui des arts et des lettres et que c’e
r. Qui donc, en France, pourrait, contredire utilement M. Gauthiez en science dantesque ? Ces pauvres et hésitantes réserves, j
esprits égarés par le monde, vers une conception unique, totale, des sciences dites exactes et des sciences spirituelles. C’est
vers une conception unique, totale, des sciences dites exactes et des sciences spirituelles. C’est un gros volume, luxueusement
ne les a pas ménagés, ce qui rend facile la lecture de ces pages. Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
éaciens ; les Phéaciens, « illustres navigateurs dont les nefs ont la science et les pensées des hommes », et qui, au dire de Z
ux cratère, au milieu duquel une pointe émergeante, devenue de par la science un maréographe, est le reste évident d’un cône d’
possible de ne pas conclure que l’identification est certaine39 ? Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
poursuit la solution d’un problème plus utile à l’enchaînement de la science qu’à l’élévation de son esprit, et dont sa person
lité de donner cette explication, car, comme dit l’école, il n’y a de science que du général, et Jean-Jacques est un cas partic
e beauté, vous trouverez une immortelle raison de vivre heureuse. Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
marquable plaidoyer en faveur des « théoriciens ». Ils ont édifié les sciences physiques ; c’est à eux à édifier les sciences bi
 ». Ils ont édifié les sciences physiques ; c’est à eux à édifier les sciences biologiques et sociologiques. L’important dans l
gard même les branches les plus diverses et les plus lointaines de la science et de franchir ainsi les larges abîmes qui n’ont
e ces rapports, — à rentrer simplement en activité. Ésotérisme et sciences psychiques. Dr Marc Haven : Le Maître Inconnu : C
r rang. N’y a-t-il pas en effet dans l’œuvre du Sodoma, avec toute la science et l’habileté des beaux maîtres de son temps, un
21 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
physiologiste moderne, qui a fait de la psychologie une branche de la science positive physiologiquement contrôlable, l’arracha
e de clairvoyance. Tome LXXXIX, numéro 326, 16 janvier 1911 Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome L
ique ne venait déranger les rêveries de l’auteur ; tableaux de mœurs, sciences héroïques, légendaires ou champêtres, souvenirs c
’antiquité des objets de vitrine fabriqués par Lorenzo Silvestri.) Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome L
les poètes et les philosophes de la Grèce et de Rome, des traités de science , sans m’occuper du texte, uniquement pour toucher
ec de nobles lignes et de chaudes couleurs l’inspirerait mieux que la science . — Lorsque tu seras amoureux, Ziorzio, je te fera
é au pays de la bamboche ; il était dans son milieu. Ésotérisme et sciences psychiques. César Lombroso : Hypnotisme et Spirit
les plus sûres. Dès qu’il aborda l’étude des phénomènes spirites, sa science s’évanouit et une crédulité infinie s’y substitua
d’admiration au « Berger » n’étaient point dues au hasard ; mais à la science et aux dons du Giorgione. Il ne songeait pas à fo
llini et surtout à Gentile, ajouta plus de mollesse et de charme à la science de ses compositions. L’illustre Zuan lui-même ass
e susceptible « d’un nombre très grand et indéfini de solutions ». Science sociale. Vilfredo Pareto : le Mythe vertuiste et
hipe. Il n’y a donc plus d’honnêtes gens en France ? Ésotérisme et sciences psychiques. Memento [extrait] Jacques Brieu. T
Allemands et des Anglais. Le peuple, à Rome, ne semble propre ni aux sciences , ni aux arts, ni à l’industrie. Le Romain est né
savant. Elle est la vision de celui qui, autant par l’artifice de sa science que par celui de son imagination, a longtemps véc
nt pas — tant que je sache — la carrière officielle dans le monde des sciences , il a su garder toute son indépendance d’esprit e
de la Rome papale qui, pendant deux siècles, fut le foyer d’art et de sciences de la vie intense et des intrigues amoureuses, fi
des xve et xvie  siècles qu’à leur propre penchant pour l’art et la science . C’est en poursuivant son rêve de grandeur et du
esseur par la richesse de sa documentation et par la profondeur de sa science . Je n’aurais qu’à lui faire un seul reproche : il
leur psychologique des témoignages et les catégories sociales. […] Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
ire : M. Péladan, sur la Joconde et le Saint Jean de Vinci, et sur la science du conservateur de musée Charles-Henry Hirsch.
