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1 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
me dis sage, hem ! vous ai-je menti ? Rendez-moi donc justice, & convenez vous-même Que ma flamme est sensée autant qu’elle
une femme, il faut prendre un état : C’est là le seul parti qu’il te convient de suivre. Qui ne vit que pour soi, n’est pas dig
raisonnement le Jaloux honteux, de Dufresny, & l’on sera forcé de convenir que mes adversaires mêmes n’auroient pas mieux ch
plaisir. Le Président. Bon ! j’irai vous amener des gens qui ne vous conviendront point ! J’aime mieux vous en laisser le choix. La
qu’à la contrainte où se trouve le jaloux, qui n’ose le paroître : je conviens de tout cela ; mais le Lecteur intelligent doit c
aroître : je conviens de tout cela ; mais le Lecteur intelligent doit convenir aussi que Dufresny s’est mis volontairement des e
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. » pp. 253-258
CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. Nous sommes convenus d’appeller pieces à caractere celles où, sans le
aria sont bien loin de ce que nous les voyons dans notre langue. J’en conviens  : mais je ne conviendrai pas que les pieces dont
ce que nous les voyons dans notre langue. J’en conviens : mais je ne conviendrai pas que les pieces dont j’ai parlé ne méritent po
modestes que l’Auteur du Menteur François, le grand Corneille ; il en convient de bonne foi.
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
emps qu’il est très singulier, & qu’il faut bien souvent le faire convenir de son savoir à grands coups de bâton. Ils promet
e de grand Médecin : il dit qu’il ne le fut jamais : on le frappe, il convient de tout ce qu’on veut, sur-tout lorsqu’on lui pro
étonné, eut beau protester qu’on le prenoit pour un autre, on le fit convenir , à coups de fouet, qu’il avoit un secret merveill
ais qu’il est un peu quinteux, & qu’il faut bien souvent le faire convenir de sa science à coups de bâton. Les couriers, enc
’époux. Il proteste ne savoir pas un mot de Médecine : on le bat ; il convient qu’il est très savant. On le mene au Roi. Il imag
4 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
s seulement auteur ; il est acteur, homme de théâtre ; il sait ce qui convient au spectateur, ce qui porte sur lui. Entre son au
e qu’elle est celle de la droite raison et du bon sens, est celle qui convient à tout le monde. Chacun la comprend et l’approuve
l’homme mûr et le jeune homme y trouvent également leur compte. Elle convient encore à la foule, parce qu’elle ne lui propose p
que nous admirons par exemple dans les romans de Mmede La Fayette, ne convient guère à l’esthétique du théâtre. La peinture de M
de la mesure et de la proportion ; c’est le sentiment inné de ce qui convient dans l’ordre moral comme dans l’ordre intellectue
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
comédies à caractere doivent être écrites en vers, & que la prose convient mieux aux farces, ou aux pieces vivement intrigué
vers propres à une farce, & de la prose digne d’une grande piece. Convenons cependant qu’une piece versifiée a un mérite de p
sur quoi ne disputent-ils pas ?) pour décider si les vers alexandrins conviennent mieux à la comédie que les vers libres. Les uns d
e : Nommez-le fourbe, infame, & scélérat maudit, Tout le monde en convient , & nul n’y contredit. Cependant sa grimace es
6 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
timents avec adresse, il y a du tour dans son expression ; mais je ne conviens pas qu’il pense toujours juste ; Ainsi il trouver
Quand même on me l’aurait permis, ce que je ne suppose pas, il ne me convenait point d’exposer au Public des Personnes de consid
ien, et même les jours qu’il doit être applaudi, et les rôles qui lui conviennent . Je réponds donc avec assurance à mon Censeur qu’
savoir, ne pas sentir ce que l’on dit ; n’avoir pas d’entrailles. Je conviens qu’une voix sonore, et une flexibilité de corps,
t encore une grande habitude pour donner à sa voix les inflexions qui conviennent  ; une bonne poitrine, pour la ménager ; beaucoup
le tragique : et toutes ces belles règles que vous venez de donner ne conviennent point à l’Acteur Comique. La Tragédie est une rep
nseur, ce sont des choses communes : Molière est petit avec Baron. Je conviens qu’à la première lecture faite sans réflexion, on
amitié de Molière pour Chapelle l’étonne. « Puisque celui-ci, dit-il, convenait si peu à l’autre, pourquoi ne se séparaient-ils p
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
ées la premiere nuit de leurs noces : c’est beaucoup pour elles, j’en conviens  ; ce n’est pas assez pour les hommes en général.
lheurs qu’il entraîne sont plus ou moins effrayants : on est forcé de convenir de cette vérité. Par conséquent le Joueur de Regn
e ; je m’en vengerai peut-être assez dans le reste de cet ouvrage. Je conviens d’abord qu’on trouve plus d’amants timides dans l
s que celle de rêveur : au surplus, je ne m’en plains pas. Je ne vous conviens point, qu’y faire ? Il n’y a plus qu’à me taire,
Si en la lisant on a fait exactement la supposition dont nous sommes convenus , si l’on s’est peint le Marquis à quinze ans ou à
signifie un homme foible, changeant, flexible ; par conséquent ce nom convient au Financier du Glorieux, puisqu’il est amoureux
dépense. Destouches, en le nommant Cléon, lui a donné un nom qui lui convient  : mais il ne faut pas croire que Destouches ait t
8 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
us avoue que je ne m’y crois nullement propre. Je vis tranquille ; me convient -il de sacrifier mon repos et ma liberté ? D’aille
qu’elle serait à ses gages et à sa merci. Cette condition ne pouvait convenir à la petite-fille d’Agrippa d’Aubigné, le compagn
t dans madame Scarron une femme qui lui plaisait et une femme qui lui convenait . Pour la seconde fois, il choisissait en prince q
ttendre ici à l’emploi de semblables moyens. Non, rien de vulgaire ne convient à un esprit de cette distinction, à l’honnêteté d
9 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
de la solitude et le talent, de peindre la nature, comme on veut bien convenir qu’il ne doit son génie qu’à lui-même, à ses goût
ent le style de Molière. L’un lui trouve du jargon, l’autre veut bien convenir que ses pièces en prose sont moins mal écrites qu
La Boétie, Montluc, Régnier, d’Aubigné, ont bien trouvé la forme qui convenait à leurs pensées, et qu’elle a conservé l’inimitab
; plus de variété ; tout le monde parlera le même langage, un langage convenu . La société y a gagné peut-être, ce n’est pas ici
Corneille et n’y épargna point la dépense : on sait ce qu’il obtint. Convenons que les encouragemens accordés à l’industrie bett
s que soient ces inconvéniens attachés aux faveurs du public, il faut convenir au moins qu’ils lui font honneur. Cette majesté c
10 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
qui gêne le développement des autres branches de la poésie française, convient parfaitement à la comédie ; là du moins la versif
es louanges qu’ils ont données à leurs poètes tragiques, mais il fuit convenir que les éloges pompeux dont ils accablent Molière
ir de faim ses chevaux, mais pourquoi a-t-il des chevaux ? Ce luxe ne convient qu’à l’homme qui veut soutenir l’éclat d’un certa
sérieuse, mais, à quelques scènes près, ce n’est pas une comédie. On convient généralement que le dénouement en est mauvais, pa
de toute culture intellectuelle sont aussi des ridicules, et il faut convenir que la façon de penser que l’auteur nous donne po
urs encore dans des dissertations sur la mesure des connaissances qui convient à un homme comme il faut. Il est certainement trè
kespeare ; d’ailleurs cette manière enfantine de donner des leçons ne convient guère aux temps modernes. Dans le Mercure galant,
e italienne ; mais si l’on passe par-dessus cet inconvénient, il faut convenir que rien n’est plus gai et plus agréable. Il peut
se rendent insupportables par un froid bavardage sur la vertu, qui ne conviendrait que des hypocrites, et par l’abus fastidieux d’un
11 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
MAMFURIO. Miséricorde ! à vous les écus, la robe et tout ce qui vous convient , dimittam vobis. SANGUINO. Prenez, puisqu’il vous
st dans le ciel, et moi je suis une pauvre pécheresse, et ainsi il ne convient pas de m’appeler madonna. ALBERTO. Je me sers de
’ai cherché dans toute la ville, et n’ai trouvé personne qui pût vous convenir . Elle me paraît toute pleine de Lucifers. Dans mo
12 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
s femmes savantes, c’eut été s’exposer à de dangereuses inimitiés. Il convint donc à Molière de supposer que des femmes, qui jo
