Aussi les scenes qu’ils font ensemble ont-elles bien complettement le
défaut
que les contrastes amenent nécessairement, celui
les plus mauvaises de la piece. Ne nous contentons pas d’indiquer le
défaut
. Il est nécessaire, pour mettre à profit nos rema
éros de la piece. Je vais encore citer Destouches. Les beautés ou les
défauts
d’un grand homme sont toujours des exemples plus
s finissent par se dire des vérités dures. Damon. J’ai donc bien des
défauts
dont votre esprit murmure ? Céliante. Des défauts
J’ai donc bien des défauts dont votre esprit murmure ? Céliante. Des
défauts
! des défauts ! je ne finirois point, Si je voulo
n des défauts dont votre esprit murmure ? Céliante. Des défauts ! des
défauts
! je ne finirois point, Si je voulois à fond exam
oir. Ce portrait-là n’est pas fort à votre avantage ; Mais malgré vos
défauts
je vous aime à la rage. Damon. Quoique vous m’acc
rir. Ce portrait-là n’est pas fort à votre avantage ; Mais malgré vos
défauts
je vous aime à la rage. Céliante. Vous m’aimez !
nt, S’il fut jamais, Madame, un plus fidele amant ! Bien que quelques
défauts
obscurcissent vos charmes, Mon cœur trop prévenu
ion de lui durant les trois quarts de l’ouvrage, & c’est un grand
défaut
. Dans les pieces à caractere, le titre doit annon
ie d’Œdipe, qui fut reçue avec de grands applaudissements, malgré les
défauts
qu’on remarque dans ce poème, et dont l’auteur se
en partie dans l’examen qu’il en a publié. Le plus remarquable de ces
défauts
est l’épisode de Dircé et de Thésée. Corneille, e
t de préceptes. Il fallait un génie du premier ordre pour peindre les
défauts
et le ridicule des hommes, avec cette finesse et
e papier, et que la méditation de la lecture n’y laisse découvrir des
défauts
que les agréments de la représentation semblent a
n des termes très modestes de la bonté qu’Elle avait eu d’excuser ses
défauts
, et ceux de toute sa troupe, qui n’avait paru qu’
, dans toutes ses pièces, d’obliger les hommes à se corriger de leurs
défauts
. Comme il y avait longtemps qu’on ne parlait plus
e qui fixe à ce nombre les pièces qui ont le plus d’étendue, mais ces
défauts
sont couverts par une variété et par une vivacité
connutb ; on applaudit en se corrigeant. » « [*]Il y a très peu de
défauts
contre la langue (dans cette pièce) parce que lor
monde, et surtout parmi les gens de qualité, pour en reconnaître les
défauts
: mais comme il n’était encore ni assez hardi pou
ent rire qu’à leurs dépens ; qu’ils voulaient que l’on fît voir leurs
défauts
en public ; qu’ils étaient les plus dociles du mo
out ce qui se passait dans le monde et des portraits de leurs propres
défauts
, et de ceux de leurs meilleurs amis, croyant qu’i
u’il avait voulu parler d’eux : car vous saurez qu’il y a de certains
défauts
de qualité dont ils font gloire, et qu’ils seraie
pièce de lui, nommée Zénobie. Il est vrai qu’on y remarquait un grand
défaut
, et ce défaut en un mot est que ces comédiens du
nommée Zénobie. Il est vrai qu’on y remarquait un grand défaut, et ce
défaut
en un mot est que ces comédiens du Petit-Bourbon
des caracteres soit nécessaire dans la comédie, je l’y crois un grand
défaut
; & tout homme qui connoîtra l’art dramatique
second un sot ou un mal-adroit. Mais le Spectateur ne sent-il pas ce
défaut
, sur-tout lorsque le caractere vicieux est princi
re l’ami déclaré des hommes, les plaint sans les aimer, souffre leurs
défauts
uniquement par la nécessité de vivre avec eux, &a
humaine ; Ne l’examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses
défauts
avec quelque douceur. Il faut parmi le monde une
s tout cela sans vous mettre en courroux ? Philinte. Oui, je vois ces
défauts
dont votre ame murmure, Comme vices unis à l’huma
teroit, éblouiroit peut-être tout-de-suite, mais seroit réellement un
défaut
aux yeux des Connoisseurs, puisqu’elle défigurero
en dans chaque acte, qu’ils partagent également les beautés & les
défauts
, & que, loin de se nuire, ils se servent mutu
cocuage. Si elles étoient distribuées dans deux actes différents, le
défaut
frapperoit moins. J’ai souvent entendu raisonner
p; ne sera jugé tel qu’à raison du nombre de ses beautés & de ses
défauts
. L’application est aisée. J’ai encore entendu fai
nt ». Je suis d’un avis tout à fait différent ; ce qui lui paroît un
défaut
me semble au contraire une beauté. Et voici comme
t être assez brillante elle-même pour faire oublier au spectateur les
défauts
qui ont pu le choquer, & pour le laisser dans
ont l’une réunisse ces trois belles qualités, & l’autre les trois
défauts
contraires. Je les prendrai toutes les deux dans
que s’il eût été amoureux de quelque dame, qui eût eu quelques légers
défauts
ou en sa beauté ou en son esprit, ou en son humeu
n outre il était grondeur et bourru, surtout avec ses inférieurs, ces
défauts
semblaient repousser l’apparence même des vices d
Comme l’affaire: de la comédie est de représenter en général tous les
défauts
des hommes et principalement des hommes de notre
s sans, vouloir tomber aux personnes, représenter en général tous les
défauts
des hommes et en particulier des hommes, de sait
si durables que le monde. Les dernières surtout pouvaient-elles faire
défaut
alors ? « Dans un temps où les tartufes étaient p
cessante, avouée, entre son cœur et sa raison ? « J’ai beau voir ses
défauts
et j’ai beau l’en blâmer, En dépit qu’on en ait,
imène si irrésistiblement, si fatalement entraînée sur la pente de ce
défaut
; il nous la dépeint si gracieuse, si vive, si spi
acieuse, si vive, si spirituelle; il oppose avec tant d’adresse à ses
défauts
la pruderie, plus odieuse que la coquetterie, que
elle témoignait toujours quelque peine quand on parlait librement des
défauts
des autres, quoique avec vérité ; c’était au cont
personnes qui, ne jugeant que sur parole, croient le Misanthrope sans
défaut
, & le mettent au-dessus de toutes les pieces
le, Rien ne touche son goût, tant il est difficile : Il veut voir des
défauts
à tout ce qu’on écrit, Et pense que louer n’est p
Et l’on a tort ici de nourrir dans votre ame Ce grand attachement aux
défauts
qu’on y blâme. Clitandre. Pour moi, je ne sais pa
is pas ; mais j’avouerai tout haut Que j’ai cru jusqu’ici Madame sans
défaut
. Acaste. De graces & d’attraits je vois qu’el
te. De graces & d’attraits je vois qu’elle est pourvue ; Mais les
défauts
qu’elle a ne frappent point ma vue. Alceste. Ils
ouvrage qui cache continuellement, sous les plus grandes beautés, les
défauts
de la grande machine. Loin d’être enhardis par l’
son maître à nous l’apprendre ; s’il ne le faisoit pas, ce seroit un
défaut
dans la piece. Aussi George Dandin n’y manque-t-i
à un seul des personnages qu’il a conduits devant nous, ce seroit un
défaut
dans la piece. Lorsqu’un personnage qui a du pouv
e était l’ennemi du genre humain. Une pareille haine ne serait pas un
défaut
; mais une dépravation de la nature et le plus gr
« Voilà donc de quel côté le caractère du misanthrope doit porter ses
défauts
[mal écrit, veut dire sans doute : les défauts d’
thrope doit porter ses défauts [mal écrit, veut dire sans doute : les
défauts
d’Alceste ne doivent être que ceux qui dérivent d
hise lui a souvent porté malheur : « Veuillez m’en dispenser. J’ai le
défaut
d’être un peu plus sincère en cela qu’il ne faut
ande », répond Oronte. Alors soit, répond Alceste, retombant dans son
défaut
persistant, la candeur, et du reste ne pouvant gu
us le rêve Rousseau ; il est irrité contre, d’une façon générale, les
défauts
universels des hommes ; mais il ne s’en plaint pa
quante qui pourrait en effet, à la rigueur, être habitué aux vices et
défauts
des hommes, continuer de les haïr, mais n’en être
ausant avec un ami, il ne les ménage pas au moins : Oui, je vois ces
défauts
dont votre âme murmure Comme vices unis à l’humai
humaine ; Ne l’examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses
défauts
avec quelque douceur. Il faut, parmi le monde, un
ue votre bile. Mais, rien n’étant parfait ni personne, Philinte a un
défaut
dont il ne fait pas mention dans le portrait qu’i
et le porte-parole de l’auteur, mais un honnête homme qui a quelques
défauts
, exactement, symétriquement, comme Alceste. « Ce
nêtes gens très différents, qui ont tous les deux des qualités et des
défauts
et qui sont très vrais l’un et l’autre. Mais Phil
ue leur peu d’équité Pour vouloir se tirer de leur société ? Tous ces
défauts
humains nous donnent dans la vie Des moyens d’exe
oir l’auteur crie à son public : « Estimez Alceste ! Je lui donne des
défauts
, et de deux sortes : des défauts tenant à son car
« Estimez Alceste ! Je lui donne des défauts, et de deux sortes : des
défauts
tenant à son caractère : orgueil, susceptibilité
: des défauts tenant à son caractère : orgueil, susceptibilité ; des
défauts
tenant à sa situation de misanthrope parmi des mo
nsuite, comme il n’y a pas une qualité humaine qui ne soit mêlée d’un
défaut
, ils font un peu sourire. D’abord ce prompt détac
ose attaquer un tel homme ! on ose y toucher ! on ose lui trouver des
défauts
! Mais peignez-le donc tel qu’il est, à savoir im
’il a tort. Alceste est le portrait atténué de Rousseau. Or, tous ces
défauts
, Rousseau sent confusément qu’il les a et, par co
de non-consentement et ses synonymes ! C’est qu’il sent très bien le
défaut
de son ouvrage et qu’il se dit que, même dans une
il est assez dangereux de montrer un fils méprisant son père, pour un
défaut
énorme, d’un mépris qu’un autre pourra appliquer
rme, d’un mépris qu’un autre pourra appliquer à son père pour le même
défaut
à l’état bénin ou à l’état naissant. Pour avoir v
omédie, comme de la satire, est celui-ci : En rendant sévère pour les
défauts
, elle rend impitoyable pour les peccadilles. Elle
les serviteurs. Ici il se trompe presque complètement à mon avis. Le
défaut
de Rousseau, ailleurs qu’en critique aussi, est d
méchant ; mais qu’on ne veut pas être ridicule. » Il lui a donné des
défauts
, non pas opposés, précisément, ni inconciliables,
et ses rires, ce qui est une monstruosité morale à ce qui n’est qu’un
défaut
et même la simple déviation d’une qualité. Là-d
ser par force sa fille et qui le vole ; ou d’un homme qui n’a d’autre
défaut
que d’aimer sa religion d’un zèle indiscret et de
ble de bonnes choses, personne ne s’est senti tonifié. Raillé sur ses
défauts
, oui, et c’est ce que Rousseau exprime par « la l
ous trouverez que les vices de caractère en sont l’instru ment et les
défauts
naturels le sujet » c’est-à- dire, car la formule
de l’un pour mettre en exercice et pour mettre en pleine lumière les
défauts
de l’autre. Son sujet, par exemple, est la bêtise
taler dans toute son ampleur la bêtise d’Orgon ; et remarquez que les
défauts
ainsi livrés à notre risée sont des défauts natur
on ; et remarquez que les défauts ainsi livrés à notre risée sont des
défauts
naturels, innés, auxquels par conséquent on pourr
. —Je n’en sais rien », répondait-il. C’est la différence entre les «
défauts
naturels » et les « vices de caractère » dont nou
ble. On est responsable de ses « vices de caractère » et non de « ses
défauts
naturels », veut dire Rousseau. Peut-être ; mais
ses défauts naturels », veut dire Rousseau. Peut-être ; mais quand le
défaut
naturel se rapproche du vice de caractère de mani
s vous ne le faites que par vanité. La vanité, oh ! que voilà bien un
défaut
bourgeois et qui gâte la moitié de la bourgeoisie
suis avec vous en toutes vos idées ; mais vous êtes faible. C’est un
défaut
naturel que l’on ne peut guère corriger. Peut-êtr
es boudeur, contrariant, d’humeur fâcheuse, irascible. Caractère sans
défaut
, humeur désagréable. Il faudrait adoucir tout cel
quins, dans ses pièces, il reste qu’il a presque toujours attaqué les
défauts
, les petits défauts, même, et laissé les vices tr
es, il reste qu’il a presque toujours attaqué les défauts, les petits
défauts
, même, et laissé les vices tranquilles. « J’enten
sont point le domaine et la matière de la comédie et que ce sont les
défauts
qui en sont la matière et le domaine. Au fond,
ns le ridicule des hommes et à rendre agréablement sur le théâtre les
défauts
de tout le monde » et « il y faut plaisanter et f
die ne doit guère s’attaquer qu’aux travers, qu’aux ridicules, qu’aux
défauts
, sans aller plus loin : « Entrer dans le ridicule
oin : « Entrer dans le ridicule des hommes et rendre agréablement les
défauts
de tout le monde. » Ce qui manque peut-être au XV
lus qu’en tant qu’horrible ; mais le plus souvent il ne touche qu’aux
défauts
, lesquels sont risibles, et il ne peut pas faire
si éloigné d’avoir raison. Le ridicule, au contraire, le travers, le
défaut
, excite sa joie, sa malice, son ironie, ses facul
en a fait l’expérience. Son Don Juan, œuvre admirable malgré certains
défauts
de composition, a peu réussi. C’est que c’est une
e la loi peut avoir effet, que vient-elle faire ? Peindre les simples
défauts
, c’est bien son office. Voyez Turcaret le modèle
’ordinaire ; il n’attaque pas les vices, il attaque et ridiculise les
défauts
et travers, parce que lui-même, sans plus considé
rance et de Paris, qui aime mieux, de son naturel même, se moquer des
défauts
que s’irriter contre les vices. Il n’aime point d
ent » des fripons, des sots qui en même temps que leur sottise ont un
défaut
déjà assez grave : Dandin, vanité ; Jourdain, van
sent. Songeant évidemment à La Chaussée, Rousseau dit ensuite : « Ces
défauts
sont tellement inhérents à notre théâtre qu’en vo
la gloire. Hélas, peut-on, mortels, balancer sur le choix ? C’est un
défaut
de mêler des pensées religieuses où elles n’ont q
où elles n’ont que faire ; mais Molière est un peu plus éloigné de ce
défaut
-là qu’il ne serait naturel au siècle où il vécut.
