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1 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
sur une erreur de Jal (article Poisson de son Dictionnaire), a fait mourir Mlle Poisson à l’âge de quatre-vingt-dix ans. L’a
ie du grand homme écrite par Voltaire lui-même. La Serre de Langlade mourut trois mois avant Mlle Poisson, à l’âge de quatre-
, sa toux redoubla avec tant de violence qu’il se rompit une veiné et mourut le même jour. On eut toutes les peines du monde à
’il rit ou s’il dort : La maladie imaginaire Ne peut pas l’avoir fait mourir  ; C’est un tour qu’il joue à plaisir, Car il aimo
e héros sans avoir jamais voulu mettre de perruque. Cet habile acteur mourut par le trop d’ardeur qu’il avoit dans la représen
l’Hôtel de Bourgogne69. Montfleury 70, comédien de la troupe royale, mourut en 1667. La tragédie de la Mort d’Asdrubal est de
avoit joué Oreste d’original, dans l’Andromaque de Racine73, et qu’il mourut même dans le temps que cette pièce commençoit à ê
d’impression à sa férocité sur les âmes tendres. » On prétend qu’il mourut par les efforts violens qu’il fit enjouant Oreste
1 à l’occasion des deux troupes, elle eut mille livres de pension, et mourût le 1er mars 1683. Le Noir de la Torillière 88, p
rice à l’Hôtel de Guenegaud en 1684160. II y avoit une troisième sœur morte avant 1673161. N. Béjar, oncle162 des Dlles Bejar
ns, et ils les faisoient valoir par la représentation. » N. Valiote, morte avant 1673164, mere de la Dlle Chanvalon, bonne a
ée depuis 18 ans165. N. Duclos166, excellente dans le grand tragique, morte vers l’an 1673, mère ou grand’-mère de l’actrice
ente actrice, grande et bien Faite, d’une représentation avantageuse, morte en Allemagne, dans la troupe des comédiens du duc
, comédie, 1669 ; Le Campagnard dupé, comédie, 1671. Beauchateau175, morte à Versailles le 6 janvier 1683. C’étoit la plus a
et intérêts. Fait au Conseil d’État du Roy, etc. N. Des Œillets 220, morte vers l’an 1673. C’étoit une très excellente et mê
rit-Madeleine, lui survécut, se maria avec M. Rachel de Montalant, et mourut à Argenteuil en 1723, un demi-siècle après son pè
embre 1651, à cinquante-sept ans. 69. Scaramouche (Tiberio Fiorelli) mourut à Paris le 7 décembre 1694. — Cette parole est at
première fois à l’Hôtel de Bourgogne, le 10 novembre 1667. Montfleury mourut un mois plus tard, le 11 décembre. 74. A M. le c
Baptiste Aubry des Carrières. 160. Erreur de date ; Geneviève Béjart mourut le 3 juillet 1675. 161. Madeleine, morte le 17 f
de date ; Geneviève Béjart mourut le 3 juillet 1675. 161. Madeleine, morte le 17 février 1672, un an jour pour jour avant Mo
, Louis Béjart, le cadet, dit l’Éguisé, se retira le 16 avril 1670 et mourut en 1678, le 29 septembre (Registres de La Grange
sait de 1633 à 1636 ; elle joua ensuite en province. On croit qu’elle mourut en Hollande. 164. Elisabeth Dispanet, mariée à
164. Elisabeth Dispanet, mariée à Jean Valliot le 22 septembre 1620, mourut en 1672. 165. Mlle de Chanvallon (Judith Chabot
ine Du Boccage qui appartint à la Comédie-Française de 1702 à 1723 et mourut à Strasbourg le 21 janvier 1757. 168. Un Paul Bi
a Comédie-Française le 3o mars 1688, se retira le 25 novembre 1701 et mourut à Fontainebleau le 10 décembre 1718. Palaprat fai
aul Lacroix l’a confondu avec D. C. de Nanteuil. 172. René Berthelot mourut le 4 novembre 1664. Il avait épousé à Lyon, en 16
nne du Pougeait, femme de François Chastellet, sieur de Beauchasteau, mourut subitement à Versailles, le 4 février 1683. (Moli
à Ferrière-en-Brie. 184. A la mort de ce dernier, en 1664. 185. Il mourut le 9 mars 1676. 186. Pierre Le Messier mourut en
ier, en 1664. 185. Il mourut le 9 mars 1676. 186. Pierre Le Messier mourut en janvier 1670. 187. En 1643. 188. Sieur du Bi
Saintes, puis au couvent de Rozoy-en-Brie, et revint à Paris où elle mourut en 1709. 190. Où l’on entretenait, « depuis plus
, femme de Nicolas de Vis ou Vintz, sieur des Œillets, née vers 1621, morte le 25 octobre 1670. 221. C’est-à-dire alternativ
ne année seulement. 222. Il y avait seize mois que des Œillets était morte , actrice de l’Hôtel de Bourgogne, quand l’ Ariane
trèrent à l’Hôtel de Bourgogne qu’en avril 1679 et que La Thorillière mourut le 27 juillet de l’année suivante. Cette distribu
Claude Deschamps, sieur de Villiers, dit Philippin, était Normand. Il mourut aux Châteliers-Notre-Dame, près de Chartres, le 2
2 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
faire que la pauvreté soit apaisée, heureuse, et que le pauvre puisse mourir en paix. Après les riches, que dites-vous de nos
s nous devons le tribut à la mort ! Tôt ou tard, il faut que le poète meure . À plus forte raison faut-il nécessairement que l
nstrument, indocile aux plus habiles… elle passe, elle s’efface, elle meurt . La langue que je parle est déjà loin de moi !
nières trahisons de leur esprit. Elle avait vu à ses pieds, naître et mourir tant de poèmes fameux dont le nom ne s’était cons
itées sous ma gloire… des êtres qui ont vécu par moi, de par moi, qui mourront avant moi ! Que me reprochez-vous, enfin ? de n’ê
vaincus, en public. Elle était comme cet empereur romain qui voulait mourir debout, et dans l’exercice entier de sa majesté.
l’admirable vieillard, le jour même de sa mort, j’ai vécu heureux, je meurs content, et c’est sur vous que je pleure. » La du
toutes choses, même à une perte irréparable ; celui-là qui se sentait mourir , le soir même où il perdait sa comédienne bien-ai
élégies mêlées d’épigrammes. Alors — ô miracle sauveur ! — quand fut morte , en priant Dieu, cette société qui causait si bie
club des femmes ! heureusement pour elle que mademoiselle Mars était morte  ! Le club des femmes ! Passez, à mademoiselle Ma
un lugubre objet de pitié et de dégoût. Si bien qu’elle se cacha pour mourir . Elle tenait à sa gloire, et jusqu’au bout de sa
pprit en même temps la maladie et la mort de mademoiselle Mars ! Elle mourut le 24 mars 1847, et le lendemain de ce jour de de
es qui viendront, plus tard, de cette artiste inimitable, qu’elle est morte un jour du mois printanier dont elle portait le n
ir de la glorieuse et éphémère rentrée de son Empereur. Elle est donc morte tout à fait, cette personne illustre qui était mo
r. Elle est donc morte tout à fait, cette personne illustre qui était morte une première fois, quand elle nous fit ses dernie
’avait pétillé de plus de vivacité et de malice. — Elle tenait à bien mourir , elle tenait à être pleurée, elle s’attachait, de
âtre, en effet c’était quitter la vie. Mademoiselle Mars aimait, à en mourir de joie, les enivrements de la foule, les applaud
qui n’a perdu que le trône de France ; plaignez l’autre, hélas ! elle meurt de regret et de désespoir, parce que la cornette
aintenant, disent les messieurs et les dames, qu’elle vive ou qu’elle meure , ou bien que cette âme en peine remplisse son sil
vieux poète, c’est un vieux musicien, c’est un vieux comédien qui se meurt  ! » au contraire, elle s’arrête avec respect dans
sée, elle aussi, aux oublis de la foule indifférente, lorsqu’avant de mourir à son tour, elle se met à ressusciter cette gloir
est mort. Est-ce vivre, en effet, que de passer à l’état d’une langue morte , d’un chef-d’œuvre oublié, d’une curiosité littér
s, les chanteurs, les belles personnes, race passagère et périssable, meurent deux fois Ainsi meurent les grands orateurs et le
lles personnes, race passagère et périssable, meurent deux fois Ainsi meurent les grands orateurs et les plus habiles écrivains
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. Des Comédies Allégoriques. » pp. 75-90
L’Ame impatiente vole vers son bien-aimé, & veut le dissuader de mourir . Les pécheurs interrompent cette conversation, &a
incipal juge. On accuse devant elle Banquet & Souper d’avoir fait mourir quatre personnes à force de manger. Expérience co
r. Marille. Elle doit prendre encore un lavement ce soir : On la fera mourir . Badzin. On la fera mourir.Je pense qu’on y tâch
e encore un lavement ce soir : On la fera mourir. Badzin. On la fera mourir .Je pense qu’on y tâche : Pourquoi ce lavement ? o
je crois ; j’en userai. Ah ! ah ! ce vin d’Espagne. Attend-on que je meure  ? Marille. On vous le va querir, Madame, tout-à-l
ament. Toute ces Médecins ly sont bourreaux, mon Dame ; Il vont fair mourir vous. Dieu prenne vous votre ame. La Hollande r
lence. Scene VIII. Le Médecin Anglois, à la Hollande. Il vont fair mourir vous. Dieu prenne vous votre ame. Vos transports
4 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
honneurs qu’il avait mérités de son vivant : on assure que lorsqu’il mourut il était sur le point de quitter le théâtre pour
et Molière, partie de l’illustre théâtre. Cet acteur était bègue ; il mourut en 1659. Béjart parait être l’auteur d’un ouvrage
u’il fit en représentant le principal rôle de sa comédie de Timon, et mourut des suites de cet accident vers la fin de février
s d’hommes travestis en femmes. Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le 29 décembre 1709. C’était un fort honnête homm
ajoute qu’il était grand bretteur, et que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en 1676 ; il avait épousé Catherine Le Clerc, qui
devant le roi et toute la cour, où Gros-René fit un rôle9. Gros-René mourut le 4 novembre 1664 ; sa mort affligea tellement s
on curé, qui le regardait comme un de ses meilleurs paroissiens. Il y mourut , et le curé en fut si touché, qu’il n’eut pas le
, nommée Angélique, qui jouait en 1666, dans la troupe du Dauphin, et mourut en 1670 ; la seconde, Marie-Angélique Gassaud, ép
n 1670 ; la seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756, à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de
’Hôtel de Bourgogne. Du Croisy quitta la Comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695 âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans.