te des détails partout où il en trouve qui rient à son imagination et conviennent à ses vues ; il les rapproche, il les sépare de m
n côté et un trait d’un autre, et de ces divers traits, qui pouvaient convenir à une même personne, j’en ai fait des peintures v
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
le soupé dont il nous a déja parlé : nous n’avons pas vu le traiteur convenir avec lui sur la scene, donc le marché doit s’être
tuteur qu’elle déteste, donne sa foi à un amant qu’elle adore, & convient avec lui qu’il l’enlevera dans trois jours : tout
ncement, ni milieu, ni fin, & comme l’Auteur le sait bien, il est convenu avec les acteurs qu’ils pourroient se retirer lor
14 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
ont un la paie. L’autre, M. Harpin, brusque, bourru, dur, ainsi qu’il convient à un homme de finance, n’a pas pour la naissance
ue celle de Chamfort. En admettant l’anecdote pour vraie, il faudrait convenir que Molière n’a pas tout à fait tenu compte des o
aujourd’hui, leur étaient communs à tous ; et le même habillement qui convenait à un poète de condition laïque, était, à peu de c
rtenir à celle de beaucoup d’autres, Molière avait le droit de ne pas convenir qu’ils fussent ceux de Ménage lui-même ; et surto
la vérité… Armande et Philaminte sont des êtres très ridicules, j’en conviens , et qui méritent qu’on en fasse justice ; mais le
ans une femme, elle a aussi la timide réserve et la grâce modeste qui conviennent à son sexe, et dont nos deux pédantes sont privée
eurs ! La pédanterie de Philaminte est hautaine, impérieuse, comme il convient à une femme qui règne despotiquement sur son mari
oujours raison et à qui l’on donne toujours tort. Martine, il en faut convenir , est une servante comme on n’en voit plus qu’au t
té, ou, pour mieux dire, privé de ce caractère de vérité générale qui convient à la comédie de mœurs. De tout temps et jusqu’à c
15 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
e un homme d’une profession ignoble, à qui la qualité de Monsieur, ne convient nullement. Le Secrétaire du Roi qui a dressé le P
es mois. Trouvez-vous, Monsieur, que l’histoire de la petite Épinette convienne à la Vie d’un homme grave ? Elle est entièrement
homme de bon sens nous la donne bien sérieusement pour une vérité. Je conviens que si la chose est vraie, Molière y fait le pers
16 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
n’a pas caractère pour prêcher en matière aussi grave sur le ton qui conviendrait . Molière a voulu simplement corriger les hommes d
c’est ce qui est arrivé à Molière lui-même dans George Dandin. Je ne conviendrai jamais que Clitandre et Angélique soient intéress
n, grand babillard, grand hâbleur, grand diseur de balivernes, et qui convenait parfaitement à celui qui se l’était donné par une
ils lui trouvent tous les symptômes. Il n’était pas nécessaire, il ne convenait même pas qu’ils fussent ignorants et sots. Leur s
ent de même nature, de même valeur ; et des exemples tirés du théâtre convenaient merveilleusement dans une aventure aussi romanesq
ation de L’Avare, les sentiments de respect qu’il doit à son père. Je conviens de tout cela. »Cette faute qu’il reproche à Moliè
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
igne petit-maître que je sers ; donne-m’en de plus doux, & qui me conviennent . Marton. A toi, des noms plus doux ? Pasquin. Ah 
s’il vous plait, A vous en imposer ai-je quelque intérêt ? Il faut en convenir , cet homme flegmatique, Sans trop d’obscurité, su
18 (1802) Études sur Molière pp. -355
s, en conscience, « Vous méritez la préférence. » Ces messieurs n’en conviendraient pas. « Raison de plus pour les prévenir. » Dites
? Le dénouement. — Il pourrait être meilleur, et nous en sommes déjà convenus . Mais l’auteur, nourri de la lecture des anciens,
u, La Fille crue Garçon. Précis de La Creduta Maschio. Il a été convenu entre Magnifico et le Docteur que si la femme de
ias est bien plus naturel. La ruse de Valère pour forcer Mascarille à convenir de son indiscrétion est prise dans Arlequin muet
eux, et c’est un grand défaut. L’exposition. — Mauvaise ; il faut en convenir , puisqu’elle n’a lieu qu’au second acte, et qu’As
ule des provinciales ; mais il se trouva depuis que l’ouvrage pouvait convenir à la cour et à la ville. » Je demande si les ridi
ssée à un tel point, que les Précieuses, flattées de porter ce titre, convenaient cependant qu’on voyait des femmes, surtout dans l
te que Baron ait représenté le rôle de Sganarelle, celui d’Ariste lui convenait mieux ; et d’après cette dernière supposition, pu
élicatesse ne portent le trouble dans l’âme du prince ; il est prêt à convenir de sa défaite, mais il est retenu par son valet e
nom de Diane. Elle est surprise qu’un sein de marbre puisse brûler ; convient , qu’ayant voulu enflammer Carlos, elle mérite d’ê
r de comédie. — Tu as raison, ma toute belle, rien de plus maussade ; convenons cependant que le Festin n’a pas été mal rendu ce
 ! — En revanche, comme elle a prêché pesamment pour le convertir ! —  Convenez que si dom Louis n’a pas opéré cette conversion,
venger, indique son mari, avertit qu’il faut le battre pour le faire convenir de son savoir ; il nie, est rossé, avoue qu’il es
toute votre peau ne me tenterait pas, est-ce le ton positif qui leur convient  ? celui du dédain ne les adoucirait-il pas ? — No
on a constamment eu le ton, l’allure d’un Cassandre. Dorine dit, j’en conviens , qu’il est … Comme un homme hébété, Depuis que d
uoi surtout prendre le ton du persifflage et de la légèreté ? peut-il convenir à la femme respectable qui vit dans le sein d’une
s un puits, Angélique fait semblant de se tuer d’un coup de couteau : convenons que le puits, pouvant se trouver avec vraisemblan
confondu nous avait annoncée. Quant aux divertissements, nous sommes convenus de n’en parler que lorsqu’ils mériteraient ce tit
de Gassendi ne devait certainement pas oublier ce genre de fourberie. Convenez , va-t-on me dire, qu’une pareille moralité est de
ent persuadé qu’on le reçoit mufti ; et s’il voulait être sincère, il conviendrait que certain jour, en parlant bas à son voisin, il
trouve plus l’auteur du Misanthrope. Non, il ne put l’y trouver, j’en conviens  ; Mais ce grand juge y retrouva fort bien Le Grec
omet toujours quand il veut parler d’un art qu’il n’a pas approfondi. Convenons , en terminant cet article, que la principale gloi
ritique à laquelle je viens de répondre est de Bussi Rabutin, et Bret convient qu’il partage son opinion en partie ; c’est au le
in de donner plus de substance à l’autre. Son déguisement, il faut en convenir , n’est utile ni aux amants, ni à elle-même, et ce
lui répond pas. 63. Boileau trouvait que la galanterie de Jupiter ne convenait ni au maître des dieux ni au général thébain ; qu
’adressant à l’enchanteur le Texier, c’est le nom qu’elle lui donna : convenez , lui dit-elle, qu’il faut tout le prestige de vot
19 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
ne se trouvent point dans les autres. Nous en avons extrait ceux qui conviennent à notre ouvrage, et nous les plaçons ici pour ser
semblent avoir été autorisées par mon silence. La première, que j’aie convenu de juges touchant son mérite, et m’en sois rappor
taqués comme moi, aucun, que je sache, n’a eu assez de faiblesse pour convenir d’arbitres avec ses censeurs : et s’ils ont laiss
en faire la comparaison ? Mais c’est un détail dans lequel il ne nous convient point d’entrer ; et nous ne parlerons d’aucune pi
pièce de L’École des maris une poétique toute entière. « Comme il ne convenait pas de mettre un confesseur sur le théâtre, et qu
pouser ; on conçoit aisément la justesse de cette idée, et combien il convenait à l’économie de toute la machine que l’idée impar
xposer au risque presque inévitable d’échouer. Molière a réussi, j’en conviens , mais s’il a surmonté tous les obstacles qui pouv
n ne considère que l’art qui règne dans cette pièce, on sera forcé de convenir que L’École des femmes est une les plus excellent
seurs, qu’il ne défend les endroits faibles de L’École des femmes. On convient qu’il avait tort de vouloir justifier la tarte à
les intermèdes furent mal inventés et mal exécutés. Molière semble en convenir dans l’avertissement des Fâcheux : « [*]Le desse
20 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
ille Thalie. Chacun plaide pour soi ; mais, quoi qu’il vous en coûte, Convenez que les pleurs sont bien intéressants ; Surtout d
Oui, c’est un grand ressort pour émouvoir les âmes, Et qui fut, j’en conviens , mis en jeu par les femmes, Toujours avec succès.