et redoutables ; ce sont personnages de tragédie. Ils se moquent des
défauts
physiques (anomalies matérielles), des défauts mo
ie. Ils se moquent des défauts physiques (anomalies matérielles), des
défauts
moraux inoffensifs (anomalies morales) et enfin d
re, est, comme pour tout le vulgaire, dans les anomalies qui sont des
défauts
, est dans les anomalies qui sont des vertus, mais
ur rester plus facilement les maîtres. Elles s’en prennent à nous des
défauts
que nous leur reprochons. Quelle folie ! Depuis q
Bruyère dénonce comme cause véritable de l’ignorance des femmes leurs
défauts
naturels : « Paresse de leur esprit, soin de leur
e ; Alceste lest par sa franchise, sa vive et prompte pénétration des
défauts
des hommes et la force de caractère par laquelle
n des auteurs. On réussit auprès de ses contemporains par leurs pires
défauts
, si on les a soi-même d’une manière éclatante, et
ns les auteurs anciens ce à quoi elle tient le plus, c’est-à-dire ses
défauts
encore, et, quand elle les y trouve, elle fait à
niteux Cléon qu’il eût fallu faire sortir une leçon utile. Malgré ses
défauts
, Le Dissipateur a de grands partisans, qui n’esti
onte sont très plaisants sans doute, mais ils ont à nos yeux un grand
défaut
, c’est de ne point reposer sur la vérité. Un avar
mille espèces, etc. » Somme toute, et comme ce n’est pas l’absence de
défauts
qui fait les hommes et les œuvres remarquables, B
des plaisirs faisait négliger leurs devoirs les plus essentiels. Les
défauts
des maîtres échappent rarement aux domestiques, a
de la Restauration. Les preuves pour le démontrer ne nous feront pas
défaut
, comme on le Verra ; mais avant de les produire,
ait donnés depuis Turcaret et La Métromanie, et qui, malgré quelques
défauts
que nous devons signaler ici dans l’intérêt de no
ns appartenir à la comédie qu’à l’épître ou à la satire. Du reste, ce
défaut
est bien moins sensible, et disparaît même presqu
trop souvent on y cherche en vain. Quoi qu’il en soit, et malgré ses
défauts
, cette comédie est certainement l’une des plus be
alors de ridicule et de moquable dans les mœurs. Étienne prétend qu’à
défaut
d’histoire, de chronique, d’inscriptions et de mé
écier la pensée qui présidait à leur composition, et reconnaître qu’à
défaut
d’autre mérite, ils auraient du moins celui, touj
rouve aussi non moins que dans ses plus faibles productions, tous les
défauts
de sa manière. Chose bizarre et qu’il n’est pas s
Scribe a réussi au théâtre, peut-être autant, peut-être plus par les
défauts
que par les qualités de son talent. Il a, comme o
’à ce titre M. Scribe devait dédaigner. On a quelquefois, dit-on, les
défauts
de ses qualités. Ce reproche pourrait s’adresser
et qui cessent de vous attacher dès que le mot vous en est connu. Les
défauts
de cette manière sont surtout choquants chez les
l’esprit et le caractère des personnages. Nous avons dû signaler les
défauts
de la manière de M. Scribe, manière séduisante, m
ise si fort seront toujours considérés, quoi qu’il en dise, comme des
défauts
réels, et toujours on regrettera qu’il leur ait f
rien ne reprend mieux la plupart des hommes que la peinture de leurs
défauts
; c’est une grande atteinte aux vices que de les
e probité, et qui, sous ce rapport, a droit à nos respects malgré les
défauts
de son humeur et les travers de son esprit. Cet h
s vertueux. Mais d’où vient qu’il ne l’est pas ? Cela vient d’un seul
défaut
, et ce défaut, c’est une sorte d’orgueil qui tern
is d’où vient qu’il ne l’est pas ? Cela vient d’un seul défaut, et ce
défaut
, c’est une sorte d’orgueil qui ternit en lui tout
hose \ Veuillez m’en dispenser. Qu’il en donne la raison ; J’ai le
défaut
D’être un peu plus sincère eu cela qu’il ne faut.
ue leur peu d’équité Pour se vouloir tirer de leur société ? Tous ces
défauts
humains nous donnent dans la vie Cent moyens d’ex
mblable à celui du Misanthrope, poussant aussi loin qu’il le fait les
défauts
de son humeur, se rencontrerait difficilement dan
as donner de leçon plus utile ; car, pour n’être, si l’on veut, qu’un
défaut
de l’esprit, la misanthropie exerce peut-être sur
re humain. que de celui qui dirait avec Philinte : Je vois tous ces
défauts
, dont votre âme murmure, Comme vices unis à l’hum
i, et, comme Jean-Jacques, il jette son blâme à Molière : « Un autre
défaut
de Molière (dit-il dans sa lettre à l’Académie fr
rguments de ses antagonistes, le font toujours, dans la discussion, à
défaut
d’une saine logique, recourir à la colère et à la
le, Et dans l’objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les
défauts
pour des perfections, Et savent y donner de favor
’amour que je sens pour cette jeune veuve Ne ferme point mes yeux aux
défauts
qu’on lui treuve ; Et je suis, quelque ardeur qu’
e confesse mon faible : elle a l’art de me plaire; J’ai beau voir ses
défauts
, et j’ai beau l’en blâmer, En dépit qu’on en ait
istarques fort sévères, fort orgueilleux, s’imaginant avoir trouvé en
défaut
l’auteur de tant de chefs-d’œuvre. Molière à leur
euse scène du quatrième acte, sa finesse et sa prudence sont-elles en
défaut
parce qu’il n’a pas prévu la ruse d’Elmire et dev
it encore qu’une seule pièce d’un ton raisonnable, et qui, malgré ses
défauts
, sut plaire aux honnêtes gens, le Menteur de P. C
ôle de Mascarille ont soutenu cette pièce au théâtre, malgré tous ses
défauts
. Il n’y en a pas moins dans le Dépit amoureux : l
ère, mais le comique en est plus fort. L’auteur a indiqué lui-même le
défaut
le plus sensible de sa pièce, par ce vers que dit
e. On a reproché à Molière quelques dénouements semblables : c’est un
défaut
, sans doute, et il faut tâcher de l’éviter; mais
ginale, qu’il importe peu où il se fasse, pourvu qu’on l’entende. Les
défauts
dont je viens de parler disparaissent au milieu d
de son ignorance fait voir que cette ignorance n’est chez elle qu’un
défaut
d’éducation, et nullement un défaut d’esprit, et
e ignorance n’est chez elle qu’un défaut d’éducation, et nullement un
défaut
d’esprit, et que, si on ne lui a rien appris, on
étaient les plus dociles du monde, et voulaient qu’on fit voir leurs
défauts
en public. » Eh ! oui, M. Visé, voilà précisément
tes choses n’est-elle pas de sa nature très ridicule? N’est-ce pas un
défaut
de raison, un travers de l’esprit? Et si ce trave
uisqu’un homme honnête n’en demeure pas moins respectable, malgré des
défauts
d’humeur et des travers d’esprit. Donc Molière, n
e un moment après dans ces propres termes : « Quoique Alceste ait des
défauts
réels dont on n’a pas tort de rire, on sent pourt
la vertu, et celle du talent de Molière, puis qu’en faisant rire des
défauts
réels, il fait toujours respecter la vertu,et ne
montrant combien le sage même peut avoir de faiblesse dans l’âme, de
défauts
dans l’humeur et de travers dans l’esprit; enfin,
dèle presque entièrement idéal! Ne vaut-il pas mieux nous montrer les
défauts
que nous avons, et dont nous pouvons corriger au
ant et de l’époux, dans les scènes d’Alcmène et de Jupiter : c’est un
défaut
qui n’est pas dans Plaute ; mais ce défaut tient
e et de Jupiter : c’est un défaut qui n’est pas dans Plaute ; mais ce
défaut
tient à beaucoup de différents mérites que Plaute
e dans Plaute, et il n’y a nulle comparaison pour l’intrigue. Le seul
défaut
de celle de Molière est de finir par un roman pos
st celui qui peint le mieux cette faiblesse de caractère, de tous les
défauts
le plus commun, et peut-être le plus dangereux. Q
onté quand il fait celle d’autrui ! Qu’il est adroit d’avoir donné ce
défaut
à un mari d’ailleurs beaucoup plus sensé que sa f
prit humain pouvait l’être. En effet, les hommes reconnaissent leurs
défauts
plus souvent et plus aisément qu’ils ne s’en corr
t c’est un acheminement à se corriger, et il n’en est pas de tous les
défauts
comme delà faiblesse, que ne se corrige jamais, p
naissait et plus encore son voisin, dont on est plus aise de voir les
défauts
que les siens propres. On y prit un plaisir singu
r bien des Gens. Molière avait remarqué que les Français avoient deux
défauts
bien considérables ; l’un, que presque tous les j
és de Cavalier qu’ils se donnaient diminuèrent à vue d’œil. Contre le
défaut
qui regarde les femmes il fit aussi deux Comédies
e compagnie qui passent, aux yeux indulgents du monde, pour de légers
défauts
ou même pour des qualités de société. Molière a-t
, à poursuivre le bien en toutes choses, à fuir, après les vices, les
défauts
, les travers, les ridicules même, et toutes les m
rt, quand, au lieu d’accepter qu’on garde au moins le silence sur les
défauts
des autres qu’on n’est pas chargé de corriger, il
tre homme d’honneur parmi eux152 : cet amour-propre, hélas ! c’est le
défaut
le plus enraciné dans le cœur même des plus sages
rces comiques les plus fécondes. Il n’y a pas une de ses pièces où ce
défaut
ne soit mis en scène : « C’est l’amour propre qui
u fronde la vanité de tous les autres154. » Si l’amour propre est le
défaut
le plus universel, il n’est pas le seul qui règne
le mal sans jamais se laisser faire le bien213 ; que, malgré tous les
défauts
des autres, il reste pour eux indulgent, bienveil
moyen qu’il a su réformer, non pas les mœurs des chrétiens, mais les
défauts
de la vie civile, et de ce qu’on appelle le train
Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rien, Si parmi leurs
défauts
que tu peignis si bien, Tu les avais repris de
olière, et qui publient hautement dans Paris, qu’il a corrigé plus de
défauts
à la Cour et à la ville lui seul que tous les pré
a discipline de l’Église, et la réforme de nos mœurs. Tous ces grands
défauts
à la correction desquels on veut qu’il se soit ap
