de Racine. Si l’on en croit La Harpe, qui se fonde sur l’autorité de
Voltaire
, madame de Sévigné a dit que Racine passerait com
fait cette prédiction doublement ridicule, mais il n’est pas vrai que
Voltaire
lui ait imputé de l’avoir faite. Voltaire dit seu
mais il n’est pas vrai que Voltaire lui ait imputé de l’avoir faite.
Voltaire
dit seulement : Elle croyait que Racine passerai
cine passerait comme le café 131. Ce n’était là qu’une conjecture de
Voltaire
; et sur quoi se fondait cette conjecture ? sur d
une époque où celui-ci n’avait pas encore fait ni son Iphigénie, que
Voltaire
regardait comme son chef-d’œuvre, ni Phèdre, ni A
ue Voltaire regardait comme son chef-d’œuvre, ni Phèdre, ni Athalie ;
Voltaire
a lu ces deux lettres et n’a probablement pas lu
ont aimé Racine et Corneille ! Combien d’esprits du premier ordre, et
Voltaire
en tête, les ont alternativement préférés ! combi
arme dans cette pièce. La Champmeslé y aurait fait mal au cœur. » Si
Voltaire
avait eu le loisir de lire madame de Sévigné, ave
in sur la nomination de Racine et de Boileau à la place d’historiens,
Voltaire
était plus capable que personne den sentir la jus
oi, il en est qui ne sont pas au-dessous des charmantes cajoleries de
Voltaire
pour le grand Frédéric132. Madame de Sévigné cite
ndé, dix-sept ans. Boileau trouvait ses élégies d’un agrément infini,
Voltaire
la cite dans Le Siècle de Louis XIV comme célèbre
, mais obséquieux. On les appelait, il y a soixante ans, des espèces.
Voltaire
avait son P. Adam, qui n’était pas le premier hom
estime de Montausier pour lui persuade qu’il n’était pas sans mérite.
Voltaire
, qui le déclare mauvais poète et prédicateur plat
s tard lui étaient nécessaires pour vivre. (Biographie.) 34. Note de
Voltaire
, sur son épître à Boileau.
me a mêlés à ses épigrammes, par restitue de Montausier, par celle de
Voltaire
, et surtout par leurs œuvres. C’est en parlant de
nté de tous les beaux esprits, qu’en tous lieux on vantât ses écrits.
Voltaire
aussi le déclare mauvais poète, mais homme fort
ète, mais homme fort savant, et, ce qui est étonnant, bon critique.
Voltaire
s’exprime ainsi sur Cottin : Non moins plat poète
s satires, bien qu’ils ne lui eusse ni donné aucun sujet de plainte .
Voltaire
ne tenait donc pas l’hôtel de Rambouillet pour dé
contre Boileau qui avait accablé Chapelain et Cottin par ses satires.
Voltaire
est évidemment dans l’erreur : c’est seulement en
s jours d’une femme de 82 ans. C’est pourtant sur cet anachronisme de
Voltaire
que se sont établis les principaux détracteurs de
celle de Molière. Toutes ces naïvetés-là ont changé de nuance jusqu’à
Voltaire
, qui fut libre, leste et gai, mais avec une reten
e madame Duchatelet lui avait fait sentir la convenance. Aujourd’hui,
Voltaire
lui-même nous dirait que Brantôme et Rabelais fur
contes, Molière indécent et grossier dans plusieurs de ses comédies.
Voltaire
, dans son Commentaire sur Corneille, a relevé com
rrailleur Scudéry en un lieu qui rime à duel et à cartel… Ce mot, dit
Voltaire
, est d’une grossièreté insupportable. Boileau, l’
leur intérêt ? J’en ai peur. La discussion renouvelée de Molière, de
Voltaire
et de Lessing sur la valeur dramatique des récits
acine même, sans les goûter. Fénelon, à la vérité, n’était pas, comme
Voltaire
, un homme de cour, ni comme Saint-Lambert ou l’ab
hospitalité passionnée. Madame Dacier corrigeait Homère par piété, et
Voltaire
écrivait Œdipe pour confondre Athènes et son poèt
e la postérité pût jamais avoir si mauvais goût ? Si l’on avait dit à
Voltaire
qu’au dix-neuvième siècle, en France, le plus gra
pompe uniforme de nos douleurs théâtrales366… « Ah ! se serait écrié
Voltaire
, je m’en étais bien douté ! Déjà l’on commence à
fessée par ceux qui la contredisent en théorie et en fait. Citerai-je
Voltaire
, exhortant les Français à s’élever au-dessus des
uperbe381 ? Deuxième exemple. — « Dans l’Iphigénie de Racine, a dit
Voltaire
, tout est noble. Achille parle comme Homère l’aur
pas se supporter383. » Que M. de Schlegel ait raison, ou que ce soit
Voltaire
, que cet anachronisme de langage et de mœurs, que
ue de poètes théologiens ; s’il est aisé de suivre dans le théâtre de
Voltaire
les préoccupations philosophiques du dix-huitième
er que Phèdre écrit avec une pureté qui n’a rien de cette bassesse. »
Voltaire
, Écrivains du siècle de Louis XIV. Dictionnaire p
» Ibid. 329. Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin. 330.
Voltaire
, Discours de réception à l’Académie française. 3
ançaise. 331. Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin. 332.
Voltaire
, Dix-huitième lettre sur les Anglais. Corresponda
Cours de littérature, seconde partie, chapitre iii, section 9. 334.
Voltaire
, Dictionnaire philosophique ; article Scoliaste.
eu bien raison de dire que Shakespeare n’était qu’un vilain singe. »
Voltaire
, Lettre à l’Académie française. Correspondance av
e, Lettre à l’Académie française. Correspondance avec La Harpe. 336.
Voltaire
, Du théâtre anglais. 337. Lettre à l’Académie f
tre à l’Académie française. 339. Ibid. et Du théâtre anglais. 340.
Voltaire
, Du théâtre anglais. 341. Dictionnaire philosop
Dictionnaire philosophique ; article Art dramatique. 342. Lettre de
Voltaire
à La Harpe, citée dans le Journal des débats du 2
à La Harpe, citée dans le Journal des débats du 23 avril 1865. 343.
Voltaire
fait cette remarque, à propos de Dante. Lettres c
e, à propos de Dante. Lettres chinoises, indiennes et tartares. 344.
Voltaire
, Lettre à l’Académie française. 345. Dictionnai
hinoises, indiennes et tartares. Dictionnaire philosophique. Ailleurs
Voltaire
réduit à vingt le nombre des bons vers de Dante.
ac que Le Misanthrope, on se trompe. » De la poésie dramatique. 364.
Voltaire
. 365. Lettre à l’Académie française sur l’éloqu
remarques et par une équitable distribution d’éloges et de critique.
Voltaire
a rapporté cet écrit dans son édition de Corneill
ses pièces à l’hôtel de Rambouillet, avant de les mettre au théâtre.
Voltaire
rapporte, d’après un écrit du temps, que mesdames
mbouillet trouvaient le christianisme trop exalté dans Polyeucte ; et
Voltaire
approuve ce jugement. Il attribue le succès de la
au pied de toutes les idoles, il a résisté au silence désastreux que
Voltaire
fit planer pendant un demi-siècle sur la tête de
chevalier de la Légion-d’Honneur et grand admirateur des tragédies de
Voltaire
. C’est à lui, à ce propriétaire, qu’on devra élev
ne arme. Avec Corneille on a battu Racine, avec Racine on a souffleté
Voltaire
, avec Voltaire vous savez qui. Molière a été la p
orneille on a battu Racine, avec Racine on a souffleté Voltaire, avec
Voltaire
vous savez qui. Molière a été la plus rude latte
es Précieuses ridicules ne fut point jouée d‘abord en province, comme
Voltaire
l’a répété d’après Grimarest, auteur d’une Vie de
i dire, scarronesque ; ce qui n’a pas empêché les meilleurs juges, et
Voltaire
entre autres, de reconnaître que le style du Cocu
tée par aucun de ceux qui connaissent l’histoire de l’art dramatique.
