emble, — et ce n’est pas davantage la religion qui lui en a fourni le
principe
. D’où viennent donc, et son idée de Dieu, et le p
a fourni le principe. D’où viennent donc, et son idée de Dieu, et le
principe
de sa morale ? C’est ce que nous allons essayer d
se personnifier dans un nom : Aristote. Or, l’école avait d’abord un
principe
, celui des formalités, matérialités, entités, vir
… cent fois vivat, Novus doctor, qui tana bene parlat !3 . À ce beau
principe
, l’école joignait une méthode non moins belle : l
il, est l’art « de modérer ses passions (14). » Mais, après tout, un
principe
et une méthode ne suffisent pas pour faire vivre
9). Après cela, il n’est pas étonnant que Molière soit ferré sur les
principes
, et parle si respectueusement de ceux qui les sui
Mais en rendant justice à notre auteur, n’oublions pas notre but : ce
principe
si fécond, à qui le dut-il ? A personne ou à tout
s pouvons ramener à ces trois points la philosophie de Descartes : un
principe
, qui est en même temps une méthode, et deux thèse
ême temps une méthode, et deux thèses, qui en sont la conséquence. Un
principe
: n’admettre que l’évidence, et dans la ferme rés
cartes : que dit Molière! Tout d’abord, on prétend qu’il a attaqué le
principe
lui-même, et dans le scepticisme universel de Mar
ourne-t-il en ridicule ? Les excès auxquels peuvent conduire certains
principes
, plutôt que ces principes eux-mêmes. Quand il s’a
es excès auxquels peuvent conduire certains principes, plutôt que ces
principes
eux-mêmes. Quand il s’agit de physique, par exemp
haine de tout joug, c’est contre lui tout d’abord qu’il se sert de ce
principe
. On lui a appris à ne jurer ni par l’école, ni pa
importe pour notre nouvelle recherche. Nous ne parlons ici que de ce
principe
vraiment philosophique, d’où découle avec les règ
es pratiques pour la conduite de la vie la moralité elle-même ; de ce
principe
que possède tout système de philosophie, celui d’
bien que chez les spiritualistes les plus extrêmes. Quel fut donc le
principe
de la morale de Molière, et à qui l’emprunta-t-il
othèses. La conséquence a été tirée par celui même qui avait posé les
principes
. Gassendi définit le bien et le mal : « Rem, bona
ors même qu’il imitait ou acceptait des doctrines toutes faites, — le
principe
de son maître il ne le reçut qu’à la condition de
sous les mots nous retrouvons les hommes. Pour Gassendi, en effet, le
principe
de la morale s’appelle le bonheur, — pour Molière
n faire l’aumône au pauvre « au nom de l’humanité (59). » Or le grand
principe
le voilà : l’humanité ; Molière la trouve belle,
le nous a conduit à un résultat double aussi : Molière avait certains
principes
, — il les a intentionnellement développés. Le pre
à certaines règles posées par les anciens. L’autorité était le grand
principe
de sa critique, et ce n’était pas seulement, comm
’il parlait au dix-septième siècle277. Telle était alors la force du
principe
d’autorité, que moi-même je me croyais engagé d’h
un ouvrage célèbre, qui n’est que la traduction en langue savante des
principes
de critique chers à Molière et à moi. Mais, avant
cipes de critique chers à Molière et à moi. Mais, avant d’exposer ces
principes
, je dois dire à M. Lysidas pourquoi je considère
nt, le souvenir de la réalité. Alors, par une application nouvelle du
principe
de contradiction, les choses que nous nous représ
Il est vrai que le deuxième logicien pourra se lever et dire : Votre
principe
est faux. Le singe n’est pas le contraire de l’ho
sérieux, un autre de l’idée du sublime, pour déterminer, en vertu du
principe
de contradiction, l’idée du comique. Critique
re. Les personnages de la tragédie sont nobles ; ils nous montrent le
principe
moral vainqueur du principe animal : donc les per
agédie sont nobles ; ils nous montrent le principe moral vainqueur du
principe
animal : donc les personnages de la comédie doive
e animal : donc les personnages de la comédie doivent nous montrer le
principe
animal victorieux du principe moral ; ils doivent
s de la comédie doivent nous montrer le principe animal victorieux du
principe
moral ; ils doivent êtres ivres, poltrons, vains,
olument nécessaire de dire : La particularisation à l’infini étant le
principe
du comique, les plus grands comiques sont Rabelai
er, Sterne, Swift et Rabelais, la particularisation à l’infini est le
principe
du comique ? Votre définition de la comédie ne po
mpiriques de sa formation, renferme une part d’a priori, j’entends le
principe
même de nos jugements et de notre classification.
nous comparons la réalité à ce modèle divin, et nous avons trouvé le
principe
de la critique littéraire. L’analyse dissipé cett
elle n’aurait pas encore trouvé sa pierre philosophale, j’entends un
principe
unique et absolu. Car une comédie pourrait être p
, comment le traduit-elle au dehors en idées, et d’abord, quel est le
principe
de ce sentiment au dedans d’elle ? Pourquoi n’a-t
as un géomètre qui répète la démonstration d’un théorème, remonte aux
principes
, redescend aux conséquences, jusqu’à ce qu’il ait
général, ou d’une portion éclairée du genre humain. Fidèle à ces deux
principes
, Uranie n’est pas la dupe des attraits que peuven
routine 321. Car, dit-il, c’est l’instinct qui la dirige et non des
principes
. Et, par les dieux, Polus ! si je ne craignais de
a langue et sur mon palais, et c’est d’après cela (et non d’après des
principes
universels) que je porte mon jugement. Kant, Cri
jugement n’est donc pas logique, mais esthétique, c’est-à-dire que le
principe
qui le détermine est purement subjectif. Critiqu
nie, lisez donc, si cela vous plaît davantage, la critique qui a pour
principe
le goût. 309. Un jugement de goût exige de cha
hors du sujet, et qui n’est ni nature ni liberté, mais qui est lié au
principe
de cette dernière, c’est-à-dire avec le suprasens
— Sommet de la perfection comique. Avant la création du monde, Dieu,
principe
éternel des choses, s’ignorait lui-même au sein d
s et ses garanties, les lois civiles, le mariage, la paix et tous les
principes
de la civilisation ; Junon figura le lien conjuga
ragique. Il consiste donc, non dans l’opposition du bon et du mauvais
principe
, de Dieu et de Satan, de l’esprit et de la chair,
, de l’esprit et de la chair, mais dans la contradiction de deux bons
principes
, également moraux, légitimes et sacrés, manifesta
nécessaire par lequel un enfant tient à ses parents. Car le véritable
principe
du mariage n’est pas l’amour physique et l’attrac
es héros y avait été favorable. Les héros possédaient en eux-mêmes le
principe
divin de leurs entreprises générales. Leurs actio
a mort de ce bel art classique, dont la beauté parfaite avait eu pour
principe
, en Grèce, l’incarnation d’un petit nombre d’idée
se détruit. L’humour, c’est la mort même de l’art218, si l’art a pour
principe
l’harmonie, l’intime pénétration de l’idée et de
ntique, a cessé d’être le contraire de la comédie, puisqu’elle a pour
principe
, non plus la guerre des Dieux et sa fatale issue,
nouvel individu sans pouvoir revenir sur elle-même… Dans l’animal, le
principe
spirituel n’apparaît pas encore comme Âme véritab
uction, p. 19. 177. Les grands motifs de l’art dramatique sont les
principes
éternels de la religion et de la morale, la Famil
ront se dispenser de lire notre développement : Dans la tragédie, le
principe
éternel et substantiel des choses apparaît victor
toutes les choses finies, assurée et heureuse en elle-même, reste le
principe
