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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
ion excellente de nombreuses peintures facilite encore cette étude. L’ école primitive vénitienne n’a du reste pas l’importanc
tude. L’école primitive vénitienne n’a du reste pas l’importance de l’ école contemporaine florentine. Si un Antonio Veneziano
bello Bonomo, un Niccolo di Pietro épuisent la sève de cette première école locale que le seul contact du timide Guariento, v
ns de Pisanello et l’on y peut constater une affinité curieuse avec l’ école de Cologne. C’est que Vérone par sa situation se
il, entre l’art véronais renouvelé et celui de maître Wilhelm et de l’ école colonaise. Contemporain d’Altichiero, maître Wilh
ne. Si donc on est amené à voir des relations directes entre les deux écoles , la chronologie oblige d’admettre une influence d
les deux écoles, la chronologie oblige d’admettre une influence de l’ école colonaise sur la véronaise. Un Jacobello del Fio
lus charmantes de Venise, aient en même temps que Carpaccio préparé l’ école nouvelle du Giorgione et du Titien, le courant pa
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907, p. 60-96 [71, 89-92]. […] L’ École des élèves protégés qui assurait le recrutement d
92]. […] L’École des élèves protégés qui assurait le recrutement de l’ École de Rome placée sous la direction de l’Académie ét
les cinq élèves protégés qui doivent remplir les places vacantes à l’ école de Rome. Ces élèves étaient : les peintres Fragon
op longtemps éloignés. C’est en partie ce qui a été cause que toute l’ école ancienne n’a point cherché à faire de voyage. Lai
oire. Le 10 mai 1754, il y avait un an que Fragonard était élève de l’ École des Élèves protégés ; en 1756, il était parti pou
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
er les enseignements qui sont donnés, en France, au Musée Guimet, à l’ École pratique des Hautes Études, au Collège de France,
imet, à l’École pratique des Hautes Études, au Collège de France, à l’ École d’Anthropologie, au Collège Libre des Sciences so
l’École d’Anthropologie, au Collège Libre des Sciences sociales, à l’ École des Hautes Études sociales, dans les écoles confe
des Sciences sociales, à l’École des Hautes Études sociales, dans les écoles confessionnelles, dans nos diverses Facultés, et
de cette activité, les doctrines se précisent. On voit se former des écoles nouvelles. Le débat religieux prend plus de nette
4 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
r en s’adressant à son petit Don Quichotte. Déjà, quand tu allais à l’ école , tes livres sous le bras, tu te croyais destiné à
c’est dire, en Italie, anticatholique, il avait voulu se séparer de l’ école de Manzoni, non pas seulement par les idées, mais
ccès, un système analogue, — et même plus original. — Carducci et son école , ce n’est pas toute la poésie actuelle en Italie,
itifs italiens, l’un plus que douteux, l’autre qui semble un Pesello ( École florentine, xve  siècle) ou un Sano di Pietro (Éc
mble un Pesello (École florentine, xve  siècle) ou un Sano di Pietro ( École de Sienne, xve  siècle). Rue des Saints-Pères, 13
des Saints-Pères, 13, un autre Primitif qui rappelle les Verrocchio ( École florentine, xve  siècle). […] Tome III, numér
5 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
était élève de lui-même, et ne se réclamait d’aucun maître, d’aucune école , d’aucune chapelle ou sacristie musicales ! L’évé
ndre s’appelait de Pré. Et c’est tout. » Heureusement, nous avons une École des chartes. Les archivistes divulguent, sans scr
usman. La meilleure partie de son travail est une critique d’art de l’ école vénitienne ; c’est une énumération de peintres et
de ses rôles. Art ancien. L’exposition de la gravure sur bois à l’ École des Beaux-Arts [extrait] Virgile Josz. Tome XL
la parenté d’origine. Il y a là la révélation d’une très intéressante école de graveurs sur bois, qu’on peut faire remonter v
onnée jusqu’à ces dernières années. Cette constatation explique que l’ École vénitienne ait échappé aux tâtonnements des autre
plique que l’École vénitienne ait échappé aux tâtonnements des autres Écoles et débuté par des chefs-d’œuvre dans l’illustrati
scrupuleusement la narration des anciens écrivains. Loin de suivre l’ école allemande, qui se plaisait, il y a quelque temps,
nt improbable. La première crise sérieuse qui menaça l’existence de l’ École de Rome se produisit assez près de sa fondation,
de la surveiller, de le renseigner sur les moyens propres à relever l’ école . Et il dépêche cette première lettre au directeur
atement un remède à tous les maux qu’il jugeait incurables en 1707. L’ école est sauvée. Mais il ne peut s’empêcher de finir s
uez, Murillo, Holbein… — plusieurs des plus grands noms de toutes les écoles , en des œuvres presque toutes importantes. Une ex
lera pas hors de propos, égale entre toutes les époques et toutes les écoles , jaloux de procéder à coup sûr, s’adressant donc
eaux-Arts (1er octobre). Au même numéro, suite des articles […] sur l’ École de Fontainebleau et le Primatice, par M. Müntz.
éressantes monographies dans la Revue d’Alsace quand la création de l’ École française de Rome lui ouvrit définitivement sa vo
ive d’Albert Dumont venait de triompher de toutes les difficultés ; l’ École du palais Farnèse était fondée ; dans la promotio
uvait encore du temps pour s’occuper de cette belle bibliothèque de l’ École des Beaux-Arts, dont il fut en quelque sorte le s
6 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
in il a fait œuvre de théologien orthodoxe, qu’il est l’héritier de l’ école spiritualiste de Bologne et le disciple de saint
à 1861 qu’il publia son chef-d’œuvre : Savonarole. Il appartenait à l’ école des « puristes ». Plus tard, quand il fut illustr
. Parmi les sculptures et objets d’arts, […] une Louve en bronze de l’ école de Padoue, 80.000 ; un Neptune de Sansovino, 71.5
on et à la domination allemande, et je m’étonne qu’un homme qui tient école de patriotisme à l’usage des autres, comme M. Pié
que les Ricci ; il démontre que si la faiblesse, à ce moment-là, de l’ école romaine de peinture, la plus regardée par les Fra
ombo, était tout simplement Sébastiano Luciani, peintre vénitien de l’ école du Giorgione. Sorti de cet enseignement, il se pr
écrivains académiques italiens qui s’étaient passionnément mis à leur école . Vainement Carducci, poète de l’Idée Latine, dévo
nistre de l’Instruction Publique, est à ce sujet caractéristique. Les écoles , et en général les œuvres philanthropiques, les a
lorieux. Et la vieille chanson qui les célèbre et que les enfants des écoles chantaient autrefois est toujours d’actualité : L
t partiel des méthodes germaniques introduites dans nos études et nos écoles , et qui ont entraîné la haine pour les grecs et l
e la « substantifique moelle », à peu près complètement négligé par l’ école des glossateurs de l’école philologique teutonne.
