que venez-vous donc faire ? Par votre ton bourgeois croyez-vous encor
plaire
? Vous seriez aujourd’hui mal reçu. Molière. Je
ir triste et froid. Bon Dieu ! Qu’est devenue Cette franche gaîté qui
plaisait
tant jadis ? La Vieille Thalie. Fi ! le ton exéc
La Vieille Thalie. C’est ce qu’on n’avait pas, quand vous crûtes me
plaire
. Molière. Mais Regnard et Dancourt, Brueis et Pa
ie. Quoi ? Parlez, qu’est-ce à dire ? Je sais bien que de moi l’on se
plaît
à médire2. Molière. On a tort ; et d’ailleurs vo
non, croyez-en Molière, Reprenez votre humeur, vous pourrez longtemps
plaire
Et par le naturel et par la vérité ; Laissez là c
e sont trop conformés à votre triste humeur ; Mais ils voulaient vous
plaire
; ils sont bien excusables : Vous pleuriez, ils o
e vous amuse ; Alors… La Vieille Thalie. Qu’entendez-vous, s’il vous
plaît
, par l’ennui ? Molière. Mais j’entends ce bon to
t, je crois, mieux définir. La Vieille Thalie. Brisons là, s’il vous
plaît
, il est temps d’en finir ; Nos goûts sont différe
e de son aïeul, mon protecteur auguste ; Adressez-vous à lui vous lui
plairez
, je crois. (À la vielle Thalie :) Pour vous, qui
ur, la Feinte par amour, les Jeux de l’Amour, etc., voilà ce qui doit
plaire
éternellement ! 2. Les reproches que l’on fait
ialogue plein de franchise et de vivacité, quoique un peu trop libre,
plaira
toujours aux connaisseurs. Mais, je le demande à
e de Russie. Le trait commun à tous les courtisans, c’est le désir de
plaire
, c’est au moins la crainte de déplaire ; mais ils
Louis XI, ni avec ceux de Louis XIII. Sully et Montausier n’ont voulu
plaire
ni au roi guerrier, ni au roi galant et dissolu.
vité de déplaire sans raison au roi honnête homme ; ils ont voulu lui
plaire
même quand il l’a fallu pour le servir utilement
our le servir utilement et honorablement. Nos quatre poètes ont voulu
plaire
au roi galant et magnifique ; ce fut leur tort. I
e au roi galant et magnifique ; ce fut leur tort. Ils n’ont pas voulu
plaire
au roi ambitieux et guerrier ; c’est leur mérite.
e de ses propres vertus. Tout cela est louable. D’ailleurs désirer de
plaire
à un roi galant, mais vaillant et glorieux, est l
u dans sa société, Ce fut le genre de conversation à laquelle elle se
plaisait
qui inspira au jeune poète ces contes auxquels on
ames du grand monde, donnaient à leurs jeunes amis, l’un l’exemple de
plaire
au roi, l’autre celui de plaire aux femmes qui pl
leurs jeunes amis, l’un l’exemple de plaire au roi, l’autre celui de
plaire
aux femmes qui plaisaient au roi : ce qui ramenai
un l’exemple de plaire au roi, l’autre celui de plaire aux femmes qui
plaisaient
au roi : ce qui ramenait toujours à plaire au roi
plaire aux femmes qui plaisaient au roi : ce qui ramenait toujours à
plaire
au roi. Molière et Boileau avaient besoin de la p
cepte d’Horace, utile dulci, est une utopie. Les arts ont pour but de
plaire
: être utile, instruire, moraliser, sont choses a
œur humain, comme les sculpteurs dans celle du corps, lis cherchent à
plaire
par l’émotion, et le degré d’émotion qu’ils excit
e que l’immoralité n’est pas souvent propre à exciter une émotion qui
plaise
. On peut même dire en général que l’ensemble en d
Milo. C’est en cela que le génie est créateur, quand il compose pour
plaire
quelque figure idéale, conforme à l’humanité, mai
absolument à quelques-uns de ses chefs-d’œuvre. Il voulait simplement
plaire
par son tableau de mœurs, et laisser ensuite chac
une chose si claire, si éclatante. Aussi a-t-il le rare privilège de
plaire
même aux esprits les moins cultivés, chez qui les
rois bien savoir si la grande règle de toutes les règles n’est pas de
plaire
, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but
, les Léda, les partitions les plus vantées, n’ont d’autre but que de
plaire
, même au risque de corrompre. 5. Voir M. Raynaud
t : « Il a outré souvent les caractères. Il a voulu par cette liberté
plaire
au parterre, frapper les spectateurs les moins dé
ere, lui vante les avantages de son art, & finit par dire : Vous
plairoit
-il de m’avancer le mois ? Ce trait seul vaut tou
Valere. Hé, doucement ! Maître Jacques. Comment, doucement ! Il ne me
plaît
pas, moi. Valere. De grace ! Maître Jacques. Vous
de robe à courte & longue queue. J’évente les beautés, & leur
plais
d’une lieue. Je m’érige aux repas en maître archi
! je ris.Vos ris ne sont point de mon goût, Et vos airs insolents ne
plaisent
point du tout. Vous êtes un faquin. Le Marquis.
tout. Vous êtes un faquin. Le Marquis. Vous êtes un faquin.Cela vous
plaît
à dire. Valere. Un fat, un malheureux. Le Marquis
vous vous moquez. Monsieur... Don Juan. Embrassez-moi donc, s’il vous
plaît
. Je vous prie encore une fois d’être persuadé que
est pour cette caleche à velours à ramage ? Mad. Adam. Oui, s’il vous
plaît
. Valere. Oui, s’il vous plaît.Je suis fort conte
s à ramage ? Mad. Adam. Oui, s’il vous plaît. Valere. Oui, s’il vous
plaît
.Je suis fort content de l’ouvrage ; (Bas à Hecto
-t-il donc, Monsieur, que je revienne ? Valere. Mais... quand il vous
plaira
. Dès demain : que sait-on ? Hector. Je vous avert
tenace ! Valere. Ecoutez ; je vous dis un secret qui, je crois, Vous
plaira
dans la suite autant & plus qu’à moi : Je vai
he de trouver : Et toujours mécontent de ce qu’il vient de faire : Il
plaît
à tout le monde, et ne saurait se plaire ; Toi do
ce qu’il vient de faire : Il plaît à tout le monde, et ne saurait se
plaire
; Toi donc qui vois les maux où ma Muse s’abîme,
ue l’Auteur du Jonas s’empresse pour les lire ? Pourvu qu’ils sachent
plaire
au plus puissant des Rois : Qu’à Chantilli Condé
e puis faire entrer, À leurs traits délicats se laissent pénétrer. Et
plût
au Ciel encor, pour couronner l’ouvrage Que Monta
âtre un agréable Auteur Qui, sans se diffamer aux yeux du Spectateur,
Plaît
par la raison seule, et jamais ne la choque. Mais
l’effort nécessaire pour amener autant de reconnoissances qu’il vous
plaira
d’en mettre dans votre piece. Elles peuvent être
rcissez en ce moment Le mystere que vous me faites. Seriez-vous ?...
Plût
au Ciel ! Dites-moi qui vous êtes. Ma niece... si
int. DÉMOCRITE. ACTE IV. Scene VII. Strabon. Depuis quand, s’il vous
plaît
, vivez-vous sans époux ? Cléanthis. Depuis près d
Argos. Strabon, à part. (haut.) Dans Argos.Dans Argos ! Et s’il vous
plaît
, quel nom Portoit ce cher époux ? Cléanthis. Por
qui parle de Charlot ? Oh ! réformez, réformez votre style, s’il vous
plaît
: je suis premier Maréchal-des-logis de la compag
elle-même. Parlez donc, ho ! mon Capitaine, bride en main, s’il vous
plaît
: pour Madame la Roche vous irez le galop, si vou
valerie. Que cela vous suffise : & plus de familiarité, s’il vous
plaît
... . . . . . . . . . . Reconnoissances en ré
asser sous les yeux du public, d’avec celles dont le simple récit lui
plaira
davantage. Moliere avoit besoin, dans son Etourdi
llage 271. Voici d’abord l’imitation de Molière : Philinte. Quand je
plaisais
à tes yeux ; J’étais content de ma vie, Et ne voy
e même ode, par J. J. Rousseau. Colette. Tant qu’à mon Colin j’ai su
plaire
, Mon sort comblait mes désirs. Colin. Quand je pl
n Colin j’ai su plaire, Mon sort comblait mes désirs. Colin. Quand je
plaisais
à ma bergère, Je vivais dans les plaisirs. Colett
fortune, Même sans se donner le moindre mouvement. Cette réflexion me
plaît
infiniment, Et coule dans mes sens... Mais quelle
mte, Si tu fais tant le fier, ce n’est pas là mon compte. Ma fille te
plaît
fort, à ce que l’on m’a dit : Elle est riche, ell
t : Elle est riche, elle est belle, elle a beaucoup d’esprit : Tu lui
plais
: j’y souscris du meilleur de mon ame ; D’autant
joue ? pourquoi se moque-t-on des soins inutiles qu’il se donne pour
plaire
, de ses transports jaloux, de ses déclarations, d
s, puisque c’est précisément l’âge auquel un homme peut se flatter de
plaire
à une femme raisonnable & déja formée, comme
sur-tout qu’Hortense est trop coquette, trop arrangée ; qu’elle veut
plaire
à tout le monde. La Marquise lui répond qu’il tro
s. Le Marquis. Hors chez vous. Quelle différence, par exemple ! Vous
plaisez
sans y songer : ce n’est pas votre faute. Vous ne
obligée à le paroître. Faites-la plus vieille, elle n’a plus de quoi
plaire
, elle cesse d’être intéressante, & nous n’avo
cene du premier acte : ACTE I. Scene I. Valere. Dites-moi, s’il vous
plaît
, la véritable cause Qui vous fait rejetter les pa
J’ai cru qu’à la maison le feu venoit de prendre. Mad. Grognac. Vous
plairoit
-il vous taire, & finir vos discours ? Lisette
caractere propre à toutes les nations. Le but de la comédie étant de
plaire
aux hommes & de les rendre meilleurs en leur
le du Malade imaginaire ; cependant le dernier ouvrage est certain de
plaire
chez un plus grand nombre de nations que le premi
va mon pot dont j’ai besoin. Mes gens à la science aspirent pour vous
plaire
, Et tous ne font rien moins que ce qu’ils ont à f
Vénus me regardoit avec des yeux jaloux : Chloé n’avoit pas su vous
plaire
. Horace. Par son luth, par sa voix, organe des am
s miens pour elle. Lydie. Le jeune Calaïs, plus beau que les amours,
Plaît
seul à mon ame ravie. Si le destin jaloux veut ép
. . . . . . . . . . . . . . . . Colette. Tant qu’à mon Colin j’ai su
plaire
, Mon sort combloit mes desirs. Colin. Quand je p
pprêté. On le mettra sans doute entre nous deux à table ; Ma sœur lui
plaira
mieux. — Bah ! Nous verrons toujours ! Des éperon
de ; car ce n’est pas sans peine, dit La Bruyère, qu’elles arrivent à
plaire
moins. Elles ne sont pas non plus naturellement n
miner, « Les filles, dit Fénelon20, naissent avec un désir violent de
plaire
; les chemins qui conduisent les hommes à l’autor
sser pour belle. Celle-là cherche à engager ; celle-ci se contente de
plaire
. La première passe successivement d’un engagement
C’est, pour le répéter, un déréglement de l’esprit ; la coquette veut
plaire
et passer pour belle ; elle s’entoure d’adorateur
Elle attache du crime au pouvoir qu’ils n’ont pas. Cependant un amant
plairait
fort à la dame, Et même pour Alceste elle a tendr
te que grande, plus grasse que maigre, d’une figure ordinaire, qui ne
plaît
qu’à une vue attentive, mais dont l’effet plus le
ersonne à sa flamme contraire Jusqu’au chien du logis il s’efforce de
plaire
. Avec quelle malicieuse bonhomie elle répond à B
e serait pas attaché à Henriette, si elle était aussi bête qu’elle se
plaît
à le dire. La façon même dont elle le dit, prouve
leur volonté, mais elles ne l’enfreignent pas. Cette soumission, qui
plaisait
alors, ne nous contenterait plus. Vous connaissez
r moi de tels propos je me ris simplement, Et l’éclat là-dessus ne me
plaît
nullement. J’aime qu’avec douceur nous nous montr
aisse Clarice debout : Carlin lui présente un tabouret. Madame, vous
plaît
-il de vous mettre à votre aise ? Nous n’avons qu’
cabinet, ouvre une armoire, y prend sa cassette, en tire ce qu’il lui
plaît
, croit la remettre où il l’a prise : il entend ab
venir mon beau-frere : C’est fort bien fait à vous. Ma sœur a de quoi
plaire
: Elle est riche en vertu. Pour en argent comptan
endre votre triomphe plus parfait. Monsieur, par la présente, il vous
plaira
payer à Damoiselle, en blanc, d’elle valeur reçue
in de l’œil sur ce petit papier : « Monsieur, par la présente il vous
plaira
payer Deux mille écus comptant aussi-tôt lettre v
cervelle vous a tourné en mon absence ? Tranion. Pourquoi, s’il vous
plaît
, demandez-vous cela, Monsieur ? Theuropide. Pourq
? n’est-ce pas mon fils ? Tranion. St ! un peu de patience, s’il vous
plaît
; laissez-moi continuer. Il m’assure que ce vieux
ordonnez cela. Theuropide. Que j’ordonne..... Tranion. Oui, s’il vous
plaît
, Monsieur, commandez qu’on lui casse la mâchoire
n, & prie qu’on me fasse voir la maison. Tranion. Mais, s’il vous