du haut comique. La subjectivité comique alors s’
maîtresse sur ce qui apparaît dans la réalité. La présence réelle du
principe
substantiel a disparu. Mais, si ce qui est en soi
éritable action tragique soit possible, il est nécessaire que déjà le
principe
de la liberté et de l’indépendance individuelle s
ché dam sa sagesse intolérante, fort et confiant dam la vérité de ses
principes
et dam son amour pour la vertu, l’on se met en op
la contradiction absolue de la véritable nature des Dieux, des vrais
principes
de la vie politique et morale avec les idées, les
es, les passions et les ridicules d’hommes incapables de réaliser ces
principes
, dans ce triomphe même de la puissant qui déjoue
particularités de sa vie. T. V, p. 124. 218. Il y a pour Hegel deux
principes
destructeurs tours de l’art : l’humour, et l’imit
[56, p. 89-93] L’abbé Batteux235, dans ses
principes
de littérature, s’exprime ainsi sur Molière : « M
se. On a de lui, outre un traité sur Les Beaux-Arts réduits à un même
principe
, 1746, de très nombreux ouvrages dont beaucoup so
par exercices (1747-1748), devenue ensuite Cours de belles-lettres ou
Principes
de la littérature (1754) est allé, de réédition e
invisible aux yeux vulgaires s’est proposé l’auteur, au nom de quels
principes
latents il a fait parler et agir les personnages
n grand esprit, un profond observateur de l’humanité, n’ait point des
principes
qui percent dans ses œuvres, et ne tire point con
n génie. Mais une influence incontestable, un prétexte plausible, des
principes
inspirateurs, ne doivent point être confondus ave
faire où elle ne soit intéressée plus ou moins. Mais elle n’est ni le
principe
ni le but de tout ce que fait l’homme ; et l’on n
e livrer à l’étude approfondie du cœur humain sans être guidé par des
principes
et sans tirer des conclusions ? Pouvait-il s’empê
oralise ou corrompt par son divertissement. Recherchons donc quels
principes
moraux régnaient chez lui, quel enseignement ress
t quel est entre eux deux le modèle idéal qu’il rêve ? Quels sont ses
principes
sur la religion, la famille et l’amour, quand il
CHAPITRE XI. De la Religion.
Principe
et Sanction de la Morale de Molière. Enfin, po
morale de Molière est la morale chrétienne, et qu’il en a cherché le
principe
dans les préceptes de la religion ? Ce serait err
e, que l’expression d’un sentiment personnel sur la religion, non des
principes
qui régnassent dans son âme au point d’inspirer t
er, par conséquent, que des honnêtes gens indifférents. Chercher le
principe
de sa morale dans la philosophie d’Épicure, sous
tique, sur laquelle tous les systèmes sont à peu près d’accord, quels
principes
fixes aurait-il pu emprunter à la philosophie ? Q
ar le christianisme n’a fait qu’en affirmer d’une manière absolue les
principes
plus ou moins indécis ; cette morale naturelle, d
t moyen de croyance dans le vrai et d’amour pour le bien797. Voilà le
principe
de la morale de Molière. Quant à la sanction, ell
apitres précédents. 801. La morale indépendante ne peut remplacer le
principe
de l’ordre providentiel qu’elle méconnaît, ni par
istoire critique des lettres le sentiment perfectionné du goût et les
principes
de la tradition avec les recherches érudites dite
l de notre temps, le moins suspect d’une vénération exagérée pour les
principes
de la tradition, M. Vacherot, pense à peu près co
critique ainsi annihilée elle seule réussit à faire une science. Son
principe
est incontestable, c’est que tout phénomène à sa
aître d’écriture par quelle déduction rationnelle et en vertu de quel
principe
a priori, il veut qu’on étende bien ses doigts, q
la seconde fois, il se décidait par l’estime ; il rendait hommage aux
principes
d’honnêteté que sa conduite semblait braver. On v
ec toute la société de La Rochefoucauld. C’étaient mêmes idées, mêmes
principes
, mêmes habitudes ; dans toutes une vie régulière
nage de l’honnêteté de mœurs, de la sagesse d’esprit, de la pureté de
principes
et de goût qui régnaient dans cette société, de l
et aux momeries de la dévotion. Elle s’avoua, se déclara attachée aux
principes
de la morale religieuse plutôt que pieuse, et sur
cision générale, autrement je ne vivrais pas (c’est ainsi que dans le
principe
elle prit Gobelin). Il me reste toujours assez de
la société humaine sous toutes ses formes, reposent également sur le
principe
de l’autorité paternelle. C’est ce principe qui p
reposent également sur le principe de l’autorité paternelle. C’est ce
principe
qui perpétua pendant tant de siècles la race juda
es la race judaïque à travers des vicissitudes incroyables ; c’est ce
principe
qui fut une des plus remarquables causes de la gr
a là, on le répète, immoralité, fausseté, contradiction avec tous les
principes
de haute moralité appliqués à la peinture de l’ho
s et de plus redoutable, la noblesse oisive. On fait dater de 1789 le
principe
de l’égalité des hommes devant la loi civile : le
de 1789 le principe de l’égalité des hommes devant la loi civile : le
principe
de leur égalité devant l’estime et l’opinion des
ais que sur son bon côté moral ; exposer les effets des passions, ces
principes
actifs qui font mouvoir l’humanité tout entière,
n et une profondeur de vue remarquables. Tels sont par conséquent les
principes
psychologiques les plus importants, d’où tant d’a
ement lorsqu’ils se trouvent dans les conditions particulières où ces
principes
instinctifs dominent et dirigent l’esprit ; ces e
ke a défini le fou : Un homme qui raisonne juste en partant d’un faux
principe
. Mais encore, pour que cette définition fût compl
our que cette définition fût complète, aurait-il fallu ajouter que le
principe
faux doit être suggéré par une passion qui domine
toute à citer comme leçon de psychologie pratique. Elle développe le
principe
que c’est par les bons procédés, par l’affection,
e aux faits, que son énonciation semble une banalité. Et cependant le
principe
psychologique sur lequel il est basé est considér
es psychologiques que Molière se plaît à soutenir sur la scène est le
principe
qui attribue la raison morale aux bons instincts,
méchant et la passion de la justice le rend injuste. Il adopte comme
principe
le compelle intrare ; il veut forcer ses contradi
de l’homme ainsi que pour l’amener à se comporter comme on le désire,
principe
sur lequel Molière insiste toujours, se trouvent
de morale, l’indulgence pour les défauts d’autrui se trouve érigée en
principe
, puisqu’ils sont un mal involontaire, inhérent à
il est impossible que l’on n’ait pas tout formulés dans l’esprit les
principes
sur lesquels ces effets sont basés. Mais, pour n’
effets sont basés. Mais, pour n’avoir pas été donnés en formules, ces
principes
n’en sont pas moins évidents. En essayant de remp
lent aux pieds les croyances religieuses, de même qu’ils violent tout
principe
de morale, ne les montre-t-il pas aussi comme app
entes dans ses œuvres prouvent bien, répéterons-nous, qu’il avait des
principes
psychologiques arrêtés, déduits des faits qu’il o
i guide sagement l’homme dans ses pensées et dans ses actes, tire son
principe
des instincts moraux, des facultés morales, de la
ux sont impossibles. Il est certain que Molière faisait allusion à ce
principe
psychologique important quand il a écrit la scène
manière remarquable dont il exprime, sous une forme sentencieuse, ce
principe
, qui donne une si grande importance en psychologi
e importance en psychologie aux éléments instinctifs de notre esprit,
principe
ignoré par les philosophes modernes : Henriette.
