ui pouvoient être désavantageuses ; & fit paroître l’impromptu de
Versailles
. L’impromptu de Versailles, comédie en un acte en
geuses ; & fit paroître l’impromptu de Versailles. L’impromptu de
Versailles
, comédie en un acte en prose, représentée à Versa
L’impromptu de Versailles, comédie en un acte en prose, représentée à
Versailles
le 14 octobre 1663, & à Paris sur le théatre
ere par un endroit plus sensible. Ce qui regarde, dans l’impromptu de
Versailles
, les comédiens de l’hôtel de Bourgogne, peut avoi
a premiére scéne du second en vers, le reste en prose,) représentée à
Versailles
le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du pa
cin, comédie en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à
Versailles
le 15 septembre 1665, & à Paris sur le théatr
on le 5 février 1669. avoient été représentés à la suite des fêtes de
Versailles
,30 le 12 may 1664, en présence du Roi & des R
u, comédie en trois actes en prose, représentée avec des intermédes à
Versailles
le 15 juillet 1668, & à Paris, sans interméde
tionner son jeu, s’étendoit jusques sur ses camarades. L’impromptu de
Versailles
, dont le sujet est la répétition d’une comédie qu
on le remerciement que Moliere fit au Roi à ce sujet. L’impromptu de
Versailles
, comédie en un acte en prose, représentée à Versa
L’impromptu de Versailles, comédie en un acte en prose, représentée à
Versailles
le 14 octobre 1663, & à Paris sur le théatre
re du palais royal le 4 novembre de la même année. 22. Impromptu de
Versailles
, scéne I. MOLIERE. Taisez-vous, ma femme, vo
a premiére scéne du second en vers, le reste en prose,) représentée à
Versailles
le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du pa
cin, comédie en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à
Versailles
le 15 septembre 1665, & à Paris sur le théatr
1667, & depuis sans interruption le 5 février 1669. 30. Fêtes de
Versailles
en 1664. sixiéme journée. 31. ibidem. 32. Premi
mier placet sur Tartuffe. 33. Les trois premiers actes représentés à
Versailles
le 12 mai 1664, le furent encore à Villers-côterè
u, comédie en trois actes en prose, représentée avec des intermédes à
Versailles
le 15 juillet 1668, & à Paris, sans interméde
musait déjà ses parents, était fréquemment amené à Saint-Germain ou à
Versailles
, par madame Scarron ; qu’ainsi le roi avait habit
reçus chez la reine ; alors on les établit, avec leur gouvernante, à
Versailles
. Elle eut des entrées à la cour, et y trouva du c
its. » Ces lettres sont postérieures à l’établissement des enfants à
Versailles
, c’est-à-dire à 1674. En effet, pour que le roi f
out ce qui regarde mes affaires essentielles. » Une lettre, datée de
Versailles
, le 6 août, au même abbé Gobelin, ne laisse aucun
ence ou d’une concession, était au fond un défi. Une lettre écrite de
Versailles
, à Gobelin, sans date, lui annonce un nouveau don
ar Bourdaloue, et de l’époque où les enfants étaient souvent amenés à
Versailles
et où ils étaient près d’y demeurer. Cette lettre
s besoin d’excuse. Molière devenu nécessaire au roi pour mes fêtes de
Versailles
et du Louvre, poète de tous les divertissements d
n’était pas loin du 14 octobre, jour de la grande fête projetée pour
Versailles
, et où devait être joué L’Impromptu de Versailles
fête projetée pour Versailles, et où devait être joué L’Impromptu de
Versailles
, pièce où les marquis sont l’objet du plus sangla
’il faisait était récompensé ; ce qui trois mois après L’Impromptu de
Versailles
, que le roi et Madame durent sur les fonts de bap
ois de ses ennemis, ordre auquel il obéit en composant L’Impromptu de
Versailles
, où il ne craignit pas d’en faire mention à plusi
contraste. Détails biographiques sur les acteurs de L’Impromptu de
Versailles
J’ai pensé que quelques détails biographique
roupe de Molière était composée à l’époque où fut joué L’Impromptu de
Versailles
, se rattachaient assez naturellement au commentai
ait été généralement reçue. Lorsque nous lisons, dans L’Impromptu de
Versailles
, qu’ il faut qu’un roi de théâtre soit gros et gr
n un acte et eu prose, par laquelle il crut répondre à L’Impromptu de
Versailles
, est au-dessous de rien. Au reste, un homme un pe
le quitta le théâtre avec une pension de 1 000 francs, et se retira à
Versailles
, où elle mourut le 6 janvier 1683. Notice hi
janvier 1683. Notice historique et littéraire sur L’Impromptu de
Versailles
La sottise et l’envie avaient décrié L’École
ec sa troupe, du 11 au 26 octobre 1663 : le titre même d’Impromptu de
Versailles
, exprime à la fois ces deux circonstances, du lie
eur du Mercure galant et des deux Ésope. Molière, dans L’Impromptu de
Versailles
, s’était moqué de la déclamation emphatique et ou
tfleury, que la parodie des comédiens de l’hôtel, dans L’Impromptu de
Versailles
, n’est qu’une facétie usée, dont l’auteur payait
e tort de Molière, qui l’ont le plus durement blâmé. « L’Impromptu de
Versailles
, dit Voltaire, est une satire cruelle et outrée…
on art ne lui fut pas infidèle. Le sujet véritable de L’Impromptu de
Versailles
est la satire des acteurs, des auteurs et des cou
e des comédies de Molière sous le rapport de l’action, L’Impromptu de
Versailles
, et la plus forte peut-être à tous égards, Le Tar
oi, et quelques-uns par le roi, à Vaux, à Fontainebleau, au Louvre, à
Versailles
, à Saint-Germain, à Chambord, aux Tuileries, avan
ntre deux collations et parmi beaucoup de jets d’eau, dans le parc de
Versailles
. Monsieur de Pourceaugnac remplit le même office,
st presque toujours improvisé. Ce n’est pas seulement un Impromptu de
Versailles
que Molière imagine, par l’ordre du roi et pour s
(dont les trois premiers actes, il est vrai, furent d’abord essayés à
Versailles
quelques jours après le divertissement de l’île e
nts ». Je n’espère pas renouveler jamais les splendeurs de Vaux ni de
Versailles
. Si pourtant je possédais demain une bicoque à la
in, était ami de Molière. Ils se trouvèrent un jour l’un et l’autre à
Versailles
au dîner du roi. Sa majesté dit à Molière : « Voi
sième Placet qui se voit à la tête de son Tartuffe. Étant tous deux à
Versailles
au dîner du roi, Sa Majesté dit à Molière : « Voi
ois de mai pour l’armée des Pays-Bas, prit Dinan le 29 et ne revint à
Versailles
que le 18 ou le 20 juillet. Pendant ce temps-là,
e vu madame de Montespan, et déjà il avait fait parvenir ses ordres à
Versailles
, pour qu’elle s’y trouvât au moment où il y arriv
un dernier effort114. Il se rendit au-devant du roi, à huit lieues de
Versailles
, et parut devant lui. Il n’eut pas besoin de parl
raconte à sa fille l’arrivée du roi. « Le roi arriva dimanche matin à
Versailles
; la reine, madame de Montespan, et toutes les da
ait un besoin. Une lettre que madame de Maintenon écrit à Gobelin, de
Versailles
, sans date, mais qui est de peu de temps postérie
de tact et de goût la prose élégante de Marivaux ! L’Impromptu de
Versailles
. — La Troupe de Molière Quand Molière improvis
les. — La Troupe de Molière Quand Molière improvisa L’Impromptu de
Versailles
, il était arrivé au plus haut degré sinon de sa g
les petits êtres qui pullulaient à l’Hôtel de Bourgogne ; et cela, à
Versailles
, dans le palais du roi, en présence du roi ! — Il
depuis dix-huit mois. Pour ma part, je donnerais tout L’Impromptu de
Versailles
pour cette charmante scène entre Molière et sa fe
des femmes, et pour revenir à cette comédie heureuse, L’Impromptu de
Versailles
qui lui sert de pendant, nous ferons une observat
en même temps et ses comédiens et son public ! Certes, L’Impromptu de
Versailles
a longtemps été la comédie la mieux jouée de tout
le salon de mademoiselle Molière, situé comme il était entre Paris et
Versailles
, sur les limites de deux mondes qui venaient à el
du comédien qui devait prendre un si grand rôle dans les plaisirs de
Versailles
, de Chambord et de Chantilly, ce fut chez ce même
t-Cloud, à Fontainebleau, à Saint-Germain, que soit bâti le palais de
Versailles
, riait volontiers des petits messieurs que déjà M
iquant dans la Critique de l’École des femmes, et dans L’Impromptu de
Versailles
, sa façon d’obéir aux lois qu’un pédagogue a renf
che, en un même esprit, tant de variété féconde ; un langage digne de
Versailles
, un patois digne des halles. Le sceptre et le bât
Plaisirs de l’île enchantée (inauguration du palais et des jardins de
Versailles
en 1664), les jeunes comédiennes mêlées aux jeune
’épée périra par l’épée , et qui montre aux plus galants seigneurs de
Versailles
, au jour favorable des chandelles, une belle pers
, nous comprenons toutes vos gaietés, Sire, dans les enchantements de
Versailles
, au bruit de vos mille jets d’eau, entouré des pl
i, madame de Maintenon écrivait à son frère : « Le roi arrive lundi à
Versailles
, et nous y allons dimanche (elle et le duc du Mai
t par le roi à madame de Montespan : « Ah, ma fille ! quel triomphe à
Versailles
! quel orgueil redoublé ! quel solide établisseme
triomphante. » Le 2 juillet, elle apprend à sa fille le retour d’Io à
Versailles
, où elle fait son service près de Madame. Le 7 ju
vous a montré les plus beaux esprits et les plus grands seigneurs de
Versailles
, tenus en respect par une coquette nommée Célimèn
ue jour, des petits ridicules qui obéissent à Paris, qui commandent à
Versailles
; il s’agit des plus chers intérêts de la conscie
aux poèmes, ni à l’esprit, ni au génie de M. Bulwer. Les Fêtes de
Versailles
. — Lulli, Molière et Quinault. — L’Amour médecin.