plaît
, Monsieur, je dois vous avertir d’une chose ; c’e
rneille. Tranion. Hé bien, tournez la tête, & regardez, s’il vous
plaît
, de votre côté : puisque vous ne pouvez appercevo
». Acte IV. Scene V. Crispin, à Eraste. Vous, Monsieur, s’il vous
plaît
, fermez porte & fenêtre ; Un éclat indiscret
t l’affaire. Trissotin. C’est qu’on fut malheureux de ne pouvoir vous
plaire
. Vadius. Il faut qu’en écoutant j’aie eu l’esprit
s de merveilleux appas. Vadius. Cependant nous voyons qu’elle ne vous
plaît
pas. Trissotin. Vous donnez sottement vos qualité
x plaisanter. Dortidius, toujours sérieusement. Non, d’honneur, il me
plaît
. Valere. Non, d’honneur, il me plaît.Et tu peux
eusement. Non, d’honneur, il me plaît. Valere. Non, d’honneur, il me
plaît
.Et tu peux t’en vanter ? Dortidius. Je te dis qu’
fin. Théophraste. Ah ! c’en est trop enfin.Eh ! Messieurs, s’il vous
plaît
. Dortidius. Plaisant original pour me rompre en v
compagnon, Où cette jeune demoiselle, Qu’en surnom Giraut on appelle,
Plut
fort à tous par les appas, De sa personne et de s
les intermèdes ne soient pas naturellement liés au sujet ; ce mélange
plut
par sa nouveauté, on eut peut-être de l’indulgenc
le, Y joue en admirable fille. La Brie* a des charmes vainqueurs, Qui
plaisent
à très bien de cœurs, La Duparc cette belle actri
qui a écrit cette conversation, de laquelle il était, a jugé qu’elle
plairait
davantage sous la forme qu’il lui a donnée que da
ère ; Que tu n’es rien moins que plaisant : Si tu savais un peu moins
plaire
, Tu ne leur déplairais pas tant. 1663. La Cri
beaux pas, et sa danse ; Enfin je ne décide rien De ce ballet qui me
plaît
bien. Cette pièce assez singulière, Est un improm
cessaires. Enfin où chacun a marqué si avantageusement son dessein de
plaire
au roi, dans le temps où Sa Majesté ne pensait el
plaire au roi, dans le temps où Sa Majesté ne pensait elle-même qu’à
plaire
, et où ce qu’on a vu ne saurait jamais se perdre
oujours d’avoir un génie supérieur pour juger sûrement de ce qui peut
plaire
au théâtre, et mériter un applaudissement général
re la liberté de choisir pour époux celui des trois princes qu’il lui
plaira
davantage. « Après avoir obtenu le consentement q
ux Que la feue aimable Baronne, Actrice si belle et si bonne, Et qui
plaisait
tant à nos yeux, Jadis ne l’aurait pas fait mieux
e du 11 mars 1662. Cet homme qui met en pratique, Quand il lui
plaît
l’art de musique, Ce Raisin, habile Troyen, Qui l
que personne y mît la main ; Le tout par des ressorts internes, Qui
plairaient
à des Holophernes, Et dont je fis lors quelque éc
e ; Les actrices et les acteurs, Pour mieux charmer les auditeurs, Et
plaire
aux subtiles oreilles, Y feront, dit-on, des merv
anse de Gros-Guillaume, ni la science du Docteur, il ne laisse pas de
plaire
quelquefois, et de divertir en son genre… Voilà,
mieux le monde, et savent que le grand art d’un médecin est l’art de
plaire
: Molière peut avoir contribué à leur ôter leur p
onnaisseurs admirent avec quelle adresse Molière avait su attacher et
plaire
pendant cinq actes, par la seule confidence d’Hor
son par ce nom se connaît, La Souche, plus qu’Arnolphe à mes oreilles
plaît
. CHRYSALDE. Quel abus de quitter le vrai nom de s
che de trouver ; Et toujours mécontent de ce qu’il vient de faire, Il
plaît
à tout le monde et ne saurait se plaire. Molière
de ce qu’il vient de faire, Il plaît à tout le monde et ne saurait se
plaire
. Molière, dit à Boileau, en lui serrant la main
u bruit. Abordez-le.Plaît-il ? (N’entendant plus rien.) Abordez-le.
Plaît
-il ?Les oreilles me cornent. (Se croyant seul.) L
e faites-vous les soirs avant qu’on se retire ? Sganarelle. Ce qui me
plaît
. L’intrigue est dans sa crise. Nous admirons l’a
ment. Le coup décisif va se porter : poursuivons. Valere. Ce qui me
plaît
.Sans doute on ne peut pas mieux dire. Cette répon
uste : & le bons sens paroît A ne vouloir jamais faire que ce qui
plaît
. Si je ne vous croyois l’ame trop occupée, J’iroi
qu’il a reçu des cieux ? Le sentiment d’autrui n’est jamais pour lui
plaire
; Il prend toujours en main l’opinion contraire,
Il s’agit de savoir quels sont vos sentiments. Choisissez, s’il vous
plaît
, de garder l’un ou l’autre : Ma résolution n’atte
ès bien fait de se guérir de sa malheureuse passion. Certes, vous me
plaisez
avec cette nouvelle. Outre qu’en nos projets je v
cile. Elle lui dit que si elle étoit fille, son bonheur seroit de lui
plaire
. Valere rit du compliment, parcequ’il croit Ascag
ma sœur, qu’elle en mourra, Si vous lui dérobez l’amant qui peut lui
plaire
. Eraste est un parti qui peut vous satisfaire.
pete, lisons tout, excepté nos modernes Romanciers : depuis qu’ils se
plaisent
à s’égarer dans les tombeaux les plus noirs, Thal
aucunes vues. Il en faut. Le fait est de savoir, d’un château, Ce qui
plaît
mieux à voir, ou des bois ou de l’eau. Damis. J’a
; Et de ce monde-là je voudrois m’arracher. Dorante. La retraite vous
plaît
? Le monde a pu vous plaire. Si vous pouviez, Mad
rois m’arracher. Dorante. La retraite vous plaît ? Le monde a pu vous
plaire
. Si vous pouviez, Madame, en dégoûter ma mere. Ma
arquise qui donne à jouer : il me vit, je lui plus ; je le vis, il me
plut
. Mad. Dubuisson. Il vous proposa quelques parties
bien & beau, Non toutefois sans l’avis de sa femme. Le fauconnier
plut
très fort à la Dame ; Et n’étant homme en tel pou
p; ne serions-nous pas mieux dans la maison ? Angélique. Vous ne vous
plaisez
qu’à me contraindre. Lisette. Elle a raison. Un p
oi, Monsieur, je ne veux pas être la dupe de cette affaire, s’il vous
plaît
: je démêlerai l’aventure, & vous me vengerez
pour en cas que vous y reveniais. L’Epine. J’y reviendrai quand il me
plaira
, Monsieur Charlot. Charlot. Quand il vous plaira,
viendrai quand il me plaira, Monsieur Charlot. Charlot. Quand il vous
plaira
, Monsieur de l’Epine ? L’Epine. Assurément, quand
l vous plaira, Monsieur de l’Epine ? L’Epine. Assurément, quand il me
plaira
. Charlot. Hé bian, revenez-y ; ce sont vos affair
es obstacles, a trouvé le moyen de s’introduire près d’elle et de lui
plaire
, le tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins
e tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins qu’il a pris pour lui
plaire
lui-même ; Agnès lui répond : Vraiment, il en s
gnès, quel qu’autre chose ? — Il m’a… — Quoi ? — Pris… — Eh ! — Le… —
Plaît
-il ? — Je n’ose. Et vous vous fâcherez tout de bo
que le choix est fait. Arlequin se présente, il n’a pas le bonheur de
plaire
à Scapin qui le renvoie, & qui entre ensuite
ens. (Il revient après avoir fait quelques pas.) Doucement, s’il vous
plaît
: cet homme a bien la mine D’avoir le sang bouill
t que je prenne vengeance : Ma foi, laissons le dire autant qu’il lui
plaira
; Au diantre qui pourtant rien du tout en fera. Q
e doute : Mon homme ne vient point ; peut-être il me redoute. Hélas !
plaise
au Seigneur qu’il soit sot à tel point, Qu’il me
ns si on nous la disputait davantage. La chanson est une fleur qui se
plaît
sous le ciel de la France : elle y réussit sans a
a faveur par de serviles adulations, mais l’homme de lettres qui sait
plaire
par le noble exercice de son talent. M. Laujon n’
sme doit être un des articles de la législation, et les hommes qui se
plaisent
à voir outrager Euripide, parce qu’il est trop gr
bon goût, la langue et les mœurs furent également outragés. À Dieu ne
plaise
que je parle, dans le sanctuaire des lettres, du
ie aura de plus raffiné, d’abord pour nuire à sa rivale, ensuite pour
plaire
toujours plus qu’elle-même : elle disputera sa po
faire ; et après qu’il vous l’aura inspiré, conduisez-moi ou il vous
plaira
… Mes compliments à M. Le Ragois. Je vous crois tr
Mais on serait également injuste envers madame de Maintenon, si on se
plaisait
à attribuer le chagrin de voir madame de Montespa
ns qu’elle y trouve sans me haïr. Elle me redonne au roi comme il lui
plaît
, et m’en fait perdre l’estime. Je suis avec lui s
protection indéfinie aux amis qu’il avait défendus contre la satire.
Plaire
au roi, servir ses propres amis, assurer un libre
ses propres amis, assurer un libre essor à leurs talents et au sien,
plaire
à Montausier même, furent trois succès que Molièr
appelle la muse du feuilleton ! Maintenant nous aborderons, s’il vous
plaît
, un terrain plus solide que le terrain de la fant
aît, un terrain plus solide que le terrain de la fantaisie. À Dieu ne
plaise
, cependant, que nous lui donnions un congé défini
sauf à voir, lui aussi, son arrêt cassé par les maîtres. — À Dieu ne
plaise
, que Votre Majesté se connaisse en vers mieux que
e la représentation de Tartuffe. — L’Anathème de Bossuet S’il vous
plaît
, entrons maintenant, d’un pas résolu, dans ce vas
urs, il a outré souvent les caractères ; il a voulu par cette liberté
plaire
au parterre, frapper les spectateurs les a moins
de combattant qui fût digne de répondre à ce rude docteur. À Dieu ne
plaise
que Bossuet ait reculé devant le génie et le cour
heure ; absolument il faut amuser ces esprits qui s’ennuient, il faut
plaire
à ces intelligences parfois très lentes ; plus d’
le enivrement de la victoire et de l’amour, nul ne pensait, à Dieu ne
plaise
! que toute cette grandeur devait finir. Dites-mo
e histoire courante de chaque jour, pour qu’elle puisse beaucoup nous
plaire
. D’où il suit que si vous avez beaucoup ri à cett
ne vous attendez pas que je le suive en cette lente agonie. À Dieu ne
plaise
que je sois, plus longtemps, le témoin de cet hor
t les petites maîtresses de la lecture de chaque matin, mais songez à
plaire
aux lecteurs sérieux ; alors vous parlerez comme
vif et bien senti, cette gaieté surabondante d’un jeune poète, sûr de
plaire
, et qui pourtant avait tout à créer : la langue,
, nous ne voulons pas faire une comédie ; nous voulons seulement vous
plaire
et vous amuser, Messeigneurs. Cette fois, pour co
ans réplique. — Il est résolu de se marier. — C’est une fille qui lui
plaît
et qu’il aime de tout son cœur. — Il l’a demandée
e même pas le souci de s’en informer. En pareille occasion, l’avare (
Plût
à Dieu que je les eusse ces dix mille écus !) se
gé de vous remettre une lettre ? — Rosine : Et de qui donc, s’il vous
plaît
? — Bartholo : Oh ! oh ! de qui ? de quelqu’un qu
er, pour étudier son beau visage. « Oui, levez-vous un peu, s’il vous
plaît
; un peu plus de ce côté-là ; le corps tourne ain
, le duc de Montausier, s’écrie avec orgueil en parlant d’Alceste : —
Plût
à Dieu que ce fût moi que Molière eût désigné ! N
nes petites gens tragiques ou comiques à leur propre génie. À Dieu ne
plaise
que je chagrine ces gloires naissantes, que je pr
uvez lire dans les Mémoires de Mademoiselle de Montpensier. S’il vous
plaît
aussi, vous remarquerez la belle tirade d’Éliante
e s’excuser, et relevant fièrement la tête en répondant : — Il ne me
plaît
pas, moi ! s’il y en a un seul, non pas au théâtr
’aimer un peu, tout seul ; elle répondit comme Célimène : — Il ne me
plaît
pas, moi ! Et alors, Molière, le cœur brisé, se s
e et charmante. Elle tient l’esprit en éveil, elle l’occupe, elle lui
plaît
, elle parle une langue à la fois claire et savant
homme dont la voix compte, et dont le jugement est un arrêt, il faut
plaire
avant de plaire à tout autre ; il faut qu’il vous
oix compte, et dont le jugement est un arrêt, il faut plaire avant de
plaire
à tout autre ; il faut qu’il vous estime et qu’il
andon et la naïveté de cette belle fille. Elle n’avait aucun souci de
plaire
, elle était belle sans y prendre garde ; assise o
ait-ce pas son grand-père lui-même qui l’avait induit, encouragé à se
plaire
en ce noble métier, comme disait M. Corneille dan
u spectacle : Avez-vous envie, lui dit-il, d’en faire un comédien ?