osé de la folie raisonnante, qui tire des déductions logiques de faux
principes
imaginés sous l’influence de la passion, mérite l
ui est instinctif en nous, ce qui qualifie nos pensées, ce qui est le
principe
de nos désirs et même, dans le plus grand nombre
on, de l’immoralité, qu’à ceux qui inspirent la raison, la morale. Ce
principe
psychologique a une importance majeure dans les q
e complètement. Tel est l’état psychique constitutif de la folie. Ces
principes
, tous parfaitement conçus par notre grand Molière
une critique impartiale et sérieuse, qui cherche à s’appuyer sur les
principes
de l’art ? C’est ce que nous nous permettrons de
r dix mètres cinquante centimètres de large. Rappelons ici d’abord le
principe
fondamental du beau en architecture. C’est que to
ogènes dans leurs parties, et exprimant mieux les sains et véritables
principes
de l’art. La faute en est-elle à l’ignorance où l
cipes de l’art. La faute en est-elle à l’ignorance où l’on est de ces
principes
ou à l’isolement dans lequel se tiennent les arti
outes les démarches & les discours de ces personnages, qui est le
principe
& le premier mobile de toutes leurs actions ;
onnages introduits, guidés par les mêmes vûes, agissans par les mêmes
principes
, sensibles aux mêmes intérêts, en un mot, les mêm
imple dialogue. Elle differe particulierement de la tragédie dans son
principe
, dans ses moyens & dans sa fin. La sensibilit
ipe, dans ses moyens & dans sa fin. La sensibilité humaine est le
principe
d’où part la tragédie : le pathétique en est le m
nt les fins qu’elle se propose. La malice naturelle aux hommes est le
principe
de la comédie. Nous voyons les defauts de nos sem
e à la comédie en vers, & le refuse à la comédie en prose, sur ce
principe
que la mesure n’est pas moins essentielle à la Po
relle d’évenemens familiers qui doit former l’intrigue de la comédie,
principe
qui condamne l’intrigue de l’Hecyre : si toutefoi
ens & ses idées aux mœurs de la société, où les préjugés sont des
principes
, où les usages sont des lois, où l’on est condamn
n ce qu’il remonte à la source des vices, & les attaque dans leur
principe
; le plus fort, en ce qu’il présente le miroir au
n ? le misantrope par air est-il moins ridicule que le misantrope par
principes
? le fat modeste, le petit seigneur, le faux magn
e. Personne ne se corrige, dit-on encore : malheur à ceux pour qui ce
principe
est une vérité de sentiment ; mais si en effet le
urra joindre à l’éloge qu’on vient d’en faire, & qui est tiré des
Principes
de littérature, les réflexions de M. Marmontel au
Mais il manque à la perfection de cette comédie la simplicité dans le
principe
de l’action, parceque la ressemblance surnaturell
rmi les pieces intriguées par le hasard ; le hasard n’y préside ni au
principe
de l’action, ni aux incidents, ni au dénouement,
ajoutons que les pieces dans lesquelles le hasard présideroit seul au
principe
, à l’intrigue & au dénouement, seroient aujou
hui très peu estimées, & le mériteroient. Le faux pas qui sert de
principe
à l’intrigue du Menteur, n’a certainement pas coû
imitateur consiste à bien saisir, à bien rendre la nature. D’après ce
principe
adopté par toutes les personnes de goût, & su
iere à chaque pas qu’il a voulu faire vers la perfection ; d’après ce
principe
, dis-je, nous ne pouvons mieux juger des imitateu
lité. Nous avons foi, nous Français, dans l’un et dans l’autre de ces
principes
, et armés de ce double instrument de critique, no
roit ressaisir dans les idées de la morale et même de la religion les
principes
absolu ? que l’école dogmatique sent lui échapper
iques ?) ; 3º le moment historique (nous retrouvons une croyance, des
principes
, une méthode : mais cette nouvelle doctrine n’est
r du vice est vigoureuse, et en même temps sa charité indulgente. Ses
principes
sur le bien qu’on doit accomplir, non pas seuleme
de Molière, elles ne furent certainement point en désaccord avec ses
principes
. Il condamna de tout temps la comédie « corrompue
utes favorables à la morale de Molière, s’il ne s’agissait que de ses
principes
et de ses intentions, c’est-à-dire s’il n’était p
intentions, c’est-à-dire s’il n’était pas Molière. Mais que sont ses
principes
et ses intentions auprès de son influence ? La
it une mauvaise.querelle. Sans doute, la morale est absolument une en
principes
; mais en pratique, elle n’est pas seulement doub
en admettant qu’on trouve à la base de la morale de Molière ce vieux
principe
recueilli de l’antiquité et cher à Rabelais et à
tard systématiquement. I. Comment Molière, en morale, se sert du
principe
: « Vivre conformément à la nature », comme d’un
se sert du principe : « Vivre conformément à la nature », comme d’un
principe
négatif, pour ruiner les préjugés de son temps, e
sse énergiquement, en cette occasion comme en bien d’autres, c’est le
principe
métaphysique d’autorité sans contrôle, c’est l’il
unetière, qu’il se soit heurté surtout contre la religion en tant que
principe
réprimant. Ce sont bien les dogmes chrétiens qui
se corriger de leurs vices. Il comprendra la nécessité d’un nouveau «
principe
réprimant », faute duquel tous les instincts mauv
tous les instincts mauvais ne tarderaient pas à se déchaîner. Or, le
principe
un peu vague, « vivre conformément à la nature »,
r Jeu et leur Profession : Il a répété d’après eux que j’ignorais les
principes
de leur Art, et que ce n’était pas à moi à en par
ix des termes, et des expressions, la netteté, la concision, sont des
principes
que je tâche de ne point perdre de vue, comme les
eur, à parler de ce métier là ; vous qui sur ma parole en ignorez les
principes
, quoique dans votre Livre vous nous ayez étalé fa
. Je souhaite en avoir assez dit pour qu’il puisse comprendre que les
principes
de l’Orateur, qui prononce en public, sont commun
u contraire, supposant à l’un et à l’autre une connaissance égale des
principes
, et les mêmes dispositions. Mais, me dira mon Cri
s dans l’un et dans l’autre genre de déclamation on observe les mêmes
principes
pour conduire sa voix et ses gestes. Molière pouv
combat ; il réprouve tout le système des anciennes idées, des anciens
principes
en morale, en littérature, en philosophie, même d
Chacun voit dans quelqu’une de ces doctrines ou de ces habitudes, le
principe
de l’inimitié qu’il a fallu réduire à l’impuissan
lus large de ce mot, oppose à la liberté, voilà le sujet du drame, le
principe
de la contradiction. Le triomphe de la liberté, v
ucune étincelle. C’est l’auteur qui parle quand George Dandin pose en
principe
que le meilleur parti à prendre, c’est de se jete
d procès et aide l’homme à juger l’homme. Pris en lui-même, isolé des
principes
qui dominent et expliquent la vie, il est faux et
ces écrivains restent encore au-dessous de lui ! Mais pénétrés de ses
principes
, ils marchent du moins sur ses traces, et, dans l
sage Cléante et l’aimable Elmire, le modèle des épouses, alliant aux
principes