r et de velours ? Vous l’avez dit, vous l’avez nommé, l’enchanteur de
Versailles
naissant, le vrai poète de ces poésies, le collab
on dans sa grotte du mont Lathmos. En ce moment, tous les colibris de
Versailles
chantaient la chanson des oiseaux de Lesbie : Je
uit violes et quatorze luths ! Voilà donc comment se passait la vie à
Versailles
. « Le roi, comme un autre Godefroy, assis sur son
À eux trois, ces grands amuseurs, ils se furent bien vite emparés de
Versailles
, et de ses amours ; à eux trois, ils se mirent à
ière met en œuvre ses comédiens et sa comédie. Relisez L’Impromptu de
Versailles
, dans lequel Molière et Brécourt, de La Grange et
é, on sent que ces messieurs et ces dames se rappellent qu’ils sont à
Versailles
et qu’ils sont les hôtes du Roi. — C’est surtout,
uvenir de ces fêtes, ces aimables et chers souvenirs de l’histoire de
Versailles
: La Vallière, Montespan, dont le nom se mêle enc
de rouge, grimpe, au moyen d’une échelle, aux mansardes du château de
Versailles
; la sentinelle crie : Qui vive ? le monsieur ne
eu n’est rien moins que Louis XIV, le grand roi, le maître du pompeux
Versailles
, l’élégant amoureux de tant de beautés fameuses,
t se compose le grand siècle. — Elle a entendu les premiers bruits du
Versailles
naissant ; elle a vu fleurir les premières fleurs
ble intrigue), nous nous trouvons encore une fois dans les jardins de
Versailles
. Dans ces jardins de Versailles, nous retrouvons
s encore une fois dans les jardins de Versailles. Dans ces jardins de
Versailles
, nous retrouvons cette esquisse beaucoup trop tra
lauriers, un million de paysans sont morts à la peine pour vous bâtir
Versailles
. »Il lui reproche ses peintres, ses poètes, ses p
t forcé, dit Voltaire, d’exiler de Rome son propre frère, d’envoyer à
Versailles
son neveu, le cardinal Chighi, faire satisfaction
an, de la part du roi : — « Notre gracieux roi vous permet de quitter
Versailles
. » Bragelone déclame contre les vanités de la vie
blouissante de pourpre et d’or, non pas même le jour illustre où dans
Versailles
ressuscité, dans la salle hardiment et royalement
emmes, les Fâcheux, la Critique de l’École des femmes, l’Impromptu de
Versailles
, la Princesse d’Élide, le Mariage forcé, le Tartu
édée de quelque autre Divertissement, le plus souvent de l’Eglogue de
Versailles
, et quelquefois du Ballet de Villeneuve Saint-Geo
t faite des Comédiens de l’Hôtel de Bourgogne*, dans son Impromptu de
Versailles
. Beauchâteau et de Villiers y jouaient des rôles
rs noms propres. Tome I, p. 453-454 Cette Pièce [L’impromptu de
Versailles
] est une conversation satyrique dans laquelle Mol
t partie des Fêtes superbes que Louis XIV, dans son nouveau Palais de
Versailles
, donna à la Reine sa mère, et à Marie-Thérèse, so
du Tartuffe avaient été représentés à la sixième journée des fêtes de
Versailles
le douze mai 1664, en présence du Roi et des Rein
i, en écoutant les trois premiers Actes de cette Comédie aux Fêtes de
Versailles
, ne se rappelait point la part qu’il avait à cett
jeu de ses camarades. On en voit une image fidèle dans l’Impromptu de
Versailles
. Rien de ce qui pouvait rendre l’imitation plus v
les critiques fines et judicieuses, dont cette Pièce [L’Impromptu de
Versailles
] est parsemée, que Molière a ouvert les yeux des
emmes, les Fâcheux, la Critique de l’École des femmes, l’Impromptu de
Versailles
, la Princesse d’Élide, le Mariage forcé, le Tartu
on l’inhumât en terre sainte. La femme de Molière alla sur le champ à
Versailles
se jeter aux pieds du Roi, pour se plaindre de l’
. C’est ce qui lui valut les sarcasmes de Molière dans l’Impromptu de
Versailles
. Ce qui n’empêcha pas ce dernier de se souvenir,
truit des théâtres provisioires à la cour (Saint-Germain, 1666, 1670,
Versailles
, 1668), collabore avec Molière (La Princesse d’Él
urtout avec Lully jusqu’en 1680 (les Fêtes de l’Amour et de Bacchus à
Versailles
, 1668, puis de l’Académie royale de musique Cadmu
g et Wikipédia). 101. Orléans, Philippe, duc d’ (Saint-Cloud 1674 –
Versailles
1723) : régent de France. (Le Petit Robert des no
clamation retentissante, dont Molière s’est moqué dans l’Impromptu de
Versailles
. Il est l’auteur d’une tragédie, la Mort d’Asdrub
villes, l’Heureux Événement en collaboration avec Derozée, fut joué à
Versailles
le 23 décembre 1751. il eut deux fils comédiens q
bergers dont il peuplait l’Elide ou la vallée de Tempé transportées à
Versailles
. Mais quand on veut étudier sous toutes ses faces
. Sur le même ton, sinon sur le même air, les bergères de la Fêle de
Versailles
632 chantent à leurs bergers : CHLORIS. Le zéphy
, sixième entrée de ballet. 632. 1668. 633. Relation de la Fête de
Versailles
du 18 juillet 1668. 634. Relation de la Fête d
Fête de Versailles du 18 juillet 1668. 634. Relation de la Fête de
Versailles
du 18 juillet 1668, par Félibien. 635. Satir
III. 652. Les infidélités de Mlle de Molière commencèrent en 1664, à
Versailles
, pendant les représentations des Plaisirs de l’Il
des conversations ordinaires des personnes du monde. L’impromptu de
Versailles
, comédie en un acte et en prose, représentée sur
s la peinture de l’amour-propre, et de la vanité des femmes. Fêtes de
Versailles
, en 1664. Le Mariage Forcé , comédie-ballet, en
ruire, quoiqu’il y ait plusieurs ridicules exposés fortement. Fête de
Versailles
, an 1668. Monsieur de Pourceaugnac , comédie-ba
irs, et particulièrement à toutes les belles fêtes qui se faisaient à
Versailles
, à Saint-Germain, à Fontainebleau et à Chambord,
ectionner son jeu s’étendait jusque sur ces camarades. L’Impromptu de
Versailles
, dont le sujet est la répétition d’une comédie qu
École des femmes, comédie en un acte, en prose, 1663. L’Impromptu de
Versailles
, comédie en un acte, en prose, représentée à Vers
’Impromptu de Versailles, comédie en un acte, en prose, représentée à
Versailles
et à Paris, 1663. La Princesse d’Élide, comédie-
a première scène du second en vers (le reste en prose), représentée à
Versailles
et à Paris, 1664. Le Mariage forcé, comédie-ball
in, comédie en trois actes, en prose, avec un prologue, représentée à
Versailles
et à Paris, 1665. Le Misanthrope, comédie en cin
, comédie en trois actes, en prose, représentée avec des intermèdes à
Versailles
, et sans intermèdes à Paris, 1668. Monsieur de P
ois actes, en prose, de M. Molière, représentée avec des intermèdes à
Versailles
, le lundi 16 juillet, selon Robinet, et selon Fél
pendant son absence, il résolut de faire une fête dans les jardins de
Versailles
, où, parmi les plaisirs que l’on trouve dans un s
ur de juillet 1668, le roi étant parti de Saint-Germain, vint dîner à
Versailles
avec la reine, Monseigneur le Dauphin, Monsieur e
nade. » (M. Félibien fait la description d’une partie des jardins de
Versailles
, et poursuit ainsi.) « À côté de la grande allée
admiration qu’on ne peut assez exprimer. » La suite de cette fête de
Versailles
ne regardant plus le genre du théâtre, nous croyo
n vers de Robinet, du 21 juillet 1668. Dans le parc de ce beau
Versailles
, Qui n’est pas un lieu de broussaille, …………………………
t rire, Jusques à notre grave sire, Dans son Paysan mal marié *, Qu’à
Versailles
il avait joué : Et dans son excellent Avare Que
de Tartuffe avaient été représentés à la sixième journée des fêtes de
Versailles
le 12 mai 16641, en présence du roi et des reines
as permettre qu’on l’inhumât. La femme de Molière alla sur-le-champ à
Versailles
, se jeta aux pieds du roi pour se plaindre de l’i
trigue », p. 4 et suiv. [*]. [Note marginale] Relation de la fête de
Versailles
, du 18 juillet, par M. Félibien. a. Beauchamp, S
er placet sur Tartuffe. a. « Les trois premiers actes représentés à
Versailles
le 12 mai 1664 le furent encore à Villers-Cotterê
itique n’a jamais su que blâmer trop ou louer trop170. L’Impromptu de
Versailles
est une belle chose171. Dans cette comédie unique
te qui eut pu être grand et qui avait du génie, témoin L’Impromptu de
Versailles
. Ce qui manque à son comique, voyez-vous, Monsieu
gique, c’est un bon mot. § 93. 170. § 36. 171. Avec L’Impromptu de
Versailles
, Jean-Paul nomme aussi le Tartuffe, qu’il appelle
cheux, dans la Critique de l’École des Femmes, et dans l’Impromptu de
Versailles
. Quelle bonne satire du raffinement d’esprit sub
ée de raisonner290 ! » Et cette marquise façonnière de l’Impromptu de
Versailles
, qui se déhanche si bien, et se fait tant prier p
90. La Critique de l’École des Femmes, sc. II. 291. L’lmpromptu de
Versailles
(1663) ; sc. III. 292. Id., sc. I. 293. « L’a
École des Femmes et la Critique de l’École des Femmes, l’Impromptu de
Versailles
, le Misanthrope, le Mari confondu, les Femmes sav
ands escaliers abandonnés de Vaux, escaliers aussi grands que ceux de
Versailles
de grosses et larges couleuvres. Colbert a triomp
e la liberté d’Aristophane. Molière fit jouer aussitôt l’Impromptu de
Versailles
. Acteurs de l’hôtel de Bourgogne, auteurs envieux
s un homme à laisser échapper de si bonnes occasions. L’impromptu de
Versailles
est une des petites pièces les plus curieuses de
ier les rudes atteintes que Molière lui a portées dans l’Impromptu de
Versailles
. « Le beau sujet à divertir la cour que M. Boursa