Plut
à Dieu, avait répondu le grand-père, qu’il fut au
comédien qu’il était, rebuté de sa propre famille ? Chaque jour il se
plaisait
davantage aux sourires de la petite Armande (c’ét
out. Lyon était alors, en grande partie, une colonie florentine. Pour
plaire
aux Italiens qui peuplaient cette ville, il plaça
aimait le théâtre, il se sentait roi dans sa petite république, il se
plaisait
à faire des harangues. Son grand bonheur, c’était
énité, de leur franchise, de leur cordialité joyeuse. Molière surtout
plaisait
par sa dignité, par son bon sens. On se sentait
manière des Italiens... Le discours fut charmant, plein d’adresse, et
plut
beaucoup. Cette première représentation se termin
cruelle que tous ces soins pourraient être perdus, que ces moyens de
plaire
, ces grâces, cet esprit qu’il avait développés en
t : la sève resta la même, mais la forme fut contenue. Sans cesser de
plaire
au peuple qu’il aimait, il sut charmer les hommes
t peu intelligent de ne voir là qu’une imitation littéraire ! S’il se
plut
tant aux Adelphes, s’il les relut souvent et entr
gnès, au deuxième acte, font ensemble un dialogue qui devait peu leur
plaire
. L’apparition de cette comédie fut, dans Paris, c
moins on l’écoutait. Tout ce qui lui avait manqué dans sa vie, il se
plaisait
à le réaliser sur la scène. Aussi n’aurons-nous p
s payer, et pour ainsi dire par charité, était une faveur qui pouvait
plaire
, sans doute, à des indigents; mais que ce n’était
leur arrangea en cinq jours sa comédie de l’Amour Médecin. La pièce
plut
, fut applaudie, tout Paris y courut. Les médecins
leau, La Fontaine, Ninon, Mme de la Sablière, le grand Condé, tous se
plaisaient
avec lui. Le vieux Corneille lui-même, si pauvre
la réputation d’un faiseur d’opéra. Par exemple, ceux-ci : Quand je
plaisais
à tes yeux, J’étais content de ma vie, etc. Ce s
rouble qu’ils me donnent. Hélas ! plus ils sont dangereux, Plus je me
plais
à m’attacher sur eux ! Par quel charme nouveau, q
plus revivre que dans son passé ? Je ne sais ; pourtant, qu’il dut se
plaire
au souvenir de ce temps où, comédien ambulant, pa
: Molière aimait ses planches, il aimait le public. D’ailleurs, il se
plaisait
à réaliser lui-même sa pensée... Qui donc aurait
du peuple, des grands, des provinces goûtées, Pourvu qu’ils puissent
plaire
au plus puissant des rois, Qu’à Chantilly Condé l
puis faire entrer, À leurs traits délicats se laissent pénétrer ! Et
plût
au ciel encor, pour couronner l’ouvrage, Que Mont
st vrai, et cet aveu ne coûte point à faire, que madame de Sévigné se
plaisait
à l’élévation plus qu’à l’attendrissement, et qu’
ance ne peut regarder que madame de Sévigné, et les éloges qu’elle se
plaisait
à donner aux fables du poète, à mesure qu’elles p
crits d’un des quatre amis. Dans le fait, Molière, Boileau et elle se
plaisaient
, s’estimaient et se recherchaient. Le 15 décembre
des armes à l’autre : « Voilà le beau naturel ; voilà les traits qui
plaisent
aux esprits délicats. Mais quoi de plus bas que s
disent des injures, des femmes qui se roulent sur la scène ; cela lui
plaît
mieux que l’éloquence la plus noble et la plus sa
soutenir sa troupe. On ne comprenait rien au Festin de Pierre ; il ne
plaisait
point « aux honnêtes gens, mais au peuple, qui ai
e et qui parle, ces flammes de l’enfer qui engloutissent un débauché,
plaisent
à leur imagination romantique. Mais, hélas ! elle
e que tout son sang soit sorti, et qu’elle meure 386 ». Ce spectacle
plaît
aux Espagnols, ou leur a plu à un certain moment
que, sont l’expression vive et fidèle d’une société ; une œuvre d’art
plaît
à un peuple, comme l’Iphigénie de Racine, lorsqu’
ue soit l’antiquité du vêtement dont elle s’affuble ; une œuvre d’art
plaît
à un peuple, comme Le Médecin de son honneur de C
ne œuvre d’art qui n’exprime pas un état social actuel et présent, ne
plaît
qu’à une élite de lettrés, comme l’Iphigénie de G
e plaît qu’à une élite de lettrés, comme l’Iphigénie de Goethe, ou ne
plaît
qu’à l’auteur et à sa famille, comme l’Alarcos de
èbre l’indépendance de la Muse, et s’imagine qu’elle chante où il lui
plaît
, quand il lui plaît, et de la manière qu’il lui p
de la Muse, et s’imagine qu’elle chante où il lui plaît, quand il lui
plaît
, et de la manière qu’il lui plaît ; le critique q
hante où il lui plaît, quand il lui plaît, et de la manière qu’il lui
plaît
; le critique qui dans l’âme d’Aristophane enferm
nn dans l’embrasure d’une fenêtre, lui dit : « Eh bien ! comment vous
plaît
-il ? » — « Exactement autant qu’autrefois », répo
e distingué, comme on dit en France aujourd’hui, est un sage qui veut
plaire
et qui plaît, comme l’oiseau chante, comme l’inse
omme on dit en France aujourd’hui, est un sage qui veut plaire et qui
plaît
, comme l’oiseau chante, comme l’insecte bourdonne
les sens, l’imagination, le cœur, étaient en jeu ; où l’émulation de
plaire
et d’étonner excitait les amours-propres ; où la
xaltée par les rivalités que le besoin de produire par l’émulation de
plaire
! Quelle académie a pu jamais faire pour la langu
u laconique, naturel ou plat, élégant ou grossier. Là, l’émulation de
plaire
fait qu’on se reprend, qu’on se corrige à l’insta
n, par votre seul arrêt, Heureux si vous voulez, malheureux s’il vous
plaît
. Est-il dans la nature que Tartufe s’interrompe
n, par votre seul arrêt, Heureux si vous voulez, malheureux s’il vous
plaît
. Est-il naturel, d’un autre côté, qu’Elmire inte
ait laconiques. Qui sont ces créatures ? Ariste. Mon oncle, s’il vous
plaît
, supprimez les injures. Ce sont..... Géronte. Ce
..Plaît-il ? Agnès. Ouf. Hé ! il m’a.... Quoi ? Pris.... Hé ! Le....
Plaît
-il ?Je n’ose : Et vous vous facherez peut-être co
lent. On me dira peut-être que le grand art d’un Auteur est de savoir
plaire
, & que, puisque les scenes amoureuses ravisse
près de lui me donne un nouvel être. Que cette idée est jolie ! Elle
plaît
tant à Lucile, qu’elle la répete dans les vers su
le n’est écrite que pour vous. Le Marquis. D’accord ; mais, pour vous
plaire
, il redevient aimable : Ses graces à mes yeux le
e : Il n’en a que le masque & le vernis perfide. Il ne songe qu’à
plaire
, & ne veut qu’éblouir : Vous seul savez aimer
lui dit-il avec un peu d’indignation, envie d’en faire un Comédien ?
