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1 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
raccommodant, scène sublime, la troisième du quatrième acte ; parodie charmante par le valet et la soubrette. LES PRÉCIEUSES.
sibles, est la seule jolie de la pièce. LE MARIAGE FORCÉ. Farce charmante et morale ; la première scène de Sganarelle et de
t de raison. La scène sixième du bavard Pancrace et de Sganarelle est charmante  ; la huitième avec le pyrrhonien Marphurius est a
la pièce en prose, telle que Molière l’a faite ; l’exposition en est charmante . La deuxième scène, où don Juan développe son car
Clitandre joue le rôle de médecin, et épouse Lucinde, sont des scènes charmantes et à consulter. LE MISANTHROPE. Ce chef-d’œ
e pleine de grâce et de galanterie : la scène onzième du portrait est charmante , et la suivante est d’un comique admirable : don
ommande. La scène septième de la pastorale du troisième intermède est charmante  : c’est une traduction d’Horace. LE BOURGEOIS
. LES FOURBERIES DE SCAPIN. Sans le troisième acte, cette farce charmante serait une excellente comédie. La première scène
t n’a eu des pères si forts. La scène troisième du troisième acte est charmante  ; le style en est doux et pur : c’est le grand Co
du traître Faussinville, sont très bien faits ; tous les détails sont charmants . L’ESPRIT DE CONTRADICTION. Chef-d’œuvre. L
r. LA COQUETTE DR VILLAGE. Jolie pièce : le rôle de la Coquette charmant . LA RÉCONCILIATION NORMANDE. Pièce singuliè
ATION NORMANDE. Pièce singulière, et peu agréable. LE DÉDIT. Charmante petite pièce : le rôle de valet est excellent.
ce, où le rôle de l’impatient est très bien fait. LE BABILLARD. Charmante pièce. Le rôle du Babillard est fait à merveille,
rgent, dit le diable de son maître, et est payé de chaque défaut, est charmante . LE BILLET DOUX. La première scène est très
2 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
elles. Un ingénieux écrivain, M. Noël, a raconté, dans un petit livre charmant , les souffrances morales du pauvre grand homme. S
male et désirable des filles ; c’est qu’au contraire, dans le rôle si charmant d’Agnès de son École des femmes, il s’est appliqu
le secourir, j’aurais tout accordé. Le rôle d’Agnès est une des plus charmantes créations de Molière. La pièce tout entière est l
lhomme, Angélique dans Le Malade imaginaire sont autant de caractères charmants de jeunes filles, au milieu desquels il semble qu
pour n’être pas sacrifiées aux objets de leur juste aversion ! Quelle charmante coquetterie dans les querelles sans cause de Mari
Sa grâce est la plus forte… On n’est pas plus spirituelle que cette charmante impertinente. Avec quelle finesse elle se raille
n, le souvenir que m’a laissé la première est resté aussi vif et plus charmant peut-être que celui de la grande actrice elle-mêm
elles pudiques colères, quelle enivrante résistance, et enfin, quelle charmante défaite dans cette belle scène du raccommodement.
nt bien fous. Vous vous aimez tous deux plus que vous ne pensez. Mot charmant que devrait se rappeler plus d’un couple s’engage
3 (1871) Molière
qui déjà rêvait de ses grands voyages, et Chapelle, un de ces esprits charmants , très-intelligents, qui font peu de chose, et s’a
ubli Le Médecin volant et la Jalousie de Barbouillé, deux précieux et charmants canevas du comédien vagabond Molière. Il a fait p
marcher d’un pas résolu à cet art pressenti, deviné, informe et déjà charmant  ! Le jeune homme, intrépide et caché, dont nous s
s que celle du bon sens était gagnée. Un franc rire, épanoui, joyeux, charmant , accueillit la préciosité de mademoiselle Madelon
euple entier de spectateurs contents. C’est si beau la jeunesse et si charmant un honnête amour ! Quoi de plus rare : un mariage
t madame de Lafayette. En ce moment se montre, obscure encore et déjà charmante , une des filles d’honneur de Madame, mademoiselle
(François VI, l’auteur des Maximes). Un jour, tout ce monde heureux, charmant , épanoui, qui ne savait pas comment était fait le
se contint, et daigna rire aux Fâcheux de Molière, une improvisation charmante , dans laquelle se montraient naïfs, sincères et t
était bien faite, agréable et bien disante. Il n’y avait rien de plus charmant qu’Armande quand elle voulait plaire. Il est vrai
ivilité, Je fis la révérence aussi de mon côté. Qui dirait, au récit charmant de cette Agnès, naïve autant que Charlotte et Mat
Le Malade imaginaire, et quel dramaturge avec Don Juan ! Enfin, quel charmant peintre de genre, Agnès, la jeune et charmante fi
Don Juan ! Enfin, quel charmant peintre de genre, Agnès, la jeune et charmante fille, aussi touchante que le jeune Arthur de Sha
de lui, Pierre Corneille à soixante ans ; et Corneille, par des vers charmants , que lui seul il pouvait écrire, prit sa revanche
4 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
que les poètes font paraître cet art de l’imitation qui est un art si charmant , lorsqu’il est fidèle et complet ; même le menson
erint in tuto ! Le beau remède, en effet, aux fêtes de l’amour et aux charmantes folies de la jeunesse, que de se mettre à se moqu
, mais plus grand et plus rare est le danger, plus rare aussi et plus charmante est la poésie habile à produire ce danger des esp
nt passe. Aussitôt le parterre est charmé de ce jeune esprit et de ce charmant visage. Le parterre, habitué à toutes les vieille
cepta la dédicace, dont Boileau a fait l’éloge, une œuvre agréable et charmante , qui faisait rire aux éclats Louis XIV et sa cour
comiques, mais il n’a rien fait de naïf. Partout, même dans les plus charmantes minauderies de ses petites filles, le rire est ca
ret de cette âme, de cet esprit, de ce jeune cœur ; et quand enfin la charmante fille a tout dit, quand vous ne lui avez épargné
mademoiselle Molière, sa femme, si pleine d’adorables caprices et de charmantes bouderies, et qui avait un si grand air ! — C’est
Pour ma part, je donnerais tout L’Impromptu de Versailles pour cette charmante scène entre Molière et sa femme… une scène qui se
ior et immanior ! 13. La fontaine-Molière ; M. Régnier, un des plus charmants comédiens du Théâtre-Français, dans une lettre ad
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
ouver un air un peu plus sage. Mad. Lisban. Cela le gâteroit ; il est charmant , Marton. Marton. Il ne le sait que trop, le dange
ton, le rend intéressant. Marton. C’est un vrai polisson, un polisson charmant . Il s’aime, il se contemple, il court dans une gl
rit de lui, c’est une agacerie, Le sexe se l’arrache & le trouve charmant . Mad. Lisban. Il m’aime par bonté, comme on aime
pas encore vu de la journée Lindor son petit-cousin : elle le trouve charmant  : Marton ne le trouve pas moins aimable, il lui e
comme de raison ; il savoit qu’il étoit bien fait & d’une figure charmante  : il le disoit quelquefois ; mais il rioit de si
ur son très humble serviteur. La Comtesse. A miracle ! voilà qui est charmant , délicieux, divin ! C’est le plus joli placet du
nique. Voyons, dansons le placet. Forlise. Très volontiers, cela sera charmant , allons. (On avertit qu’on a servi.) Il y a da
Auprès des petites-maisons,   On l’y trouve à toute heure. Comus.  Le charmant placet ! les beaux vers !  Vous savez tous ces ar
ort bien ! Ou l’Histoire curieuse & véritable du célebre Frontin. Charmant début ! . . . . . . . . . . . . . . Lucinde. Lise
6 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
e 1830 et années suivantes parlait souvent de la comédienne unique et charmante , mademoiselle Mars ; c’est qu’à entendre parler d
eunesse ; elle accable ses amis et ses ennemis de toutes ses qualités charmantes  ; elle ranime d’un souffle puissant les vieux che
elle, de son côté, elle ne songe qu’à montrer beaucoup d’esprit et un charmant visage ; quant au cœur, peu lui importe ! Ces bea
répéter que, d’un bout à l’autre de son rôle, mademoiselle Mars était charmante , alerte, animée, agaçante, éloquente ; c’était me
elle, comme un tout petit diamant de son écrin ; là encore elle a été charmante . Mais aussi quelle physionomie éloquente ! que d’
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425
 : Tranquilles, ils couloient au gré de nos ardeurs :  Vous m’aimiez, charmante Lydie. Lydie. Que nos jours étoient beaux, quand
its sur mon cœur,  Chloé vous laisse sans rivale... Lydie. Calaïs est charmant  ; mais je n’aime que vous :  Ingrat, mon cœur vou
plutôt que les deux scenes rapportées dans ce chapitre sont les plus charmantes des ouvrages dont elles font partie : preuve inco
8 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
ères, de la Fayette et de Sévigné, qui, de son aveu, étaient les plus charmants esprits du siècle, étaient néanmoins du nombre de
e Sévigné, bien qu’admiratrice de Corneille, ne trouvait rien de plus charmant que le badinage de Voiture. D’abord, mesdames de
s Boileau, et dans Voltaire même, que le commentateur a vu l’éloge du charmant badinage de Voiture. Madame de Sévigné n’en a par
lus grande que celle dont il aurait voulu guérir les esprits les plus charmants de son siècle.