aient de lui, car la Critique de l’Ecole des Femmes et l’Impromptu de
Versailles
formaient deux réponses admirables, deux plaidoir
l’avons dit, de la vengeance commune. A l’imitation de l’Impromptu de
Versailles
, il composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. C’es
passion pour La Vallière ; ce fut pour elle qu’il commença à agrandir
Versailles
. Il fuyait la cour de Saint-Germain, afin de se t
sses. Un tableau que l’on voit dans la galerie actuelle du château de
Versailles
la représente transformée en Diane,, un carquois
bellissait aux yeux du roi les bois de Satory, de Ville-d’Avray et de
Versailles
, comme une divinité cachée. A cette époque eurent
iamants. Mais bientôt l’imagination elle-même cesse de s’intéresser à
Versailles
, lorsque le règne de La Vallière est fini, et que
valeur des serments des rois et s’est condamnée à une dure expiation,
Versailles
, privé de sa fée, apparaît livré aux désordres du
ières en titre, n’ont plus de charme; elles jettent sur le château de
Versailles
un éclat vif et brillant, éblouissant, il est vra
flatter les amours du roi, lorsque Molière écrivit, pour les fêtes de
Versailles
, la Princesse d’Elide; en tirant sa pièce de More
is que Molière composa pour la cour, fut joué le 22 septembre 1665, à
Versailles
. Cette pièce était commandée : faite, apprise et
fut suivi de Georges Dandin, pièce jouée pour la première en 1668, à
Versailles
, dans une fête donnée par Louis XIV. La pièce de
lesse oisive, vaniteuse, libertine, attaquée déjà dans l’Impromptu de
Versailles
; dans le Bourgeois gentilhomme, et plus tard enc
enre de déclamation qui fût alors connu. Moliere, dans l’Impromptu de
Versailles
77, osa en faire sentir le ridicule, et y critiqu
e, ou les Plaisirs de l’Isle enchantée, comédie-ballet, représentée à
Versailles
au mois de may 1664131. « Cette pièce réussit, et
e, 1669 ; Le Campagnard dupé, comédie, 1671. Beauchateau175, morte à
Versailles
le 6 janvier 1683. C’étoit la plus ancienne coméd
. Moliere à son tour, pour se venger de Boursaut, fit l’Impromptu de
Versailles
, où il le nomma par son nom et le traita très-mal
ita très-mal. Cette petite comedie en prose fut d’abord représentée à
Versailles
au mois d’octobre 1663, et, le 4 novembre suivant
me de François Chastellet, sieur de Beauchasteau, mourut subitement à
Versailles
, le 4 février 1683. (Moliériste, VIII, 141.) 176
199. L’Impromptu de l’Hôtel de Condé, 1664, réponse à l’Impromptu de
Versailles
. 200. Nouvelles tragi-comiques de Scarron, t. I.
sez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet du Roy. 207. A
Versailles
. 208. Le vendredi 15 février 1664. 209. Avec le
ouvoir mieux se défendre qu’en attaquanta. » 1663. L’Impromptu de
Versailles
Comédie en prose, en un acte, de M. Molière, r
sailles Comédie en prose, en un acte, de M. Molière, représentée à
Versailles
le 14 octobre 1663 et à Paris sur le théâtre du P
ns lui pouvaient être désavantageuses, et fit paraître L’Impromptu de
Versailles
. Boursault n’y est pas épargné, il y est nommé av
re par un endroit plus sensible. « Ce qui regarde dans L’Impromptu de
Versailles
les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne peut avoir
u second en vers, le reste en prose), de M. de Molière, représentée à
Versailles
le 8 mai, et sur le théâtre du Palais-Royal, le 9
s agréments qui peuvent faire admirer une maison de campagne, choisit
Versailles
à quatre lieues de Paris. C’est un château qu’on
nt cueillis, Son visage et sa riche taille, Charmèrent, dit-on, tout
Versailles
: Puis le soir, on fit un repas, Si plein de supe
irs de l’Île enchantée fussent terminées, tous les divertissements de
Versailles
ne l’étaient pas ; et la magnificence et la galan
ois actes, en prose, avec un prologueb, par M. Molière, représentée à
Versailles
le 15 septembre, et à Paris sur le théâtre du Pal
retourne avec vous pour finir cette affaire. » a. Quoique la Fête de
Versailles
en 1664, dans laquelle la comédie-ballet de La Pr
e 4 janvier 1665. Registre de Molière. [*]. [Note marginale] Fête de
Versailles
en 1664. *. [Note marginale] Première JOURNÉE. L
II, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act. I, sc. I. 382. L’Impromptu de
Versailles
, sc. I. — Boileau : .......Cette bilieuse,
Satire X, v. 626. 383. L’Impromptu de
Versailles
, sc. I, la Peste doucereuse. 384. Le Tartuffe,
ct. V, sc. VII. 395. Id., act. III, sc. V. 396. L’impromptu de
Versailles
, sc. I – Comparez le Tartuffe, act. IV, sc. V :
’Ecole des Femmes, Comédie en Prose, un Acte, 1663. X. L’Impromptu de
Versailles
, Comédie en Prose, un Acte, 1663. XI. La Princess
ique par Lully, tels que l’Ydille sur la Paix, & que l’Eglogue de
Versailles
. Il avoit composé dans la premiere jeunesse du Ro
is premiers Actes de la Comédie du Tartuffe avoient été representez à
Versailles
, dès le mois de Mai 1664. mais elle ne parut en c
impunément être faux & frippon. La Branche. Pour moi, je suis, à
Versailles
, son secrétaire ; à l’auberge, son valet-de-chamb
s si long-temps à Paris ? La Branche. Rien, Monsieur. Il va souvent à
Versailles
. M. de Cornichon. A-t-il une charge chez le Roi ?
isions à cet homme de Robe ? La Branche. Votre secrétaire l’expédia à
Versailles
. Le Comte. A Versailles ! Et la lettre de cachet
be ? La Branche. Votre secrétaire l’expédia à Versailles. Le Comte. A
Versailles
! Et la lettre de cachet ? La Branche. Votre écu.
et charmé, n’était pas rebuté, ou ne se rebutait pas. Mais en 1680, à
Versailles
, le prince galant et libertin était affligé ; le
s et j’en reprends la suite. Au mois de mars 1682, le roi s’établit à
Versailles
. Il exila plusieurs des jeunes gens des familles
r le roi très aimable et très chrétien à la messe, quand il viendra à
Versailles
; elle parle de la simplicité de la chambre qu’el
de semblable. » Le bonheur de Marie-Thérèse dura peu. Elle mourut à
Versailles
le vendredi 30 juillet 1683, âgée de quarante-cin
rs, qu’il considérait comme l’ornement le plus précieux de la cour de
Versailles
! Combien on l’eût étonné cependant, ce grand sei
t sans doute qu’il avait rencontré Molière et sa comédie au milieu de
Versailles
, dans tous les salons, dans tous les jardins, à l
tête de ce mouvement se faisait remarquer le jeune roi qui bâtissait
Versailles
; du parti de la résistance était la duchesse de
ut permis à Molière de jouer à la cour ses trois premiers actes. — De
Versailles
, la pièce passa à Villers-Cotterets, de Villers-C
ue leurs jeunes passions y trouvaient leur compte, parce que le jeune
Versailles
, donnait ainsi un démenti formel à la vieille cou
entre lui ou ses ennemis ; sinon plus de comédies pour le château de
Versailles
, ce qui était une grande menace à faire à Louis X
ns toutes les magnificences de ce beau lieu ; la majesté du palais de
Versailles
, c’étaient les grands hommes qui entouraient ce r
jesté du roi Louis XIV, je n’irais pas m’amuser à citer les pompes de
Versailles
, ni cette suite de guerres et de victoires, ni ce
’un pareil malaise ? C’était bon pour vous, sire, dans les jardins de
Versailles
, au murmure de vos mille jets d’eau, entouré des
son génie ; il se disait qu’il serait le favori du roi qui régnait à
Versailles
et du peuple de France ! De sa naissante comédie
inte au désespoir monte en carrosse pour aller supplier le ministre à
Versailles
. Mais que peut faire le ministre ? Déjà la comédi
est-ce là pour représenter Alceste ! Alceste, le nouveau débarqué de
Versailles
, ce beau gentilhomme qui est élégant malgré lui,
? qu’il y avait, autrefois, deux sociétés bien différentes, Paris et
Versailles
, la ville et la cour ; ces deux sociétés étaient
ait esquissés d’une main si délicate et si hardie dans L’Impromptu de
Versailles
. Quelle touche ingénieuse et en même temps quel r
par la vérité, tout-puissants par la parole, parés comme on l’était à
Versailles
, imitateurs studieux, qui allaient à l’Œil-de-Bœu
sprit que le ciel avait faite pour être une grande dame de la cour de
Versailles
, et que son humble naissance a réduite à n’être t
ppartient à la ville ; elle est placée à moitié chemin de Paris et de
Versailles
. Toute la cour se rend chez elle, il est vrai, ma
n’est pas tout. Lorsque les comédiens italiens allaient représenter à
Versailles
, à Saint-Germain-en-Laye, à Chambord, à Fontaineb
n, tant pour lui que pour ses compagnons, pour cinq comédies jouées à
Versailles
pendant les six derniers mois de 1688… 390 liv. »
au retour de la chasse, à une pièce italienne que l’on avait donnée à
Versailles
; le roi dit, en sortant, à Dominique : « Voilà u
s, l’Auteur a très bien fait de choisir ce titre. Dans l’Impromptu de
Versailles
, il n’est question que d’une répétition de comédi
une répétition de comédie, qui pouvoit se faire partout ailleurs qu’à
Versailles
: ainsi ce titre n’est pas merveilleux. Titre
vrage sous la protection du roi ; le fait seul de sa représentation à
Versailles
devenait une sauvegarde. L’occasion était heureus
ontrer ; tous les arts et tous les plaisirs accouraient à sa voix, et
Versailles
éblouissait la France de la magie de ses fêtes et
ta et il écrivit. Les trois premiers actes du Tartuffe, représentés à
Versailles