e », à peu près complètement négligé par l’école des glossateurs de l’ école philologique teutonne. Ici encore, il convient de
arait le prétendu pragmatisme de plus d’un illustre maître, élevé à l’ école de la Germania Filologica, telle que la codifiait
mmenté. Or, à l’ombre de l’approbation supérieure, circulent dans les écoles des ouvrages qui opposent la barbarie italienne à
ès du Septentrion ! Telles sont les maximes qu’au nom de la science l’ école italienne inocule aux enfants. Il y a pire encore
ecteurs et de fonctionnaires sont payés pour surveiller la marche des écoles et… tolèrent, quand ils n’approuvent pas une tell
èglements prohibitifs à opposer, à moins que l’on ne veuille rendre l’ école complice d’un vrai délit. Il n’est pas d’injustic
re traduite ici intégralement, contenait les passages suivants : … L’ école a besoin de réformes minutieuses. Il faut qu’elle
nt les contrôles et les correspondances et qui considère excellente l’ école où les règles s’enseignent au détriment de la pra
tution malheureuse. Que fait-elle ? Quelle action exerce-t-elle sur l’ école  ? Aucune. Elle fait ce dont elle est incapable. E
incapable. Elle examine, elle modifie, elle impose des horaires à des écoles qu’elle ignore, dans des villes dont elle ne conn
Inspecteurs d’examiner les livres antipatriotiques en usage dans ces écoles . Mais, en définitive, ces Messieurs ne sont pas l
organisation bureaucratique qui les contraint à ne pas s’occuper de l’ école pour ne pas empiéter sur un domaine que la haute
tériels, comme bien vous le pensez, n’a jamais mis les pieds dans une école depuis qu’il en est sorti, à la fin de ses études
assés par l’enseignement sont entrés au Ministère afin d’échapper à l’ école , pour laquelle ils ne se sentaient ni vocation ni
ffusion à Gênes. Il est certain, en tout cas, qu’ils sont adoptés aux Écoles normales et complémentaires Lambruschini, aux Éco
sont adoptés aux Écoles normales et complémentaires Lambruschini, aux Écoles techniques Vivaldi et dans les lycées. Il me semb
ets mérites une telle denrée doit d’être mise en circulation dans nos écoles . C’est la une belle nourriture intellectuelle pou
est la une belle nourriture intellectuelle pour les jeunes filles des Écoles normales, qui, plus tard, enseigneront aux petits
tés des Alliés, cela équivaudrait à un pangermanisme authentique. Nos écoles doivent donc être ouvertes au pangermanisme ? No
ciété R. Bemporad et Fils à Florence et extrêmement répandue dans les Écoles Normales, on peut lire, au t. I, p. 80, que la fa
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LIX. Musique à Naples »
en observer par moi-même. Naples, 10 octobre 1813. Naples a eu quatre écoles de musique, mais en 1803 il n’y en avait plus que
n’y en avait plus que trois où se trouvaient 230 élèves. C’est de ces écoles que, suivant moi, sont sortis les plus grands mus
aies à Paris sous le Régent. Il est naturel de distinguer les chefs d’ école de ceux qui n’ont été qu’imitateurs. On place à l
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
supériorité sur le grand Français. Il savait regarder sans préjugés d’ école , et, guidé par son seul instinct, il découvre les
alien, se mouvant aujourd’hui dans les cercles magiques du charme des écoles occultistes en est où l’esprit français était il
régit le même esprit dans ses manifestations poétiques. Les diverses écoles poétiques, qui se succèdent, s’accouplent, se che
poésie française il y a quinze ou vingt ans… Plus que de véritables «  écoles  », la jeune poésie italienne présente, en réalité
9 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
ndances nouvelles ne sont pas favorables à Schopenhauer. En Italie, l’ école mystique, pure, idéaliste jusqu’aux dernières con
inégalable ; hormis l’auteur de Daniel Cortis, les suivants de cette école sont restés bien au-dessous du modèle ; on n’est
et je l’en félicite de tout mon cœur. L’Idolo appartient à la vieille école du réalisme misérable et plat ; pas de forme, pas
art, auquel on reproche d’avoir oublié les traditions immortelles des écoles florentine et vénitienne. Toujours est-il que, à
me XXVI, numéro 100, avril 1898, p. 301-305. Les Ombriens sont dans l’ école italienne des xive et xve  siècles ceux qui étai
éressée, dévouée et chevaleresque, de sa voisine Florence. Dans cette école ombrienne, qui partit de Gualdo et des San Severi
panneau une haute saveur. Ah ! que nous voilà loin des matrones de l’ école romaine, des Vénus et des Dianes des Grecs, de ce
ts de l’artiste, c’est Giovanni Bellini avec déjà tout le soleil de l’ école vénitienne, c’est le Pérugin, enfin c’est Bottice
ns à M. Ferrero. Je me borne ici à constater, une fois de plus, que l’ école lombrosienne habitue ses élèves à tirer des concl
d’ici à quelque temps, il marchera franchement, libre des préjugés d’ école , en suivant sa fraîche inspiration. Ciro Annov
t ici de Renan, le défroquat et « la vieille vache pourrie » ; mais l’ école de Tubingue en de lourds bouquins discutait les a
n voit ce peuple à travers les nouvelles mélodramatiques des vieilles écoles italienne et française, et on fait souvent une rè
10 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
— d’Université, mais seulement un Institut Royal, comparable à notre École Supérieure d’Alger. C’est à cet Institut que prof
rsités, de sorte que son vrai centre comprend le Collège de France, l’ École des Hautes Études et la Sorbonne (chaire Guignebe
s qui ont suivi les cours de la Section des Sciences religieuses de l’ École des Hautes Études, et il verra que non seulement
chose, sauf cinq ou six exceptions. Évidemment, tout changerait si l’ École des Hautes Études assurait l’obtention ultérieure
une arme : la création de la Section des Sciences Religieuses à notre École des Hautes Études et la fondation de divers cours
ar l’éditeur de cette importante revue anglaise, comme une œuvre de l’ école de Léonard. Lorsqu’à son tour l’Illustrated Londo
e visage avec un joli et très caractéristique portrait d’inconnu de l’ école vénitienne aujourd’hui conservé aux Offices. Je n
nitiens et son érudition à ce sujet est hors de doute. Ses cours de l’ École du Louvre, puis ceux du Collège de France lui ont
. Les deux perles sont le délicieux Portrait d’enfant en prière, de l’ école française du xve  siècle, donné par la Société de
7-718]. Tous les journaux ont conté l’histoire de Boronali, chef de l’ école excessiviste, telle qu’élaborée par l’amusant mag