mp; leurs imitateurs, que nous allons confondre ensemble, avoient des
défauts
que nos intriguants doivent éviter avec le plus g
ersonnages honnêtes. Une des pieces de Plaute a bien complettement ce
défaut
. La Persane. Trimarchide, soldat Athénien, s’e
l’audace de donner une volée de coups de bâton. Voilà à-peu-près les
défauts
de tous les fourbes qui ont animé les comédies de
manqueront pas. Nous avons dit en passant que les Anciens avoient le
défaut
de ne pas faire dénouer leurs pieces d’intrigue p
pas facile, parcequ’un homme, ne connoissant point ordinairement ses
défauts
, ses ridicules, ses vices, ou les voyant d’un œil
toute aimable. Oui, mais elle est ma femme : En elle j’apperçois des
défauts
chaque jour, Qu’elle avoit avec art cachés à mon
nous parle de son mariage, mais d’une façon à nous persuader que les
défauts
de sa femme l’ont dégoûté de son hymen, tandis qu
e ordre à cela. . . . . . . Je ne rappellerai ni les beautés, ni les
défauts
des deux scenes ; si l’on retranche la premiere,
t, où l’on ne fait seulement pas mention de lui, & c’est un grand
défaut
. Ces scenes sont belles, me dira-t-on. D’accord :
l est constant qu’il a le goût fin et délicat, qu’il connaît bien les
défauts
de tout ce qu’il voit, et qu’il n’estime pas tout
monde, et surtout parmi les gens de qualité, pour en reconnaître les
défauts
. Mais comme il n’était encore ni assez hardi pour
ient rire qu’à leurs dépens, qu’ils voulaient que l’on fît voir leurs
défauts
en public, qu’ils étaient les plus dociles du mon
out ce qui se passait dans le monde et des portraits de leurs propres
défauts
et de ceux de leurs meilleurs amis, croyant qu’il
qu’il avait voulu parler d’eux. Car vous saurez qu’il y a de certains
défauts
de qualité dont ils font gloire et qu’ils seraien
des femmes, il faut bien que je touche à leurs qualités comme à leurs
défauts
, et que je m’expose ainsi au reproche de fade gal
ait agir et parler un grand nombre de femmes douées de qualités et de
défauts
divers. Étudions ces caractères, et quand nous no
sa fille Henriette a failli épouser un plat intrigant. Armande a les
défauts
de sa mère, et ne possède aucune de ses qualités
rance, même complète, vaudrait mieux que la pédanterie d’Armande. Ce
défaut
n’est pas dans les femmes un effet de la nature ;
e volontiers comme des êtres malins et malfaisants, dont les moindres
défauts
sont de voler le maître et de boire son vin. Les
ortrait, mon dessein soit de recommencer une critique déguisée de vos
défauts
. Je sais quel scepticisme ces mots de femme parfa
rompé dans sa prétendue sagesse, s’en prend, comme ses confrères, aux
défauts
des femmes, et s’il s’obstine à en épouser une ce
les maltraite de parti pris. Il est bien obligé de représenter leurs
défauts
, puisqu’enfin elles en ont, et que les défauts so
é de représenter leurs défauts, puisqu’enfin elles en ont, et que les
défauts
sont avec les ridicules la propre matière de la c
re trop bourgeois et une famille pédante, Henriette ne contractât les
défauts
de l’un ou des autres ? Elle a mieux fait ; elle
leur vie ! Enfin, Henriette a de la tête, ce qui est loin d’être un
défaut
dans une femme. Je m’étonne, pour moi, que les ma
ser son système à toutes les autres. La seconde vérité, c’est que les
défauts
essentiels sont les conditions des beautés essent
utés essentielles, aphorisme qui peut s’exprimer ainsi : Chacun a les
défauts
de ses qualités. N’ayons garde de mépriser cette
ns les hommes tels qu’ils sont, en bloc, avec leurs qualités et leurs
défauts
, comme manifestations d’une même puissance, et ne
vous les aimez tellement qu’il vous est impossible d’apercevoir leurs
défauts
. Eh bien ! je vous défie de goûter autant que moi
mme moraliste, les appréciations et les critiques ne lui ont pas fait
défaut
non plus ; il importe donc de ne pas laisser dans
est plus de même lorsque les sentiments moraux lui font plus ou moins
défaut
, soit parce qu’un vice congénial ou une cause pat
de pitié ! Je vois, prince, je vois qu’on doit quelque indulgence aux
défauts
où du ciel fait pencher l’influence. » La scien
ns l’Avare, Molière montre de la manière suivante le passionné mis en
défaut
par la violence de sa passion, et découvrant par
ui leur sont directement opposés et qui devraient nous éclairer, font
défaut
; il s’ensuit également que, malgré cette déraiso
se l’amour que lui inspire cette dame. Il n’est point aveuglé sur ses
défauts
; il les reconnaît : « Non, l’amour que je sens
’amour que je sens pour cette jeune veuve ne ferme point mes yeux aux
défauts
qu’on lui treuve ; et je suis, quelque ardeur qu’
ns nous arrêter un instant sur cette lucidité d’Alceste à l’égard des
défauts
de Célimène. Cette lucidité prouve avec quelle ex
chez lequel la passion dominante est l’amour, ne s’apercevra pas des
défauts
de sa maîtresse, à moins que ces défauts ne bless
mour, ne s’apercevra pas des défauts de sa maîtresse, à moins que ces
défauts
ne blessent son amour. Il pourra même les prendre
on de psychologie. La coquetterie et la pruderie sont au fond le même
défaut
; c’est l’âge qui opère la transformation de la p
e qui ne les empêche point d’apprécier avec justesse tout ce que leur
défaut
a de répréhensible lorsqu’elles le rencontrent ch
st devenue prude sous l’influence des années, dépeint avec vérité les
défauts
de Célimène ; mais elle ne voit point chez elle-m
les défauts de Célimène ; mais elle ne voit point chez elle-même ces
défauts
, bien qu’ils soient fort saillants. Célimène, de
e leur peu d’équité, pour vouloir se tirer de leur société ? Tous ces
défauts
humains nous donnent dans la vie des moyens d’exe
utrui. » Dans cette admirable leçon de morale, l’indulgence pour les
défauts
d’autrui se trouve érigée en principe, puisqu’ils
cience du cœur humain. Néanmoins, les préceptes de morale ne font pas
défaut
dans ses œuvres ; et celui qui se déduit naturell
ites de la raison, si tous ont ainsi inconsciemment plus ou moins les
défauts
de leurs qualités, que peut donc être la raison d
leurs inclinations, que de donner dans leurs maximes, encenser leurs
défauts
et applaudir à ce qu’ils font. On n’a que faire d
riger vers la voie de la raison ; mais quand ces bons sentiments font
défaut
, ce qui est le cas d’Harpagon, force est bien, fa
en disant aux passionnés de dures vérités, en heurtant de front leurs
défauts
et leurs vices. Maître Jacques dit à Harpagon qu’
rimer, m’ôtent l’usage de la réflexion ; je n’ai plus d’yeux pour ses
défauts
, il m’en reste seulement pour tout ce qu’elle a d
uisqu’il reconnaît sa faiblesse ; et par conséquent, étant donnés les
défauts
de sa femme, combien il serait préférable pour lu
péterai-je encore ici, il est bien difficile de surprendre Molière en
défaut
. LE BOURGEOIS GENTILHOMME Dans cette comédi
alités de son amante ; il lui attribue celles qu’elle n’a pas, et les
défauts
qu’elle peut avoir lui apparaissent souvent comme
prit et par l’agrément du style, que l’auteur réussit à dissimuler le
défaut
d’intérêt. En un mot, ces pièces sont trop didact
aux siennes ? Enfin la pièce est équivoque et c’est là son plus grand
défaut
. Le point où Alceste a raison et celui où il a to
u l’esprit de la comédie, et a regardé comme essentiels au genre, des
défauts
qu’on ne peut reprocher qu’aux auteurs. Voilà don
l’exception de deux caricatures dont on aurait bien pu se passer. Les
défauts
du Distrait ne sont pas uniquement ceux que j’ai
la profondeur de l’art, avec cette légèreté superficielle qui est un
défaut
de l’esprit ainsi que du caractère. Le dix-huitiè
anque de mouvement et les longues dissertations en dialogue, sont des
défauts
qui se sont perpétués depuis Molière jusqu’à nos
nui règne à l’opéra avec son sceptre de plomb. Je ne parlerai pas des
défauts
qui proviennent de la musique ; de la monotonie d
il oublie de motiver son jugement. La Harpe a fort bien démontré les
défauts
de construction et l’incohérence de cet ouvrage.
ur, Eugénie et La Mère coupable, mais ils pèchent aussi par les mêmes
défauts
. La connaissance du théâtre espagnol, que l’auteu
une dignité compassée et une violence désordonnée : le premier de ces
défauts
dominait autrefois, et le second prévaut aujourd’
une transition préparatoire. Ce qui fait tomber les comédiens dans ce
défaut
, c’est, je crois, un sentiment confus que les for
-être pas écouté la piece. Je dois faire remarquer qu’il y a un grand
défaut
dans la piece que je viens de citer, & que ce
y a un grand défaut dans la piece que je viens de citer, & que ce
défaut
est très ordinaire aux pieces dans lesquelles un
onnes choses qui s’y trouvent, & l’on seroit moins sévere sur les
défauts
. Après avoir prouvé que plusieurs intrigants nuis
in Moliere nous a-t-il fait passer ? Quelques Auteurs, pour éviter le
défaut
dont nous venons de parler, sont tombés dans un a
la plus grande partie des qualités nécessaires pour faire sentir les
défauts
de ses prédécesseurs. Un récit fait le dénouement
le surprise. Remarquons dans cet exemple même, que Moliere a évité un
défaut
commun à presque tous les Auteurs. Ils amenent de
on ne peut certainement pas faire ce reproche ; mais ils n’évitent ce
défaut
qu’en tombant dans un autre plus grand, puisqu’ap
les mêmes. Les artistes de l’un & de l’autre genre ont les mêmes
défauts
à éviter ; les mêmes beautés peuvent éclore &
nécessité, tenir & servir à la machine générale ; sinon c’est un
défaut
essentiel. Dans l’exemple que je viens de citer d
ubler ces minuties ? Est-ce pour nous faire voir plus sensiblement le
défaut
? on l’auroit bien apperçu sans cette précaution.