le 16 mai 1664, le furent encore à Villers-Cotter
vots depuis la première apparition du Tartuffe sur la scène royale de
Versailles
; mais Molière, dans une profession solennelle de
ndie qu’il avait faite des hommes et du monde ? Peut-être Louis XIV à
Versailles
se serait cru forcé de défendre l’ouvrage ; le ro
valle qui s’écoula entre la représentation des trois premiers actes à
Versailles
, et le moment où il fut permis de jouer la pièce
après l’essai des trois premiers actes du Tartuffe sur le théâtre de
Versailles
, essai qui fut le signal donné à la foule de ses
jamais faite sur les misères de l’humanité. Étienne. 1. Fêtes de
Versailles
, sixième journée et premier placet sur le Tartuff
es, notamment, du Médecin malgré lui, de l’Avare et le l’Impromptu de
Versailles
. Le cou est très court, la tête enfoncée dans les
ière parmi les quatre amis qui s’en vont écouter, dans les jardins de
Versailles
, la lecture du poème nouveau ; mais rien ne s’opp
La Fontaine de « l’espèce de société » qui unissait les promeneurs de
Versailles
. On sait dans quelles circonstances, au mois de d
s, il a lui-même usé et abusé du droit de défense, que l’Impromptu de
Versailles
n’est pas précisément l’œuvre d’un homme sans res
ns par l’exposition complaisante qu’il en a faite dans l’Impromptu de
Versailles
: il consistait essentiellement à « réciter le pl
t la fortune de plusieurs acteurs. On devine bien, par l’Impromptu de
Versailles
, qu’il avait un grand talent d’imitation ; il le
line de ses comédiens. Lorsqu’il s’adresse à eux, dans l’Impromptu de
Versailles
, écoutez de quel style il leur parle : « Je crois
esté le divertissement qu’elle sembloit attendre. » Une autre fois, à
Versailles
, il imagine de faire un marquis ridicule cherchan
ée : Le Portrait du peintre, ou la Contre-Critique. L’Impromptu de
Versailles
, Petite pièce en un acte et en prose, représen
de Versailles, Petite pièce en un acte et en prose, représentée à
Versailles
le 14 octobre 1663 et à Paris le 4 Novembre de la
, ou Les Plaisirs de l’Île enchantée, Représentée le 7 Mai 1664, à
Versailles
, à la grande fête que le roi donna aux reines. Le
mour médecin, Petite comédie en un acte et en prose, représentée à
Versailles
le 15 septembre 1665, et sur le théâtre du Palais
Mari confondu, Comédie en prose, et en trois actes, représentée à
Versailles
le 15 de juillet 1668, et à Paris le 9 de novemb
vant du Tartuffe. Les trois premiers actes avaient été représentés à
Versailles
devant le roi le 12 mai 1664. Ce n’était pas la p
cacher l’endroit par où elles pourraient plaire. « Ce pays se nomme
Versailles
; il est à quelques quarante-huit degrés d’élévat
Pantagons. » Hélas ! cinquante ans plus tard, dans ce même palais de
Versailles
qui était la citadelle imprenable de cette royaut
ori sans mérite, pour quelques vers improvisés, obtient un logement à
Versailles
; de nos jours, on a vu le maître absolu d’un jou
tin, des broderies, des insignes, des armoiries et des grands noms du
Versailles
enseveli dans la poudre du 10 août ! D’ailleurs,
née pour ainsi dire sur le théâtre, au beau moment du siècle passé, à
Versailles
, au beau milieu du plus grand monde. Son père, le
ans, — l’âge de la jeune débutante ! Ces deux enfants étaient nées à
Versailles
le même jour, et pour ainsi dire à la même heure,
rents au bruit des révolutions ! 39. Mademoiselle Mars était née à
Versailles
, le même jour que S. A. R. madame la Dauphine. Af
9 juillet 1674, dans la troisième journée des fêtes qui eurent lieu à
Versailles
après la conquête de la Franche-Comté. Toutefois
du roi pour la musique, et une seconde fois pour la représentation de
Versailles
du 19 juillet 1674, chez Guillaume Adam, libraire
s hauteurs du pouvoir offensé. On l’entend sortir des appartements de
Versailles
. Il semble à trois gredins dans leur petit cerve
ouis XIV avait chargé des inscriptions à mettre sous les peintures de
Versailles
, et de la composition des médailles de son règne,
cules, les Fâcheux, la Critique de l’École des Femmes, l’Impromptu de
Versailles
, le Misanthrope, le Bourgeois gentilhomme. 157.
, act. III, sc. I. 177. Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de
Versailles
, sc. II, IV, VI, VII, VIII, IX. 178. L’École de
; la Critique de l’École des Femmes, sc. VII, Lysidas; l’Impromptu de
Versailles
, sc. I, III, du Croisy; le Misanthrope, act. I,
obligeant730. Dans la Critique de l’École des Femmes, l’Impromptu de
Versailles
, le Festin de Pierre, le Misanthrope, le Mari con
732. Le Misanthrope, act. I, sc. II, Oronte. 733. L’lmpromptu de
Versailles
, sc. IV-IX. 734. Le Misanthrope, act. III, sc.
, II, Dorante. Voir plus haut, chap. IV, p. 79. 737. L’lmpromptu de
Versailles
, sc. I. 738. Les Femmes savantes, act. IV, sc.
as permettre qu’on l’inhumât. La femme de Molière alla sur-le-champ à
Versailles
, se jeter aux pieds du roi, pour se plaindre de l
ensemble, accompagnés de quelques dames ; on fut bien aise d’aller à
Versailles
pour le visiter avant que la cour y vienne. Ce se
ctrices. Madame de Maintenon veut toujours se retirer ; elle écrit de
Versailles
à Gobelin le 15 juin au soir : « J’ai prié madame
art, tour à tour et tout à la fois riante et sérieuse, qui a enchanté
Versailles
et Paris, après avoir enchanté la province par le
tespan, s’était montrée très souriante à Molière pendant les Fêtes de
Versailles
, mais je ne crois pas qu’il eut sa part des plais
a du Parc Mlle Du Parc mit le feu aux quatre coins de Paris et de
Versailles
, mais ce qui lui donne sa renommée rayonnante, c’
d’amour ; par exemple, entre autres preuves, relisons L’lmpromptu de
Versailles
: Mlle Du Parc. Mon Dieu ! pour moi je m’acquit
ies de la comédienne en s’adressant à Mlle Hervé, dans L’Impromptu de
Versailles
: « Et pour vous, vous êtes la soubrette de la p
qu’elles soient, n’ont jamais remplacé le soleil. Dans L’Impromptu de
Versailles
, où Molière joue un marquis ridicule ; Du Croisy,
Molière la peint ainsi, en s’adressant à elle dans cet Impromptu de
Versailles
: « Pour vous, vous représentez une de ces perso
caractère de ses rôles ; par exemple, dans le poète de L’Impromptu de
Versailles
, Molière l’invitait « à marquer cette exactitude
ce se soumit avec une dignité exemplaire quand Mlle Desmares reçut de
Versailles
l’ordre « d’étudier les rôles de Mlle Beauval dan
e me trompe, Mlle Desmares arriva un soir au théâtre avec un ordre de
Versailles
qui l’appelait à jouer les rôles de servantes de
nymphe et un très joli Cupidon dans les divertissements de Molière à
Versailles
et au Palais-Royal ; aussi je m’étonne qu’elle ne
George Dandin, une de L’Avare. Il y eut un autre voyage de la Cour à
Versailles
, les 4, 5 et 6 décembre ; mais la Cour n’y prit d
ordent pas sur le lieu, Valincour disant Saint-Germain, Racine disant
Versailles
, il se peut, en définitive, que le spectacle n’ai
illes, il se peut, en définitive, que le spectacle n’ait eu lieu ni à
Versailles
ni à Saint-Germain, mais à Paris. S’il en était a
Boursault, que Molière nomme, en toutes lettres, dans L’Impromptu de
Versailles
, en réponse au Portrait du peintre, que celui-ci
ans les pièces de second plan, telles que Les Fâcheux, L’Impromptu de
Versailles
, La Comtesse d’Escarbagnas. Ces productions du gr
lais-Royal avait quitté Paris le 30 avril pour se rendre aux Fêtes de
Versailles
; la rentrée eut lieu le dimanche 25 mai par L’Éc
, est pleine de Molière : Racine ne connaît pas encore L’Impromptu de
Versailles
; il n’a pas vu personnellement l’auteur depuis h
gnito le 3 juillet, et voulait lui offrir un échantillon des Fêtes de
Versailles
. Molière ferma donc son théâtre. Les comédiens du
ta d’autant mieux que la troupe fut encore appelée pour douze jours à
Versailles
où le Roi, parmi ses divertissements et ses chass
e ; car Molière ne se piqua pas de reproduire le brillant appareil de
Versailles
; on ne voit pas du moins dans le registre de La
qu’en effet La Princesse d’Élide, jouée d’original dans le jardin de
Versailles
sur une scène sans machines, se réduit à aussi pe
désavoue — se désavouait lui-même le plaisir du théâtre. Aux fêtes de
Versailles
, parmi tous les bonheurs dont on félicitait la Ma
-même, avec son ami Baptiste, dans les ballets du roi, au Louvre et à
Versailles
. Ce n’est pas tout : Molière était venu à Paris e
ral sur la soirée du jeudi 21 octobre et la reprise de L’Impromptu de
Versailles
. La salle était loin de présenter l’aspect de la
trait du peintre contre Molière. Celui-ci y répond par L’Impromptu de
Versailles
, et a le tort d’y nommer Boursault. Il assiste à
cdote d’un pauvre. Entrée de l’acteur Hubert dans sa troupe. Fêtes de
Versailles
: La Princesse d’Élide ; détails sur les fous de
9 juin 1663 annonça à la fois sa maladie et sa convalescence. C’est à
Versailles
, le 29 mai, qu’il était tombé malade, et comme, a
, ce personnage, voyant un jour Molière traverser une des galeries de
Versailles
, l’aborda avec les démonstrations d’un homme qui
is après, à la représentation des trois premiers actes du Tartuffe, à
Versailles
, Louis XIV ne se rappelait plus qu’il eût part à
e des femmes, par M. Boursault. Molière et sa troupe étaient mandés à
Versailles