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
caractere, qu’on est surpris de le voir annoncé, & tout le monde convient que la piece devroit seulement porter le dernier
emier mobile. Pieces mixtes de la seconde espece. Nous sommes convenus d’appeller comédies mixtes de la seconde espece,
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. » pp. 426-435
ez en colere, je la ferai Duchesse. Si l’on trouve quelque chose qui convienne mieux au caractere & à la situation de Madame
la situation de Madame Jourdain, que les propos de Thérese Pança, je conviendrai pour lors que notre comique a eu tort de les tran
23 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
e la fine et mystique délicatesse de Fénelon n’ait pas goûté comme il convenait ces prodigalités d’une verve aussi éloignée de Vi
ère aimait à peindre d’après nature, nous estimons cependant qu’il ne convient pas de serrer de trop près ces ressemblances dont
ropie généreuse Pour apprécier au vrai les intentions du poète, il convient d’abord de distinguer dans le rôle d’Alceste deux
la société contemporaine. C’est ainsi que les médisances de Célimène convenaient bien à une époque dont Mlle de Montpensier disait
d’hui même, exerce encore une action sur les esprits et les mœurs, il convient de raconter d’abord son histoire ; car les viciss
ste aussi retentissant que s’il partait de la tribune. D’ailleurs, ne convenait -il pas au poète de prendre toutes ses précautions
ont osé soutenir que le sujet même du Tartuffe est trop sérieux pour convenir à la comédie. Nous reconnaîtrons volontiers qu’ic
ente de soupirer aux dépens du prochain : son silence accuse. Il faut convenir que ce manège est plus pratique, et plus voisin d
e, sans équivoque ; car, si certaines finesses de littérature exquise conviennent au loisir du goût et au sang-froid de la réflexio
mesure le thème dramatique de Plaute a été renouvelé par Molière, il convient d’analyser brièvement la pièce antique. Ainsi qu
al personnage, et fait à elle seule l’unité de l’action. On doit même convenir que la guérison d’Euclion n’a rien d’invraisembla
auvaises mœurs ? » Avant de réfuter cette thèse par des principes, il convient d’y relever d’abord deux erreurs. Rousseau se tro
ous ces griefs il eût été plus digne sans doute de les oublier ; mais convenons qu’ils autorisaient une revanche. Or, si elle fut
nner un avis naturel, quoi de plus simple et de plus désirable ? » Il convient donc de déclarer très haut, et surtout dans notre
uffes ont l’avantage. » 108. Le premier président jugeait qu’il « ne convient pas au théâtre de prêcher l’Évangile, que ces mat
24 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
ès de Dom Garcie de Navarre, que le genre noble, sérieux et galant ne convenait point à son génie, et probablement il ne se fût p
rde à présent comme un prince accompli  ; cet Arbate, dont le langage convient si peu à son grave emploi, parle en courtisan de
lusion à deux comédies de Marivaux, nommées de ce titre qui aurait pu convenir à toutes celles du même auteur. Dans toutes, un a
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
grand partisan des Guises, comme on le voit : elle parut en 1592. On conviendra que pour le temps elle est très bien écrite, que
d’avoir écouté l’Amour, alloit être immolée à Diane. On est forcé de convenir que cette pastorale, quoiqu’éloignée de la perfec
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
payer à l’état malheureux où vous êtes & dont vous ne voulez pas convenir . Voilà ma dette de cinq cents guinées payée ; poi
e ». Peut-on raisonner ainsi ? Il seroit bien étonné sans doute, j’en conviens , mais de notre ridicule. Il le feroit bien vîte d
27 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
n appelle les gens du monde croient posséder exclusivement. Il fallut convenir que Molière avait raison ; et quand il montra le
eur village, qui n’aient à leur manière la sorte de bon sens qui leur convient . Il faut les entendre après la peur effroyable qu
incre qu’elle est d’accord avec la démarche que je vous conseille. Ne conviendrez -vous pas qu’il vaut encore mieux empêcher une inj
ertain point ce genre de pièces, du moins tel que Molière l’a traité? Convenons d’abord qu’il n’y attachait aucune prétention ; e
rouve, c’est que presque toutes ne furent imprimées qu’après sa mort. Convenons encore que la variété d’objets est si nécessaire
viens de parler. J’abandonne volontiers les deux derniers actes : je conviens que, pour ridiculiser dans M. Jourdain cette prét
cru devoir réfuter Rousseau au sujet du Misanthrope, je crois devoir convenir qu’il a raison sur George Dandin, dont il trouve
nner; et s’il persiste à dire qu’il l’aimera toujours, quand Harpagon convient que ses offres n’étaient qu’un artifice pour avoi
pre méchanceté , et tomber dans le piège qu’il tendait aux autres? Je conviens que ce dénouement n’est pas conforme aux règles o
28 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
e, assurément ; car la noble et périlleuse sincérité avec laquelle il convient de sa condition, est tout le contraire de la foll
e qui n’est rien moins qu’honnête, en en dépouillant celui à qui elle convient dans toutes ses acceptions. N’a-t-il pas (toujou
emblent n’être là que pour attester combien peu le caractère du sujet convient à celui du poète. Les intermèdes versifiés par Qu
plus tendres et les plus naturels qui soient au théâtre. » Fontenelle convient , avec tout le monde, que jamais Corneille n’expri
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
fler la conquête de son ami. Damon dit que de pareils procédés ne lui conviennent point, & sort pour chercher Léandre. Crispin
amp; le spectateur s’en inquiete peu. Malgré ce que je viens de dire, convenons que nombre d’Auteurs auroient peut-être imité plu
-de-chambre lui demande si elle ne se souvient plus d’Alcibiade. Elle convient qu’il est aimable : mais le Sénat, en le bannissa
oindre Timon, elle lui porte toutes ses richesses. Timon est forcé de convenir que l’univers n’est pas sans vertu : il montre so
30 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
ie vaut bien la peine qu’on en parle. J’en aurais donc parlé comme il convient , et j’aurais fait remarquer, tant de beautés épar
ous de l’esprit et de la gaieté de cette comédie, L’École des femmes, convenez avec moi que le fond en est obscène, que les déta
d en est obscène, que les détails n’en sont rien moins que pudiques ! Convenez surtout que ce petit rôle d’Agnès est peut-être l
très bien qu’une fois lancé, il est impossible de l’arrêter. Je dois convenir que ce jour-là Molière a été cruellement traité.