il traite de la Joconde et du Saint Jean. C’est un article de foi, de science , que celui de ce grand esthéticien, paru dans la
amoureuse de l’esthéticien, pour entrevoir toute la profondeur de sa science de la beauté de l’art, toute la fraîcheur printan
unication papale »… Tome XCIV, numéro 346, 16 novembre 1911 Science sociale. Henri Joly : L’Italie contemporaine, enq
a beauté : grandeur du style, recherche aiguë du caractère expressif, science du modelé, gravité du coloris, qui fait penser au
ourraient bien vivre après, se réaliser peu à peu dans les époques de sciences positives, se fabriquer morceau par morceau au fu
ualité. Qu’en faut-il conclure ? Je crois que la prudence des gens de science a l’horreur de la conclusion. En ma qualité d’ign
peintre qui l’inspira, et cela suffit amplement à nous satisfaire. Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome X
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
G. Gentile. Elle comprend déjà trois volumes, dont l’Encyclopédie des Sciences Philosophiques de Hegel, précédée d’une préface p
poursuit de son côté l’intéressante publication de sa Bibliothèque de Sciences et Lettres. Dans cette collection, a paru dernièr
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
compliquée, et assez intéressante. D’autres, enfin, cherchent dans la science et dans la connaissance moderne de l’être, quelqu
ée par un sentiment rythmique en même temps solide et simple, par une science harmonique très sûre. La vérité historique est sa
24 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
t avec emportement ; enfin, il s’agissait de choses scientifiques. La science avant tout ! Il y a des occasions où tous sentent
insupportable de devenir des savants : c’est généralement, lorsque la science est un peu cochonne. Et les deux volumes cités ré
ifique de tous les pays ; ça me prouve une fois de plus qu’en fait de science je ne suis pas connaisseur. Mais avec les paralip
gazza n’est pas aveugle ; il a un penchant pour la femme, en homme de science qui en connaît toutes les faiblesses physiques et
ette campagne qui a été la négation journalière de Machiavel et de sa science infaillible. Le poète nous transporte avec un éla
e, le Bain des femmes de Van Eyck. Il semble qu’il y ait mis toute sa science  : c’est véritablement un morceau de maître où on
25 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
arquable dans sa jeunesse, et qui, le lâche, vous a abandonné pour la science . Ce travail, c’est la lettre à Snetlage, que pers
onomes. Sauf le respect que nous devons à ces premiers ancêtres de la science , ce n’est là qu’un conte à dormir debout. N’empêc
joutant à un tri arbitraire des documents, arrive à gâter beaucoup de science . Garé de ces chimères par la sévérité de noire mé
avec les œuvres des contemporains et des maîtres subséquents de cette science de l’amour. Néanmoins, il s’est parfois écarté de
peine de se documenter. Elle espère que l’imagination suppléera à la science . Les Maîtres mosaïstes démontrent malheureusemen
riptions, la pauvreté de la langue égale la pauvreté du sentiment. La science qui fortifierait et enrichirait l’une, la foi qui
flé de romantisme. Elle feint assurément de posséder tout au moins la science . À l’entendre elle s’est soigneusement renseignée
nt scientifique. G. Sarton : Isis, revue consacrée à l’histoire de la science , Wondelgem-lez-Gand, 30 francs par an [extrait]
. George Sarton consacre une nouvelle revue, Isis, à l’histoire de la Science . Le premier numéro (février 1913) comprend les ar
’azur qui m’isole, Aux clartés, aux cyprès, aux roses de Fiesole. Science sociale. Memento [extrait] Henri Mazel. Tome C
de invention », œuvre plus désintéressée ; l’œuvre, simplement, de la science historique, d’historiens scientifiques tels que M
tirer profit à ne pas en manquer une seule. Le lamentable état de la science du chant dans notre capitale suffirait à excuser,
erpénétrable, en est-il de même des formes ? Je ne le pense point. La science qu’on peut évoquer pour dire leur pénétrabilité n
Anti-gracieux ne puisse être construit que par un homme de talent, de science et de verve, et, comme je le disais plus haut, se
les italiennes un moyen rapide de s’assimiler les connaissances et la science de leurs nouveaux maîtres. Les Indigènes, eux aus