, où la cour s’était rendue de Vincennes, et où il
res de ce portrait qu’on avait fait de lui. La troupe était arrivée à
Versailles
le 16, elle en repartit le 23 ; c’est donc dans c
fut donné L’Impromptu, « dit, à cause de la nouveauté et du lieu, de
Versailles
», ajoute La Grange, dont le Registre ne nous fai
bliques incriminations méritaient un châtiment public. L’Impromptu de
Versailles
fut représenté le 4 novembre suivant sur le théât
nt, à l’hôtel de Condé, où ils jouèrent La Critique et L’Impromptu de
Versailles
. Dans sa préface, Boursault, ne sachant que dire
tout à fait dispensé de timides ménagements, et, dans L’Impromptu de
Versailles
, livra leur jeu à la risée du parterre. Le seul F
romptement tombé dans l’oubli, le tour de la Réponse à l’Impromptu de
Versailles
, ou la Vengeance des Marquis de De Visé. C’était
iage de ce prince avec Anne de Bavière, La Critique et L’Impromptu de
Versailles
. Vainement encore a-t-on vu Montfleury fils intit
0 avril, « la troupe, dit La Grange, est partie par ordre du Roi pour
Versailles
, et y a séjourné jusqu’au xxiie mai ». Molière p
incesse d’Élide concourut à l’éclat d’une journée des fêtes données à
Versailles
au mois de mai 1664 par le Roi à la Reine et à la
ent, commencèrent dès lors à se produire. Laissa-t-il ses camarades à
Versailles
et suivit-il le Roi à Fontainebleau pour essayer
par la manière dont elle s’en acquitta, les suffrages de tout ce que
Versailles
renfermait alors de plus brillant, et les jeunes
Villers-Cotterêts pour le frère du Roi en septembre, et au château de
Versailles
du 13 au 25 octobre. Racine, La Grange nous le fa
e. Les trois actes du Tartuffe applaudis, mais défendus, aux fêtes de
Versailles
, furent donnés au mois de septembre suivant à Vil
courtisans grossissaient les rangs de ses ennemis acharnés. Appelé à
Versailles
avec sa troupe pour y jouer, le vendredi 12 juin,
inq jours, proposé, fait, appris et représenté. La cour l’applaudit à
Versailles
le 15 septembre70, la ville confirma son jugement
acets qui précèdent Le Tartuffe. Ils se trouvaient un jour ensemble à
Versailles
, au dîner du Roi, quand le prince dit à son valet
une foule de grands seigneurs, comme à celle du duc de Saint-Aignan :
Versailles
abondait en rimeurs, De leurs vers fatigants lec
nnaissance de chacun d’eux ; aussi s’écrie-t-il dans son Impromptu de
Versailles
: « Les étranges animaux à conduire que des coméd
ture à celui qui, dans la Grèce, eût mérité des autels ? »Elle alla à
Versailles
se jeter aux pieds du Roi, et se plaindre de l’in
t-il pas à peindre encore, comme il l’avait dit dans son Impromptu de
Versailles
, « ceux qui se font les plus grandes amitiés du m
L’École des femmes, Molière et le Marquis ridicule de L’Impromptu de
Versailles
, Moron et Lyciscas de La Princesse d’Elide, Alces
n’appartenait qu’aux femmes de qualité. Molière, dans L’Impromptu de
Versailles
, nomme sa femme « mademoiselle Molière », et La F
r, chez De Sercy et ses cessionnaires. 44. Réponse à l’Impromptu de
Versailles
, ou la Vengeance des Marquis (par De Visé), scène
est du côté du premier. Le Roi et la cour n’arrivèrent de Vincennes à
Versailles
que le 15. 53. Sc. iii de La Vengeance des Marqu
n héroïque et royale ». Louis XIV, la Reine et leur cour partirent de
Versailles
le 14 mai 1664 et arrivèrent à Fontainebleau le 1
e 1729.) XXXIV. XXXIV. Lorsque Moliere sut mort sa femme alla à
Versailles
se jeter aux pieds du Roi pour se plaindre de l’i
a plaisanterie plus agréable au Roi devant qui elle fut représentée à
Versailles
, il y joua les premiers Médecins de la Cour avec
auquel état est jointe la dépense de quelques comédies représentées à
Versailles
pendant ledit mois de novembre 1670. livres.
étition du ballet à Saint-Germain, et pour les comédies de l’Hôtel, à
Versailles
… 7916 10 (Dans lesquelles 7916 liv. 10 s. les c
et, dont la musique était de Lulli, fut joué, le 15 septembre 1665, à
Versailles
, où il eut trois représentations de suite. Le 22
éprit sur l’intention satirique de l’auteur. « On a joué depuis peu à
Versailles
, dit-il, une comédie des médecins de la cour, où
pour se venger, La Critique de l’École des femmes, et L’Impromptu de
Versailles
. Poète comblé des faveurs du roi, il avait compos
it humain que dans les salons de Paris, la nature que dans le parc de
Versailles
, la poésie que dans les œuvres parées de l’approb
des palais modernes343. Qu’on se figure Louis XIV dans sa galerie de
Versailles
, entouré de sa cour brillante : un Gilles couvert
jour, le duc de La Feuillade rencontrant Molière dans les galeries de
Versailles
, courut à lui comme pour l’embrasser, et lui pren
ai 1664, une fête éblouissante fut donnée dans ce splendide palais de
Versailles
, à mademoiselle de la Vallière relevée de ses pre
s tirades de Cléante, qui firent, cinq ans après la représentation de
Versailles
, le salut du Tartuffe et de Molière devant le gra
à la ville ; Le Misanthrope fut représenté à Paris. La foule dorée de
Versailles
était frondée aux applaudissements du public pari
Villiers, Lettres sur les affaires du théâtre. 426. L’Impromptu de
Versailles
, scène i. 427. Lettre sur les affaires du théât
Armande qu’elle en reçoit un autre du même genre dans l’Impromptu de
Versailles
, représenté le 14 octobre suivant : « Mlle Molièr
querelle de directeur et de mari qu’il introduit dans l’Impromptu de
Versailles
laisserait même croire qu’il vivait encore à ce m
d’insister sur l’insinuation de son prédécesseur. Dans l’Impromptu de
Versailles
, Molière avait dit du Portrait du peintre de Bour
pièce ne fut jouée qu’après le départ de l’abbé, le 8 mai 1664, et à
Versailles
. Une nouvelle et double aventure se serait greffé
ttitude, de son énergie. Accompagnée du curé d’Auteuil, elle courut à
Versailles
se jeter aux pieds du roi ; elle supplia, mais av
lant succès. Avertissement du commentateur [Relation de la fête de
Versailles
] La comédie de George Dandin fit partie des d
rtie des divertissements dont se composa la fête magnifique donnée, à
Versailles
, par Louis XIV, le 18 juillet 1668, après la conq
les intermèdes dont la représentation de la comédie fut accompagnée à
Versailles
seulement, imagina d’imprimer la Relation toute e
qu’une fête magnifique fût donnée, le 18 juillet, dans les jardins de
Versailles
. Après la collation et avant le souper, la comédi
i mettent la royauté en évidence et en honneur. En 1663, les fêtes de
Versailles
font oublier le carrousel de l’année précédente.
is elle se montra dépouillée de tous ces brillants accessoires qui, à
Versailles
, en avaient fait du moins un plaisir pour les yeu
ierre ; les trois premiers actes avaient été représentés aux fêtes de
Versailles
, en mai 1664 ; et la pièce entière l’avait été au
& de la Phedre de Racine. Cette piece fut jouée le 8 Mai 1664 à
Versailles
, & le 9 Novembre de la même année, à Paris, s
rois actes, en prose, avec un prologue, représentée devant la Reine à
Versailles
, le 17 Juillet 1730. La Capricieuse, comédie en t
roi, le 29 septembre 1662, en octobre 1663 à Chantilly et deux fois à
Versailles
. Il essaya même de la reprendre en novembre 1663
e, cette galerie de portraits pris sur le vif dans une antichambre de
Versailles
. La scène était de niveau et comme de plain-pied
par le cérémonial, des heures où l’étiquette chôme ou se relâche ? À
Versailles
, à Saint-Germain ou à Fontainebleau, au petit jou
rps, chargé, de placer à la petite salle de comédie dans le palais de
Versailles
, fit sortir avec humeur un contrôleur du roi qui
cour. En huit jours, Molière composa et fit apprendre L’Impromptu de
Versailles
, qui fut représenté entre le 15 et le 19 octobre
de 1682 ; mais le roi ne partit de Vincennes que le 15 pour rentrer à
Versailles
). Molière avait reproduit fidèlement dans La Crit
il triomphe. » L’autre pièce qui servit de réplique à L’Impromptu de
Versailles
, et qui devança très probablement la Vengeance de
ue Le Cid dans le genre tragique. Molière termine avec L’Impromptu de
Versailles
la lutte où sa personnalité était engagée. Il ava
un prélude, dit M. Bazin, aux brillantes folies que devait éclairer à
Versailles
le soleil de mai. Cette fois, en effet, il ne s’a
er à ces joies fastueuses que la jeunesse du roi faisait rayonner sur
Versailles
, il scruta la cour et la ville, il pressentit le
moment du règne, les dessous, pour ainsi dire, étaient encore agités,
Versailles
, avec ses splendeurs sereines, faisait contraste.
de la troupe : « Le vendredi 12 juin, écrit-il, la troupe est allée à
Versailles
par ordre du roi, où on a joué Le Favori dans le
sont datées ordinairement des brillantes fêtes de l’an 1664. C’est à
Versailles
que son bonheur conjugal reçut, dit-on, de mortel
tre amis : Polyphile, Ariste, Acanthe et Gélaste, dans les jardins de
Versailles
. On a cherché naturellement à reconnaître ceux qu
ie. Le 15 septembre 1665, les comédiens du roi allèrent représenter à
Versailles
une petite pièce intitulée L’Amour médecin, faite
èrent à reconnaître les principaux médecins de la cour. « On a joué à
Versailles
, écrit Guy Patin, une comédie des médecins de la
blie pas, était donnée non plus à la cour elle-même, mais à la ville.