u’il aimait beaucoup ; l’ayant mariée à un homme qui la trompa, il en mourut de chagrin, le 1er mars 1692, et fut enterré à Sa
. Il se retira avec une pension de mille livres, le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre 1700. De Visé parle ainsi
l’Hôtel de Bourgogne, où il joua vraisemblablement jusqu’en 1679. Il mourut du chagrin que lui causa le mariage de sa fille T
s en 1658. Madeleine Béjart remplissait les rôles de soubrettes. Elle mourut le 17 février 1672, un an avant Molière. Elle jou
oyal et de celle de Guénégaud ; mais elle n’y brilla pas beaucoup, et mourut au mois de juin 1675, après une maladie de trois
s. Retirée dans son ménage, elle y vécut d’une manière exemplaire, et mourut le 3 novembre 1700, rue de Touraine. Elle fut inh
ns différentes pièces qui y furent représentées. Mademoiselle Beauval mourut le lundi 20 du mois de mars 1720, âgée environ de
grets aux amateurs du théâtre et à ses camarades. Mademoiselle Duparc mourut le 11 décembre 1668. Voici de quelle façon Robine
énégaud, retirée avec une pension de mille livres, le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 février 1727. Mademoiselle La Grange
dames, voici la Baron ; et elles prenaient la fuite. Le père de Baron mourut d’un accident très singulier : il faisait le rôle
tte date, il n’aurait eu que soixante-seize ans et deux mois quand il mourut  ; mais on s’accordait généralement à lui donner s
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
t-il, j’ai fait des livres. — Soit, je vous en estime davantage. | Je mourois d’envie de me débarrasser du personnage : je marc
e fameuse, après avoir tiré mon horoscope. « Cet enfant, dit-elle, ne mourra ni par le poison, ni par le fer de l’ennemi ; il
t-elle, ne mourra ni par le poison, ni par le fer de l’ennemi ; il ne mourra ni de fluxion de poitrine, ni de pleurésie, ni de
Vous êtes de mes amis, me dit-il, aidez-moi un moment. — Moi ! que je meure si j’entends rien aux affaires : d’ailleurs, je s
ice, Que l’indiscrétion est un si fâcheux vice, Qu’il vaut bien mieux mourir de rage ou de regret, Que de vivre à la gêne avec
savois à quoi je devois recourir, Pour sortir d’une peine à me faire mourir  ; Lorsqu’un carosse fait de superbe maniere, Et c
ladies respecteront ses jours, mais qu’un causeur impertinent le fera mourir d’ennui. Il se garde bien de négliger l’endroit s
ments de sa jeunesse ne le laisserent pas jouir d’une longue vie ; il mourut à Rouen dans sa quarantieme année, le 22 Octobre
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
nt fait à son pere. Heureusement pour eux Enrique a confessé avant de mourir qu’il avoit fait insulter Don Sanche, & qu’il
ifférent, quand Orcame survient, les sépare, leur assure qu’Arnest ne mourra pas. Le Comte offre d’épouser Léonore : Don Pedre
ute nue. Défendons notre poste.... Arrête, ou je te tue. D. Félix. Tu mourras le premier. D. Pedre Tu mourras le premier.C’est
. Arrête, ou je te tue. D. Félix. Tu mourras le premier. D. Pedre Tu mourras le premier.C’est mon pere ! D. Félix. Tu mourras
emier. D. Pedre Tu mourras le premier.C’est mon pere ! D. Félix. Tu mourras le premier. C’est mon pere !Est-ce toi, Don Pedre
re. O que non sans sujet ce discours me fait peur ! D. Félix. Il faut mourir , Don Pedre, ou venger mon honneur. Mais, mon fils
amp; mon frere ! Le Comte. Don Pedre, à vos côtés je viens vaincre ou mourir . Léonore. Cher Comte, à tes côtés je suis prête à
n frere... D. Alonse. Tous ces discours sont superflus, il faut qu’il meure . D. Carlos. Arrêtez, vous dis-je, mon frere. Je n
7 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
janvier 1682, avec demi-part, obtint part entière le 19 juin 1684, et mourut le 28 mars 1685. Tous ces faits sont constants, c
e par les efforts qu’il fit pour en bien rendre le principal rôle, et mourut des suites de cet accident. Les premiers éditeurs
t en province avec distinction, fut conservé à la réunion de 1680, et mourut , sans avoir quitté le théâtre, le 1er mars 1692.
coup ; et, l’ayant mariée à un homme qui la rendit malheureuse, il en mourut de chagrin. [Du Croisy] Philibert Gassaud,
itta le théâtre le 18 avril 1689, avec la pension de 1 000 francs, et mourut vers la fin de 1695. L’une de ses deux filles, Ma
d, femme de Paul Poisson, entra dans la troupe de Molière en 1670, et mourut en 1756, à 98 ans. Il peut donc encore exister de
ne, où il remplaça Lafleur, et y joua jusqu’en 1679. Conjecture qu’il mourut , en cette année, du chagrin que lui causa le mari
actère soutenu, mais moins développé dans Le Cocu imaginaire. Du Parc mourut le 4 novembre 1664 ; et sa mort affligea tellemen
pe formée de la réunion de celles du Marais et du Palais-Royal ; il y mourut le 9 mars 1676. Ce fat de Brie qui joua d’origina
ition ; mais ils n’en profitèrent pas longtemps. Mademoiselle du Parc mourut le 11 décembre 1668. Cette actrice était belle, a
quelque petite erreur d’une vingtaine d’années. Mademoiselle de Brie mourut le 19 novembre 1706. [Mademoiselle du Croisy]
ra du théâtre le 14 octobre 1694, avec la pension de 1 000 francs, et mourut le 3 novembre 1700. Une grande partie des détails
lut que la noce se fît dans sa maison de campagne de Ruel. Montfleury mourut en décembre 1667, pendant le cours des représenta
roche] Noël le Breton, sieur de Hauteroche, né à Paris en 1617, y mourut en 1707, âgé de 90 ans. Fils d’un huissier au par
On croit qu’il joua d’original le rôle d’Alcippe dans Le Menteur. Il mourut en 1665. [Mademoiselle Beauchâteau] Madele
avec une pension de 1 000 francs, et se retira à Versailles, où elle mourut le 6 janvier 1683. Notice historique et litt
8 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [80, p. 121-126] »
fort, M’aime d’une ardeur fidèle ; Si ses yeux voulaient ma mort, Je mourrais content pour elle. Chimène. Myrtil, si digne d’en
rtil me puisse chérir, Avec toi je le confesse ; Je voudrais vivre et mourir . Tous deux ensemble. Ah ! Plus jamais aimons-nous
ourir. Tous deux ensemble. Ah ! Plus jamais aimons-nous, Et vivons et mourons en des liens si doux.273 Passons maintenant à l
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
nte tout ce qu’il souffre des rigueurs de Mylas, & proteste qu’il mourra s’il ne parvient pas à la toucher. Tyrse lui prom
uel a été le désespoir de Cloris & la résolution qu’il a prise de mourir  ; elle s’attendrit sur le sort de ce Berger, &
e Cahusac, Ecuyer, Secrétaire de Monseigneur le Comte de Clermont. Il mourut en 1759. 19. On voit dans l’ancien théâtre plusi
ment de Rouen, & de Marthe Corneille, sœur du grand Corneille. Il mourut à Paris le 9 Janvier 1757, à cent ans moins un mo
u ; ce qui lui fit dire : Je ne croyois pas faire tant de façons pour mourir . Toujours philosophe & en possession de toute
10 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
s qui affligèrent le parti honorable. En 1664, la comtesse de Grignan mourut , laissant deux enfants, dont il est plusieurs foi
-vingt-deux ans, succomba elle-même à sa douloureuse vieillesse. Elle mourut en 1665. Sa mort ne fut pas un grand événement. S
n 1678. Enfin, en 1683, il est fait gouverneur du duc de Chartres, et meurt l’année suivante dans cette place. Il résulte de
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. » pp. 420-425
fort, M’aime d’une ardeur fidelle : Si ses yeux vouloient ma mort, Je mourrois content pour elle. Climene. Mirtil, si digne d’en
l me puisse chérir, Avec toi, je le confesse, Je voudrois vivre & mourir . Tous deux ensemble.  Ah ! plus que jamais ai
deux ensemble.  Ah ! plus que jamais aimons-nous ; Et vivons & mourons en des liens si doux ! Tous les Acteurs de la P
12 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
ent fois celui qui dans le fond d’un bois... Moncade. Ah ! tu me fais mourir & mille & mille fois. Dans le bois de Vin
Pasquin apporte une lettre de Moncade ; il y confesse ses torts, il mourra s’il n’obtient un généreux pardon. Mariane est al
e de grace, & déchire le billet. Moncade vient lui-même jurer de mourir aux pieds de Mariane, si elle s’obstine à ne pas
ux vient s’offrir... Moncade. Que ne la puis-je voir innocente, & mourir  ! . . . . . . . . . Julie jure à Moncade de gar
eurs moyens pour l’en empêcher ; elle s’avise enfin de lui dire qu’il mourra subitement s’il ouvre la lettre : Pantalon, alarm
oque de lui : « Eh bien, lui dit-elle, ne vous disois-je pas que vous mourriez en ouvrant ce billet » ? Il continue & trouve
t où Simon, au lieu de menacer Dave du moulin, lui promet de le faire mourir sous le bâton, & veut être assommé s’il ne lu
’on veuille l’unir à Pamphile : il apperçoit son ami, lui avoue qu’il mourra de désespoir s’il n’obtient Philumene. Pamphile l
mourra de désespoir s’il n’obtient Philumene. Pamphile lui dit qu’il meurt au contraire s’il l’épouse. Ils projettent de rom
. Simon. A rien ! Dave. A rien !A rien du tout, ou qu’à l’instant je meure . Simon. Tu me semblois pensif, inquiet tout-à-l’h
13 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
prends qu’on récitait ses vers après sa mort, et qu’on l’avait laissé mourir de faim pendant sa vie. Mais je crois aussi qu’en
é. Il était adoré de ses camarades, quoiqu’il leur fit du bien; et il mourut presque sur le théâtre, pour n’avoir pas voulu le
un grand philosophe, et le premier des comiques de tous les siècles, mourut avant le temps, et obtint à peine la sépulture. I
pagnie littéraire qui lui décerne aujourd’hui un éloge, et son nom ne mourra jamais. S’il s’élevait parmi nous dans la suite u
14 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
e Montalant, mari et héritier de la fille de Molière, qui était allée mourir , comme on sait, à Argenteuil. J’exposerai bientôt
se retrouve avec sa raillerie de poète comique : Beauté, pour qui je meurs d’amour, Songez à soulager mes peines, Ou, du moi
nser vous-même, Vos gestes, vos regards, vos ris et vos discours Font mourir mille amants et naître mille amours. Mais, dans
veauté vous plaît, et ne se passe jour, Que vous ne fassiez naître ou mourir quelque amour. Vous êtes sans arrêt, faible, vain
t transporté d’amour ; Qu’avec ma liberté je perde aussi le jour l Je mourrai glorieux, si Bélise incrédule Peut croire que je
le jour l Je mourrai glorieux, si Bélise incrédule Peut croire que je meurs comme un autre Catulle. Si Armande Béjart était
pmeslé, et les servantes avec le vif éclat de rire d’Augustine Brohan mourut à cinquante-cinq ans, le 17 février 1672, dans sa
la comédie en cette dernière année : le 17 février, Madeleine Béjart meurt sans pouvoir dire adieu à Molière ni à sa fille A
entant toujours. » Ce dernier codicille est du 14 février, Madeleine mourut le 17 février. On retrouve en l’étude de Me Émile
la porte ! Il est plein d’amour et de foi. Que faites-vous, êtes-vous morte  ? Ou ne l’êtes-vous que pour moi ? Si vous n’êtes
meure Demi-mort, tremblant et jaloux ? Hélas ! s’il vous plaît que je meure Que ce soit au moins devant vous ! Ah ! vous ouvr
s en présence de son mari. C’est que Gros-René n’y allait pas de main morte  : s’il fût tombé sur Molière dans un transport de
u jour de sa rencontre avec Molière. Selon ces historiens, quand elle mourut , le 13 décembre 1668, elle n’avait que vingt-cinq
ouble par l’effort qu’on se fait pour l’éteindre. Mlle Du Parc était morte depuis quatre ans, lorsque Corneille faisait repr
d’ailleurs il fallait que Mlle Du Parc se dépêchât puisqu’elle devait mourir . Celle qui s’était faite comédienne pour Molière
de Molière, et la mit dans celle de l’hôtel de Bourgogne… La Du Parc mourut bientôt en couches. Elle était veuve. » Mais elle
roisième jour de juillet mil six cent soixante-quinze (1675) MmeAubry mourut  ; l’on ne joua point le vendredi cinquième. » Mor
(1675) MmeAubry mourut ; l’on ne joua point le vendredi cinquième. » Morte le mercredi 3, Geneviève Béjart fut inhumée le le
la Comédie, fut longtemps à la porte pour recevoir les billets. Elle mourut d’un coup à la tête, et, par son testament, elle
troupe parlait encore de lui en 1756 ? En effet, Mlle Du Croisy, qui mourut presque centenaire à Saint-Germain, jouait en 167
sans s’indigner des menaces d’un grand seigneur qui parle de faire «  mourir sous le bâton » l’auteur du chef-d’œuvre des chef
er, qui le sut et s’emporta jusqu’à faire menacer Molière de le faire mourir sous le bâton. — Enfin le Roi voulut voir Le Misa
la contrainte le tue ; Et, si par la pitié vous n’êtes combattue, Je meurs et de la feinte et de la vérité. Je crois bien p