ienne. Il était signé par l’illustrissime inconnu Boronali, chef de l’ École Excessiviste et auteur d’un tableau exposé au Sal
poèmes, de mauvaises pièces, ourdis sur les dernières trouvailles des écoles françaises. Quelques-uns parmi eux, à Naples, à C
cœur ! À Milan, toutes les musiques que j’entends, le soir, dans les écoles , dans les églises, jusque dans le son des cloches
défaillir le cœur. Tout à l’heure, ce sera la prière glapissante de l’ école italienne, dont les enfants se font une distracti
s à crétins », et le « vénal clair de lune d’hôtel meublé », mais une école chasse l’autre. Je connais en France certains nat
u ingrate du xviie  siècle, une véritable renaissance se produit et l’ école qui avait compté des maîtres comme le Titien, Tin
goût et l’exemple, en peignant pour son compte des tableaux comme son École de filles du Louvre. Tandis que Canaletto et Gua
ion de leurs galeries, et d’autres constructions, comme le Palais des Écoles ou Archigginasio, offrent les mêmes files d’arcad
 Raffaele, chapelle Malvopizi, à Saint-Pétrone) et s’il n’y eut pas d’ école de sculpture bolonais de nombreux artistes travai
ne différence essentielle, qui serait semblable à celle que la grande école occultiste accorde à l’idée pure du triangle qui
6 marks, composées chacune de dix planches) ont déjà paru. Toutes les écoles y sont représentées par des pièces de choix : […]
Toutes les écoles y sont représentées par des pièces de choix : […] l’ école italienne par Bonsignori (Tête de jeune homme), C
Le musée de Rouen est, on le sait, un des plus beaux de France : les écoles anciennes y sont représentées, entre autres œuvre
11 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
bibliophilie. Arsène Alexandre : Histoire populaire de la Peinture : École Italienne, illustrée de 250 gravures, in-4°, Pari
ulaire de la peinture, aujourd’hui achevée par un tome explicatif des écoles italiennes. M. Alexandre qui nous a habitués à de
e littéraire, mais aussi même de cénacles et même de coteries ; pas d’ écoles , partant pas de querelles, pas d’émulation, pas d
M. Luciano Zuccoli massacre avec entrain et avec esprit la prétendue école des critiques « scientistes », de ceux pour qui t
, il plaît. C’est tout. Le lecteur ne lui demande pas de détruire une école ou de démolir un artiste qui fait fausse route ;
12 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
paraître devant l’expression de la Pensée, comme chez le Vinci et son école par la perfection même, ou chez les Primitifs, pa
t dans les ateliers classiques. C’est ainsi qu’il se fit admettre à l’ École des Beaux-Arts de Milan. Mais à peine l’indulgenc
mme ordonnance à un officier, lequel flaira l’artiste et l’envoya à l’ école des brigadiers : or cela coûte de peindre, même à
sélytisme qui le jeta dans l’apostolat. Ne mettant plus les pieds à l’ École , il attendait ses camarades à la sortie des cours
e sur des bonshommes en carton pierre. Il y eut tumulte et bagarre. L’ École fut fermée. Alors les 250 signataires, peu rassur
rrait nous empêcher de sourire à ouïr Verlaine dénommé « le chef de l’ Ecole décadente ». Qu’est-ce que cela, décadent, — et e
13 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
premier groupe est constitué par les éléments bourgeois, façonnés à l’ école de la Triple-Alliance, c’est-à-dire dans le culte
n Ixion de Rubens, un Peintre ambulant par Frans Hals, et, dans notre école française, un Portrait de Charles IX, un grand ta
nquêtes de classes. Cependant, la troisième Italie avait organisé ses écoles de tous grades avec unité de méthode et dans un e
empéraments et des idées disparates hors des cadres des partis et des écoles , unis seulement dans un commun désir de liberté e
sont priés d’écrire à M. le Directeur du Voyage d’Italie, 54, rue des Écoles , à Paris. Tome CXV, numéro 431, 1er juin 191
e critiques. Comme des provinciaux, nous portons même nos querelles d’ écoles ou de partis à l’étranger, et cela, le professeur
ïncide avec les confins naturels de la Péninsule… Maintenant dans les écoles , c’est un tolle général contre la Kultur. Notre f
t trouver l’origine dans la volonté des hommes, etc… Depuis qu’avec l’ école pervertie, avec la mauvaise presse, on a fait pén
esprit de ce fin lettré, qui était aussi un italien fervent élevé à l’ école de Carducci, une discorde intérieure, un étrange
qui ont entrepris de comprendre, après les teutonneries érudites de l’ école historique et les teutonneries philosophiques de
futuriste a beaucoup donné, mais la plupart des derniers livres de l’ école ne sont pas — à l’exception de Piedigrotta de Can
ci Parmi les écrivains d’avant-garde qui travaillent en dehors des écoles , il faut placer au premier plan Ardengo Soffici,
res viables y étaient Severini et Carrà, tous deux influencés par nos écoles d’avant-garde. Séparés de Marinetti, ils sont enc
les d’avant-garde. Séparés de Marinetti, ils sont encore ce que cette école plastique offre de plus remarquable. Plus tard Bo
sse au sein du futurisme italien. C’est ainsi que, cessant d’être une école tapageuse, il peut devenir un mouvement. Marinett
de laisser de côté, dans la conduite des affaires spirituelles de son école , cette intransigeance encyclopédique qui devient
roce, n’a cessé de grandir : il fut relu et étudié, et toute la jeune école de critique qui, abandonnant l’espoir ambitieux d
u de succès. Les jeunes, dédaignant la facilité de l’ancienne « jeune école  » et les virtuosités thématiques des répétiteurs
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
. Giovanni Calò, qui étudie la formation et l’évolution des dernières écoles philosophiques, celle de la Contingence et l’écol
ion des dernières écoles philosophiques, celle de la Contingence et l’ école Pragmatiste, pour aboutir à une solution vaste et
her éperdument ses rythmes adéquats, afin de former et de révéler une école poétique jeune et forte, digne de concentrer dans
15 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
lévation qui ne nous frappe pas ; nos enfants dans les gymnastiques d’ école sautent 4 mètres, ils retombent sur du sable, il
iens est grand de voir partir à l’étranger tant de belles œuvres de l’ école nationale et une collection qui était une des par
es au hasard des aventures de son pupille, a fini par acquérir à leur école le même scepticisme dont l’empereur est imprégné,
blance, en vint à employer le moulage des figures, bientôt des corps ( école de Lysistrate) ; mais quand même la statuaire gre
ers 1445 ; leur genre, leurs fréquentes analogies avec des œuvres des écoles padouane ou ferraraise entre 1440 et 1450, certai