Plût
à Dieu, répondit le grand-pere, qu’il fût aussi b
un vrai Philosophe, plein de probité, desinteressé, ne songeant qu’à
plaire
à son Prince & aux personnes du premier goût,
en qualité de Censeur rigide, il vouloit toûjours qu’on ne cherchât à
plaire
qu’aux personnes d’érudition & du goût le plu
comme c’étoit une coquette des plus aimables, qui avoit le talent de
plaire
à presque toutes les personnes qui la voyoient, &
, et la conclusion ridicule (4). » Et, là-dessus, lui ou ses amis se
plaisent
à nous faire admirer les charmes de cette logique
s deux. — Hippocrate dit celât — Oui. — Dans quel chapitre, s’il tous
plaît
? — Dans son chapitre… des chapeaux (19). Après
s yeux fermés. « Sur toute chose (dit un père de son fils), ce qui me
plaît
en lui, et en quoi il suit mon exemple, c’est qu’
nu ici pour cela. MARPHURIUS. Seigneur Sganarelle, changez, s’il vous
plaît
, cette façon de parler. Notre philosophie ordonne
t-à-dire des hypothèses fort hasardées, qui ont le funeste bonheur de
plaire
à Armande et à Philaminte. Mais dans tous ces pas
NTE. Pour les abstractions, j’aime le platonisme. ARMANDE. Épicure me
plaît
, et ses dogmes sont forts. BELISE. Je m’accommode
s les amitiés. Dans son enfance, composant de petites comédies, il se
plaisait
à les réciter et à amuser par ses récits spiritue
la louange du roi. Ce prologue fut très-applaudi de toute la cour, et
plut
beaucoup à Louis XIV. Mais celui qui donna la fêt
naisseurs admirèrent avec quelle adresse Molière avait su attacher et
plaire
pendant cinq actes, par la seule confidence d’Hor
mieux le monde, et savent que le grand art d’un médecin est l’art de
plaire
. Molière peut avoir contribué à leur ôter leur pé
ens l’embellit ; soit plutôt que le peuple, à qui Le Festin de Pierre
plaît
beaucoup plus qu’aux honnêtes gens, aime cette es
ommes éclairés ; et il fallut que le sage se déguisât en farceur pour
plaire
à la multitude. Le Sicilien, ou L’Amour peintr
pleinement et sans contradiction ; aussi est-ce une pièce faite pour
plaire
aux plus simples et aux plus grossiers, comme aux
. Voici ce qu’on trouve dans le prologue de cette critique : Molière
plaît
assez, c’est un bouffon plaisant, Qui divertit le
e ; et ce génie mâle, que l’âge rendait sec et sévère, s’amollit pour
plaire
à Louis XIV. L’auteur de Cinna fit à l’âge de 67
’elle ne peut l’être du langage propre à la comédie ; ce langage peut
plaire
, mais il ne peut jamais émouvoir, et l’on ne vien
ce qui est inurbanum. Ce Poète comique a une naïveté inimitable, qui
plaît
, et qui attendrit par le simple récit d’un fait t
leurs il a outré souvent les caractères. Il a voulu par cette liberté
plaire
au Parterre, frapper les spectateurs les moins dé
famille, qu’elle aime les vers avec passion, & que si Dorante lui
plaît
, c’est par le secours des vers qu’il emprunte de
x sans rougir me regarder en face ! Lisette. Pourquoi donc, s’il vous
plaît
, baisserois-je les yeux ? Dorante. Après l’exclus
Comte. Au petit campagnard.Soit ; mais d’un ton plus bas, S’il vous
plaît
: vos propos ne m’intéressent pas. Jusques-là le
arleront.Disposez de ma langue : Je la gouvernerai tout comme il vous
plaira
. Le Comte. Sur l’état de mes biens on t’interroge
1622; ainsi, vingt-trois longues années les séparaient Armande, pour
plaire
, était plus que belle, elle était jolie et gracie
elle n’est cependant qu’une qualité outrée de la femme ; le désir de
plaire
. Dans tout cœur d’homme, grand et noble, il y a d
et des intérêts représentés par des hommes, la femme doit chercher à
plaire
à tous, mais non à tous de la même manière; c’est
rés dans la salle des Gardes du vieux Louvre, & eut le bonheur de
plaire
, desorte que sa Majesté donna ses ordres pour l’é
r en vieux Gaulois ; faites-en la Traduction la plus plate qu’il vous
plaira
, pourvu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ces
elle. On fit appercevoir 10 Moliere, que le grand soin qu’il avoit de
plaire
au public lui ôtoit celui d’examiner la conduite
pour lui, que deux gros volumes qui ne contiendroient que ce qui peut
plaire
à ceux qui se piquent d’un air grave, & d’un
& comme ceux qui restoient ne furent pas en état de continuer, il
plut
au Roi de réduire en un seul corps la troupe du M
se montrer pour être aimé et de l’autre Arnolphe qui a passé l’âge de
plaire
et qui n’y songe même plus, le secret de la coméd
ès le trouve insupportable. Je n’ai rien à répondre. Oui, il pourrait
plaire
à Agnès s’il était autrement, mais c’est ainsi qu
l était autrement, mais c’est ainsi qu’il doit être et il ne doit pas
plaire
à Agnès. Je passe tout de suite à la différence c
Armande, lorsqu’elle philosophe comme elle le fait sur le mariage, se
plaît
surtout aux curiosités malsaines et aux propos sc
re, et a bien mis en effet dans L’École des femmes tout ce qu’il nous
plaît
d’y trouver aujourd’hui, y compris la lune ! « J’
À quarante-cinq ans, dit madame de Maintenon, il n’est plus temps de
plaire
, mais la vertu est de tous les âges… Il n’y a que
femme qui ne sente une différence entre les deux locutions, et ne se
plaise
à en discerner le caractère d’après les circonsta
uté, les désirs des sens étaient repoussés, le besoin, l’espérance de
plaire
commençaient à se faire sentir ; le prince, jeune
de la simplicité de la chambre qu’elle occupe ; mais elle ajoute : «
Plût
au ciel qu’il y en eut autant dans mon cœur, et q
e jeune personne n’effaçait la pureté du sien. » Madame de Genlis se
plaît
à décrire ailleurs les charmes physiques de madam
quand on me regarde de près, je parois moins jolie ; mais mon esprit
plaît
beaucoup. La Muse. A quoi sert-il ? La Fille. A
; que la folle Comtesse est une échappée du Philosophe marié. Mais je
plais
, il suffit. La Muse. Croyez-moi, on affichera peu
ton bonheur ! De sa voix le son séducteur12, Aidé du rare don de
plaire
, Attendrira Paris en sa faveur, Et fera passer
x prieres qu’on lui prodigue avant la piece. Il applaudit si elle lui
plaît
: il la siffle impitoyablement s’il la trouve mau
ard : cependant la piece du dernier triompha ; pourquoi. Parcequ’elle
plut
davantage. Prologues qui exposent l’avant-sce
& feuillette sa comédie, en disant :) Voilà un prologue qui ne me
plaît
point ; je n’en suis point content : tout cela me
r mettre en œuvre quelque idée heureuse, ingénieuse, délicate, qui me
plaise
, ne me dis rien du tout : ce long préambule que t
mplaisants aux méchants ; que, parce qu’Alceste a été conçu ainsi, il
plaît
encore malgré les ridicules que Molière lui a don
murer quand ils le lèsent. « Il connaît les hommes. » Mais, s’il vous
plaît
, pour ne plus être irrité par l’injustice qui vou
tant de là, il dit très logiquement et avec verve : « Mais, s’il vous
plaît
, de même que le vrai beau drame que Molière avait
nc cette philosophie ? Non : je tombe d’accord de tout ce qu’il vous
plaît
: Tout marche par calcul et par pur intérêt ; Ce
jugeons des autres et convenons que l’intention de l’auteur étant de
plaire
à des esprits corrompus, ou sa morale porte au ma
les produits d’une imagination débridée. Et de même qu’on pourrait se
plaire
aux actes du héros fantastique dont je parlais to
personnellement », parce que, quand on est un auteur comique, il faut
plaire
au parterre qui est composé d’hommes très médiocr
tes sur ce sujet : « … Convenons que l’intention de l’auteur étant de
plaire
à des esprits corrompus, ou sa morale porte au ma
la moyenne des mœurs de son temps est un excentrique. Mais, s’il vous
plaît
, le grand vicieux est un excentrique ; mais l’hon
filles ? Qui est-ce qui empêche les mères de les élever comme il leur
plaît
?… Force-t-on vos filles à perdre leur temps en n
mme est le potage de l’homme ; « la femme est faite spécialement pour
plaire
à l’homme. Si l’homme doit lui plaire à son tour,
mme est faite spécialement pour plaire à l’homme. Si l’homme doit lui
plaire
à son tour, c’est d’une nécessité moins directe ;
d’une nécessité moins directe ; son mérite est dans sa puissance ; il
plaît
par cela seul qu’il est fort. Ce n’est pas ici la
nature, antérieure à l’amour même ». Or « si la femme est faite pour
plaire
et pour être subjuguée, elle doit se rendre agréa
si toute l’éducation des femmes doit être relative aux hommes. » Leur
plaire
, leur être utile « bien se faire aimer et honorer
tout d’abord ; mais suivez bien. La femme doit être quelque chose qui
plaise
à l’homme. Si elle n’est pas quelque chose qui pl
ient estimées ; il ne leur suffit pas d’être belles, il faut qu’elles
plaisent
; il ne leur suffit pas d’être sages, il faut qu’
relatif aux hommes. Or, la femme n’ayant d’autre raison d’être que de
plaire
à l’homme et toute son éducation devant être rela
soit musicienne, chanteuse et danseuse dans la mesure où elle pourra
plaire
à son mari sans être admirée par les autres. Car,
re juste, qu’il ne s’agissait que de trouver, guidé par ce principe :
plaire
à son mari, ne pouvoir plaire qu’à son mari. Cuis
que de trouver, guidé par ce principe : plaire à son mari, ne pouvoir
plaire
qu’à son mari. Cuisine, office, couture, broderie
mais elle sera éduquée et elle le sera conformément à mon principe :
plaire
à son futur mari, ne plaire qu’à lui. Admettons q
lle le sera conformément à mon principe : plaire à son futur mari, ne
plaire
qu’à lui. Admettons que l’éducation par l’instruc
ues expérimentations et exercices domestiques : le babil, le désir de
plaire
, la psychologie mondaine, la coquetterie. Le bab
uetterie. Le babil, cela va de soi ; car remarquez que le but est de
plaire
. Or « le talent de parler tient le premier rang d
plaire. Or « le talent de parler tient le premier rang dans l’art de
plaire
; c’est par lui seul qu’on peut ajouter de nouvea
t pour la même raison. L’homme dit ce qu’il sait, la femme dit ce qui
plaît
; l’un pour parler a besoin de connaissances ; l’
s, comme déjà l’indique ce que nous venons de dire, c’est le désir de
plaire
. Ce désir est assez naturel chez les jeunes fille
utaires et pour aiguiser et former son goût par le désir continuel de
plaire
sans jamais exposer ses mœurs. » C’est conforméme
été, les manières qu’on prend avec tous les hommes ne laissent pas de
plaire
à chacun : pourvu qu’on soit bien traité, l’on n’
nts », c’est élémentaire ; il y a mieux. « … Dans le désir général de
plaire
, la coquetterie suggère de semblables moyens ; le
e sa femme ne sache rien, pour qu’il ne lui apprenne que ce qu’il lui
plaira
qu’elle sache, et surtout, ce qui est sa terreur,
s paroles d’Angélique dans George Dandin : « Je veux jouir, s’il vous
plaît
, de quelques beaux jours que m’offre la jeunesse
s la maison ; la seconde qu’à marier une fille à quelqu’un qui ne lui
plaît
pas, il y a danger pour le mari. La première thès
même est fondée en sottises. Ou, si l’on veut, la vraie gloire est de
plaire
trois siècles après sa mort à cinq ou six hommes
adoucissait en l’écrivant, et son Polyeucte a plu au XVIIIe siècle et
plaît
encore au nôtre par la « situation piquante de Pa
urait trop exciter et aiguillonner chez les jeunes filles le désir de
plaire
. Il y a sans doute à craindre qu’il soit chez ell
ans savoir qu’elle étoit l’épouse de son maître : il eut l’art de lui
plaire
: il eut l’art enfin de pousser l’aventure bien l
rs de sens ? Puisque vous voulez brûler la maison, faites ce qui vous
plaira
; mais je ne veux pas que vous brûliez la garde-r
« Bon jour, Maître Raimon : je vous veux raconter une chose qui vous
plaira
grandement. Et quoi ? répondit Maître Raimon. J’a
e I des dernieres Œuvres de Scarron. Un Gentilhomme de Grenade, qu’il
plaît
à Scarron de nommer Don Pedre, parcequ’il ignore
ne, Il faut que de ses yeux elle étouffe les coups ; Car, pour bien
plaire
à son époux, Elle ne doit plaire à personne. M
ouffe les coups ; Car, pour bien plaire à son époux, Elle ne doit
plaire
à personne. Maxime V. Hors ceux dont au mari la
plus rien qui ne blesse les yeux ? Pasquin. Oui, Monsieur, s’il vous
plaît
; car le Suisse à la porte Attend, pour la fermer
qu’il dit, par ma foi. Simon. Hem. Dave. Hem.Plaît-il ? Simon. Hem.
Plaît
-il ?Rêves-tu ? Dave. Hem. Plaît-il ? Rêves-tu ?T
. Dave. Hem.Plaît-il ? Simon. Hem. Plaît-il ?Rêves-tu ? Dave. Hem.
Plaît
-il ? Rêves-tu ?Très souvent dans les rues Je fais
s sont brouillés, brouillés à ne se voir jamais. Vous voyez qu’à vous
plaire
il fait tout son possible ; De l’état de son cœur
savoir...Il conçoit de l’ennui... Mais ne me brouillez pas, s’il vous
plaît
, avec lui. Simon. Je ne le saurai point ? Dave.
onner une plus grande louange ; c’est une marque qu’il a l’honneur de
plaire
à des personnes qui vous sont agréables, Messieur
e Montespan pour se rajeunir. — Elle danse, elle se pare. — Le roi se
plaît
à la parer. Cependant le roi et madame de Monte
dont il avait été épris, se prêtait aux illusions de la parure, et se
plaisait
à y ajouter sa magnificence. Une lettre de madame
r la comédie. S’il est un art digne d’attirer notre admiration, de
plaire
à notre esprit, et de charmer en même temps notre
ées à ce genre de comédie. Comédie de caractère. Un caractère ne
plaît
, n’intéresse sur la scène, qu’autant qu’il offre
ensibilité, Molière tout en instruisant ses spectateurs, a voulu leur
plaire
et leur causer de tendres émotions. Dans presque
t la puissance ont étonné et effrayé en même temps toute l’Europe, se
plaisait
à entourer l’église de la plus haute considératio
avoir si vos soins auront fait quelque chose. Je m’en vais, s’il vous
plaît
, vous attendre à l’écart. Scene XVI. Fernand
le sais. Mais chez vous que peut-il aller faire ? Répondez, s’il vous
plaît
. Fernand. Répondez, s’il vous plaît.Pardonner à
ller faire ? Répondez, s’il vous plaît. Fernand. Répondez, s’il vous
plaît
.Pardonner à son frere. Il étoit en courroux pour
écore...Il auroit tort de vous plus offenser. Mais, Monsieur, pour me
plaire
, il le faut embrasser ; Et toujours... Crispin.