bien. Mais avait-il le temps de vivre celui qui n’eut pas le temps de mourir  ? Pourquoi s’appelaient-elles Laforest toutes les
a Thorillière lui-même qui s’indigna de ce mariage. On dit qu’il « en mourut  » peu de temps après. Selon La Grange, « le samed
t-Bour-bon, l’autre en visite, un mardi gras. Pendant que son père se meurt , il joue le Tartuffe chez M. de Luxembourg ; on l
ers, et Le Malade imaginaire bénéficiera ainsi de la mort de Molière. Morte tua vivens. » Voilà qui est dit. 17. P. 269 vº
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
rmes de la Princesse, & l’abandonnent dans la forêt sans la faire mourir . Témoin ce sublime couplet : Se regardant, l’un
Qu’allons-nous faire ? Quoi ! un massacre ! Je n’en ferai rien. Faire mourir notre belle maîtresse, Peut-être un jour elle nou
ne le pas regarder, parcequ’il n’auroit jamais le courage de la faire mourir  : il finit par tuer un mouton dont il porte le cœ
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
Roi me le donna, & je formai le dessein de m’en servir pour faire mourir mon rival ; j’enfermai le chien dans une chambre
n épouse ; il est le gendre du Roi, il n’est pas à propos de le faire mourir en public : persuadé cependant que pour empêcher
s Mandarins de lettres, tromperoit le Roi, & le porteroit à faire mourir toute notre maison, au nombre de trois cents pers
faisant réflexion que vous êtes mon gendre, je ne veux pas vous faire mourir en public. Voilà trois présents que je vous envoi
se tue avec le poignard. La Princesse. Ah ! mon époux, vous me faites mourir de douleur. l’Envoyé. Tchao-so s’est coupé la go
es amis Lælius & Scipion l’Africain. On a de lui six comédies. Il mourut sur mer à l’âge de trente-cinq ans. 21. L’abbé D
17 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
n lui un peu plus de vie. Il voulait demeurer à son poste, quitte à y mourir , et, pour prolonger le reste d’existence qu’il co
ères parties de plaisir de Molière, la dernière sans doute. Il allait mourir bientôt. Le vendredi 17 février 1673, jour où dev
n qu’il me faut quitter la partie ; mais qu’un homme souffre avant de mourir  ! » Il était affreusement pâle, et Armande Béjart
a demande. » Depuis trente-cinq ans, l’intérieur de l’appartement où mourut Molière n’a pas dû beaucoup changer. On a appliqu
i-ci dut sans doute laisser à sa veuve. La veuve de La Grange, qui ne mourut qu’en 1727, vendit sa bibliothèque et les manuscr
n moquait peut-être avec Guiche ou Lauzun. Armande Béjart, qui laissa mourir Molière entre les mains de M. Couthon, gentilhomm
t pour bâtir sa maison de la butte Saint-Roch. Cette maison, où Lulli mourut en 1773, porte le nº 45 de la rue Neuve-des-Petit
forment avec les dilutions de pensées dont se nourrit, ou plutôt dont meurt notre pays ! Pour faire cesser l’anarchie intelle
uvre homme ! » Cependant quelqu’un, pris de pitié, s’écrie : S’il en mourait  ? — Et un autre aussitôt : Qu’importe ! il meur
écrie : S’il en mourait ? — Et un autre aussitôt : Qu’importe ! il meurt bien d’autres fous ! Ainsi, on offre à Molière l
que Corneille a été pour le tragique ; mais Corneille a vu, avant de mourir , un jeune rival lui disputer la première place, e
z piètre moraliste, ce Jaulnay, qui devait plus tard, lorsque Molière mourut , éditer le plus odieux quatrain et la plus infâme
tier », de ce maître maroufle qui a nom Molière, mais la maladie dont meurt , presque jour par jour, ce pauvre grand homme qui
es œuvres, dans sa femme, dans sa douleur, dans le mal mortel dont il mourait  ? Et cependant il n’en était ni plus amer, ni plu
a vie comme une barque sur un lac, et, après avoir vécu méconnus, ils meurent oubliés, demandant la grande consolation à l’éter
ns reproduire : « Cléante m’étant venu voir le lendemain que Molière mourut , nous témoignâmes le regret que nous avions de sa
commença de la sorte :   ORAISON FUNEBRE DE MOLIÈRE.   « Ma femme est morte , je la pleure ; si elle vivait, nous nous querell
paroles, pour les appliquer au sujet que nous traitons : Ma femme est morte , je la pleure ; si elle vivait, nous nous querell
us vivons ; cependant il vivra après nous ; il vivra toujours et nous mourrons  ; c’est le destin des grands hommes. » « Cette or
nelle, tout cela est compris entre ces deux chiffres. Lorsque Molière mourut , le cadavre du mort ne put, nous l’avons vu, péné
es alors ! Mais quelle apothéose aujourd’hui ! Aujourd’hui, celui qui mourait , dévoré de chagrins intimes en même temps que ron
neur de créer le personnage de Tartuffe. Quitta le théâtre en 1689 et mourut en 1695 ; son ami, le curé de Conflans-Sainte-Hon
aînée des trois filles de Joseph Béjart. — Parisienne, née en 1618 et morte en 1672, un an avant Molière. Jouait Marinette da
e à Aubry, auteur de Démétrius. Née en 1624, elle survécut à Molière ( morte en 1675). Elle ne se distingua que rarement, mais
s d’une façon admirable et les applaudissements ne tarissaient pas . Mourut en 1706. Elle jouait aussi Mariane dans L’Avare e
oiselle), la plus jeune des filles de Joseph Béjart. — Née vers 1643, morte le 30 novembre 1700. Elle ne joua, sans doute, la
légèretés coupables de sa jeunesse. L’enfant qu’elle eut de ce Guérin mourut comme ceux qu’elle avait eus de Molière. La fille
et de Montalant qui l’épousa et vécut avec elle à Argenteuil, où elle mourut le 23 mai 1723. Marotte (mademoiselle), dite aus
s, élevée par une blanchisseuse, mariée à Beauval, applaudie à Paris, morte à soixante-treize ans, après avoir eu vingt-quatr
” Ce mot désarma la colère du comte. » Il eût été triste que Molière mourût comme était mort Tabarin, assassiné par un gentil
nçais de M. Alph. Pagès.) 27. Ce petit Louis, né le 19 janvier 1664, mourut le 10 novembre de la même année. Molière eut enco
ne, née le 4 août 1665. Sa mère voulait en faire une religieuse. Elle mourut jeune. C’est elle qui répondait à quelqu’un qui l
contre ce curé et « les Faux Monnayeurs en dévotion ». Pierre Roulès mourut le 8 juillet 1666, deux ans et demi avant la repr
rler en public, il n’en perdait jamais l’occasion, jusque-là que s’il mourait quelque domestique de son théâtre, ce lui était u
18 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309
pauvre Arlequin fut brûlé en effigie sur la scène de Leipsig. Molière mourut le 17 février 1673, en jouant pour la quatrième f
théâtre en 1683 : elle vécut jusqu’à l’âge de quatre-vingt-dix ans et mourut en 1703, époque où Mademoiselle Belmont, femme de
roupe italienne avait perdu le fameux Dominique. Domenico Biancolelli mourut en 1688, à l’âge de quarante-huit ans, dans les c
pas plus de huit jours malade, et après avoir renoncé au théâtre, il mourut le lundi 2 août 1688, à six heures du soir, et fu
19 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
me, née dans une prison, d’un père protestant, qui se ruina au jeu et mourut à la Martinique, où elle fut laissée en gage à un
du respect, et se permettre les saillies d’un camarade74. Il vécut et mourut zélé protestant, sans que la conversion de Henri
odore, non, comme on l’a tant de fois répété, parce que sa mère était morte en lui donnant le jour, et qu’il était ægrè partu
pas voulu abjurer, il alla à la Martinique. Il s’y ruina au jeu. Il y mourut . Sa veuve revint en France, laissant en gage, com
1658, à l’âge de 23 ans, puisqu’il suppose que Scarron, mort en 1660, mourut 2 ans après son mariage. (Vie de Maintenon, p. 41
20 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [67, p. 103-104] »
l des armées du roi. Après s’être distingué en plusieurs occasion, il mourut le 7 juin 1673, laissant l’Olympe Mancini, nièce
dant de la maison de la reine, qu’il avait épousé le 21 février 1657, morte le 9 octobre 1708. (Moreri, 1759)
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. » pp. 411-419
e votre tante, comment se porte-t-elle ? M. de Pourceaugnac. Elle est morte depuis six mois. Eraste. Hélas ! la pauvre femme 
de Pourceaugnac. Nous avons aussi mon neveu le Chanoine, qui a pensé mourir de la petite vérole. Eraste. Quel dommage ç’auroi
s Malades qui se portent bien, piece dédiée à Mademoiselle. Chevalier mourut en 1674. 43. Elle parut en 1652, dix-sept ans av
22 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
s et des Romains, et des inscriptions toutes modernes dans une langue morte depuis deux mille ans. « Quoi, disait-il, des sym
qui plaignais Bourbon de combattre contre la France, au moment où tu mourais pour elle ! Certes il y a quelque chose dé beau d
place au cimetière. Les prières mêmes pour le repos du martyr, car il mourut martyr du devoir6, les prières mêmes durent être
. Et voilà cependant comme les choses vont en France. Si la maison où mourut Molière ne s’était trouvée en face du carrefour o
uisant jour par jour tout entière, Puis tout à coup se brise..… Ainsi mourut Molière ! Son âme remontait à peine vers les ci
situé non loin de la maison où naquit Molière, en face de celle où il mourut , dans le voisinage du théâtre sur lequel il fit j
s tout fut inutile : un homme, leur dit-il, souffre beaucoup avant de mourir . Je sens bien que je finis, mais il y a là cinqua
on Médecin par Force reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut « peu d’heures après, et passa des plaisanteries
23 (1871) Molière
eur, ne soyez point en peine. Je vous réponds que je ferai aussi bien mourir une personne qu’aucun médecin qui soit dans la vi
, le grand introducteur de l’Opéra3. Le cardinal était malade ; il se mourait , désespéré de quitter la vie, et d’abandonner ces
, excepté le roi jeune et superbe, et qui ne pensait pas que l’on pût mourir . Le roi se tenait debout, appuyé sur le dos de la
eur mieux fait pour le comprendre. En ce moment, le Mazarin venait de mourir , « raisonnablement chargé de la haine publique »,
as ou jamais, car au milieu de les grands éclats de rire cet homme se meurt . Heureuse foule ! pour ton demi petit écu, tu vas
uro ! sa poitrine se déchira tout à fait. On l’emporta du théâtre. Il mourut à dix heures du soir, entre deux sœurs de charité
n Médecin par force, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut , et passa des plaisanteries du théâtre, parmi les
24 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
n donna la quatriéme reprrsentation le 17. de Fevrier 1673, & (A) mourut le même jour. Voilà ce que j’ai tiré de sa Vie im
illet††† ce qu’il faut juger de son talent. [Remarques] (A) Et mourut le même jour.] Le principal personnage de la dern
liserent beaucoup sur cet incident. Mais la verité est que Moliere ne mourut pas de cette façon : il eut le tems, quoique fort
personne affligée, mais tout ce qu’on employa ne servit de rien : il mourut en fort peu d’heures, après avoit perdu tout son
25 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
er en public ; il n’en perdait jamais l’occasion ; jusque-là que s’il mourait quelque domestique48 de son théâtre, ce lui était
t vrai, dit N., nous ne pouvons jamais mieux prendre notre temps pour mourir bons amis, et dans la joie, et notre mort fera du
sans le nommer : son emportement ne finissait point. Le poète devait mourir sous le bâton, ou du moins en avoir tant de coups
t point voulu être médecin de l’empereur lui-même, parce que quand il meurt on enterre aussi le médecin avec lui. A la fin, n
, cet oncle furieux lui donna un coup de couteau, dont pourtant il ne mourut pas : mais on fit enfermer ce fou à Charenton, d’
Mais, ajouta-t-il en réfléchissant, qu’un homme souffre avant que de mourir  ! Cependant je sens bien que je finis. » La Moliè
ce que Corneille a été pour le tragique. Mais Corneille a vu avant de mourir un jeune rival lui disputer la première place, et
, et qui n’a pu jouer que dans l’Etourdi et le Dépit amoureux, car il mourut en 1659, avant la première représentation des Pré
u’il fit en représentant le principal rôle de sa comédie de Timon, et mourut de cet accident vers la fin du mois de février 16
ce premier était en possession. Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le 29 décembre 1709. C’était un fort honnête homm
ajoute qu’il était grand bretteur, et que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en 1676. (Frères Parfait, tome XII, p. 204.) D
rt de plusieurs témoins, Valent mieux séparés que joints. Gros-René mourut le 4 novembre 1664 ; sa mort affligea tellement s
on curé, qui le regardait comme un de ses meilleurs paroissiens. Il y mourut , et le curé en fut si fort touché, qu’il n’eut pa
ique, âgée de cinq ans, en 1666, jouait dans la troupe du Dauphin, et mourut en vingt-quatre heures, au mois de février 1670.