e ! Aujourd’hui il y a d’autres préoccupations littéraires. Certaines écoles découvrent l’art nouveau en amour, le nouveau jeu
Et mon extase était comme un ressouvenir : Je me revoyais maître aux écoles anciennes, J’entendais retentir, antiques et chré
ls étaient tous imbus d’idées maritimes britanniques, élevés dans les écoles d’Angleterre ou dirigés par des instructeurs angl
t facilement à la faveur des changements économiques. Créer de bonnes écoles , c’est satisfaire aussi le besoin impérieux de ma
lité les notions de la pédagogie européenne devaient trouver dans les écoles italiennes un moyen rapide de s’assimiler les con
ée sur celle des grandes cités de la péninsule. On a créé d’abord une école technique et une école commerciale où les élèves
s cités de la péninsule. On a créé d’abord une école technique et une école commerciale où les élèves peuvent apprendre les n
aussi, ses établissements d’instruction, par la création de plusieurs écoles royales élémentaires pour les garçons et pour les
écoles royales élémentaires pour les garçons et pour les filles. Des écoles primaires existent aussi qui, prenant les élèves
à cet effet. Si, pendant longtemps, l’Italie avait contribué par ses écoles à répandre dans ces pays ignorants les bienfaits
elui qu’emploient nos débardeurs des ports. Nous avions à Tripoli une école de garçons dirigée par les frères marianistes. El
aintenir le prestige de notre langue et de notre drapeau. À côté de l’ école était un hôpital où les indigènes, quelle que fût
es œuvres n’existent plus. Combattus par les capucins italiens et les écoles laïques de même nationalité, les frères ont quitt
vu, est considérable. Aussi l’Alliance israélite a-t-elle établi une école de filles et de garçons sous la direction d’un di
ai à une bande de petits garçons jouant aux billes près du port : « L’ école de l’Alliance », leur demandai-je. Ils me regardè
nt réfléchi un instant, me répondit : « Vous voulez sans doute dire l’ école française. En ce cas, je vais vous y mener, un de
aison d’édition parisienne, des tables et des pupitres comme dans nos écoles . À notre arrivée les écoliers se lèvent, mus comm
a jeunesse israélite de la ville. Beaucoup parmi les enfants vont aux écoles italiennes. Beaucoup d’autres fréquentent les éco
enfants vont aux écoles italiennes. Beaucoup d’autres fréquentent les écoles purement bibliques dites établissements du talmud
ssements du talmud Torah ; d’autres, enfin, ne vont point du tout à l’ école . L’établissement de l’Alliance donne l’instructio
l’État colonial en créant une justice nouvelle et en établissant des écoles . Il convient d’examiner maintenant les mesures or
ns désagréable. L’Italie est en train de rénover la France. Voyez les écoles futuristes, toutes les étranges évolutions du des
lui. Il y aurait plutôt quelques mots à dire des survivants de notre école naturaliste : Verga, Capuana, De Roberto. Mais s’
ent. Il s’agit de quelques jeunes poètes qui ne sont pas organisés en école , qui n’ont pas lancé de manifeste littéraire, qui
e voulait exercer une fonction de contrôle sur tous les partis et les écoles sans se soumettre à personne. Elle se proposait d
16 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
Vincenzo Peruggia, apprenez les sources de votre formation : la haute école du cheval du général Boulanger, la scolastique de
use des adversaires, attirèrent l’attention du public sur la nouvelle école . Lacerba L’année 1913 fut particulièremen
des articles qui offensaient, paraît-il, la pudeur et la religion. L’ école a soulevé des haines furieuses et des enthousiasm
ntemporains. Leur talent me choque… Le dédain que lui inspiraient les écoles modernes fit éclater son humeur chagrine trop lon
a reconnaissance par devant notaire dans le cabinet du directeur de l’ École des Beaux-Arts ; l’exhibition à cette même École
et du directeur de l’École des Beaux-Arts ; l’exhibition à cette même École durant trois jours — et qui, elle aussi, fut peu
e l’art italien), enfin trois grandes statues en bois polychromé de l’ école siennoise : une Vierge de Nativité en adoration,
e. Tome CVII, numéro 400, 16 février 1914, p. 887-896 [895-896]. À l’ École pratique des Hautes-Études se poursuivent en ce m
aut pour comprendre la vie. C’est surtout un enfant qui a déserté les écoles , qui n’aime pas la lecture et qui voulait plutôt
a dernière chronique, il ne faut pas envisager le Futurisme comme une école de poésie qui donne des recettes sur la manière d
seigner dans les Facultés, il faudra passer un examen au sortir d’une École de magistère (divisée en trois sections), dans la
et le jeune saint Jean par Desiderio da Settignano ; des Madones de l’ école florentine ; des portraits en bas-relief de l’éco
des Madones de l’école florentine ; des portraits en bas-relief de l’ école lombarde ; les statues en marbre de deux pages qu
ie qu’il vint mettre en pratique, en France, lors de la création de l’ École militaire, un rapport de police signale sa présen
ay, et, par eux, avec Mme de Pompadour, intéressés à la création de l’ École militaire ; et ce fut ainsi qu’il dédiait à la fa
voir été assez embrouillées, avec l’administration de la Loterie de l’ École Royale militaire. Il était, en 1761, à Vienne, où
u plus exactement bohémien. Jomelli, le « Gluck italien », ne fit pas école , dit M. Romain Rolland. « Ce fut le Gluck alleman
vulce ; un groupe, Mercure et Argus, production nerveuse et fine de l’ école florentine du xve  siècle ; puis une merveilleuse
re de l’Italie du Nord, comme dit le catalogue, une création de cette école tyrolienne toute voisine, qui réunit en elle les
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
eligieux. La Curiosité. Troisième vente Sedelmeyer : tableaux des Écoles flamande, italienne, espagnole et des Maîtres pri
expositions précédentes. Il s’agissait, cette fois, des tableaux des Écoles flamande, italienne, espagnole et des Maîtres pri
18 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
mner tout le reste comme nuisible et avorté1. Grandiose stupidité des écoles , démontrant l’infériorité de l’analyse devant une
ants de la Renaissance, a été proclamé la seule vraie, la seule bonne école de l’art, et nécessaire à son équilibre comme à s
partout, faux prêtres interceptant la lumière, et qu’ils gardent les écoles , les musées, les places, dignes cerbères de la mé
19 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
triotiques chantés par un cabot de café-concert. Voici la sortie de l’ école , avec ces cris tumultueux de petits moineaux, heu