édent peut fort bien s’appliquer à celui-ci, auquel je trouve plus de
défauts
que dans tous les autres, puisqu’il peche davanta
; n’ignorent pas que les auteurs les plus parfaits ont de très grands
défauts
mêlés à ces mêmes beautés qui leur assurent l’imm
et je ne veux rien dire si ce n’est que Molière n’avait aucun de ces
défauts
qui font qu’on se rie de vous Il n’était pas expo
affectations, L’affectation du bel esprit et du beau parier était le
défaut
et le ridicule de ces femmes dites précieuses qui
lle de vingt n’est pas raisonnable, et que devient la thèse ? Sauf ce
défaut
, capital il est vrai, la pièce est d’un grand bon
tère du corps, comme a dit La Rochefoucauld, inventée pour cacher les
défauts
de l’esprit », l’absence de franchise et de natur
r son aplomb et sa faconde et c’est-à-dire par l’exagération même des
défauts
ordinaires des médecins, réussit plus qu’eux, ce
la satisfaction dans un rien. Et elle avale n’importe quoi. C’est le
défaut
humain qui a le plus d’estomac. Jean-Jacques Rous
dans le sens de la nature par sa franchise, sa rapide pénétration des
défauts
des hommes et la force d’âme par laquelle il brid
ue de cet auteur : les vices de caractère en sont l’instrument et les
défauts
naturels en sont le sujet. » C’est-à-dire, car l
ert des vices de l’un pour mettre enjeu et pour mettre en lumière les
défauts
de l’autre : son sujet, par exemple, est la bêtis
rimes de ses coquins pour mettre en jeu et pour mettre en lumière les
défauts
de ses sots, de telle sorte que son comique a pou
convertir ce à quoi du reste elle ne réussirait pas ; elle peint les
défauts
des honnêtes gens ou des demi-honnêtes gens qui s
es demi-honnêtes gens qui sont des sots, pour les avertir que par ces
défauts
ils se prêtent à être victimes des coquins. Voilà
es avertir, c’est les instruire, c’est leur montrer le péril où leurs
défauts
les mènent, et il ne prend pas précisément les sc
e par une peur affreuse de l’enfer. Cela n’a l’air de rien. Est-ce un
défaut
? Il faut bien que c’en soit un puisque c’est un
ainsi dire, la comédie essentielle, c’est la comédie qui se moque des
défauts
des honnêtes gens pour les mettre en garde contre
s gens pour les mettre en garde contre les coquins qui exploitent ces
défauts
et qui ne peint les coquins que comme « instrumen
, s’il est possible, apprennent à se défier des coquins ; et donc les
défauts
des honnêtes gens sont bien « le sujet » du poème
ncriminations et réquisitoires. Molière s’est attaché un peu trop aux
défauts
à l’exclusion des vices, cela ne laisse pas de re
ue on pourrait faire dire à Molière en face de son temps : Mais, les
défauts
qu’il a ne frappent pas ma vue. Et l’on ne voit
3. Il est très curieux, ce programme ; les grands vices et les petits
défauts
y sont juste dans la même proportion que dans l’œ
il s’est proposé de faire, il est le peintre beaucoup plus des petits
défauts
que des grands, ce qui, malgré les bonnes raisons
s le ridicule des hommes et de rendre agréablement sur le théâtre les
défauts
de tout le monde. Lorsque vous peignez des Héros,
ute négative. Elles n’indiquent et ne peuvent indiquer que dans quels
défauts
on peut tomber, quelles fautes on peut faire, mai
e, et il est sans cesse en contact avec les vices et surtout avec les
défauts
du monde, ce qui redouble -sa misanthropie et l’e
conséquence de sa philosophie. Quand on s’est habitué à supporter les
défauts
des hommes, on arrive à faire cas de ces défauts
itué à supporter les défauts des hommes, on arrive à faire cas de ces
défauts
comme d’une occasion d’exercer sa philosophie et
ue leur peu d’équité Pour vouloir se tirer de leur société ? Tous ces
défauts
humains nous donnent dans la vie Des moyens d’exe
ction même des autres a contribué. Avec ces qualités le désabusé a un
défaut
. Je ne lui en vois qu’un. Il est taquin. La taqui
que Molière ne fouettait que les honnêtes gens, ne s’attachait qu’aux
défauts
des honnêtes gens et non aux vices des coquins, o
nfiniment Alceste, ne houspille guère que lui pour le corriger de ses
défauts
. À quoi bon vouloir guérir Oronte ou Acaste ou Cé
Arsinoé qui, sans doute, ne sont pas des vicieux, mais qui ont de ces
défauts
, vanité d’auteur, vanité de fat, coquetterie et c
ité qui ne se corrigent pas ? Alceste, à la bonne heure, qui n’a pour
défaut
que l’envers d’une qualité, défaut que Philinte s
te, à la bonne heure, qui n’a pour défaut que l’envers d’une qualité,
défaut
que Philinte sait bien qu’on corrige, puisqu’il l
en est délivré. Et il n’en est pas moins que la taquinerie est un tel
défaut
encore que, pour l’avoir exercé sur Alceste, Phil
est presque l’intellectuelle complète. Elle a du moins les plus hauts
défauts
de l’intellectuelle. Comme Cathos et Magdelon, el
On sent qu’elle fait des portraits satiriques pour montrer moins les
défauts
d’autrui que son esprit à elle, qu’elle n’en veut
de son mérite, c’en est un aussi de faire la satire caustique de ces
défauts
et c’en est un surtout d’accueillir agréablement
ncore est-il, comme je l’ai fait remarquer ailleurs, qu’il a donné un
défaut
à Philinte, la taquinerie, défaut qu’il pourrait
emarquer ailleurs, qu’il a donné un défaut à Philinte, la taquinerie,
défaut
qu’il pourrait ne pas avoir, mais qu’il peut avoi
ruyère ne le lui ait pas reproché, ou du moins la manifestation de ce
défaut
, puisqu’à le montrer il compromet aux yeux de tou
isemblable, parce qu’elle est rare, que le mélange avec l’ambition de
défauts
qui la compromettent. Tartuffe est admirablement
ait très bien l’intégrer dans sa passion maîtresse et prouver que ses
défauts
latéraux dérivent de son vice essentiel. Il est a
pas les simplifier jusqu’à les enfermer dans un seul vice ou un seul
défaut
. À cet égard Balzac est beaucoup plus classique q
r ; il ne faut mettre dans « le glorieux » que ce qu’il faudra de son
défaut
pour le faire tomber dans la mésaventure qu’on lu
de ne pas être instructif et moralisateur. D’où viennent les vices ou
défauts
, ce qu’ils sont, le mal qu’ils font autour d’eux,
oujours Molière. Montrer une famille désorganisée et disloquée par le
défaut
, par la passion maîtresse du personnage principal
à quoi il s’applique presque toujours et montrer ainsi les causes du
défaut
, le défaut en soi, les effets funestes du défaut.
s’applique presque toujours et montrer ainsi les causes du défaut, le
défaut
en soi, les effets funestes du défaut. J’avoue qu
ainsi les causes du défaut, le défaut en soi, les effets funestes du
défaut
. J’avoue que les causes et origines du défaut il
les effets funestes du défaut. J’avoue que les causes et origines du
défaut
il les montre rarement. Je ne sais pas comment a
le savoir. Mais je sais les causes, les causes secondes au moins, du
défaut
d’Orgon : il a été élevé par une mère d’ancien ré
que « l’affaire de la comédie est de représenter en général tous les
défauts
des hommes et en particulier des hommes de notre
s de notre siècle ». Il faut même, dans la comédie, ne pas sortir des
défauts
des hommes de son siècle. Quand on imite, dans la
uestion ; car ce n’est pas une comédie, ce n’est pas une peinture des
défauts
des hommes, c’est un conte drolatique mis sur la
n accident peut nous tirer de la mésaventure où notre sottise vice ou
défaut
, nous a jeté, il ne nous corrige pas de notre sot
vice ou défaut, nous a jeté, il ne nous corrige pas de notre sottise,
défaut
ou vice. Il dénoue l’intrigue, du côté du caractè
ricité que de considérer Molière comme un écrivain qui n’est pas sans
défaut
qu’Edmond Schérer intitulait son article sur cett
raire. Quoi qu’il en soit il lui reprochait, en tant qu’écrivain, les
défauts
suivants : métaphores incohérentes. Exemples : P
momentanée qu’inspirent ces agréables fantômes, le bien du mal et les
défauts
des qualités. Cette affection et cette répulsion
… Rien ne reprend mieux la plupart des hommes que h peinture de leurs
défauts
… La comédie n’est autre chose qu’un poème ingénie
chose qu’un poème ingénieux, qui par des leçons agréables reprend les
défauts
des hommes… On doit approuver les pièces de théât
econnoissoit, et encore son voisin, dont on est plus aise de voir les
défauts
que les siens propres. » Perrault, Les Hommes ill
eau qui dans l’intimité donnait ce surnom à son ami. 30. « Un autre
défaut
de Molière, que beaucoup de gens d’esprit lui par
ient aux pièces médiocres des autres auteurs, relevaient les moindres
défauts
de Molière avec aigreur. Les hommes jugent de nou
mes jugent de nous par l’attente qu’ils en ont conçue ; et le moindre
défaut
d’un auteur célèbre, joint avec les malignités du
ude ; Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rien, Si, parmi les
défauts
que tu peignis si bien, Tu les avais repris de le
uisement d’une fille en garçon peu vraisemblable. Cette intrigue a le
défaut
d’un roman, sans en avoir l’intérêt ; et le cinqu
; et presque tous ceux qui se piquaient d’esprit n’imitaient que ses
défauts
. Les romans de Mlle Scudéri avaient achevé de gât
La pièce est sans intrigue et toute de caractère. Il y a très peu de
défauts
contre la langue, parce que lorsqu’on écrit en pr
ppées ; mais ses ennemis avaient plus grand tort de saisir ces petits
défauts
pour condamner un bon ouvrage. Boursault crut se
t la dépense royale qu’on fit pour ce spectacle, firent pardonner ses
défauts
. Les Femmes savantes, Comédie en vers et en
poussée trop loin, en fait le principal caractère. Ses farces ont le
défaut
d’être quelquefois un peu trop basses, et ses com
médies de n’être pas toujours assez intéressantes. Mais avec tous ces
défauts
-là, il sera toujours le premier de tous les poète
l’action, en offrant deux fois la même situation, un de leurs grands
défauts
est de pécher contre les regles de la gradation.