er 1670. La seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756, à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de
ans-Sainte-Honorine. Du Croisy quitta la comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695, âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans
istingua dans cette troupe ; il fut de celle de Guénégaud en 1673. Il mourut le samedi 1er mars 1692, à sept heures et demie d
u’il aimait beaucoup ; l’ayant mariée à un homme qui la trompa, il en mourut de chagrin. Il fut enterré à Saint-André-des-Arcs
1673, se retira avec une pension de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre 1700. M. de Visé, en anno
l’Hôtel de Bourgogne, où il joua vraisemblablement jusqu’en 1679. Il mourut du chagrin que lui causa le mariage de sa fille T
actrice dans la comédie était celui des soubrettes. Madeleine Béjart mourut en février 1672, un an avant Molière. Mademois
al et de celle de Guénégaud ; mais elle n’y brilla pas beaucoup. Elle mourut au mois de juin 1675, après une maladie de trois
etirée dans son ménage, elle y vécut avec une conduite exemplaire, et mourut le 3 novembre 1700, rue de Touraine. Elle fut inh
ns différentes pièces qui y furent représentées. Mademoiselle Beauval mourut le lundi 20 du mois de mars 1720, âgée environ de
mateurs du théâtre, mais aussi de ses camarades. Mademoiselle du Parc mourut le 11 décembre 1668. Voici de quelle façon Robine
uénégaud, retirée avec une pension de mille livres le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 février 1727. Mademoiselle La Grange
qu’il ressemblait à Bellerose, qui avait l’air trop fade. Cet acteur mourut en 1670. Frères Parfait, tome V.) 27. C’est-à-di
jets propres à la scène ; depuis il a écrit contre les spectacles. Il mourut à Pézenas le 21 février 1666. Son ouvrage est int
de remplacer ; et on lit dans les Mémoires de Segrais, « que Sarrasin mourut à l’âge de quarante-trois ans, d’une fièvre chaud
s-Guillaume, Garguille, et Turlupin, et la perte de Bruscambille, qui mourut dans la même année. 55. Le théâtre du Petit-Bour
it une veine en jouant Oreste dans Andromaque ; c’est une erreur : il mourut de la fièvre, il est vrai, peu de jours après avo
dames, voici la Baron ; et elles prenaient la fuite. Le père de Baron mourut d’un accident très singulier : il faisait le rôle
it qu’il servit de modèle au philosophe du Bourgeois gentilhomme ; il mourut en 1675. Quant à Mignard, l’auteur se trompe sur
avec Chapelain et avec les hommes les plus célèbres de son temps ; il mourut en 1679. 93. Nous rétablissons ici cette anecdot
près, il voulut dans le moment témoigner des marques de ses fautes et mourir en bon chrétien, à l’effet de quoi avec instances
ttendu ce que dessus, et que ledit défunt a demandé auparavant que de mourir un prêtre pour être confessé, qu’il est mort dans
26 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
voilà un argument qui renverse tout cela : un homme qui « aime mieux mourir de faim que de commettre un péché71. » Il y aura
Fort bien : c’est un recours où je ne songeois pas ; Vous n’avez qu’à mourir pour sortir d’embarras : Le remède sans doute est
même esprit éclate dans la scène où Lucinde désespérée dit : Je veux mourir , ouvre « la fenêtre qui regarde sur la rivière, e
suicide est achevée dans l’adieu larmoyant de Covielle : Nous allons mourir 117. Le suicide, qui tient tant de place dans nos
Saint-Evremond de celui des Italiens : a Leur Festin de Pierre feroit mourir de langueur un homme assez patient, et je ne l’ai
27 (1732) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1732) [graphies originales] « article » pp. 45-46
ers l’an 1620. Il s’est acquis par ses comedies une reputation qui ne mourra jamais. Le nom de sa famille étoit Pocquelin. Apr
n sortant du theâtre, sa toux redoubla, il se rompit une veine, & mourut le même jour dans sa 53. année, ou suivant d’autr
28 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
Elle est encore, du fond de sa tombe, ouverte à l’heure où il fallait mourir , l’hôte et la souveraine de ces demeures fondées
a renommée et qui les suivaient dans leur retraite. Mort le comédien, morte la comédie. Dans Le Bourgeois gentilhomme, Prévil
utre homme, après quoi il décampa pour tout de bon. Le maladroit ! Il mourut un lundi ; il mourut dans une semaine féconde en
i il décampa pour tout de bon. Le maladroit ! Il mourut un lundi ; il mourut dans une semaine féconde en pièces nouvelles, et
ait dire, le feuilleton ne parla pas davantage du bel Armand. Il faut mourir à temps, si l’on veut faire un dernier bruit dans
nnes de louanges, pour être mort un jour de disette. Un bon mois pour mourir , c’est le mois d’août, le mois juin, le mois de j
si doux, que l’on ne se hâte guère, alors tant pis pour vous, si vous mourez en carnaval ! L’amateur se souvient fort bien de
ous, avec toutes sortes de regrets et de sympathies ; la tragédie est morte avec Talma ; la comédie aussi devait mourir avec
mpathies ; la tragédie est morte avec Talma ; la comédie aussi devait mourir avec mademoiselle Mars. — Je ne vais plus au Théâ
enue monnaie de ce fugitif trésor, ils vont où Dieu les pousse. — Ils meurent deux fois, le jour de la mort, et le jour où ils
ramatique. — Ah ! moins que rien, un coin pour vieillir, un coin pour mourir . Ainsi vous avez vu disparaître madame Saint-Aman
de tout l’argent qu’elle a gaspillé dans sa vie, heureuse, si elle ne meurt pas de regret et de douleur comparant son abandon
J’épouse une aimable actrice dans l’espoir qu’elle ne me laissera pas mourir de faim ; et, pour mon malheur, elle a une sagess
la vôtre ; si donc dans huit jours vous n’êtes pas guéri, faites-moi mourir . —  Fate mi brusciare. Si tu me guéris, dit le
aliénés du docteur Blanche. — Hospitalière et bienveillante maison où mourut , dans le silence et l’isolement, une des plus gra
ur Blanche apparaît pour la première fois dans mon livre, voici qu’il meurt à son tour, ce galant homme, et puisque nous somm
abandonné à tout le dévergondage de la fantaisie ! Hé ! qu’il en a vu mourir et s’éteindre en gémissant, de ces intelligences
e, elle crie, elle s’apaise ; elle est vivante outre mesure… elle est morte  ! Ah ! race oisive et terrible des penseurs de pr
s fidèles et scrupuleuses des vieux temps, Tony Johannot qui vient de mourir , laissant à peine de quoi payer la pompe austère
ne du jeune homme déguisé, ses forfanteries quand il a laissé, à demi morte , la jeune esclave, son air triomphant lorsqu’il r
vie à venir ; il est mort pour avoir parlé à cette république, qui se mourait sous l’ironie et le blasphème, des saintes lois d
es saintes lois de la morale éternelle. Il est mort parce qu’avant de mourir il avait porté un coup funeste aux rhéteurs, la r
les plus graves, les plus cruelles maladies ; elle n’y va pas de main morte , à coup sûr. Elle tombe, d’elle-même et sans le s
se ; il pleure encore la première jeune fille qu’il a aimée… elle est morte , faute d’avoir rencontré un docteur Loewe ; enfin
é elle-même la fit consigner à sa porte. On dit qu’enfin Célimène est morte d’ennui de ne plus être belle et surtout de ne pl
nnui de ne plus être belle et surtout de ne plus être aimée. Avant de mourir , elle écrivit pour demander son pardon au pauvre
t mère, la mère est grand-mère, la coquette est dévote, la dévote est morte en odeur de sainteté. Le compagnon étourdi de Mas
nue sous les charmilles de ces jardins. Oui, cela est triste de voir mourir les grands poètes ; mais cela doit être bien plus
e les fleurs de l’automne. Seulement les œuvres du génie ne sauraient mourir . Elles ont à réclamer un printemps éternel. Laiss
s ont à réclamer un printemps éternel. Laissez-les vieillir ! Laissez mourir la génération qui les a vues naître, laissez-les
et qui se récrient : — « On ne fait plus de comédie ! la comédie est morte  ! Molière est mort ! » Les siècles, plus que les
amais plus grande anxiété n’a préoccupé les esprits. Un siècle qui se meurt est si heureux de se rattacher à une poésie naiss
eu fripon, d’un oncle malade, d’un faux testament, d’un vieillard qui meurt et qui ressuscite, d’une malheureuse maison bourg
imaginaire comme celui de Molière, mais d’un bel et bon malade qui va mourir pour tout de bon, et qui déjà crache ses poumons,
s scènes et qui se disent : — Pardieu, quand madame de Maintenon sera morte , et quand le roi aura vécu, voilà pourtant comme
dans huit jours il n’aura plus d’asile. C’en est donc fait, il faut mourir  ! Au premier pas que le pauvre diable a fait dans
de faim et de froid. Rien ne peut les tirer de cette misère : il faut mourir  ! Eh bien ! cet homme qui mourait en ce taudis, à
les tirer de cette misère : il faut mourir ! Eh bien ! cet homme qui mourait en ce taudis, à côté de sa femme, et sans se plai
e ; où M. de Boissy ce poète charmant, s’enfermait avec sa femme pour mourir de misère ! Oh ! le bon temps où ils étaient pres
s du monde féodal ? Mais revenons à la comédie de M. de Boissy qui ne mourut pas ce jour-là, qui fut secouru à temps par une v
libération, on résolut, pour les guérir de leur amour, de les laisser mourir de faim. La faim vint, plus tard qu’on ne l’eût e
er et un gros barbet ; d’où il suit que la baronne n’y va pas de main morte  ; en revanche, elle tient fort à son cher chevali
tiennent la plume en disant : « ces vieux critiques sont bien lents à mourir  ». « Neque concipere, neque edere partum mens po
29 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
sée, il prenait le frais après son dîner ou après le spectacle; là il mourut . — Si les comédiens français avaient ainsi intére
la maison où il naquit , sous les piliers des halles, et la maison où mourut , rue Richelieu ? — Le berceau et la tombe. Nous n
un jour, pour être détruite, et ce jour n’est pas loin, la maison où mourut Molière, nous aimons à croire qu’il fera partie d
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
ssenties à la nouvelle du combat, & dit que Rosalie en est à demi morte  : Clairville tremble pour les jours de Rosalie &a
ique, qu’il est né d’une mere trop sensible, qui le mit au jour & mourut avant de s’unir à son amant par des liens sacrés 
André, vient s’opposer aux desseins de Rosalie, il veut la fléchir ou mourir à ses pieds : Rosalie lui dit que d’Orval est un
sion pour Flaminia, ni éviter les persécutions de Silvia, se résout à mourir plutôt que de trahir son ami & de lui enlever
31 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
emps de Louis XIV. Or Lesueur était mort six ans avant 1661 ; Poussin mourut quatre ans après cette date, à Rome, où il vivait
ciales étaient publiées depuis cinq ans ! Louis XIV, il est vrai, vit mourir Pascal un an après son avènement, et Corneille éc
Louis XIV, frappé dans ses affections les plus chères, après avoir vu mourir autour de lui ses fils et ses petits-fils, restai
furent considérablement réduites, et l’on sait que Corneille, près de mourir , aurait perdu la sienne sans l’intervention de Bo
e de Scaramouche quinze mille livres de pension. Enfin, quand Molière meurt , c’est à peine si Louis XIV daigne permettre d’en
 : il me fera plaisir. » Ce fut à la reine qu’on le dédia, car le roi mourut entre deux. » Tome III, p. 71. 8. Ménagiana, t.