ntaires. L’observation devient à la fois le dogme et le rite de cette école . § Michelet n’aurait pas appelé Léonard le frère
idu, tandis que l’autre se relie à toute la cosmologie. Le nombre des écoles des Beaux-Arts, des récompenses, des commandes, d
vieux poème de l’Occident. Paris aura ses « lectures de Dante », à l’ école des Hautes Études sociales, où M. Ricciotto Canud
intéressantes, ceux de Murillo, de Rubens, de Van Dyck, de Mignard. L’ école génoise en fournit des séries nombreuses et M. Je
que où Taine écrivait, on ne soupçonnait pas encore l’importance de l’ École Siennoise. Taine, dans son Voyage, passe à Sienne
les œuvres d’art qui faisaient son orgueil. C’étaient en réalité des écoles d’art. La nécessité d’y travailler les bijoux, le
ent, on remarque ses maladresses : il ternit les belles couleurs de l’ école de l’Angelico sans parvenir à marquer le relief a
r aux conventions un peu choquantes par lesquelles les sculpteurs des écoles de Donatello et de Ghiberti cherchaient à rivalis
nature, modeler scrupuleusement ses formes avec toute la science des écoles  : voilà qui ne suffit pas encore. Il faut atteind
oi équivoque, mystérieux, ces visages dont, après Léonard, toutes les écoles s’inspirent, sont des études de Verrocchio. On y
Defendente Ferrari de Chivasso, a ramené l’attention sur les petites écoles du nord de l’Italie. Le groupe des Ferrari est pr
précisément l’un des plus importants parmi ceux qui se rattachent à l’ école de Verceil, mais ces peintres modestes sont demeu
mourut en 1533. Defendente Ferrari de Chivasso se rattache aussi à l’ école de Verceil. Sa manière plus brillante, plus riche
En même temps, inaugurant la première Lectura Dantis créée à Paris, l’ École des Hautes Études Sociales honorait, sans statues
rait] 1er mai 1908 152-159 153 […] Un autre tableau, peinture de l’ école vénitienne à son apogée et pour laquelle il n’est
Morris. Il s’est imposé, non sans modifications de détails, à toute l’ école préraphaélite ; on le retrouve chez Burne-Jones.
dans la Contemporary Review d’octobre 1871. Sous le double titre : l’ École de poésie charnelle. — Dante-Gabriel Rossetti —,
famille. C’est là cependant que fleurirent les œuvres délicates de l’ école ombrienne. Saint François d’Assise, d’abord solda
ur, il suit, et il dépasse parfois la volonté esthético-musicale de l’ école nouvelle où fleurissent les noms rouges et bleus
souplesse voulues pour égaler la nature. Les meilleurs paysages de l’ école italienne sont l’œuvre des Ombriens et des Véniti
t irrépressible de l’intelligence. La Dispute du Saint Sacrement et l’ École d’Athènes se font face et se reflètent mutuelleme
l’aristocratie, pouvait-on chercher des officiers et des généraux ? L’ école véritable où ceux-ci se préparaient à la guerre,
20 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
La Cronaca d’Arte résume, en un court article, l’état des nouvelles écoles littéraires en France ; l’auteur, qui doit être M
s qu’ils ne se lassèrent jamais d’étudier. Or, entre les deux grandes écoles qui se battaient, sous des noms différents, pour
ce avec les immuables types. — Aristote disait : Cette doctrine que l’ École résume, « Universalia extra et ante rem », me sem
ze attribué à Francia. Une statuette bronze représentant un homme nu ( école vénitienne, h. 0,40). Tome VI, numéro 34, oct
21 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
t ainsi discipliner leur amour patriotique, lui donner une tournure d’ école , l’enfermer dans une théorie, le rendre apte à êt
st pire, des portraits. Une femme du Parmesan et un saint Michel de l’ école flamande deviennent très remarquables par cette p
tan Klingsor]. Tome LIV, numéro 187, 1er avril 1905, p. 440-444. L’ école vénitienne au Louvre Le Louvre si abondamment
utions faites à Giovanni n’étaient pas plus sûres. La Madone, œuvre d’ école pourvue d’une signature ajoutée, est sans doute d
surtout celle que son éloquence aristocratique et riche répandait à l’ école , eut certaines douceurs de tolérance qui montraie
gédie de Paul Souchon, Phyllis. Paul Souchon n’est pas le poète d’une école ou d’une secte. Son œuvre n’est pas le produit de
é le classicisme. Cela est la preuve qu’en littérature il n’y a pas d’ écoles , mais seulement des courants d’idées et de sentim
émoire de Giovanni Camerana, Turinois, un poète de la seconde et pâle école romantique italienne. Après 1860, l’Italie, qui l
60, l’Italie, qui luttait encore pour son indépendance, eut aussi une école romantique qui s’efforçait d’unir des impressions
musicien de Méphistophélès, est le poète le plus remarquable de cette école . Giovanni Camerana, qui vient de mourir, en est à
i incapable de nous émouvoir profondément, ainsi que tous ceux de son école d’ailleurs, depuis Boito jusqu’à Iginio Ugo Tarch
’étaient tous deux nourris de Pétrarque et des poètes italiens de son école et qu’ils avaient à peu près le même tempérament,
érables. Le grand argument en faveur du jury — qu’il est la meilleure école de responsabilité morale, de décision, d’énergie 
sance de rêve des doutes légendaires, et s’égare dans un pédantisme d’ école qui continue sur l’enfant l’œuvre abrutissante du
n, régissent aussi les esprits littéraires d’Italie. Il n’y a point d’ écoles , presque point de groupes. Cependant de beaux tal
rait indemne. Je ne sais pas comment on leur enseigne la critique à l’ École normale ou ailleurs, mais on dirait vraiment que
22 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
golé d’une telle innocence. Avec Scribe et ce qu’on peut dénommer son école , apparut nettement le métier de librettiste, comm
ces deux idées fondamentales. Depuis Kant, Hegel et Fichte, toute une école a développé une doctrine de l’État et de la guerr
s chercher dans ses galeries, et aux salles nouvelles, consacrées à l’ école belge, à Brangwyn et à l’école anglaise, qu’il av
t aux salles nouvelles, consacrées à l’école belge, à Brangwyn et à l’ école anglaise, qu’il avait ouvertes depuis la guerre,
re. Pour cela, de bons esprits, en Italie, ont préconisé le moyen des écoles . C’est de fait un excellent moyen que les Italien
vain italien Mathilde Serao déclare que les peuples s’instruiront à l’ école de l’énergie française, non à l’école de la bruta
e les peuples s’instruiront à l’école de l’énergie française, non à l’ école de la brutalité allemande. » Voici un long passag
notre supériorité latine. ……………………………………………………………………… Mais à quelle école d’énergie irez-vous retremper l’âme hésitante et