ja citée ailleurs. Baron a évité, dans son Homme à bonne fortune, le
défaut
que nous venons de reprocher à Moliere. Lucinde e
ble. La veuve se plaint du silence de Valere : celui-ci lui dit qu’au
défaut
de la voix, un regard, un soupir, un geste serven
t trop, qu’il les eût signalés par des noms caractéristiques de leurs
défauts
ou de leurs habitudes individuelles. L’Amour méd
versatilité : « Je n’avais été voir Sophonisbe que pour y trouver des
défauts
; mais, l’ayant été voir depuis en disposition de
c de Montausier. Ce seigneur réunissait en partie les qualités et les
défauts
d’Alceste ; à sa probité rigide, à sa sincérité c
l’avoir été envers Molière. Il me suffit d’avoir indiqué les nombreux
défauts
du personnage, tous justiciables de la censure du
t plaça, au milieu de cette foule de personnages, un censeur de leurs
défauts
, atteint lui-même d’une manie sauvage qui l’expos
rique où son génie énergique et bizarre a prodigué les beautés et les
défauts
que sa nation admire en lui presque indistincteme
le trouve grand : mais ne puis-je pas parler en toute liberté sur ses
défauts
? En pensant bien, il parle souvent mal. Il se se
a troisième main de l’homme qu’il soupçonne de l’avoir volé. Un autre
défaut
de Molière, que beaucoup de gens d’esprit lui par
que l’intrigant n’écrase pas le caractere. L’un & l’autre de ces
défauts
, sont mortels pour les pieces. Si le caractere ét
presque point ? Si au contraire l’intrigant étouffe le caractere, le
défaut
est impardonnable, sur-tout quand le titre annonc
sse de Moliere, & prouvons qu’il est un moyen sûr pour éviter les
défauts
reprochés avec juste raison à l’Auteur du Grondeu
ie instruise en divertissant. Lorsqu’il a raillé les hommes sur leurs
défauts
, il leur a appris à s’en corriger, et nous verrio
des termes très modestes, de la bonté qu’elle avait eue d’excuser ses
défauts
et ceux de toutes sa Troupe, qui n’avait paru qu’
ut dans toutes ses pièces d’obliger les hommes à se corriger de leurs
défauts
. Comme il y avait longtemps qu’on ne parlait plus
contre quelquefois, avec le familier, le bas, le négligé, le trivial,
défauts
dans lesquels il tombe trop souvent.
ie de faire rire, même quand il ne le faut pas, est tombé ici dans un
défaut
tout opposé. Il a mis dans la bouche de Sosie un
gage et de mœurs, que l’un blâme et que l’autre paraît louer, soit un
défaut
ou un mérite, qu’importe ? un tel anachronisme ét
différentes, de la diversité de la nature389. Il n’y a ni beautés, ni
défauts
dans l’ordre littéraire ; car, sans les défauts l
n’y a ni beautés, ni défauts dans l’ordre littéraire ; car, sans les
défauts
les beautés ne seraient pas ; défauts et beautés,
rdre littéraire ; car, sans les défauts les beautés ne seraient pas ;
défauts
et beautés, c’est la même faculté qui produit tou
squelles elle ne serait point l’harmonie ; la fougue offense par cent
défauts
visibles. Mais, si par défauts l’on doit entendre
’harmonie ; la fougue offense par cent défauts visibles. Mais, si par
défauts
l’on doit entendre ce qui manque, les défauts de
visibles. Mais, si par défauts l’on doit entendre ce qui manque, les
défauts
de l’harmonie, pour être invisibles, n’en sont pa
et content d’avoir atteint la source d’où coulent les beautés et les
défauts
, il montre simplement, comment, telle source étan
fauts, il montre simplement, comment, telle source étant donnée, tels
défauts
, telles beautés devaient naturellement suivre.392
sais qu’il y a des écrivains qui détruisent à plaisir la vérité, par
défaut
de finesse et manie d’exagérer. Des critiques son
que s’il eût été amoureux de quelque dame qui eût eu quelques légers
défauts
, ou en sa beauté, ou en son esprit, ou en son hum
ophique ; articles Élégance et Fable. Connaissance des beautés et des
défauts
de la poésie et de l’éloquence dans la langue fra
le, Et dans l’objet aimé tout leur devient aimable : Ils comptent les
défauts
pour des perfections, Et savent y donner de favor
ur. C’est ainsi qu’un amant, dont l’amour est extrême, Aime jusqu’aux
défauts
des personnes qu’il aime. . . . . . . . . . . . .
Comme l’affaire de la comédie est de représenter en général tous les
défauts
des hommes et principalement des hommes de notre
’accuse d’avoir songé à toutes les personnes où l’on peut trouver les
défauts
qu’il peint, il faut sans doute qu’il ne fasse pl
nde affaire, il nous le disait tout à l’heure, c’était de peindre les
défauts
des hommes ; et il les prenait où il les trouvait
s hommes », tel était donc le but de Molière ; les peindre dans leurs
défauts
surtout, puisque tel est le domaine essentiel de
le a nous scandalise ; — bref, nous reprocher brutalement en face nos
défauts
ou nos ridicules ? Hé ! que deviendrait à ce comp
eil il fait aux observations de Philinte. Et cela est naturel. Si mes
défauts
ne vous sont pas dommageables, pourquoi voulez-vo
les, pourquoi voulez-vous me les ôter ? Ils me sont chers, à moi, mes
défauts
; ils me rendent heureux ; ils sont moi-même ; je
e je ne voudrais pas du tout qu’elle se corrigeât. Ah ! c’est que ces
défauts
terribles sont précisément la condition de sa grâ
élimène ! Nous sommes tous hommes, ni plus ni moins, et avec tous les
défauts
que nous héritons d’Ève et d’Adam, faits pourtant
qui fixe à ce nombre les piéces qui ont le plus d’étenduë ; mais ces
défauts
sont couverts par une variété & par une vivac
l’en consoler. Soit malignité, soit cabale, on insista sur de légers
défauts
, on releva jusqu’aux moindres négligences ; le dé
sur de légers défauts, on releva jusqu’aux moindres négligences ; le
défaut
le plus essentiel ne fut pas remarqué : il est de
ulgent Philinte qui, sans aimer ni censurer les hommes, souffre leurs
défauts
, uniquement par la nécessité de vivre avec eux, &
mpatissante aux foiblesses humaines, qu’il fait tomber le ridicule du
défaut
dont il a voulu corriger son siécle. Les nuances
dans le stile de la scéne comique. C’étoit alors une singularité, un
défaut
même pour une comédie en cinq actes, que d’être é
roque de Clitandre & d’Henriette fait en quelque sorte oublier ce
défaut
. On prétend que la querelle de Trissotin & de
cidens les moins vraysemblables ; c’est plûtôt un vice du tems, qu’un
défaut
des fêtes ordonnées par Louis XIV, il a quelquefo
Bourgogne. Il se fit justice, & se renferma dans un genre où ces
défauts
étoient plus supportables. Il eut même des diffic
grand usage du théâtre ne suffisent pas pour juger des beautés ou des
défauts
d’une comédie. On a beau dire que la nature &
e secret, point d’étude, point de supplément qui puissent masquer les
défauts
d’un acteur né peu sensible. Le cœur ne se laisse
amp; des moyens de le faire refleurir. J’aurai grand soin d’éviter un
défaut
bien commun chez nos Auteurs modernes : on pourro
e moins chatouilleux ; ils savent que l’ouvrage le plus parfait a ses
défauts
. Il faut les regarder comme des millionnaires aux
rimer, m’ôtent l’usage de la réflexion ; je n’ai plus d’yeux pour ses
défauts
, il m’en reste seulement pour ce qu’elle a d’aima
s de Corneille, un composé d’une ou deux qualités éminentes, il a des
défauts
et il a aussi des qualités secondaires. — C’est n
imène ? — Cette absence d’unité dans ce rôle doit-elle être imputée à
défaut
, ou bien considérée comme une beauté nouvelle ? M
uand Moliere fit le Dépit Amoureux, il les imitoit jusques dans leurs
défauts
. Exposition des événements qui ont précédé l’
de la piece. Le Glorieux va nous fournir un exemple bien marqué de ce
défaut
, dans le rôle d’Isabelle : Lisette & Pasquin
on penchant ne peut l’aveugler tellement, Qu’il dérobe à ses yeux les
défauts
d’un amant. Les cherchant avec soin, & les tr
s les impertinences du Comte. Nous nous étendrons plus au long sur ce
défaut
, quand nous traiterons des pieces à caractere. Il
uer un rôle essentiel dans la piece. Moliere, de qui je cite tous les
défauts
en faveur des jeunes Auteurs que ses scenes inimi
onsieur, n’est pas toujours bien nette : C’est là, je l’avouerai, mon
défaut
capital. Damis, lui présentant une bague. Voici,
it goutte !... Damis. Il a grand tort, à mon avis. Tout peuple a ses
défauts
, & tout peuple a son prix. Mais à des préjugé
rer ce que les Anglois ont d’estimable, mais qui chérit jusqu’à leurs
défauts
, & qui a la manie de les estimer en tout. Il
& de la mere de leurs héros : les Dramatiques Chinois ont le même
défaut
; ils mettent en action, dans un prologue, l’hist
nnes si l’on veut ; tout m’est égal, pourvu que je m’amuse : c’est un
défaut
, à la vérité, mais il ne tire pas à conséquence c
reproche n’est pas si bien fondé qu’on le croit. J’ai prouvé que les
défauts
de cette espece de prologue étoient dans nos roma
uve que les romans les plus tragiques ne passent pas, avec tous leurs
défauts
, sur notre scene, & je me rassurerai. Si je t
r son rôle humble et sublime parmi nous. Au dix-septième siècle, un
défaut
gâtait les femmes : elles étaient précieuses. Inu
par préciosité. Mais il n’est pas sans importance de remarquer que ce
défaut
commença par être une qualité au temps de la Fron
elle, et il attaqua du premier coup la femme par la juste critique du
défaut
qui dépréciait alors toutes ses autres qualités.
riste, Qu’il nous faut en riant instruire la jeunesse, Reprendre ses
défauts
avec grande douceur, Et du nom de vertu ne lui po
sonnage qui n’avoit aucune part à l’action. Baron auroit dû sentir ce
défaut
comme nous, & le corriger ; mais au contraire
de quatre-vingt-trois. Voilà déja le Traducteur & l’Imitateur en
défaut
: que seroit-ce si nous avions le temps de marque
tourner le visage. Dave. Ah ! que vous voyez clair ! C’est encore un
défaut
Dont je me déferai, Monsieur, tout au plutôt. Sim
e finit l’acte sans préparer le troisieme, & que Baron corrige ce
défaut
. Scene VIII. Simon, seul. Retire-toi, maraud.I
ersonnes qui devoient bien moins l’intéresser. Baron n’a pas senti ce
défaut
, puisqu’il ne l’a pas corrigé. Nous ne ferons pas
perd en passant sur notre scene quelques beaux traits, y conserve des
défauts
, & sur-tout son air étranger. Cependant la tr
moins de finesse et de bienséance. L’auteur anglais a corrigé le seul
défaut
qui soit dans la pièce de Molière ; ce défaut est
glais a corrigé le seul défaut qui soit dans la pièce de Molière ; ce
défaut
est le manque d’intrigue et d’intérêt. La pièce a
remière fois qu’elle lui fait une galanterie. Molière, qui a senti ce
défaut
de bienséance, a imaginé, en corrigeant son origi
ritiques. « [*]Soit malignité, soit cabale, on insista sur de légers
défauts
, on releva jusqu’aux moindres négligencesa. Le dé
sur de légers défauts, on releva jusqu’aux moindres négligencesa. Le
défaut
le plus essentiel ne fut pas remarqué : il est de
ppées ; mais ses ennemis avaient plus grand tort de saisir ces petits
défauts
pour condamner un bon ouvrage. » « [*]Molière n
finesse de l’auteur dans la correction qu’il a faite à l’original. Le
défaut
des Espagnols est de ne se contenter jamais de la
rage qui soit parfait, le modèle qu’a choisi Molière n’était pas sans
défaut
, et surtout dans la disposition des personnages*.