9 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
pas sans charme. Il semble que votre jeunesse vous revient, parée et charmante à l’unisson. Bientôt, de ces profonds silences qu
er de quelque lumière inespérée, certaines beautés très rares et très charmantes qui tout de suite attirent l’attention, la reconn
l avait beaucoup admiré la scène entre Elmire et l’hypocrite, le duel charmant et terrible à la fois, dans lequel le poète a pro
es rendant encore plus agréables et plus vives » ; que cela peut être charmant , mais qu’en vérité les bonnes mœurs n’ont rien à
marcher d’un pas résolu à cet art deviné, pressenti, informe, et déjà charmant  ! Ainsi faisait le jeune homme entraîné par son g
die. Le Donec gratus d’Horace défrayait tout Le Dépit Amoureux, cette charmante comédie qui a produit tant de charmantes bouderie
tout Le Dépit Amoureux, cette charmante comédie qui a produit tant de charmantes bouderies ; L’Avare du théâtre latin, apparaissai
e. Quel sublime bouffon ! puis quel dramaturge : Don Juan ! puis quel charmant peintre de genre ! Allez voir la jeune Agnès ! Ag
s quel charmant peintre de genre ! Allez voir la jeune Agnès ! Agnès, charmante enfant, presque aussi touchante que le jeune Arth
onvenir, en soi-même, qu’en dépit de cette bonne humeur si gaie et si charmante que Molière a jetée, à pleines mains, dans cette
res et de victoires, ni cette liste d’heureux capitaines, ni ces noms charmants de La Vallière, de Fontanges et de Montespan, ni
a Jalousie du Barbouillé, un informe canevas. L’Étourdi est une œuvre charmante et gaie à ravir. Elle est empreinte de la premièr
une des bonnes et belles représentations de cette comédie informe et charmante dont nous ayons gardé le souvenir, fut donnée au
etites folies les plus agréables du monde ! » Savez-vous rien de plus charmant que ces petits détails de Sganarelle, se forgeant
er. À l’heure qu’il est, cette scène du docteur Pancrace n’est qu’une charmante scène de comédie. Quand Molière l’écrivit, c’étai
Rosine qui se laisse traiter ainsi et qui s’écrie : — Ah ! que c’est charmant  ! peut-elle donc se comparer à la jeune fille, si
rnés vers moi, vos regards attachés aux miens ! » Comme tout cela est charmant  ! comme tout cela aurait besoin d’être joué avec
sance de Henri IV, et d’Achille Devéria, le père infatigable de cette charmante et élégante famille de jeunes gens et de jeunes f
sa femme, Armande Béjart, cette fille si coquette et si futile, et si charmante , qui n’a jamais compris quel noble cœur elle avai
son ton de fausset, est d’une critique excellente ; et ce devait être charmant à entendre Molière parlant ainsi à sa femme, de c
e n’a jamais été plus loin. Ni Properce, ni Tibulle, n’ont trouvé ces charmants retours de la passion. La Fontaine lui-même, qui
e de l’Henriette des Femmes savantes, Molière ait créé une femme plus charmante que cette belle et honnête Elmire. Que dis-je ? E
el génie ! et que ce Tartuffe paraît bien plus hideux à côté de cette charmante femme ! Et comme on frémit de dégoût et d’impatie
mais sans efforts, mais sans recherche. Cet homme ingénieux, alerte, charmant a adopté, tout d’un coup, et sans perdre son temp
dans la singularité de son esprit ? Singularité curieuse, agréable et charmante . Elle tient l’esprit en éveil, elle l’occupe, ell
tout haut, la vraie, la seule vivante et la seule élégante Sylvia, la charmante fille, quand elle était à la fois la Sylvia de Ma
lle éclaire, et contentons-nous de l’esprit, des belles grâces et des charmants remplissages, qui en sont la menue et courante mo
elle un marivaudage ! ce mot nouveau est en effet un des titres de ce charmant écrivain. Toutes les fois qu’un écrivain donnera
elle était belle sans y prendre garde ; assise ou debout, elle était charmante et semblait n’y entendre aucune finesse. Notre je
10 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
mademoiselle de Sévigné, avec qui sa mère lia cette correspondance si charmante qui est entre les mains de tout le monde. Nous co
carts et des calomnies. L’entrée à l’hôtel Rambouillet de cette femme charmante , dont l’esprit et la grâce n’ont pas vieilli depu
nt les plus curieuses, les plus piquantes, les plus variées, les plus charmantes . Dans les lettres publiées on voit un peu trop pe
ssaisonnement ; Et malgré la froide vieillesse, * Son esprit léger et charmant , Eut de la brillante jeunesse Tout l’éclat et tou
11 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
ène de brouillerie et de raccommodement, image si fidèle d’une nature charmante , qu’il a répétée plus d’une fois lui-même, et qu’
itiæ :, induciæ,        Bellum, pax rursum 1. N’avait-il pas lu le charmant dialogue d’Horace et de Lydie ? Mais que parlé-je
mon confrère à l’Académie française, a développé la même idée dans un charmant quatrain dont il m’a permis de faire usage : La
12 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
rmet à Plutarque d’être chez lui que pour garder ses rabats? et cette charmante Martine qui ne dit pas un mot dans son patois qui
esprit, il réussirait tant aujourd’hui dans des soupers qu’on appelle charmants , que je trouve le parterre excusable de s’y être
lecteur croit avoir faits? c’est encore Molière. Quelle foule de vers charmants ! quelle facilité! quelle énergie! surtout quel na
13 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
dire qu’il est marié, et à trois mois d’être père, et qu’il fasse ce charmant conte des deux amants surpris dans l’alcôve, son
plus avant par la résolution même qu’on prend de s’en défier. Quelle charmante image ne nous donne pas le Dépit amoureux de la f
eunes gens qui respectent ce qu’ils aiment ; et c’est encore un trait charmant de vérité, qu’elles aient conservé, malgré leurs
e ce qu’il pense du sonnet d’Oronte ; voilà son travers. Célimène est charmante  ; elle est veuve, elle est jeune : il est tout si
aturel. Au lieu de perfectionner la langue à leur insu, comme fait la charmante Henriette, en sentant vivement et délicatement, e
rait-on pas d’ailleurs à Chrysale pour sa bonté ? Jamais paroles plus charmantes sont-elles sorties d’un cœur paternel, que ces mo
laminte, en faisant voir en lui un pédant malhonnête homme. Quel type charmant que l’aimable Henriette ! Il ne faut pas la compa
celle de ses personnages. Aussi rien de romanesque dans ces fortes et charmantes peintures des sentiments de l’amour ; rien qui so
nia de la part de Pantalon, dit-il, qui le laisse faire. Le trait est charmant  ; il va doubler de prix par l’emploi que Molière
se rappelait pas Alceste quand fil écrivait cette suite de chapitres charmants sur l’obligation que l’on a de ménager les hommes
14 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
partir de Théophraste, quelle histoire plus variée à la fois et plus charmante , avec un plus grand nombre d’événements, d’enseig
Cathos ! ah Madelon ! vous êtes des innocentes, des immaculées et des charmantes , comparées à ces Vésuviennes, à ces subtilités en
’autre, et peu s’en faut que l’on n’entende encore les paroles, et le charmant duo de la fleur et du sourire ! À Dieu ne plaise
aux qu’elle avait vus enfants, et qui venaient abriter, à cette ombre charmante et féconde, les dernières trahisons de leur espri
élégance et d’esprit, qui était restée parmi nous comme le dernier et charmant représentant d’une société qui n’est plus ! Elle
accent plein, sonore et d’un si beau timbre, vous fait paraître plus charmants les plus beaux vers de Molière. Ô les cruels ! le
tait encore (après tant d’années) la fête la plus sérieuse et la plus charmante . Il faut avoir partagé l’émotion de cette soirée,
sérieux, solennel, même dans sa vie ; celui-là bienveillant, aimable, charmant , plein de grâce, d’élégance et d’abandon. — L’un
ne à me passer de lui ! » Elle aimait M. Scribe à dater du jour où ce charmant esprit avait imaginé de couvrir d’un voile, et de
ues agonies qui font de votre cœur un lambeau, et de la femme la plus charmante un lugubre objet de pitié et de dégoût. Si bien q
ve bien-aimé, ce diantre de Rhône, par un poète ingénieux, passionné, charmant , M. Charles Reynaud ! Je donne ici, cette douce é
15 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
enait de l’italien. Avec le Dépit amoureux commence la galerie de ces charmantes filles de Molière, aussi sages que belles, honnêt
it, ne fût-ce que pour empêcher la contradiction de faire grimacer sa charmante figure ; il lui reconnaît l’empire de la faibless
st plaisant comme de voir le tuteur d’Isabelle servir de Mercure à sa charmante pupille, et porter les tendres messages qui tourn
vient avec l’amour. Sitôt que le regard du jeune Horace a animé cette charmante statue, elle marche, elle court ; deux ou trois l
r la prison de verre sous les yeux de son gardien. Horace est un type charmant de jeunesse et de passion. Léger et ouvert, il di
dans leur vie. Cette comédie de l’Amour Médecin est pleine de traits charmants . Rien n’est plus amusant que la scène où les quat
et meilleur écrivain que ses devanciers.         On remarque dans la charmante scène des portraits, une vingtaine de vers qui se
u’on pourrait retrancher, sans faire le moindre tort à la pièce, vers charmants du reste. Ce sont les vers que prononce Céliante
pas à son aise dans ce monde romanesque; il trouva pourtant des vers charmants qu’il mit dans la bouche de Myrtil. Le jeune Baro
sous les verrous. Un jeune seigneur français est amoureux aussi de la charmante esclave, fille raisonneuse et difficile à garder.