Versailles
, ce monde à part, paré et doré, est frondé comme
ue la ville avait possédé toute cette année, allait être ressaisi par
Versailles
. Lorsque le deuil de la reine mère fut terminé, l
octobre110. On ne voit pas son nom dans les représentations données à
Versailles
du 6 au 9 novembre. Cependant il est assez diffic
y eut sa part ordinaire, et c’est au milieu des splendeurs du nouveau
Versailles
que fut « jouée une petite pièce en prose, dit Fé
Majesté. On verra que ce prêtre se rendit, aussitôt Molière expiré, à
Versailles
avec la veuve, pour attester les bonnes vie et mœ
cueillie par Cizeron-Rival dans les papiers de Brossette, elle alla à
Versailles
se jeter aux pieds du roi pour se plaindre de l’i
les comédiens fussent appelés pour contribuer aux fêtes princières, à
Versailles
, à Saint-Germain, à Fontainebleau, à Chambord, à
e à la lettre ce que Molière dit de cette actrice dans L’Impromptu de
Versailles
: MADEMOISELLE DUPARC Mon Dieu! Pour moi, je m’a
re ; c’était un excellent acteur ; la simple phrase de L’Impromptu de
Versailles
: « Pour vous, je n’ai rien à vous dire », vaut l
de cette édition, mirent au jour Don Garde de Navarre, L’Impromptu de
Versailles
, Le Festin de Pierre. Mélicerte, Les Amants magni
urt joua encore deux fois après la dernière représentation de Timon à
Versailles
, et mourut trois mois et demi après cette représe
t-on, une partie du reproche que Molière adresse, dans L’Impromptu de
Versailles
, à Mlle Beauchâteau, de l’hôtel de Bourgogne. Dan
Sadite Majesté. Enjoint Sa Majesté au sieur de la Reynie, etc. Fait à
Versailles
, le 21 octobre 1680. Signé : Louis, et au bas C
é par M. J.-A. Le Roy, conservateur de la bibliothèque de la ville de
Versailles
, Paris, 1862. 108. Ces vers de Robinet (lettre d
oyez la lettre de Robinet du 5 novembre. 111. Relation de la fête de
Versailles
de 1668. 112. Il y avait une longue prairie le l
es jours de royales splendeurs. Où, Louis, rassemblant la France dans
Versailles
, Régnait, maître absolu des arts et des batailles
IDE, OU LES PLAISIRS DE L’ISLE ENCHANTÉE, Représentée le 7 Mai 1664 à
Versailles
, à la grande fête que le Roi donna aux Reines.
urs de sa cour. Quand il avait distingué une femme dans les salons de
Versailles
, le mari ne lui causait pas grand souci ; peut-êt
Quand il lui arriva de dire le fond de sa pensée, dans l’Impromptu de
Versailles
et la Critique de l’École des Femmes, il affirma
ace du Tartuffe. Voir plus haut, chap. I, p. 8. 828. L’lmpromptu de
Versailles
, sc. III ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
s donna une représentation extraordinaire, composée de L’Impromptu de
Versailles
, L’Ecole des maris, Le Bourgeois gentilhomme avec
La troupe du roi. » « Le vendredi 12 juin 1665, la troupe est allée à
Versailles
par ordre du roi ; on a joué le Favori dans le ja
s quels, avant même que le dénouement eût été écrit, devant le roi, à
Versailles
. Louis XIV est charmé ; il applaudit, et la cour
Lorsque, six mois après la représentation des trois premiers actes à
Versailles
, Molière fit représenter Tartuffe au Raincy, deva
nt étonné que son apparition ait été l’objet de fortes négociations à
Versailles
et de beaucoup d’hésitations dans Louis XIV. Si j
ment les conseils que Molière donne aux comédiens dans L’Impromptu de
Versailles
à ceux que donne Shakespeare à ses acteurs, au tr
âcheux. Arnolphe dans L’École des femmes. Molière dans L’Impromptu de
Versailles
. Sganarelle dans Le Mariage forcé. Moron dans La
re amis, ou chez les grands seigneurs, ses hôtes. Dans L’Impromptu de
Versailles
, sans aller plus loin, on le voit contrefaire tou
s, sans doute), La Vengeance des marquis, ou Réponse à l’Impromptu de
Versailles
(1664), nous voyons que Molière — l’auteur l’appe
e à peine de punition exemplaire. Car tel est nostre plaisir. Donné à
Versailles
, le 33e jour de Mars l’an de grâce 1675 et de not
Veut-on quelque chose encore de plus fort ? qu’on lise l’Impromptu de
Versailles
, on y verra Moliere nommer Boursault, sans lui fa
d’injures. M. de Voltaire dit encore, à l’occasion de l’Impromptu de
Versailles
, « qu’il eût été de l’honnêteté & de la biens
hé tout rouge. Un jour, il rencontra Molière dans une des galeries de
Versailles
, l’aborda avec l’apparence d’une chaude politesse
des merveilles et des féeries de toutes sortes son nouveau palais de
Versailles
. Molière et sa troupe étaient de ces fêtes, pour
es mains ; c’est dire que le roi avait applaudi. Molière triomphait à
Versailles
; il n’en était pas de même à Paris. Quand il y r
nimaient, pour croire qu’il y avait tout à craindre, revint en hâte à
Versailles
, afin de demander au roi sa protection pour l’œuv
lière, c’est que les récits partout répandus sur la représentation de
Versailles
et sur les lectures qu’il avait faites de sa comé
e cardinal-légat, envoyé en France par le pape, afin de renouer entre
Versailles
et Rome les relations rompues depuis 1662 par 1’i
e contre 1 auteur du Tartuffe. Depuis la représentation de la pièce à
Versailles
, à Villers-Cotterets, au Raincy, et à mesure que
évêque in partibus, il continua de vivre et d’intriguer à Paris et à
Versailles
. Il ne partit pour son évêché que quatorze mois a
e pour leur aînée. Le roi pourtant était depuis longtemps de retour à
Versailles
, et, en faisant jouer devant lui Georges Dandin e
en même monnaie, que par les traits bien aiguisés de son Impromptu de
Versailles
. Toute sa vengeance avait été de faire rire le mi
rtrait du Peintre, auquel Molière aussitôt riposta par L’Impromptu de
Versailles
. Pour ce qui est du marquis Turlupin, ce sera qui
se cachait et faisait feu derrière son nom. C’est dans L’Impromptu de
Versailles
, joué l’année d’après, qu’il prit le plaisir de c
i, par un double jeu, et il l’en paya doublement. Dans L’Impromptu de
Versailles
, le poète acteur est deux fois souffleté. Le coup
e fut donc prête, toute des premières. Dans le mois où L’Impromptu de
Versailles
, dont, comme le titre l’indique, la Cour avait eu
ailles, dont, comme le titre l’indique, la Cour avait eu la primeur à
Versailles
même, fut donné à Paris sur le théâtre de Molière
, il fit jouer, à l’Hôtel de Bourgogne : La Réponse de l’Impromptu de
Versailles
, ou La Vengeance des Marquis. Il se croyait des d
qui la ferait jouer dans son hôtel, comme le roi l’avait fait jouer à
Versailles
. Le Il décembre, M. le Prince s’en donna ainsi le
opos, ramassés partout, il écrivit un gros Mémoire et l’alla porter à
Versailles
. Qu’est-il devenu ? C’est ce que se sont demandé,
I. Le Tartuffe, dont les trois premiers actes ont été joués à
Versailles
, devant le roi et la Cour, le 12 mai 1664, aux fê
Louis XIV pour Mme de Montespan fut enfin révélée en plein soleil de
Versailles
, et celui où Molière fit représenter Amphitryon s
é, pour qu’il consentît à venir égayer de ses comédies le carnaval de
Versailles
, en 1668. Déjà, l’année précédente, il s’était fa
la Cour, il le donna sur son théâtre. Cette fois, contre l’ordinaire,
Versailles
, au lieu d’une primeur, n’eut que les reliefs du
plaire lui en fût offert par le poète. Une description des jardins de
Versailles
, adroitement glissée dans les premières pages du
s’entendit pour les démarches à faire, et jour fut pris pour aller à
Versailles
. Quand ce jour arriva, le privilège était enlevé,
onné de broderies et de rubans, c’est vraiment un brillant échappé de
Versailles
et des ruelles de Paris. Mlle Savary joue, avec u
’écrie-t-il, « démontré victorieusement que l’anecdote du déjeuner de
Versailles
n’était ni vraie, ni vraisemblable. Désormais, il
près, le 3 mars, la Centenaire de Molière fut jouée, devant le roi, à
Versailles
. Tous les journaux et même les livres se firent l
lle, édit. de la Bibl. elzévir., p. 202-203. 30. Dans l’Impromptu de
Versailles
, il dit qu’elle est naturelle, mais c’est pure ir
Critique de l’école des femmes ; Remerciement au roi ; L’Impromptu de
Versailles
. Molière employa toute cette année à repousser
rcier d’un bienfait ; et il acheva de les immoler dans L’Impromptu de
Versailles
. Ces trois ouvrages vont nous prouver successivem
ais qu’on ne peut mâcher sans faire la grimace. » L’Impromptu de
Versailles
. La Critique de l’École des femmes, loin d’i
IV lui permet, lui ordonne même de se venger. Soudain, L’Impromptu de
Versailles
, fait réellement en impromptu, paraît à la cour l
représenter de temps en temps, sur tous les théâtres, L’Impromptu de
Versailles
. Comme les entrepreneurs, les directeurs, peut-êt
eu de la vengeance. » L’auteur de L’Écossaise donne à L’Impromptu de
Versailles
le nom de satire outrée et cruelle ; il ajoute :
il lui ordonna de se venger ; et c’est à cet ordre que L’Impromptu de
Versailles
dut sa naissance. » Nous voilà, le lecteur et mo