présent ?... Fernand. A présent ?...A présent, descendez, s’il vous
plaît
; Je vous ouvre. Philipin. Je vous ouvre.Epions
ans tout cela, on ne voit guère cette initiative personnelle qu’on se
plaît
à attribuer au grand roi. Tous ces hommes, qui on
rix à ces qualités, c’est que la douceur y est unie à la force : elle
plaît
alors comme, dans l’ordre moral, la bonté jointe
onnés du public ; ils les consolent avec des pensions. Chapelain leur
plaît
toujours plus que Molière. Cette préférence se co
sent à un autre pouvoir ne le font guère que quand ils désespèrent de
plaire
à celui-ci. Cette protection est la seule utile,
ait que de permettre, d’aimer même la contradiction ; car un moyen de
plaire
au public, moyen un peu usé aujourd’hui, a été so
gent à rente. Vous savez qu’étant indigent, Et voulant toutefois vous
plaire
, Afin de trouver de l’argent. J’ai couru cent fin
voue, et dedans ma colère, Malgré moi je le dis, sans dessein de vous
plaire
, Le soleil ne voit rien dessus ni dessous l’air Q
t ; Vous ne savez que c’est d’une flamme constante ; Toute chose vous
plaît
et rien ne vous contente, Et votre esprit, flotta
D’un autre qui s’en va, les cris et les reproches. La nouveauté vous
plaît
, et ne se passe jour, Que vous ne fassiez naître
tesse Surmonte de Vénus et la grâce et l’adresse ; Lorsque même, pour
plaire
au grand Dieu des combats, Elle étale en dansant
ion D’engager tous les cœurs de France ? Chacun peut prétendre à vous
plaire
L’homme d’esprit et le badin, Et le brunet et le
nés l’ont reconnu par ses discours ; laquelle désirant, pendant qu’il
plaît
à Dieu lui laisser libre l’usage de sa raison, di
qu’ici je demeure Demi-mort, tremblant et jaloux ? Hélas ! s’il vous
plaît
que je meure Que ce soit au moins devant vous ! A
erreur j’abandonne ma foi, Et crois seul avoir droit d’aspirer à vous
plaire
. Mais si j’y trouve alors de quoi me satisfaire,
ne et ne déplaisais guère ; Quelquefois de soi-même on cherchait à me
plaire
; Je pouvais aspirer au cœur le mieux placé, Mai
un talent et qu’elle déplut au public. Mais n’était-ce point assez de
plaire
à Molière ? Par malheur pour lui, c’étaient là de
eu tout comme une simple mortelle. « Ce considéré, Monsieur, il vous
plaise
permettre auxdits suppliants de faire informer du
t si bien et avait un si grand air de noblesse et d’autorité, qu’elle
plaisait
toujours infiniment par le mérite extraordinaire
nces se font une famille. Il paraît que la demoiselle voulait surtout
plaire
. « Tu ne te mêleras de rien. Ce sont mes affaires
ent concurrents, cherchant à s’arracher le public. Jeanne Bourguignon
plut
si fort aux nobles, bourgeois et manants de la ci
neuf, gagiste de la troupe18. » Mlle Beauval n’eut pas le bonheur de
plaire
au roi, mais elle avait plu à Molière, qui pour e
ne I. Je suis Jupiter ; je prends la figure d’Amphitrion quand il me
plaît
, paroissant ainsi par rapport à vous, afin de con
aire. Si, par bonheur, j’ai pu vous divertir, Si mon babil a su vous
plaire
, Daignez le témoigner tout haut. Si je vous dépla
ere, Que tu n’es rien moins que plaisant ; Si tu sçavois un peu moins
plaire
, Tu ne leur déplairois pas tant. L’Amour Médeci
x le monde, & sçavent que le grand art d’un Médecin, est l’art de
plaire
. Moliere peut avoir contribué à leur ôter leur pé
esoins de son théâtre, il a dû se résigner à ne pas se contenter pour
plaire
au public, et renoncer à l’instruire pour l’égaye
le premier jour, ce qui a charmé les contemporains de Molière, ce qui
plaît
aux spectateurs d’aujourd’hui. La fantaisie ainsi
progrès de la fortune de la gouvernante n’était sans doute pas ce qui
plaisait
le plus à madame de Montespan, dans l’élévation d
ccordait ; elle devait donc de la reconnaissance à la gouvernante qui
plaisait
trop au roi. Elle était placée entre cette reconn
rés dans la salle des Gardes du vieux Louvre, & eut le bonheur de
plaire
, de sorte que sa Majesté donna ses ordres pour l’
r en vieux Gaulois ; faites en la traduction la plus plate qu’il vous
plaira
, pourveu qu’elle soit fidelle, vous verrez que ce
d’elle. On fit appercevoire Moliere, que le grand soin qu’il avoit de
plaire
au public lui ôtoit celui d’examiner la conduite
re avec l’audience de l’homme ou du Dieu consulté, soit qu’il ne leur
plaise
plus de la continuer, ou que personne ne se prése
r ma douleur. Orphise. L’homme dont vous parlez, loin qu’il puisse me
plaire
, Est un homme fâcheux, dont j’ai su me défaire. J
J’ai dessein de lui faire Quelques vers, sur un air où je la vois se
plaire
. . . . . . . . . . . (Deux fâcheuses viennent l’i
d’Albikrac. Une vieille femme se croit encore jeune, a l’ambition de
plaire
à tout le monde, & s’en flatte aisément. Une
su combien je lui suis chere, Vous prétendiez pour lui renoncer à me
plaire
, Mourir plutôt cent fois d’un désespoir jaloux...
jamais ne doutera. Léandre. J’ai dit, vous avez vu tout ce qu’il vous
plaira
; Mais je ne vous aimai cependant de ma vie. La T
ces lieux montrer votre science ? Toutabas. Oui, Monsieur, s’il vous
plaît
. Géronte. Oui, Monsieur, s’il vous plaît.Et vous
s. Oui, Monsieur, s’il vous plaît. Géronte. Oui, Monsieur, s’il vous
plaît
.Et vous ne craignez pas Que j’arme contre vous qu
emain pour la seconde fois. Géronte. Reviens. Toutabas. Reviens.Vous
plairoit
-il de m’avancer le mois ? Géronte, le poussant to
ces bourrus atrabilaires ? Strepsiade. Doucement, mon fils, s’il vous
plaît
: ne dites point de mal de ces Sages qui ont tant
aroît. Dieu le Pere. Celui-ci c’est mon fils aimé Jesus, Qui bien me
plaît
, ma plaisance est en lui. Les Scudéri, les Desma
de doute : Mon homme ne vient point, peut-être il me redoute. Hélas !
plaise
au Seigneur qu’il soit sot à tel point, Qu’il me
es donnant pour des comédies, je doute que, si dès-à-présent elles ne
plaisent
pas aux personnes de goût, elles puissent dans la
était impuissante à satisfaire leur fantaisie, et Poquelin, pour leur
plaire
, inventa Le Docteur amoureux, Le Maître d’école e
. Il lui semblait qu’il devait continuer ce spectacle à machines, qui
plaisait
tant à Monseigneur le cardinal ; c’est pourquoi i
ée. Ariste est un sage et Sganarelle est un jaloux : le premier, pour
plaire
à Léonor, qu’il veut épouser, lui prodigue les pe
nte. Il n’y avait rien de plus charmant qu’Armande quand elle voulait
plaire
. Il est vrai qu’aujourd’hui, à force d’adorations
e ; il est sérieux, elle est gaie et folâtre ; il se fâche, elle veut
plaire
. Et d’ailleurs, il s’était moqué le premier du ma
la supériorité du mérite. La plus sanglante satyre étoit donc sûre de
plaire
à ce peuple jaloux, lorsqu’elle tomboit sur l’obj
& la facilité : Plaute toûjours varié, n’a pas toûjours l’art de
plaire
; Térence trop semblable à lui-même, a le don de
que, le peuple d’Athenes, toûjours inquiet & mécontent, devoit se
plaire
à voir exposer sur la scene, non-seulement les vi
roi Charles VI. voulut voir quelques-unes de leurs pieces : elles lui
plurent
, & ils obtinrent des lettres patentes du 4 Dé
û à Etienne Jodelle, qui composa la piece intitulée la rencontre, qui
plut
fort à Henri Il. devant lequel elle fut représent
d’une maxime utile. Voilà le public à qui Aristophane se proposoit de
plaire
. Ce n’est pas qu’il n’eût pu s’il eût voulu, réfo
igreur, Sans fiel & sans venin sçut instruire & reprendre, Et
plut
innocemment dans les vers de Ménandre. La muse d
grossieretés, se vit obligé de sacrifier au goût regnant. Il falloit
plaire
, & le nombre des connoisseurs étoit si petit,
r, Amphitrion, y trouvoit mille appas. Amphitrion. Ensuite, s’il vous
plaît
? Alcmene. Ensuite, s’il vous plaît ?Nous nous e
. Amphitrion. Ensuite, s’il vous plaît ? Alcmene. Ensuite, s’il vous
plaît
?Nous nous entrecoupâmes De mille questions qui p
Modere-toi, je t’en supplie : Sosie, épargne un peu Sosie, Et ne te
plais
point tant à frapper dessus toi. Mercure. Qui, d
ier, lui présentant sa bourse. Tenez, Monsieur, prenez par où il vous
plaira
. Grapignant. Ah ! vous me comblez ! Et puisque vo
fortune, Même sans se donner le moindre mouvement. Cette réflexion me
plaît
infiniment, Et coule dans mes sens... Mais quelle
is naïf qui prie la dame de se servir toujours du même rouge, afin de
plaire
à son protecteur, & ne pas le mettre dans le
; qui n’a plus pour lui que de l’indifférence. D’Orval, désespéré de
plaire
à Constance, & craignant d’être deviné par Ro
l’hospitalité... » Constance se récrie sur le bonheur qu’elle a de
plaire
à son amant, elle trouve mal fondée la crainte qu
mi celles qui restent, & à en composer un ouvrage qui puisse nous
plaire
. « Je voudrois bien qu’on eût une douzaine de par
e mot qui les exprime est l’abrégé de toutes. L’amour d’une femme qui
plaît
et se respecte a des charmes incomparables avec c
occasion : voilà un maréchal de France. Donnez à une femme le don de
plaire
, un peu d’amour, un grand respect d’elle-même aff
de madame Scarron comme l’époque de la naissance d’un vif désir de se
plaire
réciproquement, désir qui n’a cessé de faire des
de la monarchie absolue qui est triomphante qui est indiscutée et qui
plaît
, étant représentée par un jeune homme charmant, b
solue, tout aussi triomphante, tout aussi indiscutée, mais où elle ne
plaisait
guère plus à personne, étant lourde, morose et tr
des représentants les plus exacts et il s’est infiniment complu à lui
plaire
. L’homme Molière était Parisien, né au cent
anthrope et le Chrysale des Femmes savantes. Le style de l’Étourdi ne
plaisait
pas du tout à Voltaire qui y trouvait des fautes
m d’Horace. « Elles sont enfin devenues des lieux communs, mais elles
plaisent
toujours. » Il y a dans le Dépit amoureux un pers
e ans et elle se serait ensevelie dans son triomphe. Que Molière nous
plaise
encore cela prouve surtout qu’il n’a corrigé pers
on, et admirable par l’adresse avec laquelle Molière a su attacher et
plaire
pendant cinq actes par la seule confidence d’Hora
n. Mais toute pièce à la fois très belle et très nouvelle ne peut pas
plaire
à la foule en sa nouveauté. Cela peut consoler de
plus comiques que l’on ait jamais vues sur aucun théâtre. La pièce ne
plut
pas dans sa nouveauté parce que c’était une grand
pour lui nous entretienne, doit être reconnue comme faisant trou. Il
plut
des libelles contre Molière à l’occasion de Tartu
frémir quand on songe jusqu’où il fallait que Molière s’abaissât pour
plaire
soit à la cour, soit au parterre. L’homme qui ava
très agréable traduction du Donec gratus eram d’Horace : — Quand je
plaisais
à tes yeux, J’étais content de ma vie, Et ne voya
ur la même raison ou une raison très analogue, et les Femmes savantes
plairont
toujours à ceux qui n’ont point d’instruction, qu
s paroles d’Angélique dans George Dandin : « Je veux jouir, s’il vous
plaît
, de quelque nombre de beaux jours que m’offre la
à me soumettre en esclave à vos volontés, et je veux jouir s’il vous
plaît
… » Réduite à une plaidoirie pour un cas particul
particulier, et elle n’est guère qu’un admirable portrait, et elle ne
plaît
pas beaucoup parce que plus ou moins consciemment
ant un sourire approbateur. Dans la Princesse d’Élide, peut-être pour
plaire
au jeune Louis XIV, il nous montre un jeune princ
sent la même chose. Rousseau : « […] l’intention de l’auteur étant de
plaire
à des esprits corrompus, ou sa morale porte au ma
t. C’est le but qui trace le chemin. Pour Molière le grand but est de
plaire
. Racine dira la même chose. Molière le dit à plus
rais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n’est pas de
plaire
et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but
y prend ? » — « Car enfin, si les pièces qui sont selon les règles ne
plaisent
pas et que celles qui plaisent ne soient pas selo
es pièces qui sont selon les règles ne plaisent pas et que celles qui
plaisent
ne soient pas selon les règles, il faudrait de né
examiner si elle est bonne sur les préceptes du Cuisinier Français.»