est une vision de l’orgueil tudesque, mais rien de plus. Mais quelle école d’énergie attirera les esprits et les volontés, q
s quelle école d’énergie attirera les esprits et les volontés, quelle école d’énergie imprimera son influence sur les masses
d’énergie imprimera son influence sur les masses européennes, quelle école , sinon celle qui a le génie latin pour inspirateu
rêve, nous pourrons y consentir, et nous et tous les nôtres irons à l’ école de l’énergie, mais à une seule, à l’école de l’én
t tous les nôtres irons à l’école de l’énergie, mais à une seule, à l’ école de l’énergie latine, dont la France tient très ha
des futuristes commencent à sentir qu’il faut, pour lutter contre les écoles d’avant-garde, renouveler les genres épuisés de l
défaut d’Université, il pourrait être créé, comme jadis à Alger, une École Supérieure relevant de l’Université d’Aix-Marseil
en cour auprès des Princes chefs de l’armée. Il n’appartient pas à l’ École des fruits secs ou des courtisans de l’entourage
23 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
toire de la peinture italienne, et précieux surtout pour l’étude de l’ école lombarde ; le musée archéologique, riche de toute
té tout bonnement traité de fou par Condorcet et le docteur Lélut ? L’ école lombrosienne n’a rien inventé. Tome LX, numér
notre grand Fouquet, paraissait à l’Exposition. Carlo Crivelli et son école au contraire figuraient avec de nombreuses œuvres
abatier lui-même, âme de celle qui devient désormais l’avant-dernière école franciscaine, avait fait quelques réserves sur l’
ion, et non sur le fond même de sa biographie. Tandis que la nouvelle école nie les miracles, ce qui d’ailleurs est assez fac
le. Cette étrange folie qui devient fortement invraisemblable selon l’ école de M. Sighele, n’est pas non plus artistiquement
qui, dans son livre sur Luini, copie complaisamment ceci : Ce mot d’ école ne signifie rien : le vrai dans l’art est relatif
transmettre le sentiment du beau et du vrai, et l’expression « faire école  » n’a point de sens. J’ai bien peur que le « maî
e telles affirmations qui constituent précisément de purs sophismes d’ école . Sans m’attarder à en montrer l’inanité au point
e et les divertissantes attaques de M. Gauthiez contre on sait quelle École empêchent de prendre son livre tout à fait au sér
’autres visions des canaux, de l’Arsenal, du Quai des Esclavons, de l’ École de San Rocco, du Canale Reggio, de San Pietro de
p plus à celui des véristes italiens qu’à celui des naturalistes de l’ école de Zola. C’est notamment le cas pour M. Styn Stre
ire la foule à la plus rudimentaire instruction. Même maintenant, les écoles sont bien moins nombreuses autour de Salerne, de
me remettre à cette langue, je traduis, en abrégeant, l’histoire de l’ école de Florence… Si j’ai la patience d’achever ce tra
nomme pas, c’est Lanzi, et que, s’il traduit d’abord l’histoire de l’ école de Florence, c’est tout bonnement parce que le pr
24 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
dont l’œuvre séculaire était terminée, il y avait des artisans tenant écoles partout, triomphateurs du moment vers lesquels de
errare ne sont plus, la lutte s’est déplacée : c’est à Naples que les Écoles bataillent. Claude s’y rend. C’est dangereux. Ter
ans l’eau est d’une trouvaille et d’un bonheur bien modernes. Toute l’ École de la petite salle du Luxembourg est là, — toutef
M. Forster, qui a su soustraire sa revue aux influences étroites des écoles et des cénacles. Dans les derniers numéros de la
t jamais ouvert un de ses livres. Il est considéré comme le chef de l’ école anthropologique, comme le créateur de vastes conc
comte Fossombroni, dit-il, est un homme âgé, mais non fini. Élevé à l’ école des philosophes français du dix-huitième siècle,
s du vainqueur l’Italie bienfaisante viendra, l’Italie et Tiepolo ; l’ école française n’aura pas à compter un émule de Durame
qui restent, savoir : le sieur Fragonard, depuis un an ou deux dans l’ école  ; le sieur Monnet, depuis neuf mois ; le sieur Br
ie qu’en aucune autre. Il y réussira merveilleusement, et dans aucune école aucun peintre ne sera capable de l’y égaler.   Le
t de Mayrobert, ce drôle. Comme Catherine Somis secondait Van Loo à l’ École royale des Élèves protégés, Jeanne Natoire, « l’i
nt maintenant sous sa pâte. Dans ce répit merveilleux, où il n’y a ni école ni férule, dans ces causeries familières de tous
la beauté, y restant insensibles par brutalité native, et formés à l’ école de la presse ignarde et du Progrès. Quant aux déf
elle ne les abandonne jamais ; mais Condillac et les idéologues de l’ école sensualiste l’accompagnent également et intervien
25 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
ue plus redoutable. La gloire italienne est en effet apprise dans les écoles , avec les dogmes inflexibles qui affirment l’éter
uméro 281, 1er mars 1909, p. 165-168. L’Exposition de tableaux de l’ École italienne (galerie Trotti) Il est toujours dif
culière de réunir des œuvres capitales, surtout quand il s’agit d’une école comme l’italienne, laquelle a depuis longtemps ét
pour nous faire une bonne farce. Il existe, en effet, chez nous, une école philosophique dont le manifeste, pour avoir eu pe
700 peintures, 200 sculptures et 2 000 dessins), où les princi­pales écoles sont représentées et où brillent surtout Rubens,
eva hier de restreindre l’empire de notre action par la fermeture des écoles et des couvents où les jeunes gens et jeunes fill
dilettante, en constitue la noblesse morale. Même les romanciers de l’ école terrienne, le sicilien Capuana, poète païen de la
unes artistes d’outre-mont. Deux années de suite, 1907, 1908, 1909, l’ école divisionniste est venue exposer à Paris des reche
roupe florentin ou au groupe romain. L’Italie contemporaine n’a pas d’ écoles littéraires. On rencontre des groupes divers conc
, mais je ne me doutais pas que je devrais pareillement retourner à l’ école , que je devrais tout oublier ou plutôt que je dev
ts de légende et il s’y montre visiblement le frère des artistes de l’ école de Beuron, qui ont représenté au mont Cassin, en
de retable, par Fra Angelico ; […] un Ange en marbre, sculpture de l’ école toscane ou pisane du xiiie  siècle ; une Vierge d
iiie  siècle ; une Vierge de l’Annonciation également en marbre, de l’ école pisane du xive  siècle […] ; des faïences italien
tie… qui ne serait qu’une facétie. M. Doumic est une des gloires de l’ École , il n’attend que l’occasion de damer le pion à M.