, semble devoir intéresser infiniment, Molière en connut néanmoins le
défaut
et n’en fit aucun usagea. Il certain que les prél
i à ses progrès. Il me paraît à propos d’examiner ici si c’est art ou
défaut
dans Molière de n’avoir pas informé le spectateur
ences, et la politesse dans toutes les conditions. » « [*]Parmi les
défauts
, ou ridicules, que Molière entreprit de combattre
oboni vient de détailler, et dont il fait si judicieusement sentir le
défaut
; mais l’auteur de la lettre croit que Molière a
par-tout ailleurs ne figureroit pas si bien ; c’est celui d’éviter un
défaut
commun aux comiques de toutes les nations. Ils in
9. Moliere qui a fait l’Avare d’après cette piece, n’a pas évité ce
défaut
. Harpagon, cherchant le voleur de sa cassette, di
je le trouve grand ; mais ne puis-je parler en toute liberté sur ses
défauts
? » C’est en ces termes que Fénelon dans sa Lettr
oires de « cacologie », selon le mot de je ne sais plus qui. Mais les
défauts
de Molière ne sont pas des défauts, ce sont des q
t de je ne sais plus qui. Mais les défauts de Molière ne sont pas des
défauts
, ce sont des qualités ; ce que l’on reprendrait c
terie blessent encore les oreilles délicates, trahissent peut-être ce
défaut
d’éducation maternelle. Son père se remaria ; mai
contré, toutes ses qualités d’autrefois se sont tournées en autant de
défauts
. D’époux indulgent d’une jeune femme, le voilà de
n située » n’a jamais été synonyme d’un « cœur bien placé ». Tous les
défauts
de la langue de Molière semblent réunis dans ces
e ou de très généreux ? Mais, en revanche, elle a les qualités de ses
défauts
: elle est saine, franche, naturelle, et elle a,
est pourquoi nous dirons maintenant de son style qu’il n’est pas sans
défauts
, mais ces défauts ne l’empêchent point d’être uni
dirons maintenant de son style qu’il n’est pas sans défauts, mais ces
défauts
ne l’empêchent point d’être unique en son genre,
histoire littéraire, pour des qualités qui tiennent étroitement à ces
défauts
mêmes. Je ne parle pas de la gaîté, qui en jailli
nouvelle pièce plus d’intrigue et de plan que dans l’autre. C’est un
défaut
d’autant plus blâmable, que rien ne l’empêchait d
ritique, même en mettant de côté le vice du genre, peut y trouver des
défauts
très marqués : le plus grand est d’avoir fait Eso
avait guère étudié la théorie de l’art des vers ; mais parmi tous ces
défauts
il y a des vers heureux et des morceaux faciles e
onnaissent mieux leur monde ; mais la scène est amusante, et tous ces
défauts
sont peu de chose en comparaison des beautés dont
distraction n’est point un caractère, une habitude morale : c’est un
défaut
de l’esprit, un vice d’organisation, qui n’est su
e, où étiez-vous ? La farce du Médecin volant est entachée d’un autre
défaut
du temps, dont Molière ne s’est jamais complèteme
téressés, et ne s’était étudié à corriger les hommes de son siècle du
défaut
de l’avarice. La comédie de l’Etourdi est princip
épousé une comédienne exposée à tant de séductions. Il tomba dans le
défaut
qu’il reprenait chez les autres. En s’égayant des
on, son personnage aura toujours sur lui la somme voulue. Ce sont des
défauts
, assurément, mais qu’on pardonne à Molière à caus
rs noms; il explique à chacun son rôle ; il critique avec finesse les
défauts
de celui-ci, la façon de jouer de celui-là ; tout
il est toujours. En peintre amoureux de son modèle, il en a caché les
défauts
. Montfleury, dans sa propre pièce de la Femme Jug
le cilice de la sœur de la Miséricorde a emprisonné cette taille sans
défaut
, qui avait fait dire à La Fontaine : Et la grâce
s plus honnêtes gens du monde ne sont pas exempts de faiblesses et de
défauts
, et que chacun doit s’appliquer à se perfectionne
avait fait une rude expérience de cette passion. Alceste connaît les
défauts
de Célimène Mais la raison n’est pas ce qui règl
du gouvernement. Ce n’est plus la peinture générale des vices et des
défauts
de l’espèce humaine, c’est le tableau des abus et
e fable sans, conséquence. Molière s’est bien gardé de tomber dans ce
défaut
. La belle scène où le fils prodigue se trouve en
te allégorie des tourments que peut causer la curiosité soupçonneuse,
défaut
ordinaire des amants. Psyché, qui fait s’envoler
s’il avait fait la critique de la Comtesse d’Escarbagnas. A part ces
défauts
que le génie de Molière n’a pas besoin qu’on cher
taine langueur dans l’action. Molière n’a pas stigmatisé seulement un
défaut
de son temps il a donné une leçon éternelle ; il
femmes étaient si joueuses alors, que Dancourt revient souvent sur ce
défaut
. Dans la Femme d’intrigues, agitant une question
onception plus spontanée encore de notre mérite personnel comparé aux
défauts
des autres, ou avec ceux que nous pouvons avoir e
: « On peut aimer de tout son cœur ceux en qui on reconnaît de grands
défauts
. » B : « Nous dominons nos amis et nos ennemis p
défauts. » B : « Nous dominons nos amis et nos ennemis plus par nos
défauts
que par nos vertus. Mme de Staël. » II, pages 30
as (côlto) saisi par un geste, l’est par l’autre. Cela a cependant un
défaut
, c’est que ce n’est pas seulement une fausseté da
ma mie. Très bon, dit mon sot avec un ton de découverte. C’est là le
défaut
de l’orchestre des Français, il est plein de paro
ut être vrai au fond, mais qui de la manière dont il est exécuté a le
défaut
de détruire un peu l’illusion, en fesant penser q
de la conversation actuelle. La monarchie en vieillissant chassera ce
défaut
. Dorine Quel caquet est le vôtre ! Tirez d
l’imperfection de vouloir mettre en vigueur la chevalerie errante. Le
défaut
de Mys[elf] est un peu dans le genre de celui d’A
qui rit-on dans cette pièce ? Il faut avouer qu’on rit peu. Voilà un
défaut
auquel il était facile à un homme tel que Molière
de quelques-unes de leurs maximes. Je trouve à cette pièce un peu du
défaut
de Télémaque, les caractères n’y sont pas marqués
ntrer Tartuffe exerçant son métier, c’est-à-dire séduisant Orgon. Les
défauts
de la pièce sont iº d’être un peu froide, une des
oute l’imbécillité presque obligée d’Orgon. On pourrait remédier à ce
défaut
en le doublant du vieil évêque. Ou en le fesant a
ment aurait fait rire et donné plus de vivacité à la pièce. Son grand
défaut
, à mes yeux, est de manquer de cette vivacité don
e plaisanteries piquantes tomber sur cette Tartuffe d’Armande. Grand
défaut
. Les femmes savantes ne sont point désappointées
ie ce qu’Athalie est dans la tragédie ; ces deux chefs-d’œuvre ont le
défaut
d’être trop au-dessus de la portée du vulgaire. »
Que les peintures soient très fortes, sans toutefois être odieuses ;
défaut
de la force, tomber dans l’odieux ou l’extravagan
iété des conceptions devraient la protéger contre cette uniformité de
défauts
; et cependant ici nous la retrouvons encore : c’
ait information, ajournement, décret et jugement obtenu par surprise,
défaut
et contumace, j’ai la voie et conflit de juridict
’étendue du sujet. Quant aux doubles titres, ils semblent annoncer un
défaut
de netteté ou d’unité dans l’idée principale d’un
ent les mœurs de l’époque où elle parut, et c’est sans doute un grand
défaut
; mais ce qui, dans cette même pièce, place Moliè
e titre est inutile ; si le retour n’enfante pas l’obstacle, c’est un
défaut
dans le drame, qu’il est très imprudent d’annonce
ité, s’ils concourent également à l’intrigue, au dénouement, c’est un
défaut
essentiel dans la piece, comme nous le remarquero
pas par la continuité de l’action. Je ne m’étendrai pas encore sur un
défaut
qu’entraînent toutes les scenes épisodiques, mes
u’ils font pour diminuer celle de l’Auteur. Prouvons à présent que ce
défaut
n’est pas dans l’original, par l’original lui-mêm
Qu’arrive-t-il ? Le pigmée reste, accoutume peu à peu le public à ses
défauts
, agence quelques rôles à sa taille, à sa voix, à
ce écrite aux Comédiens, on leur en présentât un simple canevas ; les
défauts
ne seroient pas masqués, les véritables beautés s
e, seroient suspendus jusqu’à l’hiver. Les Auteurs ayant mieux vu les
défauts
dans le cadre, pourroient faire les plus heureux
de nos contemporains. La simplicité des premiers, qui n’est point un
défaut
en soi, n’auroit cependant pas été du goût du sie
de nos semblables avec une complaisance mêlée de mépris, lorsque des
défauts
ne sont ni assez affligeans pour exciter la compa
comédie nous étant plus familiere que celle de la tragédie, & le
défaut
de vraissemblance plus facile à remarquer, les re
er, ou qu’ils ne peuvent rougir, ou qu’ils ne peuvent se corriger des
défauts
dont ils rougissent ; c’est rendre les caracteres
i consiste dans la maniere ; ce n’est point un genre à part, c’est un
défaut
de tous les genres. Les amours d’une bourgeoise &
e à vanter ses bons mots & la cadence de ses vers ; mais ces deux
défauts
n’empêchent pas qu’il ne soit le premier des comi
on se servoit autrefois beaucoup en France ; il descendoit jusque au
défaut
des reins, où il finissoit par des basques, &
moyen qu’il a sçu réformer, non pas les mœurs des chrétiens, mais les
défauts
de la vie civile, et de ce qu’on appelle le train
e ; Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit rien, Si, parmi leurs
défauts
que tu peignis si bien, Tu les avois repris de le
quins ne put plus se tenir. « Mais, selon M. Baillet, tous ces grands
défauts
, à la correction desquels on veut qu’il se soit a
s partisans outrez de Moliere ont soutenu qu’il avoit plus corrigé de
défauts
à la Cour et à la Ville que tous les prédicateurs
prédicateurs ensemble. Mais, disons la vérité, Moliere a corrigé des
défauts
, si l’on entend seulement par ce nom certaines qu
es dents. Il jouoit les rôles de rois et de paysans. On remarquoit un
défaut
en lui, qui étoit d’avoir un visage riant dans le
Bourgogne. Il se rendit justice, et se renferma dans un genre où ces
défauts
étoient plus suportables. Il eut même bien des di
t de quinze jours ; il y avait peu de domestiques qu’il ne trouvât en
défaut
; et la vieille servante Laforest y était prise a
te pièce est plein de verve et rachète, autant qu’il est possible, le
défaut
du sujet85. De nos jours, des commentateurs ont o
jouir les lecteurs par la satire de quelqu’un, qu’à leur proposer des
défauts
à éviter et des modèles à suivre ». Il résulte de
t cela, monsieur, lui répondit Molière ; mais je suis accoutumé à ses
défauts
; et il faudrait que je prisse trop sur moi pour
entation, et n’en chercha de récompense que dans son cœur. Il eût ses
défauts
, car quel homme en est exempt ? Mais ils furent v
reçues, De vos jours bien souvent vous ne les avez vues. Sur ce cruel
défaut
ne changerez-vous point ? . . . . . . . . . . . .