er, et qui complète la pièce, est de toute nécessité. Il y a des mots charmants dans la comédie du Sicilien, et des meilleurs de
s son histoire de la Matrone d’Ephèse, a fait la plus vive et la plus charmante critique de leur inconstance et de leur facilité
illustre ami. Dis-nous, fameux Mignard, par qui te sont versées, Les charmantes beautés de tes nobles pensées ? Mais son génie a
uteur de Rodogune et de Cinna; on a déjà cité plusieurs fois ces vers charmants  : Je suis jaloux, Psyché, de toute la nature, Le
font par l’oreille, comme Agnès le demande à Arnolphe. Henriette, la charmante amoureuse des Femmes savantes, est bien éloignée
d’un jeune conseiller. » La pudeur d’un jeune conseiller est un trait charmant . Les valets, personnages si importants de notre v
us de la chute, elle est piquante, n’est-ce pas ? Belinde Ah ! toute charmante , toute amoureuse. Je le garantis âne, la jolie to
ses détracteurs par la composition du Galant Jardinier, Tune des plus charmantes pièces, petit chef-d’œuvre de grâce et de fraîche
u Cours, le Vert Galant, la Maison de Campagne, renferment des traits charmants ; toutes ont un sujet comique vivement développé.
r. Cet amant se fait du reste son procès à lui-même dans un monologue charmant . Voici sa confession : « Je n’ai jamais fait de p
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
mes yeux un cœur bien enflammé ; Et c’est, je vous l’avoue, une chose charmante De trouver tant d’amour dans un objet aimé. Mais,
it une inquiétude  De la maniere d’être heureux.  En moi, belle & charmante Alcmene, Vous voyez un mari, vous voyez un amant 
ite gentillesse, à laquelle elle répondra de reste. Le Marquis. Oui, charmante Lucile ! il n’est point d’éloquence Qui vaille &a
inuons & préparons-nous à admirer un rondeau redoublé tout-à-fait charmant . Le Marquis. Ah ! c’est le véritable, & n’en
17 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
sert de texte non seulement à son discours, mais à sa musique, car ce charmant volume, sorti des presses de Didot, enrichi d’ima
de deux divertissements chantés et dansés ; côté modeste et toutefois charmant , devant lequel le lecteur passe trop souvent sans
18 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
onc ces deux-là et vous ferez justice ; — en même temps vous aurez un charmant contraste : la vieille servante et l’élégante com
ce pauvre Yorick, ce garçon d’une gaieté infinie et d’une imagination charmante  ; hélas ! pardonnez au pauvre Hamlet tout ce déli
s en trahisons, le héros merveilleux de cette fantaisie abominable et charmante tombe, la tête la première, dans son dernier abîm
que nous changeons de parabole. Mais avez-vous lu, ami lecteur, cette charmante satire d’Aristophane, Plutus ? C’est déjà l’histo
t représenté la Flore du printemps, et le roi avait dit qu’elle était charmante  ! Mademoiselle de La Vallière avait chanté les lo
aux autels, alors aussi, — tant elle a de peine à briser ces liens si charmants , — elle cède à cette volonté implacable, et elle
lier de Grammont un bel esprit à la Voltaire dont Hamilton a fait son charmant héros. Hélas ! vous allez voir comment M. Bulwer
comme dit Lauzun, le roi ne se sent pas de joie et il s’écrie : — «  Charmante La Vallière ! » Rentre alors toute la cour. C’est
tion25, comme elle a fait toutes les autres, c’est-à-dire d’une façon charmante  », M. de Montespan s’avance sur le devant du théâ
s à assurer ; et une nouvelle compagnie enterre vos os dans ce jardin charmant — le cimetière de Londres ! C’est bien ! c’est bi
’hui quelque chose de si embarrassant ! Vous me semblez des personnes charmantes , je le déclare ; revenez, je vous en prie — ne no
ntpensier ! — Véritable fille de l’Espagne, élégante jeunesse, visage charmant et brun, éclairé par ces deux grands yeux bienvei
end sur le ton le plus élevé27. Dès la première scène, Sganarelle est charmant , et comme on ne sait pas encore à quel abominable
est amoureuse, et tout est dit. Le second acte commence par une scène charmante , charmante justement parce que Don Juan n’est pas
se, et tout est dit. Le second acte commence par une scène charmante, charmante justement parce que Don Juan n’est pas là. Il s’a
e la borne qui ne veut pas qu’on aille plus haut, ou plus loin. Cette charmante scène de Pierrot et de Charlotte, lestement enlev
s de la jeunesse, ou tout au moins, est-ce un de ses défauts les plus charmants de ne pas savoir le premier mot de sa plus diffic
e antique, la Comédie légère, au fin sourire, au gai regard, aux bras charmants , à la ceinture d’or, que l’on prendrait pour la f
t été bien étonnés de n’avoir rien à dire en tant de grands vers, et, charmantes l’une et l’autre, elles sont restées, comme on di
19 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
s ; au contraire le couplet, armé à la légère, sortait de ces vils et charmants tréteaux, à la façon d’un mousquetaire qui s’en v
 ? Ô les belles questions à se faire, par Dieu ! Et que voilà bien de charmants souvenirs fondés sur toutes sortes de vanités, de
s honnête homme, dont la voix était rude et fausse ; Saint-Phal était charmant à voir dans Le Vieux Célibataire. Il se rappelle
lie de Cinna, dans l’Ariane abandonnée. — Madame Talma avait une voix charmante , à l’entendre pleurer, on se prenait à pleurer. —
longue canne à pomme d’or, et elle va frapper à toutes les portes, la charmante vieille, et aux jeunes qu’elle rencontre, elle so
unes gens amoureux l’un de l’autre, vont manquer tout à fait la scène charmante du Dépit amoureux ; eh bien ! cette scène du Dépi
s on riait ! Mais on lui faisait des rôles excellents dans des pièces charmantes  ! La foule en voulait, de cet homme, jusqu’au jou
mé des dieux. Mais hélas ! le jeune comte de Roussillon était beau et charmant  ; Boccace va plus loin : Era bellissimo e piacev
adresse à chacun de ces jeunes gens avec une grâce et une coquetterie charmantes . — Monseigneur, dit-elle au premier, vous plairai
s ; il rêve… De grâce et par pitié ne le réveillez pas ! Respectez ce charmant moqueur qui vous a tant fait rire ; faites silenc
. Jamais on ne l’avait tant applaudi ; jamais on ne l’avait trouvé si charmant . Une fois sur le théâtre ses souvenirs lui revinr
ancien empire français, une grande dame qui était un bel esprit et un charmant écrivain. Plus tard, et dans la même maison, le f
Et les fêtes du soir sans regrets accomplies, Et jusques à minuit les charmantes folies. »                                        
l’esprit qui n’est plus, comment le rire le plus malicieux et le plus charmant peut surgir de toute cette misère ! — Venez, vous
où l’intelligence ? Ce Figaro sautillant, vif et léger, et preste et charmant , a-t-il remplacé le malade de ce matin, tout comm
s rôles excellents celui d’Henriette est, à coup sûr, le rôle le plus charmant qui soit sorti, tout paré de ses grâces naturelle
ui se déchirent jusqu’au morsures ; hélas ! la gaîté, où est-elle, la charmante et brillant gaîté de mademoiselle Mars ? Mademois
die latine. — L’Eunuque. — Les Affranchies. Amphitryon. — La plus charmante plaisanterie que l’antiquité nous ait laissée ! À
n, il ne sait que mettre au jour une traduction sèche et indigente de charmants passages déjà copiés mille fois par les maîtres ;
rtenir à l’Olibrius Trason ; c’est une jeune femme aimable, aimée, et charmante , comme vous en trouvez dans les comédies de Moliè
e. Thaïs est la première à trouver que son nouvel esclave est un être charmant , et qu’il ressemble (ce que c’est que l’instinct)