ome CIV, numéro 387, 1er août 1913, p. 617-622 [622]. […] Journal des Sciences militaires : […] L’armée italienne dans la guerre
u réalisme en Histoire. Elle seule est précieuse dans la pratique des sciences historiques, et c’est elle seule que les sciences
ans la pratique des sciences historiques, et c’est elle seule que les sciences historiques doivent servir. C’est ce que je me ré
n nom, un nom charmant de femme, évoque cet émerveillement de la gaie science , cet appétit des ciels lumineux. Or, Marguerite d
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
ésar, a la passion du pouvoir absolu, et qui, bien plus que lui, a la science insidieuse des moyens à longue portée. Ce portrai
ut à fait d’accord avec l’écrivain : « L’art (quadrivium) annexait la science , et n’était-ce pas là conception plus valable et
plus valable et efficacement féconde que la conception présente où la science non seulement se sépare de l’art, mais prétend au
27 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
eurs propres recherches et la connaissance qu’ils avaient acquise des sciences naturelles, qui, plus tard, mal employées, « empl
it M. Ferrero, de la civilisation industrielle et des progrès que les sciences accomplissent sans relâche, le mysticisme déborde
28 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
n qui gerbera les charmes de son corps fraîchement épanoui. » Avec la science de l’harmonie des lignes, j’aurai chanté tout le
e l’inspiration des grandes pensées s’est tarie : notre époque est de science , le scalpel a tué l’âme, seul l’amphithéâtre refa
i la sculpture n’a-t-elle été le plus souvent considérée que comme la science des traits arbitrairement figés, des formes enser
29 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
liberté individuelle, il n’y a qu’un culte pour la Raison et pour la Science , et il élève ses fils, un jeune homme et une jeun
reproches, et comme il veut espérer, comme il ne peut pas croire à la science dont le dernier mot lui dirait que sa Mathilde n’
ons de littérature et d’art autant que des nouveautés d’érudition. La science y est sûre, l’information étendue ; mais ces élém
non seulement se plaît à aimer, mais elle sait étaler précocement une science de séduction exquise. Bref, après une série d’épi
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
ardé comme le fondateur de la musique moderne parce qu’on lui doit la science du contrepoint. Il était de Messine et mourut ver
31 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ous par son caractère d’évidence, de certitude, ou bien a-t-il mis la science au service de certaines opinions courantes, a-t-i
nette au point de vue du droit en vigueur, mais au point de vue de la science (que ce soit la psychologie, l’anthropologie ou l
n voit que la psychologie, comprise à la manière de Lombroso, est une science des plus simples et que les mystères de notre méc
iller la défiance contre certains systèmes pullulant surtout dans les sciences abstraites ou incertaines, grâce à des hommes non
es ; il s’adresse aux « vulgarisateurs » qui se chargent de mettre la science à la portée des intelligences médiocres et des ge
i, tant ils portent l’empreinte de son style, tant ils manifestent sa science de décorateur et sa verve. D’autre part, on relèv
la Monarchie… Le Roi donnant une poignée de main à l’ouvrier : quelle science d’État, mon Dieu, quel sujet magnifique pour une
’après le même mode. Louis XIV, « voulant se procurer dans toutes les sciences et les arts les plus habiles gens du monde, avoit
ivait lui-même à Prévost-Paradol en 1852, à « faire de l’histoire une science , en lui donnant, comme au monde organique, une an
32 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
t lié à celui de l’art, les chefs-d’œuvre sont pour elle un trésor de science et d’argent… Sans doute l’automobilisme et la pol
lyrique de cette sorte, c’est-à-dire épris des réalités, maître d’une science aussi étendue du vers, un poète qui ne sacrifie p
paraît-il, rendra un hommage à ce qu’on appelle « les victoires de la Science  », en montrant les superstitions les plus ancienn
eurs, ne s’est pas dépensé en considérations sur l’état général de la science touchant l’histoire romaine, chose qu’il eût au m