31 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
agique, pouvait plus aisément s’approcher de la facilité élégante qui convient à la comédie noble. J’ai vu représenter cette piè
e la belle captive; il finit même par lui rendre la liberté, comme il convient à un amant généreux. Elle retrouve le beau Zelmis
négligences dans ces vers ; mais c’est bien le ton et la manière qui convient à l’épître et à la satire. Regnard a traduit asse
il rend ses paysans agréables sans leur ôter la physionomie qui leur convient , et il saisit assez bien quelques-uns des ridicul
32 (1910) Rousseau contre Molière
hrope ; d’avoir des colères puériles, sur de petits sujets, ce qui ne convient pas au misanthrope ; d’avoir des colères personne
lles et égoïstes à propos de choses qui le lèsent lui-même, ce qui ne convient pas au misanthrope ; d’avoir été atténué par l’au
s de la vertu d’Alceste. Sa vertu donc a une source très élevée, j’en conviens  ; mais elle en a une autre qui est dans une imper
ion contre Célimène, il comprime sa colère avec un immense effort. On conviendra que le moment est mal choisi par Dubois ; ou plut
lle ne chasse pas qu’il en veut, et ceci est tout personnel ; mais on conviendra que dans les scènes de jalousie les considération
ur pour Philinte : il le supporte d’une âme égale, forte et douce. Il convient qu’Alceste est plus digne d’amour que lui et il s
joué, non sans succès, à la Comédie-Française, le 22 février 1790. Il convient d’examiner un peu cet ouvrage pour voir ce qu’un
meilleure et la plus saine morale, sur celle-là jugeons des autres et convenons que l’intention de l’auteur étant de plaire à des
Rousseau est toujours convaincu que lui seul a raison, et Alceste ne convient pas aisément qu’il a tort. Alceste est le portrai
rsonnage d’Alceste. Or, il sent bien qu’il l’a joué et il ne veut pas convenir qu’il l’ait joué. Moi, sensible aux malheurs qui
e qu’il contiendra de faux, soit parce qu’il aura d’ennuyeux, et l’on conviendra bien qu’il y a peu d’ouvrages qui fatiguent plus
re un de ceux que Rousseau plus tard bannira de sa république. — J’en conviens très bien, et le raisonnement que je tiens en ce
du reste. Comprenez bien : Molière veut attaquer la religion, et l’on conviendra bien qu’à le prendre d’ensemble, comme l’Avare es
un air d’approbation » car ici le trompeur, c’est Trissotin, et l’on conviendra que Molière ne le « fait » pas « aimer ». Il sera
on et de furieuses attaques avaient suscitée, eut un grand succès. On conviendra que Molière n’était point par son public excité à
aites, sont les plus justes encore qu’il ait dites sur ce sujet : « … Convenons que l’intention de l’auteur étant de plaire à des
ui reproche d’avoir réduit le devoir aux bienséances. Et il faut bien convenir que ce n’est pas tout à fait vrai, mais qu’il ne
triotisme, civisme, républicanisme, religion, héroïsme, tout le monde conviendra que Rousseau ne pouvait trouver dans Molière un a
l n’y a que moi de malheureux. Mes gages, mes gages, mes gages ! » On conviendra que « ciel offensé » est un peu court. Quand l’An
nde vertu, elle, impose un peu à la foule, à la classe moyenne, et je conviens que l’on n’en rit point très franchement ; mais o
ar cela seul qu’il est fort. Ce n’est pas ici la loi de l’amour, j’en conviens , mais c’est celle de la nature, antérieure à l’am
sade, grondeuse et insupportable dans sa maison. » En conséquence, il convient qu’elle soit musicienne, mais faible musicienne,
par l’usage du monde, après et avec de salutaires avertissements. Il convient aussi, et à en juger par le nombre de lignes que
fluence de Mme d’Epinay, qu’il a aimée un peu plus qu’il n’a voulu en convenir , de Mme d’Houdetot qu’il a aimée passionnément, e
u premier choc ; et encore que Philaminte ait la bouche fermée, on en conviendra , non par la force invincible des apophtegmes de M
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283
de biens & de plaisirs ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ils conviennent entre eux de donner à leur niece la terre qui fai
et sa niece, & qu’il en est aimé. Tous deux, pour se faire piece, conviennent de laisser à leur niece la liberté de se choisir
34 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
de sa femme, qui l’exhorte à ne pas s’alarmer légérement. Sganarelle convient tout seul que le parent a raison, & s’appaise
otre cœur un peu trop retenu. . . . . . . . . . . . . . . . . . . On conviendra que le brave Sganarelle imite trop bien jusqu’au
35 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393
la tête de faire une loterie ; elle se fit apporter tout ce qui peut convenir à des religieuses ; cela fit un grand jeu dans la
mais pour ne pas donner à la médisance le moindre sujet de mordre, on convint que des dames respectables et des plus graves de
36 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
elles transactions. L’intention du poète était de faire voir ce qu’il convient d’accorder aux défauts des hommes si l’on veut vi
ira ingénument : Si quelqu’un desserre les dents, C’est un sot, j’en conviens . Comment lui vouloir mal de sa franchise, après
et si durables. Ils sont bien de leur pays et de leur temps, mais ils conviennent à tous les lieux et à tous les âges. Leur physion
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
éloges à Baron, il n’en méritera pas souvent dans cette piece, & convenons que cette scene peint bien la passion. Acte II.
se à Julie. . . . . . . . . . Julie. Je ne suis point injuste, & conviens qu’aujourd’hui, Qui ne me connoîtroit, penseroit
n ; nous avons admiré dans l’italien la scene originale : nous sommes convenus que dans ce moment les deux Auteurs étoient subli
moment les deux Auteurs étoient sublimes. Opposons-leur Baron, & convenons qu’il faut être bien maudit du goût pour défigure
38 (1819) Deux pièces inédites de J.-B. P. Molière [La Jalousie du Barbouillé, Le Médecin volant] pp. 1-4
er tout-à-fait de probabilité. Le style est bas, sans doute ; mais il convient au genre des pièces et à la condition des personn
39 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
t de l’esprit, mais on devrait, ce me semble, distinguer l’esprit qui convient au théâtre d’avec celui dont on peut faire parade
exions, et par sa propre expérience, avait appris à distinguer ce qui convenait aux différents théâtres pour lesquels il travaill
montrer, que ses amis l’abandonnèrent, qu’ils se firent une honte de convenir qu’ils eussent eu avec lui quelques liaisons, et
d’une si sanglante satire. Le portrait en effet qu’on lui attribue ne convient point ·à un homme qui a fait des ouvrages qui ont
mbée. Ce divertissement, disait-on, était sec, peu intéressant, et ne convenait qu’à des gens de lettres. “Que m’importe, s’écria
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Des aparté. » pp. 446-462
choses qui ne doivent pas être entendues des autres ; & l’on est convenu d’appeller ce qu’il dit un aparté. Peut-être auro
Le combat fini, les deux amis redevinrent bons amis, s’expliquerent, convinrent qu’ils avoient eu tort de se battre pour une fill
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
ene finit par le serment que Marianne fait de n’être point à Tartufe. Convenons qu’il faut avoir de l’humeur pour faire des repro
orte ; Que cela déshonore un homme de ma sorte ; Que le ménage ici ne convient nullement. . . . . . Parlez-lui très sérieusement
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
ntipathie, se trouvent sans se connoître, & s’aiment. Nous sommes convenus que cette piece, fondée sur l’invraisemblance com
stiques : — Madame, lui dit-il, il y a déja du temps que nous ne nous convenons plus. Vous savez de quelle maniere je vous ai épo
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Caracteres propres à tous les rangs. » pp. 328-330
si bons, si vrais, & qui tiennent si bien au cœur humain, qu’ils conviennent non seulement à tous les états, mais qu’ils frapp
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « [Introduction] » pp. 1-4
i mal placées, si mal assorties qu’elles font un ensemble détestable. Convenons qu’il ne sera question ici que de la belle nature
45 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [56, p. 89-93] »