Voltaire
pensait de même au sujet de cette pièce, puisqu’i
’ancienne Rome, l’Italie du moyen âge, et l’Espagne moderne. Laissons
Voltaire
dire quelles obligations Molière eut à Térence, e
nt si bien exprimé. Je me réserve cependant de combattre l’opinion de
Voltaire
en ce qui regarde le dénouement de L’École des ma
posantes ont fortifié cette opinion, si elles ne l’ont établie. Selon
Voltaire
, le dénouement de L’École des maris « est le meil
our uniques modèles, l’homme de tous les temps et la société du sien.
Voltaire
dit avec raison : « Quand Molière n’aurait fait q
Cette comédie est d’un genre dont il n’existait pas encore de modèle.
Voltaire
a commis une erreur que d’autres ont répétée, en
[55, p. 89] Molière, en quelque sorte, remplaça
Voltaire
à l’académie : le fameux buste de ce comique, fai
ttres lui faisait bon accueil, et il avait pour ses amis Montesquieu,
Voltaire
et Saint-Lambert. Ses œuvres, tragédies, comédies
e et puissante, dont les rois ont besoin ; la république des lettres,
Voltaire
fut courtisan de Frédéric, mais Frédéric le fut d
lettres, Voltaire fut courtisan de Frédéric, mais Frédéric le fut de
Voltaire
. Napoléon disait de Corneille : S’il eût vécu de
ai entendu d’Alembert excuser par ce motif les paroles adulatrices de
Voltaire
au grand Frédéric et à l’impératrice de Russie. L
, le 9 septembre 1668. Les auteurs de l’Histoire du théâtre français,
Voltaire
, Bret, Cailhava, et tous ceux qui ont écrit depui
ce de Molière, un nommé Shadwell dont l’impertinence a ému la bile de
Voltaire
. Ce Shadwell dit en propres termes, que nos meill
nt par paresse. « Quand on n’a pas assez d’esprit, dit judicieusement
Voltaire
, pour mieux cacher sa vanité, on n’en a pas assez
uelle en Pourceaugnacs fourmille. « Pourceaugnac est une farce, dit
Voltaire
; mais il y a dans toutes les farces de Molière d
vernement féodal, voyait tout l’avenir dans les planètes. Il prédit à
Voltaire
qu’il ne passerait pas sa trente-deuxième année :
l prédit à Voltaire qu’il ne passerait pas sa trente-deuxième année :
Voltaire
fit mentir sa prédiction de cinquante-deux années
ssi romanesque. 1. « Ce n’est pas peut-être une idée fausse, dit
Voltaire
, de penser qu’il y a des plaisanteries de prose,
de prose, et des plaisanteries de vers. » 2. « Molière, dit encore
Voltaire
, avait écrit son Avare en prose, pour le mettre e
l qu’il était ; et que personne n’osa depuis y toucher. » J’ignore où
Voltaire
a pris ce fait qu’il rapporte avec tant d’assuran
elques-unes des formes propres à la versification. Depuis l’époque où
Voltaire
écrivait ces lignes, on a osé toucher à L’Avare,
rs magnifiques, qui durèrent sept jours, et à la description desquels
Voltaire
n’a pas dédaigné de consacrer plusieurs pages, ét
leur et de développements. « La comédie de La Princesse d’Élide, dit
Voltaire
, quoiqu’elle ne soit pas une des meilleures de Mo
s fêtes, mais qui sont perdus pour la postérité. » Il faut croire que
Voltaire
, lorsqu’il écrivit ces lignes, n’avait conservé d
rtonnés de l’édition de Paris, puisque, cinquante ans après (en 1730)
Voltaire
crut faire une révélation au public, en lui donna
s immédiat, et que l’un attire plus naturellement l’autre à sa suite.
Voltaire
n’a pas craint de faire entrer, dans son Commenta
monsieur fera dans le parti que vous lui faites embrasser.(I)262 (I)
Voltaire
adressa un pareil discours au fameux Lekain, lors
u dessein qu’il avait de monter sur le théâtre. Lekain n’écouta point
Voltaire
et s’en trouva bien, et le public aussi. Aujourd’
ire à lui ! gloire à Molière, le premier des poêles comiques ! 244.
Voltaire
. Jouffroy, Leçons d’esthétique. 245. Jouffroy.
littérature française. 250. Louis Moland. 251. Louis Moland. 252.
Voltaire
. 253. Chamfort, Éloge de Molière. 254. Louis Mo
ocat de la cour : Que c’est en courtisan qu’il en prend la défense.
Voltaire
, qui, à la vérité, avait une bonne raison pour ne
étranger, et qu’elle fut reçue d’abord assez froidement. Mais, ajoute
Voltaire
, les connaisseurs rendirent bientôt à Molière les
tuelle de madame de Sévigné. Secondement, c’est dans Boileau, et dans
Voltaire
même, que le commentateur a vu l’éloge du charman
succédèrent de fort près, si même elles ne marchèrent de front. Selon
Voltaire
, Anne d’Autriche avait apporté à la cour de Franc
e cette galanterie noble et fière et de cette liberté décente que
Voltaire
lui attribue. Mademoiselle de Montpensier s’expli
des Femmes savantes. Le style de l’Étourdi ne plaisait pas du tout à
Voltaire
qui y trouvait des fautes contre la langue. Pour
s du tout à Voltaire qui y trouvait des fautes contre la langue. Pour
Voltaire
est faute contre la langue tout ce qui s’éloigne
e raccommodement des deux amoureux. Comme sa très bien fait remarquer
Voltaire
, le prototype de ces scènes de rupture et de reto
ée. Les Précieuses ridicules On ne voit pas, quoi qu’en ait dit
Voltaire
, que les Précieuses ridicules aient été jouées en
ée comme une révolution littéraire.Une autre tradition recueillie par
Voltaire
veut qu’à une des représentations un vieillard se
vait étudier Molière et c’est ce qu’il faisait pour la première fois.
Voltaire
fait observer, à propos des Précieuses ridicules,
lent sans effort des sources naturelles. Il apparaît à la notice que
Voltaire
a écrite sur Don Garcie de Navarre qu’il ne l’ava
reste une pièce très bien faite, une des mieux faîtes de Molière, et
Voltaire
a grandement raison de lui donner cette louange.
oyecourt. Le piquant c’est que, d’après une tradition qu’a recueillie
Voltaire
, Molière, qui ignorait le jargon de la chasse, au
pense sérieusement Chrysalde. Nous reviendrons sur ce point. On voit
Voltaire
hésiter singulièrement sur l’École des femmes que
aisser faire à d’autres les ouvrages où ils ne mettent que du talent.
Voltaire
fait remarquer que la même année où la Princesse
s. Encore est-il que c’est une profonde vérité. Le Misanthrope.
Voltaire
a dit de Britannicus que c’est la pièce des conna
urs justes proportions les uns et les autres. C’est plaisir de copier
Voltaire
quand il a raison, parce que, quand cela lui arri
une finesse que jamais aucun auteur comique n’a connues comme lui ».
Voltaire
remarque tout aussi bien que Molière est le premi
u moment où Molière écrit cette comédie). Le Misanthrope, dit encore
Voltaire
, « est une peinture continuelle », mais une peint
enre de Molière, qui du reste a plusieurs genres. Il est probable que
Voltaire
n’a pas lu Mélicerte, ce qui, tout compte fait, e
a plus tard dans son Amphitryon. Le Sicilien ou L’Amour peintre
Voltaire
a pleinement raison _au jugement qu’il donne de L
ù Molière est, à mon avis, incontestablement supérieur à son modèle.
Voltaire
a recueilli une tradition qui veut que Mme Dacier
pas beaucoup ou se reproche de rire. Déjà du temps de Molière, selon
Voltaire
, qui a la tradition, « quelques personnes se révo
n Voltaire, qui a la tradition, « quelques personnes se révoltèrent».
Voltaire
ajoute que ces personnes « pouvaient considérer q
pudeurs de goût sont singulières et si l’on peut très bien approuver
Voltaire
de blâmer le mot de Frosine : « Je sais l’art de
ng qui a ajouté plusieurs traits fort heureux, à la pièce de Molière.