les plus sûrs la grâce, l’esprit, le savoir-vivre
teurs pour combattre les adversaires de la révolution et propager les
principes
républicains. Malheureusement l’amour de la patri
i, dans maintes circonstances, réglant leur conduite, non d’après les
principes
éternels de la morale, mais sur l’opinion des gen
é de la presse, une lutte d’un autre genre, la lutte des idées et des
principes
; où l’égoïsme et l’avidité avaient tué chez tant
. Le parti républicain, logique dans sa conduite, après avoir posé en
principe
que le peuple qui peut élire un roi doit avoir in
désormais de la seule polémique qu’ils attendent le triomphe de leurs
principes
. La presse alors acquiert une importance inouïe;
et ma fortune, je suis d’une certaine nuance de la chambre; par mes
principes
, je suis d’une autre tout à fait apposée..... Mai
ire une conséquence forcée de la manière de l’auteur, laquelle a pour
principe
de considérer dans les compositions dramatiques l
rophes, l’imprévu du dénouement, etc. Les ouvrages conçus d’après ces
principes
ont de grandes chances de succès, nous le savons
t-être encore dans l’insouciance de beaucoup d’auteurs pour les vrais
principes
de l’art, insouciance par suite de laquelle ils m
jamais de mettre à la mode, tandis qu’ils oublient ou dédaignent ces
principes
vrais dont nous parlons, et que l’immortel auteur
sse, de profondeur et de raison. Nous croyons devoir rappeler ici ces
principes
. Il y a, ce nous semble, d’autant plus de nécessi
des maximes et des sentences qui témoignent de toute la pureté de ses
principes
: Je veux qu’on soit sincère, et qu’en homme d’h
nts Ne se masquent jamais sous de vains compliments... il pose là un
principe
qui sans doute est très bon en lui-même, mais don
par la raison, je l’ai déjà dit, que l’entêtement d’Alceste pour ses
principes
et son impuissance à les bien défendre, ou du moi
pour nous faire entendre que le Métier de Comédien a de [trop] grands
principes
, pour que des gens si mal élevés puissent les sav
uand cela serait, est-ce l’éducation qui donne la déclamation ? Si ce
principe
est vrai, les Comédiens doivent tous être de bons
fera au Public s’il ne se fait Prédicateur ou Comédien. Comme si les
principes
de la déclamation étaient les mêmes dans ces deux
n se sont quittés, s’aimant, dit-on, plus que la vie, purement par un
principe
de religion. On dit qu’elle retournera à la cour
res de madame de Sévigné, des 28 juin et 3 juillet, la conformité des
principes
d’honnêteté dont elle et ses amies étaient animée
rincipes d’honnêteté dont elle et ses amies étaient animées, avec tes
principes
religieux de Bossuet. C’était dans cette honnêtet
p à profiter dans cet ouvrage, et qu’on en pouvait tirer d’excellents
principes
d’économie. Et les Femmes savantes ! Quelle prod
t selon son goût. L’homme de génie était aussi chef de troupe, et les
principes
de l’un étaient quelquefois subordonnés aux intér
est plus propre à la comédie que ces sortes de personnages, en qui un
principe
faux est devenu un travers d’esprit habituel, et
lui est pas inconnue, et, n’en sachant pas assez pour en expliquer le
principe
, il se jette au moins sur les effets qu’il en a v
tés. Et qui peut douter que l’excès ne gâte les meilleures choses? Ce
principe
est si reconnu, qu’il serait superflu de le prouv
le fait sentir n’est-il pas un précepteur de morale ? Appliquons les
principes
aux faits. Sans doute il faut être sincère; mais
t de ces saillies d’humeur, quoique au fond Alceste ait raison sur le
principe
. Rousseau prouve très-bien ce que tout le monde s
eut, que d’avoir le plaisir de perdre son procès? Eh bien! d’après ce
principe
que vous ne pouvez pas mer, vous avez tort de vou
une effroyable haine. Son caractère est conservé : il est parti d’un
principe
vrai; mais l’humeur qui le domine l’emporte beauc
er, il serait insensé de s’en rendre très inutilement la victime. Ses
principes
de douceur et de prudence ne ressemblent nullemen
nt dans ses manières et dans ses discours, qu’il est affreux dans ses
principes
et dans ses actions. Insolent et cruel avec polit
d’opinions, à qui une vie toute de désordres a fait perdre de vue les
principes
religieux, sans que jamais leur esprit se soit ap
ur empêcher la contagion de ses mauvais exemples et de ses pernicieux
principes
. Peu de temps après, il fit à la troupe de Molièr
pour remarquer qu’elle est de ce caractère, qu’elle descend du même
principe
, fille de leur discipline et de leur esprit , et
personne à qui il s’adresse. « Vous avez dans l’âme, madame, tous les
principes
de la haute et ancienne générosité. Vous croyez q
fond & les détails avec une tragi-comédie italienne intitulée il
Principe
geloso, le Prince jaloux, par Cicognini. Cette C
l’ouvrage. Voyons si tous ses défauts appartiennent à l’original. Il
Principe
geloso, ou le Prince jaloux, Tragicomédie, en cin
st un roman qui ne finit point, & dans lequel on se perd. Dans il
Principe
geloso, Arlequin sert d’espion au Roi ; dans le P
un ou deux couplets, & les faire mieux figurer ailleurs. 12. Il
Principe
geloso est si rare, qu’il n’est connu d’aucun de
honnête homme, du moins comme un homme sans délicatesse, et même sans
principes
. …. Ce sonnet qui chez une princesse. A passé po
ersonnifié tous les vices à la fois, en montrant un scélérat qu’aucun
principe
moral, aucun sentiment humain ne détourne de ses
ériteraient peut-être davantage, et cela sans doute parce qu’il a son
principe
dans ce qu’il y a de plus antisocial, l’égoïsme ;
vare, l’avare par tempérament, par habitude, et je dirais presque par
principes
? C’est celui qui, n’ayant pas connu l’indigence,
ses, et Rousseau se plaît à les confondre. Il faut en revenir ici aux
principes
que j’ai rappelés, à l’occasion de L’Avare, sur l
e de l’Académie d’architecture, et un des huit qui formèrent, dans le
principe
, l’Académie des inscriptions. Il composa plusieur
venir. Toutefois, la conception du Misanthrope peut avoir eu un autre
principe
: ne serait-ce pas l’intérêt commun de la société
upules exagérés ces rigoureux censeurs qui, appliquant au théâtre des
principes
d’un autre ordre, s’alarment des peintures hardie
ise eu égard au lieu, au temps, et aux personnes qu’on entretient. Ce
principe
une fois posé, ce n’est pas une faute de jugement
acle de l’humanité visible sous ces symboles animés, on aura les deux
principes
de l’intérêt universel qu’excitent Les Fables de
s que trop souvent relevées par l’assaisonnement de cette légèreté de
principes
, qu’il était du bon ton d’afficher pendant la pre
ntissent dans le désert. Tel devait être en effet leur sort ; car les
principes
sur lesquels ces écrivains se sont fondés, tendai
atiques. Elle n’a pourtant d’autre fondement qu’un malentendu sur les
principes
de l’illusion et du naturel3. C’est sans doute à
a serré ses voiles, à mesure qu’il a fait par lui-même l’essai de ses
principes
. L’écrit dans lequel il sort le plus de la mesure