é le plus de mal pour transporter dans les Facultés les méthodes de l’ École des Chartes et de l’École des Hautes Études. Mais
sporter dans les Facultés les méthodes de l’École des Chartes et de l’ École des Hautes Études. Mais il est à craindre qu’il n
r et mécène de Vienne : le comte Lanckoronski, Ce sont des œuvres des écoles italienne, allemande, hollandaise et française, p
. La section italienne, en ce Salon, s’est défendue des partis pris d’ écoles  ; elle est très éclectique. C’est peut-être pourq
la collection Doria Pamphili, de Rome, riche en tableaux anciens de l’ école italienne. […] Tome LXXXII, numéro 298, 16 no
musicien broda des mélodies, sans égards pour les règles sévères de l’ école bolonaise. Martini, à qui l’enfant prodige était
26 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
théorie tonale qui dura longtemps indiscutée et qui règne encore à l’ école . L’auteur d’Orfeo n’y est pour rien, Son génie fu
ette, 12 fr. Précédé d’une étude très complète de M. L. Homo, de l’ École Française de Rome, sur le Capitole dans l’antiqui
rivey, pour le Retour imprévu, Molière pareillement pour l’Avare et l’ École des Maris, est ici restitué d’après cette même tr
sur l’autre, le portrait si expressif dans la manière admirable de l’ école de Clouet. Tout un caractère se lit sur cette fig
ts et de l’État. La presque unanimité des correspondants condamnent l’ École des Beaux-Arts et la Villa Médicis. M. Eugène Car
appellent : l’unité italienne — des générations se sont suivies, des écoles littéraires et artistiques se sont formées sur de
pable de créer un mouvement, de renouveler des esprits, de former une école , n’est à l’avant-garde du monde. Au milieu de ces
taliens, Le Roman de Manzoni fut imposé en étude aux adolescents, à l’ école  ; il l’est encore aujourd’hui. Mais le roman, qui
27 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ur lutte parut créer à nouveau le magnifique dualisme originaire de l’ école bolonaise et de l’école sicilienne. Les « doctes 
ouveau le magnifique dualisme originaire de l’école bolonaise et de l’ école sicilienne. Les « doctes », encore une fois, comm
écialement renforcée en Italie par les théories de Lombroso et de son école , qui font de l’homme médiocre le prototype de l’h
socialiste a fait ce qu’il pouvait pour les éduquer ; mais formé à l’ école de la social-démocratie allemande, obéissant aveu
retrouvé de nombreux objets d’art, notamment un torse de Bacchus de l’ école de Praxitèle, et une Victoire gigantesque. La der
atholicisme »). Les dangers, réels, eux, de la langue officielle de l’ école , du latin, étaient, je crois, distincts de la thé
l été embarrassé à Bologne quand il a parlé allemand ou anglais ? Nos écoles secondaires exigent deux langues. Oh ! nous ne le
s moins l’impossibilité de donner cette explication, car, comme dit l’ école , il n’y a de science que du général, et Jean-Jacq
s Présent (2 juillet) : […] — M. Canudo souhaite la fondation d’« Une École de la Critique », comme si l’École Normale Supéri
nudo souhaite la fondation d’« Une École de la Critique », comme si l’ École Normale Supérieure ne suffisait pas à démontrer,
e nos étonnements. M. Marinetti, chef des futuristes, fondateur d’une école de littérateurs et de peintres, un peu Mécène, un
tout compris, seulement je suis obligée d’avouer que les débuts de l’ école symboliste et instrumentiste ne me parurent pas s
que fût la cause de son animosité, antipathie personnelle, rivalité d’ école ou de clocher, écho de médisances de Beccafuonni,
minés par l’art italien, mais les uns se rattacheraient davantage à l’ école piémontaise ou lombarde, d’autres à l’école tosca
tacheraient davantage à l’école piémontaise ou lombarde, d’autres à l’ école toscane et ombrienne, d’au­tres encore aux atelie
s vénitiens… Seul Louis Bréa aurait été de taille à devenir un chef d’ école  ; mais il ne s’applique pas assez à développer so
iation, dans lesquels M. Niceforo fait entrer les divers langages des Écoles . Quant au bas langage qu’est le langage populaire
es questions de mode ont fait écarter : telles des peintures de cette école bolonaise autrefois trop vantée, aujourd’hui trop
i, maintenant, quelques chiffres cités par M. Dimier : 71 toiles de l’ école bolonaise ont été soustraites à notre étude ; 28
reste pas un seul spécimen de Mola et de Louis Carrache, le chef de l’ école , dont le Louvre possède cependant le chef-d’œuvre
lu rendre à cette église que de la reléguer dans un grenier). Toute l’ école napolitaine, à l’exception de Salvator Rosa, a ét
che est, en outre, l’objet d’une notice sur la couverture. Toutes les écoles sont représentées de nouveau dans ces cinq livrai
au dans ces cinq livraisons, souvent par les plus grands noms : […] l’ école italienne par des œuvres de Giovanni Bellini (un
d’épée. Il nous énerve, et il recommence. Nous ne voulons pas de son école . Oui, mais… Mais la revue Poesia est conçue sur u
ûre vigueur, la certitude de sa durée. On peut parler des deux seules écoles picturales les plus récentes, le Cubisme et le Fu
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
 ; c’est à cet étage que se trouvent mes nombreux livres et cahiers d’ école où j’ai le plaisir (sous les ordres d’un professe
ure à l’imitation directe de l’Italie, introduite par les poètes de l’ école de Sà de Miranda. » […] Lettres hongroises. M
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
n, par la volonté d’un homme seul, à toutes les cristallisations de l’ école , à tous les archaïsmes des anthologies. En s’insu
rnaient mal. L’éducation patriotique régnait sans discipline dans les écoles . L’esprit des fameux Mille hommes, qui débarquère
s, de quelques révoltes nouvelles contre l’absolutisme archaïque de l’ école et des maîtres, dont la nation accepte aveuglémen