’en est vengé en faisant, de cette comédie, un de ses contes les plus charmants . Le jour où il entreprit de traduire, pour un par
nc comptez-vous cette supériorité incontestable… la joie ineffable et charmante , inconnue à la comédie grecque, la joie inépuisab
héros de la comédie, ces hommes si nettement dessinés, ces femmes si charmantes et si belles ? Que sont-ils devenus depuis que Mo
enture avec le jeune Lélie ; la gentille Agnès de L’École des femmes, charmante et malicieuse enfant qui n’a pas d’autre maître q
onne envie de s’amuser ! — Il avait vu tous ses poètes, même les plus charmants , renier les divinités poétiques, les Grâces et l’
épicurien ; il savait trouver des charmes aux choses mêmes les moins charmantes . Ainsi il se laissa être esclave tant que la chos
ud. À quoi devait aboutir toute cette terreur ? — À nous montrer plus charmant que jamais, l’aimable amant d’Angélique ! Grâce à
es soufflets, au nom de la musique éhontée ; où M. de Boissy ce poète charmant , s’enfermait avec sa femme pour mourir de misère 
c sa propre personne ; pour être heureux, poli, gracieux, bien élevé, charmant , fidèle enfin, cet homme n’a besoin que d’un miro
est maussade dans son intérieur, mais cependant vous avouez qu’il est charmant dans le monde ! Vous vous plaignez de ses brutali
resse, il regarde tendrement ce portrait sur l’air connu : — Portrait charmant  ! portrait de mon amie ! Alors survient à coup sû
lace, que Marivaux lui-même s’est amusé à badigeonner du fard le plus charmant , ses aimables petits marquis. Comparez seulement
le taillis voisin, le cheval du petit cousin, elle est empruntée à un charmant conte d’Hamilton ; seulement, dans l’original, la
belles personnes si retenues et si modestes, ces innocentes filles si charmantes , ces grandes dames si fières, ces amours si malhe
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Des différents Genres en général. » pp. 1-8
s talents. Ces vers ingénieux, pleins de sel, sont tirés d’une piece charmante , intitulée la Conspiration manquée, parodie en un
traiter avec succès. On peut comparer la véritable Thalie à une femme charmante déchirée en secret par les soupirants qu’elle a r
21 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
à Narbonne ; et partout sur leur passage ils laissèrent des souvenirs charmants de leur aménité, de leur franchise, de leur cordi
s petits divertissements à la manière des Italiens... Le discours fut charmant , plein d’adresse, et plut beaucoup. Cette premièr
ue soir accourait, avide de l’entendre : il voulut lui montrer quelle charmante élève il avait faite ; il écrivit pour elle le co
de treize à seize ans, dans cet intervalle, et Molière heureux de sa charmante élève, de son esprit, de sa grâce, confiant dans
sprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage ; Sa charmante naïveté, Etc. Le roi lui-même ne voulut pas rest
imple et sereine du poète avec sa muse, dans laquelle se trouvent ces charmants vers sur Louis XIV : Dès que vous ouvrirez la bo
Et se mettant doucement à sourire, D’un air qui sur les cœurs fait un charmant effet, Il passera comme un trait. Mais loin que
en octobre suivant, l’Impromptu de Versailles; nouvelles explications charmantes encore, mais évidemment cette fois écrites à la h
eut besoin d’écrire pour lui, comme un rafraîchissement de l’âme, le charmant rôle de Sganarelle : « Pour moi Monsieur, disait-
mer. À Paris, dans ses troubles divers, il allait s’épancher avec la charmante Mlle Debrie : Je n’ai vu qu’en vous,lui disait-i
qui se puisse défendre. « Elle se prend,disait-il, d’un air le plus charmant du monde aux choses qu’elle fait, et l’on voit br
de Sganarelle, et venait, la bouteille à la main, se consoler dans un charmant refrain des tristesses d’Alceste, et il pouvait a
t à vue d’œil ; doué de toutes les grâces possibles : beau, bienfait, charmant d’esprit, précoce en tout, avec les dispositions
e sa beauté première, n’ayant que dix-neuf ans, il joua d’une manière charmante le rôle de l’Amour. Armande fit Psyché, tandis qu
22 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
a écrit la Première représentation du Misanthrope, et l’opuscule, est charmant . Mais la première du Misanthrope ne fut pas une b
ail à son interlocuteur étranglé de jalousie, elle conte, en un récit charmant , sa rencontre avec Horace et leur assaut de révér
pas fini de rire : Horace la lui lit, cette lettre, et la lettre est charmante , et Arnolphe sganarellisé n’en est que plus furie
esprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage, Sa charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge en âge Enjouer
ue, Horace, cet Horace qu’avec tant d’impartialité, Molière a fait si charmant , Horace, ce sera cet impertinent abbé de Richelie
e noire ingratitude des esclaves, qui consiste à se sauver, et que la charmante séquestrée, pour l’aider dans sa fuite, prenne le
que c’est la même chose. Personne n’a joué Horace comme Delaunay. Ce charmant Horace, si bien fait pour Agnès, qui a cette cand
égligent d’Agnès, l’Amour, ce grand maître, saura bien enseigner à sa charmante écolière l’art de le reconquérir et de le garder.
Molière. Henriette, c’est Agnès instruite. Elle a toutes les qualités charmantes de notre amie : la droiture du cœur, la tranquill
23 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
arme de la vie. Qui n’aura plaisir à rechercher, dans tant de figures charmantes , le type de l’amour tel que l’entendait Molière ?
Cléontes, vos Octaves, vos Cléantes, et vos Clitandres, doux noms et charmants souvenirs, aimables figures qui venez, au milieu
u’elle en exprime les vrais sentiments. Est-il besoin de rappeler les charmantes causeries d’amour qui remplissent tant de comédie
’esprit, elle en a, du plus fin, du plus délicat. Sa conversation est charmante . Elle est sérieuse : mais voulez-vous de ces enjo
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
 : cela m’a fait une grande compassion : cette fille est d’une beauté charmante . Que te dirai-je davantage, Davus ? Nous fûmes to
oint, &, sans l’avoir vue, je vois bien qu’elle étoit tout-à-fait charmante  ! Octave. Ses larmes n’étoient point de ces larme
Après quelques paroles, dont je tâchai d’adoucir la douleur de cette charmante affligée, nous sortîmes de là ; & demandant à
25 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
ent chargés de représenter l’un Mercure et l’autre Sosie. Ils ont été charmants tous deux de verve et de bonne humeur. Et que la
s en trouverez aisément d’autres. Jeanne d’Arc nous a conservé le mot charmant de pucelle. On dit encore la Pucelle d’Orléans. L
et s’abandonnent avec un ravissement tranquille à la joie d’une œuvre charmante , qui est signée d’un nom rassurant. Ils ont même
elui qui le rend, il faut plus d’habitude du théâtre. Ce qu’il y a de charmant dans son jeu, c’est la mesure exquise. Le comédie
Croizette, qui dit gentiment son bout de rôle, et dont le costume est charmant . Le bruit de ce grand succès s’est déjà répandu d
jourd’hui. Il est encore dans la force de l’âge ; mais ces bagatelles charmantes de l’amour jeune ne conviennent plus à sa tête qu
on. Dix ans après, Éliante s’est convaincue que cet honnête homme, ce charmant homme, cet homme de cour, si bien vu dans le mond
une inquiétude         De la manière d’être heureux, En moi, belle et charmante Alcmène, Vous voyez un mari, vous voyez un amant 
veut, que c’est un plaisir de le voir. Thiron jouait Sosie. Il y est charmant , d’un naturel parfait et d’une gaieté étonnante.