s du second philosophe à Sganarelle. 3. J’ai développé et réfuté les
principes
de Diderot dans un traité Sur le rapport des beau
ons de Philinte et d’Alceste dans une apparente opposition avec leurs
principes
et dans une conformité parfaite avec leurs caract
voyez-vous pas les guides heureux de ce siècle se tenir forts de ces
principes
et se pardonner leur impitoyable égoïsme ! « Mons
en disent les philosophes, cet amour est inné dans l’homme et sert de
principe
à la conscience. Je puis citer en exemple de cela
mêmes, comme nous le verrons, ne sont peut-être que l’exagération des
principes
généraux de ces trois personnages. Rousseau, dans
se est dans Molière : « La femme est le potage de l’homme. » Voilà le
principe
de Rousseau, celui d’où toutes ses idées de détai
oit leur apprendre dès leur enfance. Tant qu’on ne remontera pas à ce
principe
, on s’écartera du but et tous les préceptes qu’on
trône parmi les femmes ». Nous voici donc en possession de nos deux
principes
: toute l’éducation des femmes doit être relative
outes les déductions de Rousseau seront tirées du premier de ces deux
principes
et que le second ne mettra que quelques traces de
e savoir : « La recherche des vérités abstraites et spéculatives, des
principes
, des axiomes dans les sciences, tout ce qui tend
porter toutes à la pratique ; c’est à elles à faire l’application des
principes
que l’homme a trouvés et c’est à elles de faire l
es de faire les observations qui mènent l’homme à l’établissement des
principes
. Toutes les réflexions des femmes doivent tendre
ite de la femme est asservie à l’opinion publique [souvenir du second
principe
: pourquoi l’éducation des femmes doit être le co
est d’une autre religion que sa mère ? — Probablement oui, puisque le
principe
, c’est que la religion des femmes doit être imper
protestant, très pénétré de protestantisme, resté fidèle au moins au
principe
protestant : nous sommes juges de notre croyance
ilà la mesure juste, qu’il ne s’agissait que de trouver, guidé par ce
principe
: plaire à son mari, ne pouvoir plaire qu’à son m
’est tout le système de Rousseau qui est faux, même en partant de son
principe
, surtout en partant de son principe ; et si toute
est faux, même en partant de son principe, surtout en partant de son
principe
; et si toute l’éducation de la femme doit être r
instruite, mais elle sera éduquée et elle le sera conformément à mon
principe
: plaire à son futur mari, ne plaire qu’à lui. Ad
ture, ces pensées, ces sentiments plutôt se ramèneront bien tous au «
principe
», comme Rousseau aime à répéter ; ou plutôt sont
ressionnés, de plus ou moins près, de plus ou moins loin, par le même
principe
. Ce principe, quel est-il ? L’éducation de la fem
e plus ou moins près, de plus ou moins loin, par le même principe. Ce
principe
, quel est-il ? L’éducation de la femme doit être
u. Or, en se plaçant à ce point de vue, en ne perdant pas de vue le «
principe
», les idées et sentiments de Rousseau ne sont po
nir un sens commun tout différent de celui qu’il voit, il y a donc un
principe
de répulsion réciproque qui les écarterait l’un d
. Les Médecins, également attachés à leurs robes, à leur latin et aux
principes
d’Aristote, méritaient presque tous l’éloge que M
’écrire. Toutefois il ne se pressa point de paraître ; il remonta aux
principes
et à l’origine de son art. Il vit la Comédie naît
caché derrière le Poète. Que ne puis-je montrer l’application de ces
principes
à toutes les Comédies de Molière ! On verrait que
Molière. Aujourd’hui nous voulons essayer de nous faire une idée des
principes
qui le dirigèrent. Il est des poètes sur lesquels
es et L’Impromptu de Versailles, renferment de réelles discussions de
principes
et toute une polémique littéraire mise en comédie
s’en faut; et l’activité politique s’y rattachait rarement à quelque
principe
élevé: elle se perdait dans les intrigues auxquel
ses ennemis. En faisant répéter sa troupe devant lui, il indique les
principes
naturels de la véritable déclamation, et, chose i
pes naturels de la véritable déclamation, et, chose intéressante, les
principes
de Molière se rencontrent à merveille avec ceux q
ose qu’un argument toujours facile à invoquer. Cette page renferme le
principe
de sa poétique, et, s’il faut en dire notre pensé
piquants contre le bataillon serré des femmes savantes. Martine a un
principe
: La poule ne doit point chanter devant le coq.
t éviter mille écarts : elles serviront de correctif à leur force. Ce
principe
, de tout temps méconnu par la foule, est vrai dan
pupille, ils les élèvent avec des soins très particuliers. Mais leurs
principes
sont en parfaite contradiction. Sganarelle, le pl
s quel sens il convient de la diriger. S’il s’agissait des hommes, le
principe
que pose ici Molière serait fort dangereux. Pour
accepter, et il n’est nullement certain qu’en les convertissant à un
principe
, on les ait converties à la première et à la plus
que de son jugement; mais ni les unes ni les autres ne découlent d’un
principe
assez élevé. En abordant dans L’École des maris e
evraient être cultivées, n’y eût-il aucun homme au monde. Tant que ce
principe
élémentaire n’aura pas pénétré profondément dans
la France a vus naître depuis le jour où furent proclamés les fameux
principes
de 1789 jusqu’à cet autre jour, où M. Guizot se r
ôle que la femme a joué en France. Ce ne sont pas les déclarations de
principes
qui font vivre les institutions politiques; ce so
es vivantes, mille influences actives, cachées et profondes. Un grand
principe
est sujet à n’être qu’une grande phrase : une tou
au, en élargissant le cadre, on ne soit pas jeté en dehors des grands
principes
de la morale et de la vérité. Georges Dandin es
ophe lui apprirent à raisonner. C’est dans ses leçons qu’il puisa ces
principes
de justesse qui lui ont servi de guides dans la p
as les mêmes que ceux d’Isabelle fine & déliée, qui n’ont d’autre
principe
que la contrainte où la tient son tuteur. Moliere
n’a point eu dessein de décréditer ce qui en étoit la source & le
principe
; c’est sur la rudesse de la vertu peu sociable &
mmes, & au discernement exquis avec lequel il sçavoit démêler les
principes
de leurs actions, que ce grand homme a dû la conn
même genre, il ne faut pas, pour en juger sainement, partir des mêmes
principes
. Dans ses premiéres comédies d’intrigue, il se co
nvenance de mettre sur la scène comique des matières religieuses : le
principe
sur lequel il s’appuyait était la séparation du s
et la raison libre, le spirituel et le temporel. C’est en vertu, d’un
principe
semblable que l’Église se réservait le droit de j
sub ratione peccati, au point de vue du péché. C’est d’après ce même
principe
que l’Église se considère encore comme investie,
ction, extérieurement conforme au devoir, a reposé uniquement sur des
principes
moraux et sur le respect intérieur du devoir. Mai
D’ailleurs, nul n’aime à flétrir soi-même ce qui a l’apparence de ses