icule d’après nature, & les avertit de s’en corriger. Vadius. Le
défaut
des Auteurs, dans leurs productions, C’est d’en t
sur le théâtre deux de ses pieces favorites, & compte tous leurs
défauts
par autant d’exclamations de quelques bégueules q
Versailles est parsemé, qu’il a ouvert les yeux des comédiens sur les
défauts
& les beautés de leur art. En reprochant à Mo
place par sa nature, où rien n’est lié par ses rapports, rejetter des
défauts
, ramasser des beautés presque imperceptibles, &am
étude ; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien, Si parmi les
défauts
que tu peignis si bien, Tu les avais repris de le
es hommes, & sa femme les aimoit ; l’un tiroit sa gloire de leurs
défauts
, l’autre tiroit son plaisir de leurs foiblesses.
ure des incidents, même sur le genre de l’ouvrage. Voyons si tous ses
défauts
appartiennent à l’original. Il Principe geloso,
fleurs & de diamants, à se donner moins de soins pour cacher les
défauts
de sa figure, ou pour en augmenter les attraits,
rol. C’est ainsi que finit cette comédie pleine de beautés & de
défauts
. Son dénouement pourroit bien avoir donné lieu à
rès des Grands qu’en flattant leurs foiblesses, leurs caprices, leurs
défauts
, leurs vices même ; mais est-il décent & vrai
ulgent Philinte qui, sans aimer ni censurer les hommes, souffre leurs
défauts
, uniquement par la nécessité de vivre avec eux, e
mpatissante aux faiblesses humaines, qu’il fait tomber le ridicule du
défaut
dont il a voulu corriger son siècle. Les nuances
umis, il n’est point languissant ; mais il lui découvre librement les
défauts
qu’il voit en elle, et lui reproche qu’elle reçoi
tude ; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien, Si parmi leurs
défauts
, que tu peignis si bien, Tu les avais repris de l
idents les moins vraisemblables ; c’est plutôt un vice du temps qu’un
défaut
de l’auteur. Dans les pièces qu’il préparait à la
l de Bourgogne. Il se fit justice et se renferma dans un genre où ces
défauts
étaient plus supportables. Il eut même des diffic
t de quinze jours ; il y avait peu de domestiques qu’il ne trouvât en
défaut
; et la vieille servante, La Forêt, y était prise
e de comédies qui passent pour achevées, où il ne se trouve aucun des
défauts
dont cet éloquent jésuite les taxe toutes. » M.
e l’on me croie si prévenu en faveur de Molière, que je lui passe ses
défauts
, et que par cette raison je néglige d’en parler.
ne doit exposer de pareils modèles aux yeux du spectateur. « Un autre
défaut
, à mon avis, c’est d’avoir donné quatre domestiqu
ue Molière aurait mieux fait d’éviter une faute semblable. Voilà deux
défauts
que je trouve dans L’Avare, mais le public lui en
e l’amour et de l’argent qu’il lui fait acheter si cher. « Malgré les
défauts
que je viens de remarquer dans L’Avare de Molière
, ou lubrique ; ou qui, s’il a quelques qualités, ne les gâte par des
défauts
toujours ridicules, souvent honteux ? Ne sont-ils
des marquis est faite avec verve et hardiesse, mais sans fiel. Si les
défauts
de la cour sont blâmés, les qualités d’esprit, de
môme… Cen’est point la vieillesse que Molière ridiculise, ce sont les
défauts
qui la discréditent, etc. » Voir tout ce plaidoye
le duc : Tarte à la crème 209 ! Mais tarte à la crème n’est point un
défaut
, répondit le bel esprit, pour la décrier comme vo
ants & les unit, toutes les fourberies qui les ont croisés ont le
défaut
que nous avons reproché aux Anciens ; elles se tr
risale fait écrire ne sert à rien dans la piece, & c’est un grand
défaut
: voilà vraisemblablement pourquoi Moliere &
faisant rire aux dépens des personnages ridicules, nous corriger des
défauts
qu’elle joue, afin que nous devenions meilleurs p
ges outrées à nos voisins, avant de relever avec trop d’aigreur leurs
défauts
. Le poëte, & le poëte comique sur-tout, doit-
te à la lourdeur de l’attique et du fronton, raplatit le monument. Ce
défaut
devient surtout sensible dès qu’on s’en éloigne,
disposition de mauvais goût. Somme toute, pour ne nous arrêter qu’aux
défauts
les plus saillants, le monument de Molière ne nou
, considéré en lui-même, Molière a un style très personnel, rempli de
défauts
et de défaillances. Tous ceux qui ont dit : le ja
les plus près de la nature. Eh bien, la grande qualité comme le grand
défaut
de Molière traçant des caractères de femmes, c’es
de Molière, condition puissante et incomplète. Vous voyez ici un des
défauts
de Molière, dans ce fait que ses femmes ne sont p
ant dans la réalité qu’il le paraît à distance ; mais il y a aussi le
défaut
de Molière, le défaut de l’artiste ; il n’avait p
’il le paraît à distance ; mais il y a aussi le défaut de Molière, le
défaut
de l’artiste ; il n’avait pas la délicatesse de t
s, en raison de tout ce qu’il a de plus qu’eux, on peut lui passer ce
défaut
. L’observation, cette faculté prodigieuse de Moli
en voyant son théâtre, c’est pour la noblesse. Il lui prête tous les
défauts
de bon ton, tous ceux qu’on serait bien fâché de
ts de bon ton, tous ceux qu’on serait bien fâché de ne pas avoir, les
défauts
charmants, comme l’impertinence ; quand il place
issent, et qu’il ne peut s’empêcher de proclamer en plein théâtre les
défauts
de sa femme, et ces défauts il les fait charmants
mpêcher de proclamer en plein théâtre les défauts de sa femme, et ces
défauts
il les fait charmants. Mais si Molière procède ai
core vu de près cette secte ou cette cabale. Il regarda, et comme son
défaut
n’était pas la patience, il observa très vite, av
use, que Saint-Simon, le plus pieux des hommes, ne signale qu’un seul
défaut
dans le duc de Bourgogne, dont il fait un type de
aut dans le duc de Bourgogne, dont il fait un type de perfection ; ce
défaut
, c’est une dévotion qui lui fait choisir de préfé
’excès, ou subtile, ou tendue, ou relâchée, on ne l’a point vue faire
défaut
à la comédie ; celle-ci, sans paraître embarrassé
r qu’il ne nous soit point permis de les ignorer, le sacrifice de nos
défauts
et, si je puis dire, l’immolation journalière de
? CÉSAR Et qui donc, s’il te plaît ? NAPOLÉON Toi d’abord ; ou, à ton
défaut
, celui que tu viens d’honorer du titre de camarad
ncée, nous échappe ; la sentence qui devait être définitive nous fait
défaut
. C’est dommage, elle eût fait ressortir un contra
-elles pu faire cet examen ? connoissent-elles les qualités & les
défauts
qui peuvent rendre un caractere plus ou moins thé
l, en effet, Messieurs, n’a mieux connu que Molière nos préjugés, nos
défauts
, nos passions; nul ne les a traduits sur une scèn
héâtrales. Si le véritable art dramatique y fait presque complètement
défaut
, du moins nous offriront-elles un des côtés les p
avant bibliothécaire m’a bien voulu donner un séduisant avant-goût. A
défaut
de cette intéressante relique locale, prenons pou
peut marcher de pair avec Judas jouant aux échecs. Mais ce qui a fait
défaut
, disons-nous, à notre théâtre naissant, c’est une
pectateur par leur brillant et l’empêchent de remarquer le vide et le
défaut
d’action. On ne saurait cependant disconvenir que
ciproque de Clitandre et d’Henriette fait en quelque sorte oublier ce
défaut
. On prétend que la querelle de Trissotin et de Va
t la dépense royale qu’on fit pour ce spectacle, firent pardonner ses
défauts
. » [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et
poussée trop loin, en fait le principal caractère. Ses farces ont le
défaut
d’être quelquefois un peu trop basses, et ses com
édies de n’être pas toujours assez intéressantes ; mais avec tous ces
défauts
-là, il sera toujours le premier de tous les poète
pour bien juger des Comiques Grecs, il faudroit connoître à fond les
défauts
des Atheniens. Il y a un ridicule commun à tous l
qui charmoient peut-être les Atheniens, parce qu’ils connoissoient le
défaut
qu’il tournoit en ridicule. C’étoit un défaut que
qu’ils connoissoient le défaut qu’il tournoit en ridicule. C’étoit un
défaut
que peut-être nous ne savons pas ; c’étoit le rid
a coquetterie, n’avait rien de mignard ; elle avouait franchement ses
défauts
, et relevait avec une vivacité presque hautaine l
personnage de Bélise comme le comprend Mme Thénard. Est-ce de ma part
défaut
de clairvoyance ? Je me résignerais à le penser,
édies de Molière avec la ferme résolution de prendre les comédiens en
défaut
. Si j’étais assez malavisé pour tenir compte de t
sont. J’accoutume mon âme à souffrir ce qu’ils font… Oui, je vois ces
défauts
dont votre âme murmure Comme vices unis à l’humai
ble, Et dans l’objet aimé tout leur devient aimable. Ils comptent les
défauts
pour des perfections, Et savent y donner de favor
remarquer que ce qui est une beauté sur le théâtre Italien, seroit un
défaut
sur le nôtre. LES DEUX JUMEAUX, Comédie en cinq a
sur le compte de leurs personnages masqués, leurs pieces ont le même
défaut
, la même invraisemblance que les Françoises, &
e, imitée de l’espagnol, étoit passée sur notre théâtre avec tous les
défauts
de son modele, puisque, comme dans l’original, l’
otre théâtre les pieces de nos voisins ou des anciens avec tous leurs
défauts
. Qui, plus que Moliere, est exempt d’un pareil re
bservations à travers un monde qui ne pouvait dissimuler aucun de ses
défauts
à l’acuité de son regard, mois encore son âme à l
n Hugo. Toutes les variétés de notre tempérament, ses qualités et ses
défauts
, ont eu un poète, un penseur, un artiste pour les
n d’avec le défectueux, le médiocre d’avec le détestable ; changer un
défaut
en beauté ; rendre cette même beauté plus sensibl
mauvaises imitations qui rapprochent également les beautés & les
défauts
: mais pour nous donner une idée juste de la bonn
omiques anciens ne fournirait autant de traits que Molière ; il a ses
défauts
, j’en conviens ; par exemple, il n’est pas souven
hez la plupart des hommes il s’y mêle des qualités qui compensent les
défauts
, et qui souvent les cachent. Sganarelle n’est qu’
qu’un fort vilain homme. Un mot le résume : c’est l’égoïste. Tous ses
défauts
sont ceux de l’égoïsme. Il est entêté, systématiq
s posé pour ce portrait. Seulement, la plupart d’entre nous n’ont des
défauts
de Sganarelle que tout juste assez pour goûter la
respectueuse et attachée à ses parents, elle n’est pas dupe de leurs
défauts
; et quand il y va de son bonheur, elle sait le d
ut-être, par un scrupule d’honnête homme, voulant se montrer avec ses
défauts
à cette fille, à laquelle il avait fait voir ses
ât de quinze jours. Il y avoit peu de domestiques qu’il ne trouvât en
défaut
, et la vieille servante La Forest y étoit prise a
l’amour simple et complet, celui qu’inspire la bonne loi naturelle. A
défaut
de l’amour, il se contente du plaisir ; il y invi
toutes les qualités que sa profession exige et aussi quelques-uns des
défauts
qu’elle provoque. Il y trouva, cependant, dès ses
ité de notre nature, d’abord de ne pouvoir prendre notre parti de nos
défauts