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
très sensible aux choses de l’art. En sorte que sa préférence ira aux écoles de Venise et de Sienne et que les peintres de son
Italie, fut d’ailleurs plus fréquente en Allemagne et cela donne à l’ école de Cologne et à l’école de Sienne une parenté ina
plus fréquente en Allemagne et cela donne à l’école de Cologne et à l’ école de Sienne une parenté inattendue. Un exemple curi
31 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
t contre Michel-Ange, l’art est atteint dans son développement et les écoles périclitent. Le culte languissant viendra demande
ites, parnassiens, tolstoïstes, mystiques de toute espèce et de toute école  ! En écrivant des livres malades, vous travaillez
32 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
lus reposant de suivre l’œuvre fiévreuse de vulgarisation des grandes écoles religieuses de tout temps et de tout pays. Et ce
ois, et distribuée, par décision du Conseil Municipal de Messine, aux écoles de la ville renaissante. L’hommage qu’une ville «
Castelfranco, à la condition qu’il suivrait les enseignements de son école et s’acquitterait, consciencieusement, de la beso
les prononce plus sans être environné par des visions funèbres ! * L’ école des Bellini est située parmi les boutiques des dr
la science et aux dons du Giorgione. Il ne songeait pas à former une école , cependant les apprentis de Bellini se déclaraien
int-Marc, loin de la Merceria et loin des tentations, elle dirige une école . Des parents peu fortunés ou accablés d’une nombr
hit les couleurs de ses madones et de ses anges. Sans songer à former école , Giorgio pouvait considérer ses camarades comme s
mené à reconnaître dans un buste du Louvre catalogué comme œuvre de l’ école française de la seconde moitié du xviie  siècle l
nzio, engendré en Italie par les élégantes fécondations des dernières écoles littéraires françaises. M. Marinetti a traduit lu
ien de l’église San Michele de Lucques […]. Une table méthodique, par écoles , des 300 planches contenues dans tout l’ouvrage f
20 superbes héliogravures d’après des œuvres appartenant à toutes les écoles et où l’on admire particulièrement une Madone ave
des Primitifs italiens où la grâce à la fois raffinée et candide de l’ école siennoise n’était représentée que par de rares pe
re ce vœu, il use d’un terme franchement grossier et non des termes d’ école primaire qu’on lui prête : « mourir » ou « s’en a
inci. Et sans le rendre responsable de la médiocrité encombrante de l’ école préraphaélite anglaise, il est juste de remettre
hiqué, tout le pédant et le conventionnel dont sont contaminées dès l’ école notre pensée et notre sensibilité françaises. Il
ormelles, contre un homme de la valeur de l’ancien directeur de notre École d’Athènes, à qui les fouilles de Délos et de Delp
santé et la longévité des chefs-d’œuvre. Or, prenez le programme de l’ école du Louvre, vous n’y trouverez pas un seul cours p
pratique d’ordre littéraire ou industriel. C’est pourquoi les jeunes écoles littéraires, d’en deçà comme au-delà des Alpes, f
n des idées mystiques de quelques groupes rénovateurs, ou de quelques écoles de très vieille tradition ; j’entends bien moins
et Severini. Le premier, qui est, si on peut dire, le théoricien de l’ école , a un air intrépide et loyal qui dispose aussitôt
11, p. 859-862 [862]. […] Les tableaux formaient un bel ensemble de l’ école romantique. Tous atteignirent des prix élevés. S
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
che (?) dans les mémoires du comte de ***. Voyez ce que c’est que les écoles différentes, les diverses manières de voir la nat
34 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
. 382-384 [383]. […] Au Louvre : nouvelle acquisition : une peinture, école italienne du xve  siècle, portrait de jeune femme
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
t des majoliques de la Renaissance, 646 tableaux, pour la plupart des écoles italiennes du xive et du xve  siècle, fut ensuit
36 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
Le numéro de février contient les réponses de MM. A. Landry, de notre École des Hautes Études, O. Lodge, de l’Université de B
t à fait désavantageuse : les Italiens ne peuvent fonder de nouvelles écoles , ni même développer celles qu’ils y possèdent, et
ion, parce que, comme je l’ai dit, ce n’est pas l’heure des maîtres d’ école  : il y a autre chose à faire : il faut vaincre po
37 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
colonnes, tout cela ne forme qu’un tout, une harmonie et l’art d’une école . Les monuments peuvent être nés de pensées différ
38 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
ble à ce mélange de vérité et de rêve, parce que les maîtres des deux écoles commençaient à ennuyer le monde avec l’absolu de
‑549 [540‑544]. Je m’avoue assez ignorant des productions de la jeune école italienne intitulée vériste. J’ai trouvé jadis un
de pour abandonner tout d’un coup les formations bien alignées de l’«  école de compagnie ». Mais, cette fois, ils rompent les
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
nière de la république qui avait fini par devenir stérile, l’ancienne école , maintenant tombée, des généraux et des diplomate
40 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
inera les derniers jours du xixe  siècle. Des musiciens amis, de même école , de même chapelle ou petite chapelle, échangent à
oux et solennel, mais encore avec toute l’incorporalité mystique de l’ école de Pérugin. Vasari prétend que la tête centrale n
41 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
iment d’un travail solide, mis en juste lumière, indépendant de toute école et des préoccupations exclusivement propagandiste
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