e ajouter d’après lui. Si les conclusions de l’auteur passent dans la Science , c’est tout juste si l’on ne dira pas Lucullus co
l n’avait pas rougi. Tome LVII, numéro 199, 1er octobre 1905 Science sociale. Enrico Ferri : La Sociologie criminelle,
, sous l’impulsion de Lombroso et de ses élèves, la philosophie et la science du droit pénal semblaient se renouveler de fond e
n mort : il faut aller vers l’Avenir. Quel avenir donc ? Un Avenir de science et de liberté croissante, un Avenir où l’homme se
a mènent infailliblement à sa décadence. On en peut dire autant de la science , utile et féconde quand elle reste dans sa sphère
ter du fini. La civilisation la plus brillante, les découvertes de la science la plus avancée ne feront jamais qu’étourdir un m
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
peut être fait en moins de trois années par un homme studieux; 3° la science des architectes consiste certainement dans le goû
34 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
i Focillon nous montre que chez cet artiste puissant, l’intuition, la science , l’habileté, le sens du pittoresque concouraient
Sébastien del Piombo. Tome CXXVII, numéro 480, 16 juin 1918 Science sociale [extraits] Henri Mazel. Tome CXXVII,
esthétique, qui, l’auteur a raison, a bien son droit de cité dans la science des sociétés humaines. Illemo Camelli : Du soc
urée. Oublieuse de Galilée, oublieuse du Vinci, elle a substitué à la science la micrologie. Négligeant de rechercher tout ce q
aux progrès du Septentrion ! Telles sont les maximes qu’au nom de la science l’école italienne inocule aux enfants. Il y a pir
que des affirmations aussi délétères constituent le dernier mot de la science et de la nouvelle pédagogie. « Vainement » — s’éc
langage sur les lèvres d’un éducateur de la jeunesse et au nom de la science et que l’on ose faire passer toute cette contreba
nous en tiendrons qu’à ce qui est écrit dans ces livres : que ce soit science , ignorance ou pédagogie. Une chose est sûre : qua
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
iérarchie des attributs nouveaux, que la poésie, la philosophie et la science doivent lui assigner. Cependant les Odes Barbares
paraîtront dans la lumière, où la pensée humaine, art, philosophie et science , se sublime dans ses teintes d’aurore nouvelle, o
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
a vérité pure et simple. En effet l’arbre défendu était l’arbre de la science , l’arbre de la sagesse, non seulement du bien et
maîtres désabusés, aux classiques barbes blanches, j’avais étudié les sciences les plus germaniques et les plus fantastiques. Je
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
au Collège de France, à l’École d’Anthropologie, au Collège Libre des Sciences sociales, à l’École des Hautes Études sociales, d
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
a, de Bari. Elle publie des collections diverses de philosophie et de science , et c’est dans une de ses collections qu’a paru l
39 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
. — Il Bello e il Giudizio estetico, par G. Lavini : incapacité de la science à définir le beau (22 août) ; Giorgio Eliot, la s
40 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
« le parti anticlérical ». En revanche, l’auteur de ce précis met la science de Hurter au courant, notamment pour les luttes d
peut-être unique. On ne saurait trop signaler, nous ne disons pas sa science des sources, mais encore, ce qui est à la fois pl
elet ; peu de liaisons ; abondance de réflexions incidentes. Bien des sciences voisinent ici, insuffisamment fondues dans l’ense
41 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
) : L’idealità nella vita, où M. Lenzoni démontre l’impuissance de la science à établir une vraie vérité ; de la comtesse Lara,
42 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
termine son étude, que je n’ai fait que résumer ici. Ésotérisme et sciences psychiques. Ernest Bozzano : Des phénomènes prémo
. Ernest Bozzano : Des phénomènes prémonitoires, in-18, « Annales des Sciences psychiques », 5 fr. Jacques Brieu. Tome CIX, n
n des chaires et par l’adaptation de l’enseignement aux progrès de la science et aux nécessités modernes. Voici le projet qui v
/ 42