32 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
er tout ensemble, par une résurrection doublement impossible, l’œuvre morte sous une critique oubliée, ou, ce qui revient à l
oin de vivre un moment, chaque matin, même à la condition certaine de mourir éternellement chaque soir. —  Quæ lucis miseris t
h bien ! cette foule obéissante a disparu dans tes sentiers, elle est morte , et tu voudrais vivre plus longtemps qu’elle, et
ère qui lui donnait une grâce inattendue, une force inespérée. Est-ce mourir cela ? Est-ce donc mourir, tout à fait, si plus d
âce inattendue, une force inespérée. Est-ce mourir cela ? Est-ce donc mourir , tout à fait, si plus d’un cœur, à vous lire, a b
de chaque jour, s’est abattue en son vrai champ de bataille ? Est-ce mourir si, même après dix ans, un seul homme se rappelle
un seul homme se rappelle ce grand cri qui l’a frappé ? Non, rien ne meurt complètement de ce qui a vécu, ne fût-ce qu’un jo
istoriques dont il était entouré. M. le cardinal de Mazarin venait de mourir , assez raisonnablement chargé de la haine publiqu
ec cette différence qu’au temps de don Quichotte, la chevalerie était morte , et qu’aux premiers jours de Molière la comédie é
part ? C’est pourtant là ce qui a empêché Molière d’être heureux ! Il mourut sur le théâtre, ou pour mieux dire il tomba sur s
re tant que vous voudrez : cet homme est en effet très malade. Que je meure d’un mai de poitrine ou de la peur du mal, toujou
de l’âme et du corps, la poitrine était prise, et Molière se sentait mourir  ; mais pour lui la mort était la délivrance. Tant
isiblement la mort qui va le frapper. Mais non ! il faut que celui-là meure debout, le fard à la joue et le sourire aux lèvre
as ou jamais, car au milieu de tes grands éclats de rire cet homme se meurt . Heureuse foule ; pour ton demi petit écu tu vas
n Médecin par force, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut , et passa des plaisanteries du théâtre, parmi les
s toujours vivantes, à la grâce éternelle, à l’esprit qui ne peut pas mourir , au chef-d’œuvre enfin, au type éternel. Je sais
gardé le souvenir, fut donnée au bénéfice d’une aimable femme qui est morte depuis, madame Menjaud ! Ce soir-là, madame Menja
me voir bientôt délivrée du barbon que je prends. C’est un homme qui mourra avant qu’il soit peu et qui n’a tout au plus que
les pauvres gens qui ne méritaient que des critiques et les laissant mourir de leur belle mort. J’ai en horreur les méchancet
part dont Molière a fait surtout le portrait dans Le Misanthrope, est morte pour ne plus revenir ; elle a été égorgée sur l’é
ux. L’homme qui a laissé après lui tant des choses qui ne peuvent pas mourir  : Marianne, l’un des plus aimables romans de notr
cette société que charmait Marivaux de sa politesse, est emportée et morte au fond de l’abîme, sa comédie est vivante encore
e dans la grande habitude du chef d’emploi qui veut toucher, avant de mourir , à ces rôles qu’elle appelle des rôles de son emp
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
z ma petite future Mademoiselle Benjamine, dont le précieux vous fera mourir de rire. Vous verrez mon très honoré oncle M. Mat
l & de la nature. On envoie Jarvis chercher du secours : Béverley meurt  ; sa femme s’évanouit : la toile tombe. PIECE ANG
uillé de ses biens, de l’avoir fait mettre en prison, il veut le voir mourir sur un échafaud. Il sait que Jarvis a surpris son
’empoisonner qu’après avoir été accusé de l’assassinat. La crainte de mourir sur un échafaud pouvoit seule le déterminer à lai
34 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXII » pp. 222-236
aient leur caractère et leur importance, savoir : la maladie dont est morte madame de Montausier, et la représentation de l’A
e Montespan languissaient de jalousie, et que madame de Montausier se mourait d’humiliation, l’Amphitryon de Molière, c’est-à-d
ue de la cour et de la ville. Le 13 avril 1671, madame de Montausier mourut à l’âge de 64 ans. La nouvelle de cette mort, arr
35 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
quelin) célébre poëte comique, qui s’est acquis une réputation qui ne mourra jamais. Son nom de famille étoit Pocquelin. Il na
n sortant du théâtre, sa toux redoubla, il se rompit une veine, & mourut le même jour dans sa 53 année. Plusieurs comédien
36 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
Il en donna la quatriéme représentation le 17 de Février 1673, & mourut le même jour (A). Voilà ce que j’ai tiré de sa Vi
à faire connoître le mérite de cet Acteur. [Remarques] (A) Et mourut le même jour.] Le principal personnage de la dern
lisérent beaucoup sur cet incident. Mais la vérité est que Moliere ne mourut pas de cette façon : il eut le tems, quoique fort
personne affligée, mais tout ce qu’on employa ne servit de rien : il mourut en fort peu d’heures, après avoit perdu tout son
ce que Cinthio répondit autrefois à saint Evremont, que l’on verroit mourir de faim de bons Comediens avec des Comedies excel
37 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
rivait trop tard. Le mal était devenu incurable. Madame de Montausier mourut le 15 novembre 1671. Louis XIV parut peu touché d
15 novembre 1671, puisqu’elle parle de madame de Montausier, qui est morte le 15 novembre de cette année. 2º Elle est antéri
38 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
, dont on admirait la facilité à s’exprimer, mais qui malheureusement mourut fort jeune12. Le duc de Guise voulant prendre une
l sa vie avait été composée et publiée de son vivant ; car elle n’est morte que le 30 novembre33 1700. La faute est trop évid
est appelée femme Guérin (Armande-Grésinde-Claire-Elisabeth Bejard), morte le 30 novembre, à l’âge de cinquante-cinq ans. El
39 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
lle seule qu’il désire. Qu’il l’ait donc ! Moi, je le laisserai ou je mourrai . » De même, lorsque le capitaine revient à Silvi
par suite d’un accident, au commencement du mois de juin 1604, elle y mourut au milieu d’une fausse couche. Des honneurs publi
d’embonpoint. 10. — Médaillon d’Isabelle Andreini.   Avec Isabelle mourut la troupe des Gelosi. Francesco Andreini quitta l
40 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. Pieces intriguées par un événement ignoré de la plupart des Acteurs. » pp. 192-198
e dévoiler le fond de ce mystere. La cruelle langueur dont j’ai pensé mourir , Qu’aucun art ne pouvoit connoître ni guérir, L’a
ras, Me conjure instamment de parler & de vivre, Me dit que si je meurs , il est prêt de me suivre. Ses yeux, plus éclairé
41 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
on espérance ? Que n’ai-je un licol pour me pendre ? Car j’aime mieux mourir que de vivre ainsi. Hélas ! Elle est toute vide,
uoi manger, ajoutait : « Tu passes ta vie à prier Dieu ; il te laisse mourir de faim ! Prends cet argent, je te le donne pour
1705, Grimarest, p. 161 1715, Ménagiana, tome I, p. 78 Quand Molière mourut , plusieurs mauvais Poètes lui firent des Épitaphe
mé vingt-quatre heures pour succéder à Colbert*, et que nous avons vu mourir l’un des hommes de France le plus considéré ; lor
rénice 126 du grand Corneille. Acte premier, Scène deuxième. Faut-il mourir , Madame ; et si proche du terme, Votre illustre i
que d’applaudissements. Elle quitta le Théâtre le 14 Octobre 1694, et mourut le 3 Novembre 1700. La Demoiselle Béjart sa mère,
it aussi Comédienne, jouait les Soubrettes et les rôles ridicules, et mourut en 1672. Tome III, p. 163-164 Ducroisy*, (P
on Curé, qui le regardait comme un de ses meilleurs Paroissiens. Il y mourut  ; et le Curé en fut si fort touché, que, n’ayant
u’il aimait beaucoup, et qu’il maria à un homme qui la trompa ; il en mourut de chagrin. Il fut enterré à Saint-André-des-Arcs
En mars 1670, il prit sa retraite avec une pension de 1000 livres, et mourut le 13 octobre 1678. (DLF XVII p. 129) 19. La Fl
Marais où il reprit le rôle de Molière dans Le Malade imaginaire. Il mourut dans les mêmes circonstances que son illustre pré
roupe en 1721. Elle fut la maîtresse de Philippe, duc d’Orléans. Elle meurt le 12 septembre 1753. (César.org et Wikipédia).
e ambassadeur en Turquie. Il partit pour Constantinople en 1677, et y mourut en 1685. Auteur de lettres et de poèmes galants (
e-sept ans en 1672 avec Marie Ragueneau, fille du pâtissier poète. Il meurt subitement à cinquante-sept ans. (DET, C. Scherer
enne Mignot. Le 28 février 1666, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 1678. (César.org). 157. INCARTADE : Insulte
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
l’émétique la tuera. M. Desfonandres. Et moi, que la saignée la fera mourir . M. Tomès. C’est bien à vous de faire l’habile ho
vous ne faites saigner tout-à-l’heure votre fille, c’est une personne morte . (Il sort.) M. Desfonandres. Si vous la faites s
fait saigner le malade pour lui plaire, & que le pauvre diable en mourra . L’Apothicaire leur apprend la nouvelle du Kan de
érement. Boursault est né en Champagne, à Mussy-l’Evêque, en 1638. Il mourut à Paris en 1701.