uelle et aimable, une escrime de coquetteries sans conséquences et de charmants badinages. À ce jeu, Elmire a dû naturellement de
, mon cher Coquelin, il ne me reste plus qu’à vous remercier de votre charmante lettre. Si vos camarades pouvaient se mettre dans
ur du spectacle dont on a joui sous Louis XIV ; tout cela est exquis, charmant , délicieux, admirable, étonnant, prodigieux ; ent
gustine Brohan avec une virtuosité incomparable. Mlle Samary, qui est charmante dans le répertoire moderne, qui a joué notamment
çon supérieure. Elle est jeune, elle est belle, elle possède une voix charmante , qui n’a qu’une ou deux notes, il est vrai, mais
pas assez, a tracé de l’Henriette des Femmes savantes : « Quel type charmant que l’aimable Henriette ! Elle n’a ni l’ingénuité
d’innovation et de l’applaudir. Delaunay a été, tout le long du rôle, charmant de jeunesse, de bonne grâce, d’amour tendre et d’
pièce se sauve par le détail, qui est souvent d’une gaîté imprévue et charmante  ; par le style, qui coule toujours d’une veine ai
ns est toujours à son aise en tes vers. Ce dernier vers n’est-il pas charmant  ? Il me semble qu’on aurait pu le donner comme ép
de rose Avait semé de fleurs nouvellement écloses ; Là sur les bords charmants d’un superbe canal, Qui reçoit dans son sein un t
dites-moi, parlant sincèrement, Sous l’habit de Vénus, avais-je l’air charmant  ? Le port noble et divin ? le chevalier répond :
voix, sont très différents, au contraire, par tout le reste. L’un est charmant et aimable ; il a toujours vécu à la cour, il en
chose qui rappelait les comédies de Shakespeare. « En écoutant cette charmante comédie des Jeux de l’amour et du hasard, écrivai
forme visible et pour ainsi dire un corps à ces rêves impossibles et charmants qui occupent les imaginations des jeunes filles e
ia ? et son frère, Mario, avec ses aimables taquineries, n’est-il pas charmant  ? Ne sent-on pas comme une impression de douceur
, elle était belle sans y prendre garde. Assise ou debout, elle était charmante , et semblait n’y entendre aucune finesse. Notre j
e lui avec celui de nos critiques dramatiques qui connaît le mieux ce charmant auteur. J’ai vu, dans la représentation de lundi,
i, tout en donnant à chaque mot sa valeur, qui alliait une simplicité charmante à des, qualités sévères de merveilleux diseur. Ce
arie, j’aurai les yeux ronges, et tout le monde dira que mon mari est charmant . Si tu crois que ça m’amuse ! Ainsi va sa langue,
qu’il était gentil et malicieux ! Comme on sentait que ces deux êtres charmants , frère et sœur, s’étaient roulés ensemble sur les
aptif ; elle se plaît à l’éprouver pour s’offrir à elle-même le régal charmant de le voir s’agenouiller vaincu. — Enfin, j’en su
emblait tenir de la main même de Thalie, faut-il renoncer à une pièce charmante , à un diamant dont toutes les facettes lancent un
e de l’esprit, nous découvrons de l’âme ; ce qui ne leur semblait que charmant nous paraît poétique. Et pour ne pas sortir de Ma
rner ; s’il est l’instrument des gens qui s’en emparent, on le trouve charmant , et c’est, comme on dit, le meilleur enfant du mo
ve, mais le rôle de la petite fille est d’une candeur et d’un intérêt charmants . Il y a des nuances de délicatesse et d’honnêteté
et d’une vivacité d’impression et d’une délicatesse de sentiments si charmantes . Et cependant, si l’on était venu dire à Grimm :
» Et en vingt-quatre heures, de cette œuvre sifflée, jaillit la pièce charmante et applaudie que nous connaissons. Quand il la do
i ne nous révèlent dans cette jolie Rosine une des créatures les plus charmantes de notre théâtre, une âme tendre, pudique, réserv
s de Bartholo et achève l’air avec précipitation. Le jeu de scène est charmant . — Comme il est plus vrai ! me disait Febvre. Ass
on, pour savoir ce qui se passe dans la famille. Tout ce dialogue est charmant  ; mais qui ne voit que Frontin se pince ici pour
que des grandes qualités qui ont fait sa réputation. Ce qu’il y a de charmant dans la pièce, et qui n’a malheureusement pas été
; Et pour juges, mon siècle et la postérité. Ah ! que Delaunay était charmant dans ce rôle ! Il lui donna une désinvolture plei
la terre, qu’il glisse un peu au-dessus, dans les régions sacrées et charmantes de la poésie, dans des régions où, l’homme enivré
intervalle, Chloé avec qui il avait joué enfant, Chloé qui lui a paru charmante , et il s’écrie : Je ne sais où j’en suis, ni ce
le sait l’embellir des roses de l’amour… etc. Toute cette tirade est charmante , encore que la langue en soit molle et fluide. Vo
et très pure, a fort agréablement modulé ces deux morceaux, qui sont charmants  ; elle y a emporté un gentil succès. Le public, e
lieutenante criminelle a de fort beaux yeux, sans compter un naturel charmant . « Les beaux yeux de ces dames ont fondu en larme
26 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
’aurait-il oublié, lui, l’enfant du peuple, le plus gracieux, le plus charmant des amuseurs, le plus profond, le plus joyeux des
e bien élevée : là se rencontrent les sentiments délicats, la naïveté charmante , l’innocence et la pudeur dans leur expression la
était rien sans l’amour, comme si l’amour était toute la vie. Tableau charmant qu’il oppose au tableau de l’amour grossier du po
e sur le monument dont nous venons d’esquisser l’histoire. Cette muse charmante , il faut le dire, n’a chanté ni le monument, ni l
i. Toutes ces riantes figures, Toutes ces jeunes filles pures, Cœurs charmants aux fraîches amours : Lucile, Angélique, Henriett
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
’aura plus aucun rapport avec la Métromanie. Il en est ainsi des deux charmantes scenes du quatrieme acte, lorsque Dorante, prenan
ez cela. Pasquin. Tenez, serrez cela.Peste, qu’elle est dodue ! A ce charmant objet je me sens l’ame émue. (Il ouvre la bourse
rianne peint à Frosine la peine qu’elle a d’abandonner un jeune homme charmant , dont elle est éprise, pour Harpagon. Scene IX.
28 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
tion, hélas ! était alors nécessaire pour rouvrir la scène à un aussi charmant ouvrage ; mais on conviendra que l’œuvre diplomat
ariées dans une situation qui, pour toute autre, aurait été monotone. Charmante sous le costume villageois, Mlle Brohan a fait as
et l’autre cette naïve pastorale du second acte, comparable aux plus charmantes églogues de l’antiquité. Que dirai-je de la mise
29 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
r mieux dire) si galante, Que Phébus, au chef radieux, Phébus le plus charmant des dieux, Avec ses clartés immortelles, N’en écl
n alla sous une feuillée, Pompeusement appareillée, Où sur un théâtre charmant , Dont à grand-peine un Saint-Amant, Un feu Ronsar
On n’ira pas, on y courra, Et chacun prêtant les oreilles, À tant de charmantes merveilles, Y prendra plaisir à gogo, Et rira tou
furent du susdit repas ; Ainsi, je ne les nomme pas. Pour premier et charmant régale, Avant cette chère royale, Où raisonna mai
esprits, Molière, osent avec mépris, Censurer un si bel ouvrage : Ta charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge en âge, Enjouer
i jouèrent au dit ballet Admirablement leur rôlet ; Et parurent assez charmantes Avec leurs atours, et leurs mantes. De la Du Par
Qui joue icelui personnage, Le représente au gré de tous, D’un air si charmant et si doux Que la feue aimable Baronne, Actrice
la Comtesse, Goûtèrent avec allégresse, Et même avec ravissement, Ce charmant divertissement ; L’inventeur de cette machine, De
e du 6 mai 1666.       Vous aurez pour tout dire enfin, La Troupe du charmant Dauphin, Dont les acteurs encore en graine, Peuve
lorieux, Et qu’on admire parmi eux, Une actrice toute nouvelle, Toute charmante et toute belle, Et qui joue à merveille aussi, Vr
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
e, en lui prêtant généreusement cinquante mille écus. Il trouve Belti charmante , la voit venir, & sort. Belti est enchantée
p & au clair de la lune, à des bocages reculés ou à des solitudes charmantes  ; & après lui avoir indiqué un endroit où il
p; témoignent leur reconnoissance en dansant. Le roman de cette piece charmante ressemble beaucoup à une histoire recueillie dans
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533
ême temps de le remercier de son léger service, mais d’une maniere si charmante , si tendre & si passionnée, que le berger n’y
mencer. Les quatre Archers. Soit. Puisque le bâton est pour vous plus charmant ,   Vous aurez contentement. (Les Archers donnent
e Toinette. Si elle a la mine fripponne de Madame Bellecour, elle est charmante sous l’ajustement de Médecin ; mais tout ce qu’el
s délicat. Covielle. Sa conversation.... Cléonte. Sa conversation est charmante  ! Covielle. Elle est toujours sérieuse. Cléonte.
32 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
e. » Où est ce portrait ? Qui vous a dit que ce fût là cette belle et charmante Madeleine Béjart, tour à tour et tout à la fois r
cercle, tout un visage de marchande de pommes. Voici maintenant cette charmante de Brie. M. Hillemacher l’a gravée « d’après une
e Louison du Malade imaginaire, avait laissé le souvenir d’une figure charmante , M. Hillemacher parle de son « extérieur disgraci
Béjart. Comme la comédie a des charmes, je ne pus si tût quitter ces charmants amis ; je demeurai trois mois à Lyon, parmi les j
te ! Soumettez-vous aux volontés d’amour, Aimez pendant que vous êtes charmante , Car le temps passe, et n’a point de retour. Mai
e temps-là que date le quatrain bien connu : Il faut qu’elle ait été charmante , Puisqu’aujourd’hui malgré ses ans, À peine des a
Iris, et crois pouvoir sans crime, Permettre à mon respect un aveu si charmant  : Il est vrai qu’à chaque moment Je songe que je
deuil Depuis peu, voyant au cercueil Son Andromaque si brillante, Si charmante , si triomphante ; Autrement la belle Du Parc, Par
ort de reine Elle paraissait sur la scène ; Et tout ce qu’elle eut de charmant Gît dans le sombre monument. Elle y fut mercredi
éjart. Comme la comédie a des séductions, je ne pus quitter sitôt ces charmants amis : je demeurai trois mois à Lyon parmi les je
eau de cuisine, le bonnet coquet. Il roulait la farine avec une grâce charmante  ; il fourrait sa pâte de viande hachée avec un ai
X. Mlle de La Thorillière Mademoiselle Dancourt fut une des plus charmantes amoureuses du Théâtre-Français21 ; elle s’appelai
une fois la fenêtre qui a éclairé tant d’amour ! » Tout le roman est charmant , mais passons vite. Quoique les Dancourt partisse
33 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
. Il n’avait pas lu ce qu’elle dit de Mithridate : « C’est une pièce charmante , on y est dans une continuelle admiration ; on la
n. Ce mot, La Harpe la jugé sévère contre l’auteur de tant de lettres charmantes , et à ce sujet il a mis en avant que le goût qui
its pour les ballets du roi, il en est qui ne sont pas au-dessous des charmantes cajoleries de Voltaire pour le grand Frédéric132.