s ne fournirait autant de traits que Molière ; il a ses défauts, j’en conviens  ; par exemple, il n’est pas souvent heureux dans
46 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »
nthrope, je vous conseille de prendre sa profession. La nôtre ne vous convient point : c’est la dernière ressource de ceux qui n
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
e mérite d’être approfondie. Toutes les choses changent de face, j’en conviens  : mais le fond des choses varie-t-il ? non sans d
a-t-on peut-être, entre plaider & juger contre son intérêt : j’en conviens  ; mais elle est toute à l’avantage de l’Avocat, p
48 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
oitié réels, moitié imaginaires, dont le caractère et le langage sont convenus , ainsi que le nom et le costume, et qui, d’ordina
ée, ils affectèrent de louer le comédien aux dépens de l’auteur ; ils convinrent que Molière était un fort bon mime qui, par ses g
grandeur et de noblesse que, dans le langage de tous les arts, on est convenu d’appeler héroïque. Je suis réduit ici à ne pouv
49 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
édecin malgré lui. De toutes les petites pièces de Molière, qu’on est convenu d’appeler des farces, Le Médecin malgré lui est p
er des farces, Le Médecin malgré lui est peut-être celle à qui ce nom convient le mieux. Il y a, dans les autres, plus ou moins
idicule de mots, un ridicule exagéré et presque imaginaire, tel qu’il convient au genre de la farce proprement dite. Enfin, l’in
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
Moliere, toujours guidé par son bon goût, en eût montré le faux ». Je conviens que la chose pourroit absolument être ainsi ; mai
51 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
d’avoir dérogé à cet usage. Il est cependant certain que si la poésie convient mieux aux sujets où les caractères se développent
attribue à Molière dans cette circonstance n’est pas inventé, il faut convenir qu’il se vengea d’une manière aussi ingénieuse qu
aient jamais appartenu à son emploi, ou qui semblaient ne devoir plus convenir à son âge7. Baron mit tant de soin à cacher son
Paphetin, et dont l’emploi était de moucher les chandelles. Ce choix convenait à son caractère altier et dominant ; il lui falla
geuse et bien prise ; sa figure avait ce caractère de beauté mâle qui convient à l’homme : elle prenait un air imposant et fier,
52 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
ce qu’aurait produit en ce genre la muse française, s’il avait pu lui convenir de puiser plus fréquemment aux sources romantique
écessaire pour rouvrir la scène à un aussi charmant ouvrage ; mais on conviendra que l’œuvre diplomatique et toute de circonstance
53 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
ée de la préférence qu’elle entrevoyait pour une autre ; un éclat lui convenait , ne fût-ce que comme moyen de reconnaître ce qu’i
une plaisanterie sans conséquence. Madame de Sévigné ajoute : « Elles conviennent qu’il y a quelque chose, mais que tout est raccom
54 (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -
Monsieur, c’est fort incertain. L’Anglais (Air : Muses des bois.) Convenez -en, vous êtes économes Dans les honneurs que l’on
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
en daignant devenir votre maître. Vous êtes son écoliere ; il ne vous convient pas de disputer contre lui avec tant de vivacité.
c elle Bélise ; la sœur dit en raillant qu’il faut savoir si le parti convient à son amie. Thérese va coucher avec Délia, en dis
voilà. Delmire. Je promets à Rodrigue de me justifier si bien, qu’il conviendra lui-même de mon innocence. Rodrigue. Moi.... que
56
r des plaisanteries au gros sel, au poivre et au vinaigre. ORONTE. Je conviens que les caractères et les plaisanteries sont auss
mauvais goût si nous la comparons à l’architecture actuelle10 ; mais convenons pourtant qu’elle parlait à l’imagination. Nos fro
rien ajouté à votre conviction à cet égard, et vous passez outre. Je conviens avec vous que cette question est loin d’offrir le
pour les notaires. Quoi qu’il en soit, ce fait a une importance qu’il convient de relever en passant. Il nous aide à comprendre,
S’il faut rouvrir le débat, c’est ici plus que partout ailleurs qu’il convient de le faire, et nos lecteurs de… partout, n’hésit
ation desdits deux lots, tant dudit gros mur que des cloisons qu’il y conviendra faire, dont il y a environ 74 poteaux servant esd
irent si fréquemment les apothicaires et leurs instruments, peut-être convient -il de se rappeler que dans les propriétaires de l
tenir, Assuré que dans peu vous l’y verrez venir. Ici encore, on en conviendra , l’analogie est frappante ; et la servante de Sha
improvisées où chacun des acteurs italiens parlait l’idiome local qui convenait aux origines de son personnage ou à sa propre fan
57 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
fut admis cependant avec répugnance ; l’esprit turbulent de Cyrano ne convenait point avec de jeunes gens, qui avaient déjà toute
quelle il entrait dans un caractère, et il exprimait un sentiment, on convenait qu’il entendait parfaitement l’art de la déclamat
s du Mogol ne s’accommodent point avec notre santé. Et à moins que de convenir que l’on vous enterrera avec Monsieur, je ne lui
t affaibli par l’apparente approbation du Minime, il faut que Molière convienne que Descartes n’a formé son Système que comme un
n Juge, il ébranla son équité par la force de son raisonnement. ―  Je conviens que c’est l’homme du monde qui a le mieux rêvé, a
s bien. N’est-il pas vrai, mon Père , dit-il, au Minime. Le Moine qui convenait de tout obligeamment, donna aussitôt un signe d’a
olière, je vous conseille de prendre sa profession ; la nôtre ne vous convient point ; c’est la dernière ressource de ceux qui n
mbée. Ce divertissement, disait-on, était sec, peu intéressant, et ne convenait qu’à des gens de Lecture. —  Que m’importe, s’écr
58 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
cole des maris. L’oserai-je dire ? celui d’École des femmes me paraît convenir bien moins encore. Quelle instruction les femmes
excellente actrice. Molière trouvait en elle tout ce qui pouvait lui convenir comme homme, comme auteur, comme directeur. Madem
int une production spontanée du génie de Molière ; c’est ce qu’on est convenu d’appeler un ouvrage de commande. Louis XIV, alor
storiographe, et pris avec elle des engagements plus sérieux qu’il ne convenait à son humeur fort changeante. Rappelé de son exil
59 (1739) Vie de Molière
fortuné rival de La Serre fut imprimé très-mal à propos, puisqu’il ne convenait qu’à l’édition du Molière. On nous a dit que quel
une volubilité dans la voix, et une espèce de hoquet, qui ne pouvait convenir au genre sérieux, mais qui rendait son jeu comiqu
seurs, qu’il ne défend les endroits faibles de l’École des femmes. On convient qu’il avait tort de vouloir justifier la tarte à
voir, et l’on ne vient au spectacle que pour être ému. Il faut encore convenir que Molière, tout admirable qu’il est dans son ge
60 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
lui faire violence, en exigeant de lui la disposition sérieuse qui ne convient qu’au spectateur de la tragédie, je veux dire en
ncienne, plus correcte dans sa forme, plus polie dans ses mœurs, j’en conviendrai sans peine. Si l’on me la vante comme une imitatr
tte gaieté douce qui ne fait de mal à personne. Et pourquoi ne pas en convenir  ? Il sait faire aussi de bonnes caricatures ; ses
ir de faim ses chevaux. Mais pourquoi a-t-il des chevaux ? Ce luxe ne convient qu’à une autre espèce d’avare, à celui qui veut s
eurs encore dans des dissertations sur la mesure de connaissances qui convient à un homme comme il faut. Il est certainement trè
61 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
mœurs. Ce fut alors la comédie telle que nous l’avons, telle qu’elle convient à un peuple vraiment policé, telle qu’elle convie
ns, telle qu’elle convient à un peuple vraiment policé, telle qu’elle convient au génie même ; car les bornes que lui prescriven
la république. L’indécente pantomime et les horribles jeux du cirque convenaient mieux à ce peuple naturellement féroce, corrompu