principes
, fût-ce une flatteuse apparence, de même que l’on
rendre le prix d’un cœur comme le sien ? Si l’on prend à la lettre le
principe
que la comédie doit toujours faire rire et qu’ell
re Une théorie ridicule sur la comédie, une critique absurde dans ses
principes
et dans ses conclusions, dont l’auteur, homme d’i
este plus, pour trouver sa définition exacte, qu’à appliquer le grand
principe
posé par Socrate lui-même à l’ouverture de notre
r les plus belles. Qu’est-ce que le théâtre d’Aristophane d’après les
principes
de la critique française ? L’essai informe et gro
l’inverse ; l’asservissement de l’être moral à l’être matériel63. Le
principe
animal doit y dominer64. La paresse, la luxure, l
a des règles qu’il avait une fois établies. Je n’ai rien ajouté à ses
principes
. Mon rôle modeste s’est borné à en développer que
ptième leçon. 37. Satires, I, 4. Traduction de M. Patin. 38. Le
principe
poétique domine dans la forme de la comédie nouve
s expressives. Mademoiselle en fut instruite et le chassa. Ce fut le
principe
de la haute fortune de Lulli. Le roi, qui n’aimai
comédiens, je dirai qu’à mon avis il y a lieu de distinguer entre les
principes
que je crois avoir bien exposés et leur applicati
as, de tolérances qui mitigeaient et faisaient fléchir la rigueur des
principes
, et dont il importe de tenir grand compte, car el
dire que certains confesseurs se relâchaient un peu de la rigueur des
principes
, en se fondant notamment sur la déclaration royal
respect qu’il devait, en sa qualité de supérieur ecclésiastique, aux
principes
sur lesquels son subordonné fondait son refus. Il
ême, selon le cas et les circonstances, se départir de la rigueur des
principes
, mais ces principes étaient bien ceux que j’ai ré
les circonstances, se départir de la rigueur des principes, mais ces
principes
étaient bien ceux que j’ai résumés, et les voici
résentent les classes dirigeantes. Dans cet effondrement général, les
principes
eux-mêmes fléchissent : la morale et la religion
la magistrature, dans la noblesse, dans le clergé même, les hommes a
principes
sévères, les esprits sérieux, les âmes inflexible
ausé par le mulet et la galère 261, et de n’être pas, malgré tous les
principes
, enchantée de voir réussir ces admirables fourber
n effort de réflexion pour discerner, dans les Hommes de Molière, les
principes
d’honnêteté qu’il y a mis : il ne faut que voir,
a tirer de la maison de sa tante hérétique ; elle la trouva imbue des
principes
des protestants, et voulut la forcer à se convert
e et dans ses charmes ; il faut aussi reconnaître en elle deux autres
principes
de conduite qui mirent en valeur tous ses avantag
t eu tout Paris pour témoin, ils essayèrent du moins d’en attaquer le
principe
. Comme Molière avait rempli le principal rôle dan
vous bornez à montrer ce qu’il y a de faiblesse et de folie dans son
principe
, le personnage, fût-il du rang le plus élevé, pro
à Molière. La pièce de Cicognini, intitulée Le Gelosie fortunate del
principe
Rodrigo, fut imprimée, suivant l’usage d’Italie,
la Médecine en elle-même, la traita de Science frivole, et posa pour
principe
qu’il est ridicule à un Homme de vouloir en guéri
cent formes différentes. La raison en est, que n’étant pas réduit en
principes
, ou du moins n’en ayant qu’un très petit nombre,
maniere à eux. La Peinture, la Sculpture & l’Architecture ont des
principes
surs, bien établis, bien détaillés, généralement
magination du cœur. J’accorderai volontiers que la sensibilité est le
principe
du talent; mais je nierai que la sensibilité soit
u talent; mais je nierai que la sensibilité soit la même chose que le
principe
moral et qu’un homme soit d’autant plus moral qu’
que de son jugement; mais ni les unes ni les autres ne découlent d’un
principe
assez élevé. « En abordant, dans L’ Ecole des m
u Théâtre, qui demande de gros traits pour affecter le Public ; et ce
principe
lui a toujours réussi dans tous les caractères qu
grande raison de charger sur leur mauvais goût. Ils ne savaient aucun
principe
de leur art ; ils ignoraient même qu’il en eût. T
t pompeusement ronfler un vers. Molière, qui connaissait l’action par
principes
, était indigné d’un jeu si mal réglé, et des appl
urd’hui, destitués d’étude qui les soutienne dans la connaissance des
principes
de leur art, commencent à perdre ceux que Molière
nant qu’un enfant de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans les
principes
de la déclamation, fît valoir une passion avec au
e satisfaction mener une vie tranquille, conforme à sa santé et à ses
principes
, débarrassé de cet attirail étranger de famille,
tateur. Il ne déclamait point au hasard, comme ceux qui destitués des
principes
de la déclamation, ne sont point assurés dans leu
lle avait de la sincérité, mais souvent elle était fondée sur de faux
principes
, d’où on ne pouvait le faire revenir ; et quoiqu’
l’esprit français qui a toujours été fort enclin aux discours. Dès le
principe
, dès les premiers essais, le dialogue prit sur no
ausier, dont il emprunta plusieurs traits pour peindre l’austérité de
principes
et de goût, et pour en orner le liant caractère d
n, un autre modèle de société, une autre source de mœurs, d’idées, de
principes
; c’est surtout un besoin pour les âmes douces et
ngtemps de la faire vertueuse par force, et de la tenir ignorante par
principe
. La piquante Lisette de l’École des maris est le
311. Id., act. III. 312. Les Femmes savantes, act. I, sc. I - Le
principe
que la femme est faite pour être épouse et mère a
rouvaient. Madame de Sévigné trouvait quelque chose d’ignoble dans le
principe
auquel elle attribuait une grande partie du talen
connaître le mérite de Racine et à lui préférer Pradon, tenaient à un
principe
moral d’une nature fort supérieure aux préceptes
etite intrigue, a choisi le caractere de la Comtesse pour en faire le
principe
de l’action : & quoiqu’il le fasse agir de pr
juteur, depuis cardinal de Retz ; le maréchal d’Hocquincourt. Dans le
principe
, la cour eut pour elle le prince de Condé, âgé de
des vers nouveaux sur des sujets antiques. Quant aux raisons de leur
principe
, elles sont faciles à apercevoir : ils savent qu
quiconque l’essaye, il lui en coûte cher ; et, conséquemment, que le
principe
de tous nos maux, c’est de vouloir le tenter ? Co
ligion, c’est ce qui s’oppose à la philosophie dont il est ; c’est le
principe
sur lequel toute religion digne de ce nom repose
sir finalement qu’à être vaincus par elle. — Et Diderot, qui tire des
principes
du « libertinage », comme une conséquence lointai
érite un examen approfondi. Il faut bien qu’il y ait des questions de
principes
engagées dans le procès qu’on fait au style de Mo
vert des mœurs que la morale oblige à cacher ; c’est aussi établir en
principe
que des esprits délicats et polis n’ont pas le dr
us avons de Barbieri ce qu’il appelle un opera tragica, intitulé : Il
principe
Eleuriendo di Persia, et une pièce mystique : La