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. » pp. 500-533
z vos pensées.   Apprenez-moi ma destinée :   Faut-il vivre ? faut-il mourir  ? Angélique, en chantant. Vous me voyez, Tircis,
un pere à ses vœux vous veut assujettir. Angélique.    Plutôt, plutôt mourir ,   Que de jamais y consentir ;  Plutôt, plutôt mo
 Plutôt, plutôt mourir,   Que de jamais y consentir ;  Plutôt, plutôt mourir , plutôt mourir. Argan. Et que dit le pere à tout
mourir,   Que de jamais y consentir ;  Plutôt, plutôt mourir, plutôt mourir . Argan. Et que dit le pere à tout cela ? Cléante.
trouve à une grande consultation qui doit se faire pour un homme qui mourut hier, afin d’aviser & voir ce qu’il auroit fa
44 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
déré à bon droit comme un bourgeois notable ; aussi voit-on, quand il mourut en 1669, qu’il fut inhumé avec beaucoup d’honneur
oste de l’observateur était bien choisi par la destinée. Marie Cressé mourut au mois de mai 1632, à l’âge de trente et un ans,
therine Fleurette, sur laquelle on a peu de renseignements. Catherine mourut le 2 novembre 1636, trois ans après son mariage.
toutefois, de croire que Molière, qui avait quatorze ans lorsqu’elle mourut , ait pu comme on l’a dit, peindre d’après elle la
a bien. Mais en ce divers sort Beys ne perdit rien : Si l’un l’a fait mourir , l’autre l’a fait revivre. Germain Clerin est fo
’avoir pour le moins douze mille livres de rente, pourvu que mon père meure  ; car encore qu’il y ait quatre-vingts ans qu’il
lui, il se porte si bien qu’il y a plus à craindre pour moi qu’il ne meure  jamais qu’à espérer que je lui succède un jour en
dernière date retiré au cloître des Carmes, et proche de sa fin ; il mourut quatre mois après12. Leur séjour à Albi se place
C’est en décembre 1654, juste au moment de l’ouverture des états, que mourut le poète Sarrasin, secrétaire du prince. On préte
e ? La Grange a consigné sur son registre que son beau-père Ragueneau mourut à Lyon le 18 août 1654. La représentation où il a
aient fait d’excellentes affaires, c’est que Joseph Béjart, lorsqu’il  mourut à Paris, une année seulement après le retour, lai
i pour le roi. Joseph Béjart acheva son rôle de Lélie avec peine ; il mourut quelques jours plus tard, âgé de quarante-deux ou
se succéder les chefs-d’œuvre avec une prodigieuse rapidité. Jodelet mourut le vendredi saint de cette année 1660. Loret en p
arelle se trouve dans le Testament en vers burlesques de Scarron, qui mourut à quelques mois de là, au mois d’octobre de cette
olière. Duparc, ce compagnon des premières pérégrinations de Molière, mourut le 4 novembre. « Mlle Du Croisy, ayant remboursé
e propose à tort cent prétextes divers Pour vouloir d’un œil sec voir mourir ce qu’on aime ; L’effort en est barbare aux yeux
tin, et ne s’accordaient pas de l’espèce de la maladie dont le malade mourait . Brayer dit que la rate est gâtée, Guénaut dit qu
uvenceau ! Ah ! qu’il est beau ! Ah ! qu’il est beau ! Qu’il va faire mourir de belles ! Qu’il est joli, Gentil, poli ! Qu’il
ens, que « le premier bonheur est de ne point naître, et le second de mourir promptement. Ils l’approuvèrent d’un commun accor
n’y avons pas autant d’intérêt. Le 17 février 1672, Madeleine Béjart mourut « pendant que la troupe était à Saint-Germain, di
tée comme la paroisse de prédilection de la famille. Madeleine Béjart mourait riche. Sans parler des costumes de théâtre, non p
. Léonard de Loménie, sieur de Villaubrun, époux de Geneviève Béjart, mourut peu après ; Geneviève se remaria au mois de septe
rine Mignard tinrent sur les fonts baptismaux, le 1er octobre, et qui mourut le 11 de ce mois. La santé de Molière allait touj
leur personnage à représenter qu’un homme bien portant qui tremble de mourir  et qui est le jouet et la victime de tous ceux qu
Mais, ajoutage t-il en réfléchissant, qu’un homme souffre avant de de mourir  ! Cependant, je sens bien que je finis. » La Moli
ur, après la comédie, sur les dix heures du soir, monsieur de Molière mourut dans sa maison, rue de Richelieu, ayant joué le r
lut dans le moment témoigner des marques de repentir de ses fautes et mourir en bon chrétien, à l’effet de quoi avec instances
ttendu ce que dessus, et que ledit défunt a demandé auparavant que de mourir un prêtre pour être confessé, qu’il est mort dans
l l’est, ou s’il dort : Sa maladie imaginaire Ne saurait l’avoir fait mourir  ; C’est un tour qu’il joue à plaisir, Car il aima
u’à force d’avilir la femme ils pourraient avilir aussi le mari. Elle mourut le 30 novembre de l’année 1700, âgée de cinquante
plus : cinquante-sept ou cinquante-huit ans. Son fils Nicolas Guérin mourut en 1707 ou 1708, sans laisser d’enfants d’une dem
ne lui voyait rien sur elle qui ne fût de prix. »La fille de Molière  mourut , le 23 mai 1723, sans postérité ; elle fut inhumé
e Rachel, sieur de Montalant, survécut de quinze années à sa femme et mourut le 15 juin 1738, âgé de quatre-vingt-treize ans.
riture de Molière. CHAPITRE XVIII. CONCLUSION Molière, quand il mourut , le 17 février 1673, était âgé de cinquante et un
anche, George Dandin, Purgon, Diafoirus et tant d’autres ne sauraient mourir  : ils sont l’expression définitive de vices ou de
ai 1659, dans une représentation de L’Étourdi donnée au Louvre, et il mourut le 21 du même mois. Les comédiens interrompirent
istre de La Grange comme ayant été « arrangée par Mlle Béjart ». Elle mourut au commencement de 1672, un an jour pour jour ava
Hervé-Aubry) figure dans la nouvelle troupe pour une demi-part. Elle mourut deux ans après. La Grange inscrit sur son registr
inscrit sur son registre : « Le troisième de juillet 1675, Mlle Aubry mourut  ; l’on ne joua point le vendredi cinquième. » Le
, paveur ordinaire du roi et l’un des entrepreneurs du pavé de Paris,  morte le 3e du présent mois, rue de Seyne, à l’hôtel d’
exemple de celle qu’on donne aux acteurs de l’hôtel de Bourgogne » Il mourut le 29 septembre 1678. Voici la mention relevée pa
ie de Gros-René, Gros-René petit enfant ; Gros-René écolier. Duparc mourut le 28 octobre 1664. Ses camarades ne jouèrent pas
n, la fille de l’acteur Du Croisy, qui avait quinze ans quand Molière mourut , et qui n’avait pu apercevoir Mlle Duparc que dan
r à l’hôtel de Bourgogne. Elle y joua supérieurement Andromaque. Elle mourut l’année suivante, le 11 décembre 1668. Voici ce q
de face ! » Cette observation n’a peut-être pas grand fondement. Il mourut en 1676. Mention sur le registre de la paroisse S
ite et fut mise à la pension le 14 avril 1685. Selon Lemazurier, elle mourut le 19 novembre 1706 ; mais on n’a point son acte
mariée, dit Granval père, à un homme qui la rendit malheureuse, il en mourut de chagrin ». Il mourut le 1er mars 1692, en son
, à un homme qui la rendit malheureuse, il en mourut de chagrin ». Il mourut le 1er mars 1692, en son domicile, rue de Buci, e
gueneau ou M. de Lestang (ce fut son nom de théâtre) était, lorsqu’il mourut , à un titre assez humble, probablement moucheur d
a retraite en 1692167. Elle eut du roi la pension de mille livres, et mourut le 3 février 1727, à l’âge de quatre-vingt-huit a
on curé, qui le regardait comme un de ses meilleurs paroissiens. Il y mourut en 1695 (âgé de soixante-six ans). Le curé de Con
ntra dans la troupe après la mort de Molière, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756. à quatre-vingt-dix-huit ans168. BRÉCO
cembre 1659, Estiennette Desurlis, une de ses camarades du Marais. Il mourut le 28 mars 1685. On a dit qu’il s’était rompu une
deux fois après la dernière représentation de Timon à Versailles, et mourut  trois mois et demi après cette représentation. Se
3. Il se retira avec une pension de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre 1700. De Vizé, en annonça
es, voilà la Baron », et elles prenaient la fuite. Veuve en 1655 elle mourut  au mois de septembre 1662, à l’âge de trente-sept
t été recueillies en deux volumes (1736), ou trois volumes (1759). Il mourut le 22 décembre 1729, moins de trois mois après av
honnête homme du reste et bon camarade, quitta la comédie en 1704 et  mourut le 29 décembre 1709. MADEMOISELLE BEAUVAL J
uteur du Dictionnaire critique n’en a constaté que dix ou douze. Elle mourut le 20 mars 1720, âgée d’environ soixante-dix ans.
e dans L’Iconographie moliéresque de Paul Lacroix, page 261. 120. Il mourut en venant de jouer une comédie intitulée Le Malad
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
t, que celui de l’héroïne. Le Comte a la manie des gens d’esprit : il meurt d’envie de lire ses Ouvrages, & la satisfait
, la contrainte le tue ; Et si par la pitié vous n’êtes combattue, Je meurs & de la feinte & de la vérité. M. Harp
46 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
seul dans la troupe qui en donnât l’exemple. Le capitaine Rhinocéros mourut au mois d’octobre 1624 : « Quand ce capitan trépa
n Giovanni-Battista Andreini : Florinde, c’est sa femme Virginia, qui mourut vers 1634 ; Lydia, c’est une jeune actrice que le
47 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
le, Gros-Guillaume, Turlupin, trois pauvres garçons qui, précisément, moururent dans ce temps-là d’une manière tragique et toucha
s. Mais Molière sentait, mieux que ses conseilleurs, qu’une froide et morte dissertation serait peu son fait; ce qu’il lui fa
teuil de temps en temps, avec Chapelle et ses plus particuliers amis. Mourut -il de maladie ? Il aurait vu là les médecins, leu
Je soutiens que l’émétique la tuera. - Et moi que la saignée la fera mourir .   Grands débats : Un troisième prétend (c’est
meilleure protectrice auprès du roi, la reine mère, Anne d’Autriche, mourut . Il voulut, pendant le deuil, s’abstenir de nouve
uvenceau ! Ah ! qu’il est beau ! Ah ! qu’il est beau ! Qu’il va faire mourir de belles. Qu’il est joli, Gentil, poli, Qu’il es
alegría, alegría ! Que esto de dolor es fantasia. Je sais que je me meurs d’amour. Je sais que je me meurs d’amour. Allon
lor es fantasia. Je sais que je me meurs d’amour. Je sais que je me meurs d’amour. Allons, allons des fêtes ! Allons des d
éunis du père et de la mère, précédés de celui de Mignard. Cet enfant mourut peu après sa naissance, comme avait fait le premi
n mois après la représentation des Femmes savantes, en février, était morte . Béjart aîné était mort; Duparc, sa femme, Lespy,
u’un simple traitement, un régime en quelque sorte pour l’empêcher de mourir  ! Ce fut le dernier coup. Le changement de nourr
ue lui-même, peut-être, en de certains moments, n’aurait pu dire s’il mourait de son mal ou de ses tristesses. Dans ces doutes
Mais, ajouta-t-il en réfléchissant, qu’un homme souffre avant que de mourir  ! » La Molière et Baron furent vivement touchés
a pierre avait été calcinée et fendue par le feu. Lors qu’Armande fut morte , des gens soigneux la retirèrent, et l’on ne sut
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
différents, qu’ils s’aiment, qu’ils s’adorent, qu’ils brûlent, qu’ils meurent d’amour. Je me hâte de déclarer que, loin de les
z vos pensées.   Apprenez-moi ma destinée :   Faut-il vivre ? faut-il mourir  ? Angélique, en chantant. Vous me voyez, Tircis,
rançoise en 1754, chargé de la rédaction du Mercure en 1755, & il mourut en 1758.