toute-puissance. Remarquons, en finissant l’article de L’Impromptu de
Versailles
, que Molière a fait voir dans cet ouvrage un méri
tre eux dans La Critique de l’École des femmes et dans L’Impromptu de
Versailles
. Aussi Montfleury, leur camarade, fit jouer bien
orme. La Princesse d’Élide. Cette comédie-ballet fut jouée à
Versailles
, le 8 mai, et sur le théâtre du Palais-Royal, le
sonnifié la faculté entière. L’Amour médecin fut donné sans succès à
Versailles
, le 15 septembre, et réussit à Paris, le 22. Nous
i eut lieu, comme nous l’avons dit, à la sixième journée des fêtes de
Versailles
, le 12 mai 1664, « le roi la défendit pour le pub
n. George Dandin, ou le Mari confondu. Cette comédie parut à
Versailles
avec des intermèdes, le 18 juillet, et sur le thé
ajouterons à ce que nous avons dit dans l’article sur L’Impromptu de
Versailles
, pourquoi Cotin se permettait-il des railleries c
mœurs, et ne frappent les personnes que par réflexion. Impromptu de
Versailles
, scène III. ...Que son dessein est de peindre les
nge à la date de 1665 : « Le vendredi, 12 juin, la troupe est allée à
Versailles
, par ordre du roi, où l’on a joué Le Favori (trag
ôtel de Bourgogne, dirigée contre Molière en réponse à L’Impromptu de
Versailles
et représentée en 1663. 43. Chapuzeau nous expli
le secret de son art dans cette; admirable poétique de L’Impromptu de
Versailles
? Écoutez les deux, interlocuteurs mis en scène p
ir un exemplaire dans les bibliothèques de Paris. 29. Impromptu, de
Versailles
, scène III ; et dans, La Critique de l’École des
s amoureux sur madame Scarron avant qu’elle et les enfants vinssent à
Versailles
et s’y établissent. Il reste aussi que madame de
ans l’Impromptu de l’Hôtel de Condé, des épigrammes de l’lmpromptu de
Versailles
49. On lit, dans une lettre de Racine : « Montfle
isent et dirigeait sa troupe, nous fait assister, dans l’Impromptu de
Versailles
, à une répétition où elle figure presque en entie
ne jugea point à propos d’y faire droit116. Elle alla sur-le-champ à
Versailles
se jeter aux pieds du roi, accompagnée du curé d’
a attaqués dansla Critique de l’École des Femmes, dansl’Impromptu de
Versailles
, et dansles Femmes savantes. 14. J. B. Rousseau,
ie, et de sentir Molière lui-même. 49. Molière, dans l’lmpromptu de
Versailles
, s’étant moqué de la déclamation de Montfleury, c
de son École des Femmes(voir les notes et la Notice de l’Impromptu de
Versailles
, tome III de cette édition). 62. Pierre Belllocq
y fusse présent (novembre 1663). »— « Je n’ai point vu l’Impromptu de
Versailles
, ni son auteur, depuis huit jours ; j’irai tantôt
Fâcheux ;Arnolphe, de l’École des Femmes ; Molière, de l’Impromptu de
Versailles
;Moron et Lyciscas, de la Princesse d’Élide ;Alce
stimait beaucoup son talent, comme le prouve ce mot de l’Impromptu de
Versailles
(t. III, p. 274 de cette édition) : « Pour vous, j
es Dandin, du Sicilien, et du Mariage forcé, écrits pour les fêtes de
Versailles
. Il est inutile d’insister davantage, et de faire
r et de Bacchus, on joua Georges Dandin. La relation de cette fête de
Versailles
est donnée dans quelques éditions de Molière, mai
obinet, du 15 novembre 1670. J’ajoute encore, pour la fin Qu’à
Versailles
, et qu’à Saint-Germain, La Cour s’est des mieux d
ie Par un officieux mortel, Que les grands acteurs de l’Hôtel*, Audit
Versailles
ont fait merveilles, Charmant les yeux et les ore
Paris, directeur de l’Académie française, la mena ces jours passés à
Versailles
, pour remercier le roi de l’honneur qu’il a fait
irs, et particulièrement à toutes les belles Fêtes qui se faisaient à
Versailles
, à S. Germain, à Fontainebleau, et à Chambord, et
ur la Ville sur son théâtre, pour le Roi et la Cour à Fontainebleau à
Versailles
, à Chambord. Il eut des démêlés avec le parti dév
raire, par le rôle qu’il se donne, comme on sait, dans L’Impromptu de
Versailles
; mais dans le privé, avec ses amis, il parlait p
de l’intrigue. La Critique de L’École des femmes et L’Impromptu de
Versailles
La Critique de l’École des femmes et l’Improm
de Versailles La Critique de l’École des femmes et l’Impromptu de
Versailles
sont de petites pièces où Molière a exposé ses id
a pièce de théâtre qui soit plus pièce de théâtre que l’Impromptu de
Versailles
et que la Critique de L’École des femmes. Pour ce
ndamnable d’ailleurs, de Molière contre Boursault dans l’Impromptu de
Versailles
. Le Mariage forcé Le Mariage forcé n’est qu
tte pièce avait été commandée à Molière pour les fêtes de mai 1664, à
Versailles
. Pressé par le temps, Molière n’écrivit en vers q
u’ils n’eurent pas de succès à Paris, « qu’ils furent joués ensuite à
Versailles
, que l’on n’y fit point scrupule de s’y réjouir e
qui avaient cm se déshonorer de rire à Paris furent obligés de rire à
Versailles
pour se faire honneur ». Les connaisseurs jouent
e Molière. Cette pièce, dont trois actes avaient été joués en 1664. à
Versailles
, devant le Roi, avec applaudissement de celui-ci,
eu parce qu’ils sont de tous les lieux et de tous les temps, types de
Versailles
, types de Paris, c’est toute la matière de Voltai
il est curieux et ne laisse pas de faire penser. Dans l’Impromptu de
Versailles
, Molière suppose un marquis qui se demande si Mol
bien entendu, cette annonce, qu’il fait, non plus dans l’Impromptu de
Versailles
mais dans la Critique de l’École des femmes, dix
comme un prince accompli. Telles étaient les leçons que, en 1664, à
Versailles
, dans un divertissement écrit pour le Roi, Molièr
u moment de la plus grande faveur du Roi (les Fâcheux, l’Impromptu de
Versailles
, le Misanthrope). Songez qu’il joue Corneille, Co
r naturel ? La ressemblance avec la vie. Le passage de l’Impromptu de
Versailles
sur la déclamation théâtrale va très bien : « […]
était au-dessus de celle de la reine . De Compiègne, la cour revint à
Versailles
, et là le roi, dit toujours Mademoiselle, contin
édie de Boursault, si bien persiflé par Moliere dans son Impromptu de
Versailles
. 39. Vers de la Métromanie. 40. Alain René le
’est ce qui était arrivé. Déjà, Molière lui-même, dans L’Impromptu de
Versailles
, avait nommé injurieusement Boursault, qui, dans
aire fut représenté, pour la première fois, le 10 février 1673, non à
Versailles
ou à Saint-Germain, mais à Paris, sur le théâtre
que le 19 juillet 1674, dans la troisième journée d’une fête donnée à
Versailles
, au retour de la campagne où la Franche-Comté fut
nner à l’épigramme. La Critique de l’École des femmes, L’Impromptu de
Versailles
, petites pièces d’à-propos, sont des modèles de g
t l’engagea à quitter le théâtre. Mademoiselle Desmares, ayant paru à
Versailles
dans la comédie, reçut ordre de Monseigneur d’étu
p : on en trouve la preuve dans la première scène de son Impromptu de
Versailles
. Voici le passage : Molière, parlant à Mademoise
bras du second. Or. il se trouve que ce n’est pas à Chambord, mais. à
Versailles
, pendant les fêtes brillantes données en mai 1664
st là que nous le prenons en défaut. En effet, à la date des fêtes de
Versailles
, mai 1664, le comte de Guiche était en Pologne. U
ut au retour, il ne devait pas revoir la France. Lauzun n’était pas à
Versailles
. Le lieutenant aux gardes de service à Versailles
auzun n’était pas à Versailles. Le lieutenant aux gardes de service à
Versailles
était un vieillard, couvert de blessures, pauvre
çois Loyseau, ce bon curé d’Auteuil qui conduisit la veuve du poète à
Versailles
, lorsqu’elle alla se jeter aux pieds de Louis XIV
mois de mai 1663, il avait donné, en octobre suivant, l’Impromptu de
Versailles
; nouvelles explications charmantes encore, mais é
. Dès 1664, les trois premiers actes du Tartuffe furent représentés à
Versailles
devant le roi. Les dévots alarmés remuaient, prêc
riage (dans la Critique de l’École des Femmes, et dans l’Impromptu de
Versailles
) ? Cette fois il avait réuni, en un seul personna
par mille souterrains, et même en plein soleil, assiégeant le Louvre,
Versailles
, debout à toutes les portes. Louis XIV ne les lai
ous les acteurs de sa troupe, ainsi qu’on le voit dans l’Impromptu de
Versailles
? Et qui, plus que lui, a élevé la foule en Franc
es Femmes. Ce fut encore pis dans la Comedie intitulée l’Impromptu de
Versailles
, qui fut representé pour la premiere fois devant
Versailles, qui fut representé pour la premiere fois devant le Roi à
Versailles
le 14. d’Octobre 1663. à Paris le 4. de Novembre
pas encore dix-huit mois qu’ils étoient mariez lorsque l’Impromptu de
Versailles
fut representé & Moliere tout rempli de ses c
dans deux Livres de Remarques, que M. de Mauvillain & lui étant à
Versailles
au dîner du Roi, Sa Majesté dit à Moliere : Voilà
miers Actes de la Comedie du Tartuffe de Moliere furent representez à
Versailles