, et aussi de déprécier ce qu’ils nous interdisent
urs sur le caractère de leur rôle, il semble faire la satire de leurs
défauts
. Ses ennemis profitaient naturellement, pour le p
e nés pour tous les personnages qu’ils représentent. Ils n’ont pas un
défaut
dont il ne profite quelquefois, et il rend origin
mais cachés avec soin par son amour-propre. Elle sent si bien que ses
défauts
lui feraient tort dans l’estime des autres, qu’on
i pour Molière un juge sans faiblesse ; je saurai voir et montrer ses
défauts
; mais je ne veux fermer ni mes yeux ni ma bouche
’est l’avarice sous toutes ses formes, et Molière n’est pas exempt du
défaut
capital des tragiques français ; il met sur la sc
siennes103 ? Enfin la pièce est équivoque, et c’est là un bien grave
défaut
. Jusqu’où Alceste a-t-il raison ? jusqu’où a-t-il
s maîtres n’ont pas toujours su éviter. Shakespeare est tombé dans ce
défaut
. Dans La Méchante femme mise à la raison le prolo
la profondeur de l’art, avec cette légèreté superficielle qui est un
défaut
du caractère et de l’esprit109. Au moment où les
é à en bannir le mauvais goût, & à corriger le ridicule & les
défauts
des hommes dans chaque état. Les personnes qui te
Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit rien, Si parmi leurs
défauts
, que tu peignis si bien, Tu les avois repris de
ans lequel les beautés de l’original sont citées avec soin, & les
défauts
adroitement écartés. Apprenons à voir par nos yeu
t paroîtra d’abord le même ; mais on ne tardera pas à sentir tous les
défauts
de l’original, & le mérite qu’il y a à les av
u Poëte latin. On y voit à-peu-près les mêmes beautés & les mêmes
défauts
, avec cette différence que les acteurs n’y ont pa
ire aux hommes & de les rendre meilleurs en leur présentant leurs
défauts
, il est bien plus flatteur de rendre ce double se
. Molière a, comme on le voit, pris du canevas italien jusqu’à ses
défauts
: même invraisemblance dans ce prétendu mariage,
quoi qu’en dise Voltaire, l’ouvrage en a même deux, et c’est un grand
défaut
. L’exposition. — Mauvaise ; il faut en convenir,
nd la marche la contexture du drame assez fatigantes. Malgré tous ses
défauts
, la pièce, généralement bien écrite22, présentant
plaudi, comme nombre d’acteurs qui ont accoutumé la multitude à leurs
défauts
, mais les jeunes acteurs se trompent, s’égarent,
pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le titre. — Il a le
défaut
rare de promettre moins que la pièce ne tient. L
a pièce de Molière. Des imitations. Nous n’avons pas cité les
défauts
de la pièce espagnole, parce que Molière les a to
u’il a puisé son sujet. Ce monstre dramatique, plein de beautés et de
défauts
, est, comme nous l’avons dit, de Tirso de Molina
squ’il leur en donna qui, tirés du grec, marquaient le caractère, les
défauts
, les ridicules de chacune de ses victimes. Le sat
u Tartuffe ; et nos jeunes auteurs, loin de s’étudier à y trouver des
défauts
, devraient tous dire avec Piron : « Si cet ouvrag
leur ridicule, ni leur fille, de sa conduite trop leste ; et c’est un
défaut
: mais le mari est réduit à s’aller jeter dans la
, à moins qu’il ne soit déjà célèbre. L’exposition. — Elle n’a qu’un
défaut
, l’intrigante Nérine y est annoncée avec plus de
n pour elle, il y pousse la délicatesse jusqu’au point d’embellir les
défauts
de son visage, et d’excuser les torts de son espr
r la passion de Phédria et celle d’Antiphon. Molière n’a pas évité ce
défaut
, nous dirons même que dans la pièce française les
pu montrer les acteurs de tous les théâtres affectant de prendre les
défauts
de leurs prédécesseurs, même ceux auxquels la nat
étude, Mais Molière, à ta gloire il ne manquerait rien, Si parmi les
défauts
que tu peignis si bien, Tu les avais repris de le
amour que je sens pour cette jeune veuve, Ne ferme point mes yeux aux
défauts
qu’on lui treuve. Grandval a substitué au secon
lui treuve. Grandval a substitué au second vers celui-ci : De ses
défauts
en moi n’affaiblit pas la preuve. Le changement
vaux et dans Molière, lorsque la mémoire des comédiens était [220] en
défaut
, ils avaient la plus grande peine à remplacer le
a rende méprisable ; et marque-moi bien, pour m’en dégoûter, tous les
défauts
que tu peux voir en elle. » Rebuté comme son maît
donc un portrait tout en laid ; mais à mesure que Covielle relève les
défauts
de Lucile, Cléonte les transforme en traits de be
semble bien qu’à la ville Armande tenait le rôle comme au théâtre. A
défaut
d’autres preuves, son goût de la parure et ses re
t dire, m’ôtent l’usage de la réflexion. Je n’ai plus d’yeux pour ses
défauts
, il m’en reste seulement pour ce qu’elle a d’aima
é. Molière en convenait, mais en ajoutant : « Je suis accoutumé à ses
défauts
, et il faudrait que je prisse trop sur moi pour m
fanfarons que pervers, plus amusants que dangereux, ils étalent leurs
défauts
ou leurs vices aux regards du public avec une sor
urs idées valent beaucoup mieux que leurs passions. Rien ne leur fait
défaut
du côté de l’esprit. Pénétrés de la conscience de
mouche de la personne humaine contre leur majesté. Ici Molière est en
défaut
. L’Art, la Morale, l’Ordre social, la Religion, l
e, le libre développement de la personnalité de l’homme. Toutefois, à
défaut
d’une contradiction essentielle, il doit toujours
la rhétorique. Aussi ce genre de discours se rapproche-t-il plus des
défauts
que l’on blâme dans les pièces de Sénèque, qu’il
ir par les beautés de la derniere piece, au point de ne pas y voir un
défaut
essentiel. Les portraits d’Arlequin & de Celi
ar l’événement ; son quatrième acte m’aurait fait passer sur bien des
défauts
. Ainsi lorsque j’ai dit que Baron était celui des
x, par hémistiche, et qui font perdre la moitié de ce qu’ils disent :
Défaut
qui s’est glissé au Théâtre depuis quelques année
r aurait voulu l’impossible ; ç’aurait été sans raison tomber dans le
défaut
qu’il me reproche un moment après. Je n’ai pas,
i tenir compte de quelques bonnes qualités qui se seront mêlées à ses
défauts
. Ainsi l’avare au compte de la comédie, est égale
galant homme. « Les faux honnêtes gens sont ceux qui déguisent leurs
défauts
aux autres. Les vrais honnêtes gens sont ceux qui
achée à son œuvre, puisse faire son profit. — Entre l’ignorance et le
défaut
d’esprit, il y a encore ce danger : le trop d’esp
un personnage connu, ne manquoient pas d’étaler ses travers & ses
défauts
, ce qu’ils ne pouvoient faire encore sans tracer
linte à Alceste, et dont Alceste dit à son tour : J’ai beau voir ses
défauts
et j’ai beau l’en blâmer, En dépit qu’on en ait e
ingénieuse et impitoyable punition. Malheureusement le cœur lui fait
défaut
; l’égoïsme de la coquetterie et les adulations d
Anciens & des Modernes ; réfléchissons sur leur beauté, sur leurs
défauts
: & pour mettre quelque ordre dans notre marc
surprise, ou tirer de grands mouchoirs, le tableau aura toujours les
défauts
de la situation qu’il peindra. Puisque nous avons
protection de Louis XIV, souvent éclairée et délicate, ne lui fit pas
défaut
. En plus d’une occasion, elle fut nnon seulement
primer, m’ôtent l’usage de la réflexion; je n’ai plus d’yeux pour ses
défauts
, il m’en reste seulement pour ce qu’elle a d’aima
e, Et dans l’objet aimé, tout leur devient aimable ; Ils comptent les
défauts
pour des perfections, Et savent y donner de favor
eur. C’est ainsi qu’un amant dont l’ardeur est extrême Aime jusqu’aux
défauts
des personnes qu’il aime. Ce morceau a bien de l
préoccupations de la vie élégante. Mais si tous les contrepoids font
défaut
, si la vie de société s’empare de l’homme tout en
ite froid, qui se possède, et dont aucun sentiment trop vif ne met en
défaut
la prudence. Il n’est point rare que les personna
ramatique, est relatif à la France, pèche par là ; mais nulle part ce
défaut
n’est plus saillant que dans les pages singulière
qu’il a été mis là uniquement pour avertir Alceste et le réfuter. Ce
défaut
, toutefois, est plus apparent que réel ; c’est l’
pas dire trop de mal de cette critique à la loupe des beautés et des
défauts
d’un grand style. Si elle évite l’écueil de la pé
ice d’un miroir qui reflète, en les altérant d’une façon bizarre, nos
défauts
, nos travers, notre sottise et nos ridicules prét
re modifiée, ce nous semble, en quelques points essentiels: elle a le
défaut
dont elle accuse la tragédie française; elle est
ence du bien et du mal, l’ignorance parfaite n’existe plus ici-bas. À
défaut
d’autre maître, la nature parlera. Or, comme ses
juste et dit vrai. Chez les hommes la pédanterie n’est souvent qu’un
défaut
extérieur, qu’il serait, semble-t-il, facile d’en
portée morale du rôle de Cléante. Molière l’a senti, et a corrigé ce
défaut
en mettant les portraits de ces deux prudes intri
ci en respectant l’autre ; ce droit, il est vrai, n’avait jamais fait
défaut
à la liberté profane, car les romans et les poési
de et dans le commerce de l’amitié que l’on prête à rire par certains
défauts
superficiels dont on est le premier à plaisanter
emier à plaisanter soi-même, quand on est de bonne humeur ? Et si ces
défauts
ne sont que l’excès des bonnes qualités, ne sera-
e rire, comme si l’on vous attribuait par là même les qualités de vos
défauts
? Si Rousseau se montre si susceptible pour les r
ans Oronte, il y a moins de légèreté et moins de frivolité ; mais ces
défauts
sont remplacés par la ridicule prétention d’un po
ce n’est pas encore dénouée. D’ailleurs, ce seroit vouloir excuser un
défaut
par un autre plus grand, puisqu’un dénouement est
rope est un grand esprit et un grand cœur, dont on respecte jusqu’aux
défauts
, et dont les faiblesses ne déparent point un beau
sonnages, qui ne sont là que pour faire valoir ses qualités comme ses
défauts
, Célimène par sa coquetterie, Arsinoé par sa prud
’amour que je sens pour cette jeune veuve Ne ferme point mes yeux aux
défauts
qu’on lui treuve ; Et je suis, quelque ardeur qu’
confesse mon faible ; elle a l’art de me plaire ; J’ai beau voir ses
défauts
, et j’ai beau l’en blâmer, En dépit qu’on en ait,
e homme est ici hors de cause, et ne relève de la comédie que par ses
défauts
, par ses exigences insociables, par ses saillies
ril d’une situation fausse. Ajoutons que, s’il ferme les yeux sur les
défauts
des indifférents, il ne se tait pas sur ceux d’Al
la gagner tout seul. Ce n’est pas que le bon sens et le cœur fassent
défaut
à ce père qui aime sa fille et désire son bonheur
cun dommage. En effet, si Henriette n’a pu fermer les yeux devant les
défauts
qui l’entourent et dont elle est la première vict
tteur. S’il eût été amoureux de quelque dame qui eût eu quelque léger
défaut
, ou en sa beauté, ou en son esprit, ou en son hon
ccommodante n’est qu’une des formes de la bonté. 80. Un sonnet sans
défaut
vaut seul un long poème. (Boileau.) 81. Voir nos
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