Plaire
, voilà qui est bien ; mais plaire à qui ? Molière
préceptes du Cuisinier Français.» Plaire, voilà qui est bien ; mais
plaire
à qui ? Molière répond : à la Cour et au parterre
ne suis justiciable que du bon sens et de l’expérience. Il veut aussi
plaire
à la Cour et il sait bien pourquoi : « Achevez, M
tice du siècle et le peu de lumière des courtisans. Sachez, s’il vous
plaît
, Monsieur Lysidas, que les courtisans ont d’aussi
able ; indifférence à. l’endroit des règles ; se proposer pour but de
plaire
à ceux qui connaissent la vie et par conséquent f
), devant Madame de Pompadour, disait à Louis XV quelque chose qui ne
plaisait
pas à la marquise et qu’elle ne voulait pas qui f
qu’il a reçu des cieux ? Le gentiment d’autrui n’est jamais pour lui
plaire
; Il prend toujours en main l’opinion contraire.
intes contre la société : […]Je tombe d’accord de tout ce qu’il vous
plaît
: Tout marche par cabale et par pur intérêt ; Ce
imène. Même en disant du mal de lui elle indique très bien ce qui lui
plaît
en lui et ce qui la pique : « Pour l’homme aux ru
lle quitte et dans ce monde auquel il veut qu’elle renonce qu’il peut
plaire
plus qu’ailleurs à Célimène dans la mesure où ell
moi, de tels propos je me ris simplement, Et l’éclat là-dessus ne me
plaît
nullement ; J’aime qu’avec douceur nous nous mont
famille commande et tient haut le bâton. Dans cette maison qui ne lui
plaît
pas beaucoup, elle s’est confinée dans une demi-s
e ville, Qu’en oncles et cousins vous trouverez fertile, Et vous vous
plairez
fort à les entretenir. D’abord chez le beau monde
par votre seul arrêt, Heureux, si vous voulez, malheureux, s’il vous
plaît
. ou sortira de la maison d’Orgon avec ces vers t
s-tu pas roué de coups ? Ah ! Tout cela n’est que trop véritable ; Et
plût
au ciel le fût-il moins ! Gesse donc d’insulter a
proverbiale à l’époque de Molière. Fût-il bien endormi ! veut dire :
Plût
à Dieu qu’il dormit en paix ! que rien ne troublâ
lorsque Arnolphe s’écrie : La Souche plus qu’Arnolphe à mes oreilles
plaît
… J’y vois de la raison, j’y trouve des appas ; Et
ne me suis emparé de celui de personne. Pour entendre Molière, je me
plais
à le répéter, il faut connaître sa vie, ses habit
lui dit-il avec un peu d’indignation, envie d’en faire un comédien ?
Plût
à Dieu, lui répondit le grand-père, qu’il fût aus
ort, a tenu plus sûrement le théâtre comique que M. Baron ? Le roi se
plaisait
tellement aux divertissements fréquents que la tr
spectacles, caressé de toute la cour ; il s’embarrassait fort peu de
plaire
ou non à la Molière : elle ne le négligeait pas m
pars dans ce moment, leur dit-il, pour l’en informer. » Ce dessein ne
plut
nullement à Hubert, qui tremblait encore. Quand l
se impitoyablement dans mes peines ; et occupée seulement du désir de
plaire
en général, comme toutes les femmes, sans avoir d
ous n’avez que cela à faire. Mais si vous étiez, comme moi, occupé de
plaire
au roi, et si vous aviez quarante ou cinquante pe
p de plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, assuré que ce qui
plaisait
au roi était bien reçu des connaisseurs, et assuj
cet article-là. Il vivait en vrai philosophe, et, toujours occupé de
plaire
à son prince par ses ouvrages, et de s’assurer un
ment inviolable pour la personne du roi ; il était toujours occupé de
plaire
à Sa Majesté, sans cependant négliger l’estime du
vait à divertir, le courtisan, le savant, et le bourgeois. La cour se
plaisait
aux spectacles, aux beaux sentiments, de la Princ
ondissent au dessein qu’il pouvait avoir, en donnant une pièce, ou de
plaire
à la cour, ou de s’enrichir par la foule, ou de s
t du rôle de La Flèche, de qui Harpagon dit par allusion : « Je ne me
plais
point à voir ce chien de boiteux-là. » Comme Béja
en prise, un air libre et dégagé, et, sans l’ouïr parler, sa personne
plaît
beaucoup. Il passe avec justice pour très bon act
Béjart. Cette observation détruirait les calomnies que Montfleury se
plut
à répandre sur Molière, lors même qu’on n’aurait
t une vérité certaine. Mademoiselle Beauval n’eut pas le bonheur de
plaire
au roi à Chambord ; Sa Majesté s’en expliqua à Mo
mmer gouverneur de Guienne. Il aimait passionnément la comédie, et se
plaisait
même à imaginer des sujets propres à la scène ; d
mes qu’elle veut jouer ; mais enfin, avec tous ces avantages, elle ne
plairait
pas tant si sa voix était moins touchante ; elle
tienne ! (tome II, page 48.) 94. Ce fait est singulier, piquant ; il
plaît
à notre malice, en nous offrant une preuve signal
ges. Un jour, à la lecture de ce vers de Boileau parlant de lui : Il
plaît
à tout le monde, et ne saurait se plaire, il s’é
Boileau parlant de lui : Il plaît à tout le monde, et ne saurait se
plaire
, il s’écria, serrant la main du satirique ; « Vo
a postérité lui sera redevable de la belle comédie ! il a su l’art de
plaire
qui est le grand art ; et il a châtié avec tant d
nt-Germain, lui a administré les sacrements à Pâques dernier, il vous
plaise
de grâce spéciale accorder à ladite suppliante qu
it en définitive à ceci : la grande règle de toutes les règles est de
plaire
; une pièce de théâtre qui plaît, doit être selon
e règle de toutes les règles est de plaire ; une pièce de théâtre qui
plaît
, doit être selon les règles par cela même qu’elle
e théâtre qui plaît, doit être selon les règles par cela même qu’elle
plaît
; car autrement, il faudrait de toute nécessité q
où elle n’avait pas de goût pour Molière, où les farces vulgaires qui
plaisent
toujours si fort au Marquis, la charmaient mille
té. Car elle sait que ces choses-là ne sont point belles, si elles ne
plaisent
qu’à ses sens ou ne touchent que son cœur, sans p
r que ce ne soit un peu impoli. — Quelle chose donc, Socrate, s’il te
plaît
? — C’est que la rhétorique me semble une profess
d la présente école. Au lieu de lire Uranie, lisez donc, si cela vous
plaît
davantage, la critique qui a pour principe le goû
nt, spirituellement, éloquemment, prenez tous les adverbes qu’il vous
plaira
, et qui ne passeraient point par-dessus la rampe.
tirer sur les hommes de son temps. Nous pourrions, autant qu’il nous
plairait
, multiplier ces exemples ; je me borne à vous ouv
ment assez bon helléniste pour le lire couramment, avec chance de m’y
plaire
. Les Précieuses ridicules, sous cette nouvelle fo
. M. Perrin l’a effacé tant qu’il a pu de L’École des femmes et, pour
plaire
à son public des mardis, il a saccagé une scène,
rtistes, plus amoureux de la gloire du théâtre que du gain, et qui se
plaisent
à satisfaire un public choisi. Ce public a été e
aris trompés. Il a lu tous les fabliaux de nos vieux conteurs ; il se
plaît
à conter les bons tours des femmes, et quand on l
d’une passion violente pour ce jeune tendron. Remarquez-le, s’il vous
plaît
. Arnolphe, au début, n’aime point Agnès. Elle lui
le, s’il vous plaît. Arnolphe, au début, n’aime point Agnès. Elle lui
plaît
, cela va sans dire. Mais il voit en elle surtout
atique. Est-ce à dire que je fasse peu de cas de Don Juan ? À Dieu ne
plaise
! et si on l’attaquait, c’est moi, qui le premier
dont il attendait plus d’effet. Et parfois même, quand le rôle ne lui
plaisait
pas, il ne détachait rien du tout, il enveloppait
Affaire Clémenceau, de Dumas fils. Ida a eu tant d’amants, qu’elle se
plaît
à les réunir à la table de son mari, et que la sa
, Tartuffe, dans l’idée de Molière, est un homme du monde et qui peut
plaire
. Sans être un damoiseau, Tartuffe est fait de so
mais qui sait aussi qu’elle arrêtera les choses d’un mot quand il lui
plaira
. Aussi, Tartuffe quand il voit la main repoussée
élicieux, admirable, étonnant, prodigieux ; entassez, tant qu’il vous
plaira
, toutes les épithètes de Mme de Sévigné. Mais il
ssé, pour M. Weckerlin : mais nous, nous avons beau faire pour nous y
plaire
; c’est de la musique d’enterrement. Tous ces bal
ui a, depuis de longues années, abdiqué au théâtre toute prétention à
plaire
. Il ferait éclater de rire sur les lèvres de Mme
e gentilhommerie. Une honnête femme refuserait, elle accepte ; il lui
plaît
de manger le repas de l’un en se donnant à l’autr
it écrit une belle tirade sur l’incompétence des femmes du monde à se
plaire
au grec dont elles ne savent pas le premier mot ;
— Et vous l’avez accepté ? s’écrie le frère. — Moi, point ; à Dieu ne
plaise
. — Et qu’avez-vous répondu ? — Rien… C’est ce rie
ls, les camarades !). On vous a trompé, cher ami. On ne peut, hélas !
plaire
à l’Académie et aux camarades, ce serait trop ! J
Académie et aux camarades, ce serait trop ! Je m’efforce seulement de
plaire
aux spectateurs, et suis, par leur accueil, oblig
us qu’à s’incliner. Huit rappels, et des rappels de Serbes, s’il vous
plaît
, c’est une raison qui vaut le sans dot du maître.
nterprétations très différentes. Vous pouvez fouiller tant qu’il vous
plaira
un personnage de Molière et en tirer toute l’arde
II, iv.) Du Misanthrope : Est-ce à moi, s’il vous
plaît
, que ce discours s’adresse ?
e la Comédie. C’est Voltaire qui a dit, je crois, que celui qui ne se
plaît
pas avec Regnard n’est pas digne d’admirer Molièr
irions plus volontiers : « Celui qui admire sincèrement Molière ne se
plaira
que médiocrement avec Regnard. » Imitatores servu
l’amour et du hasard respire comme un frais souffle de Comme il vous
plaira
. « Croyez que Bénédict pourrait très bien souteni
définitivement abolie la mémoire des mœurs qu’il a peintes. Marivaux
plaira
toujours à la foule, non pas à la grosse foule, m
ce manège, ce tatillonnage bien mené et semé d’accidents gracieux qui
plaît
à des esprits délicats. — Vous y viendrez ! — V
andon et la naïveté de cette belle fille. Elle n’avait aucun souci de
plaire
, elle était belle sans y prendre garde. Assise ou
Pourquoi lui savoir mauvais gré de s’être donné tant de mal pour nous
plaire
? N’y a-t-il pas vingt sortes de naturels ? Mariv
uve, c’est qu’au théâtre, s’il est le régal des plus connaisseurs, il
plaît
encore au grand public ; c’est que Le Jeu de l’am
uvre Silvia, sa femme, c’était à la scène le type du galant homme. Il
plaisait
surtout par l’aisance et l’absence d’affectation.