34 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
qui, censeur du livre d’Hamilton, voulait en effacer le récit de ces charmants larcins et de ces aimables guet-apens, comme pouv
f représentations attestèrent le succès, et où deux acteurs jeunes et charmants , Baron fils et mademoiselle Desmares, trouvèrent
e a, pour ainsi dire, répondu au signal donné par l’Italie. Le couple charmant de Psyché et de l’Amour a respiré de nouveau sous
4. MM. David, Gérard et Picot. 5. Qui pourrait ne pas connaître le charmant ballet de Psyché, par M. Gardel ?
35 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [58, p. 95-96] »
  Molière, osent avec mépris   Censurer ton plus bel ouvrage :   Sa charmante naïveté,   S’en va pour jamais d’âge en âge Dive
36 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [36, p. 64-67] »
lle regretta de voir son père s’y engager. Elle a laissé des Mémoires charmants sur cette folle et pittoresque Fronde. [...] (DLF
37 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
retien sérieux. C’est une des causes qui ont banni de chez nous l’art charmant de la conversation, où l’esprit français fut long
heur qu’il éprouve, c’est le sentiment et la joie de l’amour. Théorie charmante et poétique, mais dont, par malheur, il est trop
fixer son choix. Elle s’appelle, de son nom de fille, Henriette ; nom charmant , que par une rencontre, peut-être accidentelle, o
e animale Et retenir la bride aux efforts du courroux ? N’est-il pas charmant de l’entendre recommander à Clitandre de ménager,
une Cendrillon ; nous la tiendrons, nous, pour une femme d’un esprit charmant et naturel, en qui une pointe de malice relève un
38 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [80, p. 121-126] »
magnifiques que se trouve la première imitation qu’on ait faite de la charmante ode d’Horace, Donec gratus eram 270, etc. J. J. R
39 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
r ; Il n’est rien qui ne se rende Aux doux charmes de l’amour625. La charmante Daphné et la trop aimable Eroxène 626 suivent ces
de à Julie les musiciens d’Eraste dans M. de Pourceaugnac : Répands, charmante nuit, répands sur tous les yeux          De tes p
Aimable jeunesse ; Donnez-vous à la tendresse : Les plaisirs les plus charmants , Sans l’amoureuse flamme, Pour contenter une âme
40 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
il fit représenter Le Dépit amoureux, ouvrage que quelques situations charmantes , et des scènes du premier ordre, assurent contre
icerte et Le Sicilien. La première de ces pièces est une plaisanterie charmante sur la Faculté : la métamorphose soudaine de Sgan
nte. Madame Molière était excellente comédienne ; elle avait une voix charmante , chantait avec beaucoup de goût le français et l’
ui semblent avoir rapport à cette aventure : Il faut qu’elle ait été charmante , Puisque aujourd’hui, malgré ses ans, À peine des
deuil, Depuis peu voyant au cercueil Son Andromaque si brillante, Si charmante , si triomphante, Autrement la belle Duparc, Par q
ort de reine Elle paraissait sur la scène ; Et tout ce qu’elle eut de charmant Gît dans le sombre monument Elle y fut mercredi c
41 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
les grands acteurs de l’Hôtel*, Audit Versailles ont fait merveilles, Charmant les yeux et les oreilles. Et que ceux du Palais-R
, Mardi2, l’on y donne au public, De bout en bout, et ric à ric, Son charmant Bourgeois gentilhomme, C’est-à-dire, presque tout
plats les mieux apprêtés, Qu’on y voyait de tous côtés Fut, que douze charmantes filles, Jeunes, riantes et gentilles, Ayant toute
té du roi, de la reine*, Et de Monsieur, aussi d’Anjou, De la Cour le charmant bijou. Ce fut chez monsieur de Bellièvre, Que cet
lle façon M. l’abbé d’Olivet rend compte de ce fait1. « Au reste, la charmante scène (des Femmes savantes, acte III, scène V) de
42 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
pas à leur mère, à leur sœur, à toutes leurs tantes, et, lorsque ces charmantes femmes leur ouvrent leur bourse, elles se disent 
i arriver. Il a besoin d’un confident. Est-ce que tout cela n’est pas charmant et qu’est-ce que tout cela veut dire ? Cela veut
ne dis pas céder, mais s’adoucir. Agnès écrase Arnolphe de ce vers si charmant et si cruel, de ce vers décisif : Horace avec de
43 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
s’est marié dans l’intérêt du divorce, le mari de la Thèse, enfin, un charmant garçon et si bien élevé!... qui est tué à la fin
uits. C’est gracieux, n’est-ce pas? Et c’est vrai, aussi, enfin c’est charmant  ! Mais ce n’est pas ainsi, oh ! certes non! que,
brillant jusqu’à éblouir, éloquent, curieux, terrible, entraînant et charmant  ! Parce que cela sait tout du mystère féminin et
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « De l’Imitation en général. » pp. 1-4
a premiere comédie de caractere. 2. Ces vers sont d’une petite piece charmante , intitulée le Réveil de Thalie.
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
tement. Cette scene, dont je n’ai rapporté qu’une foible partie, est charmante d’un bout à l’autre. Pourquoi cela ? parceque Cél
it qu’à moi d’en avoir un plus beau, Me dis-je. J’apperçois une femme charmante  : Je l’aurai, si je veux, & cela me contente.
46 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
ce, &c. Les moindres choses maniées par ce grand homme paroissent charmantes & merveilleuses. Voilà aussi le jugement que
consacré à sa memoire. Ornement du Théatre, incomparable Acteur, Charmant Poëte, Illustre Auteur, C’est toi, dont les pla
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
ne si bien leurs gestes, qu’elle se peigne dans chacun d’eux. Dans la charmante petite piece des Graces, comédie de M. de Saint-F
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
eux & maniéré eût lu le couplet espagnol, qu’il eût trouvé l’idée charmante , qu’il en eût voulu enrichir notre langue ; &
49 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
rdes. Les actrices surtout, disent les témoignages du temps, parurent charmantes . Ce vif succès décida l’établissement de la troup
Héraclius, on siffla Rodogune ; Cinna le fut de même et le Cid tout charmant Receut, avec Pompée, un pareil traitement. Dans c
ionaux échappés en pleine Gaule. C’est un de ces caprices allègres et charmants où s’ébat, le bonnet sur l’oreille, le cœur sur l
té d’un croquis de Callot ; on croirait entendre une chanson à jamais charmante , éclose sous le ciel de Naples, après un vieux re
méprisant de la Guérin28, était-elle donc vraiment jolie ? Elle était charmante , au dire de tous les contemporains, et lorsque, d
plus délicat. COVIELLE. Sa conversation… CLÉANTE. Sa conversation est charmante . COVIELLE. … Mais enfin, elle est capricieuse aut
nt : Les grâces et les ris règnent sur son visage, Elle a l’air tout charmant et l’esprit tout de feu, Elle avait un mari d’esp
à que se rencontrent les meilleures inspirations de Molière, les plus charmantes sans aucun doute et à la fois les plus hardies. L
apprend même que Molière eut le bon esprit de trouver la plaisanterie charmante . Quelqu’un lui demanda : « Molière, qu’en dis-tu
s de Molière. D’ailleurs, il gâte bien vite ce que l’exclamation a de charmant par un trait de mauvais goût : Ô galère ! galère
algré son âge. On fit sur elle ce quatrain : Il faut qu’elle ait été charmante , Puisqu’aujourd’hui, malgré les ans, À peine des
e pièce à celles-ci, L’École des femmes, une incomparable, cruelle et charmante comédie, où Arnolphe égale Othello. 33. Je cite
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
ir pour modele. Nous la devons au célebre Goldoni. Comme la piece est charmante , l’extrait que je vais en faire sera plus étendu
51 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55
ngham, les vers où Voiture lui parle à découvert de son amour pour ce charmant Anglais et le plaisir qu’elle prit à les lire, le
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
t croire que je suis aimable, puisque vous le dites. Le Marquis. Ah ! charmante  ! Et je serois bien heureux si Hortense vous ress
eurs. Clarice. Mot latin. Clara, splendida puella : fille brillante, charmante . Clitandre. Vir inclitus : homme célebre & t
t & éclairé. Orphise. Venusta indoles : caractere agréable & charmant . Philinte. Ad amorem & amicitiam propensus :
53 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
eux, las d’imiter les autres et de remplacer les personnages les plus charmants de la scène par des fictions sans caractère et sa
sprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage ; Sa charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge en âge Divertir
54 (1900) Molière pp. -283
de Scarron, et était persuadé que Le Menteur de Corneille, — comédie charmante de cape et d’épée dont je ne dis pas de mal, — ét
n moyen très simple. Ce que Molière conçut dans sa vie de province de charmantes et de fécondes idées, a fructifié dans son cervea
sion ; c’est alors qu’il se plaît à la choisir telle, mais il la rend charmante , pittoresque, colorée, sans qu’elle cesse d’être
tous les théâtres, celui qui contient le plus grand nombre de femmes charmantes et parfaites (et, je pense, notre nation aussi) ;
y a une jeune fille de Molière qu’on célèbre aussi comme tout à fait charmante  ; c’est Henriette des Femmes savantes, femme sens
 Il y a de bons mariages : il n’y en a pas de délicieux. » Le mot est charmant , mais, dans la littérature au moins, il est outré
suis fait un mal horrible27. Comme cela est naturel, comme cela est charmant  ; quelle femme achevée, quelle vraie femme, et en
n ton, tous ceux qu’on serait bien fâché de ne pas avoir, les défauts charmants , comme l’impertinence ; quand il place le bourgeo
en plein théâtre les défauts de sa femme, et ces défauts il les fait charmants . Mais si Molière procède ainsi pour des souffranc
morale. Mais, en travaillant son sujet, il trouva possible et trouva charmant d’y mettre aussi, avec une impartialité souverain
x amuser son galant auditoire, Mêle aux tendres propos des blasphèmes charmants , Lui prêche de l’amour les doux égarements, Trait