Voltaire
se moque avec raison d’un autre traducteur anglai
aris, Guillaume de Lamoignon, l’interdit. C’est à cette occasion, dit
Voltaire
, sans garantir l’authenticité de l’anecdote (« on
llie et que le mot n’a jamais été prononcé. Je le soupçonne d’être de
Voltaire
lui-même. Il est assez joli pour être de lui. Quo
ntît forcé, de quoi l’on ne peut que le plaindre. Je ne comprends pas
Voltaire
disant à propos de Monsieur de Pourceaugnac — à p
et c’est baladinage qu’il faudrait dire. Je soupçonne encore une fois
Voltaire
de s’être dispensé de lire Monsieur de Pourceaugn
je l’en soupçonne. Ce que j’approuve pleinement dans la demi-page de
Voltaire
sur Monsieur de Pourceaugnac, c’est ceci : « On n
aine, « aimable, quoique beaucoup trop allongé », comme dit très bien
Voltaire
, a des grâces naïves qui laissent bien loin derri
Scapin sont très haut dans l’échelle de la bouffonnerie épique. Avec
Voltaire
je regrette que ce soit cette pièce que Boileau a
temps, types de Versailles, types de Paris, c’est toute la matière de
Voltaire
. On voudrait plus. La grande lacune de la littéra
La pièce fut reçue d’abord assez froidement, en raison de sa beauté.
Voltaire
donne de cette défaveur relative une raison qui m
Oui, je crois en être sûr, Molière est aigri parce qu’il est malade.
Voltaire
ne songe pas à lui-même, comme aussi bien nous n’
nête homme de la pièce et le porte-parole de Molière : « L’homme, dit
Voltaire
, est comme le reste de la nature, ce qu’il doit ê
ont dans ses œuvres. Il y a deux propos, l’un de Rousseau, l’autre de
Voltaire
, qui semblent bien éloignés l’un de l’autre, et q
pour être honnête homme il suffit de n’être pas un franc scélérat. ».
Voltaire
: « Il a été le législateur des bienséances de so
ses de l’esprit. Mais ceci rentre précisément dans les bienséances et
Voltaire
a encore raison. Et c’est bien là ce milieu entre
r manger ; je n’en parle pas si ce n’est pour faire remarquer comment
Voltaire
a compris cette scène ce qui est instructif même
ne ce qui est instructif même pour entendre le caractère de Don Juan.
Voltaire
rapporte la scène du pauvre : « A la première rep
tre cause du peu de succès de la pièce. » Est-il assez singulier que
Voltaire
, d’abord connaisse si peu la mentalité du parterr
lie tout l’essentiel ? Car s’il n’y avait dans cette scène que ce que
Voltaire
en cite, il n’y aurait qu’une raillerie irréligie
Non, Monsieur, j’aime mieux mourir de faim… » Voilà seulement ce que
Voltaire
oublie, ce qui prouve que voilà ce à quoi il n’a
-dire que le caractère satanique de Don Juan a complètement échappé à
Voltaire
, que Voltaire ne s’est pas aperçu que Don. Juan e
aractère satanique de Don Juan a complètement échappé à Voltaire, que
Voltaire
ne s’est pas aperçu que Don. Juan est le méchant.
r qui les ouvrages de Molière ont été un objet d’étude et de travail.
Voltaire
était d’un avis tout contraire à celui de M. Peti
t cet échantillon d’un travail qu’il ne devait pas exécuter lui-même,
Voltaire
ne semblait-il pas inviter les gens de lettres à
s inutiles pour l’histoire de notre langue4. On a beaucoup reproché à
Voltaire
la forme un peu tranchante de ses remarques gramm
nt rempli d’une foule d’anecdotes apocryphes ou de contes populaires,
Voltaire
, dont ces défauts ont justement révolté le jugeme
à la raison et à la vérité ; je ne rejette pas non plus tous ceux que
Voltaire
exclut de son rapide et ingénieux récit, uniqueme
e de ravaler encore aujourd’hui, quoiqu’un des meilleurs disciples de
Voltaire
, La Harpe, et Voltaire lui-même, n’aient pas trou
ourd’hui, quoiqu’un des meilleurs disciples de Voltaire, La Harpe, et
Voltaire
lui-même, n’aient pas trouvé au-dessous d’eux d’y
it pour sa défense, ni même s’il crut devoir se défendre. Mais, selon
Voltaire
, plusieurs personnes, indignées d’une telle calom
que Molière n’avait connu la mère qu’après la naissance de la fille.
Voltaire
nous laisse ignorer quelle preuve elles fourniren
scène, un petit tableau rempli de grâce et de gaieté68 est rejeté par
Voltaire
au nombre de ces historiettes qui ne méritent auc
es. L’abbé de Châteauneuf, le dernier amant de Ninon et le parrain de
Voltaire
, raconte l’anecdote suivante : « Je me rappelle,
la langue se formait et marchait rapidement vers sa perfection. 4.
Voltaire
, dans son Commentaire sur Corneille, ouvrage dont
s, serais-je dispensée Àsuivre, à son exemple, une ardeur insensée ?
Voltaire
fait cette note : « Dispensée à n’est pas françai
épit amoureux. Cet exemple, qnoteue je cite entre mille, prouve que
Voltaire
, pour commenter grammaticalement Corneille, n’ava
publier récemment, fait éclater à ce sujet la plus plaisante colère :
Voltaire
, disant, dansses notes sur Corneille, qu’un mot o
orés des historiens duthéâtre, ou rapportés diversement par eux. 11.
Voltaire
n’avait pas jugé indigne de lui le rôle même d’éd
emier de vos amis que vous ayez aidé à descendre de l’échafaud. 31.
Voltaire
dit qu’il y avait déjà un comédien appelé Molière
it déjà un comédien appelé Molière, auteur de la tragédie dePolyxène.
Voltaire
se trompe doublement. Le Molière dont il parle n’
pris avec lequel j’en parie chaque fois que l’occasion s’en présente.
Voltaire
m’en avait donné l’exemple dans le récit très élé
abrégé sans doute, qu’il a fait de la Vie de notre grand comique ; et
Voltaire
ignorait alors(en 1730) ce que Despréaux avait di
uf, intitulé Dialogue sur la Musique des Anciens, in-12, Paris, 1725.
Voltaire
, qui tenait sans doute de l’abbé de Châteauneuf,
fournit de tout : son érudition et son jugement ne s’épuisent jamais.
Voltaire
, dans sa Vie de Molière, rapporte les mêmes chose
la joueraient . On a lu dans vingt écrits, entre autres dans ceux de
Voltaire
, que Molière, recevant la défense au moment même
tour du globe, et qu’on retrouve dans plusieurs mythologies diverses.
Voltaire
rapporte, en deux endroits de ses œuvres, une ave
si exacts de l’Histoire du Théâtre-Français n’osent l’assurer ; mais
Voltaire
l’affirme, et il prétend même que La Critique du
elui du Tartuffe. Dans tous ces petits détails d’histoire littéraire,
Voltaire
est, en général, d’une grande inexactitude ; et i
ui fut jamais dû ; Et, s’il a réussi, c’est qu’on l’a défendu. 5.
Voltaire
a dit, et l’on a souvent répété d’après lui, que
oute pas que cette phrase n’ait donné lieu à l’anecdote rapportée par
Voltaire
qui n’a pas fait attention aux dates. C’est dix a
és depuis, par la ville, sur les plaques des rues. On se souvient que
Voltaire
a fait des tragédies, et aussi un certain Crébill
u’ils reprennent Rhadamiste et Zénobie, de Crébillon, ou Tancrède, de
Voltaire
, ou seulement Mirope et Zaïre ? Nullement ; Zaïre
, jusqu’à On ne badine pas avec l’amour et aux Caprices de Marianne :
Voltaire
et Crébillon, aussi bien que Rotrou et Mairet, so
derechef et Athalie. Les classiques secondaires, où sont-ils ? Voici
Voltaire
tout seul, avec Mahomet tout sec. Ensuite il faut
ines que je possède sur le double Mont15 ». Boileau, Racine, Molière,
Voltaire
ont aussi donné des noms du Parnasse aux femmes q
chargé de revoir le jugement de l’Académie sur Le Cid ; jugement dont
Voltaire
a confirmé la justesse et loué la décence. Vaugel
. Antoine Rambouillet de la Sablière a laissé un volume de madrigaux.