t il n’a pas plus varié que les autres institutions. Il est tel qu’il convient à un peuple exalté, chez qui la religion, l’amour
aussi beaucoup sur la scène. L’amour satisfait et tranquille ne peut convenir qu’aux amants mêmes : encore en pourrait-on doute
utumé de sa voix ; il rend son geste plus fréquent et plus expressif. Conviendrait -il que, sur cette scène, où tout ce qui s’adresse
certainement aucune à se reprocher ; mais peu d’écrivains, il en faut convenir , ont aussi largement usé du droit d’employer les
ien qui lui puisse être comparé : leurs plus fanatiques adorateurs en conviennent . Les peuples nouveaux n’ont rien qu’ils lui puiss
onneur qu’elles me conféraient. Le rôle plus modeste de rapporteur me convenait beaucoup mieux : je l’ai rempli ; et, si maintena
parfait que le Tartuffe de Ninon85. »En tenant l’anecdote pour vraie, convenons que Molière était trop modeste, et félicitons-nou
On a dit une semblable chose de La Fontaine. Le trait, en effet, leur convient à tous deux ; mais leur taciturnité n’avait ni le
62 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
maque, Bérénice, voilà toute la part de Racine en 1883-84 ; à quoi il convient d’ajouter, en 1884-85, Andromaque derechef et Ath
. D’ailleurs, écouter une tragédie, fût-ce La Fille de Roland, il est convenu , depuis 1870, chez les classes dirigeantes, que c
63 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
angement des mœurs de la haute société. Dès 1674, il sentit qu’il lui convenait de se rapprocher des personnes dont on avait pu l
sa dixième satire, elle en avait cinquante-neuf. Est-ce un âge auquel convienne l’épithète de belle, que lui donne Boileau ? On n
64 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
reste. Car ce n’est pas le rabaisser que de lui donner le nom qui lui convienne . Auteur comique il est, et cela lui suffit ; et n
ranchise, ce qui l’apparente avec les façons d’Alceste, il y a aussi, convenons -en, une immodestie qui n’est pas trop dans le car
nt hautement : Il joue un tel, lorsque ce sont des choses qui peuvent convenir à cent personnes ? Comme l’affaire de la comédie
Faire rire ! Rire d’Alceste ! Hé oui ! je le sais bien, on n’aime pas convenir qu’on rit de cet honnête homme, de cet homme d’ho
65 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
gon de la terre se récrierait si vous le traitiez d’avare. Ce dont il conviendra , c’est d’être économe, prudent et sage. Était-il
marquer dans les ouvrages de Beaumarchais. C’est, en effet, celui qui convient le mieux au genre imbroglio qu’il a traité. Le pl
nt là, nous essaierons de le démontrer, le genre de versification qui convient à la comédie. En fait de style comique, c’est enc
’élégance et de poésie, mais ce genre de poésie est-il bien celui qui convient au théâtre ? Est-ce ainsi que l’on parle dans la
n, en apprécier la parfaite ressemblance. M. Scribe dit encore : « Je conviens que la comédie est plus près des mœurs que de la
ive. Singulière vertu, singulière sagesse que celles d’Alceste, on en conviendra , qui lui font mépriser en tout les conseils de la
on, mais cette distinction n’avait rien de l’air grave et austère qui convient au personnage d’Alceste. C’était la noblesse des
aisser-aller, l’expression naturellement railleuse de sa physionomie, convenaient à merveille. Aussi était-il complètement Moncade,
sournois et l’attitude cafarde qu’on lui donne généralement : ils ne conviennent qu’à Laurent, son valet, lequel n’ayant ni la fin
66 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
ce cas, je vous conseille de prendre sa profession : la nôtre ne vous convient point; c’est la dernière ressource de ceux qui ne
s moqueurs à l’âme sèche et à l’esprit dénigrant, au banc desquels il convient de ne pas s’asseoir. Rien de plus attachant, rien
a eu quelque peine à accepter la comédie comme le seul genre qui lui convînt , et que, dans la comédie même, il n’a déployé tou
s empêchent de goûter Shakespeare. On dit que le sujet du Tartuffe ne convient pas à la comédie ; on affirme que Molière l’a cor
le. Je reviens au style de Molière. Je le louais comme dramatique; il convient d’ajouter que la poésie française compte peu de s
que, et ce qui est, à proprement parler, le trait poétique, tel qu’il convient à la satire. Boileau, dont le nom vient si facile
de Racine, quoique avec plus de mouvement et de contrastes, comme il convenait à la comédie et à un poète tel que Molière. L’Ava
savoir s’il faut retenir les jeunes filles dans l’ignorance, ou s’il convient de les instruire. Arnolphe élève la jeune Agnès d
d’Henriette. Or Clitandre indique d’un mot le genre d’instruction qui convient à la femme : Je consens qu’une femme ait des cla
truction, et, sauf erreur, il indique avec justesse dans quel sens il convient de la diriger. S’il s’agissait des hommes, le pri
alent ont toujours un privilège d’exception, un droit de faveur qu’il convient de réserver. Peut-être même est-il bon à toute fe
’un œil jaloux. Si tel est le rôle de la femme, l’instruction qui lui convient est bien celle dont parle Molière. À l’homme qui
des maris et dans L’École des Femmes la question de la liberté qu’il convient de laisser aux jeunes filles, et celle de l’instr
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Des Pieces à spectacle. » pp. 30-36
plis avec des scenes tirées de leurs anciens Auteurs. Quelques-uns en conviennent  ; les autres le nient. Mais je me pique de connoî
68 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
rée que vous trouverez que 2 000 écus de pension sont médiocres. J’en conviens  ; mais cela s’est fait d’une manière qui peut lai
69 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
sentit ranimée toute son indignation, devenue cette fois, il faut en convenir , légitime807. Mais Bossuet n’avait pas eu le temp
avec ses chefs-d’œuvre sur le même théâtre808. De plus, la postérité conviendra qu’il devait lui être extrêmement difficile, sino
70 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
e sont des qualités ; ce que l’on reprendrait chez tout autre, il est convenu qu’on le doit admirer chez Molière  ; le style de
serie façon de Rouen, était garnie de beaux et bons meubles, comme il convient à la chambre d’un tapissier, ornée de tableaux et
a décision est inutile  : tous deux ont imité un original italien. Il convient d’ajouter que la pièce de Quinault est agréableme
 galimatias » un sens qui ne fût pas trop défavorable. De plus hardis convinrent du l’ait, mais l’excusèrent aussitôt par les néce
choquant contraste avec « l’élégante simplicité » de Térence. Et nous convenons qu’on n’a jamais, dans aucune langue, écrit plus
71 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
est au premier plan de George Dandin. Sans pousser plus loin qu’il ne convient la ressemblance du personnage et de l’actrice, il
Grange, et aussi parce que le caractère de cette fille exaspérée lui conviendrait mieux que le rôle passif de Mariane ; cependant,
ue la demoiselle aimoit la dépense, la chose fut bientôt conclue. Ils convinrent qu’il lui donneroit quatre pistoles par jour sans
; elle n’avait, disait-il, ni vertu, ni esprit, ni beauté. Molière en convenait , mais en ajoutant : « Je suis accoutumé à ses déf
72 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
l vous plaira, pourvu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ces Dames conviendront que ces pensées sont belles, délicates, fines. Il
medies, le mal est qu’elles ne sont pas toutes également bonnes. J’en conviens , me dit-il, mais elles ne laissent pas de diverti
73 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
r le sujet. Ricciardo demande si Pandolfo est content de ce qui a été convenu  ; Tebaldo lui dit qu’il est très satisfait, et qu
s œuvres du poète qu’il y a lieu de noter cela par le détail. Mais il convenait de reconnaître la part considérable que l’art ant
74 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
lte, ce pauvre Argent, depuis les derniers jours de l’âge d’or. C’est convenu , l’argent est un fléau, c’est une trahison, c’est
ossible. Avec une bonne grâce assez rare, M. le duc de Saint-Simon en convient , et il faut lui tenir compte de l’aveu, quand on