liste, ni à l’homme politique. Un homme politique, par exemple, a des
principes
qu’on lui connaît ; il a des opinions ; il a des
xiste plus. Telle est, suivant moi, l’idée de Molière ; tels sont les
principes
qui l’ont guidé, et la leçon qu’il a voulu mettre
p à profiter dans cet ouvrage, et qu’on en pouvait tirer d’excellents
principes
d’économie. Et les Femmes savantes? quelle prodig
tes se formaient une à une, sans éclat, sans autre prétention dans le
principe
, que l’indépendance, sans l’intention de former u
rer une partie de leur talent11. Discours préliminaire Par son
principe
et par son moyen, la comédie tient à l’essence, m
sonnages vrais et des mœurs réelles. C’était la comédie ramenée à son
principe
et à sa destination. Molière le comprit aussitôt
ussi une source féconde de ridicules, et elles ont ordinairement pour
principe
l’amour de nous-mêmes. Cet amour, mal entendu et
tile moralité des uns jointe à la piquante originalité des autres. Un
principe
commun à tous les arts, c’est que les choses se f
e recevoir. Mais qu’est-il besoin d’exemples si nombreux à l’appui du
principe
qui a été posé, puisqu’on peut affirmer que toute
es de l’homme. On a beaucoup parlé de l’optique du théâtre ; mais, du
principe
exprimé par ce mot, on n’a peut-être pas tiré tou
st assuré à cet égard. On a beaucoup répété que, se trouvant, dans le
principe
, uni d’intérêt avec les Béjart, il avait bientôt
deux ; mais leur taciturnité n’avait ni le même caractère, ni le même
principe
. La Fontaine, rêveur, préoccupé, distrait, habita
ion. Molière apercevait, d’un coup d’œil prompt, sûr et pénétrant, le
principe
secret des mouvements de l’homme les plus indéter
vûë du Theatre qui demande de gros traits pour affecter le public. Ce
principe
a toûjours réussi à Moliere dans tous les caracte
ande raison de charger sur leur mauvais goût ; ils ne savoient aucuns
principes
de leur art, ils ignoroient même qu’il en eût. To
t pompeusement ronfler un Vers. Moliere, qui connoissoit l’action par
principes
, étoit indigné d’un jeu si mal reglé, & des a
nant qu’un enfant de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans les
principes
de la déclamation, fît valoir une passion avec au
atisfaction mener une vie tranquille, conforme à sa santé & à ses
principes
, débarrassé de cet attirail étranger de famille,
tateur. Il ne déclamoit point au hazard, comme ceux qui destituez des
principes
de la déclamation, ne sont point assurez dans leu
lle avoit de la sincerité, mais souvent elle étoit fondée sur de faux
principes
, d’où on ne pouvoit le faire revenir ; & quoi
Beyle relatives à Molière, tirées de l’exemplaire de M. de Spoelberch
Principe
général très propre à décider la question entre M
le voyons. Il convierait Orgon à quelque mauvaise action, les anciens
principes
d’honneur s’opposant chez un sot, aux suggestions
sur Molière, de Simonin, comparaison de Regnard à Molière, page.) 6e
principe
.] Une scène ne nous semble bonne qu’autant qu’ell
te sachant que sa fille cocufié son gendre et la soutenant malgré ses
principes
religieux, par fierté, comme si la bourgeoisie du
’adultère. Deuxième situation : La mère, femme de la cour avec les
principes
de la maréchale de Luxembourg (quand Boufflers pa
me faible. Philaminte est bilieuse. Comédie fondée solidement sur les
principes
médicaux des tempéraments. On dira que je vois ce
The morning. travailler ; the evening, after dinner. à observer. 88.
Principe
. Que les peintures soient très fortes, sans toute
ra en humeur. Faut-il vous tenir par la main, ou si vous avez quelque
principe
? M. Grichard, portant sa colere à l’extrémité. S
de sa femme avaient couté tant de larmes amères. C’est dans les mêmes
principes
qu’il faut chercher l’esprit qui, deux ans après,
n Médecin. Il dit au bon-homme que la maladie de sa fille n’a d’autre
principe
que le desir d’être mariée : il ajoute que, pour
que sa grâce et son esprit, n’est pas moins un hommage à la pureté de
principes
et de goût de la marquise de Rambouillet, que ne
faut chercher l’intelligence des plus belles scènes de Molière ! Les
principes
développés au commencement de cette préface me la
u théâtre, qui demande de gros traits pour affecter le public ; et ce
principe
lui a toujours réussi dans tous les caractères qu
grande raison de charger sur leur mauvais goût. Ils ne savaient aucun
principe
de leur art ; ils ignoraient même qu’il y en eût.
t pompeusement ronfler un vers. Molière, qui connaissait l’action par
principes
, était indigné d’un jeu si mal réglé, et des appl
urd’hui, destitués d’étude qui les soutienne dans la connaissance des
principes
de leur art, commencent à perdre ceux que Molière
nant qu’un enfant de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans les
principes
de la déclamation, fît valoir une passion avec au
e satisfaction mener une vie tranquille, conforme à sa santé et à ses
principes
, débarrassé de cet attirail étranger de famille,
teur ; il ne déclamait point au hasard, comme ceux qui, destitués des
principes
de la déclamation, ne sont point assurés dans leu
lle avait de la sincérité, mais souvent elle était fondée sur de faux
principes
, d’où on ne pouvait le faire revenir ; et quoiqu’
’il dépouille. Nous avons cru nécessaire d’établir ici les véritables
principes
, afin de repousser une fois pour toutes les repro
en est cette folle passion qui va le mettre en contradiction avec ses
principes
, et sera par conséquent le ressort indispensable
table homme de bien ». Car un égoïsme sombre ne fut point chez lui le
principe
de cette humeur atrabilaire qui ne sera que l’acc
amour mal placé qui va mettre le philosophe en contradiction avec ses
principes
, et, par un secret mécontentement de lui-même, pr
de la vérité, il contribua seulement, avec Pascal, à séculariser les
principes
de la morale menacés par une casuistique éhontée1
r la fureur d’une passion qui, loin d’être un accident fortuit, a son
principe
dans le sang, et, invétérée par l’habitude, se to
une école de mauvaises mœurs ? » Avant de réfuter cette thèse par des
principes
, il convient d’y relever d’abord deux erreurs. Ro
Ce qui le rend malheureux, ce n’est pas d’avoir été trop fidèle à ses
principes
de vertu rigide, mais plutôt d’avoir transigé ave
ons chimériques de l’âge d’or. Mais quel contraste entre les nouveaux
principes
qu’on professe, et la manière dont on les annonce
ntrer en public, pour éviter les inconvénients de la surprise. Sur ce
principe
il fut conclu que le roi viendrait chez madame de
dans le volume précédent, Chapitre V, le Prince jaloux de Moliere au
Principe
geloso italien : voyons si Baron aura tiré grand
erniere situation est dans le Prince jaloux de Moliere, & dans il
Principe
geloso de Cicognini. Une lettre déchirée l’a prod
que « la vie et les mœurs ne sont pas exactement conformes à tous les
principes
de la religion, de la famille et de la propriété,