ionne pour Schiller, on ne joue assidûment que nos auteurs. Privilège charmant de l’esprit français de n’être le don que d’un se
utes sont injustes ! Si vous la décomposez, cette faculté terrible et charmante qui a nom l’esprit français, si vous la dégagez d
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
eut lire tout haut. Francaleu lit. « Aux traits dont vous peignez la charmante Lucile, « Je ne suis pas surpris de l’amour de mo
56 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
ortrait du maréchal d’Albret : j’ai pleuré. Le roi veut faire un lieu charmant de ce château. Il y a envoyé M. Le Nôtre, et j’y
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
e en effet Silvio a partager la tendresse qu’une Nymphe belle, jeune, charmante , ressent pour lui. Quoi ! ton cœur est insensibl
our lui. Quoi ! ton cœur est insensible pour une Nymphe si belle, si charmante  ! Que dis-je une Nymphe ? c’est bien plutôt une D
58 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
rmet à Plutarque d’être chez lui que pour garder ses rabats? et cette charmante Martine, qui ne dit pas un mot dans son patois qu
esprit, il réussirait tant aujourd’hui dans des soupers qu’on appelle charmants , que je trouve le parterre excusable de s’y être
lecteur croit avoir faits? C’est encore Molière. Quelle foule de vers charmants  ! quelle facilité ! quelle énergie ! surtout quel
ble amant soit jaloux ou ne soit pas jaloux, est le sujet d’une scène charmante , pleine d’esprit et de raison , et qui montre ce
us sûre! et si la vérité est par elle-même triste et sévère, quel art charmant que celui qui la rend si agréable! Le rire est, s
ans cette pièce qu’il a caractérisé les donneurs d’avis par une scène charmante , dont tout l’esprit est dans ce mot si connu : M.
59 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
blesse pour une coquette ; de remarquer la conversation, le contraste charmant d’une prude, avec cette coquette outrée. Quiconqu
. Ce n’est pas que les vers n’en soient ingénieux ; Ils sont les plus charmants du monde, Leur tour, leur force, est sans seconde
rler.       [*]Ornement du théâtre, incomparable acteur,              Charmant poète, illustre auteur,             C’est toi don
llement, On a pour divertissement, Le Sicilien, que Molière, Avec sa charmante manière, Mêla dans le ballet du roi2, Et qu’on ad
s en tout, Peuvent pousser cent cœurs à bout, Comme étant tout à fait charmantes  ; Et dont enfin les riches mantes, Valent bien de
chines volantes, Plus que des astres éclatantes, Font un spectacle si charmant , Que je ne doute nullement, Qu’on y courre en fou
sez, En cette autre brillante salle, Qui fut la salle théâtrale. Ô le charmant lieu que c’était ? L’or partout, certes éclatait 
te, l’on dit que Molière, Paraissant dans cette carrière, Avecque ses charmants acteurs, Ravit ses royaux spectateurs, Et sans é
60 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
sprits, Moliere, osent avec mépris Censurer ton plus bel Ouvrage ; Sa charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge en âge Enjouer
61 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
plume de l’auteur, et font du dialogue un singulier mélange de poésie charmante et de détails familiers. Je ne connais guère que
62 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214
était citoyen et précepteur habile quand, à ces vers, il ajoutait ce charmant apologue de Cynéas et Pyrrhus : Pourquoi ces élé
63 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
u plus fin, du plus délicat. — Sa conversation… — Sa conversation est charmante . — Elle est toujours sérieuse. — Veux-tu de ces e
ans. La douceur de sa voix a voulu se faire paraître dans un air tout charmant qu’elle a daigné chanter, et les sons merveilleux
a. Quant à l’héroïne, bien éloignée assurément de son modèle antique, charmante encore cependant, avec sa pudeur fière, sa tendre
n âme comme dans son génie, et lorsqu’il rencontrait un type de grâce charmante ou noble, il s’en faisait avec une galanterie fiè
64 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
t laisse ici gronder quelques Censeurs, Qu’aigrissent de tes vers les charmantes douceurs. Et qu’importe à nos vers que Perrin les
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
n, est bien insipide après les scenes de toilette de Moncade qui sont charmantes  : j’en fais juge le lecteur. Dans la scene VI, Mo
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
joli ! Aglaé, le regardant tendrement. Il est vrai que sa figure est charmante  ! Il faudra le garder au moins un mois avec nous.
67 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
Béjart. Comme la comédie a des charmes, je ne pus si tôt quitter ces charmants amis ; je demeurai trois mois à Lyon parmi les je
lle De Brie était, sans conteste, une aussi excellente actrice qu’une charmante femme. Fort bonne comédienne, elle était en même
t vrai des dépits, des raccommodements amoureux, et de tous ces riens charmants , brillante aurore du bonheur ! Chaque spectateur
. Ce prince y fut accompagné De maint courtisan bien peigné, De dames charmantes et sages Et de plusieurs mignons visages. Le prem
ois employé par les gens de la meilleure compagnie. La correspondance charmante d’une femme dont Bussy lui-même n’a jamais cherch
u plus fin, du plus délicat. — Sa conversation… — Sa conversation est charmante . — … Mais enfin elle est capricieuse autant que p
 » Ce portrait dialogué, qui semble n’être qu’une paraphrase du vers charmant de La Fontaine Et la grâce plus belle encor que
sprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage ; Sa charmante naïveté S’en va pour jamais d’âge en âge Divertir
transports de son âme, le dépit d’Éraste et de Lucile, les querelles charmantes de Valère et de Marianne, l’amoureuse colère d’Al
à l’anecdote que nous venons de rapporter : Il faut qu’elle ait été charmante , Puisqu’aujourd’hui, malgré les ans, À peine des
te prendre également place dans Le Ballet des Muses. Cette production charmante a été regardée par tous les littérateurs comme l’
pas d’un petit prix ; Et même une confidente N’y paraît pas la moins charmante , Et maint, le cas est évident, Voudrait en être c
eillement On a pour divertissement Le Sicilien, que Molière, Avec sa charmante manière, Mêla dans le Ballet du Roi, Et qu’on adm
is de novembre précédent à l’hôtel de Bourgogne sous les traits d’une charmante transfuge, mademoiselle Du Parc. Le 25 mai 1668,
bleau de George Dandin. Le 18 juillet, un des jours de la fête, cette charmante comédie obtint les suffrages des courtisans, qui
. Bientôt après, il n’obtint pas moins de succès à la lecture. Cette charmante production avait encore pour les Parisiens un att
voir pendant un assez grand nombre de représentations. À cette farce charmante , la veine de Molière fit succéder La Comtesse d’E
omte danois, ni baron allemand, Qui n’ait à ses repas un couple aussi charmant  ; Et dans la Croix-de-Fer91 eux seuls en valent m
s’est assis le jour de sa mort, en remplissant le rôle d’Argan. Cette charmante comédie continua d’attirer la foule. Mais quelque
r : Les grâces et les ris règnent sur son visage ; Elle a l’air tout charmant et l’esprit plein de feu. Elle avait un mari d’es
68 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
qui est indiscutée et qui plaît, étant représentée par un jeune homme charmant , brillant, amoureux des fêtes et, en même temps,
eautés soupirent nuit et jour ; Bref, en tout et partout, ma personne charmante N’est donc pas un morceau dont vous soyez content
e on du Misanthrope ou de Jupiter ou de Tartuffe, il y a des couplets charmants dans Don Garcie. Lisez avec attention cette jolie
té, aimé et finalement épousé, quoique vieillard, par une jeune fille charmante . Je conviens qu’il est regrettable que Molière ai
e nous disons familièrement, et qu’il ait fait épouser sa jeune fille charmante par un homme très sensé, très judicieux et très l
que, quand cela lui arrive il est la raison habillée du style le plus charmant du monde. Aussi je ne dirai pas et je lui laisse
ore sur quoi nous aurons occasion de revenir, L’Amour peintre est un charmant chef-d’œuvre en un acte. Amphitryon Amphitr
re des armées invisibles et des soldats invulnérables : tout cela est charmant , sans doute ; et il y a des gens qui n’ont aucune
re n’ait fustigé aucun travers . Dans l’Amour peintre même, du reste charmant , il a berné un Bartholo et Bartholo mérite toujou
upiter est le dernier des drôles et il est présenté par Molière comme charmant et comme le personnage le plus sympathique du mon
n, c’est Néron. Comme Néron dit : Je me fais de leur peine une image charmante […] J’aimais jusqu’à ces pleurs que je faisais co
sque pas vaine et qui n’a guère que de la méchanceté. La première est charmante  : elle ne demande que de l’admiration et que des
de Henri IV, de croire qu’elle a vingt-cinq ans. Somme toute elle est charmante . Elle a l’esprit de Molière, les sentiments de Mo
rand. Les jeunes filles de Racine sont des femmes, ce sont des femmes charmantes , mais ce sont des femmes ; les jeunes filles de S
que respectable, sous le nom d’Alceste, et ce que le misanthrope a de charmant sous le nom de Philinte, il n’avait à donner un c
mes yeux un cœur bien enflammé, Et c’est, je vous l’avoue, une chose charmante De trouver tant d’amour dans un objet aimé. Mais,
e fait une inquiétude De la manière d’être heureux. En moi, belle et charmante Alcmène, Vous voyez un mari, vous voyez un amant 
69 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
ses talents naturels, Ornement du Théâtre, incomparable Acteur, Charmant poète, illustre Auteur, Il ajoute pour nous pr
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
t beaucoup d’ennemis, & leur nombre accroît chaque jour. Un Poëte charmant vient encore de se déchaîner contre ce genre, dan
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
Le Cyclope. Ah ! misérable ! on m’a brûlé l’œil. Le Chœur, à part. La charmante musique ! Chante à présent, monstre. Le Cyclope.