s, resté seul, se dit à lui-même : « Je verrai Lauzun ; son esprit me convient , j’aime presque sa fourberie ; elle ne nous fait
Songez à cela ! Le roi Louis XIV qui dit d’un fourbe : Son esprit me convient  ! Arrivait ensuite le marquis de Montespan, avec
e), comment placer ma pension le plus profitablement ? La terre ne me convient pas — on n’en retire jamais sa rente. Les fonds p
nce, ni au nom, ni même à l’âge, fort peu même à la beauté ; tout lui convient , pourvu que cela soit vite fait. Ce n’est pas cel
ons naïves que Molière place dans la bouche de ce digne Sganarelle me conviennent moins que le monologue d’Hamlet, ce rêve d’un esp
75 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
çues du public. Je ne disconviendrai certainement point des faits, je conviendrai même, si l’on veut, que l’induction est vraie dan
ui était extrêmement parée, à changer d’habit, parce que la parure ne convenait pas au rôle d’Elmire convalescente, qu’elle devai
présentation, le fit reparaître sur la scène en 1668. On fut forcé de convenir qu’une prose élégante pouvait peindre vivement le
ses défauts, et que par cette raison je néglige d’en parler. Il faut convenir que Molière a ramené la conduite et les bienséanc
de ces traits, on peut bien lui pardonner une faute aussi légère. Je conviendrai avec ce maître de l’art que sa réponse est raison
ation de L’Avare, les sentiments de respect qu’il doit à son père. Je conviens de tout cela. Molière ne devait point oublier que
r ne lui donne en argent que les deux tiers de la somme dont ils sont convenus , et lui fait voir une liste des choses qu’il lui
76 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
la niaise n’est pas notre fait ; je ne pense pas que la savante nous convienne mieux. Molière a tracé, dans la même pièce, trois
iversité de sentiments et ces préventions, il est aisé de dire ce qui convient à un honnête homme qui ne se contente pas de trou
avec fermeté ; c’est la consécration de sa vertu. Voilà la femme qui convient à un honnête homme ; Elmire ou Henriette, je la p
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
rt a très bien fait de les négliger, diront plusieurs personnes ». Je conviens que la cloison & la fente amenées sans art au
Voyez-vous, cela part de mon invention : Et si l’on a mal fait, j’en conviens , c’est ma faute. Kerkameau le château, Monsieur,
ourd’hui. Charlot. Parguenne, comme de couteume ; & si ça ne vous convient pas, je m’en gausse : je ne vous cherchons pas ;
78 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
des miroirs de Venise, de brillantes tentures à personnages, et vous conviendrez que Molière, plus tard, si magnifique lui-même en
i cette comédie est nommée le Festin de Pierre, n’y trouvant rien qui convint parfaitement à ce titre. Tous aviez sujet de sout
oute leur vie se consume dans son élaboration. Pour eux, ce qu’on est convenu de nommer vocation a quelque chose qui tient de l
erne est exempte d’idolâtrie et de superstitions ; mais il faut qu’on convienne aussi qu’elle n’est pas exempte d’impuretés ; qu’
paraître accorder trop d’importance à cette première épreuve, il fut convenu qu’elle serait faite sans préméditation apparente
tout jamais la permission de jouer la pièce. Il le prit comme il lui convenait si bien, c’est-à-dire sur un ton moitié sérieux,
s’était hâté de la faire jouer par ceux de sa troupe, à qui ce genre convenait le mieux, et cela, au mois de décembre, à l’époqu
ouis XIV ne devait certes pas pécher de ce côté. Le temps, il faut en convenir , ne lui avait pas manqué. Il l’avait mis à profit
ynonyme de l’autre. Molière comprit cette seconde exigence, et il fut convenu que le faux dévot s’appellerait Panulfe. Il faudr
hambre et d’un bonnet de nuit bien connus139, il se soumit encore. Il convint d’habiller Tartuffe, non plus comme un échappé de
ffichée. Il n’y avait qu’à se soumettre ; Molière le fit, ainsi qu’il convenait à un homme comme lui, c’est-à-dire sans aucune de
a réjouissance soit complète, on feint une réconciliation, et le jour convenu , on emmène à la Comédie les deux pauvres diables,
ise par Mascarille, et qu’il a étourdi-ment ramassée, était pour lui, convient qu’il a eu tort de la rendre, il est tout à fait
e mois suivant. Il n’y manqua pas, ce furent les Fâcheux, où, vous en conviendrez , celui qui les demandait aurait bien mérité un rô
des Poquelin riches ou pauvres, simples tapissiers ou gros marchands, convient , après bien des recherches, dans le tome V de ses
, ils pouvaient espérer bien plus encore. C’est ce qu’en 1672, il fut convenu qu’ils tenteraient pour accaparer à leur profit l
é que moi, partit de la main, deux jours avant celui dont nous étions convenus . Il alla demander au roi le privilège pour lui se
par le poète et sa Troupe au Palais-Royal, fort belle salle, qui eût convenu beaucoup mieux à son Opéra que le triste jeu de p
prêtant aux reines, n’est pas ce qu’il faut ; c’est le ton pédant qui convient ici, ou plutôt le ton de pédante, qui est cent fo
e regarder jouer. Mlle Dubois, à qui longtemps le vieux répertoire ne convint guère, et qui ne convenait guère non plus au vieu
bois, à qui longtemps le vieux répertoire ne convint guère, et qui ne convenait guère non plus au vieux répertoire, commence à s’
ançais, pour le spectacle gratis du 15 août, je craignis un peu, j’en conviens . Le peuple, me disais-je, voudra-t-il bien reconn
de Molière et de son œuvre impérissable, c’est la seule épithète qui convienne . A la Comédie Française, on s’en est tenu à la pi
ette cloche, le millésime de 1740. De cette date à 1572, il y a loin, convenez -en. Édouard Thierry, de qui nous tenons le fait,
on et de fougue nécessaires, avec tout autant de passion emportée qui convient , se tenant juste entre la brusquerie, qui le pous
disparate, l’enseigne de son humeur, qui, rompant en visière avec le convenu des mœurs de son temps au lieu de s’y assortir, s
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
analyser encore ces différentes pieces pour voir si leurs titres leur conviennent . Regle générale, tous les titres sont bons quand
80 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
ranie, dans ce grand banquet littéraire où Molière et tous les poètes convient l’humanité. Le Chevalier nous a juré qu’elles éta
plus légère, Donnent une âme au marbre, amollissent la pierre : J’en conviens . Toi, Romain ! la guerre te fait roi. Rome sait,
s vallées dans un pays de montagnes. Je ne sais pas pourquoi l’on est convenu de considérer comme parfaite une certaine beauté
ue toi, et parce que ce ton qu’il prenait était précisément celui qui convenait à son époque ; Euripide, que Socrate nommait son
xiger d’un fat le naturel qu’il ne peut avoir, il le loue de ses vers convenus en phrases convenues, et n’a pas la maladresse d’
81 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
êmes, beaucoup plus même qu’il ne le croit ou qu’il ne lui plaît d’en convenir  : il l’a prouvé en d’excellentes pages de ses Étu
e Béjart, des pages toutes brillantes de ces qualités littéraires qui conviennent h une grande revue de vulgarisation destinée surt
es qu’elle fonde sur sa liaison avec ce grand personnage. Il est donc convenu que la petite fille, qu’on ne se hâte pas de bapt
e la rente qui grevait la maison des piliers des Halles. Il fut alors convenu que Mme de Montalant toucherait les loyers jusqu’
édiens de Monsieur sur l’aménagement et même sur les dimensions qu’il convenait de donner à la salle projetée. Mais qu’il ait pre
bileté, et surtout avec circonspection. C’est bien l’introduction qui convient à une belle édition de Molière qui s’adresse au g
82 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
l’ignorant ; même le conte de fée a sa faveur et son charme, — ils en conviennent . — Mais, disent-ils, à quoi bon la critique, et q
ontenelle aurait vu chez nous s’il avait vécu cent trente et un ans ! Convenez cependant que ce n’était pas la peine de vivre si
ni couvrir sa gorge et ses bras, ni pâlir sa joue, ni jouer, comme il convient , ce beau rôle d’Elmire que Molière avait fait pou
lade imaginaire, en songeant à la catastrophe finale, on est forcé de convenir , en soi-même, qu’en dépit de cette bonne humeur s