dès le mois de Mai de l’année 1664. & qu’au m
as permettre qu’on l’inhumât. La femme de Moliere alla sur le champ à
Versailles
se jetter aux pieds du Roi, pour se plaindre de l
, aussi ancien que le théâtre même. Un jour qu’on jouait par ordre, à
Versailles
, une pièce de Mme de Villedieu, — une aventurière
comme dit la chanson, un pied chaussé et l’autre nu ! L’Impromptu de
Versailles
, du moins, nous est resté, cet impromptu, où, met
t de ballets, qui contribuait si admirablement à l’éclat des fêtes de
Versailles
; mais quels qu’en fussent les motifs, cette prot
dépendante. Entre la dette payée en toute hâte aux divertissements de
Versailles
ou de Chambord, et ses cordiales avances à la jov
ais, grâce au bon curé d’Auteuil qui accompagna la veuve de Molière à
Versailles
, lorsqu’elle alla se jeter aux pieds du roi, pour
uette (1665) est postérieure à L’École des femmes et à L’Impromptu de
Versailles
, où ils ont été créés d’emblée par Molière, qui e
64, en des représentations particulières dont la première eut lieu, à
Versailles
, le lundi 12 mai, sixième avant-dernier jour des
terminé. Le 5 août, trois actes parurent devant le roi, aux fêtes de
Versailles
, et le prince de Condé fit jouer toute la pièce a
e poète seul est représenté d’après nature. 167. Dans L’Impromptu de
Versailles
, Molière avait injurieusement nommé Boursault, sa
ouvelles de Bocace, & un Conte de d’Ouville. Cette piece parut à
Versailles
le 15 Juillet 1668, & à Paris, sur le théâtre
(sc. VI, VII). C’est encore lui que joue Brécourt dons l’Impromptu de
Versailles
(sc.I, III) > et lui que fait Ergaste dans les
. C’est par les critiques fines & judicieuses dont l’Impromptu de
Versailles
est parsemé, qu’il a ouvert les yeux des comédien
ent, pour leur propre intérêt, jouer de temps en temps l’Impromptu de
Versailles
. Les mauvais acteurs enrageroient, les bons y gag
mirables couplets d’une malice populaire qui se chantaient de Paris à
Versailles
. Dorneval et Fuzelier aidaient Lesage, et ces tou
de claque et pour claqueurs, il avait Louis XIV et les courtisans de
Versailles
. — Mais revenons à l’Amphitryon. Plaute et Tér
se Fassent la plus longue des nuits ! On devait parler ainsi, à
Versailles
, chez le roi Louis XIV, à Chantilly chez le princ
à-bas ! Le calme heureux et quel sans-gêne bourgeois ! — Ici, dans le
Versailles
du xviie siècle, que de pompe, que d’éclat ! Que
ns son antichambre les plus jeunes et les plus élégants courtisans de
Versailles
, trahie par ses propres faiblesses, passa de main
ire, le mariage efface l’amour, les passions font place aux intérêts.
Versailles
s’est attristé tout aussi bien que le théâtre. To
je les entends tous, après Molière, les uns et les autres, à Paris, à
Versailles
, qui s’écrient et qui se récrient : — « On ne fai
tes ces vertus bourgeoises, ont fait pousser au public de Paris et de
Versailles
! Les hurleurs prétendaient en ce temps laque Mol
tmosphère était si fort chargée des miasmes catholiques ! Ce brillant
Versailles
était devenu si lourd, si triste, si pédant, si c
ames. Don Juan, en effet, n’a rien qui rappelle la galanterie du beau
Versailles
. C’est un brutal qui ne respecte rien, ni personn
elle était du temps, et ingénieusement travaillée58. L’Impromptu de
Versailles
, qui fut joué pour la première fois devant le roi
e, dans deux livres de remarques, que M. de Mauvilain et lui, étant à
Versailles
au dîner du roi, Sa Majesté dit à Molière : « Voi
miers actes de la comédie du Tartuffe de Molière furent représentés à
Versailles
dès le mois de mai de l’année 1664, et qu’au mois
ccasion. Mademoiselle Desmares, après la comédie où elle avait joué à
Versailles
, reçut ordre de Monseigneur d’étudier les rôles d
ière l’estimait beaucoup : on en voit la preuve dans son Impromptu de
Versailles
. Voici le passage : MOLIÈRE, parlant à mademois
les seconds rôles tragiques et comiques. Molière, dans l’Impromptu de
Versailles
, contrefit la déclamation outrée de cet acteur en
lles. (Les Frères Parfait, tome IX, page 411.) 61. L’Impromptu de
Versailles
fut joué en 1663. Il ne peut donc être ici questi
les papiers de Brossette. « Lorsque Molière fut mort, sa femme alla à
Versailles
se jeter aux pieds du roi pour se plaindre de l’i
§ 2. 535. L’École des Maris, act. I, sc. II. 536. L’lmpromptu de
Versailles
, sc. I : « Le mariage change bien les gens. » 53
: elle était du temps, et ingénieusement travaillée. L’Impromptu de
Versailles
, qui fut joué pour la première fois devant le Roi
te dans deux livres de remarques que Mr de Mauvilain, et lui, étant à
Versailles
au dîner du Roi, Sa Majesté dit à Molière : « Voi
miers actes de la Comédie du Tartuffe de Molière furent représentés à
Versailles
dès le mois de Mai de l’année 1664, et qu’au mois
Bourgogne : 53, 54, 57 Hubert Comédien : 34, 136 I L’Impromptu de
Versailles
: 52 L Lucrèce traduit par Molière : 321 Mr Lui
. 23. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.VI 24. L’Impromptu de
Versailles
, sc. III. Comparez à celte déclaration celle de l
i les gens de lettres, quelques ennemis : il put, dans l’Impromptu de
Versailles
, les ridiculiser devant toute la cour, contrefair
il fallait que Louis XIV aimât Molière, pour tolérer cet Impromptu de
Versailles
, encore brutal aujourd’hui, et qui ne dut point p
ge faisait courir venait à ses oreilles, tournant les yeux du côté de
Versailles
, il disait pieusement : … Faisons toujours ce qu
Dieu serait bien plus content, si Clagny était à cinquante lieues de
Versailles
. »En effet, Clagny était trop près de Versailles
cinquante lieues de Versailles. »En effet, Clagny était trop près de
Versailles
; Mmede Montespan fut rappelée, et le scandale co
bourgeois, les notables de paroisse, étaient disposés à blâmer ce que
Versailles
approuvait. » Ainsi, Molière se constituait le d
ue les censeurs de ses amusements parussent ridicules à Paris comme à
Versailles
. Mais, ainsi que le dit Bazin, l’entreprise n’all
mmalata, la feinte Malade, de Goldoni. Cette piece fut représentée à
Versailles
, le 15 Septembre 1665, & à Paris, sur le théâ
égligés pendant si longtemps et qu’on laisse refroidir L’Impromptu de
Versailles
: nous réclamerons au moins pour La Critique de L
oyés de désespoir, et que six bateliers ont repêchés, dans la Fête de
Versailles
(Relation de Félibien). 114. L’Etourdi, act. II
ue préciser les dates : nous discuterons après1. C’est en mai 1664, à
Versailles
; le jeune roi Louis XIV offre, en apparence aux
nsée ? Une question se pose tout d’abord. Pourquoi, lors des fêtes de
Versailles
, Molière ne joua-t-il que trois actes ? La pièce
es détracteurs. Molière revint encore aux marquis dans l’Impromptu de
Versailles
, petite pièce du moment, qui divertit beaucoup Lo
re de tous ses camarades, que Molière avait joués dans l’Impromptu de
Versailles
, où il contrefaisait leur déclamation emphatique.
Toutes ces satires ne firent pas grande fortune. Dans l’Impromptu de
Versailles
, Molière, emporté par ses ressentiments, eut le t
té représentés chez Monsieur en septembre 1664, et aussi aux fêtes de
Versailles
la même année. « Molière, dans le Festin de Pierr
n voit. Les trois premiers actes de cette piece furent représentés à
Versailles
, le 12 Mai 1664 ; à Villers-côterez, chez Monsieu
à ses funérailles ; Un Allemand, un Hollandois, Un Ministre allant à
Versailles
. Plaise, de grace, à Monseigneur Laisser, du haut
’autres témérités encore qui n’appartiennent qu’à lui, ce n’est pas à
Versailles
qu’il est allé les chercher, ou du moins ce n’est
r. Suivi d’un gros de courtisans, il rencontra bientôt après Lulli, à
Versailles
: Bonjour, lui dit-il en passant, bonjour, mon c
oms qui annoncent leur profession ou leur talent. Un homme en place à
Versailles
, a un cuisinier qui s’appelle réellement Mache-la
ont transformé la société, ils ont enseveli les pompes fastueuses de
Versailles
; il n’y a plus ni roi, ni cour; mais l’homme n’a
utres, telles que La Critique de l’École des femmes et L’Impromptu de
Versailles
, renferment de réelles discussions de principes e
ins habituelle; Racine, Boileau et Molière, lorsqu’ils avaient quitté
Versailles
, pouvaient vivre entre eux, et, délivrés de l’écr
tout particulier, La Critique de l’École des femmes et L’Impromptu de
Versailles
. Dans la seconde, Molière se moque avec beaucoup
itude, qui ne l’aimait qu’arrangée à son image, comme dans le parc de
Versailles
, vaste salon avec plus d’air et de soleil, il a d
e bourgeoise ; les marquis qu’on y voit figurer sont des familiers de
Versailles
qui, venus à la ville, se réunissent chez une fem
eton dont je vais vous citer un passage est extrait de l’Impromptu de
Versailles
. « Son dessein, dit-il, est de peindre les mœur
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