la beauté, qui se termine au nœud conjugal. Du moins donc, selon ces
principes
, il faudra bannir du milieu des chrétiens les pro
e flamme qui viendra tout à coup vous percer le cœur et ira droit aux
principes
de vos maladies. Dieu fait dire quelquefois aux p
s sourciller mourir amis, enfants, mère et femme, et tout cela par un
principe
de piété. Les sentiments pieux, mon frère, que v
à son gré, entrevit le dommage que ce spectacle pouvait causer à des
principes
qu’en les transgressant il respectait encore, et
e l’indifférence criminelle où ils sont à cet égard, et ramène à deux
principes
honteux leur sagesse, qu’il appelle une « sagesse
dence qui puisse affaiblir la force de ce devoir. C’est là le premier
principe
sur quoi roule la prudence même et à quoi toute c
ace au premier rang de ses saints. Moralement, tout est faux dans les
principes
et dans la combinaison. Les deux faces du caractè
a sa bonne part, Et l’on y sait médire et du tiers et du quart. Ces
principes
, si habilement tournés en ridicule, sont cependan
quelque chose en la fondant sur le goût, avant d’exposer mes nouveaux
principes
, j’ai à suivre l’exemple qu’il m’a donné lui-même
de la rendre méconnaissable. N’a-t-il pas eu le front d’attribuer au
principe
de sa critique, au goût, un esprit de sympathique
e prétendre, et qu’elle puisse les acquérir en demeurant fidèle à son
principe
, c’est ce que je nie absolument. Qui ne sait que
y prends, monsieur Lysidas ! C’est donc ainsi que vous appliquez les
principes
exposés sans doute à l’heure qu’il est dans la su
it que quelques légumes et jamais de viande, pratiquant fidèlement le
principe
que l’usage de la viande est contre-nature, au su
é ou son Mari honteux de l’être, n’a-t-il pas marié à la philosophie,
principe
de toute sagesse, la folie du préjugé le plus rid
Molière. *** Pour cet ensemble de raisons, Molière est devenu, dès le
principe
, un des plus populaires de nos écrivains et un de
r. 4. Loin de moi l’intention de révoquer en doute la sincérité des
principes
de tolérance proclamés par le Gouvernement ; mais
droit sens, la bienséance exercent leur légitime empire, où les bons
principes
sont héréditaires, comme certaines conformations
, reconnut qu’il devait faire une profession de foi solennelle de ses
principes
religieux ; il voulut fermer la bouche à ses calo
s Molière, ni dans les auteurs comiques, qu’on en étudie les premiers
principes
. Ce qu’on blâme dans lui devrait être précisément
e admirable qu’il en trace les devoirs et qu’il en fait ressortir les
principes
consolateurs, c’est par des actions qu’il montre
, n’a point eu dessein de discréditer ce qui en était la source et le
principe
; c’est sur la rudesse de la vertu peu sociable,
phe lui apprirent à raisonner ; c’est dans ses leçons qu’il puisa ces
principes
de justesse qui lui ont servi de guides dans la p
es hommes et au discernement exquis avec lequel il savait démêler les
principes
de leurs actions, que ce grand homme a eu la conn
même genre, il ne faut pas, pour en juger sainement, partir des mêmes
principes
. Dans ses premières comédies d’intrigue, il se co
Mais il manque à la perfection de cette comédie la simplicité dans le
principe
de l’action, parce que la ressemblance surnaturel
onstance pour dire que Rosalie est son éleve & qu’elle a reçu ses
principes
. D’Orval conseille à Clairville de s’attacher pl
ux plaisirs l’affreux libertinage397 ? Après tant de vérité, tant de
principes
excellents, tant de grâce et de bon sens apporté
Il Convitato di pietra (le Convive de pierre). 19. Arlecchino creduto
principe
(Arlequin cru prince). 20. Arlecchino ladro, sbir
ique des situations. Mazarin n’est, pour le coadjuteur, que Trivelino
principe
, ou même un vulgaire Pantalon. Et, au dénouement
tromper parce que sa misanthropie et même ses vertus avaient le même
principe
d’orgueil ; il ne faut pas d’autre remarque pour
rmande en contradiction avec ses propres maximes, lorsque, malgré ses
principes
, la philosophe se met en colère comme une simple
t au Saint-Sacrement dès ses origines. Et quand, un peu plus tard, le
principe
fut posé par la Compagnie du Saint-Sacrement de n
Et c’était encore Saint-Cyran qui, par une conséquence logique de ces
principes
d’abstention, tenait à saint Vincent de Paul des
yons-nous souvent au rang des interlocuteurs el Conde, la Duquesa, el
Principe
, la Reyna, el Rey, le Comte, la Duchesse, le Prin
indre la Nature dans toutes ses attitudes ». — Mais, en partant de ce
principe
, Melpomene pourra nous représenter ses héros dans
re sous Gassendi. Au sortir du collège, il reçut de ce philosophe les
principes
d’une morale plus utile que sa physique, et il s’
une morale plus utile que sa physique, et il s’écarta rarement de ces
principes
dans le cours de sa vie. Son père étant devenu in
valier à la Mode, de Dancourt. De la vraisemblance. S’il est un
principe
certain, avéré, à l’abri de toute contestation, c
fils de famille du dix-septième siècle, riche, égoïste, sans ombre de
principes
que son plaisir ; un de ces esprits forts du gran
Juan est profond ! Comme il est peint le vide causé par l’absence des
principes
, ce vide immense que tous les vices viennent remp
nant qu’un enfant de dix ou onze ans, sans avoir été conduit dans les
principes
de la déclamation, fit valoir une passion avec au
les à la Muse Comique, lit la Poétique de M. de Marmontel, dévore les
principes
excellents dont l’article Comédie est plein, parv
et l’élégance des esprits ; elle reconnut des modèles ; elle fixa ses
principes
, elle eut ses traditions ; elle forma école ou pl
ue. Appliquons cette théorie au Misanthrope. V En partant de ce
principe
, que Molière n’a point fait des portraits mais cr
comique ne soit entièrement exempt de vice ou de ridicule. D’après ce
principe
, auquel Molière n’a jamais manqué (j’excepte quel
consenti qu’à regret à feindre une coquetterie qui n’est ni dans ses
principes
ni dans son caractère, et uniquement pour détermi
nse et approuvé les plans. Toutefois, comme en mainte circonstance le
principe
du concours des particuliers a été admis par l’ad
t pas les mêmes que ceux d’Isabelle fine et déliée, qui n’ont d’autre
principe
que la contrainte où la tient son tuteur. » Avan
a dites, et qu’il a découvert que la maladie de sa fille n’a d’autre
principe
que le désir d’être mariée. Il ajoute que pour do
ge ! Quant à Henriette, oh ! il n’a garde de contester ses excellents
principes
, sa droiture, sa vive intelligence, le sérieux de
l a si bien adapté dans Arnolphe les paroles à l’homme et l’homme aux
principes
, que pour peu qu’on eût de prévention contre lui,
famille, aux abus d’une autorité qui du moins était légitime dans son
principe
, de l’autorité paternelle ; il y a d’autres dange
router et à confondre ceux qui se figurent qu’il suffit d’établir des
principes
pour tout corriger d’un coup. M. Jourdain, une de
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