entie, il y a toujours une certaine réserve, un certain peut-être qui convient à la critique : « Je ne sais rien de plus grand q
pourquoi il vous faudra bientôt, rejetant enfin tout respect humain, convenir que la divine poésie de Racine n’est plus pour vo
pas mal au hasard qui a dicté cette comédie : L’Étourdi. Pur hasard, convenez -en ; mais que de verve et que d’esprit, que de bo
livre en deux tomes. C’est à l’écrivain qui écrit, chaque jour, qu’il convient (la langue étant saine et sauve) de ménager son s
83 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
tions qu’on a faites contre cette pièce et celle du Tartuffe. Il faut convenir que personne n’a reçu de la Nature plus de talent
84 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
que la population du village ne dépassait pas 36 feux alors, et vous conviendrez qu’une souscription de 200 livres, soit mille fra
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134
n’est pas en état d’employer des intriguants à talons rouges. Loin de convenir que nos mœurs ne veulent plus qu’on mette des dom
86 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
e de ces parties. Déjà on sentait la nécessité de s’exprimer comme il convient à la chose dont on parle, â celui qui en parle, à
87 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
possible, puisqu’il existe. Aristophane l’a réalisé, et il faut bien convenir que deux petites pièces telles que Le Songe d’une
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
amille que l’Auteur ne prend pas la peine de nous expliquer, il a été convenu entre Magnifico6 & le Docteur, que si la femm
son valet. Célio, furieux, veut avant que de punir Arlequin, le faire convenir de ses torts. Il le prend en particulier & lu
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
reux de trouver un beau sujet, travaillé déja par plusieurs Auteurs ; convenons aussi qu’il a vu bien mieux qu’eux & l’ordonn
fut jouée devant le Roi le 16 Janvier précédent, & tout le monde convient qu’elle avoit été représentée à Paris avant d’êtr
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412
rton. Il ne le sait que trop, le dangereux frippon. Mad. Lisban. J’en conviens  ; mais il mêle à cet enfantillage Des sentiments
donc quelquefois aux Italiens ; vous avez vu l’Epouse jalouse. Il en convint de bonne foi. Un petit esprit eût été piqué contr
91 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
ourberies de Scapin, l’Avare et le Malade imaginaire. D’abord il faut convenir des fautes d’impression ; elles sont nombreuses,
ar le fameux Baron, élève de Molière : Brossette et J.-B. Rousseau en conviennent eux-mêmes. Seulement ils accusent Baron de « s’êt
fut admis cependant avec répugnance : l’esprit turbulent de Cyrano ne convenait point à des jeunes gens qui avaient déjà toute la
aquelle il entrait dans un caractère et il exprimait un sentiment, on convenait qu’il entendait parfaitement l’art de la déclamat
du Mogol ne s’accommodent point avec notre santé : et, à moins que de convenir que l’on vous enterrera avec monsieur, je ne lui
t affaibli par l’apparente approbation du minime, il faut que Molière convienne que Descartes n’a formé son système que comme un
on juge, il ébranla son équité par la force de son raisonnement. « Je conviens que c’est l’homme du monde qui a le mieux rêvé, a
bien, n’est-il pas vrai, mon père ? » dit-il au minime. Le moine, qui convenait de tout obligeamment, donna aussitôt un signe d’a
olière, je vous conseille de prendre sa profession ; la nôtre ne vous convient point ; c’est la dernière ressource de ceux qui n
mbée. Ce divertissement, disait-on, était sec, peu intéressant, et ne convenait qu’à des gens de lecture. « Que m’importe, s’écri
e ses caractères, et avec quelle habileté il a su distinguer ceux qui conviennent au théâtre d’avec ceux qui n’y sont pas propres ;
92 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
oit, une ville mal saine et qui a le moral pollué par les prêtres, ne conviendra pas pour capitale à cette nation de 18 millions d
au Bau de 9h à 4 ou 5. Si un marin ou un voyageur a affaire au Bau il convient qu’il trouve quelqu’un. Je ne pense pas que vous
e en commençant par des caresses ; cette manière ne peut tout au plus convenir qu’à un très beau jeune homme de dix-huit ans. »
à double entente, mais le piège est si grossier, qu’il n’aurait plus convenu , pour peu que l’auteur eut élevé l’esprit des tro
nt les ridicules des savans et des poètes masculins, qui peuvent leur convenir  ? rappelons bien qu’aucun être ne peut être ridic
rs nous semblent trop sérieux, stile lourd de Mame. Le stile lourd ne convient qu’à Armande. Vers 10 à 13 peu galants pour Henri
uronne sur la tête. Dès qu’en peinture on emploie des signes faux, il convient que le sublime de l’expression croisse dans le mê
93 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
ouveau texte de la cérémonie du Malade imaginaire. Tous les critiques conviennent que cette réception d’un médecin « en récit, chan
94 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
r être inspirés, trop sots pour réfléchir par eux-mêmes ; mais il est convenu que ceux-là feraient mieux d’être maçons. Les gra
95 (1884) Tartuffe pp. 2-78
’eût prise au premier Tartuffe ? On ne hasarde ces suppositions, j’en conviens , qu’en désespoir de rien connaître. Mais il m’a p
nne à noter parce qu’elle s’applique à toute son œuvre, le rire qu’il convient de susciter, est le rire propre à la pièce. Ce n’
te Alceste, lâchant ses apophtegmes rageurs, n’est pas le ho ho qui convient pour Arnolphe, ce fou, ce fieffé brutal ; ce n’es
96 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
de ces jupes brodées, au bruit de ces refrains et de ces licences qui conviennent , tout au plus à la jeunesse. Il est des choses qu
l vous ne pouviez rien prévoir ; avec mademoiselle Clairon tout était convenu à l’avance. On pouvait dire, de son jeu, ce que d
sa voix était aigre et criarde ; l’avare, le joueur, le grondeur lui convenaient que c’était admirable. Dans L’Avare surtout, Gran
nt d’accord qui lui soit propre, mais il prend l’accord et le ton qui conviennent à sa portée. » Il est tout. « Celui-là qui, dans
ieur ! était le fond de la langue française. « C’est une réponse qui convient à toutes les questions. Par exemple, vous me dema
coups de bâton ? — Ô mon Dieu, Monsieur ! « Le Ô mon Dieu, Monsieur ! convient à toutes les questions, tout autant qu’une pièce
-Royal et autres lieux. Ce rôle d’Henriette est un rôle fâcheux, j’en conviens , pour les grandes coquettes qui se plaisent à mon
saurait montrer à d’honnêtes gens sans les insulter. Mais, ceci dit, convenons que ce jeune Chrémès, pour sa bonne humeur, pour
sans frein, et sans mœurs. On y rencontre tous les extrêmes. Tout lui convient , tout lui sert. Quel patois des plus mauvais lieu
donnent belle avec leurs leçons en comédies ! Singulières gens qui ne conviendront pas que le théâtre ne corrige rien, si non la faç
ées de la cour, et vous remettrez ces deux hommes à la place qui leur convient . Mais ce que commande la logique littéraire, l’in
ocités bien combinées du drame de la Porte-Saint-Martin. Ce poète-là, convenez -en, vaut bien la peine qu’on s’y arrête, et qu’on
remier coup d’œil, cette substitution de bijoux. Il y a en tout ceci, convenez -en, de quoi perdre la galanterie la mieux établie
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
’ils se sont fait une promesse de mariage, & que, pour achever de convenir de leurs faits, à l’insu d’Ariste, sa sœur l’a pr
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
s, Isabelle sait que Sganarelle veut l’épouser dans huit jours : elle convient avec son amant qu’il l’enlevera dans trois. La vo
99 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
une volubilité118 dans la voix et une espèce de hoquet qui ne pouvait convenir au genre sérieux, mais qui rendait son jeu comiqu
100 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
s maris et dans L ’Ecole des femmes , la question de la liberté qu’il convient de laisser aux jeunes filles, et celle de l’instr
ccédèrent aux cours d’amour du moyen âge, la position sociale qui lui convenait . « Mais, reprend M. Rambert, devenues, dans les s
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