enne compte de vos préjugés, puisque c’est à vous, public, qu’il veut
plaire
. Il est donc obligé de faire une moyenne entre le
tte longue conversation, que conclure ? Mon Dieu ! tout ce qu’il vous
plaira
. Nous causons ; chacun expose ses idées, fait ses
gresse dans la scène finale : Sylvia est sure de son captif ; elle se
plaît
à l’éprouver pour s’offrir à elle-même le régal c
pour rien. Que de choses dans ce dialogue ! Mais notez-le, s’il vous
plaît
, que de choses déjà sues, admises, consacrées ! Q
aisait longueur : « Mon Figaro, dit-il, s’est mis en quatre pour vous
plaire
. » Et en vingt-quatre heures, de cette œuvre siff
es de faire recette. On la jouait plus généralement le dimanche. Elle
plaisait
singulièrement au public de ce jour-là. J’étais b
Mais il faut bien ajouter que c’est un défaut qui est fait pour nous
plaire
, à nous autres Français, et qui flatte nos plus s
homme et sa faiblesse d’esprit, il devait commettre l’assassinat pour
plaire
à sa maîtresse, et perdre ensuite la raison, quan
était entêté de la qualité. Un marquis pouvait faire tout ce qui lui
plaisait
, il n’en était pas moins M. le marquis. Il faisai
ille bien affâble, en s’arrêtant longtemps sur l’â ; car les spondées
plaisent
aux oreilles dijonnaises. » Cette force, cette r
u vaudevilliste. Il était une fille, Une fille d’honneur Qui
plaisait
fort à son seigneur. En son chemin rencontre
t être fort long. Je vois bien encore que nombre de scènes qui ont dû
plaire
énormément au public du dix-huitième siècle ont p
parterre, il était accoutumé à une comédie si différente, et qui lui
plaisait
depuis si longtemps, qu’il aima mieux, comme il a
t introduire était celui de la bonne comédie, sentit aussi qu’elle ne
plairait
qu’à force d’être entendue, il se raidit contre l
. « Quoiqu’il fût très agréable en conversation, lorsque les gens lui
plaisaient
, il ne parlait guère en compagnie, à moins qu’il
icatesse de la multitude dans ses pièces, dont les caractères chargés
plaisent
toujours au plus grand nombre, et où les gens de
’un peu d’affectation, mais auxquels on s’accoutuma. Non seulement il
plaisait
dans les rôles de Mascarille, de Sganarelle, d’Ha
ommes éclairés, et il fallut que le sage se déguisât en farceur, pour
plaire
à la multitude. » Lettre en vers de Robinet du 1
du Médecin malgré lui : Pour changer de propos, dites-moi, s’il vous
plaît
, Si le temps vous permet de voir la comédie ? Le
éussit pleinement et sans contradiction ; aussi est-ce une pièce pour
plaire
aux plus impies et aux plus grossiers comme aux p
cela, Était aussi, par-ci, par-là, De beaux pas, de ballet mêlée, Qui
plurent
fort à l’assemblée, Ainsi que les divins concerts
aussi la mémoire. À l’Hôtel * le sieur Floridor, Lequel, quand il lui
plaît
, dit d’or, Fit admirer sa belle langue, En une fl
res odes, Un discours, qui bien reçu fut, Et dans lequel beaucoup me
plut
Une comparaison d’Hercule, Ou que sa chemise me b
tout ; et l’on peut dire qu’il est presque le seul dont les ouvrages
plaisent
à ceux qui entendent le théâtre et à ceux qui ne
de son rare génie, Qu’il tourne certes et qu’il manie, Comme il lui
plaît
incessamment, Avec un nouvel agrément, Comme il t
vez-vous envie, lui fit-il avec indignation, d’en faire un comédien ?
Plût
à Dieu, lui répondit le grand-père, qu’il fût aus
atique, Dorante niera d’abord qu’il existe d’autre règle que celle de
plaire
, qu’il n’a cure des écrits d’Aristote et d’Horace
eculera devant aucune démarche, aucun mensonge, et finira même par se
plaire
à ce jeu, au point de nous choquer. Mais ne vaut-
droit de satisfaire à ses caprices, de vivre bien ou mal comme il lui
plaît
? « Non pas », répond Molière. La femme a des dev
ceux qui lui font obstacle tentent de la détourner d’un hymen qui lui
plaît
, excitent sa colère :
evant la cour, combattre la religion, que seuls quelques libertins se
plaisaient
alors à fronder, bien moins par conviction que po
avec plus d’impatience, & redouble l’intérêt par le desir : aussi
plaît
-elle. Qu’on la mette après, le spectateur, satisf
e qui vous intéresse le plus.... Lisette. Celui-ci n’est pas clair ?
Plaît
-il ? que vous en semble ? Lucile. Eh ! mais.... L
is, puisque vous savez tant de choses, ma sœur, Dites-nous, s’il vous
plaît
, cet autre objet qu’il aime. Bélise. Vous le voul
ide vulgaire : J’écris pour les nobles esprits. Je serois marri de te
plaire
.
moindres forces, qui ont toujours un fond de vérité et de morale. Il
plaît
autant à la lecture qu’à la représentation, ce qu
? Divertissez pendant cinq actes, et amenez un mariage, comme il vous
plaira
; je garantis le succès. Il eut des ennemis achar
use en compagnie, pour modifier la passion qu’il a aperçue en moi, de
plaire
par mon esprit. J’obéis. Mais voyant que je fais
t vrai. On ne peut la confondre avec ces fadeurs que la galanterie se
plaît
à semer au hasard, sans en prévoir, sans en désir
eçoit, et s’attirant cette réponse accablante : « Corrigez, s’il vous
plaît
, cette manière de parler. Il faut douter de toute
ciles à guérir que les hommes. Je vous prie d’écouter ceci, s’il vous
plaît
. Les uns disent que non; les autres disent qu’oui
ue les négligences, les formes dispensent des sentiments, et l’art de
plaire
supplée à l’art d’aimer. La haute société françai
, pouvaient vivre entre eux, et, délivrés de l’écrasante nécessité de
plaire
tous les jours à une multitude d’amateurs, ils po
rais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n’est pas de
plaire
, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but
s embarrassées. Car enfin, si les pièces qui sont selon les règles ne
plaisent
pas, et que celles qui plaisent ne soient pas sel
s pièces qui sont selon les règles ne plaisent pas, et que celles qui
plaisent
ne soient pas selon les règles, il faudrait, de n
il l’asservit. Pour lui, la grande règle de toutes les règles est de
plaire
, et le jugement du publie est un jugement sans ap
on de Molière est au moins franche. Il avoue sans honte l’ambition de
plaire
; il se soumet au jugement de la foule et compte s
. Sans doute il y a moyen d’abuser de la doctrine de Molière. On peut
plaire
en flattant des préférences trop exclusives, des
porterait assez peu. Son exemple ne prouverait pas contre sa théorie.
Plaire
en faisant appel à des goûts équivoques, c’est ne
sa théorie. Plaire en faisant appel à des goûts équivoques, c’est ne
plaire
qu’à demi. De sûrs indices font bientôt reconnaît
de ce qui fait leur charme et leur gloire : on veut les dispenser de
plaire
. Mais elles n’y trouveront leur compte ni l’une n
ux où l’hypocrisie, cette lèpre morale, la plus hideuse de toutes, se
plaît
à exercer ses ravages. La France en a fait l’expé
à longs traits Une suavité qu’on ne goûta jamais. Le bonheur de vous
plaire
est ma suprême étude, Et mon cœur de vos vœux fai
ces enchanteresses qui ont le don de la séduction, qui ont besoin de
plaire
comme l’oiseau a besoin de voler, parce que c’est
sion qui dogmatise. Cette forme même, que le langage de la passion se
plaît
à affecter dans sa bouche, n’est qu’un nouveau tr
é sur l’essence philosophique et la nature intime du bien; mais il se
plaît
à prendre la vertu sur le fait et à l’examiner de
est revenu sans cesse ; il l’a reproduit sous mille formes. Racine se
plaît
aux incertitudes et aux luttes d’un cœur partagé
rois femmes les sentiments les plus naturels à la femme, le besoin de
plaire
et d’être aimée, corrompus par l’influence envahi
’en crierons qu’un peu plus fort. Les jours de beau soleil, nous nous
plaisons
à sautiller dans le souchet et le phléos et à cha
vice dans ses peintures; il va jusqu’au fond et jusqu’au bout; il se
plaît
à le placer dans des situations violentes, où for
c’est-à-dire fit de ses critiques une comédie, et des plus vives. Il
plut
des réponses et ce fut un beau bruit. Les échos e
t sauvée ; M. Jourdain l’apprendra. Mais allons au théâtre, s’il vous
plaît
. Paris en a plusieurs : le Marais, l’Hôtel de Bou
t à Paris ! — Depuis quatre ans ; Monsieur patronne sa troupe ; et il
plaît
au Roi, dont il est valet de chambre — Que me dit
it-il, pour un fait important qu’il n’explique point. Arnolphe, à qui
plaît
la société des jeunes gens, pour les galanteries
s satisferaient son cœur. — Hélas ! vous le pouvez, si cela peut vous
plaire
, dit l’enfant ; et cette douceur fait qu’il n’os
os Guillaume, ni la science du Docteur, il ne laisse pas cependant de
plaire
quelquefois et de divertir en son genre… Puis, on
comme on fait en France, au devoir essentiel de la femme, qui est de
plaire
à l’homme, le droit de choisir et d’ajuster les c
t de choisir et d’ajuster les chiffons grâce auxquels elle croira lui
plaire
davantage. Arnolphe, faisant cette concession, pa
petites pièces telles que Le Songe d’une nuit d’été et Comme il vous
plaira
, de Shakespeare, sont deux chefs-d’œuvre, et deux
u pélican qui donne à ses petits son propre cœur en pâture, s’il vous
plaît
de répéter cette déclamation, nous vous laisseron
hommes éclairés, et il fallut que le sage se déguisât en farceur pour
plaire
à la multitude.
rand homme. Selon lui, les moqueries même que, sur son théâtre, il se
plaisait
à jeter sur les maris n’étaient qu’une sorte de c
e femme. Madame Pernelle a beau lui dire : Quiconque à son mari veut
plaire
seulement, Ma bru, n’a pas besoin de tant d’ajust
r moi, de tels propos je me ris simplement Et l’éclat là-dessus ne me
plaît
nullement, J’aime qu’avec douceur, nous nous mont
personne : il croit, en agissant ainsi, avoir trouvé le secret de lui
plaire
, & veut absolument l’épouser. Isabelle frémit
re plus sage, à la bonne heure : sinon, vous ferez tout ce qu’il vous
plaira
. J’y consens encore, repartit la Belle, mais en v
-être fait égorger : mais je lui ai permis de faire tout ce qu’il lui
plaira
, si vous continuez à la chagriner. Il faut faire
nature toujours également féconde, toujours également bonne mere, se
plaît
à faire naître dans chaque siecle un certain nomb
tés, encore serez-vous forcée de les prendre dans le genre qu’il nous
plaira
d’adopter. Si vous voulez rire, nous prétendons q
es Auteurs pouvant donner la préférence à ceux des Comédiens qui leur
plairont
davantage, & qui auront de meilleurs procédés
e Jupiter est avec Alcmene ; qu’il a pris la figure d’Amphitrion pour
plaire
à la belle ; que lui, Mercure, va prendre celle d
oir pu si long-temps souffrir ce misérable ! Sosie. Dites ce qui vous
plaît
, suivez votre courroux ; C’est à moi de souffrir,
d’incongruité, Dites-moi, de grace, à l’avance, De quel air il vous
plaît
que ceci soit traité. Parlerai-je, Monsieur, selo
mme d’honneur, j’en donne ma parole ; Et vous m’en croirez s’il vous
plaît
. Je vous dis que, croyant n’être qu’un seul Sosie
l’abbé d’Aubignac est une satire grossière, rédigée par l’auteur pour
plaire
à la cour et à la masse corrompue de la société d
Eschantillon, échantillon. L’aisné, l’aîné. Effarez, éfarez. Plust,
plût
. S’esriger, s’ériger. Nostre, nôtre. Mareschal
mir, blêmir. Effroy, éfroy. Empesche, empêche. Aage, âge. Plaist,
plaît
. Crespules, crépules. Coustoit, coûtait. Mesler
; ce n’était pas celle de personnes de deux sexes qui désirent de se
plaire
: c’était le cailletage d’une cour toute remplie
modeste du doute. Molière, intéressé comme poète et comme comédien à
plaire
aux gens de cour et aux gens du monde, avait pu s
e la foule idolâtre, allaient insulter les idoles, en attendant qu’il
plût
au Dieu caché de susciter une main assez forte po
le drôle le plus authentiqué de l’époque, rencontra la troupe : il y
plut
tellement et s’y trouva si bien, qu’on ne pouvait
formellement à Dieu7. Mais laissons cela. Il avait d’autres moyens de
plaire
au roi : il servait et glorifiait ses vices. Nous
à fait si Molière se trouvait moins en situation de se moquer. Il lui
plaît
d’oublier parfaitement que le monde a marché. Ces
ler tant d’exégèses. Il avait trop de sens pour trancher du prophète.