49 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
1, madame de Fontanges, qui s’était retirée à l’abbaye de Port-Royal, mourut . Cette mort, la retraite pieuse qui l’avait précé
it qu’il est adorable. Madame de Montespan sèche de notre joie ; elle meurt de jalousie, tout lui déplaît et l’importune, et
s eu rien de semblable. » Le bonheur de Marie-Thérèse dura peu. Elle mourut à Versailles le vendredi 30 juillet 1683, âgée de
é, ne quittant presque jamais sa modeste couleur favorite, la feuille morte , son costume était cependant d’une élégance parti
50
delaine Poquelin, fille de Jean Poquelin et de Marie Cressé, laquelle mourut le 18 mai 1665 et fut enterrée à Saint-Eustache.
je publie des faits nouveaux et inédits, à commencer par la maison où mourut le grand comique, rue Richelieu, et qui n’est ni
ci… viij L. » L’inventaire dressé après le décès de Marie de Cressé, morte au bout de onze ans de mariage, le 15 mai 1632,17
nce du grand écrivain ? Le Camus l’apothicaire, l’acquéreur de Morot, mourut vers 1650 laissant une succession embarrassée ; e
joux précieux, bien précieux !… Je voudrais ma fille là, à mes pieds, morte , avec les bijoux à ses oreilles ! Je la voudrais
erai par un rapprochement bizarre. Le 9 avril 1553, François Rabelais mourait dans une maison de la rue des Jardins. Moins de c
d’une pension royale de 1 200 livres33 ; marié à Lodovica Gabrielli, morte avant 1665, puis à Marie de Creil ; Domenico Bia
; Valerio, de son vrai nom Giacinto Bendinelli, gentilhomme italien, mourut le 16 mai 1668 ; Eularia jouait les amoureuses.
ien) était le père de la reine de Pologne, femme de Jean Sobiesky. Il mourut cardinal à Rome, le 24 mai 1707, à 97 ans. Un fut
ès lisiblement ces divers actes : Orsola Coris. Locatelli ou Trivelin mourut rue Saint-Honoré, le 26 avril 1671. Bandinelli, o
in mourut rue Saint-Honoré, le 26 avril 1671. Bandinelli, ou Valerio, mourut le 15 mars 1668 rue Saint-Nicaise, probablement a
iés Riquet. Mais comme nous savons authentiquement que Antonio Verrio mourut de sa belle mort en Angleterre, à Hampton-Court,
maison aujourd’hui numérotée 36, à deux pas de celle où Molière vint mourir onze ans plus tard. M. Campardon s’y est trompé.
ocondre, qui représente Molière prenant leçon de Scaramouche. 43. Il mourut rue Tiquetonne, dans le voisinage de l’hôtel de B
51 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
ce d’énergie, lutta jusqu’au bout, quoique malade et rongé de soucis, mourut enfin à son poste en jouant le rôle d’Argan sur c
de messieurs les maris ; et je les trouve bons de vouloir qu’on soit morte à tous les divertissements et qu’on ne vive que p
s et qu’on ne vive que pour eux. Je me moque de cela et ne veux point mourir si jeune. Georges Dandin. C’est ainsi que vous
ction pour rien. De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfant, mère et femme, Que je m’en soucier
Fort bien, c’est un recours où je ne songeais pas, Vous n’avez qu’à mourir pour sortir d’embarras ; Le remède sans doute est
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499
flambeau, Que le nombre d’amants que j’ai mis au tombeau. Celui-ci va mourir  ; lui rendrai-je la vie ? Je le puis d’un seul mo
e sais tous les discours de tous ces amoureux : Qu’il brûle, qu’il se meurt , qu’il est tout langoureux, Que jamais d’un tel c
53 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
ses Souvenirs, page 89 : « L’aînée des enfants de madame de Montespan mourut à l’âge de trois ans. » (C’est l’enfant que Saint
t. XIII, p. 102. Elle était née en 1669, ce fut donc en 1672 qu’elle mourut .) « Madame Scarron, continue madame de Caylus, en
54 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
ancière, fort habile à détruire. Grâce à vous, l’école dogmatique est morte et bien morte. N’en parlons plus. Mais vous ne vo
habile à détruire. Grâce à vous, l’école dogmatique est morte et bien morte . N’en parlons plus. Mais vous ne vous entendez pa
55 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
raison ? Et pouvais-je, après tout, avoir la conscience De le laisser mourir faute d’une assistance, Moi qui compatis tant aux
ux gens qu’on fait souffrir, Et ne puis, sans pleurer, voir un poulet mourir  ? À quelles tortures ne livre-t-elle pas le pauv
Fort bien, c’est un recours où je ne songeais pas : Vous n’avez qu’à mourir pour sortir d’embarras, répond-elle. Et sur le r
56 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
a surprise est forte ! Dis-moi, ma chere enfant, pourquoi n’es-tu pas morte  ? Cléanthis. Pourquoi n’es-tu pas morte ! Indigne
enfant, pourquoi n’es-tu pas morte ? Cléanthis. Pourquoi n’es-tu pas morte  ! Indigne, scélérat, Déserteur de ménage & ma
ez-vous content si je vous plonge dans la joie ? Antiphon. Tu me fais mourir . Phormion. Ah ! treve de promesses, & dis pro
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
en ordonnant à deux hommes de jetter le sac dans la riviere. Arlequin meurt de peur, crie, se fait reconnoître. Argentine est
herche. Et pour quelle affaire, Monsieur ? Jé beux, cadédis, lé faire mourir sous les coups dé vâton. Oh ! Monsieur, les coups
& de faire feu. Scapin, qui croit entendre dix à douze personnes, meurt de peur, & prend la fuite. La scene de Molie
h ! mon cher papa ! si vous ne vengez cet affront qu’on me fait, j’en mourrai de chagrin ! Il m’a demandée par écrit : j’ai tro
rouvera son fils dans le déréglement, ou sa fille malade, ou sa femme morte  ; que tous ces accidents arrivent tous les jours,
rencontrer, se figurer sa maison brûlée, son argent dérobé, sa femme morte , son fils estopié, sa fille subornée ; & ce q
58 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [97, p. 141] »
s’il vit, ou s’il dort. Le Malade imaginaire Ne saurait l’avoir fait mourir  ; C’est un tour qu’il joue à plaisir, Car il aima
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII.*. M. PIRON. » pp. 277-287
înée, approchez-vous du feu ; vous vous serez refroidi, c’est pour en mourir . La cadette joua une scene pareille : tous unanim
t dépouillé pour lui de son trésor.   En contemplant ce coffre-fort,   Mourez de honte à l’aspect de ce vuide. Que votre sort e
60 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
l’Affamato crie sans cesse famine et, en sortant de table, jure qu’il meurt de faim. — Quelle crainte as-tu de mourir ? répli
sortant de table, jure qu’il meurt de faim. — Quelle crainte as-tu de mourir  ? réplique le Capitan ; le seul récit de mes haut
61 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
u’à l’époque où avait paru la pièce, la marquise de Rambouillet était morte  ; elle l’était en effet depuis sept ans. Mais M.
e Montausier, à l’époque où parurent Les Femmes savantes, 1672, était morte aussi depuis deux ans ou environ ; M. Aimé Martin
62 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [45, p. 77-78] »
enne Mignot. Le 28 février 1666, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 1678. (César.org).
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
e retirer. La Princesse enrage ; elle donneroit sa couronne pour voir mourir le Prince d’amour. Elle projette de l’attendrir p
tonne seulement qu’elle ait pu durer la moitié du jour ; car enfin je mourois , je brûlois dans l’ame quand je vous déguisois me
einte, Madame, a quelque chose qui vous offense, je suis tout prêt de mourir pour vous en venger ; vous n’avez qu’à parler, &a
64 (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944
chose réglée dès 1881, et peut-être avant : Corneille naît, Corneille meurt , Horace et le Menteur sont de service ? rien de n
e dire aux gens : « Vous ne savez pas ce que vous avez perdu à ne pas mourir deux cents ans plus tard ; » mais ne les honorer
et qu’on nous fasse attendre une reprise de Don Garcie : faudra-t-il mourir sans avoir revu Don Juan ? Et je dis : revu ; mai
65 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [44, p. 77] »
et une mort douce. Il ne connut point les infirmités de l’âge, et il mourut d’apoplexie, à Paris, le 31 décembre 1777 dans sa
66 (1884) Tartuffe pp. 2-78
le Malade imaginaire reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d’heures après, et passa des plaisanteries du
on la forte parole de Sainte-Beuve, mit en peine les os de Molière , mourut d’apoplexie entre les bras d’une de ses belles. I
le bonhomme qui ne veut pas que son Tartuffe s’éloigne, de peur d’en mourir , exige qu’il voie sa femme à toute heure, en tout
il tomberait en de méchantes mains ; avec Tartuffe il tombera en main morte . Cependant la famille, unie contre l’ennemi commu
e, après deux siècles, en est toujours incommodé ; je ne sais s’il en mourra , il a la vie si dure ! mais la plaie durera autan
fection pour rien. De toutes amitiés il détache mon âme Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme, Que je m’en soucie
67 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [52, p. 86] »
e la part de Bossuet, de la Fontaine, de Boileau. […]. Le P. Bouhours mourut à Paris, le 27 mai 1702. […] (DLF XVII, p. 193-19
68 (1781) Molière (Anecdotes littéraires, historiques et critiques) [graphies originales] « MOLIERE. » pp. 41-42
teur, qu’un facteur l’est des lettres qu’il apporte. Cet homme unique mourut presque subitement : on eût dit qu’il vouloit enl
69 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
ions tous perdu notre liberté de penser sous la tyrannie d’une lettre morte . Me voilà confessé, donc absous, et je n’ai plus
le voulait. Mais que lui importe ? Son honneur est atteint. Elle doit mourir . Seulement, comment mourra-t-elle ? Ici, le Médec
porte ? Son honneur est atteint. Elle doit mourir. Seulement, comment mourra-t -elle ? Ici, le Médecin de son honneur est très em
ner dona Mencia « jusqu’à ce que tout son sang soit sorti, et qu’elle meure 386  ». Ce spectacle plaît aux Espagnols, ou leur
ont pas des Sophocles ; mais ils pourront relever noire poésie qui se meurt de sottise, d’exaltation mystique, d’amour vide,
qu’on a grand besoin de quelques rafraîchissements ; car sans cela on mourrait bientôt ic i430. » Il faut payer la rançon des me
Patin, et ne s’accordaient pas de l’espèce de maladie dont le malade mourait . Brayer dit que la rate est gâtée, Guénaut dit qu
e propose à tort cent préceptes divers Pour vouloir d’un œil sec voir mourir ce qu’on aime ; L’effort en est barbare aux yeux
ier 1673 : « Après la comédie, sur les dix heures du soir, M. Molière mourut dans sa maison, rue Richelieu, ayant joué le rôle
70 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [93, p. 136-138] »
quoi manger ? Dom Juan Cela ne se peut pas ; Dieu ne saurait laisser mourir de faim ceux qui le prient du soir au matin : tie
71 (1717) Molière (Grand Dictionnaire historique, éd. 1717) [graphies originales] « article » p. 530
ù il tomba malade, en représentant son Malade Imaginaire, en 1672. Il mourut peu de jours après. Divers Auteurs parlent de lui
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
an promet de se rendre à l’invitation avec Sganarelle ; celui-ci, qui meurt de peur, jure de n’en rien faire. Acte V. Don Ju
s d’elle, la caresse, & l’accompagne ensuite, malgré le marié qui meurt de jalousie. Troisieme Journée. Le marié, qui se
; la maniere dont elle s’est vengée. Il ajoute que Don Juan, avant de mourir , a confessé n’avoir pas eu le temps de mettre à m
encore tenter Carino, qui la refuse impitoyablement ; mais elle n’en mourra pas de chagrin, dit-elle, parcequ’on ne manque pa
73 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
igandage extrême! On me tue, on me vole : et n’est-ce pas le même, De mourir par la fièvre ou par la pauvreté ? etc. Le scept
ignes de Boileau lui-même. Il suppose que ce grand satirique vient de mourir du chagrin que lui a causé le mauvais succès de s
ort affreuse   Autour de mon chevet étend une aile hideuse 2! Mais je meurs sans regret dans un temps dépravé, Où le mauvais
ux au théâtre que Regnard y fut bien traité. La plupart de ses pièces moururent en naissant, et celles même qui lui ont fait une
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
esse à chercher que lui dire ; Et la stérilité de son expression Fait mourir à tout coup la conversation. En vain, pour attaqu
imene. Mais.... Alceste. Mais....Non, Madame, non ; quand je devrois mourir , Vous avez des plaisirs que je ne puis souffrir ;
t sur le Parnasse. Il fut reçu de l’Académie Françoise en 1584, & mourut à Paris le 11 Mars 1711.