Voltaire
a dit de ce recueil, que la finesse n’en exclut p
utait, après un long séjour dans ce joli pays romand qu’affectionnait
Voltaire
. « Plus je vis en ce pays, disait-il, plus je me
ismes. Chacun a fait le sien. Du Bellay, Malherbe, Boileau, La Harpe,
Voltaire
, dans les préfaces de ses tragédies, Victor Hugo
x-huitième siècle, n’était-elle plus qu’à l’arrière-plan. On a accusé
Voltaire
d’avoir, à cette époque, ruiné la religion. Aux y
ans le sein de l’Eglise la foi ne fut pas assez forte pour susciter à
Voltaire
un seul adversaire digne de lui. Le déisme, dont
urd’hui un si grand nombre de Français qui ne voient de refuge contre
Voltaire
et ses petits imitateurs que dans Joseph de Maist
ons de l’intrigue. Ce soin ne l’a pas mis à l’abri du reproche. Selon
Voltaire
, « les connaisseurs ont dit que L’Étourdi devait
coup d’autres. « La petite ode d’Horace, Donec gratus eram tibi, dit
Voltaire
, a été regardée comme le modèle (il eût été plus
[79, p. 121] « Pourceaugnac est une farce, a dit
Voltaire
; mais il y a dans toutes les farces de Molière d
jamais du Kamtschatka ou des îles Orcades cette Poétique qu’attendait
Voltaire
, il y a à parier que nous nous entendrons avec so
a sensibilité d’un goût aussi délicat, aussi vif que celui de Goethe.
Voltaire
et Boileau sont deux sensitives littéraires, et l
t soutint le Misanthrope, à la honte de l’esprit humain. C’était, dit
Voltaire
, l’ouvrage d’un sage qui écrivit pour les hommes
siècle qu’on a si improprement appelé le siècle de Louis XIV. C’est à
Voltaire
surtout qu’il faut s’en prendre, et de cette déno
suffi pour populariser cette erreur, et dans le courant de son livre
Voltaire
a tout fait pour la fortifier. Sans doute l’admir
pour les œuvres de la pensée. Quoi qu’il en soit, ouvrez le livre de
Voltaire
; vous y trouverez la plus singulière confusion :
aire succédera une époque vivante et agitée, celle de Montesquieu, de
Voltaire
et de Rousseau. S’il est vrai, comme le prouve le
orien fécond, trop vanté d’abord, trop négligé ensuite au jugement de
Voltaire
. (DLF XVII, p. 790)
espondance entre Brossette et Boileau-Despréaux. Elle fut reprise par
Voltaire
dans la deuxième édition du Tartuffe, 1764. Puis,
pièce ; et voilà désormais la marche que nous suivrons. Le titre. —
Voltaire
prétend que la pièce française devrait porter le
une seule scène essentielle. Le genre. — D’intrigue, quoi qu’en dise
Voltaire
, l’ouvrage en a même deux, et c’est un grand défa
Paris, comme le prétendent plusieurs personnes trompées par Grimaret.
Voltaire
, partageant cette erreur, a écrit dans une vie de
rdé comme un des plus heureux qu’on ait vu, disent Bret, Riccoboni et
Voltaire
. » Nous ne sommes pas entièrement de cet avis. Pl
ce trop le dénouement. Le genre. — On remarque dans cet ouvrage, dit
Voltaire
, plus de bouffonnerie que d’art ; et d’après son
g des plaisanteries, et non des grossièretés de style, comme le croit
Voltaire
. Sentiment sur la pièce. Le titre. — Préci
ie par les prétendus agréments. « Toutes les farces de Molière, a dit
Voltaire
, ont des scènes dignes de la bonne comédie. » Dél
turellement par des situations adroitement combinées ; et demandons à
Voltaire
, si nombre de pièces du plus haut genre réunissen
plaisant. » En jugeant cette dernière pièce, nous jugerons le mot de
Voltaire
. Lisez la pièce de Molière. Des imitations.
aches ; mais rachetées par mille beautés, et d’un genre à mériter que
Voltaire
ne rangeât pas l’ouvrage au rang des pièces seule
successeur au fauteuil académique se garda bien de faire son éloge.
Voltaire
, dans ses observations sur les comédies de Molièr
ère et Despréaux n’avaient pas besoin d’ajouter des injures. Lorsque
Voltaire
pensait ainsi, il ne prévoyait pas qu’il ferait L
els elle le condamne. Les scènes. — En parlant du Malade imaginaire,
Voltaire
dit : « C’est une de ces farces de Molière, dans
z madame De la Sablière, imaginèrent la plus ingénieuse des folies ?
Voltaire
avance « que la naïveté, peut-être poussée trop l
té. Ce fut le 17 février 1673 que commença l’immortalité de Molière.
Voltaire
et Grimaret, et quelques autres historiens, parle
m’apportes l’épitaphe, n’est-il pas en état de faire la tienne ? »
Voltaire
distingue celle-ci, elle est du père Bouhours :
e Boudet d’après Grimaret, contemporain de Molière, et Boutet d’après
Voltaire
, dans la vie qu’il nous a donnée de Pocquelin, et
suspecte, puisqu’on ne la doit qu’à la jalousie et à l’inimitié. 6.
Voltaire
est du nombre. 7. C’est dans cette ville que mad
l’abordant : Mon enfant, le bon Dieu puisse-t-il vous bénir ! 32.
Voltaire
« trouve le dénouement de L’École des femmes auss
ous pour finir cette affaire. 40. Vers du Philosophe marié. 41.
Voltaire
nous a conservé une scène que Molière fut obligé
voilà un louis d’or, mais je te le donne pour l’amour de l’humanité.
Voltaire
prétend avoir vu cette scène entre les mains du f
Tartuffe fut défendu ? 59. Les Indiens ont un Amphitryon dont parle
Voltaire
. 60. Voyez le Bolœana. 61. Plaute, dans la pr
maîtres, s’évertuer pour mirliflorer à qui mieux mieux ce rôle ? 64.
Voltaire
dit, dans ses questions sur l’Encyclopédie, « que
cette réflexion fût rendue publique, je la soumets au lecteur. 67.
Voltaire
trouve que « l’épreuve de l’Avare, sur le cœur de
point, et je guéris. ». Elle sera reprise dans la Vie de Molière par
Voltaire
en 1739. (Pierre Bonvallet, Molière de tous les j
t soutint Le Misanthrope, à la honte de l’esprit humain. C’était, dit
Voltaire
, l’ouvrage d’un sage qui écrivit pour les hommes
e ajouté dans l’édition de 1855 : « Pourceaugnac est une farce, a dit
Voltaire
; mais il y a dans toutes les farces de Molière d
rimée à la deuxième représentation. Voici cette scène très courte que
Voltaire
nous a donnée, après l’avoir vue écrite de la mai
trouve dans La Vie de Molière, avec des jugements sur ses ouvrages de
Voltaire
, 1739. (Pierre Bonvallet, Molière de tous les jou
dans cette maudite galère ? 284. Des Singularités de la nature par
Voltaire
, 1768. 285. Saxe, Maurice, comte de (1696 – 175
écrites pour un peuple éclairé ; celles de Lachaussée, de Diderot, de
Voltaire
, l’ont été pour un peuple raisonneur. Quel mouvem
cle de Molière, la bourgeoisie cherche à s’élever ; sous le siècle de
Voltaire
, c’est la noblesse qui aspire à descendre ; l’un
oges pompeux dont ils accablent Molière sont encore bien plus outrés.
Voltaire
l’appelle le père de la vraie comédie, et, pour l
meilleures pièces dans tous ces genres, que celles qu’il a composées.