Plaire
à son roi, amuser son parterre, profiter de la pu
ande que cette bonne volonté qu’on y porte d’ordinaire et que Dieu se
plaît
à bénir : « Vous verrez, dit-il, partir quelquefo
. Il avait dit : « Je ne fais point ma cour dans la chaire, à Dieu ne
plaise
! Je suis Français et chrétien. » Son attitude en
outes ces précautions et tous ces ménagements, la vérité ne peut vous
plaire
, craignez qu’elle ne vous soit ôtée et que Jésus-
e veux dire, des hommes dans la vue de Dieu, et par un zèle ardent de
plaire
à Dieu, heureux de souffrir, heureux de pleurer,
mon corps s’affaiblit et tend vers sa fin. J’ai achevé ma course ; et
plut
à Dieu que je pusse ajouter : j’ai été fidèle ! J
ar-là à mourir en religieux. La Flèche, ou quelque autre maison qu’il
plaira
aux supérieurs (car je n’en demande aucune en par
me Dorine l’austérité chagrine de la duchesse de Navailles, qui, pour
plaire
aux reines (la mère et la femme de Louis XIV), dé
es bonnes grâces du roi, en contrecarrant des « entretiens » où il se
plaisait
sans doute. Mmede Navailles et son mari furent, e
térature et les bonnes mœurs, que le Tartuffe fût représenté.. Il lui
plaisait
que les censeurs de ses amusements parussent ridi
terme où le zèle lui-même doit tendre. Tant de discrétion qu’il vous
plaira
, pourvu que le vice soit corrige, pourvu que le s
peut-être de concilier ; à la messe le matin, au bal le soir, voulant
plaire
, craignant de plaire trop, éprouvant plus cette c
r ; à la messe le matin, au bal le soir, voulant plaire, craignant de
plaire
trop, éprouvant plus cette crainte le malin que l
rainte le malin que le soir, plus disposées le soir à risquer de trop
plaire
qu’à se résoudre le matin de ne pas plaire du tou
le soir à risquer de trop plaire qu’à se résoudre le matin de ne pas
plaire
du tout ; très aisément et très sincèrement touch
il y a une distance entre le mouvement premier de la nature, qui veut
plaire
, et le conseil du péché, qui se propose de séduir
séduire. Non pas que ce soit chose tout à fait innocente que vouloir
plaire
: la nature n’est pas innocente ! mais enfin je l
mot du Barreau. Lisette. C’est un mot du Barreau.C’est ce qu’il vous
plaira
; Mais juge, de ses jours, ne m’interloquera : Le
n, par votre seul arrêt, Heureux si vous voulez, malheureux s’il vous
plaît
. . . . . . . . . . Je sais qu’un tel discours de
Champagne. Décide & parle haut parmi les beaux esprits ; Impose,
plaît
, commande aux Belles de Paris ; D’habits tout gal
tiqué, Lorsqu’elle veut surprendre un cœur qu’elle a manqué, Soins de
plaire
affectés, souris, agaceries, Discours flatteurs,
qu’elle sera appellée Madame par tout le monde. O non pas, s’il vous
plaît
, mon mari, répondit Thérese ; mariez-la avec son
& nous laissez avec les nôtres ; Dieu les rendra bonnes, s’il lui
plaît
. Mais, après tout, je ne sais pas où votre Maître
a dissolution de la cour. Il ne doutait pas que ce ne fut un moyen de
plaire
au roi et à madame de Montespan : en conséquence,
nt dans sa position en face de la société qu’il voulait attaquer pour
plaire
au roi, et qui, puissante dans l’opinion, gagnait
c’était assez d’une pâmoison. Enfin, Arlequin, en habit de femme, me
plaît
mieux que Sganarelle, couvert de sa burlesque cui
railleur, puisque je lis : Riez donc, beau rieur, oh ! que cela doit
plaire
, De voir un goguenard presque sexagénaire ? Baro
rper la gloire d’autrui. La pièce fut jouée à Vaux, le 16 août ; elle
plut
beaucoup au roi, qui dit à l’auteur, en lui montr
ne. Le jeune homme profite des leçons de son maître, cherche fortune,
plaît
à une belle, et cette belle est la femme du docte
t que celle qui le subjugue, il tombe à ses genoux, il veut, pour lui
plaire
, se souffleter et s’arracher un côté de cheveux.
trez-nous des talents, et non pas des habits. — Doucement, s’il vous
plaît
, mons. Crispin, n’en déplaise à votre vers pompeu
grand, aussi est-il d’une difficulté ! — Bah ! — Bah ! tant qu’il te
plaira
; il n’est certainement pas aisé d’avoir vingt ge
la même année, Louis XIV, satisfait des efforts que faisait, pour lui
plaire
, la troupe de Molière, voulut la fixer tout à fai
de ce qu’il vient de faire, Il plait à tout le monde et ne saurait se
plaire
. Même acte, scène vii, Alceste s’écrie : Hors
aire place à l’homme aimable, à mesure qu’il concevait l’espérance de
plaire
à une femme élevée dans la bonne société : je ne
nt sifflés ou méritent de l’être, faute de n’avoir pas conservé, pour
plaire
, un peu de ce charme inséparable de la divinité,
à me passer d’exposition, que j’en dispense les auteurs, et qu’il me
plaît
d’applaudir aujourd’hui ce que j’applaudissais hi
et les grâces, on peut se passer peut-être de l’un et de l’autre, et
plaire
à la multitude, à l’aide de quelques bons conseil
du Roi de Cocagne, s’offriront naturellement à la mémoire : Pour me
plaire
il faisait tout ce qu’il pouvait faire, Mais tout
e qu’il pouvait faire, Mais tout ce qu’il pouvait n’avait pas de quoi
plaire
. Année 1671 Les Fourberies de Scapin ; P
rsonne à sa flamme contraire, Jusqu’au chien du logis il s’efforce de
plaire
. Dans l’Asinaire de Plaute, acte Ier, scène iii
e ni à ce qu’il perd, il ne s’applique qu’à une seule chose, c’est de
plaire
à sa belle, à moi, à la suivante, aux valets, aux
is celle-ci, douce, conciliante, voudrait que son amant s’efforçât de
plaire
jusqu’au chien du logis ; et l’autre, trop vif et
us favorable et le plus propre à satisfaire le désir qu’elle avait de
plaire
à tout le monde ; et en la faisant paraître dans
emandera, beau masque, où est le bal ? — Beau masque, tant qu’il vous
plaira
, je n’en agacerai pas moins les jolies femmes des
t-ils pas ajouté des beautés ? Le professeur. Et quelles ! s’il vous
plaît
? L’élève. Préville se bornait à suivre exacte
t-Germain, lui a administré les sacrements à Pâques dernier ; il vous
plaise
de grâce spéciale accorder à ladite suppliante qu
un examen de ses œuvres : mes lecteurs s’écrient sans doute : « ah !
plût
à Dieu, qu’il l’eût fait, cet examen ! » et je pa
les plus petits détails, lorsque, sans nuire à l’ouvrage, ils peuvent
plaire
au public, Molière, dans la première scène, nous
Allons, Monsieur. M. Desfonandres. Non, Monsieur ; parlez, s’il vous
plaît
. M. Tomès. Vous vous moquez. M. Desfonandres. Je
permets de prendre Mademoiselle pour légitime épouse. Genevote. Vous
plaît
-il de signer les articles ? Voilà le Notaire tout
ochant au Chirurgien Tarquino qu’il a fait saigner le malade pour lui
plaire
, & que le pauvre diable en mourra. L’Apothica
de mauvaise humeur : « Ho ! le roi et M. Colbert feront ce qu’il leur
plaira
, dit-il brusquement : mais à moins que le roi ne
ces anecdotes est nécessaire, car elles nourrissent des légendes qui
plaisent
à la mémoire, au risque de déformer l’image d’un
rconstances. Molière, chef d’une Troupe de Comédiens, avait besoin de
plaire
à la multitude, sans laquelle une pareille Troupe
e de l’Avare ; et Harpagon dit de ce Valet, par allusion : « Je ne me
plais
point à voir ce chien de boiteux-là »20. Ce fut u
mours, et il était allé le montrer à Mademoiselle24, Princesse qui se
plaisait
à ces sortes de petits ouvrages ; et qui, d’aille
aire ; Que tes vers n’ont rien de plaisant. Si tu savais un peu moins
plaire
, Tu ne leur déplairais pas tant. 1801, Moliéra
e cette Comédie ; mais le Peuple, à qui Molière avait eu intention de
plaire
, la vit, et la voit encore avec plaisir. Il était
e mauvaise humeur : « Oh ! Le Roi et M. Colbert* feront ce qu’il leur
plaira
, dit-il brusquement ; mais à moins que le Roi ne
re, et ce génie mâle, que l’âge rendait sec et sévère, s’amollit pour
plaire
à Louis XIV. L’Auteur de Cinna fit, à soixante-ci
rconstances. Molière, chef d’une Troupe de Comédiens, avait besoin de
plaire
à la multitude, sans laquelle une pareille Troupe
u Spectacle ? « Avez-vous envie, lui dit-il, d’en faire un Comédien ?
Plût
à Dieu, lui répondit le grand-père, qu’il fût aus
oique Molière fût très agréable en conversation, lorsque les gens lui
plaisaient
, il ne parlait guère en compagnie, à moins qu’il
dit-il, avec un peu d’indignation, envie d’en faire un Comédien ? ―
Plût
à Dieu, lui répondit le grand-père, qu’il fût aus
tenu plus sûrement le Théâtre comique, que Monsieur Baron ? Le roi se
plaisait
tellement aux divertissements fréquents que la Tr
s spectacles, caressé de toute la Cour, il s’embarrassait fort peu de
plaire
, ou non à la Molière ; elle ne le négligeait pas
pars dans ce moment, leur dit-il, pour l’en informer . Ce dessein ne
plut
nullement à Hubert, qui tremblait encore. Quand l
se impitoyablement dans mes peines ; et occupée seulement du désir de
plaire
en général, comme toutes les femmes, sans avoir d
vous n’avez que cela à faire. Mais si vous étiez comme moi occupé de
plaire
au Roi, et si vous aviez quarante ou cinquante pe
p de plaisir. Molière n’en demandait pas davantage, assuré que ce qui
plaisait
au Roi, était bien reçu des connaisseurs, et assu
cet article-là. Il vivait en vrai Philosophe ; et toujours occupé de
plaire
à son Prince par ses ouvrages, et de s’assurer un
ement inviolable pour la Personne du Roi, il était toujours occupé de
plaire
à Sa Majesté, sans cependant négliger l’estime du
vait à divertir, le Courtisan, le Savant, et le Bourgeois. La Cour se
plaisait
aux spectacles, aux beaux sentiments, de la Princ
ondissent au dessein qu’il pouvait avoir, en donnant une pièce, ou de
plaire
à la Cour, ou de s’enrichir par la foule, ou de s
s quel est donc l’objet de votre attachement ? Trouvez bon, s’il vous
plaît
, que je vous interroge Sur un sujet pareil. Léand
s qu’il vous a fait connoître, Fâchez-vous, éclatez autant qu’il vous
plaira
, Il vous dira toujours, & vous répétera Que s
res guinées dans sa valise. Allez, Mademoiselle, partez quand il vous
plaira
; écrivez-moi, revoyez-moi quand vous reviendrez,
obe à Mademoiselle, la piece que j’aime est précisément celle qui lui
plaît
le plus : ne faudra-t-il pas que je m’en prive ?
édie du Bourgeois gentilhomme avait trop déplu à la cour, pour ne pas
plaire
beaucoup à la ville. Ce n’était pas, en cette occ
e plaider contre lui la cause de la vérité, toutes les fois qu’il lui
plaît
de prendre en main celle de l’erreur. Quel est l
comme sans dessein, les vers que laissait échapper sa Muse. L’ouvrage
plut
, le sujet devint populaire, et dès lors le théâtr
e mâle, dit Voltaire, que l’âge rendait sec et sévère, s’amollit pour
plaire
à Louis XIV. L’auteur de Cinna fit, à l’âge de so
bien leur métier, les poètes dramatiques surtout, qui sont obligés de
plaire
aux instincts, aux passions, aux penchants de la
ue part, il faut l’y voir, l’en tirer avec grâce et d’une manière qui
plaise
et qui instruise. » Il disait aussi, et l’on cro
rais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n’est pas de
plaire
, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but
du Cuisinier français. En un mot, le grand art de la comédie c’est de
plaire
, elle peut se soucier du reste. Enfin, et ceci es
r. Livré à toutes les séductions de la puissance et de l’amour, il se
plaisait
à orner le trône des lauriers de la victoire et d
ux : Que diable, s’il pouvait, ne ferait-il pas mieux ? Et, quoiqu’il
plaise
à faux, en est-il moins louable ? Je sais qu’il f
sa une épître de félicitations où l’on remarque ce passage : Molière
plaît
assez, son génie est folâtre ; Il a quelque talen
anse de Gros-Guillaume, ni la science du docteur, il ne laisse pas de
plaire
quelquefois et de divertir en son genre. Il parle
t à ces femmes qui font peur en déshabillé, et qui ne laissent pas de
plaire
quand elles sont ajustées, ou à ces petites taill
s qu’il a placés dans la bouche du sage Cléante : Modérez, s’il vous
plaît
, ces transports éclatants ; Nous vivons sous un r
yeux de celle qu’il veut séduire ; mais c’est comme dévot qu’il veut
plaire
, c’est par sa profession même qu’il essaie de fai
aire ; Que tes vers n’ont rien de plaisant. Si tu savais un peu moins
plaire
, Tu ne leur déplairais pas tant. 237. FRONDER
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