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
bien la douleur qu’elle aura, Que je suis assuré, ma sœur, qu’elle en mourra , Si vous lui dérobez l’amant qui peut lui plaire.
ient, il composa, dans moins de quinze ans, trente-trois comédies. Il mourut en 1673, âgé de cinquante-trois ans. Il est surno
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
piece : sans lui un drame, quel qu’il soit, ne fait que naître & mourir . Les étrangers ont la hardiesse de reprocher à Mo
aîtresse, qui l’a suivi, de le précipiter dans son dernier asyle : il meurt . Evandra, au désespoir, s’écrie : attends-moi, Th
77 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
publié des épigrammes contre Chapelain. Or, en cette année 1665, est morte la marquise de Rambouillet, âgée de 81 ou 82 ans.
er de l’extraordinaire des guerres, grand emploi de finance. Elle est morte en 1694 à quatre-vingt-cinq ans. Chaulieu nous ap
78 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
mots éblouissent d’abord ; mais leur charme, qui naît de la surprise, meurt avec elle. Répétés, ils perdent tout leur effet,
de notre goût moderne. Les anciens Romains voulaient qu’un gladiateur mourût avec grâce, et ils ne l’applaudissaient qu’à ce p
arque et le ministre, tous deux moribonds, rentrant dans Paris pour y mourir tous deux à cinq mois de distance l’un de l’autre
raine la fille de Mignard55. Ce second fils, né le 15 septembre 1672, mourut moins de deux mois après sa naissance. L’époque d
re. M. et madame de Montalant passèrent leur vie à Argenteuil, où ils moururent sans postérité. Après la mort de cette fille, il
ciens, que le premier bonheur est de ne point naître, et le second de mourir promptement72. Quand, à force de boire, ils se fu
n descendit pour n’y plus remonter : on peut donc dire qu’il vécut et mourut victime de l’intérêt tout paternel qu’il leur por
Sarrasin à la tempe avec des pincettes. Peu de temps après, ce poète mourut de chagrin, on peut-être même des suites du coup.
aître ; et que le plus avantageux pour lui, quand il est né, c’est de mourir promptement. » 73. Dans ces dernières années,
ien que d’affreux. Jean-Baptiste Lulli naquit à Florence en 1633, et mourut à Paris en 1687. 84. Anne de L’Enclos, ordinair
de L’Enclos, ordinairement appelée Ninon, naquit à Paris, en 1616, et mourut dans la même ville en 1706, âgée de quatre-vingt-
er 1675), après la comédie, sur les dix heures du soir, M. de Molière mourut dans sa maison, rue de Richelieu, ayant joué le r
lut dans le moment témoigner des marques de repentir de ses fentes et mourir en bon chrétien ; à l’effet de quoi, avec instanc
ttendu ce que dessus, et que ledit défont a demandé auparavant que de mourir un prêtre pour être confessé, qu’il estmort dans
la sépulture à Molière, parce qu’ilétait mort presque sur le théâtre, mourut lui-même subitement, presque dans les bras d’une
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
re, à moins que la barbarie ne s’y introduise tout-à-fait. Cet Auteur mourut à Boulogne sur mer en 1747. 41. François Hedel
ouvois-je plus faire pour toi Que de rendre un faux témoignage ? Il mourut à Nemours en 1676, âgé de 72 ans.
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
élie qu’elle contemploit. Sganarelle tâte Célie pour voir si elle est morte , & l’emporte chez elle. La femme de Sganarell
e que Célie doit se marier incessamment, il est alarmé. Le domestique meurt de faim ; Lélie lui permet d’aller manger. Scene
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
me voir bientôt délivrée du barbon que je prends. C’est un homme qui mourra avant qu’il soit peu, & qui n’a tout au plus
ats, qui sont établis pour maintenir l’ordre dans cet Etat, devroient mourir de honte en souffrant un scandale aussi intolérab
82 (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258
u, était à reconstruire. Il était situé juste en face de la maison où mourut Molière, et à proximité du Théâtre-Français. M. R
u château d’eau. C’était tout à la fois honorer les lieux où vécut et mourut le grand poète, et populariser encore plus son so
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
raison ? Et pouvois-je, après tout, avoir la conscience De le laisser mourir faute d’une assistance, Moi, qui compatis tant au
ux gens qu’on fait souffrir, Et ne puis, sans pleurer, voir un poulet mourir  ? Ne nous amusons pas à louer présentement la fa
n. Adieu, divin objet !Rage ! fureur ! feu ! haine ! (A Léandre.) Tu mourras , suborneur ! Léandre, le regardant fiérement. Tu
éandre.) Tu mourras, suborneur ! Léandre, le regardant fiérement. Tu mourras , suborneur !A qui donc parlez-vous ? Est-ce à moi
84 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
ie de messieurs les maris et je les trouve bons de vouloir qu’on soit morte à tous les divertissemens et qu’on ne vive que po
et qu’on ne vive que pour eux ! Je me moque de cela et ne veux point mourir si jeune… Je veux jouir, s’il vous plaît, de quel
c l’expédition organisée pour défendre la Hongrie contre les Turcs et meurt à Venise le 9 janvier 1666. Cela n’empêche point
uelle différence avec le pauvre et froid petit logis où nous avons vu mourir Madeleine Béjart ! Il semble qu’une seconde lune
conciliation, et que le pauvre grand homme connut, du moins, avant de mourir , quatre mois de bonheur intime et de tranquillité
ses allées géométriques, ses charmilles et son berceau de vigne. Elle mourut à Paris, rue de Touraine, le 30 novembre 1700, âg
85 (1899) Salut à Molière, dit par Coquelin cadet, le soir du 15 janvier, pour le 277e anniversaire de la naissance de Molière, sur la scène de la Comédie-française pp. 3-8
en spectacle pour ne pas faire manquer la représentation du soir. Il meurt à cinquante ans, n’ayant dit que le vrai, n’ayant
86 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
et qui ne finira qu’avec lui : Car en ceste vie terrestre Mieux vaut mourir que povre estre, Et ceulx qui povres apperront Le
e comprenait toute la portée. Aussi le nom de mademoiselle de Brie ne mourra pas ; elle partagera quelque peu l’immortalité de
vu que tu veuilles jurer. » Le pauvre : « Non, Monsieur, j’aime mieux mourir de faim ! » À cette réponse touchante, un homme m
restes d’un feu éteint. — Ce festin des morts et de ceux qui doivent mourir , est d’un effet terrible. Le poète a poussé si lo
ée dans les molles voluptés de ce siècle amoureux et dévot, puis elfe meurt comme une sainte, laissant une mémoire respectée,
onne comme elle sonnerait pour les morts, Louise de la Miséricorde va mourir , on n’attend plus que l’absolution du prêtre. Le
d ses enfants lui demandaient des nouvelles de leur mère : — Elle est morte , répondait M. de Montespan. Une scène auparavant,
pleuraient, comment s’enveloppaient dans leur chaste douleur, comment mouraient les femmes de Louis XIV ; il se fût dit que toute
lui-même dans ces flammes qui viennent de l’enfer. Eh quoi ! ce damné meurt sans avoir crié : Grâce ! pitié ! merci ! Il meur
Eh quoi ! ce damné meurt sans avoir crié : Grâce ! pitié ! merci ! Il meurt sans avoir courbé la tête ou fléchi le genou ! L’
r, ni les prières de son propre père parlant au nom d’une mère qui se meurt , nous sommes sûrs que la vengeance divine ne peut
87 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
a, choisit fort mal sa compagne, et fut très malheureux en ménage. Il mourut âgé de cinquante-trois ans, et non de cinquante-u
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
iable a sans doute pris son drap. Guillemette. Par mon serment il se mourra Tout parlant. Comment il escume ! Verrez-vous pas
ïde lui a fait recevoir le Capitaine : il s’appaise, & jure qu’il mourra d’impatience pendant le voyage de deux jours qu’i
deaux, des farces. Il reçut l’ordre de Prêtrise à quarante ans, & mourut à Poitiers en 1519. 11. Maître Pierre Patelin,
89 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
riorité de la plume sur le pinceau: il parle. Il ressuscite la vérité morte  ; il nous rend par la magie d’une langue éternell
on bonheur. En amour, il est permis d’être lâche. Molière, qui devait mourir d’un « cœur brisé, » comme disent les Anglais, se
t auxquels j’applaudis pour ma part de toute mon âme, la tragédie est morte . De temps en temps, le baiser du génie vient touc
90 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
lui était né un garçon. La nourrice, qui était seule dans le secret, mourut peu après ; et jusqu’à présent Lelio, qui est la
l se résout à différer encore de tout révéler à Pandolfo qui pourrait mourir d’effroi et de chagrin. ACTE DEUXIÈME. scène i.
sa parole sur ce point, il lui a tout expliqué. Ricciardo en a pensé mourir de rire et s’est montré joyeux de l’aventure. Teb
91 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
tausier le sut et s’emporta jusqu’à faire menacer Molière de le faire mourir sous le bâton. Le pauvre Molière ne savait où se
types vivants avec les personnages qu’ils inventent, des types qui ne meurent jamais, et qui sont connus de tous les peuples, q
e continue jusqu’au Malade imaginaire, moment fatal où le grand homme meurt victime de son art .et des déceptions de la vie.
92 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
’Hénault, il n’est resté que l’invocation à Vénus, l’auteur, avant de mourir l’ayant fait jeter au feu par scrupule religieux.
trats qui sont établis pour maintenir l’ordre dans un état, devraient mourir de honte en souffrant un scandale aussi intolérab
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
ien je lui suis chere, Vous prétendiez pour lui renoncer à me plaire, Mourir plutôt cent fois d’un désespoir jaloux... . . . .
ant vous secourir..... Léandre. Et faites-moi l’honneur de me laisser mourir . La Tante a raison. Les termes que Léandre emplo
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
il vécut, porta ce nom aussi. Ménechme. En accouchant de moi l’on vit mourir ma mere. Le Chevalier. La mienne est morte aussi
ccouchant de moi l’on vit mourir ma mere. Le Chevalier. La mienne est morte aussi de la même maniere. Ménechme. Je suis de Pi
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
quelque joueur qui vive de son gain, On en voit tous les jours mille mourir de faim, Qui, forcés à garder une longue abstinen
plus gros intérêt, à un enfant de famille qui lui promet que son pere mourra bientôt, & dans lesquelles l’Avare, après avo
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
a plus respectueuse. — Quoi ! Monsieur, lui dit-il, pouvez-vous faire mourir de désespoir une personne qui vous a été si chere
rd ses parents, se fait appeller le Marquis d’Orvigni, croit Mélanide morte , & devient amoureux de Rosalie, fille de Dori
97 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
i remet une cassette et une lettre que Flavio lui a confiées avant de mourir . Dans la lettre, Flavio raconte comment la jalous
longée dans le désespoir, veut tuer le traître ; après quoi, elle ira mourir sur le tombeau de son époux. Elle lui donne un re
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « De l’Imitation en général. » pp. 1-4
Regnard ait dit : Ci gît Maître Boileau, qui vécut de médire, Et qui mourut aussi par un trait de satyre : Le coup dont il fr
99 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [29, p. 54-59] »
ela est vrai, dit N*** nous ne pouvons mieux prendre notre temps pour mourir bons amis et dans la joie : notre mort fera du br
100 (1788) Molière (Dictionnaire encyclopédique) « article » pp. 588-589
es, tandis que l’événement devait arracher des larmes ; on sait qu’il mourut dans les bras de la piété, et qu’il s’en était re
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