Voltaire
qui n’a jamais réussi dans la comédie proprement
ominait autrefois, et le second prévaut aujourd’hui. Il faut entendre
Voltaire
raconter comment, du temps de Louis XIV, Auguste
t tué à force de crier en jouant le rôle d’Hérode. Une actrice, à qui
Voltaire
voulait enseigner je ne sais quel rôle tragique,
le diable au corps. C’est ce qu’il faut, mademoiselle », lui répondit
Voltaire
, « une actrice doit avoir le diable au corps ». C
ns, de bonne foi, de bon cœur, l’esprit de Rabelais, d’Henri IV et de
Voltaire
: notre esprit historique, national, qu’on nie de
: c’est le fanatisme. M. de La Harpe raconte avec éloge, ce trait de
Voltaire
, refusant d’annoter Racine et disant : « Il suffi
à cent lieues, comme vous le pensez bien, de suspecter la candeur de
Voltaire
, mais si ce n’était pas lui, je verrais là toute
n’y était pour rien : c’est ce que pensaient le duc de Saint-Simon et
Voltaire
; l’un, détracteur impitoyable de cette femme ill
e rachetait. « Après la paix de Nimègue, conclue en 1678, Louis, dit
Voltaire
, fut au comble de la grandeur. Victorieux depuis
d’Espagne, la Hollande, licenciaient les leurs, « fit de la paix, dit
Voltaire
, un temps de conquête ». Le roi réunit à la couro
.[p.20] 1. Chénier avait dit de Louis XIV dans sa belle épître à
Voltaire
: Cet heureux potentat Qui de l’éclat des arts e
s que l’on se rappelle les clameurs que la réimpression des œuvres de
Voltaire
et de Rousseau a excitées il y a quelques mois ;
an comme sur un personnage réel, comme sur Richelieu, sur Pascal, sur
Voltaire
, ajoutons comme sur Hamlet et presque toutes les
près une fort ancienne que j’ai sous les yeux. On a eu tort d’accuser
Voltaire
de l’avoir inventée. 14. Ce dernier détail n’app
saisi le degré de la société où il devait placer son personnage ; et
Voltaire
a rendu parfaitement sensible l’excellence de son
clin de ses années eût dû le priver entièrement. « Ce génie mâle, dit
Voltaire
, que l’âge rendait sec et sévère, s’amollit pour
raisonnable : le premier serait injuste ; et c’est celui qu’a choisi
Voltaire
, peut-être uniquement pour s’écrier : « Qui donc
et le plus uniforme en apparence ? C’est une espèce de phénomène que
Voltaire
a décrit en peu de mots : « L’École des femmes, a
i lui appartenait. Arnolphe n’est point un vieillard, comme l’ont dit
Voltaire
, La Harpe, et beaucoup d’autres, trompés apparemm
e, qui l’ont le plus durement blâmé. « L’Impromptu de Versailles, dit
Voltaire
, est une satire cruelle et outrée… La licence de
personnages y venaient presque tous au hasard. « On y remarque, dit
Voltaire
, plus de bouffonnerie que d’art et d’agrément. »
tel, L’envoie au diable et sa muse au bordel. Ce terme grossier, dit
Voltaire
, n’est pas tolérable71. Remarquons, à cette occas
ne de ses Comédies, laquelle Comédie est imitée de la Nanine de M. de
Voltaire
, laquelle Nanine est imitée de Paméla, roman angl
e régnait à la cour ; elle régnait dans le parti opposé. L’amour, dit
Voltaire
, faisait et défaisait les partis. Turenne se lais
ien préciser sur la valeur et la portée morale des œuvres de Molière.
Voltaire
remarque simplement qu’il fut, « si on ose le dir
ayle a pris le mot barbarisme à La Bruyère, et Fénelon à Bayle. 814.
Voltaire
, Siècle de Louis XIV, XXXII. 815. J.-J. Rousseau
pas de Rutebeuf ou de Villon, pauvres hères, mais bien de Boileau, de
Voltaire
, ou de Regnard. Bazin a dit : « Il y a de Louis
esurera la puissance de ce courant si l’on songe qu’au siècle suivant
Voltaire
et Diderot en procèdent ; Voltaire, qui dès 1728,
si l’on songe qu’au siècle suivant Voltaire et Diderot en procèdent ;
Voltaire
, qui dès 1728, avec une sûreté de coup d’œil sing
sûreté de coup d’œil singulière, s’en est pris tout d’abord à Pascal,
Voltaire
, qui ne croit pas plus que Molière à la bonté de
de son temps. Gardons-nous donc de prendre à son égard l’attitude que
Voltaire
a prise à l’égard de Corneille, dans son trop fam
isément l’homme selon Rousseau, l’homme selon la lettre de Rousseau à
Voltaire
sur le Désastre de Lisbonne et, certainement, l’h
ues Rousseau sur les grandes catastrophes naturelles dans sa lettre à
Voltaire
. Mais Fabre ne s’en indigne pas moins et s’écrie
, il suffit de n’être pas un franc scélérat. » Ici, il y a du vrai.
Voltaire
a eu un mot très judicieux, très précis, dans son
ances de son siècle. » Rien de plus ? Rien de plus. Il me semble voir
Voltaire
, qui rédigeait assez vite ces petites notices sur
e ; « il a été le législateur… » « Tiens, mais de quoi ? » se demande
Voltaire
. « Des bonnes mœurs ? » Non, Voltaire ne peut pas
ns, mais de quoi ? » se demande Voltaire. « Des bonnes mœurs ? » Non,
Voltaire
ne peut pas aller jusque-là. Quelles bonnes mœurs
ître insuffisamment élogieuse, est juste. Ainsi me paraît avoir pensé
Voltaire
, beaucoup plus rapidement que je viens de l’analy
e à Molière de n’avoir pas compris ou de n’avoir pas fait comprendre.
Voltaire
dit que Molière a été le législateur des bienséan
impiété et qu’elle a dû être retranchée. Il est curieux de voir comme
Voltaire
en parle : « A la première représentation, il y a
ne par amour de l’humanité. » Il faudrait peut-être examiner pourquoi
Voltaire
, citant de mémoire, ne rapporte que la première p
nser et vous laissant à examiner ce point, je passe aux réflexions de
Voltaire
sur cette scène : « Cette scène, convenable au ca
retranchement fut peut-être cause du peu de succès de la pièce. » 1°
Voltaire
n’envisage même pas l’hypothèse où l’héroïsme du
e, mais une partie seulement de la pensée de Molière : « L’homme, dit
Voltaire
, est, comme le reste de la nature, ce qu’il doit
n les a soi-même d’une manière éclatante, et ce sont les tragédies de
Voltaire
qui ont été en son temps les plus goûtées de ses
t encore au nôtre par la « situation piquante de Pauline », comme dit
Voltaire
, « entre son mari et son amant. » Racine a été de
eur de l’humanité, en tant que fondateur de la démocratie despotique.
Voltaire
, l’auteur de Zadig, de Candide, des Discours sur
ue. Attendez. L’homme qu’on désire ou qu’on redoute va venir. Ce sera
Voltaire
, qui multipliera son action philosophique de tout
r : le penseur, c’est Pascal ; Molière n’est pas un démolisseur comme
Voltaire
, ni un réformateur comme Rousseau. Qu’est-ce que
ard de toute espèce de mérite, comme le sont d’ordinaire les favoris.
Voltaire
a dit avec justice de Balzac, que la langue franç
ve du cœur humain et de la société. « La première représentation, dit
Voltaire
, eut l’applaudissement qu’elle méritait ; mais c’
la colère, et de l’incrédulité à l’enthousiasme. Formée à l’école de
Voltaire
et de Rousseau, ironique comme l’un, sentimentale
lement dans les traits dirigés contre les marquis. Notons d’abord que
Voltaire
se trompe en affirmant qu’ils furent introduits p
e, et, d’après son autorité, les historiens du Théâtre françois, puis
Voltaire
, Cailhava129, et bien d’autres, il n’est pas vrai
’une suprême convenance. En effet, nous ne croyons pas, sur la foi de
Voltaire
, que Molière se proposait de mettre sa prose en v
dit en sortant qu’il aurait bien voulu ressembler au misanthrope. » (
Voltaire
). 40. Molière n’est pas de ceux dont Goethe écr
ittérature française, t. III. 45. « Ni gros René, ni Mascarille, dit
Voltaire
, pas même de valet, sinon pour avancer une chaise
1, par un Anglais nommé Shadwell, dont l’impertinence émut la bile de
Voltaire
. L’œuvre parut donc du vivant même de Molière. L’
rence, et qui, à la longue, émousse et tue le sentiment même du beau.
Voltaire
n’a pas tout à fait tort de trouver que les vifs
rents, et la nature a toujours été en eux plus forte que l’éducation.