72 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
ui sont d’un esprit délicieux; sous Louis XV, on a écrit des comédies charmantes ; à la fin du XVIIIe siècle même, et à la veille d
73 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
épravé ; vos goûts forment les leurs : Ils sont habitués aux manières charmantes De votre cher Dorat, à ses phrases brillantes. S
74 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
me l’homme aimable et sensé. Alceste a mille fois raison contre cette charmante Célimène, son seul tort est sa faiblesse pour ell
es, genre dans lequel la France a produit depuis cette époque tant de charmantes bagatelles. Il a conservé bien moins de réputatio
ereux, il exprime d’autres fois des émotions délicates avec une grâce charmante et la plus douce harmonie. L’opéra devrait ressem
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
s condamnez l’aveu que je vous fais, Vous devez vous en prendre à vos charmants attraits. Dès que j’en vis briller la splendeur p
76 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
e composition d’une latinité plus correcte, car Corbinelli loue cette charmante personne d’entendre Horace comme le comte de Buss
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
etite piece en un acte & en prose, de M. de Saint-Foix : elle est charmante . 18. Comédie en un acte & en vers, représent
78 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
ns froide, moins monotone ; & M. Collé, si connu par des comédies charmantes , n’auroit pas été forcé de la réduire en trois ac
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
ece entre, fait l’éloge des étoffes, trouve sur-tout l’une des pieces charmante . La tante s’apperçoit bien que sa niece en a fant
80 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
nt les hymnes de triomphe du poète chrétien et pénitent. Ô divine, ô charmante loi ! Ô justice, ô bonté suprême ! Que de raisons
ne s’élève guère plus haut. Les rôles d’Henriette et de Clitandre, si charmants qu’ils soient, ne suffisent pas pour donner à cet
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
décider définitivement que sur les modes. Mais comme, dans ce siecle charmant , tout est soumis au tribunal des Dames, qu’elles
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
  Fort bien ! Belle conception !  Quand viendra-t-il, par son retour charmant ,   Rendre mon ame satisfaite ? Le plutôt qu’il po
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
eur. Après plusieurs scenes dont je ne parle pas, Lucinde entre avec Charmant  : la Muse quitte le ton critique pour faire l’élo
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
est auteur de plusieurs tragédies, des Mœurs du temps, petite comédie charmante , & du Joueur Anglois ou Beverley.
85 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
rel ; la manière, à la grâce. Des esquisses agréables, des miniatures charmantes , des écrivains spirituels ; mais plus de vastes c
86 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
n maître. Afin de le mettre en bonne humeur, il lui parle d’une veuve charmante , dont il est amoureux, et dit qu’il voudrait soup
87 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
ive à espérer que sa mère a pu devenir la maîtresse de quelque prince charmant  : « Je crois que quelque aventure un jour me vien
La plupart de ses héroïnes sont de fort honnêtes femmes. Marianne est charmante . Henriette sera la meilleure des épouses. Elvire
88 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
r La Comtesse d’Escarbagnas Veuf, depuis un an et demi, de cette charmante Henriette d’Angleterre, dont la mort, si prompte
e, qui pouvait réciter par cœur Homère et Platon, qui fit un madrigal charmant , au moins égal à celui qui seul fait toute la rép
t comte danois, ni baron allemand, Qui n’ait à ses repas un couple si charmant  ; Et, dans la Croix-de-Fer (**), eux seuls en val
89 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
oût 1816, minuit 1 4. Du comique de Shakespeare11 La gaîté folle et charmante des jeunes filles n’est pas la même chose que le
l’archéologue Bucci, ami intime de Stendhal ; le Bucci était des plus charmants . 2º Deux notes du signor Bucci à moi adressées av
à un Chaclas fesant le fat avec son éloquence, et sacrifiant une fête charmante à Dieu, c’est-à-dire au plus égoïste de tous les
e qu’ils m’ont pu dire. Et planter dans mon âme une constante foi Des charmantes bontés que vous avez pour moi. Voilà un homme d’
t le tableau de ses espérances. Cette manière pouvait faire naître de charmantes peintures d’amour. Élise aurait paru craintive, t
70. Saint François tenant dans ses bras l’enfant-Jésus, petit tableau charmant du Dominiquin, au Musée n°..… 71. Voyez Métastas
90 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
t qu’à moi d’en avoir nn plus beau, Me dis-je... J’aperçois une femme charmante ... Je l’aurai si je veux, et cela me contente. En
donnent-ils pas une idée de cette société frivole et efféminée où de charmants abbés soupiraient leurs romances dans les boudoir
mœurs, le Style libre, vif, élégant et pur, rempli d’une foule devers charmants que chacun a retenus, tous ces mérites sont conte
Quartiers, de Picard; Le Folliculaire et Le Roman, de Delaville ; la charmante comédie de M. Samson, La Belle-Mère et le Gendre,
ridicules, bien des travers actuels sont finement raillés dans cette charmante comédie. L’avidité de quelques-uns de nos honorab
e qu’ils m’ont pu dire, Et planter dans mon âme une constante foi Des charmantes bontés que vous avez pour moi. Elmire, pressée e
91 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
ue si Molière est cartésien, il ne l’est que pour la physique, par la charmante anecdote que rapporte ensuite Grimarest, de cette
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
cret avec le Comte de... & le Marquis de.... tous les deux beaux, charmants , faits à peindre, & dignes de conquêtes bien
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
mp; qui croit avoir affaire à un juge très sévere, produit des choses charmantes  ; mais elle est très mal amenée, puisqu’il n’est
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
n se fortifie, Par le grave secours de la Philosophie, Contre un sexe charmant que l’on voudroit braver ; Au sein de la sagesse
95 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
Les graces & les ris, regnent sur son visage ; Elle a l’air tout charmant , & l’esprit tout de feu. Elle avoit un mari d
96 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
la jalousie et l’amour est un épisode précieux, mais d’une préciosité charmante , et non ridicule. — La description de certain car
97 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
le droit d’accuser367. Elle reste inébranlable dans son rôle saint et charmant d’épouse, de mère, et même de femme d’esprit, ce
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
t qui y régnoit, & le mérite de son Auteur, connu par deux pieces charmantes , la jeune Indienne & le Marchand de Smyrne. E
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
n alla sous une feuillée Pompeusement appareillée, Où, sur un théâtre charmant , . . . . . . . . . . . . . . Sur ce théâtre que j
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
Marquis, vous en aurez : mais... Le Marquis. Ah ! vous êtes un homme charmant , adorable ! M. Dumont. Il faut auparavant signer
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