Voltaire
. Au commencement du dix-septième siècle, peu d
losophie d’Épicure, « qui, bien qu’aussi fausse que les autres, a dit
Voltaire
, avait du moins plus de méthode et plus de vraise
ssé ce nom, s’appelait réellement Dominique. Quant à Scaramouche, que
Voltaire
cite également comme ayant changé le sien par éga
s violer lui-même. L’opinion que nous émettons ici est aussi celle de
Voltaire
et de Palissot. Mais ces juges, dans leur inflexi
lus tard les accusations du « critique de Nicolas », comme l’appelait
Voltaire
; mais ce que nous voulons attaquer ici, c’est un
e Mondorge, ce fut le bon accueil qu’il reçut de son ancien camarade.
Voltaire
, Petitot et d’autres biographes de Molière, en om
émoires du temps tracent les tableaux les plus brillants, et auxquels
Voltaire
a cru devoir consacrer plusieurs pages, durent un
le, il voua une vive amitié à notre auteur, et, selon l’expression de
Voltaire
, vécut avec lui comme Lélius avec Térence. Le gra
pas l’auteur. Malherbe consultait sa servante, même sur ses vers ; et
Voltaire
se soumettait aussi à la juridiction de sa bonne
ous les littérateurs comme l’essai heureux d’un genre frais et animé.
Voltaire
la cite comme un modèle de grâce ; Bret y voit le
original qui ait jamais été représenté sur aucun théâtre, Amphitryon.
Voltaire
disait que la première lecture de cette pièce le
oit le colonel Dow, cette fable a pris naissance chez les brachmanes.
Voltaire
donne la traduction d’un passage d’un livre des I
qui comptèrent des croyants dans les cours et jusque sur les trônes.
Voltaire
rapporte, avec Vittorio Siri, qu’Anne d’Autriche
conduite. Mieux eût valu pour sa gloire, comme pour nos plaisirs, que
Voltaire
eût employé à composer quelque roman ou quelque c
e se voir ainsi traité l’avait conduit au tombeau. L’abbé D’Olivet et
Voltaire
se sont trop légèrement faits les échos de ce bru
verve et d’originalité, Rabelais, qu’on ne lit plus assez depuis que
Voltaire
, qui a fait son profit d’un grand nombre de ses p
pas dans sa fausse bonne foi le critique de Nicolas, comme l’appelait
Voltaire
; mais nous prendrons sur nous d’affirmer que not
Nous croyons devoir changer quelques-unes des expressions du récit de
Voltaire
. 75. Disons tout de suite, pour en finir avec ce
toire, de déterminer approximativement l’époque du changement du roi.
Voltaire
l’indique à l’année C’est plus de deux ans trop t
§ 35. 146. Pascal, Pensées, article IX (édition de M. Havet). 147.
Voltaire
, Micromégas, c. v. 148. Swift, Voyage de Gullive
mes. Voilà, à mon sens, ce qu’on ne devrait pas souffrir. » Lui-même,
Voltaire
, qui était le bon sens et le génie en personne, i
yle ; toutes les attaques, toutes les haines, toutes les violences de
Voltaire
et du xviiie siècle contre la croyance établie,
tragédie, avant de se permettre des héros français, a attendu jusqu’à
Voltaire
. Molière ne nous a pas fait attendre si longtemps
que Virgile a voulu brûler l’Énéide, et qu’à l’exemple du poète latin
Voltaire
a jeté au feu La Henriade : « À telles enseignes
de comédie écrite avec plus de vivacité, plus de grâce et d’énergie.
Voltaire
a grand tort d’appeler Le Mariage forcé une farce
conserve tous ses droits d’un bout à l’autre de la pièce, en dépit de
Voltaire
lui-même qui prétend y retrouver le ton et la for
ut, défaut sans remède, fut d’avoir tout simplement plus d’esprit que
Voltaire
, c’est-à-dire d’avoir trop d’esprit, la transitio
e Bejard, et d’un gentilhomme que Madelène ne nommait point. M. Bret,
Voltaire
, Petitot et tous ceux qui ont écrit sur la vie de
sprit français, et dont le nom semble résumer le dix-huitième siècle.
Voltaire
n’a pas de monument dans Paris, sa ville natale.
magnificence, elle sembla un moment oublier sa gloire. Ni Boileau, ni
Voltaire
, tous deux nés dans la cour de la Sainte-Chapelle
hème tombait devant l’apothéose ! En 1778, l’année même de la mort de
Voltaire
, l’Académie, continuant son œuvre, plaçait le bus
capable de le développer et de l’exprimer convenablement… On a apposé
Voltaire
à Shakespeare. L’un, a-t-on dit, est ce que l’aut
Voltaire à Shakespeare. L’un, a-t-on dit, est ce que l’autre paraît.
Voltaire
dit : Je pleure, et Shakespeare pleure ; mais le
être en réalité. Si Shakespeare se contentait de pleurer, pendant que
Voltaire
paraît pleurer, Shakespeare serait un mauvais poè
l’intelligence, se sont réalisées dans la philosophie cartésienne. Un
Voltaire
traduit ce désir de justice et de tolérance, cett
tudiant ses ouvrages. D’autres écrivains, parmi lesquels on distingue
Voltaire
, Marmontel, J.-J. Rousseau, d’Alembert, Diderot,
et cependant les travaux sont loin d’être complets. Les remarques de
Voltaire
et de La Harpe sont pleines de goût, mais peu nom
cdote la plus invraisemblable en apparence, le souper d’Auteuil, dont
Voltaire
s’est beaucoup moqué, n’est-il pas garanti par le
upart de ceux qui les ont blâmés n’ont pu se dispenser de les copier.
Voltaire
lui-même, après avoir traité l’auteur avec le plu
rien de complet, rien qui révèle son auteur. Si tel a été le sort de
Voltaire
, que pouvons-nous espérer aujourd’hui, que toutes
ces circonstances donnent à son livre une place que le talent même de
Voltaire
n’a pu lui enlever. En un mot, l’ouvrage restera,
aient Jonsac, Nantouillet, Lulli, Despréaux, et quelques autres. 89.
Voltaire
a voulu jeter quelques doutes sur ce fait. Il est
, 1725.) 91. On a lu dans vingt écrits, et entre autres dans ceux de
Voltaire
, que Molière, recevant la défense au moment même
ne erreur qui a passé, comme beaucoup d’autres, à la faveur du nom de
Voltaire
. Ce fut seulement dix ans après la mort de Molièr
personne. Bret, le plus ancien commentateur de Molière, le confirme.
Voltaire
n’en doutait pas. Personne entre ceux qui le nien
s comme c’est une vérité de l’art littéraire ou poétique observée par
Voltaire
, que ce qui fait rire au théâtre, ce sont les mép
extinguible. C’est ce que n’ont pas senti beaucoup d’esprits de goût,
Voltaire
, Vauvenargues et autres, dans l’appréciation de c
qu’il avait appris de Boileau. Que sont les préfaces des tragédies de
Voltaire
, malgré tout ce qu’elles renferment de judicieux
ouffé. Le silence de la soumission lui est toujours mortel. On accuse
Voltaire
d’avoir ruiné la religion. Aux yeux des masses, q
ur quiconque voit les choses d’un peu haut, il y a longtemps déjà que
Voltaire
a été absous, au moins sur ce chef d’accusation.
ans le sein de l’église la foi ne fut pas assez forte pour susciter à
Voltaire
un seul adversaire digne de lui; il n’y rencontra
e résistance sérieuse que la force d’inertie d’un pouvoir qui a duré.
Voltaire
fit acte de franchise. En couvrant de ridicule de
s’il y a aujourd’hui tant de Français qui ne voient de refuge contre
Voltaire
et M. About que dans Joseph de Maistre — hélas! e
. Le point auquel nous touchons maintenant a bien quelque importance.
Voltaire
n’a-t-il pas dit que l’on reconnaît les beaux ver
que nous connaissons l’opéra, il est à craindre, selon la remarque de
Voltaire
, « que si la tragédie est belle et intéressante,
de Laus de Boissy, de madame de Genlis, de madame Suard, d’Auger, de
Voltaire
même, et jusqu’à la biographie écrite par le biog
héâtre de la rive gauche avec les bustes, les portraits, la statue de
Voltaire
, les Archives, etc. On a prétendu même qu’il s’y
au feu des enchères, dans les appartements du Baron Denon, — 5, quai
Voltaire
, — en 1826, quelques mois seulement après le décè
longue, il conviendrait d’ajouter encore : « la moitié d’une Dent de
Voltaire
», classée sous le numéro 1379 du même catalogue,
s historiques décrits dans l’article 646 qui précède ». Cette Dent de
Voltaire
est parfaitement indiquée dans le catalogue Pourt
ance du Fragment d’os de Molière du Cabinet Denon. Pour le tombeau de
Voltaire
, il fut ouvert, lui, en juillet 1791, lorsque, au
. » Du Panthéon, — sous la Restauration, en mai 1814, — les restes de
Voltaire
et de Rousseau furent honteusement dérobés par de
er ? Il me semble, entre nous, que vous n’insistez pas. (Sistèmes par
Voltaire
) est une absurdité supposée mais que le spectateu
ait un peu l’effet de l’histoire romaine en madrigaux), le morceau de
Voltaire
cité par Cailhava, I, 474, quelques alinéas de Co
aire, est une chose fort vraie, mais dans un autre sens que celui de
Voltaire
; et le plus grand tort des philosophes. [Acte
mal qu’on en pense. C’est pour n’avoir pas fait cette distinction que
Voltaire
est si médiocre dans la comédie. Mais aussi quel
er 1715. The Plain Dealer, joué en 1677. « Je ne connais point, dit
Voltaire
, de comédie chez les anciens ni chez les modernes
pleinement le haut rang que cet auteur occupe dans notre littérature.
Voltaire
, dont l’esprit judicieux savait si bien apprécier
s charmants que chacun a retenus, tous ces mérites sont contestés par
Voltaire
. Voici ce qu’il dit du Méchant dans sa satire du
n’était pas sans doute le manque de lumières qui faisait ainsi parler
Voltaire
, mais bien la haine. Il en voulait à Gresset deve
cependant aurait dû lui faire un devoir en pareil cas. La sévérité de
Voltaire
, si l’on n’en connaissait pas la cause, paraîtrai
bserver Étienne, la bourgeoisie cherche à s’élever; sous le siècle de
Voltaire
, c’est la noblesse qui aspire à descendre : l’un
d on les joue, se tiennent le plus souvent à un niveau assez modeste.
Voltaire
constate formellement cette tiédeur relative et c
i qui en était le principal représentant. Mais cette raison que donne
Voltaire
du demi-abandon où tomba l’œuvre de Molière sur n
parisiens à laquelle appartiennent encore Rutebœuf, François Villon,
Voltaire
: esprits dans lesquels l’ironie et la passion se
le, âgé de trente-huit ans, était dans toute sa gloire, et, comme dit
Voltaire
, il élevait le génie de la nation. La génération
e Menteur dut produire sur le jeune Molière. « Il est impossible, dit
Voltaire
, que Molière ait vu cette pièce sans voir tout d’
s L’Esprit du grand Corneille, a arrangé et développé la réflexion de
Voltaire
en une anecdote qu’il prétend avoir tirée du Bolœ
rsqu’il lit sa Thébaïde, dont Molière lui avait donné le plan, etc. »
Voltaire
surenchérit là-dessus dans sa Vie de Molière. Il
personnages peu scrupuleux sous ce rapport, au moins pour eux-mêmes (
Voltaire
, par exemple), ont pu dire qu’il en abusa. Celui
ne sotte guerre. »On a souvent blâmé Molière d’avoir nommé Boursault.
Voltaire
, qui a composé L’Écossaise, et qui a commis les i
a commis les innombrables et incroyables personnalités que l’on sait,
Voltaire
, sage pour les autres, déclare que Molière a dépa
ssent aller à de tels emportements. Il y a dans cette appréciation de
Voltaire
un excès de délicatesse et de scrupules. Boursaul
sirs de l’esprit se mêlant à la splendeur de ces divertissements, dit
Voltaire
, y ajoutèrent un goût et des grâces dont aucune f
récente encore. On tombait volontiers d’accord au XVIIIe siècle, avec
Voltaire
et La Harpe, que Molière n’avait fait Le Festin d
ent en juin 1659. BARON « Molière éleva et forma un homme, dit
Voltaire
, qui, par la supériorité de ses talents et par le
ie, paroisse Saint-Eustache. On invoque la tradition : « Grimarest et
Voltaire
ont dit que Molière était né sous les piliers des
à Louis XIII, comme il dit, et que par conséquent Molière y était né.
Voltaire
reprit pour son compte l’assertion de Grimarest :
devaient prendre le change d’autant plus facilement que Grimarest et
Voltaire
donnent par erreur le nom d’Anne Boudet ou Boutet
lques recherches historiques ; il y a joint aussi des observations de
Voltaire
sur chaque pièce de l’auteur du Misanthrope ; mai
siècle plus tôt, Molière se fut appelé Rabelais, un siècle plus tard,
Voltaire
; alors il eut été un réformateur, parce qu’il eû
le génie reste, et le goût change, et nous n’en raisonnons pas comme
Voltaire
, qui n’en raisonnait déjà plus comme Boileau. Le
e lit chez Ninon, qui lui raconte l’anecdote des deux cassettes, dont
Voltaire
fit une comédie plus tard, confiées par Gourville
15. Les bons pères qui ont élevé Corneille et (bienfait inestimable)
Voltaire
, les bons pères aimaient le théâtre, composaient
t lyrique et tantôt bas, à la fois cynique et charmant, tel enfin que
Voltaire
a pu l’appeler un bouffon indigne de présenter s
te 1. Voyez aussi chap. iii, paragraphe vi. 307. Tiré de Molière, de
Voltaire
et de Lessing. 308. Uranie va rester jusqu’à la
r, au frontispice du journal libre ! — Enfin, pas un mortel, pas même
Voltaire
, n’eut jamais en partage, à lui seul, tous les ge
corrupteurs de la morale et de l’innocence, laissez venir Louis XV et
Voltaire
, alors Don Juan le scélérat, ne sera plus qu’un h
ouis XIV ; que c’est le même chevalier de Grammont un bel esprit à la
Voltaire
dont Hamilton a fait son charmant héros. Hélas !
lut que la tiare s’inclinât devant la couronne ! « Il fut forcé, dit
Voltaire
, d’exiler de Rome son propre frère, d’envoyer à V
an, et vous trouverez des phrases hachées fin et menu comme celles de
Voltaire
, dans la scène où Dom Juan veut séduire Charlotte
raie ou fausse, de l’univers et d’un état social, comme le Candide de
Voltaire
ou comme le Faust de Goethe. Ce n’est pas une piè
ns les grands auteurs du siècle de Louis XIV ; il n’est pas même dans
Voltaire
avec ce sens ; je le dis, parce qu’on a accusé Vo
pas même dans Voltaire avec ce sens ; je le dis, parce qu’on a accusé
Voltaire
d’avoir inventé la scène du Pauvre : Voltaire dit
s, parce qu’on a accusé Voltaire d’avoir inventé la scène du Pauvre :
Voltaire
dit l’espèce humaine, le genre humain ; il ne dit
’empreinte du changement des idées de Corneille à Racine, de Racine à
Voltaire
et à M.-J. Chénier ; elle ne nous laisse que mala
nu dans toute sa sévérité, malgré l’essai de réhabilitation tenté par
Voltaire
. Lire les Œuvres de Quinault (Paris, 1739, 1778,
elle vaut. Toujours est-il que ce repas chez la future protectrice de
Voltaire
fut une des dernières parties de plaisir de Moliè
es Œuvres de Molière (Paris, 1773), fait suivre la Vie de Molière par
Voltaire
, qu’il réimprime, d’un supplément où il rapporte
France du xixe siècle au stathoudérat du Christ. « Dors-tu content,
Voltaire
? » C’est en même temps une Assemblée de législat
la vertu n’est pas. » Ne dirait-on point un de ces vers-maximes que
Voltaire
introduisait dans ses tragédies, comme des engins
é à cet esprit la noblesse, le xviiie siècle lui donna la puissance.
Voltaire
, Diderot, Beaumarchais sont de la race élue qui e
nt qu’il est possible, à l’abri des bombes, cette admirable statue de
Voltaire
, qui est la pièce la plus précieuse de sa collect
, pour rentrer d’une façon durable au répertoire de la Comédie. C’est
Voltaire
qui a dit, je crois, que celui qui ne se plaît pa
i qui ne se plaît pas avec Regnard n’est pas digne d’admirer Molière.
Voltaire
, auteur dramatique, avait de bonnes raisons pour
maîtres du dix-huitième siècle. Il n’avait certes pas l’envergure des
Voltaire
, des Diderot, des Rousseau, des Montesquieu ; mai
igaro, Beaumarchais a mis les adresses aux lettres qu’avaient écrites
Voltaire
, Montesquieu et Diderot. Il y a beaucoup de vrai
la vente des charges de judicature. Il y avait du pour et du contre.
Voltaire
si l’on s’en souvient, examinant la question à sa
passage, et je tombai sur l’article de Grimm consacré au Candide que
Voltaire
venait de publier sans nom d’auteur. C’était alor
on parmi les beaux esprits de savoir si le volume était réellement de
Voltaire
ou d’un de ses imitateurs. Beaucoup l’attribuaien
-mêmes, et sachant bien ce qu’ils font. C’est la manière ordinaire de
Voltaire
dans la diatribe du docteur Akakia ; mais elle ne
r déplaisait, et comme il s’en défendait, on lui allégua l’exemple de
Voltaire
, qui témoignait de plus de complaisance : « M. de
vain, et les critiques en rient encore. Piron avait pourtant raison :
Voltaire
n’a été poète que dans la poésie légère. Ses trag
Vous n’êtes pourtant pas riche, mon pauvre Piron, lui disait un jour
Voltaire
avec une menace de compassion cavalière et hautai
ler le jeune amateur, ce fut Lekain en personne. Lekain, le favori de
Voltaire
, et pour tout dire, son disciple, n’était guère p
ait, par excellence et par grand privilège, le héros des tragédies de
Voltaire
, j’aurais mieux aimé pour ma part qu’il eût été l
nie, sera plus tard, un obstacle à votre gloire. On ne va pas, disait
Voltaire
, à la postérité avec de gros bagages. C’est que p
doit être : disions-nous autrefois du docteur Blanche, ce que disait
Voltaire
de l’amour ! et rien n’amusait le docteur Blanche
s cet accident n’est arrivé qu’à Fréron, insulté en plein théâtre par
Voltaire
) ! assister, de sang-froid, à cette publique immo
plus que Fréron n’est mort de l’Écossaise et des autres violences de
Voltaire
: la comédie grecque, en effet, c’est le pamphlet
Régent au bal masqué, en lui donnant des coups de pied au cul ; comme
Voltaire
suivait le grand prêtre dans Œdipe, en portant la
transporté, un des premiers, sur la scène, cette époque de délire que
Voltaire
a chantée en cent endroits de ses poésies légères
ncipal ressort de ce noble mouvement des cœurs et des intelligences :
Voltaire
a prouvé que ce n’était pas sans raison. Nous sav
entrée de ballet. 645. L’influence de ces plaisirs est exprimée par
Voltaire
, Siècle de Louis XIV, chap. XXVI : « Tandis que M
deux pièces ne sont-elles pas l’œuvre d’un précurseur de Bayle et de
Voltaire
? Question délicate, difficile à résoudre et qui
que j’appellerai la libre pensée désintéressée. Ce n’est pas celle de
Voltaire
, qui fait du théâtre un instrument de philosophie
contraire du tragique. — I. Théorie de la comédie. — Pascal, Swift et
Voltaire
. — Regnard et le Sage. — Piron et Legrand. — Cara
aieté comique. L’ironie la plus légère, la plus fine, fût-ce celle de
Voltaire
, est toujours grave au fond, quelque enjouée qu’e
sa fille, la tradition lui était nettement hostile. Cette tradition,
Voltaire
l’avait recueillie et s’en était fait l’interprèt
ent père. VIII. Si les restes de Molière ont en le sort de ceux de
Voltaire
. Le 1er octobre 1884, lors du deuxième centen
mmes suffisaient à l’opération. Ainsi, la violation des sépultures de
Voltaire
et de Rousseau ne serait pas un fait sans précéde
affligé... Le XVIè siècle (Rabelais) le voue au ridicule, le XVIIIe (
Voltaire
) lui arrache ses dernières victimes... Molière, e
èbres du moyen-âge ; comment, après Rabelais, il prépara le siècle de
Voltaire
; comment tous les charlatans s’indignèrent de cet
Âme douce et candide, il avait en lui déjà tous les pressentiments de
Voltaire
. « Ô l’heureux temps,écrivait-il un jour à ses am
autre ; et le Plain Dealer, de leur Wycherley, espèce d’imitation que
Voltaire
a imitée à son tour dans La Prude, est une des me
ait un titre de gloire. Ainsi le jeune Arouet, plus tard, s’appellera
Voltaire
. Heureux, dans la paix, et dans la guerre, et dan
apostrophe ! « Quand Molière n’aurait fait que l’Ecole des Maris, dit
Voltaire
, il passerait encore pour un excellent comique. »
is, dit Voltaire, il passerait encore pour un excellent comique. » Et
Voltaire
a raison. L’Ecole des Maris, dont le titre n’est
l’anneau qui rattache le seizième siècle au dix-huitième, Montaigne à
Voltaire
, tandis que Corneille terminait sa carrière par l
c’est ainsi qu’il put étudier cette philosophie d’Épicure « qui, dit
Voltaire
, quoique aussi fausse que les autres, avait du mo
; mais encore une fois, un spectacle moral ne ferait point d’argent.
Voltaire
le proclame avec ce ricanement de singe sous lequ
elle reparaît souvent ; elle a cependant été mise en circulation par
Voltaire
. Beaucoup de sottises courantes viennent de là !
lui, on cite Regnard, qui vint au monde sous les piliers des Halles ;
Voltaire
, place du Harlay ; Beaumarchais, près de la rue d
10. Lettre de Lefranc à Louis Racine. 11. Préface de Zaïre.Le même
Voltaire
, qui se moquait de tout le monde, mais particuliè
s. Le premier est l’esprit de la Fontaine ; le second est l’esprit de
Voltaire
. Il n’a ni compassion ni charité ; il frappe de l
olière, le soir de la première représentation, et sur cette copie que
Voltaire
disait avoir vue entre les mains du fils de Pierr
et elle se trouvait aussi dans la copie de Pierre Marcassus, puisque
Voltaire
dit l’y avoir lue, ce qu’il faut croire. Comment,
ollège de Clermont. Ainsi, son inimitié fut d’enfance, comme celle de
Voltaire
, et, on le sait, rien n’est plus tenace que ces p
fut dans l’origine dédaigneusement qualifié du nom de petite pièce.
Voltaire
, dans sa jeunesse, fut encore à même de vérifier
il à son « cher champion du bon goût », ait échappé aux historiens de
Voltaire
. Le passage est précieux, comme on va voir, et po
e s’y prêtait, au contraire, et vous allez voir qu’on en usait. C’est
Voltaire
qui nous racontera là-dessus une anecdote, où la
on ! Quelle société de grands hommes ! Il n’y manquait, comme l’a dit
Voltaire
, que le seul Racine. Qui sait ? Peut-être y fut-i
sur la musique, 1725, in-12, p. 104. C’est avec cette même idée, que
Voltaire
fît sa comédie du Dépositaire. 106. Voyez ses M
t le Tartufe et le Misanthrope. Le Misanthrope. L’Europe, a dit
Voltaire
, regarde le Misanthrope comme le chef-d’œuvre du
finira par dire le Siècle de Molière, comme on dit déjà le Siècle de
Voltaire
. II Quand j’étais directeur du Théâtre-Fra
d’Auteuil, mais il paraît que cette légende est une histoire, quoique
Voltaire
n’y croie pas ni moi non plus. Parmi les légendes
ateurs ; et, de ces trois, il y en a un dont elle reçoit de l’argent.
Voltaire
et beaucoup d’autres ont appelé La Comtesse d’Esc
prendre cette facile, et dangereuse conversation du siècle révolté de
Voltaire
et de Diderot. De tous ces causeurs, proscrits ou
ar les éditeurs du Molière-Boucher à la Vie du grand homme écrite par
Voltaire
lui-même. La Serre de Langlade mourut trois mois
’à-propos, sont des modèles de grâce, de finesse, de légèreté. Jamais
Voltaire
lui-même ne répandit dans ses opuscules plus de s
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